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Mag' #2 Basket - Tennis - Football - Biathlon - Handball - Ski Nordique - Handisport - Rugby - Cyclisme - Natation - F1 - WRC ... @AllSportsFrance

AllSportsFrance Mag #2

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Mag'

#2Basket - Tennis - Football - Biathlon - Handball - Ski Nordique - Handisport - Rugby - Cyclisme - Natation - F1 - WRC ...

@AllSportsFrance

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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EDITO Thierry Rupert n’est plus. Après un oedème

pulmonaire contracté lors d’un entrainement

avec Dijon en mai dernier, Rups était plongé

dans le coma depuis juillet suite à un

problème cardiaque. Malgré tous les eorts

de ses proches ainsi que de la famille basket,

 Thierry Rupert est décédé dimanche à l’age de

35 ans.

Le basket français était solidaire depuis denombreux mois avec Elham Rupert, sa femme,

et ses deux enfants, Iliana et Rayam. Ancien

international, il a notamment participé à la

campagne de l’Euro 2003 (35 sélections).

Jouant pour les plus grands clubs français, il

réalisa le fameux triplé avec Limoges en 2000 :

Coupe de France - Championnat - Coupe

Korac. Déjà dramatique, la situation est

toujours grotesque car l’accident de Rups n’a

pas été considéré comme accident du travailet ses assurances excluent les malaises

cardiaques. Le SNB (Syndicat national des

Basketteurs) avait appelé aux dons pour

subvenir aux besoins de sa famille et aux soins

nécessaires. Un élan de solidarité au sein du

basket français avait alors pris une grande

ampleur et l’espoir était toujours permis,

 jusqu’à cette triste nouvelle dimanche. Rups,

comme le monde du basket le surnommait,

restera gravé dans les mémoires de nombreux

basketteurs, professionnels, amateurs, ou

même spectateurs. Tu resteras toujours dans

la mémoire du basket et du sport français.

Décédé alors que tu pratiquais ta passion, ton

métier. Adieu Thierry...

@AllSportsFrancePour suivre l’actu du sport en temps réèl :

SOMMAIRE

P2.......... Humeur de la Semaine

P3..........La Descente Dorée de Marion

P5.......... L’Interview J. Monclar

P9.......... Portrait Michael Oher

P11........ Biathlon

P15........ Football

P18........ Semaine Sport Business

P21........  All Star Week NBA xxx

P19........ CAN 2013

P23........ Rugby

P25........ Semaine Sport Business

P28........ Judo 

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Il y a peu, Johnny Hoogerland était victime d’un accident avec une voiture lui causantnotamment 5 côtes fracturées. Ils sont nombreux, ceux qui ont succombé de leurs bles-sures. Car non, Hoogerland n’est pas le seul. Lui qui avait été la victime de la voiture

France Télévision sur le Tour de France aurait pu rejoint Burry Stander, Inaki Lejarreta,Victor Cabedo, ou encore le jeune Clément LeBras dans la triste liste des victimes de laroute.Trop de personnes meurent sur les routes, renversées par le manque de consciencegénéral des automobilistes. Si vous êtes protégés au sein d'un habitacle, sachez quesur le vélo, l'habitacle, c'est nous. Alors me direz-vous, "pour vous, il y a les pistescyclables".

Peut-être cela convient au citoyen lambda faisant sa promenade dominicale. Mais pour le sportif, c'est inconcevable. Nous voici donc, en des termes moins élégants, "le cul

entre deux chaises". L'entraînement du cycliste implique de rouler à une vitesse pou-vant être dangereuse sur une piste car nous sommes trop rapides, mais tout aussi dan-gereuse sur la route si nous ne sommes pas assez rapides. Il faut impérativement quele message passe, que les gens comprennent que le vélo lorsqu'il est pratiqué commeun sport a besoin d'être pris au sérieux par ceux qui n'en font pas. Les exemples sontnombreux, et l'ignorance envers notre sport ne fait qu'accentuer la prise de risque. Envoici deux :- Cagnes-sur-Mer : Le sénateur-maire Louis Nègre instaure la piste cyclable à 10km/h,les contrevenants seront passibles d'une amende de 35 €. Allons allons sénateur,quand est-ce que vous avez chevauché un vélo pour la dernière fois ? 10km/h, pour 

avoir essayé, c'est compliqué sans pédaler, en roue libre. La piste familiale, telle quevous l'appelez, laisse passer les nombreuses rosalies, rollers, trottinettes, et autrespiétons. C'est pourtant clair, et ce n'est pas de moi : Article R110-2 du code de la route: "piste cyclable : chaussée exclusivement réservée aux cycles à deux ou trois roues."- D'un ton généralement peu sympathique : "METTEZ VOUS EN FILE INDIENNE". Car oui, l'automobiliste est impatient. Sûr de lui et de sa machine, il veut passer, le plus vitepossible. Nous cyclistes, sommes justes des parasites qui perturbent le va et vientcontinu des voitures. Pour rappel, nul n'est censé ignorer la loi. Et à ce sujet, elle estclaire : "les conducteurs de cycles à deux roues sans remorque ni side-car ne doivent jamais rouler à plus de deux de front sur la chaussée.Ils doivent se mettre en file simple dès la chute du jour et dans tous les cas où les condi-

tions de la circulation l'exigent, notamment lorsqu'un véhicule voulant les dépasser annonce son approche."Oui nous pouvons rouler à deux de front, ce n'est pas interdit. Ce qui est interdit, plutôt,c'est de doubler avec un espace insuffisant. En ville, moins d'un mètre, hors aggloméra-tion, moins d'un mètre cinquante.Sorte de cri de colère, il est temps que l'irresponsabilité change, que l'on fasse vraimentcomprendre aux automobiliste qu'ils ont une arme entre les mains, et que le cycliste estune proie facile. Est-ce plus important de gagner 5 minutes sur un trajet ou ôter la vied'une personne. Certains s'en amusent, comme cette page facebook au nom révéla-teur, véritable culte de la violence : Anti-cycliste.

L'accident peut rapidement devenir meurtrier, alors prenez le temps, regardez-vousdans le miroir. Êtes-vous un tueur ?

Humeur de la semaine ! 

Benoit @Ougaverde

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Cyclistes en danger 

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Ski Alpin 

La Descente Dorée de Marion Rolland 

47 ans après Marielle Goitschel à Portillo, laFrançaise Marion Rolland est devenue cham-pionne du monde de Descente. Elle a devancé

l'Italienne Nadia Fanchini et l'Allemande MariaHoefl-Riesch. C'est le premier titre pour uneFrançaise depuis le Super G remporté par Régine Cavagnoud à Sankt Anton en 2001.

Dans une descente où beaucoup de concur-rentes sont tombées comme par exemple l'Ita-lienne Daniela Merighetti, la skieuse des Deux Alpes a remporté le titre devant Nadia Fanchi-ni. L'Italienne a longtemps cru à la victoire.Parti avec le dossard 2, la plus jeune des deux

sœurs Fanchini avait réalisé une course quasiparfaite en tirant astucieusement partie de sonpetit dossard. Sur la troisième marche dupodium, on retrouve l'Allemande Maria Hoe-fl-Riesch. Suivent ensuite la Suissesse NadjaKamer quatrième et l'Américaine Julia Mancu-so qui complète le top 5.La Slovène Tina Maze a pris la septième placederrière l'Américaine Stacy Cook sixième. Lapremière Autrichienne est Andrea Fischbacher 

qui n'a pris que la huitième place. ElenaFanchini et l'Autrichienne Elizabeth Goerglcomplètent le Top 10.

Marie Marchand Arvier a pris la quatorzièmeplace. La skieuse des Contamines a devancél'Espagnole Carolina Ruiz-Castillo et la Suis-sesse Lara Gut. Déception pour la révélationItalienne des Mondiaux, Sophia Goggia n'a prisque la vingt-deuxième place suite à une erreur de trajectoire. Vingt-neuvième place pour laMonégasque Alexandra Coletti.

Marion Rolland est une skieuse française de 30 ans licencié au ski-club des Deux-Alpes commeSandrine Aubert. Elle a effectué ses débuts en coupe du monde le 30 janvier 2004 sur la descente

de Haus im Ennstal en Autriche. Marion s'est blessée gravement au genou gauche lors de la des-cente des JO de Vancouver sur la piste de Whistler Mountain. Elle a été à tort la cible de moqueriecar sa course n'avait duré que trois secondes. Dès la poussée, les ligaments croisés du genou dela Française lâchèrent.La Française s'est affirmée l'an passé lors des finales de la Coupe du monde à Schladming. Elleavait signé deux podiums en vitesse avec respectivement la troisième place en Super G et la deu-xième en Descente. Pour ceux qui suivent le ski, la victoire de Marion est tout sauf une surprise.Depuis le début de la saison, la française est montée en puissance. Dixième lors de l'ouverture dela saison de vitesse à Lake Louise, neuvième à Val D'Isère, huitième à Sankt Anton et quatrièmeà Cortina. Ses performances lui ont permis d'intégrer les sept meilleures descendeuses à la

WCSL [classement sur la liste de départ des skieuses].

Qui est Marion Rolland ?

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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La belle histoire de Gauthier de Tessières

Belle histoire pour le skieur Français Gauthier De Tessières seulement remplaçant à l'annonce dessélections pour les Mondiaux. L'Auvergnat qui a remplacé au pied levé Johan Clarey blessé au dosa pris la deuxième place d'un super G remporté par l'Américain Ted Ligety. Le Tricolore qui a suprofiter de son petit dossard 4 et saisir sa chance. Ce que n'a pas pu faire Alexis Pinturault. Leskieur de Couchevel parti avec le dossard 1 n'a pas osé prendre assez de risques pour vraiment

saisir sa chance. Il a pris seulement la sixième place devant le champion du monde sortant l'ItalienChristof Innerhofer, septième. Le Norvégien Aksel Lund Svindal a pris la troisième place de ceSuper G.

Un Kailloux en Bronze

 Ce samedi, sur la Planai le Français David Poisson surnommé dans le milieu Kailloux a pris latroisième place d'une descente remportée par le Norvégien Aksel Lund Svindal. Très belle coursedu Français David Poisson qui avec son dossard 13 a réalisé une très belle course ponctuée par une très belle médaille de bronze. C'est l'Italien Dominik Paris qui a pris la deuxième place. L'Autri-

chien Klaus Kroell et le Finlandais Andreas Romar complètent le Top 5.

Début de championnats quasi parfait pour Ted Ligety et Aksel Lund SvindalDeux courses et deux titres pour l'Américain Ted Ligety. L'Américain a remporté le Super G et leSuper Combiné. Le meilleur est encore à venir pour l'Américain qui vise le titre en Géant. Deuxmédailles aussi pour le Norvégien Aksel Lund Svindal qui s'est imposé en Descente et a pris latroisième place du Super G. Le Norvégien aurait pu espérer une médaille en Super Combiné s'iln'avait pas enfourché lors de la manche de Slalom

Tina Maze rate le Grand ChelemCinq épreuves, cinq médailles, voici le challenge proposé à Tina Maze. Cet exploit le grand LasseKjus l'avait accompli à Vail en 1999. Tout avait bien commencé pour la Slovène avec le titre duSuper G et la médaille d'argent en super combiné,derrière l'Allemande Maria Hoefl-Riesch. laSlovène n'a pris que la septième place sur la descente.

Peu de médailles pour l'AutricheC'est la crise en Autriche, devant leur public, seuls Lizz Goergl et Rommed Baumann en Super Combiné ont pu ramener une simple médaille de bronze. Les espoirs du pays reposent sur MarcelHirscher en Slalom

Des blessés à SchladmingMalheureusement le ski c'est aussi des blessures. Sur le Super G, Lindsey Vonn s'est fait unerupture des ligaments croisés du genou droit avec fracture du plateau tibial suite à une mauvaiseréception lors d'un saut. Rupture des ligaments croisés également pour le Norvégien Kjetil Jansrudqui est tombé lui aussi lors du Super G.

Ski Alpin 

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 Xavier @Xav_Neuner 

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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’Interview de la semaine 

C'est avec un Jacques Monclar en pleine forme que nous avons eu l'occasion de discuter pen-

dant près d'une heure vendredi matin, alors qu'il était en pleine préparation de l'émission NBA

Extra sur BeIN Sport. Intarissable dès qu'il s'agit d'évoquer son sport favori, nous avons effec-tué un grand tour d'horizon de la planète basket ensemble, sans langue de bois.

Bonjour Jacques, comment s’est passé ton intégration à BeIN Sport ?

Jacques Monclar : Très bien. J’ai été remarquablement accueilli par la structure. Xavier Vaution est encharge des sports US et on se connait quand même depuis quelques années. Aucun état d’âme etplutôt ravi d’avoir été accueilli comme ça, par la structure, Charles Biétry, Florent Houzot et Youssef  Al Obaidly, le directeur de la chaîne. C’est un plaisir de bosser ici. C’est quand même nouveau qu’il yait une émission de basket quotidienne d’une demi-heure, même si c’est de la NBA.

Commenter la NBA ne commençait pas à te manquer ?

Non, pas vraiment. Bien sûr que j’adore la NBA, je la suis comme je peux depuis 1977. J’étais en finde contrat avec Canal au mois de juillet. La suppression de l’émission (Canal NBA, ndlr), le fait qu’il yait moins de matchs, qu’il n’y ait plus de NBA, que George (Eddy) soit en CDI, je me disais que j’allaisme retrouver dans une situation difficile, donc j’ai été voir David (Cozette) et une partie de la structure,et j’ai demandé à être libéré.Charles Biétry m’avait fait une proposition de fonctionnement qui m’allait bien en me parlant de NBA,d’aller sur place, l’émission quotidienne, quelques matchs, pas trop de nuits, participer à d’autresémissions comme le club. Puis dans ma vie, j’ai toujours fonctionné comme ça. C’est une manière de

se remettre en question, de progresser. C’est vrai qu’aller commenter de la NBA sur place, comme ditmon fils Julien, 'Papa, tu as commencé ce métier à plein temps il y a cinq ans et demi et tu vas teretrouver en bord de terrain des Finales NBA, du All-Star Game, je ne sais pas si tu te rends biencompte' (rires).

Justement, le All-Star Weekend de la semaine prochaine est le premier événement en direct

que va couvrir BeIN Sport sur place, quel sera le dispositif mis en place ?

On va couvrir le Rising Stars, tous les concours et le match. Nous aurons des caméras privatives doncvous nous verrez, on aura Nicolas Batum avec nous le samedi de façon certaine et peut-être le

dimanche. On va essayer de faire les choses bien, de mettre en boîte des interviews. Moi, j’aimeraisbien qu’on fasse des focus sur Gregg Popovich, même si ça va être délicat, des personnes commeça, qui sont peut-être moins exposées.

On va essayer aussi de présenter, de faire connaître, parce que sur BeIN, il ne faut pas se leurrer, ona une clientèle football à la base.

Jacques Monclar, l’entreen

crédits Panoramic 

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L’interview de la Semaine 

Passons maintenant à l’actualité NBA plus générale. La saison arrive bientôt dans sa partie la

plus importante, est-ce que tu vois des favoris qui commencent à se dégager clairement ? 

C’est difficile, parce qu’il y a l’incertitude Spurs. Sont-ils capables d’enchaîner ? Sont-ils capables, sur des équipes qui vont jouer dur, de faire des séries ? Alors je ne parle pas du premier et du deuxièmetour, mais le fait de mener 2-0 et de faire 0-4 ensuite, c’est quelque chose qui m’interpelle encore.Est-ce que la montée de Tiago Splitter va suffire, est-ce que Tony à maturité va suffire, est-ce que lerepos donné à Manu Ginobili va lui faire du bien, est-ce que Kawhi Leonard et Danny Green vontmaintenir ce niveau de jeu en playoffs, voilà. Sans ça, effectivement, ils ont un profil magnifique enterme de qualité de jeu. Je pense que le défi n’est que physique.

Personnellement, je vois bien OKC, et pas seulement à l’Ouest. Je les vois champions. Si Westbrookreste sous contrôle, OKC a tout pour gagner cette année. Mais la finale San Antonio Spurs/New YorkKnicks m’irait très bien.

Parlons maintenant un peu des Français. Tony Parker effectue encore une saison exception-

nelle, a-t-il une chance de déloger LeBron James et Kevin Durant du haut du classement pour 

le titre de MVP ?

Il peut déjà être cité. Je ne pense pas qu’on puisse le donner à quelqu’un d’autre que Kevin Durantou LeBron James, mais d’être cité c’est déjà une réussite. Si Tony arrivait à être dans le premier cinqNBA, je pense qu’il n’en sera pas loin et je lui souhaite de tout cœur, ça correspond à un titre dechampion du monde. Il me blase en fait. Il est à la période où son shoot est de plus en plus consistant,il est toujours aussi vite, il est en maîtrise totale de sa technique et de la technique collective desSpurs, le tableau est quand même positif (rires).

Passons à Nicolas Batum. Son niveau de jeu prouve que son contrat était mérité, ton avis ?

Ça calme les 'haters', oui. Son potentiel est infini. Ce qui est certain, c’est qu’il assume. Là, il a prisun coup sur le poignet donc il shoote moins, mais il est le liant de cette équipe offensivement. Il estbeaucoup plus consistant au niveau du shoot, beaucoup plus fort au niveau de la lecture. Bon, il atendance à perdre des balles, mais c’est comme ça depuis qu’il est tout petit. Il a toujours été un bondéfenseur, il a les mains rapides, il a de l’envergure, une connaissance du jeu et une connaissancede l’histoire du jeu remarquable. Je l’adore, tout le monde le sait, je ne suis pas toujours le plus objec-tif pour Nico.

Tu suis toujours activement le championnat de France je suppose ?

Non, absolument pas, je n’en ai rien à faire (rires). Je suis le championnat bien sûr. Je le suis d’autantplus que je préside toujours à la commission sportive de la ligue. Et hier soir, j’ai regardé Real/Barça(quart de finale de la Copa del Rey, joué jeudi dernier, ndlr) que j’ai trouvé d’un niveau absolumentsublime.

Est-ce qu’un ou deux favoris commencent à se dégager selon toi ?

Un petit peu. Depuis un mois et demi, on ne peut pas ne pas dire Strasbourg, qui est l’équipe qui jouele mieux. Vincent (Collet) connait la route pour gagner. Après c’est très aléatoire, même si la finale entrois manches gagnantes est une excellente chose. Mais je pense que Chalon va revenir à un bon

niveau, que Gravelines avec (Dwight) Buycks a quand même un joueur dominant, Paris, même si jetrouve qu’ on en a beaucoup trop fait sur Sean May, a quelque chose. Il faut voir comment la greffe(Marko) Keselj va prendre mais Le Mans, au départ de l’année, je les voyais devant tout le monde.Maintenant, une saison c’est long.

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’Interview de la Semaine 

Où se situe le niveau de notre championnat par rapport aux autres championnats euro-

péens ?

Je n’ai pas envie de trop m’exprimer là-dessus. Ce que je sais, c’est qu’on a fait la pire saisoneuropéenne des dernières années. Ce qui m’énerve, c’est que chacun raisonne pour sa cour. Lesyndicat des joueurs est content que les joueurs JFL soient surpayés, les agents qui placent les joueurs étrangers, veulent continuer à en placer cinq… S’il-vous-plaît, passons à quatre,

prenons des joueurs plus forts, ne faisons pas de l’empilage de joueurs. Prenons des mecs quirendent les autres meilleurs. Bien sûr que moi quand je coachais, il y avait un delta de 100 000dollars entre ce qu’on pouvait donner et le minimum NBA. Maintenant, le delta est d’un demi-mil-lion d’euros, donc ce n’est pas la même chose, mais un Delaney Rudd a permis à Laurent Pluvyde devenir ce qu’il est, un David Rivers a développé Laurent Foirest ou Arsène Ade-Mensah demanière considérable et je pourrais continuer. Sans Michael Young, les rôles de Jimmy Véroveet Marc M’Bahia n’auraient jamais pu être obtenus. Essayons d’aller vers ça. Un Blake Schilb, ila permis à Nicolas Lang de passer des niveaux. Allons vers ça. C’est ce qui m’énerve le plus,cet empilage de joueurs. En plus, quand ils sont bons, tu ne leur fait faire qu’un an ou deux. Onest un centre de formation. La réalité, ce sont les résultats européens et ceux de cette année

sont pitoyables, je suis désolé si je suis un peu sévère.

Quelles sont les solutions pour sortir de ce problème des Coupes Européennes où les

clubs français ne brillent plus ?

(Il réfléchit) Être plus dur, plus rigoureux. Notre championnat est sympa parce qu’il est équilibréet ensuite parce qu’il a un côté athlétique, qui fait que c’est assez spectaculaire. Mais les pertesde balle, la rigueur défensive, la dureté, c’est ce qui fait gagner en Europe. Quand je vois deuxéquipes allemandes au top 16, je me dis qu’on est en train de rater le wagon. Je ne vois paspourquoi on ne va pas au Top 16. Dureté, dureté dureté… ça n’empêche pas d’être fun, mais ilfaut être dur, il faut être dur. Et on ne l’est pas assez.

C’est également ce qu’on a reproché à l’équipe de France pendant un temps, et le vent

semble avoir tourné sur les dernières compétitions. Pour l’Euro à venir, l’objectif ne peut

être que le titre ?

Pas que le titre. Monter sur la boîte c’est sûr. Après ce serait bien de valider le bon travail desgamins et de Vincent et son staff par une montée sur la plus haute marche. Maintenant, il y aurales Russes, les Grecs qui sont toujours difficiles à manier, il y aura l’Espagne, il y aura l’Italie, il yaura la Slovénie, les Serbes, Macédoine, Monténégro... C’est une épreuve de longue haleine,une épreuve de trois semaines, il faut voir comment y sera, et si Joakim sera là.

La présence de Joakim Noah est vraiment déterminante selon toi ?

Oui,. Et au-delà de ce qu’il apporte à l’équipe, il y a la dissuasion pour l’adversaire, il y a l’arbi-trage, tout… Ce n’est pas pareil de jouer avec, ou sans Joakim quel que soit le talent immensede Tony, Boris, Nico, Mickaël… Après, il va falloir faire une sélection, et tout le monde va dire lasienne. Certains vont vouloir Evan (Fournier) qui n’a pas joué de l’année et c’est une vraie dou-leur de ne pas jouer à 20 ans. Il faut que Vincent fasse une équipe compatible, que des histoirescomme il est arrivé avec Ali Traoré aux Jeux Olympiques, ça ne se reproduise pas, parce qu’il yest allé blessé, et qu’il aurait peut-être été mieux d’avoir un Rudy Gobert ou un Ludovic Vaty.

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L’Interview de la Semaine 

L’équipe de France féminine va également être attendue cet été.

Là il n’y a pas le choix, il faut gagner, remporter le 3ème titre. Ce qu’elles ont fait aux Jeux… Il vafalloir assumer le fait d’être favori. Quand tu es vice-championne olympique derrière les Ricaines,c’est que tu es la meilleure équipe européenne. Quand tu as mis la rouste qu’elles ont mise auxRusses en demi, ce petit chef d’œuvre... Maintenant il faut savoir qu’en quart on a failli charger contreles Tchèques, qu’il n’y avait pas de marge contre la Gdre-Bretagne, mais oui il va falloir assumer et

ramasser ce titre.L’ampleur médiatique du phénomène Céline Dumerc t’a-t-elle surpris ?

Non, parce que phénomène olympique, parce que personnage plus qu’adorable. Le personnage estfabuleux, elle est tellement belle, nature, et puis les paniers qu’elle a mis… Elle est petite aussi, pour les gens, ça marque plus. Ceci dit, mettre des paniers au buzzer comme ça, elle ne va pas les mettretout le temps. Elle a vécu le négatif, de ce qu’elle avait vécu à l’Euro l’année d’avant. L’esprit olym-pique, la présence des garçons, l’effet Tony aussi, parce que Tony a un charisme naturel, c’est unchef naturel, la belle osmose avec Pierre (Vincent) qu’elle n’avait pas eu de l’année, donc qui lui avaitmanqué. Le fait d’avoir fait le tournoi pré-olympique aussi, et qu’elles aient enchainé, et elle au

premier chef, des bonnes perfs, tout ça a fait qu’on a eu cet espèce de petit bijou de 15 jours.

 Après s’il n’y a pas Emilie sur la planète Mars sur un ou deux matchs, s’il n’y a pas le formidableboulot fait par les soutières, Emmeline (Ndongue), Elodie (Godin), ou ma copine Isabelle (Yacoubou),en tenant compte que la meilleure joueuse dans l’absolu, Sandrine (Gruda) était en-dessous et quec’était une des marges de progression vers la fin. C’était bien de gagner les matchs avec Sandrineen-dessous. Au moment où elle allait mettre le nez à la fenêtre offensivement, elle comme Endy(Miyem), cela allait être une progression. Et quand c’est arrivé, ce sont les Russes qui sont passéesà la caisse.

Il y en a une aussi à qui je voudrais rendre hommage même si Pierre a mis un moment à faire ça.J’adore Edwige (Lawson-Wade). Quand il les a fait jouer ensembles, ça a été une réussite totale.Puis elles ont vécu des trucs quand même, se relever du panier à 15m de Belinda Snell… J’ai faittous leurs matchs avec RMC, et je ne sais pas si je représentais quelque chose pour elle, mais j’étaislà tout le temps, et quand elles sont montées sur le podium, elles m’ont fait un petit signe. Vraiment,elles ont été adorables.Et d’ailleurs, pour finir, je trouve que pour la LFB, le fait que Montpellier soit en tête que Perpignan etLyon apparaissent, c’est très bien.

Pour finir, tu ne ressens jamais l’envie de coacher à nouveau ?

(Il réfléchit) Coach un jour, coach toujours. Pour l’instant je suis engagé dans autre chose. Je neferme pas la porte à ça, parce qu’entre guillemets je n’ai que 55 ans. Il faudrait quelque chose desolide, d’attrayant, et la possibilité de le développer. Pour l’instant je suis engagé avec ce que je fais, j’adore ce que je fais et je ne me pose pas trop cette question. J’en parle parfois avec mes trois filsmais c’est tout. Alors parfois quand je commente, je fais le coach, à me dire, tiens, je ferais ça... Mais je fonctionne en coup de cœur, donc on verra. Je suis engagé avec BeIN, je suis très content et je neme pose pas ces questions. Et quand je vois comment on tourne en rond, comme on est limité enmoyen. Alors évidemment, si on me propose une place de 4ème assistant en NBA, j’y vais en cou-rant. Mais je ne me pose pas la question, j’ai vécu tellement de belles années à gagner quelquesmatchs, à développer des jeunes joueurs, à les accompagner, à vibrer, que je me demande si je

pourrais retrouver tout ça. J’ai été très déçu par certains personnages dirigeants sur la fin de macarrière de coach, par l’influence des agents, de certains dirigeants, les forums détestables… Tout çam’a fatigué et je suis bien là où je suis.

Vincent @Vince_jay 

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Memphis, Tennessee, berceau du blues et villenatale d’Elvis Presley, n’est pas la ville la pluspaisible des Etats-Unis, elle est la quatrièmeville au plus fort taux de criminalité des USA.C’est dans cet environnement difficile et dansun quartier pauvre que Michael Oher a grandi.Enfant d’une fratrie de douze, fils d’une mèredroguée et d’un père qu’il n’a jamais connu etdont il apprit l’assassinat pendant ses années

de lycée, il a commencé à être placé en familled’accueil à partir de l’âge de 7 ans. Il accumu-lera les placements dans différentes famillesd’accueil, totalisant onze écoles lors de sesneuf premières années d’étude.

Las de passer de famille d’accueil en familled’accueil, Michael Oher quitte le système del’assistance publique américaine et alterneentre rue et quelques nuits passées sur les

canapés d’amis. A 16 ans, il intègre une écoleprivée chrétienne de Memphis grâce à uneconnaissance et avec le soutien de l’entraineur du lycée qui décèle en lui un grand potentielsportif au vue de son physique impressionnant,aujourd’hui Oher mesure 1m93 et pèse 143 kg.Dès sa première saison en lycée sous les cou-leurs de la Briarcrest Christian School, il est élumeilleur joueur de ligne offensive (joueur qui apour but de protéger le Quaterback de ladéfense adverse) du championnat local des

lycées.

Malgré cette réussite sportive Michael Oher vittoujours dans une grande précarité. Un coupleblanc aisé, propriétaire de plus de 80 fastfood, Leigh Anne et Sean Tuohy, qui ont deuxenfants, Collins et SJ, à la Briarcrest ChristianSchool, offre à Oher l’hospitalité pour quelques nuits... Il ne quittera jamais cettenouvelle famille, Leigh Anne étant très touché

par la vie difficile qu’a déjà eu à passer Michael alors qu’il a seulement 17 ans. Lafamille Tuohy finira même par l’adopter officiellement.

Grâce à ses brillantes saisons en championnatde lycée, il obtient des offres de grandes univer-sités possédant une équipe dans la plus presti-gieuse ligue universitaire, la NCAA. Il décide d’in-tégrer l’université du Mississippi et de porter lemaillot des Ole Miss Rebels. La NCAA, qui faitpreuve de beaucoup de contrôle et refuse toutprofessionnalisme dans le sport universitaire,ouvrira une enquête à la suite de cette décision,

étant intrigué que Oher choisisse la même facque celle où le couple Tuohy avait été et pour laquelle il faisait des dons. La NCAA craignaitune volonté délibérée des Tuohy d’adopter Michael Oher pour le diriger vers leur université.Cette enquête sera classée et Oher rejoignit bienOle Miss où, à nouveau, il marqua les esprits etreçut les honneurs d’être sélectionné dans leséquipes types de la NCAA élues par les journa-listes.

Cela lui ouvre les portes du professionnalisme dela NFL. En 2009, il fut drafté à la 23ème place par les Baltimore Ravens afin de protéger le Quater-back Joe Flacco, drafté un an avant lui. Lesquatre premières saisons de Michael Oher setraduisent par une qualification en Play-off chaque année. Les Ravens seront stoppés avantd’atteindre le Superbowl, en demi-finale deconférence en 2010 et 2011 et en finale de confé-rence en 2012.

Michael Oher, qui vivait dans la rue à 16 ans, a remporté le 3 février dernier, avec les Baltimore

Ravens, le 47ème Superbowl. Retour sur une trajectoire hors du commun.

Portrait de la Semaine 

Nfl

Michael Oher, de la rue au SuperDome

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Ce destin ne pouvait évidemment pas passer inaperçu aux Etats Unis, pays du Happy end et

des belles histoires par excellence. En 2006, le journaliste Michael Lewis, dans son livre TheBlind Side, décrit l’évolution du football améri-cain et la place primordiale qu’a pris la positionde Left Tackle, celle de Oher, dans la protectiondu Quaterback avec pour fil rouge le récit de lavie de Michael Oher. The Blind Side fut adaptéau cinéma en 2009, le film reçoit deux nomina-tions aux Oscars, une comme meilleur film etl’autre pour Sandra Bullock qui remporta la

statuette de meilleure actrice pour son rôle deLeigh Anne Tuohy. Le film a été largementromancé pour rendre son destin plus extraordi-naire. En effet, dans le film, Michael est présentécomme illettré et n’étant pas capable de jouer aufootball avant d’être recueilli par les Tuohy. Pour rétablir la vérité, Oher coécrit son autobiographie« I beat the odds » paru en 2010.En dix ans, Michael Oher est passé de SDF soli-taire, vivant dans la précarité extrême, à vain-

queur de la compétition sportive la plus populairedes Etats Unis, entouré d’une famille adoptive etd’un contrat annuel de près d’un million dedollars, dans le pur esprit de l’American way of life. Tout est vraiment possible au pays del’Oncle Sam…

En 2013, les Ravens se qualifient pour le 2èmeSuperbowl de leur histoire, 12 ans après avoir 

eu le privilège de ramener le trophée VinceLombardi dans le Maryland en battant les NewYork Giants. Cette fois ce sont les 49ers de SanFrancisco qui les attendent dans le majestueuxSuperdome de la Nouvelle Orléans pour le plusgrand show annuel américain. Cheerleaderspomponnées, pubs exclusives et Beyoncé sontlà pour entourer le second sacre de Baltimore,victoire 34-31, et voir Michael Oher soulevé àson tour le trophée Lombardi à 26 ans.

Portrait de la Semaine 

Nfl

Rudy @Ruudmu49

Teddy Riner au musée Grévin

En marge du tournoi de Paris, Teddy Riner qui a remporté 5 titres de champions du

monde fait son entrée au musée Grévin ce lundi. Le judoka français a une place de

choix puisque sa statue est entourée de Tony Parker et de Sébastien Loeb. Le cham-

pion olympique marque un peu plus l'histoire du sport français en devenant l'une de

ses gures emblématiques à seulement 23 ans.

Insolite !

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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C’est parti ! Les mondiaux de Biathlon à Nove Mesto ont commencé ce Jeudi avec le relaismixte remporté pour la troisième fois d’affilée par la Norvège. Une médaille d’or pour Svendsen en sprint et poursuite, en sprint pour Pidhrushna et … en poursuite. Les Françaistotalisent pour le moment 3 médailles !

La Norvège avec seulement quatre pioches s'est imposée devant la France et la Répu-blique Tchèque. Le quatuor composé de Tora Berger, Synnœve Solemdal, Tarjei Bœ etEmil Svendsen réussit à obtenir sa troisième victoire d’affilée en mixte aux Mondiaux.Mais la France peut nourrir quelques regrets. Alors que Marie-Laure Brunet n'avait pas sonrendement habituel au tir avec deux pioches, le gros relais de Marie Dorin est gâché sur ledernier tir. Alexis Bœuf, parti avec seulement dix sept secondes de retard, réussit à combler l'écart mais lors de son tir debout la France pioche une fois de trop. C'est alors à MartinFourcade de partir avec trente secondes de retard sur le duo Svendsen-Malyshko. Dès letir couché, Martin revient à moins de vingt secondes de la gagne. Malheureusement, Martinne peut assurer le sans faute et la France doit se contenter d'une très belle mais légère-ment décevante médaille d'argent.Sur la troisième marche du podium on retrouve les étonnants Tchèques. Le quatuor Veroni-ka Vitkova, Gabriela Soukalova, Jaroslav Soukup et Ondrej Moravec avec seulement cinqpioches et un relais quasi parfait de Moravec ont réussi l'exploit de monter sur la troisième

marche du podium devant 25 000 personnes quasiment tous acquis à leur cause.Suivent ensuite l'Italie qui prend la quatrième place et la Slovénie qui complète le top 5. LaRussie craque lors du dernier relais et termine sixième devant la Slovaquie, les USA,l'Ukraine et la Pologne.

Biathlon 

 Tableau des médailles :

Norvège :

France :

Ukraine :

Biathlon

Championnats du Monde

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Le Relais Mixte

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Biathlon 

Emil Svendsen a fait main-basse sur les deuxpremières médailles d’or hommes et il necompte pas s’arrêter en si bon chemin ! Avec ses31 victoires toutes compétitions confondues, leNorvégien était le seul à pouvoir tenir tête àMartin Fourcade ce samedi sur le sprint. Avecun 9/10 au tir, il passe l’arrivée au bout de23min25 soit huit secondes devant le FrançaisMartin Fourcade.Celui-ci prend la médaille d’argent. Il aurait pu

gagner s’il n’avait pas manqué une cible lors deson tir debout, laissant son rival de toujours partir devant. Le Slovène Jakov Fak prend une bellemédaille de bronze avec un beau 10/10 au tir.Mais celui qui fait l’exploit, c’est Bjoerndalen ! Lemeilleur biathlète de l’histoire à prouvé qu’il nefallait pas encore le ranger dans la catégorie desoutsiders. Il arrive à une belle quatrième place etse place en sérieux client pour la poursuite dedimanche. Le top 5 est complété par le Russe

Malyshko, auteur d’un 10/10. Alexis Bœuf prend la sixième place. Jean-Guil-laume Beatrix accroche le vingtième rang etSimon Fourcade, après quelques ennuis avecses bâtons sur le pas de tir, se positionne34ème. Seul Simon Desthieux ne pourra partici-per à la poursuite avec sa 68ème position.

Tout s’est joué ce dimanche au sprint et même àla photo finish. Le lancer de pied de Martin Four-cade, pourtant en tête sur le sprint, n’est malheu-reusement pas suffisant pour le Catalan qui doitencore se contenter de l’argent pour 0.1se-conde.Emil Svendsen prend ainsi la dixième médailled’or de sa carrière avec un beau tir à 19/20. Sondauphin Français réalise quant à lui un 18/20. LeRusse Anton Shipulin complète cette boîte avec

un 19/20.Malyshko et Landertinger complète le top 5grâce à leur 20/20. Notons que Malyshko s’estbattu longtemps pour la gagne avant de bloquer et lâcher le peloton de tête.Côté Français, Alexis Bœuf réalise une bellehuitième place avec un 18/20. Simon Fourcadetermine 23ème malgré 3 fautes au second tir couché. Heureusement, il n’a pris aucun autretour de pénalité. Jean-Guillaume Beatrix échoue

quant à lui au 26ème rang, la faute à un déce-vant 16/20.

Biathlon

crédits IBU 

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Le Sprint Hommes La Poursuite Hommes

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Biathlon 

Surprise ce samedi à Nove Mesto ! Grâce à un tir 

sans faute, l'Ukrainienne Olena Pidhrushna s'estimposée devant l'archi favorite Tora Berger qui atiré à 9/10. Le podium est complété par sa com-patriote ukrainienne Vita Semerenko auteur elleaussi d'un tir à 10/10.Le duo russe Olga Zaitseva et Olga Vilhukinacomplète le Top 5 en prenant respectivement laquatrième et la cinquième place. Sixième placepour l'Allemande Miriam Gössner. La PolonaisePalka prend la septième position devant la Nor-

végienne Ann-Kristin Flatland huitième. LaFinlandaise Mäkäräinen termine neuvième. Lapremière Tchèque Veronika Vitkova complète leTop 10.Du côté des Tricolores, beau tir groupé avec la16ème place de Sophie Boilley, le 18ème rangde Marie Dorin-Habert, les 20ème et 26èmepositions d’Anaïs Besonc et Marie-Laure Brunet.Concernant les autres favorites, l'Allemande Andrea Henkel a pris la 33ème place avec un tir 

à 7/10. Grosse contre-performance pour laBiélorusse Darya Domracheva qui, avec cinqfautes sur le pas de tir, n'a pris que la 43e place.La Finlandaise Mari Laukkanen a pris la soixan-tième et dernière place qualificative pour la pour-suite prévue dimanche.

Tora Berger remporte l’or de la poursuite. Avec

un 17/20 elle devance la Polonaise KrystinaPalka et l'Ukrainienne Olena Pidhrushna qui onttiré à 18/20. La Russe Olga Zaitseva prend laquatrième place mais la Russe aurait pu espérer mieux puisqu’elle était en tête avant le dernier tir.Très belle remontée de la Russe Ekaterina Gla-zyrina et de l'Allemande Andrea Henkel quigrâce à un sans faute ont pris la cinquième et lasixième place alors qu'elles partaient respective-ment 27ème et 33ème de la poursuite. Ann Kris-

tin Flatland termine à la huitième place devant lapremière Tchèque Veronika Vitkova, neuvième.La Finlandaise Kaisa Mäkäräinen complète letop 10 avec un tir à 16/20.Du côté des Françaises, c’est la onzième placepour Marie Laure Brunet, la seizième pour MarieDorin. Anais Bescond passe la ligne à la 23èmeplace et Sophie Boilley à la 28ème.Du côté des favorites, la Slovaque AnastasiyaKuzmina prend la quatorzième place avec un tir 

à 16/20. 4 tours de pénalité aussi pour la Biélo-russe Darya Domracheva, vingt-cinquième. Avec six erreurs sur le pas de tir, l'AllemandeMiriam Gössner termine à une bonne 21èmeplace.

Biathlon

Marine@MarineBK24

 Xavier @Xav_Neuner 

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Le Sprint Femmes La Poursuite Femmes

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Ski Nordique 

SKI nordique

Samedi, Björn Kircheisen(all) s’impose devant Akito Watabe(jap) et Christoph Bieler(aut). Les

leaders du général, l’Allemand Frenzel et leFrançais Lamy-Chappuis, ont fait l’impasse ceweek-end pour s’entraîner avant les mondiauxde Predazzo qui débuteront le 23 février prochain.Les Français présents terminent 26ème, 30èmeet 34ème. De bonnes places pour GeoffreyLafarge, Nicolas Martin et Samuel Guy.

 

Christoph Bieler remporte la deuxième et

dernière compétition du week-end dimanchedevant Akito Watabe et le Tchèque MiroslavDvorak. Au général, Eric Frenzel garde la tête avec 754points, Lamy-Chappuis est second avec 653points et Bernhard Gruber troisième avec 568points.

L’épreuve par équipe samedi voit la Slovénies’imposer avec le quatuor Tepes-Hvala-Pre-vc-Kranjec. La Norvège prend la deuxièmeplace devant l’Allemagne. L’Autriche ne

termine que 4ème et son règne sans partagesur les compétitions par équipe semble bel etbien terminé.

La compétition individuelle de dimanche aquant à elle été annulée pour cause de venttrop fort.

Zao

 Après l’annulation des qualifications et de lapremière compétition vendredi et samedi pour cause de vent trop fort, les sauteuses ont enfinpu prendre le départ pour deux compétitionsau Japon. Sara Takanashi réalise l’exploit enraflant les deux victoires devant son public etconforte son avance au général. Les Fran-çaises ont fait l’impasse sur ce concours auJapon pour se préparer pour les Mondiaux dePredazzo.

 Au général, Sarah Hendrickson et JacquelineSeifriedsberger sont repassés devant ColineMattel.

Iron Mountain

La COC masculine se déplaçait aux USA ceweek-end ! Le Norvégien Bjerkeengen rem-porte la première compétition et le Slovène Anze Semenic la seconde. Aucun Français n’a

Marine@MarineBK24

Le Week-end Nordique

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Football 

FOotball

Le club parisien et la firme américaine sontactuellement en pourparlers concernant lareconduction du contrat qui les lie jusqu’en2015.

L’équipementier Nike, qui sponsorise le PSGdepuis 1989 (qui était alors en Adidas), sou-haite bien évidemment garder dans son gironle club dont le monde du football parle le plusactuellement. Nike, qui a déjà perdu le contratavec Arsenal qui sera chez Adidas à partir dela saison 2014/2015, dispose de peu de margede négociation face à des propriétaires qatarisqui ont de nombreux arguments à faire valoir.Personne ne peut y échapper : le PSG est leclub à la mode, le club dont tous les médias,sportifs ou non, parlent. Les joueurs vedettess’accumulent et les nouvelles recrues viennentenrichir un effectif que l’on peut placer auniveau du TOP 10 européen. Les ventes demaillots ne cessent d’augmenter en France,mais aussi et surtout à l’étranger, où le PSGprend une réelle envergure. Pour illustrer cela,lors de l’arrivée de David Beckham, le PSGavait ainsi floqué près de 30,000 maillots pour faire face à la demande (prix de vente public :

110€). 

Le PSG, actif sur plan sportif, n’est pas en restesur le plan économique : le contrat avec QTA(Qatar Tourism Authority) va lui rapporter plusde 200 millions d’euros par an et le renouvelle-

ment du contrat avec Fly Emirates lui rapporte-ra environ 25 millions par saison (Sponsor mail-lot le plus cher de France, loin des 65 millionsque versera Chevrolet à Manchester United).La marque PSG est un actif en plein essor etles entreprises qui souhaitent s’y associer seplient désormais aux exigences des proprié-taires qui ne souhaitent pas brader la valeur perçue de leur club.

Comment Nike mène-t-il les négocia-tions ?

 Après la grosse revalorisation des contrats duPSG comme nous l’avons vu précédemment, ladirection du club souhaite désormais s’attaquer à l’épineuse question de l’équipementier. Aujourd’hui, Nike verse autour de 6 millionsd’euros par saison. Bien entendu, les dirigeantstrouvent que ce montant est désormais trop

faible, ce qu’ils ont fait savoir auprès du «Swoosh ». Ils estiment être en droit de réclamer des montants équivalents à des clubs commele FC Barcelone, le Real Madrid ou Manchester United.

PSG : Nike ou Burrda futur équipemener ? 

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Football 

Pour avoir un ordre d’idée, ces clubs perçoiventen moyenne une somme allant de 30 à 40millions d’euros de la part de Nike ou Adidas.

Nike a la balle entre ses mains : soit la marqueaccepte les conditions (la somme qui est annon-cée est de 30 millions par saison), soit le PSG sedonne le droit d’aller voir ailleurs pour obtenir demeilleures offres.

La menace Burrda

La revalorisation que demande le PSG, uncontrat multiplié par 5, parait trop grande pour que Nike accepte sans rechigner. Il y aura dansles jours à venir des négociations entre Nike et le

PSG pour voir les points sur lesquels la négocia-tion peut avoir lieu. Seulement, il ne faut pasoublier qu’il y a un facteur X dans cette négocia-tion : l’équipementier Burrda. Cette marque, quiappartient au groupe suisse Pilatus Sport Mana-gement SA, a pour particularité d’être presqueexclusivement détenu par un fond d’investisse-ment du Qatar, lui-même étroitement liée à l’ac-tuel propriétaire du club parisien. Les bruits decouloir nous portent à croire que Burrda va jouer 

sa carte à fond pour obtenir enfin une vitrine quilui manque tant sur le plan international.

Quoi qu’il advienne, la décision devrait êtreprise rapidement. La situation pourrait mêmes’éclairer dans quelques jours. Le PSG qui,

depuis sa création, a été habillé seulement par trois marques : le Coq Sportif (en deux phases:1970-1975 et 1976-1986), Adidas (égalementen deux phases: 1975-1976 et 1986 -1989) etNike (1989 à aujourd’hui) pourra-t-il ajouter unquatrième équipementier à sa collection ?

FOotball

Kevin@KevinG_89

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Le club sarthois recherche de l'argent. En

effet, il manque sept millions d'euros au

club présidé par Henri Legarda pour finir la

saison. Déjà en difficulté en début de saison,la DNCG n'avait autorisé le club sarthois à

 jouer en Ligue 2 que quelques jours avant le

début de saison, les Manceaux ne sont pas

encore sortis de l'affaire...

Depuis septembre, le club a fait des économies,réduction de moitié du loyer du MMArena,baisse de la masse salariale de 1,6 millionsd'euros et de 2,5 millions d'euros les frais defonctionnement. Le club cherche toujours àvendre La Pincenardière leur centre d'entraîne-ment pour deux millions d'euros. Cependantcela n'est pas suffisant et sans nouvelled'argent, le club pourrait déposer le bilan à la findu mois.

Comment en est-on arrivé là ?

Le Mans, alors en L1 s'est lancé dans laconstruction d'un grand stade pour remplacer le

vétuste Stade Léon Bollée. Le club capitalisaitsur leurs bonnes performances sportives etsurtout les bonnes pioches au niveau du recru-tement. Romaric, Gervinho, Sessegnon...tousses joueurs ont permis à Le Mans de se stabili-ser en L1 tout en réalisant de confortables plusvalues financières. Cependant ce modèle n'apas continué et les performances de certainesrecrues n'ont pas été aussi élevées que celle deleurs prédécesseurs. Tout cela s'est terminé par 

la descente du club il y a trois saisons. En L2, lestade est un handicap pour la ville. Les specta-teurs ne se bousculent pas pour un Le Mans -Nîmes par exemple et les affluences espéréesde 15 000 personnes ne sont pas là. Le Mans amanqué en 2011 la remontée immédiate en L1et avec la baisse des droits TV, le club a mis dutemps à baisser son train de vie. Les difficultésdu Mans traduisent le mal du football françaisou mis à part le PSG, tous les clubs se serrent la

ceinture et économisent le moindre centime.

La ville du Mans se saisit de la question.

La municipalité du Mans organise ce jeudi un

conseil municipal pour discuter du statut duMans. Racheter la pincenardiere ? Organiser lareprise du club par un investisseur ? Ces ques-tions seront débattues lors d'une réunion prési-dée par le maire PS du Mans Jean-Claude Bou-lard. En cas de faillite du club, la ville devraitalors assumer seule la facture de plusieursdizaines de millions d'euro du MMArena, le nou-veau stade situé près du circuit des 24h.

Des solutions ?

Sachant que les fortunes mancelles tel queClaude Hervé président du conseil de surveil-lance du club de basket du Mans ne souhaitentpas investir dans le football, la ville ferait un effortpour sauver le club. Le Mans Métropole achète-rait pour deux millions le centre d'entraînementdu Mans FC. Une rumeur parle aussi d'unereprise partielle du club par le businessman

Michel Moulin fondateur du journal Paru Vendu.Michel Moulin travaillerait en lien avec leprésident Henri Legarda pour redresser financiè-rement le club tout en apportant quelquesmillions.

Quel avenir pour Le Mans si le club

n'est pas sauvé ?

En cas de scénario catastrophe, tout comme

Geugnon ou Strasbourg, la SASP serait dissouteavec toutes les conséquences sur les contratsdes joueurs et les emplois associés au club. Lasection amateur du club resterait et le club repar-tirait alors en CFA 2 ou en DH.

FOotball

Football 

 Xavier @Xav_Neuner 

Le Mans, au bord du gouffre...

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Sponsoring : WED'ZE devient partenaire officiel des

Winter X Games Tignes 2013! 

Pour l'édition 2013 des X Games de Tignes, Wed’ze s’engage comme "parte-naire officiel" de l'évènement. C'est une nouvelle étape pour la marque aprèsavoir été "fournisseur officiel' l'année dernière.Pour Wed’ze, cet évènement unique sur la planète Freestyle est "une occasionen or de partage d’expériences entre passionnés de sports de glisse et équipestechniques." Une démarche qui s’inscrit dans la philosophie de la marque, pour laquelle "l’échange avec les pratiquants est à l’origine de la conception desproduits". Au sein du showroom X Fest, la team Wed’ze vous attendra au sein dushowroom X Fest pour:

• découvrir en avant-première sa nouvelle collection hiver 2013-2014.• échanger avec les équipes techniques et leurs riders (Marie Martinod,

 Alexia Le Droumaguet et Antoine Blanchi)• tester les produits du coté du X Park!

Réservez de ce pas vos dates! (du 20 au 22 mars prochain).

Des nouveautés digitales au PSG ! 

Le PSG lance une application Ipad dédiée à la Ligue des Champions!  A quelques heures des 8ème de finale de la Ligue des Champions, le PSG nous dévoile lapremière application officielle, pour Ipad, d'un club dédiée à cette compétition. (Disponible en Anglais et en Français)Les supporters du Paris Saint-Germain peuvent dès maintenant plonger au cœur de l’UEFAChampions League et suivre le parcours du Club grâce à cette application du ParisSaint-Germain. Elle propose notamment:• Le calendrier, les résultats et les classements de la phase de groupes à la finale.

• Les statistiques et les classements individuels.

• Les compositions d’équipes en temps réel les soirs de matches du Paris Saint-Ger -main.• Un Live commenté minute par minute des matches du Paris Saint-Germain.

• Les réactions d’après-match en vidéo.

• Un fil info sur le compte Twitter officiel du Club.

L’application PSG UEFA Champions League sur iPad vous permettra également:• La possibilité de voter pour l’homme du match.

• Des jeux et concours avec « My Compo », « My pronostics » et « My Player »

La Semaine Sport Business 

sport marketing18

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Intersport devient le détaillant officiel de la FIBA jusqu'en

2015

La FIBA et INTERSPORT viennent d'annoncer la signature d'un accord de partenariat mondial.Intersport devient ainsi "le Détaillant Sportif Officiel" de la FIBA pour l'ensemble de ces compéti-

tions jusqu'en 2014.INTERSPORT aura les droits sur les licences des produits et exploitera les boutiques officiellespour la vente de marchandises.Le secrétaire général de la FIBA, Patrick Baumann a expliqué que la "FIBA est ravie d'avoir conclu ce partenariat avec INTERSPORT. Cette coopération représente une étape importantepour l'activation des compétitions FIBA de détail et nous nous réjouissons à l'apparition d'unegamme complète de produits sous licence événement. La FIBA est fier de pouvoir compter sur l'expérience et une grande compétence du leader de la distribution d'articles de sport."Franz Julen, PDG de IIC-INTERSPORT International Corporation a quant à lui déclaré que "LeBasket-ball est un sport dynamique et authentique bénéficiant d'une popularité sans cesse

croissante et INTERSPORT est synonyme de l'autorité des experts, l'authenticité, l'expansioninternationale et une passion pour le sport. Compte tenu de cette compatibilité, nous sommesenthousiasmés par les perspectives de ce partenariat avec l'instance mondiale régissant lebasket-ball. Cette coopération avec la FIBA est l'un des principaux piliers de la stratégie desponsoring dans le monde entier d'INTERSPORT."

La FFR dévoile les premières photos de son Grand Stade! 

e Comité Directeur de la FFR a retenu le groupement de Maitrise d’œuvre « Populous » et « Ateliers 2/3/4 » pour la conception du Grand Stade FFR. Après plusieurs mois de dialogue compétitif, la Fédération Française de Rugby a fait son choixet passe une étape supplémentaire dans un dossier essentiel pour son avenir. Des rêves aux

actes, il n’y a qu’un pas qui vient d’être franchi puisque désormais, les supporters peuvent mettredes images sur le futur « jardin du rugby français » !Pierre Camou, Président de la FFR : « Aujourd’hui, nous avons franchi une étape fondamentalequi concrétise une ambition forte et un projet indispensable pour la FFR, lui permettant d’êtreautonome et maître de son avenir. Désormais nous savons à quoi ressemblera ce « jardin durugby français », notre futur outil de travail… une Aréna moderne, innovante et multifonction-nelle, qui s’implantera parfaitement dans le paysage sportif national et international ».Serge Blanco, vice-président de la FFR en charge du projet : « Les trois projets étaient tousd’une grande qualité technique, alliant innovation et esthétisme. Mais il a fallu faire un choix. Laproposition faite par « Populous » et « Ateliers 2/3/4/» s’est révélée être la plus adaptée pour 

répondre aux objectifs que nous nous sommes fixés à moyen et long termes. Elle correspondparfaitement à l’idée que nous nous faisions du stade multifonctionnel par excellence ».

Humeur de la semaine ! 

sport marketing 19

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Sponsoring : Reconducon du partenariat entre la RATP et 

la FFR

La RATP, présente aux côtés de la Fédération Française de Rugby et du XV de Francedepuis 2005, renouvelle son partenariat jusqu’en 2016. Les actions de la RATP dans lerugby en 2013 seront déployées autour de trois axes : valoriser les savoir-faire de l’entre-prise, animer le réseau RATP et mettre en place des opérations citoyennes.Le coup d’envoi sera donné dès le 19 février avec le Rugby Park RATP, 4 jours d’animationsau coeur de la station Auber pour découvrir le rugby. Ci dessous le partenariat dans le détail.

La mise à disposition d’un car haut de gamme pour le XV de France

En tant que Fournisseur Officiel, la RATP continuera à mettre son savoir-faire de transpor-teur au service de la Fédération Française de Rugby. Lors de chaque déplacement enFrance la RATP mettra à disposition des joueurs du XV de France un car haut de gammeéquipé sur mesure. Les délégations étrangères jouant contre le XV de France seront égale-ment prises en charge par la RATP, lors de la tournée d’Automne.« Je suis très sensible à la confiance que vous nous accordez depuis 2005 et vous félicitepour la parfaite prise en charge du transport du XV de France et des équipes étrangères toutau long des tournées des matches de Novembre », s’est réjoui Pierre Camou, Président dela Fédération Française de Rugby.Depuis le début du partenariat, plus de 100 000 kms ont été parcourus par le car du XV deFrance

Le Rugby Park RATP, 4 jours d’animations à la station Auber, du 19 au 22 février 2013 A l’occasion du tournoi des 6 Nations et quelques jours avant le match choc Angleterre /France, la RATP propose à ses voyageurs une véritable immersion dans l’univers du rugby,avec la 7ème édition de son Rugby Park.Pendant 4 jours, du 19 au 22 février, « Tout devient ovale à la station Auber» (RER A) : dansun espace dédié de 250m2 dont la scénarisation a été entièrement renouvelée, des anima-tions gratuites sur le thème du rugby viendront agrémenter les trajets des passionnés derugby comme des néophytes. Le Rugby Park RATP est un rendez-vous ludique et participa-tif incontournable pour les voyageurs et une vitrine pour le rugby français.

Chaque année, 8 000 voyageurs sont initiés au rugby dans le cadre des animations duRugby Park RATP

Une nouvelle édition des « Mercredis du Rugby »

Le 27 mars 2013, la RATP donnera le coup d’envoi de la 7ème édition des « Mercredis duRugby ». A travers cette opération, la RATP va à la rencontre des jeunes collégiensd’Ile-de-France pour promouvoir le « mieux-vivre ensemble » dans les transports, en s’ap-puyant sur le rugby et ses valeurs de respect, d’esprit d’équipe et de partage.Traduction concrète de la lutte menée par l’entreprise contre les incivilités, les « Mercredisdu Rugby » sont une opération phare de la politique de prévention RATP.Depuis sa création en 2007, 3 000 jeunes ont été sensibilisés au « mieux vivre ensemble »et au rugby grâce à l’opération.Une action pérenne qui a été récompensée dans la catégorie« Engagement citoyen » par les professionnels du marketing sportif lors des Trophées Spor-sora en 2012.

Humeur de la semaine ! 

 Amandin@SportBizzetMoi 

sport marketing20

7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Sports US 

NBA

Pour la première fois, deux Frenchies sontsélectionnés au NBA All Star Game, dont l’édi-tion 2013 se tient dimanche 17 février. Tony

Parker et Joakim Noah font partie des rempla-çants, respectivement sélectionnés à l’Ouestet à l’Est.« Allo Houston… Tout va bien ! » Qui l’aurait

cru voilà seulement à peine plus de cinq ans ?En 2007, Joakim Noah est drafté après avoir réussi le doublé à l’université et Tony Parker arrache tout sur son passage : deuxième parti-cipation au All Star, troisième titre NBA glâné etauréolé du trophée de MVP (meilleur joueur)

des finales. Les deux hommes font aujourd’huipartie des meilleurs à leur poste et participe-ront donc, légitimement, au match des étoiles2013, qui se déroulera dimanche 17 février dans l’antre des Houston Rockets. Deux Fran-çais sélectionnés pour l’évènement, c’est unepremière !Une nouvelle que le meneur des San AntonioSpurs a ainsi commenté, réjouit : « C’estincroyable pour le basket français d’avoir deux joueurs présents à cette grande fête du basket.

Félicitations à Joakim, il a une carrièreincroyable. Il est parti de rien et finalement, il aremporté deux titres universitaires et il estaujourd’hui All Star. C’est vraiment impression-nant. Maintenant, soyons fous et espéronstrois Français pour l’année prochaine avecNico (Batum). » Un rêve qui pourrait peut-êtrebien se réaliser…

Parker réalise peut-être la meilleure

saison de sa carrière

En attendant la véritable explosion de Batum,Tony Parker, lui, réalise sans doute la meilleuresaison de sa carrière. Elu meilleur joueur de laconférence Ouest en janvier, le Français, en plusd’aligner plus de 20 points et 7 passes décisivesde moyenne, est devenu le véritable patron de safranchise, devant les vieillissants (maisinusables) Tim Duncan et Manu Ginobili. C’est àlui que Gregg Popovich, l’entraîneur, a donné lesclés du camion texan, qui présente actuellement

le meilleur bilan de toute la ligue. Retenu parmiles remplaçants pour cette édition du All Star Game, Parker, s’il poursuit dans cette voie, peutprétendre à une nouvelle place dans le meilleur cinq majeur de la saison à défaut d’être élu MVP,en dépit du fait qu’il soit cité parmi les outsiders.

Joakim Noah, le boss de la raquette

Son compère des Bulls de Chicago, Joakim

Noah, effectue lui aussi la meilleure saison de sa jeune carrière. En NBA depuis2007, le grand «Jooks » a mûri, s’est affirmé et a progressé. Lesdébuts difficiles, les critiques, les problèmesextra-sportifs sont terminés. Le pivot fait lui aussipartie des plus forts européens de la ligue. Sco-ring, leadership, défense, ce gobeur de rebondsaux mains d’argent fait également partie, commed’autres avant lui (Arvydas Sabonis, VladeDivac), de cette catégorie de « grands » euro-

péens à la qualité de passe exceptionnelle.Il participera à son premier All Star Game, unmatch où soufflent le show et le spectacle, passes premières qualités : « C’est vrai que je nesuis pas le joueur le plus spectaculaire, loin de là,mais je ne vais pas changer mon jeu pour cetévénement. Je suis un guerrier qui aimedéfendre et travailler pour les autres, c’est manature, c’est comme ça. Je vais jouer ce matchen gardant le même philosophie de jeu et enessayant de profiter un maximum de l’événe-

ment. Je veux gagner, encore et toujours, et jevais tout faire pour aider mon équipe à battre lasélection de l’Ouest », a-t-il confié à L’Equipe.Fr.

 All Star ... France ! 

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Sports US 

NBA

Le retour de Dream Tim

Noah pourra compter sur le soutien de soncompère des Bulls, Luol Deng, pour tenter defaire triompher la sélection de l’Est, privée dumeneur de Boston, Rajon Rondo, blessépour la saison. Une sélection classique, oùl’on note les absences de Deron Williams(Brooklyn) et, une nouvelle fois, de JoshSmith (Atlanta), ou encore du dinosaure desCeltics, Paul Pierce. Son frère au sang vert,Kevin Garnett, est dans le cinq mais ne faitpas l’unanimité.

 A l’Ouest, c’est l’absence de Stephen Curry quifait tâche. Le feu follet des Golden State Warriorsest clairement l’oublié de cette édition. Il auraitmérité de prendre la place de son coéquipier David Lee, même si ce dernier n’a pas volé sonstrapontin. Contrairement à Blake Griffin, lui dansle starting five, joueur surcoté mais, il est vrai, au jeu très spectaculaire. Aux côtés du « Quake »,son coéquipier Chris Paul, Kobe Bryant, DwightHoward ou encore, le Spur Dream Tim Duncan,qui fait son grand retour après avoir manqué le

 All Star précédent, le premier de sa carrière.

Cinq majeur de l’EstRajon Rondo (blessé, remplacé numériquement par Brook Lopez) -Dwyane Wade - LeBron James - Car-melo Anthony - Kevin Garnett

RemplaçantsChris Bosh - Tyson Chandler - Luol Deng - Paul

George - Jrue Holiday - Kyrie Irving - Joakim Noah

Cinq majeur de l’OuestChris Paul -Kobe Bryant - Kevin Durant - Blake Griffin-Dwight Howard

Remplaçants

LaMarcus Aldridge - Tim Duncan - James Harden -David Lee - Tony Parker - Zach Randolph -RussellWestbrook

Damien@Damien_Nore

NB : Nous avons appris ce matin que Joakim Noah et Tim Duncan restaient incertains pour le All Star Game.

Usain Bolt au All Star Game

La star de l'athlétisme participera au match des célébri-

tés lors du All Star Week End à Houston. Ce grand fan

des Boston Celtics sera entouré d'ancien joueurs de la

NBA comme Clyde Drexler ou encore DikembeMutombo et de joueuses de la WNBA. Des stars de la

télévision et du cinéma seront également invités à

fouler les parquets. Usain Bolt qui aime se donner en

spectacle devrait être comblé par ce gigantesque

show.

Insolite !

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7/29/2019 AllSportsFrance Mag #2

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Rugby 

Tournoi des 6 naons

6 nations

 Alors que les matchs de novembre semblaientprometteurs en vue de ce tournoi, la France estdésormais dernière avec 2 défaites et surtoutla pire attaque. Aujourd’hui nous sommesmême en droit de nous poser la question de lacuillère de bois avec le calendrier qui attend les

Français ...

Une attaque en berne

Samedi, les temps de jeu auraient pu durer  jusqu’au bout de la nuit, les Bleus n’auraient jamais marqué. La faute à une attaque stérileet complètement désordonnée. Le désordrec’est bien le mot qui revient pour caractériser les lancements de jeu français. Aucun franchis-

sement de la ligne d’avantage, soutien enretard, une charnière en totale manque d’inspi-ration et qui paraissait perdue lorsque l’ondépassait les 4 temps de jeu, la redistributionsur la largeur approximative et lente ainsi qu’un jeu au pied médiocre. Une salade indigeste.Les Gallois n’étaient pas non plus à la fête et lapremière mi-temps fut d’une piètre qualité.Pour le spectacle on repassera.

Une défense rassurante

 Alors que l’attaque était en berne, la défensefut, elle, plus rassurante que le samedi précé-dent. Un pack toujours très actif bien aidé par une troisième ligne présente (sans être sensa-

tionelle) ainsi que la présence de Bastareaudpour contrer les percutions des solides centresgallois ont permis aux Français de tenir jusqu’àla 72ième minute et l’une des seules opportuni-tés des Diables Rouges. Les Bleus avaient eucette opportunité en début de match avant queHuget ne «bouffe» un 2 contre 1 d’école. Autrelégère satisfaction, la conquête. Les touches,point faible des Bleus en Italie, ont été corri-gées, la mêlée beaucoup plus dominatrice que

face aux Azzuris bien que l’arbitrage fut parfoisincompréhensible. Ceci ne suffira pas dans unmatch que les Français n’ont jamais réussi adominer totalement...

Alors que les Français restaient sur une défaite inaugurale à Rome, on les attendait revan-

chards et surtout plus enthousiastes, il n’en a rien été. Nouvelle défaite face au Pays de Galles

16-6, la deuxième en 2 matchs ce qui n’était pas arrivé depuis 1982 en ouverture de Tournoi !

Les Bleus voient Rouges

 Adrien@AdrienV12

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La guerre d’indépendance irlandaise, la TanWar ou la guerre anglo-irlandaise, appelez-lacomme vous voulez, c’est du passé. Depuis ledébut du Tournoi, les Anglais raflent tout sur leur passage. Ils avaient, dimanche après-mi-di, l’occasion de braquer l’Aviva Stadium, et ilsn’ont pas hésité. D’entrée, le combat fait rage. Les grandsblancs pâles sont opposés à d’autres grandspâles, mais roux. Les clichés, eux aussi, sontprésents. Bien installés au dernier rang del’arène, ils regardent les minutes défiler. Auniveau du score, à la pause, on peut penser 

que l’ennuie est presque aussi grand que lorsde France – Pays de Galles. Mais il n’en estrien. Du jeu, de l’envie et de la détermination,les visiteurs ne sont pas venus en simplesspectateurs. De chaque côté, la défense tientbon. Mieux armés (pas comme pendant laguerre d’indépendance), les coéquipiers deChris Ashton font sauter les soldats adverses.Simon Zebo, Jonathan Sexton et Bryan O’Dris-coll cèdent tour à tour leurs places. En face,

c’est costaud. Élevés aux hormones et auxpesticides, les Anglais ne rechignent sur aucuncontact. Mieux, ils avancent sur chacun d’entreeux. Digne d’un grand Narbonne – La Seyne,les visiteurs mènent 6 – 0 après 40 minutes de jeu. 

Une affaire d’hommes Dans les travées de l’Aviva, la tension monte.

 Alors que certains évacuent leur trop plein debière et que d’autres continuent de chanter,ivres jusqu’au lendemain soir, le score évolue.Monsieur O’Gara est entré en jeu pour supplier le jeunot et convertit deux pénalités. L’heure de jeu arrive, les Irlandais recollent au score et les Anglais sont à 14 après le carton jaune deJames Haskell. On se dit que le match va bas-culer. Mais les homes vêtus de blancs passenten mode « Je suis le maître de mon destin, jesuis le capitaine de mon âme ». Partant de là,

plus rien ne peut leur arriver. En inférioriténumérique, ils inscrivent six points. Le score estalors de 12 à 6 (66e). Le tableau d’affichagen’en peut plus, l’électricité se faire rare dans lacontrée irlandaise, il est temps de stopper lesdébats. On déclare les Anglais gagnant auxpoints. Solides en conquête et dominants enmêlées, les coéquipiers de l’antipathique JoeMarler s’imposent au courage. Aucun doute,s’ils jouent à ce niveau là, face à une équipe de

France endormie la semaine prochaine, lescore sera lourd, très lourd. Mais on vousrassure, pas autant que ce que supportent lessupporters de l’Aviron Bayonnais chaqueweek-end.

Florian@Florian_DA

Rugby 

L’Angleterre annexe l’Irlande

6 nations24

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Judo 

Tournoi Internaonal de Paris Bercy 

Comme à son habitude, ce tournoi a été de très bonne facture.

Les nouvelles règles ont eu un impact réel sur la durée des combats, qui ont été plus dyna-

miques. Rares ont été les combats se terminant à la mort subite.

On a ainsi assisté à un retour en force du judo originel, et il n'est pas surprenant de constater que le Japon en a profité pour rasseoir son autorité sur les tatamis !

Malgré tout, c'est la France qui remporte le tableau de médailles au nombre de médailles d'or.

Certains pourtant n'ont pas encore tout intégrer ce qui a donné lieu à de nombreuses sur-

prises, même si globalement, les vainqueurs sont tous de beaux vainqueurs.

Le tableau des médailles :

1 France 5 Or 1 Argent 2 Bronze

2 Japon 4 Or 1 Argent 10 Bronze3 Mongolie 1 Or 2 Argent 1 Bronze4 Pays-Bas 1 Or 1 Argent 2 Br.onze5 Géorgie 1 Or 1 Argent 1 Bronze6 Ouzbekistan 1 or 1 Bronze7 Corée 2 Argent 4 Bronze

Les Podiums Français:

-48 Kg Dames :

1 Haruna Asami (Jpn)2 Laetitia Payet (Fra)3 Maria Celia Laborde (Cub)3 Urantsetseg Munkhbat (Col)

Laetitia Payet c'est officiel, a pris les commandes de sa catégorie en France. Elle a fait un très beauparcours, éliminant la championne olympique en titre et une Japonaise très forte. Elle s'incline enfinale sur la championne du monde en titre contre qui elle n'a pas (encore) su trouver la solution.

-57 Kg Dames :

1 Automne Pavia (Fra)

2 Anzu Yamamoto (Jap)3 Loredana Ohai (Rou)3 Nae Udaka (Jpn)

 Automne Pavia a mis son empreinte sur la catégorie, c'est certain. Elle a remonté le tableau sanstrop de difficulté. Elle s'est offert le luxe de terminer sa journée par un superbe Ippon sur la japonaiseà 40 secondes de a fin de son combat alors qu'elle était menée.

-63 Kg Dames :

1 Clarisse Agbegnenou (Fra)

2 Anicka Van Emden (Ned)3 Miki Tanaka (Jpn)3 Kana Abe

C'est un vrai coup de tonnerre de retrouver notre française titrée. Elle a bien profité de la défaiteprématurée de Gévrise Emane pour s'imposer comme future grande française de la catégorie.

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-70 Kg Dames :

1 Kim Polling (Ned)2 Kelita Zupanic (Can)3 Lucie Decosse (Fra)3 Laura Vargas-Koch (Ger)

Kim Polling a véritablement fait le ménage dans le tableau, éliminant Lucie Décosse et en finissanten finale par une immobilisation à montrer dans les écoles de judo ! Cela ressemble fort à une pas-

sation de pouvoir. La française a tout de même eu le mérite de remonter les repêchages pour décrocher le bronze pour son dernier tournoi de Paris.

-78 Kg Dames :

1 Lucie Louette (Fra)2 Akari Ogata (Jpn)3 Ruika Sato (Jpn)3 Catherine Roberge (Can)

Quelle belle victoire de Lucie Louette qui a fait une journée parfaite en dominant les meilleures

mondiales tout au long de la journée. En effet, c'est elle qui a sorti Audrey Tcheuméo (en ½ teintemais sans doute blessée). La catégorie est française et la supériorité nationale donnera lieu à desuperbes joutes.

- 66 Kg Hommes :

1 David Larose (Fra)2 Tumurkhuleg Davaadorj3 Tomofumi Takajo (Jpn)3 Jun-Ho Cho (Kor)

David Larose fait le doublé avec ce titre. Il a été impressionnant de facilité et de concentration toutela journée. Sa victoire en finale contre le mongole a été nette et sans bavure sur Ippon. A noter queDimitri Dragin s'est incliné pour la médaille de bronze contre le coréen sur immobilisation.

-100 Kg Hommes :

1 Luka Krpalek (Cze)2 Temuulen Battulga (Mgl)3 Henk Grol (Ned)3 Cyrille Maret (Fra)

Le tchèque a fait une superbe journée, remontant son tableau en patron, multipliant les actionsfortes. Sa finale , toute en maîtrise, a été conclue sur une belle clef de bras. Magnifique tournoiaussi pour Cyrille Maret qui, enfin, a décroché la médaille internationale qui va lui apporter laconfiance dont il a besoin.

+100 Kg Hommes :

1 Teddy Riner (Fra)2 Sung-Min Kim (Kor)3 Guham Cho (Kor)

3 Ryu Shichinoe (Jpn)

Teddy Riner, pourtant en manque d'entraînement en cette année post-olympique a écrasé le tour-noi encore une fois. Certains ont fuit, d'autres se sont faits incruster dans le tatami, mais tous ontperdu ! Fabien

@Fabien976

Judo 

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