AMÉNAGEMENT DU CENTRE BOURG Le Plessis-Macé · pilotage regis.berthelot@ ... On n’a pas la vue sur le château depuis la rue d’Anjou, on arrive face à un grand mur, ... stratégique

AMÉNAGEMENT DU CENTRE BOURG Le Plessis-Macé

2 Rue Amedeo Avogadro - 49070 BEAUCOUZÉ Tél. 02.41.72.17.30 Fax. 02.41.72.14.18 Mél : [email protected]

Succursale : 646 Rue Marius Petipa - 34080 MONTPELLIER 1

CR n° : 01

Date : 28/01/2017

Etude n° : 542 Rédacteur :

Aurélie Averty/ Isabelle Leroux

Lieu : Mairie du Plessis-Macé

Objet : Diagnostic en marchant Prochaine réunion :

Jeudi 2 mars à 20h00

Fonction - Organisme Représentant Mail Présent Diffusion

M. Régis BERTHELOT Membre du comité

pilotage

[email protected] X X

Mme Hélène BRIOLAY Membre du comité pilotage


M. Laurent PAPIN Membre du comité

pilotage


M. Gilles GEMAIN Membre du comité pilotage


M. Stéphane PIGEON Membre du comité pilotage


Mme Evelyne RIVERON Membre du comité pilotage

_ X X

M. Pierre JONCHERAY Membre du comité pilotage


M. Maxime DURST Membre du comité pilotage


M. Patrice YLEND Membre du comité pilotage


M. Daniel SALE Membre du comité pilotage


M. Julien ANDRIEU Membre du comité pilotage


M. Claude PELTIER Membre du comité pilotage


M. Claude GUERIN Membre du comité pilotage

[email protected]

X X

M. Jean-Yves DUPONT Membre du comité pilotage


Mme Sylviane DUARTE Membre du comité pilotage


M. Anthony ROUSTEAU Alter Anjou Loire Territoire


M. Aurélien ADAM Agence Vu d’Ici [email protected] X X

Mme Isabelle LEROUX Agence Vu d’Ici [email protected] X X

Mme Aurélie AVERTY Agence Vu d’Ici [email protected] X X

M. Benoit CHAILLEUX CheD Architectes [email protected] X X

Approbation du compte rendu :

Les observations sont à formuler le plus rapidement possible et au plus tard 7 jours après émission du présent compte rendu. Passé ce délai, toutes les observations portées sur le compte rendu

seront tenues pour définitives et non contestables.

2 2 Rue Amedeo Avogadro - 49070 BEAUCOUZÉ

Tél. 02.41.72.17.30 Fax. 02.41.72.14.18 Mél : [email protected]

Succursale : 646 Rue Marius Petipa - 34080 MONTPELLIER




I Présentation

RAPPEL DU PERIMETRE D’ETUDE

� L’étude préalable déterminera le périmètre d’étude définitif.




� La question de la sécurisation du bourg a été soulevée et sera un point de réflexion de l’étude.




LES ACTEURS DU PROJET

PARCOURS DE L’ETUDE




II Visite de site

CARTE DU PARCOURS ET DES POINTS D’ARRET :

1

2

3

4

5

6

5’

Avenue du Plessis

Rue de Bretagne

Chemin du Tour du Bois

Rue du 11 novembreRue

Lang

lois

Berth

elot

Route de la M

eignanne

Route d’Angers

Parc du Plessis Macé et son château

Parcours du diagnostic en marchant

CARTE DU PARCOURS ET DES POINTS D’ARRET

Point d’arrêt

LA MAIRIE

Rue d’Anjou




II.1 La place de la Mairie (1)

Comment se sent-on ?

� C’est joli. J’aime la pierre, il faut garder les pierres.

� Ça ne fait pas rassemblé, il y a une coupure. Il faut ouvrir.

� On n’a pas la vue sur le château depuis la rue d’Anjou, on arrive face à un grand mur, effet de grosse

verrue qui cache le château. On voudrait avoir une vue rayonnante.

� Il y a un manque de lien. On ne peut pas relier sans dangerosité, il n’y a pas de liaison douce.

� L’ancien abri de car : c’est une œuvre compagnonnique. Aujourd’hui, il n’est pas utilisé. Le déplacer ?

� Il n’y a jamais assez de place pour la salle communale.

� Il faut des stationnements près de la Mairie.

Comment trouvez-vous la rue d’Anjou ?

� Elle est cassée, il y a beaucoup de renfoncements, les équipements sont en retrait, comme la

bibliothèque, beaucoup d’angles qui cassent. On a l’impression que c’est petit, étroit, mais ça fait

ralentir.

� On a plus tendance à descendre rue du Plessis. Il faut inciter à prendre la rue d’Anjou.

� Même les commerces on ne les voit pas avant d’arriver dessus.

II.2 Route de la Membrolle (2) � Elle est arrondie. Elle a du caractère, il y a une ouverture vers le château, ça équilibre.

� On a l’impression d’arriver dans un poumon, avec une belle perspective (vers le château).

� Les piétons passent par-là, ils ne sont pas forcément rassurés. Pour les cyclistes, c’est dangereux, il y a

de la vitesse et pas de place. C’est dangereux jusqu’au château.

� On est derrière, sur les arrières. S’il n’y avait pas la mairie, on verrait l’église ! Les annexes de la mairie,

ça fait bloc.

� On est dans l’ancien bâti du bourg. Les vielles pierres sont visuellement très jolies. Il y a deux petits

bâtiments qui mériteraient d’être gardés. C’est comme la mémoire du Plessis. Il faut garder le style, le

cachet. C’est la partie la plus jolie, mais l’intérieur (des bâtiments), c’est compliqué.

� A propos de l’opération de logements récents (une dizaine d’années) : Il y a les garages et les

nouvelles maisons. Du côté de la rue c’est très fermé, mais très ouvert de l’autre côté. C’est une cassure

entre l’aspect des vielles pierres et le contemporain. C’est une verrue. Si le projet n’avait pas été fait,

on aurait une ouverture sur le vieux bâti.

� Il faudrait une architecture de transition.

� La superposition du bâti ancien et récent ne choque pas.

� Le long de la route, la haie bloque les vues sur la campagne. C’est un mur végétal.

� On ne sait pas trop où est l’entrée de bourg. A partir du rond-point de La Membrolle ? A partir du village

(= des premières maisons) ? A partir du cœur ?

II.3 Square Victor Hugo (3) � C’est le poumon vert de la commune.

� On voit l’église. Les nouvelles constructions sont en trop pour avoir la visibilité jusqu’au château : il y a

un bloc en trop.




� Il y a des arbres remarquables (dans le parc du château) et les constructions bloquent les vues.

� Il y a des liaisons douces, elles sont sur le chemin de l’école.

� Le hangar de l’ancienne exploitation agricole est resté. Lui donner un nouvel usage ? Une halle de

producteurs locaux ? Pour de l’évènementiel ? Il y a un milieu associatif énorme. Il faut des lieux où on

puisse faire de l’évènementiel, pour faire rester les gens. Il n’y a rien pour retenir les gens autre qu’au

château. C’est une commune-dortoir.

Quels sont les usages de cet espace ?

� L’aire de jeux est utilisée par les enfants aux beaux jours (elle est fermée donc il n’y a pas de chiens),

les parents surveillent à côté.

� Le parcours cross aussi est utilisé, mais un peu moins car on n’a pas voulu augmenter les buttes.

II.4 Giratoire de l’Avenue du Plessis (4) � Il y a une différence entre les usages et le statut des voies au niveau de l’Avenue du Plessis en

particulier. C’est un mini périphérique, un boulevard pour dégager le bourg.

� Depuis le giratoire, on ne voit que des pignons dans la perspective. Pas très joli.

C’est un secteur très large, mais est-il sécurisé ?

� Non, c’est dangereux, ça arrive vite. Il faut faire attention. Ils arrivent de la route de la Meignanne et

filent vers le bas (route du Plessis). C’est un axe structurant avec l’espace Longuénée. C’est un endroit

stratégique où tout le monde passe. Cet axe Angers > La Membrolle est très circulé. Les flux ont même

augmentés depuis l’arrivée de l’Espace Longuenée.

� Le passage piéton du giratoire est très dangereux.

� Les panneaux, il y a beaucoup trop d’infos, on regarde la route on se concentre sur la circulation, pas

les panneaux. Ils sont utiles pour les piétons.

� Les jeunes se rassemblent au niveau de l’abribus. Ils jouent au ballon. Il y a des problèmes de voisinage.

II.5 Rue d’Anjou (5 et 5’) � Il faut inciter, ouvrir, refaçonner la voirie.

� Le Chatelier marque début de centre bourg.

� Il faudrait avoir une activité économique qui puisse drainer du monde. Le bar, c’est là où se retrouvent

les gens pour discuter, échanger. C’est intergénérationnel, là où se trouve aussi l’épicerie, la poste, la

boulangerie. La pharmacie est excentrée maintenant. Ici, il faut des points où les gens puissent

communiquer, parler.

� Le bar est sombre, il n’utilise pas l’étage et son pignon est fermé. L’été il étend sa terrasse sur le parking

de la Mairie en face.

� Il faudrait ouvrir l’école, mais où stationner ? C’est l’anarchie.

� Ça n’est pas possible pour les PMR et les vélos.

� On ne voit pas très bien que ce sont des commerces. Les poteaux sont très moches (cabinet médical).

� Les barrières (devant le cabinet médical) ont été mises pour garer les vélos.

� Les jeunes se regroupent devant le petit banc de l’école, sous l’abri. Il y a différents groupes de jeunes.

Certains se regroupent aussi devant le château, mais moins, ça n’est pas couvert.

� Le petit espace à côté de la bibliothèque, c’était un jeu de boules avant. Aujourd’hui il n’a pas de

fonction, personne ne l’utilise.




� Derrière l’école, on voit l’arrière de l’église. Il y a un préau qui ne sert à rien. Ça serait bien d’avoir un

passage.

II.6 L’arrière-bourg avec les jardins potagers et les

anciennes maisons (6) � C’est joli. Elle a un petit quelque chose la petite maison, avec l’escalier. Elle a du charme. C’est un

espace d’intérêt, ça peut être un point central. Même les plaques d’ardoises (des murets) sont top. Il

y a du potentiel.

� Les habitants ne connaissent pas cette maison.

� La petite ruelle (reliant la maison à la rue d’Anjou), c’est fermé, froid.




III Echanges en salle autour de questions

ouvertes

III.1 Quels mots permettraient de définir la commune

ou son image ressentie ? � L’histoire

� La pierre, le minéral

� C’est passager, traversé. Certains sites, là où on était sur le rond-point, depuis Pruillé jusqu’à la

Meignanne. C’est là où on circule, on ne s’arrête pas, transiter, contourner, ne pas pénétrer. Le centre-

ville est évité.

� C’est une commune-dortoir.

� Il n’y a pas de vie dans le bourg, on n’a pas vu beaucoup de piétons. Ça serait bien qu’il y ait une

dynamique entre piétons et vélos. Il n’y a pas de commerces. Il n’y a même pas de zone de

stationnement définie pour flâner.

� Il y a un dépôt de pain au bar. Les piétons vont à la Membrolles à pied pour le pain.

� Le château, c’est un des mots qui définit la commune. Il n’est pas intégré à la vie des habitants, mais

à celle des gens de l’extérieur oui. Même dans l’agglo, le château ? On ne connaît pas…

� Il faudrait renforcer le partenariat avec le château, créer une synergie. Il faudrait mettre en valeur le

côté historique qui fait la spécificité du Plessis Macé. Mais ne pas appuyer uniquement ce volet

historique qui ne sert pas les habitants.

� Ça fait partie de l’histoire, le lien est fait au château. Il est connu mondialement ce château ! C’est

une référence. Même en Irlande on en parle.

� Quand on dit Le Festival d’Anjou, on dit Plessis-Macé.




Quand on parle « Image de votre commune » ?

� La verdure

� Rural

� Une certaine densité de toitures un peu enchevêtrées dans tous les sens et de tous les styles. Ça fait un

peu bizarre.

� Il n’y a pas une image de vivre ensemble, manque de cohérence et de coordination, c’est à créer.

Ce n’est pas tourné vers un cœur. Il manque un cœur. Chacun reste chez soi.

.

III.2 Pour vous qu’est-ce qu’un centre-bourg ? Qu’est-

ce-que le centre-bourg du Plessis Macé ? Pour vous qu’est-ce qu’un centre-bourg ?

� Un point de rassemblement, là où il y a les commerces, des échanges, où on peut tous s’y retrouver,

un espace intergénérationnel. Là où les gens se croisent pour aller aux commerces, à la mairie, là où

on peut vivre ensemble.

� Un lieu accessible à tous, par tous les moyens de locomotions.




� Un lieu vivant : la vie, on bouge.

� Un lieu qui donne une identité à la commune, une image.

� Un lieu d’évènements.

Pour vous où se situe-t-il sur la commune ?

� On ne l’a pas, il n’existe pas, mais on vient de le visiter.

� Il y a un manque de cohérence. Ça n’est pas tourné vers un cœur : l’école, le commerce. Donc on

n’a pas l’impression d’aller vers un cœur, un centre.

� Il est un peu abandonné le centre. Il faudrait mettre en valeur le cœur, la pierre, histoire. Il faut qu’on

réussisse à intégrer une vie de bourg.

� Le centre, c’est un peu derrière les locatifs, où il y a les enfants, les jeux. Il n’est pas complet.

� Il y a peut-être plusieurs centres liés aux équipements et aux usages comme des petites centralités : un

centre géographique, l’école, le Plessis.

� Il y a le stade de football et l’espace Longuénée. Il y a un lien assez fort à pied avec l’espace

Longuénée. On passe par la rue de la Meignanne ou la rue du Plessis. Aujourd’hui, les rendez-vous

sportifs sont à l’espace Longuénée.

� Les lieux de sports sont assez excentrés et on n’a pas forcément envie de s’y rendre en loisirs, en dehors

des entrainements.




III.3 Comment se passent les déplacements à pied ? � Parfois il n’y a pas de trottoir, des discontinuités, on ne sait plus par où passer. Par sécurité, on rejoint les

grandes artères.

� Il y a des chemins utilisés en randonnée. Il y a des gens qui cheminent. Certains chemins ne sont pas

utilisés qu’en randonnée, pas au quotidien. Le square Victor Hugo est un passage tranquillisé, sécurisé.

� Les chemins ne sont lisibles, pas naturels. Ils ne sont pas directs. On emprunte le square Victor Hugo.

� Des chemins plus directs seraient plus utilisés.

� L’été et le dimanche, les chemins sont utilisés un peu plus. L’hiver c’est la voiture. Dans leur vie d’actifs,

les gens vont au plus court.

� C’est aussi fonction des âges des enfants. Les enfants viennent à vélo à l’école. A une période, il y

avait le pédibus, ça fonctionnait l’hiver aussi et il n’y avait pas de problème.

III.4 Comment percevez-vous le site d’étude ? � Moi je le trouve grand (sens positif).

� Il faut essayer de le relier avec les autres périmètres, mais il y a beaucoup de potentiel. Mieux vaut voir

grand et penser aux liaisons.

� Il faut penser au site d’extension de la Noëllée, aux liaisons. Le cheminement c’est important, la

circulation.




III.5 Quels sont les usages et vocations qui sont associés

au site d’étude ? � Il faut relocaliser le bourg, y amener quelques services de première nécessité, un noyau dur, 2-3 services

qui méritent d’y être regroupés pour créer une réelle attraction et palier au tout voiture.

� Faut-il regrouper ? ou mettre en lien ? les différentes centralités sont liées aux

usages/services/équipements. Ce n’est pas gênant si les pôles secondaires, comme le pôle médical,

sont ailleurs.

� Ce qui est très positif, c’est la sortie de l’école.

� Il faut recréer une intergénérationnalité autour du centre.

Et les potagers en cœur d’îlot ?

� Il n’y a qu’un seul propriétaire, une seule personne qui gère ça. C’est bien, il y a des jardins.

� Il n’y a pas de potager associatif.

� Il y a une petite enclave à côté de l’école à mettre en valeur, il faudrait installer quelque chose pour

que les jeunes puissent se défouler, s’occuper autrement.




III.6 En quelles occasions passez-vous sur le site ? � Il n’y a pas d’attraction aujourd’hui, pas d’occasion d’y passer. On ne peut même pas dire qu’il y a un

cœur artificiel…

� Il y a l’école, les services (la Mairie).

� Il y a le château, les promenades autour du château, même les gens de la Membrolles y viennent.

� Il y a le sport, mais on passe, c’est passager. Il y a des gens qui courent dans le bourg.

� Il y a le kiné, la coiffeuse, le docteur, les commerces et les services. Ça fait partie du cercle, il est assez

vite défini.

� Il y a aussi la salle des fêtes, utilisée 150 à 200 fois par an. On a beaucoup d’associations.

� On a l’église, pour les sépultures. Il n’y a pas assez d’offices, elle n’est pas assez utilisée. Il faudrait un

usage partagé, proposer un nouvel usage, ça fait partie de la vie associative.

� Pour les associations, il y a l’AJIC (Association Jeunesse Inter-Communale). C’est discret, ils sont

excentrés, basés au stade. Si le local était recentré, ça serait mieux. Ça ferait plus près qu’aujourd’hui.

� Il y a le club du troisième âge qui se regroupe dans la petite salle de la Mairie.




III.7 Quels enjeux vous paraissent fondamentaux pour

mener à bien le projet ? � La sécurité.

� L’aération, l’ouverture. Il faut que ça soit aéré. L’inverse de la densification et de l’asphyxie, tout en

préservant les intimités. Il faudrait garder une visibilité sur le château, garder des perspectives sur ce

qu’il y a autour.

� L’accessibilité, le côté voie verte, protégé, avec des aspects de transition au niveau des bâtiments.

� L’intergénérationnel.

� Le logement, l’habitat.

� Les commerces.

� Un lieu de rassemblement pour les jeunes, pour les associations.

� Des lieux de loisirs.

� Château �commune. Le « château » fait référence à l’ensemble parc+château.

� Il y a un chemin qui fait le tour du château mais il n’est pas connecté avec le bourg.

� Le tourisme, c’est important. Il peut caractériser l’aspect extérieur. Quand les gens viennent pour

acheter ou entretenir leur camping-car, ils viennent sur la place du château. Les Anglais adorent le

château. Il y a une maison d’hôtes juste à côté de l’église.

� Faire revenir les gens qui sont de l’extérieur de la commune dans le centre.

Quels liens fait-on entre les quartiers et le centre-bourg ?

� Il y a un enjeu d’accessibilité en voiture, oui s’il y a des commerces.

� C’est surtout le stationnement, les cheminements il y en a déjà.

� Il y a la sécurité au niveau des carrefours.

� Une accessibilité « naturelle » à mettre en évidence vers le centre bourg, mettre en valeur la rue

d’Anjou, la rendre accessible depuis le giratoire. Il faut qu’on ait envie, qu’on préfère passer par là,

inviter à s’engouffrer.

� Le centre bourg, c’est cette rue, la rue d’Anjou. C’est la rue historique.

Quels sont les usages du parc du château ?

� Le parc est beaucoup utilisé. Le château est fermé, il y a des balades juste autour ou un peu plus loin.

� Le château est aussi un refuge LPO puis on arrive sur les habitations de la commune. Il n’y a pas de lien

entre, un cheminement naturel, c’est ce qu’il manque. Tu ne peux pas traverser le château, c’est

bloqué. Ça aurait été bien. On doit faire le tour. Couper à travers ça aurait été agréable, depuis la rue

d’Anjou et vers le square Victor Hugo aussi.

� Le refuge LPO recouvre les 50 ha, l’ensemble du parc du château. Ils vont faire des liaisons parce que

les carrières sont pleines d’eau. C’est un projet.

Comment arrive-t-on aux entrées du centre-bourg ?

� Ça n’incite pas, parce que ça fait entonnoir.

� Les flux importants viennent de la Noëllée, de l’avenue du Plessis et de la Meignanne.

� Il y aura encore plus de circulation avec l’extension urbaine de la Noëllée.

� En venant de la Membrolle-sur-Longuénée, tout de suite, on a le visuel sur le château et l’église. Ça

n’est pas le cas quand on vient de la Meignanne. Le centre-bourg n’est pas identifié. C’est soit une




voie de transit, soit une voie pour accéder aux activités. Le cœur mériterait deux calibrages. Il peut y

avoir des entrées plus petites, avec une possibilité d’entrée plus importante depuis le Plessis.

� Le château, on le voit depuis le stade, autrement on ne le voit pas depuis la route de Saint Clément.

En priorité, on voit le château depuis la route de la Membrolles, de Saint Clément. Depuis la route de

la Meignanne, on ne le voit pas.

� Les soirs de spectacle, on a besoin de tous les chemins, mais ça vient surtout de la Meignanne, même

de la Membrolle.

� Le GPS fait arriver par la Membrolle ou la Meignanne.

� La signalétique n’aide pas à l’orientation.

� Question de la lisibilité pour identifier un cœur, depuis les axes d’arrivée du château ce n’est pas

perceptible immédiatement.

� Il ne faut pas oublier de garder notre identité du Plessis-Macé.

� L’arrivée principale au Plessis pour le Festival d’Anjou c’est la rue de la Meignanne.

Et l’espace Longuénée ?

� C’est identité de la nouvelle commune, de Longuénée, pas du Plessis-Macé.

IV Calendrier : les prochains rendez-vous � Diagnostic/enjeux : le jeudi 2 mars 2017 à 20h00 en mairie

� Enjeux/Scénarii : le jeudi 23 mars 2017

� Scénarii retravaillés : le jeudi 6 avril 2017

� Scénario retenu : le jeudi 27 avril 2017

� Schéma d’aménagement : le jeudi 18 mai 2017

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