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ANNEE. — N° 24. LE NUMERO : VINGT CENTIMES DIMANCHE 17 JUIN 1934. LE COURRIER DE L’OISE JOURNAL DE LARRON DISSEMENT DE SENLIS Paraissant l0 •Gixuanoij» T^édacteui- politique ün an .... Six mois. A I3 0 3Sr 3Sr ï3 iÆ E3 T<r TC S . i Ots s’abonne aax Bureaux «la Jonnsal «t «Sons ton» A nos Bureaux P Posta |rs hurt,aüS dC posteo - L abonocment est pafabm ..... 10 12 j avance et contiaue de pïem droit ïasqw’» ^«cepîiic»*! X j d avis contraire.. £,0*1 A*û*iH«m»a«8 partent du 1- de eiia<fu« moi» Le Carnaval de Yenis 9 «Jean L E GEINT D R E 1 BUREAUX, RÉDACTKT^pf ADMINISTRATION SEN LIS 9, SPlace TIem*i“IV , 9 SEN LIS TÉLÉPHONÉ N° 4 Compta Chàquss-Postaux Paris 478-50 Directeur Commercial : E. VÎGNQN ÏP X 3C 33^33 XT<r S333 351T X O 3ST 3 \nnonces légales Ifr-50 la ligne Ventes volontaires. — Publicités commerciales. — Demandes et offres, d’emplois (Pour tous renseignements écrire au tournai) Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. mm Eveille-toi, Venise-la-Jolie, Voici venir ton carnaval joyeux. £ Nous ne sommes pas à l’époque du Carnaval, mais c’est bien à Venise, ville autrefois célèbre par les réjouis sances du Carnaval, qu’en ces jours de juin 1934 se rencontrent le Führer, Adolf Hitler et le Duce, Benito Mus solini. Et, en parcourant le program me de la cérémonie : concert vocal et instrumental, — illumination du bassin de Saint Marc, — défilé dfc Gondoles, — fêtes de jour, fêtes de nuit, — fêtes de l’eau et fêtes du feu, — -visites de Musées et revue de che mises noires, — promenade sentimen tale des deux Hommes sur la lagune, — salves d’artillerie, etc..., bien des Français évoqueront malgré eux le fameux carnaval de Venise. Souvenir romanesque. Il est vrai qu’ils pour raient évoquer tyussi la Venise des Doges. Souvenir romantique, singu lièrement plus sombre et plus inquié tant. Car cette Venise là, de l’an 1310 à l’an 1797, fut le siège du fameux Conseil des Dix centre lui-même d’une politique passablement ténébreuse, tracassière et dictatoriale. Il est même plutôt à croire que ce sont ces souvenirs-là ainsi que sa pro ximité de l’Autriche qui auront in cliné le Führer à choisir Venise com me lieu de rencontre avec le Duce, si tant est que ce ne soit pas ce der nier qui l’ait lui-même choisie. Venise est un lieu vraiment symbolique pour conversations diplomatiques entre dictateurs. Ces Messieurs y seront certainement plus à l’aise qu’en un certain petit bourg de la province d’Emilie que l’on appelle Canossa. Là cependant, ils eussent goûté les avan tages d’une solitude plus grande. Ca nossa est un lieu élevé d’où l’on do mine les choses. Les hommes d’Etat allemands ont du reste coutume de s’y rendre... Et peut-être que M. Hitler finira lui aussi par y faire une « petite retraite fermée ». Pour le moment, il n’est pas ques tion de cela et nous en sommes aux illuminations a giorno, comme il con vient en Italie, Ceci ne veut pas dire qu’une lumière jaillisse très vive de ces lanternes vénitiennes sur les in tentions des deux dictateurs. Vont-ils se montrer en la circonstance, sont-ils, au fond d’eux-mêmes, des tragédiens ou des comédiens, tragedianti ovve comedianti ? Chi lo sa ? Hitler nous régale présentement d’une tournée sensationnelle à la ma nière de Guillaume IL Celui-ci n’était au fond qu’un affreux comédien, seu lement sa pièce s’est terminée en hor rible tragédie. C’est pourquoi ce « Carnaval de Ve nise » ne nous dit rien qui vaille. D’un point de vue absolument gé néral et toute question de fascisme ou de pro-fascisme, ou d’anti-fascisme mise à part, il nous aurait paru pré férable que ce fût un homme d’Etat français qui se rencontrât avec Mus solini. Il est fâcheux que ce soit Hit ler. Carnet de Fiançailles Quel que soit l’objet et le résultat de ses conversations avec Mussolini, Adolf Hitler ne manquera pas d’en tirer profit pour sa propagande. Du reste les deux hommes sont as sez positifs pour viser un but prati que et tout porte à croire qu’ils ne se réunissent pas seulement pour le plai sir de faire éclater quelques pétards. Il est vraisemblable que ce sera M. Mussolini qui conduira la conversa tion. Pertinax fait observer que depuis un an la diplomatie fasciste « essuie revers sur revers » et qu’il s’agirait d’abord d’effacer cette mauvaise im pression. Le Führer d’autre part a été 1111 peu trop fort, il aurait besoin de conseils. Il redouterait l’isolement et c’est pourquoi il éprouverait le be soin d’un rapprochement avec l’Italie, puissance également révisionniste. « Sur deux points, dit Pertinax, le Führer et le Duce sont assurés de s’en tendre » : 1° faire descendre les ar mements de la France au niveau de ceux de l’Italie ; 2“ faire obstacle aux pactes d’assistance mutuelle propres a confirmer la paix de 1918-19. Nous pensons que c’est surtout l’avenir qui nous éclairera sur le résultat de cette entrevue désormais célèbre. Pour l’heure, il nous faut noter que la Société des Nations semble perdre de son importance. Elle tend à deve nir un instrument au profit des plus habiles ou des plus forts et nous re tournons peu à peu aux mœurs diplo matiques d’avant guerre. Pactes limi tés, arrangements, alliances, conversa tions décrétés, visites, démarches per sonnelles. Comme, d’autre part la Société des Nations existe toujours et prétend jouer un rôle, il s’ensuit une lumière plutôt trouble. Somme toute, les affaires de l’Eu rope ne sont pas plus claires que cel les de la France elle-même ou déci dément il n’y a pas moyen de faire la lumière sur les enquêtes en cours. Le Français moyen continue à jouir du temps qui passe sans trop s’en faire. Il cherche peu à comprendre. Il est mis du reste, — à raison même de l ’a b o n d a n c e d’informations contra dictoires dont il dispose, — dans l’im possibilité d ’y parvenir. Faudrait-il donc penser avec M. Adolf Hitler pré cisément... que « la majorité ne peut jamais remplacer un homme » et qu’ « elle représentera toujours non seulement les sots, mais encore les lâches. Et aussi vrai que cent cervel les creuses ne peuvent valoir un sage, de cent couards on ne tirera jamais une résolution héroïque ». — Paroles sévères où s’affirme le mépris de Hit ler pour les individus « du type flas que » et qui, mieux que toutes les photographies dont les journaux sont pleins, nous peignent l’hôte de Venise qui va avoir le plaisir ces jours-ci de prendre son repos non loin du palais des Doges dans cette même chambre où « la milliardaire améri caine Barbara Hitton passa sa lune Mdivani ». A. Chenet. de miel avec le prince Nous apprenons avec le plus grand plaisir les fiançailles de M. Paul Goré, fils de Mme et de M. le Sénateur A. Goré, président de la Chambre d’Agri- culture et de la Société des Agricul teurs de l’Oise, avec Mlle Elisabeth Galmel, fille de Mme et de M. Charles Galmel, agriculteur à Boutencourt et membre de la Société des Agriculteurs de l’Oise. Nous formons des vœux de bonheur pour les futurs époux et nous adres sons toutes nos félicitations à leurs familles. ASSÊMBLÉE GÉNÉRALE de l’Union fraternelle des Sociétés de Secours Mutuels de l’Oise Les délégués des sociétés de secours mutuels adhérents à l’Union Frater nelle des sociétés de secours mutuels de l’Oise, sonk convoqués en assem blée générale statutaire le samedi 16 juin, à 14 heures 30, au siège social, 3, place Carnot, à Creil. Ordre du Jour : Rapport moral et financier de l’exer cice écoulé. Renouvellement du Conseil. Colonies de vacances. Rapport sur caisse de réassurance. Divers. A l’Union départementale des Sociétés de Secours Mutuels de l’Oise Le Conseil d ’a d m i n i s t r a t i o n de l’Union a l’honneur de faire connaître aux présidents des sociétés adhéren tes, que l’assemblée générale de l’Union départementale se tiendra Creil, salle de la mairie, le dimanche 17 juin, à 15 heures. Concours de Photographie Comité départemental d'Entente des Groupements républicains et d’Action sociale oe l’Oise La réunion trimestrielle de la Com mission exécutive du Comité s’est te nue le mardi 29 mai 1934, à 10 heures, à l’Hôtel du Chemin de Fer à Creil. Les élus cantonaux adhérents au Co mité avaient été spécialement convo qués à cette réunion. La séance est ouverte à 10 heures 15 sous la présidence de M. de l’Aigle, député, remplaçant le Président M. A. Goré, sénateur, empêché. Lo Président remercie nos amis d’être venus en aussi grand nombre, et il présente les excuses de plusieurs membres. Il donne aussitôt la parole au secrétaire général, M. Toupiolle, pour la lecture du procès-verbal de la dernière réunion qui est adopté* sans observation.. S Le secrétaire général rend compte de la situation financière du Bulletin au 30 avril dernier, qui est approu vée. L’assemblée s’occupe ensuite des é- lections cantonales qui auront lieu au mois d’octobre prochain. Au sujet de ces élections le Président fait part de la décision prise par quelques-uns de nos amis de ne pas solliciter le renou vellement de leur mandat. En présence de ces décisions qui sont irrévocables, M. Fournier Sarlovèze demande aux dirigeants présents des comités intéressés de se réunir au plus tôt, pour choisir les candidats qui de vront remplacer ceux qui ne se re présentent plus. M. Fournier Sarlovèze précise en quelques rnots,Ja gravité de la situa tion actuelle, tant au point de vue ex térieur, qu’au point de vue intérieur. Il adjure tous nos amis de s’unir é- troitement autour du Gouvernement d’Union Nationale de M. Doumergue, qui est le seul capable d’améliorer la situation dans les circonstances pré sentes. Comme conclusion : le Maire de Compiègne demande qu’aux prochai nes élections cantonales il y ait dans chaque canton un candidat d’Unkra Nationale ? Cette proposition mise, aux voix est adoptée à l’unanimité. L’assemblée décide qu’une réunion aura lieu dans la deuxième quinzaine d’août pour s’entretenir à nouveau de ces. élections et donner l’investiture aux candidats qui auront été désignés par nos Comités. Il est décidé également qu’une réu nion privée des militants républicains de la circonscription de Clermont au rait lieu prochainement à Saint-Just- en-Chaussée. Le secrétaire général est chargé d’é- tudier la possibilité d’organiser une assemblée générale départementale. Le Président demande à l’assemblée ce qu’elle pense de l’action de notre Presse départementale. M. Fournier Sarlovèze prend la parole et fait un exposé très intéressant de cette ques tion. Il regrette la trop grande disper sion de nos efforts dans ce domaine, et il voudrait voir ces derniers réunis dans une action plus homogène et plus active. Cet exposé a provoqué différentes suggestions de la part de plusieurs’ membres de l’assemblée. Celles-ci se ront étudiées au cours d'une réunion spéciale par une commission qui est désignée immédiatement. L’ordre du jour étant épuisé, le Pré sident lève la séance à 11 heures 45. La Basoche Lettre ouverte à M. Vassal Asstciation Syndicale Professionnelle dts Clercs de Notaire et d’Avoué de Fiance, d’Algérie et des Colonies. Fondée en 1884 Sige social : (en son immeuble), 37, ooulevard Saint-Germain, Paris (5").Téléphone : Odéon 78-42. Coisation annuelle : 36 francs, don- .nant droit au service gratuit bi-men- sueljie la « Revue Nouvelle de Nota riat, de Procédure et d ’E n r e g i s t r e - ment», organe corporatif et juridique de Association. Coâsation annuelle pour le person nel ion clerc : 20 francs, donnant droit au service gratuit du Bulletin Corpo- ■ratf seul. •Son action corporative : Jh'traites, unification do la_ clérica- ture, statut corporatif, participation aux bénéfices, repos dominical, semai ne anglaise, vacances payées, acci dents du travail, accession aux^ fonc tions de juge de paix, assimilation de l’Ecole Polytechnique de Notariat par correspondance, assimilation des clercs d’Alsace-Lorraine, classe unique du stage, législation prud’hommale, attri bution de la Légion d’honneur aux vieux clercs méritants. Son action professionnelle : Service gratuit de la Revue Nouvel le, 48 et 64 pages, par quinzaine, con tenant des dissertations théoriques et pratiques, une chronique fiscale, une partie de jurisprudence, toutes les lois nouvelles, un Bulletin parlementaire, etc... et un Bulletin corporatif. Edition du Précis-Formulaire du No tariat en 8 volumes, dont 6 déjà parus en librairie et le septième en cours de publication. Concours professionnels a différents degrés. , . Cercles d’études régionaux. Bibliothèque. Consultations. Office de placement gratuit. Son but : Protéger et défendre les intérêts cor poratifs. Favoriser la bonne camaraderie. Faciliter et développer l’instruction professionnelle. Renseignements : Pour tous renseignements, s’adres ser à M. Paul Cayeux, 25, rue de Beau- vais, à Senlis, secrétaire de la Section de l’Oise. Monsieur le Député, Le fameux Docteur Goué recomman dait à ses malades de prononcer cha que matin, au réveil, la phrase sacra mentelle suivante : « Ça va bien ; ça va mieux ! » et ceux-ci voyaient dispa raître leurs souffrances. Imitant cet illustre exemple, vous proclamez chaque semaine — à l’usa ge de vos lecteurs, — : « depuis que ■nous avons un gouvernement d’Union Nationale, ça va mal ; ça va de plus en plus mal ! » Cependant vous ne convainquez per sonne. M. Doumergue poursuit tran quillement sa.besogne de salut pu blic ; le pays reprend confiance ; votre pessimisme de commande tombe à faux et même, l’avouerai-jc ? la lecture de vos papiers me procure une douce ri golade ! Vous ne réussissez pas si bien que le Docteur .Coué. G’est que pour appli quer avec fruit sa méthode, ü faut avoir la foi. Or, vous ne l’avez pas . 11 n’est pas possible, en effet, que vous accordiez une croyance aux erreurs que vous débitez, à raison de 20 centi mes le numéro, pour quelques poi gnées de lecteurs. * * ★ Je veux aujourd’hui, répondre aux critiques que vous adressez à ce gou vernement qui s’est donné pour tache de redresser les fautes de votre politi- que. Vous croyez, M. le député, que le cabinet n’a pas bonne presse dans le Pays Républicain ». Alors, lisez les journaux ! Toutes les élections partiel les accusent depuis deux mois nos suc cès et vos défaites. L’autre dimanche encore, à Remiremont, le « front com mun » si cher à votre cœur, a perdu 1.900 voix et nous en avons gagné 1.500 par rapport à 1932. A Mantes, à Pans, à Lorient, à Remiremont, partout le « Pays Républicain » vous a répondu. Enregistrez son démenti! Les catastrophes de la L’Automobile Club de l’He-de-BTance, organise entre ses Sociétaires, un Con cours de photographie d’amateurs do té de prix nombreux et intéressants. Les trois p'remiers prix seront re présentés par des séjours de 8 à 10 jours dans des hôtels suisses. D’autre prix, appareils, produits photographiques, etc..., récompense ront les lauréats. Les règlements sont à la disposition des intéressés sur simple demande a- dressée à l’A. G. I. F., 8, place de la Concorde. Nous pouvons dès maintenant indi quer que trois épreuves sont deman dées : 1. Une épreuve représentant un su jet purement automobile. 2. Une épreuve présentant un carac tère artistique. 3. Une épreuve présentant une diffi culté photographique. * Ces épreuves devront être remises le 15 juillet au plus tard. Fédération des groupes commerciaux et industriels de l'Oise Nous rappelons que l’assemblée gé nérale et le XIVe Congrès de la Confé dération des groupes commerciaux et industriels de l’Oise, auront lieu de main dimanche 17 juin, à Chantilly, sous la présidence de M. Emile Mauny, président. A 10 heures, assemblée générale, sal le des fêtes de l’Hôtel de Ville. A 12 heures, déjeuner amical, Hôtel du Parc. A 14 heures, Congrès, salle des fêtes, rapport de M. Mauny et conférence de M. Victor Constant. Puis, promenade-excursion à la Pla ge de Boran, par la forêt du Lys. Les automobilistes n'auront plus à acquitter les taxes communales et départementales Le « Journal Officiel » de dimanche a publié un décret contresigné par les ministres des finances, du commerce et de l’intérieur, et portant remplace ment des taxes locales sur les automo bilistes. On sait que l’article 20 de la loi de finances du 23 décembre 1933 a sup primé les droits de circulation perçus sur les véhicules automobiles utilisant un carburant et remplacé cette impo sition par une taxe sur les carbu rants. Restaient les taxes départementales et communales qui n’étant pas suspen dues auraient obligé les automobilistes à diverses démarches ennuyeuses. Ces taxes locales viennent d’être suppri.. mées par le décret de dimanche. La* moins-value qui en résultera dans les bénéfices fiscaux des collectivités sera palliée ainsi qu’il est prévu aux arti cles 1er et 2 du décret. En ce qui concerne l’application du décret à l’année en cours, le paragra phe 5 de l’article 3 dispose notam ment : « Exceptionnellement pour l’année 1934, vient également en déduction le montant des taxes départementales et communales effectivement encaissées au titre de l’exercice 1934 sur les véhi cules automobiles pour lesquels le droit de circulation a été supprimé à partir du premier février 1934. « Enfin, signalons que l’article 4 pré voit que les recensements annuels des véhicules automobiles sont effectués par les soins de l’administration des contributions indirectes ». Par le cycliste exagéré, nous avons connu le « pédard », l’automobiliste né vrosé a engendré le « chauffard », en fin le faux touriste nous donne le « traînard », qui comprend plusieurs catégories. Il y a l’automobiliste échappé de Pa ris ou de la banlieue, accompagné de gès amis, et se considère, hors des li mites de l’octroi qui ferme son hori zon habituel, comme le roi de la natu re. Ignorant sa route, il demande ou plutôt il aboie au premier venu, sans s’arrêter : Pour Compiègne ?... Pour Ermenonville ?... Si, l’humble citoyen interpellé hésite à répondre, il s’en tend traité de croquant, de ballot, etc., le héros continue son chemin et... re commence plus loin. Il y a le Snob dont les connaissan ces géographiques se limitent au guide bleu ou vert, seul capable de pallier à son ignorance ; bref un samedi soir il tombe sur X..., ville intéressante à visiter. Le lendemain, ce Traînard baille devant une cathédrale, et ne dé couvre rien qui puisse remplacer la majesté du bouchon de son radiateur ou le mystère de son carburateur. Dé jeune en vitesse, s’étonne de l’absence de tout dancing, baille d’ennui, ex- quisse sur la chaussée un vague tan go, remonte en voiture en déclarant Quel sale patelin, ce qu’on s’y ennuie ! La^ troisième catégorie appartient aux éléments enfermés dans ces- cars ventrus à l’excès qui, en débarquant, inondent la petite place de l’endroit d’un grouillement hétéroclite du plus bizarre effet. G’est à qui hurlera le plus fort ou se coiffera d’un couvre- chef le plus bizarre pour épater « le populo », cependant que les plus dé- %ês* chantent en chœur les « gars de l^'marine » pour faire voir qu’ils sont à ja page. Dernièrement plusieurs de ces cars déversaient à Senlis un chargement de Phénomènes qui pour leur départ se ^groupèrent au monument aux Morts. Je vous fais grâce de leurs réflexions aiissi stupides que déplacées, mais une Particulière extravagante comme on Peut s’en douter, ne trouva rien de mieux que de se faire photographier, devant ce monument, coiffée d’un cha peau haut de forme, burlesque. La pauvre aurait mieux fait dans un ce risier pour en sauvegarder la récolte et n’aurait pas été en peine de trouver, au jardin d’acclimatation, un cadre mieux approprié à son genre de beau té. Des pédards, des chauffards, des traî nards — Saint Christophe — délivrez- nous. Plumedoie. Vous écrivez au sujet de la réforme fiscale : « les nouveaux projets do ré forme fiscale s’ils ont séduit au pre mier abord laissent sceptiques ceux qui réfléchissent que les dégrèvements d’impôts directs ne pourront jouer qu’en 1935 ? alors que les impôts indi rects qui forcément les remplaceront seront appliqués sur les derniers mois de 1934 ». s Les dégrèvements d’impôts directs ne pourront jouer qu’en 1935 »...dites- vous ? Mais, forcément ! Ignorez-vous donc qu’il y a un décalage d’une année dans la perception des impôts directs ? Ceux que nous paierons cette année sont calculés sur les revenus et les sa laires de 1933 et les rôles étant déjà émis, on ne peut les modifier. Si un Gouvernement socialiste proposait cet- I te réforme, il n’agirait pas autrement semaine à moins d’en reculer l’application gé nérale jusqu’en 1935. Or, pour avoir l’effet stimulant qu’on en attend, cette mesure doit être votée et appliquée le plus tôt possible. Vous ajoutez, M. le Député : « d’ail leurs le ministre des Finances ne ca che pas que cette réforme procurera au Trésor une recette supplémentaire d’un milliard, que ne sauraient payer les fraudeurs du fisc ». Vous êtes vraiment mal renseigné. Je ne comprends pas qu’un parlemen taire, ayant à sa disposition toute la documentation qu’il puisse désirer, s’en remette à son imagination fertile quand il s’agit d’apporter des préci sions. Vous êtes du Midi ; ça n’est pas une raison pour exagérer ! Le Minis tre des Finances n’a jamais dit que la réforme fiscale procurerait au Trésor une recette supplémentaire de un mil liard, mais seulement de 200 millions. Quant aux fraudeurs du fisc ! Prenez donc la peine de relire l’exposé des motifs du projet et le compte rendu des séances de la Commission des Fi nances, et vous verrez que M. Germain Martin espère compenser, en partie, les moins-values provenant de la di minution des impôts, par une répres sion sévère de la fraude fiscale, qui permettra de récupérer un milliard 200 millions. Si un député habitait Mars, Neptune ou Saturne, il serait encore mieux au courant que vous ne l’êtes des choses du Parlement. La constatation des accidents par la gendarmerie Il arrive fréquemment , que les usa gers de la route, victimes d’accidents purement matériels demandent le con cours de la brigade de gendarmerie la plus proche, afin de faire constater sur-le-champ le préjudice qui leur est causé. Au terme de la réglementation en vigueur, le gendarme n’a pas à inter venir dans les faits qui ne doivent donner lieu qu’à des réparations civi les et sa compétence s’étend seulement à ceux de nature à motiver des pour- uites judiciaires. Cette règle, cependant, n’est pas sans présenter en la circonstance, quelques inconvénients. Il paraît anormal aux usagers de la route que le gendarme, témoin d’un accident matériel, se re fuse à toute constatation et se récuse, bien qu’il soit sur place, au profit d un huissier. Il convient d’ajouter, g aii- leurs. que le gendarme, du fait de ses attributions en matière , de police de la route, se voit fréquemment en pareil cas, dans l’obligation de rétablir la li berté de la circulation en faisant dé placer les véhicules accidentés et se heurte alors à la demande instante des propriétaires qui désirent que les ob jets soient maintenus en état jusqua l’arrivée de l’officier ministériel pour établir le constat. D’accord avec le Garde des Sceaux, le ministre de la Guerre a étudié les moyens d’étendre la compétence des militaires de la gendarmerie en matiè re d’accidents de la circulation et dé cidé, qu’en l’absence d’un huissier, les gendarmés auraient qualité pour cons tater les accidents purement matériels dans les deux cas suivants : t. Lorsqu’ils sont les témoins de l’ac cident ou qu’ils surviennent inopiné ment sur les lieux alors que les ob jets sont encore en état ; 2. Lorsque, étant à leur résidence, il leur est signalé qu’un accident sim plement matériel crée un obstacle dan gereux pour la circulation. Le procès-verbal dressé en pareil cas par la gendarmerie n’aura d’autre va leur que celle d’un procès-verbal de renseignements ; en outre, les gen darmes ne devront entendre, au cours de leur constat que les témoins qui s’offriront spontanément à faire une déclaration. Les Grandes Commissions de la Chambre La Chambre a procédé au renouvel lement annuel de ses grandes commis sions. Ont été désignés : Commission des Affaires Etrangè res : M. de l’Aigle. Commission des comptes définitifs et des économies : MM. Schmidt et Vas sal. Commission des douanes et des con ventions communales : M. Dupuis. Commission des finances : M. Schmidt. de la législation civile M. Uhry. des travaux publics et des moyens de communication : M. Au- baud. Commission et criminelle : Commission Continuant vos réflexions estivales, vous écrivez encore : « la rentrée de l’or à la Banque de France, les Verse ments aux Caisses d’Epargne, la haus se des rentes, n’ont aucune action sur la vie économique du pays ». Quand l’or fuit à l’étranger, quand les Caisses d’Epargne se vident de ca pitaux, quand les rentes baissent, c’est que la confiance ne règne pas et la vie économique reste paralysée. La majo rité que vous souteniez, M. le Député, en a fait la triste expérience. L’or accumulé dans les caves de la Banque de France garantit la solidité de notre monnaie. Qu’il s’en aille de main à nouveau et c’est l’inflation ; c’est la faillite ! Croyez-vous que la vie économique du Pays ne s’en ressenti rait pas ? Les épargnants apportent leur ar gent aux Caisses d’Epargne au lieu de la garder chez eux. L’argent qui sort du bas de laine, l’argent que l’on place, l’argent que l’on dépense, c’est un sang nouveau qui circule dans le corps ané mié de notre économie et lui redonne la santé. Plus les capitaux circulent, plus la situation est prospère M. Vas sal ! La hausse des rentes a pour effet de Suspensions et retraits de permis de conduire M. le Préfet de l’Oise, sur la propo sition de la Commission technique spéciale instituée par le décret du 31 décembre 1922, modifiée par celui du 21 août 1928, vient de prononcer 28 suspensions (de 4 jours à 2 mois) et 6 annulations de permis de conduire à l’égard de conduikeurs de véhicules au tomobiles ayant fait l’objet de poursui tes correctionnelles et de condamna tions pour accidents à des tiers, con traventions au Code de la Route, ivres se ou délit de fuite. redonner aux rentiers un pouvoir d’a chat accru. Ils sont 8 millions de por teurs de titres’ en France, à qui la po litique financière que vous avez ap prouvée, a coûté 50 milliards de francs. Depuis deux mois leur avoir a augmenté de 10 à 15 %. Etant plus ri ches, ils pourrent dépenser davanta ge. Croyez-vous que l’économie du pays n’en bénéficiera pas ? Je suis heureux que vous m’ayez don né, M. le Député, l’occasion de vous rappeler ces vérités élémentaires que vous semblez avoir oubliées. Ainsi vous déformez systématique ment les faits ; vous habillez pudique ment la vérité d’un... tissu d’erreurs. Connaissez-vous, M. le Député!, la maladie de Dalton ? Ceux qui en sont victimes ont une curieuse déformation visuelle. Ils ne perçoivent pas les cou leurs de la même façon que nous. C’est ainsi que le rouge de votre drapeau leur semble vert et vice-versa ! Eh bien !_à la façon dont vous interprétez les événements, je pense que vous êtes atteint de daltonisme politique. Un re pos salutaire loin des luttes du forum, la jouissance paisible d’une double re traite de fonctionnaire et de député, vous redonneraient sans doute, une vue plus exacte des choses. C’est le vœu que j_e formule en terminant. leoendf -. e .

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ANNEE. — N° 24.LE NUMERO : VINGT CENTIMES DIMANCHE 17 JUIN 1934.

LE COURRIER DE L’OISEJ O U R N A L DE L A R R O N D I S S E M E N T D E S E N L I S

P a r a i s s a n t l 0 • G ix u a n o i j»

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ü n a n .. . .Six mois.

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Le Carnaval de Yenis■ 9

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Eveille-toi, Venise-la-Jolie, Voici venir ton carnaval joyeux.£N ous ne som m es p as à l ’époque

d u C arnaval, m a is c’est b ien à V enise, ville a u tre fo is célèbre p a r les ré jo u is ­sances d u C arnaval, q u ’en ces jo u rs de ju in 1934 se re n c o n tre n t le F ü h rer, A dolf H itle r e t le D uce, B en ito M us­so lin i. E t, en p a rc o u ra n t le p ro g ra m ­m e de la cérém on ie : concert vocal et in s tru m e n ta l, — illu m in a tio n d u b a s s in de S a in t M arc, — défilé dfc G ondoles, — fê tes de jo u r , fê te s de n u it, — fê tes de l’eau e t fê tes d u feu ,— -v is i te s d e M u s é e s e t r e v u e d e c h e ­m i s e s n o i r e s , — p r o m e n a d e s e n t i m e n ­ta le des d eux H om m es su r la lagune ,— salves d ’a rtille r ie , etc..., b ien des F ra n ç a is év o q u ero n t m a lg ré eux le fam eu x ca rn a v a l de V enise. S ouven ir ro m an esq u e . Il e s t v ra i q u ’ils p o u r­ra ie n t év o q u e r tyussi la V en ise des D oges. S ouven ir ro m a n tiq u e , s in g u ­liè re m e n t p lu s som bre et p lu s in q u ié ­ta n t. Car ce tte V enise là , de l’an 1310 à l ’a n 1797, fu t le siège d u fam eu x Conseil des D ix c en tre lu i-m êm e d ’u n e p o litiq u e p a ssa b le m e n t tén éb reu se , tra c a ss iè re e t d ic ta to ria le .

Il est m êm e p lu tô t à c ro ire que ce so n t ces so u v en irs-là a in s i que sa p ro ­x im ité de l’A u trich e q u i a u ro n t in ­cliné le F ü h re r à c h o is ir V enise com ­m e lieu de re n c o n tre avec le D uce, si t a n t est que ce n e so it p a s ce d e r­n ie r q u i l ’a i t lu i-m êm e choisie . V enise e s t u n lieu v ra im e n t sym bo lique p o u r c o n v e rsa tio n s d ip lo m a tiq u es e n tre d ic ta te u rs . Ces M essieurs y se ro n t ce r ta in e m en t p lu s à l ’a ise q u ’en u n c e r ta in p e ti t b o u rg de la p rov ince d ’E m ilie que l’on appe lle C anossa. L à cep en d an t, ils eu sse n t g oû té les a v a n ­tag es d ’u n e so litu d e p lu s g ran d e . Ca­n o ssa e s t u n lie u élevé d ’où l’on do­m in e les choses. L es h o m m es d ’E ta t a llem an d s o n t d u re s te co u tu m e de s’y ren d re ... E t p e u t-ê tre que M. H itle r f in ira lu i au ss i p a r y fa ire u n e « p e tite re tra ite fe rm ée ».

P o u r le m o m en t, il n ’es t p a s q u es­tio n de cela e t n o u s en som m es a u x il lu m in a tio n s a g iorno , com m e il con­v ie n t en Ita lie , Ceci ne v e u t p a s d ire q u ’u n e lu m iè re ja illis se trè s vive de ces la n te rn e s v én itien n es su r les in ­te n tio n s des d eu x d ic ta te u rs . V ont-ils se m o n tre r en la c irco n stan ce , son t-ils , au fo n d d ’eux-m êm es, des tra g é d ie n s o u des com éd iens, tra g ed ia n ti ovve co m ed ia n ti ? Chi lo sa ?

H itle r n o u s rég a le p ré se n te m e n t d ’u n e to u rn é e sen sa tio n n e lle à la m a ­n iè re de G uillaum e IL C elui-ci n ’é ta it a u fo n d q u ’u n a ffreu x com édien , seu ­lem en t sa pièce s ’est te rm in ée en h o r ­rib le trag éd ie .

C’es t p o u rq u o i ce « C arn av a l de Ve­n ise » ne n o u s d it r ie n qu i vaille .

D ’u n p o in t de vue a b so lu m en t gé­n é ra l e t to u te q u e s tio n de fasc ism e ou de p ro -fasc ism e , ou d ’an ti-fa sc ism e m ise à p a r t , il n o u s a u ra i t p a ru p ré ­fé rab le que ce fû t u n h o m m e d ’E ta t f ra n ç a is q u i se re n c o n trâ t avec M us­solin i. Il e st fâch eu x que ce so it H it­ler.

Carnet de Fiançailles

Q uel que so it l ’o b je t e t le ré s u lta t de ses co n v ersa tio n s avec M ussolin i, A dolf H itle r ne m a n q u e ra p as d ’en t i r e r p ro fit p o u r sa p ro p ag an d e .

D u re s te les d eu x h o m m es so n t a s ­sez p o sitifs p o u r v ise r u n b u t p r a t i ­que et to u t p o rte à c ro ire q u ’ils ne se ré u n is se n t p as seu lem en t p o u r le p la i­s ir de fa ire éc la te r q u e lq u es p é ta rd s . Il e s t v ra isem b lab le q u e ce se ra M. M ussolin i q u i c o n d u ira la co n v ersa ­tio n . P e r tin a x fa it o b serv er que d ep u is u n a n la d ip lo m atie fa sc is te « essu ie rev e rs su r rev e rs » e t q u ’il s ’a g ira it d ’ab o rd d ’effacer ce tte m au v a ise im ­p ress io n . Le F ü h rer d ’a u tre p a r t a été 1111 p e u t r o p f o r t , i l a u r a i t b e s o i n de conseils. Il re d o u te ra it l ’iso lem en t et c ’est p o u rq u o i il é p ro u v e ra it le be­soin d ’u n ra p p ro c h e m en t avec l ’Ita lie , p u issan ce éga lem en t rév is io n n is te .

« S u r d eux p o in ts , d it P e r tin a x , le F ü h rer et le D uce so n t a s su ré s de s’e n ­te n d re » : 1° fa ire d escen d re les a r ­m em en ts de la F ra n c e au n iv eau de ceux de l’Ita lie ; 2 “ fa ire obstac le au x p ac te s d ’ass is tan ce m u tu e lle p ro p re s a co n firm er la p a ix de 1918-19. N ous p en so n s que c ’est s u r to u t l ’av en ir qu i n o u s é c la ire ra s u r le ré s u lta t de cette e n tre v u e d éso rm ais célèbre.

P o u r l ’h eu re , il n o u s fa u t n o te r que la Société des N a tio n s sem ble p e rd re de son im p o rta n c e . E lle te n d à deve­n ir u n in s tru m e n t au p ro fit des p lu s h ab ile s ou des p lu s fo r ts e t n o u s re ­to u rn o n s p eu à peu a u x m œ u rs d ip lo ­m a tiq u e s d ’a v a n t g u erre . P ac te s lim i­tés, a rra n g e m e n ts , a llian ces, co n v ersa ­tio n s décré tés, v isites, d ém arch es p e r­sonnelles.

Com m e, d ’a u tre p a r t la Société des N a tio n s ex iste to u jo u rs e t p ré te n d jo u e r u n rô le, il s ’e n su it u n e lu m iè re p lu tô t tro u b le .

Som m e to u te , les affa ires de l ’E u ­r o p e ne so n t p a s p lu s c l a i r e s que c e l ­l e s de l a F r a n c e e l l e - m ê m e o u déci­d ém en t il n ’y a p as m o y en de fa ire la lu m iè re s u r les en q u ê te s en co u rs . Le F ra n ç a is m oyen co n tin u e à jo u ir du te m p s q u i p asse san s tro p s ’en fa ire . Il ch e rch e p eu à co m p ren d re . Il e s t m is d u reste , — à ra iso n m êm e de l ’ab o n d an ce d ’in fo rm a tio n s c o n tra ­d ic to ire s d o n t il d ispose, — d a n s l’im ­p o ssib ilité d ’y p a rv e n ir . F a u d ra it- i l donc p e n se r avec M. A dolf H itle r p ré ­c isém ent... que « la m a jo r ité ne p e u t ja m a is re m p la c e r u n ho m m e » e t q u ’ « elle re p ré se n te ra to u jo u rs n o n seu lem en t les so ts , m a is enco re les lâch es. E t au ss i v ra i q u e cen t cervel­les c reu ses ne p eu v en t v a lo ir u n sage, de c en t co u a rd s on ne t i r e r a ja m a is u n e ré so lu tio n h é ro ïq u e ». — P aro les sévères où s’a ffirm e le m ép ris de H it­le r p o u r les in d iv id u s « d u ty p e flas­que » e t qu i, m ieu x que to u te s les p h o to g ra p h ie s d o n t les jo u rn a u x so n t p le in s , n o u s p e ig n en t l’h ô te de V enise q u i v a av o ir le p la is ir ces jo u rs -c i de p re n d re son rep o s n o n lo in d u p a la is des D oges d a n s ce tte m êm e ch am b re où « la m illia rd a ire a m é ri­ca ine B a rb a ra H itto n p a ssa sa lune

M divani ».A. C h e n e t .

de m iel avec le p rin ce

N ous ap p ren o n s avec le p lu s g ra n d p la is ir les fiançailles de M. P a u l Goré, fils de Mme e t de M. le S é n a te u r A. Goré, p ré s id e n t de la C ham bre d ’A gri- cu ltu re et de la Société des A g ricu l­te u rs de l’Oise, avec Mlle E lisabe th Galm el, fille de Mme e t de M. C harles Galmel, a g r ic u lte u r à B ou tencourt et m em bre de la Société des A g ricu lteu rs de l ’Oise.

N ous form ons des vœ ux de b o n h eu r p o u r les fu tu rs époux e t nous a d re s ­sons tou tes nos fé lic ita tions à leu rs fam illes.

ASSÊMBLÉE GÉNÉRALE de l’Union fraternelle

des Sociétés de Secours Mutuels de l’Oise

Les délégués des sociétés de secours m u tu e ls ad h é ren ts à l’U nion F ra te r ­nelle des sociétés de secours m u tue ls de l’Oise, so n k convoqués en assem ­blée gén éra le s ta tu ta ire le sam edi 16 ju in , à 14 h eu res 30, au siège social, 3, p lace C arnot, à Creil.

O rdre du J o u r :R ap p o rt m ora l et f in an c ie r de l’ex e r­

cice écoulé.R enouvellem ent du Conseil.Colonies de vacances.R ap p o rt s u r caisse de réa ssu ran ce .Divers.

A l’Union départementale des Sociétés de Secours Mutuels

de l’Oise

Le Conseil d ’ad m in is tra tio n de l’U nion a l ’h o n n e u r de fa ire co n n a ître au x p ré s id en ts des sociétés a d h é re n ­tes, que l’assem blée gén éra le de l’U nion d ép artem en ta le se t ie n d ra Creil, sa lle de la m airie , le d im anche 17 ju in , à 15 heu res.

Concours de Photographie

Comité départem ental d 'Ententedes Groupements républicains

e t d’Action sociale oe l’Oise

La réu n io n trim estrie lle de la Com­m ission exécutive du Comité s ’e s t te ­nue le m ard i 29 m ai 1934, à 10 heures, à l’Hôtel du Chem in de F e r à Creil.

Les élus can to n au x ad h é ren ts au Co­m ité av a ien t été spécia lem en t convo­qués à cette réun ion .

La séance e s t ouverte à 10 heu res 15 sous la p résidence de M. de l’Aigle, député, rem p laçan t le P ré s id en t M. A. Goré, sén a teu r, em pêché.

Lo P ré s id e n t rem ercie nos am is d ’ê tre venus en au ss i g ra n d nom bre, et il p ré sen te les excuses de p lusieu rs m em bres. Il donne au ss itô t la parole au sec ré ta ire g én éra l, M. Toupiolle, po u r la lec tu re du p rocès-verbal de la d e rn iè re réu n io n qui est adopté* sans observation .. S

Le sec ré ta ire gén éra l ren d compte de la situ a tio n financ iè re du Bulletin au 30 av ril d e rn ie r, qui est app rou ­vée.

L’assem blée s ’occupe ensu ite des é- lections can to n a les qui a u ro n t lieu au m ois d ’octobre p ro ch a in . Au su je t de ces é lections le P ré s id e n t fa it p a r t de la décision p rise p a r q u e lques-uns de nos am is de ne p as so llic ite r le renou­vellem ent de le u r m an d at.

En p résen ce de ces décisions qui sont irrévocab les , M. F o u rn ie r Sarlovèze dem ande au x d ir ig ean ts p résen ts des com ités in té ressés de se ré u n ir au plus tôt, p o u r ch o is ir les can d id a ts qui de­v ro n t rem p lace r ceux qui ne se re ­p ré se n te n t plus.

M. F o u rn ie r Sarlovèze p réc ise en quelques rn o ts ,J a g rav ité de la s itu a ­tion ac tuelle , ta n t au p o in t de vue ex­té rieu r, qu ’au p o in t de vue in té rieu r.Il a d ju re tous nos am is de s ’u n ir é- tro item en t a u to u r du G ouvernem ent d ’U nion N ationale de M. D oum ergue, qui est le seu l capab le d ’am élio re r la s itu a tio n d an s les c irco n stan ces p ré ­sentes. Comme conclusion : le M aire de C o m p iè g n e d e m a n d e q u ’a u x p r o c h a i ­n e s é l e c t i o n s c a n t o n a l e s i l y a i t d a n s chaque can to n u n can d id a t d ’U n k r a N ationale ? Cette p roposition m ise, aux voix e s t adoptée à l ’u n an im ité .

L’assem blée décide qu ’une réu n io n a u ra lieu dan s la deuxièm e q u inza ine d’aoû t po u r s’e n tre te n ir à nouveau de ces. é lections e t d o n n er l ’in v es titu re au x can d id a ts qu i a u ro n t été désignés p a r nos Comités.

Il e s t décidé éga lem en t q u ’une ré u ­n ion p rivée des m ilitan ts rép u b lica in s de la c irco n sc rip tio n de C lerm ont a u ­ra i t lieu p ro ch a in em en t à S a in t-Ju s t- en-C haussée.

Le sec ré ta ire gén éra l est ch arg é d’é- tu d ie r la p ossib ilité d ’o rg a n ise r une assem blée gén éra le départem en ta le .

Le P ré s id e n t dem ande à l’assem blée ce q u ’elle pense de l’action de no tre P resse d ép artem en ta le . M. F o u rn ie r Sarlovèze p ren d la p aro le et fa it u n exposé trè s in té re ssa n t de cette qu es­tion. Il reg re tte la tro p g ran d e d isp e r­sion de nos efforts dan s ce dom aine, et il v o u d ra it v o ir ces d e rn ie rs réu n is d an s une action p lu s hom ogène et p lus active.

Cet exposé a provoqué d ifféren tes suggestions de la p a r t de p lu s ie u rs ’ m em bres de l ’assem blée. C elles-ci se­ro n t étud iées au cours d 'une réu n io n spéciale p a r u n e com m ission qu i est désignée im m édiatem ent.

L’o rd re du jo u r é ta n t épuisé, le P ré ­s id en t lève la séance à 11 h eu res 45.

L a B a s o c h e Lettre ouverte à M. VassalAsstciation Syndicale P ro fessionnelle

dts Clercs de N ota ire e t d ’Avoué de Fiance, d’A lgérie et des Colonies.

Fondée en 1884S ig e social : (en son im m euble),

37, ooulevard S a in t-G erm ain , P a ris (5").T éléphone : Odéon 78-42.

Coisation ann u elle : 36 fran cs, don- .n a n t d ro it au service g ra tu it b i-m en - sueljie la « Revue N ouvelle de N ota­ria t, de P rocédure et d ’E n reg is tre - m ent» , o rgane co rp o ra tif e t ju rid iq u e de A ssociation .

Coâsation an n u e lle p o u r le p e rso n ­nel ion clerc : 20 fran cs, d o n n a n t d ro it au service g ra tu it du B u lle tin Corpo- ■ratf seul.

•Son action corpora tive :J h 't r a i te s , un ifica tio n do la_ clérica-

ture, s ta tu t co rpo ra tif, p a rtic ip a tio n aux bénéfices, repos dom inical, sem ai­ne ang la ise , v acances payées, acci­dents du tra v a il, accession aux^ fonc­tions de juge de pa ix , assim ila tio n de l’Ecole P o ly techn ique de N o ta ria t p a r correspondance, a ss im ila tio n des clercs d’A lsace-L orraine, c lasse u n iq u e du stage, lég is la tio n p ru d ’hom m ale, a t t r i ­bution de la Légion d’h o n n e u r au x vieux clercs m éritan ts .

Son ac tion p ro fessionnelle :Service g ra tu it de la R evue N ouvel­

le, 48 et 64 pages, p a r q u inza ine , con­tenan t des d isse rta tio n s th éo riq u es et pratiques, u n e ch ron ique fiscale, une partie de ju risp ru d e n c e , tou tes les lois nouvelles, u n B u lle tin p a rle m e n ta ire , etc... e t u n B u lle tin co rpo ra tif.

Edition du P réc is-F o rm u la ire du No­ta ria t en 8 volum es, d o n t 6 dé jà p a ru s en lib ra ir ie e t le sep tièm e en cours de publication .

C oncours p ro fessionne ls a d ifféren tsdegrés. , .

Cercles d ’études rég ionaux . B iblio thèque.C o n s u l t a t i o n s .O ff ic e d e p l a c e m e n t g r a t u i t .

Son b u t :P ro tég er e t défendre les in té rê ts co r­

poratifs.F av o rise r la bonne cam arad erie . F ac ilite r e t développer l’in s tru c tio n

professionnelle .

R en se ig n em en ts :P o u r tous ren se ig n em en ts , s ’a d re s ­

se r à M. P au l Cayeux, 25, ru e de B eau- vais, à S enlis, sec ré ta ire de la Section de l ’Oise.

M onsieur le D éputé,Le fam eux D octeur Goué recom m an­

d a it à ses m alades de p ro n o n c e r ch a ­que m atin , au réveil, la p h ra se sa c ra ­m entelle su iv an te : « Ça va b ien ; ça va m ieux ! » e t ceux-ci v oya ien t d isp a ­ra ître leu rs souffrances.

Im ita n t cet illu s tre exem ple, vous p roclam ez chaque sem aine — à l’u sa ­ge de vos lec teu rs , — : « depuis que ■nous avons u n g o u v ern em en t d ’U nion N ationale , ça va m al ; ça va de p lus en p lus m al ! »

C ependant vous ne convainquez p e r­sonne. M. D oum ergue p o u rsu it t r a n ­q u illem en t sa .b e so g n e de sa lu t p u ­blic ; le pays rep re n d confiance ; votre pessim ism e de com m ande tom be à faux et m êm e, l’avo u era i-jc ? la lec tu re de vos p a p ie rs me p ro cu re une douce r i ­golade !

Vous ne réussissez pas si b ien que le D o c t e u r .Coué. G’est que p o u r a p p li­q u e r avec f ru it sa m éthode, ü fau t avo ir la foi. Or, vous ne l’avez pas . 11 n ’est p as possib le, en effet, que vous accord iez une croyance au x e rre u rs que vous débitez, à ra iso n de 20 cen ti­m es le num éro , p o u r quelques po i­gnées de lec teurs.

** ★

Je veux a u jo u rd ’hu i, rép o n d re aux c ritiq u es que vous ad ressez à ce gou­v e rn em en t qu i s ’es t donné p o u r tache de re d re sse r les fau tes de vo tre po liti- que.

Vous croyez, M. le député , que le cab in e t n ’a p as bonne p resse dans

le P ay s R épub lica in ». A lors, lisez les jo u rn a u x ! T outes les élections p a r tie l­les accu sen t depuis deux m ois nos su c ­cès e t vos défaites. L’a u tre d im anche encore, à R em irem ont, le « fro n t com ­m un » si ch er à vo tre cœ ur, a p e rd u 1.900 voix e t nous en avons gagné 1.500 p a r ra p p o r t à 1932. A M antes, à P a n s , à L orien t, à R em irem ont, p a r to u t le « P a y s R épub lica in » vous a répondu . E n reg is trez son dém enti!

Les catastrophes de la

L’A utom obile Club de l’He-de-BTance, o rg an ise en tre ses S ocié ta ires, u n Con­cours de p h o to g rap h ie d ’am a teu rs do­té de p rix nom breux et in té re ssan ts .

Les tro is p 'rem iers p r ix se ro n t re ­p résen tés p a r des sé jo u rs de 8 à 10 jo u rs dan s des hôtels su isses.

D’a u tre p rix , a p p a re ils , p ro d u its p h o to g rap h iq u es, etc..., récom pense­ro n t les lau réa ts .

Les règ lem en ts so n t à la d isposition des in té ressés su r sim ple dem ande a- dressée à l ’A. G. I. F., 8, p lace de la Concorde.

Nous pouvons dès m a in te n a n t in d i­q u er que tro is ép reuves so n t d em an ­dées :

1. U ne ép reuve re p ré se n ta n t u n s u ­je t p u re m e n t autom obile.

2. U ne épreuve p ré se n ta n t un c a ra c ­tè re a rtis tiq u e .

3. U ne épreuve p ré se n ta n t une d iffi­cu lté ph o to g rap h iq u e . *

Ces épreuves d ev ro n t ê tre rem ises le 15 ju ille t au p lus ta rd .

Fédération des groupes commerciaux e t industriels de l'Oise

Nous rap p e lo n s que l’assem blée gé­n é ra le e t le XIVe C ongrès de la Confé­d é ra tio n des g roupes com m erciaux et in d u s tr ie ls de l’Oise, a u ro n t lieu de­m ain d im anche 17 ju in , à C hantilly , sous la p résidence de M. Em ile M auny, p résid en t.

A 10 heu res , assem blée généra le , sa l­le des fêtes de l ’Hôtel de Ville.

A 12 heu res , d é jeu n e r am ical, Hôtel du P arc .

A 14 heures, C ongrès, sa lle des fêtes, ra p p o r t de M. M auny e t conférence de M. V ictor C onstant.

P u is , p ro m en ad e-ex cu rsio n à la P la ­ge de B oran , p a r la fo rêt du Lys.

Les autom obilistes n 'auront plus à acqu itte r les taxes

communales e t départem entalesLe « Jo u rn a l Officiel » de d im anche

a pub lié un d écre t co n tresigné p a r les m in is tre s des finances, du com m erce et de l ’in té rie u r, e t p o rta n t rem p lace­m en t des taxes locales s u r les au tom o­bilistes.

On sa it que l ’a rtic le 20 de la loi de finances du 23 décem bre 1933 a su p ­p rim é les d ro its de c ircu la tio n perçus su r les véhicu les au tom obiles u tilisa n t u n c a rb u ra n t e t rem placé cette im po­sition p a r une taxe s u r les ca rb u ­ra n ts .

R esta ien t les taxes d épartem en ta les et com m unales qui n ’é ta n t p as su sp en ­dues a u ra ie n t obligé les au tom obilistes à d iverses dém arches ennuyeuses. Ces taxes locales v ie n n e n t d’ê tre suppri.. m ées p a r le d écre t de d im anche. La* m oins-value qui en ré su lte ra d an s les bénéfices fiscaux des collectiv ités se ra palliée a in s i q u ’il est p rév u au x a r t i­cles 1er e t 2 du décret.

En ce qu i concerne l ’ap p lica tio n du d écre t à l’année en cours, le p a ra g ra ­phe 5 de l ’a rtic le 3 dispose no tam ­m en t :

« E xcep tionne llem en t p o u r l ’année 1934, v ien t égalem ent en déduction le m o n tan t des taxes dép artem en ta les e t com m unales effectivem ent encaissées au titre de l’exercice 1934 s u r les v éh i­cules au tom obiles p o u r lesquels le d ro it de c ircu la tio n a été su p p rim é à p a r t ir du p rem ie r fév rie r 1934.

« Enfin, s ig n a lo n s que l ’a rtic le 4 p ré ­voit que les recensem en ts an n u e ls des véh icu les au tom obiles s o n t effectués p a r les so ins de l ’ad m in is tra tio n des co n trib u tio n s in d irec tes ».

P a r le cycliste exagéré , nous avons connu le « p éd ard », l ’au tom obiliste n é ­vrosé a en g en d ré le « chau ffa rd », en ­fin le fau x to u ris te nous donne le « tra în a rd », qu i com prend p lu s ieu rs catégories.

Il y a l ’au tom obiliste échappé de P a ­ris ou de la b an lieu e , accom pagné de gès am is, e t se considère , hors des li­

m ite s de l ’octro i qui ferm e son h o ri­zon hab itu e l, com m e le ro i de la n a tu ­re. Ig n o ra n t sa rou te , il dem ande ou p lu tô t il aboie au p re m ie r venu, san s s ’a rrê te r : P o u r C om piègne ?... P o u r E rm enonville ?... Si, l ’hum ble c itoyen in te rp e llé h ésite à rép o n d re , il s ’e n ­tend tra ité de c ro q u an t, de ballo t, etc., le héros con tinue son chem in et... re ­com m ence p lus loin.

Il y a le Snob d o n t les c o n n a is sa n ­ces géograph iques se lim iten t au guide b leu ou vert, seu l capab le de p a llie r à son igno rance ; b re f un sam edi so ir il tombe su r X..., v ille in té re ssa n te à v isiter. Le lendem ain , ce T ra în a rd baille devan t une ca th éd ra le , e t ne dé­couvre r ie n qu i p u isse rem p lace r la m ajesté du bouchon de son ra d ia te u r ou le m ystère de son c a rb u ra teu r . Dé­jeu n e en v itesse , s ’é tonne de l’absence de tou t d an c in g , baille d ’en n u i, ex- quisse su r la chaussée u n vague ta n ­go, rem onte en vo itu re en d é c la ra n t Quel sale p a te lin , ce q u ’on s ’y en n u ie !

La^ tro isièm e catégorie a p p a r tie n t au x élém ents enferm és d an s ces- cars ventrus à l ’excès qui, en d éb a rq u an t, inondent la p e tite p lace de l’en d ro it d ’un g ro u illem en t h é téroclite du p lu s bizarre effet. G’est à qu i h u r le ra le plus fo rt ou se coiffera d ’u n couvre- chef le p lu s b iza rre p o u r ép a te r « le populo », cep en d an t que les p lu s dé- %ês* ch a n te n t en ch œ u r les « g a rs de l^ 'm arin e » p o u r fa ire vo ir q u ’ils son t à ja page.

D ern ièrem en t p lu s ieu rs de ces ca rs déversaien t à Sen lis u n ch a rg em en t de Phénom ènes qui p o u r le u r d é p a rt se ^ g ro u p è re n t au m o n u m en t aux M orts. Je vous fa is g râce de leu rs réflexions aiissi s tup ides que déplacées, m ais une P articu lière e x trav ag an te com m e on Peut s ’en douter, ne tro u v a r ie n de mieux que de se fa ire p h o to g rap h ie r, devant ce m onum ent, coiffée d ’un cha­peau h a u t de form e, b u rlesque . La pauvre a u ra it m ieux fa it d an s u n ce­risie r p o u r en sau v e g a rd e r la récolte et n ’a u ra it pas été en peine de trouver, au ja rd in d’acc lim ata tion , u n cad re mieux a p p ro p rié à son g en re de b eau ­té.

Des p éd ard s, des chau ffards, des tr a î­nards — S a in t C hristophe — délivrez- nous.

Plumedoie.

Vous écrivez au su je t de la réform e fiscale : « les nouveaux p ro je ts do ré ­f o r m e f i s c a l e s ’i l s o n t s é d u i t au p re ­m ie r ab o rd la is se n t scep tiques ceux qu i réfléch issen t que les dégrèvem ents d’im pôts d irec ts ne p o u rro n t jo u e r qu ’en 1935 ? a lo rs que les im pôts in d i­rec ts qui fo rcém ent les rem p lace ro n t se ro n t app liq u és su r les d e rn ie rs m ois de 1934 ».

s Les dég rèvem en ts d ’im pôts d irec ts ne p o u rro n t jo u e r q u ’en 1935 »...d ites- vous ? M ais, fo rcém en t ! Ignorez-vous donc q u ’il y a u n décalage d ’une année d ans la percep tio n des im pôts d irec ts ? Ceux que nous p a ie ro n s cette année so n t ca lcu lés s u r les rev en u s e t les s a ­la ire s de 1933 e t les rô les é ta n t dé jà ém is, on ne p e u t les m odifier. Si u n G ouvernem ent socia liste p ro p o sa it cet-

I te réform e, il n ’a g ira it pas a u trem en tsemaine à m oins d ’en re c u le r l’ap p lica tio n gé­n é ra le ju sq u ’en 1935. Or, p o u r avoir l ’effet s tim u la n t qu’on en a tten d , cette m esu re doit ê tre votée e t app liquée le p lu s tô t possible.

Vous ajou tez, M. le D éputé : « d’a il­leu rs le m in is tre des F in an ces ne ca­che pas que cette réform e p ro c u re ra au T ré so r une recette su p p lém en ta ire d ’u n m illia rd , que ne s a u ra ie n t p ay e r les fra u d e u rs du fisc ».

V ous êtes v ra im e n t m al ren se ig n é . Je ne com prends p as q u ’u n p a rle m e n ­ta ire , a y a n t à s a d isposition tou te la do cum en ta tion q u ’il p u isse d ésire r, s ’en rem ette à son im ag in a tio n fertile q u an d il s ’a g it d’a p p o r te r des p réc i­sions. Vous êtes du M idi ; ça n ’est pas u n e ra iso n p o u r ex ag é re r ! Le M inis­tre des F in an ces n ’a jam ais d it que la réform e fiscale p ro c u re ra it au T ré so r u n e rece tte su p p lém en ta ire de u n m il­lia rd , m ais seu lem en t de 200 m illions. Q uant au x fra u d e u rs du fisc ! P ren ez donc la peine de re lire l’exposé des m otifs du p ro je t et le com pte ren d u des séances de la C om m ission des F i­nances, e t vous v e rrez que M. G erm ain M artin esp ère com penser, en p a rtie , les m o ins-v a lu es p ro v e n a n t de la d i­m in u tio n des im pôts, p a r u n e ré p re s ­sion sévère de la frau d e fiscale, qui p e rm e ttra de ré c u p é re r u n m illia rd 200 m illions.

S i u n dép u té h a b ita it M ars, N ep tune ou S a tu rn e , il s e ra it encore m ieux au c o u ra n t que vous ne l ’ê tes des choses du P arlem en t.

La constatation des accidents par la gendarmerie

Il a rriv e fréquem m en t , que les u sa ­gers de la route, victim es d ’acciden ts p u rem en t m atérie ls d em an d en t le con­cours de la b rig ad e de g en d arm erie la p lu s proche, afin de fa ire co n sta te r su r-le -ch am p le p ré ju d ice qui le u r est causé.

Au term e de la rég lem en ta tio n en v igueu r, le gendarm e n ’a p as à in te r ­v e n ir dans les fa its qui ne do iven t d o n n er lieu q u ’à des rép a ra tio n s civ i­les e t sa com pétence s ’étend seu lem en t à ceux de n a tu re à m otiver des p o u r-

u ites ju d ic ia ires .Cette règ le , cependan t, n ’est pas sans

p ré se n te r en la c irconstance, quelques inconvén ien ts. Il p a ra î t an o rm al au x u sag ers de la rou te que le gendarm e, tém oin d’u n acc iden t m atérie l, se re ­fuse à toute c o n s t a t a t i o n et se r é c u s e , bien q u ’il s o i t s u r p l a c e , a u p r o f i t d u n h u issie r. Il conv ien t d ’a jo u te r, g aii- leu rs. que le gendarm e, du fa it de ses a ttr ib u tio n s en m atiè re , de police de la rou te , se voit fréquem m ent en p a re il cas, dans l’ob ligation de ré ta b lir la li­b erté de la c ircu la tio n en fa isan t dé­p lace r les véhicu les acciden tés e t se h eu rte a lo rs à la dem ande in s ta n te des p ro p rié ta ire s qui d é s iren t que les ob­je ts so ien t m a in ten u s en é ta t ju s q u a l’a rriv ée de l’officier m in is té rie l p o u r é ta b lir le constat.

D’accord avec le G arde des Sceaux, le m in is tre de la G uerre a é tud ié les m oyens d ’é tend re la com pétence des m ilita ire s de la g en d arm erie en m a tiè ­re d ’acciden ts de la c ircu la tio n et dé­cidé, qu ’en l ’absence d’u n h u issie r, les gen d arm és a u ra ie n t qua lité p o u r cons­ta te r les acc iden ts p u re m e n t m a té rie ls d an s les deux cas su iv an ts :

t . L o rsq u ’ils sont les tém oins de l’ac ­c id en t ou qu ’ils su rv ie n n e n t in o p in é ­m en t su r les lieux alors que les ob­je ts so n t encore en é ta t ;

2. Lorsque, é ta n t à leu r résidence , il le u r est s ig n a lé qu ’un acc id en t sim ­p lem en t m atérie l crée u n obstacle d a n ­gereux p o u r la c ircu la tion .

Le p rocès-verbal d ressé en p a re il cas p a r la g en d arm erie n ’a u ra d’a u tre va­le u r que celle d’un p ro cès-v erb al de ren se ig n em en ts ; en ou tre , les g en ­darm es ne dev ron t en ten d re , au cours de le u r co n sta t que les tém oins qui s ’o ffriron t sp o n tan ém en t à fa ire une déclara tion .

Les Grandes Commissions de la Chambre

La C ham bre a procédé au renouve l­lem en t a n n u e l de ses g ran d es com m is­sions.

Ont été désignés :C om m ission des A ffaires E tra n g è ­

res : M. de l’Aigle.Com m ission des com ptes défin itifs

e t des économ ies : MM. S chm id t e t V as­sal.

Com m ission des douanes e t des con­v en tions com m unales : M. D upuis.

Com m ission des finances : M.Schm idt.

de la lég isla tion civile M. U hry.des tra v a u x pub lics et

des m oyens de com m unication : M. Au- baud.

Com m ission et crim inelle :

Com m ission

C o n tin u an t vos réflexions estivales, vous écrivez encore : « la re n tré e de l’o r à la B anque de F ran ce , les V erse­m en ts au x Caisses d ’E p arg n e , la h a u s ­se des ren te s , n ’o n t au cu n e ac tion s u r la vie économ ique du p ay s ».

Q uand l’o r fu it à l ’é tra n g e r, q u an d les C aisses d ’E p arg n e se v id en t de ca ­p itau x , q u an d les ren te s b a issen t, c’est que la confiance ne règne p as e t la vie économ ique reste p ara ly sée . La m ajo ­r ité que vous souteniez, M. le D éputé, en a fa it la tr is te expérience.

L’o r accum ulé dan s les caves de la B anque de F ran ce g a ra n ti t la so lid ité de n o tre m onnaie . Qu’il s ’en aille de­m ain à nouveau e t c ’est l ’in fla tion ; c ’e s t la fa illite ! C royez-vous que la vie économ ique du P ay s ne s ’en re sse n ti­r a i t p as ?

Les é p a rg n a n ts a p p o rte n t le u r a r ­g en t au x Caisses d’E p arg n e au lieu de la g a rd e r chez eux. L’a rg e n t qui so rt du bas de la in e , l ’a rg e n t que l’on place, l ’a rg e n t que l’on dépense, c’est u n san g nouveau qui c ircu le dan s le corps an é ­m ié de n o tre économ ie et lu i redonne la san té . P lu s les cap itau x c ircu len t, p lu s la s itu a tio n es t p ro sp ère M. V as­sal !

La hausse des rentes a pour effet de

Suspensions e t re tra i tsde permis de conduire

M. le P ré fe t de l’Oise, s u r la p ro p o ­sition de la C om m ission techn ique spéciale in stitu ée p a r le d écre t du 31 décem bre 1922, m odifiée p a r celui du 21 aoû t 1928, v ien t de p ro n o n ce r 28 su sp en sio n s (de 4 jo u rs à 2 m ois) e t 6 a n n u la tio n s de p erm is de condu ire à l ’égard de condu ikeurs de véh icu les a u ­tom obiles a y a n t fa it l ’ob jet de p o u rsu i­tes co rrec tio n n elles e t de co n d am n a­tions p o u r acciden ts à des tie rs , con­trav en tio n s au Code de la R oute, iv res­se ou dé lit de fuite.

re d o n n e r au x re n tie rs u n pouvo ir d ’a ­c h a t accru . Ils s o n t 8 m illions de p o r­teu rs de titre s ’ en F ran ce , à qu i la p o ­litiq u e fin an c iè re que vous avez a p ­prouvée, a coûté 50 m illia rd s de fran cs. D epuis deux m ois le u r avo ir a augm en té de 10 à 15 %. E ta n t p lu s r i ­ches, ils p o u rre n t d ép en se r d a v a n ta ­ge. Croyez-vous que l ’économ ie du pay s n ’en bénéfic ie ra p as ?

Je su is h eu reu x que vous m ’ayez don­né, M. le D éputé, l ’occasion de vous ra p p e le r ces vérités é lém en ta ires que vous sem blez avo ir oubliées.

A insi vous déform ez sy stém atiq u e­m en t les fa its ; vous hab illez p u d iq u e­m en t la v érité d ’un... tis su d’e rre u rs .

C onnaissez-vous, M. le Député!, la m alad ie de D alton ? Ceux qu i en son t v ic tim es o n t u n e cu rieuse défo rm ation v isuelle . Ils ne p erço iven t pas les cou­leu rs de la m êm e façon que nous. C’e s t a in s i que le rouge de vo tre d rap eau le u r sem ble v e rt et v ice -v e rsa ! Eh b ien !_à la façon don t vous in te rp ré tez les événem ents, je pense que vous êtes a tte in t de dalton ism e politique. Un re ­pos sa lu ta ire loin des lu ttes du forum , la jo u issance p aisib le d’une double re ­tra ite de fonc tionna ire e t de député, vous re d o n n e ra ien t san s doute, une vue p lus exacte des choses. C’est le vœ u que j_e form ule en te rm in an t.

l e o e n d f -.e .

Page 2: ANNEE. — N° 24. LE COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_06_17_MRC.pdf · i Ots s’abonne aax Bureaux «la Jonnsal «t «Sons ton» ... B U R E A

M. Jevtitch, la Yousoslavie et la France

Automobile-Club de l’Ile-de-France

La récep tion donnée p a r M. S p ak a- laïkov itch , m in is tre de Y ougoslavie a P a ris , en l ’h o n n eu r de M. Jev titch , m i­n is tre des A ffaires E tran g è re s fu t une ch a rm an te e t conso lan te m an ifesta tion d ’am itié Franco-Y ougoslave. Sous les fleurs d e 'F ra n c e l’élite p a ris ie n n e v in t sa lu e r l’envoyé du peup le fidèle^et b r a ­ve e n tre tous, don t les destinées sont liées au x notées. H om m es po litiques, éc riv a in s , jo u rn a lis te s , fem m es au x to i­le ttes d ’a rt, d ip lom ates au x so u rire s p e rp é tu e ls , officiers de b e rb ic ou de D alm atie au x un ifo rm es célèbres, se p re ssa ie n t dan s les sa lons du S quare T h ie rs. Cette récep tion n ’est pas seu ­lem en t u n sym bole ! A quelques sem ai­nes des événem ents du 6 fév rier, elle rev ê t u n e s ig n ifica tion positive. Les po litic iens ca rte llis te s av a ien t fina le­m ent écarté de nous les p eup les do la P etite E n ten te . La P tilogne elle-m êm e, re fu sa it de nous su iv re su r le chem in des concessions à l’A llem agne, à l’A u­trich e e t à la H ongrie. La Y ougoslavie, u n in s ta n t p u t se cro ire abandonnée , et, p ay s p ru d e n t a u ta n t q u ’audacieux , ch e rch a it d ’a u tre s voies de sa lu t. La p o litique de tra d itio n fran ça ise trio m ­p h a n t nous voyons im m éd ia tem en t se ra p p ro c h e r nos am is. « Il fa u t o ser en se g a rd a n t » cette m axim e serbe do it ê tre égalem ent la n ô tre e t d em eu rer la ’ n ô tre , dan s u n e a llian ce p e rpé tue lle , face à la M éd iterranée où s ’ag ite l’I ta ­lie, face à l ’E urope C entrale où l ’A lle­m agne se rép an d . La venue de M. Je v ­titch sign ifie que la Y ougoslavie m onte p o u r nous l'a garde aux B a lk an s et su r l ’A dria tique , m ais que le jeu n e et rude royaum e a besoin de nos secours. A près les an n ées de' m orts , de ru in e qu i v ien n en t do se succéder, no m a r­chan d o n s pas à ce peu p le héros no tre sy m p ath ie e t no tre or. L’équ ilib re eu ­ropéen donc la p a ix se ro n t réa lisés à cette condition...

Nous n ’igno rons p as que la m ajes tueuse a lte rn a n c e du repos des p e u ­p les e t leu rs tu m u ltes son t la « re sp i­ra tio n » de la vie m êm e. Les A nciens G recs fig u ra ien t Je tem ps Sous la fo r­me d ’un S erpen t p o u r in d iq u er san s doute, que se ro u lan t san s cesse, il r a ­m ène é te rn e llem en t les m êm es v ic iss i­tudes. L’h is to ire de B elgrade a ttaquée , de nos fro n tiè re s envah ies en 1914 de­v ra it nous re s te r en m ém oire. Il nous fau t p e rd re la m an ie de cro ire que les to u rm en tes de n o tre époque son t ex tra o rd in a ire s ; elles fu re n t ce t tes d ’h ie r, elles se ro n t celles de de m a in , c’e s t pou rquo i les ép reu v es qui se p ré p a re n t ne nous c au sen t q u ’un troub le de su rface , j ’a lla is d ire de : « convenance ». « J e d é tru ira i e t j ’éd i­fiera i », d it l ’E c ritu re ! Eh b ien , à ob­se rv e r les événem ents san s p assio n et sa n s c ra in te , il sem ble que le D estin a it « flanqué » la F ran ce de ce rta in s p eup les don t la vie e t la m ort son t liées à, sa p ro p re ex istence e t à sa d estru c tion.

La vieille Serb ie des K arageo rge , la jeu n e e t rob u ste Y ougoslavie d ’A lexan­dre F ' a p p a r tie n n e n t à ces n a tio n s s a ­te llites de Ta nôtre . Les la is se r s ’é te in - d re s e ra it ré p a n d re s u r nous l ’éternel le n u it p résag e des ca ta s tro p h es défi­n itiv es où s ’en sev e lissen t les peup les et le u r c iv ilisa tion .

Georges GRANDJEÀNP. S. — N ous au rio n s so u h a ité que

M. Je y titc h reçû t les an c ien s com bat ta n ts du fro n t d ’O rient.

Comité de l’a rro n d issem en t de Senlis

SEANCE DU 29 MAI 1934

La nouvelle Loisur la révision des baux ruraux

M. P ie rre de Féliee, avocat à la Cour d’appel de P a ris , av a it donné, sous la p réface de M. H enri O ucuille, m in is tre de l’A gricu ltu re , un com m enta ire p a r ­ticu liè rem en t ap p réc ié p a r s a c la rté s u r la loi du 8 av ril 1933 p o r ta n t rév i­sion des b au x ru ra u x .

Cet ouvrage es t a u jo u rd 'h u i com plé­té p a r les ju g em en ts in te rv en u s en ap p lica tio n de la dite loi et p a r une é tu d e des tra v a u x p a rle m e n ta ire s e t du tex te de la loi in te rp ré ta tiv e du 22 m ars 1934 s u r le m êm e su je t.

Les fe rm ie rs condam nés à p a y e r le p rix p o rté à le u r c o n tra t p e n d a n t le dé la i-congé a eux accordé a p rè s ré s i­lia tio n de le u r bail a u ro n t u n in té rê t p a r tic u lie r à se p ro c u re r rap id em en t ce nouveau cam m en ta ire . P e n d a n t un déla i de q u in za in e seu lem ent, un re ­cou rs le u r e s t ou v ert p o u r o b ten ir le seu l p a iem en t d u nouveau p r ix fixé p a r le p ré s id e n t du tr ib u n a l civil.

En vente , l ’ouvrage com plet, 5 fr. chez l ’au teu r, 15, ru e G odot-de-M au- roy , P a r is (Q").

PREFECTURE DE L’OISE

S" D ivision - 1 " B u reau

Adjudication de TravauxLe m ercred i 11 ju ille t 1934, à 10 h eu ­

res 30, il s e ra procédé à la P ré fec tu re de l’Oise à l ’ad ju d ica tio n des tra v a u x de co n stru c tio n des ch aussées de la dév ia tion de la Route N ationale num é­ro 32, d an s la trav e rse de Com piègne.

T rav au x à l ’e n tre p rise : 357.720 fr.C au tionnem en t p rov iso ire e t défin i­

tif : 10.000 francs.On p e u t p re n d re co n n a issan ce des

p ièces du p ro je t tous les jo u rs o u v ra ­bles, de 9 h eu res à 12 h eu res e t de 14 h eu res à 17 h eu re s :

1. à la P ré fec tu re de l ’Oise (3e divi- vion - V r b u re a u ) ;

2. cfnns les b u reau x de M. D asabie, in g én ieu r des P on ts e t C haussées, 7, ru e de L ancry , à C om piègne.

Les c an d id a ts à l ’ad ju d ica tio n doi­v en t p ré se n te r les pièces rég lem en ta i­res d an s les dé la is p re sc r its p a r l ’a f­fiche d ’ad ju d ica tio n à M. B e d a u x ^ in - g é n ie u r en chef des P on ts e t GKaüs sées, 1, ru e Jean.-V ast, à B eauvais.

A V I S

Joindre à toute demande de changement d’adresse la dernière f bande du journal et / franc pour frais de nouvelles bandes.

Le Comité de l’a rro n d isse m e n t de S en lis de TA. G. I. F. s ’est ré u n i à S en ­lis, le m ard i 29 m ai 1934, à 1(3 h e u re s 30 dan s la salle du S y n d ica t d ’in i t ia t i ­ves, sous la p résidence de M. le Gonfle A rn au ld D oria, p résid en t.

P ré sen ts : MM. le Comte A rn au ld D oria, p ré s id e n t ; A-udy, v ice -p ré s i­den t ; P luche , sec ré ta ire ; P ie rra rd , M antel, de M aricou rt e t Boilet, m em ­bres.

L a séance ouverte, M onsieur le P ré ­s id en t p ré sen te les excuses de MM. de R oberval, v ice -p résid en t ; H équette, T e rg n ie r e t H am elin.

P ro cès-v erb a l de la d e rn iè re réu n io n

Il est procédé à la lec tu re du procès- ve rb a l de la réu n io n du 27 octobre 1933, qui est adopté sa n s au cu n e ob­servation .

Compte re n d u fin an c ie r

M. P luche , sec ré ta ire tré so r ie r don­ne co n n a issan ce de la s itu a tio n fin an ­cière.

Le Comité ap p ro u v e les com ptes.

Compte re n d u du R allye-B allon de S en lis

M onsieur le P ré s id e n t fa it d o n n er lec tu re du com pte ren d u du R allye- B allon du 6 m ai 1934.

La m an ifesta tio n , favorisée p a r un tem ps sp lend ide , a ob tenu u n p le in succès pu isque 10 cyclistes et 26 au to ­m obilistes et m otocyclistes p r ire n t le départ.

Le Comité ad resse ses fé lic ita tions à MM. Lucien P ie rra rd e t P luche , o rg a- , n isa te u rs , à M. A udy, v ice -p résid en t, et s e s r e m e r c i e m e n t s t o u t p a r t i c u l i e r s à M. M ichel, d ire c te u r gén éra l de l ’A. G. I. F. qu i voulu t b ien offrir de m ag n i­fiques p r ix d ’une g ran d e u tilité p ra ­tique p o u r les au tom ob ilistes et qui sa tis f ire n t p le in em en t les lau réa ts .

G ym kana de 1934

Le Comité décide que le g y m k an a de 1934 se d é ro u le ra à S enlis, p lace de la Gare, le d im anche 15 ju ille t p ro ­cha in , à -14 h eu res. La .m anifesta tion c o m p ren d ra q u a tre ép reuves : épreuve du verre d ’eau ; ép reuve de le n te u r ; ép reuve des œ ufs e t ép reuve des ch a i­ses.

C haque ép reuve se ra dotée d ’au m oins ' q u a tre p rix .

A la dem ande du P ré s id en t, M. Mi­chel fe ra é ta b lir u n e police d’a s s u ra n ­ce p o u r g a ra n t i r le Comité contre les risq u es d ’acciden ts.

R a lly e -P o k er de C hantilly

M onsieur le P ré s id e n t expose au Co­m ité que M. H équette o rg an ise à C han­tilly , Je 24 ju in p ro ch a in , u n ra lly e - p o k er e t u n concours d’é légance po u r autom obiles. Le ra lly e , p rés id é effecti­vem ent p a r M. le M arquis de l’A igle, se ra suiv i d ’un d é jeu n e r à l ’Hôtel Con- dé, auquel son t inv ités les m em bres du Comité de Senlis. M. le Comte A r- n au ld D oria rem ercie v ivem ent M. Hé­quette de son a im ab le inv ita tion .

Il es t décidé que le con trô le du R al­lye se ra a s su ré à S enlis, p a r M. L u­cien P ie rra rd .

P iste cyclable

Le S y n d ica t d ’in itia tiv e de Senlis a opéré p a r an tic ip a tio n le 31 jan v ie r, son d e rn ie r v e rsem en t de 750 fran cs p o u r la p iste S en lis-V erberie . L a su b ­ven tion to tale votée p a r le S y nd ica t d ’in itia tiv e s , dès 1929, s’é levait à 2.500 francs. M. le Comte A rn au ld D oria a ad resse ses vifs rem erc iem en ts à M. D em oinet, p ré s id en t, a in s i q u ’aux m em bres du S y n d ica t d ’in itia tiv e s .

M. le P ré s id e n t s ig n a le que, confor­m ém ent au d és ir exp rim é p a r le Com i­té d an s sa p récéd en te reu n io n , il a fa it in sé re r , d an s la p resse locale, un avis ra p p e la n t au x cyclistes, •— dans le u r p ro p re in té rê t — les p re sc rip tio n s du nouveau code de la rou te les con­ce rn an t.

V iabilité

a) P assag e à n iv eau de V erberieEn réponse à u n e dem ande form ulée

p a r le Comité, d a n s sa réu n io n du 27 octobre 1933, M onsieu r le P ré s id e n t fa it co n n a ître que la su p p re ss io n du p assag e a é té . env isagée. Cette su p ­p ressio n p a ra is s a n t encore lo in ta in e , p arce que n é cess itan t u n e dépense dé l ’o rd re de p lu s ieu rs m illions, la Com­p ag n ie du N ord a donné l’a ssu ra n c e que des coupures dan s les convois se­ra ie n t fa ites tou tes les d ix m inu tes, p e n d a n t les m an œ u v res , afin de ne pas p ro lo n g e r ind éfin im en t l’a tten te des véh icu les p o u r la trav e rsée des voies.

Au su je t des p assag es à n iv eau trè s fréquen tés, M. M antel de C répy, ré c la ­me sim p lem en t de la p a r t des em ­ployés p réposés au serv ice des b a r r iè ­res, u n peu de bonne volonté et de com plaisance.

b) C ro isem ent de L évignen

L ’A. G. I. F., p o u r rép o n d re à u n e dem ande de subv en tio n de l ’ad m in is­tra tio n des P o n ts e t C haussées, en vue de l ’acqu isition de p lu s ieu rs im m eu­b les g ê n a n t la v is ib ilité a u c ro isem en t de la rou le n a tio n a le n u m éro 2 et l ’ex- G. C. n° 147, a accordé u n e subv en tio n de 2.000 fran cs. M. le Comte A rn au ld D oria a p u o b ten ir, en o u tre , de l’A. G. J. F. une subv en tio n com plém enta ire de 3.000 francs. A l’h eu re actuelle les tra v a u x de d ég ag em en t so n t en cours e t sé ro n t p ro ch a in em en t te rm inés.

c) M auvais é ta t des G. C. n° 100 et de l’ex-G. C. n 0 148

M. de R obervài a s ig n a lé p a r le ttre au p rés id en t, que face à la bascu le de la sc ie rie de P o rt-S a lu t (G. C. n u ­m éro 100), la chaussée e s t devenue im p ra ticab le , su r to u t p a r tem ps dé p lu ie. Il s e ra it u rg e n t de rem ettre en é ta t cette sec tion de rou te , d an s le p lu s b ref d é la i possible.

M. H am elin, d ’A ntilly , a a ttiré ég a ­lem en t l ’a tten tio n du Comité su r le m auvais é ta t de l’ex-G. C. num éro 148, en tre Betz e t M areu il-su r-O urcq .

M onsieur le P ré s id e n t in te rv ie n d ra à ce su je t, a u p rè s de M onsieur l’In g é ­n ieu r des P o n ts e t C haussées.

d)_ T rav ersée de Pant-Sainte-M axen.ee

M. Boilet, de P on t, expose que dans la trav e rsée de P on t, à l ’in te rsec tio n de la rou te n a tio n a le num éro _ 17 et du G. C. n u m éro 120, la v is ib ilité e s t p res­que nu lle , ce qu i es t la cause, le di­m anche de n o m breux acciden ts. Il se­ra i t u rg e n t que des m iro irs so ien t ap­posés a cet endro it.

R éclam ations d iverses1. — M onsieur le P ré s id e n t a été sai­

si d ’une réc lam atio n de M. M antel, deCrépy, a y a n t tr a i t au rem b o u rsem elt des d ro its de c ircu la tio n des autom oR - les, acq u ittés p o u r la période posté, r ieu re au p re m ie r fév rie r 1934, date

Grand Congrès Diocésainde la Ligue des Jeunes

Le g ran d Congrès d iocésain de la Li­gue des Jeu n es a u ra lieu le d im anche l ”r ju ille t 1934, à B eauvais, sous la p ré ­sidence de Son Excellence M onsei­g n eu r TEvêque.

Toutes les jeu n es filles so n t c o rd ia le ­m ent invitées à ce g ra n d rassem b le ­m ent de Jeu n esse F ém in ine. T outes les Sections de Jeu n es de l ’Oise v o u d ro n t être p résen tes au com plet,

10 heu res , séance d ’études p o u r les D irigeantes ju sq u ’à 10 h eu res 45. Con-

d’en tréo en v ig u eu r tic la nouvelle loi férence p a r Mlle de S ain t-M aurice ,re la tive a la percep tio n de l ’impôUm» présiden te nationale . P o u r les au tre sl’essence.

A près de nom breuses dém arches de ' l’A. C. I. F., l’a d m in is tra tio n des contri­bu tions in d irec tes a fa it co n n a ître eueles d ro its versés re s ta ie n t acquis, les p a rtic u lie rs in té ressés a y a n t eu la fa­culté de d é te n ir 10 h ec to litres d ’essm- ce, exem ptés de l ’im pôt, à la date du p rem ie r fév rie r 1934. j

II. — M. V alen tin , a rch itec te à Sm- lis, s ’es t p la in t p a r le ttre ad ressée au P résid en t, des nom breuses infractim s au Code de la rou te , com m ises p a r le s cyclistes, p a r c e r ta in s automobilistes, p a r les conduc teu rs de convois a?ri- coles, voire m êm e p a r des p iétons M. le P ré s id e n t a p ris bonne note de e tte réc lam atio n qui se ra tran sm ise à II. le C ap ita ine de G endarm erie.

III. — Le jo u rn a l hebdoma<aire « R ecord » a y a n t pub lié u n artich su r « les m éfaits du su cre in d u str ie l . M. de R oberval a ad ressé à M. le Om te A rn au ld D oria, les p ro testa tions des a g ric u lte u rs , p ro d u c teu rs de b e te ra - ves, et des fa b ric a n ts de sucre iidus- trie l. A près échange de co rrespo idan- ces, « R ecord » a fa it p a ra ître m a r ­tic le rec tifica tif qu i a donné satisfac­tion au x p ro te s ta ta ire s .

V œ ux d iversI. — M. Boilet, de P o n t dépose le

v o m i c i-ap rès« L 'A u tom o b ile . Club de

F ran ce ém et le vœ u que, dorénavant, au cu n e ca rte g rise de c ircu la tio n ne so it déliv rée s a n s que le titu la ire ait ju stifié p ré a la b le m en t d ’une police d ’a ssu ran ce -acc id en ts g a ra n tis sa n t le risq u e p o u r u n e som m e m in im a de deux cen t m ille fra n c s à une compa­gnie d ’a ssu ra n c e s ag réée p a r l’E ta t

La ca rte g rise d e v ra ê tre visée cha­que an n ée p a r l ’ad m in is tra tio n dès co n trib u tio n s in d irec tes su r justifica­tion du p a iem en t de la p rim e en cours.

Les com pagn ies d ’a ssu ran ces de­vron t, sous le u r re sp o n sab ilité e t dans le dé la i de h u ita in e , av ise r l ’adm inis­tra tio n des co n trib u tio n s ind irectes de la déchéance en co u ru e p a r les assu­rés, p o u r défau t de p a iem en t de la p ri­m e ».

H. — M. L ucien P ie r ra rd dépose le vœ u su iv a n t :

« L ’A utom obile Club de l’Ile -d e-F ran ­ce ém et le vœ u q u ’u n a r rê té soit pris p a r l ’au to rité com péten te p o u r in te rd i­re l ’u sage de k lak x o n dan s les agglo­m éra tio n s à p a r t i r de 20 heures.

Ces vœ ux votés à l ’u n an im ité p a r le Comité se ro n t tra n sm is à M. le M ar­quis d e ,l’A igle, dépu té de l ’Oise et nré- s id e n t do l’Â. G. I. F. à P a ris . W j |

G y m n a s t i q u eG ym nastes S portifs et Athlètes

com plets

A travers Senlis

La F éd éra tio n G ym nique et Sportive des P a tro n ag es do F ra n c e est om ni- spo rts . Son ac tiv ité se m anifesté, sous u ne form e double : l ’u n e sportive, l ’au ­tre gym nique. On p e u t donc dire que la F. G. S. P. F. es t à i ’avan t-gardo du m ouvem ent techn ique . Ceux qui p ré ­ten d en t fau ssem en t que l ’exercice du gym nase s ’oppose au x je u x du stade, re s te ra ie n t confondus s ’ils connais­sa ien t la vie des p a tro n ag es de F ra n ­ce.

Le gy m n aste p e u t ê tre sportif. Il l ’est souvent. Le sp o rtif p eu t ê tre gym naste, il ne l ’e s t — hé las ! — presque ja ­m ais.

La F. G. S. P. F. g roupe 150.000 sp o r­tifs, qui p ra tiq u e n t ind ilïérem m erit le football, le cross, le b ask e t, la n a ta ­tion , etc.

Elle réu n it, p a r a illeu rs , 200.000 gym ­nastes qui, re p a r tis d an s 2.850 sociê*. tés, s ’a d o n n en t rég u liè rem en t à la b ar­re fixe, au x p a ra llè le s , au cheval d ’a r­çon e t au x an n eau x .

Qu’on sache b ien que 80.000 athlètes son t licenciés de la F. G. S. P. F. Qui d it m ieux d an s les fédérations"spécia­lisées ?

L a p ra tiq u e sportive m ise en hon­n e u r quelques an n ées ap rès la gym ­n astiq u e d an s les sociétés de la F. G- S. P . F. n ’a pas, au con tra ire , gêné rév o lu tio n gym nique de cette fédéra­tion.

L ogiquem ent et un iq u em en t par ra i­sonnem en t, on ne p eu t p e n se r que les deux m ouvem ents s ’opposen t l’un à 1 au tre . Et, s ’il fau t une p reuve basée su r les fa its , nous pensons la fournir p ré sen tem en t à l ’U nion des Sociétés de G ym nastique de F rance , qui para ît te llem en t hostile au m ouvem ent spor­tif.

On a assez p rô n é le « gym naste spor­tif » et « l ’a th lè te com plet ». Qu’attend- on p o u r ré a lise r u n m ariag e qui ne se ra it p as enfin celu i de la carpe et du lap in .

P ie rre BARDEL.(O m ni-S ports).

Im g rc ss is te s : v isite de la ville e t de ses cu riosités. R écréations.

11. heures. M esse du C ongrès à la C athédrale. Courte a llocu tion p a r M. le C hanoine L. Tesson.

I l h eu res 45. D éjeuner.A 13 h eu res 30, assem blée gén éra le

dans le P a rc de M adam e la V icom tesse S ébastian i, ru e C am bry, B eauvais.

H y a u ra des h a u ts -p a r le u rs . On fil­m era le Congrès.

R ap p o rt de Mlle S uzanne M iclet, du S e c ré ta ria t diocésain.

A llocution de Mlle de S a in t-M au ri­ce, p résid en te nationale .

P a lm arès de la vente des œ ufs de P â ­ques, p a r M. le C hanoine B ellanger, d irec teu r des œ uvres et de l’en se ig n e ­m en t libre.

Exposé som m aire de l’é ta t de la L i­gue,, p a r M. le C hanoine Lucien T es­son, sec ré ta ire d iocésain des œ uvres de jeunesse , chargé de la L igue des Jeunes.

C onférence de M. Georges L am irand , in g én ieu r A. M., M em bre du Comité Di­rec teu r des Equipes sociales, ad m in is­tra te u r de la « Revue des Je u n e s ».1 D iscours do Son Excellence M on­se ig n eu r l’Evêque., R écréation a rtis tiq u e , b a lle ts , ch an ts , etc.j B énédiction du S a in t Sacrem ent, j Envoyez son adhésion e t p o u r to u t j 'en se ig n em en t, s ’ad re sse r à Mlle Su- xànin- Miolot, 31, ru e S ad i-G arnot, à Beauvais.

Le d e rn ie r C ongrès a eu lieu , il y a2 ans, à G lerm ont e t a ré u n i tro is m ille jeunes filles. Le p ro ch a in C ongrès de Beauvais, s ’an n o n ce com m e dev an t avoir p lu s de succès encore. T outes les jeunes filles v o udron t p a r tic ip e r à ce t­te. m agnifique jou rnée .Q uestionnaire p ré p a ra to ire au C ongrès

Les Sections so n t invitées à envoyer, dès que possib le , les ren se ig n em en ts suivants à Mlle M icM , 31, ru e S ad i- Garnot, B eauvais. (T * é p h o n e 3-49. — C. G. P. : P a r is 1218-96).

1. Nom bre, au m oins ap p ro x im atif, de Jeunes qui ont l ’in ten tio n d ’a ss is te r au Congrès de B eauvais le p rem ie r ju ille t p ro ch a in . Les c la sse r p a r p a ro is ­ses ou Communes.

2. N om bre, au m oins app ro x im atif, de Jeunes qui a p p o rte ro n t le u r rep as froid. In d iq u e r si l ’on veu t le p re n d re chez les R elig ieuses ou p iq u e -n iq u e r dans le P a rc . D ire si l ’on a u ra beso in de boisson ou d’a u tre chose.

3. N om bre de Jeu n es qu i d és iren t p re n d re le rep as chaud de 12 francs. E nvoyer à Mlle M iclet le m o n ta n t des l'epas p o u r recevo ir des bons en éch an -gc.

4. H eure d ’a rriv ée p a r le tra in .5. H eure d ’a rriv ée , au m oins a p p ro ­

xim ative, p a r au to ca rs ou auto.6. H eure à laquelle on désire r e p a r t ir

le soir.7. Dire si vous êtes d isposées à p a r t i­

c ip er aux fra is du film , dan s s a p a rtie générale ; si oui, quelle offrande vous avez l ’in ten tion d’envoyer à Mlle D reu- m ont, 13, rue Biot, B eauvais. (Compte chèque postal P a r is : 1755-41).

8. Dire si vous voulez fig u re r sp é ­cia lem ent su r . le film e t com bien de m ètres vous dem anderez le jo u r du Congrès.

9. Dire si vous avez l ’in ten tio n d ’e n ­voyer des lots à Mlle Je a n n e G arpen- tier, 53, avenue V ictor-H ugo, B eau­vais, po u r le C oncours des M argueri- tcs-S œ urs. Com bien env iron .

Vous avez donc neu f questions à ré ­pondre. R épondez-y, au reçu du B ul­letin « M arguerites et P âq u e re tte s », quitte à rec tifie r vos réponses dan s la suite, vous nous ren d rez g ra n d se r­vice.

F aites co n n a ître ce q u es tio n n a ire aux Sections qui p o u rra ie n t l ’ignorer. Vous pouvez am en er avec vous les je u ­nes filles qui ne so n t pas encore de la

J .ig u e des Jeu n es et v o u d ra ien t la con naître.

Imposition sur intérêts en vertu des créances notarié-

Les a rtic le s 80 à 86 de la loi do f i­n an ces du 31 m ai 1933 o n t décidé , s , , les d éb iteu rs de c réan ces no tariées doi­ven t, au m om ent du pa iem en t des inté re ts à leu rs c réan c ie rs , re te n ir l ’imnôt s u r le revenu au tau x de 17 j% etTe v e rse r dan s le m ois au bupeau de l ’ffi reg ig trem en t de leu r dom icile ; ce ver­sem en t doit ê tre accom pagné d ’une dé­c la ra tio n étab lie s u r form ule num éro 153 bis. Cette d éc la ra tio n es t égale­m en t n écessa ire , no tam m en t lorsque les in té rê ts ne so n t pas payés à l ’échéi ance ou lo rsque la c réan ce est rem ­bo u rsée p a rtie llem en t ou en totalité.

Les form ules 153 bis so n t désorm ais à la d isposition des in té ressés dans les b u reau x d 'E n reg is trem en t e t dan s les m a irie s des com m unes où il n ’existe pas de b u reau x ; elles son t délivrées g ra tu item en t.

B I B L I O G R A P H I E

L © F o r ç a tp ar P ierre MAURICE

PHARMACIE OUVERTE :D im anche 17 ju in 1934 : P h a rm ac ie

M orcrettc , p lace de la Halle.

U n e d a t e à r e t e n i r !

1er Juillet 1934

FESTIVAL DE MUSIQUEà

S E I V L . I ©

SYNDICAT D’INITIATIVESLe Comité du S y n d ica t d ’in itia tiv e s

s ’est ré u n i h ie r so ir, vendred i, au siè ­ge social, p lace de la Gare.

N ous d o n n ero n s le com pte re n d u de cette réu n io n d an s no tre p ro ch a in n u ­m éro.

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DANS L’ARMEEP a r décre t du 8 ju in , M. le G énéral

de b rig ad e de G anay, e s t nom m é au g rade de g én éra l de d iv ision et m a in ­ten u au com m andem ent de la cavale­rie d ’A lgérie.

Nous ad resso n s tou tes nos fé lic ita ­tions à M. le g én éra l de G anay don t on a g a rd é le m e illeu r so u v en ir à S enlis, où il com m andait, il y a quelques a n ­nées, le régim ent, de S pah is m a ro ­cains.

Ui< volume form at « Bijou », 224 pages Broché, 3 fr. ; port, 0 fr. 45. Relié, 5 fr. 50 ; port, 0 fr. 65. Bonne Presse, 5, rue Bayard, Paris (S"). C. C. 1668.

« Un rom an qui aurait fait scandale, il n’y a pas longtemps, par sa franchise chrétienne : Le Forçat. Cette histoire poignante de Julien Delys se liv ran t à la justice et se laissant condam ner aux travaux forcés pour sauver un jeune homme est d ’un héroïsm e surhum ain qu’explique seule, en effet, la foi du chrétien. Si l ’auteur, chef im portant d ’une adm inistration publique, a pensé faire revivre ainsi le dogme grave de la Rédemption, il a réussi, et d ’une façon saisissante. » (La Coupe et la Mode, dé­cembre 1933).

T t t b a l m i f ip a r M. M. d ’ARMAGNAC

Un volume format « Bijou », 238 pages. Broché, 3 francs ; port, 0 fr. 45. Relié, 5 fr. 50; port. Il fr. 65. Bonne Presse, 5, rue Bayard, Paris (8‘). C. C. 1668.

a Un rom an encore, d ’une psychologie curieuse, mais sûre, qui fait se deman­der jusqu’au bout : juive ou chrétienne 7

M a r i e - C h r i s t i n e , perdant ses parents chrétiens, deviendra Miqol la Juive. Elle sera remodelée, retrem pée dans le vieil esprit de ses aïeux, banquiers, voués un peu exclusivement au culte de la race et au culte de l’or.

Que restera-t-il de la prem ière forma­tion crhétienne dans cette âme très bien douée, après cette rééducation ? Le ro­m ancier, M. M. d’Armagnac, répond avec beaucoup de finesse et de naturel à cette question. E t nous avons là encore un beau roman d ’une puissance tragique étonnantey » {La Coupe et la Mode, dé­cembre 1933).

-» o «—

AU CABINET DE M. TARDIEUPa,r a r rê té m in is té rie l, M. P ie rre

R oussillon , in sp ec teu r de l’e n re g is tre ­m ent, est nom m é chef-ad jo in t du c a ­b in e t de M. A ndré T ard ieu , m in is tre d’E tat, en rem p lacem en t de M. Je a n R oussillon , nom m é p ré fe t de la Lo­zère.

-»o«~

VEL0DR0M E DE SENLISLa réu n io n in te rn a tio n a le du d im an ­

che 8 ju ille t s ’an n o n ce sous les m eil­leu rs ausp ices e t les o rg a n isa te u rs font des efforts p o u r d o n n er u n p rog ram m e de cou rses d ans lequel nous v erro n s évo luer des. vedettes du cyclism e.

F e rn a n d Le Drogo, une vedette ro u ­tière du cyclism e, an c ien cham pion de F ran ce es t engagé, a in s i q u ’une re ­doutab le équipe de Belges : H aegels- teens - Deliège, qui est u n e des m eil­leu res équ ipes d ’am érica in es de B el­gique.

Le D rogo se ra associé au sen lis ien B ern ard .

Us d isp u te ro n t u n m atch om nium en 3 m anches e t avec tous les co u reu rs une am érica in e de 40 k ilom ètres.

U ne ép reuve d e rriè re m otos com ­m ercia les en 2 m anches de 10 e t 15 k i­lom ètres v e rra au x p rise s 3 cham pions connus.

Un g ra n d m atch p o u rsu ite iu te rv illes du d ép a rtem en t p o u r lequel les e n g a ­gem ents son t ouverts et une course de v é té ran s com pléteron t le p rog ram m e de la réu n io n du 8 ju ille t.

Nous fé lic itons le S. V. S en lis p o u r son o rg an isa tio n qui p ro m et une a - p rès-m id i sportive de p rem ie r o rd re et rev ien d ro n s su r les d é ta ils d an s no tre p ro ch a in num éro .

31, place de la Halle, SENLIS ■

La M aison du B E A U V Ê T E M E N Tp o u r D am es, M essieurs e l E n jan ts

mmmmmrnmmmmmummàm

Dernières Nouveautés d t t é :Robes soierie im prim ée, depu is 29 fr M anteau XA sa ison , d ep u is ...... 79 frCostum es ta illeu rs , » 100 frE nsem ble, 2 pièces, » 129 fr.Com plets d rap erie , » 89 fr.P a n ta lo n s d rap erie , » 25 f rP a n ta lo n s flanelle, » 35 fr

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CONFERENCE ARTISANALELa conférence a r tisa n a le qui eu t lieu

à l’Hôtel de Ville o b tin t un vif succès. M. D evillers, p ré s id e n t A ctif du Comité de C om piègne p résid e la séance a ss is ­té de M. L esueur, p ré s id e n t de la C ham bre S y nd icale des M étaux de l’Oi­se. A 15 h eu res 30, la séance e s t ouver­te p a r no tre p ré s id en t actif qui re m e r­cie M. le M aire p o u r avo ir m is la salle à no tre d isposition et donne la p aro le à M. L esueur.

Ce d e rn ie r, ap rè s lec tu re des p r in ­c ip au x tex tes de lois in té re s sa n t au p lu s h a u t p o in t les a r tisa n s , fit u n ex ­posé s u r ce que do it ê tre le m ouve­m en t essen tie l e t fu t trè s ap p lau d i.

M. D evillers trace ensu ite l ’œ uvre m agnifique accom pli p a r la C. G. A. E. depuis sa créa tio n à ce jou r. F a isa n t re s so r tir l ’u tilité au x a r tis a n s de se g ro u p er sous la b a n n iè re confédérale p o u r pouvo ir o b ten ir les rev en d ica ­tions u tiles et n écessa ires au m onde a rtisa n a l. II reçu t l e s a p p l a u d i s s e ­m ents m érité s à la c a u s e q u ’i l dé­fend.

A près co n su lta tio n de l ’assem blée, M. P itte t, coiffeur, 6, ru e de l’A p p o rt-au - P a in , fu t nom m é c o rre sp o n d an t local. Ce d e rn ie r e s t désorm ais qualifié p o u r recevoir les adhésio n s e t tra n sm e ttre les dem andes de ren se ig n em en ts au Comité de C om piègne.

A près av o ir rép o n d u à tou tes tes questions posées, la séance est levée â 17 h eu res 30.

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SOCIETE DE SECOURS MUTUELS de S a in t-F ran ço is-X av ie r

La réu n io n m ensuelle de la Société a u ra lieu le d im anche 24 ju in , à 8 h eu ­res Vi. sa lle des C onférences, à l ’Hôtel de Ville.

Le b u re a u se ré u n ira m ercred i p ro ­chain , à 8 h eu res 14, au lieu o rd ina ire .

SOCIETE DES JARDINS OUVRIERS DE L’OISE

Section de SenlisL’assem blée gén éra le e s t fixée au d i­

m anche T7 ju in à 14 h e u re s 30, en la salle du J a rd in d ’H orticu ltu re .

C onférence p a r M. le P ro fe sseu r B a- rotte.

E xposition des 27 et 28 octobre.D istribu tion g ra tu ite des. g ra in es

d ’au tom ne su r p ré se n ta tio n de la c a r ­te 1934.

Les m em bres d é s ira n t p ro fite r de la ré p a rtitio n des te r ra in s , do ivent se fa i­re in sc rire dès m a in ten an t.

Le S ecré ta ire ,0 . C arré.

-»o«-NOS VISITEURS

Le m ercred i 6 ju in un ' g roupe im ­p o r ta n t de jeu n es filles du Lycée de jeu n es filles de D ouai (N ord), sous la condu ite de Mlle R. S ch n ir, p ro fesseu r d ’h isto ire , ag régée d e ’l ’U niversité , v is i­tè re n t no tre ville.

Elles fu re n t reçues à l ’Hôtel de Ville de no tre cité p a r le M aire, M. Louât. A près quelques m ots de b ienvenue, les jeu n es filles e n te n d ire n t r e tra c e r de­v a n t elles, l ’h is to ire de no tre ville.-

E lles v is itè re n t d ’abord la ca th éd ra le e t les an c ien n es églises : S a in t-P ie rre , S a in t-F ram b o u rg . E lles a d m irè re n t les ru in es du C hâteau de Sen lis e t se re n d ire n t au m usée. E lles descen d i­re n t dan s les so u te rra in s , et se re n d i­re n t au x A rènes G allo-R om aines.

V ers 18 h eu res 30, elles q u ittè re n t n o tre ville p o u r se re n d re à C h artres p a r la rou le de C hantilly . E lles fu re n t si in té ressées p a r la v isite q u ’u n se­cond g roupe d ’élèves du m êm e lycée se re n d a n t à C om piègne e t V ersailles, les 13 et. 14 ju in , fe ra h a lte dan s n o tre ville. A joutons que les f ra is de t r a n s ­p o rt du voyage so n t couverts p a r une caisse de voyages sco la ires e x is ta n t au lycée de, D ouai et a lim en tée p a r le p ro d u it des conférences du. p ro fesseu r d ’H istoire. S o uhaitons que de nom ­b reu x é tab lissem en ts im iten t cette h eu ­reuse in itia tive .

- » o « -

FUNERAILLESS am edi d e rn ie r, on t eu lieu en la ca ­

th éd ra le , en p résence d ’u n e foule con­sidérab le , les obsèques d e n o tre r e ­g re tte confiitoÿéh,'M : M aurice M ercier, b an q u ie r, décédé d an s sa 48" année.

Le défun t bavait re p ris , au décès de son père , là b an q u e que {felui-ci d ir i­g ea it dépu jsllo n g tem p s ' d an s n o tre v il­le. D’u n com m erce ag réab le , trè s e s ti­mé de sa^ nom breuse e t fidèle clientèle, M. M aurice M ercier em porte avec lu i le so u v en ir d ’un hom m e sy m path ique , qui c o n n a is s a i t^ fond, s a p ro fession et qui é ta it p o u r tous, c lien ts e t p e rso n ­nel, u n d ire c te u r trè s (aim é.

A sa veuve, à ses e n fa n ts e t à tous ceux frap p és p a r ce deuil p rém a tu ré , nous ad resso n s nos p lü s vives et re s ­p ectueuses condoléances.

-»o«-UNION NATIONALE

DES COMBATTANTSSection de Senlis

L a Section de S én lis -des A nciens C om battan ts o rg a n ise ra sa so rtie a n ­nuelle le d im anche 29 ju ille t, p a r une ex cu rsio n s u r S en lis-le H av re , p a r Rouen.

N ous d o nnerons le p rix de la p lace e t l ’h eu re du d é p a r t d an s le p ro ch a in n um éro du jo u rn a l, m ais d o rén av an t re tenez vos p laces p o u r la jo u rn ée du 29 ju ille t.

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807

CONCERT PUBLICLa Société M usicale de S anno is

(S e ine-e t-O ise), v ien d ra en excu rsion à S enlis, d im anche 17 ju in p ro ch a in , à cette occasion, elle o ffrira u n concert qui a u ra lieu au k iosque du Cours de 16 h eu res à 17 heures.

Nous nous fa isons un p la is ir de p u ­b lie r ci-dessous le p ro g ram m e de ce concert.1. M arche In d ienne (SeÜèn'iok).2 . Le re to u r à la Wé- vàlse (C habas).3. La M ascotte, fan ta is ie (A u d ran ).4. O uverture de C oncert (G iraud).5. Colonel Bogey (R .-J,. A lfort).

Nous ne pouvons q u ’e n co u rag e r nos concitoyens à a ss is te r n o m b reu x à ce co n cert qui p rom et, ta n t p a r la qua lité du rép e rto ire que p a r la ré p y ta tio n de la société « L’U nion M usicale de S a n ­nois » d ’ê tre des p lu s in té re ssa n ts e t nous p ro fiterons de cette occasion p o u r fé lic ite r ses "dirigeants d’avo ir choisi no tre ville, com m e lieu de prom enade. Le m eilleu r accueil s e ra ré serv é à nos v is iteu rs e t nous les rem erc io n s de leu r dé licate a tten tion .

-»o«—

AYEZ SUR VOTRE TABLE

un Bordeaux rouge authentique ven a n t d irec tem en t du p roducteur': Ghà t e a u d e la G range, à B la y e ( G i r o n d e ) p re m ie r Cru classé.

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Adressez vos_ commandes en vou ré c o m n ia n d a n t'd u C ourrie r de l’Oise M. GROS-BÜRDET, rég isseu r du Châ teau de Beaurepaire, p a r Pont-Sainte M axence (O ise).

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U NI0N DES COMMERÇANTS ET INDUSTRIELS

DE SENLIS ET REGIONLe com pte ren d u de la réun ion des

C om m erçants, du 6 ju in , p a ra îtra dans no tre p ro ch a in num éro,

Page 3: ANNEE. — N° 24. LE COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_06_17_MRC.pdf · i Ots s’abonne aax Bureaux «la Jonnsal «t «Sons ton» ... B U R E A

î

CKC A TTTXX^Xj-SrH O T E L D U P A R C

NOCESBANQUETS

GRANDES SALLES ET SALONS792

a u m o n t

Fêle Communale. — D im anche 17 et lundi 18 juin 1934. — Le samedi 16, à 21 heures, ouverture de la lête p ar une grande re tra ite aux llambeaux.

Dim anche 17, à 14 heures, le te fo­raine, manjsge d’anim aux, coriflsfene, tente de bal, buvette, etc.

Le soir à 21 heures, bal a grand or­chestre. . .

Lundi 18, à Là heures, jeux pour grands e t p e t i t s .

À 21 h e u r e s , b a l.R a f r a îc h i s s e m e n ts d e p r e m i e r c h o ix

chez , MM. l e s D é b i ta n ts .Le m eilleur accueil est réserve aux vi­

siteurs.Senlisiens ! la route est belle.Tous, une petite prom enade à Aumont!

A V IL L Y -S A IN T -L E O N A R D

Elections Municipales. — M. le Sous- Préfet de Senlis a convoqué les électeurs de la Gomrnun'e pour le dim anche 24 juin à l’effet d’élire deux conseillers mu­nicipaux dans la section d ’Avilly, en rem placem ent de MM. Jules Richer Castolla, dém issionnaires, et un conseil­ler m unicipal dans la section de Saint- Léonard, en rem placem ent de M. Firm in Parent, dém issionnaire.

Les bureaux de vote fonctionneront de 8 heures du m atin à 2 heures de l’après- m idi.

M ort violente. On a découvert sous un hangar servant de remise et apparte­nant à Aime veuve Malingre, le corps ina­nimé de Charles Roitière, 70 ans, sans dom icile fixe, né à Pontm et (Aisne).

11 avait succombé à une m ort violente e t le perm is d ’inhum er a été délivré.

B E TH lSY-SAlM T-reiAR TUY

A c c i d e n t . — U n o u v r i e r c a r r ie r ,^ AL A lb e r t T h ib a u l t se t r o u v a i t a u x C a r r iè r e s d e P u is e u x , q u a n d a u m o m e n t o ù il d é ­t a c h a i t u n b lo c d e p i e r r e , c e lu i -c i c é d a r a p id e m e n t e t e n t r a în a l ’o u v r i e r d a n s le v id e .

Relevé avec plusieurs cotes fracturées et se plaignant de vives douleurs in te r­nes le blessé a été dirigé d’urgence sur l’hôpital Saint-Joseph à Compiègne.

CHABftBLY

Quatre arrestations. — La gendarm e­rie a arrê té pour destruction de biens im m obiliers à autrui, d ’arbres fru itiers, dévastation de récoltes sur pied et la r­c in de fru its au préjudice de MM. Jules Payen, Victor "Warangot, Paul François, p roprié taires, et Victor Dhédiu, berger, de Ghambly, quatre jeunes gens de la localité : Henri Debrayelle, 18 ans, cou­vreur, André Régnier, 18 ans, manou- v rie r Edgar Schvami, 18 ans, manou- vrier,' et Julien Brnxelle, 17 ans, m éca­n icien , qui ont été dirigés sur Senlis à la disposition du Parquet.

C R E P Y - E N - V A L O I S

Garde particulier. — M. le Sous-Pré- fet de Senlis a agréé M. Lucien Lemoine, en qualité de garde-particulier de Mme veuve Charbonneau, de Géresmes.

La journée du Groupement industriel e t c o m m e r c i a l . — L’abondance des ma­tières ne nous a pas p e r m is de relater plus tô t le compte rendu de la )°urn&e du Groupem ent des Industriels et Lom- m erçants de la région de Crepy, qui s est tenue sous la présidence de son devout ,et sym pathique président M, Mercereau, président du T ribunal de Commerce de le n lis , mem bre de la Chambre de Coin-m erce de l ’Oise, r

Un banquet a tou t d’abord réuni une cen ta ine de convives à l’Hote des 1 rois- Pigeons, autour du président, MM. 1 Li­teaux, W ukmann, Laisicr, Barbarant, d’Hubert, Macaire, Desloyes, Bouvier, W arusfel, Mestre, les représentants

Tous les Conseillers étaient présents. M. Brûlé, secrétaire.

La séance ayant été précédée d’une réunion privée, toutes commissions réu­nies, au cours de laquelle M. Bedaux, Ingénieur en chef du Service vicinal, assisté de M. Rousseau, ingénieur des T. P. E., a donné des renseignem ents dont les principaux sont exposés ci-dessous :

« Le Chemin de Toutevoye qui avait été classé sur une longueur de 600 m è­tres a été, de nouveau reclassé en 1890 jusqu’au repère II, c’est-à-dire jusqu’au pignon aval de la propriété de M. Hotz sur une longueur de 775 m ètres et une largeur de 10 mètres.

« La procédure d’ouverture n’était pas indispensable puisque le chem in d’ex­ploitation qu’il épousait, avait toujours été public.

« Du fait qu’il a été classé légalement, le te rra in situé entre l’établissem ent Hotz frappé d’alignem ent et l ’Oise, sur une largeur de 10 m ètres a été incorpore la voie publique.

« Aucune réclam ation ou demande n’ayant été formulée à cette époque, avant tes délais légaux, ce te rra in fait partie du dom aine public et, comme tel, est devenu im prescrip tib le et inaliéna­ble. »

M. le Maire expose qu’en raison de la docum entation écrite et verbale produite par le Service Vicinal, le Conseil peut voter sans discussion.

Aucune observation n ’étant faite.

W~

à

desjournaux de Crépy et de Senlis

Au dessert, M. M ercereau ad. , souvenir ému à la mémoire de MM. Dieu, vice-président, Somalie, président d hon­neur et Thibault, décédés. Ils ont etc rem placés p ar MM. Loisel comme prési­dent d’honneur, Fluteaux, vice-president

Racine, de Morienval, comme membred u Bureau. , , ,

«inrès avoir félicité les dames de plus ,en plus nombreuses qui avaient voulu assister à cette assemblée, M. Mercereau m ontra quelle avait été l’activité consi­dérab le du groupem ent pendant 1 annee (écoulée et quelles étaient les revendica­tions qu’il avait pu faire triom pher en communion d’action avec les autres grou­pem ents de France. Il m ontra en p a rti­cu lie r les avantages des lois récentes vo­tées en juillet 1933 sur la révision des baux, sur les délais en m atière de billets »de fonds, èt sur la p ropriété commei- eiale. Il annonce le vote récent, par ta Chambre des Députés et le vote m uni- ruent p a r le Sénat de la loi tan t attendue sur la révision des ventes -commerce. M. Mercereau term ina par un appel pressant à l’union de tous les com­m erçants, p ar solidarité comme par in ­térê t pour la défense de leurs revendi­cations, et il rem ercia la presse d ’aider les petits com m erçants et industriels dan s leur action corporative

Après M. M ercereau, M. Macaire, secré­taire, donna l’état de la caisse, qui pos­sédait en 1933 5.588 francs et qui pos-. sède à l’heure actuelle 4.624 fr. /a, après versem ent d’une subvention au syndicat d’initiatives récem m ent fonde a Crepy et de cotisations im portantes aux groupe­m ents com m erciaux de l’Oise et de t a-

3-1 p u is M M ercereau rep rit la parole p o u r développer le rapport m oral du groupem ent des com m erçants et indus­trie ls de Crépy.

Après que Tassemblée eut reélu, par acclam ations, M. M ercereau et les sept au tres m em bres du Bureau renouvela­bles. M. W arusfel p rit la parole et enga­gea les com m erçants à s’arranger, s il le fallait, corporativem ent po u r des achats en commun dans des conditions plus favorables qu’à l’époque actuelle, il féli­c ita ses auditeurs de lu tter contre une lïscalité de jour en jour plus tracassierc e f p lus exigeante. Il term ina en faisant, un appel chaleureux à la solidarité et a ta bonne volonté de tous les commer­çants pour défendre leurs in térêts com-

Piiis à l’unanim ité, l ’assemblée vota un ordre du jour ainsi conçu

'v?

WEECK-END

CHAMBRESdep. 20 frs

REPASdep. 20 frs ,

25 frs le Dimanche

T E A M S U O L F P L A G E

PtüïM (itiut Séjour .üepiils 4 0 1rs

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Lesm em bres com posant le groupem ent, reu­nis le 27 mai 1934, en assemblée géné­ra le statutaire sous la p résident de M. M ercereau, président, après avoir en- tendu ce dern ier dans son rapport mo­ral renouvellent leur confiance a eur comité d irecteur et lui exprim ent leurreconnaissance pour son action energi- reconm u , r t ra iSOnnée concernantH S S . d S ' S w ç ! » plus inrnié d i . t ! du commerce et de l- ,n d n ,tn e . .

OOUVIEUX

S ï e ï r » : » : , ” . présidence de M. Léon Potdevin, maire.

Le Conseil :P ar 12 voix contre 3 et un bulletin

blanc sur 16 votants, décide l’ouverture du prolongem ent du Chemin V icinal nu­méro 2, du repère II (pignon aval de l’Hôtel de Toutevoye) jusqu’à la lim ite « Ouest » de la p ropriété des Sablières de l’Oise.

Sur la demande de M. Galichon, con­seiller m unicipal, le Conseil décide, à l’unanim ité, que les embellissements créés par M. Hotz, et les arbres plantés entre sa propriété et l ’Oise seront re s ­pectés, la largeur du chemin actuel étant d’environ 7 m ètres, celle-ci est suffisante pour le passage des véhicules.

M. le Sous-Préfet dq Senlis et Fonlla- dosa, ingénieur du Service Vicinal de l’arrondissem ent du Sud-Est, consultés le lundi 4 juin, d’une part, ainsi que MM. Bedaux, ingénieur en chef du Service vicinal et Rousseau ingénieur des T. P.E., d’autre part, et M. le P réfet de l ’Oise dans sa lettre 7 juin dernier ayant été d’avis que la Commune fasse appel du Jugement rendu par M. le Juge de Paix dans l’instance possessoire in troduite par M. Hotz ;

Le Conseil :Par 13 voix contre 3 sur 16 votants,

autorise M. le Maire à in terjeter appel du jugement rendu par M. le Juge de Paix e t 'le p rie de se m ettre en rapport avec Me W arusfel, avocat à Senlis, pour lui dem ander de représen ter la Commune dans l’instance à engager.

LAGIM Y-LE-SEC

Collision. — Une collision s’est p ro ­duite au carrefour de la Bonne Rencon­tre (?) entre l’auto conduite p ar M. Ro­ger Pons, 34 ans, débitant, dem eurant à Paris, 136, rue M arcadet, qui avait près de lu i sa femme, née E lisabeth Boisson,38 ans, et l ’auto conduite par M. Jules Delahaÿe, 63 ans, ex-représentant de commerce, dem eurant à Magny-en-Ve- xin, qui revenait de Meaux avec sa fa­mille.

Par suite de la violence du choc, Mme Pons a été blessée à la jambe gauche.

La brigade de gendarm erie de Nan- t eu il-1 e- H a u d oui n a ouvert une enquête pour déterm iner les responsabilités.

NEUILLY-EN-THELLEDimanche 8 Juillet 1934

Assemblée Générale à Néuillg-en-Thelle de l’Union des Catholiques de l’Oise

L’ignorance des questions religieuses est devenue si grande de nos jours que l ’on ne peut songer sans inquiétude aux conséquences de ce manque d’instruc­tion.

Si quelques-uns savent, parce qu ils l’ont lu au hasard d’un article de jour­nal, que les encycliques papales re la ti­ves’ aux grandes questions sociales qui se sont posées aux temps actuels d’une m anière particulièrem ent aiguë ont eu un grand retentissem ent, combien sont- ils étonnés quand on leur m ontre ce pas­sage de l’épitre de Saint Paul aux Colos- siens.

i Maîtres, accordez a vos serviteurs ce qui est juste et équitable, sachant que vous aussi vous avez un m aître dans le ciel ! »

Quel est le sens profond epe les ca­tholiques entendent apporter a leurs ma­nifestations publiques ?

Retour aux disciplines religieuses !Dans le désarroi des hommes et dans

le désordre où nous voyons les choses nous cherchons notre voie et les meil­leurs esprits paraissent comme frappés d’impuissance.

Les uns voudraient tout effacer pour reconstruire, les autres voudraient ré ­glementer sans savoir de quelles m aniè­res ouvrir le tout prem ier chapitre de ces nouvelles directions dont l’applica­tion devrait nous ram ener sinon au seuil du paradis terrestre, du moins hors de la portée des inquiétudes où nous suc­combons. Chacun a son propre plan et parle san^ écouter son voisin. Nous voici revenus à Babel et dans la nouvelle con­fusion des langues nous apparaît une fois de plus la grande fragilité des civ i­lisations m atérialistes.

Le m onde ne sùbfsiste que par un équilibre des forces positives d ’énergies morales. Cet équilibre est actuellement rom pu. 11 faut de nouveau rendre à l’homme la m aîtrise de sa propre con­science et devant tous les obstacles qui l’entourent lui donner le moyen d’être vé­ritablem ent armé, il faut l’accro ître spi­rituellem ent, il faut lui faire sentir que ses forteresses les plus sûres sont la fa­mille et la patrie , réalités fondam enta­les unies par la religion.

Bonheur! à tout p rix ! Voilà le cri de l’hum anité dans les grandes difficultés de nos jours !

Nous savons que le bonheur profond et durable n’est pas exclusivement dans la jouissance des biens physiques. Nous sa­vons que les vaches m aigres succèdent inévitablem ent aux vaches grasses.

Mais nous voulons pouvoir surm onter les rigueurs de tous les tem ps et pour cela nous voulons que soient conservées e n n o u s , h o r s (les p r é o c c u p a t io n s m a té ­r i e l l e s , le s v e r tu s q u i c o n s t i t u e n t n o t r e patrim oine moral : la dignité, le courage, la fierté, la charité fraternelle, la tem pé­rance, vertus chrétiennes, vertus catho­liques auxquelles les assemblées comme celle à laquelle nous convions nos com­patrio tes à Neuilly-en-Thelle redonne­ront le relief qui com m ençait à cer.

P L A IL L Y

M. Auiage n’a pas été touché par l'au­tomobile

Une eiquétei est ouverte pour établir les respensabilités.

P O I N T - S o e - M A X E N C E— La vaccination annuelle gratuite

est fixée au mardi 19 juin, à 9 h. 45 , à la Mairh,

Pour es familles nombreuses. — En exécutioi d’un don fait par M. Bertaud- Bonnet, il est distribué chaque année par la Vile un don à laj famille la plus nombreuse, la plus m éritante et la plus pauvre de Pont-Sainte-Maxence.

Les irscriptions sont reçues jusqu’au 25 juin, à la Mairie.

— ‘Le Contrôleur des Contributions Directes s«ra à laiMairie le lundi 25 juin.

Legs Charbonnier. — Les mères de famiile dont les enfants font la Prem ière Communion peuyent se faire inscrire à la Mairie, (W^yp^lles attributions du legs Charbonnier, j i i s ([U ’a u 20 juin.

P r e m iè r e s c o m m u n io n s . — Les P re­mières Communions auront lieu à l ’église paroissiale le dimanche 1er juillet.

Grande Fête Fédérative des « Jeu­nesses Catholiques ». — C’est aujour­d’hui dimanche 17 juin qu’a lieu à l ’Ab­baye du Moncel (Ecole secondaire Saintc- Marie) la Grande Fête Fédérative des « Jeunesses Catholiques », sous la pré­sidence de Mgr Le Senne, avec le con­cours du R, p Lepoutre, aum ônier de l ’A. C. J. F.; pierre Herbin, président de l ’Union Diocésaine de Seine-et-Marne, Noël Souriac, de la J. C., M onnier, de la J. O. C.; Jean Bizouard, de la .1. A. C. de Seine-et-Marne.

Voici le programme de la fête :Samedi soir à 21 h. 30 : feu de camp

p ar les Routiers et Scouts du d istrict de l’Oise. S

Dimanche 17 juin, à 8 h. 30 : messe de communion à l’église paroissiale ;

A 9 h. 30 : Séances d’études séparées, à l’Ecole Sainte-Marie :

a) Jeunesses Catholiques; h) Jeunesses Ouvrières Catholiques; e) Jeunesses Agri­coles Catholiques; d) Routiers et Scouts.

11 h. 1 5 : Messe du Congrès.12 h. 15 : Déjeuner sur l’herbe.13 h. 15 : Evocation historique p ar les

élèves de l’Ecole Secondaire « Une pa, du Vieux i ».

14 h. 30: Meeting en plein a ir et Théâ­tre de Verdure.

17 h. 30 : Consignes de Mgr l’Evêque, Salut du Très Saint-Sacrement.

Appel aux. Artisans. — Une grande réunion artisanale aura lieu le dim anche 17 juin, à 15 heures, à l ’Hôtel de Ville de Pont-Sainte-Maxence.

Cette manifestation est organisée par le Comité Artisanal de Compiègne en ac­co rd avec la Confédération générale de l ’Artisanat français.

Artisans qui voulez connaître les lois votées en votre faveur et celles en ins­tance devant le Parlem ent, ne manquez pas d’assister à cette im portante confé- rcncG» <

Votre intérêt vous le commande, votre avenir en dépend !

L’excursion de l’U .N .C . — Dimanche 3 juin, dès 4 heures du m atin, la place de l ’Hôtel de Ville présente une anim ation extraordinaire. Les cars et autos, phares allumés viennent se ranger en ordre de départ ; }es commissaires les pavoisent aux couleurs françaises et bejges et no­tre dévoué camarade Grison procédé a l’appel des inscrits qui, tous, sont exacts au rendez-vous. En bon ordre et rap ide­ment tous les excursionnistes prennent place dans les quatre auto-cars et les 6 voitures touristes qui se m ettent aussitôt en route dans m ffiréction du Nord.

Il bruine légèrement, puis te temps s’assombrit et il pleut lorsque nous trn versons Roye et Péronne, ce qui peut laisser craindre un temps défavorable pour la journée. Fort heureusem ent, lors que nous arrivons en Artois, le ciel s est éclairci et lorsque nous m ettons p ied a terre à Arras un vent du Nord, plutôt froid nous apporte l’espoir du beau

Une trop rapide visite de la Cathé­drale magnifiquement restaurée et ren ­due tout récemment à 1 exercice duC ultv et dansi laquelle nos cam arades MM les chanoines M. Magne et abbe P ierre Ma­gne disent une messe a la mémoire des soldats « Morts pour la F rance ».

Notre caravane se rem et en route et par un clair et gai soleil nous aperce­vons au passage W imy et Lorette qui eu­ren t notre visite voici trois ans, puis nous entrons dans le bassin m in ier et par Lens et Seclin gagnons Lille ou 1 ho­raire ne nous perm et aucun arrêt, puis bientôt nous sommes au poste frontière d’Halluin-Menin où un arrê t est prévu pour les formalités obligatoires. < .

Celles-ci nous sont d’ailleurs très taci- litées et c’est avec la plus extrême cour­toisie que nous sommes accueillis par les douaniers belges.

Reprenant alors notre route nous tra ­versons les villages belges où nous de­vons ralentir notre allure pour laisser se dérouler les processions de la Fête- Dieu En nous devons pourcette rais<Wfaire un arrê t forcé d a n s Roui e r s pavoisé et endim anche ou toute la population et celle des environs for­ment un colèue imposant et im pression­nant qu’il est regrettable que nous

eulpée de deux suppressions de nou-v veaux-nés. ‘ • • v xü .Ai iSt

M. le substitut Vincent requit ttiie lbur-Jü de peine de prison.

M" Baud et M* W arusfel, ‘âvôcâtS^ÎÙ' ''*■* Senlis, dém ontrèrent que la jéünéi 'FrùhD,'ï«M= ‘4 ci ne n’était pas la seule et v éritàb îé’éOu-M 'îMih pable dans cette affaire et sùlllèitêi-feht î13 l ’acquittem ent. u u m f H r a n n i

Le jury a fait droit aux côriclusïoitfs ' J des deux avocats et la Cour a prononcé l'acquittem ent de. Francine Tavignot qui éclata en snnglotsi et rem ercia lés jurés.

Liancour tInauguration de VAvenue Albert 1*T

*4Ï Ui'.ihVle Dimanche 24 Juin

née et dem ander à tous de s’unir pour rendre un pieux hommage à la mémoire du regretté Roi Soldat « Albert I"T ».

Une heure et demie de liberté fut en­suite laissée à chacun pour la visite de la Ville. Les uns s’en furent à la plage ou au port, quelques-uns p riren t des taxis pour faire une plus longue visite, d ’au­tres v isitèrent le dioram a de l’Yser et certains se contentèrent d’écrire des car­tes postales.

Il était 16 h. 30 lorsque notre convoi se rem it en route par la digue qui do­mine la plage, puis à travers la région des polders émaillée de moulins à vent étendant les carcasses de leurs ailes im ­menses. Et nous arrivons à Dixmude dont nous adm irons le superbe hôtel de ville et nous faisons un a rrê t à la sortie de la ville au monument de l’Yser érigé au bord du canal historique du même nom.

Nos vice-présidents Boilet et Brunon y déposent une palm e-souvenir au nom de notre Section.

Notre cam arade le colonel Bigot qui, pour la circonstance, avait requis son uniform e de chasseurs à pied, appelle alors le caporal Doré, lui remet la Mé­daille M ilitaire qui vient de lui être at­tribuée et lui donne l’accolade sous les chaleureux applaudissem ents de tous les Membres de notre groupe.

Notre cam arade Deschamps, médaillé m ilitaire et chevalier de la Légion d’hon­neur, l’un des héros du « P aris II » coulé p ar les Turcs aux Dardanelles, prend alors la parole pour nous re tracer les exploits des Fusiliers-M arins qui s’il­lustrèren t dans cette région, luttant hé­roïquem ent contre un ennemi six fois plus nombreux.

Continuant notre randonnée en Belgi­que nous fîmes un a rrê t sur le grand’ place d’Ypres aux habitations trop neu­ves au milieu de laquelle des pierres cal­cinées et quelques pans de! m urs déchi­quetés sont les seuls vestiges de ce qui était la magnifique halle aux D rapiers si sauvagement détruite par les obus et l’incendie dans ces tragiques journées de fin novem bre 1914.

Il était plus de 39 -heures lorsqu’à nou­veau nous traversâm es la frontière et où nous eûmes l’am er regret de subir quelques bien inutiles brim ades de jeu­nes douaniers un peu trop zélés.

D e p a s s a g e à n o u v e a u à L il le , n o u s y fîmes cette fois un arrê t prolongé de 20 h. 30 à 22 heures où chacun p rit à nouveau des forces pour accom plir le nocturne voyage de retour.

Celui-ci s’effectua sans incident, très régulièrem ent et nous ne voulons pas m anquer d’en rem ercier M. Masson, de Compiègne, dont les cars firent une m arche en convoi absolument parfaite, et qui nous déposèrent à notre point de dé­part à une heure fort avancée de la nuit, certes, mais dont aucun excursion­niste ne, se plaignit tant était générale la satisfaction d ’avoir accompli une si magnifique et intéressante randonnée.

m, iiîute .i-.tmin f

>a vU ion ïîîaÉ- qifo.il

• :■ : •> £ïx mro ?. -s a o n La section de l’Union N alidnbié1 dê’à i !uno ’

Combattants de L iancourt, assistée pi^r 'la M unicipalité, va rendre u b jso lende l , .hommage à la mémoire du Roi-Chevalier, ’T . le dim anche m atin 24 juin.

L’Inauguration de TAvenue :Albert I" , sous la présidence de S. E. le baron de Gaiffier d’Hestroy, am bassadeur de Sa Majesté le Roi des Belges en France, en présence de M. le Préfet de l’Oise, de M. Dumoulin, sous-préfet de Senlis, de M. Kerkhops, président de la Fédération des Invalides Belges, vice-président d e la; . . - F. I. D. A. C. et de R eprésentants 4 i»àii,aa3Tosd fiés de nos Grandes Associations d’Anvî rm'.> cicns Combattants, sera entourée de tou& doosfâ l’éclat désirable. .m m oj jtsi

Nous sommes m aintenant en lù e su fig j^ . j. de donner le program m e com piM desceltë jVrqnA. Journée d ’Amitié Franco-Belge d iaquelley, le Comité d’organisation présidé hajç M ^o;CÎU Paul Soulier, m aire de L iancourï, s’est . ; attaché à donner la haute tenue d’upé m anifestation du Souvenir.

Voici le program m e com plet :Matin : ,.Rassemblement des Sociétés dans le

Parc do l’Hôtel de Ville, à 10 h. 30. .Réception des Autorités à l’Hôtel de “ -

Ville, à 11 heures.Visite au Monument aux Mor|ÿ, dç-lg ]

guerre 1914-1918. , . œ ïïaùaq nb noHDéfilé pour se rendre Avenue;̂ p s ^ j / ;qcîo;.*

Tr (anciennem ent Avenue du ( - :fer). te ah

Inauguration de TAvenue Alpqry lo ’-ç; .zsashtsï Lâcher de pigeons voyageurs. yaob J®»’ > Déjeuner officiel. -tiV- asftoqfiwwiAprès-m idi : Dans la propriété dC'M.- '• ' 1 ;

Georges Floquet, vice-président d bon- / neur de la Section U. N. C. Entrée 1, ave­nue Albert-I". .

A 15 heures • Grand Gala Musical, V o­cal et Sportif avec le concours de : -

La Musique du Jtégim ént de C^Tahî-... niers, P rince Baudouin, en garnison a 'Bruxelles, r*- - -

La Chorale des Anciens ^ômbaHqnt^®;Belges. . ' ' etêtsaM. et Mme H endrys duettj.stçs^ -

L’Espérance de M ontatairç, . ^ ® d L’H arm onie M unicipale s iLa Chorale et J n ^

' T e s Sapeurs-Pom piers de L îîiiid W ù ' ‘ L’Espérance de L iancourt, , v w o > s jLes jeunes Lianèourtois, ' - '..te , .......Entrée : Châises, 6 fr.; Prom enoirs, 3

fr. Denn-place pour les M ilitaires e t E n­fants. Rafraîchissem ent et goûter su t léslieux de la fête. te

Le soir, à 21 heures, p arc de l’Hôtel de Ville, Concert suivi de Bdl à gruiui orchestre. P rix d’entrée : 2 francs.

...c. .i-ij .L..2-OàVv-‘,/jtNous com ptons sur la présence 4éiiteW%ni»j!.wn

nos cam arades, de leurs faTOiUCSi.dftd^ * ® 5 tflWï nos amis et généralem ent de tous eeuXîn:BS%S£,qui voudront rehausser de leur^réseM ^iE O té. le caractère de cette cérémouie.Mjièe'sne^^îû saov voulons digne de la Gran.de,.::F|g^iSj.t,#te réolée de (gloire ,qui. e£. est J&.S H &£^ . .... ;si

Donc, à dim anche 24 ju in ,;,^ ,jU court. - ,-;-t>hv7ït

gg

* j-üqV'

Le Congrès des M s

s’effa-

II avait voulu éviter une automobile. — M. Julien Auvage, 53 ans, bûcheron au service de M. Paulm ier, à Vineuil, de­m eurant à Plailly, c ircu la it en vélomo­teur dans la commune de Verneuil, lors- qu’ayant vu une automobile qui venait vers lui, tenan t sa gauche, il voulut évi­ter un accident.

Il fit un mouvement à droite et alla tom ber sur le tro tto ir. Il a été relevé avec une blessure au genou droit, la ro­tule cassée et transporté à son domicile par son patron, M, Paulm ier.

qu i! tp st , - ..n ’ayons pasDm contem pler en entier.

Notre horaire subit de ce fait un re­ta rd appréciable q u i . se 1trouve ,en0°^o augmenté par pobligation de prendre une route déviée allonSean*: no r̂e Parcours de plus de 1,5 kilomètres.

Aussi est-il plus d’une heure lorsque nous arrivons à Ostende et c est avec une vive satisfaction <Iuei l ° us excué5,lon' nistes prennent place dans la magnifique salle à manger de l’Hôtel Piessen ou ils font honneur à un menu copieux et ex­cellent.

Au dessert n o tre vice-président. M. Boilet p rit la paro le pour féliciter les ex­cursionnistes d’avoir répondu en plus grand nom bre encore que les années p ré­cédente^ à Taopel dé la Section, rem er­cier les o rganisa teurs de cette belle jour-

Ping-Ponff Pantois. — Continuant la série de ses m atches amicaux, la jeune société locale de Ping-Pong a rendu vi­site au Cercle Creillois de Tennis de Ta­ble. Par 6 victoires à( 1, le C. C. T. T. a rem porté le m atch, non sans une sé­rieuse résistance des Pontois. A signaièy à nouveau la belle perform ance de La- voux face à Krauss, cham pion de l'Qise,

C. S. M. — Aux cham pionnats d’Ile-de- F rance d ’Attdétisme disputés dim anche derniçr à Compiègne, sur le te rra in du Rugby-Club, les représentants du C. S, M. se sont classés comme suit ;

200 m ètres ; 2. Langlois.'Disque : 4. Picout.M arteau : 2. Picout.

Championnats d’Alhlétism e de l’Union Régionale de l’Oisef de la F. G. S. P. F.— Ces cham pionnats, qui, chaque année, groupent de 100 à 150 athlètes, seront disputés le dim anche T ' juillet, sur le Stade du C. S. M., route de Flandre. Ils sont ouverts à tous les licenciés de la F. G. S. P. F. de l’Union de l’Oise, et dis­putés p ar catégories : minimes (moins de 15 ans); juniors (de 15 à 18 ans); se­niors (au-dessus de 18 ans).

Epreuves. — Senoirs : 100 mètres, 400 m„ 800 m., 1.500 m., 3.000 m., relais 4x100, relais 800 + 4004-200-1-100 m., sauts en hauteur et longueur.

Juniors : 60 m., 400 m., 1.000 m., per­che, disque, poids, sauts en hauteur e t longueur.

Minimes : 60 m., 300 m., sauts en lon­gueur et hauteur.

Engagements (1 fr. 50 par athlète et par épreuve, 5 fr. par équipe de relais) reçus jusqu’au 28 juin p ar M. Olliviqr, 77," rue de Cavillé, à Pont-Ste-Maxence.

R U LL Y

17. N. C. ,— La Section de TU. N. C. organise un grand concours de tir à la carabine, les 17, 24 juin et dim anches suivants. Ferm eture le 14 juillet. Le tir a lieu dans la cour de la m airie de 14 à 20 heures.

SE R Y -M A G N E V A L

Jeudi 7 juin a été célébré à Séry-Ma- gneval le m ariage de Mlle Madeleine Cla- b a u t , f ille d e M. e t M m e C la b a u t , c u l t i v a ­t e u r s à M a g n e v a l, a v e c M. L u c ie n D e la -v e n n e , fils d e M. D e la v e n n e , c u l t i v a t e u r e t m a i r e d e R o c q u e m o n t ,

La quête au profit de la Caisse des Eco­les a p roduit la somme de 170 francs. Le Maire! et l’Institu teur renouvellent leurs meilleurs vœux de bonheur aux jeunes époux ainsi que leurs sincères rem ercie­ments aux généreux donateurs.

VERRERIE

Dans la gendarmerie. ■— M. Auguste B randicourt, gendarm e à la brigade de Verberie, est nommé m aréchal des logis- chef et affecté à Ailly-sur-Noye.

Nous lui adressons nos com plim ents pour cet avancem ent bien mérité,

VINEUIL-8AINT-FIRMIN

La fille-mère Francine Tavignot ac­quittée aux Assises. — Le Courrier de l’Oise a relaté en son temps l’arrestation de la fille Francine Tavignot, 19 ans, in>

Les .p rem ières séan ces de tra v a il du C ongres de B ordeaux fu re n t c o n sa ­crées au d iscou rs é log ieux de M. le p ré s id en t D osm ann qui, en a p p o rta n t les .excuses de M. J e ( la rd e des, ,re ten u à P a r is , in d iq u a , en ^ o n iiQ m , le rôle in d isp en sab le de ï% M |a â a r f e -, l'œ uvre de ju stice , i l c o n s t a t 'à ^ q ^ e T d r ‘;- avoués é ta ie n t les . .gardiens"iTi'dèles=-5 s-v'*- d ’une p rocédure que Ton fois, san s a p p ré c ie r 'a u ta n t d ra it, q u ’elle e s t la p lu s solide g â ra h - - : " i; ; lie du ju s tic iab le , et de la Ju s tic e e lle- m êm e ».

M” V iard, avoué à Lyon, e t p ré s id e n t ■ du C ongrès, d an s u n m a g is tra l d is­cours, a n a ly sa la d e rn iè re réfo rm e ju ­d ic ia ire , à laque lle les av o u és o n t c o K te laboré ; il in d iq u a que des com m is- te sions, p a rtic u liè rem en t com péten tes, p rises p a rm i les avoués h o n o ra ire s ,e tles .avoués en exercice, p r o c é d a i^ J lé ^ ’ . jj ce m om ent à u n e réform e logiqué a u Code de P ro céd u re , en su ivaû l'T ôs d i | rec tives du p ro je t de réform é: dépose ' y u q en 1898 su r le b u re a u de la*'Clhamhré »f» des députés, p a r M. le G a rd e -d e S u> *srs S ceaux S a rr ie n , p ro je t e n tiè rem en t a»-#, vu de 1904 à 1905, p a r u n e C om m is- . .sion in stitu ée p a r le m in is tè re , e t ç o m - . . posée d’ém inen ts m a g is tra ts , a in s i que de h a u ts fo n c tio n n a ires d u M in istè re d es F in an ces, I l é tu d ia la profession, • d’avoué, qu i e s t la g a rd ie n n e e t la saq y eg ard e des d ro its du, justiciable..U fit co n n a ître les tra v a u x im p o rta n ts effectués p a r la F éd éra tio n g fg é râ iô y - . des avoués de F ran ce . g ..j, .g in

P lu s ieu rs au tre s séances W 'ttw vO T o n t été consacrées au x ra p p o r ts -•lF io t et B ergeon (Lyon) s u r j a proJiîSnt H ? sion m êm e d’avoué ; de M” G ouais-L a- nos (B ordeaux) s u r la fem m e-ayoué; _ de M ’ G uadet (C oulom m ierS j'lsù'r •Pa-r voué-fonctionnaire . * '• ; '

D ifférents v œ u x o n t été adoptés,. Les; . co n g ressis te s on t dem andé q u e so it . a jo u rn ée la p ro p o sitio n de lo i s u r Tac- ' cession de la fem m e à la p ro fession d’avoué ; que so it é c a r té to u t p ro je t a y a n t p o u r b u t do tra n s fo rm e r l ’avouéen fo n c tio n n a ire p u b l i c . .....................

Le C ongrès a décidé de d o n n e r au G arde des S ceaux son concours p o u r . l’o rg an isa tio n des C ham bres de diséite’ p line p rès tous les tr ib u n a u x où leut* constitu tio n n ’a p as été a ssu rée d a n s des cond itions suffisan tes.

Le C ongrès a en su ite voté des re m e r- v» ciem ents e t des fé lic ita tions à M. V iardp a in s i qu’au x m em bres du b u reau , e t à M. D espujol, p ré s id e n t de l a C ham bre des avoués de p rem iè re in s tan ce de B ordeaux , qui a a s su ré T orgaffisatkm m atérie lle de ces réu n io n s. ’

A la dem ande des avoués du re sso rt d ’Am iens e t de D ouai, le p ro ch a in Con­grès de 1936, se t ie n d ra au T ouquet-P a ris -P lag e . ...........

Les co n g ressis te s se son t en sm p ren d u s à A rcachon, p u is à âaj&tejSmi lion. Le C ongrès se t e r m in a n a ^ u h e excursion rap id e d an s la H ^tç jp E sp a- gne, .

Les avoués de B elgique, de M onaco s ’é ta ien t fa it th p reaen te r p a r leu rs p résid en ts ;

J

Page 4: ANNEE. — N° 24. LE COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_06_17_MRC.pdf · i Ots s’abonne aax Bureaux «la Jonnsal «t «Sons ton» ... B U R E A

FETE DE LA PLACE SAINT-MARTIN DES 23, 24 et 25 JUIN 1934

Le silençe apporté jusqu’ici dans la préparation; .de cette jolie fête- a fait jaser les éternels détracteurs, mais ne leur eh déidàise, le Comité n’est pas resté inactif et le public senlisien sait très bien que ces trois jours de fête sont toujours très attirants.

Un changem ent est survenu dans la form ation du Comité. M. Bourgogne que nous avons vu brillam m ent p résider de­puis 1930, n ’a pas cru devoir ten ir ce poste cette année, pour les raisons expo­sées à ses fidèles collègues.

M a is c e u x - c i l ’o n t in v e s ti t d e l a p r é s i ­d e n c e d ’h o n n e u r q u ’il a a c c e p té e , r e s t a n t a in s i e n l ia i s o n é t r o i t e a v e c se s c o lla b o r a te u r s , . ,v...

Le nouveau- Président du Comité est notre actif concitoyen M. Lépinay et nous sommes assurés à l’avance que le Comité de 1934 sera digne de ses p rédé­cesseurs.

V o ic i'le Comité désigné par MM. les Commerçants et H abitants du quartier dans leur réunion du 6 ju in 1934.

Président d’honneur : M. Bourgogne; Président : M. Lépinay ;Vice-Présidents : MM, Fossiez et Du­

pont ;Trésorier : M. Sirot.Trésorier-adjoint ; M. Ccrri Jean ; Secrétaire : M. Lefèvre.Commissaires : MM. Casaupan, Douix,

Georges, y iolet Albert, Cartier, Battefort, Cerri Louis, Gautrois Albert, Rouault, Blanche,t.

MM. les Commissaires passeront in cessaxflment — s’ils ne l’ont déjà fait — auprès des habitan ts du quartier, por leurs de la liste de souscription.

Notons; déduction faite d ’un déchet annuel peu im portant, que le nom bre des souscripteurs qui s’élevait chaque année a a tte in t l ’an passé un nom bre im por­tant que nous souhaitons fort voir dé­passer m aintenant.

La cité m ilitaire enthousiasmée par le passage de la re tra ite devant ses por tes a fourni un contingent fort apprécia ble.

Les difficultés habituelles d’élabora tion du program m e se sont trouvées compliquées du fa it que le Comité se trouvait privé du concours de la fanfare du 4* Spahis, retenue au dehors p ar une fantasia, gros handicap à combler.

C’est donc à la vaillante société de trom pettes de Vineuil et à l’excellente musique de Baron que reviendra l ’hon neur d ’assurer le su»cès habituel de la re tra ite d ’ouverture.

Sur la p lace : manège, confiserie, lote­ries, tir , jeu de m assacre, etc.

Ne croyez pas au « feu » lors du ré ­veil en fanfare du dim anche m atin p ar la clique de nos dévoués sapeurs.

Le concert de notre excellenie Harmo­nie m unicipale sera précédé d’un con­cours de voitures fleuries, pour grands et petits.

Le soir, grand bal public gratuit par un orchestre renommé.

Le lundi, le nom bre des jeux, la quan­tité e t la 'q u a lité des lots donnés est le rendez-vous habituel des petits senli- siens. "-’Av' •> ■

La course cycliste fa it place à une course à pied, p a r série et catégorie — des poids coqs aux cent kilos —. Si le so­leil est de, la partie , la rue de Paris fera transp irer.

A 21 heures, nos gymnastes nous fe­ron t adm irer toute une série de poses e t exercices inédits.

A 22 h. 30, seront tirés au sort deux cochons de lait, l ’un à p rend re dans la huitaine,; l’autre tiré parm i le public p ré ­sent su r la place jusqu’à connaissance du gagnant. vi ;.; •

Amateurs de; pensionnaires, munissez- vous d ép ro g ram m é dès le samedi soir !

Senlisiensv,retenez bien les dates des 23, 24 et 25 juin et venez tous à Saint- M artin, la 'fète où l ’on s’amuse bien.

Voici le program m e communiqué par le Comité :

FETE DE LA PLACE SAINT-MAETEV23, 24 et 25; Juin 1934

organisée par les com m erçants et habi­tants des quartiers intéressés sous le patronage de la M unicipalité et du Syndicat d’in itiative.

Samedi 23 Ju in , à 21 heures ■''■ïflumfnations Générales

Grande Retraite aux Flambeauxavec le concours de la Clique des Sa-

peursHPompiérs, de la Société de trom- pettesM ’jEspêrance de Vineuil et la Fanfare de Baron.Itinéra ire : départ : place Saint-Martin,

rues de Paris, Apport-au-Pain, Sainte- Geneyiève, Cordeliers, de Paris, du Heaume, du Lion, de Paris, de la Bre- tonnerie, des Ja rd in ie rs et retour, de la République, du Faubourg Saint-Martin, Pavillons M ilitaires, Faubourg Saint-Mar. tin et re tour place Saint-M artin.

D im anche 24 Juin, à 7 heures—tt v Répeil en Fanfare « —

place Saint-M artin, Faubourg S-Martin, rue de la République, rue des Jard in iers, rue de Paris.

 14 heures : Fête Foraine.Manège, Confiserie, Loteries, Tir, Jeu de

massacres, etc.A 14 heures 30

Grand Concours de Voitures d ’enfants, Bicyclettes et patinettes fleuries

Af 17 heures : CONCERTp ar la Musique Municipale

sous la d irection de M. MoucheD épart du Ballon : Place Saint-Martin

Ai 18 heures : Mât de CocagneA 21 heures GRAND BAL GRATUIT

Lundi' 26 Juin, à 14 heures 30 Course à p ied de. la rue de Paris

A 3 heures : Concours de Ballon.A 16 heures ; Jeux pour Dames, Hommes

et Enfants D istributions diverses aux enfants

A 2F heuresExercices, poses plastiques et pyram ides

p a r le « Réveil de Senlis »A 22 heüres : deux cochons seront tirés

au sortiA 22 K. 30 : GRAND BAL GRATUIT

Les habitants sont invités à pavoiser et à décorer leurs habitations

Le Comité décline toute responsabilité pour les accidents pouvant se produire à l’occasion de la tète et au cours des différentes épreuves et jeux, les concur­rents y partic ipan t à leurs risques et pé­rils.

L e C o m it é .

NOCESBANQUETS

X X Q ’T ’iHlX., L E S T E R R A S S E SC ÏÏ .A .IT T IH .IV .-X -

LA SOIREE CINEMATOGRAPHIQUE DU C. S. S.

Le Club S portif S en lis ien av a it o r­gan isé jeud i so ir, au th é â tre m u n ic ip a l c iném a a v e c 'le concours de 1’ « Omq- v altine », une soirée c in ém a to g rap h i­que. , . ,

Nous reg re tto n s encore une lois le peu d ’em pressem en t de nos conci­toyens à a ss is te r au x séances in té re s ­san tes qui sont données depu is quel­que tem ps et don t les su je ts son t c a p ­tiv an ts . A , *

M. le S ous-P réfe t et M. le M aire av a ien t bien voulu accep ter de p ré s i­der cette soirée au x côtés des dévoues d ir ig ean ts du G. S. S. ; MM. Escavy, L. P ie rra rd , Lam y, Cayeux, etc..

A près le passag e su r l’éc ran du beau film su r « Sen lis », l'ex ce llen t sec ré ­ta ire g énéra l du D istrict Oise de foot­ball, M. Léon T acail dan s une courte , m ais su b stan tie lle allocu tion , p rouva com bien les spo rts é ta ien t u tiles po u r la san té du corps et de l’e sp rit. Il e n ­gagea les a u d iteu rs à e n tre r d an s les sociétés sportives si flo rissan tes de no ­tre ville. , •

M. H enri Escavy, p ré s id e n t du C. S.5., ap rè s avo ir rem ercié M. le Sous- P réfet et M. L ouât; p ré s id en t d ’h o n n eu r a lancé un é loquen t appel à tous ceux qui co n sid è ren t comme lu i que le sp o rt est non seu lem en t ag réab le , m ais au ssi u tile et nécessa ire , p o u r co n tin u e r le u r ap p u i m oral et f in an c ie r au G. S.5., m ais au ssi p o u r se fa ire des p ro p a ­g an d is te s du sp o rt e t les m eilleu rs a u ­x ilia ire s du G. S. S.

Puis, s u r l’éc ran , p a ssa u n film dé­m o n stra tif su r l’a th lé tism e « S p o rt et B eau té », avec com m enta ires de M. Ga- ja n , du S tade fran ça is , e n tra în e u r de l’équipe de F ran ce , e t u n film re m a r­quable, « Les Je u x O lym piques en 1932 », m eilleu re réa lisa tio n de Los A n- gelès avec la p a rtic ip a tio n de tous les cham pions m ond iaux d’a th lé tism e, de n a ta tio n et de row ing .

» o «------------

Les C om pagnies d ’A ssu rances« L’ABEILLE »

tou tes b ran ch es, rech e rch en t A gent G énéral p o u r le C anton de N an teu il-le - H audouin et localités en v iro n n an tes .

A d resser les dem andes à M. OLLI- VIER - MARNIER, in sp ec teu r g én éra l, 4, ru e Em ile Zola, à ANTONY (S eine).

9460

PEINTURE — VITRERIE Papiers Peints

•Maurice DAGONEAU

1, rue Sa in t-P ierre , S E N L I S

ETAT CIVIL DE SENLISdu 8 au 15 juin 1934

Travaux so ig n és aux P r ix les plus réduits

9535

THEATRES MUNICIPAL CINEMA DE SENLIS

(T éléphone : 360)

D im anche 17, m atinée e t so irée e t L und i 18 ju in , so irée.

A rm and BERNARD dan s

La M argo ton du B ataillonavec Ja n in e M errey

Sim one B ourday , M arcelle B arry , Lucette A pdréa , N ane G erm on et S u ­zanne Devoyod (de la Comédie F ra n ­çaise) ; M arcel A ndré, Georges Des­peaux , H ubert Daix, P a u l V elsa, Teddy M ichaud, C onstan tin S troesco (de l’O péra Comique) et Jacq u es M aury.

Ü H O M M E A L A BA UB1CHES cénario et m ise en scène de Louis

V alray. —. In te rp ré té p a r R obert Le V igan, P ie rre A braham , A n n a Reval et Ledoux (de la Comédie F ra n ç a i­se).

— ECLAIR - JOURNAL A ctualités les p lu s récen tes.

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L E S L A C S IT A L IE N SD ocum entaire.

R e s t a u r a n t ROULETTESAINT-NICOLAS

B als tous les D im anchesen Soirée

par* l ’e x c e l l e n t « Jaz z ;N É - N Ê

Nuisances9. Bernard-M arceau-Rayin011̂ Deinuy,

rue du Haut-de-Villevert, 13.13. Thérèse-Jeanine-Marguerite Marie,

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Petit Beurre L .-U . - Caramels TaisSpécialités pour Jlaptêmés 806

c a r n e t ”MARLGE

Nous apprenons le prochain marage de Mlle Suzanne Poulet avec M. Mairice Tritschler.

Nous leur adressons nos plus aimades compliments et nos félicitations aux œiix familles.

— On nous prie d’annoncer le ma­riage de M. Maurice Lebon avec Mille Florence Valadon.

La bénédiction nuptiale leur sera don­née en la Cathédrale de Senlis, le simedi 23 juin, à 10 heures et demie.

9586*

mCRJLOGTENous avons appris avec r mort

de Mme Davidsen, née Jayetde Beaupré, m ère de M. et Mme Jean Davidsen-Won- d ra k , décédée pieusement à Paris, le 8 juin dernier.

Le service religieux a eu lieu en l’église Notre-Dame des Champs sa paroisse et l’inhum ation au cim etière du Père-La- chaise dans le caveau de famille.

En cette douloureuse circonstance, nous p rions M. et Mme Jean Davidsen- W ondrak, et la famille en deuil, de bien vouloir agréer nos plus vives et sincères condoléances.

— Nous sommes priés d’annoncer la m ort du Général Cyr de Lafont, officier de la Légion d’honneur.

L’inhum ation aura lieu au cimetière de Senlis, le sam edi 16 juin, à 15 h. 15.

Le présent avis tiend ra lieu de faire- part et d’invitation.

9585

REMERCIEMENTSMme Duvernay, les familles Duvernay,

Fleur et Bégoux, très touchées des nom ­breuses m arques de sympathie qu’elles ont reçues à l ’occasion du dé^ès de M. Guy Duvernay, adressent leurs reinercie- m ents aux personnes qui ont assisté aux obseques ou qui leui- ont viesregrets, et s’excusent auprès de celles qui, p ar un oubli involontaire, n’auraient pas reçu de fajre-part.

i . 9580** A— Les familles Jacques Sirot, Robert

Sirot et H enri Prévost, très touchées des nom breuses m arques de sym pathie qu’el­les ont reçues à Toccasionj du décès de Mme Lucien Sirot, leur m ère, dont les obsèques ont eu lieu lundi 11 juin 1934, adressent leurs rem erciem ents aux per­sonnes qui ont assisté à la cérémonie ou qui leur ont exprim é des regrets et s’ex­cusent auprès de celles, qui, par un ou­bli involontaire, n ’auraien t pas reçu de lettre d’invitation. 9564

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Dans les Alpes, sous les rayons de so­leil qui rendent la vie. — R enébuverne, le grand rom ancier de l’enfance, prend cette fois deux petites Parisiennes, Co­lette et Mado, les mène dans un sanato­rium des Alpes, et nous les montre là en liberté. Mado devient rayon de soleil, et Colette1 est sa ressuscitée. On S’amusera, autant que les petites « allongées », en compagnie du père Minute, de son âne gris et du pauvre Larme-à-l’œil.

C’est à la fois candide comme un beau livre pour la jeunesse et charm ant de vraie psychologie.

Mes Gorreeüonneüe de SenlisAudience du 8 juin

-— En tournée de nuit à Lamorlaye, les gendarm es de Chantilly ten tèren t en vain de faire arrê te r le m otocycliste Pa- pcl Roger, dont la m achine n’é ta it pas éclairée. Pour refus d’obtem pérer et in ­fraction au code de la route, le Tribunal condam ne Panel, par défaut, à une amende de 50 francs pour le délit et 5 francs pour la contravention.

— Désireux de se p rocurer de l’argent sans travailler, Gilbert François, ja rd i­n ier à Pont-Sainte-Maxence, avait rem is à son jeune fils une feuille de papier sur laquelle était exposée la situation lam en­table et purem ent im aginaire, du reste, U’une m ère de 8 enfants sans ressources et malade. Muni de ce papier, le jeunegarçon se ren d a it dans les maisons et savait toucher les cœ urs généreux ; mal­heureusement la gendarm erie de Pont- Sainte-Maxence vint in terrom pre la col­lecte. Poursuivi pour emploi de m ineur de moins de 16 ans à la m endicité Gil­bert est condam né p ar défaut à un mois de prison.

— Pour affranchir une lettre adressée au Préfet et pour être plus sûr de rece­voir une réponse le polonais Chrabacz avait employé un tim bre de un franc, m ais ce tim bre avait déjà servi. Poursui­vi à la requête des postes et télégraphes. Chrabacz est condamné à 25 francs d’a­mende avec sursis.

— Les époux Goza, à Marolles, sont poursuivis pour avoir volontairem ent porté des coups aux époux Kociabeth. Après p laidoirie de M* Chastaing, ils sont condam nés à 25 francs d’amende.

— Le 23 avril 1934, à Verneuil, Beau- cerf Gustave roulait à bicyclette avec la dame Lidy Yvonne. A un moment, le cy­cliste voulut en tra îner sa compagne de route dans un bois, cette dernière se dé­battit et alla conter sa m ésaventure au garde-cham pêtre. Poursuivi pour violen­ces Beaucerf est condam né à 50 francs d’amende.

-— Le 13 mai 1934, à Plailly, Maseret Fernand et Fourcy Marcel, p ris de bo is­son, s’em parèrent d’un drapeau se trou­vant devant la Mairie, puis après l ’avoir lacéré, ils allèrent clouer la partie rouge sur la porte de l’église, non sans avoir dessiné la faucille et le m arteau; 50 fr. d’amende avec sursis pour chaque p ré­venu. Ils étaient défendus par M” P icard , avoué.

— Depuis quelque temps, les habitants de Chambly constataient des disparitions de volaille; leurs soupçons se portèrent sur les nommés Hédin et Thiboult. Pour com m ettre ces vols Hédin avait dressé un chien qui s’in trodu isait dans les pou­laillers et rapporta it fidèlement à son p rop rié ta ire une poule ou un canard, tandis que Thibault faisait le guet. Le Tribunal ne retenant que le vol d’un ca­nard , les condam ne chacun à 8 jours de prison. Thibault bénéficie de la loi de sursis. M® Chauvel, avocat, présentait leur défense.

• • '/nofr ’î^ym ond a été surpris le 3 juin 1934, alors qu’il se liv rait sur le champ de courses de Chantilly au jeu de bonneteau, il se voit condam ner à 15 jours de prison.

Sans domicile, sans profession, non muni de carnet anthropom étrique, De lœ il Joseph, arrêté à Chantilly, est con­damne a 8 jours de prison.

—- Marais Alexandre, 67 ans, demeu­ran t a Boran, étant ivre, com m it Tim- prudence de se dévétir en public. P ré­venu d outrage public à la pudeur il se voit condam ner à 15 jours de prison) et o francs d ’amende.

— La femme Aubert Lucie, non con­tente de voir que son père com m ençait a trouver excessif de 1 héberger ainsi que son concubin lui porte u n c o u p de bou- te i l le à l a te te . L a p r é v e n u e e s t c o n d a m ­n é e ii 8 jo u r s de p r i s o n .

■y- Le garde Hutin Roger su rp rit le 5 mai 1934, les nommés Lebras Fernand et Chantrelle Lucien qui venaient de lever une tente de collets. Chantrelle qui est un braconnier bien connu, est condamné à 15 jours de prison, 100 francs d’amende et au coût d’un perm is, son compagnon Lebras paiera une ameiîde de 100 francs et un perm is de chasse général.

— Poun délit de chasse également et, malgré ses protestations l’ancien garde- chasse Elie Simon est condam né à 100 francs d ’amende avec sursis, il était dé­fendu par M» W arusfel, avocat à Senlis.

— Le 29 avril 1934, à La Chapelle-ei Serval, Savary Roger qui avait mis s voiture autom obile en stationnem ent sur le bas-côté droit de la route, voulut rega­gner la route pour se diriger sur Paris, il n ’annonça pas suffisamment sa m a­nœuvre et alors qu’il se trouvait perpen ­diculairem ent au m ilieu de la route, son véhicule entra en collision avec l’auto­mobile conduite p ar le chauffeur de taxi Bameul. Le choc fut assez violent ; un des occupants du taxi, M. Chevin fut blessé à la face, il se constitue partie civile par l’organe de. M® P icard , avoué à Senlis et obtient 500 francs de domma- ges-intérêts, tandis que Savary est con­damné à une am ende 50 francs avec sur­sis pour le délit de blessures involontai­res et 5 francs pour l ’infraction au code la route.

— Le 2 juin 1934, Mazy, Moons et Bras­seur revenaient de braconner ; la chasse avait été assez fructueuse et pour cam- blc de bonheur, ils trouvèrent dans un fossé un chevreau qu’ils se hâtèrent de m ettre dans un sac avec les lapins. Tout ce serait bien passé s’ils n ’avaient pas rencontré les gendarm es en traversant Creil. Le tribunal re tien t le délit de chasse à l’égard des tro is prévenus, quant auj vol du chevreau Brasseur ne semble pas y avoir p ris part. Mazy et Moons sont condamnés à 1 mois de prison, 100 frs d ’amende et au coût d ’un perm is. Bras­seur encourt les mêmes peines à l'excep­tion de la prison qui est réduite à 15 jours. Mazy et Brasseur étaient défendus par M® Chauvel, Moons p ar M® Picard.

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C H A N T I L L YSyndicat d’in itia tives

La m anifestation automobile qu’orga­nise le 24 juin prochain , l ’active com ­m ission des fêtes de notre S. I. s’annonce comme devant rem porter un très grand succès.

Plusieurs généreux donateurs ont im­m édiatem ent répondu à l’appel du Co­mité d’organisation en adressant un prix , citons : La Société Saint-Quenti- noîse (J’Ec'laiiragje; les Bougies « Ey- quem », la Société Cataphotes et Sole- clair, P erraud in , Mercier, Carbonel, etc.

Le parcours du Rallye Poker em prun­tera d’excellentes routes, les contrôles sont prévus à Chantilly (Bois Saint-De- nis) à Senlis, Compiègne, P ierrefonds et Creil. Cette épreuve qui obtint un si joli succès l’année dernière verra au départ un grand nom bre de partants.

Aussi, un conseil, dépêchez-vous de vous engager, c a r n ’oubliez pas qu’en cas d'ex-orquo le numéro d ’inscrip tion départagera les concurrents.

Engagements 20 francs pour le Rallye et 10 francs pour le Gymkana chez M. Héquette, com m issaire général, 15 bis, avenue Aumont, à Chantilly.

Rallyes de ChantillyRendez-vous et arrivée Carrefour de

La Muette, Le parcours très accidenté à travers la jolie forêt d ’Erm enonville pas­sait par la route des Marcassins, Je Po­teau Néuf, la route des Bruyères de la Victoire, le poteau du Chêne, la route Neuve, le poteau d’Anleu où tro is séries d’obstacles avaient été placés et où avait lieu la mi-temps. Les cavaliers rep a r­ta ien t p ar la route de Blamont, la route de la Plaine, le chemin des Sergents, le Biat, la route des Bruyères de la Vic­toire. le poteau Neuf, pour revenir à la Muette. Les gagnants ont été l ” M. T. Roussel, 2° M. C. Dupont, Ils ont reçu les flots de rubans des m ains de Mlle Lamy et de Mme Gorsch. Etaient p ré­sents : M. Beaudrier, Dr et Mme Roussel, M. Potel, M. de La Palm e, Mme Soyer, Mme Blanchet, M., Mme et Mlles Bied- Charreton, M. et Mlle Lebrasseur, M„ Mme et Mlle Lazard, M. et Mme Couten, M. Léon Lang, Mme Couten, MM. Rom- m etin, Meignan, Normand, Gorsch, Amar, Mallet.

Samedi prochain rendez-vous à 15 h., au Poteau de la Croix d’Anleu (forêt d’Ermenonville).

Mlle H. Cahen ................. 114— 26 : 88Mme Borel de K inkelin . . 107 — 17 : 90

Mlle de Gunzbourg s’étan t scratchée, après barrage les joueuses, ayant 77 net restaient qualifiées :

Mme Bétolaud, Mlle Fleury, Mlle P Foucher, Mme C. Aublin.

P rix de Consolât io n

99 82- 93-

103 89

110 111 108- 115

24 - 6 - 1 6- 24- 9- 30 - 3 0 - 2 6- 28

: 7o : 76 : 77 ; 79 ; 80 : 8(4 ; 81 : 82 : 87

Gr. L A Z A R D :-12, r u e d ’O r g e m o n t

Leçons de M anège. — Promenade» A chat. — Vente

Chevaux pour chasses et rallyes

Golf de Chantilly Résultats du P rix de Diane

Mme Bétolaud ............. 95 —- 24 : 71Mlle FJoury ................. 91 — 17: 74Mlle de Gunzbourg . . . 75Mlle Foucher . . . . . . . . .’ ' 83 6 : 77Mme C. Aublin ........... 85 — 8 : 77Mme Bechmann ........... 87 — 10 : 77Mme Van de Walle .. . . 101 — 24 : 77Mlle Griolet ................. 90 — 12 : 78Mlle 0 . Fay ...........\ . . 8 : 79Mme M. Cahen ........... 109 30 : 79Mme Mu nier ............. 81 1 : 80Mlle L. Guggenheimj . . 90 — 16 : 8(1Mme Guggenheim . . . . 104 24 : 80Princesse Murât ........ 91 — 10 : 81Mlle de V a n ssa v ........... 87 — 6 : 81Mlle Sargent . ............... 97 — 15 : 82Mme H. Monier ........... 89 — 6 : 83Mlle M. Fay ................. 84 — 1 : 83Mme Regnauld ............. 89 — 5 : 84Mlle Thibaud ............. 92 8 : 84Mme A. Thibaud ......... 94 — 9 : 85Mme Lévy-Blad ........... . 110 — 15 : 85Mme O rr ....................... 115 30 : 85Baronne de Junca . . . . 99 13 : 86Mme Thalm ann ........... . 114 28 : 86Mme Leclerc ................ 114 28 : 86Mme Fautrat ............. 99 12 : 87

Mme C. Guggenheim . .Mme H. Monier ...........Mlle L. Guggenheim . .Mme Van de W alle . . .Mme A. T h ib a u d .........Mme M. Cahen .............Mme Orr ........................Mlle H. Cahen .............Mme Thalm ann ...........

16 partantes .

Samedi 30 juin 1934, Coupe Vagîiai Match International France-Grande-B tagne (dames).

Spectateurs : Entrée gratuite.

D im anche F juillet, Coupe Vendar ofi'erte p ar M. le baron E douard Rothschild. Mixed Foiirsomes.

International handicap « p ar coups 18 trous. Medal play. Ouvert à h joueur ou joueuse, m em bre d’un Golf connu, dont le handicap n ’excède pas sur le scratch score.

Un p rix aux gagnants. Un souvei aux seconds et au m eilleur score brut

Clôture des engagements : V endà 29 jum m idi.

Droit d’inscrip tion : pour les Me bres du Golf de Chantilly, 20 fr • no les m embres d’autres Golfs, 40 francs.

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Après avoir été vivement intéressés par une partie de ja rd in où les meilleurs cham pions de la région m ontrèrent aux congressistes venus de tous les points de la France, le noble jeu de l’arc ils ont visité avenue du Maréchal-,Toffre’, les beaux tnagasins d’exposition et de dé­m onstration de la Société Saint-Quenti- noise, dans lesquels cette dernière se propose de donner prochainem ent des cours de cuisine à sa clientèle.

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ANNONCES JUDICIAIRESAr tic le 1er.

E tude de M* L. CHASTAING, avoué à Senlis.

’V JES 3N - T E Spar suite de saisie imm obilière

d ’u n e

P R O P R I É T És ise à SENLIS

sur le Cours de M ontmorency èn la rue du Tour-de-Ville

ou rue Thomas-Couture, n° (i

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 18 JUILLET 1934, à 14 heures, en l’audience des criées du Tribunal'C ivil dè Sen­lis, sis à Senlis, ancien Evêché, place Notre-Dame.

On fait savoir à to u s’ ceux qu’il appartiend ra ;

Que p ar suite de la saisie im ­m obilière pratiquée suivant procès-yerbal du m inistère de Me Lenoir, huissier à Senlis, en date du seize m ars 1934, enre­gistré, dénoncé et tran sc rit au bureau des hypothèques de Sen­lis, le tro is avril 1934, volume 105, n ” 31.

H sera aux requête, poursu i­tes et diligences de :

1° M. Isidore dit Albert La- bide, p ropriétaire , dem eurant à Crépy-en-Valois (Oise); 2° M. Gabriel Rupert, négociant, de­m eurant à Villers-Cotterêts (Ais. ne), 13, rue de Paris.

Créanciers saisissants.Ayant pour avoué constitué

M8 L. Chastaing, dem eurant à Senlis, rue Sainte-Geneviève.

En présence ou eux dûment appelés de :

1° M. M aurice-Eernand Lefè- vre, ancien quincaillier, p ris tan t en son nom personnel que pour valider la p rocédure à l ’é­gard de la dame Marie-Aline Santanbien, son épouse, dem eu­ran t à Meaux (S.-et-M.), place du Marché, ci-devant et actuelle­m ent à Sarcelles, 15, rue des Ro­siers ; 2° Mme Marie-Aline San­tanbien, épouse de M, Mauricè- Fernand Lefèvre, ancien quin­caillier, avec lequel elle demeu­re à Meaux, place du Marché ci- devant et actuellem ent à Sarcel­les, 15, rue des Rosiers .

P arties saisies.N’ayant pas d’avoué constitué.

Départem ent de l’Oise. —Canton de Senlis. Cadastre

Procédé le Mercredi 18 Juillet 1934, à quatorze heures, en l’au­dience des criées du T ribunal civil de Senlis, au Palais de Justice de la dite ville, ancien Evêché, p lace Notre-Dtime, à la vente sur saisie im m obilière, au plus offrant et d ern ier enché­risseur, à l ’extinction des feux, de l’immeuble dont la désigna­tion suit ;

DESIGNATIONtelle qu’elle est insérée

au procès-verbal de saisie

Ville et Canton de Senlis. A rrondissem ent dudit

D épartem ent de l’Oise

UNE PROPRIETE située à Senlis, sur le Cours de Montmo­rency, en la rue du Tour-de-Ville ou Thomas-Couture, n 8 6, com­prenan t ;

Bâtim ent d ’habitation en fa­çade sur le Cours Montmorency, constru it en briques et p ierres de taille, élevé sur cave d ’un rez- de-chaussée, com prenant : cui- siiie, office, salle à m anger, sa­lon, petit salon et passage sur le cô té servant de remise, d’un prem ier étage com prenant six cham bres à coucher, cabinet de toilette et cabinet d ’aisance et d’un deuxième étage lam brissé com prenant quatre cham bres à coucher, d’un cabinet. Grenier au-dessus couvert en ardoises. Calorifère, Jard in devant sur la rue et sur le côté ferm é p ar un m ur surm onté d’une grille en fer.

Petite cour derrière, écurie avec remise, au-dessus sellerie et cham bre de domestique. Basse-cour, citerne, eaux de la ville. Cadastré section B, h 0 230, le tout d ’une contenance de mille vingt-cinq m ètres environ tenant p ar devant à la rue du Tour de Ville ou rue Thomas- Couture et portan t le n" 6, en face le Cours Montmorency, au fond à M. Lehm ann et à Mme Leroux, d’un côté à M. Lepape et d’autre côté à M. Leroux. Tels que les dits immeubles c,i-dessus désignés existent, se poursuivent et com portent ainsi que les c ir­constances et dépendances sans aucune exception ni réserve.

Cette propriété est imposée aux rôles des Contributions fon­cières de la Commune de Sen­tis pour l ’année 1934, ainsi qu’il résulte et que le constate la co­pié de l’ex tra it de la m atrice cadastrale du rôle dont la te ­neur suit :

Ar t . 2 .

Etude de M8 L. CHASTAING, avoué à Senlis.

- A rrondissem ent de Senlis folio 900, N° du registre 577

E xtrait de la m atrice des propriétés foncières de la Commune de Senlis pour l ’année 1934

M. LEFEVRE M aurice, qu incaillier à Ay (Marne)

Section H8 du plan

B 230

Lieu dit

L’Orme qui Baye

Total

Contenance Nature de la propriété

10 83 sol, maison dépendance et cour

10 83

Certifié conform e à la m atrice cadastrale déposée dans les archives de la D irection des Contributions directes.

Beauvals, le 24 février 1934. Pour le directeur, l'Inspecteur Rédacteur (Signé) Illisible. Coût : 1 fr. 25.

D épartem ent de l’Oise. —- Arrondissem ent de SenlisCanton de ' Senlis. Cadastre case 760

.âîsUE xtra it de la m atrice des propriétés bâties de la Commune de Senlis pour l’année 1934

M. LEFEVRE Maurice, quincaillier à Ay (Marne)

Vente aux enchères publiquessur conversion

de saisie immobilièreEN UN SEUL LOT

d’une

P R O P R I É T Ésise comm une fle LAMORLAYE

lieudit Lys-ChantillyGrande avenue, n° 160 dénommée « Mi-Ki-Lys »

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 11 JUILLET 1934, à 14 heures, en l’audience des criées du T ribunal civil de Sen­lis, ancien Evêché, place Notre- Dame.

E n exécution d’un jugement rendu sur requête p ar le T ribu­nal civil de prem ière instance de Senlis, le 7 juin 1934, enregis­tré.

E t aux requête, poursuites et diligences de :

Mme Ernestine-Adélaïde Ga- daud, sans profession, veuve en prem ières noces de M. Jules-Al- phonse Maupoix, et épouse en deuxièmes noces de M. Jean-At- tilius Calisti, contrôleur p rin c i­pal des Contributions directes et de ce dern ier qui l ’assiste et autorise, dem eurant ensemble à Tunis (Tunisie), rue Es Saïda Echabana, n" 13, « agissant la dite dame Calisti en qualité de seule héritière de Mme veuve Ga. daud, née W interberger, sa mè­re décédée, ainsi que le cons­tate un acte de notoriété dressé par M8 Lanquest, notaire à Pa­ris, le 28 m ars 1931.

Poursuivants la vente. Ayant pour avoué constitué,

M8 L, Chastaing, dem eurant à Senlis, rue Sainte-Geneviève.

E n présence ou eux dûment appelés de :

1° M. Henri-M arie Prem et, p ropriétaire , dem eurant au Lys- Chantilly, com m une de Lamor- laye, grande avenue, n° 160, « p ris tan t en son nom person­nel que pour assister et autori­ser la dame son épouse et la validité de la procédure à son égard. »

2° Mme Marie-Hortense Bada- dant, épouse de M. Prem et sus­nommé, dem eurant au Lys- Chantilly, com m une de Lamor- laye, grande avenue, n° 160.

Présents à la vente. Ayant pour avoué constitué,

M8 Georges Morand, dem eurant à Senlis.

11 sera procédé le Mercredi 11 Juillet 1934, à 14 heures, eh l’audience des criées du T ribu­nal civil de Senlis, séant à Sen lis, au Palais de Justice de la dite ville, ancien Evêché, place Notre-Dame, à la vente sur con­version de saisie immobilière, aux enchères publiques, au plus offrant et dern ier enchérisseur à Textinction des feux, en un seul lot de l’immeuble dont la désignation suit :

DESIGNATION

S’adresser pour les renseigne­m ents à :

1° M8 L. CHASTAING, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2“ M8 MORAND, avoué à Sen­lis, présent à la vente ;

3° M!8 LANQUEST, notaire à Paris, 92, boulevard Haussmann;

48 M8 GUETIN, huissier à Chantilly ;

5° Et au Greffe du Tribunal civil de Senlis, où le cah ier des charges est déposé.

Section N° du planCanton, triage

lieu ditNature

de la propriété Classe Revenu

BB

230230

Thomas-Couture Maison » 775» Ecurie Remise » 350

Total ........................ 1.125

Certifié conforme à la m atrice cadastrale déposée archives de la D irection des Contributions directes.

dans les

Beauvais, le 24 février 1934. Rédacteur (Signé) Illisible. Coût

MISE A PRIX Outre les charges, clauses et

conditions insérées au cahier des charges dressé p ar M8 L. Chastaing, avoué et déposé au Greffe du Tribunal civil de Sen­lis, où toute personne peut en prendre connaissance, les en­chères seront reçues sur la mise à p rix de cent mille francs llxée p a r les poursui­vants, ci ...........

Fait et rédigé p ar l’avoué poursuivant soussigné.

Senlis, le 13 juin! 1934.Signé : L. CHASTAING.

Et enregistré.

Les enchères ne. pourront être reçues que par le m inistère d ’avoués.

9508

Art. 3.Etudes de M8 Georges MORAND,

avoué à Senlis et de M» Jean LOISEAU,

notaire à Chambly.

v j s i n t t j e :sur saisie imm obilière

Jean Loseau, notaire à Cham­bly, comnis à cet effet, procédé à la vente sur saisie im m obiliè­re, aux mchères publiques, au plus offrait et dernier enchéris­seur, à E xtinction des feux, en deux Lob, des im m eubles dont la désigmtion suit :

IESIGNATIONET

SISES A PRIX des Immeubles à Vendre

P rem ier lotUNE PROPRIETE à usage liab'tation bourgeoise, sise à k«f2j[dv, canton de Neuilly-en-

fnèïiej arrondissem ent de Sen­lis (Oise), rue de Senlis, n “ 1, à l’angle de la rue Gambetta, sans numéro, en façade sur la place de l’Eglise, com prenant :

Bâtiment en façade sur ja r ­din élevé de rez-de-chaussée, un étage carré, deuxième étage sous brisés.

Annexe à droite, élevée sur caves de simple rez-de-chaussée.

Appentis sur l ’annexe précé­dente, élevé de sim ple rez-de- chaussée.

Bâtiment en bordure de la rue de Senlis, élevé de rez-de- chaussée et grenier

Art. 4.Etudes de M° Gaston LOIR,

avoué à Senlis et de .M* MIDY, notaire

à Mello (Oise).

DE r

OKI PROPRIÉTÉA USAGE

D’HABITATION BOURGEOISE sise à CHAMBLYrue de Senlis, n 8 1

à l’angle de la rue Gambetta, en façade

sur la place de l ’E g l i s e

UNE PROPRIÉTÉA USAGE D’HABITATION

sise au M esnil-en-Thellerue du Chef-de-Ville

ET

U N J A R D I NCLOS DE MURS

en face de cette propriété EN DEUX LOTS

Le tout plus amplement désigné ci-après.

quel elle dem eure à Montataire, Jardin d ’agrém ent en façade I 52-,n,,e Yoltaire- cc dernier agis

sur la rue de Senlis et la place sanl tan t en son notm Personnel de l’Eglise clue Pour assister et autoriser la

J „ ‘ , dame son épouse susnommée.Jardin de) rap p o rt au fond de 1

la propriété.Le tout clos de m urs, m ur

bahut et grille sur la rue de Senlis, et d’une contenance

2° Mme Maria Nasarzewska, veuve de M, Alexandre Kwiat- kowski, dem eurant à Monta­taire, 44 bis, rue de la Ville.

„ >-as , ... , „,■!! d >1 Agissant tan t en son nomI p«.r r " el r t " T g r " rtutrice naturelle et legale de Victor, Geneviève, Casimir, An-

cent quatre-vingt-sept carrés.

Cadastrés section F, num éros I 73 et 74 pour deux mille quatre- v in g t-d ix m è t r e s c a r r é s .

-r. , ,int en façade et d’un côté la rue de Senlis (place de

l’Eglise), au fond à MM. Noury, Cordonnier et Adolphe, et d’au-1 tre côté à la rue Gambetta./lise à prix : 1 5 .0 0 0 fr.

Deuxième lot 1° UNE PROPRIETE à usage]

L’adjudication aura lieu le JEUDI 12 JUILLET 1934, à 14 heures, en l’Etude et p ar le m i­nistère de M” Jean LOISEAU, notaire à Chambly, commis à cet effet.

Pour le directeur, : 1 fr. 25.

10 0 .0 0 0 fp.

PURGE LEGALEIl est ici déclaré que ■ tous

ceux du chef desquels il pour­ra it être p ris inscrip tion pour raison d ’hypothèque légale sur l’immeuble ci-dessus désigné, devront requérir cette inscrip ­tion avant la transcrip tion du jugement d ’adjudication.

l’Inspecteur

l’avoulFait et rédigé p ar poursuivant soussigné.

A Senlis, le 13 juin 1934.Signé : L. CHASTAING.

Et enregistré.

S ’adresser pour les renseigne­m ents à :

1° M8 L. CHASTAING, avoué, à Senlis, poursuivant la vente ;

2“ M* LENOIR, huissier à Sen­lis ;

S8 Et au Greffe du Tribunal civil de Senlis où le cahier des charges est déposé.

Les enchères ne pourront être reçues que par le m inistère d ’avoués. 9306

UNE PROPRIETE sise com­mune de Lamorlaye, au lieudit Lys-Chantilly, grande avenue, numéro 160, dénommée « Mi- Ki-Lys », com prenant :

Bâtim ent d’habitation élevé sur terre-plein d’un simple rez- de-chaussée et d ’un étage carré Bâtiment en retour à droite éle­vé sur terre-plein d’un simple rez-de-chaussée.

Bâtim ent d ’habitation en re ­tour du bâtim ent p rincipal à gauche, élevé partie sur cave, partie sur terre-plein d ’un rez- de chaussée en partie surélevé et d’un étage entresolé.

Terrasse au-dessus. Jard in de­vant et derrière ces bâtim ents.

Garage dans le jardin.Le tout d’une contenance su­

perficielle de 4.500 mètres ca r­rés paraissant cadastré section A, n° t p., tenan t devant à la grande avenue, au fond à M. Neinchen Shah, à droite au n 8 158 appartenant à M. Vanden- berghe, à gauche au n ” 162 ap­partenant à M. Fischer.

Au d ro it de la propriété, moi­tié en largeur du sol de l’avenue d’une cpntenanee superficielle de 270 m ètres Carrés.

MISE A PRIXOutre les charges, clauses et

conditions insérées au cahier des charges dressé par M8 L. Chastaing, avoué, et déposé au Greffe du Tribunal civil de Sen­lis, où toute personne peut en prendre connaissance, les en chères seront reçues sur la mise à prix de cent cinquante mille francs fixée p ar

S , ! T " n , p “ : 1 5 0 .0 0 0 f r

On fait savoir à tous ceux qu’il appartiendra

Qu’en vertu : l 88*. De la grosse dûm ent en

forme exéeufoire d’un acte reçu par M8 Paul P ignard , notaire à Chambly, le cinq avril 1932, en registré, contenant contrat con­ditionnel de prêt par le Crédit Foncier de France, au profit de M. et Mme Boitel, ci-après nom­més, d ’une somme de quarante- cinq mille francs ; 2““. Et de la grosse dûm ent en forme exécu­toire d’un autre acte reçu par le même notaire, le dix mai 1932, enregistré, contenant réa­lisation dudit prêt

En conséquence du comman- dement valant saisie signifié à M. et Mme Boitel, suivant ex ploit du m inistère de M8 Dela- housse, huissier à Neuilly-en- Thelle, en date du douze février 1934, enregistré, visé, conform é­ment à la loi, et transcrit au bureau des hypothèques de Sen­lis, le douze mai 1934, volume 105, n° 37 ; E t d’un jugement rendu sur requête par le Tribu nal de prem ière instance de Senlis, le seize .mai 1934, enre gistré

Et aux requête, poursuite et diligence du Crédit Foncier de France, société anonyme ayant son siège à Paris, rue des Ca pucines, n 8 19, agissant pour­suites et diligences de son Gtnt verneur, dem eurant au siège so cial.

P o u r s u iv a n t la v e n te Aygnt p o u r avoué constitué

M8 Georges Morand, demeurant à Senlis.

En présence ou eux dûment appelés de :

1"“ . M, Lucien-Louis-JosephBoitel, employé à la Compagnie des Chemins de fer du Nord dem eurant à Chambly (Dise) rue de Senlis, n 8 1, « tant en son nom personnel que pour validité de la procédure à l’e gard de son épouse ci-apre nommée » : 28“'. Et Mme Angèle Catherine Gillet, épouse de M. Boitel, susnommé, avec lequel elle demeure à Chambly (Oise), rue de Senlis, n ” 1.

P a r t i e s s a i s i e s .N’ayant pas d’avoué consti­

tué.Il

\ e n t e s u r LicitationD'UNE

MAISONsise à MONTATAIRErue de la Ville, n ” 44 bisplus amplement désignée

ci-après.

L’adjudication aura lieu le JEUDI 12 JUILLET 1934, à 14 heures, en l’Etude et p ar le m i­nistère de M8 MIDY, notaire à Mello.

En vertu d ’un jugement sur requête rendu le 17 mai 1934, p a r le T ribunal civil de Senlis, enregistré.

Et aux requête, poursuite et diligences de ;

l 8 Mme Hélène Jcdrzajewska, épouse de M. Jean Szot, avec le

février mil neuf cent trente-qua­tre, enregistré, il appert que le T ribunal a prononcé la résolu­tion de la vente du fonds de commerce de charcu terie, sis à Chantilly, rue du Conétable, nu­méro 59, consentie à M. Louis- Eugène ROULLAND et Madame Renée-Lucienne FREMONT, son épouse, dem eurant ensemble ci- devant à Chantilly, rue du Con­nétable, n 8 59, et actuellement rue Saint-Denis, 40, à Aubervil- liers, p ar M. Maurice-René PE- ROT et Mme Amélie-JEniilienne MARQUIS, son épouse, demeu­ran t ensemble à Chantilly, im­passe François-W ells, suivant acte sous signatures privées en date à Chantilly, du 17 octobre 1931, enregistré à O e il , le 28 octobre 1931, folio 90, case 9, p a r M. le Receveur qui a perçu les droits.

La p rise de possession a eu lieu.

Les oppositions s’il y a lieu, devront être faites au plus tard dans les dix jours de la présente publication en l’Etude de M8

Oir, avoué à Senlis.La présente insertion a paru

au Bulletin Offlciel des Ventes de Fonds de Commerce, le six juin 1934.

Pour deuxièm e insertion, LOIR.

9511

toine, Andrée, Léon et Irène, ses sept enfants issus de son union a v e c M. Alexandre Kwiatkows- ki, décédé à M ontataire, le 6 mai 1933.

Ayant pour avoué constitué M8 Gaston Loir, dem eurant à Senlis, 43, rue de la République.

Il sera le Jeudi 12 Juillet 1934, a 14 heures, en l’Etude et par le m inistère de M8 Midy, notaire à Mello, procédé à la vente aux

d’habitation, sise au Mesnil-en- enchères publiques, au plus of-Thelle, canton de Neuilly-en- Thelle, arrondissem ent de Sen­lis (Oise), com prenant :

Bâtiment sur la cour élevé de rez-de-chaussée et un étage car- é.

Annexe en aile sur le bâti­ment précédent, élevé de rez- de-chaussée et grenier.

Cour non close entre les bâ­timents, joignant la rue p ar un passage

Le tout d ’une contenance d’après m esurage de deux cent quinze m ètres carrés

Cadastrés section C, numéros p., 2 p., 3 pTenant en façade à la rue du ment.

Chef-de-Ville, au fond à M. Pou- pard, d ’un côté à Mme Delfour, | d’autre côté à M. Letellier.

2^.4 N JARDIN, sis aussi au Memil-en-Thelle, clos de murs, en face de la p ropriété précé­dente d’une contenance d’après les titres de huit cent cinquante et un mètres carrés.

Cadastrés section C, n° 106 p. pour hu it cent quatre-vingt-cinq ] mètres carrés.

T enant en façade à la rue du Chef de Ville, au fond à M. Sou­lier, d ’un côté à M. Soulier, d’autre côté à M. Huon.

Mise à prix : 1 .0 0 0 fr.

fran t et dernier enchérisseur, à l’extinction des feux, d ’une m ai­son dont la désignation suit* :

DESIGNATION & MISE A PRIXUNE MAISON située à Monta

taire, rue de la Ville, n 8 44 bis, com prenant

Un bâtim ent d’habitation sur la rue- de la Ville, élevé sur cave

D’un rez-de-chaussée, divisé en quatre pièces, d ’un prem ier étage également divisé en cinq pièces.

Grenier au-dessus couvert en ardoise.

Passage au long de ce bâti

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au ca­h ier des charges dressé p a r M‘ Jean Loiseau, notaire à Cham­bly, et déposé en son Etude où toute personne peut en prendre connaissance les im m eubles ci- dessus désignés seront mis en vente sur les mises à p rix sus- indiquées fixées par le poursui­vant.

PURGE LEGALE Il est ici déclaré, conform é­

ment à l ’article 696 du code de procédure civile, que tous ceux du chef desquels il pourra it être pris des inscrip tions d’hypothè­que légale sur ies immeubles ci- dessus' désignés, devront requé­rir--. 'ÿx inscrip tion avant la transet «jîion du procès-verbald’adjudjeation.

Cour derrière dans laquelle se trouvent divers bâtim ents de dé­charge, hangar, remise.

Ja rd in derrière et derrière une portion de l ’immeuble ap­partenant à M. Vandendriess che Jules.

Puits mitoyen avec M. Debout, dans ce puits se trouvent deux tuyaux alim entant deux pompes, l’une établie dans la cour de 'immeuble présentem ent vendu

et l ’autre établie dans l’immeu­ble de M. Vandendriess-che Ju­les.

L’ensemble de cette maison tient d’un côté M. Debout et Mme Roussel, d’autre côté M Vandendriessche, p ar devant la rue de la Ville, au fond M. Rous- sillon, d ’une contenance d’après m esure de dix ares dix-sept centiares.Mise à prix : 3 0 OOOfr.

Fait jet rédigé p a r l’avoué poursuLant soussigné,

A Senlis, le 19 mai 1934.Signé : MORAND

Et enregistré.

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé par M8 Midy notaire à Mello, ex déposé en son E tude où toute personne peut en prendre connaissance l’immeuble ci-dessus désigné sera mis en vente! sur la mise p rix sus-imliquée fixée p ar le jugement précité.

Fait et rédigé par l’avoi poursuivant soussigné.

Signé : LOIR,Et enregistré.

S'adresser pour les renseigne ments à :

M8 Gaston LOIR, avoué à Sen lis, poursuivant la vente ;

M8 MIDY, notaire à Alello, re dacteur et dépositaire du cahier des charges. 9573

S'adresser pour les renseigne­ments :

A M* Georges MORAND, avoué I à Senlis, poursuivant la vente ; |

A M- E m iie DELAHOUSSE, | huissier à Neuillv-en-Thelle ;

A M8 Jean LOISEAU, n o ta i r e | à Chambly, rédacteur et dépo­sitaire du cahier des charges

A r t . 5.Etude de M; LOIR,

à Senlis.

D E U X IE M E IN S E R T IO N

mément aux dispositions de la loi du 3 mai 1841 et de l’article 22 de la loi du 30 décembre 1928 :

Une maison avec cour et jardin, sise à Senlis, à l’angle de la place du Théâtre et de la rue de la Montagne-Saint-Aignan , le tout d ’une superficie de 415 m2, Cadas­tré section H, n° 1278 p., tenant par devant à la place du Théâtre, au fond à MM. Ragois et Pellet, à d oite la rue de la Montagne- Aignan, et à gauche au surplus de la propriété de la Vi le de Senlis.

ORIGINE DE PROPRIÉTÉ Ledit immeuble appartient à la

Ville de Senlis qui l a acquis de M. et Mme Moulin, suivant acte reçu par M» Guibourg, notaire à Senlis, le 18 m ars 1823.

Pour extrait conforme,Le Secrétair» Général

de la Préfecture :9581 PETITJEAN.

A r t . 6.Etude de M® G eorges MORAND

avoué à Senlis.

RÉsolutioD de C ession de Fonds de Commerce

D’un jugem ent rendu par le Tribunal de Commerce de Senlis, le vingt février 1934, enregistré, il appert que le Tribunal a pro noneé la résolution de la vente du fonds de commerce de bu vette, restaurant, épicerie, m er­cerie, sis â Montlévêque, rue de Meaux, n° 15, consentie par M. Louis GUIGNARDON et Mme Marie-Louise DOUCET, son épou­se, dem eurant ensemble à Egre- ville (Seine-et-Marne), à M. Mau- rice-Bertrand BÉZÉJAT et Mme Andrée-Louise MARÉCHAL, son épouse, dem eurant ensemble ci- devant à Montlévêque et actuelle­ment sans domicile ni résidence connus suivant acte sous signa­tures privées en date à Montlé­vêque du douze septem bre 1932, enregistré à Senlis le même jo u r folio 36, case 19, par M. le Rece qui a perçu les di oits.

La prise de possession a eu lieu.

Les oppositions, sM y a lieu, devfont être faites dans les dix ours de la deuxième publication,

en l’Etude de M® Georges Morand, avoué à Sen lis.

Pour prem ière insertion 9657 (Signé) MORAND.

Art. 9.COMPAGNIE ANONYME

DU

Chemin de Fer de Hermes à Beaum ont

R. C. Senlis nü 5639

Le tirage au sort des Actions et des Bons a eu lieu en séance pu­blique, au Siège Social, à Neuilly- en-Thelle (Oise), le Jeudi sept Juin mil neuf cent trente-quatre , à seize heures.

Les num éros sortis sont les suivants :

ACTIONS : 36, 97, 280, 367, 498, 649, 660, 771, 967, 1197, 1267, 1446, 1494,1513,1529, 1676, 1821, 1849, 1919. 2010, 2348 2413, 2548, 2571.

BONS : 920, 954, 1008, 1009, 1022, 1038, 1062, 1082, 1087, 1109, 1110, 1200, 1205 1215, 1218, 1234, 1259,1287,1361, 1383, 1403, 1478, 1482, 1491.

Les Bons seront rem boursés au Siège de la Compagnie à partir du l®r Ju ille t 4 9 8 4 et les Ac­tio n s à partir du l®® Janvier» 1 9 3 5 . 9562

A r t . 7.

titudede M Georges MORANDavoué è Senlis.

D I V O R C E

Assistance JudiciaireDécision du 34 F ècner 1034

D’un jugement rendu par le Tribunal de première instance de Senlis, le vingt-cinq avril 1934, enregistré. Au profit de Mme An­toinette - Suzan e ECRIVENT , épouse de M. Eugène-François DESFONTA1NE, ajusteur, avec lequel elle dem -ure de droit, mais autorisée à résider et rési­dant de fait à Boran. Et par dé­faut cont e le sieur Eugène-Fran­çois ÜESFONTAlNE,ajusteur, son m ari,dem eurant à Creli, ci-devant et actuellem ent sans domicile ni résidence connus en France. Il appert: Que le divorce a été pro­noncé d ’entie les époux Desfon- taine-Borivent.

Extrait publié en conformité de l’article 247 du Code civil.9131

ART. 10.PREMIERE PUBLICATION

Suivant acte sous signatures privées en date du 4 juin 1934, enregistré à Senlis le 11 juin 1934, F 87, case 4, Monsieur GOSSARD Raymond, dem eurant à Meaux, 11, place Jean-Bureau, a vendu la clientèle comptable taisant partie ducabim t exploité à Senlis, 13, place Henri-IV, à Monsieur DE­BITAS Gaston, 13, place Henri-IV.

L’entrée en jouissat ce a eu lieu le 4 juin.

Pour les oppositions, s’il y a lieu, s’adresser au fonds et chez M. JAM, 2, boulevard Galliéni, Neuilly Plaisance. 9577

A r t . I LTRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

Les créancieis de la faillite de la Société Industrielle d ’Approvi- sionnem ents Généraux, dont le siège était à Fleurines, sont in­vités à se réunir te i 6' Juin 1934,

14 heures 1,0 , en l'auditoire du Tribunal de Commerce de Senlis, pour entendre les propositions de concordat qui pourraient être faites par le débitée r, les accepter ou, à défaut, s’entendre déclarer en état d’union et, dans ce cas, être consultés sur le maintien ou le remplacement du syndic.

Le Greffier du Tribunal, 9582 G. ÜAVENC.

(Signé) MORAND.

R ésolution de C ession de Fonds de Commerce

Et au C rédit Foncier de sera, le Jeudi 12 Juillet F rance, 19, rue des Capucines, à

1934, à quatorze heures, en l’E- Paris, tude et par le m inistère de M

D’un jugement contradicto i­rem ent rendu par le Tribunal de Commerce de Senlis, le six

A h t . 8.DÉPARTEMENT DE L’OISE

ACQUISITIONd’un im m euble sis à SENLIS

p a r application de la Loi du 8 Mai 18 4 1

Suivant acte adm inistratif en date du 19 mai 1931, enregistré à Beauvais, le 29 du même mois, folio 17, n ■ 107.

La Ville de SENLIS, ropr sen- tée par M. Félix LOUAT, maire, agissant en vertu d’une délibéra tion du Conseil Municipal de la dite Ville, du 14 décembre 1933

A cé 'é ami ddement au dépar­tement de l'Oise l'immeuble dési­gné ci-après, destiné à l’installa­tion des bureaux du Service des Ponts et Chaussées et du Service Vicinal de l’Oise, immeuble dont l’acquisition a été déclarée d’uti lilé publique par arrèlé préfec­toral du 28 décembre 1933, confor

- IL .............................................H lT .................. —

Art. 12.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

Les créanciers delà liquidation judiciaire du sieur BLAVET Mar­cel, dem eurant à Chantilly, sont invités à se réunir le 36 Juin 191,4, à 14 heures 30, en l’auditoire du Trib nal de Commerce de Senlis, pour arrê ter le compte définitif du liquidait u r et donner leur avis s u r l’excusabUité du liquidé

Le Greffier du Tribunal,9583 G. GAVENC.

Art, 13.Etude de M” TETARD,

notaire à Senlis.

C onstitutioH de Société A. R. L, LEM01NE P è re et F ils », â R i) î ly

E m R A T T J l V l

Au lieu de :Aux termes d’un acte reçu par

M8 Têtard, notaire à Senlis, le 22 m ars 1934.

Il faut lire :Aux term es d’un acle reçu par

M® Tétafd, notaire à Seuns, le 2 2 MAI 1 9 3 4 .

Page 6: ANNEE. — N° 24. LE COURRIER DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1934_06_17_MRC.pdf · i Ots s’abonne aax Bureaux «la Jonnsal «t «Sons ton» ... B U R E A

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