Bulletin officiel du ministère de l'intérieur - N° 6 du …15 juIN 2016. – INTÉRIEuR 2016-6 – SOMCHR – PAGE 5 BuLLETIN OFFICIEL Du MINISTÈRE DE L’INTÉRIEuR Pages 4 avril

No 2016-6

MINISTÈREDE

L’INTÉRIEUR

Direction de l’information légale et administrative26, rue Desaix75727 Paris Cedex 15ISSN : 1282-7924

Édité par : La délégation à l’information et à la communication du ministère de l’intérieur

Directeur de la publication : Thomas Andrieu, directeur des libertés publiques et des affaires juridiques

Application du titre Ier de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978 relatif à la liberté d’accès aux documents administratifs

Bulletin

Officiel

du Ministère

de l’intérieur

15 juin 2016

Sommaire chronologique

Sommaire thématique

NOTALes annexes citées et non incluses dans le

présent document peuvent être obtenues, sur simple demande, auprès des directions dont elles émanent.

Il est important de donner les références précises (date et numéro de code).

15 juIN 2016. – INTÉRIEuR 2016-6 – SOMCHR – PAGE 3

Sommaire chronologique

Pages

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR

6 janvier 2016Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie

nationale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien pour la campagne de notation de l’année 2016 ...................................................... 262

20 janvier 2016Instruction no 4012 du 20 janvier 2016 relative à la notation en 2016 des militaires de la

gendarmerie nationale ........................................................................................................ 294

8 mars 2016Instruction no 18034 du 8 mars 2016 relative aux niveaux de fusionnement des officiers de la

gendarmerie nationale ........................................................................................................ 324

11 mars 2016Décision no 20832 du 11 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la

spécialité « systèmes d’information et de communication » ............................................... 212

Décision no 20846 du 11 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne » ...................................................................................................... 213

Décision no 20889 du 11 mars 2016 portant promotion d’un sous-officier de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières » ................................................................................. 214

17 mars 2016Décision no 22/2016 du 17 mars 2016 portant habilitation des agents du Conseil national des

activités privées de sécurité pour la mise en œuvre de la procédure prévue à l’article L. 8271-6-3 du code du travail ................................................................................................ 170

24 mars 2016Arrêté du 24 mars 2016 portant changement d’appellation du peloton de gendarmerie de

montagne de Morez (Jura) ................................................................................................. 343

25 mars 2016Décision no 3839 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du

cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Eure et de la Seine-Maritime ............................................................................................................................. 215

Décision no 6868 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie » ......................................... 216

Décision no 6869 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie » ........................................... 217



Pages

Décision no 6870 du 25 mars 2016 portant promotion d’un sous-officier de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »........................................................................................................................... 218

29 mars 2016

Arrêté du 29 mars 2016 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense ............................................................... 114

Arrêté du 29 mars 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Palinges et modification corrélative des circonscriptions des brigades territoriales de Gueugnon et de Perrecy-les-Forges (Saône-et-Loire) .................................................................................... 344

Décision no 5987 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme .................................................................................... 219

Décision no 6990 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Charente, de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres et de la Vienne ......................................................... 220

Décision no 19481 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France ................................................ 221

30 mars 2016

Décision no 16747 du 30 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest ................... 223

31 mars 2016

Arrêté du 31 mars 2016 portant changement d’appellation du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Penly (Seine-Maritime) ..................................................................... 346

Décision no 3767 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Bas-Rhin et du Haut-Rhin .................................................................................................................................... 224

Décision no 16823 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne ...................................................... 225

Décision no 22860 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat » ....................................... 226

1er avril 2016

Décision du 1er avril 2016 portant délégation de signature (Office français de l’immigration et de l’intégration) .................................................................................................................. 19

Décision no 4887 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Doubs, du Jura, de la Haute-Saône et du Territoire de Belfort ............................................................................. 227

Décision no 9801 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Aude, du Gard, de l’Hérault, de la Lozère et des Pyrénées-Orientales ............................................................. 228

Décision no 25974 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est ............... 229



Pages

4 avril 2016

Décision no 7483 du 4 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Côte-d’Or, de la Nièvre, de la Saône-et-Loire et de l’Yonne .......................................................................................... 230

Décision no 12735 du 4 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Moselle et des Vosges ............................................................................ 231

5 avril 2016

Décision no 2567 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale ............................................. 232

Décision no 12929 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant outre-mer et en assistance militaire technique » ..................................................... 233

Décision no 13326 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est ....................... 234

Décision no 18403 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur ...................... 235

Décision no 18408 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud ...................... 237

Décision no 23727 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale ......................... 238

6 avril 2016

Décision du 6 avril 2016 portant délégation de signature du directeur général (Office français de protection des réfugiés et apatrides) ............................................................................... 20

Décision no 6087 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime .......................................................................... 239

Décision no 6692 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Calvados, de la Manche et de l’Orne .................................................................................................................................. 240

Décision no 12411 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Ariège, de l’Aveyron, du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées, du Lot, du Tarn et de Tarn-et-Garonne .............................................................................................................................. 241

Décision no 20657 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest ........... 243

Décision no 20658 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Dordogne, de la Gironde, des Landes, de Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques ............................... 244

Décision no 21804 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris ............... 245

Décision no 27393 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de la Haute-Savoie, de l’Isère, de la Loire, du Rhône et de la Savoie ................ 246



Pages

7 avril 2016

Arrêté du 7 avril 2016 portant dissolution de la brigade motorisée de Mantes-la-Jolie (Yvelines), création corrélative du peloton motorisé de Mantes-la-Jolie (Yvelines) et modification de la compétence judiciaire du peloton motorisé de Gaillon (Eure) .............. 347

Arrêté du 7 avril 2016 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de Raon-l’Étape et de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges) ............................................................. 348

Décision no 2299 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air ............................................................................. 248

Décision no 3341 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens ...................................................... 249

Décision no 4074 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse .......................................................... 250

Décision no 5694 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale des Ardennes, de l’Aube, de la Marne et de la Haute-Marne ..................................................................................... 251

Décision no 24644 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « administrative et technique » ............. 252

8 avril 2016

Décision no 6177 du 8 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Aisne, de l’Oise et de la Somme ............................................................................................................................ 253

Décision no 7760 du 8 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Corrèze, de la Creuse et de la Haute-Vienne ......................................................................................................... 254

11 avril 2016

Décision no 10616 du 11 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre-Val de Loire .................................... 255

12 avril 2016

Décision no 10899 du 12 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Nord et du Pas-de-Calais .................................................................................................................................. 257

Décision no 10900 du 12 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord ................... 258

13 avril 2016

Décision no 1426 du 13 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire ......................................... 259

14 avril 2016

Arrêté du 14 avril 2016 portant changement d’appellation des pelotons d’intervention interrégionaux de la gendarmerie d’Orange (Vaucluse), de Toulouse (Haute-Garonne), de Dijon (Côte-d’Or), de Reims (Marne), de Nantes (Loire-Atlantique) et de Tours (Indre-et-Loire) .............................................................................................................................. 292



Pages

Instruction no 20500 du 14 avril 2016 relative aux niveaux de fusionnement des sous-officiers de la gendarmerie nationale ................................................................................................ 338

15 avril 2016

Arrêté du 15 avril 2016 portant création de l’école de gendarmerie de Dijon (Côte-d’Or) .... 293

19 avril 2016

Arrêté du 19 avril 2016 portant attribution de la médaille de la sécurité intérieure ............... 115

20 avril 2016

Arrêté du 20 avril 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Saint-Julien et modification corrélative de la circonscription de celle d’Arinthod (Jura) ........................... 350

Arrêté du 20 avril 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Carpentras et modification corrélative de la circonscription de la brigade territoriale de Beaumes-de-Venise (Vaucluse) ................................................................................................................ 352

Arrêté du 20 avril 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ............................................................... 354

22 avril 2016

Instruction du Gouvernement du 22 avril 2016 relative à la onzième journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions (10 mai 2016) ........................... 1

Note d’information du 22 avril 2016 relative à la dotation globale d’équipement (DGE) des départements pour l’exercice 2016 et au bilan de l’exercice 2015 ....................................... 30

25 avril 2016


27 avril 2016

Arrêté du 27 avril 2016 fixant la composition de la Commission nationale de recensement et de dépouillement des votes pour l’élection des représentants des collectivités territoriales au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale ................................................... 160

28 avril 2016

Décision no 35023 du 28 avril 2016 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ...................... 261

29 avril 2016

Arrêté du 29 avril 2016 conférant un grade et un emploi de sous-officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense .............................................. 161

Arrêté du 29 avril 2016 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police au titre de l’année 2016 ....................................................................................................... 178

Arrêté du 29 avril 2016 relatif au tableau d’avancement au grade de major de police au titre de l’année 2016............................................................................................................ 200



Pages

1er mai 2016Décision du 1er mai 2016 portant délégation de signature (Office français de l’immigration et

de l’intégration) .................................................................................................................. 25

Décision du 1er mai 2016 portant délégation de signature (Office français de l’immigration et de l’intégration) .................................................................................................................. 26




2 mai 2016Arrêté du 2 mai 2016 portant nomination à la Commission nationale de recensement et

de dépouillement des votes pour l’élection des représentants des régions au conseil d’administration du Centre national de la fonction publique territoriale ........................... 162

3 mai 2016Instruction du Gouvernement du 3 mai 2016 relative au renforcement des contrôles routiers à

l’occasion des week-ends prolongés de l’Ascension et de la Pentecôte ............................... 357

6 mai 2016Arrêté du 6 mai 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de

l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ............................................................... 355

Information du 6 mai 2016 relative à la procédure d’expulsion des étrangers hébergés dans les lieux prévus à l’article L. 744-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) ............................................................................................................... 98

9 mai 2016Arrêté du 9 mai 2016 conférant un grade de sous-officier de réserve au titre de l’article L. 4221-3

du code de la défense .......................................................................................................... 163

Arrêté du 9 mai 2016 conférant un grade de sous-officier de réserve au titre de l’article L. 4221-3 du code de la défense .......................................................................................................... 164


10 mai 2016Information du 10 mai 2016 relative à la procédure de remontée d’informations concernant

les ouvertures de centres d’accueil pour demandeurs d’asile et à la fluidité du dispositif national d’accueil ................................................................................................................ 105

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation particulière « élu local » pour l’exercice 2016 ..................................................................................................................... 38

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour l’exercice 2016 .......................................................... 40

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements et des collectivités d’outre-mer pour l’exercice 2016 ............................... 55



Pages

Note d’information du 10 mai 2016 relative au fonds de péréquation des ressources perçues par les régions et la collectivité territoriale de Corse en 2016 ............................................. 68

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement des régions pour l’exercice 2016 ................................................................................................ 73

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation forfaitaire des communes de la dotation globale de fonctionnement pour l’exercice 2016 ................................................... 79

11 mai 2016Arrêté du 11 mai 2016 conférant un grade de sous-officier de réserve au titre de

l’article L. 4221-3 du code de la défense ............................................................................. 166

Arrêté du 11 mai 2016 conférant un grade de sous-officier de réserve au titre de l’article L. 4221-3 du code de la défense ............................................................................. 167



Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Brocchetto (Madeline) ..... 174

Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Génin (Margot) ............... 175

Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Langlois (Laëtitia) ........... 177

Note d’information du 11 mai 2016 relative à la dotation de compensation des EPCI de la dotation globale de fonctionnement pour l’exercice 2016 ................................................... 94

20 mai 2016Arrêté du 20 mai 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de


Décision du 20 mai 2016 portant mise à la retraite de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides pour invalidité ne résultant pas du service – M. Renisio (Patrick) ..... 108

23 mai 2016Instruction du 23 mai 2016 relative à la protection rapprochée et à l’accompagnement de

sécurité des personnes par la police nationale .................................................................... 109boi_20160006_0000_0020

13 juIN 2016. – INTÉRIEuR 2016-6 – SOMTHEM – PAGE 10

Sommaire thématique

Pages


Administration généraleInstruction du Gouvernement du 22 avril 2016 relative à la onzième journée nationale des

mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions (10 mai 2016) ........................... 1

Délégations de signature

Décision du 1er avril 2016 portant délégation de signature (Office français de l’immigration et de l’intégration) .................................................................................................................. 19

Décision du 6 avril 2016 portant délégation de signature du directeur général (Office français de protection des réfugiés et apatrides) ............................................................................... 20






Collectivités territoriales

Finances locales

Concours financiers de l’État

Note d’information du 22 avril 2016 relative à la dotation globale d’équipement (DGE) des départements pour l’exercice 2016 et au bilan de l’exercice 2015 ....................................... 30

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation particulière « élu local » pour l’exercice 2016 ..................................................................................................................... 38

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour l’exercice 2016 .......................................................... 40

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements et des collectivités d’outre-mer pour l’exercice 2016 ............................... 55

Note d’information du 10 mai 2016 relative au fonds de péréquation des ressources perçues par les régions et la collectivité territoriale de Corse en 2016 ............................................. 68

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement des régions pour l’exercice 2016 ................................................................................................ 73

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation forfaitaire des communes de la dotation globale de fonctionnement pour l’exercice 2016 ................................................... 79



Pages

Note d’information du 11 mai 2016 relative à la dotation de compensation des EPCI de la dotation globale de fonctionnement pour l’exercice 2016 ................................................... 94

Immigration et asileInformation du 6 mai 2016 relative à la procédure d’expulsion des étrangers hébergés dans

les lieux prévus à l’article L. 744-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) ............................................................................................................... 98

Information du 10 mai 2016 relative à la procédure de remontée d’informations concernant les ouvertures de centres d’accueil pour demandeurs d’asile et à la fluidité du dispositif national d’accueil ................................................................................................................ 105

Personnels d’ÉtatDécision du 20 mai 2016 portant mise à la retraite de l’Office français de protection des

réfugiés et apatrides pour invalidité ne résultant pas du service – M. Renisio (Patrick) ..... 108

Instruction du 23 mai 2016 relative à la protection rapprochée et à l’accompagnement de sécurité des personnes par la police nationale .................................................................... 109

Attribution de qualifications et titres

Arrêté du 29 mars 2016 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense ............................................................... 114



Arrêté du 27 avril 2016 fixant la composition de la Commission nationale de recensement et de dépouillement des votes pour l’élection des représentants des collectivités territoriales au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale ................................................... 160

Arrêté du 29 avril 2016 conférant un grade et un emploi de sous-officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense .............................................. 161

Arrêté du 2 mai 2016 portant nomination à la Commission nationale de recensement et de dépouillement des votes pour l’élection des représentants des régions au conseil d’administration du Centre national de la fonction publique territoriale ........................... 162




Arrêté du 11 mai 2016 conférant un grade de sous-officier de réserve au titre de l’article L. 4221-3 du code de la défense .............................................................................. 166




Décision no 22/2016 du 17 mars 2016 portant habilitation des agents du Conseil national des activités privées de sécurité pour la mise en œuvre de la procédure prévue à l’articleL. 8271-6-3 du code du travail ................................................................................................170



Pages

Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Brocchetto (Madeline) ..... 174

Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Génin (Margot) ............... 175

Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Langlois (Laëtitia) ........... 177

Avancements et promotions

Arrêté du 29 avril 2016 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police au titre de l’année 2016 ....................................................................................................... 178

Arrêté du 29 avril 2016 relatif au tableau d’avancement au grade de major de police au titre de l’année 2016............................................................................................................ 200

Décision no 20832 du 11 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication » ................................................. 212

Décision no 20846 du 11 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne » ........................................................................................................ 213

Décision no 20889 du 11 mars 2016 portant promotion d’un sous-officier de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières » ................................................................................... 214

Décision no 3839 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Eure et de la Seine-Maritime ............................................................................................................................. 215

Décision no 6868 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie » ........................................... 216

Décision no 6869 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie » ............................................ 217

Décision no 6870 du 25 mars 2016 portant promotion d’un sous-officier de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française » ........................................................................................................................... 218

Décision no 5987 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme .................................................................................... 219

Décision no 6990 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Charente, de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres et de la Vienne ......................................................... 220

Décision no 19481 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France ................................................ 221

Décision no 16747 du 30 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest ................... 223

Décision no 3767 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Bas-Rhin et du Haut-Rhin .................................................................................................................................... 224

Décision no 16823 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne ...................................................... 225

Décision no 22860 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat » ......................................... 226



Pages

Décision no 4887 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Doubs, du Jura, de la Haute-Saône et du Territoire de Belfort ............................................................................. 227

Décision no 9801 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Aude, du Gard, de l’Hérault, de la Lozère et des Pyrénées-Orientales ............................................................. 228

Décision no 25974 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est ............... 229

Décision no 7483 du 4 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Côte-d’Or, de la Nièvre, de la Saône-et-Loire et de l’Yonne .......................................................................................... 230

Décision no 12735 du 4 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Moselle et des Vosges ............................................................................ 231

Décision no 2567 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale ............................................. 232

Décision no 12929 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant outre-mer et en assistance militaire technique » ...................................................... 233

Décision no 13326 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est ....................... 234

Décision no 18403 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur ...................... 235

Décision no 18408 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud ...................... 237

Décision no 23727 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale ......................... 238

Décision no 6087 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime .......................................................................... 239

Décision no 6692 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Calvados, de la Manche et de l’Orne .................................................................................................................................. 240

Décision no 12411 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Ariège, de l’Aveyron, du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées, du Lot, du Tarn et de Tarn-et-Garonne .............................................................................................................................. 241

Décision no 20657 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest ........... 243

Décision no 20658 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Dordogne, de la Gironde, des Landes, de Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques ............................... 244

Décision no 21804 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris ............... 245

Décision no 27393 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de la Haute-Savoie, de l’Isère, de la Loire, du Rhône et de la Savoie ................ 246

Décision no 2299 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air ............................................................................. 248



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Décision no 3341 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens ...................................................... 249

Décision no 4074 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse .......................................................... 250

Décision no 5694 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale des Ardennes, de l’Aube, de la Marne et de la Haute-Marne ..................................................................................... 251

Décision no 24644 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « administrative et technique » .............. 252

Décision no 6177 du 8 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Aisne, de l’Oise et de la Somme ............................................................................................................................ 253

Décision no 7760 du 8 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Corrèze, de la Creuse et de la Haute-Vienne ......................................................................................................... 254

Décision no 10616 du 11 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre-Val de Loire .................................... 255

Décision no 10899 du 12 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Nord et du Pas-de-Calais .................................................................................................................................. 257

Décision no 10900 du 12 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord ................... 258

Décision no 1426 du 13 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire ......................................... 259

Décision no 35023 du 28 avril 2016 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ...................... 261

Dispositions statutaires diverses

Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien pour la campagne de notation de l’année 2016 ...................................................... 262

Arrêté du 14 avril 2016 portant changement d’appellation des pelotons d’intervention interrégionaux de la gendarmerie d’Orange (Vaucluse), de Toulouse (Haute-Garonne), de Dijon (Côte-d’Or), de Reims (Marne), de Nantes (Loire-Atlantique) et de Tours (Indre-et-Loire) .............................................................................................................................. 292

Arrêté du 15 avril 2016 portant création de l’école de gendarmerie de Dijon (Côte-d’Or) .... 293

Instruction no 4012 du 20 janvier 2016 relative à la notation en 2016 des militaires de la gendarmerie nationale ........................................................................................................ 294

Instruction no 18034 du 8 mars 2016 relative aux niveaux de fusionnement des officiers de la gendarmerie nationale ........................................................................................................ 324

Instruction no 20500 du 14 avril 2016 relative aux niveaux de fusionnement des sous-officiers de la gendarmerie nationale ................................................................................................ 338

Organisation des services

Arrêté du 24 mars 2016 portant changement d’appellation du peloton de gendarmerie de montagne de Morez (Jura) ................................................................................................. 343



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Arrêté du 29 mars 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Palinges et modification corrélative des circonscriptions des brigades territoriales de Gueugnon et de Perrecy-les-Forges (Saône-et-Loire) .................................................................................... 344

Arrêté du 31 mars 2016 portant changement d’appellation du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Penly (Seine-Maritime) ..................................................................... 346

Arrêté du 7 avril 2016 portant dissolution de la brigade motorisée de Mantes-la-Jolie (Yvelines), création corrélative du peloton motorisé de Mantes-la-Jolie (Yvelines) et modification de la compétence judiciaire du peloton motorisé de Gaillon (Eure) .............. 347

Arrêté du 7 avril 2016 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de Raon-l’Étape et de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges) ............................................................. 348

Arrêté du 20 avril 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Saint-Julien et modification corrélative de la circonscription de celle d’Arinthod (Jura) ........................... 350

Arrêté du 20 avril 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Carpentras et modification corrélative de la circonscription de la brigade territoriale de Beaumes-de-Venise (Vaucluse) ................................................................................................................ 352

Polices administrativesArrêté du 20 avril 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de


Arrêté du 6 mai 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ............................................................... 355

Arrêté du 20 mai 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ............................................................... 356

Sécurité et circulation routièresInstruction du Gouvernement du 3 mai 2016 relative au renforcement des contrôles routiers à

l’occasion des week-ends prolongés de l’Ascension et de la Pentecôte ............................... 357boi_20160006_0000_0100

15 juIN 2016. – INTÉRIEuR 2016-6 – PAGE 1


MINISTÈRE DE L’INTÉRIEuR_

Instruction du Gouvernement du 22 avril 2016 relative à la onzième journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions (10 mai 2016)

NOR : INTK1607225J

La ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, le ministre de l’intérieur, la ministre de la culture et de la communication et la ministre des outre-mer à Mesdames et Messieurs les préfets ; Mesdames et Messieurs les recteurs.

Depuis 2006, chaque 10 mai, la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions donne lieu à une cérémonie officielle placée sous le haut patronage du Président de la République, en présence du Gouvernement ainsi qu’à des cérémonies commémoratives analogues organisées dans chaque département de l’hexagone, à l’initiative du préfet, ainsi que dans les lieux de mémoire, de la traite et de l’esclavage (décret no 2006-388 du 31 mars 2006).

Une cérémonie a lieu à Paris en collaboration avec le Sénat, sous l’égide du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (CNMHE) dans le jardin du Luxembourg, où a été inauguré, en 2007, le premier monument national dédié à la mémoire de la traite et de l’esclavage. En 2011, une stèle a été dévoilée, portant hommage de la France au combat des esclaves pour la dignité et la liberté.

Cette cérémonie illustre la volonté de favoriser une appropriation citoyenne de cette commémoration qui concerne la Nation toute entière et rappelle que la lutte contre l’esclavage est au cœur de l’idéal républicain.

La commémoration de 2016 sera centrée sur la question de la transmission de l’histoire de l’esclavage et des abolitions car une meilleure connaissance de cette histoire commune est de nature à faciliter le « vivre ensemble » et à renforcer la cohésion sociale.

Elle sera l’occasion de valoriser le lancement du concours pédagogique national « la Flamme de l’égalité (www.laflammedelegalite.com) initié par le ministère des outre-mer avec le soutien du ministère de l’éducation nationale et mis en œuvre par le Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage, avec l’appui de la Fédération de Paris de la Ligue de l’enseignement.

En s’adressant à tous les élèves, collégiens et lycéens de France, ce concours contribue à construire une mémoire collective autour des valeurs attachées à la citoyenneté.

La remise des prix aura lieu à Paris le 10 mai lors de la cérémonie dans les jardins du Sénat.À cette occasion, on évoquera aussi la mémoire de Louis Delgrès dont on célèbre cette année le 250e anniversaire

de la naissance. Officier de l’armée de la République, il s’opposa en mai 1802 au rétablissement de l’esclavage décidé par Napoléon et préféra le suicide plutôt que la soumission à des ordres qui étaient antirépublicains. « Vivre libre ou mourir » fut sa dernière proclamation. Ce cri a été magnifié par plusieurs auteurs dont Aimé Césaire qui fut par ailleurs un des artisans de la loi de départementalisation du 19 mars 1946 dont on célèbre cette année le 70e anniversaire.

Nous vous demandons de prendre personnellement part à l’une des manifestations publiques ou cérémonies organisées dans votre département, de vous rendre dans un lieu de mémoire emblématique de l’histoire de la traite, de l’esclavage et de leur abolition, ou d’organiser, sous votre propre autorité, une cérémonie ou un évènement pour marquer la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions.

La journée nationale du 10 mai doit permettre de mobiliser les services déconcentrés de l’État, notamment les services éducatifs et culturels, et de mettre en avant les actions engagées dans les établissements scolaires de chaque académie.

Dans les territoires des outre-mer, en application de la loi no 83-530 du 30 juin 1983 relative à la commémoration de l’abolition de l’esclavage, vous marquerez également la présence de l’État à l’occasion des cérémonies auxquelles donne lieu la journée de célébration de l’esclavage à Mayotte (27 avril), à la Martinique (22 mai), en Guadeloupe (27 mai), en Guyane (10 juin), à La Réunion (20 décembre) et vous rappellerez l’importance du « IIe mois des mémoires de l’abolition de l’esclavage et des combats pour l’égalité (27 avril-10 juin) » qui permet de fédérer les différentes dates de commémoration et d’afficher toutes les initiatives commémoratives en France (www.esclavage-memoire.com).

Nous vous recommandons de diffuser aux collectivités territoriales la présente circulaire, afin que la connaissance des actions et des lieux associés à la mémoire de la traite et de l’esclavage et des luttes pour leur abolition progresse et que les institutions locales volontaires puissent s’associer à cette commémoration, selon des modalités qu’elles fixeront librement.

En outre, afin de permettre une restitution des évènements portant sur la mémoire et l’histoire de l’esclavage et sur son abolition dans l’Hexagone, comme dans les territoires d’outre-mer, nous vous demandons de recenser les



manifestations les plus significatives prévues soit dans le cadre de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions soit dans le cadre du « IIe mois des mémoires de l’abolition de l’esclavage et des combats pour l’égalité ».

Nous vous remercions de les porter à la connaissance de la directrice de la programmation et de l’animation du CNMHE au ministère des outre-mer.

Pour l’organisation d’une cérémonie ou d’un évènement par vos services, nous vous recommandons de veiller au respect de l’intitulé officiel de la « Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions ».

Des conseils ou des suggestions pour l’organisation de cette cérémonie figurent dans la notice technique jointe à la présente circulaire.

Une affiche illustrant la journée nationale vous sera transmise et un guide national, mis en ligne sur le site du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (www.cnmhe.fr) présentera les principales manifestations et cérémonies dans l’Hexagone et l’outre-mer.

Une plateforme interactive sur les lieux de mémoire et d’histoire élaborée par le CNMHE consultable en ligne vous permettra d’identifier les lieux de mémoire de votre région.

La directrice de la programmation et de l’animation du CNMHE, chargée de mission auprès du délégué général à l’outre-mer, est à votre disposition pour vous permettre de mettre en œuvre la présente circulaire.

ait leF 22 avril 2016.

La ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, najat Vallaud-BelkaceM

Le ministre de l’intérieur, Bernard cazeneuVe

La ministre de la culture et de la communication, audrey azoulay

La ministre des outre-mer, GeorGe Pau-lanGeVin



COMITÉ NATIONAL POUR LA MÉMOIRE ET L’HISTOIRE DE L’ESCLAVAGE

GUIDE PRATIQUE POUR L’ORGANISATION DES CÉRÉMONIES OFFICIELLES

(à l’occasion de la 11e Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions : le mardi 10 mai 2016)

1. Pourquoi la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions chaque 10 mai ?

a) Une journée nationale instaurée en 2006 en application de la loi no 2001-434 du 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité.

Le 10 mai 2001 les parlementaires adoptent, à l’unanimité, une proposition de loi, dont le rapporteur est Christiane TAUBIRA, au terme de plusieurs années d’un processus législatif au cours duquel ont été associées en un seul texte des propositions diverses visant :

– à réaffirmer le cadre d’une commémoration de l’esclavage et l’abolition en France ; – à mieux en faire connaître l’histoire et à en préserver les sources et les patrimoines ; – à inscrire la traite négrière et l’esclavage colonial au nombre des crimes contre l’humanité.

Alors que la loi no 83-530 du 30 juin 1983 a permis à chacun des territoires d’outre-mer historiquement concernés par la traite et l’esclavage, de fixer leur journée de commémoration de l’abolition (le 27 avril pour Mayotte, le 22 mai pour la Martinique, le 27 mai pour la Guadeloupe et Saint-Martin, le 10 juin pour la Guyane, le 9 octobre pour Saint-Barthélemy et le 10 décembre pour La Réunion 1) dans l’hexagone cette date a été fixée à la traditionnelle célébration du décret Schœlcher du 27 avril 1848 qui a débouché sur l’abolition définitive de l’esclavage en France 2.

En 1998, à l’occasion des célébrations marquant le 150e anniversaire de l’abolition, des Antillais, des Guyanais et des Réunionnais ont protesté contre leur marginalisation dans la mémoire collective. Le 23 mai 1998 près de 20 000 ultramarins se présentant comme des « descendants d’esclaves » ont manifesté dans les rues de Paris pour affirmer leur place dans l’histoire de France à l’initiative de personnalités et d’un collectif d’associations.

C’est en vertu de la loi no 2001-434 du 21 mai 2001 demandant à l’État de fixer une journée de commémoration dans l’hexagone, que le Gouvernement a confié au Comité pour la mémoire de l’esclavage (CPME 2004-2009), comité de « personnalités qualifiées » installé par décret en application de cette même loi, le soin d’en proposer la date pour l’hexagone au terme de consultations approfondies.

Le Comité pour la mémoire de l’esclavage, mis en place par décret en janvier 2004 3, a remis en avril 2005 un rapport au Premier ministre proposant une nouvelle date de commémoration dans l’hexagone de nature à prendre en compte l’ensemble de l’histoire de la traite et de l’esclavage autant que les luttes pour leur abolition tout en inscrivant cette histoire dans perspective européenne et internationale. Le 30 janvier 2006, Jacques Chirac, Président de la République, reçoit les membres du CPME et déclare dans son allocution : « au-delà de l’abolition, c’est aujourd’hui l’ensemble de la mémoire de l’esclavage, longtemps refoulée, qui doit entrer dans notre histoire : une mémoire qui doit être véritablement partagée ».

D’où le choix du 10 mai (de préférence à la date du 27 avril liée à l’acte juridique d’abolition et perçue comme le symbole d’une liberté octroyée) pour une journée de commémoration nouvelle dénommée officiellement « Journée des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions ».

Le 10 mai fait le lien entre l’histoire de l’esclavage et sa mémoire contemporaine car il renvoie : – à la déclaration de DELGRÈS en 1802 « le dernier cri de l’innocence et du désespoir » en faveur de la liberté universelle refusant de se rendre aux troupes napoléoniennes venues rétablir l’esclavage ;

– et à l’adoption, à l’unanimité, de la loi tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité.

b) Le principe d’une cérémonie dans chaque département de France et la volonté de renforcer la cohésion de la nation autour d’une mémoire et d’une histoire partagées.

Après l’annonce faite par le Président de la République le 30 janvier 2006, le décret no 2006-388 du 31 mars 2006 fixe officiellement le 10 mai comme « date de la commémoration annuelle de l’abolition de l’esclavage ».

1 Décret no 83-1003 du 23 novembre 1983 relatif à la commémoration de l’abolition de l’esclavage, modifié par le décret no 2012-553 du 23 avril 2012 en ce qui concerne les dates de commémoration à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy.

2 Après une première abolition en 1794 ct le rétablissement de 1802.3 Le CPME est institué par le décret no 2004-11 du 5 janvier 2004 et ses douze membres sont nommés pour cinq ans par décret le 14 jan-

vier 2004. Il est présidé par Maryse CONDE de 2004 à 2008 puis par Françoise VERGÈS. Le Comité pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (CPMHE) prend la suite du CPME par le décret no 2009-506, sous la présidence de Françoise VERGES. Le Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (CNMHE) lui succède par un décret de 6 mai 2013, sous la présidence de Myriam COTTIAS.



Le décret indique en son article 2 que « chaque année, une cérémonie est organisée à Paris » tout en précisant qu’« une cérémonie analogue est organisée dans chaque département métropolitain à l’initiative du préfet ainsi que dans les lieux de mémoire de la traite et de l’esclavage ».

Depuis 2006, une circulaire est adressée aux préfets initialement signée par le ministre de l’intérieur, puis également à partir de 2011 par le ministre en charge de l’outre-mer et par le ministre de la culture et de la communication, cette journée nationale étant placée sous le pilotage partagée de ces deux derniers ministères. Depuis 2012, la circulaire élargie aux recteurs est également mise à la signature du ministre de l’éducation nationale.

Dans son rapport de 2005, le Comité pour la mémoire de l’esclavage a rappelé les objectifs de cette journée des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions :

– rappeler· à la France sa participation à la traite et à l’esclavage ;

– inscrire symboliquement l’abolition de l’esclavage dans le calendrier officiel des célébrations nationales ;

– rendre hommage aux esclaves, à leur contribution aux idéaux républicains et à la richesse culturelle de la France ;

– inviter les citoyens de la République française à se pencher collectivement sur ce passé pour favoriser la diffusion d’un récit partagé et le renforcement de la cohésion nationale.

La commémoration doit concilier une portée citoyenne, faisant une place aux combats des esclaves et des abolitionnistes dans l’édification de la République française, et une portée universelle, à travers la qualification de crime contre l’humanité de la traite et de l’esclavage, qui dépasse le cadre français, s’inscrit dans la tradition abolitionniste française et internationale qui trouve son prolongement dans la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 et dans la lutte contre les formes d’esclavages contemporains.

a) La Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions 2016 a pour objectif de permettre l’organisation de manifestations et de cérémonies ouvertes au plus grand nombre de citoyens, dans le travail de mémoire autour de la traite négrière et de l’esclavage colonial.

La commémoration de 2016 est centrée sur la question de la transmission de l’histoire de l’esclavage et de leurs abolitions car une meilleure connaissance de cette histoire commune est de nature à faciliter le vivre ensemble et à renforcer la cohésion sociale.

Elle sera l’occasion de valoriser particulièrement le lancement cette année du concours pédagogique national « la Flamme de l’égalité (www.laflammedelegalité.com) initié par le Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (CNMHE), les ministères chargés de l’éducation nationale et des outre-mer, et avec l’appui de la Fédération de Paris de la Ligue de l’enseignement.

En s’adressant à toutes les classes de la France, ce concours contribue à construire une mémoire collective autour de valeurs partagées sur la citoyenneté. La remise des prix aux lauréats de ce concours aura lieu à Paris le 10 mai lors de la Journée nationale des traites, de l’esclavage et de leurs abolitions.

La commémoration de 2016 prend place dans un contexte commémoratif, marqué par le 225e anniversaire de la naissance de Louis Delgrès qui s’opposa en mai 1802 au rétablissement de l’esclavage décidé par Napoléon refusant de se rendre plutôt que de se soumettre à des ordres qui étaient antirépublicains. « Vivre libre ou mourir » fut sa dernière proclamation. Ce cri a été magnifié par plusieurs auteurs dont Aimé Césaire qui fut par ailleurs un des artisans de la loi de départementalisation du 19 mars 1946 dont on célèbre cette année le 70e anniversaire.

Comme depuis 2006, la cérémonie officielle se tiendra à Paris, au jardin du Luxembourg, le 10 mai 2016, sous le patronage du Président de la République.

Au niveau territorial, vous pouvez mettre en avant le rôle d’enseignants, de chercheurs, d’artistes, d’acteurs culturels, de responsables de musée ou de lieux de mémoire, d’acteurs associatifs, de personnalités éminentes ou même d’élus locaux dans la prise en compte de cette mémoire, dans l’action citoyenne, la transmission des savoirs ou la sauvegarde des patrimoines.

En raison des contraintes spécifiques du calendrier scolaires, la circulaire vous invite, si nécessaire, à décaler la date de la commémoration de façon à lui donner toute son importance.

Une affiche et une signalétique visuelle « Figures, vies, portraits d’esclaves de l’esclavage à la départementalisation » seront mis à votre disposition pour toutes les manifestations organisées en lien avec vos services.

Vous voudriez bien prendre soin de transmettre à Angèle LOUVIERS, directrice de la programmation et de l’animation du CNMHE ([email protected]) toutes les informations sur les événements organisés dans votre département ou région sur la mémoire et l’histoire de l’esclavage (cérémonies commémoratives, actions en milieu scolaire, colloques et débats ou manifestations culturelles) qui seront mises en ligne sur le site du CNMHE (www.cnmhe.fr), leur conférant ainsi une visibilité nationale et internationale.



2. Conseils pour l’organisation d’une cérémonie à l’occasion de la Journée des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions 2016

Dans le cas où aucune manifestation liée à la mémoire et l’histoire de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions à laquelle un représentant de l’État puisse s’associer n’aurait lieu dans votre circonscription administrative, il vous est proposé soit d’organiser une cérémonie, soit de mettre en avant une action conduite en milieu scolaire.

a) La cérémonie pour la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions n’est pas une simple cérémonie du souvenir mais une affirmation de la dignité et de la liberté humaine ainsi que le rappel des principes fondateurs républicains.

L’esprit de la cérémonie de la Journée nationale des mémoires de la traite et de la reconnaissance de l’esclavage et de leurs abolitions est de rendre un hommage solennel aux victimes de la traite et de l’esclavage et de reconnaitre leur rôle dans l’avènement de la République et dans les combats qui ont fait le triomphe de liberté, d’égalité et de fraternité. Il s’agit aussi de valoriser les apports et les legs dans la culture française et de rappeler les enjeux contemporains d’affirmation d’égale dignité entre les êtres humains.

b) Dans la mesure du possible, appuyer la cérémonie sur les évènements, des éléments du patrimoine ou de lieux de mémoire, des réalités sociales propres à chaque territoire, en lien avec les acteurs éducatifs et culturels ou des porteurs de projets mémoriels.

Le lieu de la cérémonie officielle peut être attaché à l’histoire d’un territoire, notamment à un espace associé à la mémoire de la traite, de l’esclavage et des abolitions (un quai dans un port négrier, une grande figure de combat pour l’abolition, un musée, un lieu de mémoire..). À défaut, ce peut être un édifice républicain, un bâtiment officiel comme la mairie ou la préfecture, un établissement scolaire…).

Il convient de privilégier une cérémonie à l’extérieur, en un lieu accessible et visible tout en évitant de choisir un monument aux morts. Le travail avec des associations peut aider à construire la mise ne scène de la cérémonie.

c) Pour la cérémonie officielle, il est recommandé d’inviter des personnalités politiques, de la société civile et culturelles, des acteurs associatifs, les porteurs de mémoires et également des publics scolaires.

En présence du représentant de l’État, la cérémonie doit associer les personnalités politiques et des représentants de la société civile. En fonction des singularités locales, les associations, en premier lieu les associations d’ultramarins, peuvent jouer un rôle important.

Dans un esprit de concorde civique, il est possible d’associer des représentants des grandes associations d’anciens combattants ou d’autres associations importantes qui agissent pour la défense des droits et contre les discriminations.

Il est également recommandé, dans la mesure du possible d’inscrire cette cérémonie dans un échange avec les participants qui en rappelle le sens.

Pour la cérémonie, nous vous suggérons un déroulé suivant ce modèle : – rassemblement dans un cadre institutionnel, sur un lieu de mémoire, dans un cadre mis en scène avec un décor artistique en lien avec la journée ;

– discours des autorités ; – lecture d’un ou plusieurs textes, évocation des réalités de la traite et de l’esclavage dans le passé dans la mesure du possible par des élèves des écoles et du secondaire ;

– temps de recueillement dans le silence ; – et, pour clore la cérémonie, interprétation par un artiste, un groupe ou une chorale d’une œuvre musicale ou d’une création.

Il est possible, pour des cérémonies qui se déroulent à l’extérieur, de reproduire le geste à la mémoire des captifs victimes de la traite et des esclaves consistant pour les participants à déposer des pétales ou des fleurs coupées.

Pour assister à la cérémonie et lui donner toute sa portée civique, il est recommandé d’inviter des classes avec leurs enseignants, en particulier si cette présence à la cérémonie accompagne une action pédagogique. Et en l’absence d’événements ou de cérémonie, le préfet peut assister ou se faire représenter dans un établissement scolaire à l’occasion d’une action pédagogique ou dans un événement qui a lieu dans un établissement culturel.

3. Références sur l’histoire de la traite et de l’esclavage colonial et éléments pour des allocutions publiques

Pour préparer la cérémonie officielle ou une allocution, le secrétaire général du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage peut mettre à disposition des services préfectoraux des discours, des références et des éléments historiques.

Dans une allocution officielle, il convient d’insister sur la dimension « universelle » et « civique » de cette cérémonie. Porter le souvenir des esclaves, de la traite négrière et de l’institution de l’esclavage, c’est rappeler l’importance et l’actualité des combats pour leur abolition, au cœur de la réalisation effective des idéaux républicains mais également de la lutte contemporaine contre les formes modernes de l’esclavage dans le monde.



Lors de la cérémonie, il importe de faire entendre des voix différentes, qui sont elles-mêmes les expressions des mémoires différenciées de l’esclavage et de la lutte pour son abolition, la voix des esclaves eux-mêmes ; dans leur combats pout la liberté et la dignité, la voix des abolitionnistes européens, les voix inscrites dans la culture, portées par les chants, les musiques, les littératures, les voix présentes dans les textes de loi et les déclarations solennelles, les mémoires conservées par les monuments et pat les paysages, des histoires locales à l’histoire globale...

Le CNMHE recommande de ne pas se limiter au rappel des textes et traités abolitionnistes français ou européens, mais d’intégrer les voix des esclaves (comme celle que porte la déclaration de Delgrès du 10 mai 1802 par exemple) et aussi les voix contemporaines comme celles d’Aimé Césaire, d’Édouard Glissant, sans oublier les chants, les musiques, la poésie...

* * *

Pour plus d’éléments pouvez : – contacter Mme Angèle LOUVIERS, directrice de la programmation et de l’animation du CNMHE, ministère de l’outre-mer, 27, rue Oudinot, 75007 Paris ; tél. : 01 53 69 23 79 ; adresse électronique : [email protected] ;

– exploiter la chronologie et les textes placés en annexe de cette note ; – consulter les discours et les documents disponibles sur le site du CNMHE (www.cnmhe.fr).



COMITÉ NATIONAL POUR LA MÉMOIRE ET L’HISTOIRE DE L’ESCLAVAGE

ANNEXES DU GUIDE PRATIQUE POUR L’ORGANISATION D’UNE CÉRÉMONIE À L’OCCASION DE LA JOURNÉE NATIONALE DES MÉMOIRES DE LA TRAITE, DE L’ESCLAVAGE ET DE LEURS ABOLITIONS

Documentation sur la question de la traite, de l’esclavage et des luttes pour leur abolition

1. Repères factuels et chronologiques : la France et l’esclavage (1571-1848)

1571 Un navire français amène à Bordeaux des captifs de la côte d’Afrique pour les vendre dans le royaume. Le Parlement de la ville décide que tous les esclaves soient mis en liberté car le royaume de France ne permet point l’esclavage.

1604 Échec d’une tentative d’installation durable de colons français en Guyane.

1608 Début de l’installation durable des Français au Canada.

1623-1625 Le capitaine dieppois Pierre Belain d’Esnambuc pratique la flibuste et le commerce aux Petites Antilles.

1625 Esnambuc fait escale à Saint-Christophe, déjà occupée par les Anglais et quelques Français.La plupart des Caraïbes (100 à 120) de Saint-Christophe sont massacrés par les Français alliés aux Anglais.

1635 Début de la colonisation de la Martinique.

12 février 1635 Fondation de la Compagnie des Îles d’Amérique.

14 février 1635 La Compagnie des Îles d’Amérique donne pour 10 ans à l’Olive et Duplessis, le commandement des îles qu’ils coloniseront.

27 juin 1635 Débarquement de l’Olive et Duplessis en Guadeloupe.

1636-1639 Guerre intense entre colons français et Caraïbes en Guadeloupe.

1642 Fondation par des proches de Richelieu de la Compagnie de l’Orient chargée de faire le commerce avec les Indes et de coloniser Madagascar.

Installation de colons français à Fort-Dauphin (Madagascar).Le roi de France Louis XlII autorise la traite négrière, sous réserve de la conversion au christianisme des esclaves.

1643 Première expédition négrière attestée d’un navire français de La Rochelle à destination d’une colonie française (Saint-Christophe).L’île de N’Dar devient un comptoir français durable sur le fleuve Sénégal et est rebaptisée Saint-Louis.

23 mars 1648 Partage de Saint-Martin entre Hollandais et Français.

1650-1670 Développement de l’occupation de la partie occidentale de Saint-Domingue (actuelle Haïti) par des colons français.

1656 Échec d’une révolte d’esclaves en Guadeloupe.

1659 Fortification de l’île de Saint-Louis du Sénégal.

1663 Début de l’installation durable de colons français à l’île Bourbon (Réunion).Fondation de la Compagnie de la France équinoxiale.

1670-1672 Louis XIV encourage les armateurs privés à pratiquer la traite négrière.

Mars 1685 Édit sur la police des esclaves.

1698 Implantation durable de colons français en Louisiane.Fondation de la Compagnie de Saint-Domingue avec monopole du commerce avec cette île.

Janvier 1716 Le commerce négrier est ouvert à tous les négociants du Havre, de la Rochelle, de Nantes et de Bordeaux entre la rivière de Sierra Leone et le cap de Bonne-Espérance.

Octobre 1716 Un édit supprime la liberté automatique accordée à tout esclave séjournant sur le sol du royaume de France.

1717 Interdiction du commerce étranger dans les colonies françaises (Exclusif).

1738 Échec d’une révolte d’esclaves en Guadeloupe.

1741 La traite négrière est autorisée dans tous les ports du royaume de France.

20 mai 1743 Naissance de Toussaint Louverture.

9 août 1777 Le sol du royaume de France est interdit à tous les hommes de couleur (libres ou esclaves).

1784 L’île de Saint-Barthélemy cédée à la Suède en 1784 en échange de débouchés commerciaux.

15 octobre 1786 Ordonnance royale qui limite les châtiments affligés par les maîtres à leurs esclaves.

19 février 1788 Fondation de la société des Amis des Noirs à Paris.



5 mai 1789 Ouverture des États généraux à Versailles.

27 juin 1789 Première réunion du Club de Massiac (défense des colonies).

3 juillet 1789 Les colons de Saint-Domingue obtiennent six députés à l’Assemblée constituante.

9 juillet 1789 Les États généraux se transforment en Assemblée nationale constituante.

26 août 1789 Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen adoptée par l’Assemblée constituante.

29 août 1789 Première réunion des libres de couleur résidant à Paris qui revendiquent l’égalité des droits avec les colons blancs.

31 août 1789 Rassemblement d’esclaves à Saint-Pierre réclamant la liberté générale.

9-10 septembre 1789 Échec des pourparlers entre libres de couleur et colons de Paris.

22 septembre 1789 Le nombre de députés de la Guadeloupe à l’Assemblée constituante est fixé à deux, il s’agit de MM. Curt et Galbert.

28 septembre 1789 Heurts à Fort-de-France entre Blancs et libres de couleur.

14 octobre 1789 Les colons de la Martinique obtiennent deux députés à l’Assemblée constituante : Moreau de Saint-Méry et le comte de Dillon.

22 octobre 1789 Les libres de couleur de Paris présentent pour la première fois leurs doléances devant l’Assemblée constituante.

24 novembre 1789 Les libres de couleur de Paris se rendent à la Société des Amis des Noirs.

8 mars 1790 Loi légalisant les assemblées coloniales.Octobre-novembre 1790/Insurrections serviles en Martinique.

4-6 décembre 1790 Révolte d’esclaves réclamant la liberté générale en Guyane.

Nuit du 22 au 23 août 1791 Début de l’insurrection des esclaves du nord de Saint-Domingue.

29 septembre 1791 Les gens de couleur libres obtiennent la citoyenneté en France métropolitaine.

1er octobre 1791 Première réunion de l’Assemblée législative.

16 octobre 1791 Tout homme est libre sur le sol français de la métropole.

20 avril 1793 Massacre de planteurs royalistes par des esclaves en Guadeloupe.

4 juin 1793 Une pétition soutenue par la Commune de Paris demande l’abolition de l’esclavage à la Convention qui renvoie le dossier au comité colonial.

29 août 1793 Proclamation de l’abolition de l’esclavage dans la province du nord de Saint-Domingue.

31 août 1793 Proclamation de l’abolition de l’esclavage dans les province de l’ouest et du sud de Saint-Domingue.

4 février 1794 La Convention abolit l’esclavage dans toutes les colonies françaises.

7 juin 1794 Victor Hugues proclame l’abolition de l’esclavage en Guadeloupe.

14 juin 1794 Jeannet proclame l’abolition de l’esclavage en Guyane.

31 mars 1796 Toussaint Louverture est nommé lieutenant gouverneur de Saint-Domingue.

9-10 novembre 1799 Coup d’état de Napoléon Bonaparte.

15 décembre 1799 Constitution de l’an VIII qui supprime la représentation des colonies et les soumet à des lois spéciales.

Mars 1801 Toussaint Louverture est nommé capitaine général de Saint-Domingue par Bonaparte.

8 juillet 1801 Toussaint Louverture proclame la constitution de la colonie française de Saint-Domingue.

6 mai 1802 Toussaint Louverture et Jean-Jacques Dessalines se soumettent à Leclerc.Pélage se soumet à Richepance en Guadeloupe.

20 mai 1802 Loi rétablissant la traite et maintient l’esclavage aux Mascareignes et dans les colonies restituées par le Royaume-Uni à la France.

28 mai 1802 Delgrès battu par les troupes de Richepance à Matouba.

7 juin 1802 Leclerc ordonne l’arrestation et la déportation en France de Toussaint Louverture.

1er juillet 1802 L’entrée sur le territoire métropolitain avait été interdite aux Noirs, mulâtres et autres gens de couleur.

16 juillet 1802 Napoléon Bonaparte ordonne le rétablissement de l’esclavage en Guadeloupe.

17 juillet 1802 Richepance, non encore informé de cette décision, supprime la citoyenneté pour tous les hommes de couleur et le salaire pour les cultivateurs.



Octobre 1802 Les principaux généraux noirs se retournent contre Leclerc, l’insurrection de Saint-Domingue est générale.

6 octobre 1802 Échec d’une insurrection d’esclaves à Sainte-Anne en Guadeloupe.

3 mai 1803 La Louisiane est vendue aux États-Unis.

1er janvier 1804 Saint-Domingue proclame son indépendance sous le nom d’Haïti.

10 mai 1804 Proclamation de I‘Empire.

1807 Le Parlement britannique vote l’abolition de la traite négrière et interdit le commerce négrier dans ses colonies et par ses navires à partir du 1er janvier 1808.

29 mars 1815 Napoléon Ier abolit la traite négrière.

23 juin 1815 Deuxième abdication de Napoléon.

8 janvier 1817 Louis XVIII confirme l’interdiction de la traite négrière.

1822 Échec de la révolte des esclaves du Carbet en Martinique.

24 avril 1833 La loi accorde l’égalité des droits entre libres de couleur et Blancs.

1834 Fondation de la Société française pour l’abolition de l’esclavage.

29 avril 1836 Les hommes de couleur touchant le sol de France sont libres.

4 mars 1848 Le Gouvernement provisoire proclame le principe d’abolition de l’esclavage.

27 avril 1848 Le Gouvernement provisoire prend le décret d’abolition.

22 mai 1848 Révolte des esclaves du nord de la Martinique.

23 mai 1848 Proclamation de l’abolition immédiate de l’esclavage en Martinique.

27 mai 1848 Proclamation de l’abolition immédiate de l’esclavage en Guadeloupe.

10 juin 1848 Le décret émancipateur est publié en Guyane et conformément à son contenu est appliqué deux mois après, le 10 août.

23 juin 1848 Proclamation de l’abolition de l’esclavage à Gorée et Saint-Louis applicable au 23 août 1848.

18 octobre 1848 Proclamation de l’abolition de l’esclavage à La Réunion applicable au 20 décembre 1848.

1878 Saint-Barthélemy redevient française.

2. Textes de combat et proclamations abolitionnistes

1791

ADRESSE DE LA SOCIÉTÉ DES AMIS DES NOIRS À L’ASSEMBLÉE NATIONALE

« Nous croyons bien que tous les hommes naissent libres et égaux en droits, quelle que soit la couleur de leur peau, quel que soit le pays où le sort les fasse naître.

Nous croyons bien que nul homme ne peut aliéner sa liberté, que nul homme ne peut, sous quelque prétexte que ce soit, ravir la liberté de son semblable, que nulle société ne peut consacrer ou légitimer pareil brigandage.

Nous croyons bien que malgré les lois, les usages, les habitudes contraires, l’esclave reste libre, parce qu’on ne peut prescrire contre la nature ; qu’en conséquence, la restitution de la liberté n’est pas un bienfait, une faveur, mais un devoir rigoureux. »

Étienne Clavière, mars 1791.

1802

LA DÉCLARATION DE LOUIS DELGRÈS − 10 MAI 1802

Le dernier cri de l’innocence et du désespoir

C’est dans les plus beaux jours d’un siècle à jamais célèbre par le triomphe des lumières et de la philosophie, qu’une classe d’infortunés qu’on veut anéantir se voit obligée d’élever sa voix vers la postérité, pour lui faire connaître, lorsqu’elle aura disparu, son innocence et ses malheurs.

Victime de quelques individus altérés de sang, qui ont osé tromper le Gouvernement français, une foule de citoyens, toujours fidèle à la patrie, se voit enveloppée dans une proscription méditée par l’auteur de tous ses maux.



Le général Richepance, dont nous ne connaissons pas l’étendue des pouvoirs, puisqu’il ne s’annonce que comme général d’armée, ne nous a encore fait connaître son arrivée que par une proclamation, dont les expressions sont si bien mesurées que lors même qu’il promet protection, il pourrait nous donner la mort, sans s’écarter des termes dont il se sert.

À ce style, nous avons reconnu l’influence du contre-amiral Lacrosse, qui nous a juré une haine éternelle...

Oui, nous aimons à croire que le général Richepance, lui aussi, a été trompé par cet homme perfide, qui sait employer également les poignards et la calomnie.

Quels sont les coups d’autorité dont on nous menace ? Veut-on diriger contre nous les baïonnettes de ces braves militaires, dont nous aimions à calculer le moment de l’arrivée, et qui naguère ne les dirigeaient que contre les ennemis de la République ?

Ah ! Plutôt, si nous en croyons les coups d’autorité déjà frappés au fort de la Liberté, le système d’une mort lente dans les cachots continue à être suivi.

Eh bien ! Nous choisissons de mourir plus promptement.

Osons le dire, les maximes de la tyrannie la plus atroce sont surpassées aujourd’hui.

Nos anciens tyrans permettaient à un maître d’affranchir son esclave, et tout nous annonce que, dans le siècle de la philosophie, il existe des hommes, malheureusement trop puissants par leur éloignement de l’autorité dont ils émanent, qui ne veulent voir d’hommes noirs ou tirant leur origine de cette couleur, que dans les fers de l’esclavage.

Et vous, Premier Consul de la République, vous guerrier philosophe de qui nous attendions la justice qui nous était due, pourquoi faut-il que nous ayons à déplorer notre éloignement du foyer d’où partent les conceptions sublimes que vous nous avez si souvent fait admirer !

Ah ! Sans doute un jour vous connaîtrez notre innocence ; mais il ne sera plus temps, et des pervers auront déjà profité des calomnies qu’ils ont prodiguées contre nous pour consommer notre ruine.

Citoyens de la Guadeloupe, vous dont la différence de l’épiderme est un titre suffisant pour ne point craindre les vengeances dont on nous menace, à moins qu’on ne veuille vous faire un crime de n’avoir pas dirigé vos armes contre nous, vous avez entendu les motifs qui non excité notre indignation

La résistance à l’oppression est un droit naturel. La Divinité même ne peut être offensée que nous défendions notre cause ; elle est celle de la justice, de l’humanité. Nous ne la souillerons pas par l’ombre même du crime.

Oui, nous sommes résolus à nous tenir sur une juste défensive ; mais nous ne deviendrons jamais les agresseurs.

Pour vous, restez dans vos foyers ; ne craignez rien de notre part. Nous vous jurons solennellement de respecter vos femmes, vos enfants, vos propriétés, et d’employer tous nos moyens à les faire respecter par tous.

Et toi, Postérité, accorde une larme à nos malheurs et nous mourrons satisfaits ! »

VICTOR SCHOELCHER (1804-1893)

Que l’esclavage soit ou ne soit pas utile, il faut le détruire ; une chose criminelle ne doit pas être nécessaire. La violence commise envers le membre le plus infime de l’espèce humaine affecte l’humanité toute entière ; chacun doit s’intéresser à l’innocent opprimé sous peine d’être victime à son tour, quand viendra un plus fort que lui pour l’asservir. La liberté d’un homme est une parcelle de la liberté universelle, vous ne pouvez toucher à l’une sans compromettre l’autre tout à la fois. [...]

Des colonies françaises, Abo/ition immédiate de l’esclavage, 1842.

3. Extraits de textes de grands auteurs (xviiie-xixe siècles)

ENCYCLOPÉDIE 1765 − « TRAITE DES NÈGRES »

« On dira peut-être que les colonies seraient bientôt ruinées si l’on y abolissait l’esclavage des nègres. Mais quand cela serait, faut-il conclure de là que le genre humain doit être horriblement lésé pour nous enrichir ou fournir à notre luxe ? Il est vrai que les bourses des voleurs de grand chemin seraient vides, si le vol était absolument supprimé : mais que les hommes ont-ils le droit de s’enrichir par des voies cruelles et criminelles ? [...]

Que les colonies européennes soient donc détruites plutôt que de faire tant de malheureux ! »

Jacques-Henri BERNARDIN DE SAINT-PIERRE (1737-1814)

Voici comme on les traite. Au point du jour, trois coups de fouet sont le signal qui les appelle à l’ouvrage. Chacun se rend avec sa pioche dans les plantations, où ils travaillent, presque nus, à l’ardeur du soleil. On leur donne pour nourriture du maïs broyé, cuit à l’eau, ou des pains de manioc ; pour habit, un morceau de toile.



À la moindre négligence, on les attache par les pieds et par les mains sur une échelle ; le commandeur, armé d’un fouet de poste, leur donne sur le derrière nu cinquante, cent et jusqu’à deux cents coups. Chaque coup enlève une portion de la peau. Ensuite on détache le misérable tout sanglant ; on lui met au cou un collier de fer à trois pointes, et on le ramène au travail. (...)

Il y a une loi faite en leur faveur appelée le Code Noir. Cette loi favorable ordonne qu’à chaque punition ils ne recevront pas plus de trente coups ; qu’ils ne travailleront pas le dimanche, qu’on leur donnera de la viande toutes les semaines, des chemises tous les ans ; mais on ne suit point la loi. [...]

De temps en temps, on les baptise. On leur dit qu’ils sont devenus frères des blancs et qu’ils iront en paradis. Mais ils ne sauraient croire que les Européens puissent jamais les mener au ciel ; ils disent qu’ils sont sur la terre la cause de tous leurs maux. [...]

Ma plume se lasse d’écrire ces horreurs, mes yeux sont fatigués de les voir et mes oreilles de les entendre. Au Port-Louis de l’île de France, 25 avril1769.

PS : Je ne sais pas si la café et le sucre sont nécessaires au bonheur de l’Europe, mais je sais bien que ces deux végétaux ont fait le malheur des deux parties du monde.

Voyage à l’île de France, 1773

Marie Jean Antoine de CARITAT, marquis de CONDORCET (1743-1794)(1)« Mes Amis,Quoique je ne sois pas de la même couleur que vous, je vous ai toujours regardés comme mes frères. La nature

vous a formés pour avoir le même esprit, la même raison, les mêmes vertus que les Blancs. Je ne parle ici que de ceux d’Europe ; car pour les Blancs des colonies, je ne vous fais pas l’injure de les comparer à vous ; je sais combien de fois votre fidélité, votre probité, votre courage ont fait rougir vos maîtres. Si on allait chercher un homme dans les îles de l’Amérique, ce ne serait point parmi les gens de chaire blanche qu’on le trouverait.

Votre suffrage ne procure point de places dans les colonies ; votre protection ne fait point obtenir de pensions ; vous n’avez pas de quoi soudoyer les avocats : il n’est donc pas étonnant que vos maîtres trouvent plus de gens qui se déshonorent en défendant leur cause, que vous n’en avez trouvés qui se soient honorés en défendant la votre. Il y a même des pays où ceux qui voudraient écrire en votre faveur n’en auraient point la liberté. Tous ceux qui se sont enrichis dans les îles aux dépens de vos travaux et de vos souffrances, ont, à leur retour, le droit de vous insulter dans des libelles calomnieux ; mais il n’est point permis de leur répondre. Telle est l’idée que vos maîtres ont de la bonté et de leurs droits ; telle est la conscience qu’ils ont de leur humanité à votre égard. Mais cette injustice n’a pas été pour moi qu’une raison de plus pour prendre, dans un pays libre, la défense de la liberté des hommes. Je sais que vous ne connaîtrez jamais cet ouvrage, et la douceur d’être béni par vous me sera toujours refusée. Mais j’aurai satisfait mon cœur déchiré par le spectacle de vos maux, soulevé par l’insolence absurde des sophismes de vos tyrans. Je n’emploierai point l’éloquence, mais la raison ; je parlerai, non des intérêts du commerce, mais des lois de la justice.

Vos tyrans me reprocheront de ne dire que des choses communes, et de n’avoir que des idées chimériques : en effet, rien n’est plus commun que les maximes de l’humanité et la justice ; rien n’est plus chimérique que de proposer aux hommes d’y conformer leur conduite.

[...]Condorcet, Épître dédicatoire aux Nègres esclaves, mes amis. Texte publié en tête de la brochure intitulée « Réflexions

sur l’esclavage des Nègres », par M. Schwartz, pasteur du Saint Évangile à Bienne, membre de la société économique de B ***[Berne], Neufchâtel, 1781 iV-xViii 86 pages. Seconde édition en 1788.

« Réduire un homme à l’esclavage, l’acheter, le vendre, le retenir dans la servitude, ce sont de véritables crimes, et des crimes pires que le vol. En effet, on dépouille l’esclave non seulement de toute propriété mobilière ou foncière, mais de la faculté d’en acquérir, mais de la propriété de son temps, de ses forces, de tout ce que la nature lui a donné pour conserver sa vie ou satisfaire à ses besoins.

Ou il n’y point de morale, ou il faut convenir de ce principe. Que l’opinion ne flétrisse point ce genre de crime, que la loi du pays le tolère ; ni l’opinion, ni la loi ne peuvent changer la nature des actions, et cette opinion serait celle de tous les hommes, et le genre humain assemblé aurait, d’une voix unanime, porté cette loi, que le crime resterait toujours un crime.

Dans la suite nous comparerons souvent avec le vol l’action de réduire à l’esclavage. Ces deux crimes, quoique le premier soit beaucoup moins grave, ont de grands rapports entre eux ; et comme l’un a toujours été le crime du plus fort, et le vol celui du plus faible, nous trouvons toutes les questions sur le vol résolues d’avance et suivant de bons principes, par tous les moralistes, tandis que l’autre crime n’a pas même de nom dans leurs livres. Il faut excepter cependant le vol à main armée qu’on appelle conquête, et quelques autres espèces de vols où c’est également le plus fort qui dépouille le plus faible : les moralistes sont aussi muets sur ces crimes que sur celui de réduire des hommes à l’esclavage. »

Condorcet, Extrait de la Réflexion sur l’esclavage des nègres, 1781.



4. Textes juridiques et grandes déclarations

DÉCRET DE LA CONVENTION NATIONALE DU 4 FÉVRIER 1791

« Décret de la convention nationale du 16e jour de Pluviose, an 2 de la République française une et indivisible ; Qui abolit l’esclavage des Nègres dans les colonies,

La convention nationale déclare que l’esclavage des Nègres dans toutes les colonies est aboli ; en conséquence elle décrète que tous les hommes sans distinction de couleur, domiciliés dans les colonies, sont citoyens français et jouiront de tous les droits assurés par la constitution.

Elle renvoie au Comité de salut public pour lui faire incessamment un rapport sur les mesures à prendre pour assurer l’exécution du présent décret. »

DÉCRET DU 27 AVRIL 1848

« Le Gouvernement provisoire, considérant que l’esclavage est un attentat contre la dignité humaine, qu’en détruisant le libre arbitre de l’homme, il supprime le principe naturel du droit et du devoir ; qu’il est une violation flagrante du dogme républicain : Liberté, Égalité, Fraternité. [...]

Décrète :

Article Premier

L’esclavage sera entièrement aboli dans toutes les colonies et possessions françaises, deux mois après la promulgation du présent décret dans chacune d’elle ;

[...]

Article 5

L’Assemblée nationale réglera la quotité d’indemnité qui devra être accordé aux colons.

Article 6

Les colonies, purifiées de la servitude, et les possessions de l’Inde seront représentées à l’Assemblée nationale

Article 8

À l’avenir, même en pays étranger, il est interdit à tout Français de posséder, d’acheter ou de vendre des esclaves, et de participer, directement ou indirectement, à tout trafic ou exploitation de ce genre. Toute infraction à ces dispositions entraînera la perte de la qualité de citoyen français. »

5. Textes auteurs contemporains

Léon GONTRAN-DAMAS (1912-1978)Il est des nuits sans nom il est des nuits sans lune où jusqu’à l’asphyxie moite me prend l’âcre odeur du sang jaillissant de toute trompette bouchéeDes nuits sans nom des nuits sans lune la peine qui m’habite m’oppresse la peine qui m’habite m’étouffeNuits sans nom nuits sans lune où j’aurais voulu pouvoir ne plus douter tant m’obsède d’écœurement un besoin d’évasionSans nom sans lune sans lune



sans nom nuits sans lune sans nom sans nom où le dégoût s’ancre en moi aussi profondément qu’un beau poignard malais.

LA COMPLAINTE DU NOIRIls me l’ont rendue La vie Plus lourde et lasseMes aujourd’hui sont chacun sur mon jadis De gros yeux qui roulent de rancœur De honteLes jours inexorablement Tristes Jamains n’ont cessé d’être À la mémoire De ce fut Ma vie tronquéeVa encore Mon hénétude Du temps jadis De coups de corde noueux De corps calcinés De l’orteil au dos calcinés De chair morte De tisons De fer rouge De bras brisés Sous le fouet qui se déchaîne Sous le fouet qui fait marcher la plantation Et s’abreuver de sang de mon sang de sang la sucrerie Et la bouffarde du commandeur craner au cielLéon-Gontran Damas, Pigments, Paris, Les éditions Présence africaine, 1937 (ouvrage interdit en 1939).

POURQUOI EN VOULOIR À TOUS CEUX DONT JE SUIS

qui retrouvent enfin le fil du drame interrompu au bruit lourd des chaînes du brigantin frêle mouillant dans l’aube grise de l’Anse aux KLOUSS MASKILILIS malins qui dansent m’expliquerez-vous pourquoi toujours sur cet immense fond rouge de sang d’hommes jusqu’au dernier armés de sagaies et de flèches à l’usage inutilesÊtre de ceux qui jamais n’ont cessé d’être un souvenir qui soudain retrouve enfin le fil du drame interrompu au bruit lourd des chaînes du brigantin frêle mouillant dans l’aube grise de l’Anse aux Klouss c’est bel et bien restituer le parfum fort du rythme des heures claires battu le rythme coupé le rythme et refoulé le rythme Être de ceux qui jamais n’ont cessé d’être un souvenir qui soudain retrouve enfin le fil du drame interrompu au bruit lourd des chaînes



du brigantin frêle mouillant dans l’aube grise de l’Anse aux Klouss Maskililis malins qui dansent m’expliquerez-vous pourquoi tou - jours sur cet immense fond rouge de sang d’hommes jusqu’au dernier armés de sagaies et de flèches à l’usage inutiles[...]Léon-Gontran Damas Black-Label, IV, Gallimard, NRF, Paris, 1956, 2e édition 2004.

Léopold SÉDAR SENGHOR (1906-2001)

Ah ! me soutient l’espoir qu’un jour je coure devant toi, Princesse, porteur de ta récade à l’assemblée des peuples. C’est un cortège plus de grandeur que celui même de l’Empereur Gongo-Moussa en marche vers l’Orient étincelant. Ô désert sans ombre désert, terre austère terre de pureté, de toutes mes petitesses Lave-moi, de toutes mes contagions de civilisé. Que me lave la face ta lumière qui n’est point subtile, que ta violence sèche me baigne dans une tornade de sable Et telle blanc méhari de race, que mes lèvres de neuf jours en neuf jours soient chastes de toute eau terrestre, et silencieuses.Je marcherai par la terre nord-orientale, par l’Égypte des temples et des pyramides Mais je vous laisse Pharaon qui m’a assis à sa droite et mon arrière grand-père aux oreilles rouges. Vos savants sauront prouver qu’ils étaient hyperboréens ainsi que toutes mes grandeurs ensevelies. Cette colonne solennelle, ce ne sont plus quatre mille esclaves portant chacun cinq mithkals d’or Ce sont sept mille nègres nouveaux, sept mille soldats sept mille paysans humbles et fiers Qui portent les richesses de ma race sur leurs épaules musicales. Ses richesses authentiques. Non plus l’or ni l’ambre ni l’ivoire, mais les produits d’authentiques paysans et de travailleurs à vingt centimes l’heure Mais toutes les ruines pendant la traite européenne des nègres Mais toutes les larmes par les trois continents, toutes les sueurs noires qui engraissèrent les champs de canne et de coton Mais tous les hymnes chantés, toutes les mélopées déchirées par la trompette bouchée Toutes les joies dansées oh ! toute l’exultation criée. Ce sont sept mille nègres nouveaux, sept mille soldats sept mille paysans humbles et fiers Qui portent les richesses de ma race sur leurs épaules d’amphoreLa Force la Noblesse la Candeur Et comme d’une femme, l’abandonnement ravie à la grande force cosmique, à l’Amour qui meut les mondes chantants.Léopold Sédar Senghor, Chants d’ombre, Que m’accompagnent Kôras et Balafong, VIII, in Œuvre poétique,

Éditions du Seuil, Paris, 1945, réédition 2006.



Frantz FANON (1925-1961)

Je suis nègre et des tonnes de chaînes, des orages de coups, des fleuves de crachats ruissellent sur mes épaules. Mais je n’ai pas le droit de me laisser ancrer. Je n’ai pas le droit d’admettre la moindre parcelle d’être dans mon existence. Je n’ai pas le droit de me laisser engluer par les déterminations du passé.Je ne suis pas esclave de l’Esclavage qui déshumanisa mes pères.Il ne faut pas essayer de fixer l’homme puisque son destin est d’être lâchéLa densité de l’Histoire ne détermine aucun de mes actes. Je suis mon propre fondementEt c’est en dépassant la donnée historique, instrumentale, que j’introduis le cycle de ma liberté.Le malheur de l’homme de couleur est d’avoir été esclavagiséLe malheur et l’inhumanité du Blanc sont d’avoir tué l’homme quelque part[...]Moi l’homme de couleur je ne veux qu’une chose :Que jamais l’instrument ne domine l’homme. Que cesse à jamais l’asservissement de l’homme par l’homme. C’est-à-direde moi par un autre. Qu’il me soit permis de découvrir et de vouloir l’homme où qu’il se trouve. Le nègre n’est pas. Pas plus que le Blanc.Tous deux ont à s’écarter des vois inhumaines qui furent celles de leurs ancêtres respectifs afin que naisse une authentique communication. Avant de s’engager dans la voix positive, il y a pour la liberté un effort de désaliénation. [... ]

Frantz Fanon, Peau noire, masques blancs (1952).

Texte lu en présence de Lionel JOSPIN, Premier ministre, le 29 mai 2001 pour célébrer le vote de la loi du 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité.

Aimé CÉSAIRE (1913-2008)

[...] Le 27 avril 1848, un peuple qui depuis des siècles piétinait sur les degrés de l’ombre, un peuple que depuis des siècles le fouet maintenait dans les fosses de l’histoire, un peuple torturé depuis des siècles, un peuple humilié depuis des siècles, un peuple à qui on avait volé son pays, ses dieux, sa culture, un peuple à qui ses bourreaux tentaient de ravir jusqu’au nom d’homme, ce peuple-là, le 27 avril 1848, par la grâce de Victor Schœlcher et la volonté du peuple français, rompait ses chaînes et au prometteur soleil d’un printemps inouï, faisait irruption sur la grande scène du monde.

Et voici la merveille, ce qu’on leur offrait à ces hommes montés de l’abîme ce n’était pas une liberté diminuée ; ce n’était pas un droit parcellaire ; on ne leur offrait pas de stage ; on ne les mettait pas en observation, on leur disait : « Mes amis il y a depuis trop longtemps une place vide aux assises de l’humanité. C’est la vôtre. »

Et du premier coup, on nous offrait toute la liberté, tous les droits, tous les devoirs, toute la lumière. Eh bien la voilà, l’œuvre de Victor Schœlcher. L’œuvre de Schœlcher, ce sont des milliers d’hommes noirs se précipitant aux écoles, se précipitant aux urnes, se précipitant aux champs de bataille, ce sont des milliers d’hommes noirs accourant partout où la bataille est de l’homme ou de la pensée et montrant, afin que nul n’en ignore, que ni l’intelligence ni le courage ni l’honneur ne sont le monopole d’une race élue. [...]

Aimé Césaire, extrait du discours prononcé le 21 juillet 1945 à l’occasion de la fête traditionnelle dite de Victor Schœlcher, publié dans Victor Schœlcher et l’abolition de l’esclavage (2004).

Aimé CÉSAIRE : Mémorial de Louis Delgrès (extrait de Ferrements)

Un brouillard monta Le même qui depuis toujours m’obsède Tissu de bruits de ferrements de chaînes sans clefs D’éraflures de griffes D’un clapotis de crachats

Un brouillard se durcit et un poing surgit Qui cassa le brouillard Le poing qui toujours m’obsède

Et ce fut sur une mer d’orgueil Un soleil non pareil Avançant ses crêtes majestueuses Comme un jade troupeau de taureaux Vers les plages prairies obéissantes Et ce furent des montagnes libérées Pointant vers le ciel leur artillerie fougueuse



Et ce furent des vallées au fond desquelles L’Espérance agita les panaches fragiles des cannes à sucre De janvierLouis Delgrès je te nommeEt soulevant hors silence le socle de ce nom Je heurte la précise épaisseur de la nuit D’un rucher extasié de lucioles…Degrès il n’est point de printemps Comme la chlorophylle guettée d’une rumeur émergeante de Morsures de ce prairial têtu Trois jours tu vis contre les môles de ta saison L’incendie effarer ses molosses Trois jours il vit Delgrès de sa main épeleuse de graines ou De racines Maintenir dans l’exacte commissure de leur rage impuissante Gobert et Pélage les chiens colonialistesAlentour le vent se gifle de chardons D’en haut le ciel est bruine de sang ingénu Fort Saint-Charles je chante par-dessus la visqueuse étreinte Le souple bond d’Ignace égrenant essouflée Par cannaies et clérodendres la meute colonialisteEt je chante Delgrès qui aux remparts s’entête Trois jours Arpentant la bleue hauteur du rêve Projeté hors du sommeil du peuple Trois jours Soutenant soutenant de la grêle contexture De ses bras Notre ciel de pollen écrasé…Le troupeau d’algues bleues cherche au labyrinthe des îles Voussure ombreuse de l’écoute La seule qui fût flaireuse d’une nouvelle naissance Haïti aisance du mystère L’étroit sentier de houle dans la brouillure des fables…Mais quand à Baimbridge Ignace fut tué Que l’oiseau charognard du hurrah colonialiste Eut plané son triomphe sur le frisson des îlesAlors l’Histoire hissa sur son plus haut bûcher La goutte de sang je dis Où vint se refléter comme en profond parage L’insolite brisure du destin…Morne Matouba Lieu abrupte. Nom abrupt et de ténèbres En bas Au passage Constantin là où les deux rivières Écorcent leurs hoquets de couleuvres Richepanse est là qui guette (Richepanse l’ours colonialiste aux violettes gencives friand du miel solaire butiné aux campêches)et ce fut aux confins l’exode du dialoguetout trembla sauf Delgrès…O mort, vers soi-même le bond considérable Tout sauta sur le noir MatoubaL’épais filet de l’air vers les sommets hala D’abord les grands chevaux du bruit cabrés contre le ciel Puis mollement le grand poulpe avachi de fumée Dérisoire cracheur dans la nuit qu’il injecte De l’insolent parfum d’une touffe de citronelle Et un vent sur les îles s’abattit Que cribla la suspecte violence des criquets…Delgrès point n’ont devant toi chanté les triomphales Flûtes ni rechigné ton ombre les citernes



Séchées ni l’insecte vorace n’a patûré ton site O Briseur Déconcerteur Violent Je chante la main qui dédaigna d’écumer De la longue cuillère des jours Le bouillonnement de vesou de la grande cuve du temps Et je chante Mais de toute la trompette du ciel plénier et sans merci Rugi le tenace tison hâtif Lointainement agi par la rigueur téméraire de l’aurore ! Je veux entendre un chant où l’arc-en-ciel se brise Où se pose le courlis aux plages oubliées Je veux la liane qui croît sur le palmier (C’est sur le tronc du présent notre avenir têtu)

Je veux le conquistador à l’armure descellée Se couchant dans une mort de fleurs parfumées Et l’écume encense une épée qui se rouille Dans le vol bleuté de lents cactus hagards

Je veux au haut des vagues soudoyant le tonnerre de midi La négrillonne tête désenlisant d’écumes La souple multitude du corps impérissable

Que dans la vérité pourrie de nos étés Monte et ravive une fripure de bagasses Un sang de lumière chue aux coulures des cannaies

Et voici dans cette sève et ce sang dedans cette évidence Aux quatre coins des îles Delgrès qui nous méandre Ayant Icare dévolu creusé au moelleux de la cendre La plaie phosphorescente d’une insondable source Or Constructeur du cœur dans la chair molles des mangliers Aujourd’hui Delgrès Aux creux de chemins qui se croisent Ramassant ce nom hors maremmes Je te clame et à tout vent futur Toi buccinateur d’une lointaine vendange.

Édouard GLISSANT (1928-2011)

« Nous, descendants de ceux qui ont souffert l’esclavage, nous héritons de ce qu’ils ont accompli, leurs patiences et leurs ténacités, l’humilité avec laquelle ils ont maintenu la mémoire du Pays d’Avant, et quand ils l’eurent égarée, la ténacité avec laquelle ils ont soutenu leur rapport nouveau avec la terre nouvelle, soit dans les îles, soit sur les continents, dans la plantation ou le bourg ou la ville, et nous avons hérité leurs œuvres. Mais nous n’avons pas hérité leurs souffrances, voyez-vous, quelque effort que nous fassions, nous ne nous retrouverons jamais à leur place dans la géhenne et l’intolérable, il y a cette distance à jamais entre eux et nous, de l’accomplissement d’un irrémédiable, et quoi que nous puissions crier, nous ne comblerons pas cette distance. C’est pourquoi il semblerait dérisoire et même inconvenant de réclamer des redevances, des arriérés, ou des témoignages de repentance, comme si nous allions monnayer toutes ces échéances, et comment et pour quoi faire de tels deniers ? Oui, cet esclavage monstrueux et insaisissable a été plus que positif, mais du fait exclusif de ceux qui l’ont enduré, et contre l’opposition obstinée de ceux qui en ont bénéficié. La seule réparation qui doive être faite est aux nations de l’Afrique noire, pour ce sous développement total dans lequel la traite les a d’abord précipitées : les nations du monde occidental n’ont pas là une dette à rembourser mais un crime immense dont les conséquences doivent être réduites, non pas sous la forme d’aumônes et de dons, mais dans la perspective de ces solidarités d’un nouveau style qu’il faut ménager entre les archipels et les continents du monde. »

« Nous, descendants des anciens tenants de l’esclavage, nous croyons qu’il est aussi vain de se boucher les yeux que de se battre la poitrine. Un pays emprunte les voies et moyens que son temps lui permet, et il n’y a nulle manière de revenir sur un parcours historique, sinon par les évidences qu’on y projette et par le partage de ces évidences entre toutes les consciences : l’esclavage des Africains dans le Nouveau Monde a été un malfait dont nous ne croyons pas qu’il y ait lieu d’exiger repentance, sans non plus que l’évocation de cette idée de repentance déclenche en nous des crises de crispations exaspérées. Toute repentance est grande et généreuse, et il ne vaut pas, il est indigne, qu’on se batte autour de son évocation. Simplement, les conditions d’existence dans le monde ont changé, c’est là un lieu commun, il nous faut en participer, dans l’idée d’une solidarité de tous les peuples, solidarité actuellement impossible à réaliser, mais sans laquelle nous ne préserverons aucune de nos humanités, menacées de partout. La grandeur d’un



pays ne relève pas d’abord, dans ce contexte nouveau, de sa puissance économique ou de ses capacités à se défendre, qui ne sont pas à négliger ou à mal considérer, ni de son pouvoir d’attaquer les autres, qui est haïssable, mais de son aptitude et de son audace à proposer le dépassement et l’ouverture d’une nouvelle route planétaire, la Route des solidarités du monde. Elle est plus difficile à baliser que les anciennes Routes de la soie, ou du sel, ou des épices, ou même de l’esclave. Entrons-y pourtant, sans naïveté ni scepticisme. »

Édouard GLISSANT, Mémoires des esclavages, Gallimard - La Documentation française (2007).




Décision du 1er avril 2016 portant délégation de signature (Office français de l’immigration et de l’intégration)

NOR : INTV1611406S

Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration,Vu le code du travail, notamment ses articles L. 5223-1 à L. 5223-6 ;Vu le décret du 17 décembre 2015 portant nomination du directeur général de l’Office français de l’immigration et

de l’intégration – M. LESCHI (Didier) ;Vu la décision du 31 décembre 2013 modifiée portant organisation générale de l’Office français de l’immigration

et de l’intégration,

Décide :

Article 1er

Délégation est donnée à Mme Sophie Kapusciak, directrice territoriale à Lille et, en cas d’absence ou d’empêchement, à Mmes Anne-Françoise Robert, Marie-Paule Plantey, adjointes, et M. Larbi Belmir, responsable d’antenne à Calais, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et correspondances se rapportant :

1. Aux missions dévolues à la direction de Lille telles que définies par la décision du 31 décembre 2013 susvisée ;2. À la gestion de la direction de Lille, notamment :

– à l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction de Lille, dans la limite des crédits alloués ;

– au renouvellement des contrats des agents vacataires (personnels infirmiers et enquêteurs logement) ; – aux contrats des personnels recrutés pour deux mois maximum dans le cadre des renforts estivaux.

Article 2

La décision du 1er janvier 2016 portant délégation de signature est abrogée (INTV1533044S).

Article 3

La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

ait leF 1er avril 2016.

Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, d. leschi




Décision du 6 avril 2016 portant délégation de signature du directeur général (Office français de protection des réfugiés et apatrides)

NOR : INTV1609877S

Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment les livres II, V, VII et VIII de ses

parties législative et réglementaire ;Vu le décret no 54-1055 du 14 octobre 1954 portant publication de la convention de Genève du 28 juillet 1951 sur

le statut des réfugiés, signée le 11 septembre 1952 à New York ;Vu le décret no 60-1066 du 4 octobre 1960 portant publication de la convention relative au statut des apatrides

ouverte à la signature le 28 septembre 1954 ;Vu le décret du 28 décembre 2015 portant nomination du directeur général de l’Office français de protection des

réfugiés et apatrides – M. BRICE (Pascal),

Décide :

Article 1er

En cas d’absence ou d’empêchement de M. Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, délégation est donnée à M. Pierre Azzopardi, secrétaire général, ou, en son absence, à Mme Sophie Pegliasco, directrice de cabinet, à l’effet de signer toutes décisions individuelles prises en application des articles L. 221-1, L. 556-1, L. 711-3, L. 711-4, L. 711-6, L. 712-2, L. 712-3, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13, L. 723-16 et L. 812-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, toutes réponses aux demandes de l’autorité judiciaire et, en tant que de besoin, toutes réquisitions de la force publique, ainsi que tous actes administratifs, décisions individuelles, engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion administrative et financière de l’office.

Article 2

Délégation est donnée à M. Pierre Azzopardi, secrétaire général, ou, en son absence, à Mme Sophie Pegliasco, directrice de cabinet, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, toutes décisions individuelles prises en application des articles L. 221-1, L. 556-1, L. 711-4, L. 711-6, L. 712-3, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13, L. 723-16 et L. 812-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office devant les juridictions, toutes réponses aux demandes de l’autorité judiciaire et, d’une manière générale, tous documents, certificats, courriers ou actes relevant de ses attributions, et de formuler les avis prévus à l’article L. 213-8-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Article 3

Délégation est donnée à M. Pierre Azzopardi, secrétaire général, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion administrative et financière de l’office.

Article 4

Délégation est donnée à Mme Sylvie Jimenez, chef du service des ressources humaines et de la formation professionnelle, et, en cas d’absence ou d’empêchement, à son adjoint M. Thierry Doucement, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion des ressources humaines et la formation professionnelle de l’office.

Article 5

Délégation est donnée à Mme Pascale Doucement, chef du service du budget, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions relevant de ses attributions, tous engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement concernant la gestion administrative et financière de l’office.



Article 6

Délégation est donnée à Mme Régine Bordes, chef du service de l’interprétariat, MM. Jean-Paul Levi, chef du service de l’informatique, et Philippe Truy, chef du service des moyens généraux, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions relevant de leurs attributions respectives.

Article 7

Délégation est donnée à M. Robert Arakelian, officier de protection, et Mme Nathalie Champlain, secrétaire de protection au service de l’interprétariat, à l’effet de signer les bons de commandes de prestations d’interprétariat et de traduction nécessaires à l’activité de l’office.

Article 8

Délégation est donnée à M. Mourad Derbak, officier de protection principal, chef de division, et, en son absence, à Mme Aline Montaubrie, officier de protection principal, adjointe du chef de division, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 556-1, L. 711-3, L. 711-6, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13, L. 723-16 et L. 812-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité, ainsi que tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office devant les juridictions ayant à connaître du contentieux des apatrides.

Article 9

Délégation est donnée à M. Franck Becu, officier de protection, chef de bureau, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application de l’article L. 812-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, ainsi que tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office devant les juridictions ayant à connaître du contentieux des apatrides.

Article 10

Délégation est donnée à M. Frédéric Petit-Jean, officier de protection principal, chef de division, et, en son absence, à M. Ludovic Champain-Sellier, officier de protection principal, adjoint du chef de division, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 221-1, L. 556-1, L. 711-3, L. 711-6, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile et de formuler les avis prévus à l’article L. 213-8-1 du même code se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité.

Article 11

Délégation est donnée à Mme Laurence Duclos et M. Franck Eyheraguibel, officiers de protection principaux, chefs de division, et, en leur absence, à leurs adjoints, Mme Valérie Vivien et M. Pascal Roig, officiers de protection principaux, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 556-1, L. 711-3, L. 711-6, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité.

Article 12

Délégation est donnée à Mmes Leila Benshila-Kesen, Delphine Bordet, Leïla Chebbi, Jeanne Ruscher et Céline Seyer, MM. Georges Barbière, François Corbin, Tanguy Coste-Chareyre, François Doyharcabal, Ghislain de Kergorlay, Jean-Michel Salgon et Nicolas Wait, officiers de protection principaux, Mmes Christine Bargoin, Sylvie Bergier-Diallo, Isabelle Castagnos, Célia Da Cunha, Marie Despretz, Sandra Fayolle, Nathalie Lapeyre, Cécile Malassigné, Elsa Mattéodo-Charles et Frédérique Spéranza, MM. Hugo Bechtel, Michaël Berardan, Matthieu Leblic, Olivier Monlouis et Alexis Reversat, officiers de protection, chefs de section, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 556-1, L. 711-3, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité, à l’exclusion des décisions mettant fin au statut de réfugié ou au bénéfice de la protection subsidiaire.



Article 13

Délégation est donnée à M. Didier Mouton, officier de protection principal, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 556-1, L. 711-3, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Article 14

Délégation est donnée à Mme Adrienne Rodriguez Cruz et M. David Toledano, officiers de protection principaux, Mmes Magali Andry, Meltem Bailly, Stéphanie Belouin, Maud Benoist, Marie-Anne Berlioz, Raphaëlle Berthault, Gwenaële Blere, Caroline Boudou, Sakina Boukhaima-Bonne, Bénédicte Brun, Maria-Luz Carbajosa Julia, Hélène Carton-Garrone, Lucie Combattelli, Cécile Dauphin, Frédérique Dupont, Sophie Fanucchi, Margot Genin, Léa Hericher, Anne-Sophie Hervé, Diane Jeremic, Marion Laget, Laetitia Langlois, Isabelle Lecœur, Stéphanie Lescieux, Camille Llavador, Claire Lummaux, Françoise Marias, Karen Martin, Anita Martins, Christèle Mesbah, Julie Nael, Margaux Nollet, Lilit Oskeritsian, Mélina Pelé, Anaïs Petinelli-Breil, Anila Poher, Bruna Pothus, Magali Prats, Pauline Querbes, Sandrine Reversat, Marie Ripert, Géraldine Roche-Kamar, Louisa Saoudi, Lucie Sarrey, Vanessa Sarti, Laetitia Stora, Kady Traore et Nadjet Zaghrir, MM. Murat Aysel, Antonin Bernard, Sylvain Cadio, Marc Da Piedade, Michel Diricq, Antoine Dubois, Joris Eberhardt, Sacha Egard, Emmanuel Haentjens, Benoît Hemelsdael, Charles Jacob, Martin Labrousse, Tahar Lallouche, Matthieu Le Bloas, Julien Limare, Frédéric Manquat, Vincent Parral, Grégory Pienoz, Morgan Poyau, Jérémie Schwartz, Erwan Soquet et Benjamin Tailhefer, officiers de protection, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 711-3, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-11 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile se rapportant à leurs attributions, à l’exclusion des décisions mettant fin au statut de réfugié ou au bénéfice de la protection subsidiaire.

Article 15

Délégation est donnée à Mme Marie Salord, chef de division, Mmes Pascale Baudais et Coralie Capdeboscq, officiers de protection principaux, chargées de mission, M. Michel Eyrolles, officier de protection principal, MM. Johan Ankri et Pascal Lang, officiers de protection, chefs de section, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office devant les juridictions ayant à connaître du contentieux des réfugiés ou de la mise en cause de la responsabilité de l’office, tous actes visés aux articles 40 du code de procédure pénale et à l’alinéa 2 de l’article L. 722-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, toutes réponses aux demandes de réquisition de l’autorité judiciaire se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité, ainsi que tous actes individuels pris en application des articles L. 556-1, L. 711-3, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Article 16

Délégation est donnée à Mme Marie Salord, chef de division, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application de l’article L. 711-6 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Article 17

Délégation est donnée à Mme Marie Salord, chef de division, M. Michel Eyrolles, officier de protection principal, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, toute décision prise en application de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal.

Article 18

Délégation est donnée à M. Lakdar Kriouche, secrétaire de protection de classe normale, Mme Géraldine Crespin-Quinchard, adjointe de protection de 1re classe, Mme Marlène Pezo et M. Patrice Cabaret, adjoints administratifs d’administration centrale, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, toute décision positive prise en application de la loi no 78-753 du 17 juillet 1978 portant diverses mesures d’amélioration des relations entre l’administration et le public et diverses dispositions d’ordre administratif, social et fiscal.

Article 19

Délégation est donnée à M. Guillaume Lefebvre, officier de protection principal, chef de la mission accueil, enregistrement et numérisation, et, en son absence, à Mme Anne Lise Marzal, officier de protection, adjointe du chef



de la mission, Mmes Kaysone Cremoux et Valérie Cros, officiers de protection, Mme Caroline Pierson, secrétaire de protection de classe exceptionnelle, M. Stéphane Ysmal, secrétaire de protection de classe supérieure, Mme Justine Blancheton, secrétaire de protection de classe normale, chefs d’unité, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application de l’alinéa 3 de l’article R. 723-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Article 20

Délégation est donnée à Mmes Ascension Agullo et Frédérique Dubois, adjoints administratifs d’administration centrale, Mmes Ameline Heng et Corinne Sabas, adjoints de protection principaux de 1re classe, Mme Magali Pèlerin, adjoint de protection principal de 2e classe, Mmes Sabrina Anatole, Isabelle Bussy, Ghislaine Eniona, Lydia Outaleb, Françoise Sanchez, Annick Thévenin et Marie-Josée Urgin, MM. Nicolas Cabon et Vincenzo Romano, adjoints de protection de 1re classe, Mmes Sonia Da Cunha Mota, Alexandra Dib, Farida El Hor, Frédérique Francillette, Estelle Nabo, Liliane Rossetto et Jennifer Vinauger, M. Mikaël Loucano, adjoints de protection de 2e classe, Mmes Betsy Gazar, Alexandrina Goncalves, Anila Iftikhar, Ashley Guehi, Joanna Kaznowska, Priscilla Lourenço, Cindy Mary, Audrey Reutter, Natalia Selivestru, Flora Tubale Nascimento et Charlène Villeneuve, MM. Cédric Lelong et Yoann Willot, adjoints de protection contractuels, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, les lettres d’introduction prévues à l’alinéa 3 de l’article R. 723-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Article 21

Délégation est donnée à Mme Isabelle Ayrault, officier de protection principal, chef de division, et, en son absence, à Mme Hamida Echikr, officier de protection principal, adjointe du chef de division, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’actes d’état civil, tous extraits, copies, livrets de famille, certificats administratifs ou de coutume, toutes décisions portant sur le maintien, la fin du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire en application des articles L. 711-4, L. 711-6 et L. 712-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, tous actes individuels se rapportant aux mineurs n’ayant pas déposé de dossier individuel et aux bénéficiaires de la protection subsidiaire, ainsi que toutes demandes aux fins de requérir, en cas de besoin, le concours de la force publique lorsque celui-ci est nécessaire au fonctionnement des services placés sous leur autorité.

Article 22

Délégation est donnée à Mmes Béatrice Bigot, Anne-Charlotte Lelong et Johanne Mangin, officiers de protection principaux, Mmes Anne-Sophie Mocquet, Myriam Redjem et Nathalie Roya, officiers de protection, chefs de section, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’acte d’état civil, tous extraits, copies, livrets de famille, certificats administratifs et de coutume, toutes décisions portant sur le maintien du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire, ou la renonciation à ceux-ci, ainsi que tous actes individuels se rapportant aux mineurs n’ayant pas déposé de dossier individuel et auxbénéficiaires de la protection subsidiaire.

Article 23

Délégation est donnée à M. Eric Bakhoum, officier de protection principal, chef de bureau, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous extraits et copies de certificats tenant lieu d’actes d’état civil, certificats administratifs et de coutume.

Article 24

Délégation est donnée à M. Bertrand Gourbat, officier de protection principal, Mmes Clémence Buquet, Isabelle Clisson, Aurélie Guilloux-d’Alençon, Marie Christine Iltchev, Mila Koutchekian, Annabelle Ligout, Ingrid Perianin, Gina Sanctussy, Estelle Sillaire et Anne Villemain-Secanella, MM. Rémi Catimel, Stéphane Cremoux, Guillaume Jarlegan, Nicolas Laprévote et Jean René Nkwanga, officiers de protection, Mmes Elise Goncalves et Stéphanie Richer, secrétaires de protection de classe exceptionnelle, Mmes Corinne Boulangé, Régine Riefolo et Komdeuane Truy, M. Fernando Quiroga, secrétaires de protection de classe supérieure, Mmes Aziza Aouchiche, Nadine Ayivi Koutodjo, Marie-Josée Baramble, Aurélie Canaud, Valérie Tedde, Aurélie Decorde, Nathalie Ferdinand, Zohra Lekbir, Sonia Lemjid, Nathalie Morel et Fanny Samson Le Roux, MM. Serge Diakiese, Grégory Dufrenoy, Grégory Gabriel, Aurélien Rochard et Ruddy Thrace, secrétaires de protection de classe normale, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’actes d’état civil, copies, extraits, tous certificats administratifs et de coutume et les livrets de famille se rapportant aux attributions des services placés sous l’autorité du chef de la division de la protection.



Article 25

Délégation est donnée à Mmes Anne Angeleau et Bernadette Morin, secrétaires de protection, Mmes Marie-Lucette Glénac, Delphine Nguyen Minh, Sylvie Piat et Elise Vœuk, adjoints administratifs d’administration centrale, Mmes Annick Bazin, Saliha Bada, Leila Boufousse, Nathalie Dardour et Samantha Lejambre, M. Didier Meslin, adjoints de protection principaux de 2e classe, Mmes Nathalie Cavalière, Lucile Klein, Solange Koodruth, Virginie Lelièvre, Mablé Agbotounou, Sonia Costa, Joëlle Dardour, Monique Dubrana, Véronique Gustin, Ozlem Kaçan et Sylviane Sananikone, MM. Rodny Lydie, Bakary Mohamed et Benjamin Têtu, adjoints de protection de 1re classe, Mmes Barbara Alvarez, Salimatta Diawara, Sabine Favre, Jacqueline Kalayci, Marie-Laure Méril, et Laure Moreau, M. Jean-Marie Baune, adjoints de protection de 2e classe, Mmes Fatoumata Diallo, Marina Howard Maurice et Cécile Marthe, adjoints de protection contractuels, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, les copies des certificats tenant lieu d’actes d’état civil se rapportant aux attributions des services placés sous l’autorité du chef de la division de la protection.

Article 26

Délégation est donnée à M. Daniel Le Madec, chargé de mission, et à Mme Véronique Péchoux, officier de protection principal, chef de mission, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application des articles L. 221-1, L. 556-1, L. 711-3, L. 712-2, L. 721-2, L. 723-2, L. 723-11 à L. 723-13 et L. 723-16 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile et de formuler les avis prévus à l’article L. 213-8-1 du même code.

Article 27

En cas d’absence ou d’empêchement de M. Pascal Brice, M. Patrice Corcessin, secrétaire de protection de classe normale, ou, en son absence, M. Laurent Roy, adjoint de protection de 1re classe, reçoivent délégation pour signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection desréfugiés et apatrides, si besoin, toute réquisition du concours de la force publique.

Article 28

La décision du 1er mars 2016 portant délégation de signature du directeur général est abrogée (INTV1601929S).

Article 29

La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur et sur le site de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (www.ofpra.gouv.fr).


Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, P. Brice




Décision du 1er mai 2016 portant délégation de signature (Office français de l’immigration et de l’intégration)

NOR : INTV1611399S




Décide :

Article 1er

Délégation est donnée à Mme Karine Le Faucheur, directrice territoriale à Cayenne et, en cas d’absence ou d’empêchement, à Mme Marion Hamard, adjointe, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et correspondances se rapportant :

1. Aux missions dévolues à la direction de Cayenne telles que définies par la décision du 31 décembre 2013 susvisée ;2. À la gestion de la direction de Cayenne, notamment :

– à l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction de Cayenne, dans la limite des crédits alloués ;


Article 2

En cas d’absence ou d’empêchement de Mmes Karine Le Faucheur et Marion Hamard, délégation est donnée à Mme Jocelyne Arbonville à l’effet de signer tous actes, décisions et correspondances relatifs à l’engagement, la liquidation et le mandatement des dépenses de fonctionnement et d’intervention se rapportant à la direction de Cayenne.

Article 3


Article 4


ait leF 1er mai 2016.






NOR : INTV1611408S




Décide :

Article 1er

Délégation est donnée à Mme Sandrine Pannier, directrice territoriale à Metz et, en cas d’absence ou d’empêchement, à Mme Fatima Mezzouj, adjointe, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et correspondances se rapportant :

1. Aux missions dévolues à la direction de Metz telles que définies par la décision du 31 décembre 2013 susvisée ;2. À la gestion de la direction de Metz, notamment :

– à l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction de Metz, dans la limite des crédits alloués ;


Article 2


Article 3








NOR : INTV1611409S




Décide :

Article 1er

Délégation est donnée à Mme Véronique Maupoint, directrice territoriale de Clermont-Ferrand, et, en cas d’absence ou d’empêchement, à Mme Valérie Betemps, adjointe, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et correspondances se rapportant :

1. Aux missions dévolues à la direction de Clermont-Ferrand, telles que définies par la décision du 31 décembre 2013 susvisée ;

2. À la gestion de la direction de Clermont-Ferrand, notamment : – à l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction de Clermont-Ferrand, dans la limite des crédits alloués ;


Article 2


Article 3

La présente décision sera publiée dans le Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.







NOR : INTV1611410S


de l’intégration – M. LESCHI (Didier) ;Vu la décision du 31 décembre 2013 modifiée portant organisation générale l’Office français pour l’immigration et

l’intégration,

Décide :

Article 1er

Délégation est donnée à M. Denis Pilon, directeur territorial par intérim à Pointe-à-Pitre, à l’effet de signer, dans le cadre des instructions qui lui sont données et dans la limite de ses attributions, tous actes, décisions et correspondances se rapportant :

1. Aux missions dévolues à la direction de Pointe-à-Pitre telles que définies par la décision du 31 décembre 2013 susvisée ;

2. À la gestion de la direction de Pointe-à-Pitre, notamment : – à l’engagement, la liquidation et le mandatement de toutes les dépenses relevant de la direction de Pointe-à-Pitre, dans la limite des crédits alloués ;


Article 2


Article 3








NOR : INTV1611411S

Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration,Vu le code du travail, notamment ses articles L. 5223-1 à L. 5223-6 ;Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment ses articles L. 744-3 et L. 744-9 ;Vu le décret du 17 décembre 2015 portant nomination du directeur général de l’Office français de l’immigration et



Décide :

Article 1er

Délégation est donnée à M. Ergin Gonulcan, auditeur à la direction territoriale de Strasbourg, à l’effet de signer les offres de prise en charge précisant les conditions matérielles d’accueil des demandeurs d’asile, ainsi que les bons de transport permettant à ces derniers de rejoindre leur hébergement.

Article 2







Direction générale des collectivités locales

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Sous-direction des finances locales et de l’action économique

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Bureau des concours financiers de l’État_

Note d’information du 22 avril 2016 relative à la dotation globale d’équipement (DGE) des départements pour l’exercice 2016 et au bilan de l’exercice 2015

NOR : INTB1611007N

La présente instruction a pour objet de vous préciser les modalités de répartition et d’attribution de la dotation globale d’équipement (DGE) des départements pour 2016. Elle vous demande de dresser le bilan de l’année 2015. La fiche de notification de l’attribution individuelle de votre département est jointe à l’instruction.

Pièces jointes : 1 tableau, 1 fiche et 2 listes.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets des départements de métropole et d’outre-mer ; Monsieur le préfet de la région Guadeloupe, préfet de la Guadeloupe et représentant de l’Etat dans les collectivités de Saint-Martin et Saint-Barthélemy ; Monsieur le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon.

1. DGE des départements – exercice 2016 – Programme 119

1.1. Règles de répartition de la DGE des départements pour 2016

La DGE des départements correspond depuis 2006 exclusivement à l’ancienne seconde part de cette dotation, la première part ayant été intégrée dans la dotation de compensation des départements. Conformément à l’article L. 3334-10 du code général des collectivités territoriales, cette dotation est répartie entre les départements :

– pour 76 % de son montant au prorata des dépenses d’aménagement foncier effectuées et des subventions versées pour la réalisation des travaux d’équipement rural par chaque département. Je vous invite à ce titre à prêter la plus grande attention à ce que les opérations financées par le biais de la DGE des départements soient bien effec-tuées sur le territoire de communes rurales. À cette fin, vous devez vous référer à la liste des communes rurales au titre de l’année 2016 qui a été envoyée sur votre messagerie Colbert ;

– pour 9 % de son montant afin de majorer les attributions versées aux départements au titre de leurs dépenses d’aménagement foncier du dernier exercice connu (l’exercice 2014 pour la DGE 2016) ;

– pour 15 % de son montant afin de majorer la dotation des départements dont le potentiel fiscal par habitant est inférieur d’au moins 40 % au potentiel fiscal moyen par habitant de l’ensemble des départements ou dont le potentiel fiscal par kilomètre carré est inférieur d’au moins 50 % au potentiel fiscal moyen par kilomètre carré de l’ensemble des départements.

1.2. Taux de concours de la DGE des départements pour 2016

Le taux de concours applicable à la fraction principale de la DGE des départements en 2016 est égal à 27,45 %. Ce taux correspond au rapport entre les crédits de la fraction principale et le montant des dépenses éligibles à la DGE des départements au titre de l’année 2014, dernière année connue, soit 648 694 380 €, actualisé selon les taux d’évolution prévisionnels de formation brute du capital fixe (FBCF) des administrations publiques pour les années 2015 et 2016, à savoir respectivement – 0,2 % et – 1,3 %.

1.3. Détermination du montant des majorations – Majoration « aménagement foncier » :

– elle est répartie, pour les départements de métropole et d’outre-mer, au prorata des dépenses d’aménagement foncier réalisées au cours du dernier exercice connu. Les dépenses prises en compte en 2016, dont le montant m’est communiqué par vos services via ORIP, sont celles qui ont été effectuées par les départements en 2014 sur leur propre budget ;

– pour Saint-Pierre-et-Miquelon, Mayotte, Saint-Barthélemy et Saint-Martin, elle est calculée par application au montant 2016 de la majoration « aménagement foncier » du rapport, majoré de 10 %, entre la population de chacune de ces collectivités et la population nationale.



– Majoration pour insuffisance de potentiel fiscal :

– la part de cette majoration destinée aux départements métropolitains éligibles est répartie proportionnellement au produit de l’inverse du potentiel fiscal par habitant et de l’inverse du potentiel fiscal par kilomètre carré de chaque département bénéficiaire ;

– les attributions destinées aux quatre départements d’outre-mer sont égales à celles versées en 2015. En effet, en application de l’article L. 3334-12 du code général des collectivités territoriales, le taux sur lequel sont indexées les attributions des départements d’outre-mer en application de l’article R. 3334-7 n’est plus revalorisé depuis 2009 ;

– pour Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Barthélemy et Saint-Martin, elle est calculée par application au montant 2016 de la majoration « insuffisance du potentiel fiscal » du rapport, majoré de 10 %, entre la population de chacune de ces collectivités et la population nationale ;

– pour Mayotte, elle est calculée par application au montant 2016 de la majoration « insuffisance du potentiel fiscal » du rapport, majoré de 10 %, entre la population du département de Mayotte et la population de l’ensemble des départements de métropole et d’outre-mer, du département de Mayotte, des collectivités de Saint-Martin, de Saint-Barthélemy et de Saint-Pierre-et-Miquelon ;

– la majoration pour insuffisance de potentiel fiscal ne peut être inférieure à 90 % du montant perçu l’année précédente au titre de cette majoration (article 138 de la loi de finances no 2011-1977 du 28 décembre 2011).

Ces deux majorations font l’objet d’une mise à disposition de crédits (MADI) dans Chorus en AE et CP.

2. Modalités de gestion de la DGE des départements

La DGE des départements est imputée, depuis 2016, à l’action no 3 « Soutien aux projets des départements » du programme 119 « Concours financiers aux collectivités territoriales et à leurs groupements » (119) de la mission « Relations avec les collectivités territoriales ».

2.1. Détermination de l’enveloppe

Une enveloppe d’AE et de CP vous sera prochainement mise à disposition au titre de la DGE des départements. Elle comprendra :

– une provision au titre de l’exercice 2016 établie sur la base des crédits engagés et mandatés au cours des trois premiers trimestres 2015. Celle-ci vous permettra de couvrir les premiers états de mandatement 2016 transmis par le conseil départemental ;

– le montant relatif à la majoration pour insuffisance de potentiel fiscal ;

– le montant relatif à la majoration « aménagement foncier ».

2.2. La procédure de mise à disposition des crédits dans Chorus

Afin de faciliter l’identification des montants alloués aux préfectures sur le BOP 0119-C001, les mises à disposition de crédits sont toujours effectuées, au niveau central, par dotation (sous-action). L’identification de la dotation pour laquelle les crédits sont mis à disposition apparaît dans le champ « Commentaires » qui porte le libellé de la dotation DGE des départements.

Le gestionnaire déconcentré veillera à renseigner précisément l’onglet « Axe budgétaire » lors de l’expression de besoins effectuée via NEMO, notamment les champs « Domaine fonctionnel » correspondant aux action/sous-action : 0119-03-01 et « Activité » : 0119010103A1.

La lettre « Flash Finances Locales » pourra constituer une aide supplémentaire.

En cours de gestion, les crédits de paiement sans emploi devront être remis obligatoirement à la disposition du responsable de BOP.

Pour ce faire, les responsables d’UO en informeront, par téléphone ou par mél, l’un des correspondants désignés au sein de l’administration centrale, pour lui indiquer le montant des crédits remis à disposition dans Chorus.

2.3. Besoins de crédits de paiement complémentaires

Il vous est possible d’effectuer des demandes d’autorisations d’engagement et de crédits de paiement complémentaires auprès de mes services si le montant des provisions qui vous sont déléguées s’avère insuffisant pour répondre aux demandes de versement du département. Ces demandes devront être justifiées. Elles devront, en tout état de cause, mentionner le montant des crédits déjà consommés, le disponible éventuel ainsi que, s’il y a lieu, le montant des dossiers en instance que l’insuffisance de crédits ne vous permettrait pas d’honorer.

La date limite pour me transmettre vos demandes d’AE et de CP complémentaires est fixée au 30 septembre 2016.



2.4. Fin de gestion

Je vous rappelle que les AE qui n’auront pas été engagées au 31 décembre 2016 seront annulées et ne pourront pas être rétablies.

J’attire également votre attention sur la rigueur avec laquelle il convient de suivre la consommation des crédits. Aucun crédit sans emploi ne doit être rendu en fin d’année.

Si des crédits de paiement et des autorisations d’engagement vous semblent susceptibles de rester disponibles en fin d’année, il conviendra de les restituer à l’administration centrale avant le 30 septembre 2016 au plus tard afin qu’ils puissent être redéployés au bénéfice d’autres départements.

Si des crédits restaient disponibles localement en fin de gestion, un acompte sur le 4e trimestre de l’année 2016 devra être versé par vos soins au département.

3. Bilan 2015 : recensement des attributions de l’exercice 2015Le bilan de l’année 2015 vous est demandé sous forme d’un tableau ORIP disponible sur le site intranet de la DGCL

(http://orip2.dgcl.mi) dans la rubrique « Accès à l’application ORIP 2 » ð « Bilan DGE des départements – Exercice 2009 ».Ce bilan permettra :

– de déterminer l’excédent ou le déficit de l’année 2015 résultant de la différence entre les consommations de cré-dits et les montants ouverts par la loi de finances ;

– de répondre au Parlement dans le cadre des questions parlementaires relatives au projet de loi de finances de l’année prochaine ;

– de compléter le projet annuel de performance qui sera remis au Parlement à l’occasion du projet de loi de finances pour 2017.

J’appelle votre attention sur le fait que les données demandées ne concernent plus des prévisions mais doivent correspondre au montant réel et définitif des attributions de DGE (que leur règlement soit intervenu ou non) revenant aux bénéficiaires pour les quatre trimestres 2015.

Si une correction des montants que vous avez mentionnés sur le formulaire devait exceptionnellement avoir lieu, elle devra m’être signalée impérativement.

Je vous remercie de me faire parvenir les renseignements demandés pour le bilan avant le 17 juin 2016 au plus tard accompagnés d’un bref compte-rendu d’exécution et de tout commentaire qui vous semblerait utile.

Je vous remercie de votre collaboration.

* * *

Toute difficulté dans l’application de la présente note d’information devra être signalée à :

Direction générale des collectivités locales Sous-direction des finances locales et de l’action économique

Bureau des concours financiers de l’État Mme Irana CORANSON-PULVAR

Tél. : 01.49.27.31.55 Fax : 01.40.07.68.30


Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, B. delsol



Vous trouverez ci-joint :

Annexe 1 :

Un tableau précisant la répartition des crédits ouverts en loi de finances ainsi que leur évolution par rapport à 2015.

Je vous rappelle que les dépenses prises en compte concernent strictement les dépenses d’aménagement foncier effectuées par les départements et les subventions versées pour la réalisation de travaux d’équipement rural dont la liste est définie en annexe IX de l’article R. 3334-5 du code général des collectivités territoriales. Vous veillerez à vérifier la nature des dépenses mentionnées dans les états de mandatement qui vous sont transmis.

Annexe 2 :

– La liste des départements éligibles à la majoration pour insuffisance de potentiel fiscal : 34 départements de métropole remplissent en 2016 les conditions prévues par la loi pour bénéficier de cette majoration.

– Je vous rappelle à ce titre que l’article 138 de la loi de finances initiale pour 2012 a modifié la définition du potentiel fiscal des départements citée à l’article L. 3334-6 du code général des collectivités territoriales.

Annexe 3 :

Une fiche vous communiquant le montant versé à votre département au titre de la première délégation de l’année, à savoir les montants correspondant :

– à la provision pour la fraction principale de la DGE des départements pour 2016 ; – au montant de la majoration pour insuffisance du potentiel fiscal, si votre département y est éligible ; – au montant de la majoration « aménagement foncier », si votre département est bénéficiaire.



A N N E X E 1

TABLEAU DES MASSES DE LA DGE DES DEPARTEMENTS

exercice 2016

MONTANTS 2016 RAPPEL MONTANTS 2015

Crédits inscrits au budget de l’Etat (CP) 215 855 969 215 955 969

Déficit (–) ou excédent (+) des années antérieures 14 919 466 10 251 569

Montant à répartir 230 775 435 226 207 538

dont FRACTION PRINCIPALE 76 % 175 389 331 171 917 729Investissements 2014 648 694 380Investissements prévisionnels 2015 – 0,2 % 647 396 991Investissements prévisionnels 2016 – 1,3 % 638 980 830

TAUX DE CONCOURS(1) 27,45 % 26,02 %

dont MAJ. AMENAGEMENT FONCIER 9 % 20 769 789 20 358 678

dont MAJ. INSUF. POTENTIEL FISCAL 15 % 34 616 315 33 931 131

(1) Rapport entre les crédits de la fraction principale et le montant des dépenses éligibles à la DGE des départements effectués par les départements au titre de l’année 2014, dernière année connue, soit 648 694 380 € actualisés aux taux FBCF 2015 et 2016.



A N N E X E 2

DÉPARTEMENTS ET COLLECTIVITES ÉLIGIBLES À LA MAJORATION POUR INSUFFISANCE DE POTENTIEL FISCAL EN 2016

AISNEALLIERALPES-DE-HAUTE-PROVENCEHAUTES-ALPESARDENNESARIEGEAUBEAVEYRONCANTALCHERCORREZECORSE-DU-SUDHAUTE-CORSECREUSEDORDOGNEGERSINDREJURALANDESLOIR-ET-CHERHAUTE-LOIRELOTLOT-ET-GARONNELOZEREMARNEHAUTE-MARNEMAYENNEMEUSENIEVREORNEHAUTE-SAONEDEUX-SEVRESVIENNEYONNEMARTINIQUEGUYANEREUNIONMAYOTTESAINT-BARTHELEMYSAINT-MARTINSAINT-PIERRE-ET-MIQUELON



A N N E X E 3

DÉPARTEMENTS ET COLLECTIVITES ÉLIGIBLES À LA MAJORATION « AMENAGEMENT FONCIER » EN 2016

AINAISNEALLIERHAUTES-ALPESARDECHEARDENNESARIEGEAUBEAUDEAVEYRONCALVADOSCANTALCHARENTECHARENTE-MARITIMECORREZECOTE-D’ORCOTES-D’ARMORCREUSEDORDOGNEDOUBSDROMEEURE-ET-LOIRFINISTEREGARDHAUTE-GARONNEGERSGIRONDEHERAULTILLE-ET-VILAINEINDREINDRE-ET-LOIREISEREJURALOIR-ET-CHERLOIREHAUTE-LOIRELOIRE-ATLANTIQUELOIRETLOZEREMAINE-ET-LOIREMANCHEMARNEHAUTE-MARNEMAYENNEMEURTHE-ET-MOSELLE



MEUSEMORBIHANMOSELLENIEVRENORDOISEORNEPAS-DE-CALAISPUY-DE-DOMEPYRENEES-ATLANTIQUESHAUTES-PYRENEESPYRENEES-ORIENTALESBAS-RHINHAUT-RHINRHONEHAUTE-SAONESARTHESAVOIESEINE-MARITIMESEINE-ET-MARNEYVELINESDEUX-SEVRESSOMMETARNTARN-ET-GARONNEVARVAUCLUSEVENDEEVIENNEHAUTE-VIENNEVOSGESYONNEESSONNEGUADELOUPEMARTINIQUEGUYANEREUNIONMAYOTTESAINT-BARTHELEMYSAINT-MARTINSAINT-PIERRE-ET-MIQUELON





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Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation particulière « élu local » pour l’exercice 2016

NOR : INTB1610083N

Références : articles L. 2335-1, R. 2335-1 et R. 2335-2 du code général des collectivités territoriales.

La présente note a pour objet de vous présenter les conditions d’éligibilité ainsi que les modalités de répartition et de versement, pour 2016, de la dotation particulière « élu local ».

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Monsieur le préfet de Saint-Pierre-et-Miquelon ; Messieurs les hauts commissaires en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française ; Monsieur le préfet, administrateur supérieur des îles de Wallis-et-Futuna.

Afin d’assurer aux petites communes rurales les moyens nécessaires à la mise en œuvre de la loi no 92-108 du 3 février 1992 relative aux conditions d’exercice des mandats locaux, une dotation particulière réservée aux petites communes rurales a été créée.

Cette dotation, prévue à l’article L. 2335-1 du code général des collectivités territoriales, est plus particulièrement destinée à compenser les dépenses obligatoires entraînées par les dispositions législatives relatives aux autorisations d’absence, aux frais de formation des élus locaux et à la revalorisation des indemnités des maires et des adjoints.

Prélevée sur les recettes de l’Etat, la dotation particulière « élu local » s’élève en 2016 à 65 006 000 euros comme en 2012, 2013, 2014 et 2015.

L’article 43 de la loi de finances pour 2007 et les articles R. 2335-1 et 2335-2 du code général des collectivités territoriales précisent les modalités d’attribution de la dotation particulière « élu local ». Comme pour les dotations de péréquation communale, le critère du potentiel financier a été substitué à celui du potentiel fiscal par la loi de finances pour 2005. Il permet d’appréhender la capacité d’une commune à mobiliser des ressources, au-delà des seules recettes fiscales. Ainsi, il tient compte des ressources perçues au titre de la dotation forfaitaire.

1. Critères d’éligibilité

En métropole, la dotation particulière « élu local » est attribuée aux communes :

a) Dont la population est inférieure à 1 000 habitants. La population utilisée est celle mentionnée à l’article L. 2334-2 du code général des collectivités territoriales, c’est-à-dire la population DGF.

b) Dont le potentiel financier par habitant est inférieur à 1,25 fois le potentiel financier moyen par habitant des communes de métropole de moins de 1 000 habitants, qui est égal à 667,675623 €.

22 367 communes métropolitaines répondent à ces critères en 2016.

Dans les départements d’outre-mer, en Polynésie française, à Wallis-et-Futuna, en Nouvelle-Calédonie et dans la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon, la dotation particulière « élu local » est attribuée aux communes dont la population DGF est inférieure à 5 000 habitants, soit 86 communes en 2016.

En 2016, 22 453 communes bénéficieront au total de cette dotation.

2. Répartition de la dotation 2016

La dotation particulière « élu local » est attribuée sous la forme d’une dotation unitaire annuelle identique pour l’ensemble des communes : elle est égale au rapport entre le montant de la dotation ouverte en loi de finances et le nombre de communes bénéficiaires en 2016.

La dotation unitaire s’élève en 2015 à 2 895 euros, soit une hausse de + 2,95 % par rapport à 2015.



3. Modalités de notification et de versement de la dotationAfin de faciliter l’élaboration et l’adoption des budgets des communes et de donner accès le plus rapidement possible

aux collectivités locales au montant des dotations leur revenant, le résultat de la répartition de la dotation particulière « élu local » est en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.collectivites-locales.gouv.fr/) depuis le 8 avril 2016.

Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune fait foi.Les fiches de notification des attributions de la dotation particulière « élu local » pour les communes de métropole

et des départements d’outre-mer vous seront expédiées par l’intermédiaire de l’intranet Colbert départemental. Je vous invite donc, dès réception de ce courrier, à télécharger les fiches de notification de la dotation particulière

« élu local » qui prennent la forme de fichiers « PDF ». Il vous appartient de transmettre ces fiches le plus rapidement possible aux collectivités concernées, accompagnées d’une lettre de notification.

Concernant les communes de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie, de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon et les circonscriptions territoriales de Wallis-et-Futuna, les fiches vous seront envoyées par messagerie. Dès réception, elles devront être transmises aux communes concernées, accompagnées d’une lettre de notification.

Je vous rappelle qu’en application des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires.

Vous veillerez donc à l’indiquer dans la lettre par laquelle vous notifiez aux communes le montant de leurs attributions.Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que,

durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services.

Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421-2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».

Le montant de la somme attribuée au titre de 2015 fera l’objet d’un versement unique. Par ailleurs, je vous rappelle que la circulaire interministérielle du 21 novembre 2006 relative aux versements des dotations de l’État prévoit que les collectivités doivent désormais être informées de la date à laquelle s’effectuera le versement de la dotation sur leur compte au Trésor Public, dans la lettre leur notifiant leur attribution. La dotation particulière « élu local » est en effet concernée par les dispositions relatives aux dotations non mensualisées, pour lesquelles il vous appartient de fixer la date de versement, en accord avec les services du Trésor.

S’agissant des modalités de versement, la dotation particulière « élu local » relève désormais de l’interface entre les applications Colbert et Chorus qui permet de déclencher de façon dématérialisée les demande de paiement directement auprès des DDFIP/DDRFIP.

L’utilisation de l’application Colbert départemental est indispensable pour la notification de la DPEL. Il conviendra en effet de procéder à l’envoi des montants de la DPEL à Chorus (fonction « Envoyer à Chorus »). Cette transmission électronique devra être doublée d’un envoi papier à la direction départementale (ou régionale) des finances publiques de vos arrêtés de versements et des états financiers.

Vos arrêtés de versement viseront le compte no 46512000000-code CDR COL1601000 « Dotation particulière élu local – année 2016 » (interfacé).

Toutefois, cette obligation ne concerne pas les territoires qui ne sont pas reliés à l’application Colbert : Saint-Pierre-et-Miquelon, la Polynésie française, Wallis et Futuna, la Nouvelle-Calédonie. Les arrêtés pris en faveur de ces collectivités viseront le compte no 46512000000 code CDR COL1601000 (non interfacé).

L’inscription de cette dotation dans les budgets est à effectuer au compte no 742 (en nomenclature M 14).

Toute difficulté dans l’application de la présente instruction devra être signalée à :

Direction générale des collectivités locales Sous-direction des finances locales et de l’action économique

Bureau des concours financiers de l’ÉtatMme Claudy DAVILLE

Tél. 01 49 27 37 52Fax : 01 40 07 68 30

[email protected]


ait leF 10 mai 2016.


http://www.collectivites-locales.gouv.fr/

mailto:[email protected]





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Bureau des concours financiers de l’Etat_

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour l’exercice 2016

NOR : INTB1610084N

La présente note d’information a pour objet de vous préciser les modalités de répartition et de versement de la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements de métropole pour 2016.

La fiche de notification de l’attribution individuelle de votre département vous est adressée par l’intranet Colbert - Départemental.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets des départements de métropole.

Depuis 2005, la DGF des départements comprend quatre composantes : – une dotation de compensation ; – une dotation forfaitaire ; – une dotation de péréquation urbaine (DPU) ; – une dotation de fonctionnement minimale (DFM).

La loi de finances initiale pour 2015 a modifié l’architecture de la dotation forfaitaire de l’ensemble des départements. Cette architecture reste inchangée en 2016.

1. La dotation de compensation, créée par la loi de finances pour 2004, correspond aux montants dus en 2003 au titre de l’ancien concours particulier compensant la suppression des contingents communaux d’aide sociale (CCAS) et de 95 % de la dotation générale de décentralisation (DGD) hors compensations fiscales.

En 2012, la loi de finances a prévu que la dotation de compensation des départements en année n serait égale à celle perçue en année n–1.

Toutefois, la dotation de compensation pour 2016 du département de la Martinique a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2015 dans ce département (pour un montant total de 908 128 €). Au total, la dotation de compensation des départements atteint donc en 2016 un montant de 2 821 786 406 €.

2. La dotation forfaitaire des départements a fait l’objet d’une modification de son architecture en 2015. Elle résulte de l’agrégation des anciennes composantes (la dotation de base et le complément de garantie).

Depuis 2015, elle se calcule donc à partir de : – la dotation forfaitaire notifiée l’année précédente ; – une part dynamique de la population (hors Paris) ; – un écrêtement péréqué ; – une contribution au redressement des finances publiques (départements de métropole et d’outre-mer hors Mayotte).

a) La dotation forfaitaire notifiée en 2015

Elle correspond à la dotation forfaitaire notifiée en 2015 aux départements, c’est-à-dire après application de la minoration liée à la contribution au redressement des finances publiques.

b) La part dynamique de la population

Cette composante de la dotation forfaitaire permet de tenir compte de l’évolution de la population du département. Tous les départements de métropole et d’outre-mer, ainsi que les COM (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) sont concernés. Seul Paris ne bénéficie pas de cette part dynamique liée à la population.

La loi de finances pour 2015 fixe un montant de 74,02 euros par habitant en plus ou en moins par rapport à l’année précédente. Ce montant est inchangé en 2016.



En 2016, la population DGF a progressé de 0,53 %, représentant 27 192 714 € au titre de la part dynamique de la population 2016 pour l’ensemble des départements.

c) L’écrêtement péréqué

L’article L. 3334-3 du CGCT prévoit que le montant composé de la dotation forfaitaire notifiée l’année précédente et de la part dynamique de la population fait l’objet d’un écrêtement en fonction du potentiel financier 2016 des départements afin de financer le coût de la part dynamique de la population ainsi que l’accroissement de la péréquation financée pour moitié en interne à la DGF (soit 10 M€, sur les 20 M€ d’accroissement de la péréquation au sein de la DGF en 2016).

En 2016, le montant de cet écrêtement s’élève à 37 192 714 €.

La loi de finances pour 2015 prévoit que ne contribuent à cet écrêtement que les départements dont le potentiel financier par habitant est supérieur à 95 % du potentiel financier par habitant moyen des départements, avec un plafonnement à 5 % de leur dotation forfaitaire notifiée en n–1. Cet écrêtement concerne 42 départements en 2016, sans qu’aucun ne soit plafonné à 5 %.

Ainsi, après écrêtement et avant contribution au redressement des finances publiques, la dotation forfaitaire atteint 6 475 505 291 € en 2016, soit 10 M€ de moins que le montant de dotation forfaitaire des départements notifié en 2015.

d) La contribution des départements au redressement des finances publiques

La loi de finances pour 2016 prévoit, à l’article 151, une contribution des collectivités territoriales au redressement des finances publiques en 2016, répartie entre les différentes catégories de collectivités.

Pour les départements, cette contribution a été fixée à 1 148 M€ en 2016, répartis comme en 2015 entre les départements en fonction d’un indice synthétique prenant en compte le revenu et le taux de taxe foncière sur les propriétés bâties.

Conformément à l’article L. 3334-3 du CGCT, cette contribution vient minorer la dotation forfaitaire des départements. Les départements concernés par cette minoration sont les départements de métropole et les départements d’outre-mer (à l’exception de Mayotte). Les collectivités d’outre-mer sont exclues de cette minoration.

Règle de répartition

Comme en 2014 et 2015, cette minoration est répartie entre les départements en fonction de la population et d’un indice synthétique composé :

– pour 70 %, du rapport entre le revenu par habitant du département et le revenu moyen par habitant de l’en-semble des départements. La population prise en compte est celle issue du dernier recensement ;

– pour 30 %, du rapport entre le taux moyen national d’imposition de taxe foncière sur les propriétés bâties pour l’ensemble des départements et le taux de cette taxe voté par le département. Les taux retenus sont ceux de l’année précédant l’année de répartition.

Cas particuliers

Dans le cas où un département ne bénéficie pas en 2016 d’une dotation forfaitaire suffisante pour supporter la totalité de cette minoration, la différence est prélevée sur le montant perçu par le département au titre des compensations d’exonération de fiscalité locale ou sur les douzièmes de fiscalité.

Dans le cas du département de Paris, cette différence est prélevée sur la dotation forfaitaire de la commune de Paris. Le département de Paris rembourse à la commune de Paris le montant ainsi prélevé. Le montant de dotation forfaitaire notifié à la commune de Paris tient compte du reliquat non prélevé sur la dotation forfaitaire du département de Paris.

Ainsi la minoration qui pèse sur la dotation forfaitaire des départements s’élève en 2016 à 1 065 951 096 €, et non à 1 148 000 000 €. La différence avec le montant inscrit en LFI 2016 correspond à la contribution au redressement des finances publiques du département de Paris, dans la mesure où le département de Paris ne perçoit pas de dotation forfaitaire en 2016. La totalité de la contribution au redressement des finances publiques de ce département est par conséquent prélevée sur la dotation forfaitaire de la commune de Paris.

Le montant de la dotation forfaitaire 2016 des départements (après contribution au redressement des finances publiques) est de 5 409 554 195 €.

3. La péréquation départementale : DPU et DFM

a) Les masses mises en répartition

Le total des attributions au titre de la péréquation départementale s’élève en 2016 à 1 462 946 352 €, soit une progression de 20 millions d’euros.



L’augmentation annuelle du solde de la dotation globale de fonctionnement des départements disponible après prélèvement de la dotation de compensation et de la dotation forfaitaire est répartie librement par le comité des finances locales entre la dotation de péréquation urbaine (DPU) et la dotation de fonctionnement minimale (DFM).

Pour 2016 et comme en 2014 et 2015, le comité des finances locales a choisi d’affecter 35 % de cet accroissement à la DPU (+ 7 M€) et 65 % à la DFM (+13 M€).

Il est à noter que la loi de finances pour 2009 a introduit une garantie de non-baisse individuelle des quotes-parts de DFM et de DPU versées à chaque département ou collectivité d’outre-mer.

L’article 113 de la loi de finances pour 2008 a introduit un mécanisme d’accompagnement des changements éventuels de catégorie de départements (passage de la catégorie des départements ruraux à celle des départements urbains, et inversement).

L’article 138 de la loi de finances pour 2012 étend la possibilité pour un département de bénéficier de la garantie de non-baisse aux départements changeant de catégorie. Ainsi, en cas de changement de catégorie d’un département (rural à urbain ou l’inverse), les garanties de non-baisse de la dotation perçue l’année précédente pour la DPU et la DFM sont appréciées par rapport au montant perçu au titre de la dotation de péréquation de l’autre catégorie l’année précédente.

En 2016, aucun département ne change de catégorie. Au total, les masses mises en répartition en 2016 au titre de la péréquation verticale de la DGF sont les suivantes : 640 423 150 € au titre de la DPU ;822 523 202 € au titre de la DFM.Après déduction des quotes-parts affectées à l’outre-mer, les masses réparties entre les départements de métropole

au titre de la péréquation départementale en 2016 sont égales à :594 923 213 € au titre de la DPU ;761 054 363 € au titre de la DFM.

b) Les règles de répartition de la DFM et de la DPU des départements de métropole

Sont considérés comme départements urbains (et donc susceptibles de bénéficier de la DPU) les départements dont la densité de population est supérieure à 100 habitants au km² et dont le taux d’urbanisation (nombre de communes comprises dans une unité urbaine au sens de l’INSEE) est supérieur à 65 %, ces deux conditions étant cumulatives. En 2016, comme en 2015, 36 départements remplissent ces conditions.

Sont considérés comme « non urbains », et donc potentiellement éligibles à la DFM, les départements ne répondant pas à ces deux conditions. En 2016, 61 départements remplissent ces conditions.

L’article 138 de la loi de finances pour 2012 a modifié les conditions d’éligibilité à la DPU en ajoutant une condition de revenu par habitant : la dotation de péréquation urbaine est versée aux départements urbains dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal à 1,5 fois le potentiel financier par habitant moyen de l’ensemble des départements « urbains » et dont le revenu par habitant est inférieur à 1,4 fois le revenu par habitant moyen de l’ensemble des départements « urbains ». Elle est répartie en fonction du potentiel financier par habitant, du revenu par habitant, de la proportion de bénéficiaires d’aides personnalisées au logement et de la proportion de bénéficiaires du RSA.

Les départements perdant leur éligibilité à la DPU (sans être éligibles à la DFM) bénéficient d’une garantie de sortie égale, la première année, à deux-tiers de la DPU perçue la dernière année d’éligibilité, et la deuxième année, à un tiers de ce même montant. En 2016, aucun département ne bénéficie de cette garantie de sortie.

Comme en 2015, les départements éligibles à la DPU bénéficient d’une garantie de non-baisse par rapport à la dotation notifiée l’année précédente. Cette garantie bénéficie à 10 départements en 2016, contre 12 en 2015.

La dotation de fonctionnement minimale est versée aux départements « non urbains » dont le potentiel financier par habitant est inférieur ou égal au double du potentiel financier par habitant moyen de l’ensemble des départements « non urbains ». Elle est répartie en fonction de la longueur de voirie, du potentiel financier par habitant et du potentiel financier superficiaire.

Les départements éligibles à la DFM bénéficient cette année, comme en 2015, d’une garantie de non baisse par rapport à la dotation perçue en 2015. En 2016, cette garantie bénéficie à 12 départements (contre 16 en 2015).

* * *

Les montants de la DGF des départements sont mis en ligne sur le site internet de la DGCL (www.collectivites-locales.gouv.fr) depuis le 31 mars 2016. Toutefois, seule la notification assurée par vos soins fait foi.

Dès réception de cette note, vous voudrez bien procéder à la notification de la DGF en informant le conseil départemental des dispositions concernant les modalités et les délais de recours, rappelés dans la fiche de notification.



Je vous indique également que l’utilisation de l’application Colbert Départemental est indispensable pour la notification des montants définitifs de DGF. Il conviendra en effet, comme vous l’avez réalisé en janvier pour la notification des acomptes de dotation globale des départements, de procéder à l’envoi des montants de DGF à Chorus (fonction « Envoyer à Chorus »). Cette transmission électronique devra être doublée d’un envoi papier à la direction départementale (ou régionale) des finances publiques de vos arrêtés de versement et des états financiers correspondants.

Vos arrêtés de versement viseront les comptes suivants dans les écritures comptables du directeur départemental (ou régional) des finances publiques :

LIBELLÉ COMPTE No CODE CDR

DGF – Dotation forfaitaire des départements – Année 2016

465.1200000

COL0906000

DGF – Dotation de compensation des départements – Année 2016 COL0902000

DGF – Dotation de péréquation urbaine des départements – Année 2016 COL0911000

DGF – Dotation de fonctionnement minimale des départements – Année 2016 COL0904000

En outre, afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les dotations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « interfacé ».

Le versement de l’ensemble de la DGF des départements s’effectuera par douzièmes mensuels, conformément à la circulaire NOR : MCTB0600079C du 21 novembre 2006.

L’inscription des différentes dotations composant la DGF des départements est à effectuer dans le budget du département aux comptes suivants :

7411 Dotation forfaitaire74121 Dotation de fonctionnement minimale74122 Dotation de péréquation urbaine74123 Dotation de compensationToutefois, depuis le 1er janvier 2014, le département de la Guyane et le département de la Martinique, et depuis le

1er janvier 2015, les métropoles peuvent choisir d’appliquer le nouveau référentiel M57. L’application de la M57 est obligatoire pour la métropole de Lyon.

Dans l’hypothèse d’une mise en œuvre de ce référentiel, il convient d’inscrire les différentes composantes de la DGF aux comptes suivants :

74121 Dotation forfaitaire741221 Dotation de fonctionnement minimale741222 Dotation de péréquation urbaine741223 Dotation de compensationVos arrêtés d’attribution ou de reversement à l’occasion d’une éventuelle rectification de la DGF des départements

viseront le compte no 465.120000 « DGF – Opérations de régularisation » en précisant le code CDR « COL1001000 » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. Toutes les opérations de régularisation y compris celles concernant des dotations relevant de l’interface au titre de 2016 ou d’années antérieures seront traitées hors interface. Afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les opérations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « non interfacé ».

Toute difficulté dans l’application de la présente instruction devra être signalée à :

Direction générale des collectivités localesSous-direction des finances locales et de l’action économique

Bureau des concours financiers de l’EtatChloé VERHILLETél. 01.40.07.26.79Fax : 01.40.07.68.30

[email protected]







ANNEXE I. – MASSES DE LA DGF DES DÉPARTEMENTS POUR 2016Les choix opérés par le comité des finances locales du 23 février 2016Masses de la DGF des départements pour 2016

ANNEXE II. – FICHES DE CALCUL1. La population DGF départementale 2016 (article L. 3334-2 du CGCT)2. Potentiel financier de référence du département

Potentiel fiscal 2016Potentiel financier par habitant 2016Potentiel financier superficiaire 2016

3. La dotation de compensation (article L. 3334-7-1 du CGCT)4. La dotation forfaitaire5. Les dotations de préréquation (articles L. 3334-6-1 et L. 3334-7 du CGCT)

5.1. Dotation de péréquation urbaine

5.2. Dotation de fonctionnement minimale



A N N E X E I

MASSES DE LA DGF DES DÉPARTEMENTS POUR 2016

Les choix opérés par le comité des finances locales du 23 février 2016

La DGF des départements mise en répartition en 2016 atteint 9 694 286 953 €.

Masses de la DGF des départements pour 2016

MASSES À RÉPARTIR TAuX DE PROGRESSION 2015-2016

DGF des départements : 9 694 286 953 € – 9,83 %

Dotation de compensation

Dotation forfaitaire

Part dynamique de la population (hors Paris)Ecrêtement de la dotation forfaitaire Dotation forfaitaire de Paris

Contribution au redressement des finances publiques

Dotation de péréquation

Dotation de péréquation urbaine (DPU)

Dotation de fonctionnement minimale (DFM)

2 821 786 406 €

5 409 554 195 €

27 192 714 €(–) 37 192 714 €

0 €

(–) 1 065 951 096 €

1 462 946 352 €

640 423 150 €

822 523 202 €

– 0,03 %

– 16,59 %

+ 9,85 %+ 7,02 %

+ 0,13 %

+ 1,39 %

+ 1,11 %

+ 1,61 %



A N N E X E I I

FICHES DE CALCUL

1. La population DGF départementale 2016 (article L. 3334-2 du CGCT)La population départementale prise en compte pour la répartition des dotations de l’État est la population

municipale publiée par l’INSEE majorée d’un habitant par résidence secondaire.La population DGF 2016 des départements est calculée de la manière suivante :

Pop DGF 2016 départementale = Pop municipale 2016 départementale + ∑ dépt des RS communales

Avec :

∑ dépt RS communales = total des résidences secondaires de l’ensemble des communes du département.

2. Potentiel financier de référence du départementLe potentiel financier (article L. 3334-6 du CGCT) correspond au potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire

(hors part correspondant à l’ancienne part salaires) et de la dotation de compensation notifiées l’année précédente. L’article 138 de la loi de finances pour 2012 a adapté les modalités de calcul du potentiel fiscal des départements à

leurs nouvelles ressources fiscales issues de la suppression de la taxe professionnelle.L’article 151 de la loi de finances pour 2016, prévoit une indexation du montant correspondant à l’ancienne

compensation « part salaires » (CPS), intégrée depuis 2004 dans la dotation forfaitaire. À compter de 2016, le montant correspondant à l’ancienne CPS est indexé selon le taux d’évolution de la dotation forfaitaire du département l’année précédant la répartition.

Le potentiel fiscal correspond à la somme des éléments suivants : – les montants correspondant aux bases brutes de foncier bâti multipliées par le taux moyen national de foncier bâti ;

– les montants correspondant aux IFER ; – les montants correspondant au produit de la CVAE perçu par le département ; – le reliquat d’État de la TSCA transféré aux départements à la suite de la suppression de la taxe professionnelle ; – les montants correspondant à l’ancienne compensation « part salaires », intégrée depuis 2004 dans la dotation forfaitaire, indexés en fonction du taux d’évolution de la dotation forfaitaire des départements notifiée l’année précédant la répartition ;

– depuis 2005, la moyenne des produits des droits de mutation à titre onéreux sur 5 ans (soit 2011-2015 pour le potentiel fiscal 2016). Ces droits correspondent aux droits d’enregistrement et à la taxe départementale de publi-cité foncière visés aux paragraphes 1 et 2 de l’article 1594 A du code général des impôts et sont, par conséquent, différents de ceux inscrits dans le compte administratif de chaque département ;

– la somme des montants positifs ou négatifs résultant de l’application des 1.2 et 2.2 de l’article 78 de la loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 pour 2010 perçus ou supportés l’année précédente (prélèvement ou reverse-ment au titre de la GIR et dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle [DCRTP]).

Le potentiel financier correspond au potentiel fiscal majoré des éléments suivants : – le montant de la dotation de compensation notifiée en 2015 ; – le montant de la dotation forfaitaire notifiée en 2015 (hors part correspondant à l’ancienne compensation « part salaires » après indexation et nette de la contribution du département au redressement des finances publiques 2015) ;

– le montant de la dotation de compensation métropolitaine, pour la métropole de Lyon et le département du Rhône (prise en compte d’un montant négatif pour la métropole de Lyon et positif pour le département du Rhône).



Potentiel fiscal des départements 2016

× 15,44 % = Bases brutes d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties de 2015

Taux moyen national 2015 +

= Produit des IFER départementaux +

= Produit la CVAE perçue par le département +

= Reliquat part État de la TSCA +

= Moyenne sur 5 ans du produit perçu au titre des droits de mutation à titre onéreux (2011 à 2015)

+

× (DFnotifiée 2015 – DFnotifiée 2014)

DFnotifiée 2014

=

Part de la dotation forfaitaire 2015 correspondant à l’ancienne « part salaires », indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire notifiée en 2015

+

= Produit perçu au titre de la DCRTP +

= Produit perçu au titre de la GIR –

= Reversement versé au profit de la GIR

Potentiel fiscal 2016 du département =



Potentiel financier 2016

= Potentiel fiscal 2016 du département +

= Dotation de compensation notifiée 2015 +

= Dotation forfaitaire notifiée 2015 (hors part correspondant à l’ancienne « part salaires » indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire 2015, et nette de la contribution au redressement des finances publiques)

=

Potentiel financier 2016 du département =

Potentiel financier par habitant 2016

/ = Potentiel financier 2016 Population DGF 2016 Potentiel financier par habitant

2016

Potentiel financier superficiaire 2016

/ = Potentiel financier 2016 Superficie du département

en mètres carrésPotentiel financier superficiaire 2016

3. La dotation de compensation (article L. 3334-7-1 du CGCT)

En 2012, la loi de finances a prévu que désormais la dotation de compensation des départements en année n serait égale à celle perçue en année n–1 hors mesures de recentralisation sanitaire.

Par ailleurs, la dotation de compensation pour 2016 de la Martinique a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2015 dans ce département (pour un montant de 908 128 €).

Dotation de compensation des départements 2016

Dotation de compensation 2015

–

Mesure de recentralisation sanitaire intervenue en 2015

=

Dotation de compensation 2016 notifiée



4. La dotation forfaitaire (article L. 3334-3 du CGCT)La loi de finances pour 2015 fixe un montant de 74,02 euros par habitant en plus ou en moins par rapport à l’année

précédente. Ce montant vient abonder ou minorer le montant de dotation forfaitaire notifiée l’année précédente.

( – ) × 74,0217873498599 € =

Population DGF 2016 Population DGF 2015 Part dynamique de la population 2016

Cette part dynamique de la population vient abonder ou minorer (selon que la différence entre la population DGF 2016 et 2015 aboutisse à un nombre positif ou négatif) le montant de dotation forfaitaire notifié en 2015.

Il convient de noter que ce montant de dotation forfaitaire correspond au montant de dotation forfaitaire notifié au département, après minoration de la contribution au redressement des finances publiques 2015.

=

Dotation forfaitaire notifiée 2015

+

=

Part dynamique de la population 2016 (montant positif ou négatif) Dotation forfaitaire 2016 spontanée (avant écrêtement et contribution au redressement des finances publiques)

–

Écrêtement (de la dotation forfaitaire spontanée 2016, avant minoration de la contribution au redressement des finances publiques 2016)

–

=

Contribution au redressement des finances publiques 2016

=


En 2016, comme en 2015, un écrêtement permet de financer l’accroissement de la population et l’augmentation de la masse mise en répartition au titre de la péréquation (10 M€ en 2016, outre les 10 M€ de péréquation supplémentaire financés par les variables d’ajustement).

Depuis 2015 cet écrêtement intervient sur la dotation forfaitaire spontanée 2016, c’est-à-dire le montant obtenu à partir de l’application de la part dynamique de la population sur le montant de dotation forfaitaire notifié en 2015.

Le montant total de cet écrêtement représente 37,2 M€ en 2016. Il ne concerne que les départements dont le potentiel financier par habitant est supérieur ou égal à 95 % de la moyenne nationale et est plafonné à 5 % du montant de dotation forfaitaire notifié en 2015.

En 2016, le calcul de la dotation forfaitaire avant minoration par la contribution au redressement des finances publiques se fera comme suit :

Pour les départements ayant un Pfi/hab 2016 inférieur à 0,95 fois le Pfi/hab moyen 2016 de l’ensemble des départements :

Si Pfi/hab dept A 2016 < 0,95 * Pfi/hab moyen 2016

Alors

DF non minorée par CRFP 2016 = DF non minorée par CRFP 2016 (soit DF spontanée 2016)



Pour les départements ayant un Pfi/hab supérieur ou égal à 0,95 fois le Pfi/hab moyen de l’ensemble des départements :

Si Pfi/hab dept A 2016 ≥ 0,95 * Pfi/hab moyen 2016

Alors

DF non minorée par CRFP 2016 = DF spontanée 2016 – Écrêtement de la DF spontanée 2016

À noter :

Pfi/hab moyen 2016 = 632,054828 €.

Le calcul de l’écrêtement de la dotation forfaitaire spontanée :

Écrêtement DF spontanée = (Pfi/hab dept A 2016/Pfi/hab moyen 2016) * pop DGF 2016 dept A * VP

Avec :

VP = valeur de point = 0,946345079388068

L’écrêtement de la dotation forfaitaire ne peut être supérieur à 5 % de la dotation forfaitaire notifiée l’année précédente.

Si l’écrêtement de la dotation forfaitaire spontanée 2016 est supérieur à 5 % de la dotation forfaitaire notifiée au titre de l’année précédente, alors celui-ci est plafonné à 5 % de la dotation forfaitaire notifiée au titre de l’année précédente :

Si Écrêtement de la DF spontanée 2016 dept A > 5 % * DF notifiée 2015 dept A,

Alors, Écrêtement de la DF spontanée 2016 dept A = 5 % * DF notifiée 2015 dept A

À noter :

Les COM (Saint-Martin et Saint-Pierre-et-Miquelon) ne sont pas écrêtées.

Depuis 2015, le département de Mayotte est considéré comme un DOM au regard du calcul de la dotation forfaitaire.

Cas particulier du département de Paris (art. L. 3334-3 du CGCT)

Depuis 2014, le département de Paris ne perçoit plus de dotation forfaitaire (sa dotation forfaitaire notifiée depuis 2014 étant de 0 après application de sa contribution au redressement des finances publiques). Par conséquent, il ne se trouve pas écrêté au titre de sa dotation forfaitaire.

Le calcul de la contribution des départements au redressement des finances publiques

La loi de finances pour 2016 prévoit, à l’article 151, une contribution des collectivités territoriales au redressement des finances publiques en 2016, répartie entre les différentes catégories de collectivités. Cette contribution vient minorer la DGF des départements à l’exception du département de Mayotte à hauteur de 1 148 millions d’euros prélevés, comme en 2015 et 2014, en fonction d’un indice synthétique prenant en compte le revenu et le taux de la taxe foncière sur les propriétés bâties.

Pour 2016, le département de Paris ne percevant plus de dotation forfaitaire, le montant de sa contribution au redressement des finances publiques (82 048 904 €) est intégralement prélevé sur la dotation forfaitaire de la commune de Paris.

De ce fait, la minoration pesant sur la DGF des départements s’élève donc à 1 065 951 096 €.



1. Calcul de l’indice synthétiqueCet indice synthétique est constitué :

a) Du rapport entre le revenu par habitant du département et le revenu moyen par habitant de l’ensemble des départements. La population prise en compte est celle issue du dernier recensement ;

b) Du rapport entre le taux moyen national d’imposition de taxe foncière sur les propriétés bâties pour l’ensemble des départements et le taux de cette taxe du département. Les taux retenus sont ceux de l’année précédant l’année de répartition.

IS = ( Revenu/pop INSEE dept A 2016× 0,7 ) + ( TMN FB 2015

× 0,3 )REVENU/POP INSEE 2016 tx FB dept A 2015

Avec : – REVENU/POP INSEE 2016 : le revenu moyen par habitant de l’ensemble des départements (hors Mayotte) = 14 452,76 €

– TMN FB 2015 : le taux moyen national d’imposition de taxe foncière sur les propriétés bâties pour l’ensemble des départements = 15,44 %

2. Calcul des contributions individuellesPour chaque département, la minoration est égale à :

Contribution = IS × Pop DGF 2016 × VP

Avec valeur de point = 16,4778912771861Le département de Mayotte et les COM sont exemptés de toute contribution.Le montant de la contribution vient minorer la dotation forfaitaire.

5. Les dotations de péréquation (articles L. 3334-6-1 et L. 3334-7 du CGCT)La loi de finances pour 2005 a classé les départements en deux catégories afin de déterminer à quelle part de la

dotation de péréquation est potentiellement éligible le département : la dotation de péréquation urbaine (DPU) ou la dotation de fonctionnement minimale (DFM).

Ainsi, sont considérés comme « urbains » les départements remplissant les deux conditions suivantes : – densité de population supérieure à 100 habitants par kilomètre carré ; – taux d’urbanisation supérieur à 65 %.

5.1. La dotation de péréquation urbaine (art. L. 3334-6-1 du CGCT)

L’article 138 de la loi de finances pour 2012 a modifié les critères d’éligibilité à la DPU : sont éligibles à la DPU les départements urbains dont le potentiel financier par habitant est inférieur à 1,5 fois le potentiel financier par habitant moyen de l’ensemble des départements urbains et dont le revenu par habitant est inférieur à 1,4 fois le revenu par habitant moyen de l’ensemble des départements urbains.

Les départements qui cessent d’être éligibles à la DPU bénéficient d›une garantie de sortie sur deux ans, calculée en prenant en compte le montant perçu lors de leur dernière année d’éligibilité au titre de la dotation de péréquation. Cette garantie de sortie leur assure :

– deux tiers de leur attribution au titre de la DPU de l’année précédant la perte d’éligibilité la première année où ils perdent l’éligibilité à la DPU ;

– un tiers de leur attribution au titre de la DPU de l’année précédant la perte d’éligibilité la seconde année d’iné-ligibilité.

La loi de finances pour 2008 empêche toutefois le cumul de cette garantie de sortie avec le versement d’une nouvelle attribution. Aucun département n’est concerné par ce dispositif en 2016.

Le comité des finances locales a fixé à 640 423 150 € le montant de la dotation de péréquation urbaine des départements. Après prélèvement de la quote-part en faveur des départements et collectivités d’outre-mer, 594 923 213 € ont été répartis en métropole au titre de la DPU en 2016.



La répartition de la DPU entre les départements de métropole s’effectue en fonction d’un indice synthétique calculé comme suit :

Potentiel financier de l’ensemble des départements urbains 672,953563

÷ potentiel financier du département ÷ .........................

= sous-total ............................

× pondération retenue pour le potentiel financier × 0,50

= part, dans l’indice, du potentiel financier ....................... (a)

Nombre de personnes couvertes par les allocations logements du département ............................

÷ nombre de logements du département ÷ .........................

= part relative des personnes couvertes par les allocations logements du département ............................

÷ part relative des pers. couv. par les all. logt. dans l’ensemble des départements urbains

0,435295

× pondération retenue pour les allocations logements × 0,25

= part, dans l’indice, des personnes couvertes par les allocations logements ....................... (b)

Nombre de bénéficiaires du RSA par habitant du département ............................

÷ Nombre de bénéficiaires du RSA par habitant de l’ensemble des départements urbains

0,028791

× pondération retenue pour le RSA × 0,10

= part, dans l’indice, du nombre de bénéficiaires du RSA ....................... (c)

Revenu moyen par habitant de l’ensemble des départements urbains 15 306,445912

÷ revenu moyen par habitant du département ............................

× pondération retenue pour le revenu × 0,15

= part, dans l’indice, du revenu ....................... (d)

Indice synthétique = (a) + (b) + (c) + (d) ....................... (e)

La DPU est répartie comme suit :

DPU = (POP DGF2016 × IS × VP1) + garantie de non-baisse

Avec :

– POP DGF2016 = population DGF 2016 ;

– IS = indice synthétique du département ;

– VP1 = valeur de point 2016, soit 14,631193933154.

L’article 138 de la loi de finances pour 2012 a introduit une garantie de non-baisse de la dotation perçue en l’année de répartition par rapport à celle perçue l’année précédente.

Garantie de non baisse = montant attribué aux départements urbains dont la DPU 2016 calculée sur la base de l’indice synthétique est inférieure au montant de leur dotation notifié en 2015.

Le montant de cette garantie :

– est égal à la différence constatée entre le montant attribué sur la base de l’indice synthétique et le montant notifié en 2015 ;

– vient en déduction de la masse à répartir pour les autres départements.



5.2. La dotation de fonctionnement minimale (art. L. 3334-7 du CGCT)

La dotation de fonctionnement minimale (DFM) bénéficie aux départements « non urbains » dont le potentiel financier par habitant est inférieur au double du potentiel financier par habitant moyen des départements « non urbains ».

Les départements qui cessent d’être éligibles à la DFM bénéficient d›une garantie sur deux années, calculée en prenant en compte le montant perçu lors de leur dernière année d’éligibilité au titre de la DFM. Cette garantie de sortie leur assure :

– deux tiers de leur attribution au titre de la DFM de l’année précédant la perte d’éligibilité la première année où ils perdent l’éligibilité à la DFM ;

– un tiers de leur attribution au titre de la DFM de l’année précédant leur perte d’éligibilité la seconde année d’inéligibilité.

La loi de finances pour 2008 empêche toutefois le cumul de cette garantie de sortie avec le versement d’une nouvelle attribution. Aucun département n’est concerné par ce dispositif en 2016.

Le comité des finances locales a fixé à 822 523 202 € le montant de la dotation de fonctionnement minimale des départements. Après prélèvement de la quote-part en faveur des départements et collectivités d’outre-mer, 761 054 363 € ont été répartis en métropole au titre de la DFM.

A. – Montant aVant redistriBution du Produit de l’écrêteMent

La DFM est répartie comme suit :

1. Pour 40 % de son montant, la dotation est calculée selon la formule suivante :

Fraction PFi = POP DGF2016 × {(2 – Pfi/hab 2016 ) × VP1}PFi/HAB moy 2016

Avec :

– POP DGF2016 = population DGF 2016 du département ;

– PFi/HAB moy 2016 = potentiel financier par habitant moyen des départements « non urbains », soit 570,231635 € en 2016 ;

– Pfi/hab 2016 = potentiel financier par habitant du département en 2016 ;

– VP1 = valeur de point, soit 12,18896433 en 2016.


Fraction LV = (LVHM + (2 × LVM)) × VP2

Avec :

– LV = longueur de la voirie départementale ;

– LVHM = montant de longueur de voirie hors montagne départementale ;

– LVM = montant de longueur de voirie de montagne départementale ;



Fraction PfiS = PFiS moy × VP3Pfis

Avec :

– PFiS = potentiel financier superficiaire moyen des départements « non urbains », soit en 2016 : 0,036661 € ;

– Pfis = potentiel financier superficiaire du département ;




La DFM est ainsi égale à :

DFM avant redistribution = fraction potentiel financier+ fraction LV+ fraction potentiel financier superficiaire+ garanties de non baisse

Avec :

Garantie de non baisse = montant attribué aux départements ruraux dont la DFM 2016 calculée sur la base des trois fractions est inférieure au montant de leur dotation notifiée en 2015.

Le montant de cette garantie : – est égal à la différence constatée entre la somme des trois fractions 2016 et le montant notifié en 2015 ; – vient en déduction de la masse à répartir pour les autres départements.





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Bureau des concours financiers de l’État _

Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements et des collectivités d’outre-mer pour l’exercice 2016

NOR : INTB1610203N

La présente note d’information a pour objet de vous préciser les modalités de répartition et de versement de la dotation globale de fonctionnement (DGF) des départements d’outre-mer et des collectivités de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Saint-Martin pour l’année 2016. La fiche de notification de l’attribution individuelle des départements d’outre-mer et de la collectivité de Saint-Martin vous est adressée par l’intranet Colbert Départemental. La fiche de notification de l’attribution individuelle de la collectivité de Saint-Pierre-et-Miquelon vous est adressée par courrier électronique.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets des régions ; préfets des départements d’outre-mer ; préfet de la région Guadeloupe ; préfet de la Guadeloupe et représentant de l’État dans les collec-tivités de Saint-Barthélemy et Saint-Martin ; Monsieur le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon.

Depuis 2005, la DGF des départements comprend quatre composantes, auxquelles sont éligibles les départements d’outre-mer ainsi que les collectivités de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Saint-Martin :

– une dotation de compensation ; – une dotation forfaitaire ; – une dotation de péréquation urbaine (DPU) ; – une dotation de fonctionnement minimale (DFM).

La loi de finances initiale pour 2015 a modifié l’architecture de la dotation forfaitaire de l’ensemble des départements. Cette architecture reste inchangée en 2016.

Il est à noter que l’article 104 de la loi de finances rectificative pour 2007, qui avait rendu la collectivité de Saint-Barthélemy éligible à la DGF des départements pour 2008, a prévu sa non éligibilité, à partir de 2009, à la DGF des départements. À ce titre, aucune DGF n’a été calculée pour cette collectivité en 2016.

1. La dotation de compensation

La dotation de compensation, créée par la loi de finances pour 2004, correspond aux montants dus en 2003 au titre de l’ancien concours particulier compensant la suppression des contingents communaux d’aide sociale (CCAS) et de 95 % de la dotation générale de décentralisation (DGD) hors compensations fiscales.

En 2012, la loi de finances a prévu que la dotation de compensation des départements en année n serait égale à celle perçue en année n – 1.

Toutefois, la dotation de compensation pour 2016 du département de la Martinique a été minorée au titre des mesures de recentralisation sanitaire adoptées en 2015 dans ce département (pour un montant total de 908 128 €). Au total, la dotation de compensation des départements atteint donc en 2016 un montant de 2 821 786 406 €.

Au total, la dotation de compensation des départements et collectivités d’outre-mer éligibles atteint donc en 2016 un montant de 442 671 512 €.

2. La dotation forfaitaire des départements

La dotation forfaitaire des départements a fait l’objet d’une modification de son architecture en 2015. Elle résulte de l’agrégation des composantes auparavant constituées par la dotation de base et le complément de garantie.

Depuis 2015, elle se calcule à partir de : – la dotation forfaitaire notifiée l’année précédente ;



– une part dynamique de la population ; – un écrêtement péréqué ; – une contribution au redressement des finances publiques (hors Mayotte, Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin).

a) La dotation forfaitaire notifiée en 2015

Elle correspond à la dotation forfaitaire notifiée en 2015 aux départements, c’est-à-dire après application de la minoration liée à la contribution au redressement des finances publiques.

b) La part dynamique de la population

Cette composante de la dotation forfaitaire permet de rendre compte de l’évolution de la population du département. Tous les départements de métropole (hors Paris) et d’outre-mer, ainsi que les COM (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) sont concernés. Globalement, en 2016, la population DGF a progressé de 0,53 %.

La loi de finances pour 2015 fixe un montant de 74,02 € par habitant en plus ou en moins par rapport à l’année précédente.

En 2016, la population DGF des départements et collectivités d’outre-mer a progressé de 0,11 %, représentant 173 507 € au titre de la part dynamique de la population 2016.

c) L’écrêtement péréqué

L’article L. 3334-3 du CGCT prévoit que le montant composé de la dotation forfaitaire notifiée l’année précédente et de la part dynamique de la population fait l’objet d’un écrêtement en fonction du potentiel financier 2016 des départements afin de financer le coût de la part dynamique de la population ainsi que l’accroissement de la péréquation financée en interne à la DGF (soit 10 M€, sur les 20 M€ au total d’accroissement de la péréquation au sein de la DGF en 2016).

En 2016, le montant de cet écrêtement s’élève pour l’ensemble des départements à 37 192 714 €.Ne contribuent à cet écrêtement que les départements dont le potentiel financier par habitant est supérieur à 95 %

du potentiel financier par habitant moyen des départements, avec un plafonnement à 5 % de leur dotation forfaitaire notifiée en n – 1.

Ainsi, après écrêtement et avant contribution au redressement des finances publiques, la dotation forfaitaire atteint 6 475 505 291 € en 2016, soit 10 M€ de moins que le montant de dotation forfaitaire des départements notifié en 2015. Ce montant s’élève à 199 596 872 € pour les départements et collectivités d’outre-mer.

d) La contribution des départements au redressement des finances publiques

La loi de finances pour 2016 prévoit, à l’article 151, une contribution des collectivités territoriales au redressement des finances publiques en 2016, répartie entre les différentes catégories de collectivités.

Pour les départements, cette contribution a été fixée à 1 148 M€ en 2016, répartis entre les départements en fonction d’un indice synthétique prenant en compte le revenu et le taux de taxe foncière sur les propriétés bâties.

Conformément à l’article L. 3334-3 du CGCT, cette contribution vient minorer la dotation forfaitaire des départements. Les départements concernés par cette minoration sont les départements de métropole et les départements d’outre-mer (à l’exception de Mayotte). Les collectivités d’outre-mer sont exclues de cette minoration.

Règle de répartition

Comme en 2014 et 2015, cette minoration est répartie entre les départements en fonction de la population et d’un indice synthétique composé :

– pour 70 %, du rapport entre le revenu par habitant du département et le revenu moyen par habitant de l’en-semble des départements. La population prise en compte est celle issue du dernier recensement ;

– pour 30 %, du rapport entre le taux moyen national d’imposition de taxe foncière sur les propriétés bâties pour l’ensemble des départements et le taux de cette taxe voté par le département. Les taux retenus sont ceux de l’année précédant l’année de répartition.

Après prise en compte de situations résultant de l’insuffisance de dotation forfaitaire, la minoration appliquée sur la dotation forfaitaire des départements s’élève donc en 2016 à 1 065 951 096 € (et non à 1 148 000 000 €).

Le montant de la dotation forfaitaire 2016 de l’ensemble des départements (après contribution au redressement des finances publiques) s’élève à 5 409 554 195 €. Pour les départements et collectivités d’outre-mer, son montant s’élève à 176 654 173 €.

3. La péréquation départementale : DPU et DFM

L’augmentation annuelle du solde de la dotation globale de fonctionnement des départements disponible après prélèvement de la dotation de compensation et de la dotation forfaitaire, est répartie librement par le comité des



finances locales entre la dotation de péréquation urbaine (DPU) et la dotation de fonctionnement minimale (DFM). En 2016, comme en 2015, la péréquation départementale progresse de 20 millions d’euros, que le comité des finances locales a choisi d’affecter à hauteur de 35 % à la DPU et de 65 % à la DFM.

Les départements d’outre-mer, ainsi que les collectivités territoriales de Saint-Pierre-et-Miquelon et de Saint-Martin bénéficient d’une quote-part de ces deux dotations, conformément aux dispositions des articles L. 3334-4, L. 3443-1 et R. 3443-1 du code général des collectivités territoriales.

Ces quotes-parts sont prélevées par application à la DPU et à la DFM d’un ratio égal au double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale des départements et collectivités d’outre-mer éligibles à la DGF des départements et cette même population majorée de la population municipale des départements de métropole. En 2016, ce ratio de population est égal à 7,09006 %.

Par application de ce ratio et après prise en compte des garanties de non baisse:

– le montant de la quote-part outre-mer de la DPU s’élève à 45 499 937 € ;

– le montant de la quote-part outre-mer de la DFM s’élève à 61 468 839 €.

3.1. La quote-part de la dotation de péréquation urbaine est répartie de la façon suivante pour les départements et collectivités d’outre-mer

Pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) : il est appliqué au montant total de DPU le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements.

Pour les départements d’outre-mer (dont Mayotte) : la quote-part de DPU restante après répartition entre les collectivités d’outre-mer est répartie au prorata de leur population municipale.

3.2. La quote-part de la dotation de fonctionnement minimale est répartie de la façon suivante pour les départements et collectivités d’outre-me

Pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) : il est appliqué au montant de DFM le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité d’outre-mer et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements.

Pour les départements d’outre-mer (dont Mayotte) : la quote-part de DFM restante après répartition entre les collectivités d’outre-mer est répartie entre les départements d’outre-mer reconnus éligibles à la DFM (selon les mêmes règles d’éligibilité que les départements ruraux de métropole) en fonction de leur longueur de voirie, de leur population DGF et de leur potentiel financier.

3.3. Garantie de non baisse des quotes-parts individuelles de DFM et de DPU des collectivités et départements d’outre-mer

Il est à noter que l’article 175 de la loi de finances pour 2009 a introduit une garantie de non-baisse individuelle des quotes-parts de DFM et de DPU versées à chaque département ou collectivité d’outre-mer. Les sommes nécessaires à l’application de cette disposition sont prélevées directement sur le solde disponible, selon les cas, pour la DFM ou pour la DPU des départements de métropole.

Ce dispositif a été actionné cette année. En effet, l’ensemble des départements et collectivités d’outre-mer, à l’exception de Mayotte, bénéficient d’une garantie de non baisse de leur quote-part de DFM. À ce titre, le solde disponible à la DFM des départements de métropole est diminué de 3 151 436 €.

Le département de la Martinique et de la collectivité de Saint-Martin bénéficient d’une garantie de non baisse de leur quote-part de DPU pour un total de 93 540 €.

* * *

Les montants de la DGF des départements sont mis en ligne sur le site Internet de la DGCL (www.collectivites-locales.gouv.fr) depuis le 31 mars 2016. Toutefois, seule la notification assurée par vos soins fait foi.

Dès réception de cette note d’information, vous voudrez bien procéder à la notification de la DGF en informant le conseil départemental des dispositions concernant les modalités et les délais de recours, rappelés dans la fiche de notification.



Vos arrêtés de versement viseront les comptes suivants dans les écritures comptables du directeur départemental (ou régional) des finances publiques :

LIBELLÉ COMPTE No CODE CDR

DGF - Dotation forfaitaire des départements – Année 2016

465.1200000

COL0906000

DGF - Dotation de compensation des départements – Année 2016 COL0902000

DGF - Dotation de péréquation urbaine des départements – Année 2016 COL0911000

DGF - Dotation de fonctionnement minimale des départements – Année 2016 COL0904000

En outre, afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les dotations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « interfacé ».

Le versement de l’ensemble de la DGF des départements s’effectuera par douzièmes mensuels, conformément à la circulaire NOR : MCTB0600079C du 21 novembre 2006.

L’inscription des différentes dotations composant la DGF des départements est à effectuer dans le budget du département aux comptes suivants :

7411 Dotation forfaitaire

74121 Dotation de fonctionnement minimale

74122 Dotation de péréquation urbaine

74123 Dotation de compensation

Toutefois, depuis le 1er janvier 2014, le département de la Guyane et le département de la Martinique peuvent choisir d’appliquer le nouveau référentiel M.57. Dans l’hypothèse d’une mise en œuvre de ce référentiel, il convient d’inscrire les différentes composantes de la DGF aux comptes suivants :

74121 Dotation forfaitaire

741221 Dotation de fonctionnement minimale

741222 Dotation de péréquation urbaine

741223 Dotation de compensation

Vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une éventuelle rectification de la DGF des départements viseront le compte no 465.120000 « DGF – Opérations de régularisation » en précisant le code CDR « COL1001000 » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. Toutes les opérations de régularisation y compris celles concernant des dotations relevant de l’interface au titre des années antérieures seront traitées hors interface. Afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les opérations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « non interfacé ».

Toute difficulté dans l’application de la présente note d’information devra être signalée à :Direction générale des collectivités locales

Sous-direction des finances locales et de l’action économique Bureau des concours financiers de l’État

Chloé VERHILLE Tél. : 01.40.07.26.79 Fax : 01.40.07.68.30

[email protected] vous remercie de votre collaboration.






A N N E X E S

ANNEXE I. – MASSES DE LA DGF DES DÉPARTEMENTS POUR 2016Les choix opérés par le comité des finances locales du 23 février 2016Masses de la DGF des départements pour 2016

ANNEXE II. – FICHES DE CALCUL1. La population DGF départementale 2016 (art. L. 3334-2 du CGCT)2. Potentiel financier de référence du département

Potentiel fiscal 2016Potentiel financier par habitant 2016Potentiel financier superficiaire 2016

3. La dotation de compensation

4. La dotation forfaitaire

5. La dotation de péréquation urbaine

6. La dotation de fonctionnement minimale



A N N E X E I

MASSES DE LA DGF DES DÉPARTEMENTS POUR 2016

Les choix opérés par le comité des finances locales du 23 février 2016

La DGF des départements mise en répartition en 2016 atteint 9 694 286 953 €.

Masses de la DGF des départements et collectivités d’outre-mer pour 2016

MASSES À RÉPARTIR TAuX DE PROGRESSION 2015-2016

DGF des départements répartie pour l’outre-mer

Dotation de compensation

Dotation forfaitaire notifiée

726 294 461 €442 671 512 €

176 654 173 €

– 2,96 %

– 0,2 %

– 11,92 %

Quote-part de la dotation de péréquation urbaine (avant garanties)

Garanties de non baisse DPU outre-mer

Quote-part finale de la dotation de péréquation urbaine

45 406 397 €

93 540 €

45 499 937 €

+ 0,68 %

+ 9,97 %

+ 0,70 %

Quote-part de la dotation de fonctionnement minimale (avant garanties)

Garanties de non baisse DFM outre-mer

Quote-part finale de la dotation de fonctionnement minimale

58 317 403 €

3 151 436 €

61 468 839 €

+ 1,18 %

+ 112,16 %

+ 3,96 %

Les crédits réservés aux quotes-parts départements et collectivités d’outre-mer et aux garanties de non baisse pour les dotations de péréquation urbaine et de fonctionnement minimale se répartissent de la manière suivante :

Dotation de péréquation urbaine 45 499 937 €Départements d’outre-mer 44 589 053 €Saint-Pierre-et-Miquelon 129 657 €Saint-Martin 781 227 €

Dotation de fonctionnement minimale 61 468 839 €Départements d’outre-mer 60 252 536 €Saint-Pierre-et-Miquelon 172 413 €Saint-Martin 1 043 890 €



A N N E X E I I

FICHES DE CALCUL

1. La population DGF départementale 2016 (art. L. 3334-2 du CGCT)La population départementale prise en compte pour la répartition des dotations de l’État est la population

municipale publiée par l’INSEE majorée d’un habitant par résidence secondaire.La population DGF 2016 des départements est calculée de la manière suivante :

Pop DGF 2016 départementale = Pop municipale 2016 départementale + ∑ dept des RS communales

Avec :∑ dépt RS communales = total des résidences secondaires de l’ensemble des communes du département.

2. Potentiel financier de référence du département d’outre-merLe potentiel financier (art. L. 3334-6 du CGCT) correspond au potentiel fiscal majoré de la dotation forfaitaire

(hors part correspondant à l’ancienne part salaires) et de la dotation de compensation notifiée l’année précédente.L’article 138 de la loi de finances pour 2012 a adapté les modalités de calcul du potentiel fiscal des départements à

leurs nouvelles ressources fiscales issues de la suppression de la taxe professionnelle.L’article 151 de la loi de finances pour 2016, prévoit une indexation du montant correspondant à l’ancienne

compensation « part salaires » (CPS), intégrée depuis 2004 dans la dotation forfaitaire. À compter de 2016, le montant correspondant à l’ancienne CPS est indexé selon le taux d’évolution de la dotation forfaitaire du département l’année précédant la répartition.

Le potentiel fiscal correspond à la somme des éléments suivants : – les montants correspondant aux bases brutes de foncier bâti multipliées par le taux moyen national de foncier bâti ;

– les montants correspondant aux IFER ; – les montants correspondant au produit de la CVAE perçu par le département ; – le reliquat d’État de la TSCA transféré aux départements à la suite de la suppression de la taxe professionnelle ; – les montants correspondant à l’ancienne compensation « part salaires », intégrée depuis 2004 dans la dotation forfaitaire, indexés en fonction du taux d’évolution de la dotation forfaitaire des départements notifiée l’année précédant la répartition ;

– depuis 2005, la moyenne des produits des droits de mutation à titre onéreux sur 5 ans (soit 2011-2015 pour le potentiel fiscal 2016). Ces droits correspondent aux droits d’enregistrement et à la taxe départementale de publi-cité foncière visés aux paragraphes 1 et 2 de l’article 1594 A du code général des impôts et sont, par conséquent, différents de ceux inscrits dans le compte administratif de chaque département.

– la somme des montants positifs ou négatifs résultant de l’application des 1.2 et 2.2 de l’article 78 de la loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 pour 2010 perçus ou supportés l’année précédente (prélèvement ou reverse-ment au titre de la GIR et dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle [DCRTP]).

Le potentiel financier correspond au potentiel fiscal majoré des éléments suivants : – le montant de la dotation de compensation notifiée en 2015 ; – le montant de la dotation forfaitaire notifiée en 2015 (hors part correspondant à l’ancienne compensation « part salaires » après indexation et nette de la contribution du département au redressement des finances publiques 2015) ;

– le montant de la dotation de compensation métropolitaine, pour la métropole de Lyon et le département du Rhône (prise en compte d’un montant négatif pour la métropole de Lyon et positif pour le département du Rhône).



Potentiel fiscal des départements 2016

× 15,44 % = Bases brutes d’imposition à la taxe foncière sur les propriétés bâties de 2015

Taux moyen national 2015 +

=

Produit des IFER départementaux +

=

Produit de la CVAE perçue par le département +

=

Reliquat part État de la TSCA +

=

Moyenne sur 5 ans du produit perçu au titre des droits de mutation à titre onéreux (2011 à 2015)

+

× (DFnotifiée 2015- DFnotifiée 2014)DFnotifiée 2014

=

Part de la dotation forfaitaire 2015 correspondant à l’ancienne « part salaires », indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire notifiée en 2015

+

=

Produit perçu au titre de la DCRTP +

=

Produit perçu au titre de la GIR −

=

Reversement versé au profit de la GIR

Potentiel fiscal 2016 du département=



Potentiel financier 2016

=

Potentiel fiscal 2016 du département +

=

Dotation de compensation notifiée 2015 +

=

Dotation forfaitaire notifiée 2014 (hors part correspondant à l’ancienne « part salaires » indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire 2015, et nette de la contribution au redressement des finances publiques 2014)

=

Potentiel financier 2016 du département =

Potentiel financier par habitant 2016

/ =Potentiel financier 2016 Population DGF

2016Potentiel financier par

habitant 2016


/ =Potentiel financier 2016 Superficie

du département en mètres carrés


3. La dotation de compensation (art. L. 3334-7-1 du CGCT)Depuis la loi de finances pour 2012, la dotation de compensation des départements en année n est égale à celle

perçue en année n − 1, hors mesures de recentralisation sanitaire.Par ailleurs, la dotation de compensation pour 2016 de la Martinique a été minorée au titre des mesures de

recentralisation sanitaire adoptées en 2015 dans ce département (pour un montant de 908 128 €).

Dotation de compensation des départements 2016

=

Dotation de compensation notifiée 2015

–

Mesure de recentralisation sanitaire intervenue en 2015

=

Dotation de compensation 2016 notifiée

4. La dotation forfaitaire (art. L. 3334-3 du CGCT)La loi de finances pour 2015 fixe un montant de 74,02 euros par habitant en plus ou en moins par rapport à l’année

précédente. Ce montant vient abonder ou minorer le montant de dotation forfaitaire notifiée l’année précédente.

( )– × 74,0217873498599 € =

Population DGF 2016 Population DGF 2015 Part dynamique de la population 2016



Cette part dynamique de la population vient abonder ou minorer (selon que la différence entre la population DGF 2016 et 2015 soit positive ou négative) le montant de dotation forfaitaire notifié en 2015.

Il convient de noter que ce montant de dotation forfaitaire correspond au montant de dotation forfaitaire notifié au département, après minoration de la contribution au redressement des finances publiques 2015.

=


+

=

Part dynamique de la population 2016 (montant positif ou négatif)

Dotation forfaitaire 2016 spontanée (avant écrêtement et contribution au redressement des finances publiques)–

Écrêtement (de la dotation forfaitaire spontanée 2016, avant minoration de la contribution au redressement des finances publiques 2016) –

=

Contribution au redressement des finances publiques 2016 =


En 2016, comme en 2015, un écrêtement permet de financer l’accroissement de la population (27,2 M€) et l’augmentation de la masse mise en répartition au titre de la péréquation (10 M€ en 2016, outre les 10 M€ de péréquation supplémentaire financés par les variables d’ajustements).

Depuis 2015, cet écrêtement intervient sur la dotation forfaitaire spontanée 2016, c’est-à-dire le montant obtenu à partir de l’application de la part dynamique de la population sur le montant de dotation forfaitaire notifié en 2015.

Le montant total de cet écrêtement représente 37,2 M€ en 2016. Il ne concerne que les départements dont le potentiel financier par habitant est supérieur ou égal à 95 % de la moyenne nationale et est plafonné à 5 % du montant de dotation forfaitaire notifié en 2015.

Les COM ne disposant pas de potentiel financier ne sont pas concernées par cet écrêtement.

En 2016, le calcul de la dotation forfaitaire avant minoration par la contribution au redressement des finances publiques se fera comme suit :

Pour les départements ayant un Pfi/hab 2016 inférieur à 0,95 fois le Pfi/hab moyen 2016 de l’ensemble des départements :

Si Pfi/hab dept A 2016 < 0,95 * Pfi/hab moyen 2016Alors

DF non minorée par CRFP 2016 = DF spontanée 2016

Pour les départements ayant un Pfi/hab supérieur ou égal à 0,95 fois le Pfi/hab moyen de l’ensemble des départements :

Si Pfi/hab dept A 2016 ≥ 0,95 * Pfi/hab moyen 2016Alors

DF non minorée par CRFP 2016 = DF spontanée 2016 – Écrêtement de la DF spontanée 2016

À noter :Pfi/hab moyen 2016 = 632,054828 €

Le calcul de l’écrêtement de la dotation forfaitaire spontanée :

Écrêtement DF spontanée = (Pfi/hab dept A 2016 / Pfi/hab moyen 2016) * pop DGF 2016 dept A * VP

Avec :VP = valeur de point 2016 = 0,946345079388068



L’écrêtement du complément de garantie ne peut être supérieur à 5 % de la dotation forfaitaire notifiée l’année précédente.

Si l’écrêtement de la dotation forfaitaire spontanée 2016 est supérieur à 5 % de la dotation forfaitaire notifiée au titre de l’année précédente, alors celui-ci est plafonné à 5 % de la dotation forfaitaire notifiée au titre de l’année précédente :

Si :Écrêtement de la DF spontanée 2016 dept A > 5% * DF notifiée 2015 dept A,

Alors,Écrêtement de la DF spontanée 2016 dept A = 5% * DF notifiée 2015 dept A

Le calcul de la contribution des départements au redressement des finances publiquesLa loi de finances pour 2016 prévoit, à l’article 151, une contribution des collectivités territoriales au redressement

des finances publiques en 2016, répartie entre les différentes catégories de collectivités. Cette contribution vient minorer la DGF des départements à l’exception du département de Mayotte (et hors COM) à hauteur de 1 148 millions d’euros prélevés en fonction d’un indice synthétique prenant en compte le revenu et le taux de la taxe foncière sur les propriétés bâties.

Pour 2016, le département de Paris ne percevant plus de dotation forfaitaire, le montant de sa contribution au redressement des finances publiques (82 048 904 €) est intégralement prélevé sur la dotation forfaitaire de la commune de Paris.

De ce fait, la minoration pesant sur la DGF des départements s’élève donc à 1 065 951 096 €.

1. Calcul de l’indice synthétique

Cet indice synthétique est constitué :

a) Du rapport entre le revenu par habitant du département et le revenu moyen par habitant de l’ensemble des départements. La population prise en compte est celle issue du dernier recensement ;

b) Du rapport entre le taux moyen national d’imposition de taxe foncière sur les propriétés bâties pour l’ensemble des départements et le taux de cette taxe du département. Les taux retenus sont ceux de l’année précédant l’année de répartition.

IS = ( Revenu/pop INSEE dept A 2016× 0,7 ) + ( TMN FB 2015

× 0,3 )REVENU/POP INSEE 2016 tx FB dept A 2015

Avec : – REVENU/POP INSEE 2016 : le revenu moyen par habitant de l’ensemble des départements = 14 452,76 € ; – TMN FB 2015 : le taux moyen national d’imposition de taxe foncière sur les propriétés bâties pour l’ensemble des départements = 15,44%.

2. Calcul des contributions individuelles

Pour chaque département, la minoration est égale à :

Contribution = IS × Pop DGF 2016 × VP

Avec VP = Valeur de Point = 16,4778912771861Le département de Mayotte et les COM sont exemptés de toute contribution.Le montant de la contribution vient minorer la dotation forfaitaire.

5. La dotation de péréquation urbaineLa quote-part de la dotation de péréquation urbaine, réservée aux départements d’outre-mer, à Saint-Pierre-

et-Miquelon et à Saint-Martin, est déterminée par application au montant total de la DPU à répartir, du double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale des départements et collectivités d’outre-mer et cette même population majorée de la population municipale des départements de métropole.

En 2016, ce ratio de population est égal à 7,0900617 %.Par application de ce ratio, 45 406 397 € ont été spontanément répartis (hors garanties de non baisse) au titre de la

quote-part outre-mer de la dotation de péréquation urbaine en 2016. Cette répartition a été calculée de la manière suivante :



Pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) :

Il est appliqué au montant total de DPU (640 423 150 € en 2016) le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements, c’est-à-dire :

DPU COM A = Masse DPU 2016 × 2 × [(population COM A /population DOM+COM éligibles +Métropole) × (1+ 10 %)]

Pour les départements d’outre-mer :

La quote-part outre-mer de DPU restante après répartition entre les collectivités d’outre-mer est répartie entre les départements d’outre-mer (dont Mayotte) au prorata de leur population municipale.

DPU DOM A = QP DOM × [population DOM A / population totale des DOM]

Garantie de non baisse des quotes-parts individuelles de DPU :

La loi de finances pour 2009 a introduit une règle de garantie de non baisse des quotes-parts individuelles de DPU des départements et collectivités d’outre-mer. À ce titre :

SiQP DPU 2016 spontanée < QP DPU 2015

Alors :QP DPU 2016 répartie = QP DPU 2015

En 2016, ce dispositif est appliqué au département de la Martinique et à la collectivité de Saint-Martin.

À noter : les montants nécessaires à l’application de cette garantie sont prélevés sur la masse de DFM à répartir pour les départements de métropole.

6. La dotation de fonctionnement minimale (art. L. 3334-7 du CGCT)

La quote-part de la dotation de fonctionnement minimale réservée aux départements d’outre-mer, à Saint-Pierre et Miquelon et à Saint-Martin est également déterminée par application au montant total de la DFM du double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale des départements et collectivités d’outre-mer et cette même population majorée de la population municipale des départements de métropole.

Par application de ce ratio, 58 317 403 € ont été spontanément répartis (hors garanties de non baisse) au titre de la quote-part outre-mer de la dotation de fonctionnement minimale en 2016. Cette répartition a été calculée de la manière suivante :

Pour les collectivités d’outre-mer (Saint-Pierre-et-Miquelon et Saint-Martin) :

Il est appliqué au montant total de DFM (822 523 202 € en 2016) le double du rapport, majoré de 10 %, entre la population municipale de chaque collectivité et la population municipale de l’ensemble des départements et collectivités de métropole et d’outre-mer éligibles à la DGF des départements, c’est-à-dire :

QPCOM = Masse DFM 2016 × 2 × [(population COM / population DOM+COM éligibles +Métropole) × (1 + 10 %)]

Pour les départements d’outre-mer (dont Mayotte) :

Pour bénéficier de la DFM, les départements d’outre-mer doivent être reconnus éligibles à cette dotation, selon les mêmes règles d’éligibilité qu’en métropole, à savoir disposer d’un potentiel financier par habitant inférieur au double du potentiel financier par habitant moyen des départements « non urbains ».

Ensuite, la quote-part de DFM restante après prélèvement des quotes-parts des COM est répartie entre ces départements en fonction de leur population DGF, de leur longueur de voirie, et de leur potentiel financier de la manière suivante (art. R. 3443-2-1 du CGCT) :

Pour 80 % en fonction de leur population DGF avec :

Fraction population = POP DGF 2016 × VP1

Avec :

– POP DGF 2016 = population DGF 2016 du département d’outre-mer ;

– VP1 = valeur de point en 2016 soit 21,64338461521 €.



Pour 10 % en fonction de la longueur de voirie classée dans le domaine public départemental, celle située en zone de montagne étant affectée d’un coefficient multiplicateur de 1,3 :

Fraction voirie = (LVHM + (1,3 × LVM)) × VP2

Avec : – LVHM = longueur de la voirie hors montagne départementale ; – LVM = longueur de voirie de montagne départementale ; – VP2 = valeur de point en 2016, soit 2,07420330965 €.

Pour 10 % en fonction de l’inverse de leur potentiel financier :

Fraction inverse PFi = Inverse PFi × VP3

Avec : – Inverse PFI = 1 000 000/Potentiel financier 2016 du département ; – VP3 = valeur de point en 2016, soit 121 309 542,992677 €.

Garantie de non baisse des quotes-parts individuelles de DFM :Comme pour la DPU, la loi de finances pour 2009 a introduit une règle de garantie de non baisse des quotes-parts

individuelles de DFM des départements et collectivités d’outre-mer. À ce titre :

SiQP DFM 2016 spontanée < QP DFM 2015

Alors :QP DFM 2016 répartie = QP DFM 2015

En 2016, ce dispositif est appliqué à l’ensemble des départements et collectivités d’outre-mer. Seul le département de Mayotte n’en bénéficie pas en 2016, car son montant est en hausse.

À noter : les montants nécessaires à l’application de cette garantie sont prélevés sur la masse de DFM à répartir pour les départements de métropole.





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Note d’information du 10 mai 2016 relative au fonds de péréquation des ressources perçues par les régions et la collectivité territoriale de Corse en 2016

NOR : INTB1610931N

Référence : article L. 4332-9 du code général des collectivités territoriales.

La présente note a pour objet de préciser les modalités de répartition du fonds de péréquation des ressources perçues par les régions et la collectivité territoriale de Corse en 2016. La fiche de notification de l’attribution individuelle de votre région vous est adressée par la messagerie Colbert Départemental.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de région ; secrétariat général aux affaires régionales.

À la suite de la réforme de la fiscalité directe locale, le législateur a souhaité créer deux dispositifs de péréquation des ressources de CVAE, l’un pour les départements, l’autre pour les régions (art. 78 de la loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010). Ces deux dispositifs ont été profondément modifiés par la loi de finances pour 2013.

Ainsi, l’article 113 de la loi de finances initiale pour 2013 a créé un mécanisme de péréquation horizontale pour les régions, permettant la redistribution d’une fraction des ressources fiscales entre ces collectivités. Ce mécanisme est appelé fonds de péréquation des ressources perçues par les régions et la collectivité territoriale de Corse (art. L. 4332-9 du CGCT).

L’objectif du fonds est de faire converger les taux de croissance régionaux des ressources perçues par les régions et issues de la suppression de la taxe professionnelle (CVAE, IFER, DCRTP, FNGIR) vers la moyenne nationale.

Par ailleurs, afin de tenir compte du nouveau périmètre régional issu de la loi no 2015-29 du 16 janvier 2015 relative à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral, la loi de finances pour 2016 prévoit que les produits post TP (pour l’année 2011 et l’année 2015) correspondent pour la nouvelle région à la somme des ressources formant les produits post TP (pour l’année 2011 et l’année 2015) des régions qui fusionnent.

I. – LES RESSOURCES PRISES EN COMPTE POUR LE CALCUL DU FONDS

Il s’agit des ressources suivantes : – la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), perçue par les régions et la collectivité territoriale de Corse en application de l’article 1599 bis du code général des impôts ;

– l’imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau (IFER) relative au matériel roulant utilisé sur le réseau ferré national pour des opérations de transport de voyageurs, perçue par les régions et la collectivité territoriale de Corse en application de l’article 1599 quater A du même code ;

– l’imposition forfaitaire sur les entreprises de réseau relative aux répartiteurs principaux de la boucle locale cuivre et aux équipements de commutation, perçue par les régions et la collectivité territoriale de Corse en application de l’article 1599 quater B dudit code ;

– le prélèvement ou le reversement au titre du Fonds national de garantie individuelle des ressources régionales (FNGIR), tel que défini au 2.3 de l’article 78 de la loi de finances no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 ;

– la dotation de compensation de la réforme de la taxe professionnelle (DCRTP), telle que définie au 1.3 du même article 78.



Ces ressources constituent les « produits post TP » des régions. Ainsi :

Produits post TP2015 = produit de CVAE2015

+ produit de l’IFER matériel roulant2015

+ produit de l’IFER répartiteurs principaux2015

+ DCRTP2015

+ reversement FNGIR2015

– prélèvement FNGIR2015

II. – LES MODALITÉS DE CALCULS INTERMÉDIAIRES

1. Calcul du taux de croissance cumulée des produits post TP par rapport à 2011 pour l’ensemble des régions

Chaque année, il est calculé le rapport entre les ressources totales définies au I et perçues par l’ensemble des régions et la collectivité territoriale de Corse l’année précédant la répartition et ces mêmes ressources perçues en 2011 par l’ensemble des régions et la collectivité territoriale de Corse. Soit le taux de croissance cumulée des produits post TP en 2016 :

Taux de croissance cumulée 2016 =∑ produits post TP 2015 France entière

∑ produits post TP 2011 France entière

Le taux de croissance des produits post TP pour la France entière retenu en 2016 est de 9,71 %.

2. Calcul de l’écart à la moyenne pour chaque région

Pour chaque région et pour la collectivité territoriale de Corse, il est calculé chaque année la différence entre : – les ressources telles que définies au I et perçues l’année précédant la répartition (2015 pour la répartition 2016) ; – les ressources telles que définies au I, perçues en 2011 et multipliées par le taux de croissance cumulée calculé ci-dessus.

Soit l’écart à la moyenne pour chaque région :

Écart 2016 = Produits post TP 2015 de la région – (Produits post TP 2011 de la région × taux de croissance produits post TP France entière)

III. – LE PRÉLÈVEMENT

1. Contribution au prélèvement

Les régions d’outre-mer sont dispensées de prélèvement. Sont contributrices au fonds les régions dont l’écart défini ci-dessus est positif.

Une région est donc contributrice en 2016 si :

Produits post TP 2015 de la région – ( Produits post TP 2011 de la région × taux de croissance produits post TP France entière) > 0

En 2016, quatre régions sont contributrices au fonds.

2. Montant du prélèvement

Le prélèvement correspond à la totalité de l’excédent constaté entre le montant de produits post TP perçu en 2015 par la région et le montant de produits post TP perçu en 2011 par la région et multiplié par le taux de croissance moyen de produits post TP. Le prélèvement est calculé ainsi :

Prélèvement 2016 = Produits post TP 2015 de la région – (Produits post TP 2011 de la région × taux de croissance produits post TP France entière)



Le montant du prélèvement ne peut excéder, pour une région contributrice ou la collectivité territoriale de Corse, 50 % de la différence entre les ressources définies au I et perçues l’année précédant la répartition et ces mêmes ressources perçues en 2011.

Le montant du plafonnement en 2016 est calculé ainsi :

Si

Produits post TP 2015 de la région – (Produits post TP 2011 de la région × taux de croissance produits post TP France entière) > 0,5 * (Produits post TP 2015 de la région – Produits post TP de la région 2011)

Alors,

Prélèvement 2016 = 0,5 * (Produits post TP 2015 de la région – Produits post TP de la région 2011)

Les ressources totales du fonds s’élèvent en 2016 à 86 941 915 €.

IV. – LE REVERSEMENT

1. Les masses à répartir

Il est prélevé sur les ressources du fonds une quote-part destinée aux régions d’outre-mer.

Le montant de cette quote-part est calculé en appliquant au montant des ressources du fonds le triple du rapport entre la population des régions d’outre-mer et la population de l’ensemble des régions et de la collectivité territoriale de Corse.

L’enveloppe du fonds (M) est scindée en 2 parts : la masse à répartir en métropole (M1) et celle à répartir dans les régions d’outre-mer (M2).

a) Détermination de la quote-part outre-mer (M2)

M2 = M ×3 × Population des régions d’outre-mer

Population des régions France entière (Métropole + OM)

La quote-part destinée aux régions d’outre-mer s’élève en 2016 à 7 426 753 €.

b) Détermination de l’enveloppe revenant aux régions métropolitaines et à la collectivité territoriale de Corse (M1)

L’enveloppe revenant aux régions de métropole et à la collectivité territoriale de Corse bénéficiaires du fonds se calcule donc de la manière suivante :

Part régions métropolitaines (M1) = M – M2

Cette part revenant aux régions métropolitaines est égale à 79 515 162 € en 2016.

2. Éligibilité

c) Éligibilité des régions d’outre-mer au fonds

Les régions d’outre-mer sont bénéficiaires de droit du fonds.

d) Éligibilité des régions de métropole au fonds

Les régions de métropole et la collectivité territoriale de Corse sont éligibles au fonds si le montant mentionné au 2 du II, soit la différence entre les produits post TP 2015 de la région et les produits post TP 2011 de la région multipliés par le taux de croissance des produits post TP France entière entre 2011 et 2015, est négatif.

Une région est éligible si :

Produits post TP 2015 de la région – (Produits post TP 2011 de la région × taux de croissance produits post TP France entière) < 0

En 2016, neuf régions métropolitaines sont éligibles au fonds.



3. Calcul des attributions individuelles

a) Les régions de métropole

L’attribution revenant à chaque région éligible est calculée en fonction de la différence mentionnée ci-dessus.

Reversement 2016 = nombre de points de la région × valeur de point (VP)Avec :

Nombre de points 2016 = (Produits post TP 2011 de la région × taux de croissance produits post TP France entière) – Produits post TP 2015 de la région

Valeur de point (VP) =Part régions métropolitaines + collectivité territoriale de Corse

∑ nombre de points des régions métropolitaines éligibles

Soit VP = 0,793071497672643

Avec :

∑ nombre de points des régions métropolitaines éligibles = 100 262 286,86

b) Les régions d’outre-mer

La quote-part (M2) est répartie entre les régions d’outre-mer en fonction de la population. La population prise en compte est celle définie à l’article L. 4332-4-1, soit la population municipale INSEE de la région authentifiée au 1er janvier 2016.

Reversement 2016 OM = M2 ×Population municipale INSEE 2016 de la région

∑ des population municipales INSEE 2016 des régions OM

Avec

M2 = quote-part outre-mer = 7 426 753 €

∑ des population municipales INSEE 2016 des régions outre-mer = 1 866 891 habitants

Valeur de point (VP) outre-mer =M2

∑ des population municipales INSEE 2016 des régions OM

Soit VP = 3,97813959143839

V. – LES MODALITÉS DE NOTIFICATION

Les résultats de la répartition du fonds de péréquation des ressources perçues par les régions et la collectivité territoriale de Corse sont en ligne sur le site Internet de la DGCL (http://www.collectivites-locales.gouv.fr/).

Toutefois, seule la notification officielle par vos soins du prélèvement ou de l’attribution revenant à chaque région fait foi.

Dès réception de cette note d’information, vous voudrez bien procéder à la notification du prélèvement ou de l’attribution en informant le conseil régional des dispositions concernant les modalités et les délais de recours contentieux.

Je vous signale, en effet, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur la fiche de notification que vous trouverez pour votre région dans la messagerie Colbert Départemental.

Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire ou contributrice que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services.

Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421-2 du code précité, « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».

http://www.collectivites-locales.gouv.fr/



Il vous appartient également de prendre les arrêtés de versement ou reversement adressés au directeur départemental (ou régional) des finances publiques.

Je vous rappelle que vous pouvez éditer les lettres de notification et les arrêtés de versement ou reversement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification.

Les prélèvements sont effectués mensuellement, à compter de la date de notification, sur les douzièmes prévus à l’article L. 4331-2-1. Les versements sont effectués mensuellement à compter de la date de notification.

L’utilisation de l’application Colbert Départemental est indispensable pour la notification des montants définitifs des attributions. Il conviendra de procéder à l’envoi des montants de versement à Chorus (fonction « Envoyer à Chorus »). Cette transmission électronique devra être doublée d’un envoi papier à la direction départementale (ou régionale) des finances publiques de vos arrêtés de versement et des états financiers correspondants. Les arrêtés de prélèvement feront l’objet d’un traitement manuel par les DDFIP/DRFIP (non interfacé à Chorus).

Pour les versements, les arrêtés viseront le compte no 465-1200000 – code CDR COL6401000 « Fonds national de péréquation de la CVAE des régions et de la collectivité territoriale de Corse – année 2016 », ouvert en 2016 dans les écritures du directeur départemental (ou régional) des finances publiques. En outre, afin de permettre aux DDFIP/DRFIP de distinguer les dotations relevant de l’interface Colbert/Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « interfacé ».

Pour les prélèvements, vos arrêtés viseront le compte 4612000000 « Recouvrement et produits à verser à tiers –Impôts – Tiers bénéficiaires des impôts directs locaux » (programme 833) en précisant la mention « non interfacé ».

Je vous précise que l’inscription des deux composantes du fonds de péréquation des régions est à effectuer dans les budgets des régions aux comptes suivants (plan de comptes M71) :

73122 – Fonds de péréquation de la CVAE des régions73914 – Prélèvement au titre du fonds de péréquation de la CVAE des régions

Toute difficulté dans l’application de la présente note devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’État :


Bureau des concours financiers de l’État

Mme Sandra LAZZARINITél. : 01.49.27.36.09

[email protected]









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Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation globale de fonctionnement des régions pour l’exercice 2016

NOR : INTB1610932N

Références : articles L. 4332-4, L. 4332-5, L. 4332-7 et L. 4332-8 du code général des collectivités territoriales.

Pièce jointe : annexe : masses de la DGF des régions 2016.

La présente note d’information a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions pour l’année 2016. La fiche de notification de l’attribution individuelle de votre région vous a été adressée par la messagerie Colbert Départemental.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de région ; secrétariat général aux affaires régionales.

La loi de finances pour 2004 a mis en place une dotation globale de fonctionnement (DGF) des régions qui comprend deux composantes : une dotation forfaitaire et une dotation de péréquation. L’annexe unique présente les montants globaux de ces deux composantes.

La loi de finances pour 2012 a crée l’indicateur de ressources fiscales des régions (IRFR) assis sur le nouveau panier fiscal régional, qui a été appliqué pour la première fois en 2013.

La loi de finances pour 2016 prévoit une baisse de 451 millions d’euros de la dotation forfaitaire des régions au titre de la contribution des régions au redressement des finances publiques.

Par ailleurs, afin de tenir compte du nouveau périmètre régional issu de la loi n° 2015-29 du 16 janvier 2015 relative à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral, la loi de finances pour 2016 a gelé les attributions de péréquation des régions pour 2016 : en 2016, le montant de la dotation de péréquation de chaque région est égal à la somme des montants perçus en 2015 par les régions du regroupement desquelles est issue la région.

Les indicateurs, tels que l’IRFR ou les recettes totales, correspondent pour la nouvelle région à la somme des données des régions qui fusionnent.

I. – LE CALCUL DE L’INDICATEUR DE RESSOURCES FISCALES DES RÉGIONS

La loi de finances pour 2010 a profondément modifié les ressources fiscales des régions. Celles-ci percevaient la taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB), la taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) et la taxe professionnelle (TP). La loi de finances rectificative du 13 juillet 2000 avait déjà supprimé la part régionale de la taxe d’habitation (TH).

Depuis 2011, les régions bénéficient, en lieu et place de la taxe professionnelle, de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) et des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux (IFER), soit l’imposition relative au matériel roulant utilisé sur le réseau ferré national pour des opérations de transport de voyageurs et l’imposition relative aux répartiteurs principaux de la boucle locale cuivre et aux équipements de commutation. Le produit de ces impositions est déterminé selon un taux ou un tarif national. Les régions ne perçoivent plus la TFPB et la TFPNB.

La loi de finances pour 2012 prévoit l’intégration dans l’IRFR des nouvelles impositions professionnelles précitées, de la taxe sur les certificats d’immatriculation et de la part modulable de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques. Le prélèvement réalisé sur les ressources fiscales au titre du fonds national de garantie des ressources individuelles (FNGIR) est également pris en compte dans la détermination de l’IRFR : dans les faits, seule la région Île-de-France est concernée.



Les dispositions de la loi de finances pour 2012 simplifient le calcul de l’indicateur de richesse des régions à plusieurs égards :

– l’IRFR repose uniquement sur des produits perçus alors qu’il était nécessaire pour le calcul du potentiel fiscal d’appliquer aux bases des trois taxes locales le taux régional moyen ;

– contrairement au potentiel fiscal, l’IRFR ne prend pas en compte les différentes allocations compensatrices et les compensations liées à la suppression législative de produits fiscaux, allocations et compensations qui devaient être recalculées ;

– la prise en compte de produits fiscaux dans l’IRFR et la disparition quasi-totale du « pouvoir de taux » des régions sur leurs impositions entraînent la disparition de l’effort fiscal (EF) qui était calculé chaque année en vue de la détermination des attributions individuelles de péréquation.

En application de l’article L. 4332-5 du code général des collectivités territoriales, le calcul de l’IRFR de chaque région est donc le suivant :

IRFRn = produit de CVAEn – 1

+ produit de l’IFER matériel roulantn – 1

+ produit de l’IFER répartiteurs principauxn – 1

+ produit de la taxe sur les certificats d’immatriculationn – 2

+ produit de TICPE modulablen – 2

– prélèvement FNGIRn – 1

II. – LE CALCUL DE LA DGF DES RÉGIONS

a. – la dotation forfaitaire des réGions

1. Calcul de la dotation forfaitaire avant minorationÀ compter de 2012, la dotation forfaitaire de chaque région correspond à la dotation forfaitaire perçue l’année

précédente minorée le cas échéant selon un taux fixé par le comité des finances locales (CFL) lors de sa séance de février afin d’alimenter la dotation de péréquation. Le montant de cette minoration ne peut excéder 5 % des ressources affectées à la dotation de péréquation l’année précédente. Le CFL n’a pas souhaité augmenter la dotation de péréquation des régions. En 2016, la dotation forfaitaire spontanée de chaque région correspond à la dotation forfaitaire perçue l’année précédente.

2. Calcul de la minoration au titre de la contribution des régions au redressement des finances publiquesEn 2016, la dotation forfaitaire des régions est minorée de 451 millions d’euros, conformément à l’article L. 4332-7

du code général des collectivités territoriales (CGCT). Cette contribution est divisée en deux enveloppes : la contribution des régions de métropole et de la collectivité territoriale de Corse d’une part et la contribution des régions d’outre-mer d’autre part.

a) Détermination de la contribution des régions d’outre-mer

Conformément à l’article L. 4332-7 du code général des collectivités territoriales (CGCT), le montant total des minorations supportées par les régions d’outre-mer est déterminé en appliquant au montant total de la minoration le rapport minoré de 33 % entre la population des régions d’outre-mer et la population totale.

Contribution outre-mer = contribution totale × 0,67 ×Population régions outre-mer

Population régions France entière

Avec : – contribution totale au redressement des finances publiques pour l’année 2016 = 451 000 000 € ; – population INSEE municipale des régions outre-mer = 1 866 891 habitant ; – population INSEE municipale des régions France entière = 65 564 756 habitants ;

La contribution des régions d’outre-mer au redressement des finances publiques s’établit à 8 603 989 €.

b) Détermination de la contribution des régions métropolitaines et de la collectivité territoriale de Corse

Contribution régions métropolitaines = contribution totale – contribution régions outre-mer

La contribution des régions métropolitaines et de la collectivité territoriale de Corse au redressement des finances publiques s’établit à 442 396 011 €.



c) Calcul des contributions individuelles

Les contributions sont réparties entre les régions au prorata des recettes totales définies à l’article R. 4332-16 du CGCT. Conformément à l’article L. 4332-7, les recettes totales de la collectivité territoriale de Corse sont minorées de la dotation de continuité territoriale (186 999 159 €). Les recettes totales s’entendent de la somme des produits réels de fonctionnement et des produits réels d’investissement figurant dans le budget principal (telles que constatées au 1er janvier 2016 dans les comptes de gestion afférents à l’année 2014) :

Recettes réelles totales des régions=

Recettes réelles de fonctionnement

produits comptabilisés dans les comptes de classe 7+ atténuations de charges de classe 6 (comptes 6032, 6037, 609, 619, 629, 6419, 6459, 6479, 6489, 65869)– atténuations de produits (comptes 739 et 749)– reprises sur amortissement, provisions et dépréciations (compte 78)– produits des cessions d’immobilisations (compte 775)– différences de réalisations négatives reprises au compte de résultat (compte 776)– quotes-parts des subventions d’investissement transférées aux comptes de résultat (compte 777)– production stockée (compte 71)– travaux en régie (compte 72)– transferts de charges (compte 79)– dotation de continuité territoriale pour la collectivité territoriale de Corse

+ Recettes réelles d’investissement

dotations et fonds d’investissements (compte 102)+ subventions d’investissement (compte 13)+ participations et créances rattachées à des participations (compte 26)+ autres immobilisations financières (compte 27)+ produits des cessions d’immobilisations (compte 775)

Les recettes totales des régions issues du regroupement en application de la loi n° 2015-29 du 16 janvier 2015 relative à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral sont égales à la somme des recettes totales, des régions du regroupement desquelles elles sont issues, telles que constatées au 1er janvier 2016 dans les derniers comptes de gestion disponibles. Soit les recettes totales issues des comptes de gestion afférents à l’année 2014 pour la DGF 2016. Ainsi, si plusieurs régions font l’objet d’un regroupement en 2016, les recettes totales de la « nouvelle région » sont égales à :

Recettes totales2014 = ∑ recettes totales2014 des régions qui fusionnent

La contribution pour une région outre-mer se calcule de la façon suivante :

Contribution région outre-mer = contribution totale outre-mer ×Recettes totales de la région

∑ Recettes totales régions outre-mer

Avec ∑ recettes totales régions outre-mer = 1 495 153 139 €

La contribution pour une région métropolitaine se calcule de la façon suivante :

Contribution région métropole = contribution totale métropole ×Recettes totales de la région

∑ Recettes totales régions métropole

Avec ∑ recettes totales régions métropole = 23 234 014 354 €



3. Calcul de la dotation forfaitaire notifiée

La dotation forfaitaire se calcule de la manière suivante en 2016 :

Dotation forfaitaire notifiée 2016 = Dotation forfaitaire notifiée 2015 – Contribution au redressement des finances publiques 2016

En application de l’article L. 4332-7 du CGCT, si la contribution excède le montant perçu au titre de la dotation forfaitaire, la différence est prélevée sur les compensations mentionnées au III de l’article 37 de la loi n° 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014, ou à défaut sur les douzièmes prévus à l’article L. 4331-2-1. Une région est concernée par ce prélèvement sur fiscalité au titre de la contribution au redressement des finances publiques en 2016.

B. – la dotation de Péréquation des réGions

En 2016, le montant total de la dotation de péréquation des régions est égal à celui de 2015, soit 193 310 974 €.

Les montants des attributions au titre de la dotation de péréquation notifiées en 2015 aux régions sont reconduits en 2016 de telle sorte que :

Si la région n’est pas issue d’un regroupement et percevait en 2015 une dotation de péréquation alors :

Dotation de péréquation2016 = Dotation de péréquation2015

Si la région est issue d’un regroupement et les régions qui fusionnent percevaient en 2015 une dotation de péréquation alors :

Dotation de péréquation2016 = ∑ dotation de péréquation2015 des régions qui fusionnent

III. – LES MODALITÉS DE NOTIFICATION DE LA DGF DES RÉGIONS

Les résultats de la répartition de la dotation globale de fonctionnement des régions sont en ligne sur le site Internet de la DGCL (www.collectivites-locales.gouv.fr).

Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque région fait foi.

Dès réception de cette note d’information, vous voudrez bien procéder à la notification de la DGF en informant le conseil régional des dispositions concernant les modalités et les délais de recours contentieux.

Je vous signale, en effet, qu’en vertu des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours doivent être expressément indiqués lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur la fiche de notification de la DGF que vous trouverez pour votre région dans la messagerie Colbert Départemental.

Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer à chaque collectivité bénéficiaire que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services.

Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421-2 du code précité, « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».

Il vous appartient également de prendre les arrêtés de versement adressés au directeur départemental (ou régional) des finances publiques. La dotation forfaitaire et, pour les régions qui y sont éligibles, la dotation de péréquation feront l’objet d’arrêtés distincts.

Je vous rappelle que vous pouvez éditer les lettres de notification et les arrêtés de versement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification.

S’agissant de la dotation forfaitaire, le versement par douzièmes avec acomptes est obligatoire en vertu de l’article 28 de la loi de finances pour 2007. La dotation de péréquation des régions fait quant à elle l’objet d’un versement unique intervenant avant le 31 juillet.

Je vous indique également que l’utilisation de l’application Colbert Départemental est indispensable pour la notification des montants définitifs de DGF. Il conviendra en effet, comme vous l’avez réalisé en janvier pour la notification des acomptes de dotation forfaitaire des régions, de procéder à l’envoi des montants de DGF à Chorus (fonction « Envoyer à Chorus »). Cette transmission électronique devra être doublée d’un envoi papier à la direction départementale (ou régionale) des finances publiques de vos arrêtés de versement et des états financiers correspondants.

Pour la dotation forfaitaire, vos arrêtés viseront le compte n° 465.1200000, code CDR COL0907000 « DGF – dotation forfaitaire des régions – année 2016 », en précisant la mention « interfacé ». Pour la dotation de péréquation, vos arrêtés viseront le compte n° 465.1200000, code CDR COL0910000 « DGF – dotation de péréquation des régions – année 2016 », en précisant la mention « interfacé ».

http://www.collectivites-locales.gouv.fr



Je vous précise que l’inscription des deux composantes de la DGF des régions est à effectuer dans les budgets des régions aux comptes suivants (plan de comptes M71) :

7411 – Dotation forfaitaire 7412 – Dotation de péréquationVos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une éventuelle rectification de la DGF des régions

viseront également le compte n° 465.120000, code CDR COL1001000 « DGF – Opérations de régularisation » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. Toutes les opérations de régularisation y compris celles concernant des dotations relevant de l’interface au titre de 2016 ou d’années antérieures seront traitées hors interface. Afin de permette aux DDFIP/DRFIP de distinguer les opérations relevant de l’interface Colbert / Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « non interfacé ».

Toute difficulté dans l’application de la présente note d’information devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’État :


Bureau des concours financiers de l’État

Mme LAZZARINI SandraTél. : 01.49.27.36.09

[email protected]







A N N E X E U N I Q U E

MASSES DE LA DGF DES RÉGIONS POUR 2016

Évolution de la dotation forfaitaire des régions : – 9,58 %

Évolution de la dotation de péréquation des régions : + 0,00 %

2015 2016

DGF Totale ...........................................................................................................................

Dotation forfaitaire ............................................................................................................

Dotation de péréquation .................................................................................................

4 824 556 161

4 631 245 187

193 310 974

4 381 054 366

4 187 743 392( – 9,58 %)

193 310 974(+ 0,00 %)



MINISTÈRE DE L’INTÉRIEuR




Note d’information du 10 mai 2016 relative à la dotation forfaitaire des communes de la dotation globale de fonctionnement pour l’exercice 2016

NOR : INTB1612262N

Références : articles L. 2334-7 à L. 2334-12 du code général des collectivités territoriales.

Pièces jointes : 2 annexes.La présente note d’information a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation forfaitaire des

communes de la dotation globale de fonctionnement (DGF) pour l’année 2016.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ; Messieurs les préfets de Saint-Pierre-et-Miquelon et Wallis-et-Futuna.

Conformément à la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement et modifiant le code des communes et le code général des impôts et au décret n° 94-366 du 10 mai 1994, la DGF des communes est composée d’une dotation forfaitaire (art. L. 2334-7 à L. 2334-12 du code général des collectivités territoriales) et d’une dotation d’aménagement (art. L. 2334-13 et L. 2334-14).

La loi n° 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances pour 2015 a modifié les articles L. 2334-7 à L. 2334-12 du code général des collectivités territoriales et réformé les modalités de calcul de la dotation forfaitaire des communes à partir de l’année 2015. (I).

La loi n° 2015-292 du 16 mars 2015 relative à l’amélioration du régime de la commune nouvelle, pour des communes fortes et vivantes a modifié également les modalités de calcul de la dotation forfaitaire des communes nouvelles (art. L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales) (II).

Ainsi, les modalités de calcul définies par les lois précitées sont reconduites pour la répartition de la dotationforfaitaire pour l’année 2016. Toutefois, la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016 a apporté quelques aménagements.

I. – LA RÉPARTITION DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES EN 2016

Le III de l’article L. 2334-7 du code général des collectivités territoriales tel que modifié par la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016 précise l’architecture de la dotation forfaitaire des communes pour 2016. Cette dotation est désormais calculée à partir des éléments suivants :

– la dotation forfaitaire notifiée en 2015 (c’est-à-dire intégrant la contribution au redressement des finances publiques 2015) fait l’objet de deux retraitements ;

– la prise en compte de l’évolution de la population DGF entre 2015 et 2016 ; – le financement de la péréquation et des emplois internes de la DGF (population et intercommunalité) par un écrêtement péréqué de la dotation forfaitaire ;

– la contribution au redressement des finances publiques pour 2016, qui représente 1,87 % des recettes réelles de fonctionnement 2014 des communes.

Au terme de ce calcul, la dotation forfaitaire des communes s’élève à 8 477 799 104 euros. 168 communes ont une dotation forfaitaire notifiée de 0 € en 2016.

1. Le retraitement de la dotation forfaitaire perçue en 2015En application du III de l’article L. 2334-7 du CGCT tel que modifié par la loi n° 2015-1785 du 29 décembre 2015

de finances pour 2016, la dotation forfaitaire perçue en 2015, qui sert de base au calcul, est retraitée de deux façons : La part CPS 2014 (nette du prélèvement TASCOM) de la commune indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire notifiée à la commune entre 2014 et 2015 est versée à l’EPCI, si la commune adhère entre 2015 et 2016 à

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un EPCI à fiscalité professionnelle unique. Cette part CPS ainsi calculée vient minorer la dotation forfaitaire 2015 de la commune. Réciproquement, si la commune quitte un EPCI à FPU, la part CPS 2015 (c’est-à-dire la part CPS 2014 de la commune (nette TASCOM) indexée sur le taux d’indexation fixé par le CFL en 2015) vient majorer la dotation forfaitaire 2015 de la commune. Le prélèvement TASCOM associé à la part CPS de la commune fait aussi l’objet d’un retraitement : si la commune qui adhère un EPCI à FPU en 2016 a connu une minoration au titre du prélèvement TASCOM sur sa dotation forfaitaire 2014 retraitée, la dotation forfaitaire 2015 de la commune est majorée à hauteur de ces prélèvements. La dotation forfaitaire 2015 des communes de Paris, des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne et les communes des autres départements de la région d’Ile-de-France appartenant, au 1er janvier 2015, à un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre comprenant au moins une commune des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne a été majorée à hauteur du prélèvement opéré l’année dernière au titre de la participation au financement de la mission de préfigu-ration de la Métropole du Grand Paris.

2. La part calculée en fonction de l’évolution de la population DGF entre 2015 et 2016

Il est appliqué à la dotation forfaitaire ainsi retraitée une part calculée en fonction de l’évolution de la population DGF entre 2015 et 2016 et d’un montant compris entre 64,46 € et 128,93 €, calculé en fonction croissante de la population de la commune. Selon l’évolution de la population DGF entre 2015 et 2016, cette part vient majorer ou minorer la dotation forfaitaire.

3. L’écrêtement péréqué afin de financer la progression de la péréquation et des emplois internes de la DGF

La dotation forfaitaire des communes dont le potentiel fiscal par habitant est supérieur ou égal à 0,75 fois le potentiel fiscal par habitant constaté pour l’ensemble des communes (soit 448,09 €) est écrêtée en proportion de leur population et de l’écart relatif entre le potentiel fiscal par habitant de la commune et 0,75 fois le potentiel fiscal moyen par habitant. Le montant de l’écrêtement ne peut dépasser 3 % de la dotation forfaitaire 2015 retraitée.

4. La contribution au redressement des finances publiques pour l’année 2016

Conformément à l’article L. 2334-7-3 du CGCT, les communes contribuent en 2016 à hauteur de 1.450 millions d’euros au redressement des finances publiques. La contribution est répartie entre les communes au prorata des recettes réelles de fonctionnement de leur budget principal, minorées des atténuations de produits, des recettes exceptionnelles et du produit des mises à disposition de personnel facturées dans le cadre de mutualisation de services entre l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre et ses communes membres, telles que constatées au 1er janvier 2016 dans les comptes de gestion afférents à l’année 2014. Pour les communes des départements d’outre-mer, les recettes perçues au titre de l’octroi de mer ont été minorées des recettes réelles de fonctionnement 2014. Cette contribution s’est traduite en 2016 par un prélèvement correspondant à 1,87 % des recettes réelles de fonctionnement (RRF) de la commune opéré sur la dotation forfaitaire.

En application de l’article L. 2334-7-3 du code général des collectivités territoriales, si le montant de dotation forfaitaire ainsi calculé est inférieur au montant de la contribution à opérer, le solde est prélevé sur les compensations d’exonération mentionnées au III de l’article 37 de la loi n° 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014 et sur la fiscalité directe locale de la collectivité. Ces communes ont alors une dotation forfaitaire notifiée de 0 € pour l’année 2016.

L’annexe 2 précise et détaille les modalités de calcul pour chacune des composantes de la dotation forfaitaire au titre de l’année 2016.

L’évolution globale de la dotation forfaitaire résulte des évolutions de chacune de ses composantes. Elle s’établit en moyenne à − 21,63 %.

Il convient également de noter que les groupements touristiques et thermaux qui étaient éligibles à la dotation touristique supplémentaire continuent à bénéficier de cette dotation dont l’évolution est gelée. Le montant de cette dotation s’élève en 2016 à 20 523 781 euros.

II. – LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES NOUVELLES POUR L’ANNÉE 2016

La loi n° 2015-292 du 16 mars 2015 relative à l’amélioration du régime de la commune nouvelle, pour des communes fortes et vivantes a modifié l’article L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales et précise les modalités de calcul de la dotation forfaitaire des communes nouvelles.

317 communes nouvelles ont été créées entre le 2 janvier 2015 et le 1er janvier 2016 (inclus). Au total, 336 communes nouvelles créées entre le 1er janvier 2013 et le 1er janvier 2016 bénéficient des dispositions relatives à la dotation forfaitaire des communes nouvelles.

La dotation forfaitaire des communes nouvelles est calculée à partir des éléments suivants :



1. La part calculée en fonction de l’évolution de la population DGF entre 2015 et 2016

Cette part fonction de la population, telle que calculée pour la dotation forfaitaire des communes (I), est ajoutée à la dotation forfaitaire 2015 retraitée de la commune nouvelle. Afin de garantir le montant de dotation forfaitaire notifié en 2015, les communes nouvelles dont le montant calculé pour cette part est négatif ont une part finale ramenée à 0.

2. Une garantie de non-baisse

Le II de l’article L. 2113-20 du CGCT instaure une garantie de non-baisse pour les communes nouvelles créées avant le renouvellement général des conseils municipaux de 2014 (31/03/2014) et pour les communes nouvelles créées au plus tard le 1er janvier 2016 et regroupant soit une population INSEE inférieure ou égale à 10 000 habitants, soit toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre.

Les communes nouvelles qui bénéficient de cette garantie de non-baisse perçoivent une dotation forfaitaire, après application de la part « population », au moins égale à la somme des dotations forfaitaires perçues par chacune des anciennes communes l’année précédant la création de la commune nouvelle.

En 2016, les communes nouvelles créées avant le renouvellement général des conseils municipaux de 2014 et les communes nouvelles créées au plus tard au 1er janvier 2015 perçoivent une attribution au titre de la dotation forfaitaire au moins égale à celle notifiée en 2014.

Les communes nouvelles créées entre le 2 janvier 2015 et le 1er janvier 2016 (inclus) perçoivent une attribution au titre de la dotation forfaitaire au moins égale à celle notifiée en 2015.

En 2016, 10 communes nouvelles ont bénéficié de cette disposition pour un montant total de 895 769 euros (contre 4 communes nouvelles en 2015 pour un montant total de 122 062 euros).

3. La majoration

En application du II bis de l’article L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales, la dotation forfaitaire, calculée après application de la part « population » et de la garantie, est majorée de 5 % pour les communes créées au plus tard le 1er janvier 2016 et regroupant une population INSEE comprise entre 1 000 et 10 000 habitants. En 2016, 239 communes nouvelles ont bénéficié de cette majoration pour un montant total de 5 568 082 euros (contre 20 communes nouvelles en 2015 pour un montant total de 516 106 euros).

4. La dotation de consolidation et la dotation de compensation pour les communes nouvelles regroupant l’ensemble des communes membres d’un EPCI

Conformément au IV de l’article L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales, les communes nouvelles regroupant l’ensemble des communes appartenant à un EPCI à fiscalité propre perçoivent une dotation de consolidation, égale au montant de la dotation d’intercommunalité perçue par l’EPCI dont elles sont issues l’année précédant la fusion. En 2016, 21 communes bénéficient d’une dotation de consolidation pour un montant total de 11 651 327 euros (contre 2 communes nouvelles pour un montant total de 276 688 euros en 2015).

Conformément au III de l’article L.2113-20 du code général des collectivités territoriales, les communes nouvelles regroupant l’ensemble des communes appartenant à un EPCI à fiscalité propre perçoivent une « part compensation », égale au montant de la dotation de compensation perçue par l’EPCI dont elles sont issues l’année précédant la fusion (calculée sur le périmètre des communes formant la commune nouvelle). En 2016, 21 communes bénéficient d’une dotation de compensation pour un montant total de 12 591 408 euros.

5. Les exonérations

Comme énoncé à l’article L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales, ne sont pas concernées par l’écrêtement et la contribution au redressement des finances publiques les communes nouvelles créées avant le renouvellement général des conseils municipaux de 2014 (31/03/2014) et les communes nouvelles créées au plus tard le 1er janvier 2016 et regroupant soit une population INSEE inférieure ou égale à 10 000 habitants, soit toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre.

Ces dispositions, s’appliquant pour les trois premières années suivant la création, garantissent aux communes nouvelles une dotation forfaitaire 2016 au moins égale à la somme des dotations forfaitaires perçues par les communes créant la commune nouvelle l’année précédant la création (soit 2014 pour les communes nouvelles constituées au plus tard au 1er janvier 2015 ou créées avant le renouvellement des conseils municipaux de 2014 ; soit 2015 pour les communes nouvelles créées entre le 2 janvier 2015 et le 1er janvier 2016 inclus).



III. – LES MODALITÉS DE NOTIFICATION DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES POUR 2016

Les résultats de la répartition de la dotation forfaitaire des communes sont en ligne sur le site internet de la DGCL (http://www.dotations-dgcl.interieur.gouv.fr).

Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque commune fait foi juridiquement.

Pour les communes de métropole et des départements d’outre-mer (dont Mayotte), les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation forfaitaire des communes vous ont été transmises par la messagerie Colbert Départemental et non sur support papier.

Je vous invite, dès réception de ce courrier, à télécharger les fiches de notification de la dotation forfaitaire des communes, qui prennent la forme de fichiers “PDF” à faire imprimer par vos services. Il vous appartient de transmettre ces fiches, le plus rapidement possible, aux collectivités concernées, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement.

De même, vous pouvez éditer les lettres de notification et les arrêtés de versement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification.

Concernant les communes de Polynésie française, de Nouvelle-Calédonie, de Saint-Pierre-et-Miquelon et les circonscriptions de Wallis et Futuna, mes services vous ont adressé par messagerie les fiches de notification de la dotation forfaitaire. Il vous appartient de transmettre ces fiches, le plus rapidement possible, aux collectivités concernées, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement.

Je vous rappelle que, pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification annexée à la présente circulaire.

Néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, vous voudrez bien indiquer dans la lettre type de notification que vous adresserez aux collectivités bénéficiaires que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services. Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421-2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».

Toute difficulté dans l’application des présentes instructions devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’Etat :

Mme Sandra LAZZARINITél : 01.49.27.36.09

[email protected]

Je vous remercie de votre collaboration. Fait le 10 mai 2016.




NOTE D’INFORMATION RELATIVE À LA RÉPARTITION DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES POUR 2016

Liste des annexes

ANNEXE 1. – INSTRUCTIONS NÉCESSAIRES À LA NOTIFICATION ET AU VERSEMENT DE LA DOTATION FORFAITAIRE.

ANNEXE 2. – MODALITÉS DE CALCUL DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES.Annexe I : Cas général.

Annexe II : Cas des communes nouvelles.

Annexe III : Evolution de l’ancienne dotation touristique particulière et de l’ancienne dotation ville-centre.

ANNEXE 3. – MODALITÉS DE CALCUL DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES GROUPEMENTS DE COMMUNES BÉNÉFICIAIRES DE L’ANCIENNE DOTATION TOURISTIQUE SUPPLÉMENTAIRE.



A N N E X E 1

INSTRUCTIONS NÉCESSAIRES À LA NOTIFICATION ET AU VERSEMENT DE LA DOTATION FORFAITAIRE

1. Inscription dans les budgets

L’inscription des différentes dotations dans les budgets est à effectuer, pour chacune des communes concernées, au compte suivant de la nomenclature comptable M14 :

74 - DOTATIONS ET PARTICIPATIONS741 - D.G.F.

7411 - Dotation forfaitaire

2. Versement de la dotation forfaitaire en 2016

Après avoir procédé à la notification du montant de la dotation forfaitaire, vous prendrez les dispositions nécessaires pour en assurer le versement.

A cette fin, vous indiquerez par un arrêté le montant total de la dotation forfaitaire due au titre de l’exercice 2016.La dotation forfaitaire, comme les dotations perçues par les groupements à fiscalité propre, fait l’objet, conformément

aux dispositions respectivement des articles L. 2334-8 et L. 5211-31 du code général des collectivités territoriales, de versements par douzièmes mensuels.

L’utilisation de l’intranet Colbert départemental est indispensable en 2016 pour la notification des montants définitifs de DGF. Il conviendra en effet, comme vous l’avez réalisé en janvier pour la notification des acomptes de dotation forfaitaire, de procéder à l’envoi des montants de DGF à Chorus (fonction « Envoyer à Chorus »). Cette transmission électronique devra être doublée d’un envoi papier à la direction départementale (ou régionale) des finances publiques de vos arrêtés de versement et des états financiers correspondants.

Vos arrêtés de versement à l’issue de la répartition initiale de la dotation forfaitaire viseront le compte n° 465-1200000 code CDR COL0905000 « DGF – dotation forfaitaire des communes - année 2016» en précisant avec la mention « interfacée », ouvert dans les écritures du directeur départemental (ou régional) des finances publiques.

Vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle de la dotation forfaitaire viseront le compte unique n° 465-1200000 code CDR COL1001000 « DGF – opérations de régularisation », en précisant avec la mention « non interfacée » que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures.



A N N E X E 2

MODALITÉS DE CALCUL DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES

Il est tenu compte en 2016, pour le calcul des différentes parts de la dotation forfaitaire, des fusions ou défusions de communes et des modifications des limites territoriales intervenues au cours de l’année 2015. Les modifications des périmètres intercommunaux sont également prises en compte pour la détermination de la part « CPS » de la dotation forfaitaire.

I. – CAS GÉNÉRAL

Dotation forfaitaire 2015 retraitée

+/- Part dynamique de la population

- Ecrêtement au titre du financement de la péréquation

- Contribution au redressement des finances publiques 2016

= Dotation forfaitaire due à la commune au titre de 2016

1. Le retraitement de la dotation forfaitaire notifiée en 2015Seuls le prélèvement au titre de la participation au financement de la mission de préfiguration de la Métropole

du Grand Paris et la part « compensations part salaires » (CPS) associée au prélèvement TASCOM font l’objet d’un retraitement cette année.

Dotation forfaitaire notifiée en 2015 …………

+ Participation au financement de la mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris 2015

+ …………

+/ - Part CPS transférée à l’EPCI ou à la commune +/ - …………

= Dotation forfaitaire retraitée 2015 = …………

a) Financement de la mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris

Seules les communes de Paris, des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne et les communes des autres départements de la région d’Ile-de-France appartenant, au 1er janvier 2015, à un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre comprenant au moins une commune des départements des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne sont concernées par cette étape.

En 2015, les prélèvements au titre de la participation au financement de la mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris ont été répartis au prorata des montants perçus l’année précédente par les collectivités concernées au titre de la dotation forfaitaire. Ces montants figurent sur les fiches DGF 2015 des communes.

Cette année, ces montants ont été réintégrés à la dotation forfaitaire 2015 des communes concernées :

Dotation forfaitaire 2015 retraitée = Dotation forfaitaire notifiée en 2015 + participation au financement de la mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris

b) Retraitement de la part « compensations part salaires» (CPS) et du prélèvement TASCOM – Si la commune n’est pas concernée par un mouvement du périmètre intercommunal (changement d’EPCI ou de fiscalité) en 2016 :

En cas d’absence de changement de périmètre intercommunal, aucun retraitement n’a été effectué. Le montant de la part CPS de la commune est donc égal à celui identifié en 2015, ce dernier étant intégré en base dans le montant de dotation forfaitaire 2015.

Soit :

Dotation forfaitaire 2015 retraitée = Dotation forfaitaire notifiée en 2015 + participation au financement de la mission de préfiguration de la Métropole du Grand Paris

– Si la commune adhère ou appartient à un EPCI qui devient à fiscalité professionnelle unique (FPU) en 2016 : En cas d’adhésion d’une commune à un EPCI à fiscalité professionnelle unique au 1er janvier 2016, la composante

« part CPS » de la dotation forfaitaire de la commune est basculée dans la dotation de compensation de l’EPCI. L’éventuel prélèvement TASCOM correspondant au montant de la taxe perçu par l’Etat sur le territoire de la commune en 2010 est intégré dans la dotation de compensation de l’EPCI à FPU. La part DCTP reste à la commune.



En application du III de l’article L. 2334-7 du CGCT modifié par la loi de finances 2016, si une commune adhère à un EPCI à FPU, « le montant de la dotation forfaitaire perçue l’année précédente est minoré d’un montant égal aux crédits perçus en 2014 en application du I du D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 précitée et indexé sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire de chaque commune l’année précédant la répartition. Ces crédits sont versés à l’établissement, en lieu et place des communes, et le montant de la diminution à opérer en application du 1.2.4.2 de l’article 77 de la loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 est supporté par l’établissement, en lieu et place des communes, en application de l’article L. 5211-28-1 du présent code ».

Ainsi, la part CPS à prendre en compte pour le transfert à l’EPCI à FPU est la part CPS 2014 de la commune indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire notifiée à la commune entre 2014 et 2015 (soit la part CPS 2014 au périmètre 2015 indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire de la commune entre 2014 et 2015: il s’agit de la « part CPS n-1 nette » de la commune figurant sur les fiches DGF 2016).En cas d’adhésion à un EPCI à FPU, un retraitement de la part CPS a été effectué :

Part CPS nette TASCOM reversée à l’EPCI = Part CPS 2014 au périmètre 2015 nette TASCOM x taux d’évolution dotation forfaitaire 2014/2015 de la commune

ETPart CPS 2014 au périmètre 2016 = 0

ETDotation forfaitaire 2015 retraitée = Dotation forfaitaire notifiée 2015 – Part CPS nette TASCOM reversée à

l’EPCIAvec : – Taux d’évolution = Dotation forfaitaire notifiée 2015 de la commune / Dotation forfaitaire notifiée 2014 de la commune

– Part CPS 2014 au périmètre 2015 nette TASCOM = Part CPS notifiée en 2014 (nette TASCOM) si la commune n’a connu aucun changement de périmètre entre 2014 et 2015 ou la part CPS 2014 nette TASCOM intégrée dans la dotation forfaitaire 2014 retraitée si la commune a connu un changement de périmètre entre 2014 et 2015

– Part CPS nette TASCOM reversée à l’EPCI = « part CPS n-1 nette » de la commune figurant sur les fiches DGF 2016

N.B : L’indexation sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire est appliquée seulement si ce taux d’évolution est négatif.

Si en 2015 la commune a connu une minoration au titre du prélèvement TASCOM dans le cadre du retraitement de la dotation forfaitaire 2014 du fait d’un prélèvement TASCOM supérieur à la part CPS, alors ce reliquat vient majorer la dotation forfaitaire retraitée 2015 de la commune.

– Si la commune quitte un groupement à fiscalité professionnelle unique (FPU) sans adhérer à un autre groupe-ment à fiscalité professionnelle unique (FPU) :

Dans le cadre du retraitement de la part CPS, si une commune quitte un EPCI à fiscalité professionnelle unique (FPU) sans adhérer à un autre groupement à fiscalité professionnelle unique (FPU), la composante « part CPS », antérieurement perçue par l’EPCI à FPU, est reversée à la commune. L’éventuel prélèvement TASCOM correspondant au montant de la taxe perçu par l’Etat sur le territoire de la commune en 2010 est appliqué sur la « part CPS » de la commune.

Dotation forfaitaire 2015 retraitée = Dotation forfaitaire notifiée 2015 + Part CPS 2014 au périmètre 2016Avec : – Part CPS 2014 au périmètre 2016 nette TASCOM = Part CPS 2014 de la commune « reconstituée » et indexée sur le taux d’écrêtement fixé par le Comité des Finances Locales pour l’année 2015. Cette part est minorée de la dotation de compensation de l’EPCI.

Si le montant de la part CPS est inférieur au montant du prélèvement TASCOM à opérer, le solde est prélevé sur la dotation forfaitaire 2015 retraitée de la commune.

2. La dotation forfaitaire calculée au titre de l’année 2016 :

Dotation forfaitaire 2015 retraitée (telle que calculée ci-dessus) …………

+/- Part calculée en fonction de la population +/- …………

- Ecrêtement péréqué - …………

- Contribution au redressement des finances publiques 2016 - …………

= Dotation forfaitaire notifiée 2016 = …………



a) La part calculée en fonction de l’évolution de la population

Ainsi, la dotation forfaitaire 2016 prend en compte l’évolution de la population DGF des communes de telle sorte que :

Part dynamique de la population = (population DGF2016 – population DGF2015) x 64,46291197 x a

– calcul du coefficient multiplicateur a de la population de la commune

– Si population DGF 2016 =<500, le coefficient multiplicateur de la population de la commune est a = 1. – Si 500 <= population DGF 2016 <200 000, le coefficient multiplicateur de la population se calcule de la manière suivante : a = 1 + 0,38431089 x log (population DGF2016 / 500)

– Si population DGF 2016 >= 200 000, le coefficient multiplicateur de la population de la commune est a = 2.

– calcul de la part calculée en fonction de l’évolution de la population

[ Population DGF 2016 - Population DGF 2015] …………

x 64,46291197 € x 64,46291197

x a x …………

= Part « population » = …………

Cas particuliers : Pour les communes dont la dotation forfaitaire 2015 retraitée est égale à 0 € et dont le montant calculé pour cette

part est négatif, cette part finale est égale à 0 €.Pour les communes nouvelles dont le montant calculé pour cette part est négatif, cette part finale est égale à 0 €.À ce stade du calcul :


+/- Part calculée en fonction de l’évolution de la population +/- …………

= Dotation forfaitaire 2016 après part « population » = …………

b) L’écrêtement péréqué

En application des articles L. 2334-7 et L. 2334-7-1 du code général des collectivités territoriales, la dotation forfaitaire des communes est écrêtée de façon péréquée afin de financer les emplois internes de la DGF.

Les communes qui ne sont pas concernées par cet écrêtement sont : – les communes nouvelles répondant aux critères du II de l’article L. 2113-20 du CGCT ; – les communes dont le potentiel fiscal est égal à 0 ; – les communes dont la dotation forfaitaire 2015 retraitée est égale à 0 ; – les communes dont la dotation forfaitaire 2016 après application de la part dynamique de la population est égale à 0 ;

– les communes dont le potentiel fiscal par habitant est inférieur à 0,75 fois le potentiel fiscal moyen par habitant.Pour les communes dont le potentiel fiscal par habitant est supérieur ou égal à 0,75 fois le potentiel fiscal moyen

par habitant constaté pour l’ensemble des communes :

Pf/hab – 0,75 x PF/HAB

Montant de l’écrêtement = x pop DGF 2016 x VP

0,75 x PF/HAB

Avec : – Pf/hab. = potentiel fiscal de la commune en 2015 rapporté à la population DGF 2015 multipliée par un coeffi-cient logarithmique a, tel que a = 1+0,38431089 x log (pop DGF 2015 / 500). Le potentiel fiscal de la commune est indiqué sur la fiche individuelle DGF 2015.

– PF/HAB = potentiel fiscal moyen constaté au niveau national en 2015 rapporté à la population DGF 2015 totale logarithmée, soit 597,455589 €. Le seuil d’écrêtement est fixé à 448,091692 €.

– VP = valeur de point = Masse totale à prélever (152 274 955 €) = 16,3488299

∑ [ Pf/hab. - 0,75 x PF/HAB x pop DGF 2016 ] 0,75 x PF/HAB

Le montant de l’écrêtement ne peut être supérieur à 3% de la dotation forfaitaire 2015 retraitée.



Si le montant de l’écrêtement est supérieur à la dotation forfaitaire après application de la « population », alors le montant de l’écrêtement final est égal à :

Montant de l’écrêtement = Dotation forfaitaire 2016 après application de la part « population »

A ce stade du calcul :


+/- Part « population » +/- …………

- Ecrêtement péréqué + …………

= Dotation forfaitaire 2016 après écrêtement = …………

c) La contribution au redressement des finances publiques au titre de l’année 2016

La contribution au redressement des finances publiques est répartie entre les communes au prorata des recettes réelles de fonctionnement des communes telles que constatées dans les derniers comptes de gestion disponibles au 1er janvier 2016 (soit les comptes de gestion afférents à l’année 2014).

Les communes nouvelles répondant aux critères énoncés au deuxième paragraphe du I de l’article L. 2113-20 du CGCT et les communes des collectivités d’outre-mer (Mayotte compris) ne sont pas assujetties à la contribution au redressement des finances publiques.

– Calcul des recettes réelles de fonctionnement : Du fait de la minoration des recettes exceptionnelles, les recettes réelles de fonctionnement utilisées pour appliquer

la contribution au redressement des finances publiques 2016 sont ainsi calculées :

RRF 2014 pour minoration =

produits comptabilisés dans les comptes de classe 7 (somme des produits des comptes de classe 7)+

atténuations de charges de classe 6 (regroupement des comptes 609, 619, 629, 6419, 6459, 6479, 6032 en recettes et 6037 en recettes)

-

atténuations de produits (regroupement des comptes 701249, 70389, 70619, 7068129, 739, 7419, 748729 et 7489).

- mises à disposition de personnel facturées (compte 7084)- reprises sur amortissement et provisions (compte 78)- produits des cessions d’immobilisations (compte 775)- différences de réalisations négatives reprises au compte de résultat (compte 776)- quotes-parts des subventions d’investissement transférées aux comptes de résultat (compte 777)- transferts de charge (compte 79)- travaux en régie (compte 72)- variations de stock (compte 713)-

produits exceptionnels sur opérations de gestion (compte 771)-

mandats annulés ou atteints par la déchéance quadriennale (compte 773)-

subventions exceptionnelles (compte 774)-

autres produits exceptionnels (compte 778)-

produits perçus au titre de l’octroi de mer pour les communes des départements d’outre-mer



– Calcul de la contribution communale : Il convient de faire la somme totale des recettes réelles de fonctionnement (RRF) communales des communes

assujetties pour procéder à la ventilation par commune de la contribution de 1 450 millions d’euros. La somme totale des RRF des communes assujetties est de 77 335 423 921,88 euros.

[ RRF 2014 ]∑ RRF 2014

Contribution 2016 = 1 450 000 000 x

– Prélèvement sur fiscalité lié à la contribution 2016 : Si la dotation forfaitaire 2016 avant contribution est insuffisante pour opérer la minoration au titre de la contribution

au redressement des finances publiques 2016 alors :

Dotation forfaitaire 2016 notifiée= 0

Prélèvement sur fiscalité contribution 2016 = Contribution 2016 – Dotation forfaitaire 2016 avant contribution

Ces communes n’ont pas de dotation forfaitaire pour l’année 2016.



II. – DOTATION FORFAITAIRE DES COMMUNES NOUVELLES

La loi n° 2015-292 du 16 mars 2015 relative à l’amélioration du régime de la commune nouvelle, pour des communes fortes et vivantes a modifié l’article L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales et précise les modalités de calcul de la dotation forfaitaire des communes nouvelles :

Dotation forfaitaire 2015 retraitée …………

+ Part calculée en fonction de l’évolution de la population + …………

+ Garantie de non baisse + …………

+ Majoration de 5% x 1,05

+ Dotation de consolidation + …………

+ Dotation de compensation + …………

= Dotation forfaitaire notifiée en 2016 = …………

1. Le retraitement de la dotation forfaitaire 2015En application du II de l’article L. 2113-20 du code général des collectivités territoriales, la dotation forfaitaire de

la commune nouvelle est égale à la somme des dotations forfaitaires 2015 retraitées selon le point I.1. des communes formant la commune nouvelle.

Dotation forfaitaire 2015 retraitée commune A ……..

+ Dotation forfaitaire 2015 retraitée commune B + ……..

= Dotation forfaitaire 2015 retraitée commune C = ……..

2. La part calculée en fonction de l’évolution de la populationConformément au II de l’article L. 2113-20 du CGCT, il est appliqué à la dotation forfaitaire 2015 retraitée des

communes nouvelles une part « population » liée à l’évolution de la population. Cette part dynamique de la population est calculée selon les modalités expliquées au point I.2.a. Les communes nouvelles dont cette part spontanée est négative ont une part « population » finale ramenée à 0 €.


+ Part calculée en fonction de l’évolution de la population + …………

= Dotation forfaitaire 2016 après « population » = …………

3. La garantie de non-baisse Sont bénéficiaires d’une garantie de non-baisse les communes nouvelles :

– créées avant le renouvellement général des conseils municipaux de 2014 (31/03/2014) ; – créées au plus tard le 1er janvier 2016 et regroupant soit :

– une population INSEE inférieure ou égale à 10 000 habitants ; – toutes les communes membres d’un EPCI à fiscalité propre ;

– Pour les communes nouvelles créées avant le renouvellement général des conseils municipaux de 2014 et les com-munes nouvelles créées au plus tard le 1er janvier 2015.

Si le montant de la dotation forfaitaire 2016, après application de la part « population », est inférieur à la somme des montants de dotation forfaitaire perçue en 2014 par les communes créant la commune nouvelles alors :

∑ dotations forfaitaires perçues en 2014 …………

- Dotation forfaitaire après application part « population » - …………

= Garantie de non baisse = …………

– Pour les communes nouvelles entrées en vigueur au 1er janvier 2016 :Si le montant de la dotation forfaitaire 2016, après application de la part « population », est inférieur à la somme

des montants de dotation forfaitaire perçue en 2015 par les communes créant la commune nouvelle alors :

∑ dotations forfaitaires perçues en 2015 …………

- Dotation forfaitaire après application part « population » - …………

= Garantie de non baisse = …………



Alors, pour toutes les communes nouvelles :

Dotation forfaitaire 2015 retraitée …………

+ Part « population » + …………

+ Garantie de non baisse + …………

= Dotation forfaitaire 2016 après garantie = …………

4. La majorationSont bénéficiaires de la majoration les communes nouvelles : – créées au plus tard le 1er janvier 2016 et – regroupant une population INSEE comprise entre 1000 et 10 000 habitants.

Cette majoration étant intégrée en base dans la dotation forfaitaire 2015 servant de base au calcul de la dotation forfaitaire, cette disposition est calculée seulement pour les communes nouvelles créées au 1er janvier 2016 dont la population INSEE est comprise entre 1 000 et 10 000 habitants :

Dotation forfaitaire 2016 après garantie

x 1,05 x 1,05

= Dotation forfaitaire 2016 après majoration = …………

5. La dotation de consolidation et la dotation de compensation des EPCI :Si une commune nouvelle entrée en vigueur au 1er janvier 2016 regroupe toutes les communes membres d’un EPCI,

alors la commune nouvelle perçoit la dotation d’intercommunalité et la dotation de compensation perçues l’année précédente (2015) par son EPCI d’origine :

Dotation forfaitaire 2016 après majoration …………

+ Dotation de consolidation (dotation d’intercommunalité notifiée 2015 de l’EPCI)

+ …………

+ Dotation de compensation notifiée 2015 de l’EPCI + …………

= Dotation forfaitaire notifiée en 2016 = …………

N.B : la dotation de compensation de l’EPCI reversée à la commune nouvelle est calculée sur le périmètre de la commune nouvelle au 1er janvier 2016.

Ces deux dotations étant intégrées en base dans la dotation forfaitaire 2015 servant de base au calcul de la dotation forfaitaire, cette disposition est calculée seulement pour les communes nouvelles créées au 1er janvier 2016 regroupant l’ensemble des communes membres de l’EPCI.



III. – ÉVOLUTION DE L'ANCIENNE DOTATION TOURISTIQUE PARTICULIÈRE ET DE L’ANCIENNE DOTATION VILLE-CENTRE

En application des dispositions du deuxième alinéa du II de l’article L. 2334-7 du code général des collectivités territoriales, les montants correspondant à la dotation supplémentaire des communes et groupements de communes touristiques ou thermaux et à la dotation particulière des communes touristiques et des villes assumant des charges de centralité, intégrés dans la dotation forfaitaire, sont identifiés au sein de celle-ci. Les fiches individuelles de notification tiennent donc compte de cette disposition.



A N N E X E 3

MODALITÉS DE CALCUL DE LA DOTATION FORFAITAIRE DES GROUPEMENTS DE COMMUNES BÉNÉFICIAIRES DE L’ANCIENNE DOTATION TOURISTIQUE SUPPLÉMENTAIRE

L’évolution de cette dotation est fixée à 0 % en 2016. Le montant de cette dotation s’élève en 2016 à 20 523 781 €.En cas de changement de statut du groupement ne permettant plus à celui-ci de percevoir la dotation supplémentaire,

celle-ci est alors restituée aux communes membres et intégrée à la dotation forfaitaire de la commune avant l’application de l’écrêtement.





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Note d’information du 11 mai 2016 relative à la dotation de compensation des EPCI de la dotation globale de fonctionnement pour l’exercice 2016

NOR : INTB1612483N

Référence : article L. 5211-28-1 du code général des collectivités territoriales.

Pièce jointe : annexe : modalités de calcul de la dotation de compensation des EPCI.

La présente note d’information a pour objet de préciser les modalités de répartition de la dotation de compensation des EPCI pour l’année 2016.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Monsieur le haut-commissaire de la République en Polynésie française.

La loi de finances pour 2004 a modifié l’architecture des dotations, en intégrant dans la dotation globale de fonctionnement (DGF) plusieurs dotations et compensations qui étaient auparavant autonomes.

S’agissant des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), cette réforme a conduit à instaurer, aux côtés de la dotation d’intercommunalité, une dotation de compensation reprenant pour l’essentiel l’ancienne compensation de la suppression de la « part salaires » de la taxe professionnelle.

La DGF des EPCI comporte donc depuis 2004 deux composantes : – la dotation d’intercommunalité, elle-même composée d’une dotation de base et d’une dotation de péréquation ; – la dotation de compensation, composée d’une part « compensations part salaires » (CPS) et d’une part relative aux baisses de dotation de compensation de la taxe professionnelle intervenues entre 1998 et 2001 (DCTP).

Afin de financer l’actualisation annuelle des données de population et les mouvements des périmètres intercommunaux, la loi de finances pour 2016 a prévu un écrêtement uniforme de la part CPS de la dotation de compensation dont le taux a été fixé à 1,94 % à la suite de la séance du Comité des finances locales du 23 février 2016. Le montant de la part de la dotation de compensation correspondant à la compensation des baisses de DCTP est inchangé par rapport à 2015.

Aux termes de l’article 77 de la loi no 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 1, la part correspondant à la compensation part salaires (CPS) de la dotation de compensation des EPCI a été diminuée d’un montant égal au produit de la taxe sur les surfaces commerciales (TASCOM) perçu par l’Etat en 2010 sur le territoire de la collectivité. Depuis 2011, cette minoration est intégrée à la dotation de compensation. Si le montant de la part CPS est inférieur au montant de la diminution à opérer, le solde est prélevé prioritairement sur une autre composante de la dotation de compensation, la DCTP, ou à défaut sur la fiscalité directe locale des collectivités concernées.

Le III de l’article L. 2334-7 du code général des collectivités territoriales tel que modifié par la loi no 2015-1785 du 29 décembre 2015 de finances pour 2016 précise que si une commune adhère entre 2015 et 2016 à un EPCI à fiscalité professionnelle unique (FPU), la part CPS 2014 (nette du prélèvement TASCOM) de la commune indexée sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire notifiée à la commune entre 2014 et 2015 est versée à l’EPCI à FPU.

Les résultats de la répartition de la dotation de compensation des EPCI sont en ligne sur le site Internet de la DGCL (http://www.collectivites-locales.gouv.fr).

Toutefois, seule la notification officielle par vos soins de la dotation revenant à chaque EPCI fait juridiquement foi.Les fiches individuelles de notification des attributions de la dotation de compensation des EPCI vous ont été

transmises par la messagerie Colbert Départemental.

1 Modifié par la loi no 2014-1654 du 29 décembre 2014 de finances pour l’année 2015 (article 114) de telle sorte que : « Le montant de la compensation prévue au D de l’article 44 de la loi de finances pour 1999 (no 98-1266 du 30 décembre 1998) ou de la dotation de compensation prévue à l’article L. 5211-28-1 du code général des collectivités territoriales est diminué d’un montant égal, pour chaque collectivité territoriale ou établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre, au produit de la taxe sur les surfaces commerciales perçu par l’État en 2010 sur le territoire de la collectivité territoriale ou de l’établissement public de coopération intercommunale. »

http://www.collectivites-locales.gouv.fr



Je vous invite donc, dès réception de ce courrier, à télécharger les fiches de notification de la dotation de compensation des EPCI, qui prennent la forme de fichiers PDF à faire imprimer par vos services. Il vous appartient de transmettre ces fiches, le plus rapidement possible, aux EPCI concernés, l’arrêté attributif pouvant intervenir ultérieurement.

De même, vous pouvez éditer les lettres de notification et les arrêtés de versement via l’intranet Colbert Départemental. Vous trouverez à cet effet dans la bibliothèque de documents un modèle d’arrêté de notification.

Je vous rappelle que, pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution doivent être expressément mentionnés lors de la notification de chaque dotation aux collectivités bénéficiaires. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche individuelle de notification.

Néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, vous voudrez bien indiquer dans la lettre type de notification que vous adresserez aux collectivités bénéficiaires que, durant le délai de deux mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services.

Ce recours gracieux interrompt le délai du recours contentieux qui ne courra à nouveau qu’à compter de la réception de votre réponse. Je vous rappelle, à cet égard, qu’en application de l’article R. 421-2 du code précité « le silence gardé pendant plus de deux mois sur une réclamation par l’autorité compétente vaut décision de rejet ».

À l’instar de l’ancienne compensation « part salaires », et conformément à l’article L. 5211-31 du CGCT, vous verserez la dotation de compensation par douzièmes mensuels. Dans l’hypothèse d’un versement d’acomptes en janvier, février, mars et avril, les versements à venir seront modulés en tenant compte du montant des acomptes déjà versés.

L’utilisation de l’application Colbert Départemental est indispensable en 2016 pour la notification des montants définitifs de DGF. Il conviendra en effet, comme vous l’avez réalisé en janvier pour la notification des acomptes de dotation de compensation, de procéder à l’envoi des montants de DGF à Chorus (fonction « Envoyer à Chorus »). Cette transmission électronique devra être doublée d’un envoi papier à la direction départementale (ou régionale) des finances publiques de vos arrêtés de versement et des états financiers correspondants.

Vos arrêtés de versement à l’issue de la répartition initiale de la dotation de compensation des EPCI viseront le compte no 465.1200000 (code CDR COL0903000) « DGF / dotation de compensation des groupements – année 2016 » ouvert dans les écritures du directeur départemental (ou régional) des finances publiques. En outre, afin de permette aux DDFIP/DRFIP de distinguer les dotations relevant de l’interface Colbert / Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « interfacé ».

Vos arrêtés de versement ou de reversement à l’occasion d’une rectification éventuelle de la dotation de compensation des EPCI viseront le compte no 465.1200000, code CDR COL1001000 « DGF – opérations de régularisation », que les rectifications portent sur les dotations allouées au titre de l’exercice ou des années antérieures. Toutes les opérations de régularisation y compris celles concernant des dotations relevant de l’interface au titre de 2016 ou d’années antérieures seront traitées hors interface. Afin de permette aux DDFIP/DRFIP de distinguer les opérations relevant de l’interface Colbert / Chorus, vous veillerez à faire figurer sur vos arrêtés la mention « non interfacé ».

Toute difficulté dans l’application des présentes instructions devra être signalée à votre correspondant au sein du bureau des concours financiers de l’État :

Mme Sandra LAZZARINITél : 01.49.27.36.09

[email protected]







A N N E X E

MODALITÉS DE CALCUL DE LA DOTATION DE COMPENSATION DES EPCI POUR 2016

I. – LE CAS GÉNÉRAL

La dotation de compensation de l’EPCI en 2016 se calcule donc de la manière suivante :

Part CPS de la dotation de compensation notifiée à l’EPCI en 2015 ..............................

× Taux d’écrêtement (1,94 %) × 0,980649307601= Montant de la part CPS en 2016 = ..............................

Montant de la part CPS en 2016 (tel que calculé ci-dessus) ..............................

+ Montant de la part « baisses de DCTP » en 2015 + ..............................

= Dotation de compensation de l’EPCI en 2016 = ..............................

II. – LE CAS DES EPCI AYANT ADOPTÉ LE RÉGIME DE LA FISCALITÉ PROFESSIONNELLE UNIQUE AU 1er JANVIER 2016

Les EPCI qui ont opté pour le régime de la fiscalité professionnelle unique (FPU) au 1er janvier 2016 perçoivent à compter de 2016, en lieu et place de leurs communes membres, la part de la dotation forfaitaire de ces communes correspondant à la compensation « part salaires ». Toutefois, la part correspondant à la compensation des baisses de DCTP reste attribuée à la commune. En outre, le prélèvement réalisé sur la part « compensations » de la dotation forfaitaire des communes au titre de la TASCOM est intégré à la dotation de compensation de l’EPCI, celui-ci étant bénéficiaire du produit de la taxe.

La dotation de compensation de ces EPCI se calcule en 2016 de la manière suivante :

[ Part CPS de la dotation de compensation notifiée à l’EPCI en 2015 ..............................

+ ∑ parts CPS des communes membres + ..............................

× Taux d’écrêtement (1,94 %) × 0,980649307601

= sous-total 1 (part CPS de la dotation de compensation 2016 ) = ..............................



La part CPS des communes membres à prendre en compte est égale à :

Part CPS nette TASCOM de la commune reversée à l’EPCI = Part CPS 2014 au périmètre 2015 nette TASCOM × taux d’évolution dotation forfaitaire 2014/2015 de la commune

Avec : – taux d’évolution = Dotation forfaitaire notifiée 2015 de la commune / Dotation forfaitaire notifiée 2014 de

la commune ; – part CPS 2014 au périmètre 2015 nette TASCOM = Part CPS notifiée en 2014 (nette TASCOM) si la com-mune a connu aucun changement de périmètre entre 2014 et 2015 ou la part CPS 2014 nette TASCOM au périmètre 2015 intégrée dans la dotation forfaitaire 2014 retraitée si la commune a connu un changement de périmètre entre 2014 et 2015 ;

– part CPS nette TASCOM de la commune reversée à l’EPCI = « part CPS n – 1 nette » de la commune figurant sur les fiches DGF 2016.

Nota bene : l’indexation sur le taux d’évolution de la dotation forfaitaire est appliquée seulement si ce taux d’évolution est négatif.

La part CPS transférée à l’EPCI étant nette du prélèvement TASCOM de la commune, si ce prélèvement est supérieur à la part CPS de la commune, il convient de veiller à faire supporter sur la CPS de l’EPCI le reliquat de TASCOM non prélevé sur la CPS de la commune.



III. – LE CAS DES EPCI DÉJÀ À FISCALITÉ PROFESSIONNELLE UNIQUE DONT LE PÉRIMÈTRE EST MODIFIÉ AU 1er JANVIER 2016

Pour les EPCI déjà à FPU dont le périmètre est modifié au 1er janvier 2016, la dotation de compensation 2016 est calculée en ajoutant la CPS des communes nouvellement adhérentes et en retirant la CPS des communes qui quittent l’EPCI. En outre, le prélèvement réalisé sur la part « compensations » de la dotation forfaitaire des communes au titre de la TASCOM est intégré à la dotation de compensation de l’EPCI, celui-ci étant bénéficiaire du produit de la taxe.

[ Part CPS de la dotation de compensation notifiée à l’EPCI en 2015 ..............................

+ ∑ parts CPS des communes entrantes + ..............................

– ∑ parts CPS des communes sortantes ] – ..............................

× Taux d’écrêtement (1,94%) × 0,980649307601

= sous-total 1 (part CPS de la dotation de compensation 2016) = ..............................



Si la commune provient d’un EPCI à FPU, les compensations « part salaires » des communes entrantes ou sortantes au 1er janvier 2016 sont recalculées à partir des bases compensées de la commune en 2003 indexées sur le taux d’écrêtement fixé par le Comité des finances locales entre 2004 et 2015 et réattribuées :

– à la commune si elle adhère à un EPCI à fiscalité additionnelle ou n’adhère à aucun autre EPCI ; – au nouvel EPCI auquel adhère cette commune s’il a adopté le régime de la FPU.

Si la commune entrante ne provient pas d’un EPCI à FPU, la part CPS de la commune à prendre en compte est calculée selon les modalités exposées au point précédent.

IV. – LE CAS DES FUSIONS D’EPCI

La dotation de compensation de l’EPCI issu de la fusion est calculée comme le cas général :

[ Part CPS de la dotation de compensation notifiée à l’EPCI A en 2015 ..............................

+ Part CPS de la dotation de compensation notifiée à l’EPCI B en 2015 + ..............................

+ ∑ parts CPS des communes membres en cas de fusions d’EPCI à fiscalité additionnelle ou à fiscalité professionnelle de zone en un EPCI à FPU ]

+ ..............................

× Taux d’écrêtement (1,94 %) × 0,980649307601

= Montant de la part CPS de l’EPCI C en 2016 = ..............................

Montant de la part CPS en 2016 (tel que calculé ci-dessus) ..............................

+ [ Montant de la part « baisses de DCTP » de l’EPCI A en 2015

+ Montant de la part « baisses de DCTP » de l’EPCI B en 2015] + ..............................

= Dotation de compensation de l’EPCI C en 2016 = ..............................

Si la commune entrante ne provient pas d’un EPCI à FPU, la part CPS de la commune à prendre en compte est calculée selon les modalités exposées au point précédent.

La part correspondant à la compensation part salaires (CPS) de la dotation de compensation de l’EPCI issu de la fusion est diminuée d’un montant égal à la somme des prélèvements TASCOM opérés sur la compensation part salaires (CPS) des EPCI qui fusionnent.




Direction générale des étrangers en France_

Direction de l’asile_

Département des réfugiés et de l’accueil des demandeurs d’asile

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Information du 6 mai 2016 relative à la procédure d’expulsion des étrangers hébergés dans les lieux prévus à l’article L. 744-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA)

NOR : INTV1612115J

Résumé : cette information vise à expliciter et à assurer la mise en œuvre des dispositions nouvelles de l’article L. 744-5 du CESEDA prévoyant un référé « mesures utiles » en cas de maintien indu d’un débouté de l’asile en hébergement dédié.

Annexe : 1.

Le ministre de l’intérieur à M. le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets de région (métropole) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole) ; M. le préfet de police des Bouches-du-Rhône et M. de directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration.

La loi no 2015-925 du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d’asile a instauré une procédure spécifique pour l’expulsion de leur lieu d’hébergement des étrangers qui se maintiennent indûment ou irrégulièrement dans un des lieux d’accueil prévus à l’article L. 744-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

Le 4e alinéa de l’article L. 744-5 également introduit par la loi précitée dispose que : « Lorsque, après une décision de rejet définitive, le délai de maintien dans un lieu d’hébergement mentionné audit article L. 744-3 prend fin, l’autorité administrative compétente peut, après mise en demeure restée infructueuse, demander en justice qu’il soit enjoint à cet occupant sans titre d’évacuer ce lieu ». Le 6e et dernier alinéa précise que « La demande est portée devant le président du tribunal administratif, qui statue sur le fondement de l’article L. 521-3 du code de justice administrative et dont l’ordonnance est immédiatement exécutoire ».

Le président du tribunal administratif dispose désormais d’une compétence d’attribution, prévue par la loi, pour connaître l’essentiel des litiges concernant les expulsions des occupants des lieux d’hébergement pour demandeurs d’asile, dans le cadre d’une procédure de référé.

Cette procédure qui fait l’objet des trois derniers alinéas de l’article L. 744-5 et qui a été précisée par l’article R. 744-12 du code précité, constitue une innovation importante de la loi relative à la réforme du droit d’asile. Sa mise en œuvre, indispensable, doit permettre de renforcer la fluidité du parc, et d’éviter le maintien indu de personnes déboutées. Elle nécessite un travail partenarial, organisé au niveau départemental entre le préfet, l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) et les gestionnaires de structures.

La présente information vise à expliciter le mode opératoire de cette procédure et vous propose en annexe un modèle type de requête en référé.

I. – PERSONNES SUSCEPTIBLES DE FAIRE L’OBJET D’UNE PROCÉDURE D’EXPULSION SPÉCIFIQUE

Les personnes susceptibles de faire l’objet d’une procédure d’expulsion spécifique du lieu d’hébergement qu’elles occupent indûment sont mentionnées aux articles L. 744-5 et R. 744-12 du code précité.

Il s’agit : – du demandeur d’asile définitivement débouté du droit d’asile après rejet de sa demande par l’OFPRA et, en cas de recours, par la CNDA, ne disposant pas d’un titre de séjour à un autre titre et n’ayant pas sollicité d’aide au retour volontaire ou ayant refusé l’offre d’aide au retour volontaire qui lui a été présentée par l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;

– de l’étranger admis au séjour à un autre titre que l’asile et ayant refusé une ou plusieurs offres d’hébergement ou de logement en vue de libérer le lieu d’hébergement occupé ; il s’agit ici de l’étranger titulaire d’un titre de séjour, et non de l’étranger ayant sollicité l’examen de sa situation administrative et sur lequel il n’a pas encore été statué ;



– de la personne ayant manifesté un comportement violent ou ayant commis des manquements graves au règle-ment du lieu d’hébergement (cf infra III). S’agissant du comportement violent, il peut s’agir d’un comporte-ment agressif envers les personnels chargés de la gestion du lieu d’hébergement ou envers les autres personnes hébergées, de tous types de harcèlement, de la profération de menaces, de coups et blessures aux personnes, de la possession et a fortiori de l’utilisation d’armes de toutes catégories. Les manquements graves au règlement peuvent notamment être caractérisés par des manquements répétés au règlement, des incivilités ou encore d’actes portant atteinte aux biens.

Les articles concernés ne traitent pas de deux autres cas que vous pourrez être amenés à connaître : – le cas des réfugiés ou protégés subsidiaires qui refusent toute orientation à l’issue du délai prévu au 1o de l’ar-ticle R. 744-12 ;

– les étrangers mentionnés à l’article L. 742-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (demandeurs placés sous procédure Dublin) 1. Ces étrangers doivent en revanche faire l’objet dès le début de la procédure de mesures de surveillance adaptées, dans le cadre prévu à l’article L. 742-2 ; des instructions spéci-fiques vous seront adressées prochainement sur ce dernier point.

II. – MISE EN ŒUVRE DE LA DÉCISION DE SORTIE ET SAISINE DE LA JURIDICTION ADMINISTRATIVE

Afin de ne pas entacher la mise en œuvre d’une expulsion d’un vice de procédure, il importe de bien appliquer les prescriptions législatives et règlementaires édictées à cet égard.

La procédure d’expulsion prévue à l’article R. 744-12 se décompose en trois étapes :

1o Dès qu’une décision définitive est intervenue sur la demande d’asile d’un étranger hébergé dans un lieu d’hébergement dédié (CADA, HUDA), l’OFII informe le gestionnaire de cette décision et lui transmet une décision de sortie du lieu d’hébergement prise en application de l’article L. 744-5. Cette décision de sortie est notifiée à l’hébergé par le gestionnaire, en même temps qu’il l’informe de sa fin de prise en charge et de la possibilité de solliciter une aide au retour ;

2o Si l’étranger, définitivement débouté de sa demande d’asile, n’a pas quitté le lieu d’hébergement au terme du délai prévu par la décision de sortie, le préfet, saisi par l’OFII ou par le gestionnaire du lieu d’hébergement, met en demeure l’intéressé de quitter les lieux dans un délai qu’il prescrit ; de manière indicative, un délai supplémentaire de 15 jours paraît adapté ;

3o Si au terme de ce nouveau délai, l’étranger n’a pas quitté le lieu d’hébergement, le préfet peut, dans le cadre de la nouvelle procédure, obtenir du juge administratif qu’il enjoigne à l’intéressé d’évacuer le lieu d’hébergement, y compris, le cas échéant, avec le concours de la force publique.

Concernant les personnes ayant manifesté un comportement violent ou ayant commis des manquements graves au règlement du lieu d’hébergement, il n’y a pas lieu d’attendre la décision de sortie mentionnée au 1o. Dans cette situation, la décision d’exclusion prise par le gestionnaire du lieu d’hébergement 2 est suffisante pour permettre au préfet de mettre en demeure la personne d’évacuer le lieu d’hébergement. Dans ce cas de figure, l’OFII prendra par ailleurs une décision de retrait des conditions matérielles d’accueil en application de l’article L. 744-8 sur le fondement du signalement effectué par le gestionnaire.

2.1. Notification d’une décision de sortieLe premier alinéa de l’article L. 744-5 prévoit que : « Les lieux d’hébergement mentionnés à l’article L. 744-3

accueillent les demandeurs d’asile pendant la durée d’instruction de leur demande d’asile ou jusqu’à leur transfert effectif vers un autre État européen. Cette mission prend fin à l’expiration du délai de recours contre la décision de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ou à la date de la notification de la décision de la Cour nationale du droit d’asile ou à la date du transfert effectif vers un autre État, si sa demande relève de la compétence de cet État ».

Les dispositions du I de l’article R. 744-12 du code précité précisent que : « Dès qu’une décision définitive au sens de l’article L. 743-3 3 a été prise sur une demande d’asile, l’Office français de l’immigration et de l’intégration en informe sans délai le gestionnaire du lieu qui héberge la personne concernée, en précisant la date à laquelle cette décision a été notifiée au demandeur ».

En application du II du même article, s’agissant des personnes définitivement déboutées de leur demande d’asile, l’information assurée par l’OFII de la fin de l’hébergement prend la forme d’une fin de prise en charge

1 Conformément à l’article L. 348-1 du code de l’action sociale et des familles, il est par ailleurs rappelé que les personnes dont la demande d’asile relève d’un autre Etat au sens de l’article L. 742-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile ne peuvent bénéficier d’un hébergement en CADA.

2 Arrêté du 29 octobre 2015 relatif au contrat de séjour type des CADA.3 « Art. L. 743-3. – L’étranger auquel la reconnaissance de la qualité de réfugié ou le bénéfice de la protection subsidiaire a été définitivement

refusé ou qui ne bénéficie plus du droit de se maintenir sur le territoire français en application de l’article L. 743-2 et qui ne peut être autorisé à demeurer sur le territoire à un autre titre doit quitter le territoire français, sous peine de faire l’objet d’une mesure d’éloignement prévue au titre Ier

du livre V et, le cas échéant, des pénalités prévues au chapitre Ier du titre II du livre VI. »



écrite et adressée par l’OFII au gestionnaire du lieu d’hébergement. Cette décision doit être prise dès que l’Office a connaissance du rejet définitif de la demande d’asile et faire l’objet d’une notification à l’intéressé par le responsable du lieu d’hébergement.

Cette décision de sortie doit fixer un délai maximal de maintien dans le lieu d’hébergement à partir de la date de sa notification. Vous veillerez donc à ce que les gestionnaires de lieux d’hébergement de votre département mettent en œuvre des procédures de notification de nature à rendre opposable le délai maximal de maintien. Dans la mesure où le I de l’article R. 744-12 4 prévoit que les personnes définitivement déboutées de leur demande d’asile ont droit, sur simple demande, à bénéficier d’un maintien dans les lieux pendant un mois, il y aura lieu de retenir, sauf circonstance particulière, cette durée d’un mois pendant lequel la personne déboutée doit préparer son départ.

Ce délai maximal d’un mois doit être mis à profit pour présenter à l’étranger les possibilités d’aide au retour et à la réinsertion dont il peut bénéficier. Ainsi, la personne déboutée définitivement devra être informée par le gestionnaire, pendant ce délai, conformément à l’article R. 744-12 de ce qu’elle peut saisir l’OFII en vue d’obtenir l’aide au retour ou l’aide à la réinsertion et devra bénéficier d’une information détaillée sur le contenu de ces aides.

Si l’une ou l’autre de ces aides est accordée par l’OFII dans ce délai, la personne déboutée pourra être maintenue dans son lieu d’hébergement pendant le temps strictement nécessaire à son retour. Dans le cas contraire, à l’expiration du délai d’un mois, les dispositions nouvelles permettant l’exécution de la décision de sortie devront être mises en œuvre.

Dans toute la mesure du possible, afin d’assurer la cohérence des délais et des procédures, le délai d’un mois laissé à l’étranger débouté de sa demande d’asile pour exécuter la décision de sortie et bénéficier d’une aide au retour devra coïncider avec le délai de départ volontaire qui peut assortir la décision de retour prise en application du 6o de l’article L. 511-1.

2.2. Mise en demeure de quitter les lieux

Le II de l’article R. 744-12 prévoit qu’à l’issue du délai de maintien dans le lieu d’hébergement, le gestionnaire qui constate que l’étranger se maintient indûment, est chargé de mettre en œuvre la décision de sortie prise par l’Office français de l’immigration et de l’intégration.

À cet effet, le gestionnaire informe la direction territoriale de l’OFII ainsi que le préfet de département dans lequel se situe le lieu d’hébergement du maintien indu du demandeur, en joignant la décision de sortie dûment notifiée.

Il revient alors au préfet, saisi par l’OFII ou par le gestionnaire, de mettre en demeure l’étranger de quitter de quitter les lieux par un courrier recommandé avec accusé de réception qui devra rappeler les éléments constitutifs du maintien indu au regard des dispositions du R. 744-12. La direction territoriale de l’OFII devra avoir été informée de cette procédure.

La mise en demeure devra prévoir un délai au terme duquel celle-ci sera regardée comme infructueuse, au sens de l’article L. 744-5. De manière indicative, un délai de 15 jours paraît pouvoir être retenu dans la plupart des cas, même s’il pourra être tenu compte de situations particulières en accord avec le gestionnaire du centre et l’OFII.

En application du dernier alinéa de l’article R. 744-12, le préfet doit également mettre en demeure de quitter les lieux la personne ayant manifesté un comportement violent ou ayant commis des manquements graves au règlement du lieu d’hébergement. Dans ce cas, le délai prévu par la mise en demeure pourra être très bref, notamment si le comportement de l’intéressé est de nature à perturber le fonctionnement normal de la structure.

2.3. Saisine de la juridiction administrative

Lorsque le préfet constate que la mise en demeure est demeurée infructueuse au terme du délai qu’elle prescrit, il lui revient de saisir le tribunal administratif pour faire cesser l’occupation indue.

4 « Art. R. 744-12. - I. - Dès qu’une décision définitive au sens de l’article L. 743-3 a été prise sur une demande d’asile, l’Office français de l’immigration et de l’intégration en informe sans délai le gestionnaire du lieu qui héberge la personne concernée, en précisant la date à laquelle cette décision a été notifiée au demandeur.

« Dès que l’information prévue à l’alinéa précédent lui est parvenue, le gestionnaire du lieu d’hébergement communique à la personne hébergée la fin de sa prise en charge, qui intervient sous réserve de l’une des procédures suivantes :

« 1° Si elle en fait la demande, la personne ayant eu notification d’une décision définitive favorable est maintenue dans le centre jusqu’à ce qu’une solution d’hébergement ou de logement soit trouvée, dans la limite d’une durée de trois mois à compter de la date de la notification. Durant cette période, elle prépare avec le gestionnaire du lieu les modalités de sa sortie. Le gestionnaire prend toutes mesures utiles pour lui faciliter l’accès à ses droits, au service intégré d’accueil et d’orientation, ainsi qu’à une offre d’hébergement ou de logement adaptée. À titre exceptionnel, cette période peut être prolongée pour une durée maximale de trois mois supplémentaires avec l’accord de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;

« 2° Si elle en fait la demande, la personne ayant eu notification d’une décision définitive défavorable est maintenue dans le lieu d’hébergement pour une durée maximale d’un mois à compter de la date de cette notification. Durant cette période, elle prépare avec le gestionnaire les modalités de sa sortie.

« Cette personne est informée par le gestionnaire de ce qu’elle peut, dans le délai de quinze jours à compter de la notification, saisir l’Office français de l’immigration et de l’intégration en vue d’obtenir une aide au retour et éventuellement une aide à la réinsertion dans son pays d’origine. Si elle présente une telle demande, elle peut, à titre exceptionnel, être maintenue dans un lieu d’hébergement pour une durée maximale d’un mois à compter de la décision de l’office. »



Antérieurement à l’entrée en vigueur de la loi sur la réforme du droit d’asile, les juridictions judiciaires, en principe compétentes pour ordonner l’expulsion de l’occupant sans titre d’une propriété privée, pouvaient être amenées à connaître du contentieux des expulsions des demandeurs d’asile déboutés. La juridiction administrative avait parfois pu s’estimer concurremment compétente dans le cadre prévu par l’article L. 521-3 du code de justice administrative.

Le législateur a clarifié cette situation en confiant au juge administratif compétence pour connaitre des procédures d’expulsion à l’encontre des demandeurs d’asile déboutés et des personnes ayant manifesté un comportement violent ; le juge administratif statue en référé sur le fondement de l’article L. 521-3 du code de justice administrative qui prévoit qu’ « en cas d’urgence et sur simple requête qui sera recevable même en l’absence de décision administrative préalable, le juge des référés peut ordonner toutes autres mesures utiles sans faire obstacle à l’exécution d’aucune décision administrative ».

Sur simple requête, il appartient au préfet de démontrer au juge que l’occupant, par sa situation ou son comportement n’a plus le droit de rester dans les lieux, qu’il a fait l’objet d’une décision de sortie dûment notifiée, et que son expulsion est destinée à assurer le fonctionnement normal du service public dont il a la charge.

Il conviendra d’avoir recours à cette procédure dès lors que l’étranger ne respecte pas la décision de sortie et se maintient indûment dans un lieu d’hébergement pour demandeur d’asile après une décision de rejet définitive (4e alinéa de l’article L. 744-5), ou l’occupant fait preuve d’un comportement violent ou commet des manquements graves au règlement du lieu d’hébergement (5e alinéa du même article), dans les deux cas, après avoir mis en demeure au préalable l’étranger de quitter les lieux.

Pour permettre à vos services d’engager avec efficacité ces procédures, un mémoire type de référé mesures utiles vous est proposé (cf. annexe).

III. – EXÉCUTION DE LA DÉCISION DE JUSTICEUne fois détenteur du titre exécutoire, il appartient au préfet d’exécuter la décision de justice en ayant recours à la

force publique, si nécessaire.

La personne déboutée qui, en application du 6o de l’article L. 511-1 peut faire l’objet d’une obligation de quitter le territoire français, pourra consécutivement à l’expulsion de son lieu d’hébergement, être soumis aux mesures de surveillance prévues aux articles L. 551-1 ou L. 561-2 du CESEDA. Des dispositifs dédiés à la préparation au retour, tels que prévus par la circulaire du 22 juillet 2015, pourront en outre être mobilisés. Enfin, dans le cas où la situation de détresse médicale, psychique ou sociale de la personne déboutée le justifierait, son accueil pourra être assuré dans le dispositif d’hébergement d’urgence, pour le temps strictement nécessaire à la préparation de son départ.

IV. – NON APPLICATION DES DISPOSITIONS DU CODE DES PROCÉDURES CIVILES D’EXÉCUTION

Les dispositions du code des procédures civiles d’exécution applicables en matière d’expulsions locatives, telles que celles de l’article L. 412-1 et suivants relatives aux expulsions des locaux à usage d’habitation, ne sont pas applicables. Les dispositions spéciales de la loi portant réforme du droit d’asile dérogent au cadre fixé par le code des procédures civiles d’exécution.

Il en résulte notamment que les intéressés ne peuvent se prévaloir des garanties accordées par la loi aux occupants faisant l’objet d’une procédure d’expulsion régie par ce code, telles que la notification d’un commandement de quitter les lieux, la possibilité de solliciter l’octroi d’un délai de grâce ou le bénéfice de la « trêve hivernale » (L. 412-6).

Toutefois, en raison des conditions climatiques parfois rigoureuses pendant cette période, il vous revient d’être particulièrement attentif à ce qu’une solution transitoire d’hébergement puisse être proposée, concomitamment à l’expulsion, éventuellement assortie de mesures de surveillance adaptées (assignation à résidence, notamment).

La lutte contre l’occupation indue des hébergements réservés par la loi aux demandeurs d’asile constitue, particulièrement en cette période de crise migratoire, une priorité de votre action.

La forte implication de vos services pour engager les nouvelles procédures prévues par la loi à cet effet est donc indispensable pour assurer la fluidité du parc d’hébergement et pour permettre aux pouvoirs publics de trouver des solutions d’hébergement adaptées à chaque situation.

La bonne application de cette procédure sera facilitée, dans chaque département, par la tenue de réunions régulières associant les services de l’État (préfecture, direction départementale de la cohésion sociale, direction territoriale de l’OFII) et gestionnaires des établissements d’hébergement pour demandeurs d’asile afin de suivre la situation des personnes hébergées et d’assurer la diminution de l’occupation indue.

ait leF 6 mai 2016.

Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des étrangers en France, P.-a. Molina



A N N E X E

MODÈLE DE MÉMOIRE RÉFÈRE « MESURES-UTILES » À TITRE INDICATIF :

Le préfet … à

M./Mme le/la présidente du tribunal administratif de …

Objet : Requête en référé mesures-utiles. Article L. 521-3 du code de justice administrative

Pièces jointes : 3 exemplaires du présent mémoire.1 annexe : liste des productions.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-joint une requête en référé tendant à au prononcé d’une injonction de quitter les lieux à l’encontre de :

M. …….……….….……….….……….…...., né le …….……….….………. à …….……….….……….….……….......Mme …….……….….………….….……….., née le …….…………………… à …….……….………….…………….….Ce(s) ressortissant(s) de nationalité ………… se maintient (nent), depuis le …………, au centre d’accueil pour

demandeurs d’asile dénommé …………, géré par ………… et sis ………… nonobstant la décision sortie qui leur a été notifiée le ………… et la mise en demeure de quitter les lieux, notifiée le ………….

I. – RAPPEL DES FAITS ET DE LA PROCÉDURE(Rappeler de façon précise, concise et chronologique)

– la situation du ou des occupants du local d’hébergement faisant l’objet de la demande d’expulsion ; – la procédure ayant conduit au rejet de la demande d’asile des occupants ; – l’intervention d’une décision de sortie puis d’une mise en demeure de quitter les lieux demeurée sans effet.

II. – DISCUSSION

Aux termes de l’article L. 521-3 du code de justice administrative : « En cas d’urgence et sur simple requête qui sera recevable même en l’absence de décision administrative préalable, le juge des référés peut ordonner toutes autres mesures utiles sans faire obstacle à l’exécution d’aucune décision administrative ».

En raison du maintien non autorisé de M. / Mme XX en (lieux mentionnés à l’article L. 744-3 du CESEDA) qui fait obstacle à l’accueil de nouveaux demandeurs d’asile, il convient d’enjoindre M. et Mme …….………. de quitter les lieux et d’autoriser le concours de la force publique.

a) Sur la compétence du juge administratif

En application de l’article L. 744-5, alinéa 4, du CESEDA, le juge des référés du tribunal administratif est compétent, sur le fondement de l’article L. 521-3 du code de justice administrative, pour prononcer une injonction de quitter les lieux à l’encontre de l’occupant irrégulier d’un lieu d’hébergement mentionné à l’article L. 744-3.

En l’espèce, le local occupé par M. / Mme XX entre dans le champ de ces dispositions.Dès lors, la juridiction administrative est compétente pour connaître de la présente requête.

b) Sur la recevabilité de la requête

L’article L. 744-5 précité a expressément prévu qu’il appartient au préfet de prendre les mesures pour faire libérer sous la contrainte les lieux occupés par des personnes qui s’y maintiennent sans titre en saisissant le tribunal administratif en vue d’en obtenir l’expulsion.



Il appartient donc au préfet, autorité administrative compétente de l’État désignée par l’article L. 744-5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, de décider des mesures à mettre en œuvre pour faire cesser l’occupation sans titre d’un lieu d’hébergement prévu à l’article L. 744-3.

Le préfet a donc qualité pour introduire la présente requête.

c) Sur la condition tenant à l’urgence et à l’utilité de la mesure demandée au juge des référés(Le principe jurisprudentiel suivant doit guider la démonstration de l’administration visant à faire

reconnaître un caractère d’urgence à la demande présentée)

L’urgence s’apprécie et doit être justifiée à la date de l’introduction de la requête comme à la date à laquelle le juge statue (CE, 17 mars 2010, Larkhawi, no 332585).

Dans sa décision no 93-325 DC du 13 août 1993, le Conseil constitutionnel a considéré que le respect du droit d’asile, principe de valeur constitutionnelle, implique d’une manière générale que l’étranger qui se réclame de ce droit soit autorisé à demeurer provisoirement sur le territoire jusqu’à ce qu’il ait été statué sur sa demande.

Le droit de l’Union européenne a également contribué à alimenter la législation nationale en termes d’accueil des demandeurs d’asile. Conformément à la directive européenne du 26 juin 2013 établissant des normes pour l’accueil des personnes demandant la protection internationale, la France a mis en place un dispositif permettant d’accueillir les demandeurs de protection internationale pendant toute la durée de leur procédure d’asile. Ce dispositif repose à titre principal sur l’offre d’un hébergement accompagné en lieux d’hébergement dédiés pour demandeurs d’asile (article L. 744-3 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile).

Le département de ………….…. dispose de …………. places en lieux d’accueil pour demandeurs d’asile. Le taux d’occupation de … % est supérieur à la moyenne nationale. Cependant le taux de présence indue est l’un des plus élevé au niveau national (moyenne de … % sur l’année ………….. dont … % pour le ……….. « …….. » alors que le taux cible est de … %.

La liste des demandes d’hébergement en attente arrêtée au …………. fait apparaître que sur le département de ………. X primo demandeurs d’asile sont en attente d’une place d’hébergement en ……….. Ces personnes ne peuvent non plus bénéficier du dispositif d’hébergement d’urgence, lui-même saturé.

Par conséquent, les personnes qui se maintiennent dans les lieux alors qu’elles n’y ont plus droit compromettent le fonctionnement normal de l’organisme effectuant l’hébergement d’urgence. En effet, le fonctionnement d’un tel organisme implique que les personnes hébergées soient accueillies strictement durant la période d’instruction de leur demande d’asile et puissent bénéficier d’un accompagnement social et administratif rendu possible par cet hébergement, afin que d’autres personnes dans la même situation puissent aussi en bénéficier. Ce « roulement » est une caractéristique de l’hébergement des demandeurs d’asile et de l’hébergement d’urgence.

C’est pourquoi tout maintien en ……..….. d’un débouté du droit d’asile compromet le bon fonctionnement du service public en ne permettant pas à ce dernier d’assurer l’objectif d’égal accès à ses usagers (CE no 344031 du 28 septembre 2011).

Les conditions d’urgence et d’utilité de la mesure demandée au juge des référés, posées par l’article L. 521-3 du code de justice administrative, sont remplies en l’espèce du fait du refus de libérer les lieux et de l’obstruction de la famille …. à l’accueil de nouveaux demandeurs d’asile au ……..…..

d) Sur le maintien illégal dans un lieu d’hébergement pour demandeur d’asile et l’absence de contestation sérieuse

Le premier alinéa de l’article L. 744-5 prévoit que : « Les lieux d’hébergement mentionnés à l’article L. 744-3 accueillent les demandeurs d’asile pendant la durée d’instruction de leur demande d’asile ou jusqu’à leur transfert effectif vers un autre État européen. Cette mission prend fin à l’expiration du délai de recours contre la décision de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ou à la date de la notification de la décision de la Cour nationale du droit d’asile ou à la date du transfert effectif vers un autre État, si sa demande relève de la compétence de cet État ».

L’article R. 744-12 - I du même code précise que « si elle en fait la demande, la personne ayant eu notification d’une décision définitive défavorable est maintenue dans le lieu d’hébergement centre pour une durée pouvant varier selon sa situation (à détailler en fonction du cas). Durant cette période, elle prépare avec le gestionnaire du centre les modalités de sortie ».

Il en résulte donc que l’hébergement dans les lieux d’accueil pour les demandeurs d’asile mentionnés à l’article L. 744-3 est strictement limité aux étrangers dont la demande d’asile est en cours d’instruction auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et éventuellement de la Cour nationale du droit d’asile.

Le contrat de séjour conclu par M. ……..….. avec le lieu d’accueil de ……..….. limitait la durée de l’hébergement à celle de l’instruction du recours déposé par le défendeur auprès de la Cour nationale des demandeurs d’asile. Il est précisé que le contrat litigieux est un contrat d’hébergement temporaire, ne pouvant être assimilé à un bail de location, débutant le …………….., et prenant fin à la notification de la décision de la CNDA.



La CNDA a rejeté le recours formé par M. et Mme ……..…., par décision du ………, signifiée aux intéressés le ……....

Conformément à la clause « Fin de prise en charge » du contrat de séjour, il est rappelé que M. et Mme …………. disposaient d’un délai d’un mois pour quitter définitivement le centre.

C’est dans ces conditions que le centre d’accueil pour demandeur d’asile a informé M. et Mme ………….... de leur fin de prise en charge, par courrier du …………...

En conséquence, M et Mme …. occupent irrégulièrement des locaux utilisés depuis plus de …..Par un courrier en date du ………..…, le préfet a mis en demeure M. / Mme XX de quitter le local d’hébergement

qu’ils occupent (pièce jointe). Cette mise en demeure est restée infructueuse au terme du délai de X jours qu’elle prescrivait comme en atteste le gestionnaire du centre d’hébergement par le courrier joint.

Ainsi, en application des dispositions de l’article L. 744-5 du CESEDA, l’expulsion de M. / Mme XX ne se heurte à aucune contestation sérieuse.

CONCLUSIONSPAR CES MOTIFS, je demande à votre tribunal :

– d’ordonner l’expulsion sans délai de M. et Mme XX de l’immeuble situé à ……….. ; – d’autoriser le recours à la force publique pour procéder à l’évacuation forcée des lieux ; – d’autoriser le préfet à donner toutes instructions utiles au gestionnaire du …. afin de débarrasser les lieux des biens meubles s’y trouvant, aux frais et risques de M. et Mme…, à défaut pour ceux-ci de les avoir emportés.

Le préfet




Direction générale des étrangers en France

_

Direction de l’asile_

Département des réfugiés et de l’accueil des demandeurs d’asile

_

Information du 10 mai 2016 relative à la procédure de remontée d’informations concernant les ouvertures de centres d’accueil pour demandeurs d’asile et à la fluidité du dispositif national d’accueil

NOR : INTV1612310J

Résumé : cette information détermine la mise en place d’enquêtes mensuelles sur les ouvertures de places de centres d’accueil pour demandeurs d’asile validées au titre de l’appel à projet 2015.

Annexes : 2.

Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de région (métropole) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (métropole) ; M. le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (pour information).

L’afflux de centaines de milliers de femmes et d’hommes vers les pays européens pour y demander l’asile constitue une situation sans précédent. Fidèle à sa tradition d’accueil, et en cohérence avec les orientations de la loi du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d’asile, la France a engagé un programme très important d’augmentation de ses capacités d’hébergement qui se traduit par un engagement de création de 8 630 places de centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) au cours de l’année 2016.

Dans ce contexte, l’amélioration du pilotage du parc d’hébergement des CADA et du suivi des indicateurs de gestion constitue un objectif primordial. Aussi, vous veillerez à ce que les places de CADA autorisées soient ouvertes dans les trois mois après la date précisée sur la notification de la direction générale des étrangers en France (DGEF), sauf situation exceptionnelle, justifiée au moment de la décision d’autorisation. Vous demanderez aux opérateurs en contrepartie de l’autorisation d’ouverture des places un plan de montée en charge dont vous veillerez au respect. Ces informations, collectées mensuellement par les préfectures de département, en coopération avec les directions territoriales de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII), seront agrégées par les services régionaux qui les transmettront à la DGEF et à l’OFII mensuellement au moyen du tableau dont le modèle est présenté en annexe.

Par ailleurs, il appartiendra aux préfets de région de communiquer au fur et à mesure des autorisations d’ouverture de places les arrêtés préfectoraux publiés. L’ensemble de ces documents devra être transmis aux adresses fonctionnelles suivantes : [email protected] et [email protected].

En outre, je souhaite appeler votre attention sur la nécessité de travailler activement avec les opérateurs à la transformation des places pour familles en places adaptées à des personnes isolées afin d’atteindre les objectifs fixés par le courrier du directeur général de l’OFII adressé aux opérateurs en date du 21 mars 2016 dont la copie est jointe à la présente information. En effet, en raison de l’augmentation sensible du flux de demandeurs d’asile isolés, cette transformation rapide du parc d’hébergement constitue un des axes prioritaires d’amélioration du pilotage et de la fluidité du parc d’hébergement. Les préfets de région communiqueront mensuellement un bilan des transformations réalisées sur leur territoire ventilées par département et par CADA aux adresses fonctionnelles susmentionnées.

Enfin, il est essentiel pour permettre la mise en œuvre des dispositions de la loi du 29 juillet 2015 relative à la réforme du droit d’asile que l’OFII dispose d’une connaissance exhaustive et à jour de l’ensemble des capacités ouvertes dans votre territoire, et dédiées à l’accueil des demandeurs d’asile (CADA, accueil temporaire – service de l’asile, hébergement d’urgence pour demandeurs d’asile). La direction de l’asile de la DGEF vous adressera, en conséquence, mensuellement un tableau des capacités à remplir dont je vous remercie d’assurer l’exhaustivité et la fiabilité.

La direction de l’asile de la DGEF et celle de l’OFII sont à votre disposition pour vous apporter tout élément utile dans la mise en œuvre de la présente information.


Pour le ministre et par délégation : Le directeur général des étrangers en France, P.-a. Molina



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Décision du 20 mai 2016 portant mise à la retraite de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides pour invalidité ne résultant pas du service – M. Renisio (Patrick)

NOR : INTV1612292S

Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,Vu le code des pensions civiles et militaires de retraite ;Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment le livre VII de ses parties législative

et réglementaire ;Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi

no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;Vu la loi no 2003-775 modifiée du 21 août 2003 portant réforme des retraites ;Vu la loi no 2010-1330 modifiée du 9 novembre 2010 portant réforme des retraites ;Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office

français de protection des réfugiés et apatrides ;Vu la décision du 9 novembre 2011 modifiant la situation de M. Patrick Renisio, officier de protection principal,

10e échelon, à compter du 1er novembre 2011 ;Vu la demande d’admission à la retraite formulée par l’intéressé en date du 5 janvier 2016 ;Vu l’avis émis par le comité médical, siégeant à l’administration centrale du ministère de l’intérieur, en sa séance

du 24 mars 2016, concernant la mise à la retraite pour invalidité ne résultant pas du service de M. Patrick Renisio, né le 17 juin 1951 ;

Vu l’avis conforme du service des retraites de l’État à la demande de mise à la retraite pour invalidité en date du 25 avril 2016,

Décide :

Article 1er

M. Patrick Renisio, officier de protection principal, 10e échelon (IB 966 – IM 783), de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, est admis à faire valoir ses droits à la retraite, pour invalidité ne résultant pas du service à compter du 28 mai 2016, tous droits à congés administratifs épuisés.

Article 2

À compter de la même date, M. Patrick Renisio est radié du corps des officiers de protection des réfugiés et apatrides.

Article 3

Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.






Instruction du 23 mai 2016 relative à la protection rapprochée et à l’accompagnement de sécurité des personnes par la police nationale

NOR : NOR : INTC1613763J

1. PréambuleLa protection rapprochée d’une personne peut se définir comme l’ensemble des compétences ou moyens techniques,

humains et matériels mis en œuvre pour garantir son intégrité physique. Elle repose sur une évaluation de la menace et des risques. Elle suppose une parfaite connaissance de l’environnement, de la fonction et des activités de la personne protégée.

Dans le cadre de sa mission régalienne de sécurité, la police nationale assure la protection physique rapprochée de certaines personnes. La présente instruction vise à uniformiser les pratiques et de fixer un ensemble de règles visant à délimiter le champ de ces missions et définissant les procédures à appliquer.

La protection rapprochée, mesure personnelle et temporaire, ne peut être accordée que sur des fondements légitimes, connus et partagés, dans le respect d’une procédure définie et formalisée.

Au sein de la police nationale, les missions de protection rapprochée sont réalisées par le service de la protection (SDLP) qui « assure, sur le territoire français et à l’étranger, la protection rapprochée ou l’accompagnement de sécurité de personnes françaises ou étrangères » (arrêté du 12 août 2013).

2. Conditions d’octroi et procédure de mise en œuvreLe SDLP est chargé de la sécurité des membres du gouvernement et de certaines personnalités auxquelles, en

fonction des risques et menaces évalués par les services spécialisés et sur décision du ministre de l’intérieur, de telles mesures sont accordées.

Ce service est également chargé de la protection rapprochée ou de l’accompagnement de sécurité des chefs d’États et de gouvernement étrangers en visite officielle ou privée sur le territoire de la République et des hautes personnalités étrangères auxquelles, en fonction des risques et menaces évalués par les services spécialisés, de telles mesures sont accordées.

2.1. Conditions d’octroi

Au regard de l’arrêté précité, les dispositifs de protection rapprochée reposent sur deux fondements : le rang protocolaire de la personnalité ou le niveau de menace susceptible de peser sur la personne.

Concernant la première catégorie de personnes, les bénéficiaires, français et étrangers, sont strictement énumérés : il s’agit du Président de la République et des membres du gouvernement français d’une part, des chefs d’États ou de gouvernement étrangers en visite sur le territoire d’autre part. Ce droit n’est pas exclusif d’une évaluation de la menace qui sert à adapter le dispositif au niveau de risque.

S’agissant de la seconde catégorie, l’unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) est chargée de déterminer la réalité et le niveau de menace susceptible de peser sur les personnes. Pour ce faire, ce service s’est doté d’une grille d’évaluation comportant quatre degrés numérotés de 4 à 1 et caractérisant un niveau de risque croissant :

– niveau 4 : personnalité étrangère / ressortissant français non menacé sur le territoire ; – niveau 3 : personnalité étrangère / ressortissant français potentiellement menacé sur le territoire français, éven-tuellement en raison de son appartenance politique, ethnique, sociale ou religieuse ;

– niveau 2 : personnalité étrangère menacée avec risques limités de transfert ou de concrétisation de cette menace sur notre territoire / ressortissant français menacé sur le territoire, avec risques limités ou non prévisibles de concré-tisation ;

– niveau 1 : personnalité étrangère menacée avec risques élevés de transfert de cette menace sur notre territoire / ressortissant français fortement menacé sur le territoire national.

L’UCLAT évalue la menace au vu de l’existence de renseignements ou de faits laissant transparaître une volonté d’atteinte à la personne concernée, de la notoriété et de l’activité de la personne évaluée ainsi que du contexte sécuritaire ambiant. Elle complète son analyse hors terrorisme par une appréciation, si nécessaire, des risques afférents à de possibles manifestations affectant l’ordre public.

2.2. Procédure de mise en œuvre

La notion de risque étant souvent associée à celle de l’urgence, les demandes de protection font l’objet d’un traitement immédiat dématérialisé. Pour cette raison, il est instauré un « guichet unique » d’entrée des demandes de protection de façon à optimiser le délai de leur traitement.



Ce point d’entrée officiel des demandes est l’état-major du cabinet du DGPN, quelle que soit l’origine de la demande.

L’état-major saisit l’UCLAT aux fins d’évaluation du niveau de la menace. À réception des résultats de l’évaluation, l’état-major établit une fiche « navette » qui est transmise au service de la protection pour définition des mesures de sécurité appropriées.

En retour, le service de la protection formalise et transmet un avis technique comportant la préconisation d’un dispositif de sécurité adapté au niveau de menace défini par l’UCLAT. L’état-major a un rôle de validation de cet avis puis de transmission au cabinet du ministre de l’intérieur.

La décision du ministre de l’intérieur, rendue à l’issue de cette procédure, est ensuite mise en œuvre dans des délais compatibles avec les impératifs de sécurité propres à chaque situation.

3. Dispositifs de protection

Au-delà de sa fonction première qui consiste en une aide à la décision quant à l’opportunité d’accorder ou non une protection rapprochée, l’évaluation de la menace permet également d’adapter les dispositifs mis en œuvre et de dimensionner les moyens dédiés.

3.1. Les dispositifs de protection du SDLP

Il existe deux types de protection individuelle : l’accompagnement de sécurité et la protection rapprochée. Ces missions sont effectuées par des policiers sélectionnés, formés et équipés (notamment armés) spécifiquement, désignés généralement par le terme « officier de sécurité ».

3.1.1. L’accompagnement de sécurité

L’accompagnement de sécurité est un dispositif de protection adapté à une menace diffuse ou faible. En fonction des circonstances, l’officier de sécurité peut solliciter les forces locales après accord du préfet territorialement compétent. Il existe deux niveaux d’accompagnement de sécurité :

Accompagnement de sécurité élémentaire (ASE) :

Le service de la protection affecte auprès de la personne menacée un seul officier de sécurité. Il n’y a pas nécessairement continuité dans l’exécution de la mission. Il peut s’agir des cas pour lesquels il n’existe pas de menace précise connue et où le dispositif de sécurité est mis en place en raison des fonctions exercées ou du rang de la personnalité (cas de certains magistrats ou de certaines personnalités civiles qui correspondent à des UCLAT 4 ou 3).

Accompagnement de sécurité renforcé (ASR) :

L’accompagnement de sécurité peut être renforcé : la personne menacée est accompagnée en permanence d’un officier de sécurité. La notion de continuité impose alors l’affectation d’un second officier de sécurité.

Dans les deux cas, lorsque les circonstances l’exigent et afin de permettre un bon déroulement de la mission, il peut être décidé d’allouer un véhicule à l’officier de sécurité. Cette voiture peut être conduite par un conducteur de sécurité du service et la personnalité autorisée exceptionnellement à monter à bord.

De même, le dispositif peut être complété par des mesures de sécurité assurées par les policiers ou gendarmes locaux après accord du préfet territorialement compétent.

3.1.2. La protection rapprochée

La protection rapprochée est un dispositif de sécurité complet. Elle est développée en présence d’une menace sérieuse et individualisée. Il faut aussi distinguer deux niveaux :

Protection rapprochée élémentaire (PRE) :

Le dispositif de protection rapprochée se compose au minimum de trois officiers de sécurité assurant la protection physique, d’un conducteur de sécurité et d’un véhicule de police. Il est complété en cas de nécessité par des mesures de sécurité périmétriques pouvant être confiées à des policiers ou gendarmes locaux après accord du préfet territorialement compétent.

Protection rapprochée renforcée (PRR) :

Outre la présence continue d’au moins trois officiers de sécurité, le dispositif de protection comporte des éléments précurseurs et de contre filature.

Dans tous les cas, les dispositifs reposent sur le plein accord de la personnalité protégée. De même, lorsqu’une personnalité le demande expressément, les dispositifs peuvent être provisoirement interrompus.

Les conditions de la relation entre la personne protégée et le service en charge de la protection sont notifiées au bénéficiaire lors de la mise en place d’un dispositif de protection (Cf. annexes).



3.2. Les dispositifs alternatifs ou complémentaires

L’accroissement significatif du nombre de protections sollicitées et la densification de certains dispositifs conduisent à envisager des solutions alternatives ou complémentaires en matière de protection.

S’agissant de personnes dont le niveau de menace est faible et qui ne s’exposent pas de manière régulière, il peut être décidé d’attribuer certaines missions de protection aux services territoriaux de police et de gendarmerie après accord du préfet territorialement compétent. Ces missions prennent la forme de patrouilles aux abords du lieu de résidence des personnes ou de garde statique de ces lieux.

Dans la situation d’une menace élevée pesant sur une personne, certaines missions de protection rapprochée de courte durée peuvent être renforcées par des unités spécialisées compte tenu de leur niveau de technicité et d’équipement. Il peut s’agir du RAID sur le territoire français ou des forces armées sur les théâtres d’opération à l’étranger.

4. Dispositions diversesLa protection rapprochée ne peut s’exercer efficacement que dès lors qu’elle s’inscrit dans un dispositif global

et coordonné de sécurité incluant l’ensemble des partenaires étatiques ou non qui concourent à la sécurité d’une personnalité. Ainsi, l’appui de services extérieurs est indispensable, sous la coordination des préfets territorialement compétents et en collaboration permanente avec les responsables de la police ou de la gendarmerie sur les sites de déplacement ou de séjour des personnalités.

À cet effet, dans le cadre des visites officielles sur le territoire de la République, le chef du service de la protection ou son représentant se met à la disposition du représentant de l’État qu’il assiste en tant que conseiller technique pour l’élaboration des mesures nécessaires, avec l’aide des policiers du service de la protection.

4.1. Les services concourant à la mission de protection

Si les policiers affectés au service de la protection sont spécifiquement recrutés sur des critères exigeants, formés au métier de la protection rapprochée et entretenus dans un haut niveau de professionnalisme, le volume des missions confiées à ce service justifie ponctuellement l’utilisation de renforts extérieurs.

De manière permanente, la compagnie républicaine de sécurité n°1 est placée pour emploi sous l’autorité du chef du service de la protection. Elle assure notamment les missions de garde statique, de filtrage ainsi que les escortes motorisées de certaines personnalités dans des situations protocolaires clairement définies.

Ponctuellement, pour faire face à des contraintes capacitaires du SDLP ou dans le cadre de déplacements de courte durée de personnalités faiblement menacées, il peut être fait appel, par l’intermédiaire du cabinet du DGPN, à des policiers prélevés sur l’ensemble des services du périmètre DGPN.

Dans le cadre de leur mission, les officiers de sécurité sont fondés à recourir à l’utilisation de moyens relevant d’autres services dans les formes prévues. Il s’agit notamment et de manière non exhaustive de moyens nécessaires à la détection d’explosifs, à la tenue de points hauts ou encore d’escortes motocyclistes.

4.2. La commission des protections

Afin de réaffirmer le caractère temporaire de la protection rapprochée, l’article 14 de l’arrêté du 12 août 2013 relatif aux missions et à l’organisation du service de la protection a repris les dispositions de l’article 13 de l’arrêté du 17 décembre 2008 créant une commission d’évaluation des mesures de protection, placée sous l’autorité du directeur du cabinet du ministre de l’intérieur ou de son représentant.

Cette commission comprend exclusivement le préfet de police, le DGPN, le DGGN, le chef du SDLP et le chef de l’UCLAT ou leurs représentants. Le cas échéant, il peut être fait appel à toute personne dont l’expertise est requise. Elle peut être réunie à tout moment à la demande du ministre de l’intérieur et au moins deux fois par an. Elle rend un avis au ministre de l’intérieur, en fonction des risques et menaces évalués par les services spécialisés, sur l’octroi ou le maintien de toute mesure de protection rapprochée ou d’accompagnement de sécurité. Elle peut aussi émettre un avis sur la nature et le degré de protection accordée. Toutefois, le ministre de l’intérieur peut décider de ne pas la consulter lorsque la situation le justifie, notamment en cas d’urgence.


Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la police nationale, j.-M. falcone



A N N E X E 1

Madame, Monsieur,

Sur décision du ministre de l’intérieur, vous bénéficiez désormais d’un dispositif d’accompagnement de sécurité. Il répond à des modes de fonctionnement adaptés au niveau de menace déterminé par les services spécialisés. Il me semble important de vous les présenter afin de garantir une efficacité maximale.

• Un officier de sécurité du Service De La Protection (SDLP) sera présent à vos côtés pour chacun de vos déplacements. Il s’agit d’un policier spécialement formé et entraîné pour ce type de mission.

• Il est essentiel qu’il connaisse votre domicile, votre environnement et le plus en amont possible votre agenda. Son rôle ne se limite pas en effet à un simple accompagnement. Il doit être en mesure de faire évaluer les risques ou menaces liés à tel ou tel événement, de solliciter l’appui d’autres services de police ou encore d’envisager la mise en place de mesures de sécurisation spécifiques.

• En fonction des éléments en sa possession, le SDLP peut vous déconseiller de vous rendre sur un site particulier ou un pays à risques. Cette position s’appuiera toujours sur une analyse technique. Elle vous sera clairement présentée. Si vous décidez malgré tout de maintenir votre projet, le SDLP se désengagera alors ponctuellement.

• Pour certaines missions, un véhicule peut être mis à disposition de l’officier de sécurité. Il s’agit d’une décision fondée sur des impératifs de sécurité. Cette automobile est conduite par un autre policier et peut servir à votre transport ou être positionnée derrière votre véhicule personnel. Dans tous les cas, aucune autre personne ne peut être admise à son bord et le conducteur devra respecter scrupuleusement les règles du code de la route. Sauf raison de sécurité dûment motivée, l’usage du gyrophare ou des avertisseurs sonores est strictement prohibé.

Vous avez rencontré lors de la mise en place du dispositif, un des officiers-référents du SDLP. Il restera pendant toute la durée de la mission votre interlocuteur privilégié.



A N N E X E - D P N - 3 . 2 A

Madame, Monsieur,

Sur décision du ministre de l’intérieur, vous bénéficiez désormais d’un dispositif de protection rapprochée. Il répond à des modes de fonctionnement adaptés au niveau de menace déterminé par les services spécialisés. Il me semble important de vous les présenter afin de garantir une efficacité maximale.

• Au moins trois officiers de sécurité du Service De La Protection (SDLP) seront présents à vos côtés pour chacun de vos déplacements. Il s’agit de policiers spécialement formés et entraînés pour ce type de mission.

• Il est essentiel qu’ils connaissent votre domicile, votre environnement et le plus en amont possible votre agenda. Ils doivent continuellement être en mesure de faire évaluer les risques ou menaces liés à tel ou tel événement, de solliciter l’appui d’autres services de police ou encore d’envisager la mise en place de mesures de sécurisation spécifiques.

• En fonction des éléments en sa possession, le SDLP peut vous déconseiller de vous rendre sur un site particulier ou un pays à risques. Cette position s’appuiera toujours sur une analyse technique. Elle vous sera clairement présentée. Si vous décidez malgré tout de maintenir votre projet, le SDLP se désengagera alors ponctuellement.

• Un véhicule peut être mis à disposition afin de vous transporter. Il s’agit d’une décision fondée sur des impératifs de sécurité. Dans tous les cas, aucune autre personne ne peut être admise à son bord et le conducteur devra respecter scrupuleusement les règles du code de la route. Sauf raison de sécurité dûment motivée, l’usage du gyrophare ou des avertisseurs sonores est strictement prohibé. Un second véhicule de sécurité sera positionné à l’arrière.

Vous avez rencontré lors de la mise en place du dispositif, un des officiers-référents du SDLP. Il restera pendant toute la durée de la mission votre interlocuteur privilégié.




Direction générale de la gendarmerie nationale

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Direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale

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Sous-direction de la gestion du personnel

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Bureau du personnel officier_

Arrêté du 29 mars 2016 conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense

NOR : INTJ1608581A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ;Vu le décret no 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux militaires commissionnés ;Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 modifié fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés

recrutés au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale,

Arrête :

Article 1er

Mme Marthe Després est recrutée au grade de lieutenante (quatrième échelon – indice brut : 627) en qualité d’officière commissionnée servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi de psychologue clinicienne, conseillère technique régionale à Cayenne, pour une durée de trois ans à compter du 1er juin 2016.

Article 2

L’intéressée est rattachée au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale.

Article 3

Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

ait leF 29 mars 2016.

Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, P. Mazy




Arrêté du 19 avril 2016 portant attribution de la médaille de la sécurité intérieure

NOR : INTK1609467A

Le ministre de l’intérieur,Vu les articles D. 141-2 à D. 141-10 du code de la sécurité intérieure ;Vu l’arrêté du 24 septembre 2015 pris pour l’application des articles D. 141-2 à D. 141-10 du code de la sécurité

intérieure,

Arrête :

Article 1er

Dans le cadre de la promotion exceptionnelle « Crash Germanwings », une médaille de la sécurité intérieure est attribuée aux personnes suivantes :

I. – ÉCHELON OR

M. ABOUD Charbel, sous-préfet.M. AGOSTINI Charles, médecin en chef du service de santé des armées.M. AIMAR Sylvain, lieutenant de gendarmerie.M. ALLIOT Étienne, médecin principal réserviste du service de santé des armées.M. ALMONTE Marc, brigadier-chef de police.M. ALVES Bruno, gardien de la paix.M. ANCEAU Cyril, capitaine de police.M. ARCHAMBAUD Lionel, brigadier-chef de police.M. AUDIBERT Sébastien, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. AUSTRUY Florian, capitaine de police.M. BALIQUE François, maire du Vernet.M. BARNEOUD-CHAPELIER Gilles, brigadier-chef de police.M. BARTOLINI Bernard, maire de Prads-Haute-Bléone.Mme BARUSSAUD Audrey, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BEAUD Jean-Sébastien, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BENOIST Didier, adjudant de gendarmerie.M. BERAUDO Frédéric, adjudant de gendarmerie.M. BERNARD Bastien, gardien de la paix.M. BERNARD Gabriel, gendarme.M. BICCHIERAI Georges, major de police.M. BINET Frédéric, lieutenant de gendarmerie.M. BINI Mathieu, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme BLANQUET Viviane, technicien de police technique et scientifique.M. BOIS Jean-Baptiste, gardien de la paix.M. BON Damien, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BONEL Cédric, gardien de la paix.M. BOREL Élie, gardien de la paix.M. BOUTROIS Guillaume, gendarme.Mme BRARD Hélène, technicien de police technique et scientifique.M. BRIAND Nicolas, gendarme.M. BROCHIER Christophe, colonel de gendarmerie.M. BUNEL Arnaud, brigadier-chef de police.



M. BURAUD François, brigadier de police.M. CALVAYRAC Guillaume, adjudant de gendarmerie.Mme CARLIEZ Sophie, technicien principal de police technique et scientifique.Mme CARON Véronique, sous-préfet.M. CARRET Thierry, lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. CASTAINGS Rémi, gendarme.M. CLAVAUD Emmanuel, colonel de sapeurs-pompiers.M. CLOUX Philippe, major de gendarmerie.Mme COLDEFY Alice, gendarme.M. CORREGE Benjamin, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CORTEGGIANI Jean-Thomas, capitaine de l’armée de terre.Mme COTTERILL Marion, bénévole associatif.M. COTTIN Frédéric, major de gendarmerie.M. COULAIS Sébastien, gardien de la paix.M. COULOUMY Sylvain, brigadier-chef de police.M. DARDOULLIER Jérôme, brigadier-chef de police.Mme DAVET, épouse FABRIS Estelle, commissaire divisionnaire de police.M. DAVID Fabrice, capitaine de gendarmerie.M. DAVIN Jean-Marc, adjudant de gendarmerie.M. DE TRANE Christian, adjudant-chef de gendarmerie.M. DELANNOY Simon-Pierre, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. DELEGLISE Jean-Charles, brigadier-chef de police.M. DELFAUD Jean-Marc, capitaine de gendarmerie.M. DIROU Armel, colonel de l’armée de terre.M. DOISEAU Éric, gardien de la paix.M. DOSSOLIN Michel, capitaine de sapeurs-pompiers.M. DOZIERES Frédéric, adjudant-chef de gendarmerie.M. DRESSAYRE Rémi, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme DROGOU Gwenola, chirurgien dentiste.M. DROIT Laurent, adjudant-chef de gendarmerie.M. DUCASSE Marc, gardien de la paix.M. DUCHATEL Bastien, gardien de la paix.M. DUDORET Pierrick, adjudant de gendarmerie.M. DUMORTIER Gaël, technicien de police technique et scientifique.M. DURAND Sylvain, adjudant de gendarmerie.Mme DUVAL Catherine, conseiller d’administration de l’intérieur et de l’outre-mer.M. DUVERNEY-GUICHARD Julien, gardien de la paix.M. ENGELS Jean-Philippe, capitaine de l’armée de terre.M. ENRICH Gilles, brigadier-chef de police.M. ERRARD Jean-Francois, adjudant-chef de gendarmerie.M. FABRE Jean-Michel, gardien de la paix.M. FERNANDEZ Olivier, capitaine de gendarmerie.M. FILLON Damien, gardien de la paix.M. FIRON Anthony, brigadier de police.M. FLEITH Olivier, adjudant de gendarmerie.M. FOLLOT Sébastien, capitaine de gendarmerie.M. FOLTIER Pierre, gardien de la paix.M. FORTE Pierre, brigadier-chef de police.Mme FOURNIER Gabrielle, directeur départemental des territoires des Alpes-de-Haute-Provence.M. FULCRAND Cédric, brigadier-chef de police.



M. GALTIER David, général de corps d’armée de gendarmerie.M. GAUD Philippe, adjudant de gendarmerie.M. GAUDRY Emmanuel, chef d’escadron de gendarmerie.M. GEMIN Alain, gardien de la paix.M. GENDRE David, gardien de la paix.M. GENGEMBRE José, adjudant de gendarmerie.M. GEORGET Charles, chirurgien dentiste en chef.M. GERBER Michel, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. GHESQUIERS Yann, gardien de la paix.M. GIL Thierry, brigadier de police.M. GLAIRON-RAPPAZ Patrice, gardien de la paix.M. GOUT Cyril, commissaire de police.M. GRIGNON Nicolas, adjudant de gendarmerie.M. GROSSKOST Philippe, adjudant de gendarmerie.M. GUERRAS Xavier, gardien de la paix.M. HERMITTE Francis, maire de Seyne.M. HERMITTE Francis, capitaine de gendarmerie.M. HUBAC Sylvain, chef d’escadron de gendarmerie.M. HUBERT Francis, général de brigade de gendarmerie.M. HUOT-MARCHAND Fabrice, gardien de la paix.M. JADOT Boris, adjudant de gendarmerie.Mme JEFFRAULT Astrid, sous-préfet.M. KELLENBERGER Stéphane, procureur de la République près du TGI de Digne-les-Bains.M. LAFORET Thierry, lieutenant-colonel de réserve de gendarmerie.M. LAMBERT Pascal, chef d’escadron de gendarmerie.M. LAMUSSE Pascal, adjudant de gendarmerie.M. LE ROUX Franck, adjudant-chef de gendarmerie.Mme LEBLANC Béatrice, technicien de police technique et scientifique.M. LEBLOND Philippe, adjudant-chef de gendarmerie.M. LEBRETON Grégory, gardien de la paix.M. LELONG Benoît, major de gendarmerie.M. LEMAITRE Christophe, gardien de la paix.M. LETRONE Marc, capitaine de l’armée de terre.M. LOAEC Jean-François, gardien de la paix.M. LOISIER Sylvain, gardien de la paix.M. LORA-RONCO Patrick, adjudant-chef de gendarmerie.M. LURION Raphaël, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. MALBRANQUE Stéphane, médecin en chef réserviste du service de santé des armées.M. MARESCA Olivier, adjudant de gendarmerie.M. MARLIN Didier, gendarme.M. MARTIN Thierry, chirurgien dentiste en chef réserviste du service de santé des armées.M. MARTY Julien, gendarme.M. MAYOUSSE Denis, gardien de la paix.M. MEKACHERA Hamel-Francis, sous-préfet.M. MENEVRET Moïse, adjudant de gendarmerie.M. MERCADER Jérôme, gardien de la paix.M. MICHON Julien, gardien de la paix.Mme MORI Méghanne, gendarme.M. MORIN Grégory, gardien de la paix.M. MORINO Stéfano, gardien de la paix.



M. MORISS Romuald, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. NAFFRECHOUX Yves, capitaine de réserve de gendarmerie.M. NARBAUD Stéphane, major de gendarmerie.M. NAVALE Serge, gardien de la paix.Mme NERBOLLIER, née FONQUERNE Claudie, commandant de police.M. NICOD Philippe, gardien de la paix.M. NOKERMAN Maxime, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. NOLOT Franck, adjudant de gendarmerie.M. NOLOY Thierry, major de gendarmerie.M. PARIS Jean-Marc, colonel de gendarmerie.M. PASQUERAULT Thierry, major de gendarmerie.M. PASSERON Julien, capitaine de police.M. PATRIS Jérôme, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. PERICH Pierre, médecin en chef réserviste du service de santé des armées.Mme PETITBOIS Chloé, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. PETITJEAN Frédéric, médecin hors classe de sapeurs-pompiers.M. PIERRINI Georges, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. PIOVESAN Patrick, gardien de la paix.M. POUX Thierry, adjudant-chef de gendarmerie.M. PUJOL Hervé, major de police.M. PUJOL Jean-Philippe, gendarme.M. PUSSIAU Amaury, lieutenant de gendarmerie.M. QUERE Patrick, gardien de la paix.M. QUIGNON Damien, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. RAMANOEL Bertrand, gardien de la paix.M. RASTOUIL David, major de gendarmerie.M. RENARD Olivier, capitaine de gendarmerie.M. RIBEIRO GONÇALVES Louis, gendarme.M. RICHARD Éric, gardien de la paix.M. RIEBEL Simon, adjudant de gendarmerie.M. RIVET André, adjudant de gendarmerie.M. ROBLIN Xavier, gendarme.M. ROUGERIE Pascal, adjudant de gendarmerie.M. ROUVE Fabrice, adjudant-chef de gendarmerie.M. ROUX Benjamin, adjudant de gendarmerie.M. SANCHO Pascal, major de police.M. SANSA Philippe, lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. SAUGET Pierre, gardien de la paix.Mme SAVOIE Delphine, chirurgien dentiste réserviste du service de santé des armées.M. SCHMITT Chirstophe, adjudant de gendarmerie.M. SCHULIAR Yves, médecin chef des services hors classe du service de santé des armées.M. SOULLIER Laurent, major de police.M. SPANI Yoni, adjudant de gendarmerie.M. STORCK Jean-François, major de gendarmerie.M. STUPNICKI Georges, agent spécialisé principal de police technique et scientifique.M. SYLVESTRE Xavier, brigadier de police.M. TAMISIER Laurent, major de gendarmerie.M. TARNOWKA Serge, gardien de la paix.M. THIRION Jean-Pierre, lieutenant-colonel.M. TILLY Yvan, adjudant de gendarmerie.



M. TONDEUR Patrick, technicien de police technique et scientifique.Mme TOURGIS Séverine, bénévole associatif.M. TOURON Patrick, colonel de gendarmerie.M. VAN KELST Kévin, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme VAUDO Valérie, adjudant de gendarmerie.M. VAYRIOT Philippe, adjudant-chef de gendarmerie.M. VERGNES Fabien, gardien de la paix.M. VIAL José, gardien de la paix.M. VIRE Philippe, major de gendarmerie.Mme ZIMMERMANN Éline, chirurgien dentiste réserviste du service de santé des armées.M. ZINGRAFF Pascal, sous-préfet.M. ZIOLKOWSKI Marc, technicien en chef de police technique et scientifique.M. ZOBLI Nabil, maréchal des logis-chef de gendarmerie.

II. – ÉCHELON ARGENT

Mme AMALRIC Annie, bénévole associatif.M. ANDROUARD Didier, adjudant de gendarmerie.Mme ANSIEAU Claudine, expert psychologue de sapeurs-pompiers.M. ARNAUD Guillaume, gardien de la paix.M. ARNOUX Fabrice, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. AUCHECORNE Alexandre, adjudant de gendarmerie.M. BAGNIS Bernard, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. BARIOLET Jean-Dominique, commandant de sapeurs-pompiers.M. BARTHELEMY Rodolphe, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BASCELLI Pierre, bénévole associatif.Mme BASSOMPIERRE Carole, adjudant de gendarmerie.M. BATTTESTI Jean Simon, bénévole associatif.Mme BELLIER Dominique, attaché de l’administration de l’État.Mme BELOTTI Jacqueline, adjudant de gendarmerie.M. BERGON Rémy, adjudant-chef de gendarmerie.M. BERNARDI Gaël, adjudant de sapeurs-pompiers.M. BERNARDO Joaquim, gardien de la paix.Mme BERTHOD Emma, bénévole associatif.Mme BESSON Florence, médecin de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. BIANCO Philippe, caporal-chef de sapeurs-pompiers.Mme BLANC Marilyne, gendarme.M. BLANCHARD Laurent, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. BLOCH Matthieu, maréchal des logis-chef de l’armée de terre.M. BOCQUILLON Fabrice, adjudant-chef de gendarmerieMme BOEDEC Sandrine, adjudant de gendarmerie.M. BOLLO Victor, gendarme adjoint volontaire.M. BONNOME Roland, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. BORIC Philippe, adjudant-chef de gendarmerie.M. BOUCHAL Lahcene, bénévole associatif.M. BOUCHET Lionel, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BOUTHORS Christophe, gendarme.M. BOVO Anthony, sapeur de 2e classe de sapeurs-pompiers.M. BOVO Hervé, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. BRICOUT Raphaël, infirmier principal de sapeurs-pompiers.M. BRIMONT Denis, maréchal des logis-chef de gendarmerie.



M. BRUN Denis, adjudant de gendarmerie.M. BRUNET Matthieu, gendarme.Mme BURNOUF Céline, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BUROU Norbert, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CABASSON David, adjudant de gendarmerie.M. CALERO Ramon, bénévole associatif.M. CALVEZ Frédéric, gardien de la paix.M. CARAYON Éric, major.M. CARBONERO Claude, adjudant-chef de gendarmerie.M. CARDIN Laurent, chef d’escadron de gendarmerie.M. CAREMEL Benoît, capitaine de sapeurs-pompiers.M. CHAIX Guillaume, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. CHANTRIAUX Olivier, commandant de sapeurs-pompiers.M. CHAPELIER Jean-Michel, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CHAPELON Loïc, lieutenant de vaisseau, marin-pompier de Marseille.M. CHAPENOIRE Stéphane, médecin en chef réserviste du service de santé des armées.Mme CHAREYRE Pascale, capitaine de sapeurs-pompiers.M. CHASTRE Christian, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CHAUVET Pascal, capitaine de sapeurs-pompiers.M. CHERFAOUI Hamed, brigadier de police.M. CHOVIN Raphaël, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CIAIS Christophe, brigadier de police.M. CLAUDEPIERRE Lionel, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CORDIER Pierrick, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. COSTA Daniel, adjudant de gendarmerie.M. COSTEL Philippe, gendarme.M. COUSIN Olivier, capitaine de police.M. COUVE Henri, commandant de sapeurs-pompiers.M. CROMBEZ Vincent, infirmier-principal de sapeurs-pompiers.M. CURCI Jean-Yves, lieutenant de gendarmerie.M. DAESSLE Guillaume, lieutenant de vaisseau, marin-pompier de Marseille.M. DA FONSECA Gilles, adjudant de gendarmerie.M. DAGAND Florian, adjudant-chef de gendarmerie.M. DAOUST François, général de brigade de gendarmerie.M. DE SCHEPPER Philippe, major de gendarmerie.M. DEBU Guillaume, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. DEBUY Yohann, adjudant de gendarmerie.M. DECHANOZ Louis, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. DELRUE Vincent, adjudant de gendarmerie.Mme DERIANCOURT Lorane, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. DESORME Steeve, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. DEVAUX Christophe, capitaine de sapeurs-pompiers.M. DOMINGUEZ Reneaud, gendarme.M. DOUREL Laurent, chef d’escadron de gendarmerie.M. DROUET François-Xavier, adjudant de gendarmerie.M. DUBOURDIEU Daniel, adjudant-chef de gendarmerie.Mme DUGAS Laetitia, bénévole associatif.M. DUGIT-PINAT Fabien, gendarme.M. DUMAS Marc, lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. EGLER Simon, lieutenant de police.



M. ESTUBIER Nicolas, adjudant de gendarmerie.M. FANEAU Mathieu, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. FAURE Alain, adjudant de gendarmerie.M. FAVRE Olivier, adjudant de gendarmerie.M. FLANDIN Mathias, gendarme.M. FOCHEUX Michael, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.Mme FRANCHETERRE Marielle, bénévole associatif.M. GABET Jean-Claude, adjudant de gendarmerie.Mme GABRIELLI Céline, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme GADOUAIS Alexandra, gendarme.M. GAILLARD Pierre, adjudant de gendarmerie.M. GAUCHER Olivier, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme GELABERT Pascale, infirmier de sapeurs-pompiers.M. GEOFFROY Stéphane, adjudant de gendarmerie.Mme GERBY Coralie, sergent de sapeurs-pompiers.M. GERBY Lucas, caporal de sapeurs-pompiers.M. GILBERT Alexandre, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. GIRAULT Ludovic, gendarme.M. GIRON Cyril, caporal de sapeurs-pompiers.M. GIROUY David, maréchal des logis-chef de l’armée de terre.M. GODARD Philippe, major de gendarmerie.M. GODIN Rodolphe, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. GOMEZ Cyril, adjudant de gendarmerie.M. GRANADOS Philippe, lieutenant de sapeurs-pompiers.Mme GRANET-BRUNELLO Patricia, maire de Digne-les-Bains.M. GRANGE Jérôme, chef d’escadron de gendarmerie.Mme GREBOVAL Caroline, sergent-chef de sapeurs-pompiers.Mme GREGOIRE Audrey, bénévole associatif.M. GUEUGNON Éric, lieutenant de sapeurs-pompiers.Mme GUILLE Hélène, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. HAMMOUCHEN Kassa, lieutenant de l’armée de terre.M. HAZET Nicolas, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme HOG Catherine, adjudant de gendarmerie.M. HURAULT David, adjudant de gendarmerie.M. HUTT Jean-Marc, chirurgien dentiste en chef réserviste du service de santé des armées.M. ISAIA Lionel, adjudant-chef de gendarmerie.M. JACQUES Thomas, gardien de la paix.M. JAMIN Alain, caporal de sapeurs-pompiers.M. JAUNATRE Laurent, capitaine de police.M. JETUR Romain, bénévole associatif.M. JOUAN Sébastien, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. KLEIN Philippe, adjudant de gendarmerie.Mme KOWALEWSKI Claire, lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. LAGIER Cédric, lieutenant de sapeurs-pompiers.Mme LAGIER-BONNAFOUX Sylvie, expert psychologue de sapeurs-pompiers.M. LALANDE Raphael, gendarme.M. LAOUT Stéphane, adjudant-chef de gendarmerie.M. LAUGIER Éric, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. LAURAIN Jérémy, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. LE CALVEZ Erwan, maréchal des logis-chef de gendarmerie.



M. LE CAM Jean-Charles, brigadier de police.M. LE COZ Yannick, bénévole associatif.M. LE DROFF Loïc, adjudant-chef de gendarmerie.M. LE GOFF Laurent, colonel de gendarmerie.Mme LECLUSE Catherine, major de gendarmerie.M. LEDROIT Pierre, capitaine de gendarmerie.M. LETZELLEMANS Yannick, capitaine de sapeurs-pompiers.M. LORIETTE Jean-Joël, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. LOUIS Didier, gendarme.Mme MANGOT Alice, bénévole associatif.M. MANUEL Vivien, gendarme.M. MARIN Jean-Philippe, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. MARIN Michel, major de réserve de gendarmerie.Mme MARQUIS Sophie, médecin de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. MARTIN Julien, gendarme.M. MICHEL Pierre, capitaine (FORMISC).M. MILESI Pascal, adjudant de gendarmerie.Mme MONRAZEL Laure, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. MORALIS Charles, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. MOURET Jean-Michel, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. MOUTAWADII Rochdi, gendarme.M. MUMBER Franck, gardien de la paix.Mme MUROLO Vanessa, gendarme.M. NAMPON Éric, enseigne de vaisseau de 1re classe, marin-pompier de Marseille.Monseigneur NAULT Jean-Philippe, évêque de Digne-les-Bains.M. NICOLAS Éric, major de gendarmerie.M. NOYAU Sylvain, colonel de gendarmerie.M. PAGES Laurent, adjudant de gendarmerie.M. PAPANTI Yves, major de police.Mme PARADISO Nadine, bénévole associatif.M. PARET Denis, capitaine de sapeurs-pompiers.M. PARRIAUX Jérôme, adjudant-chef de gendarmerie.M. PARTOUCHE Franck, chef d’escadron de gendarmerie.M. PATIN Pierre, médecin lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. PAUL Laurent, caporal de sapeurs-pompiers.M. PEIGNE Christophe, adjudant de gendarmerie.M. PELLISSIER André, bénévole associatif.M. PELLISSIER Stéphane, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. PERALTA Francisco, sergent de sapeurs-pompiers.Mme PETITJEAN Stéphanie, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. PIAZZO Olivier, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. PLASSOT Olivier, gardien de la paix.M. POELAERT Jérôme, gendarme.M. POIROT Christophe, adjudant de gendarmerie.M. POLLEFOORT Maxime, maréchal des logis-chef de l’armée de terre.M. POUSSEL Luc, capitaine.M. PRIVAT Gérald, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. QUILLET Patrick, adjudant-chef de gendarmerie.M. QUISEFIT Jean-Baptiste, adjudant de l’armée de terre.Mme RADAL Karine, gendarme.



M. REIX Gilles, major de police.M. REMY Jean-Guillaume, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. RENAUD Benjamin, adjudant de gendarmerie.M. REVAULT Jean-Charles, adjudant-chef de gendarmerie.M. REYMOND Olivier, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme REYNIER Pauline, bénévole associatif.M. RIBIERRE Frédéric, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. RICAUD Lionel, sergent de sapeurs-pompiers.M. RICHE Pierre-Yves, adjudant de gendarmerie.Mme RISPAUD Josiane, attaché de l’administration de l’État.M. ROBERT Christophe, capitaine de sapeurs-pompiers.Mme ROGIEZ-THUBERT Perrine, capitaine de police.M. ROUET Christophe, adjudant de gendarmerie.M. ROY Xavier, lieutenant de l’armée de terre.M. SAGUE Jean-Marc, médecin de classe exceptionnelle de sapeurs-pompiers.M. SAPET Éric, lieutenant de 1re classe de sapeurs-pompiers.Mme SARAC Dana, gendarme.M. SAYADA Raphaël, bénévole associatif.M. SAYSSAC Laurent, adjudant-chef de gendarmerie.Mme SCHUTT Martine, bénévole associatif.M. SEGAUD Nicolas, adjudant de gendarmerie.M. SEGHINI Éric, sergent de sapeurs-pompiers.Mme SEIGLE Coralie, gendarme.M. SELIER Franck, major de police.M. SOGHOMONIAN Quentin, bénévole associatif.M. SQUIRI André, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. SUHAS Cédric, maréchal des logis-chef de l’armée de terre.M. TABOURET Vivien, brigadier de gendarmerie.Mme TASSIS Roseline, bénévole associatif.M. TEA Sokesara, infirmier principal de sapeurs-pompiers.M. THOMY Philippe, adjudant-chef de gendarmerie.M. TRAPP Frédéric, adjudant-chef de gendarmerie.M. TRAULLE Olivier, chef d’escadron de gendarmerie.Mme TROMBETTA Caroline, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. VELPRY Stéphane, brigadier de police.M. VERA Alain, major de gendarmerie.Mme VILLEMAIN Nathalie, capitaine de gendarmerie.M. VINCENT Bruno, commandant de police.

III. – ÉCHELON BRONZE

M. AILLAUD Fabien, adjudant de sapeurs-pompiers.M. ALEGRE Fabien, gardien de la paix.Mme ALLEMAND Élisabeth, rédacteur principal de 1re classe.M. ALLET Bertrand, gendarme.Mme AMIAND Joana, capitaine de police.M. AMZAD Nordine, gendarme.Mme ANDRE Laure, infirmier de sapeurs-pompiers.M. ANDRIEUX Romain, chasseur de 1re classe.M. ANDRILLO Nicolas, brigadier-chef de l’armée de terre.M. ANTONINI Fabrice, bénévole associatif.



M. ANZALLO Jérôme, gardien de la paix.M. ARGENCE Thierry, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme ARNAUD Charlotte, infirmier de sapeurs-pompiers.M. ARNOULD Pierre, chef d’escadron de gendarmerie.Mme ASARO Sandrine, attaché principal d’administration de l’État.M. ASTIER Florian, sergent de sapeurs-pompiers.M. ASTIER Lionel, adjudant de gendarmerie.M. AUBERGER Romaric, brigadier-chef de l’armée de terre.M. AUGUSTE Pascal, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.Mme AUNE Christelle, infirmier de sapeurs-pompiers.M. AUZIAS Denis, capitaine de sapeurs-pompiers.M. BARBAGELATA François, chef d’escadron de gendarmerie.M. BARIDON Frédéric, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. BARRA Jean-Louis, médecin hors classe de sapeurs-pompiers.M. BARRE Philippe, secrétaire administratif de classe normale.M. BARTHALAY Christophe, contrôleur des services techniques.M. BARTOLINI Antoine, major de police.M. BASTARD Romuald, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BAUMSTARK Guy, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. BEAUDOUT Frédéric, adjudant-chef de l’armée de terre.M. BELLANGEON Mathieu, gardien de la paix.M. BELLO Richard, ouvrier d’État.M. BELLOTTO Jean-Pierre, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. BELTRANDO Daniel, sergent de sapeurs-pompiers.M. BENASSAI Cédric, adjudant de l’armée de terre.Mme BENZAKI Audrey, bénévole associatif.M. BERGE Ghyslaine, bénévole associatif.M. BERNARD Sébastien, maréchal des logis de l’armée de terre.Mme BERTHIEUX Stéphanie, bénévole associatif.Mme BERTHUIT Marie-Hélène, bénévole associatif.Mme BERTRAND Danielle, bénévole associatif.M. BETTARINI Thierry, sergent de sapeurs-pompiers.M. BEYL Christophe, colonel de gendarmerie.Mme BIANCO Ophélie, gendarme.M. BIDEAU Samuel, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. BISSON Steve, maréchal des logis de l’armée de terre.M. BLAIS Marcel, bénévole associatif.M. BLANCHARDIE Laurent, adjudant-chef de gendarmerie.M. BLASCO Joffrey, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.Mme BLONDEL Laurie, gardien de la paix.M. BLOY Jean-Paul, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. BOLF Charles, commissaire de police.Mme BONANS Coralie, bénévole associatif.M. BONNAUD Pascal, général de brigade de gendarmerie.M. BONNET Loïc, gendarme.M. BONZON Nicolas, brigadier-chef de l’armée de terre.Mme BOREY Sophie, bénévole associatif.M. BORJA Bastien, sergent de sapeurs-pompiers.M. BOUCROT Jean-Marie, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. BOUILS Philippe, capitaine de gendarmerie.



M. BOUQUET Styven, maréchal des logis de gendarmerie.M. BOUSNANE Walid, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. BOYER Jean-Baptiste, adjoint de sécurité.M. BRACQ Rémi, bénévole associatif.M. BRAEMS Nicolas, gendarme.Mme BREGRE Vanessa, adjoint de sécurité.Mme BREISSAND Caroline, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. BREISSAND Éric, sergent-chef de sapeurs-pompiers.Mme BROTONS Christelle, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. BURNICHON Éric, adjudant-chef de gendarmerie.M. BUSY Philippe, gendarme.Mme CARPENTIER Virginie, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. CARTA Thierry, ouvrier d’État.M. CARTIER-MILLON Bastien, chasseur de 1re classe.M. CARTOUX Joël, sapeur de 2e classe de sapeurs-pompiers.Mme CASENAZ Virginie, contractuel.M. CASTEL Patrice, infirmier principal de sapeurs-pompiers.Mme CAZERES Isabelle, infirmier de sapeurs-pompiers.Mme CAZIN Patricia, bénévole associatif.M. CAZZULINI Marco, brigadier de l’armée de terre.M. CHADAPEAUD Olivier, infirmier principal de sapeurs-pompiers.M. CHAILLOUX Fabrice, adjudant de gendarmerie.Mme CHARBIER Nathalie, infirmier principal de sapeurs-pompiers.M. CHARROT David, adjoint administratif.M. CHARTRAIN Franck, capitaine de gendarmerie.M. CHAUSSEGROS Xavier, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. CHAUVEAU Cyrille, capitaine (FORMISC).M. CHERIEF Slimane, attaché d’administration de l’État.M. CICCOLA Jacques, adjudant de sapeurs-pompiers.M. CLAVEL Claude, gendarme.M. CLAVERO Serge, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. CLEMENS Thomas, brigadier-chef de l’armée de terre.Mme CLEMENT Eve, infirmier de sapeurs-pompiers.M. CLOTEAU Sébastien, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. COLLENNE Jérôme, adjudant-chef de gendarmerie.M. COLLIER Guy, médecin commandant de sapeurs-pompiers.M. COMBE Jérôme, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. COMTE Joël, adjudant-chef de gendarmerie.M. CONNORS Mallory, attaché d’administration de l’État.M. CONTRUCCI Noël, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. CORDIEZ Cédric, brigadier de l’armée de terre.M. CORNETTE Alain, bénévole associatif.M. CORRE Yves, commandant de sapeurs-pompiers.Mme CORTEGGIANI Taciana, bénévole associatif.M. COSTABEL Thierry, premier-maître, marin-pompier de Marseille.M. COULOM Nicolas, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. COUVEE Thierry, adjudant-chef de gendarmerie.M. CRAVERO Christian, ouvrier d’État.Mme CREN Éliane, bénévole associatif.M. CROSET Mathieu, brigadier-chef de gendarmerie.



M. CRUNCHANT Jérémy, bénévole associatif.M. CUBERTAFOND Jean-François, major de l’armée de terre.M. CUZIN Cédric, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. DANIEL Serge, bénévole associatif.Mme DARINI Mathilde, bénévole associatif.M. DEBAERE Michel, adjudant-chef de gendarmerie.M. DECENVIRALE Oreste, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. DEI NEGRI Clément, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. DELACOURT Pascal, bénévole associatif.Mme DEROCLE Anne-Marie, secrétaire administratif de classe supérieure.Mme DERYNCK Flavie, médecin psychiatre.M. DES SAN LAZARO Philippe, adjoint technique de 2e classe.Mme DESCAMPS Amandine, gendarme.M. DIEDRICH Jérôme, brigadier-chef de gendarmerie.M. DIOLOGENT Denis, lieutenant de 2e classe de sapeurs-pompiers.Mme DIVARET Claudine, rédacteur principal de 2e classe.M. DODY Timothy, caporal de sapeurs-pompiers.M. DOMEC Nicolas, gendarme.M. DOMIS Cédric, sergent de sapeurs-pompiers.M. DONNINI Robert, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. DORDHAIN Bruno, brigadier-chef de police.M. DOUÇOT Gilles, adjudant-chef (FORMISC).M. DOUZET Damien, chasseur de 1re classe.M. DRENNE Stéphane, chef de bataillon (FORMISC).Mme DRYJER Pascale, bénévole associatif.M. DUCAU Olivier, adjudant-chef de l’armée de terre.M. DUCREUX Michel, adjudant de gendarmerie.M. DUCROS Jean-Philippe, bénévole associatif.M. DUMARD Dimitri, caporal-chef (FORMISC).M. DUMON Maxime, bénévole associatif.Mme DURAND Jennifer, adjoint de sécurité.M. DY Christophe, capitaine de sapeurs-pompiers.M. EL HABIB Hamid, brigadier-chef de l’armée de terre.M. ELLERON Tony, brigadier-chef de l’armée de terre.M. ENDERLIN Thomas, brigadier de l’armée de terre.M. ERTLEN Philippe, médecin-capitaine de sapeurs-pompiers.M. ESCALLE Maxime, major de réserve de gendarmerie.M. ESTELLE Lionel, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. ESTEVE Gilbert, capitaine de sapeurs-pompiers.M. FABBRI Joël, médecin hors classe de sapeurs-pompiers.M. FABRE Cédric, caporal-chef (FORMISC).Mme FARASSE Faustine, caporal (FORMISC).M. FARGIER Romuald, bénévole associatif.M. FAUBERT Benjamin, maréchal des logis de gendarmerie.M. FAVIER Lionel, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. FAYOLLE Arnaud, maréchal des logis de l’armée de terre.M. FERAUD Jean-Carle, gardien de la paix.M. FERQUEL Paul, gendarme.M. FIDELIN Audry, adjoint technique principal.M. FISCHER Stéphane, adjudant de gendarmerie.



M. FLAHAUT Frédéric, adjudant-chef de gendarmerie.M. FLEURENCE Patrick, bénévole associatif.M. FOREST Didier, ouvrier d’État.Mme FRALIN Jennifer, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. FROMENT Valentin, brigadier de gendarmerie.Mme FUSERI Cécile, bénévole associatif.M. GALIBERT Jean-François, capitaine de sapeurs-pompiers.M. GALONIER Michel, ouvrier d’État.Mme GANTELET Amandine, bénévole associatif.M. GARNIER Maxime, caporal de sapeurs-pompiers.M. GARNIER Yann, capitaine de sapeurs-pompiers.Mme GAUTHIER Agnès, infirmier de sapeurs-pompiers.M. GAUTHIER Florian, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. GAUTHIER Ludovic, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. GAUTHIER Pierre, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. GAY Jérôme, infirmier de sapeurs-pompiers.M. GERAUD Daniel, bénévole associatif.M. GHAZOUANI Mohamed, brigadier-chef de l’armée de terre.M. GILLARD Jean-Yves, adjudant-chef de gendarmerie.M. GIMENEZ Jérôme, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. GIORDANENGO Jacques, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. GIRARD Yoann, maréchal des logis de gendarmerie.M. GIRAUD Marc, sergent de sapeurs-pompiers.M. GIRAUD Nicolas, bénévole associatif.M. GOLETTY Raphaël, ingénieur principal territorial.M. GOMBS Gaël, bénévole associatif.M. GONTIER Fabien, sergent chef de sapeurs-pompiers.M. GOULET Jérémie, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. GOUNINE Benoît, capitaine de gendarmerie.M. GRAC Jean-Luc, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. GRAND Jean-Claude, colonel de sapeurs-pompiers.M. GRATRAUD Jean-Baptiste, adjudant de gendarmerie.M. GRONDIN Régis, adjudant-chef de gendarmerie.M. GRUSON Nicolas, adjudant de sapeurs-pompiers.M. GUEGUEN Gildas, adjudant de gendarmerie.M. GUERIN Jean-Louis, commandant de police à l’emploi fonctionnel honoraire.M. GUICHARD Éric, capitaine de gendarmerie.M. GUIGOU Joël, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. GUINET Alain, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.Mme GUZZI Mallaury, bénévole associatif.M. HAMADA Henri, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. HANOT Ludovic, adjudant de l’armée de terre.M. HEARD Ludovic, adjudant de gendarmerie.M. HENNIQUE Rafael, brigadier de l’armée de terre.M. HENRIET Michaël, brigadier de police.Mme HENRY Paméla, bénévole associatif.M. HERRMANN Thomas, sergent de sapeurs-pompiers.M. HIRSCH Florent, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. HOVINE Jean-Luc, médecin capitaine de sapeurs-pompiers.Mme IMBERT Catherine, bénévole associatif.



M. ISNARD Jean-Luc, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. ITALIANO Philippe, adjudant de gendarmerie.M. JACQUESSON François, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. JACQUET Laurent, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. JEAN Nicolas, caporal-chef de sapeurs-pompiers.Mme JOUFFREY Adeline, bénévole associatif.M. JUGIE Florent, brigadier de gendarmerie.Mme JUHEL Marie, bénévole associatif.M. JULIEN Jean-Christophe, capitaine de sapeurs-pompiers.M. KAOUSSAH Rachid, gendarme.Mme KLEIN Françoise, attaché d’administration de l’État.M. KOENIG Alain, adjudant-chef de gendarmerie.Mme KOLAR Sophia, bénévole associatif.M. LA IACONA Franck, adjudant de gendarmerie.M. LABONNE Georges, bénévole associatif.M. LABORDE Jean-François, chef d’escadron de réserve de gendarmerie.M. LACOSTE Alexandre, lieutenant de vaisseau, marin-pompier de Marseille.M. LACROIX Philippe, brigadier de police.M. LAGROU Alain, major de police.M. LAIRAT Florent, adjoint de sécurité.M. LAMBERT Thomas, sapeur de 2e classe de sapeurs-pompiers.M. LARDANT Jacques, lieutenant de gendarmerie.M. LARROQUE Charles, commandant de police.M. LAUZE Denis, adjudant de sapeurs-pompiers.M. LAUZE Patrick, adjudant-chef de gendarmerie.M. LE BIHAN Stéphane, adjudant de gendarmerie.M. LE BOT Yannick, adjudant-chef de gendarmerie.M. LE CARROUR Guilhem, adjudant de gendarmerie.M. LE GUEN Joevin, brigadier de l’armée de terre.M. LE LORREC Pascal, infirmier principal de sapeurs-pompiers.M. LE MANACH Olivier, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. LE MOUEL Philippe, général de brigade de gendarmerie.M. LEFEBVRE Patrick, capitaine de gendarmerie.M. LO FARO Frédéric, conseiller d’administration de l’intérieur et de l’outre-mer.M. LOLO Michel, ouvrier d’État.M. LONGUET Stéphane, brigadier-chef de police.M. LOSI Olivier, capitaine de sapeurs-pompiers.M. LOUIS Jean-Nicolas, adjudant-chef de gendarmerie.Mme LUCHESI Marie-Pierre, infirmier d’encadrement de sapeurs-pompiers.M. MAGGIANI Frédéric, commandant de sapeurs-pompiers.M. MAIGNAN Ferdinand, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. MALICK Pascal, major de gendarmerie.Mme MANSAT Brigitte, secrétaire administratif de classe exceptionnelle.M. MANUEL Frédéric, adjudant de sapeurs-pompiers.M. MARET Adrien, chasseur de 1re classe.M. MARGOTTO Didier, commandant de sapeurs-pompiers.M. MARSAN Bernard, major de police.M. MARTEL Grégory, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. MARTIN André, commandant de sapeurs-pompiers.M. MARZI Jean-Paul, capitaine de gendarmerie.



M. MASSAIA Matthieu, adjoint technique de 2e classe.M. MASSON Édouard, brigadier de l’armée de terre.M. MASSON Laurent, adjudant de gendarmerie.M. MASSON Pierre, lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. MATHIEU Mickaël, caporal (FORMISC).M. MAVILLA Romain, bénévole associatif.M. MEDICI-VINCENT Mathieu, sergent de sapeurs-pompiers.M. MESROBIAN Éric, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. MESROUK Azdine, secrétaire administratif de classe exceptionnelle.Mme MESSUD Dominique, secrétaire administratif de classe normale.M. METAYER Anthony, brigadier-chef de l’armée de terre.M. METTEZ Denis, bénévole associatif.M. MEUNIER Michel, adjudant de l’armée de terre.M. MEURIOT Martial, colonel de gendarmerie.M. MICHEL Alexis, brigadier-chef de l’armée de terre.M. MICHEL Jean-Marc, caporal-chef de sapeurs-pompiers.Mme MICHEL Marie-France, rédacteur principal de 1re classe.M. MICHEL Yoann, gardien de la paix.M. MILLIASSEAU Fabien, chef d’escadron de gendarmerie.M. MILLON Patrice, adjudant-chef de gendarmerie.M. MINKENDORFER Éric, adjudant-chef de l’armée de terre.M. MOLL Alexandre, gendarme.Mme MONNIER Cécile, infirmier de sapeurs-pompiers.M. MORACCHINI Pascal, lieutenant de 1re classe de sapeurs-pompiers.Mme MOREAUX Virginie, infirmier de sapeurs-pompiers.M. MORELLI Gérard, adjudant de gendarmerie.M. MOTHES Philippe, adjudant-chef de gendarmerie.M. MOUNAIX Frédéric, adjudant de gendarmerie.M. MOURLON Maxime, bénévole associatif.M. MULATERI Jean-Jacques, agent de maîtrise principal.M. MULLER Reynald, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. MURA Patrice, gardien de la paix.M. NACCIO Guy, capitaine de police.M. NAVARRO Alexandre, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. NEPVEUX Alexandre, adjudant (FORMISC).M. NOIZET Geoffrey, caporal (FORMISC).M. ODYE Laurent, brigadier de police.M. OLIVIER Romain, chasseur de 1re classe.M. OLLIVIER François, maréchal des logis-chef de l’armée de terre.Mme ONNEE Manon, sergent de sapeurs-pompiers.M. OTTAVI Guillaume, commandant de sapeurs-pompiers.Mme PAILHE Charlotte, gendarme.Mme PANISSIE, née SARPENTIER Christelle, gardien de la paix.M. PAPALARDO Frédéric, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. PARAU Julien, brigadier-chef de l’armée de terre.Mme PARINI Énéa, bénévole associatif.M. PARIZE Philippe, bénévole associatif.M. PASCAL Gilbert, lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.Mme PASCAL Hélène, brigadier de police.M. PAUL Fabrice, caporal-chef de sapeurs-pompiers.



Mme PEBRE Laurence, infirmier principal de sapeurs-pompiers.M. PECHARD Arnaud, capitaine de sapeurs-pompiers.M. PECOUT Sébastien, adjudant de gendarmerie.M. PEDEGERT Jean-François, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. PEGAND Sébastien, adjudant de gendarmerie.Mme PELLOUX Oriane, caporal de sapeurs-pompiers.M. PERRIN Aloïs, gendarme.M. PHILIBERT Jean-Baptiste, caporal-chef (FORMISC).M. PICARD Cédric, adjudant-chef de l’armée de terre.M. PINTUREAUD Julien, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. PIROLA Raymond, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. PISANI Marc, brigadier de police.M. PISANI Pascal, capitaine de police.M. PLAISANT Jean-Yves, adjoint technique principal.M. POIRIER Jean-Marc, second-maître, marin-pompier de Marseille.M. PONS Franck, médecin de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. PORTIGLIATTI Luc, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. POTAUX Mikaël, brigadier de gendarmerie.M. POUJOL Stéphane, adjudant de l’armée de terre.M. POUPONNOT Aurélien, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. PRAT Denis, sergent de sapeurs-pompiers.M. PRINCE Didier, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. PUENTE MIGUEZ François, bénévole associatif.Mme PUYDEBOIS Émilie, aspirant de gendarmerie.Mme QUINONES Sophie, infirmier de sapeurs-pompiers.M. RANDRIATSIMIALONA Volamena, bénévole associatif.M. RANISE Marc, ouvrier d’État.M. REGNIER Jean, adjudant-chef (FORMISC).Mme REHEL Magali, infirmier de sapeurs-pompiers.M. REICHARD Stéphane, caporal de sapeurs-pompiers.M. REKIA Toufik, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. RENAUDIN Guillaume, adjudant de gendarmerie.M. REVURAT Jérémy, brigadier-chef de l’armée de terre.M. REY Michel, adjoint au maire de Seyne.M. RIVELOIS Steven, caporal de sapeurs-pompiers.M. ROBERT Jean-Marc, secrétaire administratif de classe exceptionnelle.M. RODRIGUEZ Xavier, gendarme.M. ROEHMER Alexandre, maréchal des logis de l’armée de terre.M. ROUSSEL Guillaume, brigadier-chef de l’armée de terre.Mme ROUX Corinne, rédacteur principal de 1re classe.M. ROUX Jacques, bénévole associatif.M. ROUX Jean-Fabien, médecin lieutenant-colonel de sapeurs-pompiers.M. ROUZAIRE Guillaume, gendarme.M. RUIZ Robert, caporal-chef de sapeurs-pompiers.M. SAIAH Samir, bénévole associatif.M. SAINT-GIORGIO Franck, adjudant de gendarmerie.M. SAISON Laurent, capitaine de sapeurs-pompiers.M. SANCHEZ Théo, gendarme.M. SARLIN Benjamin, caporal de sapeurs-pompiers.M. SARRACANIE Alain, caporal-chef de sapeurs-pompiers.



Mme SCHMID Audrey, contractuel.M. SCHROEDER François, lieutenant de gendarmerie.M. SEIGLAND Jérôme, bénévole associatif.M. SEIGNIER Guillaume, adjudant de l’armée de terre.M. SENATORE Alain, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. SENRA Thibault, maréchal des logis de l’armée de terre.M. SERA Jean-Marc, premier-maître, marin-pompier de Marseille.M. SIANO Pascal, gardien de la paix.M. SINAEVE Éric, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. SKRZYPEK Nicolas, médecin capitaine de sapeurs-pompiers.M. STAGNARO Jérôme, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. STEFANINI Noël, bénévole associatif.M. STEVENOT Cédric, bénévole associatif.M. STIEB Jean-Charles, bénévole associatif.M. STIMPFLING Lionel, maréchal des logis-chef de gendarmerie.Mme SZCZYGLOWSKI Patricia, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.M. SZCZYGLOWSKI Paul, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.M. TADDEI Pascal, commandant de police.M. TAIX Cyril, brigadier-chef de l’armée de terre.M. TANATA Gildas, brigadier de l’armée de terre.M. TARDIEU Arnaud, chef d’escadron de gendarmerie.M. TARROUX Philippe, commandant de sapeurs-pompiers.Mme TASSIN Carole, bénévole associatif.M. TAVERNA Gilles, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. TERRETTAZ Thomas, gendarme.M. TEUMA Vincent, major de l’armée de terre.M. THERON Alexandre, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. THOUVENOT Bertrand, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. THURIET Pascal, capitaine de gendarmerie.M. TOBAL Michel, bénévole associatif.M. TOFFIN Olivier, adjudant-chef de l’armée de terre.M. TOUQUET Alain, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. TRASLEGLISE Éric, lieutenant de sapeurs-pompiers.Mme TREMELLAT Florence, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. TRIGO Sébastien, sapeur de 2e classe de sapeurs-pompiers.Mme TRIGUEIRO Corinne, bénévole associatif.M. TRINCI Stéphane, lieutenant de sapeurs-pompiers.M. TRIPOGNEY Jean-François, lieutenant-colonel de gendarmerie.M. VADON Laurent, contractuel.M. VALTON Paul-Jacques, agent technique principal de 2e classe.M. VANDREPOTTE Axel, chasseur de 1re classe.M. VAPILLON Frédéric, gendarme.M. VAZQUEZ José, sergent de sapeurs-pompiers.M. VERGNES Alban, lieutenant de l’armée de terre.Mme VEYS Caroline, sergent-chef de sapeurs-pompiers.M. VIALARET Stéphane, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. VIEIRA Yves, adjudant de l’armée de terre.M. VIGNA-TON Franck, adjudant-chef de l’armée de terre.M. VIGNOT Luc, adjoint administratif.M.VINCENT Loïc, caporal-chef (FORMISC).



Mme VITALIS Laurence, gendarme.M. VOILET Frédéric, adjudant-chef de l’armée de terre.M. VUILLEMIN Pierre, maréchal des logis-chef de gendarmerie.M. WEISS Peter, bénévole associatif.Mme WEITZ Sylvie, bénévole associatif.M. WIRTH Jean-François, adjudant de gendarmerie.M. ZANATTA Manuel, sapeur de 1re classe de sapeurs-pompiers.

Article 2

L’arrêté du 5 janvier 2016 portant attribution de la médaille de la sécurité intérieure est abrogé.

Article 3

Le présent arrêté sera publié au Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses et au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.


Bernard cazeneuVe




Arrêté du 25 avril 2016 portant attribution de la médaille de la sécurité intérieureNOR : INTK1610491A

Le ministre de l’intérieur,Vu les articles D. 141-2 à D. 141-10 du code de la sécurité intérieure,

Arrête :

Article 1er

Dans le cadre d’une promotion exceptionnelle, une médaille de la sécurité intérieure est attribuée aux personnes suivantes :

I. – ÉCHELON OR

M. ABBES Mehdi.Mme ABRIAT Amandine.M. ALTER Vincent.Mme ARRIGHI Elvire.M. AUBARD Nicolas.M. BALLOUX Nicolas.M. BANAIAS Gimi.M. BARBE Philippe.M. BARNABE Bastien.M. BASCAZEAUX Vincent.M. BATRANCOURT Sébastien.M. BEDAS Marc.M. BENHADDA Samir.M. BENOIT David.M. BETRAND Patrick.M. BILLARD Frédéric.M. BILLET Ludovic.M. BISSON Yoann.M. BOIZAT Stéphane.M. BOLLUYT Guillaume.M. BOSCARIOL Frédéric.M. BOURDELES Romain.M. BOUZIDI Saïd.M. BOYER Olivier.M. BRAGARD Nicolas.M. BRUNET Kévin.M. CAILBAUT Clément.M. CARDY Guillaume.M. CASIER Damien.M. CAUCHE Jean-Daniel.M. CEZAR Didier.M. CHADRYS Philippe.M. CHAMOUSSET Éric.



M. CHARRIER Gaël.M. CHAUDRON Andy.M. CHAUMET Amaury.M. CHAUVEL Jean-Yves.Mme CHRISTOL Géraldine.M. CHU King.M. CLEMENCE Christophe.M. CLEMENCE Laurent.M. COLLIGNON Gérald.M. CORRAIE Lionel.M. COUGNIOT Fabien.M. COURBOIS Guillaume.M. CREMONESI Jérémy.M. CUEFF-JOISSAINS Erwan.M. DAMOND Kévin.M. DAUVILLIER Laurent.M. DAZY Brice.M. DELACHE Jonathan.M. DELFORTRIE Grégory.M. DELICATA Jean-Luc.M. DELUNEL Alexandre.M. DEMARS Renaud.Mme DERRIERE Sandrine.M. DUBOURDIEU Stéphane.M. DULAC Philippe.M. DUMOND Julien.M. DUPIC Cyril.M. DUPOUX Sébastien.M. DUVALLET Alexandre.M. EL IDRISSI Karim.M. EVERAERE Franck.M. FERAL Xavier.Mme FIBLEUIL Sonia.M. FLEURY Mathieu.M. FLINOIS Grégory.M. FRANCHETEAU Jacky.M. FRANSON Sébastien.M. FREYERMUTH Florian.M. FROUART Julien.M. GALLO Philippe.M. GALTIER Laurent.M. GARCIA Stéphane.M. GARGAN Pascal.M. GENOTELLE Nicolas.M. GEOFFRIN Benoît.M. GERBET Benjamin.M. GIRAUDET Kévin.M. GODART Clément.Mme GODEFROY Anne.



M. GOMES Joël.M. GONZVA Jonathan.M. GOUERRE Christophe.M. GRENIER Fabrice.M. GUERRY Christophe.M. GUESMI Wissem.M. GUIDOUX Nicolas.Mme HACQUARD Sabrina.M. HANUS Erwan.M. HARBOUX Stéphane.M. HECTOR Joseph.M. HEMART Franck.M. HOLLAND Pierre.Mme ICEAGA Raphaële.M. JAFFRE Martial.M. JEAN Frédéric.M. KHENDEK Nadir.M. KURMAN Loïc.M. LAFITTE Nicolas.M. LALLEMENT David.M. LAMBERT Olivier.M. LAPOINTE Guy.Mme LARREMENDY Sandrine.M. LATRECHE Nabil.M. LE BRUN Arnaud.Mme LEMOINE Sabine.M. LE NGOC HUE Christian.M. LE POGAM Didier.M. LENGLET Thierry.M. LEROUGE Pierre.M. LESAFFRE Xavier.M. LEZE David.M. LINOL Yoann.M. LLOPIS François.M. LOGARIDES Florian.Mme LOUVET Sophie.M. MARTIN Guillaume.M. MARTIN Romuald.M. MARTINS Julien.M. MAZET Jérémy.M. MELEY Philippe.M. MENAHEM Jérémy.M. MERLIN Yann.M. MERMAZ-ROLLET Damien.M. MILLE Frédéric.M. MOLMY Christophe.Mme NAVARO Laure.Mme NEGRE Elodie.M. NOEL Paul.M. OCTOBRE Sandino.



M. OLKIEWICZ Charles.M. OULES Jean-Baptiste.M. PATUREL Rudy.M. PENIN Laurent.M. PEREIRA Alexandre.M. PEREIRA DE OLIVEIRA Toni.M. PIERART Jérémy.M. PINTO Daniel.M. PIOLOT Thierry.Mme POIRIER Sophie.M. POIROT Alexandre.M. POISSON Yann.M. POITEVIN Alexis.M. POUGEZ Florent.Mme POUPON Anne-Sophie.M. POURET Jean-Fabrice.M. PRIEUX Maxime.M. PRUVOST Nicolas.M. QUÉMÉNER Johann.M. RAGOT Anthony.M. REGENT Damien.M. REGERAT Olivier.M. RIÉ Laurent.M. RISS Jean-Marc.M. RIVIERE Aurélien.M. RODRIGUEZ Julien.M. ROLLIN Jérémy.M. ROSAY Amaury.M. ROTY Vincent.M. ROUSSE Thibault.Mme ROYERE Cécile.M. ROSA Adrien.M. RYBICKI Benoît.M. SAFRAN Denis.M. SALINAS Georges.M. SALINE Laurent.Mme SANCHEZ Charlotte.M. SERVOISE Éric.M. SKUDLARA Pascal.M. STRIEBIG Romain.Mme SZTULMAN Laurence.M. TABOURET Robert.M. THOLANCE Franc.M. THONNEAU Thierry.M. THORIGNE Philippe.M. TORRES Jeoffrey.M. TOUJAS Mathieu.M. TURELIER Fabien.M. VALADIER Guillaume.M. VENDRENNE-CLOQUET Vivien.



M. VERGIAT Pierre.M. VERGNE Pierre.M. VERRIEST-CORREARD Franck.M. VIDEAU Grégory.Mme VUILLIN Sandrine.M. WASSNER Jocelyn.M. ZIE Philippe.

II. – ÉCHELON ARGENT

M. ABANDEDJAN David.M. ABILY Loïc.M. ADDAL Saber.M. AKIL Verner.M. ALBAREL Jean-Philippe.M. ALEXANDRE Johnny.M. ALEXANDRE Marc.M. ALPHONSINE Fred.M. ALVES Philippe.M. AMGHAR Mohammed.M. ANDRÉ David.M. ANDRIEUX Jérôme.M. ANGENAULT Franck.M. ARDEVOL François.Mme ARDOUIN-CIVIOL Julie.M. ARNAUD Guillaume.Mme ARVIS Anne-Marie.Mme ARZUR France.M. ASHAFA Motajo.M. ATCHA Charles-Cliff.M. AUBIN David.M. AUGUSTE Antoine.Mme BACLET Olivia.M. BAGOUSSE Olivier.Mme BAILLY Estelle.M. BALDACCHINO Pascal.M. BAN-NAN Grégory.M. BARBAGLIA Cyrille.M. BARBIER Philippe.M. BARROT Sylvain.M. BARTHELEMY Nicolas.M. BARY Xavier.M. BASTIDE Laurent.M. BAUDOT Patrick.M. BAURE Paul Henry.Mme BEGUE Marjorie.M. BEGUEC Francis.M. BELLIARD Jean-Luc.Mme BEN SOUSSAN Sarah.M. BENECH Dominique.



M. BERCEAU David.M. BERGER Ludovic.M. BESSE Régis.M. BETES Franck.M. BIEJ Vincent.M. BIGOT Guillaume.M. BIHOREAU Christophe.M. BILLERET Damien.M. BLANCHARD Emmanuel.Mme BLEUNVEN Christine.M. BLONDEL Cédric.M. BOBAN Cédric.M. BON Olivier.M. BONNEAU Jérôme.M. BONNET Cédric.M. BONNET Raphaël.M. BONNIER Christian.M. BONNIFET Mathieu.Mme BORDIER Aude.M. BOUCHARIN Christophe.M. BOULET Christophe.M. BOURBOTTE Patrick.M. BOURGUIGNON Alain.M. BOUTIN Ludovic.M. BOUZIDI Elhadj.M. BOYER Mickaël.Mme BRELEUR Laurence.M. BRENEAU Bertrand.Mme BRIASCO Céline.Mme BRICHE Frédérique.Mme BRICHET Emilie.M. BROSSELIER Luc.M. BROTEL Damien.M. BRUCHIER David.M. BRUNE Christophe.M. BUREAU Fabrice.M. CABOCHE Michel.M. CALAMAI Franck.M. CALVET Alain.M. CARBONNET Sylvain.M. CARMINATI François.M. CARROUX Patrice.M. CASSOURET Guillaume.M. CASTELA Luc.M. CASTILLA Julien.M. CATRICE Ronald.M. CHAMBIET Pierre.M. CHAMBON Jérôme.M. CHARLES Frédéric.M. CHATAIGNE Ludovic.



M. CHAUSSAT Sébastien.M. CHAUVEAU Eric.M. CHOBRIAT Sébastien.M. CHOUQUET Sébastien.M. CHOUVIN Lionel.M. CLABEAU José.M. CLAEYS Alexandre.M. COLLIN Matthieu.M. CONDEMI Maxime.M. COPETTI Jean-Paul.M. CORET Dorian.M. CORNIGLION Jean-Philippe.Mme COSSON Alexandra.M. COSTES Lionel.M. COUDIN Richard.M. COUROUSSE Sébastien.M. COURTECUISSE Steeve.M. CREPIN Jonathan.Mme CRETENET Julie.M. CRON Jean-Christophe.M. CUZIN Olivier.Mme DA COSTA Kathy.M. DA ROCHA Jean.M. DA ROCHA Patrick.Mme DABURON Jessica.M. DAGORN Samuel.M. DARS Pierre.M. DAVID Jean-Michel.M. DAVIS Rodney.Mme DE ALMEIDA Claire.M. DE LA FOLLYE DE JOUX Benoît.Mme DE MENDITTE Alice.M. de VILLOUTREYS Pierre.M. DEAU Christian.M. DEBIZE Christian.M. DEBOUZY Jean-Baptiste.Mme DECOULEUR Sandrine.M. DELAPORTE Frank.M. DELAY Frédéric.Mme DELTREUIL Marie-Hélène.M. DEMANNEVILLE Cédric.M. DEQUENEC Jacques.M. DESMARAIS Brice.M. DÉSORMAIS Benjamin.M. DESPREZ Philippe.M. DEZON Eric.M. DHORBAIT Anthony.M. DI BIASE Jérôme.M. DI TULLIO Adrien.M. DIA Aliou.



M. DIDIOT Olivier.M. DMOUGUI Omar.M. DOUGUET Stéphane.M. DOUKALI DAIEF Mouad.M. DOUSSIN Bruno.M. DRIGNY Eric.M. DUBOIS Mathieu.M. DUBOIS Sébastien.M. DUCOUSSO William.M. DUMAS Christophe.Mme DUMONDEL Charlène.M. DUPONT Frédéric.M. DUREL Bruno.M. DUSSAULE Thierry.M. DUVAL Olivier.M. DUVAULT Olivier.M. ERNOUF Cédric.M. ESPINASSE Xavier.M. FAGNOU Kévin.M. FEMANDY Daniel.M. FEREL Rémy.M. FERRIER Jean-Luc.M. FORGET Yann.Mme FOUCHE Noëlla.M. FOURMAUX Emmanuel.M. FRADET William.M. FRADIN Jordan.Mme FRIEDRICH Marion.Mme GAGNAIRE Aurore.M. GALLETTI David.Mme GARCIA Delphine.M. GAUCHERY Jean-François.M. GAUDIN Fabrice.M. GAUTHIER James.M. GELLA Franck.M. GEOFFROY Nicolas.M. GEOFFROY Thierry.M. GERONIMI Pascal.Mme GIAIME Florence.M. GIGER Christophe.M. GIL Bruno.M. GINOUVEZ Nicolas.M. GIRAUD Alain.M. GIRAUD Jean-Marc.M. GNEMMI Mathieu.M. GOBIN Alain.M. GONZALEZ Olivier.M. GOSSE Stéphane.M. GOUJON Patrick.M. GOURDEN Sylvain.



M. GRAC Laurent.M. GRAS Yann.M. GRASSET Damic.M. GRESSIER Frédéric.M. GROIZARD Charles.M. GROSMAITRE Steve.M. GUÉNÉGOU Florent.Mme GUERANT Karine.M. GUILLIEN Thierry.M. GUINI Nicolas.Mme HADDAD Jessika.M. HELIN Patrick.M. HERVAULT Nicolas.M. HIOLLE Cédric.M. HOARAU Christopher.M. HOCQUETTE Cédric.M. HUBER Xavier.M. HUBLET Lionel.M. HUBNER Franck.M. HUILLERY Bruno.M. JACQUEMINET Lionel.M. JAGUT Romain.M. JAMES Joël.M. JEAN Florian.Mme JOSNARD Justine.M. KERFOURN Stéphan.Mme KERVICHE Sandrine.Mme KOTCHIAN Laurence.M. KUBICZEK Christophe.M. LABBE Jean-Philippe.M. LABORIE Jean Marc.M. LABOUREY Julien.M. LAFFONT Gilles.Mme LAFREK Fatima.M. LAILLE Franck.Mme LAMIRAND Karine.M. LAMOTTE Denis.M. LANGLOIS Bruno.M. LANGLOIS Matthieu.M. LAPEIRA Marcel.M. LAPORTE Guillaume.M. LARCHER Luc-Noël.M. LARGENTIER Nicolas.M. LAURENT Cyrille.M. LE BAIL Brice.M. LE BOULLEUR DE COURLON Thibauld.M. LE BOURBASQUET Sylvain.M. LE BOURHIS Loïc.M. LE CAM Jean-Charles.M. LE CARDIET Gilles.



M. LE COQUIL Erwann.M. LE CORFEC Thibaut.M. LE COZ Pierre.M. LE CUNFF Yann.M. LE FRAPPER Ludovic.Mme LE GUIL Laetitia.M. LE JALLE Christian.M. LE MEUR Christophe.M. LECORVAISIER Frédéric.M. LEFEUVRE Renan.M. LEFORT Hugues.M. LEPRETRE Jooris.M. LESZCZYNSKI William.M. LIENARD Sacha.M. LOCQUENEUX Raphaël.M. LOINTIER Florian.M. LONGUET Thibault.M. LOPES Sébastien.MmE LOPEZ Christelle.Mme LOUCHART Victoria.M. LUCE-VERONIQUE Franck.M. MADIGOU Rémy.M. MALTERRE Christian.Mme MARCINIAK Julie.M. MARIANI Julien.M. MARICELLE Frédéric.M. MARIE-SAINTE José.Mme MARQUANT Marie-Cécile.M. MARSAL Paul.M. MARTIN Edouard.M. MATHIAS Bertrand.M. MC NAMARA Mathieu.M. MELSE Franck.M. MENIGON David.M. MENORET Romuald.M. MERLE Julien.M. MERLIN Emmanuel.M. MESTARI Jamel.M. MEYER Philippe.Mme MICHEL-COCHAT Aurore.M. MICHELOT Olivier.M. MICHINEAU Willy.M. MIONNET Christophe.M. MITRECE Nicolas.M. MOCHEN Patrick.Mme MOISY Sophie.M. MOLINOS Loïc.M. MONCE Johan.M. MONKOUOP MEFIRE Roméo.M. MONTERO Téofilo.



M. MOREL Joseph.M. MORIN Hervé.M. MOYROUD Julien.Mme MULLER Clémentine.M. MUSELLI Mickaël.M. NEHME Elie.M. NEMOZ Pierre.M. NICASTRO Jean-Philippe.M. NOEL Adrien.M. NOUVION Germain.M. O’SCANLAN Piers.M. OU Séla.Mme PACHOLCZYK Geneviève.M. PAILLAT Loïc.Mme PAIN Anaïs.M. PAQUOTTE Andrew.M. PARCAY Matthieu.M. PARIS Nicolas.Mme PASCAL Chloé.M. PATUREL Gary.M. PEDEL Grégory.Mme PEREIRA RODRIGUES Sandrine.M. PEREZ Julien.M. PETIT Guillaume.M. PETITCLERC Matthieu.M. PETITCOLIN Gilles.M. PHILIPON Aymeric.M. PHILIPPE Jonathan.M. PINCHEDEZ Hervé.M. PLANTARD DE SAINT CLAIR Thomas.Mme PLOQUIN Aurélie.M. PLUS Gabriel.Mme PLUSQUELLEC Gwenaëlle.M. POULIQUEN Loïc.M. POUMAROU-SEPTHAUX Bastien.M. PRATURLON Rémi.M. PREZELIN Laurent.M. PRIEUR RaphaëlM. PRIGENT Stéphan.Mme PRIGNOT Laetitia.M. QUELENNEC Michel.Mme QUESSON Hélène.M. QUILICHINI Cédric.M. RAJON Benjamin.M. RASLE Patrick.M. RAYNAUD Pascal.M. REIX Gilles.M. REMY Olivier.M. RENARD Didier.M. RENAUD Rodolphe.



M. RENOU Sébastien.M. RICHARD François.Mme RICHARD Virginie.M. ROBIDOU David.M. ROCHA Michel.M. ROCHE Christophe.Mme RODRIGUES DAMAS Cécile.Mme ROGIEZ-THUBERT Perrine.M. ROGUI Jalal.M. ROSELÉ Grégory.M. ROUBIN Renaud.M. ROUCHES Olivier.M. ROUSSEL Yoann.M. RUTIGLIANO Julien.M. SABOT Thierry.M. SAFORCADA Thierry.M. SAGON David.M. SAINT-MARC Stéphane.M. SAMSON Frédéric.M. SAP Luckian.M. SAS Alexandre.M. SCHAEFFER-PLUMET Julien.M. SCHMITT Philippe.M. SENEQUE Bertrand.M. SERVEAUX David.M. SIMEON Baptiste.Mme SIMON Sandrine.M. SIMONNEAU Cyril.M. STEVE Julien.M. TABAR Fabiano.M. TAHON Manuel.M. TAIEB Kadour.M. TAMIC Brieux.M. TAOKO Dominique.M. THOMAS Philippe.M. THORAVAL Marc.M. THOZET Sébastien.M. TITREVILLE Rudy.M. TOORABALLY Salim.M. TOUBOUL Edmond.M. TRAVERS Stéphane.M. TREHOU Medhi.M. TRIOU Jérémy.M. TROHEL Guillaume.Mme TRUBUIL Catherine.M. VALENTIN Sébastien.Mme VANHACK Aurore.M. VANLERBERGHE Bruno.M. VARANGOT Bruno.Mme VER ELST Céline.



M. VERDAGUER Jordi.Mme VEREQUE Nathalie.M. VILPOUX Yannick.Mme VINCENT Valérie.M. VIOLIN Laurent-Yan.M. VO-DINH Xavier.M. VOISIN Stéphane.M. VRANCKX Nicolas.M. WIECZOREK Dominique.M. YAHIEL Jérôme.M. YBERT Eric.M. ZARZYCKI Stéphane.M. ZDUNEK Thomas.M. ZINEZINE Sidi.

III. – ÉCHELON BRONZE

M. ABADIE Anthony.Mme ACART Aurélie.M. AGOSTINI Charles.M. AIMEDIEU Jérémie.Mme ALFONSI Anne.M. ALLANIC Pierre.M. ALLIOT Étienne.M. ALLONNEAU Alexandre.Mme ALMES Estelle.M. AMGHAR Mourad.M. AMILY Johnny.Mme ANCELIN Justine.M. ANDRIER Alain.M. ANGUILLE Charly.M. ANTOINE SAID Dhoulkifli.M. ANTONIOU Jean-Christophe.Mme ARDOUIN Vanessa.Mme ARGAST Priscilla.Mme ARNAUD Marine.M. ASCIONE Jérôme.Mme ASSELIN Line.M. ATTALIE David.M. AUBLAN Julien.M. AUDEBERT Vincent.M. AUDRAIN David.M. AUTRET Kévin.M. AVRIL Sébastien.Mme AZAGOURY Séphora.M. BACHIRI Karim.M. BAILLEUL Bruno.M. BALDÉ Mohamed.M. BARADEAU Marc.M. BARBEYROL Cyril.



M. BARDET Manuel.Mme BAREILLE Christelle.Mme BARLIER Roxane.Mme BARRE Anne-Sophie.M. BARRÉ Wenceslas.M. BARRON Eric.Mme BASSET Catherine.M. BASSOT Damien.M. BASUYAUX Thierry.M. BATAILLE Gaëtan.M. BATZ Laurent.M. BAULIG Augustin.M. BEAUJARD Cédric.M. BEAUME Jean-Sébastien.M. BEAUMONT Nicolas.M. BEAUVAIS Titouan.M. BECHU Kilian.M. BEGARDS Jérôme.M. BEHAGUE Benjamin.M. BELMONTE Mickaël.M. BELOUMRI Youssef.M. BENBAZIZ Nabil.M. BENEY Philippe.M. BENINI Mathieu.M. BENNOUR Théo.M. BENSAAD Nabil.M. BENZABAT Lakhdar.M. BERTRAND Patrick.M. BEZAURY Pierre.M. BIAGGI Renaud.M. BIALES Pierre.M. BIDOIS Alexandre.M. BIHLMAIER Lilian.M. BILLARD Frédéric.M. BINEAU Sébastien.M. BITSCH Christophe.M. BIZET Rodny.M. BLEL-CANON Christopher.M. BLETRY Joseph.M. BODENES Christophe.M. BODET Benoît.M. BOILEAU Jean-Marc.M. BOITELLE Thierry.M. BONBOIS Marc-Etienne.M. BONGIBAULT Guillaume.M. BONHOMEAU Thierry.M. BONNET Cyril.M. BONNET Jean-Louis.M. BORD Kévin.M. BORNON Emmanuel.



M. BOUCHER Paul.M. BOUGARAN Yohan.Mme BOULLE Julie.M. BOURAT Michaël.M. BOURDELAT Erwan.M. BOURDELES Romain.M. BOURGEOIS Sébastien.M. BOURRON Joël.Mme BOUTAVANT Emilie.M. BOUTBIEN Morgan.M. BOUVIER Frédéric-Etienne.M. BOUVILLE Gérémy.Mme BRAEME Amandine.M. BRAUD Laurent.M. BRAYE Antoine.M. BRESCHBUHL Grégory.M. BRIERO Eddie.M. BRINGUIER Pierrick.M. BRISSAUD Guillaume.M. BROUSSEAU Mickaël.Mme BRUGEROLLES Valérie.Mme BRUILLON Stéphanie.M. BRUNEAU Laurent.Mme BRUNEAUX Lucie.M. BRUNELLE Sylvain.M. BRUSTIER Nicolas.M. BUZON Stéphane.M. CABON Tony.M. CAFFIER David.M. CAILLIEZ Julien.M. CAILLOT Florent.M. CALIXTO Sam.M. CAM Jean-Pierre.M. CAMPIN Sébastien.M. CAMPOURCY Pierre.M. CANNONNERO Thierry.M. CAPMARTY Franck.M. CARBEL Nathan.M. CARDAMONI Guillaume.M. CARDIET Yann.Mme CARDIN Flora.Mme CARLIEZ Sophie.M. CARON Jean-Louis.M. CARRIERE Gaël.M. CARTANNAZ Simon.M. CASAMATTA Antoine.M. CASIER Christophe.Mme CASTILLAN-SALOU Aurore.M. CATALOGNE Christophe.M. CATHERINE Nicolas.



Mme CAZZATO Isabelle.M. CHALIFOUR Didier.M. CHAMBAUDRY Sylvain.M. CHAMBRON Emeric.M. CHANFI Azihar.M. CHAPLAIN David.M. CHARBONNIER Sébastien.M. CHARDOT Michaël.M. CHAUSSEPIED David.M. CHAUVEL Olivier.M. CHAUVIN Yoann.M. CHEMINOT Nicolas.M. CHERKAOUI Hakim.M. CHEVREAU Florent.Mme CHEZY Anne.M. CHOLET Antoine.M. CHOPPY Bernard.M. CHOSSON Thibaud.M. CHRISTOV Pierre.M. CIPREOS Yann.M. CLAEYSSEN Maxime.M. CLAVREUIL Jean-Pierre.M. CLEMENTE Sébastien.M. COLIN Stéphane.M. COLLE Cyril.M. COLLET Nicolas.M. COLLIGNON Gérald.M. COLOMBI Jean-Jacques.M. COMANDÉ Nicolas.M. COMTOIS Richelin.M. CONIGLIARO Aimé.M. CONSTANS Christophe.M. CORANDI Lionel.M. CORNET Pierre-Alexandre.M. CORNILLARD Thomas.Mme CORVO Joëlle.M. COSIC Cédric.M. COURTET Pierre.M. CROC Aurélien.M. CROCHARD Julien.M. CROLY-LABOURDETTE Jacques.M. CROSNIER Éric.M. CUISSET Alexandre.Mme CUISSET Marilyn.Mme CULOMA Jennifer.M. CZARNECKI Christophe.M. DA COSTA Nicolas.M. DA COSTA Corentin.M. DAHR-EDDINE Kamal.M. DALICHOUX Dimitri.



M. DAMOLINI Telly.M. DARDET Romain.M. DARGAL Faouzi.M. DAUNAY Fabrice.M. DE GRANDMAISON Antoine.M. DE LEPINE Yannick.Mme DEBRY Charlotte.M. DEKINT Alexandre.Mme DELAPORTE Caroline.M. DELHOMMEAU Aurélien.M. DELLES Davy.M. DELOCHE Matthieu.M. DELPEUCH Jimmy.M. DEMAGNY Guillaume.M. DEMORGNY Aurélien.M. DENIS Cyril.M. DENIS Eddy.M. DENIS Emmanuel.M. DEPRINCE Jean-Noël.M. DERUFFE Stéphan.M. DESBARRES Franck.M. DESBARRES Lucas.M. DESDEVISES Samuel.M. DESHOMMES Julien.M. DESTREZ Romain.M. DEUTSCHER Gérard.Mme DEVERRE Anne-Julie.M. DEVILLE Mathieu.Mme DHOUAILLY Alexandra.M. DIDIER Thibaut.M. DIEGELMANN Pascal.M. DIF Raphaël.M. DIHACE Bouama.M. DISANT Jérôme.M. DONADILLE Nicolas.Mme DONNET Anelise.M. DOS SANTOS Joaquim.M. DOUHARD David.M. DOUILLY Romain.M. DOURS Thomas.Mme DRAPEAU Stéphanie.Mme DRIDI Radhia.M. DROGOU Victor.M. DUBOIS Ludovic.M. DUBREUIL Adrien.M. DUBUISSON Valentin.M. DUCHAUFFOUR David.Mme DUCLOS Pascale.Mme DUCROT Chrystel.M. DUFRESNE Thomas.



Mme DUGARREAU Stéphanie.M. DUJARDIN Arthur.M. DUMESNIL Gaëtan.M. DUMORTIER Gaël.Mme DUMUR Arlette.M. DUQUESNE Romain.M. DURAND Florian.M. DURANT Benoît.M. DUSSIN DOGAN Olçay.M. DUTOIT Christophe.M. ENÉE Dorian.M. EXTIER Alexandre.Mme FAHLAOUI Pamela.M. FALESCHINI Florian.M. FALLOU Nicolas.M. FARES Guillaume.Mme FAVARD Lucia.M. FEDELI Sébastien.M. FERHANE Mohamed.M. FERNANDES Armando.M. FERNANDEZ Matthias.M. FERRAND Emmanuel.Mme FERRAS Céline.M. FERRE Arnaud.M. FEYEUX Baptiste.Mme FILEAUX Laetitia.M. FIQUET Nicolas.Mme FISSON OUILLON Sabine.M. FITY Florent.M. FONNESU Florian.M. FONTAINE Roger.M. FORACE Lorenzo.Mme FORCIOLI Sophie-Charlotte.Mme FORTUNA Lydia.M. FOURNET Damien.M. FOURNIER Camille.M. FOURNIER Marc.Mme FOURNIER-MERCURI Elodie.M. FRADELIN Alex.Mme FRAISSANGE Dominique.M. FRAISSINET-TACHET Paul.M. FRANCETTI Dominique.M. FRESSE Guillaume.M. FRIMERMAN Guillaume.Mme FUCHS Nathalie.M. FUENTES Benoît.M. GABIN Wilfred.M. GAILLAC Olivier.Mme GALLAIS Marie.Mme GALLIANI Aurore.



M. GALLO Philippe.M. GAND Alain.M. GANNÉ Jean.M. GARCIA Rodolphe.M. GARCIA Rodrigo.M. GARNIER Bastien.M. GASCA Yannick.M. GASQ Valentin.M. GAUTHIER Baptiste.M. GAY Cédric.M. GAY David.M. GAYRARD Benjamin.M. GELPER Tom.M. GEORGE Yann.M. GEORGET Charles.M. GERARDIN Boris.M. GIACOMINI Jean-Marie.M. GIRARD Guillaume.M. GIRARD Jean-François.M. GIRARD Vincent.Mme GIRARDEY Carole.Mme GLADIEUX Elisabeth.M. GLASSER Morgan.Mme GONZALEZ Sandra.Mme GORINE Bartha.M. GOURDON Kevin.M. GOUT Cyril.M. GOUTARD Gilles.Mme GRAFF Audrey.M. GRAFTIAUX Gilles.M. GRAVIER Charly.Mme GRESSIER Julie.M. GRODZKI Guillaume.M. GRONDIN Eugène.M. GRONDIN Sébastien.M. GROSS Cyril.M. GROSSIN Mickaël.M. GRUBIS Thibaud.M. GRUIT Mathias.M. GUERIN Julien.M. GUICHARD Emmanuel.M. GUILLEMOT Benoît.M. GUILLOT DE SUDUIRAUT Matthieu.M. GUILLOU Bastien.Mme GUIOCHON Valériane.M. GUIRAUD Nicolas.M. GURWICZ Cédric.M. HAMANI Johann.M. HAMI Hicham.M. HAMONIC Erwan.



M. HANCKE Nicolas.Mme HARDY-ATLATI Nassera.M. HARS Rudy.M. HAYOTTE Marvin.M. HEBERT Thomas.M. HELSTROFFER Stéphane.M. HENRY Alexandre.M. HERISSON Charles.M. HERISSON Lionel.Mme HERVIOU Harmonie.M. HIRSCH Maxime.M. HODENCQ Romain.M. HORGUE Florian.Mme HOUETTE-MARCQ Fabienne.M. HOUSSET Morgan.M. HUET Anthony.M. HUGUET Alan.M. HUSSON DE SAMTIGNY Renaud.M. HUYGENS Brice.M. IERACI Angelo.M. INGRATTA Enguerrand.M. JABOUILLE Julien.M. JACQUY Maxime.M. JANIN Stéphane.M. JEAN-DOAT Olivier.M. JEHANNO Styvenn.M. JINADU Tosin.Mme JOMARD Alexandra.M. JOULIET Igor.M. JOURDAIN Arnaud.M. JOUVE Olivier.M. JUDLIN Benjamin.M. JUNG Norbert.Mme JUVEN Marion.M. KALININE Dimitri.M. KAN Claude.Mme KANOJIA Shivan.M. KARI Ludovic.M. KAZMIERCZAK Thierry.M. KERN Thibault.M. KERYHUEL Charles.M. KODZAGA Dino.M. KOPP Martin.M. KREGARD Louis.M. KUBIAK Nicolas.M. LABADLIA Farid.M. LABAT Sébastien.M. LABONNE Éric.M. LABOURRIER Jérémie.M. LACELLERIE Benoît.



M. LACHEMI Nadjim.M. LACHENAL Louis-Xavier.M. LACLAVERIE Fabien.M. LACOMBLEZ Benoît.M. LACOURT Anthony.M. LAFFITTE Jean.M. LAFFOND Olivier.M. LAFFONT Lionel.Mme LAFLEURE Marie.M. LAGARDE Gérard.Mme LAGES Marie.M. LAGIER Philippe.Mme LAHELLEC Jessica.M. LAINE Laurent.M. LALAIN Maxime.M. LALUYAUX Henri.Mme LAMBERT Amélie.M. LAMIRAULT Florian.M. LANARI Yohan.Mme LAPLANE Laurence.M. LARMET Anthony.M. LAUNAY Stanislas.M. LAVOIL Sébastien.M. LE BIDEAU Hervé.M. LE BIHAN Kévin.M. LE BORGNE Nicolas.M. LE BRIS Julien.M. LE CAIN Maxime.M. LE GALLIC Yann.M. LE HER Jérémy.M. LE JOLY Jérôme.M. LE LOUARNE Laurent.M. LE LOUET Laurent.M. LE MOUEL Cyrille.M. LE VAILLANT Erwan.M. LEBAS Damien.Mme LEBOUCHER Laura.M. LEBRUN Thomas.M. LEDAN Julien.M. LEGERON Eric.M. LEGROS Cyril.M. LEGUEDE Antoine.M. LEJEUNE Sébastien.M. LEJEUNE-TIBERGHIEN Rémy.M. LEMAIRE Jean-Claude.M. LEMAIRE Michaël.M. LENDORMY Quentin.M. LENGRAND Aurélien.M. LENOBLE Brice.M. LEPOURIEL Stéphan.



M. LESCOMBES Jean-Luc.M. LESQUEREUX Laurent.M. LESTRADE Stéphane.M. LETAUT Laurent.M. LETON Kévin.M. LIEVRE Gauthier.M. LOISON Guillaume.M. LONQUEU-GASSER Vincent.M. LORAIN Mathieu.M. LORENTE Yannick.M. LORENZI Mickaël.M. LOSCO Hubert.M. LOUDJERTLI Karim.Mme LOUISE Sophie.Mme LOURME Marylise.M. LUDES Bertrand.M. LUNEL Patrick.M. MABILEAU Jérôme.Mme MAGNE Catherine.M. MAHDAOUI Soulaimane.M. MAHOUIN Raphaël.M. MAISONNEUVE Matthieu.M. MAKSA Michaël.Mme MALLINJOUD Estelle.M. MALVY Cyril.M. MANACH Nicolas.M. MANCHION Stève.M. MANDERVELDE Christophe.M. MANIGLIER Guillaume.M. MARCHAND Cyril.Mme MARCOZ Colline.M. MARECHAL Marc.M. MARIE Loïc.M. MARIE Mathieu.M. MARLIN Nicolas.M. MAROT Jonathan.M. MARQUET Anthony.M. MARTIN Alexandre.M. MARTIN Arnaud.M. MARTIN David.M. MARTIN Fabien.M. MARTIN Jérémy.M. MARTINS Antonio.Mme MARTORANO Mélanie.M. MARTY Nicolas.M. MASSELIN David.Mme MATHE Muriel.M. MATHON Alexis.M. MAURICKX Gautier.M. MAURIN Alexandre.



M. MAURIN Cyril.M. MAUROUARD Patrick.M. MAYER Thomas.M. MAZEVET Michel.M. MEBARKI Robin.M. MECHE David.M. MEJEAN Julien.M. MENARD Matthieu.Mme MENGUY-FLEURIOT Anne.M. MENOU Benjamin.M. MESMIN D’ESTIENNE Eymeric.M. MESSOMO Dieudonné.M. MEURICE Yann.M. MEZARD Jean-Maurice.Mme MICCOLIS Sylvie.M. MICHELIN Anthony.Mme MILHAUD Cécile.M. MILLERET Jordan.M. MILLIAND Vincent.M. MILLOX Christophe.M. MILOCHE Michaël.M. MOHSSNI Kamel.Mme MOIROUX Nadine.Mme MOLE Sophie.M. MOLINIÉ Julien.M. MOLINS-MALOUX Julien.Mme MONBERTRAND Cécile.Mme MONTAGNE Dorothée.Mme MORET Delphine.M. MORIN Olivier.M. MORLA Alexandre.M. MORLON Thomas.M. MOULIN Matthieu.M. MOULINEAU Grégory.M. MOUSKA Stanislas.M. MOZET Jessy.M. MULETTE Florian.M. MULLER Pierre.M. MUSELLI Mathis.M. MUSSET Pierre-Alexandre.M. NACHBAR Pierre.M. NAM Jean-Philippe.M. NANINCK Clément.M. NAVARRO Fabien.Mme NESSAH Zina.M. N’GUYEN Auguste.M. NIANG Amadou.M. NICOL Christophe.M. NITUSGAU Peter.M. OGER Florent.



Mme OHL Léna.M. OLIVIER Laurent.M. ORTA Maxime.M. ORTIZ Adrien.M. OUADAH Zahr-Eddine.Mme OUAKI Allisson.M. OUAZAR Olivier.M. OUNE-BIVE Stéphane.M. PACHE Michaël.M. PAGES Xavier.M. PAGNIEZ Ernest.M. PAPANTI Yves.M. PARENT Frédéric.M. PARRAUD Vincent.M. PASQUIER Maxime.M. PAYS Mickaël.M. PEGHAIRE Jonathan.M. PELATAN Paul.M. PERDRIEL-VAISSIERE Alexandre.Mme PEREIRA Sylvie.M. PERRIER Nicolas.M. PERRIN Jérôme.M. PERSONNE Vincent.M. PESQUÉ Fabien.M. PETIBON DE LA BESNARDIERE Pierre.M. PETIT Mikaël.M. PETIT Raymond.M. PEZZOLI Baptiste.M. PIANA Christophe.M. PICHON Aurélien.M. PICHON Mickaël.M. PILLOT Franck.Mme PIN Emilie.M. PINO Alexandre.Mme PLU Isabelle.M. POLECINSKI Laurent.Mme PONCE Fabienne.Mme PONTONI Lisa.Mme POPOFF Tania.M. POTTIER Rudy.M. POULIN Patrick.M. PRATALI Quentin.M. PROVOST Olivier.M. PROY Nicolas.M. PUCHAL Aurélien.M. PUJADE Benoît.M. PUJOL Thierry.M. QUESTIOLI Rémy.M. QUIABA Frédéric.M. QUINCEY Jean-Michel.



M. RABAUD Anthony.M. RAMIREZ Damien.M. RANDOULET Vincent.M. RAVAUX Raphaël.M. RAVET Kévin.M. RECEVEUR Benoît.M. RÉGENT Ludovic.M. RENAUD Anthony.M. RENAULT Alain.M. RITTENER Franck.M. RIVET Arnaud.M. RIVET Stéphane.M. ROBIN Baptiste.M. ROBO Thomas.M. RODRIGO Jérémy.M. ROGER Nicolas.M. ROLLAND Julien.M. RONDEL Dorian.M. RONDET Francis.M. ROUCHES Benoît.M. ROUDIER Thomas.M. ROUGERIE Luc.M. ROUILLEAUX Alexandre.M. ROUMEAS Joël.M. ROUQUETTE Steeve.M. ROUSSEL Yoann.M. RUSCH Thomas.M. SABOURIN Pierryck.Mme SAFFORES Amandine.Mme SALAGNAC Laurence.M. SAMA-RUIZ Alvaro.M. SANCHEZ Clément.M. SANCHEZ Florian.M. SAUTEREAU Franck.M. SAUVAGERE Thomas.M. SAVIVANH Patrick.M. SCHAFFHAUSER Pierre.M. SCHMITT Wilfrid.M. SCHOEN Nicolas.M. SCHULIAR Yves.Mme SENECHAL Delphine.M. SENECHAL Grégory.M. SERGERAERT Christophe.M. SI SAID Sofiane.M. SIMON Éric.M. SIMONNEAU Damien.M. SIVIGNON Adrien.Mme SOISTIER Marie.M. SOLA Patrick.Mme SOVET Stéphanie.



M. STOUP Grégory.M. SUBERCAZES Thierry.M. SURZUR Jérémy.M. SY Jonathan.M. TACCOEN Marc.Mme TALLET Delphine.M. TANNEAU Jean-Marie.M. TASSEL Vincent.M. TAZE Jean-Charles.M. TEBOUL Stéphane.M. TELCHID Jean-Marc.M. TERLECKI Adrien.M. TERRASSON Arnaud.M. TESSON François-Xavier.M. TESTA Fabian.M. TEXIER Cyril.M. THEILER Karim.M. THEZARD Moïse.M. THOMAS Sébastien.M. TICOUT Gérald.M. TISSIER Cédric.M. TOBELEM Matthieu.M. TOFILI Mikaël.M. TOLLEMER Stéphane.M. TONELLA Thierry.M. TONNELLE Vincent.M. TORRESE Cyril.M. TOTH David.M. TOUFFET Benjamin.M. TRINITE Jessy.M. TROUVÉ Julien.M. TUAL David.M. TURELIER Fabien.M. VAILLANT Antoine.M. VAISSIERE Julien.M. VALLEE Florent.M. VALLET Romain.Mme VAN NIEUWENHOVE Angélique.M. VANDEPUTTE Geoffrey.M. VANREUST Maxime.M. VEDOVATI Julien.M. VERNAY Jérémy.M. VIAS Julien.M. VIDEAU Grégory.M. VIEZ Aurélien.M. VIGIER Thomas.M. VINOUZE Anthony.M. VINSON Didier.M. WASSMER Ewen.M. WECKERLE Lucas.



M. WIDENT Guillaume.M. WIELGOSZ Alexis.Mme ZACHARIAS Anne.M. ZEGZULA Laurent.M. ZENOU Robert.M. ZIMMERMANN Julien.

Article 2

Le présent arrêté sera publié au Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses de la République française et au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.


Bernard cazeneuVe




Arrêté du 27 avril 2016 fixant la composition de la Commission nationale de recensement et de dépouillement des votes pour l’élection des représentants des collectivités territoriales au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale

NOR : INTB1610669A

Le ministre de l’intérieur et le ministre de l’aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales,Vu la loi no 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique

territoriale ;Vu le décret no 84-346 du 10 mai 1984 modifié relatif au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale ;Vu l’arrêté du 4 mars 2016 fixant la date et les modalités d’organisation des élections pour le renouvellement des

représentants des régions au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale,

Arrêtent :

Article 1er

Sont nommés membres de la commission nationale mentionnée à l’article 7 du décret du 10 mai 1984 et à l’article 2 de l’arrêté du 4 mars 2016 susvisés, à laquelle participe le directeur général des collectivités locales ou son représentant :

M. Arnaud TEYSSIER, inspecteur général de l’administration, président titulaire ;M. Éric FERRI, inspecteur de l’administration, suppléant ;M. Michel NEUGNOT, vice-président du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, membre titulaire ;M. Laurent BURCKEL, conseiller régional d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, membre suppléant.

Article 2

Le directeur général des collectivités locales est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.


Pour les ministres et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, B. delsol





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Bureau du personnel sous-officier du corps de soutien technique et administratif

de la gendarmerie nationale_

Arrêté du 29 avril 2016 conférant un grade et un emploi de sous-officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense

NOR : INTJ1609264A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ;Vu le décret no 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux militaires commissionnés ;Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés recrutés au

titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale,

Arrête :

Article 1er

M. Pierre Abe – NIGEND : 327 198 – est recruté au grade de maréchal des logis, échelle de solde no 3, 3e échelon, en qualité de sous-officier commissionné servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi de piroguier au sein de la brigade territoriale autonome de Saint-Laurent-du-Maroni du commandement de la gendarmerie de Guyane, pour une durée de cinq ans, à compter du 1er juin 2016.

Article 2

L’intéressé est rattaché au corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.

Article 3



Pour le ministre et par délégation : Le directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, P. Mazy




Arrêté du 2 mai 2016 portant nomination à la Commission nationale de recensement et de dépouillement des votes pour l’élection des représentants des régions au conseil d’adminis-tration du Centre national de la fonction publique territoriale

NOR : INTB1611207A

Le ministre de l’intérieur et le ministre de l’aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités territoriales,Vu la loi no 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique

territoriale ;Vu le décret no 87-811 du 5 octobre 1987 modifié relatif au Centre national de la fonction publique territoriale,

notamment son article 5 ;Vu l’arrêté du 4 mars 2016 fixant la date et les modalités de l’élection pour le renouvellement des représentants des

régions au conseil d’administration du Centre national de la fonction publique territoriale, notamment son article 2,

Arrêtent :

Article 1er

Sont nommés membres de la commission nationale, prévue à l’article 5 du décret du 5 octobre 1987 et à l’article 2 de l’arrêté du 4 mars 2016 susvisés, à laquelle participe le directeur général des collectivités locales ou son représentant :

En qualité de présidentM. Alexandre GOHIER-DEL-RÉ, inspecteur général de l’administration, membre titulaire.Mme Sylvie ESCANDE-VILBOIS, inspectrice générale de l’administration, membre suppléant.

En qualité de représentant des régionsM. Michel NEUGNOT, vice-président du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté, membre titulaire.M. Laurent BURCKEL, conseiller régional d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, membre suppléant.

Article 2

Le directeur général des collectivités locales est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

ait leF 2 mai 2016.

Pour les ministres et par délégation : Le directeur général des collectivités locales, B. delsol





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Délégation aux réserves_

Bureau des ressources humaines_

Arrêté du 9 mai 2016 conférant un grade de sous-officier de réserve au titre de l’article L. 4221-3 du code de la défense

NOR : INTJ1607639A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense, notamment ses articles L. 4221-3, L. 4221-6 et R. 4211-4 à R. 4221-28 ;Vu la décision no 34978 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 26 avril 2016,

Arrête :

Article 1er

Mme Lisette, Raymonde, Madeleine Givron est nommée au grade d’adjudant de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’occuper un emploi d’agent de chambre mortuaire au profit du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale.

Article 2

L’intéressée est rattachée au corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.

Article 3


ait leF 9 mai 2016.

Pour le ministre et par délégation : Le général de division, délégué aux réserves, a. coroir





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NOR : INTJ1612178A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense, notamment ses articles L. 4221-3, L. 4221-6 et R. 4211-4 à R. 4221-28 ;Vu la décision no 30197 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 12 avril 2016,

Arrête :

Article 1er

M. Guillaume Degardin est nommé au grade de maréchal des logis-chef de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’occuper un emploi d’agent de chambre mortuaire au profit du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale.

Article 2


Article 3


ait leF 9 mai 2016.






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NOR : INTJ1612194A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense, notamment ses articles L. 4221-3, L. 4221-6 et R. 4211-4 à R. 4221-28 ;Vu la décision no 36784 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 2 mai 2016,

Arrête :

Article 1er

Mme Stéphanie, Patricia, Nadia Lévêque est nommée au grade de maréchal des logis-chef de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’occuper un emploi d’agent de chambre mortuaire au profit du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale.

Article 2

L’intéressée est rattachée au corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.

Article 3


ait leF 9 mai 2016.






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NOR : INTJ1603551A

Le ministre de l’intérieur, Vu le code de la défense, notamment ses articles L. 4221-3, L. 4221-6 et R. 4211-4 à R. 4221-28 ;Vu la décision no 39429 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 11 mai 2016,

Arrête :

Article 1er

M. Maxime, Ange, Alexandre Mélac est nommé au grade de maréchal des logis de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’être employé comme sportif de haut niveau au profit de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.

Article 2


Article 3








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NOR : INTJ1612871A


Arrête :

Article 1er

M. Ludovic, Stéphane, Michel Quezel est nommé au grade de maréchal des logis de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’être employé comme sportif de haut niveau au profit de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.

Article 2


Article 3








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NOR : INTJ1612875A


Arrête :

Article 1er

M. Julien, Sylvain Tourtoulou est nommé au grade de maréchal des logis de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’être employé comme sportif de haut niveau au profit de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.

Article 2


Article 3








_




NOR : INTJ1612877A


Arrête :

Article 1er

M. Arnaud Dumas est nommé au grade de maréchal des logis de réserve, en qualité de spécialiste, en vue d’être employé comme sportif de haut niveau au profit de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.

Article 2


Article 3







Décision no 22/2016 du 17 mars 2016 portant habilitation des agents du Conseil national des activités privées de sécurité pour la mise en œuvre de la procédure prévue à l’article L. 8271-6-3 du code du travail

NOR : INTD1607413S

Le directeur du Conseil national des activités privées de sécurité,Vu le livre VI du code de la sécurité intérieure, notamment ses articles L. 634-1 et L. 634-3-1 ;Vu le code du travail, notamment ses articles L. 8271-1-2, L. 8271-6-3 et L. 8211-1,

Décide :

Article 1er

Les agents du Conseil national des activités privées de sécurité dont les noms et fonctions figurent en annexe sont habilités, d’une part, à recevoir des agents de contrôle, mentionnés à l’article L. 8271-1-2 du code du travail, tous renseignements et tous documents leur permettant d’assurer le contrôle des personnes exerçant les activités privées de sécurité pour tirer les conséquences d’une situation de travail illégal et, d’autre part, à transmettre à ces mêmes agents tous renseignements et documents nécessaires à leur mission de lutte contre le travail illégal.

Article 2

Le secrétaire général est chargé de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

Fait à Paris, le 17 mars 2016.

Le directeur du Conseil national des activités privées de sécurité, j.-P. celet



A N N E X E

I. − AGENTS DU SIÈGE DU CNAPS

GERARD Pascal Direction, adjoint chargé des opérations

EMILE ZOLA PLACE Guillaume Chef du service central du contrôle

GERLES William Adjoint au chef du service central du contrôle

HELLOUIN de CENIVAL Sabine Contrôleuse centrale

MONTERO Pascal Contrôleur central

RAMANATHAN Adeline Contrôleuse centrale

TAMEN Emmanuel Contrôleur central

II. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION ÎLE-DE-FRANCE DU CNAPS

BERTAUX Pierre-Frédéric Chef de délégation

BUSSON Thierry Adjoint au chef de délégation

BALDINI Alexandre Contrôleur

BEROSE Pierre-Élie Contrôleur

DE OLIVEIRA Joaquim Contrôleur

DUTA Christian Contrôleur

FREVILLE Bruno Contrôleur

GRUNY Hervé Contrôleur

KANOUTE Majoula Contrôleuse

KHIAL Kamal Contrôleur

LAUDE Frédéric Chef du contrôle

SLAVNIC Sandra Contrôleuse

BENOIT Brigitte Contrôleuse

LOURENCO José Contrôleur

AISSAOUI Salime Contrôleur

LAURENT Renaud Contrôleur

GRAS Olivier Contrôleur

III. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION NORD DU CNAPS

MEERPOEL Catherine Chef de délégation

GUILLON Geoffrey Adjoint au chef de délégation, chef de l’instruction

CROMBET Fabrice Contrôleur

DRIFFORT Olivier Contrôleur

MAUFROID Martine Chef du contrôle

ROBETTE Julien Contrôleur

VALLEZ Arnaud Contrôleur

KONIECZKO Daniel Contrôleur

IV. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION SUD-EST DU CNAPS

BUCZEK Jacques-Olivier Chef de délégation

TRAVADEL Christophe Adjoint au chef de délégation, chef de l’instruction

CABEAU Olivier Contrôleur

NEEL Michel Chef du contrôle

PRIET Alexandre Contrôleur



ROUX Olivier Contrôleur

DERIEN Fabrice Contrôleur

V. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION OUEST

GOANEC Jean-Michel Chef de délégation

PERROTEAU Diane Adjointe au chef de délégation, chef de l’instruction

CHAPUT Yves Contrôleur

DEFOND Étienne Contrôleur

DIENE Saliou Contrôleur

HARDOUIN Christian Contrôleur

HOCQUETTE Jean-Luc Chef du contrôle

PETIT Francis Contrôleur

SEUGNOT Julien Contrôleur

TRICHASSON Yann Contrôleur

VI. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION EST

SCHOENHENS Alain Chef de délégation

STEINMETZ Philippe Adjoint au chef du service de délégation, chef de l’instruction

BLANKE Jacques Chef du contrôle

BREDIN Laurent Contrôleur

CHERPITEL Pascal Contrôleur

FORTIER Cynthia Contrôleuse

GRANIER Élodie Contrôleuse

PAYET Jérémy Contrôleur

VIGLIOTTI Stéphanie Contrôleuse

VII. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION SUD-OUEST

POTARD Philippe Chef de délégation

BOUDRY Audrey Adjointe au chef de délégation, chef de l’instruction

LEVEQUE Katharina Contrôleuse

MILLET Karine Contrôleuse

UDOT Philippe Contrôleur

OGER Frédéric Contrôleur

DE SAINT QUENTIN Cédric Contrôleur

PEREZ Alfonso Chef du contrôle

DE BARROS Philippe Contrôleur

VIII. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION SUD

LE MAGNEN Guillaume Chef de délégation

GENDRY Annabelle Adjointe au chef de délégation, chef de l’instruction

BENE Vincent Contrôleur

CASTELANELLI Christophe Chef du contrôle

GIACOMINO Éric Contrôleur

SAVOYE Laetitia Contrôleuse

VERNY Alexis Contrôleur

PEDRO Clément Contrôleur



HABERT Maud Contrôleuse

BERMOND GONNET Yvonne Contrôleuse

OLIVIER Natacha Contrôleuse

IX. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION ANTILLES-GUYANE DU CNAPS

RANCOU Grégory Chef de délégation

X. − AGENTS DE LA DÉLÉGATION OCÉAN INDIEN DU CNAPS

REVERT Olivier Chef de délégation

XI. - AGENTS DE LA DÉLÉGATION EN NOUVELLE-CALÉDONIE DU CNAPS

PALUCH Éric Chef de délégation




Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Brocchetto (Madeline)

NOR : INTV1610333S

Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,Vu le code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, notamment le livre VII de ses parties législative


no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office

français de protection des réfugiés et apatrides ;Vu le décret no 2005-1215 du 26 septembre 2005 modifié portant dispositions statutaires communes applicables aux

corps des attachés d’administration et à certains corps analogues ;Vu le décret no 2006-1827 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux règles du classement d’échelon consécutif à la

nomination dans certains corps de catégorie A de la fonction publique de l’État ;Vu le décret no 2008-836 du 22 août 2008 modifié fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs

aux administrations de l’État et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’État et de ses établissements publics ;

Vu la décision du 3 juillet 2014 autorisant au titre de l’année 2015 l’ouverture de deux concours externe et interne pour le recrutement d’officiers de protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ;

Vu la décision du 16 septembre 2014 fixant au titre de l’année 2015 le nombre de postes à pourvoir aux concours externe et interne pour le recrutement d’officiers de protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides ;

Vu la liste du 18 décembre 2014 des candidats déclarés admis et inscrits sur la liste complémentaire à l’issue du concours externe pour le recrutement d’officiers de protection des réfugiés et apatrides au titre de l’année 2015,

Décide :

Article 1er

Mme Madeline Brocchetto est nommée officier de protection stagiaire à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classée à l’échelon 1 (indice brut 379) à compter du 15 février 2016.

Article 2

Compte tenu de 1 an 2 mois 22 jours d’ancienneté retenue au titre de services publics antérieurs, Mme Madeline Brocchetto est classée, à compter de la même date, au 2e échelon du grade d’officier de protection (indice brut 423) avec 2 mois 22 jours d’ancienneté conservée.

Article 3

Mme Madeline Brocchetto est placée sur un emploi correspondant ouvert au budget de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides.

Article 4







Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Génin (Margot)

NOR : INTV1610334S











Décide :

Article 1er

Mme Margot Génin est nommée officier de protection stagiaire à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classée à l’échelon 1 (indice brut 379) à compter du 15 février 2016.

Article 2

Compte tenu de 1 an 11 mois 27 jours d’ancienneté retenue au titre de services publics antérieurs, Mme Margot Génin est classée, à compter de la même date, au 2e échelon du grade d’officier de protection (indice brut 423) avec 11 mois 27 jours d’ancienneté conservée.

Article 3

Conformément aux dispositions de l’article 12 du décret du 23 décembre 2006 susvisé, Mme Margot Génin conserve, à titre personnel, le bénéfice d’un traitement correspondant à l’indice majoré 400, jusqu’au jour où elle bénéficiera, dans son nouveau grade, d’un traitement au moins égal.

Article 4

Compte tenu d’une ancienneté conservée de 11 mois 27 jours dans le 2e échelon, Mme Margot Génin est classée au 3e échelon du grade d’officier de protection (indice brut 442), à compter du 18 février 2016.

Article 5

Mme Margot Génin est placée sur un emploi correspondant ouvert au budget de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides.



Article 6







Décision du 11 mai 2016 portant nomination en qualité d’officier de protection stagiaire de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides – Mme Langlois (Laëtitia)

NOR : INTV1610337S











Décide :

Article 1er

Mme Laëtitia Langlois est nommée officier de protection stagiaire à l’Office français de protection des réfugiés et apatrides et classée à l’échelon 1 (indice brut 379) à compter du 15 février 2016.

Article 2

Compte tenu de 1 an 3 mois 19 jours d’ancienneté retenue au titre de services publics antérieurs, Mme Laëtitia Langlois est classée, à compter de la même date, au 2e échelon du grade d’officier de protection (indice brut 423) avec 3 mois 19 jours d’ancienneté conservée.

Article 3

Mme Laëtitia Langlois est placée sur un emploi correspondant ouvert au budget de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides.

Article 4







Direction générale de la police nationale

_

Direction des ressources et des compétences de la police nationale

_

Sous-direction de l’administration des ressources humaines

_

Bureau des gradés et gardiens de la paix_

Arrêté du 29 avril 2016 relatif au tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police au titre de l’année 2016

NOR : INTC1610073A

Le ministre de l’intérieur,Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84-16 du

11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, et notamment les articles 56, 58 et 59 ;

Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;Vu le décret no 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires ;Vu le décret no 95-654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs

des services de la police nationale ;Vu le décret no 2004-1439 du 23 décembre 2004 modifié portant statut particulier du corps d’encadrement et

d’application de la police nationale ;Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement

et d’application de la police nationale en sa séance du 31 mars 2016 ;Sur la proposition du préfet, directeur général de la police nationale,

Arrête :

Article 1er

Le tableau d’avancement au grade de brigadier-chef de police pour l’année 2016 est arrêté conformément à l’annexe ci-jointe.

Article 2

La préfète, directrice des ressources et des compétences de la police nationale, est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur et sur le site intranet de la direction des ressources et des compétences de la police nationale.

Fait à Paris, le 29 avril 2016. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la police nationale, j.-M. falcone

La présente décision peut faire l’objet d’un recours administratif auprès du ministre de l’intérieur ou d’un recours contentieux devant le tri-bunal administratif (art. R. 421-1 et suivants du code de justice administrative), dans le délai de deux mois courant à compter de sa publication.



A N N E X E

À L’ARRÊTÉ N° 1534 DU 29 AVRIL 2016 RELATIF AU TABLEAU D’AVANCEMENT AU GRADE DE BRIGADIER-CHEF DE POLICE AU TITRE DE L’ANNÉE 2016

Liste utile

1 COUTE Stéphan 2 BARBRY François 3 BARDIN Boris 4 LAURENT David 5 MENON LEBRETON Sandrine 6 DANIELOU François 7 MAQUIABA Jean-Michel 8 GALLA Marie-Andrée 9 BOUSSAIDI David 10 CROS Éric 11 LAHANQUE Jean-Christophe 12 BARNET Jean-Philippe 13 CRIADO Jérôme 14 VEGA Grégory 15 TRANCHIDO Laurent 16 GENTY Stéphane 17 MARSEILLOU Jérôme 18 SEYLLER Sylvia 19 FRANCO Cyril 20 VISSET Rodrigue 21 SIOUAN Marc 22 DUMAS Arnaud 23 ROBERT Clément 24 GRADELLE Loïc 25 LAGUERRE Philippe 26 BRAMENE Audrey 27 RINALDI François 28 GRARD Mélanie 29 DE SAINT QUENTIN Faustine 30 SCHANEN Christophe 31 LEMATTRE PINSON Florence 32 PUCHOT Mathieu 33 CRONIMUS Alain 34 SEVE Laurent 35 ACHATIB Sofiane 36 GONCALVES KEKENBOSCH Astrid 37 BENROKIA Houria 38 SIGAYRET Thierry 39 JAFFRE Hervé 40 PEYRUQUEOU Patrice 41 ACHAB Stéphane 42 MARTIN David 43 LE PAPE Dominique



44 FUSEAU Patrick 45 PAVIA Patrick 46 GUILLON Christian 47 LECAT Thierry 48 BAILLY Grégory 49 TOUTAIN Jérôme 50 BERTRAND Jérôme 51 PERNETTE Denis 52 GEREEC Daniel 53 CELLE Sandrine 54 MERCHEZ Arnaud 55 DENJEAN Olivier 56 DONNAT Christophe 57 DOUAY Didier 58 SADIKHOSSEN Pascal 59 BOUSSION David 60 RABOUTOT Géraldin 61 HERVY Vincent 62 COPHY Stéphanie 63 GOHIER Pascal 64 SIEWIERA Benoît 65 CATHELINAUD ANTON Nathalie 66 DUTERIEZ Hervé 67 BIDELOGNE Christine 68 NOEL Frédéric 69 MERGOIL Frédéric 70 PALACIO Florent 71 DOLLEZ Frédéric 72 LESCORBIE Éric 73 DIETRICH DUPONT Nathalie 74 LOTHODE Stéphane 75 DUMONT CESBRON Virginie 76 CIMBARO Roger 77 VARLET Emmanuel 78 GUEGAN Arnaud 79 QUEMENER Romuald 80 PALOMBA Christophe 81 CERF Cynthia 82 GRIGNON Cyrille 83 FRIANT LENGRAND Stéphanie 84 BENAZETH Christian 85 CLADY Nicolas 86 DELORT Stéphane 87 BLOT Richard 88 MAGRON Cyril 89 GANGLOFF CHAZALLET Frédérique 90 MALINOWSKI Laurent 91 MAZZONI Olivier 92 ROJAS Jean-Christophe 93 DELSINNE Thomas



94 DESHAYES Éric 95 WEISLO Brice 96 RICHARD Lionel 97 ARNOLD Emmanuel 98 FAYOLLE Jérôme 99 PILOT Franck 100 LEROY David 101 BOUSSAERT Sébastien 102 CORRE Olivier 103 BOTTREAU Michaël 104 PIROUE MICCO Sandra 105 BOISSEAU Sabine 106 DESORMEAUX Nathalie 107 LEFILLASTRE Sophie 108 FERRAND Frédéric 109 MARGUERIE Franck 110 LORUT David 111 GIRARDOT Frédéric 112 GASCHET Stéphane 113 CHALUPKA Laëtitia 114 AMIEZ Richard 115 NANECOU Denis 116 ARROYO François 117 DIDIER David 118 SCHINCARIOL Sébastien 119 LEFEBVRE Jérôme 120 DROUIN Sandra 121 HENNION Dominique 122 BAUDUIN Johann 123 VENET Laurent 124 MOUQUET Thomas 125 HERAULT Emmanuel 126 GNANOU Ludovic 127 JULIEN Philippe 128 HERMET Franck 129 BOUTET André 130 GUIL Frédéric 131 JANVIER Marshall 132 VERGUET Vincent 133 COLASANTI VERNASSA Stefania 134 RINALDI Anthony 135 DACH Cyril 136 SELOSSE Alexandre 137 MIGUEL Bruno 138 FIANDINO Lionel 139 POUCHOUS Patrice 140 BELGRAND David 141 FERRER David 142 CHOPIN Alex 143 MAUPIN Laurence



144 SCHAHL Claude 145 TIBERINO Christophe 146 HAMADOUCHE Nouh 147 KARIM EL IDRISSI Moulay 148 GOICHON Vanessa 149 AUBIN Thierry 150 MANGANARO Antonino 151 ROBIN Stéphane 152 FEMENIAS Jérôme 153 MULLER Luc 154 BADON Dominique 155 CERCLEY Ghislaine 156 SERISIER Gilles 157 BOURDERE Julie 158 MOINAUX Raphaël 159 SALZANO David 160 PAROT Pierre 161 IGLESIAS Bernard 162 CARL Stéphane 163 LONGERINAS Philippe 164 NUGOLI Hélène 165 LELONG Nathalie 166 JUDITH Jean 167 SERET Gabriel 168 MARIATTE Céline 169 JOBIC Bruno 170 MONTMOULINEX François-Xavier 171 LEBLOND Laurent 172 CABRERA Bruno 173 KARCHER Jean-Hugues 174 LE BON Martial 175 RIOS Patrick 176 MARQUETTE Grégory 177 FERRAT Bruno 178 TURPIN Johny 179 LAMZOURI Jabrane 180 LEMAIRE Blandine 181 SARTOR Alexandre 182 FALGON Ludovic 183 GORSKI Jacky 184 CONAN Jean-Marie 185 GILGEMANN Philippe 186 DOUIDA MURA Malika 187 LOESEL Xavier 188 THIRY CROPSAL Alexandra 189 REYNAUD Thierry 190 GONOD Jean-Jacques 191 OGER Grégory 192 TEMPLIER Olivier 193 PEREZ Patrick



194 CHASSOT Olivier 195 MERCURIO Anthony 196 DALLA SANTA Livio 197 DEMIRDJIAN FERNANDEZ Corinne 198 KEMPF Gérald 199 KRAWCZYK Fabien 200 DE MARCO Hervé 201 GUALDE Olivier 202 CANETTI Jérôme 203 DUCLAUT Alexandre 204 ARNAL Marc 205 JANTSCH Anthony 206 GIOVANNOLI Hervé 207 GELARD Stéphane 208 GUALAZZINI Frédéric 209 LANNELONGUE Pierre 210 DUCAMP DESAILLY Florence 211 NEY Rachel 212 FARRUGIA BAUER Karine 213 BARRERA Guillaume 214 BAZARD Sophie 215 SAUGER Ollivier 216 CASSIER Stéphane 217 PERROT Hervé 218 DIGAS Hervé 219 CORNILLON Alexandre 220 PORTAL Laurent 221 MERY Ludovic 222 CHABLAT Cédric 223 ROLLAND Sébastien 224 DEBUY Fabien 225 MANTEAU Jérôme 226 NICOT Jean-Philippe 227 FOUQUE Gilles 228 THOMAS Emmanuel 229 PERRET Alain 230 BARDON Frédéric 231 CHAUVIN FOURNIER Chrystèle 232 BOURGUIGNON Franck 233 RYCKEBUSCH Alexandre 234 LEDUC Jérôme 235 BROSSEAUD Thierry 236 ANDRU Nicolas 237 VANPEENE Grégory 238 BOGOVAC Nikola 239 MILLO Yann 240 SZYMONIK CHAUVE Sylvie 241 REVY Philippe 242 CORETTE Karine 243 PRIOUX Simon



244 FAUSSE Bertrand 245 BOISLEVE Yann 246 VILLE Jefferson 247 BERNAR Cédrik 248 AIRIAU Jean-Pierre 249 PERRIER Guillaume 250 PATY Cyrille 251 PY Stéphane 252 CARO Béatrice 253 FAYOLLE Olivier 254 MONNET Virginie 255 LARGERON Fabien 256 GARCIA David 257 SIMEUNOVIC Dusan 258 LUBOVITCH William 259 LENGLART Peggy 260 LAFFRA Thierry 261 MARTIN Gildas 262 LOZE Régis 263 MEHEUT Patrick 264 MAREGIANO Bruno 265 VANDENBERGHE Franck 266 CANTEREL Arnaud 267 PAVOT Sandrine 268 CROZ Olivier 269 DELABOST Sébastien 270 BICEP Esselyne 271 BABIC Yovann 272 MAMOUNI Zahir 273 MYSKIEWITZ MAGREZ Véronique 274 CAMPAGNE Jean 275 DUBOIS Thierry 276 MARTIN-GARIN Philippe 277 FERNANDEZ Joël 278 DONIL Stéphane 279 MOREL Pascal 280 BERTINET MATHIEU Adeline 281 SALAUN Jacques 282 HOLLIER Éric 283 FOUGASSE Bernard 284 BEAURAIN Richard 285 GLAT BAYCHON Maxime 286 TRAMBOUZE Frédéric 287 CROUZIL Stéphane 288 FIORENTINI David 289 DUMANGE Mickaël 290 VIOLET Bruno 291 DEMEURISSE Cédric 292 VANDENABIELE Steeve 293 BIDEAULT Sébastien



294 FROCAUT Guillaume 295 SCZYGIEL Frédéric 296 HOCHART Ludovic 297 AVRONSART Jérôme 298 PEJAC Pierre 299 ALFONSI Laurent 300 LEPINAY Sylvain 301 MOREL Stéphane 302 RIVIERE Luc 303 SUSSEST Virginie 304 CLAVERIE-DESPAUX Frédéric 305 PISANO François 306 KOBIELAK Gabriel 307 LESSAULT Hugues 308 LEPOIX Michaël 309 DEBIERE Sébastien 310 JEAN Mikaël 311 FOISSIN Frédéric 312 MORAND Sébastien 313 MARLIERE Cédric 314 LISSART Daniel 315 CHOPINEAU Frédéric 316 DUPASQUIER Raphaël 317 BERENGER Cédric 318 DO NASCIMENTO Claudino 319 KERHERVE Sébastien 320 FROGER Christophe 321 MAJCHRZAK Yannick 322 MONTEL Sylvain 323 CAPRIO Michel 324 MORIN Stéphane 325 LAMBERT Xavier 326 ALOE Jean-Michel 327 BENTZ Nasser 328 JANNET Lionel 329 ALLAVENA Frédéric 330 MELCHIOR Adrien 331 CLAUDEL Mickaël 332 DELOFFRE LHEUREUX Angélique 333 GILLOT Olivier 334 SZATKOWSKI ETCHEVERRY Muriel 335 MARTINS Stéphane 336 RETIF Philippe 337 LENGLET Christophe 338 LAMBERT Patrick 339 PETIT Hugues 340 VEDEL Denis 341 MULLER Éric 342 MULIER Frédéric 343 SIMON Ludovic



344 TISON Laurent 345 SMAGHUE Éric 346 DUPOTY Pascal 347 KEKLIKOGLU Dudu 348 BASCOUL Damien 349 HAUCHECORNE Cyril 350 WATTEZ Cédric 351 BAGDASARIAN DEMANGE Anne-Fabienne 352 BECUWE Maryline 353 CASTRONOVO Charles 354 SAUVAGET Cédric 355 BERTRAND ANDRE Laurence 356 MENDY Noël 357 DROUILLOT Jérôme 358 MARSILI Richard 359 BEDIAT Olivier 360 PONCELET Patrice 361 HENNI Laurent 362 LECLERCQ Patrick 363 MOREAU Michaël 364 RENAUD Philippe 365 PICAVET Yannick 366 BLANJOUE Emmanuel 367 DEBACHY Fabrice 368 DUBUISSON Stéphane 369 OUALI Smail 370 BOUESSAY Céline 371 QUARTARARO Adrien 372 ZAMPOLINI Vincent 373 DEMAY Martial 374 MUSNIER Christophe 375 DIDIER Damien 376 FAUCHILLE Emmanuel 377 BARBET Éric 378 AUDREN Patrice 379 MICHELIER Renaud 380 FELTEN Thierry 381 BOURRE Frédéric 382 BALDISSERI Jean-Charles 383 MOCHEN MATHIEU Mélanie 384 MAISONS Sandrine 385 DEDREUX Frédéric 386 BOURY Vincent 387 BRUYERE Joël 388 GARAVILLON Stéphany 389 KHELLADI Merwan 390 LECOMTE Nicolas 391 COMBES Alexandre 392 BASLE Christelle 393 FERNANDEZ Nicolas



394 PINEAU David 395 FACHAT Nadège 396 VANNIER Thomas 397 BARROSO RODRIGUES David 398 THEGAT Sandrine 399 GUIRAUD BARTOLINI Magali 400 MARTIN ACEBES MARTIN Anne-Claire 401 DOUCET Diana 402 PATINGRE Sophie 403 GRANDSIRE Arnaud 404 THOMAS Michaël 405 LEMARIE Sébastien 406 MARGES Frédéric 407 MIRMAN Patrick 408 LE PETILLON Philippe 409 DI NOIA Gilles 410 THOR Fabien 411 BIE Nicolas 412 CALMON BOULME Sandrine 413 FOUCHER Yoann 414 MARCHE Émilie 415 VANDERSCHILT Jean-Yves 416 KLEBERT Adrien 417 BIERNACKI Christophe 418 HAUCHARD Pascal 419 QUESNOT LEMAITRE Christel 420 SCHOUG GARRET Aurélie 421 DA SILVA Jorge 422 BEGOIN David 423 ARDAEN Yannick 424 LONG Elisabeth 425 CUREAU David 426 ZABEE Christophe 427 BOUANANI Jérôme 428 TEILLER Romain 429 BARTOLINI Julien 430 DEROCHE Pascal 431 WESOLOWSKI Stéphane 432 MASCLET Pierre 433 MARTY GALAND Nathalie 434 OLMEDO Chrystelle 435 DE RONCHO Fabien 436 REBBOAH ALANIECE Marie-Noëlle 437 LACROIX Rémi 438 BOUZIDI Saïd 439 DERAIL Nicolas 440 BLESSIG Florence 441 PRUVOST Delphine 442 PIERRE Jean-Christophe 443 SALAUN Valérie



444 BAUDOT Charlotte 445 DE SOUZA Nathalie 446 PELTIER Jérôme 447 LE BORGNE Patrick 448 HADDAD Jessika 449 VINCENT Julie 450 BRUNET Laurent 451 DUPRE Laurent 452 SIMIL VENTURA Chrystel 453 LEBLOND Yves 454 CREACH Yann 455 DELCROIX Isabelle 456 HOUZE Vincent 457 MURATORE Laëtitia 458 CHESNAIS Christelle 459 BOTHEREL BOULANGER Flore 460 LEFEUVRE Renan 461 OLLIVIER David 462 CHARILLAT Stéphanie 463 LUCRET Thierry 464 FEYTONS Pierre 465 SANDRAS Ludovic 466 OUALI Christophe 467 HERGOT Jean-Christophe 468 DEPOILLY Emeline 469 PERNOT Laurent 470 CABIE CLAUS Anne-Sophie 471 GARRIC Rémi 472 ROUY Charles 473 RICHETON Walter 474 LAVANDEIRA Jean-Paul 475 MAHE Christelle 476 LAMY Pascal 477 BAUWENS Marc 478 DUTHOIT Erick 479 CAPON Jean-Vincent 480 CANTREL STOPIN Séverine 481 GUIRAL Guillaume 482 MUNIER David 483 GRANDPRE Célia 484 ROY Laurent 485 ALEZAIS David 486 BOUBEKEUR Akli 487 JANOD Bruce 488 CHEVALIER José 489 CHERON Charles 490 BOUTILLOT Thierry 491 FOUGERON Vincent 492 DJEROUM Farid 493 HAMELIN Pierre-Cédric



494 HADDOU Jimmy 495 MASSON GAILLARD Audrey 496 HUMBLOT LEGROS-HUMBLOT Caroline 497 BIZERAY Teddy 498 BOURON Frédéric 499 MITHRA Delphine 500 SCHOUTEETEN Romuald 501 COUTY Sylvain 502 DUPONCHEL Sandrine 503 THEETEN Thomas 504 GRIBOVAL Kevin 505 VILETTE Eurydice 506 HUGUENIOT Catherine 507 OUERGUEMI Karim 508 CAMPS Jean-Louis 509 AGUER Marilys 510 MALLET Stéphane 511 DAGOURET David 512 MARCHEIX Sylvain 513 PINAUD Isabelle 514 DUPUIS Jérôme 515 FOREY Cédric 516 THOMAS Vincent 517 NEYRINCK Sébastien 518 DELACOURT Yoann 519 SERBIN Patrice 520 TAYBI Benaissa 521 FRUIT Mathieu 522 CARRE Nicolas 523 JOURNET Mickaël 524 CARRERA Laurent 525 CASTELLI Thomas 526 DRAN Dorothée 527 GUGLIETTA Hervé 528 GAHINET Cédric 529 BLONDE Stéphane 530 VIRAPIN David 531 VOGEL DORN Claudia 532 DELPONT Stéphane 533 PORS Vincent 534 BROSSEAU Julien 535 BASTARD Thomas 536 SAO BENTO JOSSELIN Sally 537 ORDINES Nicolas 538 LE CORRE Stéphane 539 DESJARDIN Mélanie 540 BLANCHET Laure 541 FLANDRIN GORDEY Laëtitia 542 VULLIN Rebecca 543 AUBIAT Laetitia



544 BATTAGLIA Stéphane 545 COURGEAULT Stéphane 546 HAAG Émilie 547 LAFONT Emmanuel 548 EMPORIO Yvette 549 MOREAUX Christelle 550 PERRON Jean-Paul 551 BOURGEOIS MATRA Valérie 552 DELPLANCHE BAILLY Delphine 553 MARCHAND Cyril 554 ASSELIN Denise 555 COING David 556 MORENO José- Frédéric 557 COLIN Ulrich 558 CLOEZ Jean-Pierre 559 DURAND Ludovic 560 HORLAVILLE Bertrand 561 MATELSKI Hervé 562 ZUDDAS Yvan 563 OLIVE Dany 564 ICHARD Frédéric 565 GIL Jean-Philippe 566 LESEUX Yvon 567 PINATON Rodolphe 568 ELIE Claude 569 LAOUAR Foudil 570 LENGLUME Emmanuel 571 SCHNEIDER Emma 572 BICHAUD Stéphane 573 PARZYSZ Olivier 574 LE DARZ Cédric 575 GASQUET Stéphane 576 CUPIAL Christophe 577 LUCAS Martial 578 FRANÇOIS Jean-Christophe 579 BEAUGEOIS Aurélien 580 BRANDER Myriam 581 DAILLY VALETTE Eva 582 DYKIER Thierry 583 FLAMENT Éric 584 REMOND Emmanuel 585 DEKEISTER Vincent 586 MOREAU Florent 587 BERZIN Patrick 588 VACHERON Benoît 589 LE MENTEC Nicolas 590 COEDELO Quentin 591 CHARZAT Olivia 592 DONNER Wilfried 593 STEVE Julien



594 FAURE Sandrine 595 PRAUD Stéphane 596 MELCHI Gustave 597 LOSIO Georges 598 VIEIRA Serge 599 BERNARD Olivier 600 BOULICAULT THOUVENOT Ève 601 BADRANE Hicham 602 VEDEL Valérie 603 HORVAT Jean-Michel 604 GONCALVES Marinho 605 WALLERAND TORA Rachel 606 TAHRI Samir 607 MOREL Frédéric 608 CORREIA Franck 609 DE SOUSA Philippe 610 DELLES Davy 611 FERARD Denis 612 JOUAUD Jérémie 613 CASTELLAN Fabrice 614 COUTTON Laurent 615 GUILBOT Thierry 616 COUDREUSE Jérôme 617 PERCHOC Gérald 618 LAPREE Nicolas 619 BRODELLE Nicolas 620 GUIBERT Stéphanie 621 MARECHAL Jérôme 622 WAGHON Julien 623 DENOMME Annie Grace Honorine 624 QUILLAY Stéphane 625 MAFFRAND Benoît 626 HBILA Karima 627 MENDES Tony 628 DUSOULIER Sonia 629 DUBOIS Sébastien 630 PERRUCHON Pierrick 631 LABESSE LABESSE-LAVAUZELLE Grégory 632 BRAUN Bettina 633 SALLES Nicolas 634 SANSEN Arnaud 635 LEROY Céline 636 MONJAL Ludovic 637 KLEIN Alexandre 638 GERARDIN Cédric 639 CAMOLLI Joël 640 GERING Thierry 641 DESCHAMPS Norbert 642 SCHEID Pascal 643 GUEGUEN Matthieu



644 MINAIR Olivier 645 ETIENNE Stéphane 646 RAMACKERS Jean-Philippe 647 MULIER Emmanuel 648 BOMPAR Xavier 649 BARBIER Steve 650 SAUZEAU Cyrille 651 MUSART Stéphane 652 OULES Jean-Baptiste 653 CONAN Christophe 654 LEGO Ludovic 655 LALANNE Marc 656 LANTENOIS Jean-Michel 657 DJADLI Kamel 658 DUBOIS Benjamin 659 SIBER TONNE Sylvère 660 MACHADO Franck 661 ISTASSE Thomas 662 POINT Sébastien 663 DUCHEMIN Alexandre 664 ABRAHIM ROSEMOND Laurence 665 GUILLOTEAU Fabrice 666 MARIAC Jean-François 667 DUBUIS Johann 668 DUFRENOY Stéphane 669 PELVIN Amandine 670 ANTUNES Antonio 671 CARON Stéphane 672 CHRISTOPHE Jennifer 673 FRANCE Ludovic 674 CHARRIER Jérôme 675 SARI Michaël 676 COTELLE Jeremy 677 SIGNORET Magalie 678 LAMBLIN Garry 679 DARIN Audrey 680 BRISSET Marylin 681 GRANDVOINET Ludovic 682 PAWLAK NOGRETTE Élodie 683 DISCHANT Stéphane 684 BOUHADJADJ Amine 685 KERAMBRUN Fabrice 686 BIBARD Franck 687 SAVIN David 688 BERY Didier 689 MARCELIN Joby 690 CORRETTE Lionel 691 RASTEIRO Carlos 692 BARBOTTE Benoît 693 MERITE Jérôme



694 AHAMADI Anrifou 695 ALVAREZ Stéphane 696 CHAFFRET Sandrine 697 MEYER Aurore 698 CHEVALLAY Mathieu 699 NIERES Carine 700 TOURE Papa Amadou 701 HERMAND Cécile 702 DAVY Fabrice 703 CARPENTIER Thierry 704 HANS-REFIOR Elisabeth 705 CHOREL Michaël 706 CARRIER LOZAHIC Catherine 707 KABARDJI Yacine 708 GATEIN Benoît 709 GENET Éric 710 JULIEN Alexandra 711 RIVIERE Aurélie 712 LACOSTE William 713 HAMELIN Guillaume 714 VERIEPE Frédéric 715 RAFFLEGEAU Eddy 716 CUVILLIER Stéphane 717 TORREZ Emmanuel 718 BOIVIN Nicolas 719 OTTERBEIN Hubert 720 LHEUREUX Sylvain 721 CHARLEMAGNE Laurent 722 DARNOIS Serge 723 ROUSSEAUX FEUILLEBOIS Florence 724 NERIS Anne-Marie 725 ALPHONSE NATIVEL Nadia 726 FOISSEY Stéphane 727 CICHOCKI Jean-Vincent 728 DOS SANTOS Daniel 729 MOERMAN Yann 730 FAQUE Lucien 731 MARVOYER Estelle 732 MIMOUN Mehdi 733 DEBAIZE CURTZ Mélanie 734 CARRE Lionel 735 FORTIER Nicolas 736 PETIT Willy 737 THEBAUT Tiphaine 738 MARCOURT Laurence 739 CELLETTI Bruno 740 MICHEL Xavier 741 BUSSON Frédéric 742 HUCHET Thomas 743 GUERRE Jeanny



744 DUBOURD Gianni 745 LETELLIER Erwan 746 HOYOS Cédric 747 TALLEUX Gauthier 748 MAURY Ludovic 749 BARDELLOTTO Yannick 750 MIEL Jeremy 751 LORINI Philippe 752 BONARDI Stéphane 753 TAVEL Cédric 754 DUBOIS Céline 755 VETRAL Marielle 756 HOFFSTETTER Stéphanie 757 MONVOISIN Isabelle 758 ALLAIN Jérôme 759 MESSINA Franck 760 BAUDRILLARD Jean 761 MARCHAND Michaël 762 BOUREMLI Samir 763 SEGOUIN David 764 CATHERINE Dominique 765 GOURDIN Élodie 766 GARNUNG Émilie 767 SENECHAL Jérôme 768 ALEXIA Mario 769 BACON Sébastien 770 MHAMDI Nabil 771 JAWORSKI Vincent 772 MARTIN Jérôme 773 HENNION LEMAITRE Nathalie 774 SOARES Véronique 775 BELABED Mehdi 776 CORBIERES Cyril 777 VAN SCHUERBEEK Audrey 778 DETOURNAY Jessy 779 GALTON Nicolas 780 HUICARD DILLY Janou 781 LEGRAIN Éric 782 MELERO Cédric 783 BRET Frédéric 784 SAVOYE Frédéric 785 RAYNAUD Jérôme 786 PHILIPPE Arnaud 787 TRICOT Christophe 788 MAILLE David 789 SARAZIN Christophe 790 PAYS Muriel 791 MERESSE Thibaut 792 BOCZ Valéry 793 VASIC Milos



794 LEFEVRE Loïc 795 RUTARD CLEDIERE Valérie 796 VICTOR Cédric 797 DUPUIS Serge 798 JEANBLANC Estelle 799 CASSAGNE Laetitia 800 JUFFROY David 801 SAURA David 802 ISORE Cédric 803 BRESSON Jean-Christophe 804 SOYEZ Elodie 805 BARRE Bénédicte 806 BOUVART Jeremy 807 PETITJEAN Matthieu 808 LIOT LESAGE Sabrina 809 MATRON Stéphane 810 MESSAOUDI Raissi 811 FISSORI Hervé 812 ARRONDEL Serge 813 RAUBER Christophe 814 ALESSANDRI Denis 815 DELHAY David 816 DURAND Karine 817 BACQUET Jean-François 818 VEDIE Éric 819 BRETON Laurence 820 INVERNON LOVISOLO Corinne 821 LEMOT Yannick 822 MASSOL Pascal 823 MURAIL MAINDRON Katell 824 MARQUANT Didier 825 MOLINA Y MUNOZ Michel 826 RAGOUILLIAUX MATIAS Sylvie 827 FAUCHE Fabien 828 SCHWEITZER Aline 829 CARDONNE Laurent 830 BREDOW DROCOURT Sylvia 831 DUDRIK Sébastien 832 ADAME MADI Daniel 833 FLORECK Christophe 834 AGUERSIF Mohand 835 LE MOIGNE Sébastien 836 ETIFIER Noam 837 LABIOD LEMOINE Salima 838 BOULME Romain 839 DESMOULINS Olivier 840 CADU Nicolas 841 MEYER Marc 842 LE FLOCH Mickaël 843 RUH Jacky



844 BOHICO Bernard 845 ARAQUE Harry 846 DUTCZYN Sébastien 847 FRANCQ Jean-Marc 848 HERMANN Robert 849 DANIEL Jérôme 850 PARIZY Christophe 851 REYNE Olivier 852 POYATOS Mathieu 853 COLLIN Jean-Marcel 854 ALLASSONNIERE Guillaume 855 DERUWEZ Laurent 856 MOUTIAPOULLE Yannis 857 COTTREZ Ludovic 858 DIAS MARTINHO Christophe 859 BOY Nicolas 860 BOTHUA Karine 861 GONCALVES Fernando 862 EOSIE Sabrino 863 JOBELIN Yohann 864 BELKAID Mohammed 865 GONIN Nicolas 866 DARGAL Mourad 867 BAIETTI Mathieu 868 NOUCANA Willy 869 CIVILETTI HECQUET Virginie 870 JARRELOT Peggy 871 ARAB Hauria 872 PIERRE-JOSEPH Thierry 873 GENDROT Nadège 874 MUSATO Grégory 875 LOUZI EL OUAFI Fatima 876 PASSARD Christelle 877 MONVOISIN Pascal 878 BILLORE David 879 BELHADJ Karim 880 DUBOSCQ Christophe 881 DUVOLLET Christophe 882 GAUTRON Sébastien 883 GRANJON Benjamin 884 LOPEZ Stéphane 885 DARTUS David 886 BARNAGAUD Clément 887 BONNET Ludovic 888 GARNIER Jean-François 889 SOUM BUCCHIERE Valérie 890 DELANNOEYE David 891 FERREIRA Dario 892 JEAN BAPTISTE LINARD Ralph 893 LELEU Pauline



894 CHALON Sébastien 895 ROVILLAIN Pascal 896 DOUCHEZ Jérôme 897 BOUDADA BENAMARA Dalila 898 CHAUVEL Jean-Yves 899 FUENTES Guillaume 900 DUCHESNE Mickaël 901 ROUX Guillaume 902 GARCIA Sébastien 903 BANYULS Maxime 904 NEPOS Christian 905 FLORENS Mathieu 906 VALENS Soizic 907 FUMERON Alexandre 908 DEBAER Jeremy 909 LEMIERE David 910 JABLONSKI Julien 911 PIETRASZEWSKI Christophe 912 NOUBEL Gwennaël 913 DRINE Samira 914 TEKIN Emine 915 HEMOUS AMHARECH Jennifer 916 GONZALEZ Daniel 917 BERAUD Frédéric 918 DIDOUHE Abdelkrim 919 LAMOUREUX Philippe 920 GOUGET Philippe 921 KALIS Patrick 922 PRAT Martial 923 CLAUDE Christophe 924 TARAGNAT Lilian 925 RISCHMANN Rémy 926 DELMET José 927 SOGNY Thierry 928 PLANTIS Christophe 929 SUCHET Jean-Luc 930 FERON Pascal 931 MINTEC Alain 932 SAINTPIERRE LEINOT Sylvie 933 FERNANDEZ Gérard 934 ARNAUD Olivier 935 ARNAULT Sébastien 936 DE BOCK Didier 937 ECHARD Olivier 938 TRAP Hervé 939 LHOMME Éric 940 ROUANE Christian 941 TCHAKMAKDJIAN David 942 JACQ Dominique 943 MALIGE Jean-Pierre



944 COUVIN Fabrice 945 TECHER POUDROUX Laurence 946 COIQUE Eddy 947 COUREAULT Patrick 948 SCHERR Stéphane 949 MADRELLE Sarah 950 DELEBECQUE Stéphane 951 BESNIER Philippe 952 EDWIGE Bruno 953 MAUFROY Loris 954 FLANT Serge 955 ROUSSEL Jean-Noël 956 DAYOT Jean Luc 957 GERARD Guy 958 CHAKA Assani Junior 959 TROHMAE Jean 960 HABERT Olivier 961 LEGER Yannick 962 BARNY Benoît 963 CHIARADIA Patrick 964 CASTEL Cyril 965 NICOLAS Christian 966 VAN ELSLANDER Bernard 967 DELORME FAVIER Nadine 968 BAGLIN Jean-Philippe 969 CORRIAUX Michel 970 MACHUT Olivier 971 HO YOU FAT Jeanine 972 TOULOUMDJIAN Frank 973 DOMENGE Daniel 974 DAYEZ Olivier 975 THEULEAU Philippe 976 DUCROS Yann 977 CHALVET Christian 978 ESSERTEL Florence 979 GAULIAS Laurent 980 GONALONS Yann 981 GRAINGER Eudoxie 982 LETREN Olivier 983 GROS Patrice 984 CLEMENT Régis 985 MICHAU Vincent 986 TUPINIER Ghyslaine 987 LOBET Lionel 988 SCHWARTZ Jean-Claude 989 DEBONLIER Jacques 990 TOUSSAINT André-Luc 991 BOUILLON Dominique 992 KUNTZ Jean-Philippe 993 ROSSELL Marc



994 QUATTROCCHI François 995 BOUCHET BERT-FAYOUDAT Guy 996 REGNARD Francis 997 COINTOT Michel 998 GARNIER Dominique 999 CHATOUREL Frédéric1000 VERGEZ Philippe

Liste complémentaire

1001 NECTOUX Carole1002 BOULON Nadine1003 BENOIT Christophe1004 AMANS Christophe1005 BENASSIS Daniel1006 CHAUVIN Frédéric




Direction générale de la police nationale

_

Direction des ressources et des compétences de la police nationale

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Sous-direction de l’administration des ressources humaines

_

Bureau des gradés et gardiens de la paix

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Arrêté du 29 avril 2016 relatif au tableau d’avancement au grade de major de police au titre de l’année 2016

NOR : INTC1610079A

Le ministre de l’intérieur,Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84-16 du

11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, et notamment les articles 56, 58 et 59 ;

Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;Vu le décret no 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires ;Vu le décret no 95-654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs

des services de la police nationale ;Vu le décret no 2004-1439 du 23 décembre 2004 modifié portant statut particulier du corps d’encadrement et

d’application de la police nationale ;Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement

et d’application de la police nationale en sa séance du 31 mars 2016 ;Sur la proposition du préfet, directeur général de la police nationale,

Arrête :

Article 1er

Le tableau d’avancement au grade de major de police pour l’année 2016 est arrêté conformément à l’annexe ci-jointe.

Article 2

La directrice des ressources et des compétences de la police nationale est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur et sur le site intranet de la direction des ressources et des compétences de la police nationale.

Fait à Paris, le 29 avril 2016. Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la police nationale, j.-M. falcone



A N N E X E

À L’ARRÊTÉ No 1533 DU 29 AVRIL 2016 RELATIF AU TABLEAU D’AVANCEMENT AU GRADE DE MAJOR DE POLICE AU TITRE DE L’ANNÉE 2016

1. Liste utile

1 MARTIN Jean-Frédéric 2 BEYL Carole 3 HELOISE Sylvestre 4 ANGEI Éric 5 ONOPTCHENKO Michel 6 MAQUART Pascal 7 COURTOIS Pierre-André 8 COTTREAU Hervé 9 GOBERT Gerald 10 GROUX Franck 11 MECHEMACHE Ahmed 12 SCHILLING Marc 13 MARTIN Luc 14 SIDEL Dany 15 LE DOURNER Dominique 16 HALOCHE Fabien 17 MONTAUD Frédéric 18 PICCOLIN François 19 BLONDEL Patrice 20 ABELARD Patrice 21 MATHIEU VAGNERON Muriel 22 ALLEMAND Éric 23 VANDEVELDE Éric 24 CASSARD Noël 25 TEYSSIER Lionel 26 GRIVEL Philippe 27 LORY Patrick 28 FROEHLY Jean-Michel 29 ALEXIS Philippe 30 VIARD ROUSSEL Nadège 31 LENOIR David 32 HOUNTONDJI Basile 33 NGO PHUOC Alexandre 34 LECOMTE Benoit 35 MAURE Patrice 36 CHARLES Kurt 37 DALIER Guy 38 PAIN Thierry 39 VARLET Olivier 40 BIONAZ Christophe 41 MODICOM Fabien 42 COMTE Nicolas



43 SOLIS Alain 44 GARROUSTE Gérard 45 ROBERT Yannick 46 ABT Patrick 47 OLBERT Pascal 48 PECH Philippe 49 SEIGNARD Michel 50 FRIRY Christian 51 LORENSKI Jean-Pierre 52 BOYER Jean-Jacques 53 POMIES Guy 54 MINIC Laurent 55 LAPORTE Jean-François 56 BURANELLO Rudy 57 ALBALADEJO Christian 58 DUPLOUICH Albert 59 GARGOU Jean-Paul 60 HOUSSEN VICTOR Rakotoarinaina 61 AIMABLE Malo 62 FUDUCHE Jean-Louis 63 BELLONY Émile 64 DECORSE Dominique 65 THOUROUDE Éric 66 BOUCHAIB Frédéric 67 POEY Claude 68 DIVAY Laurent 69 CAMPY Denis 70 LEFEVRE Sophie 71 HILAIRE Jérôme 72 DELEPIERRE Christophe 73 ETIENNE Georges 74 GERMAIN Béatrice 75 ARNI Francesco 76 AUGIS Nathalie 77 SENECHAL Vincent 78 AMOUR Raphaël 79 ANDRIC Srdan 80 CAUMONT Olivier 81 GUYONVARCH Yvon 82 HENRION Thierry 83 CONIASSE Lionel 84 DAUBIE Laurent 85 BOLLENGIER Sylvain 86 LEFORT Christian 87 COTOR Joseph 88 FEYSSEL Luc 89 YAKOVENKO-DE PECHY Natacha 90 CHABAUTY Steve 91 BOURGOUING Éric 92 BARRIERE David



93 DESSEIN Stéphane 94 CARLINI Thierry 95 GALLAND Régis 96 BREUZA Michel 97 PENARUBIA Didier 98 SERRET Thierry 99 FOURNIER Alain 100 YSMAL Pascal 101 CARROT Éric 102 LESPES Jean-François 103 ORTHION Michel 104 KUHN Éric 105 PIERRON Pascal 106 VINAY Jean-Luc 107 BOURDON FOURNY Nathalie 108 FOURNIER DESSEIN Sabine 109 KOKOCINSKI Anne-Véronique 110 RIAUTET Patrice 111 GLORIES Thierry 112 CALVET Philippe 113 ROUME Didier 114 BEDO Thierry 115 TERRIER Éric 116 JACQUES Carole 117 CARON Frédéric 118 BARBIER Thierry 119 BERTHINIER Thierry 120 ROBIN Patrick 121 HUREAUX Pascale 122 MARIE Stéphane 123 JACQUINOT Thierry 124 BEHRINGER François 125 REGNIEZ Lionel 126 MIESZCZAK Richard 127 LEDUC Bernard 128 LAURENT Jean-Louis 129 LEFEBVRE Pascal 130 PARMENTIER Samuel 131 CHARLES Éric 132 MARTIN PIVIN Pascale 133 MURZILLI Philippe 134 LAMOURETTE Bruno 135 ANDREU Joël 136 BOURGAIN Stéphane 137 KAZMIERSKI Fabien 138 BAILLIEU Pascal 139 BENTZ Éric 140 PISSON Bruno 141 SIFRES Olivier 142 DE KEYZER Jean-Christophe



143 CHOINKOWSKI André 144 BOUSSAGUET Didier 145 FLORET Hervé 146 SCHEENAERTS Arnaud 147 STOUFFLET Fabrice 148 DECARPENTRIE Xavier 149 DUMETZ Fabrice 150 SIMON Jérôme 151 MANONVILLER Éric 152 GALLEGO-PELEGRIN Jean-Marc 153 ALSINA Arnaud 154 BILLIET Sophie 155 BELIN Stéphane 156 GOUIN Jean-François 157 TRAVAILLOT LAURET Corinne 158 CHAIX Gilles 159 MEYER Guy 160 PAREL Frédéric 161 VANHERPE Benoît 162 MACHABERT Bruno 163 VERPRAET David 164 MAGNIER Jean-Christophe 165 DESMET Éric 166 FABRA Claude 167 SAINDOU Djimoi 168 DEVROEDE Patricia 169 CALLARD Franck 170 LE BIHAN Franck 171 DELAPORTE Olivier 172 CHASSOT David 173 MIRIEL Alain 174 JEANDENAND Frédéric 175 DURAND Frédéric 176 GRAVELAINE Pascal 177 LOURDEL Christophe 178 URIOS Thierry 179 DHAUSSY Christophe 180 JOYEUX Olivier 181 OMAR Nadhur 182 SINGIER Régis 183 JOLLY Olivier 184 ROBERT Thierry 185 HERMANT Christophe 186 SEOUD Éric 187 BUTTARD Sylvie 188 FOUQUET Romain 189 VIKOR Raphaël 190 SOLIS Thierry 191 PALAIS Éric 192 BACON Steeve



193 PODOROJNIY Fabrice 194 PRIESTER Laurent 195 RIBOT Denis 196 VISNELDA Jean-François 197 CRUVELLIER Christophe 198 KOKOCINSKI Bernard 199 HERRMANN Michel 200 DAVESNE Dimitri 201 VISEUR Thierry 202 MONTABONE Serge 203 GRANIERI Jean-Pascal 204 MARCEL Frédéric 205 VALERY Olivier 206 BOUQUOT Laurent 207 DUVAL Nicolas 208 LESCHEL Maurice 209 BLOT RUDOLPH Rodolphe 210 CHAMOULEAU Christophe 211 MOULY Christian 212 ZANNA Bertrand 213 GOUTTEBROZE Christian 214 HOUDEBINE Carole 215 COQUILLE Noël 216 FERNANDEZ Éric 217 ROFFAT Fabrice 218 DELMOTTE Vincent 219 RESVE Sylvain 220 FRESNEAU Patrice 221 ATTRAIT Stéphane 222 DELARUE Lionel 223 CAUCHOIS Christophe 224 FERNANDES Valérie 225 LEROUGE Frédéric 226 MADI M’BARAKA Mohamed 227 BARBRY Sylvie 228 ROUSSEL Michaël 229 PETIT Patrick 230 WILS Fideline 231 BOURGAULT Nicolas 232 REGUILLON MENDOZA Muriel 233 POURCHER Valéry 234 MARATUECH Nicolas 235 DELEBECQ Gilles 236 WERBROUCK Denis 237 ROBERT Olivier 238 PEROSE John 239 TAILLEUX Loïc 240 THEROND Fabrice 241 OUDOT Vincent 242 TYBERGHEIN Didier



243 SANTORO Stéphane 244 ETIENNE Christelle 245 CARLIER Vincent 246 ASSET Stéphane 247 GAVE Sébastien 248 ROBERT Daniel 249 GADOULET David 250 BOURY Stéphan 251 SLOUS Christophe 252 VAUTIER Reynald 253 PHILIPPE Antony 254 BERTHAULT DELEPORTE Nathalie 255 CERATI Bernard 256 GARAND Christian 257 LEVEL Jean-Pierre 258 BOUTEMY Sandrine 259 ROGEZ Edwige 260 CLAVEL Stéphane 261 FASQUEL Ludovic 262 CHANE-HIME Thierry 263 BOUILLOT CAGNIMEL Karine 264 MORENO Patrice 265 VEGNADUZZI JAUFFRED Corinne 266 BOUKHERCHA Rabah 267 VILLETTE Marc 268 FOUQUET Hervé 269 BOYER Bernard 270 BOURQUIN Éric 271 BOUTEILLER Nathalie 272 MERCIER Michaël 273 CAUPIN Laurent 274 MAURIN Frédéric 275 DUMOULIN Karl 276 GRISEL Jérôme 277 MANCHEC Stéphane 278 PAOLI Sophie 279 LEDOUX Frédéric 280 SEUX Flavien 281 CUBAYNE Hémeric 282 SAUVAGE Bruno 283 KREBS Sylvain 284 MASSON Philippe 285 BUSSON Laurent 286 SALVATORE Toni 287 LORO Romuald 288 COURCELLE GOUGOU Géraldine 289 MOUVET Samuel 290 FEUGEAS Philippe 291 CAUCHY Thierry 292 PRIEM Laurent



293 SATTIARADJOU Isvarradjou 294 FIANI Daniel 295 LAUBRY Laurent 296 BONVICINI Bruno 297 SIMONI Xavier 298 HENRY Christophe 299 DULER Laurent 300 DESPLANQUES Thierry 301 BECK Stéphan 302 FOURNIER Raynald 303 RIVIERE Stéphane 304 TALPIN Emmanuel 305 PISSARD Alain 306 GUGLIERMINI Lionel 307 BENDLER David 308 FERRON Frédéric 309 INDELICATO BONANNO Sandrine 310 LORENTZ Philippe 311 BELLEAU Omer 312 DEMARNE Jean-Louis 313 DUB Christian 314 CAMBON Isabelle 315 PETIT Patrick 316 GESLIN Franck 317 WIART Gilles 318 RASTELLI Benoît 319 DI PASQUALE Laurent 320 COUSIN Stéphane 321 COMBETTE Patrick 322 PLANADE Christophe 323 LEON Juliana 324 JOUANJEAN Marc 325 BONGIBAULT Antoine 326 PLOUVIER Alexandre 327 VIDOTTO Jean-Pierre 328 CHILLIARD Christophe 329 POINTEAUX Frédéric 330 FONT Sylvestre 331 ARNOUX Jean-Christophe 332 DELLIERE CRASSOUS Patricia 333 LE MOIGNE Vincent 334 RICHARD-BONDU Philippe 335 MONCEAU Jean-Christophe 336 BECEL Frédéric 337 TELLIEZ Bertrand 338 GENDREAU GICQUEL Sarah 339 LE TOSSER Jérôme 340 WALLE Cédric 341 DUFRAICHE Yannick 342 BOURGE Thierry



343 KREDER Stéphane 344 CRAVELLO Stéphane 345 GUALANDI Sandrine 346 BONGIBAULT Jean-Christophe 347 PICAULT David 348 GIRARD François 349 JOLY Angélique 350 BROSSELLIER Luc 351 LANCELIN Christophe 352 SAUVADE Cyril 353 ZOUABI Sonia 354 THOMAS Eddy 355 DUCHENE Patrick 356 BIRTEL Didier 357 RIEM Mickaël 358 LEGER Frédéric 359 MOITY Philippe 360 ATHIEL Alexandra 361 CHEVALLIER Sylvain 362 COPIN Pierre-Olivier 363 DUJARDIN Séverine 364 PIRLOT Vincent 365 KOCENKO Thierry 366 SE Cai Thuan 367 CHOPIN Élodie 368 DESWARTE Patricia 369 ROCCHIETTA Olivier 370 DUBOIS Emmanuel 371 CECCALDI Jean-François 372 PRUVOST Jean-Luc 373 DA SILVA David 374 BORGHIN Marc 375 CHENNEBAULT Éric 376 THERY Franck 377 MASSOL Éric 378 HARLIT Philippe 379 MARESTEIN Jérôme 380 COEURET Stéphane 381 GONZALEZ RIVERO François 382 CREPEAU Samuel 383 GILLET RASTOLL Sandrine 384 LE CLEUZIAT Christelle 385 HILDEBRAND Éric 386 BONIN Frédéric 387 BENZADI Abdelhalim 388 DUBOIS Louis-Guy 389 GUILLAUME Sébastien 390 BESSAQUE Sophie 391 LANDREAU Yannick 392 ESTIEZ Patrice



393 DESMARAIS Bruno 394 MOREL Olivier 395 MIRA Yvan 396 SAHID Sargito 397 VIDALENC Magali 398 DABOUZI Bernard 399 RUHLMANN Stéphane 400 NESTOUR Michel 401 BERTHAULT Alain 402 OGIEZ Ludovic 403 COLINET Olivier 404 COTHOUIS Bertrand 405 COULOUMY Sylvain 406 DOMINIAK Nicolas 407 GEORGES CARRE Peggy 408 FRANZINI Didier 409 LLORET Rodolphe 410 BOUCHITE Hugues 411 LUCAS Pascal 412 FRECHAULT Éric 413 HO A TEN Stéphane 414 LEVEQUE Pascal 415 GAUCHET Thomas 416 GANTEILLE Frédéric 417 EGO William 418 BOUTRIT Arnaud 419 VANDICHELE Lionel 420 DAVROUX Christophe 421 BEL Frédéric 422 CAYRECASTEL Marc 423 GROUSSAC Jérôme 424 HARVOIRE Gilles 425 VIMOND Laurent 426 ROUSSEAU Cyril 427 BOUTELIER Arnauld 428 LE BARON Bénédicte 429 CHAMPAGNE Sébastien 430 NEMERY TROUSSICOT Sophie 431 CAUDERAN Jean-François 432 MOISSET Frédéric 433 CACELA Georges 434 BOUITIER Arnaud 435 GOUVERNET Pierre 436 BOUCHER Christophe 437 DAZY Brice 438 JURQUET Laurent 439 MAUDUIT Sébastien 440 PAMPOUILLE Denis 441 DE PASCALE Jean 442 WIECHOWSKI Dominique



443 CUSAN Iber 444 PERRIER Lionel 445 COMMENE Yvan 446 MARTIN Jacques 447 DELY Franck 448 HARET Philippe 449 KUBIAK Éric 450 DURAND Fabrice 451 CARELLO Laurent 452 CANONNE Jérôme 453 DURIEU Sandrine 454 FALZON VRANKEN Sandrine 455 GRENON Vianney 456 GOVIN Laurent 457 BALANANT Karine 458 MURRU Nicolas 459 CARAYOL Eddy 460 MANGINI Pascal 461 LABUSSIERE Éric 462 HOCQ Albert 463 DOUCHE Franck 464 CASARES Brice 465 BELEME-QUIGNOT Jean-Philippe 466 MERCIER Charlie 467 RIEU Véronique 468 MOUILLARD SAACKE Virginie 469 COMBETTES Cyril 470 BLANCHET William 471 LIBRIZZI Kevin 472 JOCHEM Stéphane 473 SARAZIN CORDIER Carole 474 MARIE Alexandre 475 ANCONETTI Jean-Michel 476 RENNES Patrick 477 SUCHET Jean-Jacques 478 FOUBERT Philippe 479 LECAMUS Marina 480 DOCHY Jérôme 481 FERREIRA Michel 482 TRAVERS Loïc 483 GIRAUDET Pierre-Antoine 484 HAUSKNECHT Éric 485 PHILIPPS Nicolas 486 BATHIER Jérôme 487 TRAN THANH THIEN Thierry 488 ANDRIEU Dominique 489 DUBOIS Alexandre 490 CLAUIN Eddie



2. Liste complementaire 491 BIHAN GALLENE Nathalie 492 MAUTALEN Éric 493 HENRI VOITOT Sylvie 494 PASQUET Sébastien 495 MASSONI Régis 496 GRARE Isabelle 497 PICOLLO Éric 498 MEZOELA Claude





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Décision no 20832 du 11 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « systèmes d’information et de communication »

NOR : INTJ1607042S

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du Gouvernement ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de

gendarmerie ;Vu la décision no 85671 du 3 décembre 2015 (NOR : INTJ1528270S),

Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Wurthlin, Myriam Nigend : 139 411 Numéro de livret de solde : 5 296 099

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Genais, Franck Nigend : 162 077 Numéro de livret de solde : 8 019 047Boulier, David Nigend : 166 597 Numéro de livret de solde : 8 022 812

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Hamel, Hervé Nigend : 234 640 Numéro de livret de solde : 8 086 665Capdevielle, Éric Nigend : 122 396 Numéro de livret de solde : 5 270 009

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Choserot, Élie Nigend : 321 960 Numéro de livret de solde : 8 093 230Duthoit, Cyril Nigend : 319 021 Numéro de livret de solde : 8 092 771Martelle, Julien Nigend : 219 696 Numéro de livret de solde : 8 072 181

Article 5



Pour le ministre et par délégation : Le colonel, adjoint au sous-directeur de la gestion du personnel, a. Browaëys





_

Décision no 20846 du 11 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie de la spécialité « montagne »

NOR : INTJ1607047S



Décide :

Article 1er

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Gaillard, Pierre Nigend : 167 645 Numéro de livret de solde : 8 023 131

Article 2

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Heckmann, Sébastien Nigend : 239 218 Numéro de livret de solde : 6 614 712

Article 3

Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Pailler, Lionel Nigend : 301 298 Numéro de livret de solde : 8 090 073

Article 4








_

Décision no 20889 du 11 mars 2016 portant promotion d’un sous-officier de gendarmerie de la spécialité « affaires immobilières »

NOR : INTJ1607051S



Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Loisel, Hubert Nigend : 139 519 Numéro de livret de solde : 5 323 541

Article 2







Région de gendarmerie de Normandie_

Décision no 3839 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Eure et de la Seine-Maritime

NOR : INTJ1604401S

Le commandant de la région de gendarmerie de Normandie, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Seine-Maritime,

Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de

gendarmerie ;Vu l’arrêté du 14 décembre 2012 modifié portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière

d’administration et de gestion du personnel militaire de la gendarmerie nationale ;Vu la décision no 16303 du 3 décembre 2015 (NOR : INTJ1525330S),

Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Vasseur, Éric Nigend : 121 756 Numéro de livret de solde : 5 244 495

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Quesnel, Romain Nigend : 166 680 Numéro de livret de solde : 8 022 780

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Le Jeune, Jérôme Nigend : 227 639 Numéro de livret de solde : 6 608 904Nadreau, Sandie Nigend : 191 493 Numéro de livret de solde : 8 051 824

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Delcroix, Christophe Nigend : 197 025 Numéro de livret de solde : 8 052 752Lenoir, Angélina Nigend : 217 200 Numéro de livret de solde : 8 070 573Kerlo, Émilie Nigend : 208 051 Numéro de livret de solde : 8 061 923Billet, Stéphane Nigend : 248 245 Numéro de livret de solde : 8 089 408Demouilliez, Aurore Nigend : 303 533 Numéro de livret de solde : 8 090 818Le Calvez, Erwan Nigend : 303 388 Numéro de livret de solde : 8 090 918

Article 5



Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Normandie, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Seine-Maritime, B. Goudallier




Garde républicaine_

Décision no 6868 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie »

NOR : INTJ1604384S

Le commandant de la garde républicaine,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Dreumont, Sébastien Nigend : 197 202 Numéro de livret de solde : 8 048 396

Article 2

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Lalande, Pierre-Édouard Nigend : 236 754 Numéro de livret de solde : 8 081 732Ngassaki Missa, Jessyca Nigend : 215 376 Numéro de livret de solde : 8 069 201Gardes, Jérôme Nigend : 247 264 Numéro de livret de solde : 8 089 145

Article 3



Le général de division, commandant la garde républicaine, d. strieBiG





Décision no 6869 du 25 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie »

NOR : INTJ1604386S




Décide :

Article 1er

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Houdin, Jérôme Nigend : 174 142 Numéro de livret de solde : 8 026 302

Article 2

Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Laboch, François Nigend : 302 337 Numéro de livret de solde : 8 090 116

Article 3








Décision no 6870 du 25 mars 2016 portant promotion d’un sous-officier de gendarmerie du cadre général de la garde républicaine – branche « orchestre-chœur de l’armée française »

NOR : INTJ1604388S




Décide :

Article 1er

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Dubois, Bruno Nigend : 162 299 Numéro de livret de solde : 8 021 169

Article 2







Région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes

_

Décision no 5987 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Allier, du Cantal, de la Haute-Loire et du Puy-de-Dôme

NOR : INTJ1604408S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes, commandant du groupement de gendarmerie départementale du Puy-de-Dôme,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :

Marchand, Éric Nigend : 141 407 Numéro de livret de solde : 5 272 074

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :

Chapel, Catherine Nigend : 145 777 Numéro de livret de solde : 8 004 130Delmas, Emmanuel Nigend : 188 691 Numéro de livret de solde : 8 038 725

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :

Vinot, Bruno Nigend : 234 102 Numéro de livret de solde : 8 086 354Pombar, Christian Nigend : 106 323 Numéro de livret de solde : 5 173 992

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :

Sibille-Anelli, Guillaume Nigend : 231 985 Numéro de livret de solde : 8 085 773Daubercies, Damien Nigend : 213 166 Numéro de livret de solde : 8 067 862Bézanger, Natacha Nigend : 216 443 Numéro de livret de solde : 8 070 151Thiriet, Marc Nigend : 219 132 Numéro de livret de solde : 8 071 780Molles, Damien Nigend : 214 730 Numéro de livret de solde : 8 068 609

Article 5



Le général, commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Puy-de-Dôme, P. reul




Région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes

_

Décision no 6990 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Charente, de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres et de la Vienne

NOR : INTJ1604393S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Vienne,




Décide :

Article 1er


Jouanneau, Yves Nigend : 143 212 Numéro de livret de solde : 8 002 646

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :

Huet, Jean-Luc Nigend : 136 206 Numéro de livret de solde : 5 324 029

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Biais, Christophe Nigend : 177 863 Numéro de livret de solde : 8 029 312Ménardais, Catherine Nigend : 136 826 Numéro de livret de solde : 5 324 258

Article 4


Berthon, Fabrice Nigend : 174 994 Numéro de livret de solde : 8 032 185Gaigner, Catherine Nigend : 301 457 Numéro de livret de solde : 6 664 476Kardasik, Gaël Nigend : 245 335 Numéro de livret de solde : 8 097 721

Article 5



Le général, commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Vienne, j.-j. taché


BuLLETIN OFFICIEL Du MINISTÈRE DE L’INTÉRIEuR


Région de gendarmerie d’Île-de-France et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité de Paris_

Décision no 19481 du 29 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie d’Île-de-France

NOR : INTJ1604382S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Bailliard, Christophe Nigend : 145 022 Numéro de livret de solde : 8 003 801

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Péron, Jean-Christophe Nigend : 180 249 Numéro de livret de solde : 8 030 891Raphalen, Gaël Nigend : 162 127 Numéro de livret de solde : 8 019 090Minvielle, Dominique Nigend : 108 886 Numéro de livret de solde : 5 158 063

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Estrade, Emmanuel Nigend : 233 374 Numéro de livret de solde : 8 085 954Barzic, Julien Nigend : 234 446 Numéro de livret de solde : 8 080 138Dureau, Romain Nigend : 213 492 Numéro de livret de solde : 8 063 782

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Benameur, Yacin Nigend : 332 315 Numéro de livret de solde : 8 057 576Boute, Sophie Nigend : 212 425 Numéro de livret de solde : 8 067 121Bellicini, Fabien Nigend : 308 171 Numéro de livret de solde : 8 091 550Kassab, Marwan Nigend : 233 968 Numéro de livret de solde : 8 079 699Jules, Pascale Nigend : 181 069 Numéro de livret de solde : 8 030 055Koslowski, Fabien Nigend : 231 958 Numéro de livret de solde : 8 085 749Parent, Séverine Nigend : 240 185 Numéro de livret de solde : 8 094 315Védrine, Ludivine Nigend : 235 413 Numéro de livret de solde : 8 080 701Gilson, Anne Nigend : 186 735 Numéro de livret de solde : 8 038 229Cottin, Joël Nigend : 123 390 Numéro de livret de solde : 5 244 913



Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, B. carMichaël




Région de gendarmerie de Bretagne et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité Ouest_

Décision no 16747 du 30 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest

NOR : INTJ1604396S

Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Bouteloup, Pascal Nigend : 143 148 Numéro de livret de solde : 8 002 657

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Domergue, Didier Nigend : 160 214 Numéro de livret de solde : 8 017 239Samson, Nancy Nigend : 170 825 Numéro de livret de solde : 8 025 589

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :D’Eurveilher, Marius Nigend : 193 230 Numéro de livret de solde : 8 049 331Boudereau, Yann Nigend : 191 059 Numéro de livret de solde : 8 039 806

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Maignan, Gaëtan Nigend : 329 244 Numéro de livret de solde : 6 693 594Olejnik, Sylvain Nigend : 220 554 Numéro de livret de solde : 8 072 835Griffon, Mathieu Nigend : 305 894 Numéro de livret de solde : 8 091 044Rouleau, Anthony Nigend : 241 793 Numéro de livret de solde : 8 095 069

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, h. renaud




Région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine

_

Décision no 3767 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Bas-Rhin et du Haut-Rhin

NOR : INTJ1604422S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, commandant du groupement de gendarmerie départementale du Bas-Rhin,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Muhr, Éric Nigend : 131 828 Numéro de livret de solde : 5 282 258

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Boll, David Nigend : 158 782 Numéro de livret de solde : 8 016 004Lemoine, Éric Nigend : 189 128 Numéro de livret de solde : 8 005 910

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Pire, Anthony Nigend : 202 715 Numéro de livret de solde : 8 054 692Thiry, Pierre-Alain Nigend : 183 697 Numéro de livret de solde : 8 030 936Henry, Joseph-Marie Nigend : 237 829 Numéro de livret de solde : 8 086 901

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Demarquette, Stéphane Nigend : 209 952 Numéro de livret de solde : 8 062 961Chaluleau, Coralie Nigend : 312 428 Numéro de livret de solde : 8 108 398Cauchefer, Aurélie Nigend : 323 733 Numéro de livret de solde : 8 093 374Buquet, Jérôme Nigend : 184 933 Numéro de livret de solde : 8 043 059

Article 5



Le général, commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Bas-Rhin, s. ottaVi




Région de gendarmerie de Bretagne et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité Ouest_

Décision no 16823 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Bretagne

NOR : INTJ1604395S

Le commandant de la région de gendarmerie de Bretagne et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest,




Décide :

Article 1er


Le Mée, Thierry Nigend : 131 926 Numéro de livret de solde : 5 294 553

Article 2


Lecorps, Samuel Nigend : 161 144 Numéro de livret de solde : 8 018 258Brunet, Éric Nigend : 177 505 Numéro de livret de solde : 8 029 113

Article 3


Maignant, Stéphane Nigend : 180 105 Numéro de livret de solde : 8 037 419Crapsi, Manuel Nigend : 172 133 Numéro de livret de solde : 8 027 223

Article 4


Verplaetse, Sébastien Nigend : 239 014 Numéro de livret de solde : 8 083 340Mancini, David Nigend : 231 966 Numéro de livret de solde : 8 085 756Alzin, Maxime Nigend : 242 038 Numéro de livret de solde : 8 088 315Paille, Benjamin Nigend : 233 120 Numéro de livret de solde : 8 086 112Le Ray, Nicolas Nigend : 239 127 Numéro de livret de solde : 8 087 367

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Bretagne et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest, h. renaud





_

Décision no 22860 du 31 mars 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »

NOR : INTJ1604443S

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du Gouver nement ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de

gendar merie ;Vu la décision no 86510 du 3 décembre 2015 (NOR : INTJ1525367S),

Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Garret, David Nigend : 157 028 Numéro de livret de solde : 8 014 431

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Bellet, Thierry Nigend : 191 571 Numéro de livret de solde : 8 039 898

Article 3







Région de gendarmerie de Bourgogne- Franche-Comté

_

Décision no 4887 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Doubs, du Jura, de la Haute-Saône et du Territoire de Belfort

NOR : INTJ1604425S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté, commandant du groupement de gendarmerie départementale du Doubs,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Gagey, Jean-Michel Nigend : 116 251 Numéro de livret de solde : 5 190 343

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Girod, Olivier Nigend : 156 211 Numéro de livret de solde : 8 013 749

Article 3

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Billerey, Olivier Nigend : 140 508 Numéro de livret de solde : 5 322 439

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Diebold, Guillaume Nigend : 300 368 Numéro de livret de solde : 8 100 919Pischedda, Tony Nigend : 192 559 Numéro de livret de solde : 8 040 264Debruille, Fabien Nigend : 197 842 Numéro de livret de solde : 8 056 156

Article 5



Le colonel, commandant adjoint de la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Doubs, f. faBre




Région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées

_

Décision no 9801 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Aude, du Gard, de l’Hérault, de la Lozère et des Pyrénées-Orientales

NOR : INTJ1604414S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, commandant le groupement de gendarmerie départementale de l’Hérault,




Décide :Article 1er


Pons, Jean-Luc Nigend : 107 194 Numéro de livret de solde : 5 172 774

Article 2Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Caminade, Éric Nigend : 122 921 Numéro de livret de solde : 5 244 706Lebonvallet, Laurent Nigend : 127 949 Numéro de livret de solde : 5 281 046

Article 3Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Roca, Dominique Nigend : 205 261 Numéro de livret de solde : 8 059 203Litzenbourger, Christian Nigend : 144 309 Numéro de livret de solde : 8 003 467Troalen, Erwan Nigend : 194 694 Numéro de livret de solde : 8 049 592

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Arnou, Laurent Nigend : 305 932 Numéro de livret de solde : 6 601 449Faure, David Nigend : 221 390 Numéro de livret de solde : 8 083 679Casemajor, Stéphan Nigend : 239 043 Numéro de livret de solde : 8 087 234Morales, Lionel Nigend : 210 967 Numéro de livret de solde : 8 066 209Bourabrab, Fatima Nigend : 227 103 Numéro de livret de solde : 8 059 309

Article 5



Le général, commandant adjoint de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, commandant le groupement de gendarmerie départementale de l’Hérault, j.-P. lecouffe





et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est

_

Décision no 25974 du 1er avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est

NOR : INTJ1604407S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Fourgeaud, Francis Nigend : 106 157 Numéro de livret de solde : 5 157 316

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Charrier, Pascal Nigend : 153 769 Numéro de livret de solde : 8 011 514

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Foucher, Christophe Nigend : 167 531 Numéro de livret de solde : 8 023 339Striffling, Frédéric Nigend : 200 772 Numéro de livret de solde : 8 044 125

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Vidal, Jérôme Nigend : 228 665 Numéro de livret de solde : 8 076 833Coin, Michaël Nigend : 214 272 Numéro de livret de solde : 8 063 994Philippe, Lucas Nigend : 233 877 Numéro de livret de solde : 8 079 620

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, c. duPouy




Région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté

_

Décision no 7483 du 4 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Côte-d’Or, de la Nièvre, de la Saône-et-Loire et de l’Yonne

NOR : INTJ1604427S

Le commandant de la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Côte-d’Or,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Miché, Robert Nigend : 126 205 Numéro de livret de solde : 5 279 013

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Guillemin, Sébastien Nigend : 163 511 Numéro de livret de solde : 8 020 232Belargent, Samuel Nigend : 192 448 Numéro de livret de solde : 8 040 405

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Tassa, Alexandre Nigend : 195 221 Numéro de livret de solde : 8 056 345Mendes, Davy Nigend : 223 543 Numéro de livret de solde : 8 073 496

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Dal Col, Nicolas Nigend : 228 568 Numéro de livret de solde : 8 076 675Laurent, Romain Nigend : 218 256 Numéro de livret de solde : 8 071 231Charlet, Sophie Nigend : 218 776 Numéro de livret de solde : 8 071 479Letolle, François Nigend : 203 930 Numéro de livret de solde : 8 059 889Rollé, Christophe Nigend : 243 734 Numéro de livret de solde : 8 088 800Bonnefoy, Romain Nigend : 183 743 Numéro de livret de solde : 8 036 904

Article 5



Le colonel, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Côte-d’Or, o. kiM




Région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité Est_

Décision no 12735 du 4 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Meurthe-et-Moselle, de la Meuse, de la Moselle et des Vosges

NOR : INTJ1604418S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Fiorini, Claude Nigend : 156 207 Numéro de livret de solde : 8 013 746

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Chapé, Laurent Nigend : 193 022 Numéro de livret de solde : 8 047 245Boulhaïs, Malik Nigend : 144 791 Numéro de livret de solde : 8 003 206

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Pouzet, Hugues Nigend : 192 278 Numéro de livret de solde : 8 040 340Roncey, Jean Nigend : 158 595 Numéro de livret de solde : 8 015 880Louis, Isabelle Nigend : 190 856 Numéro de livret de solde : 8 039 773

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Beugin, Romain Nigend : 300 311 Numéro de livret de solde : 8 100 898Guerrier, Steve Nigend : 236 071 Numéro de livret de solde : 8 086 724Buchheit, Élise Nigend : 244 083 Numéro de livret de solde : 8 096 415Blanc, Grégory Nigend : 310 338 Numéro de livret de solde : 8 092 132Vasson, Olivier Nigend : 311 384 Numéro de livret de solde : 8 092 334

Article 5


ait leF 4 avril 2016. Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, t. Morterol




Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale

_

Décision no 2567 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale

NOR : INTJ1604447S

Le commandant du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Soulié, Patrick Nigend : 142 513 Numéro de livret de solde : 8 001 766

Article 2

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Ruffiandis, Xavier Nigend : 163 069 Numéro de livret de solde : 8 019 881

Article 3

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Briand, Nicolas Nigend : 221 113 Numéro de livret de solde : 8 073 249Boutrois, Guillaume Nigend : 248 608 Numéro de livret de solde : 8 089 765

Article 4



Le général, commandant le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, f. daoust




Commandement de la gendarmerie outre-mer

_

Décision no 12929 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel servant outre-mer et en assistance militaire technique »

NOR : INTJ1604431S

Le commandant de la gendarmerie outre-mer,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er

Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2016 :Didelot, Fabrice Nigend : 132 822 Numéro de livret de solde : 5 294 734Cita, Félix Nigend : 114 754 Numéro de livret de solde : 5 180 379

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Brender, Grégory Nigend : 193 546 Numéro de livret de solde : 8 047 199Grousset, Cédric Nigend : 163 509 Numéro de livret de solde : 8 020 230Delpas, Alain Nigend : 152 320 Numéro de livret de solde : 8 010 134

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Tavernier, Yan Nigend : 190 216 Numéro de livret de solde : 8 035 142Rochel, Olivier Nigend : 156 259 Numéro de livret de solde : 8 013 784Czelusta, Bruno Nigend : 118 639 Numéro de livret de solde : 5 220 052Martin, Grégory Nigend : 169 198 Numéro de livret de solde : 8 024 868

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Blondel, Marine Nigend : 196 096 Numéro de livret de solde : 8 052 953Forey, Anthony Nigend : 209 426 Numéro de livret de solde : 8 050 987Daïca Dalleau, Stéphane Nigend : 219 148 Numéro de livret de solde : 8 065 089Poulot, Vivien Nigend : 224 466 Numéro de livret de solde : 8 083 857Chafangeon, Ludivine Nigend : 221 210 Numéro de livret de solde : 8 073 161

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la gendarmerie outre-mer, B. souBelet




Région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité Est_

Décision no 13326 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est

NOR : INTJ1604421S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Masson, Pascal Nigend : 120 486 Numéro de livret de solde : 5 188 852

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Lebrun, Fabrice Nigend : 146 660 Numéro de livret de solde : 8 005 158

Article 3

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Pichy, Louis-Didier Nigend : 230 603 Numéro de livret de solde : 8 085 086

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Ricard, Ludovic Nigend : 322 048 Numéro de livret de solde : 6 583 166Weber, Paul Nigend : 313 926 Numéro de livret de solde : 8 109 834Klein, Cédric Nigend : 244 546 Numéro de livret de solde : 8 096 883Zeini, Sami Nigend : 305 315 Numéro de livret de solde : 8 103 844

Article 5



Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, t. Morterol




Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur

et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud

_

Décision no 18403 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur

NOR : INTJ1604410S

Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,




Décide :

Article 1er

Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2016 :

Papadopoulos, François Nigend : 157 324 Numéro de livret de solde : 8 014 867Courrent, Frédéric Nigend : 137 169 Numéro de livret de solde : 5 323 129

Article 2


Gaudin, Christophe Nigend : 148 891 Numéro de livret de solde : 8 006 860Poulet, Olivier Nigend : 129 657 Numéro de livret de solde : 5 282 587

Article 3


Guesdon, Sébastien Nigend : 204 506 Numéro de livret de solde : 8 055 278Froment, Benoît Nigend : 197 409 Numéro de livret de solde : 8 048 836Hammerschmidt, François Nigend : 216 315 Numéro de livret de solde : 8 070 038Fourage, Jean-Michel Nigend : 208 819 Numéro de livret de solde : 8 062 412

Article 4


Pothon, Sébastien Nigend : 178 452 Numéro de livret de solde : 8 035 709Doux, Florian Nigend : 217 831 Numéro de livret de solde : 8 064 669Lopez, Olivia Nigend : 245 560 Numéro de livret de solde : 8 097 255Pardal, Fabrice Nigend : 193 543 Numéro de livret de solde : 8 047 497Bouillon, Violène Nigend : 318 936 Numéro de livret de solde : 8 093 104Caloux, Florence Nigend : 227 510 Numéro de livret de solde : 8 075 831David, Aurore Nigend : 304 787 Numéro de livret de solde : 8 103 227Meguerditchian, Laurent Nigend : 210 426 Numéro de livret de solde : 6 575 426



Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, d. Galtier




Région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur

et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud

_

Décision no 18408 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud

NOR : INTJ1604411S

Le commandant de la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,




Décide :

Article 1er

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :David, Pascal Nigend : 113 818 Numéro de livret de solde : 5 211 755

Article 2

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Colletta, Thomas Nigend : 168 055 Numéro de livret de solde : 8 023 925

Article 3

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Hugon, Fabien Nigend : 303 303 Numéro de livret de solde : 8 090 653Martin, Anthony Nigend : 241 677 Numéro de livret de solde : 8 088 212

Article 4



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud, d. Galtier




Commandement des écoles de la gendarmerie nationale

_

Décision no 23727 du 5 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale

NOR : INTJ1604434S

Le commandant des écoles de la gendarmerie nationale,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Semiramoth, Fred Nigend : 144 353 Numéro de livret de solde : 8 003 477

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Salvat, Luc Nigend : 166 056 Numéro de livret de solde : 8 022 484

Article 3

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Sébert, Julien Nigend : 178 385 Numéro de livret de solde : 8 031 227

Article 4

Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :André, Philippe Nigend : 195 650 Numéro de livret de solde : 8 048 181

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant les écoles de la gendarmerie nationale, a. GiorGis




Gendarmerie maritime_

Décision no 6087 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie maritime

NOR : INTJ1604449S

Le commandant de la gendarmerie maritime,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de

gen darmerie ;Vu l’arrêté du 14 décembre 2012 modifié portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière


Décide :

Article 1er

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Rougeon, Christophe Nigend : 136 973 Numéro de livret de solde : 8 092 812

Article 2

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :

Forasté, Jérôme Nigend : 193 442 Numéro de livret de solde : 8 049 336

Article 3

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Neveu, Clément Nigend : 204 486 Numéro de livret de solde : 8 055 309Lion, Ludovic Nigend : 203 021 Numéro de livret de solde : 8 058 013

Article 4



Le colonel, commandant la gendarmerie maritime, c. Boyer




Région de gendarmerie de Normandie_

Décision no 6692 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Calvados, de la Manche et de l’Orne

NOR : INTJ1604399S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie de Normandie, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Calvados,




Décide :

Article 1er


Lunenfeld, Frédéric Nigend : 133 099 Numéro de livret de solde : 5 295 142

Article 2


Daval, Élodie Nigend : 213 048 Numéro de livret de solde : 8 067 538Gallienne, Cyrille Nigend : 172 501 Numéro de livret de solde : 8 030 687

Article 3


Lebouc, Jérôme Nigend : 234 698 Numéro de livret de solde : 8 086 535Quiquemelle, Thaïs Nigend : 303 492 Numéro de livret de solde : 8 090 941Cauwet, Stéphane Nigend : 206 060 Numéro de livret de solde : 8 059 831Amédro, Kevin Nigend : 234 579 Numéro de livret de solde : 6 694 868

Article 4



Le colonel, commandant adjoint de la région de gendarmerie de Normandie, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Calvados, B. Bresson




Région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées

_

Décision no 12411 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Ariège, de l’Aveyron, du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées, du Lot, du Tarn et de Tarn-et-Garonne

NOR : INTJ1604416S

Le commandant de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Haute-Garonne,

Vu le code de la défense ;

Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ;

Vu l’arrêté du 14 décembre 2012 modifié portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’administration et de gestion du personnel militaire de la gendarmerie nationale ;

Vu la décision no 49498 du 3 décembre 2015 (NOR : INTJ1525322S),

Décide :

Article 1er


Richard, Philippe Nigend : 132 454 Numéro de livret de solde : 5 295 479

Article 2


Rolland, Matthieu Nigend : 174 732 Numéro de livret de solde : 8 028 181

Sutra Del Galy, Pauline Nigend : 174 665 Numéro de livret de solde : 8 028 288

Article 3


Hestin, Emmanuel Nigend : 193 831 Numéro de livret de solde : 8 047 652

Lavit, Jean-Luc Nigend : 168 574 Numéro de livret de solde : 8 024 365

Mauriac, Cédric Nigend : 213 522 Numéro de livret de solde : 8 063 811

Article 4


Mirouze, Julien Nigend : 218 613 Numéro de livret de solde : 8 071 369

Charle, Julien Nigend : 229 089 Numéro de livret de solde : 8 084 851

Jacquot, Carole Nigend : 243 355 Numéro de livret de solde : 8 096 224

Alguacil, Aurélie Nigend : 323 704 Numéro de livret de solde : 8 093 369

Imbert, Joël Nigend : 226 333 Numéro de livret de solde : 8 084 330

Gensac, Corinne Nigend : 196 136 Numéro de livret de solde : 8 052 994

Wailly, Éric Nigend : 215 954 Numéro de livret de solde : 8 069 709

Sanchez, Mickaël Nigend : 227 595 Numéro de livret de solde : 8 075 909



Article 5



Le général, commandant la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Haute-Garonne, B. clouzot




Région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité Sud-Ouest_

Décision no 20657 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest

NOR : INTJ1604392S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine–Limousin–Poitou-Charentes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Marsaleix, Christophe Nigend : 138 840 Numéro de livret de solde : 5 324 671

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Gagnaire, Henri Nigend : 157 155 Numéro de livret de solde : 8 014 443

Article 3

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Perlot, Matthieu Nigend : 208 757 Numéro de livret de solde : 8 062 785

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Aliaga, Sébastien Nigend : 303 460 Numéro de livret de solde : 6 661 454Legrain, Mickaël Nigend : 243 495 Numéro de livret de solde : 8 096 343

Article 5



Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, f. Gieré




Région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité Sud-Ouest_

Décision no 20658 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Dordogne, de la Gironde, des Landes, de Lot-et-Garonne et des Pyrénées-Atlantiques

NOR : INTJ1604391S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Eschaas-Tourne, Éric Nigend : 115 794 Numéro de livret de solde : 5 219 449

Article 2Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Delort, Jean-Louis Nigend : 69 759 Numéro de livret de solde : 5 271 321Gabet, Olivier Nigend : 154 167 Numéro de livret de solde : 8 011 942

Article 3Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Barois, Pierre Nigend : 183 186 Numéro de livret de solde : 8 033 806Herran, Ludovic Nigend : 184 711 Numéro de livret de solde : 8 034 245Cardenal, Stéphane Nigend : 164 689 Numéro de livret de solde : 8 021 114

Article 4Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Fernandez, Carine Nigend : 217 003 Numéro de livret de solde : 8 070 465Vinot, Gladys Nigend : 239 720 Numéro de livret de solde : 8 094 127Benoît, Nicolas Nigend : 224 392 Numéro de livret de solde : 8 083 797Carte, Marine Nigend : 309 237 Numéro de livret de solde : 8 106 749Haumier, Chimène Nigend : 204 490 Numéro de livret de solde : 8 060 941Boy, Emilie Nigend : 302 778 Numéro de livret de solde : 8 090 425

Article 5La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.


Le général de division, commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, f. Gieré




Région de gendarmerie d’Île-de-France et gendarmerie pour la zone de défense

et de sécurité de Paris_

Décision no 21804 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris

NOR : INTJ1604383S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Île-de-France et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Mannessier, Patrick Nigend : 139 124 Numéro de livret de solde : 8 000 068

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Dreux, Denis Nigend : 139 743 Numéro de livret de solde : 5 264 343

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Jaureguy, Alexandre Nigend : 197 117 Numéro de livret de solde : 8 048 524Le Floch, Erwan Nigend : 159 806 Numéro de livret de solde : 8 016 959Châtaignier, Loïc Nigend : 194 298 Numéro de livret de solde : 8 047 816

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Hocine, Éric Nigend : 206 483 Numéro de livret de solde : 8 060 107Payet, Laurent Nigend : 228 752 Numéro de livret de solde : 8 076 589Fontaine, Matthieu Nigend : 239 517 Numéro de livret de solde : 8 094 173Rius, Arnaud Nigend : 248 843 Numéro de livret de solde : 8 089 743

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris, B. carMichaël


BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEURBuLLETIN OFFICIEL Du MINISTÈRE DE L’INTÉRIEuR



et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est

_

Décision no 27393 du 6 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Ain, de l’Ardèche, de la Drôme, de la Haute-Savoie, de l’Isère, de la Loire, du Rhône et de la Savoie

NOR : INTJ1604404S

Le commandant de la région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,




Décide :

Article 1er

Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er mai 2016 :Gonot, Thierry Nigend : 139 221 Numéro de livret de solde : 5 305 148Petit, Christian Nigend : 150 058 Numéro de livret de solde : 8 007 770

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Viau, Franck Nigend : 212 617 Numéro de livret de solde : 8 067 318Verdu, Gérard Nigend : 119 257 Numéro de livret de solde : 5 242 195Cathelain, Frédéric Nigend : 164 275 Numéro de livret de solde : 8 021 023Dabadie, Gabriel Nigend : 155 931 Numéro de livret de solde : 8 013 236

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Dumas, Nathalie Nigend : 144 938 Numéro de livret de solde : 8 003 645Berlioux, Gilles Nigend : 143 955 Numéro de livret de solde : 8 002 911Haigneré, Mikaël Nigend : 199 752 Numéro de livret de solde : 8 053 527Bazzoli, David Nigend : 172 237 Numéro de livret de solde : 8 026 182Gay, Jérôme Nigend : 216 898 Numéro de livret de solde : 8 070 215Blanchard, Christophe Nigend : 161 461 Numéro de livret de solde : 8 018 510Bonnet, Laurent Nigend : 153 667 Numéro de livret de solde : 8 011 608

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Ducrot, Solenne Nigend : 234 757 Numéro de livret de solde : 8 086 583Barthonnet, Gaële Nigend : 311 103 Numéro de livret de solde : 8 092 190Ferri, Antonino Nigend : 224 625 Numéro de livret de solde : 8 074 083Dohy, Yannic Nigend : 242 086 Numéro de livret de solde : 8 088 327Manniez, Emmanuel Nigend : 242 489 Numéro de livret de solde : 8 088 523Dupont, Franck Nigend : 307 553 Numéro de livret de solde : 8 091 442



Dufour, Thomas Nigend : 202 548 Numéro de livret de solde : 8 052 479Dubois, Matthieu Nigend : 311 631 Numéro de livret de solde : 8 107 689Escande, Vivien Nigend : 229 621 Numéro de livret de solde : 8 077 315Collin, Audrey Nigend : 323 738 Numéro de livret de solde : 8 093 376Hilbert, Steven Nigend : 319 558 Numéro de livret de solde : 8 093 070Betton, Audrey Nigend : 221 104 Numéro de livret de solde : 8 073 241Felten, Adeline Nigend : 314 436 Numéro de livret de solde : 8 109 877Girod, Stéphane Nigend : 243 038 Numéro de livret de solde : 8 095 991

Article 5



Le général de corps d’armée, commandant la région de gendarmerie d’Auvergne-Rhône-Alpes et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est, c. duPouy




Gendarmerie de l’air_

Décision no 2299 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie de l’air

NOR : INTJ1604453S

Le commandant de la gendarmerie de l’air,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er


Moliner, Patrick Nigend : 123 765 Numéro de livret de solde : 5 270 368

Article 2


Hervieu, Denis Nigend : 146 371 Numéro de livret de solde : 8 004 754

Article 3



Le colonel, commandant la gendarmerie de l’air, P. auBert




Gendarmerie des transports aériens_

Décision no 3341 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie des transports aériens

NOR : INTJ1604440S

Le commandant de la gendarmerie des transports aériens,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Erkel, Michel Nigend : 128 302 Numéro de livret de solde : 5 279 549

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Bouret, Lionel Nigend : 181 700 Numéro de livret de solde : 8 030 922

Article 3



Le général, commandant la gendarmerie des transports aériens, f. huBert




Région de gendarmerie de Corse_

Décision no 4074 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de Corse

NOR : INTJ1604413S

Le commandant de la région de gendarmerie de Corse, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Corse-du-Sud,




Décide :

Article 1er


Courcoux, Stéphane Nigend : 139 322 Numéro de livret de solde : 5 264 428

Article 2


Moscato, Sébastien Nigend : 179 536 Numéro de livret de solde : 8 037 796

Article 3


Chantoiseau, Gilles Nigend : 152 054 Numéro de livret de solde : 8 010 012

Article 4

Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :

Gibert, Denis Nigend : 303 549 Numéro de livret de solde : 6 647 724

Article 5



Le général, commandant la région de gendarmerie de Corse, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Corse-du-Sud, t. cayet




Région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine

_

Décision no 5694 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale des Ardennes, de l’Aube, de la Marne et de la Haute-Marne

NOR : INTJ1604424S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Marne,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Maltry, Emmanuel Nigend : 159 671 Numéro de livret de solde : 8 016 875

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Simko, Thierry Nigend : 162 687 Numéro de livret de solde : 8 019 590Pintre, Sébastien Nigend : 154 987 Numéro de livret de solde : 8 012 675

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Mathieu, Stéphane Nigend : 225 638 Numéro de livret de solde : 6 607 349Guibert, Frédéric Nigend : 146 778 Numéro de livret de solde : 8 005 332

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Bataille, Nicolas Nigend : 189 164 Numéro de livret de solde : 8 039 101Burin, Baptiste Nigend : 311 215 Numéro de livret de solde : 8 092 111Néel, Marc-Antoine Nigend : 228 750 Numéro de livret de solde : 8 076 588Watterlot, Bérenger Nigend : 232 938 Numéro de livret de solde : 8 079 526Bienaimé, Arnaud Nigend : 173 996 Numéro de livret de solde : 8 027 806

Article 5



Le colonel, commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Marne, o. courtet




Commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

_

Décision no 24644 du 7 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des organismes centraux – branche « administrative et technique »

NOR : INTJ1604437S

Le commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de



Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Claudien, Fabrice Nigend : 136 616 Numéro de livret de solde : 5 323 025

Article 2

L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Santos, José Nigend : 148 530 Numéro de livret de solde : 8 006 290

Article 3

Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Pouilly, Alexandra Nigend : 184 549 Numéro de livret de solde : 8 032 784

Article 4



Le général, commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale, o. Guérif




Région de gendarmerie Nord-Pas-de-Calais-Picardie

_

Décision no 6177 du 8 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de l’Aisne, de l’Oise et de la Somme

NOR : INTJ1604430S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie Nord-Pas-de-Calais-Picardie, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Somme,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Freytag, Romain Nigend : 193 626 Numéro de livret de solde : 8 047 463

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Pruvost, Vincent Nigend : 131 068 Numéro de livret de solde : 5 283 279Lescaux, David Nigend : 159 809 Numéro de livret de solde : 8 016 562

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Loire, Mickaël Nigend : 212 503 Numéro de livret de solde : 8 067 200Lemaire, Matthieu Nigend : 238 760 Numéro de livret de solde : 8 087 218

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Cerveau, Bruno Nigend : 247 202 Numéro de livret de solde : 8 089 250Caudron, Emmanuel Nigend : 239 998 Numéro de livret de solde : 8 087 580Laurier, Grégory Nigend : 192 916 Numéro de livret de solde : 8 049 237Bécheriot, Sophie Nigend : 320 948 Numéro de livret de solde : 8 093 142Rouquette, Clément Nigend : 216 344 Numéro de livret de solde : 8 070 063Costemend, Lionel Nigend : 237 897 Numéro de livret de solde : 8 082 562Ricolleau, Charline Nigend : 300 176 Numéro de livret de solde : 8 090 014

Article 5



Le colonel, commandant adjoint de la région de gendarmerie Nord-Pas-de-Calais-Picardie, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Somme, a. de oliVeira




Région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes

_

Décision no 7760 du 8 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale de la Corrèze, de la Creuse et de la Haute-Vienne

NOR : INTJ1604394S

Le commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, commandant du groupement de gendarmerie départementale de la Haute-Vienne,




Décide :

Article 1er


Pélissou, Didier Nigend : 144 199 Numéro de livret de solde : 8 002 876

Article 2


Magne, Nicolas Nigend : 204 523 Numéro de livret de solde : 8 055 302

Article 3


Diaz, Diégo Nigend : 241 175 Numéro de livret de solde : 8 088 014Leroy, Mathieu Nigend : 172 974 Numéro de livret de solde : 8 031 333

Article 4



Le colonel, commandant adjoint de la région de gendarmerie d’Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes, commandant le groupement de gendarmerie départementale de la Haute-Vienne, f. déGez




Région de gendarmerie du Centre-Val de Loire

_

Décision no 10616 du 11 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie du Centre-Val de Loire

NOR : INTJ1604398S

Le commandant de la région de gendarmerie du Centre-Val de Loire, commandant du groupement de gendarmerie départementale du Loiret,





Décide :

Article 1er


Beaudouin, Christophe Nigend : 149 975 Numéro de livret de solde : 8 007 502

Article 2


Sureau, Frédéric Nigend : 150 689 Numéro de livret de solde : 8 008 487

Gillard, Stéphane Nigend : 136 650 Numéro de livret de solde : 5 322 956

Article 3


Lelièvre, Cédric Nigend : 248 029 Numéro de livret de solde : 8 089 329

Faivre, Laurent Nigend : 214 023 Numéro de livret de solde : 8 063 913

Bocahut, Christophe Nigend : 151 333 Numéro de livret de solde : 8 009 412

Article 4


Quiquandon, Cyril Nigend : 235 395 Numéro de livret de solde : 8 080 683

Bidet, William Nigend : 191 522 Numéro de livret de solde : 8 051 816

Laforge, Nicolas Nigend : 199 412 Numéro de livret de solde : 8 047 068

Delhomme Morfin, Delphine Nigend : 215 892 Numéro de livret de solde : 8 069 649

Durand, Élise Nigend : 235 830 Numéro de livret de solde : 8 081 039

Soares Sampaio, Manuel Nigend : 181 222 Numéro de livret de solde : 8 029 688

Vilain, Benoît Nigend : 216 359 Numéro de livret de solde : 8 070 076

Robin, Stéphane Nigend : 185 854 Numéro de livret de solde : 8 037 352

Duthil, Sylvain Nigend : 301 449 Numéro de livret de solde : 8 090 436



Article 5



Le général, commandant la région de gendarmerie du Centre-Val de Loire, commandant le groupement de gendarmerie départementale du Loiret, M. Pidoux




Région de gendarmerie de Nord-Pas-de-Calais-Picardie

et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord

_

Décision no 10899 du 12 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général des groupements de gendarmerie départementale du Nord et du Pas-de-Calais

NOR : INTJ1604428S

Le commandant de la région de gendarmerie de Nord-Pas-de-Calais-Picardie et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Bienaimé, Jean-Claude Nigend : 127 021 Numéro de livret de solde : 5 280 615

Article 2

Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er mai 2016 :Sahari, Saïd Nigend : 148 003 Numéro de livret de solde : 8 006 176Linage, Pascal Nigend : 136 756 Numéro de livret de solde : 5 195 766

Article 3

Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Caudevelle, David Nigend : 208 753 Numéro de livret de solde : 8 062 734Chrétien, Laurette Nigend : 178 723 Numéro de livret de solde : 8 029 424Prusse, Alexandra Nigend : 212 801 Numéro de livret de solde : 8 063 708

Article 4

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Canivet, Christophe Nigend : 227 022 Numéro de livret de solde : 8 075 434Perzyk, Thomas Nigend : 229 180 Numéro de livret de solde : 8 084 957Betegnies, Benoît Nigend : 176 108 Numéro de livret de solde : 8 028 606Tonnoir, Sébastien Nigend : 217 230 Numéro de livret de solde : 8 070 601

Article 5



Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Nord-Pas-de-Calais-Picardie et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, j. héBrard




Région de gendarmerie de Nord-Pas-de-Calais-Picardie

et gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord

_

Décision no 10900 du 12 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord

NOR : INTJ1604429S

Le commandant de la région de gendarmerie de Nord-Pas-de-Calais-Picardie et de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,




Décide :

Article 1er

L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er mai 2016 :Hosselet, Jean-Marie Nigend : 116 518 Numéro de livret de solde : 5 236 418

Article 2

Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er mai 2016 :Bisoux, Nicolas Nigend : 189 142 Numéro de livret de solde : 8 034 705

Article 3

Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er mai 2016 :Roussel, Fabien Nigend : 311 342 Numéro de livret de solde : 8 092 324Pomart, Yohan Nigend : 309 011 Numéro de livret de solde : 8 091 699

Article 4



Le général de division, commandant la région de gendarmerie de Nord-Pas-de-Calais-Picardie et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord, j. héBrard




Région de gendarmerie des Pays de la Loire

_

Décision no 1426 du 13 avril 2016 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie des Pays de la Loire

NOR : INTJ1604402S

Le commandant par suppléance de la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant par suppléance du groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique,





Décide :

Article 1er


Le Danff, Sylvie Nigend : 152 347 Numéro de livret de solde : 8 010 146

Article 2


Pierre, Gildas Nigend : 161 789 Numéro de livret de solde : 8 018 774

Cavinato, Bruno Nigend : 153 537 Numéro de livret de solde : 8 011 125

Fontaine, Claude Nigend : 147 028 Numéro de livret de solde : 8 004 428

Article 3


Froger, Ludovic Nigend : 194 394 Numéro de livret de solde : 8 047 836

Rovelon, Frédéric Nigend : 191 243 Numéro de livret de solde : 8 039 982

Magnain, Simon Nigend : 220 087 Numéro de livret de solde : 8 072 629

Coulibaly, Mam-Sarra Nigend : 237 746 Numéro de livret de solde : 6 634 421

Article 4


Lhomelet, Boris Nigend : 208 121 Numéro de livret de solde : 8 062 636

Vouloir, Aurélia Nigend : 225 022 Numéro de livret de solde : 8 084 103

Laurent, Camille Nigend : 206 582 Numéro de livret de solde : 8 060 123

Renhold, Alexandre Nigend : 206 477 Numéro de livret de solde : 8 060 514

Néquier, Marjorie Nigend : 184 229 Numéro de livret de solde : 8 034 189

Sergent, Sabrina Nigend : 197 484 Numéro de livret de solde : 8 055 945

Moro, Gaëlle Nigend : 209 764 Numéro de livret de solde : 8 065 237



Article 5



Le colonel, commandant par suppléance la région de gendarmerie des Pays de la Loire, commandant par suppléance le groupement de gendarmerie départementale de la Loire-Atlantique, G. escolano





_


_


_

Bureau du personnel sous-officier du corps de soutien

technique et administratif de la gendarmerie nationale

_

Décision no 35023 du 28 avril 2016 portant attribution de l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale

NOR : INTJ1611255S

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense ;Vu le décret no 2008-953 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier des corps de sous-officiers et

officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ;Vu le décret no 2009-21 du 7 janvier 2009 modifié fixant les indices de solde applicables à certains militaires non

officiers ;Vu l’arrêté du 4 août 2010 modifié fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la

commission prévue à l’article L. 4136-3 du code de la défense ;Vu la circulaire no 47613/GEND/DPMGN/SDGP/BSOCSTAGN du 1er juillet 2015 relative à l’attribution de

l’échelon exceptionnel aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale au titre de l’année 2016 ;

Vu le bordereau d’envoi no 92334/GEND/DPMGN/SDGP/BSOCSATGN du 16 décembre 2015,

Décide :

Article 1er

L’échelon exceptionnel est attribué aux majors du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale dont le nom figure ci-après, à compter du 1er juin 2016 :

Claudepierre, Francis Nigend : 203 195 Numéro de livret de solde : 5 207 456Viel, Stéphane Nigend : 170 526 Numéro de livret de solde : 8 005 888Boursac, Marie-Thérèse Nigend : 113 316 Numéro de livret de solde : 5 190 658

Article 2



Pour le ministre et par délégation : Le général, sous-directeur de la gestion du personnel, e.-P. Molowa





_


_

Sous-direction de la politique des ressources humaines

_

Bureau de la réglementation et de la fonction militaire

_

Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie natio-nale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien pour la campagne de notation de l’année 2016

NOR : INTJ1532690A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense ;Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2,

Arrête :

Article 1er

En application de l’article R. 4135-3 du code de la défense, le présent arrêté définit les chaînes de notation applicables aux militaires de la gendarmerie nationale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien.

Article 2

1o Les chaînes de notation applicables aux officiers de la gendarmerie nationale sont définies, en fonction de leur affectation, à l’annexe I.

2o Les chaînes de notation applicables aux sous-officiers de la gendarmerie nationale et aux volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale sont définies, en fonction de leur affectation, à l’annexe II.

Article 3

Les chaînes de notation des militaires d’active et de réserve de la gendarmerie nationale sont identiques.

Article 4

Est abrogé l’arrêté du 21 janvier 2015 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien pour la campagne de notation de l’année 2015 (NOR : INTJ1501655A).

Article 5


ait leF 6 janvier 2016.




SOMMAIRE

ANNEXE I. – CHAÎNES DE NOTATION APPLICABLES AUX OFFICIERS DE LA GENDARMERIE NATIONALE

PARTIE 1. – Chaînes de notation applicables aux officiers selon leur affectation chaPitre 1er. – Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) ChaPitre 2. – Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) ChaPitre 3. – État-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie (IGAG) ChaPitre 4. – Commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN) ChaPitre 5. – Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) ChaPitre 6. – Organismes d’administration et de soutien ChaPitre 7. – Secrétariat général pour l’administration du ministère de l’intérieur (SGAMI) ChaPitre 8. – Services du ministère de la défense ChaPitre 9. – Présidence de la République ChaPitre 10. – Services relevant du Premier ministre ChaPitre 11. – Services relevant du ministère des affaires étrangères et du développement international ChaPitre 12. – Services du ministère de l’intérieur ChaPitre 13. – Services relevant du ministère de la justice ChaPitre 14. – Services relevant des présidences de l’Assemblée nationale et du Sénat ChaPitre 15. – Services relevant d’autres ministères ChaPitre 16. – Structures communes « police-gendarmerie » ChaPitre 17. – Association des maires de France (AMF) ChaPitre 18. – Cas particuliers des officiers dont l’affectation n’est pas prévue dans les précédentes annexes

PARTIE 2. – Chaînes de notation applicables aux officiers mandatés pour la concertation

ANNEXE II. – CHAÎNES DE NOTATION APPLICABLES AUX MILITAIRES NON OFFICIERS DE LA GENDARMERIE NATIONALE

PARTIE 1. – Chaînes de notation applicables aux : – sous-officiers de gendarmerie (SOG) gradés ; – sous-officiers de gendarmerie du grade de gendarme, titulaires d’un diplôme ou d’un titre ouvrant droit à

l’avancement ; – sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale (CSTAGN).

ChaPitre 1er. – Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) ChaPitre 2. – Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) ChaPitre 3. – État-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie (IGAG) ChaPitre 4. – Commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN) ChaPitre 5. – Autres écoles ChaPitre 6. – Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) ChaPitre 7. – Organismes d’administration et de soutien ChaPitre 8. – Secrétariat général pour l’administration du ministère de l’intérieur (SGAMI) ChaPitre 9. – Ministère de la défense ChaPitre 10. – Structures communes « police-gendarmerie »

PARTIE 2. – Chaînes de notation applicables aux : – SOG du grade de gendarme, non-titulaires d’un diplôme ou d’un titre ouvrant droit à l’avancement ; – volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale et militaires du rang de réserve.

ChaPitre 1er. – Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) ChaPitre 2. – Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) ChaPitre 3. – État-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie (IGAG)



ChaPitre 4. – Commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN) ChaPitre 5. – Autres écoles ChaPitre 6. – Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) ChaPitre 7. – Organismes d’administration et de soutien ChaPitre 8. – Secrétariat général pour l’administration du ministère de l’intérieur (SGAMI) ChaPitre 9. – Ministère de la défense ChaPitre 10. – Structures communes « police-gendarmerie »

PARTIE 3. – Chaînes de notation applicables aux militaires de la gendarmerie nationale servant dans des situations particulières

PARTIE 4. – Chaînes de notation applicables aux militaires de la gendarmerie nationale mandatés pour la concertation



A N N E X E I

CHAÎNES DE NOTATION APPLICABLES AUX OFFICIERS DE LA GENDARMERIE NATIONALE

PARTIE 1

Chaînes de notation applicables aux officiers selon leurs affectations

ChaPitre 1er

Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN)

AFFECTATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuE

Chef de l’unité de coordination des forces d’intervention (UCOFI) et chef de l’unité de coordination de lutte contre l’insécurité routière (UCLIR)

− Major général de la gendarmerie nationale

Officiers affectés à l’UCOFI ou à l’UCLIR − Chef de l’UCOFI ou de l’UCLIRChef du conseil permanent de la sécurité aérienne

de la gendarmerie nationale (CPSAGN) − Directeur des opérations et de l’emploi

Autres officiers affectés au CPSAGN Chef du CPSAGNCabinet

Chef du bureau du cabinet et autres officiers directement rattachés au chef de cabinet Chef de cabinet Major général de la gendarmerie nationale

Autres officiers du bureau du cabinet Chef de bureau Chef de cabinetOfficier commandant du site de la DGGN à Issy-

les-Moulineaux Chef de cabinet Major général de la gendarmerie nationale

Correspondant officier du DGGN Chef de cabinet Major général de la gendarmerie nationaleChef du pôle « mise en œuvre des politiques de

sécurité et suivi opérationnel » − Directeur des opérations et de l’emploi

Mission du pilotage et de la performance (MPP)Chef de la mission du pilotage et de la performance − Directeur général de la gendarmerie nationale

Chef de bureau et chargé de mission − Chef de la mission du pilotage et de la performance

Autres officiers de la mission du pilotage et de la performance − Chef de bureau

Mission du système d’information Agorha (MSIA)

Chef de la mission du système d’information Agorha Directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale

Chef de bureau et chargé de mission Chef de la mission du système d’information Agorha

Autres officiers de la mission du système d’information Agorha Chef de bureau

DirectionsDirecteurs − Directeur général de la gendarmerie nationaleAdjoints aux directeurs - Sous-directeurs − DirecteurDirecteur de projet PULSAR − Directeur des opérations et de l’emploiOfficiers affectés au projet PULSAR − Directeur de projetChargés de missions, chargés de fonctions, officiers

supérieurs adjoints et chef de section (1) directement rattaché à une direction

− Directeur

Adjoints aux sous-directeurs - Chefs de bureau, de centre ou de secrétariat - Chargés de mission (ou de projet) placé auprès d’un sous-directeur

− Sous-directeur

Autres officiers − Chef de bureau ou de centreCentre de renseignement opérationnel de la gendarmerie (CROGEND)

Commandant du CROGEND − Sous-directeur de l’anticipation opérationnelleOfficiers du CROGEND − Chef du CROGEND

Service d’information et de relations publiques (SIRPA)Officiers rattachés directement au conseiller pour

la communication, chef du SIRPA − Conseiller pour la communication, chef du SIRPA



AFFECTATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEChefs de bureau du SIRPA − Conseiller pour la communication, chef du SIRPAAutres officiers du SIRPA affectés dans un bureau − Chef de bureau

Délégué aux réserves de la gendarmerie (DRG)Officiers rattachés au délégué aux réserves de la

gendarmerie − Délégué aux réserves de la gendarmerie

Délégation au patrimoine culturel de la gendarmerie

Délégué au patrimoine culturel Directeur de la mémoire, du patrimoine et des archives (2) (3) Major général de la gendarmerie nationale

Officiers en poste à la délégation au patrimoine culturel de la gendarmerie − Délégué au patrimoine culturel

Conseil de la fonction militaire de la gendarmerie (CFMG)Secrétaire général du CFMG − Directeur général de la gendarmerie nationaleAutres officiers du secrétariat général du CFMG − Secrétaire général du CFMG

Maison de la gendarmerie

Officiers affectés à la Maison de la gendarmerie − Secrétaire général (chef du bureau d’action sociale)

(1) Concerne la section « analyse et prévention ».(2) Après établissement d’une fiche d’appréciation établie par le chef du service historique défense.(3) uniquement lorsque les fonctions de délégué au patrimoine culturel de la gendarmerie et celles de conseiller gendarmerie auprès du service historique de défense sont exercées par la même autorité.

ChaPitre 2

Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN)


Conseillers et inspecteurs − Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Groupe des inspecteurs santé et sécurité au travail − Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Chef de cabinet − Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Autres officiers du cabinet − Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Chef de bureau Officier général adjoint (1) (2) Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Autres officiers d’un bureau − Chef de bureau(1) Selon les attributions du bureau du militaire noté.(2) S’il existe.

chaPitre 3

État-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie (IGAG)

AFFECTATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEChef d’état-major − Inspecteur général des armées-gendarmerieOfficiers d’état-major Chef d’état-major Inspecteur général des armées-gendarmerie

chaPitre 4

Commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN)


Commandant en second, adjoint au commandant du CEGN − Commandant des écoles

de la gendarmerie nationaleOfficiers directement rattachés au commandant

du CEGN − Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Cabinet communication

Chef de cabinet − Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officiers du cabinet − Chef de cabinetÉtat-major du CEGN

Chef d’état-major du CEGN − Commandant des écoles de la gendarmerie nationale




Chef de service, de bureau, de centre ou de section directement rattaché(e) à l’état-major du CEGN

− Chef d’état-major du CEGN

Officiers des services, bureaux, centres ou sections directement rattaché(e)s à l’état-major du CEGN

− Chef de service, de bureau, de centre ou de section

Écoles et centres de formationCommandant d’écoles, de centre national

d’instruction, de formation ou de production directement rattaché au CEGN et autres commandants de centre

− Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Commandant en second - Chef d’état-major - Officier adjoint - Directeur des études, de l’enseignement, de département ou d’instruction

− Commandant d’école ou de centre

Commandant de division d’instruction, de centre national de formation, de centre de formation - Chef de cabinet-communication, services, bureaux, sections, pôles, centres ou de compagnie de commandement

−Commandant d’école ou de centre

Officiers des services, bureaux, centres ou de compagnie de commandement rattachés à l’état-major

Chef de service, bureau, centre ou compagnie de commandement rattachés à l’état-major Commandant d’école ou de centre

Autres officiers affectés en école ou centre Autorité d’emploi (1) Commandant d’école ou de centreCommandant en second de l’EOGN − Commandant de l’EOGNCentre de recherche de l’EOGN Directeur du centre Commandant de l’EOGNChef du centre d’enseignement supérieur de la

gendarmerie (CESG) − Commandant de l’EOGN

Officiers affectés au CESG Chef de centre Commandant de l’EOGNÉlèves-officiers et officiers-élèves à l’EOGN Commandant de groupement d’instruction Commandant de l’EOGNOfficier pédagogie affecté à la classe préparatoire

intégrée (CPI) − Directeur de l’instruction de l’EOGN

(1) En fonction de l’organisation de l’école ou du centre : chef de pôle, de division, de service, …

chaPitre 5

Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN)


Commandant en second, conseiller juridique et qualité, commandant du service central de renseignement criminel de la gendarmerie nationale (SCRCGN), directeur de l’IRCGN, chef de bureau ou section et autres officiers directement rattachés au commandant du PJGN

− Commandant du PJGN

Officiers des bureaux ou sections directement rattachés au commandant du PJGN Chef de bureau ou section (1) Commandant en second du PJGN

Chef de division au SCRCGN ou à l’IRCGN et officiers directement rattachés au SCRCGN ou à l’IRCGN − Commandant du SCRCGN ou directeur de l’IRCGN

Officiers affectés au sein d’une division au SCRCGN ou à l’IRCGN − Chef de division

Observatoire central des systèmes de transport intelligents (OCSTI)Chef de l’OCSTI − Commandant du PJGNAdjoint au chef de l’OCSTI − Chef de l’OCSTI(1) S’il existe. À défaut, les officiers sont notés à un unique degré par le commandant en second du PjGN.

chaPitre 6

Organismes d’administration et de soutien

AFFECTATION APPRÉCIATION NOTATEuR juRIDIQuE

Commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN)

Chef d’état-major et commandant en second − Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chargé de projet − Chef d’état-majorCommandant de centre ou chef de pôle directement

rattaché au commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

− Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef de bureau ou section de l’état-major − Chef d’état-major




Officiers des services ou section directement rattachés au commandant de centre − Commandant de centre

Chef de la section du système des opérations et du renseignement (SSOR) Sous-directeur de l’anticipation opérationnelle

Autres officiers de la SSOR Chef de la SSOR Sous-directeur de l’anticipation opérationnelleChef du service de diffusion de la gendarmerie

(SDG) − Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Autres officiers du SDG Chef du service Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef de service, de centre et autres officiers directement rattachés au commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

− Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef de bureau, service, section, et officiers des bureaux, services, ou sections directement rattachés au groupement de sécurité et d’appui (GSA) de Rosny-sous-Bois

− Commandant du GSA de Rosny-sous-Bois

Officiers des services et centres directement rattachés au commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Pour les officiers du service de traitement de l’information gendarmerie (STIG) et du

centre national d’aide aux utilisateurs (CNAU), appréciation par le chef de centre ou de service

Chef de centre ou de service (pour les officiers du STIG et du CNAU,

lire le commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale)

Cellule nationale de supervision (CNS) Chef du projet « @utocharges » Sous-directeur de l’immobilier et du logement (SDIL)Commandant du GSA Issy − Chef de cabinet du DGGNChef du SESTI Commandant du GSA Chef de cabinet du DGGNAutres officiers du GSA − Commandant du GSAOfficiers affectés au sein d’unités multiprogrammes

(UMP) Autorité d’emploi Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef du COSIL Commandant de la RGIF Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Officiers du COSIL − Chef du COSIL

Chef du CSAG Chef GBGM Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Commandant du GSA Rosny − Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Officiers des services ou sections du GSA Rosny − Commandant du GSA RosnyProjet solde Issy-les-Moulineaux

Officiers affectés au projet solde gendarmerie nationale opérateur nationale de la paye (GN ONP) − Directeur de projet « solde gendarmerie »

Officiers affectés au DSBSLS (détaché solde bureau des systèmes logistiques et de soutien) −

Chef du bureau des outils de soutien et des statistiques (BOS2) de la sous-direction

des systèmes d’information du ST(SI)²Officiers affectés au DSBSIRH (détaché solde

bureau du système d’information ressources humaines)

− Chef de la MSIA

Commandement de la gendarmerie des voies navigables (CGVN)

Commandant du CGVN − Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

Officiers affectés au CGVN − Commandant du CGVNDélégation aux victimes (DAV)

Officiers affectés à la DAV Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

chaPitre 7

Secrétariat général pour l’administration du ministère de l’intérieur (SGAMI)


Officiers affectés au sein d’un SGAMI Autorité d’emploiChef de la division de l’appui opérationnel

de la région de gendarmerie implantée au siège de la zone de défense et de sécurité (1)

Centre de soutien automobile de la gendarmerie (CSAG)

Chefs de CSAG Autorité d’emploi Chef de la division de l’appui opérationnel de la région de rattachement du CSAG (2)

(1) Lire commandant de région pour le secrétaire général adjoint, les chargés de mission et les directeurs.(2) Ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative.



chaPitre 8

Services du ministère de la défense

AFFECTATION APPRÉCIATION 1ER ÉCHELON 2E ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuE

Adjoint gendarmerie au chef du cabinet militaire et commandant du quartier général

− − − Chef du cabinet militaire

Officier adjoint (à l’adjoint gendarmerie au chef du cabinet militaire et chef du quartier général)

−Adjoint gendarmerie

au chef du cabinet militaire et commandant

du quartier général− Chef du cabinet militaire

Aide de camp − Directeur du cabinet civil et militaire − Sous-directeur de la gestion

du personnel

Chef du quartier général −Adjoint gendarmerie

au chef du cabinet militaire et commandant

du quartier généralChef du cabinet militaire Sous-directeur de la gestion

du personnel

Officier de liaison à la sous-direction des bureaux des cabinets

− Autorité d’emploi − Sous-directeur de la gestion du personnel

Officier affecté à la sous-direction des bureaux des cabinets – chef de la cellule décoration

− Autorité d’emploi −Sous-directeur

de l’accompagnement du personnel

Officiers affectés à la cellule directement rattachée au chef du cabinet militaire

− Chef du cabinet militaire − Sous-directeur de la gestion du personnel

Officiers affectés au sein des bureaux ou de cellules − Autorité d’emploi −

Sous-directeur de la défense, de l’ordre public

et de la protectionOfficier de liaison à la

structure du maintien en condition opérationnelle des matériels aéro nau-tiques de la défense (SIMMAD)

− Directeur central du SIMMAD − Directeur des opérations

et de l’emploi

Chef de la mission inter-armées de retour à la vie civile des officiers généraux (MIRVOG)

− Chef du bureau des officiers généraux − Major général

de la gendarmerie nationale

Chef de cabinet du secrétaire d’État chargé des anciens combattants

− Autorité d’emploi − Sous-directeur de la gestion du personnel

Aide camp du secrétaire d’État chargé des anciens combattants

− Directeur de cabinet − Sous-directeur de la gestion du personnel

Officiers affectés à la commission des recours des militaires (CRM) en qualité de rapporteur

− Président de la CRM −Adjoint au directeur

des personnels militaires de la gendarmerie nationale

Officiers affectés au sein de la direction de la protection des installations de la dissuasion

Autorité d’emploi − −Sous-directeur de la défense,

de l’ordre public et de la protection

Secrétariat général pour l’administration (SGA)Chargé de mission auprès du

secrétaire général pour l’administration

− Secrétaire général pour l’administration −

Directeur des personnels militaires de la gendarmerie

nationaleChef de la mission de pré-

vention et de la sécurité routière de la défense

− Autorité d’emploi −Sous-directeur de la sécurité

publique et de la sécurité routière

Officier au service pari sien de soutien de l’admi-nistration centrale – Bureau de la protection et du secret

Autorité d’emploi − −Sous-directeur de la défense,

de l’ordre public et de la protection

Officier affecté à la sous-direction du pilotage des ressources humaines et financières – Bureau « budget opérationnel de programme »

Autorité d’emploi − − Sous-directeur de la politique des ressources humaines



AFFECTATION APPRÉCIATION 1ER ÉCHELON 2E ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuE

Officiers affectés au service historique de la défense − Chef du service historique

de défense − Sous-directeur de la gestion du personnel

Direction des ressources humaines du ministère de la défense (DRH-MD)Chargé de miss ions

auprès du directeur des ressources humaines du ministère de la défense

−Directeur des ressources

humaines du ministère de la défense

−Directeur des personnels

militaires de la gendarmerie nationale

Cas général − Sous-directeur d’emploi − Sous-directeur de la gestion du personnel

Officier affecté au service des statuts et de la réglementation des ressources humaines militaires et civiles

− Sous-directeur d’emploi − Sous-directeur de la politique des ressources humaines

Officier affecté à la cellule de la maintenance réglementaire solde

− Chef de la mission SIRH − Sous-directeur de la politique des ressources humaines

Officiers affectés à l’agence de reconversion de la défense (ARD)

− Directeur de l’ARD −Sous-directeur

de l’accompagnement du personnel

Officiers affectés dans un centre interarmées de reconversion (CIR)

−Sous-directeur

de l’accompagnement professionnel

et de la reconversion (APR)−

Commandant de région ou commandant adjoint

de région de rattachement

État-major des armées (EMA)Autres officiers, centre

de planification et de conduite des opérations (CPCO), commandement des opérations spéciales (COS)

−Chef de division, chef de service,

chef du CPCO, chef du COSSous-chef de rattachement

Sous-directeur de la défense, de l’ordre public

et de la protection (1)

Officiers affectés à l’éta-blissement géo graphique interarmées (EGI)

− Chef d’établissement − Sous-directeur de l’anticipation opérationnelle

Officier de liaison à la direction du rensei-gnement militaire (DRM)

− Directeur du renseignement militaire − Sous-directeur de l’anticipation

opérationnelle

Autres officiers de la DRM − Autorité d’emploi − Sous-directeur de l’anticipation opérationnelle

(1) Pour l’officier affecté à la division « études, synthèse, management général », le notateur juridique est le sous-directeur de la politique des ressources humaines de la DGGN.


Officiers affectés à la DRM – Sous-direction des opérations – Commandement – Section terrorisme affaires réservées – Officier traitant renseignement sur le terrorisme

Autorité d’emploi Sous-directeur de la police judiciaire

Officiers affectés à la direction centrale du service de santé Autorité d’emploi Sous-directeur de la gestion du personnel

Officiers affectés au centre interarmées de conceptions, de doctrines et d’expérimentation (CICDE)

Chef du CICDE Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Officiers affectés à la direction générale des systèmes informatiques et de communication (DGSIC)

Autorité d’emploi Chef du ST(SI)²

Officier affecté à la cellule d’analyse en lutte informatique défensive Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et

de la protectionOfficiers auprès du chef de la représentation

militaire française à l’Union européenneChef de la représentation militaire française

à l’Union européenne Directeur des opérations et de l’emploi

Officiers affectés à l’état-major interarmées de force et d’entraînement (EMIAFE)

Chef d’état-major interarmées de force et d’entraînement

Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

OTAN PPE 178 – SHAPE MONS, DCOSC ops/Int gendarmerie, Staff officer military planning Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public

et de la protectionDirection du service national (DSN)

Officiers affectés à la direction du service national Directeur adjoint ou chef d’état-major Sous-directeur des compétences

Directeur d’établissement du service national Autorité d’emploiCommandant en second de la région ou commandant en second du GGD

ayant le statut de formation administrative

Autres officiers affectés au sein d’un établissement du service national Autorité d’emploi

Chef de la division de l’appui opérationnel de la région ou du GGD ayant le statut

de formation administrative




Directeur d’un centre du service national Autorité d’emploiChef de la division de l’appui opérationnel

de la région ou du GGD ayant le statut de formation administrative

Autres officiers Autorité d’emploiChef de la division de l’appui opérationnel

de la région ou du GGD ayant le statut de formation administrative

Officiers affectés au centre des archives du personnel militaire (CAPM) Autorité d’emploi

Commandant en second de la région ou commandant en second du GGD ayant le statut

de formation administrativeDirection de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA)

Officiers affectés à la mission pour la réalisation des actifs immobiliers Autorité d’emploi Sous-directeur de l’immobilier et du logement

Officiers affectés au service immobilier de la défense Sous-directeur d’emploi Sous-directeur de l’immobilier et du logement

Service d’infrastructure de la défense (SID)Officiers affectés à la direction centrale du service

d’infrastructure de la défense Sous-directeur d’emploi Sous-directeur de l’immobilier et du logement

Contrôle général des armées (CGA)Officiers affectés au conseil supérieur de la fonction

militaire (CSFM) Autorité d’emploi Sous-directeur de la gestion du personnel

Direction générale des relations internationales et de la stratégie (DGRIS)Conseiller pour la sécurité intérieure Directeur adjoint à la DGRIS Directeur des opérations et de l’emploi

Officiers affectés à la DGRIS Sous-directeur d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE)Chef de service Directeur général de la sécurité extérieure Major général de la gendarmerie nationaleChef du bureau protection des installations

surveillées Chef de service Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Autres officiers Chef de service Sous-directeur de l’anticipation opérationnelleDirection de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD)

Officiers affectés au sein de l’administration centrale Sous-directeur Directeur adjoint au DPSD

Officiers affectés au sein d’une direction zonale Directeur zonal Directeur adjoint au DPSDSecrétariat général du conseil supérieur de la réserve militaire

Officier affecté au secrétariat général Secrétaire général Délégué aux réserves de la gendarmerieDirection de l’enseignement militaire supérieur (DEMS)

Chargé de missions Directeur de l’EMS Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN)

Chargé de missions - Conseillers Directeur de l’EMS Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Centre des hautes études militaires (CHEM)

Auditeurs Directeur de l’EMS (1) Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

(1) Après établissement d’une fiche d’appréciation du directeur du CHEM

AFFECTATION APPRÉCIATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEÉcole de guerre

Chef de cabinet − Directeur de l’École de guerre Directeur de l’EMSCommandant de division - Chef de

groupement gendarmerie − Directeur de l’École de guerre Directeur de l’EMS

Officiers affectés à l’encadrement à l’école militaire au sein de l’École de guerre du grade de colonel

− Directeur de l’École de guerre Directeur de l’EMS

Autres officiers affectés à l’enca-drement à l’école militaire au sein de l’École de guerre

Directeur des études − Directeur de l’EMS

Officiers scolarisés à l’école militaire au sein de l’École de guerre − Cadre professeur Directeur de l’École de guerre

Officiers scolarisés dans une école à l’étranger dans le cadre de l’École de guerre (gestion EMA)

− Attaché de sécurité intérieure gendarmerie (1) Directeur de l’École de guerre

Stagiaires de haut niveau de l’EOGN (autres que l’École de guerre) Autorité d’emploi (2) − Commandant de l’EOGN



AFFECTATION APPRÉCIATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuE

Autres écolesOfficiers affectés à l’école poly-

technique Autorité d’emploi Directeur général de l’école Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officiers affectés à l’école spéciale militaire Autorité d’emploi (3) Commandant les écoles

de CoëtquidanCommandant des écoles

de la gendarmerie nationaleOfficiers affectés au sein de lycées

militaires − Commandant du lycée Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officiers affectés en écoles diverses (CFIAR, ENE, etc.) − Commandant de l’école Commandant des écoles

de la gendarmerie nationaleOfficiers affectés au centre national

aux sports de la défense − Commandant de l’École interarmées des sports (EIS)

Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officier dans une école à l’étranger (hors gestion EMA) − Attaché de sécurité intérieure (4) Commandant des écoles

de la gendarmerie nationaleDivers

Officiers affectés à l’hôtel des Invalides − Gouverneur militaire de Paris Commandant de région de gendarmerie d’Île-de-France

Officiers affectés à l’inspection des armements nucléaires − Inspecteur des armements

nucléairesChef du cabinet militaire du ministre

de la défenseChargé de mission responsable

des exercices de sécurité et des transports nucléaires

Autorité d’emploi − Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Officier de liaison à l’étranger Attaché de sécurité intérieure − Sous-directeur de la coopération de sécurité – DCI (5)

Officiers affectés dans les divisions « Action de l’État en mer » des préfectures maritimes

− Autorité d’emploi Commandant de région ou commandant adjoint de région

Bureau enquêtes accidents défense − Directeur du bureau enquêtes accidents défense

Directeur des opérations et de l’emploi

Groupement interarmées des actions civilo-militaires − Chef du groupement interarmées

des actions civilo-militairesSous-directeur de la défense,

de l’ordre public et de la protectionOfficiers affectés au sein d’un orga-

nisme interarmées (OIA) ou d’un organisme à vocation interarmées (OVIA)

− Autorité d’emploi Sous-directeur de la gestion du personnel

Officiers affectés en préfecture au sein de la coordination de lutte antiterroriste

Autorité d’emploi − Commandant de région ou commandant adjoint de région

Officiers affectés dans un état-major de réaction rapide Autorité d’emploi − Sous-directeur de la gestion

du personnelOfficiers affectés à l’inspection

générale de l’armée de l’air – Bureau de standardisation du maintien de la navigabilité (BSMN)

− Autorité d’emploi Directeur des opérations et de l’emploi

Officiers affectés à la cellule plongée humaine et intervention sous la mer (CEPHISMER)

− Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

(1) À défaut, l’attaché de sécurité intérieure adjoint.(2) L’appréciation est établie selon les règles en vigueur dans l’institution d’accueil. À défaut, l’appréciation selon le modèle accessible via Agorha.(3) Selon l’affectation du militaire noté : directeur général de l’enseignement et de la recherche (DGER)/directeur des formations d’élèves (DFE)/ directeur général de la formation militaire (DGFM).(4) Lorsque la formation n’est pas un équivalent CID géré par l’EMA.(5) S’il est officier de la gendarmerie nationale. À défaut, lire adjoint.

chaPitre 9

Présidence de la République


Commandant militaire Directeur du cabinet de la présidence de la République Major général de la gendarmerie nationale

Commandant militaire en second et adjoint − Commandant militaireOfficiers affectés au service de permanence et

d’information − Commandant militaire

Officier de sécurité de la présidence de la République − Commandant militaire



chaPitre 10

Services relevant du Premier ministre

AFFECTATION APPRÉCIATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEOfficiers affectés au cabinet militaire − − Chef de cabinet militaireCommandant militaire de l’hôtel

Matignon Chef de cabinet civil Chef de cabinet militaire Commandant de la garde républicaine

Commandant militaire en second de l’hôtel Matignon

Commandant militaire de l’hôtel Matignon Chef de cabinet militaire Commandant de la garde

républicaineOfficier de liaison au service de per-

manence et de veille opéra tionnelle Autorité d’emploi Commandant de la garde républicaine

Adjoint gendarmerie à la personnalité qualifiée Autorité d’emploi − Sous-directeur de la police

judiciaireOfficiers affectés au groupement

interministériel de contrôle (GIC) Autorité d’emploi Chef du bureau des affaires criminelles

Sous-directeur de la police judiciaire

Officiers affectés à la délégation interministérielle à la sécurité routière

Autorité d’emploi − Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

Officiers affectés à la délégation interministérielle à l’intelligence économique

Autorité d’emploi − Sous-directeur de l’anticipation opérationnelle

Chargé de mission à l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière à la délégation à la sécurité routière et à la circulation routière


Officiers affectés à la mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives

Autorité d’emploi Chef du bureau de la police judiciaire


Officiers affectés au secrétariat général de la mer Autorité d’emploi − Sous-directeur de la sécurité

publique et de la sécurité routièreOfficiers affectés au secrétariat

général des affaires européennes Autorité d’emploi − Directeur de la coopération internationale (1)

Officiers affectés au secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN)

− Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Sous-directeur de la prospective et de la planification de la sécurité du (SGDSN)

Autorité d’emploi − Major général de la gendarmerie nationale

Chargé de mission « action ter rito-riale » − Agence nationale de sécurité des systèmes d’informations (ANSSI)

Autorité d’emploi − Chef du ST(SI)2 (1)

Officiers affectés à l’INHESJ Directeur de l’INHESJ − Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

(1) S’il est officier de la gendarmerie nationale. À défaut, lire adjoint.

chaPitre 11

Services relevant du ministère des affaires étrangères et du développement international


Conseiller technique auprès du haut fonctionnaire de défense Autorité d’emploi − Sous-directeur de la défense,

de l’ordre public et de la protectionOfficiers affectés à la direction de

la coopération de sécurité et de défense (DCSD)

− Directeur de la coopération de sécurité et de défense

Directeur de la coopération internationale (1)

Coopération militaire technique : chef de détachement ou de projet gendarmerie

Attaché de sécurité intérieure Directeur de la coopération de sécurité et de défense

Directeur de la coopération internationale (1)

Coopération militaire technique : Coopérants militaires techniques Chef du détachement gendarmerie Directeur de la coopération

de sécurité et de défenseDirecteur de la coopération

internationale (1)Officiers affectés au centre d’analyse

et de prévision (CAP) − Directeur du CAP Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Officiers affectés à la valise diplo-matique − Sous-directeur de la valise

diplomatiqueCommandant de la garde

républicaine




Officiers affectés à la sous-direction de la sécurité diplomatique et de la défense


(1) S’il est officier de la gendarmerie nationale. À défaut lire adjoint.

chaPitre 12

Services du ministère de l’intérieur


Officiers affectés à l’IGA Autorité d’emploi − Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Chargé de mission auprès du conseiller pour la sécurité auprès du ministre de l’intérieur (MININT)

− − Conseiller pour la sécurité auprès du MININT

Autres officiers affectés au cabinet du MININT − − Conseiller pour la sécurité auprès

du MININT

Chargé de mission « suivi de la négo ciation européenne et inter-nationale » au secrétariat permanent de la fonction européenne et internationale

Conseiller diplomatique du MININT − Chef de cabinet DGGN

Officiers affectés à la cellule de coordination des secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’intérieur (SGAMI)

Autorité d’emploi − Chef de cabinet DGGN

Officiers affectés à la DLPAJ Autorité d’emploi − Sous-directeur de la DGGN (1) (2) (3)

Officiers servant à la mission de gouvernance ministérielle des systèmes d’information et de communication au secrétariat général du MININT

Autorité d’emploi − Chef du ST(SI)² (4)

Officier adjoint au chef du service central du renseignement territorial (SCRT)

Autorité d’emploi − Directeur des opérations et de l’emploi

Officiers affectés au service central du renseignement territorial (SCRT) Autorité d’emploi − Officier adjoint au chef du SCRT

Officiers affectés à la direction de la modernisation et de l’action territoriale (DMAT)


Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES) – Officier de liaison au secrétariat permanent

Directeur du cabinet du DGPN − Directeur des opérations et de l’emploi

Officiers affectés à la mission de lutte anti-drogue Autorité d’emploi − Sous-directeur de la police

judiciaireOfficier chargé de missions à la

direction de projet à la MAP Autorité d’emploi − Major général de la gendarmerie nationale

Chef du bureau des affaires immobilières de la gendarmerie nationale à la sous-direction des affaires immobilières (DEPAFI)

Autorité d’emploi Sous-directeur des affaires immobilières

Directeur des soutiens et des finances

Autres officiers du bureau des affaires immobilières de la gendarmerie nationale à la sous-direction des affaires immobilières (DEPAFI)

− Chef de bureau Sous-directeur des affaires immobilières

Officier affecté au bureau de la synthèse, du patrimoine et de la stratégie à la sous-direction des affaires immobilières (DEPAFI)

Autorité d’emploi Sous-directeur des affaires immobilières

Sous-directeur de l’immobilier et du logement

Chargé de mission auprès du directeur de l’évaluation de la performance, des affaires financières et immobilières (DEPAFI)

− Directeur de la DEPAFI Directeurs des soutiens et des finances

Officier de liaison auprès de la direction de l’évaluation de la performance, des affaires financières et immobilières (DEPAFI)

Sous-directeur des affaires immobilières − Sous-directeur de l’immobilier

et du logement




Officier affecté au secrétariat général – Délégation à l’information et à la communication

Autorité d’emploi − Conseiller pour la communication, chef du SIRPA

Officiers affectés au service du haut fonctionnaire de défense − Haut fonctionnaire de défense Directeur des opérations

et de l’emploiOfficiers affectés au service du haut

fonctionnaire de défense – Sous-direction de la protection du ministère


Officiers affectés au service du haut fonctionnaire de défense – Sous-direction de la protection du ministère – Pôle sécurité des systèmes d’information

Autorité d’emploi − Chef du ST(SI)² (4)

Officier affecté en qualité de chef de cabinet adjoint au secrétariat à l’intérieur et aux collectivités locales

Autorité d’emploi − Directeur des opérations et de l’emploi

Officier affecté à la direction des ressources humaines du MININT Autorité d’emploi − Directeur des personnels militaires

de la gendarmerie nationaleOfficier affecté à la sous-direction

de l ’action sociale et de l’accompagnement du personnel

Autorité d’emploi − Sous-directeur de l’accompagnement du personnel

Officier affecté à la tête de la coordination nationale des GIR Autorité d’emploi − Sous-directeur de la police

judiciaireOfficier affecté à la coordination

nationale des GIR en qualité d’adjoint Autorité d’emploi Chef de la MLG-DCPJ Sous-directeur de la police judiciaire

Officier affecté au Maritime Analysis and Operations Center – Narcotics (MAOC/N) à Lisbonne

Autorité d’emploi Chef du bureau des affaires criminelles


Représentant de la gendarmerie auprès de l’unité de coordination des forces mobiles (UCFM/DGPN)


Chef de la mission de liaison de la gendarmerie auprès de la DCPJ (MLG-DCPJ)

Autorité d’emploi − Sous-directeur de la police judiciaire

Autres officiers servant au sein de la DCPJ (hors offices centraux) et à EUROPOL

Autorité d’emploi − Chef de la MLG-DCPJ

Chef d’office central gendarmerie − − Sous-directeur de la police judiciaire

Autres officiers servant dans un office central gendarmerie − − Chef de l’office

Chef d’office central police Autorité d’emploi − Sous-directeur de la police judiciaire

Autres officiers servant dans un office central police sauf office central de police commandé par un officier de gendarmerie

Chef de l’office − Chef de la MLG-DCPJ

Autres officiers servant dans un office central police commandé par un officier de gendarmerie

− − Chef de l’office

Autres représentants de la gendarmerie ou officiers de liaison DCPAF (dont le pôle analyse et gestion opérationnelle - PAGO)


Officiers affectés au sein de autorité de coordination de l’autorité des transports en commun


Officier affecté à l’unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) en qualité d’adjoint

Autorité d’emploi − Sous-directeur de la police judiciaire

Autres officiers affectés à l’UCLAT − Adjoint au chef de l’UCLAT Sous-directeur de la police judiciaire

Officier affecté au sein de l’antenne de l’unité de coordination de la lutte antiterroriste de Pau

Autorité d’emploi Adjoint au chef de l’UCLAT Sous-directeur de la police judiciaire

Conseiller technique auprès du haut fonctionnaire de défense Autorité d’emploi − Sous-directeur de la défense,

de l’ordre public et de la protectionOfficiers affectés à la direction de la

défense et de la sécurité civiles Autorité d’emploi − Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection




Officiers affectés à la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC)


Officiers de liaison affectés au comité interministériel de la prévention de la délinquance


Officiers affectés à l’agence nationale de traitement automatisé des infractions (ANTAI)


Officiers affectés au conseil national des activités privées de sécurité (CNAPS)


Directeur du centre automatisé de constatation des infractions routières (CACIR)


Adjoint au directeur du CACIR Directeur du CACIR − Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

Officiers affectés à la préfecture de police de sécurité secrétariat général de la zone de défense

Autorité d’emploi − Commandant de région de gendarmerie Île-de-France

Attaché de sécurité intérieure et atta ché de sécurité intérieure adjoint Ambassadeur − Directeur de la coopération

internationale adjointAssistant d’attaché de sécurité

intérieure adjoint Attaché de sécurité intérieure − Autorité militaire supérieure directe (5)

(1) Selon les fonctions exercées par le militaire noté. Les sous-directions concernées sont : la sous-direction de la politique des ressources humaines ; la sous-direction de la sécurité publique et de la sécurité routière ; la sous-direction de la police judiciaire.(2) Pour les officiers relevant de la sous-direction de la police judiciaire, un premier degré de notation est établi par le chef du bureau de la police judiciaire.(3) Pour les officiers affectés à la sous-direction du conseil juridique et du contentieux, bureau du contentieux statutaire et de la protection juridique des fonctionnaires, lire l’adjoint au directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale.(4) S’il est officier de la gendarmerie nationale. À défaut, lire adjoint.(5) Dès lors qu’il s’agit d’un officier de la gendarmerie.


Attaché de gendarmerie, conseiller auprès de l’ambassadeur représentant permanent de la France auprès de l’UE (RPFUE)

Chef de la cellule « justice et affaires intérieures » (JAI) auprès de la représentation française

auprès de l’UEDirecteur de la coopération internationale (1)

Officiers affectés à la direction de la gestion civile des crises et de la coordination des unités de police au sein du conseil de l’UE

Chef de l’unité police Directeur de la coopération internationale (1)

Conseiller auprès de l’ambassadeur représentant permanent de la France pour l’OSCE Ambassadeur Directeur de la coopération internationale (1)

Unité 2C Coopération policière et douanière au sein du conseil de l’UE Chef de l’unité police Directeur de la coopération internationale (1)

Agence nationale des titres sécurisés − Chargé de mission Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique

et de la sécurité routièreChargé de mission sécurité à la délégation générale

à l’outre-mer Autorité d’emploi Commandant de la gendarmerie outre-mer

Officier, chef du bureau de la lutte contre le travail illégal et les fraudes à l’identité à la sous-direction de la lutte contre les fraudes, des contrôles et de l’éloignement

Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

Officiers affectés à la délégation interministérielle à la sécurité privée Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique

et de la sécurité routièreOfficier adjoint gendarmerie au détachement

central interministériel d’intervention technique (DCIIT)

Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense de l’ordre public et de la protection

Officier de liaison auprès du préfet – cellule de lutte contre la cybercriminalité Autorité d’emploi Commandant du PJGN

Centre des hautes études du ministère de l’intérieur (CHEMI)

Directeur des relations extérieures Directeur du CHEMI Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Directeur adjoint Directeur du CHEMI Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Auditeurs gendarmerie Directeur du CHEMI Commandant des écoles de la gendarmerie nationale




Centre national civilo-militaire de formation à l’entraînement NRBC

Officiers affectés au centre Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

(1) S’il est officier de la gendarmerie nationale. À défaut, lire adjoint.

chaPitre 13

Services relevant du ministère de la justice


Officiers affectés à la grande chancellerie de la légion d’honneur Autorité d’emploi Major général de la gendarmerie nationale

Officier de liaison auprès de la DACG Autorité d’emploi Sous-directeur de la police judiciaireOfficiers affectés à la mission de préfiguration

auprès de la délégation interministérielle aux interceptions judiciaires (DIJ)


Officiers affectés au service central de prévention de la corruption (SCPC) Autorité d’emploi Sous-directeur de la police judiciaire

Commandant militaire du palais de justice de Paris Autorité d’emploi Commandant de région de gendarmerie d’Île-de-France

Autres officiers affectés au palais de justice de Paris − Commandant militaire du palais

Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC) Autorité d’emploi Sous-directeur de la police judiciaire

chaPitre 14

Services relevant des présidences de l’Assemblée nationale et du Sénat


Commandant militaire Autorité d’emploi − Commandant de la garde républicaine

Autres officiers − Commandant militaire du palais Commandant de la garde républicaine

chaPitre 15

Services relevant d’autres ministères


Officier affecté au sein de la mission militaire de la représentation permanente de la France auprès de l’organisation des Nations unies à New York

Chef de la mission militaire Directeur de la coopération internationale (1)

Officiers affectés à INTERPOL Autorité d’emploi Sous-directeur de la police judiciaire

SNCF − Officier de liaison Directeur de la sécurité Sous-directeur de la sécurité publique et de la sécurité routière

Officiers affectés à la SNCF − Cellule coopération opérationnelle − Sous-directeur de la sécurité publique

et de la sécurité routièreChargé de mission au conseiller technique EDF

(Direction de la sécurité du groupe) et officier de liaison EDF

Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Officier de liaison affecté à ERDF Autorité d’emploi Sous-directeur de la police judiciaireOfficier de liaison à la mission permanente de

sécurité de la direction production ingénierie Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Chargé de mission au conseiller technique GDF Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public et de la protection

Officier délégué du préfet pour la politique de la ville – Ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité

Préfet Commandant de région de rattachement

Conseiller gendarmerie auprès de la secrétaire d’État chargée des droits des femmes Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique

et de la sécurité routièreOfficier affecté à la Mission interministérielle pour la

protection des femmes victimes de violences et la lutte contre la traite des êtres humains


Officiers affectés au sein de services relevant d’autres ministères et dont la mission relève de l’une des directions de la DGGN

Autorité d’emploi Sous-directeur de la direction dont relève la mission du militaire noté



AFFECTATION APPRÉCIATION NOTATEuR juRIDIQuERapporteur à la Cour des comptes Président de la chambre d’affectation Sous-directeur administratif et financierChef de la mission de protection contre le terrorisme

au ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie – Service de défense, de sécurité et d’intelligence économique


Officier de liaison affecté au sein de la cellule de traitement du renseignement et action contre les circuits financiers clandestins (TRACFIN)


Adjoint au chef d’un bureau à la direction du budget Chef de la sous-direction Sous-directeur administratif et financierAdjoint au chef d’un bureau à la direction générale

de l’administration et de la fonction publique Autorité d’emploi Sous-directeur de la politique des ressources humaines

Officier affecté au ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie – Département de la planification de défense et de sécurité


Conseiller technique au secrétariat général du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie

Autorité d’emploi Directeur des opérations et de l’emploi

Adjoint au chef du service de défense, de sécurité et d’intelligence économique au ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie

Autorité d’emploi Directeur des opérations et de l’emploi

Sous-directeur chef du département de la sécurité nucléaire Autorité d’emploi Directeur des opérations et de l’emploi

Autres officiers affectés au département de la sécurité nucléaire Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public

et de la protectionDélégation interministérielle pour le développement

de l’offre de logements (DIDOL) – Conseiller spécial

Autorité d’emploi Sous-directeur de l’immobilier et du logement

Conseiller gendarmerie auprès du directeur interministériel aux grands événements sportifs Autorité d’emploi Sous-directeur de la défense, de l’ordre public

et de la protection(1) S’il est officier de la gendarmerie. À défaut, lire adjoint.

chaPitre 16

Structures communes « police-gendarmerie »


Direction de la coopération internationale (DCI)Chargé de mission,officier communication − Directeur de la coopération internationale (1)

Sous-directeur – adjoint au sous-directeur − Directeur de la coopération internationale (1)Chef de division − Sous-directeur (1)Chef de bureau − Chef de division (1)Autres officiers des sous-directions − Sous-directeur (1)

Service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité intérieure (ST(SI)²)Sous-directeurs − Chef du ST(SI)² Chargés de mission rattachés directement au chef

du ST(SI)² − Chef du ST(SI)²

Chargés de projets rattachés directement au chef du ST(SI)² − Chef du ST(SI)²

Adjoint au chef de la mission de la politique de l’innovation et des partenariats technologiques (MPIPT)

Chef de la MPIPT Chef du ST(SI)²

Adjoint aux sous-directeurs, chefs de bureau Sous-directeur (2) Chef du ST(SI)²Chargé de projet rattaché à un sous-directeur − Sous-directeurAdjoints chefs de bureau − Chef de bureauOfficiers affectés dans les sections Chef de section (2) Chef de bureau

Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI)Officier de liaison Autorité d’emploi Chef de la MPP

Service de l’achat, des équipements et de la logistique de la sécurité intérieure (SAELSI)Adjoint au chef de service (3) Chef du SAELSI Directeur des soutiens et des finances Officiers directement rattachés au chef de service − Chef du SAELSI (3) (4)



AFFECTATION APPRÉCIATION NOTATEuR juRIDIQuESous-directeur (5) − adjoint au sous-directeur (3) Sous-directeur (6) Chef du SAELSI (3) (4) Chef de bureau, de mission ou de centre Sous-directeur (6) Chef du SAELSI (3) (4) Adjoint chef de bureau, de centre ou de mission (11) Chef de bureau, de centre ou de mission (6) Sous-directeur (3) (7)

Officiers affectés dans les sections − Chef de bureau (3) (8) (9)

Officiers à l’ECLPN − Sous-directeur (3) (7) (10)

(1) S’il s’agit d’un officier de la gendarmerie nationale ; à défaut, lire le sous-directeur, le sous-directeur adjoint ou l’officier supérieur, chargé de mission.(2) S’il existe, que l’autorité soit d’origine PN ou GN.(3) Lorsque c’est un officier de la gendarmerie nationale.(4) À défaut, lire l’adjoint « gendarmerie » au chef de service.(5) Lorsque le sous-directeur n’est pas également adjoint au chef du SAELSI.(6) S’il existe, que l’autorité soit civile ou militaire.(7) À défaut, lire le sous-directeur adjoint « gendarmerie ».(8) À défaut, lire le sous-directeur dont relève le militaire, à condition qu’il soit gendarme ; sinon, le sous-directeur adjoint « gendarmerie ».(9) Lorsque la section est directement rattachée au sous-directeur, lire le sous-directeur dont relève le militaire, à condition qu’il soit gendarme ; sinon, le sous-directeur adjoint « gendarmerie ».(10) Ces officiers font l’objet d’une fiche d’appréciation dont le modèle est accessible via Agorha, par le directeur de l’Établissement central de la logistique de la police nationale.(11) Ou chargé de projet rattaché directement à un sous-directeur et officiers affectés au sein d’une mission.

chaPitre 17

Association des maires de France (AMF)


Officiers affectés à l’Association des maires de France (AMF) Autorité d’emploi Sous-directeur de la sécurité publique

et de la sécurité routière

chaPitre 18

Cas particuliers des officiers dont l’affectation n’est pas prévue dans les précédentes annexes

AFFECTATION APPRÉCIATION NOTATEuR juRIDIQuEOfficiers affectés hors gendarmerie Autorité d’emploi Sous-directeur dont relève le militaire noté

Officiers affectés en gendarmerie Supérieur hiérarchique directCommandant de région, commandant adjoint

de région, ou sous-directeur dont relève le militaire noté

PARTIE 2

Chaînes de notation applicables aux officiers mandatés pour la concertation

AFFECTATION NOTATEuR juRIDIQuE

Conseiller « concertation » et vice conseiller Autorité ou commandant de la formation administrative auprès de laquelle le conseiller et le vice conseiller sont institués



A N N E X E I I

chaÎnes de notation aPPlicaBles aux Militaires non officiers de la GendarMerie nationale

PARTIE 1

Chaînes de notation applicables aux :

– sous-officiers de gendarmerie (SOG) gradés ;– sous-officiers de gendarmerie du grade de gendarme, titulaires d’un diplôme ou d’un titre ouvrant droit à l’avancement ;– sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale (CSTAGN).

chaPitre 1er



CabinetConseiller sous-officier du DGGN − Chef de cabinetMilitaires affectés au secrétariat Chef du secrétariat Chef de cabinetMilitaires affectés au secrétariat des aumôneries Chef du bureau du cabinet Chef de cabinetMilitaires placés auprès de l’inspecteur du service

de santé pour la gendarmerie nationale − Inspecteur du service de santé pour la gendarmerie nationale

Militaires du secrétariat du conseiller technique santé Conseiller technique santé Chef de cabinet

Militaires détachés pour emploi auprès du directeur général de la gendarmerie nationale ou du major général (1)

− Chef de cabinet

Mission du pilotage et de la performanceMilitaires affectés au secrétariat − Officier chargé de mission

Mission du système d’information AgorhaMilitaires affectés à la MSIA − Chef de bureau

DirectionsMilitaires affectés au bureau ou centre (2) Chef de section Chef de bureau ou de centreChef de secrétariat direction Officier supérieur adjoint (3) DirecteurMilitaires affectés au secrétariat directions − Officier supérieur adjoint (3)Militaires affectés en section (4) ou cellule

directement rattachée à un directeur Chef de section ou de cellule Directeur

Militaires affectés en section commandement de la DPMGN (5) Chef de section Officier supérieur adjoint (3)

Sous-officiers affectés au projet PULSAR − Directeur de projetConducteurs d’autorité des directeurs d’admi-

nistration centrale ou de l’IGAG, de l’IGGN, du CGOM et du SAELSI

− Directeur ou IGAG, IGGN, CGOM et chef du SAELSI

Sous-officiers affectés à la DGGN et ne relevant d’aucune des chaînes de notation ci-dessus − Directeur (6)

Sous-directionMilitaires affectés à la direction de projet Chef de projet Sous-directeurMilitaires affectés en bureau, office, section (7),

secrétariat ou centre. Chef de section ou de division Chef de bureau, d’office, de CNP ou de centre

Militaires affectés au secrétariat sous-direction − Sous-directeurService d’information et de relations publiques (SIRPA)

Militaires affectés au secrétariat SIRPA − Conseiller pour la communication et chef du SIRPA

Militaires affectés au sein du SIRPA Chef de section Chef de bureauDélégué aux réserves de la gendarmerie

Militaires affectés auprès du délégué aux réserves de la gendarmerie − Délégué aux réserves de la gendarmerie

Délégation au patrimoine culturel de la gendarmerieMilitaires affectés au sein de la délégation au

patrimoine culturel de la gendarmerie − Délégué au patrimoine culturel de la gendarmerie




Conseil de la fonction militaire de la gendarmerie (CFMG)Secrétariat général du CFMG − Secrétaire général du CFMG(1) Concerne exclusivement les militaires suivants : conducteurs, intendant, cuisinier et secrétaires.(2) Centre d’analyse et d’exploitation, CROGEND, CPGC…(3) S’il existe. À défaut, lire chargé de mission auprès du directeur dont relève le militaire.(4) Concerne la section « analyse et prévention ».(5) Concerne la section secrétariat, la section correspondances et la section budget.(6) Selon le rattachement organique du militaire.(7) La section « psychologie, soutien et intervention » est concernée.

chaPitre 2



Militaires affectés directement auprès du chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

− Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Militaires affectés au cabinet Chef de cabinet Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Militaires affectés au sein des bureaux Chef de bureau Officier général adjoint (1) (2)(1) Selon les attributions du bureau du militaire noté.(2) S’il existe. À défaut, lire chef adjoint de l’inspection générale de la gendarmerie nationale.

chaPitre 3



Militaires affectés au cabinet Chef d’état-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie Inspecteur général des armées-gendarmerie

Militaires affectés en état-major − Chef d’état-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie

chaPitre 4



Militaires affectés au contrôle de gestion − Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Militaires affectés à la section commandement du CEGN − Commandant des écoles

de la gendarmerie nationaleCabinet de communication

Militaires affectés au cabinet de communication − Chef de cabinet (1)État-major

Militaires affectés à l’état-major du CEGN − Chef de section, de bureau ou chef d’état-major le cas échéant

École des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN)Militaires affectés au cabinet - communication − Commandant de l’EOGNMilitaires affectés au centre de recherche de

l’EOGN Directeur du centre Commandant de l’EOGN

Militaires affectés à l’état-major Chef d’état-major de l’EOGN Commandant de l’EOGNMilitaires affectés à la direction de l’instruction Directeur de l’instruction Commandant de l’EOGNMilitaires affectés au musée de la gendarmerie Directeur du musée Commandant de l’EOGNPersonnel ASA Chef d’état-major de l’EOGN Commandant de l’EOGNMilitaires affectés à l’encadrement de la CPI − Directeur de l’instruction de l’EOGN

École de gendarmerieMilitaires affectés à la section commandement Chef d’état-major Commandant d’écoleMilitaires affectés en état-major (bureaux, services

ou compagnie de commandement) Chef de bureau, service ou de compagnie (2) Commandant d’école

Militaires affectés à l’encadrement d’une division d’instruction, d’un bureau, d’un centre, d’une section, d’une compagnie ou d’un stage

Commandant de division, de bureau, de centre, de section, de compagnie ou directeur de stage

(2)Commandant d’école

Personnel ASA Chef de bureau ou service Commandant d’écoleÉlèves gendarmes et élèves volontaires − Commandant de compagnie



AFFECTATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEÉlèves CSTAGN en formation initiale − Commandant du CNFCSTAGN

Centre de production multimédia de la gendarmerie nationale (CPMGN)Militaires affectés au CPMGN Chef de section ou de pôle Commandant de centre

Centre national d’entraînement des forces de gendarmerie (CNEFG)Militaires affectés au commandement − Commandant de centreMilitaires affectés à la section commandement de

l’état-major Chef d’état-major Commandant de centre

Militaires affectés en état-major (bureaux ou services) Chef de bureau ou service Commandant de centre

Militaires affectés au commandement de la direction de l’instruction Commandant de la direction d’instruction Commandant de centre

Militaires affectés à la direction de l’instruction (bureaux ou divisions) Chef de bureau ou de division Commandant de centre

Centre national de formation au renseignement opérationnel (CNFRO)Militaires affectés au CNFRO − Commandant de centre

Centre national de formation aux systèmes d’information et de communication de la gendarmerie (CNFSICG)Militaires affectés au commandement − Commandant de centreMilitaires affectés dans les bureaux Chef de bureau Commandant de centre

Centre national d’instruction cynophile de la gendarmerieMilitaires affectés au commandement et à l’état-

major − Commandant de centre

Militaires affectés au stage de formation des maîtres-chiens Directeur de stage Commandant de centre

Militaires affectés au groupe national d’investigation cynophile de la gendarmerie nationale Chef de groupe Commandant de centre

Militaires affectés au bureau logistique Chef de bureau Commandant de centreCentre national d’instruction nautique de la gendarmerie (CNING) − Centre national d’instruction de ski

et d’alpinisme de la gendarmerie (CNISAG)Militaires affectés au CNING ou au CNISAG Chef de bureau ou service Commandant de centre

DiversMilitaires affectés à l’infirmerie, centre médical ou

centre médical principal Médecin-chef Commandant d’école ou de centre

Militaires affectés au cercle mixte, ordinaire, foyer − Commandant d’école ou de centre(1) Si c’est un officier. À défaut, lire le commandant du CEGN.(2) S’il existe.

ChaPitre 5

Autres écoles


École polytechnique, CCFCMNRBC, CNSD - CFIAR, INHES, ETAP Pau, lycées militaires, etc.Militaires affectés au sein des entités ci-dessus Autorité d’emploi Chef d’état-major du CEGN

Direction de l’enseignement militaire supérieur (DEMS)Militaires affectés à l’EMS Chef de service ou autorité d’emploi Chargé de mission gendarmerie DEMS

Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et École de guerreMilitaires affectés à l’IHEDN Chef de service ou autorité d’emploi Chef d’état-major du CEGNMilitaires affectés à l’école de guerre Chef de service ou autorité d’emploi Chef du groupement d’armée/gendarmerie

École ou centre de formation à l’étrangerAutres situations Attachés de gendarmerie Chef d’état-major du CEGNMilitaires affectés à l’école militaire de Bourges Commandant de l’EMB (1) Chef d’état-major du CEGN (2)(1) Sauf pour le personnel de la spécialité « aéronautique » noté par le commandant du groupe de maintien en condition opérationnelle (GMCO).(2) Sauf pour le personnel de la spécialité « aéronautique » noté par le commandant de maintien en condition opérationnelle.

ChaPitre 6Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN)

AFFECTATION NOTATEuR juRIDIQuEMilitaires directement affectés auprès du commandant du PJGN Commandant du PJGN en secondMilitaires affectés au sein des bureaux ou sections directement rattachés au

commandant du PJGN Chef de bureau ou de section (1)

Militaires affectés au SCRCGN et militaires affectés à l’IRCGN Chef de division, de service ou de section (2)(1) S’il existe. À défaut, lire le commandant du PjGN en second.(2) Pour les militaires affectés à la section commandement de l’IRCGN, lire le directeur adjoint de l’IRCGN.



ChaPitre 7




Militaires affectés au commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN)

−

Chef de l’unité supérieure (dès lors qu’il est officier ou fonctionnaire de catégorie A) (les militaires affectés en UMP sont notés par le chef du service de gestion ressources humaines et personnels isolés [SGRHPI])

Commandement de la gendarmerie des voies navigables (CGVN)Militaires affectés au commandement de la

gendarmerie des voies navigables − Commandant du CGVN

Militaires détachés pour emploi au sein de la cellule d’enquête des voies navigables de l’OCLAESP Chef de l’OCLAESP Commandant du CGVN

Militaires affectés au sein de la brigade fluviale de Conflans-Sainte-Honorine Commandant du CGVN Commandant de groupement de rattachement

Militaires affectés au sein de la brigade fluviale de Rouen Commandant du CGVN Commandant de région de rattachement

Délégation aux victimes (DAV)Militaires affectés à la DAV Autorité d’emploi Chef du SGRHPI

ChaPitre 8



Militaires affectés au sein d’un SGAMI Autorité d’emploiChef de la division de l’appui opérationnel de la région de gendarmerie implantée au siège de la zone de défense et de sécurité

Centre de soutien automobile de la gendarmerie (CSAGN)/Détachement atelier automobile police nationale (DAAPN)

Chef d’atelier du CSAG ou du DAAPN Autorité d’emploi Chef de la division de l’appui opérationnel de la région de rattachement (1)

Militaires affectés au sein d’un CSAG ou d’un DAAPN Chef du CSAG ou du DAAPN Chef de la division de l’appui opérationnel

de la région de rattachement (1)(1) Ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative.

ChaPitre 9

Ministère de la défense


Service historique de la défenseMilitaires directement rattachés auprès du chef du

service historique de la défense − Chef du service historique de la défense

Militaires affectés au sein d’une division ou d’un département Chef de division ou de département Chef du service historique de la défense

Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD)

Militaires affectés à l’organisme central Chef de division ou de centre (1) Directeur adjoint au directeur de la protection et de la sécurité de la défense

Militaires affectés à la direction zonale et poste de sécurité et de défense (PSD) Directeur zonal Directeur adjoint au directeur de la protection

et de la sécurité de la défenseDirection du service national (DSN)

Militaires affectés à la direction du service national Adjoint au directeur du service national Commandant en second de la région de rattachement (2)

Militaires affectés à l’établissement du service national Directeur de l’établissement du service national Chef de la division de l’appui opérationnel

de la région de rattachement (2)

Militaires affectés au centre du service national Directeur du centre du service national Chef de la division de l’appui opérationnel de la région de rattachement (2)

Militaires affectés au centre des archives du personnel militaire (CAPM) Directeur du CAPM Commandant en second de la région

de rattachement (2)Direction centrale du service de santé des armées

Direction centrale Chef de service Officier adjoint commandement (OAC) (3)Direction régionale Chef de service Officier adjoint commandement (OAC) (3)Hôpitaux Chef de service Officier adjoint commandement (OAC) (3)Écoles du service de santé des armées Chef de service Officier adjoint commandement (OAC) (3)École du personnel paramédical des armées Chef de service Officier adjoint commandement (OAC) (3)




Direction des ressources humaines du ministère de la défenseMilitaires affectés dans les centres interarmées de

reconversion (CIR) Chef du CIR Chef de l’appui opérationnel (3)

(1) Selon l’affectation du militaire.(2) Ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative (GGD FA).(3) De la région d’implantation ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative.

ChaPitre 10



Direction de la coopération internationale (DCI)Militaires affectés auprès du directeur − Directeur de la coopération internationale (1)Militaires affectés auprès d’un sous-directeur − Sous-directeur (2) (4)Autres militaires affectés au sein d’une sous-

direction Chef de l’unité supérieure (3)

Service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité intérieure (ST(SI)²)Militaires affectés au secrétariat du chef du ST(SI)² − Chef du ST(SI)²Militaires affectés au secrétariat sous-direction − Sous-directeurMilitaires affectés dans les sections Chef de section (5) Chef de bureau(1) S’il s’agit d’un officier supérieur de gendarmerie. À défaut, lire le directeur adjoint «gendarmerie» de la coopération internationale.(2) S’il s’agit d’un officier supérieur de gendarmerie. À défaut, lire le sous-directeur adjoint «gendarmerie»(3) S’il s’agit d’un militaire de la gendarmerie. À défaut, lire le sous-directeur, le sous-directeur adjoint ou l’officier supérieur, chargé de mission.(4) À défaut, le notateur juridique est l’adjoint au DCI.(5) S’il existe : qu’il soit policier ou militaire de la gendarmerie.


Service de l’achat, des équipements et de la logistique de la sécurité intérieure (SAELSI)Chef du secrétariat − Chef du SAELSI (1)Militaires affectés au secrétariat du chef du SAELSI − Chef du SAELSI (1)Militaires affectés au secrétariat commun des sous-

directions − Chef du SAELSI (1)

Militaires affectés dans les sections directement rattachées au chef de service Chef de section (2) Chef du SAELSI (1)

Militaires affectés au sein d’un bureau ou d’une mission. Chef de section (2) Chef de bureau ou de mission (3)

Militaires affectés dans les sections ou dans un département au centre de recherche et d’expertise de la logistique

Chef de section ou de département (2) Chef de bureau ou chef du centre (3)

Militaires affectés dans les centres ou ateliers de l’ECLPN Chef de centre ou d’atelier (2) Sous-directeur (4)

(1) Lorsque c’est un officier de la gendarmerie nationale ; à défaut, lire l’adjoint « gendarmerie » au chef de service.(2) S’il existe : que l’autorité soit civile ou militaire.(3) S’il s’agit d’un officier de la gendarmerie. À défaut, lire le sous-directeur dont relève le militaire s’il s’agit d’un officier de la gendarmerie, sinon lire le sous-directeur adjoint « gendarmerie ».(4) S’il s’agit d’un officier de la gendarmerie. À défaut, lire le sous-directeur adjoint « gendarmerie ».

PARTIE 2

Chaînes de notation applicables aux :

– SOG du grade de gendarme, non-titulaires d’un diplôme ou d’un titre ouvrant droit à l’avancement ; – volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale et militaires du rang de réserve.

ChaPitre 1er



CabinetConseiller sous-officier du DGGN − Chef de cabinetMilitaires affectés au secrétariat − Chef du secrétariatMilitaires affectés au secrétariat des aumôneries Chef du bureau du cabinet Chef de cabinet




Militaires placés auprès de l’inspecteur du service de santé pour la gendarmerie nationale − Inspecteur du service de santé

pour la gendarmerie nationaleMilitaires du secrétariat du conseiller technique

santé − Conseiller technique santé

Militaires détachés pour emploi auprès du directeur général de la gendarmerie nationale ou du major général (1)

− Chef de cabinet

Mission du pilotage et de la performanceMilitaires affectés au secrétariat − Officier chargé de mission

Mission du système d’information AgorhaMilitaires affectés à la MSIA Chef de bureau

DirectionsMilitaires affectés au sein de bureau ou centre (2) Chef de section (3) Chef de bureau ou de centreChef de secrétariat direction − Officier supérieur adjoint (4)Militaires affectés en section (5) ou cellule

directement rattachée à un directeur Chef de section ou de cellule (3) Officier supérieur adjoint (4)

Militaires affectés en secrétariat directions − Officier supérieur adjoint (4)Militaires affectés en section commandement de

la DPMGN (6) Chef de section (3) Officier supérieur adjoint

Sous-officiers affectés au projet PULSAR − Directeur de projetConducteurs d’autorité des directeurs

d’administration centrale ou de l’IGAG, de l’IGGN, du CGOM et du SAELSI

− Directeur ou IGAG, IGGN, CGOM et chef du SAELSI

Sous-officiers affectés à la DGGN et ne relevant d’aucune des chaînes de notation ci-dessus − Directeur (7)

Sous-directionMilitaires affectés à la direction de projet − Chef de projetMilitaires affectés au sein de bureau, office,

section (8), secrétariat ou centre. Chef de section ou de division (3) Chef de bureau, d’office, de CNP ou de centre

Militaires affectés au secrétariat sous-direction − Sous-directeurService d’information et de relations publiques (SIRPA)

Militaires affectés au secrétariat SIRPA − Conseiller pour la communication et chef du SIRPA

Militaires affectés au sein du SIRPA Chef de section (3) Chef de bureauDélégué aux réserves de la gendarmerie (DRG)

Militaires affectés auprès du DRG − DRG adjointDélégation au patrimoine culturel de la gendarmerie

Militaires affectés au sein de la délégation au patrimoine culturel de la gendarmerie − Commandant en second (9)

Conseil de la fonction militaire de la gendarmerie (CFMG)Secrétariat général du CFMG − Secrétaire général du CFMG(1) Concerne exclusivement les militaires suivants : conducteurs, intendant, cuisinier et secrétaires.(2) Centre d’analyse et d’exploitation, CROGEND, CPGC…(3) S’il existe.(4) S’il existe. À défaut, lire chargé de mission auprès du directeur dont relève le militaire.(5) Concerne la section « analyse et prévention ».(6) Concerne la section secrétariat, la section correspondances et la section budget.(7) Selon le rattachement organique du militaire.(8) La section « psychologie, soutien et intervention » est concernée.(9) S’il existe. À défaut, lire officier 1er adjoint.

ChaPitre 2


AFFECTATION NOTATEuR juRIDIQuE

Militaires affectés directement auprès du chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale Chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale

Militaires affectés au cabinet Chef de cabinetMilitaires affectés au sein des bureaux Chef de bureau



ChaPitre 3


AFFECTATION NOTATEuR juRIDIQuEMilitaires affectés au cabinet Chef d’état-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerieMilitaires affectés en état-major Chef d’état-major de l’inspecteur général des armées-gendarmerie

ChaPitre 4



Militaires affectés au contrôle de gestion − Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Militaires affectés à la section commandement du CEGN − Commandant des écoles

de la gendarmerie nationaleCabinet de communication

Militaires affectés au cabinet de communication − Chef de cabinet (1)État-major

Militaires affectés à l’état-major du CEGN − Chef de section ou de bureau (2)École des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN)

Militaires affectés au cabinet – communication − Commandant de l’EOGNMilitaires affectés au centre de recherche de

l’EOGN Directeur du centre Commandant de l’EOGN

Militaires affectés en état-major − Chef d’état-major de l’EOGNMilitaires affectés à la direction de l’instruction − Directeur de l’instructionMilitaires affectés au musée de la gendarmerie − Directeur du muséePersonnel ASA − Chef d’état-major de l’EOGNMilitaires affectés à l’encadrement de la CPI − Directeur de l’instruction de l’EOGN

École de gendarmerieMilitaires affectés à la section commandement − Chef d’état-majorMilitaires affectés en état-major (bureaux, services

ou compagnie de commandement) − Chef de bureau, service ou de compagnie (3)

Militaires affectés à l’encadrement d’une division d’instruction, d’un bureau, d’un centre, d’une section, d’une compagnie ou d’un stage

−Commandant de division, de bureau, de centre, de section, de compagnie ou directeur de stage

(3)Personnel ASA − Chef de bureau ou serviceÉlèves gendarmes et élèves volontaires − Commandant de compagnie

Centre de production multimédia de la gendarmerie nationale (CPMGN)Militaires affectés au CPMGN − Chef de section, de pôle (4)

Centre national d’entraînement des forces de gendarmerie (CNEFG)Militaires affectés au commandement − Commandant de centreMilitaires affectés à la section commandement de

l’état-major − Chef d’état-major

Militaires affectés en état-major (bureaux ou services) − Chef de bureau ou serviceMilitaires affectés au commandement de la

direction de l’instruction − Commandant de la direction d’instruction

Militaires affectés à la direction de l’instruction (bureaux ou divisions) − Chef de bureau ou de division

Centre national de formation au renseignement opérationnel (CNFRO)Militaires affectés au CNFRO − Commandant de centre

Centre national de formation aux systèmes d’information et de communication de la gendarmerie (CNFSIC)Militaires affectés au commandement − Commandant de centreMilitaires affectés dans les bureaux − Chef de bureau

Centre national d’instruction cynophile de la gendarmerieMilitaires affectés au commandement et à l’état-

major − Commandant de centre

Militaires affectés au stage de formation des maîtres-chiens − Directeur de stage

Militaires affectés au groupe national d’investigation cynophile de la gendarmerie nationale − Chef de groupe

Bureau logistique − Chef de bureau




Centre national d’instruction nautique de la gendarmerie (CNING) − Centre national d’instruction de ski et d’alpinisme de la gendarmerie (CNISAG)

Militaires affectés au CNING ou au CNISAG − Chef de bureau ou serviceDivers

Infirmerie, centre médical ou centre médical principal Médecin-chef Commandant d’école ou de centre

Cercle mixte, ordinaire, foyer − Commandant d’école ou de centre(1) Si c’est un officier. À défaut, lire le commandant du CEGN.(2) S’il existe. À défaut, lire chef d’état-major du CEGN.(3) S’il existe. À défaut, lire commandant d’école.(4) S’il existe. À défaut, lire commandant de centre.

ChaPitre 5

Autres écoles


École polytechnique, CCFCMNRBC, CNSD - CFIAR, INHES, ETAP Pau, lycées militaires, etc.Militaires affectés au sein des entités ci-dessus Autorité d’emploi Chef d’état-major du CEGN

Direction de l’enseignement militaire supérieur (DEMS)Militaires affectés à l’EMS Chef de service ou autorité d’emploi Chargé de mission gendarmerie DEMS

Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) et École de guerreMilitaires affectés à l’IHEDN Chef de service ou autorité d’emploi Chef d’état-major du CEGN

AFFECTATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEMilitaires affectés à l’École de guerre Chef de service ou autorité d’emploi Chef du groupement d’armée/gendarmerie

École ou centre de formation à l’étrangerAutres situations Attachés de gendarmerie Chef d’état-major du CEGNMilitaires affectés à l’école militaire de Bourges Commandant de l’EMB (1) Chef d’état-major du CEGN (2)(1) Sauf pour le personnel de la spécialité « aéronautique » noté par le commandant du groupe de maintien en condition opérationnelle (GMCO).(2) Sauf pour le personnel de la spécialité « aéronautique » noté par le commandant de maintien en condition opérationnelle.

ChaPitre 6


AFFECTATION NOTATEuR juRIDIQuEMilitaires directement affectés auprès du commandant du PJGN Commandant du PJGN en secondMilitaires affectés au sein des bureaux ou sections directement rattachés au

commandant du PJGN Chef de bureau ou de section (1)

Militaires affectés au SCRCGN et militaires affectés à l’IRCGN Chef de division, de service ou de section (2)(1) S’il existe. À défaut, lire le commandant du PjGN en second.(2) Pour les militaires affectés à la section commandement de l’IRCGN, lire le « directeur adjoint de l’IRCGN ».

ChaPitre 7



Militaires affectés au commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN)

−Chef de l’unité supérieure

(dès lors qu’il est officier ou fonctionnaire de catégorie A) (les militaires affectés en UMP

sont notés par le chef du SGRHPI)

Commandement de la gendarmerie des voies navigables (CGVN)Militaires affectés au commandement de la

gendarmerie des voies navigables − Commandant du CGVN

Militaires détachés pour emploi au sein de la cellule d’enquête des voies navigables de l’OCLAESP Chef de l’OCLAESP Commandant du CGVN

Militaires affectés au sein de la brigade fluviale de Conflans-Sainte-Honorine Commandant du CGVN Commandant de groupement de rattachement

Militaires affectés au sein de la brigade fluviale de Rouen Commandant du CGVN Commandant de région de rattachement

Délégation aux victimes (DAV)Militaires affectés à la DAV Autorité d’emploi Chef du SGRHPI



ChaPitre 8



Militaires affectés au sein d’un SGAMI Autorité d’emploi (1)Chef de la division de l’appui opérationnel

de la région de gendarmerie implantée au siège de la zone de défense et de sécurité (2)

Centre de soutien automobile de la gendarmerie (CSAGN) / Détachement atelier automobile police nationale (DAAPN)Militaires affectés au sein d’un CSAG ou d’un

DAAPN Chef du CSAG ou du DAAPN Chef de la division de l’appui opérationnel de la région de rattachement (2)

(1) Établissement d’une fiche d’appréciation par l’autorité d’emploi.(2) Ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative.

ChaPitre 9

Ministère de la défense


Service historique de la défense Militaires directement rattachés auprès du chef du

service historique de la défense − Chef du service historique de la défense

Militaires affectés au sein d’une division ou d’un département Chef de division ou de département Chef du service historique de la défense

Direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD)

Militaires affectés en organisme central Chef de division ou de centre (1) Directeur adjoint au directeur de la protection et de la sécurité de la défense

Militaires affectés à la direction zonale et poste de sécurité et de défense (PSD) Directeur zonal Directeur adjoint au directeur de la protection

et de la sécurité de la défenseDirection du service national (DSN)

Militaires affectés à la direction du service national Adjoint au directeur du service national Commandant en second de la région de rattachement (2)

Militaires affectés en établissement du service national Directeur de l’établissement du service national Chef de la division de l’appui opérationnel

de la région de rattachement (2)

Militaires affectés au centre du service national Directeur du centre du service national d’emploi Chef de la division de l’appui opérationnel de la région de rattachement (2)

Militaires affectés au centre des archives du personnel militaire (CAPM) Directeur du CAPM Commandant en second

de la région de rattachement (2)Direction centrale du service de santé des armées

Militaires affectés à la direction centrale Chef de service Officier adjoint commandement (OAC) (3)Militaires affectés à la direction régionale Chef de service Officier adjoint commandement OAC (3)Militaires affectés dans les hôpitaux Chef de service Officier adjoint commandement OAC (3)Militaires affectés en écoles du service de santé

des armées Chef de service Officier adjoint commandement OAC (3)

Militaires affectés à l’école du personnel paramédical des armées Chef de service Officier adjoint commandement OAC (3)

Direction des ressources humaines du ministère de la défenseMilitaires affectés aux centres interarmées de

reconversion (CIR) Chef du CIR Chef de l’appui opérationnel (3)

(1) Selon l’affectation du militaire.(2) Ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative (GGD FA).(3) De la région d’implantation ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative.

ChaPitre 10



Direction de la coopération internationale (DCI)Militaires affectés auprès du directeur − Directeur de la coopération internationale (1)Militaires affectés auprès d’un sous-directeur − Sous-directeur (2) (4)Autres militaires affectés au sein des sous-

directions Chef de division (3) Sous-directeur (2) (4)

Service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité intérieure (ST(SI)²)Militaires affectés au secrétariat du chef du ST(SI)² − Chef du ST(SI)²Militaires affectés au secrétariat sous-direction − Sous-directeur



AFFECTATION APPRÉCIATION NOTATEuR juRIDIQuEMilitaires affectés dans les sections Chef de section (5) Chef de bureau(1) S’il s’agit d’un officier supérieur de gendarmerie. À défaut, lire le directeur adjoint «gendarmerie» de la coopération internationale.(2) S’il s’agit d’un officier supérieur de gendarmerie. À défaut, lire adjoint au sous-directeur.(3) S’il s’agit d’un militaire de la gendarmerie. À défaut, lire l’officier le plus ancien dans le grade le plus élevé de la division dans laquelle le militaire noté est affecté.(4) À défaut, le notateur juridique est l’adjoint au DCI.(5) S’il existe : qu’il soit policier ou militaire de la gendarmerie.


Service de l’achat, des équipements et de la logistique (SAELSI)Militaires affectés au secrétariat du chef du SAELSI − Chef du SAELSI (1)Militaires affectés au secrétariat commun des sous-

directions − Chef du SAELSI (1)

Militaires affectés dans les sections directement rattachées au chef de service Chef de section (2) Chef du SAELSI (1)

Militaires affectés au sein d’un bureau ou d’une mission Chef de section (2) Chef de bureau ou de mission (3)

Militaires affectés dans les sections ou dans un département au centre de recherche et d’expertise de la logistique

Chef de section ou de département (2) Chef de bureau ou chef du centre (3)

Militaires affectés dans les centres ou ateliers de l’ECLPN Chef de centre ou d’atelier (2) Sous-directeur (4)

(1) Lorsque c’est un officier de la gendarmerie. À défaut, lire l’adjoint « gendarmerie » au chef de service.(2) S’il existe : que l’autorité soit civile ou militaire.(3) Lorsque c’est un officier de la gendarmerie. À défaut, lire le sous-directeur dont relève le militaire, à condition qu’il soit officier de la gendarmerie sinon, lire le sous-directeur, adjoint « gendarmerie ».(4) Lorsque c’est un officier de la gendarmerie. À défaut, lire le sous-directeur adjoint « gendarmerie ».

PARTIE 3

Chaînes de notation applicables aux militaires de la gendarmerie nationale servant dans des situations particulières

AFFECTATION 1ER ÉCHELON NOTATEuR juRIDIQuEAffectations particulières

Militaires affectés à l’École de guerre Fiche d’appréciation de l’autorité d’emploi Commandant de division, chef de groupement gendarmerie

Militaires servant au sein d’un OIA ou OVIA Autorité d’emploi Sous-directeur de la gestion du personnelMilitaires de la force de gendarmerie européenne

(FGE) − Commandant de la FGE (1)

Militaires affectés en ambassade − Chef d’état-major CGOM (2)Militaires placés auprès de l’ASI Attaché de sécurité intérieure Chef d’état-major CGOMMilitaires affectés à l’assistance technique

coopération Commandant DGC, DGM Chef d’état-major CGOM

Militaires affectés au bureau de liaison Europol Officier de liaison gendarmerie Chef d’état-major CGOMMilitaires affectés à la représentation permanente

de la France auprès de l’Union européenne à Bruxelles

Conseiller (3) Chef d’état-major CGOM

Militaires en détachement Autorité d’emploi Chef du SGRHPIMilitaires affectés au groupement interarmées des

actions civilo-militaires Autorité d’emploi Commandant de région de rattachement

Militaires affectés au secrétariat auprès du représentant permanent de la justice et des affaires intérieures

Attaché de gendarmerie, conseiller auprès de l’ambassadeur représentant permanent

de la France auprès de l’UEChef du SGRHPI

Militaires affectés en infirmerie – centre médical principal Médecin-chef Officier adjoint commandement (OAC) (7)

Militaires hors budget Autorité d’emploi Commandant de la formation administrative de rattachement

Militaires affectés au secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) Autorité d’emploi Commandant de la formation administrative

de rattachementMilitaires affectés aux cercles territoriaux de

gendarmerie − Président du cercle (SOG gradés et CSTAGN) Directeur du cercle (SOG non gradés, GAV)

Militaires affectés au centre régional d’information et de coordination routière (CRICR) Directeur du CRICR Officier adjoint commandement OAC (7)

Militaires affectés au centre automatisé de constatation des infractions routières (CACIR) Directeur du CACIR Officier adjoint commandement OAC (7)




Militaires affectés centre national d’animation et des ressources (CNAR) Autorité d’emploi Chef du SGRHPI

Militaires affectés au sein du centre de formation linguistique commun (CFLC) -

Commandant de région en second, commandant en second de groupement chef lieu d’implantation

de la région de gendarmerie

Militaires affectés dans une unité hors programme gendarmerie (HP 152…) Autorité d’emploi (5) Commandant de la formation administrative

de rattachementMilitaires affectés à la cellule renseignements de

l’Élysée Chef de la cellule de renseignements Commandant de la formation administrative de rattachement

Militaires affectés à la direction générale des systèmes d’information et de communication du MININT (DGSIC)

Autorité d’emploi Commandant de la formation administrative de rattachement

Militaires affectés au cabinet du ministre de l’intérieur Conseiller pour la sécurité auprès du MININT (4) Chef du SGRHPI (6)

Militaires affectés au service central du renseignement territorial (SCRT) Autorité d’emploi Chef du SGRHPI

Militaires affectés à la section du système des opérations et du renseignement (SSOR) - Chef de la SSOR

Militaires affectés à l’autorité de régulation des jeux électroniques en ligne (ARJEL) Officier de liaison Chef du bureau des affaires criminelles

Militaires affectés au centre de développement des applications de la défense à Rambouillet (CDAD-R)

− Chef du bureau des droits individuels de la sous-direction politique des ressources humaines

Militaires affectés au centre expert des ressources humaines du personnel civil de la défense (CERH-PC)

−Chef du bureau des outils de soutien

et des statistiques (BOS2) de la sous-direction des systèmes d’information du ST(SI)²

Militaires affectés à l’agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC)

Officier responsable du pôle opérationnel de l’AGRASC Chef du bureau des affaires criminelles

Militaires affectés à la cellule plongée humaine et intervention sous la mer (CEPHISMER) Chef de la cellule Commandant de la formation administrative

de rattachementMilitaires affectés dans un état-major de réaction

rapide Autorité d’emploi Chef de la division des opérations

Militaires en participation externe affecté dans un office police commandé par un officier de gendarmerie

− Chef de l’office

Militaires en participation externe – DCPJ (hors office police commandé par un officier de gendarmerie) et à EUROPOL

Autorité d’emploi Chef de la MLG

Sous-officiers affectés à la sous-direction de la sécurité diplomatique et de la défense (Appréciation par l’autorité d’emploi) Chef d’état-major

Projet solde Issy-les-MoulineauxMilitaires affectés au projet solde GN ONP − Directeur de projet « solde gendarmerie »

Militaires affectés au DSBSLS −Chef du bureau des outils de soutien

et des statistiques (BOS2) de la sous-direction des systèmes d’information du ST(SI)²

Militaires affectés au DSBSIRH − Chef de la MSIA(1) S’il est français. À défaut, lire le chef d’état-major du CGOM, après établissement d’une fiche d’appréciation par l’autorité d’emploi.(2) Après établissement d’une fiche d’appréciation par l’autorité d’emploi.(3) S’il est officier de gendarmerie. À défaut, établissement d’une fiche d’appréciation par l’autorité d’emploi (modèle de la fiche d’appréciation accessible via Agorha).(4) Pour les SOG du grade de gendarme, non titulaires d’un diplôme ou d’un titre ouvrant droit à l’avancement et les volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale : pas de notation au 1er échelon.(5) S’il existe.(6) Pour les SOG du grade de gendarme, non titulaires d’un diplôme ou d’un titre ouvrant droit à l’avancement et les volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale : lire le conseiller pour la sécurité auprès du MININT.(7) De la région d’implantation ou de rattachement ou du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative (GGD FA).


Affectations non prévues dans les précédentes annexes

Militaires affectés hors gendarmerie Autorité d’emploi Chef de bureau (ou assimilé) dont relève le militaire noté

Militaires affectés en gendarmerie Supérieur hiérarchique direct Chef de bureau (ou assimilé) dont relève le militaire noté



PARTIE 4

Chaînes de notation applicables aux militaires de la gendarmerie nationale mandatés pour la concertation


Président du personnel militaire (PPM) ou vice président du personnel militaire

Autorité auprès de laquelle le PPM et le vice PPM sont institués Autorité hiérarchique immédiatement supérieure (1)

Référent (1) − Autorité auprès de laquelle le référent est institué

Conseiller « concertation » et vice conseiller − Autorité auprès de laquelle le conseiller et le vice conseiller sont institués (2)

(1) Le vice référent est noté en sa qualité de PPM ou de vice PPM.(2) Pour le conseiller « concertation » de la DGGN, lire le directeur d’administration centrale dont il relève organiquement, après établissement d’une fiche d’appréciation par le sous-directeur auquel il est rattaché.




Arrêté du 14 avril 2016 portant changement d’appellation des pelotons d’intervention inter-régionaux de la gendarmerie d’Orange (Vaucluse), de Toulouse (Haute-Garonne), de Dijon (Côte-d’Or), de Reims (Marne), de Nantes (Loire-Atlantique) et de Tours (Indre-et-Loire)

NOR : INTJ1607095A


Arrête :

Article 1er

À compter du 1er avril 2016, les pelotons d’intervention interrégionaux de la gendarmerie changent d’appellation et deviennent les « antennes du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale ».

Article 2

Le peloton d’intervention interrégional de la gendarmerie d’Orange (Vaucluse) prend l’appellation d’« antenne du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale – Orange ».

Le peloton d’intervention interrégional de la gendarmerie de Toulouse (Haute-Garonne) prend l’appellation d’« antenne du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale – Toulouse ».

Le peloton d’intervention interrégional de la gendarmerie de Dijon (Côte-d’Or) prend l’appellation d’« antenne du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale – Dijon ».

Le peloton d’intervention interrégional de la gendarmerie de Reims (Marne) prend l’appellation d’« antenne du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale – Reims ».

Le peloton d’intervention interrégional de la gendarmerie de Nantes (Loire-Atlantique) prend l’appellation d’« antenne du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale – Nantes ».

Le peloton d’intervention interrégional de la gendarmerie de Tours (Indre-et-Loire) prend l’appellation d’« antenne du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale – Tours ».

Article 3



Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la gendarmerie nationale, d. faVier




Arrêté du 15 avril 2016 portant création de l’école de gendarmerie de Dijon (Côte-d’Or)NOR : INTJ1604332A


Arrête :

Article 1er

L’école de gendarmerie de Dijon (Côte-d’Or) est créée à compter du 15 avril 2016.

Article 2



Pour le ministre et par délégation : Le directeur général de la gendarmerie nationale, d. faVier





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Instruction no 4012 du 20 janvier 2016 relative à la notation en 2016 des militaires de la gendarmerie nationale

NOR : INTJ1601507J

Références :Code de la défense, notamment ses articles L. 4135-1 et R. 4135-1 à R. 4135-7 ;Arrêté du 15 décembre 2015 fixant la liste des formations administratives de la gendarmerie nationale (JO no 298

du 24 décembre 2015, texte no 61 – NOR : INTJ1527351A) ;Arrêté du 21 décembre 2015 relatif à l’organisation et aux attributions des échelons de commandement de la

gendarmerie nationale en métropole (JO no 301 du 29 décembre 2015, texte no 63 – NOR : INTJ1530713A) ;Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale pour la cam-

pagne de notation de l’année 2016 (NOR : INTJ1532425A) ;Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale affectés au

sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien pour la campagne de notation de l’année 2016 (NOR : INTJ1532690A).

Pièces jointes : neuf annexes.

Texte abrogé : instruction no 3800/GEND/DPMGN/SDPRH/BRFM du 16 janvier 2015 relative à la notation en 2015 des militaires de la gendarmerie nationale (NOR : INTJ1500910J).

PréaMBule

Prise en application du code de la défense, la présente instruction a pour objet de préciser les conditions d’établissement et de communication de la notation des militaires d’active et des militaires de réserve exerçant une activité au titre d’un engagement à servir dans la réserve opérationnelle 1.

1 Les aspirants de gendarmerie issus du volontariat (AGIV) sont régis par le décret no 2008-955 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux volon-tariats militaires et font l’objet d’une notation comme tels.



soMMaire

1. Buts et qualités de la notation

2. Rôle des autorités de notation

3. Périodicité de la notation3.1. Conditions de durée d’activité3.2. Annualité de la notation

4. Établissement et transmission des feuilles de notes4.1. Militaires servant dans une formation de gendarmerie4.2. Militaires stagiaires, placés pour emploi ou déplacés pour une durée égale ou supérieure à deux mois4.3. Militaires servant dans un organisme ne relevant pas de la gendarmerie4.4. Militaires placés en position de « détachement »4.5. Élèves-officiers et officiers élèves, élèves sous-officiers et élèves-volontaires dans les armées en service au sein

de la gendarmerie4.6. Évaluation par le préfet4.7. Cas particulier des militaires dont les chaînes de notation ne peuvent être mises en œuvre dans le système

d’information Agora

5. Communication de la notation5.1. Principes5.2. Procédure5.3. Délivrance d’une copie de la feuille de notes

ANNEXESAnnexe I. – Critères relatifs aux officiersAnnexe II. – Critères relatifs aux sous-officiers de gendarmerie Critères relatifs aux sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de gendarmerie

nationaleAnnexe III. – Critères relatifs aux volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale

(AGIV et GAV) et militaires du rang de réserveAnnexe IV. – Guide de notation Opération à réaliser Directives particulières pour la rédaction des feuilles de notes Transmission de la notation La fiche individuelle de parcours de carrièreAnnexe V. – Taux de progression Les taux de progression prescrits en 2016 Utilisation du seuil minimum des taux de progression Détermination des crédits de points Dépassement des taux de progression Bilans annuels de notationAnnexe VI. – Modèle de feuille de notesAnnexe VII. – Modèle de fiche d’appréciationAnnexe VIII. – Modèle de procès-verbal de carence suite au refus d’émargement du titulaire noté de la décision

de notationAnnexe IX. – Modèle de recours hiérarchique formé à l’encontre d’une notation juridique



1. Buts et qualités de la notationEn application de l’article R. 4135-1 du code de la défense, la notation est une évaluation par l’autorité hiérarchique

des qualités morales, intellectuelles et professionnelles du militaire, de son aptitude physique, de sa manière de servir pendant une période déterminée et de son aptitude à tenir, dans l’immédiat et ultérieurement, des emplois de niveau plus élevé.

La notation est essentielle à la gestion du personnel : elle permet de connaître aussi précisément que possible la valeur de l’aptitude de chaque militaire. Elle apporte, en outre, à l’intéressé une information sur la façon dont sa manière de servir est perçue et doit l’inciter, le cas échéant, à produire les efforts pour mieux répondre à ce qui est attendu de lui.

Pour atteindre ces objectifs, la notation doit être : – objective et équitable, de manière à rendre compte, sans sévérité ni indulgence excessives, des qualités et des aptitudes de chacun, mais aussi de ses déficiences et de ses limites ;

– complète et précise, de façon à fournir au commandement tous les éléments nécessaires à ses décisions ; – relative, afin de permettre la comparaison entre les militaires d’un même grade, ce qui implique de faire preuve de mesure dans l’éloge comme dans la critique.

Acte de commandement, la notation nécessite du courage intellectuel.Rendant compte de l’action du militaire durant la période concernée, et de la qualité des services rendus dans le ou

les emplois tenus, la notation ne doit pas, en principe, être influencée par : – les notations précédentes, qui peuvent être contredites ou tempérées ; – une sanction qui aurait été infligée depuis la notation précédente ; – l’ancienneté ou les titres du militaire ; – le fait que celui-ci concourt ou non pour un avancement de grade au choix.

L’élaboration du travail de notation est décrite dans le guide de notation (annexe IV).

2. Rôle des autorités de notationEn application de l’article R. 4135-3 du code de la défense, deux arrêtés du ministre de l’intérieur (direction

générale de la gendarmerie nationale – direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale) déterminent les autorités intervenant à chaque degré du processus de notation.

Pour les situations où un seul degré de notation est prévu, la notation doit être établie dans le bandeau 2 « Notation » correspondant à la décision de notation, l’appréciation littérale étant précédée de la mention suivante : « personnel noté à un seul degré ».

L’autorité qui note au premier degré s’attache à connaître le militaire noté de manière à porter sur lui des appréciations complètes et précises ; si elle n’est pas placée au plus près de ce militaire, elle consulte l’autorité sous les ordres de laquelle il sert directement. Toutefois, cette consultation ne donne pas nécessairement lieu à la rédaction d’un projet élaboré.

Ces principes s’appliquent également aux militaires de réserve, dont les périodes d’activité se caractérisent par leur brièveté et leur discontinuité.

L’autorité qui note au dernier degré est le notateur juridique : c’est lui qui élabore l’acte faisant grief.En cas d’absence prolongée ou d’empêchement du notateur juridique, il doit être fait application des dispositions

relatives à la suppléance prévues à l’article D. 4131-3 alinéa 3 du code de la défense. La fonction de notateur juridique est ainsi dévolue au premier des subordonnés dans l’ordre hiérarchique, c’est-à-dire l’officier de la gendarmerie nationale le plus ancien dans le grade le plus élevé de la formation ou structure concernée 2.

3. Périodicité de la notation

3.1. Conditions de durée d’activité

En application des articles L. 4135-1 et R. 4135-5 du code de la défense, les personnels sont notés au moins une fois par an, lorsqu’ils ont accompli :

– au moins 120 jours de présence effective en position d’activité durant la période de notation pour les militaires de carrière et les militaires servant en vertu d’un contrat ;

– au moins 10 jours de présence effective pour les réservistes opérationnels.La présence effective comprend les samedis, dimanches, jours fériés et les jours de permission, mais n’inclut pas les

jours de congés pris par le militaire lorsqu’il est en position d’activité (congé de maladie, congé de maternité, etc.). Le militaire qui n’a pas accompli ce nombre minimum de jours de présence effective n’est pas noté au titre de l’année considérée.

2 Le cas échéant, l’agent de catégorie A du grade le plus élevé.



3.2. Annualité de la notation

3.2.1. Définitions

L’annualité de la notation ne coïncide pas nécessairement avec l’année civile. Il convient de distinguer la période d’observation et la période d’établissement.

3.2.1.1. Période d’observation

La période d’observation s’étend de la date d’établissement de la dernière notation au premier degré à la date d’établissement de la nouvelle notation au premier degré. En vertu du principe d’annualité de la notation, il convient de veiller à ce que la période d’observation empiète sur l’année de référence.

Ainsi, à titre d’exemples : – pour un militaire dont la dernière notation couvre la période du 01/04/A-1 au 15/03/A, la nouvelle période d’observation débutera le 16/03/A et sera clôturée au jour et au mois d’établissement de la notation de l’année A + 1 ;

– les militaires mutés le 1er janvier 2016 sont notés par les autorités dont ils relevaient jusqu’au 31 décembre 2015, dans le cadre d’une notation intermédiaire. La notation ainsi arrêtée au 31 décembre 2015 n’est pas considérée comme la notation annuelle de l’année 2016. Par la suite, dans le courant de l’année 2016, lorsqu’ils réuniront au moins 120 jours de présence effective, ces personnels feront l’objet d’une notation annuelle par leurs nou-velles autorités hiérarchiques.Les conditions d’établissement de la notation des militaire notés dans le cadre d’une réorganisation

intervenant le 1er janvier 2016 sont fixées par la note-express no 93094 GEND/DPMGN/SDPRH/BRFM du 18 décembre 2015 ;

– les militaires mutés à compter du 2 janvier 2016 sont notés par les autorités dont ils relevaient au 1er janvier 2016 inclus : il s’agit alors de la notation annuelle pour l’année 2016.

3.2.1.2. Période d’établissement matériel de la notation

3.2.1.2.1. Militaires de carrière et militaires servant en vertu d’un contratLa notation intervient, pour les officiers et sous-officiers, entre le 1er janvier et le 31 août inclus.Cette période s’applique également pour la notation annuelle des volontaires dans les armées. Toutefois,

lorsque ces militaires doivent faire l’objet d’un renouvellement de contrat, la notation doit impérativement être réalisée au plus tard trois mois avant l’échéance du contrat en cours pour permettre à l’autorité qui aura à se prononcer, le cas échéant, sur un renouvellement de contrat, de disposer de tous les éléments nécessaires pour arrêter sa décision.

Quand une appréciation est établie à la suite d’un stage, d’un détachement ou d’un déplacement, elle est transmise par la voie hiérarchique au notateur au premier degré (ou notateur unique), qui la prend en compte pour l’élaboration de la notation au premier degré (ou de la notation unique) et l’annexe à la feuille de notes de la période à laquelle elle se rapporte.

3.2.1.2.2. Militaires de réserve exerçant une activité au titre d’un engagement à servir dans la réserve opérationnelleLa notation intervient :

– pour les officiers, entre le 1er janvier et le 30 juin inclus ; – pour les sous-officiers et militaires du rang, entre le 1er janvier et le 30 septembre inclus.

3.2.1.2.3. Personnel promu en cours de la période d’établissementLorsque le personnel est promu au cours de la période d’établissement de la notation, il est noté dans le grade

précédent, que sa promotion soit intervenue ou non au moment de la notation. Si la notation au premier degré intervient après sa promotion, la mention « NOTÉ COMME : le grade dans lequel le personnel doit être noté » doit figurer avant les appréciations littérales.

Ainsi à titre d’exemples : – les militaires promus avant le 1er janvier.

La promotion étant intervenue avant la période d’établissement de la notation (1er janvier-31 août), ces derniers seront notés dans leur grade détenu au 1er janvier.

Exemple : un capitaine promu le 1er décembre 2015 au grade de chef d’escadron, ce dernier sera noté comme chef d’escadron. Il sera pris en compte parmi la population des chefs d’escadron pour le calcul des taux de progression.

– les militaires promus le 1er janvier ou ultérieurement.La promotion intervenant durant la période d’établissement de la notation (1er janvier-31 août), ces derniers

seront notés dans le grade précédent avec la mention «noté comme» si leur notation intervient après leur promotion.



Exemple : un adjudant promu le 1er mars 2016 au grade d’adjudant-chef, ce dernier sera noté comme adjudant. Il sera pris en compte parmi la population des adjudants pour le calcul des taux de progression.

3.2.2. Notation intermédiaire des militaires de carrière et des militaires servant en vertu d’un contrat

La notation intermédiaire est régie par l’article R. 4135-8 du code de la défense.

Les modalités relatives à la notation intermédiaire sont fixées par un arrêté du ministre de l’intérieur.

La pratique consistant à attribuer un point supplémentaire dans le cadre de la procédure de notation intermédiaire est à éviter (ou à n’utiliser que de manière exceptionnelle et toujours circonstanciée).

4. Établissement et transmission des feuilles de notes

La notation des militaires de la gendarmerie est établie en un seul exemplaire sur la feuille de notes intégrée dans Agorha, à l’exception des militaires placés en position de détachement.

4.1. Militaires servant dans une formation de gendarmerie

4.1.1. Officiers

Le premier notateur remplit la feuille de notes conformément au guide de notation objet de l’annexe IV.

Après la première communication, la feuille de notes est transmise, successivement, aux autres notateurs. Le notateur juridique adresse l’original de la feuille de notes à l’autorité détentrice du dossier deuxième partie après communication ou pour communication, selon le cas, et insertion dans ce dossier.

4.1.2. Sous-officiers et volontaires dans les armées servant en gendarmerie

Le premier notateur remplit la feuille de notes conformément au guide de notation objet de l’annexe IV.

Après la première communication, la feuille de notes est transmise au notateur juridique qui en garde une copie et adresse l’original à l’autorité détentrice du dossier deuxième partie après communication ou pour communication, selon le cas, et insertion dans ce dossier.

4.2. Militaires stagiaires, placés pour emploi ou déplacés pour une durée égale ou supérieure à deux mois

4.2.1. Stagiaires en école : officiers et sous-officiers

Au cours de leur stage dans une école, les militaires font l’objet d’une appréciation dont la forme et les modalités sont fixées par l’autorité responsable de l’enseignement (commandant des écoles de la gendarmerie nationale pour les stages qui se déroulent dans une école ou un organisme de formation de gendarmerie).

4.2.2. Militaires placés pour emploi hors de leur unité d’affectation, à l’intérieur de la gendarmerie ou servant dans un détachement de circonstance

4.2.2.1. Officiers placés pour emploi hors de leur unité d’affectation, à l’intérieur de la gendarmerie pour une durée égale ou supérieure à deux mois

Les officiers placés pour emploi hors de leur unité d’affectation, à l’intérieur de la gendarmerie, pour une durée égale ou supérieure à deux mois, font l’objet, de la part de l’autorité d’emploi, d’une appréciation de forme libre sur feuille intercalaire, sous réserve que cette autorité soit d’un grade plus élevé que celui des notés et officier supérieur au moins. Cette appréciation est établie d’initiative par l’autorité d’emploi au terme du placement pour emploi ou, en cas de besoin, à la demande de l’autorité notant en dernier ressort.

4.2.2.2. Officiers commandants de groupement opérationnel, groupement tactique gendarmerie, escadron et peloton isolé déplacés dans le cadre du maintien de l’ordre pour une durée supérieure à cinq semaines

L’officier commandant de groupement opérationnel, de groupement tactique gendarmerie (GTG), d’escadron ou de peloton de gendarmerie mobile isolé est apprécié par l’officier titulaire du commandement territorial auprès duquel il est placé, sous réserve que l’autorité portant l’appréciation soit d’un grade et d’une ancienneté plus élevés et officier supérieur au moins. À défaut, cette appréciation, dont la forme n’est pas imposée, est établie par l’officier exerçant le commandement hiérarchiquement supérieur à celui de l’officier titulaire du commandement.

Dans le cadre d’un groupement opérationnel de maintien de l’ordre (GOMO), le commandant du GOMO apprécie les officiers commandants de GTG et d’escadron placés sous ses ordres.

Dans le cas d’un GTG déplacé, le commandant de celui-ci apprécie les officiers commandants d’escadron et de peloton isolé placés sous ses ordres.



4.2.2.3. Officiers servant dans un détachement de circonstance ou placés pour emploi auprès d’une autre autorité pour une durée égale ou supérieure à deux mois

Les officiers servant dans un détachement de circonstance ou placés pour emploi auprès d’une autre autorité, pour une durée égale ou supérieure à deux mois, font l’objet, de la part de l’autorité d’emploi, d’une appréciation de forme libre sur feuille intercalaire. Elle est établie d’initiative par l’autorité d’emploi avant la fin du détachement ou, en cas de besoin, à la demande de l’autorité notant en dernier ressort.

4.2.2.4. Sous-officiers et volontaires placés pour emploi hors de leur unité d’affectation, à l’intérieur de la gendarmerie ou servant dans un détachement de circonstance pour une durée égale ou supérieure à deux mois

Les intéressés font l’objet, de la part de l’autorité d’emploi, d’une appréciation de forme libre sur une feuille intercalaire. Cette appréciation est établie d’initiative par l’autorité d’emploi au terme du placement pour emploi ou du détachement, ou en cas de besoin, à la demande de l’autorité notant en dernier ressort.

4.3. Militaires servant dans un organisme ne relevant pas de la gendarmerie

4.3.1. Officiers

La procédure de notation est déclenchée à l’initiative du notateur juridique (ou à l’initiative de l’organisme d’administration et de gestion si le notateur juridique est une autorité extérieure à la gendarmerie nationale), qui adresse un exemplaire de la feuille de notes (ainsi que, si besoin, un exemplaire de la fiche d’appréciation – annexe VII) et le guide de notation (annexe IV), à l’autorité d’emploi, désignée par l’arrêté précité.

Sauf disposition contraire des arrêtés relatifs aux chaînes de notation, si l’autorité d’emploi est civile ou militaire (forces armées autres que la gendarmerie), les officiers font l’objet d’une appréciation sur l’imprimé no 651.4.042 (annexe VII).

L’ensemble de la notation (feuille de notes et fiche d’appréciation, le cas échéant) est adressé par le dernier notateur aux différentes autorités dans les conditions mentionnées au 4.1.1.

4.3.2. Sous-officiers

La notation est effectuée soit à partir d’un support informatique intégrant la feuille de notes donnée en annexe VI, soit sur une feuille de notes comportant l’identité du personnel à noter, éditée à partir de l’application Agorha, transmise à l’autorité d’emploi par l’organisme de gestion.

Après communication, selon les modalités fixées au 5.2 ci-après, la feuille de notes est adressée à l’autorité de gendarmerie qui administre le sous-officier.

Celle-ci insère une copie de la feuille de notes dans le dossier individuel qu’elle détient et transmet l’original au notateur juridique.

Les notateurs suivants effectuent les opérations prévues au 4.1.2.

4.3.3. Volontaires dans les armées

La notation est effectuée soit à partir d’un support informatique intégrant la feuille de notes donnée en annexe VI, soit sur une feuille de notes comportant l’identité du personnel à noter, éditée à partir de l’application Agorha, transmise à l’autorité d’emploi par l’organisme de gestion.

Après communication, selon les modalités fixées au 5.2 ci-après, la notation est adressée à l’autorité de gendarmerie qui note en dernier ressort le volontaire dans les armées, laquelle effectue les opérations prévues au 4.1.2.

4.4. Militaires placés en position de « détachement »

4.4.1. Officiers

En application de l’article R. 4135-8 du code de la défense, les officiers placés en position de « détachement », en application de l’article L. 4138-8 du code de la défense, sont notés à titre définitif par les autorités dont ils relèvent, selon les règles propres au corps d’accueil (ex. : un militaire détaché au sein de la magistrature est noté selon les règles en vigueur au sein du ministère de la justice).

Après communication, une version numérisée de la feuille de notes est adressée à la direction générale de la gendarmerie nationale, bureau du personnel officier, qui servira l’état-major de l’inspecteur général des armées/gendarmerie. L’original est adressé au détenteur du dossier deuxième partie.

4.4.2. Sous-officiers

En application de l’article R. 4135-8 du code de la défense, les sous-officiers placés en position de « détachement », en application de l’article L. 4138-8 du code de la défense, sont notés à titre définitif par les autorités dont ils relèvent, selon les règles propres au corps d’accueil (ex. : un militaire détaché au sein de l’éducation nationale est noté selon les règles en vigueur au sein de ce ministère).



Après communication, la feuille de notes est adressée au commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN), avant le 1er août, en ce qui concerne les sous-officiers candidats à l’avancement, et avant le 1er janvier de l’année suivante en ce qui concerne les autres sous-officiers. Le COMSOPGN met à jour les dossiers individuels.

4.5. Élèves-officiers et officiers-élèves, élèves sous-officiers et élèves volontaires dans les armées servant en gendarmerie

4.5.1. Élèves-officiers et officiers-élèves

Les élèves-officiers et officiers-élèves de l’école des officiers de la gendarmerie nationale sont notés sur la feuille de notes dont le modèle est donné en annexe VI.

4.5.2. Élèves sous-officiers

4.5.2.1. Élèves gendarmes

Les élèves-gendarmes sont notés sur la feuille de notes dont le modèle est donné en annexe VI.

Cette notation est adressée à l’autorité sous les ordres de laquelle sont placés ces sous-officiers à l’issue de leur période de formation en école. Toutefois, il n’y a pas corrélation automatique entre notation effectuée en école et première notation en unité.

4.5.2.2. Élèves sous-officiers du CSTAGN

Les élèves sous-officiers du CSTAGN sont notés sur la feuille de notes dont le modèle est donné en annexe VI.

Cette notation est adressée à l’autorité sous les ordres de laquelle sont placés ces sous-officiers à l’issue de leur période de formation en école. Toutefois, il n’y a pas corrélation automatique entre notation effectuée en école et première notation en unité.

4.5.3. Élèves volontaires (gendarmes adjoints et aspirants de gendarmerie issus du volontariat)

Ne réunissant pas la condition de durée d’activité définie au 3.1 pour faire l’objet d’une notation, les élèves-volontaires font l’objet d’une appréciation spécifique qualifiée, au sein de la présente instruction pour des raisons pratiques, de « notation ».

Cette notation est effectuée sur la feuille de notes dont le modèle est donné en annexe VI.

Cette notation est adressée à l’autorité sous les ordres de laquelle sont placés les élèves-volontaires à l’issue de leur période de formation en école. Toutefois, il n’y a pas corrélation entre notation effectuée en école et première notation en unité.

4.6. Évaluation par le préfet

En application des dispositions de l’article 31 du décret du 29 avril 2004 3, font l’objet, de la part du préfet, du préfet de police ou du haut-commissaire de la République de leur lieu d’affectation, d’une évaluation comportant une appréciation générale circonstanciée, ainsi qu’une note chiffrée dans les domaines de l’ordre public et de la police administrative :

– les commandants de région, commandants du groupement chef lieu d’implantation de la région de gendarmerie ; – les commandants adjoints de région de gendarmerie, commandants du groupement de gendarmerie départemen-tale ayant le statut de formation administrative ;

– les commandants territoriaux de la gendarmerie outre-mer (COMGEND) ; – les commandants de groupement de gendarmerie départementale.

Cette évaluation est prise en compte dans la notation annuelle du militaire. Elle est réalisée selon les modalités définies par la circulaire no IOCJ1023335C du 27 septembre 2010 du ministre de l’intérieur.

4.7. Cas particulier des militaires dont les chaînes de notation ne peuvent être mises en œuvre dans le système d’information Agorha

Pour ces personnels, la notation doit être effectuée soit hors périmètre Agorha, soit en téléchargeant, via le portail « notation » dans Agorha, l’imprimé de la feuille de notes correspondant, à l’identique de la procédure mise en œuvre pour les notateurs ne disposant pas de l’intranet-gendarmerie.

3 Décret no 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et départements.



5. Communication de la notation

5.1. Principes

Les militaires notés à un seul degré reçoivent communication de leurs notes et appréciations annuelles par leur notateur juridique lors de l’entretien prévu à l’article R. 4135-6 du code de la défense.

Pour tous les autres militaires, leur notation est communiquée à deux reprises : – une première fois, lors de l’entretien avec le premier notateur ; – une seconde fois, lorsqu’elle a été définitivement arrêtée par le notateur juridique.

La dernière communication des notes concerne tous les militaires, même lorsque les notes initialement communiquées n’ont pas été modifiées. Elle intervient, en tout état de cause, avant le 1er octobre pour les officiers et sous-officiers de gendarmerie et, avant le terme normal du contrat, pour les volontaires dans les armées.

Si, pour une raison de force majeure, les notes ne peuvent être communiquées en temps voulu (première ou dernière communication), une mention provisoire doit en être portée sur la feuille de notes par le premier notateur, qui effectue la communication dès que les circonstances le permettent.

5.2. Procédure

5.2.1. Première communication des notes

Le premier notateur communique personnellement ses appréciations. Préalablement à l’entretien et au moins une heure avant celui-ci, il remet à l’intéressé sa feuille de notes, puis il le reçoit afin de dresser le bilan de la période écoulée depuis la précédente notation.

En fin d’entretien, le militaire émarge la feuille de notes.Ce document est conservé dans le « dossier deuxième partie » de l’intéressé. À compter de cet entretien, dans

un délai de huit jours francs, le militaire peut porter ses observations sur le formulaire de notation. Les modalités pratiques relatives à l’exercice de ce droit sont précisées dans le guide de la notation, en annexe IV de la présente instruction.

Dans l’hypothèse où, en raison de circonstances particulières, l’entretien personnel est matériellement impossible (mutation ou déplacement de longue durée du militaire noté, par exemple), la première communication peut être faite par voie postale sous enveloppe nominative cachetée (envoi en recommandé avec accusé de réception).

Le notateur s’entretient avec le noté si cela devient possible.

5.2.2. Dernière communication des notes

5.2.2.1. Cas général

Après avoir arrêté la notation, le notateur juridique la communique ou la fait communiquer sans retard par le notateur au premier degré.

Dès réception, le notateur au premier degré communique cette notation définitive soit au cours d’un entretien, soit par courrier (sous enveloppe nominative cachetée) ou via la messagerie électronique interpersonnelle au militaire concerné.

Après en avoir pris connaissance, le militaire complète, apporte ses remarques éventuelles et signe la rubrique prévue à cet effet, concernant la communication de la notation définitive.

Le notateur au premier degré, lorsqu’il est détenteur du dossier deuxième partie, conserve l’original de la notation qu’il insère dans ledit dossier et adresse, s’il y a lieu, des copies aux différents destinataires prévus aux 4.1, 4.2, et 4.3.

5.2.2.2. Concernant les officiers proposables

Compte tenu de la dispersion des officiers et afin de permettre à l’administration centrale de s’assurer que le droit à la communication de la notation a été respecté dans le délai prescrit, le notateur juridique adresse à l’officier noté, sous enveloppe cachetée, un exemplaire de sa notation.

L’officier noté complète et signe la rubrique prévue à cet effet puis renvoie la notation au notateur juridique, qui la transmet à la direction générale de la gendarmerie nationale (direction des personnels militaires de la gendarmerie nationale, sous-direction de la gestion du personnel, bureau du personnel officier) pour insertion dans le dossier d’archives de l’intéressé.

Ces mesures ne dispensent pas le notateur juridique de faire procéder à la communication de la notation (conformément aux dispositions fixées au 5.2.2.1), sous réserve qu’il n’ait pas procédé personnellement à la communication des notes.

5.2.3. Communication d’une appréciation

Lorsque le stage, placement pour emploi, déplacement, ou affectation, a donné lieu à l’établissement d’une appréciation, celle-ci est communiquée à l’intéressé en principe avant la fin de la période d’observation.



5.2.4. Communication de la notation aux militaires de réserve

La communication de la notation des militaires de réserve intervient lors de l’entretien prévu à l’article R. 4135-6 du code de la défense, et selon les modalités fixées au 5.2.1 de la présente instruction.

Toutefois, en fin d’entretien, le militaire de réserve émarge sa feuille de notes, qui est conservée par le notateur juridique.

Au terme du délai de 8 jours francs, prévu à l’article R. 4135-6 du code de la défense, le notateur juridique adresse l’original de la notation à la région de gendarmerie d’affectation, pour classement au dossier deuxième partie, et en conserve une copie.

5.3. Délivrance d’une copie de la feuille de notes

Lors de la première communication de leur notation, à l’issue de l’entretien avec le notateur premier degré, ainsi que lors de la communication de leur notation annuelle définitive, les militaires notés reçoivent une copie de leur feuille de notes.

Les éventuelles demandes de modification des chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale doivent parvenir, par la voie hiérarchique, à la sous-direction de la politique des ressources humaines (SDPRH) – bureau de la réglementation et de la fonction militaire (BRFM) avant le 1er octobre de chaque année, pour la campagne de notation de l’année suivante.

La présente instruction, qui abroge l’instruction no 3800 du 16 janvier 2015 relative à la notation en 2015 des militaires de la gendarmerie nationale, sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

ait leF 20 janvier 2016.

Pour le ministre et par délégation : Le général de corps d’armée, directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, P. Mazy



A N N E X E I

CRITÈRES RELATIFS AUX OFFICIERS

QuALITÉS MILITAIRES et physiques

QuALITÉS ET APTITuDES personnelles

QuALITÉS professionnelles

QuALITÉS de commandement et de management

Présentation

Condition physique

Acceptation des contraintes

Esprit de discipline

Aisance relationnelle

Culture

Équilibre et maîtrise de soi

Qualité d’expression

Intelligence des situations

Loyauté

Vivacité et ouverture d’esprit

Sens de l’organisation

Sens du service public

Faculté d’adaptation

Puissance de travail

Valeur morale

Jugement

Qualités pédagogiques

Capacité d’apprentissage

Compétences linguistiques

Capacité d’analyse

Capacité d’innovation

Capacité de planification

Capacité de synthèse

Conscience professionnelle

Connaissances professionnelles

Courage intellectuel

Goût des responsabilités

Volonté et implication

Réactivité

Disponibilité

Souci du facteur humain

Capacité de pilotage

Ascendant

Autorité

Capacité de décision

Capacité d’anticipation

Capacité de délégation

Animation du dialogue interne

Aptitude à travailler en équipe

Pouvoir de conviction

Rayonnement

Conduite du changement



A N N E X E I I

CRITÈRES RELATIFS AUX SOUS-OFFICIERS DE GENDARMERIE





Présentation

Condition physique



Souci du compte rendu


Ouverture d’esprit

Inventivité

Esprit d’initiative

Jugement

Maîtrise de soi et équilibre

Capacité de remise en cause

Savoir-vivre


Dynamisme et volonté



Expression écrite

Expression orale


Qualité du travail

Rapidité dans l’exécution

Respect des délais

Compétences techniques


Souci du perfectionnement

Esprit d’équipe


Sens de l’accueil



Conduite devant l’action


Esprit de décision


Capacité à gérer les priorités

Disponibilité

Adhésion


Ascendant

Autorité

Sens du dialogue


Capacité de négociation

Capacité d’écoute

Pouvoir de conviction



Capacité de délégation et de contrôle



CRITÈRES RELATIFS AUX SOUS-OFFICIERS DU CORPS DE SOUTIEN TECHNIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA GENDARMERIE NATIONALE





Présentation

Condition physique






Inventivité


Jugement


Capacité de remise en cause

Savoir-vivre





Expression écrite

Expression orale


Qualité du travail

Rapidité dans l’exécution

Respect des délais



Souci de perfectionnement

Esprit d’équipe


Sens de l’accueil




Esprit de décision



Disponibilité

Adhésion


Ascendant

Autorité

Sens du dialogue




Capacité de délégation et de contrôle



A N N E X E I I I

CRITÈRES RELATIFS AUX VOLONTAIRES DANS LES ARMÉES EN SERVICE AU SEIN DE LA GENDARMERIE NATIONALE (AGIV ET GAV) ET MILITAIRES DU RANG DE RÉSERVE





Présentation

Condition physique






Jugement


Savoir-vivre



Expression écrite

Expression orale

Ardeur au travail

Qualité du travail


Esprit d’équipe


Sens de l’accueil

Conduite devant l’action



Disponibilité

Adhésion


Ascendant

Autorité

Capacité d’écoute



A N N E X E I V

GUIDE DE NOTATION

1. Opérations à réaliser

Le travail de notation comporte deux opérations.

1.1. Appréciation des principales qualités manifestées durant la période d’observation

Elle fait appel à une bonne observation nécessitant : – de l’objectivité ; – du courage intellectuel ; – une réelle capacité de mise en perspective des faits et du comportement d’ensemble du militaire.

Pour mémoire, il convient : – de ne pas prendre en compte des faits ayant eu lieu hors période d’observation ; – de ne pas faire état de faits relatifs à la vie privée n’ayant pas eu de conséquences sur la vie professionnelle ; – de ne pas faire état de faits relatifs à l’état de santé ou à la parentalité (congé maternité, etc.) ; – d’apprécier le comportement du militaire durant la totalité de la période d’observation, pour éviter toute cris-tallisation sur un fait isolé.

1.2. Détermination du niveau de note

Contribuant à situer les militaires les uns par rapport aux autres au sein d’un même grade, le niveau de note tient compte de tous les éléments dont dispose le notateur (évaluation des principales qualités manifestées durant la période d’observation, réussite dans l’emploi, capacités à occuper un emploi de niveau supérieur, avis recueillis, etc.).

Il importe de rechercher la cohérence entre les différents éléments qui constituent la notation, énoncés à l’alinéa précédent.

Il est rappelé que les notations des premiers degrés constituent uniquement des actes préparatoires à la notation arrêtée par le dernier degré, laquelle constitue une décision faisant grief.

1.2.1. Plages de notes

Les niveaux susceptibles d’être attribués doivent se situer entre les plages de notes suivantes :

Officiers généraux : 1 à 10 pour les officiers généraux.

Autres officiers :

1 à 6 pour les élèves officiers et officiers élèves ;

1 à 10 pour les sous-lieutenants et les lieutenants ;

4 à 13 pour les capitaines ;

7 à 16 pour les chefs d’escadron (ou commandant du CTA de la gendarmerie) ;

9 à 18 pour les lieutenants-colonels ;

11 à 20 pour les colonels.

À l’entrée dans le grade de lieutenant, les officiers qui réussissent à s’adapter à leur nouveau milieu sont normalement appréciés au niveau 5 ou 6. Il convient de rappeler qu’il ne doit pas y avoir de corrélation directe entre le niveau de la note attribuée en école de formation et la première notation en unité. En effet, le niveau de note attribué en école de formation ne constitue pas la référence chiffrée de la première notation en unité.

Sous-officiers :

1 à 5 pour les élèves sous-officiers ;

1 à 10 pour les gendarmes (ou maréchaux des logis du CSTAGN) ;

4 à 13 pour les maréchaux des logis-chefs ;

7 à 16 pour les adjudants ;

9 à 18 pour les adjudants-chefs ;

11 à 20 pour les majors.

À l’entrée dans les grades de gendarme et de maréchal des logis du CSTAGN, les personnels qui réussissent à s’adapter à leur nouveau milieu sont normalement appréciés au niveau 4. Toute directive locale dérogeant à ce



principe serait irrégulière. De même, il convient de rappeler qu’il ne doit pas y avoir de corrélation directe entre le niveau de la note attribuée en école de formation et la première notation en unité pour le grade de gendarme, ou de maréchal des logis du CSTAGN.

S’agissant de la notation d’un gardien de la paix détaché au sein de la gendarmerie nationale, ce personnel ne doit pas être considéré comme un jeune gendarme sortant d’école, en raison notamment de son ancienneté de service dans la police nationale.

Il convient donc d’analyser la situation de ce personnel par rapport aux autres gendarmes de l’unité ou du groupement ayant approximativement la même ancienneté de service et, par conséquent, de lui attribuer le même niveau de notation, sous réserve que ce militaire donne satisfaction dans son emploi.

Militaires du rang : 1 à 4 pour les brigadiers-chefs du CSTAGN.

Volontaires dans les armées :

1 à 3 pour les élèves volontaires ;

1 à 6 pour les volontaires affectés en unités.

Les niveaux de notes susceptibles d’être attribués correspondent :

Pour les élèves volontaires : 1 = Faible, 2 = Moyen, 3 = Bon.

Pour les volontaires affectés en unités : 1 = Mauvais, 2 = Faible, 3 = Bon, 4 = Très bon, 5 = Excellent, 6 = Remarquable.

À titre indicatif, un volontaire dans les armées noté pour la première fois et qui réussit à s’adapter à son nouveau milieu est normalement apprécié au niveau 3 - Bon. Toute directive locale dérogeant à ce principe serait irrégulière. Il convient de rappeler qu’il ne doit pas y avoir de corrélation directe entre le niveau de la note attribuée en école de formation et la première notation en unité pour le grade d’aspirant de gendarmerie issu du volontariat, ou de deuxième classe.

L’accès aux niveaux de notes terminaux, définis au point 2.2 de l’annexe V, devrait revêtir un caractère exceptionnel.

1.2.2. Taux de progression

Cf. annexe V.

1.2.3. Évolution du niveau de note

La hausse de plus de 2 points du niveau de note n’est pas admise. Celle de 2 points doit, quant à elle, demeurer exceptionnelle.

La baisse du niveau de note résulte de l’attribution d’un niveau de note inférieur à celui attribué pour la période de notation précédente par le notateur du même degré. La baisse de plus de 3 points est à proscrire et celle de 3 points doit demeurer exceptionnelle.

Une promotion de grade ou un changement de notateur ne peuvent justifier à eux seuls l’abaissement du niveau de note.

Toute évolution du niveau de note, quels qu’en soient les motifs et à quelque niveau qu’elle se situe, donne lieu impérativement à des appréciations littérales circonstanciées.

Le notateur en dernier ressort, disposant de populations de référence plus importantes, est en mesure d’effectuer les réajustements nécessaires pour que l’évolution des niveaux de notes se fasse dans le cadre des taux de progression. Il pourra attribuer, si nécessaire, un niveau de note différent par rapport aux propositions de variations formulées par les autres notateurs.

Cependant, cette procédure ne doit pas présenter un caractère rigide et limiter la possibilité des notateurs des degrés subordonnés d’utiliser les plages de notes à leur disposition.

2. Directives particulières pour la rédaction des feuilles de notes

La rédaction des feuilles de notes est réalisée à l’aide de l’outil informatique Agorha 1.

2.1. Proposition de notation

2.1.1. Rubrique « Engagement dans l’emploi » et « Exercice des responsabilités »

Le notateur indique jusqu’à 4 « points forts » et 4 « points à améliorer ». Ces critères sont définis aux annexes I, II et III. Ces critères permettent de s’assurer de l’adéquation « profil personnel/profil emploi ».

Dans le bandeau, le notateur explicitera les critères sélectionnés, notamment ceux de la catégorie « points à améliorer ».

1 Sauf notation effectuée hors périmètre.



Par ailleurs, la notion d’engagement est essentielle dans l’appréciation du mérite. Aussi doit-elle faire l’objet d’une attention particulière dans la notation annuelle. La notion d’exercice des responsabilités permet d’apprécier l’efficacité et la performance, le cas échéant sous l’angle des résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés (notamment pour les échelons de responsabilités élevées).

Le contenu de ce bandeau est déterminant pour l’appréciation des rubriques « réussite dans l’emploi » et « capacités à occuper un emploi de niveau supérieur ».

2.1.2. Rubrique « Variation du niveau de note »

Le notateur remplit cette rubrique en proposant une variation ou stabilité du niveau de note. Ainsi : – pour une variation positive : le notateur remplit le champ avec « + 1 », « + 2 »,... – pour une variation négative : le notateur remplit le champ avec « – 1 », « – 2 »,... – pour une stabilité du niveau de note : le notateur remplit le champ avec « 0 ».

Si le militaire a déjà atteint la note maximale autorisée pour sa plage de grade, le notateur remplit le champ avec « NM » correspondant à « note maximale ».

S’agissant des militaires notés pour la première fois, le notateur au premier degré remplit le champ avec « PN » correspondant à « première notation », sans indiquer de niveau de note.

2.1.3. Rubrique « Communication de la proposition de notation portée par le premier degré »

À l’issue de l’entretien avec le notateur au premier degré, la communication de la notation est matérialisée dans le bandeau prévu à cet effet. Le militaire noté dispose alors de la faculté de porter ses observations sur le formulaire lui-même. Trois situations sont susceptibles d’être rencontrées.

2.1.3.1. À l’issue de l’entretien, le noté n’a aucune observation à formuler

Le noté appose alors sa signature dans le bandeau prévu à cet effet, précédée de la mention « Pris connaissance le... ».

2.1.3.2. À l’issue de l’entretien, le noté souhaite formuler des observations

Après la mention de prise de connaissance (cf. alinéa précédent), le noté porte ses observations dans le bandeau de communication de la proposition de notation, puis appose sa signature. Dans l’hypothèse exceptionnelle où l’espace du bandeau de communication se révélerait insuffisant, les observations peuvent être portées sur un document annexé à la feuille de notes.

L’annexe doit être datée et signée par le noté et le notateur. La mention suivante est alors apposée par le noté dans le bandeau de communication de la notation au premier degré : « Observations formulées sur le document annexé à la présente feuille de notes ».

2.1.3.3. Dans le délai de huit jours francs à compter de l’entretien, le militaire noté, qui n’avait pas souhaité formuler d’observations à l’issue de l’entretien, change d’avis et demande à exercer son droit

Dans cette hypothèse exceptionnelle, le noté adresse par écrit au notateur au premier degré les observations qu’il souhaite porter sur sa notation. Celles-ci doivent impérativement parvenir au notateur au premier degré (ou notateur unique) dans le délai de huit jours francs à compter de l’entretien.À la réception du document, le notateur au premier degré (ou notateur unique) :

– procède à son enregistrement sur le registre « 3C » de l’unité ; – établit un bordereau d’envoi à l’attention du notateur au second degré et l’enregistre sur le registre « 4 » ; – inscrit dans le bandeau de la feuille de notes correspondant à la communication au premier degré la mention suivante : « OBSERVATIONS : nº .../4 du ../../.. » ;

– adresse l’original du document comportant les observations du noté et le bordereau d’envoi au notateur au second ou dernier degré selon le cas, en même temps que la feuille de notes ;

– insère une copie du bordereau d’envoi et du document comportant les observations dans le « dossier du per-sonnel, constituant la deuxième partie du dossier général » de l’intéressé, sous-dossier numéro 1 « feuilles de notes », avec la notation au premier degré (ou la notation unique) à laquelle s’adressent les observations.

2.2. Notation

2.2.1. Rubrique « Principales qualités manifestées » et « Engagement dans l’emploi et exercice des responsabilités »

Les dispositions relatives aux « Principales qualités manifestées » et à l’« Engagement dans l’emploi et exercice des responsabilités » sont applicables au notateur juridique.

2.2.2. Suppression de la rubrique « Potentiel »

La rubrique « Potentiel » est supprimée de la feuille de notes à compter du 1er janvier 2016.



Dès lors, pour les militaires appelés à quitter le service actif, il ne sera plus attribué de potentiel dans la réserve.

2.2.3. Rubrique « Niveau de note »

Le notateur juridique arrête la note chiffrée.

2.2.4. Communication de la notation en dernier ressort

Cette notification est effectuée à l’aide du bandeau prévu à cet effet, en bas de la feuille de notes, selon les modalités définies au 5.2.2.

2.2.5. Possibilité pour le militaire noté d’être reçu par son notateur juridique

Après avoir pris connaissance de sa notation définitive, le militaire noté peut demander à être reçu par le notateur juridique qui doit, sauf circonstances particulières, recevoir l’intéressé dans un délai inférieur à 10 jours et en rendre compte à son supérieur hiérarchique.

Cette demande n’interrompt pas le délai de recours auprès de la commission instituée par l’article R. 4125-1 du code de la défense.

2.2.6. Possibilité pour le militaire noté de former un recours hiérarchique à l’encontre de sa notation juridique

Sans préjudice de la procédure de saisine de la commission des recours des militaires (CRM), prévue par l’article R. 4135-7 du code de la défense, la décision de notation arrêtée par le notateur juridique peut faire l’objet d’un recours hiérarchique de droit commun (proposition de modèle en annexe IX) auprès soit :

– de l’autorité immédiatement supérieure au notateur juridique dont relève le militaire concerné ; – du directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale pour le militaire noté au niveau juridique par un commandant de formation administrative ou une autorité extérieure à la gendarmerie nationale.

L’autorité saisie du recours hiérarchique peut, le cas échéant, réformer la décision de notation prise par le notateur juridique, en la remplaçant par une nouvelle décision de notation qu’il aura établie soit par le processus hors périmètre Agorha, soit en téléchargeant, via le portail « notation » dans Agorha, l’imprimé de la feuille de notes correspondant.

Sauf circonstances particulières, la décision rendue par l’autorité hiérarchique réformant ou non la notation juridique doit intervenir dans un délai compatible avec une éventuelle saisine de la CRM par le militaire concerné.

Cette procédure du recours hiérarchique n’interrompt pas le délai de recours auprès de la CRM.

2.2.7. Refus par le militaire d’émarger sa feuille de notes

Si le militaire refuse d’émarger sa feuille de notes, une mention en est portée sur celle-ci par l’autorité compétente, soit le premier notateur en ce qui concerne la communication de sa propre notation, soit le dernier notateur ou l’autorité désignée par lui en ce qui concerne l’ensemble de la notation annuelle.

En outre, lorsque le refus est opposé à l’égard de la notation définitive, l’autorité compétente informe le militaire des délais et voies de recours et établit un procès-verbal de carence rapportant les faits selon le modèle prévu à l’annexe VIII.

3. Transmission de la notation

3.1. Concernant les officiers

La notation se faisant à un ou plusieurs degré(s), sa transmission s’effectue de la façon suivante : – le cas échéant, saisie de la notation 1er degré sur le masque de saisie « notation » via Agorha ; – impression de la feuille de notes ; – signature du notateur 1er degré et émargement du noté ; – transmission, le cas échéant, vers le notateur 2e degré via Agorha ; – saisie de la notation au 2e degré et transmission vers le notateur juridique ; – saisie de la notation juridique via Agorha ; – impression de la feuille de notes (qui comporte alors l’ensemble de la notation 1er, 2e degrés et notateur juri-dique) ;

– retour sous forme papier de l’ensemble de la notation annuelle vers l’intéressé pour émargement ; – remise d’une copie au militaire après émargement ; – retour de cette notation annuelle « émargée » vers les différentes autorités pour insertion de la notation (originale et copies) dans le dossier individuel du militaire aux différents échelons.

Dans l’hypothèse où le militaire est noté à un seul et unique degré, la notation est effectuée sur la page 2 de la feuille de notes.



3.2. Appréciation réalisée par une autorité civile ne dépendant pas du ministère de l’intérieur ou du ministère de la défense

L’autorité civile remplit la fiche d’appréciation (imprimé no 651.4.042 - annexe VII), l’imprime puis la communique à l’officier concerné. À l’issue, le document est transmis au notateur 1er degré (ou au notateur unique).

Les échelons supérieurs remplissent la feuille de notes. Le notateur juridique arrête la notation puis il communique, ou fait communiquer, l’ensemble de la notation à l’officier concerné qui émarge sa feuille de notes. L’ensemble de la notation (originale et copie si nécessaire) est ensuite transmis vers les différentes autorités pour insertion dans le dossier individuel de l’officier.

3.3. Concernant la notation des sous-officiers et des volontaires dans les armées

La notation se faisant à un ou plusieurs degrés, sa transmission s’effectue de la façon suivante : – le cas échéant, saisie de la notation 1er degré sur le masque de saisie « notation » via Agorha ; – impression de la feuille de notes ; – signature du notateur 1er degré et émargement du noté ; – transmission vers le notateur juridique via Agorha ; – saisie de la notation juridique ; – impression de la feuille de notes (qui comporte alors l’ensemble de la notation 1er degré et notateur juridique) ; – retour sous la forme papier de l’ensemble de la notation annuelle vers l’intéressé pour émargement ; – remise d’une copie au militaire après émargement ; – retour de cette notation annuelle « émargée » vers les différentes autorités pour insertion de la notation (originale et copies) dans le dossier individuel du militaire aux différents échelons.

3.4. Concernant la notation des militaires de réserve

La notation se faisant à un degré, sa transmission s’effectue de la façon suivante : – saisie de la notation juridique sur le masque de saisie « notation » via Agorha ; – impression de la feuille de notes ; – signature du notateur juridique et émargement du noté ; – remise d’une copie au militaire après émargement ; – retour de cette notation annuelle « émargée » vers les différentes autorités pour insertion de la notation (originale et copies) dans le dossier individuel du militaire aux différents échelons.

4. La fiche individuelle de parcours de carrièreLe militaire (officier ou sous-officier) qui le désire remplit la fiche individuelle de parcours de carrière (FIPC) à

partir de l’onglet « mon dossier » dans le portail Agorha. Le premier notateur (ou le notateur unique) exploite le document à l’occasion de l’établissement de la notation.

Pour rappel, la fiche bilan personnel a été supprimée.



A N N E X E V

TAUX DE PROGRESSION

1. Les taux de progression prescrits en 2016Les taux de progression prescrits en 2016 sont les suivants :

Officiers de gendarmerie

Colonel

Lieutenant-colonel

Chef d’escadron/Commandant

Capitaine

Lieutenant

30 p. 100

35 p. 100

45 p. 100

45 p. 100

45 p. 100

Sous-officiers de gendarmerie

Major

Adjudant-chef

Adjudant

Maréchal des logis-chef

45 p. 100

40 p. 100

35 p. 100

45 p. 100

Sous-officiers du CSTAGN

Major

Adjudant-chef

Adjudant


Maréchal des logis

30 p. 100

30 p. 100

40 p. 100

45 p. 100

45 p. 100

Le volume de la population des officiers du CTAGN ne justifie pas l’application d’un taux de progression. Toutefois, afin d’éviter toute tendance inflationniste des niveaux de notes, les notateurs juridiques devront se référer aux taux de progression appliqués aux officiers de gendarmerie pour l’attribution des points aux officiers du CTAGN.

2. Détermination des crédits de points

2.1. L’assiette de calcul de points

Le crédit de points disponible, par corps et par grade, est calculé sur la base de l’effectif réalisé, au 31 décembre 2015, duquel sont soustraits :

– les personnels ayant déjà atteint les niveaux de note terminaux de leur grade ; – les militaires notés pour la première fois en gendarmerie, ou dans leur corps d’appartenance, à l’issue de leur formation en école (par exemple, en gendarmerie départementale, un lieutenant noté pour la première fois en tant que commandant d’une communauté de brigades).



CORPS d’appartenance ASSIETTES DE CALCuL DE POINTS

Officiers de gendarmerie (OG)


L’effectif réalisé correspond, par corps et par grade, au nombre d’OG ou de sous-officiers du CSTAGN rattachés organiquement et fonctionnellement aux unités listées ci-dessous :

- le commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN) ;- l’école des officiers de la gendarmerie nationale ;- les écoles de gendarmerie ;- le centre national d’entraînement des forces de gendarmerie ;- le commandement de la gendarmerie outre-mer (CGOM) ;- les commandements territoriaux de la gendarmerie outre-mer (COMGEND) ;- la garde républicaine (GR) ;- les gendarmeries spécialisées (GMAR, GAIR, GTA, GARM, GSAN) ;- le commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN) ;- le commandement des formations aériennes de la gendarmerie nationale (CFAGN) ;- le groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) ;- le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN) ;- l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) ;- la région de gendarmerie (RG) Ile-de-France ;- la RG Bretagne ;- la RG Centre-Val de Loire ;- la RG Corse ;- la RG Pays de la Loire ;- la RG Provence-Alpes-Côte d’Azur ;- l’ensemble des formations de gendarmerie départementale placées sous l’autorité d’un commandant adjoint de région (CAR),

commandant du groupement de gendarmerie départementale (GGD) ayant le statut de formation administrative (1) ;- l’ensemble des formations de gendarmerie départementale placées sous l’autorité d’un commandant de région de gendarmerie,

à l’exclusion de celles placées sous l’autorité d’un CAR, commandant du GGD ayant le statut de formation administrative (2) ;- l’ensemble des formations de gendarmerie mobile placées sous l’autorité du commandant de région de gendarmerie située

au siège de la zone de défense et de sécurité.Pour la DGGN (3), l’effectif réali.sé correspond au nombre d’OG ou de sous-officiers du CSTAGN rattachés organiquement et

fonctionnellement au directeur ou chef de service (ou autorité assimilée).Pour les militaires dont le rattachement n’est pas prévu ci-dessus, l’effectif réalisé correspond au nombre de militaires pris en

compte par leur notateur juridique.

Sous-officiers de gendarmerie (SOG)

- L’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et fonctionnellement aux commandants de groupement ou assimilé.

- Pour les états-majors de RG et les états-majors de GGD ayant le statut de formation administrative, l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et fonctionnellement aux commandants de RG ou aux commandants adjoint de RG, commandant de GGD, en fonction de l’affectation du militaire.

- Pour l’outre-mer, l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et fonctionnellement aux COMGEND.- Pour le CGOM (à l’exclusion des COMGEND), l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et

fonctionnellement au CGOM.- Pour le CEGN (à l’exclusion des écoles et centres de formation), l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés

organiquement et fonctionnellement au CEGN.- Pour les écoles ou centres de formation, l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et

fonctionnellement aux commandants d’école ou de centre.- Pour la GR (à l’exclusion des régiments), l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et

fonctionnellement au commandant de la GR.- Pour les gendarmeries spécialisées, le COMSOPGN, le CFAGN, le GIGN, le PJGN, l’effectif réalisé correspond au nombre de

SOG rattachés organiquement et fonctionnellement au commandant de la formation administrative.- Pour la DGGN (3), l’effectif réalisé correspond au nombre de SOG rattachés organiquement et fonctionnellement au directeur

ou chef de service (ou autorité assimilée).- Pour les militaires dont le rattachement n’est pas prévu ci-dessus, l’effectif réalisé correspond au nombre de militaires pris

en compte par leur notateur juridique.

(1) Par exemple, pour l’ancienne RG de Basse-Normandie : ensemble des formations de gendarmerie départementale placées sous l’autorité du CAR, commandant du GGD ayant le statut de formation administrative du Calvados à Caen.

(2) Par exemple, pour l’ancienne RG de Haute-Normandie : ensemble des formations de gendarmerie départementale placées sous l’autorité du commandant de région de gendarmerie de Normandie, à l’exclusion de celles placées sous l’autorité du CAR, commandant du GGD ayant le statut de formation administrative du Calvados à Caen.

(3) Pour les militaires affectés au cabinet du directeur général de la gendarmerie nationale, lire le chef de cabinet du directeur général.



2.2. Les niveaux de notes terminaux

Les niveaux de notes terminaux de chaque grade sont les suivants :

Officiers de la gendarmerie nationale

Pour les colonels

Pour les lieutenants-colonels

Pour les chefs d’escadron/commandants

Pour les capitaines

Pour les lieutenants

20

18

16

13

9 - 10

Sous-officiers de gendarmerie

Pour les majors

Pour les adjudants-chefs

Pour les adjudants

Pour les maréchaux des logis-chefs

20

18

16

13


Pour les majors

Pour les adjudants-chefs

Pour les adjudants

Pour les maréchaux des logis-chefs

Pour les maréchaux des logis

20

18

16

13

9 - 10

2.3. Exemple de calcul de points à distribuer

Si l’effectif réalisé des maréchaux des logis-chefs (SOG) d’une formation est de 255 et que 35 de ces gradés ont déjà atteint le niveau 13, le volume à prendre en compte est de 220.

À ce volume, il convient d’appliquer le taux de progression de 45 % pour ce grade, afin d’en déduire le nombre de points maximum pouvant être distribué.

Dans le cas considéré, ce nombre de points est de : (255-35) x 45 % = 99 points.

Quand l’application du taux de progression ne donne pas un chiffre entier, il convient de l’arrondir à l’entier le plus proche (3,2 à 3 ; 3,8 à 4).

2.4. Les reports de points

Sont interdites les pratiques visant à reporter d’éventuels crédits de points non utilisés : – d’un grade à un autre ; – d’un corps à un autre ; – d’une année sur l’autre.

2.5. Les retraits de points

La redistribution de points retirés à des militaires est envisageable.

Pour reprendre l’exemple cité supra, sur l’effectif réalisé de maréchaux des logis-chefs (SOG), si le nombre de points à distribuer est de 99 et qu’un MDC (SOG) se voit noté « – 1 » lors de sa notation annuelle, alors le crédit de points distribuables aux MDC (SOG) s’établit à 100 pour l’année considérée.

3. Utilisation du seuil minimum des taux de progression

Les taux de progression doivent impérativement être respectés.

Toutefois, une tolérance pour chacun des grades est autorisée, dès lors que les points attribués se situent dans les fourchettes ci-dessous :

Officiers de gendarmerie (OG)

Colonel

Lieutenant-colonel

Chef d’escadron

Capitaine

Lieutenant

[25 % - 30 %]

[30 % - 35 %]

[40 % - 45 %]

[40 % - 45 %]

[40 % - 45 %]


Major

Adjudant-chef

Adjudant


[40 % - 45 %]

[35 % - 40 %]

[30 % - 35 %]

[40 % - 45 %]




Major

Adjudant-chef

Adjudant


Maréchal des logis

[25 % - 30 %]

[25 % - 30 %]

[35 % - 40 %]

[40 % - 45 %]

[40 % - 45 %]

4. Dépassement des taux de progressionIl ne peut être dérogé aux taux de progression, sauf dans les situations suivantes, après acceptation de la demande

de dérogation rédigée selon le modèle ci-dessous : – les formations où les effectifs, dans un même grade, sont très faibles. L’augmentation du niveau de note résulte alors d’une observation favorable sur plusieurs années ;

– les formations où les personnels font l’objet d’une sélection particulièrement exigeante au niveau des aptitudes professionnelles.

Il importe de souligner que le non-respect des taux de progression, d’une part, nuit à l’équité de traitement entre les personnels et, d’autre part, risque à terme de mettre en cause la pérennité du système de notation.

CORPS d’appartenance

AuTORITÉS HABILITÉES À ACCORDER uNE DÉROGATION POuR ATTRIBuTION DE POINTS et exerçant la fonction de contrôle de la notation au sein de leur formation


CAS GÉNÉRAL : Les autorités désignées dans le tableau relatif à l’assiette de calcul de points formulent une demande de dérogation motivée à la DGGN/DPMGN/SDPRH/Bureau de l’analyse et de l’anticipation (BAA) qui examinera la requête, avant la décision du sous-directeur de la politique des ressources humaines.

CAS PARTICULIERS :- Pour l’outre-mer, les COMGEND adressent leurs demandes de dérogation de points au CGOM, qui apprécie la demande et la

transmet, le cas échéant, à la DGGN/DPMGN/SDPRH/BAA.- Les écoles et centres de formation adressent leurs demandes de dérogation de points au CEGN, qui apprécie la demande et

la transmet, le cas échéant, à la DGGN/DPMGN/SDPRH/BAA.Les autorités habilitées à accorder une dérogation pour attribution de points sont, en fonction du rattachement organique et

fonctionnel du militaire :- le commandant des écoles de la gendarmerie nationale (à la demande des écoles et des centres de formation pour les

militaires qui y sont affectés) ;- le commandant de la gendarmerie outre-mer (à la demande des COMGEND pour les militaires qui y sont affectés) ;- le commandant de la garde républicaine ;- les commandants des gendarmeries spécialisées (GMAR, GAIR, GTA, GARM, GSAN) ;- le commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale ;- le commandant des formations aériennes de la gendarmerie nationale ;- le commandant du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale ;- le commandant du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale ;- le chef de l’inspection générale de la gendarmerie nationale ;- le commandant de la région de gendarmerie (RG) Île-de-France ;- le commandant de la RG Bretagne ;- le commandant de la RG Centre-Val de Loire ;- le commandant de la RG Corse ;- le commandant de la RG Pays de la Loire ;- le commandant de la RG Provence-Alpes-Côte d’Azur ;- le commandant de RG pour l’ensemble des formations de gendarmerie départementale placées sous son autorité, à l’exclusion

de celles placées sous l’autorité d’un CAR, commandant d’un GGD ayant le statut de formation administrative ;- le CAR, commandant du GGD ayant le statut de formation administrative, pour l’ensemble des formations de gendarmerie

départementale placées sous son autorité ;- le commandant de RG située au siège de la zone de défense et de sécurité pour l’ensemble des formations de gendarmerie

mobile placées sous son autorité.Pour la DGGN (3), les autorités habilitées à accorder une dérogation pour attribution de points sont le directeur ou le chef de

service (ou l’autorité assimilée), en fonction du rattachement organique et fonctionnel du militaire.

Sous-officiers du CSTAGN CAS GÉNÉRAL : Les autorités désignées dans le tableau relatif à l’assiette de calcul de points formulent une demande de dérogation motivée à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOCSTAGN qui examinera la requête.

CAS PARTICULIERS :- Pour l’outre-mer, les COMGEND adressent leurs demandes de dérogation de points au CGOM, qui apprécie la demande et la

transmet, le cas échéant, à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOCSTAGN.- Les écoles et centres de formation adressent leurs demandes de dérogation de points au CEGN, qui apprécie la demande et

la transmet, le cas échéant, à la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOCSTAGN.

5. Bilan annuel de notationLe bilan annuel de notation des militaires de la gendarmerie nationale est réalisé par la DGGN (DPMGN/SDPRH/

Bureau de l’analyse et de l’anticipation), à partir de requêtes Agorha.



- 6/8 -



Le présent rapport a pour objet d’exposer les raisons pour lesquelles le (grade) commandant (unité) et notateur juridique, au titre de l’année (année), demande une dérogation à l’application du taux de progression de la notation des (grade de la population concernée).

Aux termes de l’annexe V de l’instruction citée en référence, le taux de progression appliquée aux (grade de la population concernée) pour l’année (année) est de (pourcentage du taux de progression du grade concerné).

(Nombre + grade) sont affectés au sein de (unité), dont (nombre de militaires) est (ou sont) au niveau terminal de (niveau note). La population à prendre en compte pour le taux de progression est donc de (nombre + grade), le taux de progression de (pourcentage du taux de progression du grade concerné) ne permet pas ici d’apprécier favorablement ce militaire en (année).

Or, le militaire concerné, le (grade + nom), mérite de se voir attribuer un point supplémentaire eu égard aux fonctions exercées, au travail fourni tout au long de l’année et à ses états de services. Il est par ailleurs noté (niveau note) depuis (durée) (voir annexe).

En conséquence, le commandant (unité) a l’honneur de demander l’autorisation de dépasser d’un point le taux de progression applicable aux (grade) au titre de la notation (année).



A N N E X E

TABLEAU RÉCAPITULATIF DES CINQ DERNIÈRES ANNÉES ET LES DATES DE PROMOTION DES PERSONNELS DU GRADE CONSIDÉRÉ

NOTATION (5 DERNIÈRES ANNÉES) PROPOSITION ou notation

Grade Date grade 200A-5 200A-4 200A-3 200A-2 200A-1 200A



A N N E X E V I

MODÈLE DE FEUILLE DE NOTES

- 1/2 - ANNEXE VI

MODÈLE DE FEUILLE DE NOTES



- 2/2 -



A N N E X E V I I

MODÈLE DE FICHE D’APPRÉCIATIONANNEXE VII

MODÈLE DE FICHE D’APPRÉCIATION



A N N E X E V I I I

MODÈLE DE PROCÈS-VERBAL DE CARENCE SUITE AU REFUS D’ÉMARGEMENT DU MILITAIRE NOTÉ DE LA DÉCISION DE NOTATION

Le ............................................................. (autorité notifiant la décision de notation)

a communiqué au ..................................... (grade, nom, prénoms et NIGEND du militaire noté)

le ........................, à .........................,

la décision de notation établie pour la période du ... (date) ... au (date),

L’intéressé(e) a refusé d’émarger sa feuille de notes.

Les voies et délais de recours ont été portés à sa connaissance.

Faite à ................., le

Le ........................................ (autorité notifiant la décision de notation).



A N N E X E I X

MODÈLE DE RECOURS HIÉRARCHIQUE FORMÉ À L’ENCONTRE D’UNE NOTATION JURIDIQUE

ANNEXE IX

MODÈLE DE RECOURS HIÉRARCHIQUE FORMÉ À L’ENCONTRE D’UNE NOTATION JURIDIQUE





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_


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Instruction no 18034 du 8 mars 2016 relative aux niveaux de fusionnement des officiers de la gendarmerie nationale

NOR : INTJ1606282J

Références :Code de la défense ;Code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2 ;Instruction no 19000/GEND/DPMGN/SDGP/BPO du 29 février 2016 relative aux conditions d’exécution du travail

d’avancement des officiers de la gendarmerie nationale (NOR : INTJ1605957J - CLASS. : 91.04).

Pièces jointes : deux annexes.

La présente instruction définit en ses annexes les niveaux de fusionnement applicables aux officiers de gendarmerie et aux officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale, en fonction de leur affectation.

Les niveaux de fusionnement applicables aux officiers de la gendarmerie nationale affectés au sein des formations territoriales constituant la gendarmerie départementale, des formations constituant la gendarmerie mobile, des formations spécialisées, des formations prévôtales, du groupe d’intervention de la gendarmerie nationale et de la garde républicaine sont définis à l’annexe I.

Les niveaux de fusionnement applicables aux officiers de la gendarmerie nationale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien sont définis à l’annexe II.

Les officiers de la gendarmerie nationale dont les affectations ne sont pas listées dans les annexes de la présente instruction font l’objet d’un fusionnement unique par le directeur d’administration centrale, le chef de service, le commandant de la formation administrative ou assimilé dont relève leur mission.

La présente instruction sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.





A N N E X E I

NIVEAUX DE FUSIONNEMENT DES OFFICIERS DE LA GENDARMERIE NATIONALE AFFECTÉS AU SEIN DES FORMATIONS TERRITORIALES CONSTITUANT LA GENDAR-MERIE DÉPARTEMENTALE, DES FORMATIONS CONSTITUANT LA GENDARMERIE MOBILE, DES FORMATIONS SPÉCIALISÉES, DES FORMATIONS PRÉVÔTALES, DU GROUPE D’INTERVENTION DE LA GENDARMERIE NATIONALE ET DE LA GARDE RÉPUBLICAINE

AFFECTATION AuTORITÉ DE FuSIONNEMENT de 1er niveau

AuTORITÉ DE FuSIONNEMENT de dernier niveau

Gendarmerie départementale (GD)État-major de région de gendarmerie et état-major de GGD ayant le statut de formation administrative

Commandant de région de gendarmerieCommandant adjoint de région de gendarmerie,

commandant du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative (CAR-GGD FA)

– Directeur général de la gendarmerie nationale

Commandant en second de région de gendarmerieCommandant de GGD placé sous l’autorité du

commandant de région– Commandant de région

Commandant en second du GGD ayant le statut de formation administrative

Commandant de GGD placé sous l’autorité du commandant adjoint de région

Commandant et officiers de la compagnie fluviale de gendarmerie de Strasbourg

–Commandant adjoint de région de gendarmerie,

commandant du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative

Commandant en second et officiers directement rattachés au commandant de GGD

Officiers commandant les unités directement rattachées au commandant de GGD

Officiers affectés dans les unités rattachées au commandant de GGD

Commandant de GGDCommandant de région ou commandant adjoint

de région de gendarmerie, commandant du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative

Commandant de SRCommandant et officiers de PGM ou PGHMOfficiers du CCPDOfficier commandant la SAJCommandant de GIRCommandant de GIR adjointOfficiers d’un GIR placé auprès d’un SRPJ

–

Commandant de région ou commandant adjoint de région de gendarmerie, commandant du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative (ou commandant territorial de la gendarmerie outre-mer pour les GIR situés en outre-mer)

Officiers affectés en SROfficiers d’un GIR placé auprès d’une SROfficiers affectés au sein de la SAJ

Commandant de l’unité (SR ou SAJ)Commandant de région ou commandant adjoint


Gendarmerie mobile (GM)

Commandant de GGM ou du GBGM – Commandant de la région de gendarmerie située au siège de la zone de défense et de sécurité

Officiers affectés en GGM ou GBGM Commandant de GGM ou GBGM Commandant de la région de gendarmerie située au siège de la zone de défense et de sécurité

État-major de région de gendarmerie et état-major de GGD ayant le statut de formation administrative

Officiers directement rattachés au commandant de région ou au commandant adjoint de région

Chef de cabinet, de bureau, de centre, ou d’unité assimilée, directement rattaché(e) au commandant de région ou au commandant adjoint de région

Officiers affectés au sein d’un cabinet, d’un bureau, d’un centre ou d’une unité assimilée directement rattachée au commandant de région ou au commandant adjoint de région

Chef de division ou chef d’état-majorOfficiers de liaison, détachés, affectés hors

périmètre gendarmerie nationale

–Commandant de région ou commandant adjoint






Officiers directement rattachés au chef de division ou au chef d’état-major

Chef de bureau au sein d’une division ou de l’état-major

Officiers des bureaux

Chef de division ou chef d’état-majorCommandant de région ou commandant adjoint


Gendarmerie outre-mer

Commandant en secondOfficiers directement rattachés au commandant

de la gendarmerie outre-merOfficiers affectés au cabinet communicationChef d’état-major (CGOM)Officiers du GOPEXCommandant territorial de la gendarmerie

outre-mer (COMGEND) du grade de colonelCommandant en second du COMGENDChef d’état-major (COMGEND)Ambassade de France à Alger

– Commandant de la gendarmerie outre-mer

Chef de bureau de l’état-major (CGOM)Officiers des bureaux de l’état-major (CGOM)

Chef d’état-major de la gendarmerie outre-mer (CGOM) Commandant de la gendarmerie outre-mer

Officiers directement rattachés au commandant territorial de la gendarmerie outre-mer

Chef de bureau de l’état-major (COMGEND)Officiers des bureaux de l’état-major (COMGEND)Officiers commandant les unités rattachées au

COMGEND et officiers qui y sont affectés

Commandant territorial de la gendarmerie outre-mer Commandant de la gendarmerie outre-mer

Directeur du CIFAD ou adjoint et officiers affectés au CIFAD

Officiers affectés à l’antenne OCRTIS de Fort-de-France, commandée par un officier de gendarmerie

Commandant territorial de la gendarmerie de Martinique Commandant de la gendarmerie outre-mer

Directeur de l’antenne OCRTIS à Fort-de-France et Nanterre

Chef de l’antenne OCRTIS de Saint-MartinSDPJ DOE

Adjoint au directeur de l’antenne OCRTIS lorsque l’antenne est commandée par un fonctionnaire de la police nationale

Officiers affectés à l’antenne OCRTIS de Fort-de-France, commandée par un fonctionnaire de la police nationale

Commandant territorial de la gendarmerie de Martinique Commandant de la gendarmerie outre-mer

Officiers affectés au détachement de liaison à l’état-major de la zone de défense de Guyane à Cayenne

Commandant territorial de la gendarmerie de Guyane Commandant de la gendarmerie outre-mer

Directeur et officiers du BLP de Pointe-à-Pitre Commandant territorial de la gendarmerie de Guadeloupe Commandant de la gendarmerie outre-mer

Gendarmeries spécialisées et commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale

Commandant d’une gendarmerie spécialisée de la gendarmerie nationale ou assimilé (du grade de colonel)

– Major général de la gendarmerie nationale

Commandant en secondChef d’état-majorOfficiers directement rattachés au commandant de

la gendarmerie spécialisée ou assimiléOfficiers d’état-major (GARM, GMAR)Commandant de section de recherchesCommandant de groupementOfficiers commandant de compagnie de

gendarmerie de l’armement, chef de groupe de protection et officiers affectés dans les unités directement rattachées au commandant de la gendarmerie de l’armement

Officier adjoint au commandant de la GTA et autres officiers directement rattachés au commandant de la GTA

Officier commandant d’unité rattachée au GGTA et officiers du groupement

Officiers affectés au sein d’une unité de la GTA située en outre-mer





Officier de liaison à la cellule du risque au sein de la direction générale de l’aviation civile

Commandant de détachement gendarmerie à l’EAALAT et officiers qui y sont affectés

Officiers affectés à la DSAEOfficiers de la GSANCommandant en second, chef d’état-major et

officiers directement rattachés au CFAGNCommandant du GI ou du GMCO du CFAGNCommandant des sections aériennes et officiers

qui y sont affectés du CFAGNCommandant d’une section aérienne outre-mer

du CFAGN

–Commandant de la gendarmerie spécialisée

ou commandant des forces aériennes de la gendarmerie nationale

Officiers d’état-major (GAIR, GTA)Officiers affectés à la SROfficiers du groupementOfficiers commandant les unités directement

rattachées au GGMAR et officiers qui y sont affectés

Officiers du GI et du GMCO du CFAGNOfficiers affectés dans une section aérienne

outre-mer du CFAGN

Chef ou commandant de l’unité considérée (EM, SR, groupement, section aérienne)

Commandant de la gendarmerie spécialisée ou commandant des forces aériennes de la gendarmerie nationale

Commandant du peloton de gendarmerie maritime de Paris

Commandant de bâtiment outre-merCommandant et officiers adjoints au CNIGM

– Commandant de la gendarmerie maritime

GIGN

Commandant du GIGN – Major général de la gendarmerie nationale

Officiers affectés au GIGN – Commandant du GIGN

Garde républicaine

Commandant en second de la GROfficiers rattachés au commandant de la GR (dont

CEM, adjoint CEM)Officiers affectés aux orchestres et chœur de

l’armée françaiseCommandant de régiment et commandant en

secondCommandant de la CSO

– Commandant de la Garde républicaine

Chef de bureau et officiers des bureaux Chef d’état-major de la GR Commandant de la Garde républicaine

Officiers affectés au sein du régiment de la GR Commandant de régiment Commandant de la Garde républicaine

Officiers commandant les unités directement rattachés à la CSO Commandant de la CSO Commandant de la Garde républicaine

Commandement de la gendarmerie prévôtale

Commandant de la gendarmerie prévôtale – DOE

Officiers affectés au sein des unités du commandement de la gendarmerie prévôtale – Commandant de la gendarmerie prévôtale

Force de gendarmerie européenne (FGE)

Commandant de la FGE – Directeur général de la gendarmerie nationale

Officiers de la FGE – Commandant de la FGE

Affectations particulières

Experts nationaux détachés – Directeur adjoint de la DCI



A N N E X E I I

NIVEAUX DE FUSIONNEMENT DES OFFICIERS DE LA GENDARMERIE NATIONALE AFFECTÉS AU SEIN D’ORGANISMES CENTRAUX, DE FORMATION, D’ADMINISTRA-TION ET DE SOUTIEN




Chef du bureau du cabinet et autres officiers directement rattachés au chef de cabinet

Officier commandant du site de la DGGN à Issy-les-Moulineaux

Correspondant officier du DGGNDélégué au patrimoine culturelChef de l’UCOFI et chef de l’UCLIR

– Major général de la gendarmerie nationale

Autres officiers du bureau du cabinet – Chef de cabinet

Chef du CPSAGN et officiers qui y sont affectésChef du pôle « mise en œuvre des politiques de

sécurité et suivi opérationnel »Directeur de projet PULSAR

– DOE

Officiers affectés à l’UCOFI ou à l’UCLIROfficiers affectés au projet PULSAR

Chef de l’unité considérée (chef de l’UCOFI, de l’UCLIR ou directeur de projet PULSAR) DOE

Commandant et officiers du CROGEND SDAO DOE

Chef de la MSIA – DPMGN

MSIA : Chef de bureau, chargé de mission et autres officiers Chef de la MSIA DPMGN

Officiers affectés à la Fondation Maison de la gendarmerie SDAP DPMGN

Sous-directeursChargés de missions, chargés de fonctions,

officiers supérieurs adjoints et chef de section directement rattaché à une direction

– Directeur d’administration centrale de la DGGN

Adjoints aux sous-directeurs – Chefs de bureau, de centre ou de secrétariat – Chargés de mission (ou de projet) placé auprès d’un sous-directeur – Autres officiers

Sous-directeur de la DGGN Directeur d’administration centrale de la DGGN

Chef de bureau, chargé de mission et officiers de la MPP – Chef de la MPP

Chefs de bureau et officiers du SIRPA – Conseiller pour la communication, chef du SIRPA

Officiers affectés à la délégation aux réserves de la gendarmerie – Délégué aux réserves de la gendarmerie

Officiers en poste à la délégation au patrimoine culturel de la gendarmerie – Délégué au patrimoine culturel

Conseil de la fonction militaire de la gendarmerie (CFMG)

Secrétaire général du CFMG – Directeur général de la gendarmerie nationale

Officiers du secrétariat général du CFMG – Secrétaire général du CFMG


Officiers affectés à l’IGGN – Chef de l’IGGN


Officiers affectés à l’IGAG – Inspecteur général des armées-gendarmerie






Commandant en second, adjoint au commandant du CEGN

Officiers directement rattachés au commandant du CEGN

Chef et officiers affectés au cabinet communicationChef d’état-major du CEGNCommandant d’écoles, de centre national

d’instruction, de formation ou de production directement rattaché au CEGN et autres commandants de centre

Commandant en second de l’EOGN

– Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Chef de service, de bureau, de centre ou de section directement rattaché(e) à l’état-major du CEGN

Officiers des services, bureaux, centres ou sections directement rattaché(e)s à l’état-major du CEGN

Chef d’état-major du CEGN Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Commandant en second d’écoles, de centre, de formation ou de production – Chef d’état-major – Officier adjoint – Directeur des études, de l’enseignement, de département ou d’instruction

Commandant de division d’instruction, de centre national de formation, de centre de formation – Chef de cabinet-communication, services, bureaux, sections, pôles, centres ou de compagnie de commandement

Officiers des services, bureaux, centres ou de compagnie de commandement rattachés à l’état-major

Autres officiers affectés en école ou en centre

Commandant d’école ou de centre Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officiers affectés au centre de recherche de l’EOGN

Chef et officiers affectés au CESGOfficier formateur affecté à la CPI

Commandant de l’EOGN Commandant des écoles de la gendarmerie nationale


Commandant en second, conseiller juridique et qualité, chef du STRJD, directeur de l’IRCGN, chef de bureau ou section et autres officiers directement rattachés au commandant du PJGN

Officiers des bureaux ou sections directement rattachés au commandant du PJGN

Officiers affectés à l’OCSTI

– Commandant du PJGN

Chef de division au STRJD ou à l’IRCGN et officiers directement rattachés au STRJD ou à l’IRCGN

Officiers affectés au sein d’une division au STRJD ou à l’IRCGN

Chef du STRJD ou directeur de l’IRCGN Commandant du PJGN


Commandant du GSA IssyChef du SESTI – Chef de cabinet du DGGN

Chef d’état-major et commandant en secondCommandant de centre ou chef de pôle

directement rattaché au commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef de service, de centre et autres officiers directement rattachés au commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef et officiers affectés au COSILCommandant et officiers des services ou

sections du GSA Rosny

– Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chargés de projetsChef de bureau ou section de l’état-major Chef d’état-major Commandant du soutien opérationnel de la

gendarmerie nationale





Officiers des services ou section directement rattachés au commandant de centre

Officiers des services et centres directement rattachés au commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Commandant de centre, chef de centre ou de service

Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef de bureau, service, section, et officiers des bureaux, services, ou sections directement rattachés au GSA de Rosny-sous-Bois

Officiers du GSA Issy

Commandant du GSA de Rosny-sous-Bois ou du GSA Issy

Commandant du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale

Chef et officiers affectés à la SSOR SDAO DOE

Officiers affectés à la CNS SDIL DSF

Projet solde Issy-les-Moulineaux

Officiers affectés au DSBSIRH Chef de la MSIA DPMGN

Officiers affectés au projet solde gendarmerie nationale opérateur nationale de la paye (GN ONP)

– Directeur de projet « solde gendarmerie »

Officiers affectés au DSBSLS – Chef du ST(SI)²

Commandement de la gendarmerie des voies navigables (CGVN)

Commandant et officiers du CGVN SDSPSR DOE

Délégation aux victimes (DAV)

Officiers affectés à la DAV SDSPSR DOE


Officiers affectés au sein d’un SGAMIChef de la DAO de la région de gendarmerie

implantée au siège de la zone de défense et de sécurité (lire CDR pour le secrétaire général adjoint, les chargés de mission et les directeurs)

Commandant de la région de gendarmerie située au siège de la zone de défense et de sécurité

Centre de soutien automobile de la gendarmerie (CSAG)

Chefs de CSAG – Commandant de la région de gendarmerie

Services du ministère de la défense

Chef de la MIRVOG – Major général de la gendarmerie nationale

Adjoint gendarmerie au chef du cabinet militaire et commandant du quartier général et officier adjoint

– Chef du cabinet militaire

Aide de campChef du quartier généralOfficier de liaison à la sous-direction des bureaux

des cabinetsOfficiers affectés à la cellule directement rattachée

au chef du cabinet militaireChef de cabinet du secrétaire d’État chargé des

anciens combattantsAide de camp du secrétaire d’État chargé des

anciens combattants

SDGP DPMGN

Officier affecté à la sous-direction des bureaux des cabinets – chef de la cellule décoration SDAP DPMGN

Officiers affectés à la CRM en qualité de rapporteur – DPMGN

Officiers affectés au sein des bureaux ou de cellules

Officiers affectés au sein de la direction de la protection des installations de la dissuasion

SDDOPP DOE





Officier de liaison à la SIMMAD – DOE

Secrétariat général pour l’administration (SGA)

Chef de la mission de prévention et de la sécurité routière de la défense SDSPSR DOE

Officier au service parisien de soutien de l’administration centrale – Bureau de la protection et du secret

SDDOPP DOE

Chargé de mission auprès du secrétaire général pour l’administration – DPMGN

Officier affecté à la sous-direction du pilotage des ressources humaines et financières – Bureau « budget opérationnel de programme »

SDPRH DPMGN

Officiers affectés au service historique de la défense SDGP DPMGN

Direction des ressources humaines du ministère de la défense (DRH-MD)

Chargé de missions auprès du directeur des ressources humaines du ministère de la défense – DPMGN

Cas général SDGP DPMGN

Officier affecté au service des statuts et de la réglementation des ressources humaines militaires et civiles

Officier affecté à la cellule de la maintenance réglementaire solde

SDPRH DPMGN

Officiers affectés à l’ARD SDAP DPMGN

Officiers affectés dans un centre interarmées de reconversion (CIR) – Commandant de région ou commandant adjoint de

région de rattachement

État-major des armées (EMA)

Officiers affectés à l’EGIOfficier de liaison et officiers de la DRM SDAO DOE

Officiers affectés à la DRM – Sous-direction des opérations – Commandement – Section terrorisme affaires réservées – Officier traitant renseignement sur le terrorisme

SDPJ DOE

Autres officiers de l’EMA, CPCO, COSOfficiers affectés au CICDEOfficier affecté à la cellule d’analyse en lutte

informatique défensiveOfficiers affectés à l’EMIAFEOTAN PPE 178 – SHAPE MONS, DCOSC ops/Int

gendarmerie, Staff officer military planning

SDDOPP DOE

Officiers auprès du chef de la représentation militaire française à l’Union européenne – DOE

Officiers affectés à la direction centrale du service de santé SDGP DPMGN

Officiers affectés à la DGSIC – Chef du ST(SI)²

Direction du service national (DSN)

Officiers affectés à la DSN SDC DPMGN

Directeur d’établissement du service nationalOfficiers affectés au CAPM – Commandant de région ou commandant adjoint

de région





Autres officiers affectés au sein d’un établissement du service national

Directeur d’un centre du service nationalAutres officiers

Chef de la division de l’appui opérationnel de la région ou du GGD ayant le statut de formation administrative, ou chef d’état-major

Commandant de région ou commandant adjoint de région

Écoles

École de guerre : chef de cabinet, commandant de division – chef de groupement gendarmerie, officiers affectés à l’encadrement à l’école militaire au sein de l’École de guerre du grade de colonel, autres officiers affectés à l’encadrement à l’école militaire au sein de l’École de guerre

Directeur de l’EMS Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officiers scolarisés à l’école militaire au sein de l’École de guerre et officiers scolarisés dans une école à l’étranger dans le cadre de l’École de guerre (gestion EMA)

Directeur de l’École de guerre Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Stagiaires de haut niveau de l’EOGN (autres que l’École de guerre) Commandant de l’EOGN Commandant des écoles de la gendarmerie

nationale

Officiers affectés à l’école polytechnique, à l’école spéciale militaire, au sein de lycées militaires, affectés en écoles diverses (CFIAR, ENE, etc.), affectés au centre national aux sports de la défense, dans une école à l’étranger (hors gestion EMA)


Chargés de missions à la DEMSChargés de missions – Conseillers à l’IHEDNAuditeurs CHEM


Chef de service (DGSE) – Major général de la gendarmerie nationale

Officiers affectés à l’Hôtel des Invalides – Commandant de région de gendarmerie d’Île-de-France

Officiers affectés à l’inspection des armements nucléaires – Chef du cabinet militaire du ministre de la défense

Officier de liaison à l’étranger SDCI (DCI) Directeur adjoint de la DCI

Officiers affectés dans les divisions « Action de l’État en mer » des préfectures maritimes

Officiers affectés en préfecture au sein de la coordination de lutte antiterroriste

– Commandant de région ou commandant adjoint de région

Officiers affectés à la CEPHISMEROfficiers affectés à l’AMF SDSPSR DOE

Conseiller pour la sécurité intérieure (DGRIS)Officiers affectés au bureau enquêtes accidents

défenseOfficiers affectés à l’inspection générale de

l’armée de l’air – BSMN

– DOE

Chargé de mission responsable des exercices de sécurité et des transports nucléaires

Officiers affectés à la DGRISChef du bureau protection des installations

surveillées (DGSE)Groupement interarmées des actions civilo-

militaires

SDDOPP DOE

Autres officiers affectés à la DGSE SDAO DOE

Officiers affectés à DMPA (mission pour la réalisation des actifs immobiliers et service immobilier de la défense)

Officiers affectés à la direction centrale du SIDSDIL DSF

Officiers affectés au CSFM (CGA)Officiers affectés au sein d’un OIA ou d’un OVIAOfficiers affectés dans un état-major de réaction

rapideSDGP DPMGN





DPSD : officiers affectés au sein de l’administration centrale et au sein d’une direction zonale – Directeur adjoint au DPSD

Officiers affectés au secrétariat général du conseil supérieur de la réserve militaire – Délégué aux réserves de la gendarmerie

Présidence de la République

Commandant militaire – Major général de la gendarmerie nationale

Commandant militaire en second et adjoint, officiers affectés au service de permanence et d’information et officier de sécurité de la présidence de la République

– Commandant militaire

Services relevant du Premier ministre

Sous-directeur de la prospective et de la planification de la sécurité du SGDSN – Major général de la gendarmerie nationale

Officiers affectés au cabinet militaire – Chef de cabinet militaire

Commandant militaire et commandant en second de l’Hôtel Matignon

Officier de liaison au service de permanence et de veille opérationnelle

– Commandant de la garde républicaine

Adjoint gendarmerie à la personnalité qualifiéeOfficiers affectés au GICOfficiers affectés à la mission interministérielle

de lutte contre les drogues et les conduites addictives

SDPJ DOE

Officiers affectés à la délégation interministérielle à la sécurité routière

Chargé de mission à l’observatoire national interministériel de la sécurité routière à la délégation à la sécurité routière et à la circulation routière

Officiers affectés au secrétariat général de la mer

SDSPSR DOE

Officiers affectés à la délégation interministérielle à l’intelligence économique SDAO DOE

Officiers affectés au SGDSN SDDOPP DOE

Officiers affectés au secrétariat général des affaires européennes – Directeur adjoint de la DCI

Chargé de mission « action territoriale » –ANSSI – Chef du ST(SI)2

Officiers affectés à l’INHESJ – Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Services relevant du ministère des affaires étrangères et du développement international

Conseiller technique auprès du haut fonctionnaire de défense

Officiers affectés au CAPSDDOPP DOE

Officiers affectés à la sous-direction de la sécurité diplomatique et de la défense – DOE

Officiers affectés à la DCSDCoopération militaire technique : chef de

détachement ou de projet gendarmerie et coopérants militaires techniques

– Directeur adjoint de la DCI

Officiers affectés à la valise diplomatique – Commandant de la Garde républicaine

Services du ministère de l’intérieur

Officier chargé de missions à la direction de projet à la MMS – Major général de la gendarmerie nationale





Chargé de mission « suivi de la négociation européenne et internationale » au secrétariat permanent de la fonction européenne et internationale

Officiers affectés à la cellule de coordination des SGAMI

– Chef de cabinet DGGN

Officiers affectés à l’IGA – Chef de l’IGGN

Chargé de mission auprès du conseiller pour la sécurité auprès du MININT et autres officiers affectés au cabinet du MININT

– Conseiller pour la sécurité auprès du MININT

Officiers affectés à la DLPAJ SDPRH, SDSPSR, ou SDPJ(en fonction du rattachement du militaire)

DPMGN ou DOE(en fonction du rattachement du militaire)

Officiers affectés à la sous-direction du conseil juridique et du contentieux, bureau du contentieux statutaire et de la protection juridique des fonctionnaires (DLPAJ)

Officier affecté à la direction des ressources humaines du MININT

– DPMGN

Officier affecté à la sous-direction de l’action sociale et de l’accompagnement du personnel SDAP DPMGN

Officier adjoint au chef du SCRT et officiers affectés au SCRT

MIVILUDES – Officier de liaison au secrétariat permanent

Officiers affectés au service du haut fonctionnaire de défense

Officier affecté en qualité de chef de cabinet adjoint au secrétariat à l’intérieur et aux collectivités locales

Officiers au centre national civilo-militaire de formation à l’entraînement NRBC

– DOE

Officiers affectés à la DMATAutres représentants de la gendarmerie ou

officiers de liaison DCPAF (dont le pôle analyse et gestion opérationnelle – PAGO)

Officiers affectés au sein de autorité de coordination de l’autorité des transports en commun

Officiers de liaison affectés au comité inter-ministériel de la prévention de la délinquance

Officiers affectés à l’ANTAIOfficiers affectés au CNAPSCACIR : chef de centre ou adjointAgence nationale des titres sécurisés – Chargé

de missionOfficier, chef du bureau de la lutte contre le travail

illégal et les fraudes à l’identité à la sous-direction de la lutte contre les fraudes, des contrôles et de l’éloignement

Officiers affectés à la délégation interministérielle à la sécurité privée

SDSPSR DOE

Officiers affectés à la mission de lutte anti-drogueOfficier affecté à la tête de la coordination

nationale des GIR et officier adjointOfficier affecté au MAOC/N à Lisbonne

SDPJ DOE

Chef de la MLG-DCPJ, autres officiers servant au sein de la DCPJ (hors offices centraux) et à EUROPOL, chef d’office central gendarmerie, autres officiers servant dans un office central gendarmerie, chef d’office central police, autres officiers servant dans un office central police sauf office central de police commandé par un officier de gendarmerie, autres officiers servant dans un office central police commandé par un officier de gendarmerie

Officier affecté à l’UCLAT en qualité d’adjoint et officiers affectés

Officier affecté au sein de l’antenne de l’unité de coordination de la lutte antiterroriste de Pau

– –





Officiers affectés au service du haut fonctionnaire de défense – Sous-direction de la protection du ministère

Représentant de la gendarmerie auprès de l’UCFM/DGPN

Conseiller technique auprès du haut fonctionnaire de défense

Officiers affectés à la direction de la défense et de la sécurité civiles

Officiers affectés à la DGSCGCOfficier adjoint gendarmerie au DCIIT

SDDOPP DOE

DEPAFI :Chef du bureau des affaires immobilières de la

gendarmerie nationale à la sous-direction des affaires immobilières

Chargé de mission auprès du DEPAFI

– DSF

DEPAFI :Officiers du bureau des affaires immobilières de la

gendarmerie nationale à la sous-direction des affaires immobilières

Officier affecté au bureau de la synthèse, du patrimoine et de la stratégie à la sous-direction des affaires immobilières

Officier de liaison auprès de la direction de l’évaluation de la performance, des affaires financières et immobilières

SDIL DSF

Officiers servant à la mission de gouvernance ministérielle des systèmes d’information et de communication au secrétariat général du MININT

Officiers affectés au service du haut fonctionnaire de défense – Sous-direction de la protection du ministère – Pôle sécurité des systèmes d’information

– Chef du ST(SI)²

Officiers affectés à la préfecture de police de sécu-rité secrétariat général de la zone de défense – Commandant de région de gendarmerie Île de

France

Attaché de sécurité intérieure et attaché de sécurité intérieure adjoint et assistant d’attaché de sécurité intérieure adjoint

Attaché de gendarmerie, conseiller auprès de l’ambassadeur RPFUE

Officiers affectés à la direction de la gestion civile des crises et de la coordination des unités de police au sein du conseil de l’UE

Conseiller auprès de l’ambassadeur représentant permanent de la France pour l’OSCE

Unité 2C Coopération policière et douanière au sein du conseil de l’UE


Chargé de mission sécurité à la délégation générale à l’outre-mer – Commandant de la gendarmerie outre-mer

Officier de liaison auprès du préfet – cellule de lutte contre la cybercriminalité – Commandant du PJGN

Officiers affectés au CHEMI – Commandant des écoles de la gendarmerie nationale

Officier affecté au secrétariat général – Délégation à l’information et à la communication – Conseiller pour la communication, chef du SIRPA

Services relevant du ministère de la justice

Officiers affectés à la grande chancellerie de la légion d’honneur – Major général de la gendarmerie nationale

Officier de liaison auprès de la DACGOfficiers affectés à la mission de préfiguration

auprès de la DIJOfficiers affectés au SCPCOfficiers affectés à l’AGRASC

SDPJ DOE





Commandant militaire et officiers affectés au palais de justice de Paris – Commandant la région de gendarmerie d’Île-de-

France

Services relevant des présidences de l’Assemblée nationale et du Sénat

Commandant militaire et officiers qui y sont affectés – Commandant de la Garde républicaine

Services relevant d’autres ministères

Officier affecté au sein de la mission militaire de la représentation permanente de la France auprès de l’organisation des Nations Unies à New-York


Officiers affectés à INTERPOLOfficier de liaison affecté à ERDFOfficier de liaison à la mission permanente de

sécurité de la direction production ingénierieChargé de mission au conseiller technique GDFOfficier affecté à la Mission interministérielle pour

la protection des femmes victimes de violences et la lutte contre la traite des êtres humains

Officier de liaison affecté au sein de la cellule de TRACFIN

SDPJ DOE

SNCF : officier de liaison et officiers affectés à la cellule coopération opérationnelle

Chargé de mission au conseiller technique EDF (Direction de la sécurité du groupe) et officier de liaison EDF

Conseiller gendarmerie auprès de la secrétaire d’état chargée des droits des femmes

SDSPSR DOE

Chef de la mission de protection contre le terrorisme au ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie – Service de défense, de sécurité et d’intelligence économique

Officier affecté au ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie – Département de la planification de défense et de sécurité

Autres officiers affectés au département de la sécurité nucléaire

Conseiller gendarmerie auprès du directeur interministériel aux grands événements sportifs

SDDOPP DOE

Conseiller technique au secrétariat général du ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie

Adjoint au chef du service de défense, de sécurité et d’intelligence économique au ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie

Sous-directeur chef du département de la sécurité nucléaire

– DOE

Rapporteur à la Cour des comptesAdjoint au chef d’un bureau à la direction du

budgetSDAF DSF

DIDOL – Conseiller spécial SDIL DSF

Adjoint au chef d’un bureau à la direction générale de l’administration et de la fonction publique SDPRH DPMGN

Officiers affectés au sein de services relevant d’autres ministères et dont la mission relève de l’une des directions de la DGGN

Sous-directeur de la direction dont relève la mission du militaire noté Directeur d’administration centrale de la DGGN

Officier délégué du préfet pour la politique de la ville – Ministère du logement, de l’égalité des territoires et de la ruralité

– Commandant de région de rattachement

DCI : chargé de mission, officier communication, sous-directeur, adjoint au sous-directeur – Directeur adjoint de la DCI





DCI : chef de division, chef de bureau, autres officiers des sous-directeurs Sous-directeur Directeur adjoint de la DCI

ST(SI)² : Sous-directeurs, chargés de mission rattachés directement au chef du ST(SI)², chargés de projets rattachés directement au chef du ST(SI)², adjoint au chef de la MPIPT, adjoint aux sous-directeurs, chefs de bureau

– Chef du ST(SI)²

ST(SI)² : Chargé de projet rattaché à un sous-directeur, adjoints chefs de bureau, officiers affectés dans les sections

Sous-directeur Chef du ST(SI)²

Officier de liaison à la SSMSI – Chef de la MPP

SAELSI : adjoint au chef de service – DSF

SAELSI : Officiers directement rattachés au chef de service, sous-directeur – adjoint au sous-directeur, chef de bureau, de mission ou de centre

– Chef du SAELSI

SAELSI : Adjoint chef de bureau, de centre ou de mission, officiers affectés dans les sections, officiers à l’ECLPN

Sous-directeur Chef du SAELSI





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Instruction no 20500 du 14 avril 2016 relative aux niveaux de fusionnement des sous-officiers de la gendarmerie nationale

NOR : INTJ1608830J

Références :Code de la défense ;Code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2 ;Arrêté du 4 août 2010 pris pour l’application dans la gendarmerie nationale des articles 5 et 18 du décret

no 2008-953 du 12 septembre 2008 portant statut particulier des corps des sous-officiers et officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale (JO no 195 du 24 août 2010, texte no 7 – NOR : IOCJ1019540A) ;

Arrêté du 5 avril 2012 modifié relatif à la répartition des sous-officiers de gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein desquelles l’avancement intervient de façon distincte (JO no 105 du 4 mai 2012, texte no 30 - NOR : IOCJ1208679A) ;

Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale pour la cam-pagne de notation de l’année 2016 (NOR : INTJ1532425A) ;

Arrêté du 6 janvier 2016 relatif aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie nationale affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien pour la campagne de notation de l’année 2016 (NOR : INTJ1532690A).

Pièces jointes : deux annexes.La présente instruction définit en ses annexes les niveaux de fusionnement applicables aux sous-officiers de la

gendarmerie nationale.Les niveaux de fusionnement applicables aux sous-officiers de gendarmerie appartenant à la subdivision d’arme de

la gendarmerie départementale ou de la gendarmerie mobile sont définis à l’annexe I.Les niveaux de fusionnement applicables aux sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la

gendarmerie nationale et aux sous-officiers de gendarmerie appartenant à l’une des spécialités définies à l’article 2 de l’arrêté du 5 avril 2012 susvisé sont définis à l’annexe II.

La présente instruction sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.


Pour le ministre et par délégation : L’adjoint au directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale, M. laBBé



A N N E X E I

NIVEAUX DE FUSIONNEMENT DES SOUS-OFFICIERS DE GENDARMERIE (SOG) APPAR-TENANT À LA SUBDIVISION D’ARME DE LA GENDARMERIE DÉPARTEMENTALE OU DE LA GENDARMERIE MOBILE

1. Cas général

AFFECTATIONAuTORITÉ

de fusionnement de 1er niveau(1)

AuTORITÉ de fusionnement

de dernier niveau(1)

SOG DU CADRE GÉNÉRAL

GradésNotateur 1er degré(2) Notateur juridiqueGendarmes titulaires d’un diplôme ou titre ouvrant

droit à l’avancement

Gendarmes non titulaires d’un diplôme ou titre ouvrant droit à l’avancement Notateur juridique Notateur juridique défini pour les

SOG gradés(3)

Président du personnel militaire (PPM) ou vice-président du personnel militaire

– Notateur juridiqueRéférent « sous-officiers et volontaires »

Conseiller « concertation »(1) Les fusionnements de 1er et de dernier niveau sont saisis sur le portail Agorha (menu « notateur », onglet « avancement » ; « fusionnement 1 »

et « fusionnement 2 » avec le périmètre « tous niveaux »).(2) Le cas échéant.(3) Notateurs désignés dans les parties 1, annexe II des arrêtés du 6 janvier 2016 relatifs aux chaînes de notation des militaires de la gendarmerie

nationale pour la campagne de notation de l’année 2016.

2. Situations particulières

2.1. SOG affectés au sein de la branche commune « organismes centraux, branche administrative et technique »





SOG affectés au sein du commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN) Chef de service ou de centre Commandant en second du

COMSOPGNSous-officiers de gendarmerie en position de détachement Notateur juridique

SOG affectés à la direction de la coopération internationale (DCI)

– Notateur juridiqueSOG affectés au sein du commandement de la gendarmerie prévôtale (CGP)

SOG affectés au sein du service historique de la défense département gendarmerie nationale (SHDDGN)

(1) Les fusionnements de 1er et de dernier niveau sont saisis sur le portail Agorha (menu « notateur », onglet « avancement » ; « fusionnement 1 » et « fusionnement 2 » avec le périmètre « tous niveaux »).

2.2. SOG affectés au sein de la branche commune « organismes centraux, branche secrétariat »





SOG directement rattachés à une direction de la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) –

Directeur d’administration centraleSOG affectés au sein d’une sous-direction de la DGGN Sous-directeur

SOG affectés à la mission du système d’information Agorha (MSIA) Chef de la MSIA

SOG affectés auprès du conseiller technique santé –Chef de cabinet

SOG affectés au cabinet du directeur général de la gendarmerie nationale –

SOG affectés à la mission du pilotage et de la performance (MPP) – Chef de la MPP

SOG affectés au service des technologies et des systèmes d’information de la sécurité intérieure (ST(SI)²) Sous-directeur Chef du ST(SI)²

SOG affectés au service d’information et de relations publiques des armées-gendarmerie (SIRPA) – Chef du SIRPA







SOG affectés au secrétariat général du conseil de la fonction militaire de la gendarmerie nationale (CFMG) – Secrétaire général du CFMG

SOG affectés auprès du délégué aux réserves de la gendarmerie (DRG) – DRG

SOG affectés au service de l’achat, des équipements et de la logistique de la sécurité intérieure (SAELSI) – Adjoint gendarmerie au chef du

SAELSI

Président du personnel militaire (PPM), vice-PPM, vice-référent

Notateur juridique Directeur d’administration centrale ou autorité assimiléeRéférent « sous-officiers et volontaires »

Conseiller « concertation »(1) Les fusionnements de 1er et de dernier niveau sont saisis sur le portail Agorha (menu « notateur », onglet « avancement » ; « fusionnement 1 » et

« fusionnement 2 » avec le périmètre « tous niveaux »).

2.3. SOG affectés au sein de la branche commune « organismes centraux, formations extérieures »





SOG affectés à l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) - Chef de l’IGGN

SOG affectés auprès de l’inspecteur général des armées-gendarmerie (IGAG) - IGAG

SOG affectés au sein de la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires (GSAN) - Commandant de la GSAN

SOG affectés à la direction de la protection et de la sécurité de la défense (DPSD) - Adjoint gendarmerie au directeur de la DPSD

Président du personnel militaire (PPM), vice-PPM, vice-référent

-IGAG, chef de l’IGGN, commandant

de la GSAN ou adjoint gendarmerie au directeur de la DPSD(2)

Référent « sous-officiers et volontaires »

Conseiller « concertation »(1) Les fusionnements de 1er et de dernier niveau sont saisis sur le portail Agorha (menu « notateur », onglet « avancement » ; « fusionnement 1 » et

« fusionnement 2 » avec le périmètre « tous niveaux »).(2) Selon le rattachement organique du militaire.



A N N E X E I I

NIVEAUX DE FUSIONNEMENT DES SOUS-OFFICIERS DU CORPS DE SOUTIEN TECHNIQUE ET ADMINISTRATIF DE LA GENDARMERIE NATIONALE (CSTAGN)ET DES SOUS-OFFICIERS DE GENDARMERIE (SOG) APPARTENANT À L’UNE DES SPÉCIALITÉS DÉFINIES À L’ARTICLE 2 DE L’ARRÊTÉ DU 5 AVRIL 2012 SUSVISÉ

1. Cas général





CSTAGN

Notateur juridique

Commandant de la formation administrative – relevant de la gendarmerie nationale – dont relève la mission du militaire noté(3)

SOG spécialistes

(1) Sur le portail Agorha, l’autorité de fusionnement de 1er niveau utilise le fusionnement 1 et le périmètre « tous niveaux ».(2) Sur le logiciel SAP, l’autorité de fusionnement de dernier niveau fait saisir par le gestionnaire RH le fusionnement en niveau 3.(3) Pour les sous-officiers affectés en gendarmerie mobile, lire commandant de la région de gendarmerie située au siège de la zone de défense et

de sécurité.

2. Situations particulières

2.1. CSTAGN et SOG spécialistes affectés à la direction générale de la gendarmerie nationale





Sous-officiers affectés au cabinet du directeur général de la gendarmerie nationale –Chef de cabinet

Sous-officiers affectés auprès du conseiller technique santé –

Sous-officiers affectés dans une unité directement rattachée à une direction ou un service de la DGGN – Directeur d’administration centrale,

chef de service ou autorité assimilée(3)

Sous-officiers affectés au sein d’une sous-direction de la DGGN Sous-directeur

Sous-officiers affectés à la mission du système d’information Agorh@ (MSIA)Chef de la MSIA Directeur des personnels militaires

de la gendarmerie nationaleSous-officiers affectés au sein du « projet solde Issy-les-Moulineaux » et mis pour emploi auprès de la MSIA

Sous-officiers affectés au secrétariat général du conseil de la fonction militaire de la gendarmerie nationale (CFMG) – Secrétaire général du CFMG

Sous-officiers affectés auprès du délégué aux réserves de la gendarmerie (DRG) – DRG(1) Sur le portail Agorha, l’autorité de fusionnement de 1er niveau utilise le fusionnement 1 et le périmètre « tous niveaux ».(2) Sur le logiciel SAP, l’autorité de fusionnement de dernier niveau fait saisir par le gestionnaire RH le fusionnement en niveau 3.(3) Selon le rattachement organique du militaire.

2.2. CSTAGN et SOG spécialistes affectés au sein d’organismes centraux, de formation, d’administration et de soutien





Sous-officiers affectés à l’inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) – Chef de l’IGGN

Sous-officiers affectés auprès de l’inspecteur général des armées-gendarmerie (IGAG) – IGAG

Sous-officiers affectés au sein d’une école ou d’un centre Commandant de l’école ou du centre Commandant des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN)

Sous-officiers affectés au service de l’achat, des équipements et de la logistique de la sécurité intérieure (SAELSI) – Adjoint gendarmerie au chef

du SAELSI(1) Sur le portail Agorha, l’autorité de fusionnement de 1er niveau utilise le fusionnement 1 et le périmètre « tous niveaux ».(2) Sur le logiciel SAP, l’autorité de fusionnement de dernier niveau fait saisir par le gestionnaire RH le fusionnement en niveau 3.



2.3. CSTAGN et SOG spécialistes affectés au commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale





Sous-officiers du CSTAGN affectés au sein du commandement du soutien opérationnel de la gendarmerie nationale (COMSOPGN), hors unités rattachées au service de gestion des ressources humaines et personnels isolés (SGRHPI)

Chef de l’unité immédiatement supérieure à celle du notateur juridique(3)

Commandant du COMSOPGNSous-officiers du CSTAGN affectés au sein d’une unité rattachée au SGRHPI du COMSOPGN Notateur juridique

SOG spécialistes affectés au sein du COMSOPGN(1) Sur le portail Agorha, l’autorité de fusionnement de 1er niveau utilise le fusionnement 1 et le périmètre « tous niveaux ».(2) Sur le logiciel SAP, l’autorité de fusionnement de dernier niveau fait saisir par le gestionnaire RH le fusionnement en niveau 3.(3) Le cas échéant. Si le chef de l’unité immédiatement supérieure à celle du notateur juridique est le commandant du COMSOPGN,

alors le personnel est fusionné à un seul niveau par le commandant du COMSOPGN.

2.4. CSTAGN et SOG spécialistes affectés au sein de formations territoriales, de gendarmeries spécialisées et d’autres formations





Sous-officiers affectés dans une division au sein d’une région de gendarmerie (zonale et non zonale) et sous-officiers affectés dans une division au sein d’un groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative

Chef de division(3)

Commandant de la région de gendarmerie ou commandant du groupement de gendarmerie départementale ayant le statut de formation administrative

Sous-officiers affectés au sein du commandement des forces aériennes de la gendarmerie nationale (CFAGN) – Commandant du CFAGN

Sous-officiers affectés au sein de la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires (GSAN) – Commandant de la GSAN

Sous-officiers affectés au sein du commandement de la gendarmerie prévôtale (CGP) – Commandant de la CGP

Sous-officiers affectés au sein d’un commandement territorial de la gendarmerie outre-mer (COMGEND)

Commandant territorial de la g e n d a r m e r i e o u t r e - m e r (COMGEND)

Commandant de la gendarmerie outre-mer (CGOM)

(1) Sur le portail Agorha, l’autorité de fusionnement de 1er niveau utilise le fusionnement 1 et le périmètre « tous niveaux ».(2) Sur le logiciel SAP, l’autorité de fusionnement de dernier niveau fait saisir par le gestionnaire RH le fusionnement en niveau 3.(3) Lire chef d’état-major pour les sous-officiers affectés au sein de l’état-major de la région de gendarmerie située au siège de la zone de défense

et de sécurité d’Île-de-France.

2.5. CSTAGN et SOG spécialistes mandatés pour la concertation





Président du personnel militaire (PPM) ou vice président du personnel militaire

Notateur juridiqueCommandant de format ion

administrat ive , d i recteur d’administration centrale ou autorité assimilée(3, 4, 5)

Référent « sous-officiers et volontaires »

Conseiller « concertation »(1) Sur le portail Agorha, l’autorité de fusionnement de 1er niveau utilise le fusionnement 1 et le périmètre « tous niveaux ».(2) Sur le logiciel SAP, l’autorité de fusionnement de dernier niveau fait saisir par le gestionnaire RH le fusionnement en niveau 3.(3) Selon le rattachement organique du militaire.(4) Pour les personnels exerçant leurs fonctions au sein d’une école ou d’une centre, lire le commandant des écoles de la gendarmerie nationale.(5) Pour les personnels exerçant leurs fonctions au sein d’un commandement territorial de la gendarmerie outre-mer (COMGEND),

lire le commandant de la gendarmerie outre-mer (CGOM).




Arrêté du 24 mars 2016 portant changement d’appellation du peloton de gendarmerie de montagne de Morez (Jura)

NOR : INTJ1608430A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la défense ;Vu le code de procédure pénale, notamment ses articles 15-1 et R. 15-22 à R. 15-26 ;Vu le code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2,

Arrête :

Article 1er

Le peloton de gendarmerie de montagne de Morez prend l’appellation de peloton de gendarmerie de montagne de Hauts de Bienne à compter du 25 mars 2016.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes du peloton de gendarmerie de montagne de Hauts de Bienne exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-23 (9o) du code de procédure pénale.

Article 3



Pour le ministre et par délégation : Le général, sous-directeur de l’organisation des effectifs, j. Vire




Arrêté du 29 mars 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Palinges et modifica-tion corrélative des circonscriptions des brigades territoriales de Gueugnon et de Perrecy-les-Forges (Saône-et-Loire)

NOR : INTJ1606151A


Arrête :

Article 1er

La brigade territoriale de Palinges est dissoute à compter du 1er juillet 2016. Corrélativement, les circonscriptions des brigades territoriales de Gueugnon et de Perrecy-les-Forges sont modifiées à la même date dans les conditions précisées en annexe.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes des brigades territoriales de Gueugnon et de Perrecy-les-Forges exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-24 (1o) du code de procédure pénale.

Article 3



Pour le ministre et par délégation : Le général de division, adjoint au directeur des soutiens et des finances, l. taVel



A N N E X E

BRIGADE TERRITORIALE CIRCONSCRIPTION ACTuELLE CIRCONSCRIPTION NOuVELLE

Gueugnon La Chapelle-au-MansChassyClessyCurdinGueugnonNeuvy-GrandchampRigny-sur-ArrouxSaint-Romain-sous-VersignyToulon-sur-ArrouxUxeauVendenesse-sur-Arroux

La Chapelle-au-MansChassyClessyCurdinGueugnonMarly-sur-ArrouxNeuvy-GrandchampOudryPalingesRigny-sur-ArrouxSaint-Aubin-en-CharollaisSaint-Romain-sous-VersignySaint-Vincent-BragnyToulon-sur-ArrouxUxeauVendenesse-sur-Arroux

Perrecy-les-Forges Ciry-le-NobleDompierre-sous-SanvignesGénelardMarly-sur-ArrouxOudryPerrecy-les-ForgesPouillouxSanvignes-les-Mines

Ciry-le-NobleDompierre-sous-SanvignesGénelardGrandvauxMartigny-le-ComtePerrecy-les-ForgesPouillouxSaint-Bonnet-de-Vieille-VigneSanvignes-les-Mines

Palinges GrandvauxMartigny-le-ComtePalingesSaint-Aubin-en-CharollaisSaint-Bonnet-de-Vieille-VigneSaint-Vincent-Bragny

(Dissolution)




Arrêté du 31 mars 2016 portant changement d’appellation du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Penly (Seine-Maritime)

NOR : INTJ1608377A


Arrête :

Article 1er

Le peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Penly prend l’appellation de peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Petit-Caux à compter du 1er avril 2016.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes du peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Petit-Caux exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-23 (11o) du code de procédure pénale.

Article 3



Pour le ministre et par délégation : Le général, sous-directeur de l’organisation des effectifs, j. Vire




Arrêté du 7 avril 2016 portant dissolution de la brigade motorisée de Mantes-la-Jolie (Yvelines), création corrélative du peloton motorisé de Mantes-la-Jolie (Yvelines) et modification de la compétence judiciaire du peloton motorisé de Gaillon (Eure)

NOR : INTJ1606152A


Arrête :

Article 1er

La brigade motorisée de Mantes-la-Jolie est dissoute à compter du 1er mai 2016. Corrélativement, le peloton motorisé de Mantes-la-Jolie est créé et la compétence judiciaire du peloton motorisé de Gaillon est modifiée à la même date.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes du peloton motorisé de Mantes-la-Jolie exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-23 (3o) du code de procédure pénale dans le département des Yvelines, ainsi que sur l’ensemble du réseau autoroutier et ses voies d’accès dans le département de l’Eure.

Les officiers, gradés et gendarmes du peloton motorisé de Gaillon exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-23 (3o) du code de procédure pénale dans le département de l’Eure, ainsi que sur l’ensemble du réseau autoroutier et ses voies d’accès dans le département des Yvelines.

Article 3







Arrêté du 7 avril 2016 portant modification des circonscriptions des brigades territoriales de Raon-l’Étape et de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges)

NOR : INTJ1609009A


Arrête :

Article 1er

Les circonscriptions des brigades territoriales de Raon-l’Étape (Vosges) et de Saint-Dié-des-Vosges (Vosges) sont modifiées à compter du 1er juillet 2016.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes des brigades territoriales de Raon-l’Étape et de Saint-Dié-des-Vosges exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-24 (1o) du code de procédure pénale.

Article 3






A N N E X E


Raon-l’Étape

AllarmontCelles-sur-PlaineÉtival-ClairefontaineLuvignyNompatelizeRaon-l’ÉtapeRaon-sur-PlaineSaint-RemyVexaincourt

AllarmontLa BourgonceCelles-sur-PlaineÉtival-ClairefontaineLuvignyNompatelizeRaon-l’ÉtapeRaon-sur-PlaineSaint-RemyLa SalleVexaincourt

Saint-Dié-des-Vosges

Ban-de-LavelineLa BourgonceCoinchesGemaingoutteNayemont-les-FossesNeuvillers-sur-FavePair-et-GrandruptRavesRemomeixSaint-Dié-des-VosgesSainte-MargueriteSaint-Michel-sur-MeurtheLa SalleSaulcy-sur-MeurtheTaintruxLa VoivreWisembach

Ban-de-LavelineCoinchesGemaingoutteNayemont-les-FossesNeuvillers-sur-FavePair-et-GrandruptRavesRemomeixSaint-Dié-des-VosgesSainte-MargueriteSaint-Michel-sur-MeurtheSaulcy-sur-MeurtheTaintruxLa VoivreWisembach




Arrêté du 20 avril 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Saint-Julien et modification corrélative de la circonscription de celle d’Arinthod (Jura)

NOR : INTJ1609528A


Arrête :

Article 1er

La brigade territoriale de Saint-Julien (Jura) est dissoute à compter du 1er août 2016. Corrélativement, la circonscription de la brigade territoriale d’Arinthod (Jura) est modifiée, à la même date, dans les conditions précisées en annexe.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes de la brigade territoriale d’Arinthod exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-24 (1º) du code de procédure pénale.

Article 3






A N N E X E


Saint-Julien Andelot-MorvalAromasLa Balme-d’ÉpyBourciaBroissiaCharnodDessiaGignyLainsLouvenneMonnetayMontagna-le-TemplierMontfleurMontrevelSaint-JulienVillechantriaVilleneuve-lès-Charnod

(Dissolution)

Arinthod ArinthodLa BoissièreCernonCéziaChatonnayChemillaChissériaCoisiaCondesCornodDramelayFétignyGenodLavans-sur-ValouseLégnaMarigna-sur-ValouseSaint-HymetièreSavignaThoiretteValfin-sur-ValouseVesclesVosbles

Andelot-MorvalArinthodAromasBourciaBroissiaCernonCéziaCharnodChatonnayChemillaChissériaCoisiaCondesCornodDessiaDramelayFétignyGenodGignyLa Balme-d’ÉpyLa BoissièreLainsLavans-sur-ValouseLégnaLouvenneMarigna-sur-ValouseMonnetayMontagna-le-TemplierMontfleurMontrevelSaint-HymetièreSaint-JulienSavignaThoiretteValfin-sur-ValouseVesclesVillechantriaVilleneuve-lès-CharnodVosbles




Arrêté du 20 avril 2016 portant dissolution de la brigade territoriale de Carpentras et modification corrélative de la circonscription de la brigade territoriale de Beaumes-de-Venise (Vaucluse)

NOR : INTJ1609649A


Arrête :

Article 1er

La brigade territoriale de Carpentras est dissoute à compter du 1er mai 2016. Corrélativement, la circonscription de la brigade territoriale de Beaumes-de-Venise est modifiée à la même date dans les conditions précisées en annexe.

Article 2

Les officiers, gradés et gendarmes de la brigade territoriale de Beaumes-de-Venise exercent les attributions attachées à leur qualité d’officier ou d’agent de police judiciaire dans les conditions fixées aux articles R. 13 à R. 15-2 et R. 15-24 (1o) du code de procédure pénale.

Article 3






A N N E X E


Beaumes-de-Venise

AubignanBeaumes-de-VeniseGigondasLafareLoriol-du-ComtatLa Roque-AlricSaint-Hippolyte-le-GraveyronSarriansSuzetteVacqueyras

AubignanBeaumes-de-VeniseCarpentrasGigondasLafareLoriol-du-ComtatLa Roque-AlricMonteuxSaint-Hippolyte-le-GraveyronSarriansSuzetteVacqueyras

Carpentras CarpentrasMonteux (Dissolution)




Arrêté du 20 avril 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique

NOR : INTD1610406A

Le ministre de l’intérieur,Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ;Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des

attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;Vu la demande en date du 1er octobre 2015 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « Chambre

de commerce et d’industrie de Sète », sis 220, avenue du Maréchal-Juin, à Sète (34203 Cedex), organisme consulaire,

Arrête :

Article 1er

L’organisme de formation dénommé « Chambre de commerce et d’industrie de Sète », sis 220, avenue du Maréchal-Juin, à Sète (34203 Cedex), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant » la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique et à l’attention des débitants de boissons à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures la formation prévue au deuxième alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique.

Article 2

Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « Chambre de commerce et d’industrie de Sète », sis 220, avenue du Maréchal-Juin, à Sète (34203 Cedex), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

ait leF Paris, le 20 avril 2016.

Pour le ministre et par délégation : Le chef du bureau des polices administratives, c. duMont




Arrêté du 6 mai 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique

NOR : INTD1612140A


attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;Vu la demande en date du 27 janvier 2016 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « Alliance

Compétences et Formations », sis, 143, route de Lévignac, 31820 Pibrac, société à responsabilité limitée,

Arrête :

Article 1er

L’organisme de formation dénommé « Alliance Compétences et Formations », sis, 143, route de Lévignac, 31820 Pibrac, est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser, à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique.

Article 2

Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « Alliance Compétences et Formations », sis, 143, route de Lévignac, 31820 Pibrac, et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

Fait à Paris, le 6 mai 2016.





Arrêté du 20 mai 2016 portant agrément d’un organisme de formation au titre de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique

NOR : INTD1613574A


attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;Vu la demande en date du 4 février 2016 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé « SARL WIKI

LEARN FORMATION », sis 176, cours Lieutaud, à Marseille (13006), société à responsabilité limitée,

Arrête :

Article 1er

L’organisme de formation dénommé « SARL WIKI LEARN FORMATION », sis 176, cours Lieutaud, à Marseille (13006), est agréé pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser, à l’attention des exploitants de débits de boissons ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation prévue au premier alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique.

Article 2

Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « SARL WIKI LEARN FORMATION », sis 176, cours Lieutaud, à Marseille (13006), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.

Fait à Paris, le 20 mai 2016.





Instruction du Gouvernement du 3 mai 2016 relative au renforcement des contrôles routiers à l’occasion des week-ends prolongés de l’Ascension et de la Pentecôte

NOR : INTK1611161J

Référence : circulaire no INTK1607223J du 31 mars 2016 sur le renforcement de la lutte contre l’insécurité routière.

Le ministre de l’intérieur à Monsieur le préfet de police ; Mesdames et Messieurs les préfets de département ; Monsieur le préfet de police des Bouches-du-Rhône (pour action) ; Monsieur le préfet, secrétaire général du ministère de l’intérieur ; Monsieur le préfet, directeur général de la police nationale ; Monsieur le général d’armée, directeur général de la gendarmerie nationale ; Monsieur le délégué à la sécurité et à la circulation routières (pour information).

Au cours des derniers mois, je vous ai fait connaître ma détermination à faire baisser l’accidentalité routière. En effet, les bilans définitifs de l’année 2014 puis de l’année 2015 ont enregistré une hausse de la mortalité sur les routes. C’est pourquoi, je vous ai demandé dans ma circulaire citée en référence de renforcer la lutte contre l’insécurité routière.

Le Gouvernement met tout en œuvre pour créer les conditions permettant d’atteindre l’objectif fixé par le Premier ministre de moins de 2 000 tués en 2020. Il convient de traduire cette ambition sur le terrain.

Aussi, à l’occasion des grands chassés-croisés des week-ends prolongés de l’Ascension et de la Pentecôte, je vous demande de veiller à la plus grande visibilité des forces de l’ordre, qui seront mobilisées en grand nombre sur les périodes du 4 au 9 mai 2016 et du 13 au 17 mai. Votre présence auprès des policiers et des gendarmes, avec les procureurs de la République qui répondraient favorablement à votre invitation, soulignerait plus encore l’engagement du Gouvernement en matière de sécurité routière.

1. Mobilisation des forces de l’ordreJe vous demande donc de mobiliser les forces de l’ordre sur l’ensemble de votre département et, en particulier, sur

les axes et les points accidentogènes.Pour ce faire, vous donnerez des directives précises au directeur départemental de la sécurité publique et au

commandant de groupement pour qu’ils mettent en œuvre des services spécifiques de contrôle des flux lors de ces journées de grandes migrations. Vous impliquerez également les directeurs zonaux des compagnies républicaines de sécurité. Une présence très significative et particulièrement visible sur le terrain devra être assurée de jour comme de nuit.

Vous vous attacherez à ce que tous les moyens disponibles soient déployés afin de lutter contre les vitesses excessives, les conduites sous l’influence de l’alcool et/ou de stupéfiants en application des nouvelles dispositions prévues par la loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé qui élargit et harmonise les possibilités de contrôles. J’entends que les dispositifs répressifs soient mis en œuvre en profondeur avec une multiplicité des points de contrôle. Les polices municipales devront être associées à ces actions.

Vous porterez une attention particulière à l’égard des conducteurs de deux-roues motorisés. En effet, ces usagers vulnérables sont fortement impliqués dans les accidents les plus graves et vous veillerez donc à ce que des opérations spécifiques soient diligentées pour réprimer les comportements déviants et relever les infractions concernant, notamment, les plaques d’immatriculation non conformes.

D’une manière générale, outre les principales infractions génératrices d’insécurité routière, je vous demande de donner des instructions précises afin que l’ensemble des infractions résultant de l’inobservation des règles du code de la route soit fermement sanctionné quel que soit le type d’usager.

2. Médiatisation de l’engagement des forces de l’ordrePour démultiplier les effets de l’engagement des forces de l’ordre sur le terrain, vous initierez des actions de

communication lors des principales opérations de contrôle pour sensibiliser et informer les usagers de la détermination des pouvoirs publics dans ce domaine. Au-delà de votre engagement sur le terrain, vous recherchez la médiatisation dans la presse locale des principales opérations de contrôle réalisées sous votre autorité. Il s’agit d’une dimension à part entière de votre politique de sécurité routière. Afin de valoriser cette mobilisation sur l’ensemble du territoire, je vous demande de concentrer sur la matinée du 5 mai 2016 les opérations de communication auxquelles je participerai moi-même.

ait leF 3 mai 2016. Le ministre de l’intérieur, Bernard cazeneuVe

Documents

Bulletin officiel du ministère de l'intérieur - N° 6 du …15 juIN 2016. – INTÉRIEuR 2016-6 – SOMCHR – PAGE 5 BuLLETIN OFFICIEL Du MINISTÈRE DE L’INTÉRIEuR Pages 4 avril