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CETIME news Responsable de la publication: Mohamed Férid HERELLI Coordination : S. Ben Fadhel - ont participé à ce numéro :M. Hajji - T. Ben Saâd - A. Elloumi- H. Trigui– F. Guesmi Photographe : E. Trabelsi - Conception et réalisation: A. Ghariani LE CETIME - GP7 - Z.I. Ksar Saïd - 2010 La Manouba - Tél.: 70 146 000 - Fax : 70 146 071 Numéro vert : 80100348 - E-mail : [email protected] - site web : www.cetime.ind.tn Edito : - Les nouveaux enjeux pour l’entreprise ! Actualités : - Le CETIME renforce son réseau de partenariat Européen - Projet STEG de distribution de 1 million de lampes basse consommation « LBC » - Matériovigilance des Dispositifs Médicaux - Projet AFRA RAF8043: réunion de coordination sur les CND - Les nouvelles technologies de climatisation Veille & Informations : - Performance Energétique des Climatiseurs: nouvelle disposition réglementaire - Pôles de compétitivité : Financement des nouveaux projets - Difficile à recycler : lampe basse consommation - Quand les industriels fabriquent la recherche fondamentale Données du secteur : - Le secteur des IME en croissance continue Agenda : RIAL EDITO P. 1 P. 2 P. 4 P. 5 P. 6 P. 8 P. 9 P. 10 P. 11 P. 12 P. 13 P. 17 Site web: ŚƩp://issuu.com/ceƟmenews/docs Au seuil de la nouvelle année 2011, les managers et chefs d’entreprises sont souvent hantés par deux préoccupations majeures. La première concerne la situation de l’année écoulée, tenant compte de l’évaluation des résultats et des situations d’inventaires et de bilans, et la seconde, ayant trait aux démarches à entreprendre pour répondre au mieux aux besoins croissants d’une clientèle de plus en plus exigeante et atteindre les objectifs du nouvel exercice. A ces préoccupations « classiques » s’ajoutent les nouveaux soucis liés à la conjoncture économique mondialisée, les incitant à investir en permanence dans la recherche de nouveaux gisements de performance. Car, pour se maintenir dans la course de compétitivité, l’entreprise doit composer avec la complexité et la diversité croissante des facteurs de productivité. Il s’agit certes, de défis additionnels à relever par les entre- prises tunisiennes moyennant une vision claire et anticipative pour pouvoir édifier à temps, puis maîtriser les différents gisements de compétitivité. En tête de liste de ces ressources, vient le capital humain qui demeure un sentier fondamental et inépuisable, sur lequel s’articule toute activité gagnante. Car il est clair aujourd’hui, que la performance de l’entreprise réside dans sa capacité à opérer de nouvelles combinaisons entre les différentes ressources dont elle dispose pour pouvoir réagir à temps aux nouvelles contraintes ou opportunités, en puisant notamment dans son « capital » savoir, connaissance, montée en compétence…, qui ne pourrait s’effectuer qu’à travers l’adoption d’un management participatif incitant à l’imagination, à la créativité et à l’intelligence collective et la parfaite adhésion des ressources humaines. Ce mode de management est plus que jamais imploré pour nos entreprises car il permet d’accroître la rentabilité et la qualité du produit pour être toujours plus innovant et donc compétitif. C’est le modèle idéal pour accompagner la mutation que connaît l’industrie tunisienne, axée principalement sur le renforcement de son assise technologique. Cette mutation ne pourrait s’opérer sans l’engagement fort et soutenu des chefs d’entreprises à persévérer dans la voie de l’innovation qui est le fruit d’un management mettant en avant les initiatives créatives au sein de l’organisation. Le choix stratégique des pouvoirs publics de développer une infrastructure technologique en phase avec la mutation profonde que connaît notre industrie est aujourd’hui une réalité évidente qui se confine de jour en jour pour préparer le terrain favorable et inciter l’imagination au sein des entreprises qui voudraient accéder à des paliers supérieurs de développement, en procédant à des innova- tions au niveau de leurs produits, procédés de production, organisation ou marketing. Le CETIME, fidèle à sa tradition et de par son expérience et sa connaissance pertinente du secteur, ne cesse de développer sa notoriété et son positionnement en tant que « prometteur technologique », pour apporter l’assistance technologique aux PME/PMI dans la mise en œuvre de leurs projets innovants autour des thèmes sur lesquels se profilent les nouvelles technologies tels que la mécatronique, les systèmes embarqués, le prototypage rapide, la micro-électronique, les nano-matériaux, les TIC, …etc., en plus des outils d’amélioration de la qualité et de la productivité. Le CETIME ne pourrait laisser passer cette occasion sans adresser ses meilleurs vœux de réussite et de prospérité à tous les chefs d’entreprises et leur souhaiter un rayonnement aussi bien à l’échelle nationale qu’internationale. SOMMAIRE

cetimenews 49 - Decembre 2010

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Cetime news bulletin électronique mensuel, édité par Le Centre Technique des Industries Mécaniques et Electriques - Le CETIME - TUNISIE

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CETIME newsResponsable de la publication: Mohamed Férid HERELLI Coordination : S. Ben Fadhel - ont participé à ce numéro :M. Hajji - T. Ben Saâd - A. Elloumi- H. Trigui– F. Guesmi

Photographe : E. Trabelsi - Conception et réalisation: A. GharianiLE CETIME - GP7 - Z.I. Ksar Saïd - 2010 La Manouba - Tél.: 70 146 000 - Fax : 70 146 071

Numéro vert : 80100348 - E-mail : [email protected] - site web : www.cetime.ind.tn

Edito :- Les nouveaux enjeux pour l’entreprise !

Actualités :- Le CETIME renforce son réseau de partenariat Européen

- Projet STEG de distribution de 1 million de lampes basseconsommation « LBC »- Matériovigilance des Dispositifs Médicaux- Projet AFRA RAF8043: réunion de coordinationsur les CND- Les nouvelles technologies de climatisationVeille & Informations :- Performance Energétique des Climatiseurs: nouvelle disposition réglementaire- Pôles de compétitivité : Financement des nouveauxprojets- Difficile à recycler : lampe basse consommation- Quand les industriels fabriquent la recherchefondamentaleDonnées du secteur :

- Le secteur des IME en croissance continue

Agenda :

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Site web: p://issuu.com/ce menews/docs

Au seuil de la nouvelle année 2011, les managers et chefsd’entreprises sont souvent hantés par deux préoccupationsmajeures. La première concerne la situation de l’annéeécoulée, tenant compte de l’évaluation des résultats et dessituations d’inventaires et de bilans, et la seconde, ayanttrait aux démarches à entreprendre pour répondre aumieux aux besoins croissants d’une clientèle de plus enplus exigeante et atteindre les objectifs du nouvel exercice.

A ces préoccupations « classiques » s’ajoutent lesnouveaux soucis liés à la conjoncture économiquemondialisée, les incitant à investir en permanence dans larecherche de nouveaux gisements de performance. Car,pour se maintenir dans la course de compétitivité,l’entreprise doit composer avec la complexité et la diversitécroissante des facteurs de productivité.

Il s’agit certes, de défis additionnels à relever par les entre-prises tunisiennes moyennant une vision claire etanticipative pour pouvoir édifier à temps, puis maîtriser lesdifférents gisements de compétitivité. En tête de liste deces ressources, vient le capital humain qui demeure unsentier fondamental et inépuisable, sur lequel s’articuletoute activité gagnante. Car il est clair aujourd’hui, que laperformance de l’entreprise réside dans sa capacité àopérer de nouvelles combinaisons entre les différentesressources dont elle dispose pour pouvoir réagir à tempsaux nouvelles contraintes ou opportunités, en puisantnotamment dans son « capital » savoir, connaissance,montée en compétence…, qui ne pourrait s’effectuer qu’àtravers l’adoption d’un management participatif incitant àl’imagination, à la créativité et à l’intelligence collective etla parfaite adhésion des ressources humaines.

Ce mode de management est plus que jamais imploré pournos entreprises car il permet d’accroître la rentabilité et laqualité du produit pour être toujours plus innovant et donccompétitif. C’est le modèle idéal pour accompagner lamutation que connaît l’industrie tunisienne, axéeprincipalement sur le renforcement de son assisetechnologique. Cette mutation ne pourrait s’opérer sansl’engagement fort et soutenu des chefs d’entreprises àpersévérer dans la voie de l’innovation qui est le fruit d’unmanagement mettant en avant les initiatives créatives ausein de l’organisation.

Le choix stratégique des pouvoirs publics de développerune infrastructure technologique en phase avec la mutationprofonde que connaît notre industrie est aujourd’hui uneréalité évidente qui se confine de jour en jour pour

préparer le terrain favorable et inciter l’imagination au seindes entreprises qui voudraient accéder à des palierssupérieurs de développement, en procédant à des innova-tions au niveau de leurs produits, procédés de production,organisation ou marketing.

Le CETIME, fidèle à sa tradition et de par son expérience etsa connaissance pertinente du secteur, ne cesse dedévelopper sa notoriété et son positionnement en tant que« prometteur technologique », pour apporter l’assistancetechnologique aux PME/PMI dans la mise en œuvre de leursprojets innovants autour des thèmes sur lesquels se profilentles nouvelles technologies tels que la mécatronique, lessystèmes embarqués, le prototypage rapide, lamicro-électronique, les nano-matériaux, les TIC, …etc., enplus des outils d’amélioration de la qualité et de laproductivité.

Le CETIME ne pourrait laisser passer cette occasion sansadresser ses meilleurs vœux de réussite et de prospérité àtous les chefs d’entreprises et leur souhaiter un rayonnementaussi bien à l’échelle nationale qu’internationale.

SOMMAIRE

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CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

Animé d’un souci permanent d’élargir sondomaine d’intervention au profit desentreprises relevant du secteur des IME, tout enveillant à l’adaptation de ses actions à laprospective de la stratégie industrielle, le CETIMEne cesse de renforcer son ass i setechnologique à travers notamment le renforcementde son réseau de partenariats à l’échelleinternationale et la consolidation de son savoirfaire.

Ainsi, et en complément à son expertisedéveloppée grâce à un partenariat « gagnant/gagnant » établi avec son homologue français

« CETIM », CEMAFROID (France) , AT4 Wireless (Espagne), ISQ (Portugal), ISI (France), SWECO(Suède),… et ses retombées sur le niveau d’appropriation des nouvelles technologies par lesentreprises tunisiennes, à travers les actions d’assistance et d’accompagnement menéesconjointement pour assurer le transfert de technologies et de savoir faire dans différents domaines,notamment dans les domaines du soudage et ses techniques connexes, de la maintenance préventiveet du froid industriel, le CETIME a procédé, le mardi 7 décembre 2010, à la signature d’uneConvention Cadre de partenariat avec le Pôle de Compétitivité français « ViaMéca » pour élargir sonassise technologique et mettre à la disposition des entreprises des compétences dans les différentsdomaines d’activité des IME.

Sachant que ViaMéca est un pôle de compétitivité regroupant sur un même territoire (Rhône-Alpes,Auvergne, Limousin et une partie des régions Centre, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon), desgrandes entreprises et des PME, des organismes de recherche publics et privés et des établissementsde formation et a pour vocation de faire émerger des projets collaboratifs innovants dans la filièremécanique (depuis 2006, plus de 200 projets de R&D collaboratifs ont été labellisés par Via Méca), etce, en puisant dans un réseau de compétences hautement qualifiées regroupant plus que 2500chercheurs des domaines public et privé et 400 ingénieurs et diplômés en masters de Recherche paran.

Le pôle se positionne actuellement, en tant qu’acteur principal d’accompagnement de la mutationprofonde de l’industrie mécatronique, visant le passage d’une position de fabricant de produits versune logique de fournisseur de service durable via un leadership scientifique et de nombreux projetsR&D axés sur trois thèmes : Procédés Avancés de fabrication, Ingénierie de Surface etSystèmes intelligents & Robotique.

Le CETIME renforce son réseaude partenariat Européen

Signature le 7 /12/2010 par MM. André Malet et Férid Herellid’une convention cadre de partenariat ViaMéca / CETIME

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CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

A travers ce nouveau partenariat, qui s’inscrit dans la mise en œuvre de la stratégie industrielle à

l’horizon 2016 et la valorisation du contenu technologique de l’industrie nationale autour des filières

touchant à l’aéronautique, les systèmes embarqués, les implants médicaux utilisant les nouveaux

matériaux, … et ce, en facilitant l’accès aux entreprises industrielles tunisiennes aux réseaux

internationaux, le Centre vise à faire bénéficier ces entreprises de nouveaux atouts pour le

développement à l’international et l’amélioration de leurs performances.

A cet effet, il y a lieu de mentionner que l’objet spécifique de cette convention est de transférer les

technologies françaises avancées en mécatronique et contrôle industriel auprès des entreprises

tunisiennes et de développer une capacité conjointe « gagnant-gagnant » d’actions à haute valeur

ajoutée technologique sur la région euro méditerranéenne et les régions limitrophes accessibles

depuis la Tunisie.

Elle vise, en particulier, à réaliser des actions couvrant les domaines de formation, d’ingénierie et de

conseil, de conception et de mise en œuvre de grands projets de développement industriel, ainsi que

des programmes de promotion de l’innovation au sein des entreprises industrielles.

Aussi, et dans le cadre des projets nouveaux que le CETIME souhaite faire aboutir avec l’appui de la

coopération avec ViaMéca, on cite notamment :

Le développement des activités du CRT de Sousse autour de la mécatronique à travers le

transfert des technologies innovantes dans le domaine des procédés de fabrication, de l’ingénierie de

surfaces, de la robotique, de l’aéronautique, de l’automobile et de l’efficacité énergétique.

L’amélioration de la qualité et de la productivité au sein des IME à travers des actions

structurantes en matière de gestion de la production et de l’encadrement technique ainsi que

l’amélioration de l’infrastructure qualité du CETIME pour servir au mieux les entreprises exportatrices.

Il revient de signaler, par ailleurs, que cette convention a été conclue en marge d’une visite officielle

d’une délégation composée de hauts responsables et experts du Ministère de l’Industrie et de la

Technologie, du Ministère de l’Enseignement Scientifique et de la Recherche Scientifique, de l’ENISO,

de la SPCS et de la société TELNET et s’insère dans le cadre de l’exécution du plan d’actions pour la

création du Centre des Ressources Technologiques (CRT) de Sousse.

Au cours des visites effectuées aux pôles technologiques ViaMéca et MINATEC, la délégation

tunisienne a traité, avec les responsables français de ces pôles, de nombreux sujets se rapportant

notamment aux modalités pratiques de réalisation d’une salle blanche au CRT – Sousse à l’instar de

celle qui existe au pôle MINATEC, ainsi qu’à la co-diplômation, échange de professeurs et étudiants

visiteurs, etc. , avec l’ENISE (Ecole Nationale d’Ingénieurs de Saint-Etienne), l’IFMA (Institut Français

de Mécanique Avancée) , l’ENSIL (Ecole Nationale Supérieure d’Ingénieurs de Limoges, CEMAGREF

(Institut de Recherches en Sciences et Technologies pour l’Environnement), à l’innovation

technologique et aux moyens de renforcement des capacités de laboratoires du CETIME.Contact : M. MM. Hajji – poste 1508

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CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

Le CETIME a participé à la journée d’information organisée

par la STEG le 24 décembre 2010 pour le lancement du

projet de distribution d’un million de lampes basse

consommation « LBC » à ses clients résidentiels ayant une

puissance souscrite de 1 à 2 KVA.

Ce projet s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du

mécanisme de développement propre (MDP) établis par le

protocole de Kyoto ratifié par la Tunisie le 22 janvier 2003 et

plus précisément dans son article 12.

L’objectif essentiel de cet accord étant de promouvoir les actions de réduction des émissions de

gaz à effet de serre.

Ainsi, et dans le cadre de sa contribution à l’effort national de maîtrise de l’énergie, la STEG a opté

pour la mise en œuvre d’un ensemble de moyens d’actions dont la réduction de consommation de

l’énergie dans l’éclairage des ménages par l’acquisition d’un million de lampes basse

consommation et leur distribution aux clients résidentiels à faibles revenus. Cette action vient

compléter les actions déjà engagées par les pouvoirs publics encourageant l’utilisation des LBC.

Ce projet devrait atteindre un gisement d’économie d’énergie de l’ordre de 63 GWh sur 7 ans soit

l’équivalent de 105000 Tep d’énergie primaire.

La journée a réuni les différentes parties prenantes dans une perspective de recensement des

différentes appréciations des participants sur le projet

Le CETIME, de son côté, a présenté lors de cette journée, à travers l’intervention de son Directeur

Général Monsieur Férid Herelli, le laboratoire photométrie du CETIME et la contribution du Centre

en matière de contrôle qualité des lots de LBC qui seront distribués, en tant qu’étape nécessaire à

la réussite de ce projet. Monsieur Hérelli a par ailleurs, fait part de l’expérience du CETIME dans

ce domaine notamment à travers les essais de lots de LBC réalisés dans le cadre du contrôle

technique à l’importation, contrôle de marché ou dans le cadre des essais demandés par les

industriels. Il a souligné également le taux de non-conformité constaté qui est relativement élevé

pour ce type de produit et qui a atteint pour certaine période les 22 % de la part des lots testés.

Projet STEG de distribution de 1 millionde lampes basse consommation « LBC »

Contact : M. H. Trigui– Tél: 70 146 429

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CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

La matériovigilance est la surveillance des incidents ou des risques d’incidents pouvant résulter de

l’utilisation des dispositifs médicaux après leur mise sur le marché, c'est-à-dire une fois que ces

dispositifs médicaux aient franchi la porte des établissements de santé »

C’est dans ce contexte que s’est tenue, le 13 décembre 2010, un séminaire national intitulé Les

vigilances des produits de santé : Matériovigilance et Coordination des vigilances, organisé

par l’Agence Nationale de Contrôle Sanitaire et Environnemental des Produits (ANCSEP).

Ce séminaire qui a rassemblé plusieurs professionnels de la santé publique tunisienne, a passé en

revue les moyens et les procédures existantes pour minimiser les risques et vérifier la conformité

des dispositifs médicaux ; des règles d’approvisionnement jusqu’au contrôle de technique de ces

dispositifs avant leur mise sur le marché.

L’ANCSEP a présenté un projet de mise en place d’un système de signalement des incidents de

matériovigilance ainsi qu’une fiche de signalement d’un incident ou de risque d’incident.

Pour sa part, l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFFSAPS) a présenté

l’expérience française en matériovigilance ainsi que la coordination des diverses institutions

intervenantes dans la matière.

Parmi les recommandations du séminaire, il y a lieu de signaler la nécessité de dynamiser le

système de matériovigilance tunisien, de manière à assurer l'efficience de ces équipements, et

renforcer le rôle du système de contrôle et de veille sanitaire.

Matériovigilance des Dispositifs Médicaux

Contact : M. T. Tabka– Tél: 70 146 426

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CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

Dans le cadre du projet RAF 8043, pour le développement des techniques de CND dans l’industrie,

l’Agence Internationale de l’Energie Atomique « AIEA » a organisé une réunion de coordination

à Dar es Salam - République Unie de Tanzanie qui s’est déroulée du 06 au 10 décembre 2010 et ce,

en collaboration avec « TIRDO », l'institution représentant le pays pour ce projet.

Ont assisté aux travaux de cette réunion africaine, les coordinateurs du projet venant des différents

pays africains membres à savoir : la Tunisie, l’Algérie, l’Angola, le Cameroun, la République

démocratique du Congo, le Ghana, le Maroc, les îles Maurice, le Nigéria, l’Afrique du Sud, le Soudan,

la République-Unie de Tanzanie et le Zimbabwe.

La réunion a été ouverte par le Secrétaire Permanent du Ministère de la Science de la Communication

et de la Technologie Tanzanien, Docteur Florens Turuka qui s’est montré confiant quant à l’aptitude

des programmes élaborés dans le cadre de ce projet à hisser le niveau de développement des Essais

non destructifs « CND » en Afrique.

L'AIEA a été représentée par Monsieur Michel WARNAU « Programme Management Officer » et

M. Isaac Einav, expert technique. Du côté tunisien, c’est le CETIME qui a représenté la Tunisie pour

ce projet à travers Madame Asma KHARRAT en qualité de coordinatrice nationale.

PROJET AFRA RAF8043REUNION DE COORDINATION SUR LES CND

Dar-es Salam, Tanzanie

LE CETIME

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CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

Les rapports et exposés présentés au cours de cette réunion ont relaté les efforts significatifs

engagés par plusieurs pays africains dans la promotion de l’utilisation des CND dans leurs pays

respectifs ainsi qu’une forte implication pour engager et développer des systèmes de formation et de

certification du personnel opérant dans ce domaine à l’instar du système tunisien qui demeure une

référence pour les pays africains.

Les participants ont par ailleurs, exprimé leur reconnaissance à propos de l’excellente organisation en

Tunisie - (à Hammamet), de la 5ème Conférence Africaine sur les CND « ACNDT », qui s’est

déroulée au mois de mars 2008.

Il a été rappelé au cours de cette réunion l’organisation de la 19ème Conférence mondiale sur les CND

en Afrique du Sud en 2012 qui, couvrira aussi et par la même occasion, une session spéciale consa-

crée à la région d'Afrique, organisée par l’AFNDT.

Il importe de signaler en conclusion, que l’AIEA et l'AFRA jouent un rôle important dans la promotion

de l'utilisation des (CND) en Afrique. De fait, les quinze pays africains ayant participé à cet accord

« AFRA » ont connu un essor et une croissance économique, qui a permis à la majorité de ces pays de

se doter des infrastructures de base et d’équipements modernes de CND.

Les programmes de L'AIEA et de l’AFRA ont par ailleurs, contribué à la création de deux Centres

Régionaux Désignés (RDC). Ces deux centres sont le CETIME en Tunisie pour les pays francophones

et le SAIW en Afrique du Sud pour les pays anglophones. Leur rôle étant de dispenser de formation,

qualification et certification reconnues à l’échelle internationale au profit de personnel en CND.

En outre, et grâce à des bourses octroyées par l'AIEA, des cours de formation ont été dispensés par

les deux centres régionaux et un grand nombre de techniciens en CND a été certifié pour les niveaux

I, II et III dans les quatre méthodes de base de contrôle radiographique (RT), contrôle par ultrasons

(UT), contrôle par magnétoscopie (MT) et par ressuage (PT).

Contact : Mme A. Kharrat – poste 1499

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SERVITRADE (Tunisie), faisant partie du groupe SERVICOM, et HITACHI (Japon) ont organisé le jeudi

16 décembre 2010 dans un hôtel à Tunis, un séminaire ayant pour thème «Les nouvelles

technologies de climatisation ( Inverter et DRV) et leurs contribution dans l’économie

d’énergie ».

Cette journée a été axée essentiellement sur la présentation des principes techniques de ces

nouvelles technologies ( Inverter et DRV) et la politique nationale de maîtrise de l’énergie dans le sec-

teur du bâtiment.

L’objectif qui lui a été voué étant de mettre en valeur les procédés de réduction de la consommation

d’électricité et ce grâce aux nouvelles technologies utilisées dans les systèmes de climatisation à

savoir les systèmes avec débit de réfrigérant variable (DRV) et les systèmes avec vitesse variable

(INVERTER) qui ont plusieurs avantages (confort, durée de vie élevée, économie d’énergie)

Le CETIME a été présent à cette manifestation par une contribution sur les tendances du marché à

travers les différents tests et essais effectués dans ses laboratoires sur les climatiseurs et les résultats

obtenus. L’accent a été mis essentiellement sur les méthodes normatives de classification

énergétiques des appareils de climatisation individuelle et l’orientation des classes énergétiques vers

les classes économes (1,2 et3) suite à la mise sur le marché Tunisien de produits innovants et à la

réglementation législative (élimination progressive des classes énergétivores).

CETIME NEWS N° 49ACTUALITES

Les nouvelles technologies de climatisation

Contact : M. A. Touiti– poste 1487

Tests sur les climatiseurs

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CETIME NEWS N° 49VEILLE & INFORMATIONS

Performance Energétique des Climatiseurs: nouvelle disposition réglementaire

Suite à la parution des Arrêtés conjoints du

Ministère de l’Industrie et de la Technologie et du

Ministère du Commerce et de l’Artisanat (Jort N° 79

et 101 respectivement en date du 1er octobre et 17

décembre 2010) relatifs aux performances

énergétiques minimums des appareils de

climatisation individuelle de puissance frigorifique

inférieure à 12 Kw, il est désormais interdit à la

vente à partir de janvier 2011 les climatiseurs de

classe énergétique 4 et 5. Il est également prévu à

partir de janvier 2012 l’interdiction de la vente sur le marché des climatiseurs de classe

énergétique 3.

Le CETIME bien conscient de cette nouvelle disposition réglementaire ayant pour but de hisser le

niveau de performance des produits de climatisation mis sur le marché, demeure attentif à

l’écoute des industriels et des opérateurs économiques agissant dans ce secteur, pour les assister

dans leur démarches d’amélioration de la qualité et d’homologation de leur produits. Dans ce

cadre, le Centre les invite à procéder le plutôt possible aux essais de classification énergétique de

leurs prototypes et échantillons afin d’éviter les files d’attente et la période d’affluence coïncidant

avec la saison de commercialisation de ce type de produit. Par ailleurs, et conformément à sa

politique d’écoute et d’appui aux industriels, le CETIME est disposé à mener des essais de

classification énergétique sur des climatiseurs au sein d’autres laboratoires qui répondent aux

exigences normatives de qualité (ISO 17 025) et réglementaires relatives au domaine de

l’étiquetage énergétique des climatiseurs.

Jort N 79: http://www.iort.gov.tn/WD120AWP/WD120Awp.exe/CTX_8148-235-eNjERXDTbg/

RechercheJORT/SYNC_-1391154889

Jort N 101: http://www.iort.gov.tn/WD120AWP/WD120Awp.exe/CTX_8148-235-eNjERXDTbg/

RechercheJORT/SYNC_-1391063686

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CETIME NEWS N° 49VEILLE & INFORMATIONS

Pôles de compétitivité : Financement des nouveaux projets

Le dixième appel à projets des pôles de compétitivité est

clos: 73 nouveaux projets seront financés. Les ministères

apportent 63 millions d'euros, les collectivités locales et le

FEDER 60 millions.

Parmi les projets retenus, deux grands thèmes: les TIC et la

protection de l'environnement. Focus sur l’un des projets centré sur

ce dernier sujet:

L'utilisation des batteries Lithium-ion a explosé ces dernières

années, avec l'essort des téléphones et ordinateurs portables. Mais

pour des applications industrielles, des progrès restent à faire en terme de durée de vie et de

sécurité. Autre nécessité: le processus de fabrication de ces batteries va devoir devenir plus

respectueux de l'environnement.

Sur ce sujet, quatre pôles de compétitivité (Plastipolis, Tenerrdis, Viameca et Elastopole)

travaillent ensemble dans le cadre du projet Greenelion. L'objectif: développer un nouveau

procédé d'élaboration de batteries Lithium-ion, plus performant et plus écologique.

http://www.usinenouvelle.com/article/poles-de-competitivite-nouveaux-projets-finances.N136331

http://www.facebook.com/pages/La-Manouba/Cetime-news/158826304140599

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CETIME NEWS N° 49VEILLE & INFORMATIONS

Difficile à recycler:LAMPE BASSE CONSOMMATION

Avec le retrait progressif des ampoules à incandescence dumarché européen depuis 2009, les lampes basseconsommation (ou lampes fluorescentes compactes) règnentdésormais sur l'éclairage. Malgré une durée de vie moyennede sept ans, elles vont rapidement représenter un volumeimportant de déchets. En France, on estime que 2400tonnes de lampes arriveront en fin de vie en 2012. Lesprocédés de recyclage (broyage et découpage) sont déjàbien rodés. La directive européenne sur les déchetsd'équipements électriques et électroniques (D3E) imposeaux fabricants de gérer la collecte et le traitement deslampes. Le mercure qu'elles contiennent, produit dangereux,nécessite un traitement spécifique. « Le taux de recyclageatteint plus de 90%», affirme Hervé Grimaud, le directeurgénéral de Recylum, l'éco-organisme prenant en charge leslampes usagées.

Les solutions actuelles: Le verre (88% du poids de lalampe) est récupéré après broyage. Il est réutilisé pour fairedes isolants pour le bâtiment, des abrasifs pour façades oudes remblais d'autoroutes. Il ne peut en revanche pas servirà la fabrication de nouvelles lampes, car les qualités de verresont différentes selon les fabricants. Les métaux (fer, cuivre,aluminium... soit 5% du poids de la lampe) sont séparés etrevendus pour la fabrication d'autres produits. Le mercure,présent sous forme de gaz (0,005%, soit 1 à 25 mg parlampe), est extrait avant d'être enfoui en centre destockage. En raison de sa dangerosité et de son excédent sur lemarché, l'Union européenne incite à ne pas le recycler.

Les solutions à développer: Les lampes contiennent desmélanges de plastiques en petites quantités (quelquesgrammes par lampe). Les recycler ne serait pas rentable et cettematière est aujourd'hui incinérée. Autre point noir: les poudresfluorescentes qui tapissent l'intérieur de l'ampoule (3 %). S'il estpossible de les aspirer et de les récupérer par lavage sec ouhumide, on ne sait pas encore les réactiver. Elles sont alorsenfouies, en raison des traces de mercure et des métaux lourdsqu'elles contiennent. Elles renferment également des terres rares,dont la production est entièrement maîtrisée par la Chine. Leurrécupération s'avère être un enjeu important. Des chimistes, commeRhodia, mènent en toute discrétion des travaux dans ce sens.

Poudres

fluores-

centesLes poudresfluorescentes,actuellemente n f o u i e s ,renferment desterres raresqu'il seraitintéressant derécupérer.

verre

mercure

plastique

métaux

L’Usine Nouvelle, n° 3204 du 09 au 15 Septembre 2010

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CETIME NEWS N° 49VEILLE & INFORMATIONS

Quand les industriels fabriquent la recherchefondamentale

Un accord vient d'être concluentre de grands centres derecherche français et degrands industriels. Objectif ?R e n f o r c e r l e u rc o l l a b o r a t i o n p o u rmaintenir la technologiefrançaise dans les premiersrangs mondiaux.Les industriels en avaient rêvélors des Assises de l’industrie

organisées cette année par L’Usine Nouvelle. LeCNRS, le CEA et Soleil, une infrastructure source etlaboratoire d'utilisation de lumière synchrotronfrançaise ont signé une convention avec de grandsi n d u s t r i e l s a f i n d e r e n f o r c e r l e u rcollaboration. La synergie entre la recherchefondamentale et la recherche incrémentale a fait unpas en avant.

Qui est concerné par cet accord?

Du navire de recherche au satellite, du télescope augrand collisionneur de l’Adron, de très grandséquipements et infrastructures sont nécessaires. LaR&D en physique nucléaire et des hautes énergies etautour des très grands centres de rayonnement, telsque les synchrotrons, sont des domaines d’excellencequi ne saurait reposé sur les épaules d’un seul acteur.Les centres de recherche ont signé l’accord le 21décembre 2010 avec avec l'Association desPartenaires Industriels des Grands équipementsScientifiques (PIGES). Celle-ci fédère les entreprisesfrançaises (PME et grands groupes), impliquées dansla recherche, le développement et la mise en œuvrede l'instrumentation de pointe, nécessaire aux TrèsGrands Equipements et Infrastructures de Recherche(TGEIR).

Pourquoi est-ce nécessaire pour les centres derecherche?

L’alliance de compétences centres de recherches etd’entreprises industrielles permet de répondre auxbesoins immenses d’instrumentation dans le domainede la physique des hautes énergies : études dedéfinition, premiers prototypes, choix technologiquesde plus en plus précis, jusqu'à la réalisation desinstruments eux-mêmes composés parfois de milliers

de sous-ensembles et de capteurs nécessitant uneextrême précision dans des environnements hostiles dehaute technicité. Certains nécessitent des réalisationsen ultravide à quelques degrés Kelvin, dans l'espace,dans les déserts ou encore dans la mer à 2500 m deprofondeur).

Pourquoi est-ce intéressant pour les industriels ?

Le secteur des très grandes infrastructures estextrêmement concurrentiel sur le plan international..Selon l’étude ERID-WATCH Findings andRecommendations (European Commission December2008), cette L'exploitation, la maintenance et lesévolutions des 300 moyennes et grandesinfrastructures européennes existantes et les nouveauxprojets représentent un marché direct de 8 à 9milliards d'euros pour les entreprises européennes quiy participent, en augmentation de plus de 5% par ances dix dernières années. Sans compter les évolutionstechnologiques qui pourront, dans certains cas, êtreutilisés dans les produits manufacturés ou dans leprocess de production.

Comment ce partenariat se met en place ?

Le but est de renforcer les échanges entre industrielset laboratoires pour une meilleure connaissance desbesoins, des outils et des services de chacun (verroustechnologiques à lever, feuilles de route respectives etchoix technologiques correspondants à fixer). Pourcela, des efforts ont été mis en place pour renforcer lescompétences mutuelles des équipes et favoriser lamobilité des chercheurs, ingénieurs et techniciensentre organismes publics et entreprises. Ce type decoopération scientifique existe déjà aux États-Unis, enAsie et dans d'autres pays européens. Cettecollaboration spécifique entre recherche académique etindustrie françaises a vocation à être étendue àd'autres organismes et partenaires industriels et con-tribuera au renforcement de l'Europe dans lacompétition internationale.

http://www.usinenouvelle.com/article/quand-les-industriels-fabriquent-la-recherche-fondamentale.N143965

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CETIME NEWS N° 49

les 11 mois 2010: Le secteur des IME en croissance continue

DONNEES DU SECTEUR

Durant les 11 mois 2010, les paramètres du secteur des industries mécaniques et électriques « IME » ont

affiché une augmentation au niveau des exportations par rapport à la même période de l’année 2009. Cette

augmentation est de 35 % soit 1. 890,9 millions de dinars (7 295,2 MD pour les 11 premiers mois de

2010 contre 5 404,3 MD pour la même période 2009).

Les exportations des IME, représentent 34,4 % de l’ensemble des exportations des produits contre 30,8 %

par rapport à la même période de l’année précédente.

Durant la même période, les importations ont affiché une augmentation de 30 % soit 3.076,3 millions

de dinars (13. 339,8 MD pour les 11 mois 2010 contre 10 263,5 MD pour la même période de l’année

2009).

Concernant le taux de couverture et comme indiqué dans le graphique ci-dessus, il affiche une valeur de

54,7 %, soit une amélioration de 3,8 % par rapport aux 11 mois de l’année 2009. On remarque que ce

taux de couverture est le maximum enregistré depuis 5 ans.

Pour le régime offshore et comme indiqué dans le graphique suivant, le taux de couverture enregistre une

valeur satisfaisante de 152 % et ce, en dépit d’une baisse de 6,9 % par rapport aux 11 mois de 2009.

Source : INS

Source : INS

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Analyse mensuelle

Entre le mois de novembre 2009 et le mois de novembre 2010, les exportations ont passé de 558,9 MD à

682,4 MD soit une augmentation de 22,1%. On remarque pour l’année 2010, un minimum d’export de 528,2

MD enregistré durant le mois d’août et un maximum de 817,7 MD atteint au mois d’octobre 2010.

L’analyse de l’import montre que le maximum est enregistré au cours du mois de mai 2010 (1 474,2 MD) (voir

tableau et graphique suivant)

CETIME NEWS N° 49DONNEES DU SECTEUR

Unité : Millions de dinars

Mois2008 2009 2010 Evolution Export %

Export Import Export Import Export Import 2009 /2008

2010 /2009

JANV. 509,9 864,2 432,0 825,9 569,1 1 057,1 -15,3 31,7FEV. 535,3 848,2 433,8 876,5 541,2 991,2 -19,0 24,8MARS 541,9 880,8 461,6 830,7 655,2 1 308,5 -14,8 41,9AVRIL 608,8 1 031,8 514,5 951,3 674,9 1 225,9 -15,5 31,2MAI 590,2 1 096,8 488,4 917,3 728,2 1 474,2 -17,2 49,1JUIN 546,1 1 113,1 489,1 1 036,0 749,8 1 363,5 -10,4 53,3JUIL. 493,1 1 008,3 518,6 902,6 703,5 1 289,8 5,2 35,7AOUT 365,8 1 097,8 393,9 968,6 528,2 1 120,1 7,7 34,1SEPT. 557,4 1 063,1 511,3 896,0 645,0 1 173,9 -8,3 26,1OCTO. 599,5 1 052,4 602,2 1 159,1 817,7 1 210,7 0,5 35,8NOV. 480,3 919,7 558,9 899,5 682,4 1 124,9 16,4 22,1S/TOTAL 5 828,3 10 976,2 5 404,3 10 263,5 7 295,2 13 339,8 -7,3 35,0Moyenne 529,8 997,8 491,3 933,0 663,2 1 212,7

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Le graphique suivant montre l’évolution des exportations des sous-secteurs :

CETIME NEWS N° 49DONNEES DU SECTEUR

N.B : -Matériel de transport : tracteurs, camions, bus et cars, voiture de tourisme, châssis et carrosserie …- Autres industries mécaniques : Toutes les industries mécaniques sauf le Matériel de transportL’analyse de l’export par sous secteur montre que les industries électriques occupent la première place et

représentent 65,9 % de l’ensemble du secteur IME, soit

4 809,8 MD.

On trouve en seconde place l’export des autres industries mécaniques avec 26,2 % et vient en troisième

place le matériel de transport avec seulement 7,9 % du secteur IME.

Cependant, et comme le montre le graphique ci-après, les importations pour les autres industries

mécaniques sont classées en première position avec une part de 46,8 % soit 6 236,6 MD.

Les importations des industries électriques ne représentent que 32,6 % de l’ensemble des importations du

secteur IME alors que le matériel de transport occupe la troisième place avec une part de 20,6 %.

Source : INS

Source : INS

Contact : M. A. Elloumi – Tél: 70 146 495

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CETIME NEWS N° 49DONNEES DU SECTEUR

INDICE DES PRIX DE VENTE INDUSTRIELSBase 2000 Année 2010

Contact : M. A. Elloumi – Tél: 70 146 095

Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet

MACH. ET MAT. MECA. ETELECT.

Produits de la sidérurgie 172,8 172,8 172,8 172,8 172,8 174,5 174,5

Tubes et tuyaux 121,8 121,8 126,1 126,1 126,1 126,1 126,1

Produits en acier 200,6 200,6 200,6 225,2 225,2 225,2 225,2

Métaux non ferreux 103,2 103,2 103,2 103,2 103,2 103,2 103,2

Produits de fonderie 124,1 124,1 124,1 124,1 124,1 124,1 124,1

Construction métallique 150,3 150,3 150,3 155,6 159,8 162,5 161,2

Réservoirs métalliques 158,7 158,7 158,7 181,1 181,1 181,1 181,1

Outillage et quincaillerie 153,5 153,5 156,2 156,2 156,2 156,2 156,2

Autres ouvrages en métaux 134,1 134,1 135,3 135,6 135,6 136,3 136,3

Autres appareils d'usagegénéral 96,8 96,8 96,8 96,8 96,8 96,8 96,8

Equipements ménagers 118,2 118,2 118,2 118,2 118,2 118,2 118,2

Moteurs électriques 172,2 172,2 172,2 172,2 172,2 172,2 172,2

Matériel électrique 138,8 138,8 138,8 138,8 138,8 138,8 138,8

Fils et câbles isolés 293,8 293,8 293,8 293,8 293,8 336,6 336,6

Accumulateurs et pilesélectriques 190,1 190,1 190,1 190,1 190,1 190,1 190,1

Lampes et tubes électriques 115,4 115,4 115,4 115,4 123,1 123,1 123,1

Appareils de réception del'image 43,0 43,0 43,0 43,0 43,0 43,0 43,0

Instruments de mesure 180,6 180,6 180,6 180,6 180,6 180,6 180,6

Matériels optiques 156,9 156,9 156,9 156,9 156,9 156,9 156,9

Cycles et Motocycles 120,5 120,5 117,8 117,8 117,8 117,8 117,8

TOTAL BRANCHE I.M.E. 140,6 140,6 140,9 142,9 143,3 144,7 144,6

Août

174,5

126,1

225,2

103,2

124,1

161,3

181,1

158,4

136,3

96,8

118,2

172,2

138,8

336,6

190,1

123,1

43,0

180,6

171,2

122,9

144,9

Sep-tembre

174,5

126,1

225,2

103,2

124,1

161,3

181,1

158,9

143,8

96,8

118,2

172,2

138,8

336,6

190,1

123,1

43,0

180,6

171,2

122,9

146,0

Oc-tobre

174,5

126,1

225,2

103,2

124,1

172,9

188,3

158,9

143,8

96,8

118,2

172,2

138,8

376,7

190,1

123,1

43,0

180,6

171,2

122,9

148,0

No-vembr

174,5

126,1

225,2

103,2

124,1

172,9

188,3

160,6

144,5

96,8

118,7

172,2

138,8

376,7

190,1

123,1

43,0

180,6

171,2

122,9

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LE CETIME

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