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« ETRE OPEN, C’EST RÉUSSIR ENSEMBLE » 28 janvier de 19H à 20H CHAT COLLABORATEUR Journaliste : Bonsoir à tous et bienvenue dans ce chat vidéo organisé par Open à l'occasion de ses Voeux 2014. C'est l'occasion aussi d'ouvrir le dialogue avec les deux co-présidents d'Open. Journaliste : Ils sont avec nous. Guy Mamou- Mani, si vous aviez un mot introductif ? Guy Mamou-Mani : Bonsoir, une bonne année à nos collaborateurs et une bonne année pour Open. Nous sommes prêts à répondre à toutes les questions et nous sommes toujours très ouverts sur tous les sujets. Frédéric Sebag : L'objectif c'est vraiment de répondre aux attentes de nos collaborateurs et leur dire tout de suite en joignant mes voeux à ceux de Guy que nous aborderons tous les sujets. Frédéric Sebag : Il n'y a pas de sujets ou de questions tabou si celles-ci sont respectueuses. Patrick : Sur un marché très concurrentiel, quels sont finalement les atouts d'Open pour se démarquer ? GMM : C'est vrai que nous sommes actuellement dans un marché difficile, d'ailleurs estimé à -1% pour 2013, +1% pour 2014 et face à une forte concurrence. Mais je crois que ce qui démarquera, différenciera Open, c'est la stratégie solide que nous avons établie il y a deux ans et qui continue de faire ses preuves, nous l'avons d'ailleurs vu au travers de notre croissance 2013. Ce positionnement sur l'industrialisation « Made in France » avec nos centres de services en région et nos capacités d'innovation, par exemple la mobilité ou l'Internet des objets, nous procure une différenciation reconnue par le marché, je crois. Fred : En quoi Open est-elle une ESN Innovante et Responsable ? Raphaël : Qu'entendez-vous par Open, une ESN responsable et innovante ? FSE : Innovante, car elle se positionne d'abord sur des sujets comme celui de la transformation numérique pour lesquels nos collaborateurs vont découvrir notre approche le 6 février prochain lors de notre séminaire commercial. On a vraiment fait une offensive en 2013 pour se présenter à notre marché avec de vraies capacités d'innovation et de différenciation. Une approche responsable car elle a choisi une technique de production in-shore avec un changement de trajectoire d'Open pour en arriver là. J'espère que c'est ressenti comme cela car nous investissons beaucoup là-dessus. GMM : Bravo pour l'utilisation de ce terme « ESN », ce qui montre que notre positionnement est différencié, en avance. Et c'est vrai que le terme Entreprise de Services du Numérique symbolise bien Open. Je crois que cela correspond à autre chose que la SSII d'il y a vingt ans.

CHAT COLLABORATEUR - Successive · Guy Mamou-Mani : Bonsoir, une bonne année ... des sujets comme celui de la transformation numérique pour lesquels nos collaborateurs vont

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« ETRE OPEN, C’EST RÉUSSIR ENSEMBLE »

28 janvier de 19H à 20H

CHAT COLLABORATEUR

Journaliste : Bonsoir à tous et bienvenue dans cechat vidéo organisé par Open à l'occasion de sesVoeux 2014. C'est l'occasion aussi d'ouvrir ledialogue avec les deux co-présidents d'Open.

Journaliste : Ils sont avec nous. Guy Mamou-Mani, si vous aviez un mot introductif ?

Guy Mamou-Mani : Bonsoir, une bonne année ànos collaborateurs et une bonne année pour Open.Nous sommes prêts à répondre à toutes lesquestions et nous sommes toujours très ouvertssur tous les sujets.

Frédéric Sebag : L'objectif c'est vraiment derépondre aux attentes de nos collaborateurs et leurdire tout de suite en joignant mes voeux à ceux deGuy que nous aborderons tous les sujets.Frédéric Sebag : Il n'y a pas de sujets ou dequestions tabou si celles-ci sont respectueuses.

Patrick : Sur un marché très concurrentiel,quels sont finalement les atouts d'Open pourse démarquer ?

GMM : C'est vrai que nous sommes actuellementdans un marché difficile, d'ailleurs estimé à -1%pour 2013, +1% pour 2014 et face à une forteconcurrence.Mais je crois que ce qui démarquera, différencieraOpen, c'est la stratégie solide que nous avonsétablie il y a deux ans et qui continue de faire sespreuves, nous l'avons d'ailleurs vu au travers denotre croissance 2013.

Ce positionnement sur l'industrialisation « Made inFrance » avec nos centres de services en région etnos capacités d'innovation, par exemple la mobilité oul'Internet des objets, nous procure une différenciationreconnue par le marché, je crois.

Fred : En quoi Open est-elle une ESN Innovante etResponsable ?Raphaël : Qu'entendez-vous par Open, une ESNresponsable et innovante ?

FSE : Innovante, car elle se positionne d'abord surdes sujets comme celui de la transformationnumérique pour lesquels nos collaborateurs vontdécouvrir notre approche le 6 février prochain lors denotre séminaire commercial.On a vraiment fait une offensive en 2013 pour seprésenter à notre marché avec de vraies capacitésd'innovation et de différenciation. Une approcheresponsable car elle a choisi une technique deproduction in-shore avec un changement detrajectoire d'Open pour en arriver là.J'espère que c'est ressenti comme cela car nous investissons beaucoup là-dessus.

GMM : Bravo pour l'utilisation de ce terme « ESN », ce qui montre que notre positionnement est différencié, en avance. Et c'est vrai que le terme Entreprise de Services du Numérique symbolise bien Open.Je crois que cela correspond à autre chose que la SSII d'il y a vingt ans.

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CHAT COLLABORATEURPierre-Henry DODART : Bonjour, dans quellemesure le Pacte pour la Compétitivité et l’Emploiva-t-il permettre à OPEN d’embaucher etd’investir ?

GMM : Tout d'abord, on ne peut que se féliciter quenotre Président de la République ait pris ce chevalde bataille, celui de la défense des entreprises et lacompréhension que c'est par les entreprises et laréussite de l'économie qu'on résorbera le chômage.En tant que chef d'entreprise, on ne peut que s'enféliciter.

Chaque année, nous recrutons 400 à 500personnes, donc de ce point de vue, on est déjà uneESN responsable sur ce sujet et j'espère que celava continuer.

D'autant plus, que je suis très heureux que notrerecrutement s’effectue beaucoup par cooptation, cequi est un signal fort de nos collaborateurs.

NEPO2014 : Bonsoir, j'ai lu un encart intéressantqui porte sur "l’accentuation de la crise descompétences : les systèmes mobiles, sociaux oubiométriques nécessitent une hautespécialisation, des compétences qui fontcruellement défaut et sont actuellementimpossibles à trouver sur le marché de l’emploi".Comment OPEN a prévu de faire face à cettepénurie pour rester un acteur majeur dans lacourse à l'innovation ?

FSE : Dans tous les cycles d'évolution desentreprises de services du numérique, depuistoujours, il y a des compétences nouvelles quiémergent et des besoins de former noscollaborateurs.

Il y a des formations de tous nos collaborateurs danstous les domaines et il y a aussi l'arrivée denouveaux collaborateurs qui insufflent une nouvellefaçon de penser, des compétences que nousn'avons pas et avec la création des comitésd'experts, ces connaissances se propagent dansl'entreprise.

C'est naturel pour nous d'être en prise avec lesnouvelles compétences.

Si vous voulez trouver un grand nombre de profilsconfirmés avec de l'expérience assez aboutie,évidemment c'est difficile. Si les clients font lechemin avec nous et amènent des ingénieurs dequalité à une compétence donnée, ça le devientbeaucoup moins.

Michel : Y aura-t-il un réel programmed'embauche de jeunes diplômés en région ?Nous ne sommes que sur du recrutement deprofils expérimentés chassés par toutes lessociétés !

FSE : Michel a raison et cela dépend... Nous, noussommes très volontaires pour embaucher les jeunesmême s'il y a un cycle complémentaire à faire dansl'entreprise. Mais tout dépend des projets.Frédéric Sebag : Sur les projets où les clients pilotentles compétences, nous ne pouvons pas faire ce quenous voulons mais quand nous pilotons, nouspouvons être plus souples pour mettre en avant nosjeunes.

Donc plus nous aurons des projets sur plateaux, plusnous serons maîtres de nos ressources et pourronsdonc favoriser l'embauche des jeunes et mêmel'allocation de missions auprès de nos clients.

Journaliste : Quels types de jeunes diplômésrecherchez-vous ?

FSE : Des profils de Bac+5 en général, à Bac+3 pourla partie IS mais c'est un autre sujet.

les montagnards : Quel est LE fait majeur pourOpen en 2013 ?

GMM : Pour moi, c'est indéniable que le fait majeurest le retour de la croissance. Nous avons vécu troisannées de décroissance avec de gros efforts derestructuration et de réorganisation, nous sommespassés de 200 à 3 000 personnes en quelquesannées.

Et durant ces trois années, il a fallu faire des travauxd'Hercule auxquels ont participé tous noscollaborateurs et l'année 2013 a vu un retour à lacroissance.

Nous avons fait jusqu'à 5,8% de croissance lors dudernier trimestre. On performe le marché donc parconséquent, je crois que c'est un signal énorme pourmontrer qu'Open est parti pour devenir un desleaders de son secteur en France et c'est assezremarquable.

Nous avons réussi tous ensemble, c'est un travail delongue haleine des dirigeants en termes deréorganisation mais aussi un travail de chaquecollaborateur. Nous avons des enquêtes desatisfaction vraiment positives. On voit qu'on sedéveloppe sur des comptes de façon importante.

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CHAT COLLABORATEURNANTES : Qu'est ce qui rend Open compétitifsur son marché ?

FSE : S'il y avait une option sur une deuxièmeperformance sur 2013, j'aurais mis dans cette optionl'aboutissement de notre transformation industrielle.J'englobe aussi bien notre politique de productionque la mise en œuvre de ces solutions et services etla montée en puissance des processus qualité dansl'entreprise avec bientôt une certification ISO 9001entre autres.

Cette progression industrielle, cette mise à niveauindustrielle par rapport à ce qui se fait de mieux enFrance, c'est, avec la croissance, les deux grandscritères qui nous mettent dans une situation que nosconcurrents nous envient et que nos clientsapprécient.

Les éléments de compétitivité, c'est d'être capabled'avoir un prix de marché avec un niveau de qualitésupérieur, largement, à la moyenne de ce qui se fait.

François : Quid de l'international... Où en estOPEN aujourd'hui ?

FSE : Si on ajoute une approche responsable et uneapproche innovante, je crois qu'il n'y a pasbeaucoup d'entreprises qui pourront faire lacompétition avec nous et c'est notre souhait.

GMM : Il faut rappeler que la stratégie d'Open estd'être un acteur majeur en France.Il n'en reste pas moins que nous avons une activitéau Benelux qui est très connexe à celle de la Franceet très proche et qui, aujourd'hui, revient à lacroissance puisque nous avons presque +9% àl'international et donc le Benelux se développeradans le sillage français.

Et nous avons une filiale en Chine qui éclot et quianticipe notre développement futur dans les paysémergents.

FSE : Sur l'international, quelques mots: le premiersera avec toutes les réserves et excusesnécessaires : « vœux en flamand ». On a uneposture qu'on voulait affirmer avec une stratégieagressive à l'international.

Nos bases sont la France et le Benelux et nousvoulons confirmer. On a retrouvé la croissance enFrance et cela vient juste d'arriver au Benelux. Il fautdonc affirmer cette croissance avant d'autres projetsinternationaux même si nous gardons un œil sur laChine.

Il faut d'abord être solide sur nos appuis.Je salue les efforts de la Hollande et la Belgique quiont fait une belle fin d'année.

LA CLINCHE : Quel avenir pour la Belgique ?

FSE : Je crois qu'on y a répondu.Si des résultats commencent à être satisfaisants, ilfaut être prudent pour avoir après un vrai projet decroissance puissant à l'international.

la schroumpfette : A quand l'arrivée du grandSchtroumpf en Belgique ? (DBU en Français)

FSE : Ils ont déjà un beau grand Schtroumpf enBelgique je crois !

MEMEPASPEUR : De quoi n'êtes vous pas satisfaitchez OPEN ? Qu'est ce qui ne fonctionne pas bien?

FSE : Là, vous tapez dans mes défauts : il y a uneexigence forte pour tout le monde et peut-être troppermanente.En tout état de cause, on a fait beaucoup de chosesintéressantes chez Open et on se met cette positionde transformation de manière intéressante.Il faut maintenant traduire ça en percussioncommerciale. On a une très belle assise technique,qualitative et de production sur l'entreprise, un beaudispositif industriel, il faut le traduire dans lapercussion commerciale pour nos équipes.

C'est par la conviction et les grands projets clientsqu'on montera le palier supérieur. L'améliorationprincipale est donc sur la force commerciale.Je n'oublie pas le travail colossal de nos RH pour lafidélisation des équipes et le recrutement descandidats.

Tom : Que manque-t-il à Open pour se hisser versles 5 premières ESN du marché ?

GMM : Je crois qu'il faut d'abord, même si on asouligné notre optimisme et notre satisfaction sur lacroissance du chiffre d'affaires, quand mêmereconnaître que le résultat d'exploitation n'est pas à lahauteur des grands du marché. C'est notre faiblesse.Et nous avons pris l'engagement auprès de lacommunauté économique et financière d'avoir unecroissance de notre chiffre d'affaires, et de faire uneffort en termes de qualité de livraison, de « delivery »de nos prestations pour arriver à avoir une rentabilitédans la norme de la profession, en tout cas lesmeilleurs de la profession, ce que nous visons.

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CHAT COLLABORATEURBenoit Polvorde : Quid des LO 2014?

FSE : Elles sont en train de se faire. C'est en cours,ce sera achevé au plus tard le 10 février.

JP : Nous sommes partenaires GoogleEntreprise depuis déjà un an. Quels sont lessuccès de cette BU ?

FSE : On a fait un partenariat avec Google pour êtreintégrateur des solutions Google dans le monde del'entreprise, c'est l'ensemble des outils demessagerie, agenda et collaboratif.

On a travaillé un an là-dessus, on a pris égalementauprès de Google l'engagement d'installer cesoutils-là dans notre propre entreprise, c'est un travailqu'on a démarré.

Eric de l'ouest : Concernant le partenariatGoogle, est-il prévu de migrer les utilisateursAtmail vers GMail ?

FSE : Tout à fait, nous sommes encore à l'étudepour éviter une régression par rapport à ce quenous avons déjà dans l'entreprise. Ce n'est pas sisimple que ça.

On a une réussite mitigée sur la partie Google Appsmalgré un excellent travail de Raphael Giraud etChristophe Pépin que je salue d'ailleurs, mais on adécouvert une pépite qui, aujourd'hui, se diffusedans l'entreprise, l'univers Google Géo, les produitsde géo localisation s'installant dans toutes lesapplications de l'ère moderne.

Et là-dessus, nous avons de très fortescompétences dans le monde du SIG, la partiedonnées géographiques.

Nous allons renforcer cet aspect de ce partenariatavec Google.

Dans l'ensemble, c'est vrai que ce partenariat estmitigé en termes de résultats sur 2013 mais il esttrès prometteur dans la stratégie entreprise parOpen, peut-être pas directement Google Apps maissur Google Géo, nous sommes très engagés et cesera un très gros succès, je pense.

jemo : Pourquoi n'a-t-on jamais communiqué lesvrais résultats de l'enquête "Quel regard portez-vous sur votre entreprise ?". En effet, l'article quilui est consacré dans l'OPENMAG N9 n'aborde

que trois statistiques concernant la connaissancedu "Portrait De Marque". Quelle que soit la nature,positive ou négative, de ces résultats, il y acertainement des enseignements à en tirer.

FSE : Nous sommes en train d'achever la synthèse etla mise en forme... ce sera disponible dans les joursou semaines qui viennent, dans les 15 jours je penseavec les résultats tels qu'ils apparaissent.

J'ai entendu beaucoup de choses sur ce sujet doncnous sommes tout à fait heureux de pouvoir diffuserles résultats de l'étude, certains sont trèssympathiques et sont une fierté pour Open, d'autresne sont pas aussi sympathiques qu'on voudrait, doncil reste du travail à faire.

Les managers ont eu leurs résultats sur leurs propresrégions et ils préparent également les restitutions.Donc ça vient, nous y travaillons et nous souhaitonsprogresser grâce à cette enquête.

Que les collaborateurs soient rassurés, ce n'est paspour la garder dans un tiroir pour nous que nousl'avons faite, c'est pour la partager et en tirer lesenseignements.

Dans une étude comme ça, il y a quand mêmebeaucoup de ceux qui ont un peu de difficultés ou derancœur, qui ont des choses à dire, qui s'expriment,ce sont les extrêmes qui s'expriment plus que lamoyenne générale mais nous savons tirer les bonsenseignements de tout ça.

YAQUELQU'UNQUIM'ADIT : Quelle est la valeurd'OPEN la moins incarnée ? Pourquoi ? Quemanque-t-il pour changer cela ? Quelle est aucontraire la valeur la plus incarnée, et commentl'expliquez-vous ?

FSE : Sur les valeurs, je crois que les valeurs les plusreprésentées, pour lesquelles les gens se trouvent leplus engagés, ce sont celles de la pertinence, del'engagement et de l'éthique et responsabilité. Lesdeux valeurs qui reviennent un peu moins, c'est lapassion et l'audace.On a un travail à montrer sur la stratégieTransformation industrielle et numérique, ce qu'ellescontiennent en termes d'audace.Et la passion, c'est être capable de créer quelquechose de plus fort au niveau sentimental et moins auniveau professionnel.

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CHAT COLLABORATEURGMM : Ethique & Responsabilité, c'est une desvaleurs les plus citées par les collaborateurs et onrevient à la l'éthique d'une ESN innovante etresponsable et nous sommes très heureux car c'estquelque chose que nous souhaitons mettre en avantdans notre stratégie et c'est reconnu d'ailleurs parnos clients.

C'est aussi un argument commercial donc on allie laresponsabilité citoyenne avec une différenciationauprès de nos clients.

Karl : RSE, n'est ce pas un peu trop marketé ?Pourquoi lui accorder tant d'importance ?

GMM : Ce n'est pas du marketing, nous pensonsque c'est une des caractéristiques de notreentreprise, nous avons souhaité mettre cette valeuren avant et celle-ci est reconnue.Je suis très fier de dire qu'Open soit une des ESNqui, aujourd'hui, offre le même salaire à un hommeet à une femme à responsabilité et anciennetéégale.Malheureusement il y a encore des différences maisavec des efforts et notre attention, nous avonsaujourd'hui cette égalité.

En même temps, il faut dire que ça créé uneattractivité. C'est comme cela qu'autour de nous, lesgens disent: on peut aller dans cette entreprise, ellereconnaît la mixité de façon concrète, ce n'est pasdu marketing, c'est dans nos gènes.

Clara : Comment se traduit le Mieux Vivre chezOpen actuellement ? et quelles sont les actionsqui seront déployées en 2014 ?

FSE : Les actions déployées, elles sont trèsnombreuses, notamment le traitement de l'ensembledes sujets remontés au cours des différentesréunions de collaborateurs, les réunions concernantl'ensemble des collaborateurs mobilisés sur l'avenird'Open et la façon d'aborder cet avenir.

Cela se traduira dans la stratégie RSE... On ne peutpas dissocier sa mise en œuvre chez Open de lastratégie de l'entreprise.Parmi les actions concrètes, la partie livret d'accueildes nouveaux collaborateurs, la partie livret destravailleurs de nuit, c'est également une avancéepour qu'ils trouvent leurs marques dans l'entrepriseet j'en passe, et j'en passe et j'en passe. Et s'il fautfaire plus, on fera plus.

Quelquefois on se fait des idées sur les endroits où ilfaut aller et ce ne sont pas les bonnes. Là, c'estexprimé par nos collaborateurs donc j'espère qu'ondonnera la bonne réponse.

JB : Finalement, quelle vision avez-vous de vos collaborateurs ?

FSE : Quelle vision? J'en ai une archi simple: il n'y a pas plus fier que moi quand je parle de mes collaborateurs, voilà ma vision, c'est la fierté.

GMM : Evidemment, je ne peux que partager cettefierté, c'est quelque chose qui nous unit avec Frédéric,nous sommes parties prenantes de ce projet, on estfiers, on le porte.Je rajouterais que j'aimerais que l'année prochaine

dans les questions soient plus posées sous la forme"nous", "on" que l'entité ou « vous » car c'est aussinotre travail ce sentiment d'appartenance et cettepassion.On disait tout à l'heure que la passion n'était pas dansles valeurs les plus reconnues et donc qu'il faut quemaintenant ça s'intègre. C'est normal, il faut du tempspour les nouveaux arrivants pour s'approprier le projetOpen et qu'ils soient dans le "nous".

Voilà ce qu'on peut souhaiter sur 2014.

Sébastien : Bonjour, Sur certains forums interneton peut lire qu'il y aurait ou va avoir une OPA surOPEN ? Vrai ou faux ? Open a reçu une offre derachat ? et dans la même thème OPEN a projet deracheter des sociétés ?

FSE : C'est une vieille histoire qui date d'il y a vingtans!

GMM : Sur cette histoire d'OPA, il faut rappeler qu'ànous trois, nous avons plus de 50% des droits de vote,s'il y a une OPA, elle sera amicale et nous informeronsnos collaborateurs et ce n'est pas à l'ordre du jour.

FSE : Nos collaborateurs doivent savoir que depuisque l'entreprise existe, toutes les deux semaines il y aune rumeur de rachat et ça fait 25 ans.Si un jour cela arrive, les collaborateurs le sauront carils seront impliqués dans le projet.

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CHAT COLLABORATEURGMM : On peut rajouter : avons-nous lecomportement de gens qui vendent ? Non, nousmettons toute notre énergie sur ce projet dont nousdisons notre futur et notre fierté... Ce n'est vraimentpas à l'ordre du jour.Cela ne veut pas dire que de grands groupes etgrandes sociétés n'ont pas envie... Quand on voitqu'on prend des parts de marché, certains groupesse disent que ce serait bien de racheter Open maisce n'est pas à l'ordre du jour. C'est un serpent demer.Sur la croissance externe, nous l'avons dit àplusieurs reprises et il suffira de reprendre nos chatsprécédents pour voir qu'on a une constance dansnotre stratégie depuis trois ans.

Nous ne voulons plus faire d'opérationsstructurantes importantes car nous avons atteint lataille que nous voulions avoir.On n’a pas besoin d'être 4 000 ou 5 000 en troismois, cela n'apporterait rien.En revanche, on l'a pratiqué avec Qualitech, nouspouvons faire des acquisitions ciblées sur descompétences qui nous enrichiraient, sur une zonegéographique où on a besoin d'avoir une taillesupplémentaire, nous sommes à l'affût de petitescroissance externes mais très pointues.

En tout cas, en termes de taille, ce ne sont pas desprojets structurants que nous recherchons. Unesociété de 1 000 personnes, vous devez toutréorganiser. Alors que là, nous sommes dans unedynamique de succès et de capitalisation sur letravail fait donc on n'a pas besoin de repartir dansune restructuration.Mais on peut avoir de petites opérations.

darken33 : Bonsoir, est ce que Open va rester àtaille "humaine", j'ai fait partie de sociétés tellesque ATOS (78000 personnes) et j'ai trouvé celaassez impersonnel, Open m'a attiré pour desraisons humaines avant tout, cela va-t-il le rester?

FSE : A priori oui car nous n’avons pas commeambition de se lancer sur des opérations à grandeéchelle, oui on doit atteindre une taille en France etsur le Benelux de 4 000 personnes sur les deux àtrois années qui viennent pour faire face à desprojets nécessitant des dispositifs de plus grandsvolumes que ceux à l'heure actuelle mais on n'a pasl'ambition de passer à 10 000 personnes à courtterme.

GMM : Je prends la question avec plaisir car cettepersonne dit qu'elle a choisi Open pour sa taillehumaine, ce qui veut dire que nous avons réussi àgarde une taille humaine par nos managers, nosorganisations, la responsabilité, les valeurs pourdonner une vraie taille humaine même si elle estsignificative. C'est un succès pour moi.

Pierre-Henry DODART : L'ONG internationaleOxfam a fait la Une de l'actualité en parlant desinégalités de richesse dans le monde. Au seind'OPEN les écarts de salaires vont de 1 à 19, y a-t-il une ambition de réduire ces écarts au sein notreentreprise afin de montrer que cette situation n'estpas une fatalité ?

FSE : Je ne crois pas, Pierre-Henri, et merci à luid'avoir mis son vrai nom, je ne crois pas que le rapportsoit exact, je vois plus des rapports de 1 à 12.

Dans le cadre para-légal de ces écarts-là, on est dansdes autorisations de 1 à 20 donc de 1 à 12, on n'estpas dans une situation trop critique.Après, des écarts de salaire, je n'ai absolument pas deproblèmes avec ça, j'aurais un problème si ceux quiméritent plus que d'autres ne l'ont pas.

Et là-dessus, nous sommes très vigilants, nosaugmentations se font sur des bases de critères aumérite et donc je serais embêté que ceux qui méritentplus ne soient pas mieux payés.

Pour le reste, nous payons tout à fait normalement, jepense.

GMM : Je voudrais ajouter que dans beaucoupd'entreprises, on est bien au-delà de cette échelle, decet écart, de cette fourchette et comme l'a dit Frédéric,le 1 à 20, c'est plutôt un modèle de responsabilitéd'arriver là, nous sommes de 1 à 12 donc on est bienen deçà de cette limite de 1 à 20.Je crois que là, de ce point de vue, Open est encoreune fois dans le domaine de la responsabilité et c'estplutôt exemplaire.

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CHAT COLLABORATEURopenA : Quand on connaît les difficultés de laFrance actuelle et l'augmentation du coût de lavie, comment expliquer vous l’augmentation desmutuelles (comme d'habitude les petits salairessont en première ligne). J’aurais aimé connaitrevotre version sur l’augmentation de plus de 1.3% (toujours pour vos salariés aux petits salaires)?

FSE : Il a raison de poser la question et ça a été unegrande discussion mais nous avons un régimedéficitaire parce qu'il y a certains comportementshors cadre et qu'on n'arrive pas forcément à bienraisonner. On risquait de se retrouver sans mutuellealors que nous attachons une importance forte àdisposer d’une mutuelle de très bonne qualité dansnotre entreprise.Nous avons travaillé avec les prestataires pour avoirles garanties que nous voulions et dans une grilletarifaire raisonnable.

Il fallait un minimum de cotisation, contrairement àce qu'il y avait auparavant, donc dans ce cas,l'impact sur les petits salaires est plus fort mais quetout le monde soit rassuré, il y a une proportiond'impact sur les autres salaires même si l'impactplus fort est sur les petits salaires, c'est dû auminimum qui n'existait pas auparavant.

Tom : Quelles sont les perspectives en 2014 enterme de business ?

GMM : Vous savez que nous sommes cotés enbourse donc on ne peut pas donner de chiffrespublics qui ne soit pas partagés par l'ensemble de lacommunauté. Dans l'ensemble on est sur unecroissance du chiffre d'affaires et du résultat.Si on a fait 3,5% de croissance sur le marché, nousdevrions encore faire plus mais il faudra surtout queça s'accompagne d'une croissance des résultats surles deux semestres.

Il faut vraiment que cette dynamique que nousavons maintenant construite porte ses fruits sur2014.

pasgik38 : Le cours de Groupe Open a grimpé de30% en 1 an : quelles en sont les raisons ?

GMM : Alors, pour être précis, ils ont grimpé de 43%sur 2013 et 20% depuis le début d'année, ce qui estabsolument remarquable.Nous étions sous-valorisés par rapport à lamoyenne de nos confrères et nous rattrapons ceretard grâce à ce retour à de la croissance tout à faitmarquant.

Une entreprise qui ne croît pas est condamnée, il fautqu'on se le mette tous dans notre mental.Nous devons faire de la croissance, et c'est tout à faitnormal que si nous en faisons, les marchés financiersle reconnaissent et surtout, ce qui est importantcomme nous l'avons dit, c'est d'avoir une fiabilité dansnos annonces de perspectives.

AntoineL : Diriez vous qu'Open s'en sort plutôtmieux ou moins bien que les autres SSII ? Quelleest notre position sur le marché ? M. Mamou-Mani,en tant que président du Syntec Numérique, quelleest votre vision du secteur pour 2014 ?

GMM : On a dit un retour à la croissance en 2013,nous l'avons fait, une croissance de notre chiffred'affaires, cela a été fait, nous confirmons et nousannonçons une croissance du chiffre d'affaires et desrésultats sur 2014, il n'en faut pas plus pour que lecours de la bourse décolle.C'est très simple, sur un marché à - 0,5, si vous êtesen croissance, vous prenez des parts de marché.Nous sommes reconnus comme une des sociétés lesplus dynamiques de son marché.Nous avons une attractivité et on le voit aussi auprèsde nos clients, et ça, c'est une vraie réussite révélée.C'est le travail de ces trois dernières années qui aporté ses fruits.

Ariel : Sur la fidélisation des collaborateurs... Quelest le taux de turn-over chez OPEN ?

FSE : Il a baissé et il en dessous de la moyenne dumarché pour 2013, donc on est assez contents. Anous maintenant, et c'est un challenge, de garder ceniveau.On ne communique pas facilement ces chiffres maison les communique à des périodes précises avec lereste des informations mais il est satisfaisant etinférieur aux deux dernières années.

LE GRAND JOJO : Quel est le turn-over de l'équipecommerciale?

FSE : Sur la partie AS Ile-de-France où on a remisune énergie commerciale, là, on a re-seniorisé avecdu management de très bon niveau et on a égalementmis dans les niveaux de directeurs d'agence desniveaux confirmés ou seniors, donc ça a fait unmouvement avec des juniors qui sont sortis et desseniors qui sont rentrés. Cela donne une impressiondu turn-over mais c'est une seniorisation surtout, enparticulier dans l'Ile-de-France.

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CHAT COLLABORATEURrachel : Comment voyez vous Open dans 3 ans ?

GMM : Open dans trois ans, c'est le droit fil de ceque nous avons fait en 2013: nous allons continuerà devenir l'un des acteurs majeurs du secteur desESN en France.Nous avons vraiment ce double positionnement quiest connu et sur lequel nous avons capitalisé.

Dernièrement, j'ai lu un article que j'ai découvert oùon nous a identifié comme acteur majeur de lamobilité, cela prouve que notre côté innovantcommence à être reconnu.Il faut rappeler que sur les réseaux sociaux, leCloud, par exemple, les croissances sontexponentielles et si nous devenons un acteur de cepositionnement d'une façon ou d'une autre, je croisque là aussi nous allons avoir un avenir tout à faitradieux.

Je ne crois pas en l'avenir pour la SSII d'il y a vingtans. Tout ça est assez dépassé. Ce n'est plus ceque demandent nos clients.

ChP : La transformation digitale est à l'ordre dujour chez nos clients. Comment OPEN compte-t-il s'adapter pour les accompagner dans ce sens?

FSE : On fait des pompes tous les matins, on restejeune! On reste jeune et on parle avec des jeunes !Non, plus sérieusement, on a déjà fait énormément,cela ne se voit pas de manière massive mais lesinitiatives menées en matière de services: parexemple proposer des campagnes de testing mobileautomatisé et quand on sait l'importance desapplications mobiles, proposer une expertise dans lemonde du testing avec une automatisation, c'estquelque chose qui est assez unique.

On a une démarche sur la Cloud transformation trèsforte et qui prend chez nos clients. Nous travaillonssur un discours pour mettre ces compétences àdisposition de l'ensemble de nos acteurscommerciaux pour qu'ils aient un dialogueconstructif avec leurs clients.

Nous menons une grande offensive et on l'amèneraà un niveau national. Nous emmenons nos clients etles clients nous emmènent avec eux.Nous avons à l'étude des solutions pour se rattraperlà-dessus, il faut là aussi créer des investissementslourds si on veut prendre ces sujets avecprofessionnalisme et avec la taille que nous avonsaujourd'hui.

NANTES : Quels sont les leviers de la croissancepour 2014 ?

GMM : Sur les vingt dernières années, le secteur atoujours fait quatre à cinq fois le PIB, mais les vecteursde croissance, et de très forte croissance, c'estjustement la transformation numérique et Open a unevraie carte à jouer.

C'est dans notre positionnement, la transformationindustrielle en sourcing IT car nos clients révisent lafaçon d'aborder ces sujets ou numérique, c'est latransformation le maître-mot, on l'a fait pour nous-mêmes et nous devons le faire pour nos clients.

marvel : Quels seront les engagements du groupeOpen sur les formations ?

FSE : Marvel sait très bien que nous disposons d’unepolitique de formation importante dans l'entreprise.Nos collaborateurs suivent en moyenne une formationde trois jours par an.C'est une politique très active de formationprofessionnelle et sur laquelle nous allons mettrel'accent.

Pour 2014, je le dis, nous allons mettre l'accent sur laformation sur ceux que nous avions laissé pourcompte sur ce sujet: les forces commerciales.

samsung : Pensez-vous qu'il y aura un versementde participation pour les résultats 2013 ?

FSE : On ne peut pas répondre à Samsungaujourd'hui, nous publierons notre résultat le 20 mars,je crois, et là, nous verrons s'il y a la place pour laparticipation. En tout cas, elle est légale.

EPO : Il y a deux ans, vous aviez présenté lastratégie OPEN à l'ensemble des collaborateurs aucours d'un événement en visio qui avait étéapprécié. Pensez-vous renouveler ce type demanifestation ?

GMM : Je vois de quel événement on parle, c'est vraique c'était un événement important pour l'entreprise etje reviens sur ce que nous disions tout à l'heure, c'estl'aboutissement de ce qui avait été annoncé, ce seraselon les annonces que nous avons à faire pour cegenre d'événements.

Page 9: CHAT COLLABORATEUR - Successive · Guy Mamou-Mani : Bonsoir, une bonne année ... des sujets comme celui de la transformation numérique pour lesquels nos collaborateurs vont

CHAT COLLABORATEURFSE : On a toujours été convaincus que la stratégiede l'entreprise concernait tous les collaborateurs del'entreprise.Nous sommes convaincus de cela mais les échosqu'on a, disent que c'est peut-être du temps perdu,que cela n'intéresse peut-être pas tout le monde...Je ne demande qu'à être motivé pour faire ce typed'évènements, il faut le dire, demander à vosmanagers et on sera très contents de le faire. il nes'agit pas d'imposer notre façon de voir. N'hésitezpas à vous manifester sur ces sujets-là.

GMM : Cela fait partie du "nous" dont on parlait toutà l'heure.

Footeux : Monsieur Sebag, vous n'êtes plus leprésident du FC Tours, cela signifie t-il la fin duTournoi OPEN Foot qu'on faisait tous les ans ?

FSE : Surtout pas ! Surtout pas !C'est un trop grand plaisir de voir ces 120collaborateurs et collaboratrices, de passer unejournée en toute décontraction, sympathie, des'affronter sur les terrains, croiser les gens, c'esttrop sympathique pour arrêter ça.

pasgik38 : Il y aura t il un Open foot cette année?

FSE : Je ne vois pas pourquoi il n'y en aurait pas.J'espère que ce sera toujours possible et si ce n'estpas au Tours FC, ce sera ailleurs.

GMM : En tant que tenant du titre, je défie d'ailleursMonsieur Siergé ! Je suis sûr qu'il nous écoute.

FSE : Et il a payé cher son titre.

GMM : Oui, il y a mis tout son cœur.

Râleur : Le chat c'est bien, le terrain c'est mieux! Quand pensez vous nous rendre visite àl'agence lors d'une soirée de BU par exemple ?

FSE : A Râleur et tous les râleurs, je les rencontreavec plaisir sur leur terrain. J'ai fait une trentaine dedéplacements dans les régions.Tous les managers d'entreprise se sont déplacéssur toutes les régions pour avoir le contact avec lescompétences.Je me déplace mais on ne peut pas faire uneréunion de BU à chaque fois.

On fera en sorte maintenant, que dès qu'il y a undéplacement de la direction, qu'on fasse une réunionde BU avec plaisir.

Qu'ils ne pensent pas que nous ne sommes pas sur leterrain ! Nous y sommes, et j'inclus le Comex et leCodir dans cette démarche.

Journaliste : Un dernier message à adresser avantla fin de ce chat ?

GMM : Merci pour ces questions. Personnellement, jesuis très heureux d'avoir eu cet échange, je suisd'accord pour le prolonger sur le terrain dès que cesera possible. Et puis, comme je l'ai dit, nous devonsgagner maintenant, tous ensemble la bataille qui vavenir sur les années à venir, sur un secteur difficile etsur lequel Open et ses collaborateurs ont d'énormesqualités. J'ai confiance.

FSE : On a accompli un travail et des progrèsénormes pour faire d'Open une magnifique plateforme.Il y a une vague superbe qui arrive devant nous et ilfaut que chacun soit persuadé que nous avons lesqualités et la volonté pour en profiter.

On peut faire un malheur sur les années qui viennentet avec le travail fourni, j'ai vraiment envie que celaarrive.

Journaliste : Merci à vous deux. Et merci auxcollaborateurs d'Open pour leurs questions.

Très bonne soirée à tous.