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Bien joué ! C’est le Dr Anne Poupaert, exerçant comme médecin coordinateur à la MRS L’Automne ensoleillé, à Ellezelles, qui emporte la Wonderbox « Ciné et pop-corn ». Elle permet de « se faire une toile », à deux, avec boissons et/ ou friandises comprises. Bravo ! Le Dr Poupaert a répondu correctement à notre question du mois de mai : quand le fameux RGPD qui renforce la protec- tion des données personnelles allait-il entrer en vigueur ? C’était le 25 du mois (réponse /B) 14 14 CONCOURS DE JUIN A table ! A la veille de l’été, vous êtes du genre bikini body challenge ou bien à vous laisser tenter par notre coffret cadeau « Moments gour- mands » d’une valeur de (quasi) 30 euros ? Il permet de faire son choix parmi 200 adresses stylées (piano bar jazzy, lounge branché, brasse- rie cosy…) où savourer, à 2 ou à 4 selon les for- mules, un apéritif avec amuse-bouches, des tapas, une tartine de pain au levain, une planche de salai- sons… N’hésitez pas trop longtemps ! Juste un petit effort Comme d’habitude, le ou la gagnante du mois aura dû faire preuve, pour pouvoir prendre part au tirage au sort, d’un poil de sagacité. Il s’agit de retrouver dans les éditions les plus ré- centes de vie@home la réponse correcte à une pe- tite question à choix multiple. Voici la question de juin. D’après les chiffres rapportés par Solidaris, quelle proportion de 75-85 ans ont au moins un rapport sexuel sur l’année ? : A/ 16% B/ 26% C/ 36% Participez avant le 6 juillet Concours vie@home (abonnement gratuit) • Un seul prix par gagnant. Une même adresse e-mail ne peut être utilisée qu’une seule fois par concours. • Les lots sont précisés dans la présentation du concours du mois, dans la newsletter vie@home et sur son site. En aucun cas, ils ne pourront être échangés contre d’autres prix, ni contre des espèces. • Les frais de port sont à la charge de vie@home. La revue ne peut être tenue pour responsable en cas de dommages aux cadeaux durant leur acheminement ou de non-réception, imputables à des problèmes dans le chef de La Poste ou d’un autre prestataire d’expédition. • Le simple fait de participer à ce jeu implique l’acceptation pleine et entière de son règlement ainsi que l’inscription à notre newsletter. n°66 - juin 2018 TABAC ET PERSONNES ÂGÉES ACP : TROIS LETTRES QUI S’IMPOSENT IST : EXCÈS DE CONFIANCE ? CONCOURS AGENDA

CONCOURS DE JUIN A table · elle existe. En 2015 par exemple, Cédric Migard a organi-sé à la Résidence de la Knippchen à Arlon, à la demande de l’institution, un temps de

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Bien joué ! C’est le Dr Anne Poupaert, exerçant comme médecin coordinateur à la MRS L’Automne ensoleillé, à Ellezelles, qui emporte la Wonderbox « Ciné et pop-corn ». Elle permet de « se faire une toile », à deux, avec boissons et/ou friandises comprises. Bravo ! Le Dr Poupaert a répondu correctement à notre question du mois de mai : quand le fameux RGPD qui renforce la protec-tion des données personnelles allait-il entrer en vigueur ? C’était le 25 du mois (réponse /B)

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CONCOURS DE JUIN

A table ! A la veille de l’été, vous êtes du genre bikini body challenge ou bien à vous laisser tenter par notre coffret cadeau « Moments gour-mands » d’une valeur de (quasi) 30 euros ? Il permet de faire son choix parmi 200 adresses stylées (piano bar jazzy, lounge branché, brasse-rie cosy…) où savourer, à 2 ou à 4 selon les for-mules, un apéritif avec amuse-bouches, des tapas, une tartine de pain au levain, une planche de salai-sons… N’hésitez pas trop longtemps !

Juste un petit effort Comme d’habitude, le ou la gagnante du mois aura dû faire preuve, pour pouvoir prendre part au tirage au sort, d’un poil de sagacité. Il s’agit de retrouver dans les éditions les plus ré-centes de vie@home la réponse correcte à une pe-tite question à choix multiple.

Voici la question de juin. D’après les chiffres rapportés par Solidaris, quelle proportion de 75-85 ans ont au moins un rapport sexuel sur l’année ? :

A/ 16%

B/ 26%

C/ 36%

Participez avant le 6 juillet

Concours vie@home (abonnement gratuit) • Un seul prix par gagnant. Une même adresse e-mail ne peut être utilisée qu’une seule fois par concours. • Les lots sont précisés dans la présentation du concours du mois, dans la newsletter vie@home et sur son site. En aucun cas, ils ne pourront être échangés contre d’autres prix, ni contre des espèces. • Les frais de port sont à la charge de vie@home. La revue ne peut être tenue pour responsable en cas de dommages aux cadeaux durant leur acheminement ou de non-réception, imputables à des problèmes dans le chef de La Poste ou d’un autre prestataire d’expédition. • Le simple fait de participer à ce jeu implique l’acceptation pleine et entière de son règlement ainsi que l’inscription à notre newsletter.

n°66 - juin 2018

TABAC ET PERSONNES ÂGÉES ACP : TROIS LETTRES QUI S’IMPOSENT IST : EXCÈS DE CONFIANCE ? CONCOURS AGENDA

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vie@home vous arrive à un rythme bimensuel, en format compacté. Plus léger qu’avant, certes, mais plus fréquent. Et toujours aussi réactif à l’actu sectorielle.

Il possède depuis l’automne dernier un site flambant neuf, taillé pour être consulté également depuis vos smartphones et tablettes, facilitant l’accès aux articles grâce à une fonction

de recherche et un nuage de mots clefs.

Vous pouvez également y retrouver les archives de vie@home ancienne formule, ses fiches thématiques nutrition, échelles d’évaluation et cancers au grand âge, ainsi que ses modules vidéo

didactiques, appuyant les MCC dans leur mission de formation des personnels de MRS.

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Société Scientifique de Médecine Générale

Contenus rédactionnelsJohanne Mathy, rédactrice en chef [email protected]

Secrétariat et agendaCristina [email protected]/533.09.84

Mise en page, infographies, production et expéditionIsabelle André [email protected]

Images - fotolia

Régie [email protected] Toute reproduction des textes et des photos

est interdite, sauf autorisation écrite de l’éditeur.

Editeur responsableDr Thomas Orban, SSMG,

rue de Suisse 8, 1060 Bruxelles02/533.09.84

Le média des professionnels de l’accompagnement de la personne âgée

Publication digitale bimensuelleConsultable sur www.vie-at-home.be

Abonnement gratuit sur inscription

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TABAGISME DES AÎNÉS

Accompagner l’usage et l’envie d’arrêter Face à une personne âgée qui fume, les soignants ont parfois un accès de fatalisme, se disant qu’il est bien tard pour décrocher. Ou que la cigarette est un « petit plaisir à lui laisser ». Le Fares, le Fonds des affections respira-toires, nuance. L’arrêt tabagique produit ses effets même au grand âge. Lui n’a pas vocation à interdire quoi que ce soit, mais veut éviter que le sujet soit tabou. Il propose aux MR(S) de réfléchir à accompagner l’usage - et bien sûr, si un résident songe à arrêter, de cultiver l’en-vie. Lui-même peut assurer des sensibilisations du personnel soignant en mode ludique. @ J.M.

Fin mai, Alda Greoli lançait un Plan wallon anti-tabac 2018-2030. Son vœu de voir les cigarettes bannies des supermarchés a tant cristallisé l’attention des médias qu’il a occulté le reste de l’initiative. Laquelle - pour faire bref - tend à intensifier les efforts d’une dizaine opérateurs de terrain (dont les bien connus Fondation contre le cancer et Fares, Fonds des affections respiratoires) pour prévenir le tabagisme et encourager la cessation, le tout au travers d’ac-tions davantage intégrées, davantage coordonnées, entre tout ce petit monde. Les opérateurs concernés seront désormais soutenus par une dotation plurian-nuelle. Le Graal : dénormali-ser le tabac. Les actions viseront

tous les âges et milieux de vie, de la crèche à la maison de repos, avait commenté Caroline Rasson, responsable du Service Prévention Tabac au Fares, au lancement du Plan.

Accompagner l’usage, voire plus

La prenant au mot, vie@home lui a demandé si des interventions

étaient réellement program-mables dans les MR(S), où, pour mémoire, le tabac est interdit dans les espaces collectifs et majoritaire-ment banni des chambres par les règlements d’ordre intérieur. « Il n’est pas fré-quent que nous allions en

maisons de repos, c’est vrai. Pourtant, c’est intéressant

comme démarche. Une préci-

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TABAC ET PERSONNES ÂGÉES ACP : TROIS LETTRES QUI S’IMPOSENT IST : EXCÈS DE CONFIANCE ? CONCOURS AGENDA

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sion : le Fares ne sera pas là pour rayer la cigarette des homes, mais pour réfléchir avec eux à la fa-çon de repenser les espaces au mieux, de trouver des com-promis pour la personne et la collectivité… Si l’établis-sement n’anticipe pas, on est dans l’action/réaction - qui est mauvaise conseil-lère. Mieux vaut accompa-gner l’usage, réfléchir aux pratiques. »

Un fumoir qui n’aurait pas d’aé-ration et dont la porte ouverte laisserait la fumée se déverser dans le couloir n’est pas une solution, illustre notre interlocutrice. Et comment faire si un résident grabataire souhaite une cigarette ? « Tout ceci passe par une discussion de la problématique en équipe, une sensibilisation du personnel pour qu’il communique autour de cette consommation. Et si un ré-sident est en mal-être vis-à-vis de sa dépendance, il faut porter à sa connaissance une offre de services [d’aide à la cessation, ndlr] qu’il ne soupçonne peut-être pas. Sans offre, il n’y a pas de demande… »

Un certain aquoibonisme, et pourtant…Mais les professionnels de santé n’ont-ils pas tendance à fermer les yeux sur le tabagisme des plus âgés, mus par l’idée qu’un arrêt si tardif n’aurait plus beaucoup d’im-pact sur le capital santé ? Ou se demandant au nom de quoi priver un résident de sa petite cigarette, l’un des (rares) plaisirs qui lui restent ?

Cédric Migard, qui possède e.a. une expérience de thé-rapeute en centre de jour pour alcoolodépendants et toxicomanes, est chargé de projet auprès de la branche wallonne du Fares. Il confirme qu’on observe de fait dans la communauté des médecins et soignants une sorte de fatalisme. « Une bonne part d’entre eux se demandent à quoi bon aller ‘embêter’ des fumeurs âgés. Dans une étude de 2012 du SEPT [le Service d’Etude et de Préven-tion du Tabagisme, une asbl montoise spécialisée] sur la représentation du tabagisme des personnes âgées par

les médecins, l’argument du dernier plaisir était validé et

véhiculé par 48% de prati-ciens. »

Pourtant, enchaîne-t-il, « des recherches existent, qui montrent que l’arrêt du tabac même à 65 ou 70 ans s’accompagne d’un réel bénéfice pour la

santé et la qualité de vie. C’est sur le plan car-

diovasculaire qu’on note surtout les effets positifs. »

Et de citer une étude menée sur un demi-million de personnes,

en Amérique du Nord et en Europe, qui conclut qu’« un senior de plus de 60 ans

fumeur décède 5,5 années plus tôt d’un problème car-diovasculaire qu’un non-fumeur et que l’arrêt tabagique ramène ce délai à 2,36 ans ».

Pour Cédric Migard, ne pas intervenir en proposant une aide au sevrage à une personne âgée sous prétexte que le jeu n’en vaut plus chandelle, c’est donc se fourvoyer. Et ce, alors que « le tabagisme et ses suites - cancers, BPCO, affections cardiovasculaires… - demeure la première cause de décès chez les aînés. Sans compter les risques spécifiques encourus par ceux qui fument : accélération du déclin cognitif, risque accru d’ostéoporose, de déficit fonctionnel global… »

Sensibiliser les relais Une fois acquis à l’idée que remiser son paquet de ciga-rette, ça change la donne même au grand âge, et sachant qu’il existe bel et bien une envie en ce sens chez une part non négligeable des résidents - « on l’estime à 30% » -, que peut faire un médecin, un soignant en MR(S)? Le Fares peut-il l’aider, et en quoi ?

« Il faut tout d’abord savoir que nous n’imposons jamais l’arrêt du tabac », explique notre interlocuteur. « Ce qu’on veut, c’est que le sujet ne soit pas tabou. » Il faut qu’il puisse être abordé librement par les résidents fumeurs et les personnels d’encadrement. Le Fonds des affections

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respiratoires peut venir sur place sensibiliser ceux-ci, les outiller et les documenter pour qu’ils relaient les mes-sages corrects parmi les occupants de l’établissement.

Encore une fois, la démarche n’est pas très courue, mais elle existe. En 2015 par exemple, Cédric Migard a organi-sé à la Résidence de la Knippchen à Arlon, à la demande de l’institution, un temps de rencontre « avec une ving-taine de collaborateurs, exclusivement soignants : infir-mières et aides-soignantes ».

Un jeu pour délier les languesLa séance s’articule alors autour de l’emploi d’un ou-til spécifique : « un jeu que l’on a baptisé le Parcours Sans T, avec T pour tabac. C’est un jeu de plateau de type jeu de l’oie, adaptable à divers publics. Il a des cases de couleur, qui renvoient à autant de séries de cartes dif-férentes. Les unes comportent des témoignages ; d’autres des infos objectives sur le tabac ; certaines décrivent comment envisager un sevrage et les res-sources qu’on peut mobiliser : les services de Tabacstop, des CAF (les centres d’aide aux fumeurs), des tabacologues… ; d’autres en-core énoncent des affirmations cou-rantes à corriger comme ’arrêter de fumer, c’est juste une question de volonté’. »

Cette approche permet, d’après le chargé de projet, de susciter des échanges soutenus, dans une grande convi-vialité. « On prend le contre-pied d’une méthode à l’an-cienne : l’expert en frontal, qui viendrait délivrer son savoir. Ici, on dialogue, on se sert des apports des parti-cipants, qui apprennent de l’expérience des autres… » A l’issue de la rencontre, le jeu reste dans l’établissement, pour que les professionnels qui ont participé l’utilisent à leur tour, lors d’animations, auprès des résidents.

Des missions gratuites A la suite d’un turn over dans le personnel ayant initié la venue du Fares à la Résidence la Knippchen, on n’aura pas de détails sur l’usage effectif de l’outil et son im-pact chez les résidents arlonais. La direction a cependant trouvé la formation intéressante et pertinente, rapporte Cédric Migard. Bon à savoir, pour ceux que l’expérience

tente : « bien que certains ateliers pour professionnels soient payants, la plus grosse partie de nos missions sont gratuites », indique le chargé de projet. « Nous donnons suite aux demandes dans la mesure de nos disponibilités, et notre outil Parcours Sans T est comme je l’ai dit offert après coup aux MR(S). » @

Les constats et statistiques cités par Cédric Migard dans l’article sont le fruit de la veille qu’il assure dans la littérature dans le cadre de sa fonction, qui

le conduit aussi à publier, par exemple dans la RMG (la revue officielle de la SSMG,

éditrice de vie@home) ou dans Santé conjuguée, le média de la Fédéra-

tion des maisons médicales (voir le texte « Gestion du tabagisme en institution », mars 2016)

Catalogue de services Le département Prévention Tabac du Fares possède une cellule bruxelloise qui s’est dou-blée d’une antenne wallonne, située à Namur.

On peut découvrir sur son site l’étude de son offre de services, dont les activités de formation. https://www.fares.be/fr/tabac-formations/

Infos et contacts : Fares Bruxelles : 02 518 18 66, [email protected]

Antenne wallonne : 0474 57 17 15, [email protected]

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L’ACP est un processus proactif, volontaire, de concerta-tion entre le patient, ses proches et les dispensateurs de soins. Son but ? Définir une orientation des traitements à mettre en œuvre, ou pas, dans la dernière ligne droite, en fonction des préférences et des valeurs du patient. De l’avis général, cette mise au clair soulage proches et mé-decins dans les situations d’urgence ou quand le patient n’est plus en état d’exprimer ses volontés. Il peut avoir rempli des directives anticipées (p.ex. sur l’euthanasie, le fait d’être ou pas hospitalisé, réanimé, etc.) conservées au dossier médical. « On prévoit d’y intégrer également l’ACP, c’est explicitement mentionné dans l’accord médi-co-mut en cours », indique le Dr Peltier, qui est par ailleurs directeur médical à la mutualité chrétienne.

En connaissance de causeL’implémentation de l’ACP - comme celle de l’outil PICT (une échelle d’évaluation qui autorise la détection pré-coce des personnes qui pourraient bénéficier de soins palliatifs) compte parmi les recommandations majeures du rapport de la Cellule d’évaluation, commente notre in-terlocuteur. Un document devenu public, mais pas encore présenté au Parlement. « Tant au niveau de l’ACP que du

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ADVANCE CARE PLANNING

Une priorité déclarée

Le rapport 2017 de la Cellule fédérale d’éva-luation des soins palliatifs, la CESP, est désor-mais public. Une brique en deux volets : un état des lieux qui précède une dissection des problèmes rencontrés par secteurs (domicile, hôpital, résidentiel…) ainsi que des recommanda-tions. Le Dr Alex Peltier préside la CESP. Il tend un fil d’Ariane à vie@home en désignant quelques aspects cru-ciaux des travaux. En pole position : l’Advance Care Planning (ACP), la planification anticipée des soins, à arrimer comme un (bon) ré-flexe dans les pratiques. @ J.M.

LA SENSIBILISATION DES PROFESSIONNELS

ET DES PATIENTS À L’ACP CONTRIBUERA

À LA PROGRESSION DE LA CULTURE

PALLIATIVE AU SENS LARGE.

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PICT, l’accent est mis non seulement sur la première ligne, mais aussi sur une sensibilisation des hôpitaux. L’étude sur la fin de vie du KCE indique qu’il y règne encore une forte tendance à poursuivre dans le curatif, même quand cela n’a plus beaucoup de sens. »

S’il y a eu ACP, il y a eu discussion. Et c’est en connais-sance de cause qu’on choisit d’entreprendre ou pas des traitements qui pour une survie prolongée d’un ou deux mois auront tant d’effets secondaires qu’ils mineront la qualité de vie, illustre le médecin. « Les chiffres des eu-thanasies ont tendance à croître », ajoute-t-il. « Je ne me positionne pas ici, en pro ou contra, mais je m’interroge : l’information donnée aux patients sur les choix de fin de vie s’ouvrant à eux est-elle correcte et suffisante ? »

Parmi les éléments identifiés comme nécessaires, dans le rapport, pour une implémen-tation systématique de l’ACP figure la formation des mé-decins à la communication et à la prise de décision basée sur les priorités du patient. Un système d’incitants financiers devrait être envisagé pour les en-courager à pratiquer l’ACP.

Formes alternatives d’hébergementUn autre trait saillant du rapport 2017 que le président Alex Peltier épingle, c’est la nécessaire réflexion sur les formes alternatives d’hébergement (*). A savoir des mi-lieux de séjour, parfois dits de « middle care », qui per-mettent de ne pas laisser inutilement certains patients dans une unité palliative d’hôpital mais de leur assurer un accompagnement de fin de vie qui serait difficile à orchestrer chez eux ou en maison de repos. « Ces struc-tures compléteraient l’offre actuelle ; elles ne sont pas en-core très développées. Tout l’enjeu, c’est de modéliser ces

nouvelles formes d’accueil, de cerner leur public pressenti. C’est un travail qui va démarrer

incessamment au sein de la Cellule. »

Quant aux lits palliatifs dans la sphère hospitalière, s’il y en a

assez globalement, ils sont géographiquement mal ré-partis, commente le Dr Pel-tier, ce qui rend l’offre dé-ficitaire par endroits. S’y conjugue un problème de relative rareté des méde-cins qui se consacrent aux

soins palliatifs. « Il n’existe pas de qualification spéci-

fique et dès lors, d’un point de vue financier, les conditions

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Discuter, discuter, discuter…

CONTENU MINIMAL D’UNE ACP 1. Discuter de la possibilité de rédiger une déclaration anticipée négative (= ce que le patient ne

souhaite pas) comprenant les limitations thérapeutiques.

2. Discuter de la possibilité de rédiger une déclaration anticipée positive (= ce que le patient souhaite), par exemple une déclaration anticipée d’euthanasie.

3. Discuter avec le patient des objectifs de soins.

4. Discuter de la désignation éventuelle d’un représentant légal ou mandataire (en prévision du cas où le patient ne serait plus capable de décider pour lui-même).

Source : rapport 2017 de la Cellule fédérale d’évaluation des soins palliatifs, p 79

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sont aléatoires, variables d’un établissement à l’autre. D’où un problème de renouvellement des effectifs - sans doute dû, donc, à ce problème d’attractivité. »

Moyens et cohérenceAlex Peltier désigne encore comme un point d’attention notoire la poursuite d’un financement correct des équipes d’accompagnement multidisciplinaires à domicile – d’au-tant plus indispensables, dit le rapport, que « les méde-cins généralistes ont trop peu de patients palliatifs dans leur pratique pour acquérir l’expertise nécessaire ». Pour

n°66 - juin 2018

A consigner dans le DMG et le sumehr En son point 5, l’accord médico-mut range l’ACP parmi les « autres questions prioritaires ». Autorités, mutuelles et médecins se sont engagés à sa mise en place. Les résultats de cette planification pré-coce devront (sans précision de date) être intégrés dans le DMG - le dossier médical global tenu par le médecin traitant - et dans le sumehr - son résumé électronique que le médecin peut exporter dans les coffres-forts de réseaux d’échanges électroniques, comme les Réseaux santé wallon et bruxellois. L’accord prévoit en outre que soit étudiée l’implémentation du PICT dans la pratique.

L’ACP, rempart contre l’inapproprié Fin 2017, le KCE dévoilait le verdict de ses travaux sur les soins « appropriés » en fin de vie (*). Pour réduire le risque d’être ex-posé à de l’inapproprié, entre autres du cu-ratif jusqu’au-boutiste, il suggérait d’oser aborder avec ses proches et son médecin la planification des derniers soins – ou, jus-tement, l’abstention thérapeutique. Comme il importe que les volontés du patient soient consignées puis circulent entre prestataires se relayant auprès de lui, le KCE insistait sur un mode de financement qui recon-naisse que dialoguer et communiquer, c’est une composante du métier !(*) Voir dans le vie@home n°58, janvier 2018, l’article « Dia-logue précoce versus (culture de l’) action ? »

TABAC ET PERSONNES ÂGÉES ACP : TROIS LETTRES QUI S’IMPOSENT IST : EXCÈS DE CONFIANCE ? CONCOURS AGENDA

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lui, l’actuel système de forfait par nombre d’habitants couvre insuffisamment les coûts, car la demande est pour diverses raisons (vieillissement, prévalence des maladies chroniques, isolement…) en pleine croissance. « Il fau-drait que les moyens suivent. »

Il en appelle aussi, dans un domaine où les compétences sont balkanisées – « les forfaits palliatifs sont du ressort

du Fédéral, par exemple, quand les équipes multidiscipli-naires, les lits SP et les MR(S) relèvent des Régions » - à entretenir le dialogue entre tous les niveaux pour garantir la cohérence du dispositif. @

(*) voir dans le vie@home n°51, septembre 2017, l’article « L’hôtel de soins : à l’intersection de milieux de vie ».

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« Une priorité pour Maggie De Block » L’ACP est effectivement d’une priorité pour la ministre, confirme le cabinet De Block à vie@home. Il rappelle l’adoption de « la loi relative aux soins palliatifs (été 2017) pour permettre au Roi de définir des critères pour identifier un malade comme patient palliatif. La ministre souhaite implanter le PICT (Palliative Indicator Care Tool) afin de soutenir les prestataires dans le dépistage des patients pal-liatifs. » Une fois le patient palliatif identifié, une planification (précoce) des soins doit être mise en place avec lui et dans le cadre d’une concertation interdisciplinaire, développe-t-on chez la libérale flamande. « Un arrêté royal est en préparation dans ce cadre. » Et une campagne de sensibilisation des professionnels est « dans les cartons », ajoute le cabinet. Ce serait pour 2019.

Dons de sang : exit la limite des 70 ans

APRÈS LA VIRGULE

Dès l’automne prochain, fini de devoir cesser de donner son sang parce qu’on a dépassé les 70 printemps. En vertu d’un projet de loi initié par Maggie De Block et validé en conseil des ministres début juin, un donneur ayant atteint les 71 ans ne devra pas renoncer à ce geste altruiste, à condition qu’il ait donné du sang pour la première fois avant son 66ème anniversaire et que le dernier don ne remonte pas à plus de trois ans.Il n’existe aucune base scientifique pour maintenir la limite d’âge, indique le cabinet de la ministre de la Santé. En l’abolissant définitivement, ce sont 8.000 donneurs connus que l’on n’écarte plus du système dans les cinq prochaines années, a-t-il calculé. Il précise encore que cette suppression a été prononcée depuis longtemps au Royaume-Uni, aux États-Unis et au Canada. Dans ce dernier pays, « environ 1,5% des dons proviennent de donneurs âgés de plus de 70 ans ». En 2011, la limite d’âge pour les donneurs connus avait déjà été relevée de 66 à 71 ans. A la clef : plus de 20.000 dons supplémentaires par an, ajoute encore l’équipe de Maggie De Block. Elle indique que la Croix-Rouge a réagi positive-ment à l’abolition, les plus âgés représentant un groupe de « fidèles » qui donnent du sang plusieurs fois par an.

TABAC ET PERSONNES ÂGÉES ACP : TROIS LETTRES QUI S’IMPOSENT IST : EXCÈS DE CONFIANCE ? CONCOURS AGENDA

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Chez lez 50 ans et +, on se pense moins menacé, peut-être par ignorance des mécanismes de transmission des IST, développe Espace Seniors. Mais aussi parce que, dans l’imaginaire de cette tranche d’âge mature, les personnes exposées sont jeunes/volages/droguées/homosexuelles… Les aînés ne s’y identifient pas et ne voient pas leur(s) partenaire(s) comme porteur(s) de risque… Du coup, ils songent peu à se protéger, encore moins à recourir au dépistage. « Une majorité des 50-70 ans n’a jamais réalisé de test de dépistage des IST », illustre l’association.

Espace Seniors ajoute que les stéréotypes ont la peau dure, en ce compris dans les rangs du corps médical. Si les 50 ans et + ne se sentent pas concernés, ils ne sont « pas non plus perçus comme une population à risque d’IST par les professionnels de la santé, qui n’envisagent donc pas celles-ci comme un diagnostic possible », commente l’association. D’où retard potentiel d’identification des maladies et de traitement, avec des conséquences délétères pour la santé du senior.

Cette double représentation qui fait que tout le monde baisse sa garde contraste, selon le mouvement mutuelliste, avec les leçons de différentes études sur le sexualité l’âge avançant. Il rappelle que près de 75% des 55-64 ans et de 53 % des 65 à 74 ans ont tou-jours des rapports sexuels, tandis qu’un bon quart (26%) des 75-85 ans en ont au moins un sur l’année. @

LU POUR VOUS

La « maturité » n’arrête pas les IST

Espace Seniors éclaire le public - sur-tout - et les professionnels - un peu - sur le fait que les IST ne sont pas l’apanage des jeunes générations. Le mouvement pour aînés du réseau Solidaris a sorti fin mai une brochure d’une trentaine de pages intitulée « La sexualité n’a pas de date de péremp-tion, les infections sexuellement trans-missibles non plus ! » @ J.M.

Saines lectures La nouvelle brochure d’Espace Seniors est disponible au télé-chargement (gratuit) sur son site. Elle complète des publications antérieures sur des thématiques connexes, comme par exemple « Intimité et sexualité en maisons de repos » , un sujet que vie@home a plus d’une fois abordé. Le plus récemment, c’était avec l’éclairage de la psychothérapeute et formatrice spécialisée Anne Dasnoy-Sumell (lire dans vie@home n°57, décembre 2017, l’ar-ticle « Vie affective et sexuelle des plus âgés : soutenir plutôt qu’inter-dire »).

TABAC ET PERSONNES ÂGÉES ACP : TROIS LETTRES QUI S’IMPOSENT IST : EXCÈS DE CONFIANCE ? CONCOURS AGENDA

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S’il n’y a pas d’âge, sauf dans la tête de certains, pour une sexua-lité active (et pour laisser s’ins-taller si l’on n’y prend garde une vilaine maladie d’amour, cf. page précédente), il semble qu’il n’y ait pas d’âge non plus pour… di-vorcer. Les vieux couples d’aujourd’hui, dirait-on, ne mordent plus sur leur chique si la routine a éteint la flamme. Ils se séparent.

En 2016, d’après les chiffres de Statbel (le département sta-tistique du SPF Economie), on a dénombré 23.583 divorces. C’est 4,4% de moins qu’en 2015, en ligne avec une baisse amorcée depuis 2009. L’indice conjoncturel de divortialité - on appréciera au passage le jargon … - s’élève à 426 divorces pour 1.000 ma-riages. L’âge au divorce continue de progresser, poursuit Statbel, avec une moyenne autour de la bonne quaran-taine. Mais on se quitte bien plus tard : les seniors di-vorcent quatre fois plus qu’il y a 10 ans. En 2016, il y a

eu 356 divorces chez des 60-64 ans, 206 chez des 65-69 ans, 61 chez

des 70-74 ans et même 44 une fois passée la barre des 75 ans. Pas si anecdotique…

Il faut tenir compte, évi-demment, pour apprécier la tendance, de l’arrivée massive des baby boo-mers ou de l’allongement global de la durée de vie.

Cette propension à se dé-faire des liens du mariage

sur le tard a été commentée dans la grande presse ces der-

niers temps. Des spécialistes in-terviewés, notamment des psycho-

logues et des sociologues, ont pointé la banalisation et la simplification procédurale du

divorce, l’autonomie financière accrue des femmes ou encore ce que l’on appelle le syndrome de l’homme re-traité, cet intrus qui est source de rupture d’habitudes et de tensions pour son épouse au foyer - car il se mêle de l’organisation et de la logistique domestique. Allez, du balai… @

Jamais trop tard pour… divorcer ?

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n°66 - juin 201812

Un « Village Alzheimer » pilote

Le concept ? Accueillir 120 résidents atteints d’Al-zheimer ou de maladies apparentées dans un village composé de petites maisonnées. Celles-ci forment des quartiers, avec des studios permettant de loger des proches, le tout organisé autour d’une bastide (une place centrale offrant des lieux de vie et de ser-vices : supérette, restaurant, cabinet médical…) et agrémenté d’espaces propices à la déambulation. La philosophie des lieux ? Maintenir aussi longtemps que possible les patients dans une vie sociale ordi-naire, « sans blouse blanche visible », précise la ville de Dax.

Pour veiller sur les résidents, pas moins de 120 ETP (dont des médecins, infirmiers, assistants en soins gérontologiques, psychologues, ergothérapeutes…) mais aussi du personnel administratif et d’entretien.

S’y ajoutera un nombre équivalent de bénévoles qui « participent à l’innovation thérapeutique du pro-jet ». A ce propos, un partenariat avec la faculté de médecine de Bordeaux a été mis en place : le village sera un lieu d’expérimentation de méthodes non mé-dicamenteuses de prise en charge de la maladie.

Le village devrait ouvrir fin 2019. On annonce un prix journée de 60 €, « équivalent à celui d’un Ehpad (*) traditionnel », selon les concepteurs. @

Infos sur le site officiel du projet https://villagealzheimer.landes.fr/

(*) soit une MRS belge

Le 4 juin, la première pierre du « Village Landais Alzheimer », à Dax, était posée. Un projet qui pèse 28 millions d’euros d’investissement pour un budget annuel de fonctionnement estimé à près de 7 millions. Présenté comme expérimental et unique en France, il est porté entre autres par le Conseil départemental des Landes.

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