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vuespoint de
Décembre 2009Offre spéciale NOËL
11
Cadomus, Caen 1672par François Bignon, d’après Jacques Gomboust
Arnaud Malherbe
Grâce à la précision des détails du Plan Bignon, la ville de Caen se dévoile telle qu’elle était au XVIIe siècle. Le fac-similé de cette œuvre méconnue procurera au chercheur comme au simple curieux une nouvelle occasion de redécouvrir la cité sous tous ses aspects.
Fac-similé d’après les plans originauxÉdition limitée à 500 exemplaires numérotés, imprimés sur Rives naturel
Portfolio de 12 planches sous chemise cartonnée42 x 55 cmDécembre 2007
978-2-915548-18-1 60 €
9782915548181
40 €60 €-35%60
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Louis Chesneau, un photographe amateurLe Voyage à Saint-Sever en 1899
Didier Mouchel, Pôle Image de Haute-Normandie
À partir des années 1880, la photographie, grâce à l’évolution des techniques, étend sa pratique à de nouvelles générations d’amateurs qui progressivement, se regroupent en sociétés. Louis Chesneau (1855-1923), riche négociant, se passionne pour cet art qu’il pratique au sein du Photo-Club Rouennais. À travers ses séances de projection (à la « lanterne magique »), Louis Chesneau nous entraine avec humour dans un fabuleux récit d’exploration de la rive gauche de Rouen.
88 pages17 x 24 cmCouverture souple à rabatsJuin 2002
978-2-9516020-3-0 18 €
9782951602038
9 €18 €-50%18
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Les Vieux arbres de la NormandieHenri Gadeau de Kerville, photographe
Didier Mouchel, Pôle Image de Haute-Normandie
Henri Gadeau de Kerville, (1858-1940), savant naturaliste rouennais, et président-fondateur du Photo-Club Rouennais nous a laissé une œuvre importante. Grâce à sa chambre photogra-phique, il entreprend de répertorier les arbres remarquables de Normandie. Sa magnifique série de 113 portraits sylvestre, présentée dans ce livre, est l’occasion de redécouvrir l’activité de ce scientifique passionné, et peut-être même de le voir comme l’un des précurseurs du mou-vement de protection de la nature.
Co-édition avec le Pôle Image de Haute-Normandie 160 pages 18 x 24 cmCouverture cartonnéeDécembre 2004
978-2-915548-00-5 30 €
9782915548006
12 €30 €-60%30
Appartements témoins de la Reconstruction du Havre
Elisabeth Chauvin, Pierre Gencey Photographies d’Adreas Sirch
Plus qu’un état des lieux de l’Appartement-témoin Perret, ce livre nous présente un aperçu du travail d’Auguste Perret, au Havre, après la Seconde guerre mondiale. Le projet ambitieux de l’architecte a été de marier l’urbanisme à l’architecture, la distribution à l’aménagement intérieur, le mobilier à la décoration...À travers des documents d’époque et des photographies contemporaines, cet ouvrage nous fait entrer de plain-pied dans l’aménagement intérieur moderne des années 1950.
Co-édition avec la Ville du Havre, ville d’art et d’histoire144 pagesCouverture cartonnéeDos toiléDécembre 200722 x 22 cm
978-2-915548-19-8 29 €
Edition Point de vues - Ville du HavreÉloge de la banalité :
Appartements témoinsde la Reconstruction du Havre
éditions Point de vuesville du Havre
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Appartements témoins
de la Reconstruction du Havre
29 €
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Rouen, la cathédrale invisibleBenoît Eliot, Stéphane Rioland Préface de Yves Lescroart, Conservateur des monuments historiques de Haute-Normandie
Les soixante-quatre photos de ce livre nous offrent un regard neuf, original et décalé du bâtiment le plus emblématique de la capitale normande. Cette ballade dans les « hauts sommets » dévoile des angles les plus inattendus. Ces images insolites mettent en lumière une face cachée de l’édifice millénaire. À découvrir, la cathédrale Notre-Dame de Rouen comme vous ne l’avez jamais vu.
96 pages18 x 18 cmCouverture cartonnéeNovembre 2000
978-2-9516020-0-6 19,67 €
9,80 €19,67 €-50%19,67
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Corps mécaniques,Impressions de la Corderie Vallois
Sophie Zénon
Aujourd’hui devenu musée, la Corderie Vallois située à Notre-dame de Bondeville, témoigne des heures glorieuses de l’industrie cotonnière rouennaise. La photographe Sophie Zénon nous livre de cet espace une vision sensible et personnelle. Photographies contemporaines, images d’archives, échantillons de tissus, lexiques de termes de corderie sont tour à tour exploités par l’artiste pour évoquer les liens étroits qui unissent le lieu, les machines et les hommes.
Co-édition avec le Musée Industriel de la Corderie Vallois72 pages 24 x 16 cmCouverture cartonnéeJanvier 2005
978-2-915548-01-3 18,50 €
9782915548013
9,25 €18,50 €-50%
18,50
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144 pages18 x 18 cmCouverture cartonnéeDécembre 2002
978-2-9516020-4-5 24 € offre spéciale 12 €
Grand Escalier Trophées et produits coloniaux
6 Buste de Félix-Archimède Pouchet, fondateur du Muséum, par J. Adeline et M. Devaux, 1877
Le Muséum de RouenUn carnet de voyages
Benoît Eliot, Stéphane Rioland Préface de Monique Fouray, conservatrice en chef du Muséum de Rouen
Entre cabinet de curiosité, récit de voyages et recherches naturalistes du XIXe siècle, les insectes, félins, oiseaux et autres veaux à deux têtes vous servent de guide pour une visite dans l’une des plus belles aventures scientifiques du siècle.
12 €24 €
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Théâtre Maxime GorkiUne comédie dramatique en 5 actes et quelques interludes
Roger Balavoine
Dès 1969, le Théâtre Maxime Gorki a marqué la vie culturelle de l’agglomération rouennaise. Lorsque Jean Joulin et Daniel Lesur décident de créer un Centre culturel municipal avec l’aide enthousiaste de la municipalité de Petit-Quevilly, l’étonnante aventure commence. Au théâtre, les deux comédiens-directeurs mêlent la danse, le cinéma et les arts plastiques. Le Théâtre maxime Gorki a ainsi marqué trente ans de vie rouennaise. Il fallait bien, un jour ou l’autre, que naisse un témoignage, illustré par certains acteurs de bonne foi qui ont participé à l’édifice.
160 pages17 x 24 cmCouverture soupleMai 2007
978-2-915548-15-0 25 €
Barentin76 rue Auguste Badin
Photographies de Barbara Pellerin
À Barentin près de Rouen, la filature Badin-Sartel est une usine textile rescapée, sauvée par la volonté de quelques ouvriers et actionnaires entrés en résistance contre la fatalité. Barbara Pellerin, jeune photographe originaire de Barentin, s’est faite le témoin des transformations de cette usine (avant sa fermeture), parfaits exemples des répercussions d’une mutation mondiale.
72 pages24 x 21 cmCouverture souple à rabatsSeptembre 2007
978-2-915548-17-4 26 €
12,50 €25 €
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10,40 €26 €
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PierreCorneille
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6 juin 1606 : naissance de Pierre Corneille
rue de la Pie à Rouen
9 juin 1606 : baptême en l’église Saint-Sauveur
1615 : Pierre Corneille devient élève du collège
de Bourbon
1617 : Obtient un premier prix de vers latins
1620 : son père résigne sa charge de maître particulier
des Eaux et Forêts
1621 : Obtient à nouveau un premier prix de vers latins
1622 : Pierre Corneille commence ses études de droit
1624 : Il devient avocat à la Table de Marbre
du Palais à Rouen.
1625 : Naissance de son frère Thomas
1629 : Il prête serment comme avocat au siège des Eaux
et Forêts et premier avocat du roi en l’Emirauté
de France au siège général de la Table de Marbre
du Palais.
1629 : Sa première pièce « Mélite » est jouée par
le comédien Mondory.
1633 : Il fait connaissance de la famille royale et du
Cardinal de Richelieu en villégiature
à Forges-les-Eaux.
1636 : succès éclatant du « Cid »
1637 : La famille Corneille est anoblie par lettres patentes
du roi.
1639 : Mort de son père
1640 : Il épouse Marie de Lampérière, fille d’un lieutenant
particulier au bailliage des Andelys.
1642 : Naissance de M
arie Corneille, première fille du
poète. Elle sera suivie de sept frères et sœurs et sera
l’aïeule directe de Charlotte Corday.
1642 : Mort du Cardinal de Richelieu
1643 : Mort du roi Louis XIII
1643 : Naissance de son fils aîné Pierre
1647 : Election à l’Académie Française
1648 : Début de la Fronde ; Corneille demeure impartial.
1649 - 1652 : Trésorier de la fabrique de la Paroisse
Saint-Sauveur
1650 : Procureur des Etats de Normandie sur désignation
de la reine Anne d’Autriche
1650 : Mariage de son frère Thomas avec sa belle-sœur,
Marguerite de Lampérière
1651 : Pierre Corneille, ayant vendu ses charges des
Eaux et Forêts et de l’Amirauté pour occuper celle
de Procureur des Etats de Normandie, redevient
simple avocat.
1652 : Mort de sa mère, M
arthe Le Pesant
1655 : Mort de son troisième fils Charles à l’âge de 12 ans
1656 : Edition complète en quatre volumes de
« L’Imitation de Jésus-Christ »
1658 : Il fait connaissance du surintendant Fouquet
qui est un très grand mécène.
1658 : Il fréquente à Rouen Molière et sa troupe
1661 : Arrestation du surintendant Fouquet par Louis XIV
1662 : Pierre Corneille et son frère Thomas quittent
définitivement Rouen pour s’installer à Paris
1663 : Pierre Corneille triomphe à l’hôtel de Bourgogne et
au théâtre du Marais
1664 : Mort du duc de Guise, dernier protecteur en date
de Corneille ; il est gratifié par Louis XIV
d’une pension de 2000 livres
1668 : Ses deux fils, Pierre et François prennent part
à la campagne de Flandres
1668 : Sa fille, Marguerite, devient religieuse chez les
Dominicaines de Rouen
1668 : Son gendre, monsieur du Buat, meurt en héros
devant Candie
1669 : Confirmation de noblesse de la famille Corneille
par lettres patentes du roi
1670 : Succès de « Bérénice » de Racine contre « Tite et
Bérénice » de Corneille
1673 : sa fille aînée, Marie du Buat, se remarie avec
Jacques de Farcy, trésorier de France à Argentan
1674 : Mort de son fils François au siège de Grave sur
la Meuse à l’âge de 27 ans
1676 : Représentation par Louis XIV à Versailles de six
de ses anciens chefs-d’oeuvre
1678 : Mariage à Thionville de son fils aîné, Pierre IV,
avec Jeanne Unguedullig. Cette union restera sans
postérité.
1680 : Son plus jeune fils, Thomas, obtient les bénéfices
de l’abbaye royale d’Aiguevive.
1682 : Publication de ses œuvres complètes
2 octobre 16 84 : Corneille meurt chez lui à Paris entouré
de sa fille Madeleine et de ses proches.
Chronologie des principaux événements
de la vie de Pierre Corneille
PierreCorneille
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Archives Départementales
de la Seine-Maritime
édition point de vuesPhilippe Priol
Chronologie de l’œuvre de Corneille
1629
Mélite
1632
Clitandre
1634
La Veuve ; La Suivante ; La Galerie de palais
1635
La Place royale
1635
Médée, tragédie antique imitée de Sénèque
1636
L’Illusion comique
1636
Le Cid
1637
Lettre apologétique de Corneille
1639
Horace
1639
Cinna
1640
Polyeucte
1641
La Mort de Pompée
1642
Le Menteur
1643
La Suite du menteur
1645
Rodogune
1646
Théodore
1647
Héraclius
1650
Don Sanche d’Aragon
1651
Nicomède
1658
Traduction de l’Imitation de Jésus-Christ
1659
Œdipe
1661
La Toison d’or
1662
Sertorius
1663
Sophonisbe
1664
Othon
1665
Traduction des louanges à la Sainte Vierge
1666
Agésilas
1667
Attila
1670
Traduction de l’Office de la Vierge
1670
Bérénice
1671
Pulchérie
1674
Suréna
Pierre
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Le 6 juin 1606 naissait rue
de La Pie à Rouen, celui
qui allait devenir l’une des
figures emblématiques de la
ville et l’un des plus grands
poètes de son temps, Pierre
Corneille. Son œuvre, qui
témoigne de l’universalité
des sentiments humains, a
consacré dans sa plénitude
le génie classique français ;
elle est aussi le fruit d’une
éducation et le reflet d’une
époque.Car, Pierre Corneille, était
un homme parfaitement
incarné dans son siècle.
Il ne dédaignait certes ni
la gloire ni les honneurs,
mais il fut aussi l’aîné d’une
famille nombreuse, l’élève
des Jésuites, un magistrat
consciencieux et un chrétien
attentif à la vie de sa
paroisse, se souciant du bien-
être des siens.A l’occasion du quatrième
centenaire de sa naissance
cet ouvrage célèbre l’homme
qu’il fut, celui que connurent
ses contemporains, à travers
des documents souvent
inédits et exceptionnels
qui touchent de près à sa
vie personnelle.
Martin Parr vu par...
Sous la direction de Diane Dufour, Directrice de Magnum Photos
Un petit groupe d’enfants de 9 à 11 ans de l’école primaire de Vitruve à Paris, arpentent la planète « Martin Parr » pour se raconter et nous raconter... le monde décapant du célèbre photographe de l’agence Magnum. Dialogues improbables, légendes décalées, le monde du très anglais Martin Parr se voit réinventé par l’imagination fertile des enfants et la poésie d’une écriture simple, spontanée mais toujours incisive. La rencontre de leurs mots et des images de l’un des plus grands photographes contemporains.
130 pages 24 x 16 cmCouverture soupleReliure spiraleMai 2005
978-2-915548-04-8 24 €
9782915548044
PARRMartin
vu parErik 10 ans
Jeanne 10 ans
Tom 11 ans
Meredith 10 ans
Tess 9 ans
Rémi 10 ans
Nicolas 9 ans
Billy 9 ans
Félix 9 ans
Fayrouz 10 ans
Kenza 9 ans
Bonnie 10 ans
Edition Point de vues
8 €24 €
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Jehanne d’Archommages de pierre et de couleurs
D. Adrian, C. Bouchon, V. Clin-Meyer, M. Delavenne, S. Hellal, A. Lassalle, F. Mc Farlane, S. Paccoud, S. Rioland, N. Roy, E. Tillet, A. Wicke
Le seul portrait de Jeanne d’Arc réalisé de son vivant est la silhouette tracée d’une plume rapide par le greffier au Parlement de Paris. Jeanne d’Arc n’a pas de visage mais les portraits de Jeanne et les idéaux qu’on lui a fait défendre sont le reflet des mentalités et des convictions de leurs créateurs. L’interprétation de son personnage est propre à chaque époque et ce sont ces diverses représentations que vous retrouverez dans ce livre.
96 pages22 x 22 cmCouverture cartonnéeJuin 2006
978-2-9155480-9-9 20 €
9782915548099
• 50 • • 51 •
L’étude de la représentation de Jeanne d’Arc permet de saisir une femme au destin extraordinaire dans un temps où le statut juridique et la condition sociale de la femme sont traversés par des dynamiques pour le moins contradictoires qui interdisent toute vision manichéenne du passé. Certes, l’ordre social est à la fois « androcentrique et androcratique » (C. Pascal), grâce notamment au droit de la famille. La sortie du Moyen Age marque une indéniable érosion de la femme - l’imbecillitas sexus selon une formule d’Ulpien consignée au Digeste qui fera fortune dans la littérature médiévale - étant placée dans la « seigneurie » de son mari. Des nuances sont néanmoins nécessaires. En vertu de l’antique loi salique, les femmes sont exclues du trône. Pourtant jamais la France n’a été aussi prête à devenir dans les faits, et non en droit, une véritable gynécocratie avec les régences des deux Médicis et d’Anne d’Autriche1. Le christianisme perpétue l’image d’une femme pécheresse ayant suscité la faute adamite et la sortie du Jardin d’Eden, mais certains canons du Concile de Trente valorisent la figure de la Vierge Marie tandis que la Contre-Réforme suggère une constante exaltation de la piété féminine.Dans ce contexte, Jeanne d’Arc apparaît comme un personnage extraordinaire qui mêle la geste héroïque à l’Antique, le drame chrétien jusqu’au martyre et un épisode essentiel de la naissance de la « Nation France » (C. Beaune). Sa représentation, qu’elle soit littéraire, théâtrale ou iconographique, procède de la projection d’un ensemble de valeurs et de choix esthétiques sur une réalité contingente, sur un personnage progressivement déhistoricisé.
Jeanne célébrée dans les ouvrages d’Illustres
La figuration (au sens de figura) de Jeanne d’Arc peut être envisagée dans un genre littéraire spécifique, celui des Illustres2. Sous le règne de Louis XIII se multiplient ces recueils de biographies – le plus souvent d’hommes, mais parfois de femmes – inspirées de Plutarque et rédigées à des fins d’édification. L’examen de ces femmes « Illustres » ou « héroïques » ou « fortes » présente ici l’insigne avantage de combiner sur un même support un discours et des images, des « figures » gravées souvent de très belle facture. Certains de ces ouvrages ne mentionnent pas la Pucelle et ne retiennent que des Illustres empruntées à l’histoire antique, biblique ou païenne. C’est le cas des Femmes héroïques (1669) du R.P. du Bosc et plus encore des célèbres Femmes illustres ou les harangues héroïques, de M. de Scudéry qui a cantonné son propos au territoire de l’histoire et de la fable. Jeanne d’Arc n’est pas davantage mentionnée par Hilarion de Coste : elle n’est sans doute pas digne de figurer au milieu des Eloges des reynes, des princesses et des dames (1647) qui ont en commun d’être de noble extraction.
Elle figure en revanche dans La gallerie des femmes fortes, de Le Moyne, Père Jésuite parfaitement inscrit dans la vie mondaine qui écrit pour les femmes de la meilleure société. Cet ouvrage, dédié à Marie de Médicis, donne à voir des « Fortes juives », des « Fortes barbares », des « Fortes Romaines », puis des « Fortes chrestiennes » avec la Pucelle d’Orléans. La gravure ouvrant le chapitre a pour titre « La Pucelle. Annales Galliae ». Elle est le fruit de la collaboration
Jeanne d’Arc parmi les Illustres au Grand Siècle
IIIHommages de couleurs
Jeanne d’Arc.Réplique d’après le tableau du musée d’Orléans, XIXe siècle.Eu, musée Louis-Philippe.
La Pucelle envoyée de Dieu au secours de la France, entre dans Orléans assiégé par les Anglois et par la liberté de cette ville donne commencement à la délivrance de l’Estat. Gravure d’après un dessin de Claude Vignon extraite de La galerie des femmes fortes, par P. Le Moyne 1647. Rouen, Tour Jeanne d’Arc.
10 €20 €
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Beau linge et Grande lessiveMylène Doré, Alain Joubert, Martine Roche
Entre corvée de linge et tradition populaire c’est au milieu du XIXe que commence l’aventure de la très éprouvante lessive. De l’univers des femmes à la mécanisation domestique, du trousseau de mariage à la broderie du linge de maison, un livre imprégné d’un fort parfum de lavande.
Textilesd’AfriqueAnne Grosfilley
De la culture du coton à la Haute-couture, Anne Grosfilley, docteur en anthropologie, nous raconte, dans ce livre abondamment illustré, l’histoire des étoffes, des savoir-faire artisanaux et l’implication de la Haute-couture africaine dans la redécouverte du patrimoine textile de ce continent. Un voyage vers l’afrique où le tissu apparaît comme un moyen d’expression culturelle, entouré de traditions ancestrales.
Co-édition avec le Musée Industriel de la Corderie Vallois96 pages 22 x 22 cmCouverture cartonnéeAvril 2006
978-2-915548-08-0 19 €
Co-édition avec le Musée Industriel de la Corderie Vallois96 pages22 x 22 cmCouverture cartonnéeAvril 2005
978-2-915548-03-7 22 € – épuisé
Textiles d’Afrique
entre tradition et modernité
Text
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Beau linge et Grande lessiveMylène Doré, Alain Joubert, Martine Roche
Entre corvée de linge et tradition populaire c’est au milieu du XIXe que commence l’aventure de la très éprouvante lessive. De l’univers des femmes à la mécanisation domestique, du trousseau de mariage à la broderie du linge de maison, un livre imprégné d’un fort parfum de lavande.
Textilesd’AfriqueAnne Grosfilley
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Co-édition avec le Musée Industriel de la Corderie Vallois96 pages 22 x 22 cmCouverture cartonnéeAvril 2006
978-2-915548-08-0 19 €
Co-édition avec le Musée Industriel de la Corderie Vallois96 pages22 x 22 cmCouverture cartonnéeAvril 2005
978-2-915548-03-7 22 € – épuisé
Textiles d’Afrique
entre tradition et modernité
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Anne Grosfilley
20 €
8 €20 €-60%20 €
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La « machine » de Madame Du Coudray
M. Benozio, C. Beugnot, S. Demoy, A. Dubois, C. Durier, J. Gélis, J. Petitcolas
Le musée Flaubert et d’histoire de la médecine à Rouen possède parmi ses collections un objet d’obstétrique unique, insolite et troublant : un mannequin pour enseigner l’art des accouchements. Cet objet de conception artisanale, comme ses nombreux accessoires, a été imaginé au XVIIIe siècle par une sage-femme Marguerite Du Coudray. Sa connaissance et son action ont contribué à prévenir les risques de l’accouchement et à établir les bases scientifiques de l’obstétrie moderne.
Co-édition avec le Musée Flaubert et d’Histoire de la médecine, Rouen60 pages22 x 22 cmCouverture cartonnéeSeptembre 2004
978-2-9516020-9-0 16 €
• 35 •
L’anatomie de la femme
L’appareil génital féminin est représenté avec tous ses organes en taille naturelle en dehors de la grossesse. La forme de chaque
organe est fidèlement représentée. Certains éléments sont faits de tissu rembourré afin de rendre plus réelle leur consistance.
• 34 •
figurée l’arrivée des uretères où est cousue une étiquette “Le sphincter de la vessie”. Les uretères sont représentées de chaque côté sous la forme de petits liens creux portant des étiquettes “uretère”. En haut un autre lien creux représente “l’ouraque”, vestige embryonnaire sans aucune fonction.De part et d’autre de l’utérus part un voile de tissu fin “le ligament large” sur lequel est cousu en haut l’ovaire (l : 3,5 cm) de forme ovoïde, en dessous la trompe, lien creux froncé, portant l’étiquette “trompe de Falloppe, se terminant par le pavillon appelé morceau frangé”, enfin le “ligament rond” qui se termine en patte d’oie.Au total, pour renseigner la matrice et ses annexes 21 étiquettes ont été cousues.
Chaque organe est identifié par de petites étiquettes. L’utérus est de forme triangulaire, il mesure 7 cm de hauteur et est fait de tissu rembourré rose. Son col dépasse à l’intérieur du vagin et l’on peut pratiquer le toucher en tenant la pièce comme une marionnette.
Le vagin est rose d’un rembour-rage moins tassé pour rendre son apparence souple.L’intérieur a été froncé et une étiquette précise ”le vagin et ses rides”.À la sortie du vagin, le tissu se retourne en cul-de-sac et deux petites boutonnières ont été brodées. La boutonnière arrière représente “l’anus”. L’anus se prolonge, à l’extérieur, par un conduit en tissu fin blanc d’une largeur de 5 cm et d’une longueur de 22 cm portant à son extrémité une petite étiquette “l’intestin rectum”.La boutonnière avant figure “le méat urinaire”. Le méat urinaire se prolonge vers l’avant par un fin conduit se terminant par la vessie en tissu fin de forme arrondie et représentée ouverte.À l’intérieur de la vessie est
Trompe de Fallope
Intestin-rectum Vessie (devant l’utérus)
UretèreOvaire
Morceau frangé
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Ligament
Ligament rondCol
(de la vessie)
Ouraque
Vagin
8 €16 €
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Retrouver toute l’actualité
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[ ]point de vues2, rue de Thuringe76240 [email protected]
Tél. 02 35 89 46 54Fax. 02 35 98 09 64
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