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INNOVATION | ENVIRONNEMENT | ENERGIE

20122012Prix belge de l’Energie et de l’Environnement 2012 !Le palmarès voir page 6

En 2021, l’Europe impose que chaquenouvelle construction soit « ZERO Energie » !

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Cette maison témoin est l’oeuvre de T.PALMet a été construite à Heusy.

Tout comme les autres pays de l’Europe, la Belgique a l’obligation de suivre les Directives européennes, notamment en matière de construction. Les impositions des Régions se sont faites de plus en plus exigeantes en très peu de temps ces dernières années.

Il y a encore 10 ans, nous aurions eu peine à croire qu’en 2012, nous devrions nous conformer à un strict respect du« E70 » pour les constructions neuves(Le « E » est un coefficient de performance énergétique global. Plus on descend dans les valeurs, et plus la performance est élevée).

Or, cela ne cessera pas de descendre étant donné que pour 2021, nous avons une obligation de quasiment ZERO énergie (Nearly Zero Energy), soit des maisons neuves répondant à E0. Ce

qui caractérise principalement ce type d’habitation, c’est l’équilibre de ses consommations par une production« verte » d’énergie équivalente.

T.PALM construit la première maison témoin belge ZERO énergie !

La maison ZERO ENERGIE T.PALM est dès à présent la véritable vitrine de la maison de demain, que ce soit au niveau technique ou au niveau des agencements et des choix des finitions.

Maison témoin, vous pouvez la découvrir sur rendez-vous avec notre équipe commerciale.

Architecte en charge de la conception : Bureau FHW, Olivier HENZ.

Architecte en charge de la réalisation : Philippe NICODEME.

Pour tout renseignement, vous pouvez contacter notre service commercial au 087.29 33 20. Visites possibles aux permanences sur place le mercredi et le samedi de 15h à 18h ou sur rendez-vous.

Adresse de la maison : Clos des Coudriers 1 à 4802 Heusy.

www.tpalm.be078.15 9000

T . P A L M , l e s m a i s o n s q u i n e r é c h a u f f e n t p a s l a p l a n è t e . . .

ZERO

AND THE WINNER IS…La cérémonie de remise des trophées du 7ème Prix belge de l’Energie et de l’environnement a eu lieu le mardi 5 juin à Tour & Taxis (Bruxelles).

Tout un symbole en cette Journée mondiale de l’Environnement, instaurée par les Nations Unies, et en cette année 2012 à l’Année Internationale de l’Energie durable pour tous.

Dans les pages qui suivent, vous découvrirez le palmares, un résumé des dossiers primés mais aussi les coulisses de ce concours.

Faire connaitre les projets et réalisations de celles et ceux dont le dynamisme et l’esprit d’entreprendre contribuent à la préservation de la société de demain et, ainsi, stimuler les initiatives positives et reproductibles, tel est le but premier du Prix belge de l’Energie et de l’Environnement.

Si vous aussi, vous avez un projet durable, rejoignez les 1.350 candidats qui ont déjà tentés leur chance et inscrivez-vous, dès le mois d’octobre pour l’Edition 2013 ! (www.eeaward.be).

Dans ces pages, découvrez également notre dossier consacré au management environnemental. Celui-ci vous permettra de faire le point sur les différents SME (Système de Management Environnemental) et de voir comment, concrètement, les entreprises privées et publiques ainsi que les organisations diverses réussissent à intégrer le respect de l’environnement dans leur gestion quotidienne.

Bonne lecture et bel été !La rédaction

APERÇU DE SOIRÉE DE REMISE DES 13 TROPHÉES DU PRIX BELGE DE L’ENERGIE ET DE L’ENVIRONNEMENT 2012

Organisée ce 5 juin dernier au cœur du site de Tour & Taxis à Bruxelles, la cérémonie de remise des Awards 2012 a débuté cette année par le discours d’Evelyne Huytebroeck, Ministre de l’Environnement et de l’Energie à la Région de Bruxelles-Capitale, suivi des interventions de Philippe Henry, Ministre de l’Environnement, de l’Aménagement du territoire et de la Mobilité au Gouvernement wallon, de Jean-Marc Nollet, Ministre du Développement Durable et de la Fonction Publique, en charge de l’Energie, du Logement et de la Recherche au Gouvernement wallon et de Melchior Wathelet, Secrétaire d’Etat à l’Environnement, à l’Energie, à la Mobilité et aux Réformes institutionnelles. La soirée était également rahaussée par la présence charismatique de l’explorateur Alain Hubert qui soutient l’initiative, depuis sa première édition, au travers de sa Fondation Polaire Internationale.Tous ont eu le plaisir de congratuler et de remettre un trophée aux lauréats présents.

PAS MOINS DE 12 TROPHÉES …

C’est au jury présidé par le Professeur Marc De Clercq de l’Université de Gand qu’il est revenu de désigner les vainqueurs. Les membres du Comité de présélection 2012 étaient constitués des experts suivants :Prof. Dr. Marc De Clercq (Université de Gand) Président, Monsieur Tom Bauler (ULB), Monsieur Hubert Bedoret (Cabinet du Ministre Philippe Henry), Madame Lydwine Derny (Radio Nostalgie), Madame Anaïs Deville (CRIOC-OIVO), Monsieur Maarten Dubois (KU Leuven), Monsieur Christophe Schoune (IEW), Monsieur Chris Serroyen (CSC-ACV), Monsieur Gaëtan Smets (Ethias), Monsieur José Smitz (ULg), Madame Catherine Struman (IBGE-BIM), Monsieur Thierry Touchais (International Polar Foundation), Monsieur Olivier Valentin (CGSLB-ACLVB), Monsieur Henry Visart (La Libre Belgique)

Depuis sa première édition en 2006, le Prix a rassemblé près de 1.350 initiatives de qualité. Qu’ils s’agissent de citoyens, d’entreprises, d’institutions publiques ou du secteur non-marchand, tous ont apporté des contributions remarquables à la gestion et la protection de l’environnement, de l’énergie ou encore du climat de notre pays.

Le prix est soutenu par plus de 100 organisations. Ce concours national a été également rendu possible cette année grâce au soutien financier d’Ethias, de la Fondation Polaire Internationale, de PEFC, de l’IBGE, du Ministre wallon de l’Environnement, de l’Aménagement du territoire et de la Mobilité et du Ministre wallon du Développement Durable et de la Fonction Publique, en charge de l’Energie, du Logement et de la Recherche.

Edito

Echos TerreMagazine de l’énergie, de l’environnement et du climat encarté dans la Libre Belgique et de la Dernière Heure

648.000 lecteursAdministrateur déléguéFrançois le Hodey

Directeur des ventes publicitairesEmmanuel Denis

Deputy DirectorHenry VisartT. : 02/211.29.59F. : 02/211.29.97mail : henry.visart@saipm.com

Coordination d’éditionJosé PironProduct Managergsm : 0475/73.85.20mail : jose.piron@saipm.com

Coordination rédactionnelleet Mise en pagewww.reference-media.be

Editeur responsableEmmanuel DenisRue des Francs, 79B-1040 Bruxelles

Toute reproduction totale ou partielle est strictement réservée à l’éditeur.

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ÉDITO

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Le Prix belge de l’Energie et de l’Environnement, c’est aussi une équipe pluridisciplinaire qui s’affaire toute l’année à la préparation d’un évènement d’envergure et de notoriété nationale.

L’équipe de base met en place un plan de communication, négocie avec des partenaires media et des soutiens ( associations, fédérations, institutions, ONG,…) qui relaient, par leurs propres canaux, les informations concernant le concours (en 2012, plus de 100 soutiens !). Elle entretient également les contacts avec les candidats (plus de 175 candidatures cette année), organise la procédure d’évaluation des ces derniers, ainsi que les réunions avec le jury.

L’organisation de la prestigieuse soirée de remise des prix est quant à elle confiée à l’agence liégeoise Référence Média qui orchestre avec brio l’événement depuis sa première édition en 2006.

Depuis 2006, le Prix belge de l’Energie et de l’Environnement a rendu hommage à plus de 1.350 belges qui seuls ou au travers de leurs organisations se dévouent pour le développement durable à l’échelle locale, régionale, nationale ou encore internationale.

Ce Prix est Unique au monde et perdure depuis autant d’années grâce notamment à l’ensemble des partenaires (partenaires publics et privés, media, membres du jury, associations, fédérations,…).

QUI SONT CES BELGES QUI AGISSENT SUR LE TERRAIN ?Bien entendu, il n’est pas possible de citer toutes les réalisations des participants au concours depuis plus de 7 ans. Nous vous invitons toutefois à retrouver dans la rubrique « résultats » du site www.eeaward.be, quelques résumés de projets ou réalisations primés.

UN SOUTIEN MÉDIATIQUE IMPORTANT

Le prix belge de l’Energie et de l’Environnement bénéficie d’une vaste visibilité aussi bien en radio que dans la presse écrite.

Les partenaires media jouent depuis la naissance du concours un rôle majeur dans la promotion du prix et des valeurs portées par le développement durable. En 2012, le budget communication a atteint plus de 500.000 €

Nos partenaires : La Libre Belgique, la Dernière Heure, le Journal de l’Architecte/ Architectenkrant, Radio Nostalgie, Télépro, le Moniteur de l’Automobile/Autogids, PME/KMO, Tu bâtis, Je rénove/Beter bouwen & verbouwen, Déco idées/Actief wonen, Immoweb, Agenda Plus, Renouvelle, Symbioses, Nathure Ethique, …

LE SPONSORING, UN SOUTIEN INDISPENSABLE

Le Prix n’aurait pu voir le jour et ne peut perdurer sans le soutien financier des sponsors. Ceux-ci sont le plus souvent des entreprises qui elles-mêmes développent et poursuivent des stratégies en phase avec les principes du développement durable, tels qu’Ethias ou encore le label PEFC. Ce sont aussi des institutions qui poursuivent des missions d’intérêt général dans le domaine de l’environnement ou de l’énergie. C’est ainsi que le le Prix belge de l’Energie et de l’Environnement bénéficie depuis sa première édition du soutien de l’Institut Bruxellois de la Gestion de l’Environnement ou encore des Ministres de l’Environnement et de l’Energie de la Région wallonne.

Sponsoriser un tel évènement c’est bien entendu contribuer à récompenser, à l’échelle nationale, ceux et celles qui contribuent à construire une société durable. Mais c’est aussi profiter d’une visibilité exceptionnelle. Avec sa large campagne de promotion étalée sur près d’une année, et sa prestigieuse soirée de remise de prix, le Prix Belge de l’Energie et de l’Environnement constitue un événement médiatique de haut niveau qui offre une visibilité exceptionnelle à la fois aux candidats mais également aux partenaires-sponsors.

Bref, une action qui s’inscrit réellement dans la dynamique de responsabilité sociétale de l’entreprise.

7ÈME ÉDITION DU PRIX BELGE DE L’ENERGIE ET DE L’ENVIRONNEMENT : PARTENAIRES ET COULISSES DU CONCOURS

VOUS SOUHAITEZ PLUS D’INFOS SUR NOS FORMULES DE PARTENARIAT ?

Contactez :José Piron au 0475 73 85 20 – info@eeaward.be ouAnne-Julie Lambion : 0499 40 10 .86 – info@eeaward.be

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Assureur mutualiste, Ethias considère depuis toujours le développement d’une politique de responsabilité sociétale comme une orientation stratégique pour une gestion durable de l’entreprise. Ces dernières années, les défis écologiques sont au cœur des développements d’Ethias, où l’assureur est parvenu à conjuguer innovation, savoir-faire et respect de l’environnement, tant dans les services proposés aux assurés que dans la gestion du bilan carbone de l’entreprise.

D’emblée, un objectif atteint dont l’assureur n’est pas peu fier : en l’espace de 4 ans, Ethias est parvenue à réduire son empreinte CO2 de 43%. Un bilan carbone fort encourageant qui témoigne des efforts consentis par Ethias en matière de respect de l’environnement, ainsi que de l’efficacité des mesures écologiques mises en œuvre par l’entreprise ces dernières années. En interne, bien entendu, où le management d’Ethias a veillé à encourager à des réflexes écologiques parmi l’ensemble de ses collaborateurs : recyclage accru et tri sélectif, produits locaux et de saison au restaurant d’entreprise, impressions recto-verso systématisées, éventail de solutions en faveur d’une mobilité respectueuse de l’environnement. En externe, Ethias a cherché à faire percoler des comportements durables, notamment auprès de ses assurés, en proposant par exemple toute une série d’éco-tarifs en assurances ou en mettant à disposition des services informatiques innovants, respectueux de l’environnement et toujours plus efficaces.

INNOVER POUR L’ENVIRONNEMENT

Cette efficacité, Ethias la doit notamment à sa volonté d’innover sur le plan informatique, en offrant aux assurés des produits et services réduisant au maximum le recours au papier, tout en privilégiant ergonomie et efficacité. Plusieurs services proposés aux assurés misent clairement sur les bénéfices de la tendance « paperless » : moins de papier grâce à une informatisation bien pensée des services. A titre d’illustration, MyEthias, la plateforme de gestion sécurisée des contrats d’assurance à l’attention des assurés particuliers, est devenue au fil des années un canal de communication et d’interaction privilégié entre Ethias et ses assurés. Plus récemment, l’application internet EthiasHospi permet à tous les assurés en soins de santé bénéficiaires d’une AssurCard de déclarer leur hospitalisation en ligne, depuis le confort de leur domicile et au moment qui leur convient le mieux : moins de stress, moins de formalités administratives, mais surtout beaucoup moins de papier et un plus grand respect de l’environnement grâce à un module de déclaration internet rapide, facile et convivial.

Un atout bien connu des collectivités et des entreprises assurées chez Ethias et bénéficiant des facilités offertes par la plateforme Extranet qui leur est réservée : messagerie électronique, gestion des contrats d’assurance, déclaration des sinistres… Tout s’effectue en ligne, sans devoir recourir à l’impression de tonnes de documents. En 2011, l’Extranet d’Ethias a par exemple permis d’éviter l’envoi de 110 000 courriers dans le seul cadre de la gestion des accidents du travail. La volonté d’innovation d’Ethias au service des assurés et de l’environnement a été récompensée deux années consécutives par un Trophée Decavi de l’Innovation en assurances. Une reconnaissance qui conforte l’entreprise dans sa volonté de toujours chercher des solutions efficientes, alliant souci de rapidité et prise en compte de questions écologiques.

UNE DÉMARCHE ÉCOLOGIQUE COHÉRENTE ET INTÉGRÉE

L’informatisation et la réduction d’utilisation de papier est un pan important de la politique environnementale de l’entreprise, mais certainement pas le seul. Ethias a à cœur de développer plusieurs actions socialement responsables et écologiquement positives. Ethias privilégie, entre autres, le recours aux énergies renouvelables et durables, notamment dans l’approvisionnement en électricité verte pour l’ensemble de ses sites, l’installation de panneaux

solaires, des systèmes uniques de récupération de chaleur ainsi qu’une politique tangible d’économies d’énergie : détecteurs de présence,

boilers solaires pour la production d’eau chaude, extinction des éclairages publicitaires de nuit.

Parallèlement, les déplacements ne représentent pas moins de 65 % des émissions carbone de l’entreprise. C’est pourquoi

Ethias perfectionne plusieurs pistes visant à réduire cette empreinte : covoiturage accru et assorti de plusieurs avantages,

stages d’éco-conduite, mise à disposition de titres de transport en commun gratuit pour tout déplacement entre sièges de l’entreprise,

etc. Des « vélos d’entreprise » sont même mis à disposition du personnel dans plusieurs sièges afin de réaliser, de manière saine et écologique, de courts déplacements professionnels.

La santé et le bien-être au travail sont autant de domaines où l’écologie trouve un écho concret dans l’entreprise. En effet, Ethias s’investit de longue date en matière de restauration d’entreprise

biologique, équitable et respectueuse de l’environnement en privilégiant des produits locaux et de saison. Jusque dans l’assiette de ses collaborateurs, Ethias met en place une véritable réflexion visant à contrôler le volet diététique et écologique des plats proposés dans les restaurants du personnel.

Acteur pionnier en matière de responsabilité sociétale, Ethias adhère depuis 2006 au Pacte Mondial des Nations-Unies, un ensemble de mesure concrètes favorisant l’intégration de critères sociaux, tels que le respect des Droit de l’Homme et des normes internationales du travail, mais également environnementaux ciblés tels que la diminution des émissions carbone de l’entreprise et ses développements en matière de produits et services éco-innovants. Un engagement respecté par Ethias depuis 6 années, et qui constitue depuis lors un véritable moteur d’évolution et de croissance pour l’entreprise.

www.ethias.be/durable

www.liege-engage.be

INNOVATION, GESTION DURABLE ET RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT

2012Les lauréats et nominés qui suivent se sont distinguées dans leur engagement pour les générations futures. Le classement est présenté par catégorie.Les résultats peuvent être consultés sur le site officiel du concours : www.eeaward.be.

LES PRIX INDIVIDUELS

ECO-CITIZEN AWARD 2012Ce Prix est remis à un citoyen dont les réalisations remarquables se sont soldées par une amélioration manifeste de la qualité de l’environnement de son espace de vie, ou par des retombées favorables sur l’utilisation et/ou l’économie d’énergie.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q Monsieur René Denooz (Liège) DÉVELOPPEMENT DU SYSTEME FRIGIDEN Ce citoyen a développé un frigo dont la porte devient

transparente par simple contact avec les doigts. Cette innovation permettant ainsi d’en visualiser le contenu réduit par là, le nombre d’ouvertures de la porte, d’où moindre consommation d’énergie. Une véritable innovation dont on peut mesurer l’impact énergétique lorsque l’on sait que le frigo est l’un des électroménagers les plus répandus dans le monde.

SONT NOMINÉES : q Madame Isabelle Masson-Loodts (Fallais) WWW.MADAMENATURE.BE Cette journaliste de formation a développé un blog

riche en articles qu’elle a rédigés sur le thème de l’environnement et de l’éco-consommation.

q Madame Chantal Roegiers-Van Pevenage (Ambly)

ECOTOURISME ET VALORISATION DES RESSOURCES. Conception d’un ensemble de trois gîtes ruraux situés

dans le village d’Ambly dont deux gîtes labellisés «Panda» (label WWF), et l’autre «Clé verte».

YOUNG PEOPLE AWARD 2012 Ce Prix est destiné à un citoyen de moins de 30 ans qui s’est engagé dans la protection ou la mise en valeur de l’environnement ou des sources d’énergies renouvelables. Le jury n’a retenu aucun lauréat ni nominé dans l’ensemble des dossiers déposés cette année.

LES PRIX INSTITUTIONNELS

BUSINESS SUSTAINABLE DEVELOPMENT AWARD 2012

Ce prix récompense les Entreprises qui se distinguent dans le domaine de la protection de l’environnement, de l’économie d’énergie et/ou des ressources naturelles.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q Hydrométal (Engis) MISE EN PLACE D’UNE FILIÈRE DE RECYCLAGE

DE TERRES RARES. Les terres rares représentent un enjeu stratégique

majeur. Il s’agit de composés métalliques non ferreux qui se retrouvent dans l’écorce terrestre en quantités peu concentrées. Cette société liégeoise

a développé une technologie de valorisation qui a l’avantage d’être peu énergivore, à faible impact environnemental et ayant une empreinte CO2 réduite. A elle seule, HYDROMETAL a recyclé en 2011, près de 1% de la production mondiale.

SONT NOMINÉS : q Comet Traitements (Châtelet) PROCÉDÉ DE TRAITEMENT ET DE VALORISATION

DES RÉSIDUS FINS DE BROYAGE DE DÉCHETS MÉTALLIQUES.

Comet Traitements est une PME active dans le traitement et la valorisation des résidus issus du broyage des déchets métalliques tels que les Véhicules Hors d’Usage (VHU), les Déchets d’Equipements Electriques et Electroniques (DEEE). L’industrialisation de plusieurs de ces procédés permet actuellement à Comet Traitements d’afficher un taux de valorisation exceptionnel de 91,9% ; taux qui devrait atteindre 97,8% à l’horizon 2015.

q Elia (Bruxelles) VASTE PROJET DE RESTAURATION DE LA

BIODIVERSITÉ. Dans le cadre d’un projet européen (Life) d’une

durée de 5 ans, Elia transforme actuellement 130km de couloirs forestiers (couloirs de 50m de large situés sous les lignes électriques en forêt, où la végétation est maintenue rase pour éviter toute coupure d’électricité) en véritables «corridors écologiques».

INSTITUTION SUSTAINABLE DEVELOPMENT AWARD 2012

Ce prix récompense les Institutions publiques et non marchandes qui se distinguent dans le domaine de la protection de l’environnement, de l’économie d’énergie et/ou des ressources naturelles.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q IDEA (Mons) CRÉATION DU PREMIER PARC D’ACTIVITÉ

ÉCONOMIQUE ALIMENTÉ PAR LA GÉOTHERMIE PROFONDE EN BELGIQUE.

Si les exemples de parcs industriels équipés de réseaux de chaleur se multiplient en Europe, les sources d’alimentation les plus fréquemment rencontrées restent, sinon la biomasse, des énergies fossiles classiques. La particularité du projet de Ghlin réside dans une alimentation exclusivement d’origine géothermique, produisant ZERO rejet de gaz à effet de serre, ce qui en fait un modèle de parc d’activité unique en Belgique.

SONT NOMINÉS : q De Schakelaar (Bruges) ASSOCIATION BRUGEOISE ACTIVE DANS LES ÉNERGIES. Cette Association très active a été mise en place

par le CPAS de Bruges. Elle développe des projets dans le domaine de l’énergie pour tous les habitants de Bruges (Audit, placement de panneaux photovoltaïques, sensibilisation aux économies d’énergie, prêt à taux favorables, etc…). Une attention particulière est portée aux personnes qui ont des difficultés financières.

q UCM (Bruxelles) INTÉGRATION DE L’ÉCO-CONCEPTION DANS LES ENJEUX STRATÉGIQUES DES TPE ET PE BRUXELLOISES.

La cellule éco-conception de l’UCM sensibilise les TPE-PE bruxelloises afin qu’elles puissent intégrer l’éco-conception dans leurs réflexions stratégiques. Elle informe les entreprises pour que les questions environnementales ne soient plus perçues comme une contrainte mais bien comme un moteur de développement et d’innovation.

MUNICIPAL SUSTAINABLEDEVELOPMENT AWARD 2012

Ce prix récompense les actions et les réalisations en matière de développement durable auprès des autorités locales.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q La Ville d’Ostende TIERS-INVESTISSEMENT POUR PROMOUVOIR

LES INVESTISSEMENTS VERTS AUPRÈS DES PARTICULIERS.

Les personnes qui disposent de faibles revenus ont des difficultés pour investir dans des économies en énergie dans leur habitation. Si les subsides pour améliorer les performances énergétiques et environnementales des habitations sont nombreux, il faut entre 6 à 24 mois pour les recevoir. La Ville d’Ostende a développé un système de tiers-investisseurs qui permet ainsi d’alléger le budget des ménages à faibles revenus.

SONT NOMINÉES :q La Commune de Houthalen-Helchteren NAC2012-PROGRAMME : RÉALISATION D’UN NOUVEAU CENTRE

ADMINISTRATIF « LEANTECH ». Ce bâtiment aux formes futuristes est équipé

de technologies durables (toits verts, pompe à chaleur,...) et que ce soit dans sa conception ou l’organisation du travail, l’objectif est également de réduire son empreinte CO2.

q La Ville de Gand DE LA THERMOGRAPHIE DES TOITS À LEUR ISOLATION. La Ville de Gand veut devenir neutre sur le plan

climatique d’ici 2050. Cet objectif passe par l’amélioration des performances énergétiques des bâtiments et plus particulièrement celle des toits. La Ville a ainsi fait effectuer par thermographie, des photos des toitures de la ville afin d’identifier les pertes thermiques en toitures. Un accompagnement des habitants permet ensuite d’améliorer la performance énergétique des toitures.

LES PRIX SPÉCIAUX

ECO-BOOSTER AWARD 2012Contrairement aux autres prix qui sont réservés à des réalisations, le prix «Eco-Booster» est attribué à un projet dont la faisabilité a été démontrée.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q Elia (Bruxelles) BÂTIMENT NEW SCHAERBEEK. Construction d’un immeuble de 10.000m² destiné

au personnel d’Elia. Il transformera un terrain vague au cœur de Bruxelles en une vitrine du Développement Durable. Il sera le premier bâtiment belge doublement labellisé « âtiment passif» et

PALMARÈS DE LE 7ÈME ÉDITION DU PRIX BELGE DE L’ENERGIE ET DE L’ENVIRONNEMENT

«Breeam», ce qui assure la prise en compte de tous les aspects liés à l’éco-construction tels que l’énergie, l’eau, les déchets, la biodiversité, le bien-être des occupants, la mobilité, etc.

EST NOMINÉE : q La Ville de Bruxelles pour l’École maternelle

Émile Bockstael. Construite essentiellement en bois, la conception

de ce bâtiment allie un éventail de mesures architectoniques et techniques pour réduire la consommation énergétique à un niveau très bas correspondant au standard «passif».

ECO-BUILDING AWARD 2012Ce prix s’adresse à tous ceux qui ont fait construire ainsi qu’aux architectes ou entrepreneurs qui ont conçu un ou des bâtiments intégrant les principes de l’éco- et bio-construction.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q L’atelier d’architecture-A l’Abri de l’Arbre

(Auderghem) BÂTIMENT EN MATÉRIAUX NATURELS. Ferme du XXIe siècle, construite à la main avec les

matériaux naturels de l’environnement proche. Cette construction s’inscrit dans une démarche d’écologie globale puisqu’elle est également le siège d’une exploitation maraîchère écologique. Edifiée en bois, en terre crue, en paille et en roseau, sans mécanisation et sans traitements chimiques, elle vise à bouleverser le moins possible l’environnement.

SONT NOMINÉES :q Grontmij Belgium (Malines) RÉNOVATION À MALINES D’UN BÂTIMENT

SELON LE CONCEPT DE DÉVELOPPEMENT DURABLE.

Les trois aspects du développement durable ont été intégrés : le social, l’économique et l’écologique. Ainsi sur le plan social, le bâtiment a été conçu pour créer un milieu thermique et acoustique agréable pour les travailleurs.

q Ariade Architectes (Waterloo) DEUX LOGEMENTS E NÉGATIFS – DURABLES &

ÉCO-CONSTRUITS. Ces architectes ont démontré avec ce projet qu’il

était possible de concevoir et réaliser des logements de grande qualité, pas seulement par les finitions recherchées, par leur caractère écologique ou par leur statut passif ou E négatif, mais surtout par leurs qualités spatiales et le confort de vie qu’ils fournissent aux occupants, en restant dans une gamme de prix du marché.

q DSP2-Davy Stroobants (Lummen) HABITATION ÉCOLOGIQUE À LUMMEN. Véritable vitrine de verre, de brique, d’acier et

de béton, cette maison offre de très bonnes performances énergétiques E-niveau de 27.Son toit couvert d’une pelouse rend ce bâtiment particulier.

EDUCATION ECO-AWARD 2012Ce prix est spécialement destiné au secteur de l’enseignement. Il récompense la sensibilisation, l’information, l’éducation et les actions en matière d’environnement et d’énergie.

LE LAURÉAT DE CE PRIX EST : q Le Centre Scolaire St Vincent de Paul-Enfant

Jésus (Ixelles) SOYONS ECOL’LOGIQUE. Cette école bruxelloise a mené une série d’actions

pour réduire son empreinte écologique ainsi que celle de ses élèves et de son personnel. L’école entière s’est mobilisée. Parmi les nombreuses

réalisations citons : la réalisation d’un repas de classe sans déchets, la réalisation d’audits énergétiques par les élèves de 6ème, la réduction significative de la consommation de papier, etc.

SONT NOMINÉS : q De Spycker (Sint-Kruis) PROFITEZ DE LA TERRE. Avec leurs professeurs, les élèves ont mis en

place un programme complet de sensibilisation au changement climatique : logo, chansons, etc. avec des réunions de travail sur différents thèmes (recyclage et réutilisation des déchets, le climat, préparation du script d’un film de promotion, l’énergie, etc.)

q Sint-Jozefscollege Wervik (Wervik) UNE SUPER-TRIEUSE DE DÉCHETS. Un groupe d’élèves très créatif a développé une

trieuse de déchets. Grâce à la «trompe» d’un éléphant, les enfants introduisent leurs déchets résiduels. Des ouvertures sont consacrées aux déchets organiques, d’autres aux canettes ou bouteilles en plastique qui peuvent être pressées grâce à une presse construite par les enfants.

MEDIA AWARD 2012Il vise à récompenser les démarches publicitaires innovantes et responsables. Il peut s’agir de publicité presse ou TV, d’une campagne éco-conçue, d’un site web d’information.

LE LAURÉAT EST : q PEFC Belgium (Bruxelles) CAMPAGNE DE SENSIBILISATION À LA GESTION

DURABLE DES FORÊTS PEFC Belgium asbl est le secrétariat belge du label

international PEFC. PEFC est le principal système de certification forestière du monde et il garantit la gestion durable des forêts. PEFC est récompensé pour sa campagne visant à sensibiliser le grand public à la gestion durable des forêts.

EST NOMINÉ :q Univert (Mons) AGENCE DE COMMUNICATION DURABLE Cette agence de communication propose des

solutions minimisant l’impact environnemental des modes de communication. Elle accompagne et guide également les entreprises, institutions et associations qui veulent développer une stratégie de communication corporative ou de marque, intégrant des valeurs respectueuses de l’environnement.

MOBILITY AWARD 2012Il récompense l’engagement de ceux et celles qui développent ou mettent en place des mesures afin d’améliorer la mobilité dans le principe du développement durable

LE LAURÉAT EST : q Ecopostale (Bruxelles) PREMIÈRE SOCIÉTÉ BELGE DE LOGISTIQUE

INTRA-URBAINE ZÉRO ÉMISSION DE CO2. Ecopostale a mis en place une suite de services

favorisant une plus grande mobilité et une réduction significative de la pollution dans nos villes.

SONT NOMINÉS :q Hush Rush (Saint-Gilles) LIVRAISON À VÉLO DANS BRUXELLES. Hush Rush assure, en vélo, la livraison de petits colis

dans toute la capitale.q De Lijn Oost-Vlaanderen (Gentbrugge) CAMPAGNE DE MESURES AVEC AMÉLIORATION

DES PERFORMANCES ÉLECTRIQUES. La mise en œuvre de technologies adaptées

pour réduire la consommation en électricité des trams s’est accompagnée d’une diminution de la consommation de -20% de l’électricité.

BELGIANS ABROAD ECO-AWARD 2012Ce prix s’adresse aux belges à l’étranger qui ont choisi de respecter les normes d’environnement belges pour leurs implantations dans d’autres pays ou qui ont valorisé le savoir-faire belge en matière d’énergie, d’écodéveloppement et/ou d’environnement dans d’autres pays.

LE LAURÉAT EST : q Aviation sans frontières (Bruxelles) APPUI AU SECTEUR DU DÉVELOPPEMENT

DURABLE POUR LA BONNE GESTION DE LA BIODIVERSITÉ.

Aviation sans Frontières – Belgique, petite et unique ONG d’aviation en Belgique, a mis au point sur fonds propres à Madagascar en collaboration avec le WWF une méthodologie de survols et photographie aérienne oblique géo-référencée et géo-localisée basée sur une technologie très simple. Elle permet ainsi de surveiller 10 Parcs Nationaux à Madagascar soit 1.350.000 ha de forêt.

EST NOMINÉ :q Altech (Waremme) ACCÈS À L’EAU POTABLE ET À L’ASSAINISSEMENT EN MILIEU RURAL DANS LES PAYS DU SUD La société à finalité sociale Altech œuvre à

l’amélioration des conditions de vie des populations du Sud à travers des projets d’accès à l’eau potable et à l’assainissement. Celle-ci a travaillé dans 15 pays du Sud répartis sur 3 continents.

INTERNATIONAL POLAR FOUNDATION AWARD 2012

Ce prix est décerné par la Fondation Polaire Internationale à un candidat qui présente un bon bilan d’ensemble et dont l’action a des retombées favorables sur la lutte contre le changement climatique.

LA LAURÉATE EST : q La Ville de Gand DE LA THERMOGRAPHIE DES TOITS À LEUR ISOLATION. La Ville de Gand veut devenir neutre sur le plan

climatique d’ici 2050. Cet objectif passe par l’amélioration des performances énergétiques des bâtiments et plus particulièrement celle des toits. La Ville a ainsi fait effectuer par thermographie, des photos des toitures de la ville afin d’identifier les pertes thermiques en toitures. Un accompagnement des habitants permet ensuite d’améliorer la performance énergétique des toitures.

PREMIUM ETHIAS AWARD 2012Ce prix est décerné par le major Sponsor Ethias

LA LAURÉATE EST : q La Commune de Sprimont PROJET PILOTE D’AUTO-STOP DE PROXIMITÉ

EN RÉGION RURALE Covoit’Stop favorise l’auto-stop entre habitants

d’un même quartier, en complément des transports en commun. Cet auto-stop est organisé et sécurisé par le biais d’une inscription préalable des utilisateurs auprès de la commune (automobilistes et auto-stoppeurs). Vu le succès du projet, il est prévu d’étendre ce projet-pilote à 17 communes (au moins) situées en région rurale.

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LE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL :

UNE EXCELLENTE CARTE DE VISITE

De nos jours, toutes les entreprises et organisations modernes se doivent de prendre en compte leur implication environnementale. Les plus proactives d’entre elles, les plus sectoriellement exposées également, ont, en nombre croissant, fait le choix d’intégrer dans leur process un système de management environnemental (SME), qu’il s’agisse d’une certification ISO 14001, du respect de la norme EMAS ou, en Région de Bruxelles-Capitale, de l’obtention du label “Entreprise écodynamique”.

Ces référentiels sont à la croisée de plusieurs phénomènes : la diffusion de l’assurance-qualité comme méthode de gestion d’un côté, et de l’autre le développement des actions volontaires des entreprises en matière d’environnement, dans un souci de rationaliser leur gestion interne, de rétablir leur légitimité face au grand public, de se positionner autrement face à l’acteur public, et de créer de la différenciation dans le jeu concurrentiel.

Il est toutefois important de réfléchir sur les référentiels de management autrement qu’en termes de certification et d’avantage concurrentiel. La mise en place d’un système de management environnemental n’est pas une démarche isolée. Dans l’entreprise, elle n’aura d’effet que si les acteurs sont capables de lui donner du sens, et de construire des dispositifs de management appropriés et acceptables.

Le management environnemental est l’occasion d’instrumenter la coordination et de susciter des apprentissages croisés dans l’entreprise, entre le service environnement et les autres services. Une meilleure coordination et un apprentissage renforcé peuvent faciliter la recherche de solutions technologiques intégrées et l’amélioration des performances des équipements existants.

SME : L’OUTIL DE GESTION DU MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL

Le Système de Management Environnemental est l’ensemble des mécanismes propres à l’entreprise qui ont pour objectif la gestion et/ou l’amélioration de la performance environnementale. Il s’agit d’une démarche volontaire et transversale à l’entreprise.

Le contenu et la structure du SME seront fortement liés aux spécificités (historique, activités, taille, localisation, culture, ...). Il n’est donc pas seulement réservé au monde industriel et aux multinationales, il est aussi accessible aux PME, aux entreprises de services, ...

Le SME est un terme indépendant de toute forme de standardisation ou de reconnaissance officielle.

Toutefois, il est possible de faire reconnaître un SME de manière officielle. Les solutions les plus connues sont la norme ISO 14001 et le dispositif européen Eco-audit ou EMAS (pour Eco- Management and Audit Scheme). Cette étape permet d’améliorer le SME grâce au regard extérieur du certificateur et de communiquer auprès des partenaires sur la stratégie environnementale.

La norme ISO 14001 et le règlement européen EMAS ne sont donc pas des SME à proprement parler mais bien deux solutions pour une entreprise de faire reconnaître officiellement son système, en répondant à certaines exigences.

MISE EN PLACE D’UN SME

Quelque soit le type de référentiel, la mise en place d’un SME se fait à travers les étapes suivantes :

1.DÉFINITION D’UNE POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE

C’est un engagement écrit de la Direction à se conformer aux réglementations et à améliorer de façon continue les résultats environnementaux de l’entreprise. Il doit être porté à la connaissance de l’ensemble du personnel et être accessible à toute personne qui en fait la demande.

2.ANALYSE ENVIRONNEMENTALE DU SITE

Il s’agit d’identifier les aspects environnementaux induits par l’activité, de réaliser un inventaire des réglementations applicables et d’évaluer les impacts des activités du site, qui sont hiérarchisés. Ceux que l’entreprise peut maîtriser doivent aussi être identifiés.

3.ETABLISSEMENT D’UN PROGRAMME

Il s’agit de planifier des actions pour traduire concrètement la volonté exprimée dans la politique environnementale. Des objectifs précis sont définis, ainsi que les mesures à prendre et les ressources à attribuer pour les atteindre : moyens humains, techniques et financiers…

4. MISE EN PLACE D’UN SYSTÈME DE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL

Il s’agit de la mise en place d’une organisation et des structures qui assurent l’efficacité du système. Par exemple, on établira des procédures, on définira les responsabilités et les rôles de chacun, on prévoira les actions de formation ou les modes de communication interne et externe…

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5.MISE EN ŒUVRE DES ACTIONS PLANIFIÉES

Formation, communication, modification des processus de production, mise en place de mesures de réduction des nuisance….etc.

6.CONTRÔLE DU SYSTÈME ET CORRECTION DES ÉCARTS

L’auto-contrôle et l’audit interne permettent de surveiller l’évolution des impacts environnementaux à l’aide d’indicateurs, d’évaluer la conformité des résultats et de corriger les écarts constatés. Des revues de direction régulières doivent permettre de vérifier que la politique environnementale définie est réalisée en conformité avec ce qui a été prévu. Elle permettent également de renouveler les objectifs et cibles.

7.VALIDATION ET RÉDACTION D’UN RAPPORT ENVIRONNEMENTAL

La certification peut également être demandée à cette étape.

COMPARAISON ENTRE LES NORMES ISO ET EMAS

Alors que la norme ISO 14001 certifie la manière par laquelle l’entreprise gère l’environnement c’est-à-dire sa structure de gestion de l’environnement, le règlement EMAS va plus loin. En effet, son enregistrement s’applique à la gestion environnementale proprement dite de l’entreprise, autrement dit l’amélioration des performances environnementales.

Le règlement EMAS constitue donc une étape supplémentaire à l’ISO 14001, vers plus d’efficacité et de transparence environnementale :

q ISO = l’évolution de mon système est certifiée.

q EMAS = l’évolution de mes performances environnementales est certifiée.

LES ASPECTS QUI DIFFÈRENT :

q La conformité réglementaire : est exigée pour un enregistrement EMAS, alors que la norme

ISO 14001 demande un engagement de l’organisme à se mettre en conformité dans des délais raisonnables.

q Amélioration de performance environnementale : l’engagement est obligatoire pour EMAS. Pour ISO 14001,

c’est uniquement un engagement pour la performance du système.

q Amélioration continue : une amélioration annuelle est à prouver pour EMAS.

L’amélioration continue est requise de manière périodique pour ISO 14001, mais n’impose pas une fréquence précise.

q L’analyse environnementale initiale : est plus poussée pour l’EMAS.

q La participation du personnel dans la démarche : est demandée pour l’EMAS.

q La déclaration environnementale : n’est pas nécessaire dans l’ISO

ANALYSE ENVIRONNEMENTALE

POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE

Programme environnemental

Planification des actions

Revue de direction

Est-ce que la Politique et programme sont toujours

adaptés aux réalités du terrains ?

Réalisation du programme environnemental

Mise en œuvre des actions

q Implication du personnel q Documentation

Evalutation du SME

q Indicateurs q Audits internes

G A

G

S F

K H

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AVANTAGES DE LA MISE EN PLACE D’UN SME

1. UNE RÉDUCTION DES COÛTS

D’abord, grâce à une économie des matières premières (eau, énergie) et par le recyclage. Les entreprises qui réalisent ce type de démarche réduisent très souvent leurs coûts environnementaux, cachés jusqu’alors. Ensuite, une réduction des coûts liés à la réparation des dommages environnementaux ou au paiement de taxes et redevances.

2. UNE MEILLEURE GESTION DU RISQUE

La gestion environnementale permet de mieux connaître son entreprise et de mieux contrôler le risque environnemental que pourrait courir l’entreprise. Elle favorise les mesures de prévention, qui permettent d’éviter les accidents coûteux…

3. UNE IMAGE DE MARQUE ET DES RELATIONS FACILITÉES…

Qui dit meilleure gestion, dit meilleures relations avec les pouvoirs publics et les riverains de l’entreprise. L’ entreprise démontre ainsi sa responsabilité vis-à-vis de la société, et sa citoyenneté. Elle permet une amélioration de l’image de marque et le positionnement de l’entreprise sur le marché.

4. UNE SÉCURISATION JURIDIQUE

Ne pas respecter la réglementation comporte des risques importants pour l’entreprise en cas d’accident, de pollution,… En effet, les assurances ne vous couvrent pas pour un accident environnemental si l’entreprise n’est pas en conformité réglementaire. Autant le savoir ! Une démarche environnementale établit de meilleures conditions pour anticiper la réglementation environnementale, grâce à l’intégration des nouvelles législations dans la gestion de l’entreprise.

5. UN AVANTAGE CONCURRENTIEL

De plus en plus, la question de l’environnement apparaît dans les contrats entre clients et fournisseurs. Prouver que l’on gère l’environnement dans l’entreprise se révèle donc de plus en plus comme un argument commercial, qui permet de se démarquer de la concurrence, ou de percer sur certains marchés.

Source : uwe

LE LABEL « ENTREPRISE CODYNAMIQUE » : LA RECONNAISSANCE BRUXELLOISE EN MATIÈRE D’ENVIRONNEMENT

QU’EST-CE QUE LE LABEL “ENTREPRISE ÉCODYNAMIQUE” ?

Initié par Bruxelles Environnement (IBGE), ce label reconnaît officiellement la bonne gestion environnementale de l’entreprise, en l’aidant à structurer, planifier et mesurer ses efforts. Il récompense le dynamisme environnemental et les progrès en matière, notamment, de gestion des déchets, de consommations d’énergie, de gestion des déplacements ou encore d’utilisation rationnelle de matières premières. Ensuite, il encourage et facilite la mise en place d’un système de management environnemental reconnu internationalement, tel que le préconise la norme ISO14001 ou le règlement européen EMAS.

A QUI S’ADRESSE-T-IL?

A toute entreprise au sens large : grande ou petite, du secteur privé, public, associatif ou non marchand, quel que soit le domaine d’activités… pour autant que le site candidat au label se trouve en Région de Bruxelles- Capitale.

La participation au programme bruxellois d’éco-labellisation est entièrement gratuite. Il n’y a pas non plus de coûts d’audits, de vérification ou d’enregistrement.

POUR PLUS D’INFOS

www.bruxellesenvironnement.be/ecomanagementVous y trouverez : le détail des étapes pour être labellisé (mode d’emploi et documents utiles), nos formations en management environnemental, la liste des labellisés et des exemples de leurs actions, nos publications (Guide des entreprises écodynamiques, Catalogue de pratiques environnementales en entreprise), …

MANAGEMENT ET ENVIRONNEMENT, UN LIEN IMPORTANT DONT HEC-ULG À CONSCIENCE DEPUIS DE NOMBREUSES ANNÉES !

Former des étudiants à la gestion placée dans un contexte économique, c’est le rôle de HEC-ULg depuis la fin du 19ème siècle. Depuis lors, les notions enseignées se sont cependant diversifiées …

Au début des années ‘90, face à la prise de conscience croissante de l’impact de l’homme sur l’environnement, deux modules traitant de l’éco-management sont apparus dans les programmes de cours.

A l’occasion du 20ème anniversaire de la création de ces cours, un cycle de conférences illustrant le lien actuel entre écologie, développement durable, économie et entreprise s’est déroulé en février et mars 2012.

A la rentrée d’octobre 1998, un cap supplémentaire a été franchi.Parmi les formations de spécialisation proposées aux diplômés en horaire décalé, à côté de la fiscalité et de la finance, thèmes classiques de gestion, un programme de gestion environnementale a vu le jour. Baptisée actuellement « maîtrise spéciale en management environnemental », cette formation universitaire tant technique que de gestion, vise à former des coordinateurs environnementaux, aptes à guider et conseiller tant les entreprises que les administrations, à intégrer l’environnement à leur ordre du jour.

Depuis l’année académique 2010-2011, une chaire Accenture en « Sustainable strategy » existe à HEC-Ecole de gestion de l’Université de Liège. Cette plateforme interdisciplinaire vise à compléter les notions classiques enseignées en stratégie, par des concepts de développement durable, de responsabilité environnementale et sociale des entreprises, tout en prenant en compte le contexte économique actuel. Dans le cadre de cette chaire, un séminaire de 3 semaines intitulé « Sustainable Strategy in a Multi-Polar World » s’est déroulé pour la deuxième fois, en janvier 2012 pour les étudiants de dernière année. Il s’est clôturé par la résolution d’une étude de cas par groupe. Ces futurs gestionnaires ont mené une réflexion sur le territoire de Liège, puis proposé une orientation stratégique durable pour la ville.

HEC-ULg : une histoire de gestion mais aussi d’environnement …

Christine BertrandCoordinatrice des formations Executive degrees à horaire décalé

HEC-ULg

CE QU’ILS EN DISENT…

«…Cette formation m’a permis de rapprocher à mes connaissances financières des connaissances plus techniques nécessaires à la compréhension de mon travail quotidien mais aussi du secteur dans lequel je travaille. La réalisation de mon travail de fin d’études m’a également permis d’ouvrir d’autres portes au sein de mon entreprise...»

Delphine Preud’Homme, Tecteo Group – Resa

«…Cette filière a l’avantage de passer en revue tous les domaines d’actions possibles : la communication environnementale, la gestion des déchets, la gestion des sols pollués, le traitement des fumées, l’instauration d’un système de management environnemental au sein d’une organisation, … Au niveau professionnel, je pense que cette formation ouvre à de nombreux débouchés et au sein de mon emploi actuel, je vise à sensibiliser les futurs entrepreneurs à une consommation des matières raisonnée…»

Frédérique Fauvarque – Chargée de projets AREBS

© MARIANNE SNAKERS

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un pLan, CInQ DomaInES

pour organiser des Jeux « verts », Londres a un plan développement durable : « towards a one planet 2012 ». Basé sur le concept du wwF « one planet Living » (initiative réunissant gouvernements, entreprises et particuliers, et proposant des solutions qui permettent de vivre dans les limites naturelles de notre planète), il se concentre sur cinq domaines : le changement climatique (réduction des émissions de gaz à effet de serre…), les déchets (diminution, recyclage…), la biodiversité (limitation de l’impact des Jeux sur les milieux naturels, reconversion des sites favorable à la faune et la flore…), l’intégration (accès pour tous aux manifestations, développement de l’emploi…), et la vie saine (essor de la pratique du sport…).

un CoDE DES pratIQuES DE ConStruCtIon

plus concrètement, Londres 2012 s’est par exemple doté d’un « ode des pratiques de construction » que chaque entrepreneur doit respecter lors de l’édification des sites olympiques. Celui-ci contient notamment des règles en matière de réduction des nuisances pour les populations alentours (bruit, poussière…), de respect des heures de travail, et de protection de la faune. Le site des Jo londonien indique par exemple : « Nous avons déplacé des tritons, des crapauds et des hirondelles de rivages vers de nouveaux habitats afin qu’ils ne soient pas affectés par la construction, et ils seront réintroduits dans cette zone après l’achèvement des travaux ».

unE ImpLantatIon DuraBLE

autre exemple concret de développement durable : l’implantation du parc olympique à l’Est de Londres sur d’anciens sites industriels pollués et abandonnés. une réhabilitation qui permettra à la ville de disposer d’un nouvel espace vert. 2 000 arbres y seront plantés, ainsi que plus de 300 000 végétaux de zones humides. Le parc sera par ailleurs accessible aux handicapés, équipé d’une station de pompage pour les eaux de pluie et d’une centrale utilisant la biomasse. Et après les Jo, il a l’intention de devenir une réserve pour les espèces rares.

vErtS…JuSQu’à La FLammE

Le stade olympique, lui, est éco-conçu : structure élaborée à 75 % avec des matériaux légers, béton à faible densité carbonique, utilisation de polymère recyclable et de chanvre… Et il sera démantelé à l’issue des Jeux. Le village olympique sera pour sa part transformé, après avoir accueilli les athlètes, en 2 800 logements (1 379 seront à loyer modéré). Quant à la flamme olympique, elle n’est pas en reste : il est annoncé que le combustible employé sera moins polluant que la paraffine.

promESSES tEnuES ?

on est loin des Jeux d’atlanta de 1996, pendant lesquels les organisateurs n’hésitèrent pas à expulser tous les SDF des sites olympiques. ou encore des Jeux de nagano de 1998, dans lesquels le départ de la descente masculine de ski alpin fut implanté en plein milieu d’un parc naturel. Le développement durable a désormais sa place aux Jo, et le projet londonien est prometteur. Cependant, et ce même si Londres se vante d’être « la première ville d’accueil des Jeux d’été à inclure un concept de développement durable

dès le début de sa planification », il faudra tout de même attendre la fin de l’événement pour se prononcer sérieusement. on se rappelle en effet tous des Jeux de pékin de 2008, qui ne furent pas franchement exemplaires en termes d’impacts environnementaux et sociétaux, malgré les promesses. La « Commission pour des Jeux durables à Londres 2012 », organisme indépendant créé pour faire respecter les engagements et rendre compte au public, sera certainement d’une aide précieuse…

DU BOIS PEfC AUx JEUx OLyMPIqUES

L’objectif des Jo de Londres est de réduire l’émission de Co2, de minimaliser les déchets et de bien penser au choix du matériel pour le complexe sportif et le village des athlètes : seul le bois provenant de la gestion durable de forêts sera pris en considération. Le terrain aura une longue vie : une partie de celui-ci sera, après les jeux, transformé en parc naturel urbain le plus grand d’Europe.

Bien que les Jeux de 2008 à pékin aient déjà eu un faible impact sur le milieu, Londres va encore plus loin. Les anciens sites industriels pollués

seront transformés en parc olympique avec des initiatives innovantes et durables. Le parc a une superficie de 246 hectares, soit l’équivalent de 357 terrains de football, 7 grands stades et complexes sportifs et 200 arbres seront plantés pour décorer le parc.

Le bois utilisé pour la construction des stades et complexes sportifs provient à 100% de la gestion durable des forêts. par conséquent, l’organisation dispose d’un « certificat de projet ». Ce qui signifie qu’ils disposent d’un certificat de contrôle pour un projet défini, limité en temps et lieu. Et ils bénéficient d’une primeur, vu qu’il s’agit du premier double certificat (pEFC et FSC*) octroyé dans le monde.

pEFC soutient cette initiative et espère que les Jeux serviront d’exemple pour d’autres projets mondiaux

« Lors des Jeux antiques, les vainqueurs recevaient une couronne d’olivier. La couronne de rameaux d’oliviers demeure à ce jour un emblème olympique, nous rappelant le lien précieux entre l’humanité et l’environnement naturel que nous devons apprendre à mieux sauvegarder et à mieux honorer », souligne Klaus toepfer, le Directeur Exécutif du programme des nations unies pour l’environnement (pnuE). « Le respect de la nature était un élément clé pour la civilisation grecque antique. »

Jeux olymPiques d’été de londres 2012 : des Promesses durables…Ces dernières années, l’environnement a gagné une place importante au sein du Mouvement olympique. Le Comité international olympique (CIO) reconnaît officiellement l’environnement comme la troisième dimension de l’Olympisme, aux côtés du sport et de la culture. Les questions environnementales font aujourd’hui partie intégrante du processus d’évaluation et de sélection des candidatures. La capitale anglaise aurait donc été choisie notamment pour les engagements écologiques contenus dans son dossier. quelles sont des promesses ?

Dossier de presseEventeam, agence de billetterie officelle pour la France

Contact Presse : Amélie Rantière - 01 55 60 25 96 - amelie.rantiere@eventeam.fr

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Pour la gestion durable de nos forets

Plus d'info ? Visitez notre site pefc.beDevenez fan: mon coin de foret

Choisissez des produits en bois ou papier durable munis du logo PEFC.

Le label PEFC vous garantit que le papier etles materiaux en bois que vous achetez provien-nent de forets gerees durablement.Vous etes ainsi sur que pour chaque arbre coupe, un autre est replante.Pour que nos forets restent debout,encore et encore.

DISPOSER GRATUITEMENT D’UNE EXPOSITION PHOTOS SUR LA FORÊT

LE CONCEPT

L’exposition photos a été développée dans le cadre d’un concours organisé par PEFC Belgium. C a été lancé en 2011, année internationale de la forêt. Début 2012, les 20 meilleurs clichés ont été agrandis sur toile et exposées pendant 6 semaines dans le décor prestigieux de Tour & Taxis à Bruxelles.

L’exposition a une fonction de sensibilisation, principalement la promotion de la gestion durable des forêts et donc la conservation de celles-ci. Le visiteur peut admirer des photos saisissantes de beauté naturelle. Un panneau informatif explique les concepts de base de la gestion durable des forêts et son importance.

Pour cette exposition, PEFC a naturellement a opté pour des matériaux écologiques. Le coton des toiles a été récolté en respectant les droits sociaux de la population locale et les cadres en bois portent son label. L’exposition peut être prêtée dans sa totalité ou en partie pour une période déterminée.

Infos : Mieke Vercruijsse - tél: 02 227 56 57 - m.vercruijsse@pefc.be

DUPUIS, DARGAUD ET LOMBARD SUR DU PAPIER PEFC Soucieux de contribuer à l’abaissement de son empreinte écologique et à la gestion durable des forêts, le groupe Media-Participations (http://www.media-participations.com) rassemblant les éditeurs de BD Dargaud, Dupuis, Lombard et Kana a mis tout en œuvre pour amener ses fournisseurs européens à obtenir et utiliser la certification PEFC et a obtenu gain de cause !Citons, entre autres, parmi les premiers titres parus :q aux éditions Dupuis :Mélusine, les Psy, Chers voisins, Le Royaume,…q aux éditions Lombard : Sherman 6, Poker 3, Shelley 2, Michel Vaillant

Intégral 16, Clara,…q aux éditions Dargaud : Intégral Double Masque 1 & 2, Complainte 7,

Garfield 54, intégrale Lune noire, intégrale Snoopy;Plusieurs imprimeurs européens se sont chargés de l’impression de ces titres. Le groupe Media-Participations est l’un des plus importants groupes français d’édition et le leader sur le marché de la bande dessinée franco-belge en Europe. La direction technique du Pôle image ne compte pas s’arrêter en si bon chemin car l’objectif est de faire passer toute la production sur du papier certifié» explique Jérôme Flament pour la direction technique de Dupuis.

UNE BROCHURE SUR LA CHAÎNE DE CONTRÔLE POUR LES ENTREPRISES ÉDITÉE PAR PEFC

Cette brochure explique dans les grandes lignes, le fonctionnement, les différentes méthodes, et les procédures à suivre pour la mise en place et le suivi de la chaîne de contrôle en entreprise, le système de diligence raisonnée, le système de management, les exigences sociales et la certification par projet ou multi-sites et rappelle également les principales règles concernant l’utilisation du logo PEFC. Elle est avant tout destinée aux entreprises qui souhaitent obtenir un certificat de chaine de contrôle. Mais elle constitue également une aide précieuse pour les entreprises déjà certifiées et qui souhaitent expliquer la chaine de contrôle PEFC à l’intérieur de la société, ou pour se remémorer les règles de base.Sur simple demande à info@pefc.be.

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L’ACTUALITÉ DE LAURÉATS ET NOMINÉS DU PRIX BELGE DE L’ENERGIE ET DE L’ENVIRONNEMENT 2011

FRANÇOISE JADOUL (CHARLEROI), LAURÉATE DE LA CATÉGORIE ECO-CITIZEN

Lauréate avec mon livre : « Vers un nouvel habitat, 15 expériences pour un habitat sain, économe, respectueux et convivial ». Ce prix m’a beaucoup motivé à poursuivre dans la voie de la sensibilisation

à l’habitat durable - un habitat plus respectueux de l’environnement et de la santé.Depuis, je continue à mener, via mes activités professionnelles au sein de l’ASBL Espace Environnement à Charleroi, des actions de sensibilisation à l’habitat durable auprès de publics variés en Wallonie et en Région de Bruxelles-Capitale.Voici un aperçu de ces actions :q Dans le cadre de l’Alliance Emploi-

Environnement en Wallonie, je participe en tant que chargée de projet et en collaboration avec le Fonds du Logement des familles nombreuses de Wallonie et la Société wallonne du Crédit social à Charleroi, à la construction du projet de « Maison de l’Habitat Durable » à Charleroi

q Dans le cadre du projet « Skills belgium » « Demain je serai… » visant à faire découvrir les métiers manuels, techniques et technologiques aux 11 - 12 ans au sein des écoles, j’ai organisé, à la demande du CDR (Centre de Référence professionnelle bruxellois), un atelier de découverte et de fabrication de peintures naturelles .

q Dans le cadre du Plan d’accompagnement des chômeurs du FOREM, j’ai réalisé à Nivelles, à la demande de l‘Ecole paysanne indépendante (EPI), 10 séances de sensibilisation à la construction écologique à destination de jeunes demandeurs d’emploi en ce compris des visites guidées de projets et de bâtiments écologiques.

q Dans le cadre d’un « Master en sciences et gestion de l’environnement » à l’UCL, j’ai réalisé une conférence sur l’éco-construction. J’y ai notamment présenté différents projets d’éco-construction puisés dans mon livre « Vers un nouvel habitat, 15 expériences pour un habitat sain, économe, respectueux et convivial ».

q … J’ai également le projet de rédiger un nouveau livre concernant l’habitat durable… sans doute pour 2013.

Françoise Jadoul

L’ONG « GRAINE DE VIE » (LE ROEULX), NOMINÉE DANS LA CATÉGORIE BELGIANS ABROAD ECO-AWARD

Il y a un peu plus d’un an, lorsque notre ONG a été nominée nous avions planté 400.000 arbres à Madagascar. Aujourd’hui, nous possédons les deux plus grandes pépinières de Madagascar (300.000 et 600.000 arbres), nous travaillons dans plus de dix pour cent des communes de la région SAVA (un territoire équivalent à La Belgique), et surtout nous avons développé un accord de coopération avec ces communes basé sur la réciprocité: nous les aidons à reboiser leur territoire et en échange ils s’engagent à ne plus pratiquer la culture sur brûlis. Tous les habitants des villages doivent adhérer à cet accord et en contrepartie participent au travail de reboisement.

En outre nous éduquons les enfants de ces communes via les écoles puisque ce sont ces enfants qui sont chargés d’entretenir les plantations. Nous planterons au mois de septembre notre millionième arbre, et nous aurons permis d’éviter le brûlis de tant d’autres. Et tout cela avec un budget inférieur à 100.000 euros... Tous nos membres sont bénévoles (je suis moi-même notaire) mais nous payons tous nos ouvriers Malgache. Nous venons de signer un accord avec la Duke University aux USA pour travailler avec 3 communes supplémentaires.

Frédéric DebouchePrésident de Graine de Vie

BRUXELLES ENVIRONNEMENT IBGE, LAURÉATE DANS LA CATÉGORIE MEDIA AWARD

Bruxelles Environnement a lancé ce 16 avril 2012 une nouvelle campagne de communication sur l’alimentation durable dont le le thème est le gaspillage alimentaire.

Chaque année, un tiers de la nourriture produite dans le monde finit à la poubelle sans avoir été consommée. Ce gaspillage alimentaire est un problème i n t e r p e l l a n t , directement lié à la problématique des déchets, de la consommation et du changement climatique. Or chacun peut réduire ce gaspillage avec des gestes simples.

Pourquoi s’attaquer au gaspillage alimentaire ? L’alimentation représente 1/3 de l’impact sur l’environnement et de 20 à 30% des émissions de CO

2. Par exemple, gaspiller un pain équivaut à laisser une lampe de 60W allumée pendant 30 heures. Le gaspillage alimentaire est également un problème éthique : 1/7ème de la population mondiale souffre de la faim.

Quelques trucs et astuces pour éviter le gaspi : Cuisinons les produits abîmés. Ce n’est pas parce qu’un fruit ou un légume est abîmé qu’il n’est plus bon à la consommation. Cuisinons sans jeter. On a pris l’habitude de ne manger qu’une partie des fruits et légumes achetés, mais la peau et les fanes sont souvent également comestibles. Achetons les quantités dont nous avons besoin et évitons de nous laisser tenter par les promos superflues.

Les outils mis à disposition du public : Bruxelles Environnement met gratuitement à disposition du public des outils destinés à l’aider à limiter le gaspillage alimentaire ou à consommer de manière plus durable : guides sur l’alimentation durable, calendrier des produits locaux, de saison et hors serre, fiches et recettes malignes sur l’alimentation durable avec de savoureuses recettes...

PLUS D’INFOS ?Julie HAIRSON, communication Tél : 02 775 79 29www.bruxellesenvironnement.bewww.leefmilieubrussel.be

MANGEZ SANS GASPILLER. C’EST BON POUR VOTRE BUDGET ET BON POUR LA PLANÈTE.

Plus d'infos sur bruxellesenvironnement.be ou au 02.775.75.75A l’initiative de la Ministre bruxelloise de l’Environnement, de l’Energie et de la Rénovation urbaine

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UN FESTIVAL OUI, MAIS DE MUSIQUE DURABLE…

Organisé par «L’ASBL squid, lauréate du Young People Award du Prix belge de l’Energie et de l’Environnement 2011, le festival de musique durable LaSemo se déroulera les 6,7 et 8 juillet prochain.Ce sera déjà la 5ème édition de cet événement qui se veut de plus en plus ancrer dans la thématique durable. LaSemo évolue d’années en années en fournissant de nouvelles initiatives à vocation durable. Par exemple : l’abandon de la promotion par flyers, les gobelets réutilisables, les toilettes sèches, la réutilisation des matériaux décoratifs, les tris sélectifs, etc. La grande innovation 2012 est «Intersango», une plateforme d’échange des services basée sur le principe des SEL (Services Echanges Locaux) accessible depuis la page Facebook de LaSemo.Avec une ambiance à la fois chaleureuse et conviviale, l’île de l’Oneux située à Hotton, accueillera une fois de plus cette année : artistes de renommées et artistes de rue pour divertir comme il se doit, tous les festivaliers de l’édition 2012. www.lasemo.be

UN VÉLO QUI GRANDIT AVEC L’ENFANT ! Principe : Permettre à un enfant d’avoir un vélo toujours adapté à sa taille et à ses besoins durant... 10 ans.En pratique : L’enfant se rend dans un atelier participant, signe un contrat et pour 65 € repart avec un vélo.Dès que celui-ci devient trop petit ou ne répond plus à ses besoins, l’enfant retourne à l’atelier et en choisit simplement un autre, sans payer et ceci durant... 10 ans. A chaque changement, l’enfant remet son ancien vélo en état pour que celui-ci profite à un autre (à sa charge le coût des éventuelles pièces neuves). Les vélos proposés sont de seconde main, de qualité et remis à neuf.

Info sur les ateliers/communes participants : L’HeureuxCyclage.be - 0474 54 37 13 - heureuxcyclage.be@gmail.com

RENCONTRE DE L’ERE 2012

Organisées par Le Réseau IDée et ses partenaires (les Régies de quartier, la Fédération des Maisons de Jeunes en Belgique francophone (FMJBF), l’Association des Ecoles de Devoirs liégeoise (AEDL), l’Agenda 21 du CPAS de Bruxelles, les Centres Locaux de Promotion de la Santé (CLPS), le CRIE de Saint-Hubert, le CRIE de Spa, le CRIE d’Harchies, le CRIE de Namur-Empreintes, Le Début des Haricots et Revert asbl…), cette 13ème édition des Rencontres de l’ERE s’adressent à tous ceux qui travaillent dans le secteur social, socio-culturel ou de la promotion de la santé et qui souhaitent mener des projets pédagogiques en lien avec l’environnement.Durant trois jours, conférences et ateliers permettront de mieux comprendre les enjeux communs, les méthodes respectives, de relever freins et leviers, complémentarités et spécificités. Ce sera également l’occasion de mieux cerner le sens de futures collaborations et d’apporter une meilleure cohésion dans les actions de ces différents secteurs face aux enjeux auxquels ils sont communément confrontés : émancipation, bien-être et capacitation des personnes, amélioration du cadre et de la qualité de vie, éco-citoyenneté, fracture environnementale, droit de tous à un environnement sain…Programme et inscriptions sur www.reseau-idee.be/rencontres/2012

ECHOS LIVRESEN COLLABORATION AVEC FNAC LIÈGE

CERTIFICAT ISO 14001 : Les 10 pièges à éviterLoetitia Vaute et Marie-Paule GrevècheA paraître le 12/07/2012 I Éditeur : Afnor I 43,50 €

Après la présentation des raisons et enjeux d’une démarche de certification environnementale, l’ouvrage présente les dix difficultés majeures à résoudre pour obtenir la certification.

L’ISO 14001 FACILE : RÉUSSIR SA DÉMARCHE DE CERTIFICATIONVolume 1, planifier et mettre en œuvre la démarcheClaude Pinet I Éditeur : Lexitis I 22,00 €

Ce guide décrit par étape les processus à mettre en œuvre pour planifier et mettre en place une démarche de certification environnementale. Il propose une grille de lecture simple de la norme, destinée à tous ceux qui se lancent dans la démarche de certification comme aux responsables environnement nouvellement élus.

LE GUIDE DU ROUTARDTourisme responsable 2012-2013Philippe Gloaguen I Éditeur : Hachette Tourisme 10,05 €

Ce guide, mis à jour, présente tout ce qu’il faut savoir sur le tourisme durable en France : l’écotourisme, les écogestes du voyageur, le respect des coutumes locales, etc. Il donne des conseils pour choisir son type de voyage responsable.

LE PETIT FUTÉGuide de l’EcotourismeDominique AuziasÉditeur : Nouvelle édition de l’Université I 15,95 €

Pour voyager de façon responsable, ce guide propose une définition de l’écotourisme et la découverte des aires protégées de 20 pays (Equateur, Tanzanie, Inde, Australie, Roumanie,…) avec des adresses d’hébergements et des infos pratiques.

TOUTES LES CLÉS POUR ÊTRE ÉCOLO AU BUREAUEmmanuelle Ousset I Editeur : ESF I 13,10 €

Un guide qui répertorie les gestes utiles et les conseils pour exercer son métier de façon écologique, en luttant contre les gaspillages, en favorisant le recyclage ou en limitant ses déplacements.

ECHO NEWS

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Les efficassureurs