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N0ffiffiAtm

BEALISAIIOIIt9 Ut reæplealetÉlplotpst@Epjpuqsgg29 Réalisez votre enceinte MTX 50 Audax Industries

DMENS22r ea, es, ao, sa, az, z os26 Le musée de Radio.Plans54 ErratumAMSCùM73 La W SAT en Afrique du Nord

TECHMOAE56 Quel diamètre d'antenne pour votre instattation IV gAT79 L4Sq9U p9 sa!!g p i é zo é I e ct ri q u e s

iloo"

3 l u P0WEB : une alimentation multiusagBUn simulateur de tonalités PTT47

51 Belais de sonnerie59 bte rt aqespu pe ct-itSq - n rxOEQ SrEOnt participé à ce numéro IJ. Alary, M. Barthou,M.A. de Dieuleveult. P. Gueulle.lV. Gérard, Ph. Horvat. D.Jacovopoulos, C. Lefebvre,C. Maigrot, S. Nueffer.

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gqgcol'4494eslltéléphone, tant privés queprof essionnels, maitri$entde plu$ en plus

difficilement I'augmentation deleurs factures bimestrielles. LeMinitel n'explique pas tout car lesprincipes de tarification sont enpleine évolutioniussi Iebon sens que dans le mauvais.Conscients d'un certâin ( malaise p,les PTT offrent à leurs clientsdivers moyens dle contrôle de leurconsommation : facturationoelaulee eI ce qul nous tntelesseratiwnarticuntrementicl,letransmission des impulsions detaxation.Normalement destinés à faireavancer un ( compteur de taxes àdomicile rr, ces signaux peuventelre exprolle$ cle Dten oes laçons.Encole faut-il di$poser d'un( récepteur n approprié capabled'extraire les inlbrmations detaxatio;aesmul.tiptAsignau-xprésents sur la ligne téléphonique.

auf cas particuliers, la tadfica-tion téIéphonique française

est basée sur f imputation pério-dique de tâxes de bâse ou unitéssur un ( compteur

" att bué en

propre à chaque abonné.Electromécanique sur ]es cen-

traux les plus anciens, pulementlogiciel sur Ies commutateursélectroniques, ce compteutavance pendant les communica-tions à un rythme qui dépend dunuméro appelé (donc de Ia dis-tance) et du temps qui s'écoule,avec une modulation selonI'heure de la journée.

Aux heures ( rouges r du tadf,un appel dans l'hexagone coûteentre 0,73F toutes les 6mn et

0,73 F toutes les 13 secondes. Enintemational, i] n'est pâs impossi-ble d'approcher d'une unité par

De nombreux pays appliquentdes pdncipes voisins, les bâtè-mes utilisés variant toutefoisdans des proportions non négli-geables. La ( déréglemertation tdevrait progressivement aplanirces différences par Ie jeu d'unesaine concurrence,

A défaut, il serâit plus économi-que d'appeler un ( relayeur d'ap-pels r (voir numéro 471) installéà Londres et de lui faire composetun numéro transatlantique, gued'appeler directement New Yorkdepuis Pa s.. .

Eû principe, un micro-ordina-reur programme en consequencepourrait calculer le corlt d'un

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fiEioI"{Sl,TITN

appel à condition d'en connaîtrela destination, la durée et I'heure

La complexité des ta fs et deleurs cas particuliers rend toute-fois tiès délicate l'écriture d'untel logiciel: autant profiter decelui qui établit vote facture I

Moyeônant un abonnementspécial (environ 10F par moisplus 60 F de frâis de dossier), IesPTT peuvent retransmettre chezIeurs âlronnés un signal codé syn-chronisé âvec chague impulsionde taxation, Ainsi, un compteurspécial instalé à domicile peuttout comme dans les hôtels oucafés, chiffrer immédiatementn'impofie quelle communication(mais c'est toujours le compteurdu central qui fait foi en cas deIitige).

Les compteurs peuvent êtrefournis pat les PTT ou achetésdans Ie commerce à conditiond'être agréés.

A condition de connaître lep ncipe de transmisssion utilisé,

en n'empêche I'amateur deconstruire luimême un systèmede comptage plus ou moins éla-boré. Simplement, iI n'aura théo,riquement pas Ie droit de I'utilise!sur une ligne du réseau publicpuisqu'il ne sera pâs agréé.

Beaucoup de nos Iecteurs nousont cependant fait part de leurdésfu d'expérimenter sur ce ier-rain: il nous semble préférablede Ieur fournt un schéma fiableque de ies laisser brancher n'im-Porte quoi sur leur ligne. Nous

devons cependant les avertirqu'ils opéreront sous leur seuleresponsabilité |

La clef dlt code

systêmes existentretransmission des

de taxation, lesquel-normalement resterLe procédé le plus( 50 Hz, n'est plus

utilisé que lorjtqu'il n'y a pasmoyen de faire autrement (vieii'1es lignes très longues) : ilconsiste à envoyet des impul-sions de tension à 50 Hz entre lesdeux fils de Iigne à la fois et lateûe,

Si tout estbien équilibré, aucunsignal audible n'atteint donc leposte mars en revânche, le récep-teur doit être muni d'une pdsede terre. I1 peut ariver d'enten-

dre ( passer les unités r lorsd'une communicâtion avec unaboDné équipé de Ia sotte.Comme le 50 Hz n'est pâs trans"mis par le réseau (Iimité à 300-3 400 Hz), iI s'agit d'harmoni-ques dont Ia présence est due àune installation inconecte ouvétuste.

Le procédé le plus répandu e6tdit ( 12 kHz ) : il consiste àsuperposer des impulsions de125 ms d'un signal à 12 kHz à laconversation. Bien que le niveauchez l'âbonné soit en générâlsupérieur à 80 mV eff., I'atténua-tion dans le poste est telle qu'ilIâut une oreille très exercée pourdéceler quelgue chose.

Par contre, un décodeu detonalité convenablement réglépeut facilement réagir s'il estcouplé à Ia ligne.

ParallèIement à ce systèmetlès répându enFrance, plusieurspays exploitent une vâ ante à16 kHz : il suffit d'âccorder lesrécepteurs en conséquence,

Un réeepteur trèssimple

T es premiers compteurs d im'l-rpulsions à 12 kHz étaientéquipés de filtres LC à bobinagesaccordés. Amateurs comme pro-fessionnels cherchent généraLe-ment à s'affranchù de cette tech-nologie par tous les moyens, maisil n'esi pas toujours facile d'obte-nt d'aussi bonnes peffomances.

Il existe des circuits intégréshybddes à usage professionnelcomme le AMS 3050 d'Aptek

( w è . 3 r r ê q a e n c e h ê i F epou. rê9rê9ê R2)

lusieurspour la

impulsionsIes doiventinaudibles.ancien, dit

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IIF

It,

H

20

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près avoir câblé le circuitimpdmé de Ia figure 2 selon

les indications de la figure 3, onprocédera âu réglage de R, (po-tentiomètre ajustable multitours)à I'aide d'ùn générateur BI'préciset éventuellement d'un fréquen-- ô m À r r ê n n À , i ô i i è

A défaut de cesr instruments, ilfaudrait faire ce réglage pendant

une communtcatlon couteuse,après avoir souscdt évedemmentI'abonnement au ( DRIC r (Dis-positif de retransmission desImpulsions de Comptage).

C'est de toute façon dâns cesconditions qu'il faudrâ âjuster Rl,un peu âu-dessus de la seûsibilitéminimum gârantissant la détec-tion de toutes les impulsions:une sensibilité excessive feraitcourir le sque de détection d'im-

microsystems, qui réunissent desfillres actifs à quatre pôles ajus-

Les applications amateur etsemi-professionneiles peuventtoutefois se corltenter de moyensplus simples I

Le schéma de la figure 1 faitappel à un coûtposant courant etbon marché, ]e décodeur stéréoTCA 4510 Sieûens.

Capable d'extraire le signalpilote à 19 kHz des émissions FMdans ies pires conditions, il peutaisément être décalé sur 12 ou16 kHz par un choix convenablede C3 et Rr.

Sa sensibilité d'entrée, ajusta-ble par R1, convient tout à fait âuniveau habituel des impulsionsde taxation en bout de iigne. Cemodule ne doit évidemment pasêtre branché alirectement sur laligne, dont les caracté stiquesélectdques sont très pafticuliè-Ies : Ie préièvement des signauxdoit se faire sous une impédancesuffisamment forte, tandis qu'unisolement galvanique de sécu-

Nous avons donc adjoint auschéma du détecteur proprementdit, celui de notre module pou!( écoute téléphonique r à trans-folmateur. I-es valeurs indiquéespour les composants pouûontêtre ajustées, suÉout en ce quiconceme les condensateurs,selon Ie comportemeîl à 12 k}lzdu trânsfo utilis'é (râppolt 1 :1).

Avec un TITSS 3 Audax, onarive à un borl compromis avec1 800 ohms et 47 nF.

D'autres modes de prélève-ment Peuvent bien siu être envi-sagrés, par exenlple au secondairedu transfo du module interfacede ligne largement utilisé dânsles précédentes réalisations decette séde : un tel transfo surferrite se comllorte encore trèsbien à 12 kHz el aù-delà.

1.|r-

H+

tq$s$oI

BP 513 59022 LILLE Tét . | 20.52-94-52

MPORTATEURT \ r I r l| | t ^ 1 v ' t y 1 t 1 1 ^ r r ! -L-l ILJ LI I LJ \-,,I L\-./ \J I

6 modèles disponibles : 4 en [,4AKR0L0N (trafspa-rê1r. 'Jme spéc.al ir lra o .oe...r 2 eI ABS topâq,r"l .Doc umen ta tio n cou I e ur su si m p I e de ma nde

21

Dans la même série :

Elektor index des n° 001 à ce jour avec encore quelques n° manquants en cette rentrée scolaire 2012...

Voir aussi: Radio Plans electronique + index, encore une cinquantaine de N° à scanner...

Autres scans: bricolage, bateaux, voile, 1979 chevrolet manual, bourse... (byMich)

Bonne lecture,

Michel

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r : . , , , ; . ' î : . . : : , /. i ; : j l { . . t jr i"rr i l . ,r !r , i I r l l i ; !Jr r J r ! r : j i ; ' ' f - , r L i r ' 4 . : r ! '

pulsions parasites (fréquencessous-muitiples de la fréquenceq accordj.

Pour les essais, une simolediode LED sera branchée à ta sor-tie du décodeur, mais bien d'au-tres possibilités s'offrent à I'utilisateur imaginatif I

Comme cette sortie peut sup-porter jusqu'à 60 mA, on peut luifaite commander directement unpetit compteur électromécaniqueavec ou sans possibilité deremise à zéro manuelle: avecRAZ, il servira à suweiller le coûtdes communications isolées,mais sâns RAZ, il pourra êtrerelevé régulièrement aux fins decontrôle de Ia factule,

L'électronique et ]a micro-infor-matique offrent cependant d'au,tres idées à creuser ; il suffit deplâcer ure résistance de quel-ques ceûtaines d'ohms entre lasortie et une ligne d'âlimentationpositive pour disposet de nlveauxlogiques facilement exploitables.

On peut compter éIectronique-ment les impulsions de taxationsuivant un décrochagre du posteet couper la comrtunication lors-que son coût jugé excessif estatteint.

En fournissânt les impulsions àun micro-ordinateur, on peut luifaire afficher en temps réel Iecoùt êIr francs et non plus enunités, de chaque appel.

Et si I'ordiDateur relève enmême temps les numéros compo-sés (c'est facile l) et disposed'une horloge temps réel, ilpourra établir une véritable ( facturation détaillée r, peut-êtretrès instructive...

Sans en arriver Ià, on peut com-mencer par brancher un simplebuzzer en sortie du récepteur :entendre ( passer r les unltés estaussi motivant que voir disparaî-tre les pièces d'un franc dans, , n ^â } t l nê n , , h r im .ô

Il semble établi que I'usagerd'une cabine à cârte, beaucoupplus ( pudique ) sur les ques-

tions d'argent, dépense au moins30 % de plus que dans une cabineà pièces. Peut être un compteurde taxes de base chez

-voùs

pouûa-t-il vous faire économiser30 % sul vos prochaines factu-

C1 : 10 p.F, 10 VC , : 1 0 n FCa : 1,5 nFCa : 0,22 ttFC5 | O,22 V.F

PâtTicK GUEUI,LE

---NOMENCLATUREi ----.--'--'*t: j-{.:sr9iej?ats

iI R1 : Pot. ajustable 10 kO ii R, : Ajust. muttitours 10 kO I: l R 3 : 3 , 3 k O

Ii ail I ldêrgâ iéc,r-s

i, 1 C 1 : 1 0 p F , 1 0 V Ij C , : 1 0 n F 2i C 3 : 1 , 5 n F II Ca : 0,22 ttF ii C 5 : 0 , 2 2 F F jj ra;:,.:u:I ilté'ré ijr - li CI1 : TCA 4510 SIEMENS

Ii .rr.r:

ii Module écoute téléphonique Ii a l i û .gv II diode LED t

t=::::-Y:::-"::.--.----,--,:..-..-l

,?.isi9aei?ats

R1 : Pot. ajustable 10 kOR, : Ajust. multitours l0 kOR 3 : 3 , 3 k O

16 /04 ru1 3 / 0 2 a u

ffl}"1Sini: i-i/ats:-:!-.-,:Silj,:sqi.i'ii 2â}'ir"

Lors de déchârges d'électricitéstatique (ESD), il se produit descourants rapides de compensa-tion, qui génèrent des champsélectromâmgnétiques intensespouvant causer des défauts defonctionnement ou même desdestruciions sur des appareils oudes systèmes électroniques nonprotégés. Il est dès Iors néces-saire que les composants, lesappareils et Ies systèmes mis endanger, bénéficient de mesuresde protection, qui doivent êtrevérifiées par des simulations deperturbations approp ées.Aujourd'hui, des essais avec des-tensions jusqu'à 25 kV sont

demandés pincipalement par lesindustries de I'armement et del'âutomobile.

l-e PSD25 est un nouveau simuia-teur avec polarités positive etnégative, dont la tension decharge peut se régler en continude 1 à 25 kV. Le pistolet maniableet interchangeable (avec capacitéde choc et valeur ajustable desrésistances de décharge selondifférentes normes), peut êtremuni d'un relais additionnel, quiproduit des temps de montéed'impulsion Iusqu'à 1 ns. Or peutainsi vérifier plus efficacementIes mesures de protection contreles phénomènes mentionnés.

Le nouveau simulateur de ESDPSD25 répond aux normes et aux

recommanclations selon NEMA,CEI, EIA, ECMA, VG, MIL et GM(ESD for vehictes).

Pour de plus âûples informa-tions, veuillez contacter :Monsieur Gilbed RoyerHIGH VOLTAGE TEST SYSTEMS23, Montée de t'Obseryance69009 Lyon - Té1. (7) 8830485

22:

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our parler franchement, Iefait de disposer d'unamplilticateur M0SFET

I HEXoRCISTE avecuu/uAr e[ Dot€nllomerred'inteface est une bonne chose,Rapidement toutelois se pose leDroblème de I'enceinte acoustiquequi semble devenir le maillonfaible de I'ensemble, parce que lemoilrs ( iuste D, le moim défini, lemoins neutre. En brei, on ( colore )et I'on ( étoutfe D un Deu. sanscompter les déséquilibres dûs àunevéritable bande passante... quipasse ennn INous avons cherché et tlouvé unesolùtion qui parait recommandale àtous points de vue : qualité, prix,universalité d'emploi, facilité deréalisation, disponibilité,esthétique, etc... et elle estIrancaise.Nous serons clairs : à notre avis, iltaut dépenser entre 5 et10 000 francs pou! disposer d'uneDaire d'enceintes de meilleuremusicalité, ce qui transforme enévénement le s,tstème AUDAXMTX 50 !

-est le produit des travaux,effectués pâr le laboratoire

acoustique Audax Industriessous la direction de Monsieur

l,esage. Ceci ne doit rien auhasard, mais à l'expérience, à lapassion de la Hi-Fi et au soucid'honorer un cahier des chargesdigne de ( mission imposiblê r.

Il en résulte un produit élégantet d'encombrement idéal quivous regalde de ses deux hautparleurs et vous cause directe-

2!49 P?.:.19,.:.j-:r

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(onloclel

Andrée

Devou|our

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@ * : 56 300 vendus, taux do oiroulalion 2,5 = 13? 000 læleurs

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n: i*ette alimentation, concueau dépari pour fournir enénergie un raskd'extensions gé!é pa!

ordinateur, présente de nombreusesparticulalités qrli la rendent à lafois attrayante et ( presque )universelle :+ srr,lq +tzv, m uvr sv,1A réparti Compatible PRM4, soit :Soiie 1 i 0V/5V/6V prcgrammable,Sortie 2 | 0V l'V 112.5V l21V /25Vprogrammable.Faible ercombrement1100x130x250 !nûrilEn module Europe standard{220 m!Il).Construction et maintenanceparticulièrement aisées.Rapport prix/pedormancesexceptionnel.Enficbable et portable.Facile à modifier pour utilisationauqlo tallm. f rantome,.,.

iIel?.re.i:rièfi!sn tâ

;t vant toute chose, I'auteurtr'' tient à remercier vivementson confrère Monsieur WAL-I-AERT, pour la gentillesse avecIâquelle il Iui a autorisé la copieintégrale des schémas de i'aiimen-tation du PRM4 pour É POWER.Nous ferons référence, au coursde cet articie, aux numéros 468 -469 - 478 traitart du programma-teur d'EPROM PRM4, et aunuméro 471 (adaptation PC parNIOnSleUr r\JUt:NAl(rJl,

fJ:frorlue4!"sn

F{ e bidouille volante enl-i bidouille fumante ou déso-lânte, il r'y a qu'un petit pâs,rapidement franchi par le diable,empêcheur de bidouiller

rond...Ouand on aborde uneétude (quelle qu'elle soit), t estindispen6able de réunir les conditions minimales auto sant àenvisager une ( espérânce desuccès r, Ainsi, si vous élaborezune merveille qui nécessite unetension de 300V, 300 mA, et quevous ne disposiez pas de cettetension (ou de l'intensité requi-se), un malaise s'installe carentre I'idée géniale et la réalisa-tion du siècle se présente unbâtard obstacle, poutant ùrdrs-pensâble à ftanchir.

Construire uâe alimentationdans ces conditiors est une galè-re, une entrave à la création, unretard au progrès. Si au contrairevous abordez la même étude enayant résolu au préalable l'im-muable problème de la sourced'énergie, vous obtiendrez au

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i , , i " , . L : : . ' : ' l - - - ' ll - . t . . . t . . \ ' . 1 ! : : . , : , r :

l r ! : , - . : : j ' - ) i - - , ' ! - . i . l t ' . . t : . t

moins deux résultats : d'abordI'alimentation sera fiâble et bieDconçue, ensuite elle aura été faitedans la joie et le calme.

Ouand il s'agit d'utitser unordinateur pour dialogn]er avecI'extérieu.r (machines outils,mesures, asservissements, com-munrcatrons, etc.), il faut très vitecalmer les ambitions si I'on neveut pas dépâsser Ies limites dela machine. Ouelques réalisationspeuvent se contentet sainemertdes réserves autorisées par leconstructeut (exemple AMSCOMnô486, super..l), mâis en généralil est indispensable de p!évoir àla fois une alimentation annexe,une buffédsâtion des lignesd'adresses et de données, enfind une connexion fiable à l'unitécentrale,

Sur ces trois points mâjeurs, lepremier et le dernier sont sou-vent négligés âu point de mettreen pédl la vie ptopre du micro-ordinateur, ce qui n'est pas tolé-râble.

Dans ces pâges, nous allonsvous aider àrésoudre le problèmede I'alimentation et le mois pto-chain, nous proposerons uneconnexion saine et fiable aux pos-sesseurs de CPC AMSTRAD,notamment aux ( défavorisés Dqui ont un 464 plus un ou de\rxddve(s) DDL

Plus tard, nous veûons undécodeur d'âdresses universelbufférisant les lignes pdncipaleset il vous sera enfin possible d'ex-ploiter votre micro sans isque,confortablement.

..-1';:..l: j:;,. i':.: .;.i':,,.;-1.:. ,:rl

ll' a tension essentielle est leJ--t + 5V dont il est fait largementusage en micro-informatique. Si1on admet qu' i l n 'est quest iond'alimenter que des extensionsreliées à un ensemble autonome,2 A conduiraient déjà à bien dessatisfâctions, mais nous avonsprévu de pousser jusqu'à 3.

Viennent ensuite des tensionsdites secondaires, mais qui s'avèient vite indispensables : +12 V,

12 V. Leur besoin se fait sentirdès l'instant où I'on souhaite-ontrer en liaison evec I'analogi-

::::

que. 1A est ici disponible, avectoutefois une restriction pour le- ' IzV.

Le -5 V est parfois imposé pârceftains circuits (4051 pâI exem-p1e) mais il n'est pâs utile d'envisâger un consommation impor-tânte, Aussi avons-nous choisi de( soustraûe D celle-ci du -12V. 1lfaudrâ donc admettre que lâ dis-ponibilité en -12V sera réduitede par l'exploitation du -5V, cegui est tout à fait tolérable danslâ majorité des cas.

À ce stade, on peut déjà envi-sager bien des extensions. Maisse poserâ à nouveau ]e problèmede l'alimentation si l'on souhaiteaborder la programmation desl1rltLJlvls. rtenons 1es devân1sNous avions pensé au départ prc-poser une tension ajustable enface avânt, et variable de 5 à25 V, mais très vite nous avonspréféré I'idée de Monsieur WAL-LAERT, idéalement adaptée ausujet. Au lieu de mettre en placeun âutre système sous prétextede personnalisation, nous avonsrepds I'alimentation Vcc et Vppdu PRM4, dans son intégmlité.Ainsi, les lecteurs qui voudraientconstruire ce programmateutd'EPROMS disposeront de toutesles sources de tensions utiles etdes mêmes conditions de pro-grammations avec u POWER.

Vcc sera donc sélectionnéeentre 0 V /+5 V ou +6 V, et Vpp(tension de programmation àé] 'EPROM) entre OV /+5V /+12 .5 V /+2 ' lV ou +25V.

r- 1:: ):i i','ii,:r^:i:l:::

,, 'originalité de cette réalisa-

: I tion tient plus dans sa réâlisa-tion que dans son schéma, maisexaminons quand même ce det-nier, visible à Ia figure 1.

Trois transformateurs sontchârgés de fournfu ies 4 tensionsalte/natives nécessaires | 10 V3A, deux fois 12 V, 1.5 V et 25 V.

Le premie/ {TRAI) voit sesdeux enroulements secondairesmis en parallèIe afin d'obtenir les3 A demandés : cela est dû au

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tt Pewer AC

fait que les transformateu# tori-ques ont tradilionnellement deuxenroulements secondaires.

Le redressement et ia régula-tion sont on n.e peut plus classi-ques, touteJois onnotera que tou-tes les précautions ont été prisespour assurer rrn bon fonctionne-ment dans torrs les cas. Ainsi ledécouplage er1 tête est assuréepar 10 000 fiF et 0.22 pF. En sortieon trouvera 10 FF et 0.1FF, ainsiqu'ute diode (D5) dont le rôle estde protéger ]e régulateur si lasoftie était potée à un potentielplus négatif que Ie que ]e 0 V.Elle assurera également sa pro-tection contre les charges ûégati-

ves transitoires engendrées parles phénomènes de commutationou les ciicuits inductifs.

Enfin, la diode Da protège descharges foltement capacitives etIe condensateur Cz interdit ]'en-trée en oscillation de RG1. Ce der-nier étant situé à I'extérieur duboîtier et profitant à la fois destôIes et d'un Iadiateur pour assu-rer son refroidissemeût, permet-tra d'envisager dans de bonnesconditions les 3 Arequis.

Bien évidemment, il faudrachoisir un régulateur capable deles foulnfu (7805H par exempleou LAS14059 de Lambda). Lemodèle monté sur lâ maquettephotographiée ne permet pas dedépasser 1.5 A, mais l'échangesera vite fait puisque RGI estmonté sur support et que 2 visaccessibles depuis I'extédeursuffisent à son extraction.

Un prélèvement avant régula-tion servira à fournir les tensionsde lecture âux EPROMS. Un sys-tème de commutation associé àun !égulateur Programmable sechalge de l'opémtion : si TRs estsaturé, la base du darlingtonconstitué de TRe + TRio est Por-tée à 0 V, et de ce fait il n'y aaucune tension à I'entrée de RG6.Si un état zéro est porté en Vcco,1'émettew de TRrc transmet envi-ron 14 V à I'entrée de RG6, lequelest plogÉmmable pour deux ten-sions : si TR11 est saturé, il inhibeAJ6 et seul AJs détermine la pre-mière tension fixée à 5 V. Un zércporté sur lâ base de TRh entrai-nela l'ajout de AJ6 en sélie avec

AJs afin de conduire à la secondetension demandée par certainesEPROMS, soit 6 V. En fait, il vau-drait mieux dire ( un volt deplus r aux 5 V délà obtenus parAJ5, car c'est ainsi que se ferontles réglages.

Nous vous I'avons dit, nousn'avons rien changé au schémade notre confrère, dans le butd'éviter toute confusion dange-Ieuse. Pourtant Ia tentation étaitforte de modifier au moins lesappeliâtions des broches de pro-grâmmations,,. En effet, vccocommande Ie + 5 V et le Vcc6 le+6 V. Nous aurions préféré VccSet Vcc6 | Idem pour Vpp : Vppopermet 5 V, Vpps, 72.5V,Vpp72,27V etVpp2'1,25V.. .

CeIa étant, nous n'avons denmodifié et ne faisons qu'attirervotre âttention sur ces appella-tions un peu déroutantes aumoment des réglages.

Le montage est particulère-ment intéressant par Ie faitqu'une mise en I'air (1) des bro-ches de programmation pote lessorties Vpp et Vcc au zéro Volt.Ainsi, dans le cas d'une utilisa-tion différée des tensions pourPRM4, les régulateurs RG5 et RG6

Comûe vous l'âvez déjà remar-qué, I'obtention de Vpp est assu-jettie au même principe que Vcc.Seule la source est différente(35 V au lieu de 14), et le nombrede commandes (passées de 2 à4). Le transformatew TRA3 com-pote un point milieu utilisé pourallumei la lampe témoin de I'in-teûupteur général. Une résis-tance a été mise en séde afind'atténuer la luminosité et éviterun désagrément visuel, et pourprolonger la vie de I'ampoule ensupp mant la surtension (L1= 12V).

Pendant que nous en sommesaux signâlisations, 7 LED visiblesen façade témoigre4t de diversétats :

33

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Les 4 premières confùment laprésence respectivement du+ 5 V , + 1 2 V , - 1 2 V e t - b V .La cinquième indique la com-mande d'u4e Vpp. Étant doméeI'étendue importante des ten-sions possibles (5 à 25V), unezéner se charge de pfloter TR7 ettds.

La sixième LED ûtdique queVcc est au repos. L'indicàtion_defaçade( lfES D confirme que l,onPeut exlrâire ou insérer uneEPROM sur le support du pRM4.EIle est en bâscule avec Ld7 crui.quand elle est allumée, rapp;Iegu il est interdit de manioulerI'EPROM sans risque de desiruc-t ion (( NOI D).

C'est ainsi qu'à l 'al lumage sansPRM4 ni commande de program-mation, l,d 1., 3 4 et 6 doivent êtrê

Pour obtent + 72V, - 72V et- 5 V, on fait appel à TRA, et àtrois régulateurs en boîtierTO220 éc{uipés de tâdiateurs, Ierégulateur chargé de foumir Ie- 5 V étant situé en aval de celuiProcurant - 12 V. Ceci expliquePourquoi I'ampère disponible està répatir entre ces deu:a ten-

sions. Si par exemple on ne tilepas sur ie - 5 V, tout est reportésur 12 V.

.,{ e?*;r!a i,i r:ri; ; .È't udj*

vânt de passer à la construc-tion de p POWER, il peut êtrede suggérer un aménage-

ment à l'audio.En eJfet I'aspect portable de

cette alimentation peut donnetenvie (à juste râison) de I'utiliserà d'autres fins que Ia micro-infor-malique.

Très peu de modificationsseront à faire, et pârfois mêmepâs du tout. On dispose de+ 12V, -72V, ce qui convienten général parfaitement. Toute-fois, si I'or souhaitait + 15, 15,il suJfirait de choist un transfor-mateur TRA2 déLivrant ces ten-sions et de remplâcer les 7872 et7912 par des 7815 et 7915.

Le + 5 V d'origine peut pârfoisparfaitement convenir à une âIi-mentation LIGHT. TouteJois, siI'on souhaitait obtenir + 12V, il

JiÂLbon

Page 15: ERP488

! Fower AC

suffirait de passer à 2 Jois 12 Vpoui TRA1 et de monter un LAS1412 B en RG1. Notez que les ten-sions LIGË:T ne demandent pasd'habitude une observation par-faite de Ia tension, surtout avec12 V. II serait donc possible d'uti-liser tout simplement Ie + 14 Vaccessible sur C5 et de Ie ( sor'tir r pa! la bloche 10 du coûrec-teur d'accès, iûutilisée actuelle-ment,

Enfin, il serait tout à fait envisageable d'exploiter Vpp co"mmesource pour une alim FANTOME.

n'y a aien à changer, sinon placerun condensateur poladsé sur Iasortie. Si c'est du 48 V qu'il vousfaut, I'échange de TRA3 par unmodèle déIvrant environ 50 V eêtenvisageable. n faudra veillertoutefois à interdire des program-mations inférieures à 24V ètaugmenter sensiblement R1 pourprotéger L1.

Comme vous pouvez le consta-teer, Ie terme de ( quasi univer-selle tr n'est pas usurpé. Pour300 V, 300 mA, Ies modifs6eraient trop impoftantes quandmême,..

lç éé.0isaii.fon

ffi 'est ici que se joue Ia partie la'e plus intéressante de U PO-

WER. En efJet, l'auteur a passéun mois en compagnie de I'en-semble des pièces, en se deman-dant bien comment iI allait pou-voir {aire pour entrer le tout dansune si petite boîte, sans complo-mettre d'aucune façon ni la mair-tenance ni la facilité de cotrstruc-tion. À raison d'un quart d'heurepar jour à toumer les composantsdans tous les sens, des com.binaisons performantes ont fini parapparaitre. Nous sommes heu-leux de voug en faire profiteraujourd'hui.

CHOIX DU BOITIER :En fâit de boîtier, il s'agit d'unensernble porte'cartes doubleCHALLENGER 1. en 3U.20TE,plus un châssis afiière + un flancde 220 mm + un connecteur 14+ l points. Cet ensemble estfourni pâr TRANSRACK, et le toutcoûte environ 150 F (connecteùr

hauteur (3 ou 6) et en TE pour lalârgeur (1TE = 5.08 mm). Unchâssis accepte en général84 TE.En fait iI y a toujours 84 TE, maiscertâines options (telle que fâceavaût pivotante à 1809, rédui"sent parfois de 2 TE pour êtreinstallées et iI ne reste donc que82 TE utilisables pour les porte-cartes,

Car c'est la carte qui ferme le( boîtier ). De plus, elle joue lerôIe de guide (avec Ie flanc) poursuivre les glissières du bâc. Atire indicatif, un bac équipé en3 U (200 mm) revient à moins de300 F et un porte-câlte sansconnecteur en 10 TE, à moins de60 F. ATTENTION, en CHAL"LENGER 1 exclusivement I

LE CONNECTEUR :C'est un modèle 41612, série H,particulièrement adapté aux at-rnentations. IL comporte 15 bro-ches de fortes sections mais êedéfinit comme 14 broches+ 1teûe. Cettê qùinzième bro-che est plus longue que lesautres, et c'est donc la Premièreà entrer en ùaison avec un socle.

L'autre intérêt de cette Priseest de permettre I'usage de cos_ses FASTON tant sur elle-ûêmequ'à I'arrière du socle.

L A T E R A L

compris..).II laut savoir que Ies bacs au

format EIJRONoRM se décou-pent en tranches dont les cotesêont en unités 19 pouces Pour la

B A R R E S

2 2 A V

- ^ a t , \ r = F

Figurc 2 - Plan de percage.

L A T E R A L

A V A N T

A C E D E 1 6 1 m m

D U

35

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NEAIISl,TI/liNLa faible force d'insertion d,un

couple de La série H surDrendagréablement et I'enfichaùe serâlr avec une douceur très plai.sante,LES TRANSFORMATEURS :Comme nous l'avons vu, ils sontau nombre de trois, dont deux

tonques 30 VA. Le troisième estun modèle ordinaire de maroueAnufljlr(. uomme vous le mon-trent les photographies, les deuxto ques sont enfemés dans uncaisson qui !éunit à lui seul troisfoûctions vitales :10 assurer la rigidiljé du flanc por-

teur de deux pièces totalisant àelles seules 1 kg.2o âssurer Iatenue de I'équefiaqeentre le flanc et Ie châssia arrièie,et intetdire toute contrainte ettout voilage à I'ensemble.

Cette {r boîte magique ) estconstituée de 2 barres de ACE,

36

Page 17: ERP488

u Power AC

profilé mis au point pour les châs-8is ODDY et ALEXANDRA. Deuxmorceeux de 161 mm sont néces,saires et suffisants.PREPARATION MÉCANIOUE :Elle commence par l'usinage despièces, confo!ûément au plandétailé visible figure 2. Volontai-

C O N N E C T E U R

rement nous n'avons pas indic$réle diamètre des trous, dans Ie butde vous imposet la vérificationindispensable à chaque opéra-tion, et ce en tenant compte despièces dont vous disposez effecti'vement (le perçage du supportde TO3 monté sur Ia platine

afiière par exemple peut varie!notâblement en fonction des mar-ques).

tes LED sont toutes de diâmè-tre 3 mm, mâis si soit après unaccident,,. soit par goûtvous vou-liez passer à 5 mm, den ne s'yopposerait ulté eurement,Le profilé ACE dispose dans sasection de fomes destinées àêtre taraudées M4. Il fauùa Iefaùe donc 8 fois en tout, et surune longrteirr d'envton 15 mm sivous utilisez des vis de 10 mm.

De plus, iI comporte deux glis-sières: I'une pour ernp sonnerdes éclous de 4l'âutle de 3. C'estla glissière de 4 gui serâ placéecontre le flanc, celle de 3 servantà ùnmobiliser Ie circuit imp méPorteur des condensateurs,

La première étape consiste àéquiper le flanc de ses transfor-mateuIs et des profilés. Atten-tion, ( çà passe tout juste D, et ilfaut choisù attentivement I'orien-tâtion des fils sortânt des tori-ques I D'autue palt, il est évidentqu'il faudra apporter une atten-tion toute particulière au blocagede ces delniers : paê question deserrer un boulon de 6 dans uneplaque d'alu de 1mm d'épais-seur, même renforcée. L'astuceest simple: il suffit de serier laplaque entre Ia tête de la vis etun écrou d'épaisseur suffisantepour qu'il empêche la coupelleirférieure de s'appuyer sur leflanc. A ce moment, vous pouvezengager le tansfo et la coupellesupérieùre, puis serrer I'écroufinal, sans rien risquer de défor-mer, sinon Ies coupelles.

Il faudra sans doute recouperles vis fourries, de sorte gu'ellesn'entrent jârnais en contad avecIe circrlit imprimé situé au des-sus. Au besoin, on glissera unefeuille de carton avant de refer-mer ce caisson.CABI.ACE TRADITIONNEL DER G 1 :ta quasi totalité des composantsutilisés pour lâ régulâtion 5 V estmontée en câblage traditionnel,directement sur le pont ou sur lesupport de To3.

La tigure 3 détaille avec précision la place et I'odentation dechaque pièce. Sor âspect un peufiliforme complètera sans dsqued'erleur l'observation des photo-graphies de détail

Ouand cette platine serâcâblée, il serâ possible de procé-

coNNEcTE

R

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CCE

u

37

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nEAUSAfl0ilder à l'assemblage avec le flancet au raccordement âvec lestransfos, Pensez au Iil secteur,,.et âidez-vous de la figure 2.

. Il vous matlque encore en petitcucult imprjmé pour resoudre

définitrvement Ie câblaqe sec-teur. Nous allons arlângei cela.

LES CIRCUITS IMPRIMÉS :Ilê sont au nombte de 4.

_ _L_e premier (figure 4) porte lesL!jU, er se trouvela parallèle à la

face avant, tout en étant solidâùed€ la cârte EUROPE pdnclpale.vous ne monterez Ies LED qu'unefois le bloc en place, mais veille-Iez â respecter I'orientâtion descrans repères, mentionnés danscette figure.

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Figu.e s Câbtase ttadûDnnet pôut RG1

38

Page 19: ERP488

u P@t'ser AC

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Figure 6 - Cade - Relâis 22O V "

câbles reliant la platine arrière etl'intéiieur du caisson, mais aussià contourner I'aûière du supportde TO3. D'autre part, les conden_sâteurs sont immobilisés au

I I, r l1',J"1+t -

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Figure I carte dæ LED

La figure 5 définit le circuitPorteur des condensateurs et dupont D2. cette cârte compofte desdécoupes particulières à uneextrémité, âfin de guider celtaÙIs

moyen de coÙiers (souvent 2 boutà bout), traversart la carte. EnfinC5 présente une double particula-rité : tout d'abord les pattes sontenroulées en ( queue decochon ) afin de constituer descosses solides et Pratiques.

Mais, si Ie côté ( moins )} estsoùdé à la carte, Ie côté ( plus ,reste en l'air. Regardez âttentive_ment les photographies.

Le troisième circuit est donnéfigure 6. C'est celui qui vousmanque pour fermer Ie caisson etachever Ie câblage des transfor-mateurs, II porte en effet lesredresseurs de TRA3, mais sertaussi de relais 220 V, d'entrées-sorties pour les fils du caisson(avec deux passe-fils de diâmètredifférents), et polte enjin R1 qu'ilfâudra ne pas plaquer afin d'as-surer sa ventilation.

À ce stade, au moyen du sché-ma, des dessins, des photos etdes nombreux repères chiffiés ouIettrés, il vous est pemis {etconseillé) de fermer le câisson,d'effectuer les liâisons entre car-tes et câblage traditionnel, et demettre en route.

Vous noterez que Ie réseau220 v est emprisonné avec lestransfos et que Ie seul point dan-gereux est l'inteIIupteur 11. Aubesoin, une grosse gaine thermo-rétractable évitera les ( châtai-gnes,, D.

39

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.ll faudra vérifier Ie bon fonc-ronnement de Ia régulation 5 v,amsr que la présence de 3SVenviron aux boûes de Cra, et de1 / V tan t su r C jo que C j r .

Ii ne reste plus qu'à construirela carte EUROPE dérailée fiau_re 7. Cela ne devrait poser auc.-unproblème, pour peu qu'on y

accorde le soin necessâtre et queI on evite d'rntervertrr les reoula_teurc... Ttois StÉnds st-rapsseront constjtués de fils rigjdeslsores _ trols ar.rtr-es ijaisons (enpolnr les sur le dessin) corres_pondent a une nappe par tapporta_14 maquette photographiée : iesùls restent maintenant dans l,or,dre de la nappe.

Les ttous destinés à recevoirles B demi'cavaliers fixant lacârte des LED, seront perces audiametre 2.2 mm. penlez a cequ'il reste du cuivre si vousrepastillez la carte,

Une fois les connecteurs sou-dés, il ne reste plus qu à relier leMFOM Iemelle aux bons endroirset à râmener le + 5 V et la masse

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Figure 5 - Cane des con.jensateurs

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u Power AC

sur les cosses prévues à droitede Ca. Sur Ie MFOM, le + 5 V etles deux zéro volt sont inutfisés.Le 5 V ne tran6ite pas en effetpa! ce connecteur qui poseraitpeut-être des problèmes pou!3 A .

VoiIà, c'est terminé, et I'onpeut visser la carte au châssis,puis souder les LED. Vouê obset-verez que toutes les ajustablessont accessibles par I'extédeur,AJs et AJ6 profitant des espâcesprévus entre RGr, RG6 et RG6,TR1o.

Positionnez tous Les curseuÉ àmi-coulse et passez aux réglagesen observânt ]a procédure quisuit.

, Procédrure de réglag.eI Uomûencet par venDer restens ions + 5V , + 12V , -72V e t- 5 V .Les tED supérieures doivent s'al-lumer coûectement, ainsi que IaLED YES.2 R-églage de Vp-pa. venrrer que vpp e$ a u v {€LED éteinte est une confirmation)D. rorter vppu (Drocne 5, a ramasse, et ajuste! AJl de sorted'obtenir Vpp = + 5 V. La LEDdoit être maintenant allumée.c. Lâisser Vppo à Ia masse etportez égâlement Vpps au 0 V,puis ajustez AJ2 pour que Vpppasse à 12.5 V.d, Continuer en mettant en plusvpp 12 à 0V et régler AJ3 pourV p p : . 2 1 v .e. !; rn porter vppzl (Drocne z)à 0 V pour Vpp = 25 V sriâce àAJr.3 Réglage de vccLe principe est identique :a. Véritier au repos Vcc (bro-cheg) = 0v (LEDNO lé te in te )b. Porter Vcco au 0 V et ajusterAJB pour Vcc = + 5V. La LEDYES doit être éteinte, et NO Iallumée.c. Porter également Vcc6 à0 v etfaire passei vcc à +6V aumoyen de AJ6.

Votre alim est désomais opé_rationnelle,

Finition

lTous avons une rols oe pruslI utilisé Ie LEXAN poul assu-rer Ia gravure et la protection dela face avant. L'âltminium ano-disé présente en effet souventdes différences de gris qui ontvite fait de déguiser un bac en

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Ftqure 7 Catte Eurcpe (Ct).

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i i' ! * ' i i - . o> Ê . - : . - a - j , ;

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arlequin. De plus nous avons pro-nte qe ce recouvrement pourcamou er une petite encocherectangulaire qui ne semble d,au_cune utilité, sinon au moment dela fabdcation (repère d'orienta-tion ?).

Vous devez mainteqantconnaitre les astuces relatives àla pose de lexan, sauf peut-étrecelle-ci: poùr décoùper un troudevânt recevoir une vis ftaisée, ilsuffit de toùtner uû foret à t'EN-VERS (à la main) jusqu'à ce guela rondelle se détache de e-même,

Signalons erlfin qu'il vous estpossible de vous plocuret unensemble comportânt Ies circuitsimprimés prêts à gtêver, leLEXAN adhésivé et les 2 barresde ACE coupées de longueur, envous adressant à larub queSER-\tCE qui s'était occupé des piè-ces mécanigues de la console1e4.7 5.2A.73), .

POWER est très facile à cons-truùe et même plutôt amu-

sânte à assemblet. C'est doncune bonne occupation d'été enprévisioû des cogitafions intersi-ves différées aux mauvais jours.

En tous cas, vous selez prêtsdésorûrais à ( maquetter micro ,dans de bonnes conditions,

BONNES VACANCES !

Jean ALARY

Nomenclature

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1 k o330 O6,8 kO1 k o6,8 kQ1 k o220 Q330 Q270 Q680 Q680 ç2270 Q

Fiqùtè 7 - tmptantâttan.

Page 23: ERP488

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:1N4004:1N4004

: BZX7 ,5Y

41612H MALEMFOM 7 points

1 k Q2 , 2 k Q2,2 kQ1 k Q1 k o470 Q

7805 (H)7872'79127905LM317LM317

8C5478D2378C5478C5478C5478C5478C5478C5478C547i 8D237i 8C547

0.1 FF0.1 $F0.1 pF0 1 $10 000 $F, 25 V0.22 VF470 pF10 !.F, 63 V0 .1 €4 700 FJ, 2s V4 700 $F, 25 V0.1 FF0.1 FF10 !tF, 63 V10 ÈF, 63 V0.1 [F0.1 ÉF10 pF ,63 V0.1 pF0.1 FF0.1 $Fo.1 u.r0.1 pF1 000 !rF, 63 V0.1 pF0 .1 [F

TRA1 : 2x10 V, 30 VA TORIOUETRA, : 2 x 12 V, 30 VA TORIOUE'tRA. :25.2 V, PM273.9259

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J 2 i

L1 + SW1 : ARCHER 275 676RADIATEURS :7 I\1L261 ML16 C

Support pour TO3 : 1Câble secteur 3 filsColliers rylsanCavaliers:1 de 5mm, 4 de10 mm

+ Circuits imp més (4) + 2 bafiesace 161 mm + enjoliveur lexan

Références transrack :Porte carte double 3U, 20TE(101,3 mm) réf. 8344540Chassis allière 20 TEréf.8344870Flanc 3 U 220 mm réf. 8445350pour Jl réf. 50576

ROI'GEROI]GEVERTEVERTEROI'GEVENTERO1'GE

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o + 5 v

o r 1 2 v

o - 5 v

. - 1 2 !

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Fjgure A - Aspect de la face avant

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IilFASMalettesolaireAEGLe soleil ptoduit I'ene$ie...Cettemallette solairc Ia tnnslome enAedrtc é et la stocke,,. vouspouvez I'utiliser où et quand vousIe désirez,

Principea_ Un module photovoltaiqueprral)le convertit directement lerayonnement solaire en courantélect que continu basse tension.Il suffit donc de déplierce moduleface au soleil pour produire votreenergre.a Une battede intégtée dans lamalette stocke cette électricité etvous la restitue lors de I'utilisa-tIOn.a Un régulateur contrôle I'étatde charge de la batterie.a 3 voyants, l ampèremètre ei1 voltmètre vous permettent decontrôler l'état et Ie fonctionne-ment de votre malette.

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44

Page 25: ERP488

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appareils en service, peut attein-dre 4, 5M octets. Son parlâges'eff ectue dynamiquement s,-5lonchacune des demandes, absor-bant les flots de données, m,âmel ô c nù rc imn^ t ' r n r c

Les données sont tlansféréessimultanément sur tons les ports,de sorte que des ordinateurs l)eu-vent échangrer leurs infolmat ionsalors même que des imprimantesou des plotters sont en coursd'édition.

Un prcgramme de gestiond'une touche clavier perm€t àtout moment I'affichage des :aou-tages en cours, de définir ceux-ciet de les modifier. Dans les confi-gnrrations comportant plusieursimpdmantes, Ies routages peu-vent égâlemert faire l'objet ct'un

Les entrées et les soties sonttoutes configurables individu,?lle-ment, paramètres et protocole,par un menu de configuralion,complété d'un programme i['as-sistance, permettânt ainsi d'éta-blir des liaisoûs avec des mâté-riels hétérogènes. Une mémoirenon-volatile en assuie le sto:ka-

chées derrière lesquelles le cons-tructeur a installé Ies circuitsd'amplificatioD et toute ia logjquepermettant de délivrer les i]npul-sions de comptage et de senrr dedétection du mouvement,

Les sorties se font par circlrit àcollecteur ouvert avec un courantmaximum de 20 mA. La atiodes'aiimente avec un courant de50 mA mâxi (de 5 à 50 mA), lapartie logique travaille avec unetension de 4,5 à 16 voits enconsommant 5 mA,La lârgeur du passâge est de3,2 mm.

Pour I'expérimentation ou é\/en-tueliemeni une commande sransse soucier de la confection d'unsystème de disque, Sieûens ir euI'excellente idée de proposer

ge. Chaque polt est déJinissablecomme port d'ordinateur où portde périphé que, et Ies vetsiorsmixtes du contrôIeur toutes liaisons, modèle BTA-24, compor-tatlt des ports parallèles et série,assurent la conversion internedes nolmes de trânsmision desdonnées.

De conception modulaiie, IesBTA-24 reçoivent des modulescompoitant 4 ent!ées/sortiespour un maximum de 6 modules,soit 24 ports. Ceux-ci sont à laîol.']e RS-232/V.24 ori mixtes,avec 2 ports sé e et 2 ports paral-lèIes. Ils peuvent donc avec leurtaille de mémoire, elle aussiextensible, évoluer en fonctiondes besoins d'un système. Deplus, ils sont cascadables,

Le contrôleur toutes liaisons,modèle BTA-24, se présente dansun boîtier métalique, d'encom-brement 426 x 254 x 90 mm, ilpeut également fâire I'objet d'unmontage en rack de 19 inches.

A titre indicatif, une configura-tion comportant B pofts sérieainsi qu'une mémote tampon de512 K octets est offerte âu pdxde Frs 14 500,00 hors TVA.

Pour de plus amples renseigne-ments, veuillez contacter :Jean-Luc Prual.Té1. : {1) 42.94.99.69

sous I'austère référence 062902-8166 une roue de codage à96 points.Son dramètre : 29,5 mm.Siemens sA BP 10993203 Saint Denis Cedex 1

JL(D45

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/ffË#,$tG I G A I n s tr ume !r.t ati o n

La gamme des instmments demesures portables à lecture diq!tale BREMI comporte I instr;_

2 multimètre6 à useges géné-râux, un multimètle âvec pinceâmpêreméEique jtcorporée, unulermometre, un tachymètre àetÎet photo-électrique, un wâtt_rmetre, un capacimètle, un caDa_cimètre-inductancemètre.

Tous ces appâreils possèdenttes qualités demandées aux ins_truments portables : p!écision,ror'ustesse, iégèreté, faibieencombrement, 2000 points demesure, faible consommation_

De nombreux multimèties exis-tent sur le marché, depuis desâppareus très simples etudiespour être produits à un corft mini"mal jusqu'à des appareils trèscomplexes, très précis, compor_tant des possiblités et des peifor_mances elevées, dont la quasitotalité des utihsateurs n,aurontjamais besoin.

Le multimètte BRI SO15 per-mer de mesurer les tensionscontinues jusqu'à 1OOO volts etles tensions alternatives jusqu'à/bU volts, âvec, dans les deux casune résolutio4 de 100 micmvolts.Les intensités, continues et alter-nat ives, sonr mesurâbles jusqu'àzu amperes avec une résolutionde 100 nano-ampères seulement.

Les résistances peuvent êtremesurées jusqu'à 20 MQ avecune résolution de 0,01 ohû.- Il pemet ùn contrôle rapide duIoncuoùnernent des diodesEnfin, il possède une fonctiont!ès utile aux éIectroniciens etpeu commune sur un multimè_rre: la mesure du gain hFE destransistors PNP et NpNLe modèle BRI 5010 est similaireau BRI 5015. Il comporte, de plus,ra ronctron tempèrature. En râc-cordant au multimètre une sondeapprop ée (une sonde e6t foumieavec I'appareil, d'autres modèlessont proposés en option), il estpossible d'effectuer dea mesuresdans une gamme allânt de - SO à+ 750a C.

L'électronicien â de noûbreu-ses occasions d'effectuer desmesures en températutes :

Indication de la température à.lâque[e a été effectué; un test,étude de l'influence de la tempé-rature sur les caractéristiques

q-un montage, contrôle de latem_perature d'un composant en set_vice alin de s'assurer qu,elle estDlen dans Ies limites prévues Darle constructeur. etc..Le multimètre BRJ 5025 à pinceâmpèreméttique incorporée a étéconçu pour les électriciens du

L'intensité maximale atteint400 ampères. La fonction temDé_râture a été incorporée (inter_es_sant pour les chauffagistes).r- apparell comporte Ies fonctions(.peak hold , : maintien de I'affi_cÂâge ou courant maximâl et( data hold r : maintien de lavaleur affichée au moment où I'onpresse lâ touche coûespondante,

La tonct lon ( peak hold, peFmer, par exemple, de connaitreI'intensité maximale ayant tra-versé un câble durant unePériode de 24 heures et d'endéduire I'existence éventuelle decâbles sous-dimensionnés.

11 n'est pas toujours Iacile d'ef-fectuer le lecture d,uninstrumentde ûesute: on peut êûe sur Iapointe des pieds, au haut d'uneéchelle, dâns un endroit somtite.La fonction ( data hold )) permetde figer les indications del'apoa-teil et d'effectuer ia lect"te àâ.r"de meilleures conditions.Le thermomètre BRI 5OSO per-met d effectuer des mesures de

50. C à + 250. C avecla sondefournie et jusgu'à 7SO. C avecune sonde en option.

Ses très fâibles dimensions:1 0 8 x 7 3 x 2 3 m m e t s o n f a i b l epoids: 160 grammes (pile inclu-se) permettent d'avoir cet appa-Ie en petmanence dans sâPoche.Lê tachymètre photo-électridueBRI 5045 permet de mesurer àesutesseg de 5 à 100 000 tours/mlnute,

Sa mise en ceuvre est simple etrap[te : appliquer une marqueréflechissânte adhésive (fournie)sur I'objet en mouvement,Appuyer sur le bouton ( mesu-Ie D et diriger le rayon h.rmineuxver ta cible_ La dernière tectureest automatiquemett mise enmemoùe. Une base de temps àguar[z et un microplocesseulassurent une excellente préc!slo4,

Le temps paraît lointain où Iamesure d'une vitesse impliquaitra,fixation d'une dyjramo tachy,metnque, la mesure de lâ tension

issue de celle-ci et la conversiontension/vitesse.., De plus, letachymetre BRI5045 n'est âiplusencombrant ni plus lourd qu'unmultrmêtre portable,Le wattmètre BRI 5040 est d'unusage très simple: deu>. bornessont reliées au secteur, deuxautres à la charge. Un commuta-teur â touches permet I'affichageinstantané de la puissance,iusqu'à 6 kW, de la tension ou deI'intensité.Le capâcimètre BRI 5020 permetcles mesures de capacites jusou'à20 000 microfarada en 9 gâmàesavec une résolution de 0,l pF. Saprécision est de 0,5 % tusqu'à 200mjcrofarads, et il ne coute que700 francs HT.L'inductancemètre-capacimètreBRI 5030 permet de mesurer tescapacités jusqu à 200 FF (ce qurest généralement suffisant) avecune résolution de 1p{F et lesrnductances jusqu'à 20 H avecune résolution de 1 uH.

Le BRI 5O2O et 5O3O rrouvenrnaturellement Ieur place sur latable de l'éIectronicien à côté dumultimètre.Giga InstrumentationAv. du Ouebec, Z.A. de Courtaç-

91940 Les UlisTé1. :64.46.26.50

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es diverses tomlitésémiaes ptlesc0mmutateu!stéléphoniques ont chacu[e

une signitication bien précise etdes caractéristiques bien définies.Il peut être utile de pouvoir lesreconstituer à l'aide d'un montageapproprié, Dar exemple pour lesusagefi uitlantal cÉationdebanrles ,, son ,r pour un filln ou unspectacle, mise au poi[td'équçenrents téléphoniques sansraccordement au réseau, ousimulationîe ces tonalités dansdes appareils tels que lesdétotm-eurs dbppels hour fairepatienter discrètement lecotespond-ana).N OUDlIonS pas norl prus lapossiFililéïe rêcomtft uer aestonalités étlangères nondisponibles depuis un poste

,a,6Ii itonâJj;ié:: q tr'ratncei'â|ét:t:r;,; 't

'i' a pdncipale applicâtion del:-,Inotre montage étant la simu-lation des tonalités françaises,commençons par faire I'inven-taire de celles-ci.

- La tonalité d'acheminementest un signal à 440 Hz haché à unrythme de 50 ms de présencepour 50 ms de silence,- La tonalité d'occupation estpour sa part hachée à raison de500 ms de présence pour 500 msde silence.

A part la tonalité ( 1T 2 ) du 16ou du 19 {invitation à numéroterinterzone ou intemationale), Iafiéquence de 440 Hz est univer-seilement employée, la distinc-tion se faisant par ( hachage ), àdifférentes cadences.

- La tonalité de retour d'appel,bien que non synchrone de lasonnede chez le demandé, esthachée à peu près âu mêmerythme : 2 s de présence pour 3 sde silence (enviton).

Cette fréquence, pratiqueûentégale au ( LA r des diapasons,est précise à environ 1 % près,sudout sur les centraux éiectro-niques qui la synthétisent avecdes âppareils autrement Plus Per-Iormants que les anTiques machi_nes tournantes employées aupa-

- IT 1, tonalité d'invitation àâuméioter, est tout simplementune onde continue à 440 HZ.

Dans tous les cas, I'onde à440 Hz est sinusoÏdale : uneonde rectangulaire donnerâit ùlleffet auditif t!ès différent, tandisque ses harmoniques pouûâientcauser des perturbations enligne.

La tonaiité IT 2 est composéede deux ftéquences mélangées Idu 440 Hz et du 330 Hz accentuéde 2,5 à 4,5dB par rapport au440.

47

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Rgi,&f#ÂTt0Nfl résulte de ce mélange un

( battement r à 110H2 qui con-t_ribue à la sononté très typiquede cette tonalité.

Beaucoùp de tonalités étrangè_res slnt ainsi composées de pai-res cre Fequences : nous revien_drons plus loin sur leurs caracté-ristiques précises,

Wn géné'rateur detozdalité;s à 440 trIz

'il es p ncipales ronatités ûân_llJqaises peuvent donc êtrereproduites pa. rn generateur de440 Hz sinusoïdal piloté par descrêneaux de " val idat ion, à O,I0, I ou 0,2 Hz.

Divers schémas peuvent êtreenvisagés : générateur de fonc-trons genre XR 2206, oscillateur àpont de Wien, etc.

Le meilleur compromis entrecoirt, difficulté de realisation êtsouplesse d'utilisation nous asemblé être l'oscillateur à déDhâ-sage RC bâri autour d'un amiiifi-cateur opétâtionnel 741. LatigMte 1 montre comment un teloscillateur, fonctionnant sousune alimentâtion monotension,peut facilement être piloté ene tout ou rien r par un srmple

Lâ fréquence d'oscillation estdonnée par la formule :

F = 1 / 2 t \ / 6 P t C

Pour 4401{2, il esrd'utiliser 39 ntr' pour C

1égère distorsion très âcceptableen pratique.

Ce règlage réagit cependânt unpeu sur celui de Rs qu'il faudraretoucher à ùlre ou deux ieprisespour obtenfu la précision néces-saùe (opérer a1i ( bâttementnul r avec la ( vraie D tonalité dutélephone: c'est plus précis quere meueur lrequencemètre(, uncommutateur à cùrq positions (oudes contacts indépendants) per-met de sélectionner le rythme dehâchage par le 555 j en court-cir-cuitant sa broche 2 à la masse,une tonalité continue est émise,tandis que la mise à la mâsse deIa broche 3 du 741 mène au silen-

Un condensateur de 2 à 3UFdonne la cadence de la tonalitéd'acheminement: compte tenude la médiocre précision descondensateurs chimiques, onpeut coupler en parallèle deuxéIéments pour obtenù par essaissuccessifs Ia valeur exactemeltnécessaire. En général, 3,2 UFoonne un resultat convenable.Les tonalités d'occupation et deretour d'appel exigent moins deprécision: 22 FF et 100 pF res-pectivement font nolmalementI'affaire, en parallèle avec Cj etCz.

Les puristes pouront éventuel-Iement amélioret Ie rapport cycli-que du retour d'appel (ici de b0 yoau lieu de 40) en jouant sur R,etlou R3, mais cela ne se justifieque pour des applications parti-culièrement cdtiques.

et 5600 Opour R, avec toutefois une possi-bilité de réglage fin par Re. Lebon fonctionnement de ce typed'osciilateur est lié à un réglageconvenable du gain de l'ampùfi-câteur mis en état de réactionpar le !éseau RC i R7 doit êtreajustée de façon à ce que le gainsoit juste supédeur à ce qu'i]Iâutpoul que I'oscillation tende àaugmenter d'amplitude plutôtqu'à diminuer: la saturation del'amplificateur vient réguler leniveau de sortie, au pix d,une

: . ï--t-

t .

,48

(10us .oôrèc ts ouver rs )

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Le signal de sortle est disponi-ble aux bornes d'un pont diviseurdestiné à réduire le niveau (unpeu forr en sortie du 741, adapterl'impédânce, et faciliter I'associâ-tion de deux oscillateurs en paral-lèle.

Nos lecteurs pouûont large-ment modifier R11 et RD si leursapplications le justifient.

e ûontage dans son entiettient sur le circuit imprimé de

la figure 2, à l'exception du com-mutateur ou des contacts decommande çIue chacun disposeraselon ses propres besoins.

Après câblage selon Ia fi$rre3, on règlera précisément la fté-quence de 440 Hz ( au battementnul r de Ia façon suivânte : Met-tre le montage solrs tension, sonentrée (I ' I 1) étant rel iée à iamasse,

Brancher un écouteur sur lasortie et écouter d'une oreille leson généré, et de I'autre lâ tona-lité obtenue en décrcchant letéléphone.

R7 étant en position de résis-tance rnaximum (à fond sensd'horloge), régler progressive-ment Re de façon à entendre unnet battement (ondulation deI'amplitude du son) que I'on ten-tera de ralentir jusqu'à I'annuler.Si on dépasse la bonne position,le batteûert s'accéIère à nou-

Ajuster alors Rr jusqu'à lalimite du clécrochager de I'oscilla-tion, puis retoucher R, pour reve-r1il au battement ûul.

La pedection doit être obtenueau bout de deux ou trois ( allerretour )) entre R7 et R, {l'emploid'un oscilloscope peut faciliter lesopérations).

Il ne reste plus qu'à vé fier lescadences des interruptions, et àcorriger Les valeurs des compo-sants concetnés, si celles-ci sontincoûecte6 (condensateurs chimiques de mauvaise qualité). Lasortie du montage peut âlorsrejoindre n'importe quel amplifi-cateur de puissance, table demixage, rnagnétophone, émet-teuI radio, ou mieux ie secondairedu transformateur d'un moduleinterfece de ligne (voir No 455 etsuivants).

Ce branchement permet à unautomatisme simple de décro-cher aftificiellement Ie téIéphone(( prendre la Ugne r) dès le pre-mier coup de sonnede, puis de( tromper, le coûespondânt enlui envoyant une occupation ouune tonalité d'acheminementavant de raccrocher au bout de

Un coûespondant non avertiimaginera gue la iigne est occu-pée ou en dérangement (fonction( simulateur de présence )), mais

Ies initiés pourront envoyer desordres de télécommande par des'sus la ( fausse r tonalité avec unclavier ( DTMF , : de quoi âction-ner r'impolte quoi à distance, oufaire cesser cette tonalité deve_nue inutile (voir les autres modu-les déjà décrits dans cette séde,notamment à partir de notre N'479).

On devine gue les applicationne mânquent pas, mais toutes nesont pas forcément auto sées:

,_ ^.q êAD1--5!_/ a___E!--r / J lJ rr

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= l*l F-",;-11. I Fl lil| ( , Ë _ - ] t . . r I v v= T!Ï -LJ

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Générat:ion detonalités à paires defréquences

Dartiellement câble selon lar ngure 4, un second modulepeut-être couplé au premiet parsmple lJranchement en parâllèleqe guatre fils (+ 9 V, masse, sor-tre,- et SIL). II suffira alors de leregter sur une autre fréquencepour produue une tonalité définiecomme étant une paire de fré-qu-ences Ipar exemple IT 2).- ùr ie mehnge ne doit pas seraue en parts égales, iI suffira demodifier R1l sur I'un ou les deuxmodules.

ParallèIement à la reconstitu-tion de la tonalité françaige IT 2cet assemblage est particulière_ment intéressant à utiliser poursl,'nthétiser les tonalités étra;gè-res si souvent entendues dansles séries téiévisées américai-

Voici les caractéristiques desP ncipales d'eûtre elles :- toralité d'invitatior à numé-tot€r (au décrochaqe) :350 + 44O Hz (riouveaux cen-traux) continu600 + 720Il2 ou 600 + 133H2(centrâux anciens) continu- numéro incomplet (san6 équi-valent en Frânce) : 480 HzCOntmu- occupation: (hachée aurythme de 500 ms/500 ms)480 + 620 Hz (nouveaux cen-treux)480 + 120 Hz (anciens centraux)- retour d'appel {au r}thme desonnerie, soit 2 s/4 s de silence)44O + 48O Ez (nouveaux cen-t!aux)420 + 40 Hz (arciens centraux)- ( reorder D (remplace nos( orsques D : numéro non attd-bué, etc.480 + 620 Hz (nouveaux cen-traux)600 + '120 Hz (centraux anciens)

haché 0,25 s/0,25 s environToutes les tonalités de base

peuvent facilement être obte-nues en modifiâut simplementctes vateurs de Rs, Rro, C5. C6 êtC7 : avec 3900 ohms, on obtienrenviron 620H2 avec 27nF et350]Iz evec 47 nF (règlage finPar fie).

Biet évidemment, riell ne vousempêche- de procédeer à quel-çnres recherches pour créer destonalités particuuères pou! vosDesoms personnels : il reste àdécouvrir bien des combinaisonsqui, pâr bâttement, donnent dêseffets auditivehent intétessaltsmême s'il ne s'âgit pas de cornbi-naiêons _.de notes de muêique{{ nolmâllsees r.

18 I'l]PLI.T ',ÛUI;:EË,, j T

if jiifi#iFillriltF r;iFr48 FÊ=6â.:eâ.,F::r s0ul.trI: 1r F1, 1qrÊtir ltr111o a., ta, tt7E ll l i : i Ï :. i- i,t.nF,-î tjf-]IT 1,-1r:r*Tj,i FLBi rl, t:, î., r i1rl[J t,JiiIT 18ri+:T1 1L1i tBTir 7!J

Si vous possédez un micro-ordi-nêteur ORIC, le petit programmede la figure 5 vous permettrad'ailleurs de dégrossk ces recher-ches avant de modifier vos car-tes. Notez simplement que lesignaux produits pù la machine

ne.-son!_ pas sinusoidâux, et quei errer obtenu ne reflètera qu aD-proximativement le son qué aeii-vrera le montage.

RzRe

R?RgRs

RtrRz

C r

Cs

PAtriCK GUEULLE

omenclature

5,6 kQ6,8l{Q15 kQ3,9 kçJ3,9 kO8,2 kOpot âjustable 220 kO5,6 kOpot ajustable 10 kQ5,6 kQ5,6 kQ, selon niveau désiré680 Q, selon niveau désiré

C o n densate ws c h i m iq ues1A ou 16 V et céramique

1 pF (si nécessaire)2,2 VF22 VS'100 ÉF 10 V39 rF39 nJ'39 nF22 tÊ 16V

Circuits intégrésCI1 : LM 555cl2 . LM741

DiversCommutateur 1 circuit5 positions ou équivâlent.

50

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'tl {E i.', L,i : S i :l' ! o ti,: iH,ætriffiæ*ffi9

sjffitffi

ans de nombreux cas, lasonneried'oris-fiC-

téléphonique ne suffitpas pour assurer une signalisationencace des appels reçus. Le niveauoe Drufi ambiant peut couvrir sontrntemert, le volume des locauxpeut être excessif, ou bien te maitredes lieux peut ètre quelque peu durdbÈllieT-_-llne solution efficace consiste àacionner des;vetisseurs sonoresstlou lumineux ên synchronism-

q une lnsftulatrcn

. reEis d-e sonntE connectéelectriquement à la ligne.Pans certaines conaiilôns deraccod-emmClâsËmentneseoElélas exigE-e qul permet

A r,t e u :c ê ltli, i a in tj Lr ico;n''t rme .ia ;;ègJe :

il es spécifications auxquelles.:r doivent répondre les maté-liels péri-téléphoniques pourpouvoù être reliés au réseâupubùc sont regroupées dans unépais classeur dont la dénomina-tion officielle est ii fasciculeT C 1 , .Très instructive, la lecture decette ( bible D confirme bien queIa conformité aux normes doitêtre ertélinée par un agiément.Cependant, toute règle (surtoutadminstrative !) a ses exceptionsqu'il est bien tentant d'exploi-te!,, ,Dans 1e cas particulier des relaisde sonnerie, le fâscicule TC 1définit un certain nombte de con-traintes relatives aux dispositifsse branchant en pêrallèle sur laligme, mais précise que celles-ci

ne s'appliquent par en cas demontage en séTie avec une son-nede administrative. Tout auplus est-il précisé que les normesélectdques UTE doivent être re6-pectées dès lors gue des tersionssupérieures à 48 V sont en jeu.Différents schémâs sont prévuspour taccorder une êonnedesuplémentaite en sélie avec celleincon)orée dans le poste: nousnous en inspirons pour I'installa-tion de notle relais, dont laconception permettra égalementun branchement parallèle (suI lesréseaux pdvés l)

Un schéma passe-partout

Le montage présenté à la tigu-re 1 se compose d'un relai6 REEDsuffisamment sensible pourrépondre au faible courant djêpo-nible, associé à un pont redrès-

avec la sonnerie principale.

sonr envrsageaDles, mais le plussimple est-àns aucun douæ le

aux plus scrupuleux de nos lec'teurs

ql

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BEAL,tSAfl0il

seur et à un condensateur de fi1-trage puisque la tension de son-nele eat âltelnative (80 V.50 Hz). Un réseau RC peur êtréajouté à ce schéme de bâse, per-mettant éventuellement un bralr-chement ( parallèle ).

Tlois bornes permettent doncdeux modes de raccordement :- branchement en parallèle en unpoint quelconque de la ligne téIe-phonique (bornes P/S et p) : Ieréseau RC bloque Ie 48 V continuet limite la con6ommation àI'équivalent de celle d'une sonne-ûe conventionnelle,- Branchement en séde avec unesonnerie existante (bomes P/S etS): les 1300 ohms du relais setrouvent plècés er sé e dânÊ lectcuit de sonne e ce gui, comptetenu de Ia réactance plus faibleet lâ présence des diodes et ducondensateur de filtrage, revientau même que I'installation d'unesonnede classique.Dans les deux cas, une diode LEDpermet de vérifier à tout momentle bon fonctionnement du systè-me, en s'éclairatt pendant cha-que train de sonnede.Ce montage doit rester ins ensibleaux impulsions de numérotation( câdran ) ou ( clavier )) grâce àC2. En cas de problème, sa valeurpourra être augmentée. A Ia limi-te, une augmentation massivePermettrait au relais de ne pasdécoiler entre les coups de son-nerie, ce gui peut être intéressantpour certâines applications,

E:-.'Réalisation pratique

T e circuit imprimé de la figu-sre2 est prévu pour recevoirun relais OREGA de tvpe108 ROG 232 (6 V, 13OO ohmsj. nne s'agit pas du modèIe Ie pluscourant ni Ie plus économique,mais il bénéficie d'un excellentisolement,

Dans les applications peu exi-çteantes, un type plus économi'que poura évidemment êtreemployé, à condition que sescaracté stiques de bobine soientsimilaires. On modifiera alors enconséquerce le brochage sut la

Après câblage selon Ia fi$rre 3,on dispose d'un vé table ( re-lais D, galvaniquement isolé de laligne, êt ne nécessitant pâs d'au-tre alimentation que le courantde sonne e foumi pat le réseau.Le contact REED peut comman-der toute6 sortes d'équipements

basse tension et faible courant,ou un relais plus puissant capâ-ble de commuter du 220 V.Une application intéressante dece montage consiste à en montetplusieurs exemplaires sur deslignes vacantes d'un petit auto-commutateur ptivé tel que celuique noug avons décrit autrefoisdans cette rub que : la composition au cadran d'un po6te inté-rieur, d'un chiffre réservé permet-tla pâr exemple d'ouvrir la bar-rière du parking, d'actionner lagâche électdque de la porte d'en-trée, ou d'allumer Ia minuterie, àbonne distance si nécessaire.Pour sa part, l'auteur appréciebeaucoup cet élément de confort,.d'autant plus que I'un des postesde son réseau intérieur est un( téléphone sans fil ) qui nequitte guère sa poche...

Quelques exemplesd'installation

T a plupart des installationsLl PTT ou intérieures étant equi-pées de ( conjoncteurs r normali"sés, iI nous semble utile d'exami-ner les possibilités de branche-ment â ce niveeu.La figure 4 montre que pour tac-corder notre relais en parallèIesur la ligne, iI suffit de brancherses bornes P/S et P aux points 1et 3 d'une p se murale (aûivéeligne). Dans ce cas, le relais fonc-tionne, que le poste soit enfichéou non dans cette prise,A la figure 5, nous envisageonsle cas plus compliqué du bran-chement série: il faut cette Toisrelier les bornes P/S et S du relaisêux points 1 et 5 de lâ prise mura-le, après avofu suppdmé tout filaûivant éventuellement à Ia bor-ne 5 (souvent ulr êtrap réunissant1 et 5).Pour que ce relais colle même siIe poste est branché, il faut ouvrir

52

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celui-ci et supprimer Ie cavalierplacé entre ses bomes 11 et 17(correspondant aux points 1 et 5de Ia pdse).Si on laisse ce strap, Ie relais nefonctionnera gue lorsque Ie postesera débranché (montage dit( sonnerie d'oubli r).Dans certaines installations àplusieurs pdses avec sonneliesd'appoint, système de sectet, etautres parriculârités, il peut sereverer pructent de relever leschéma d'origine avant toutemodification, t'important étant debien comprendre le cheminementdes courants de sonnede datstous les cas possibles.

Gtâce aux deux modes de laccor-dements offerts (sé!ie et Darallè-le) ce petit montage est ;apablede résoudre un maximum de pro-blemes pratiques, II importe

I

( s è u . s r s ô n - e . t e é , o u r ) U )

cependant de veiller à ne pas setromper dans les branchements,cai de cudeux phénomènes pour-râent en résulter ! En modeparallèle, il est indispensable de

passer par le condensateur d'iso-lemert C1, tandis qu'en modesêne on se sert du condensateùrincorporé dans Ie poste ou dans]a prise murale : ajouter R1 et C1en série limiterâit par trop Ie cou-rânt d'où un mauvais fotctionne-ment des sonnedes.Par contre, omettre C1 en modepalallèle conduirait tout droit aublocage de Ia ligne par consom-mation de courant continu,Orrelques manipulations quioevralent permettre à nos lec-teurs de se familiâ ser âvec lesbranchements téléphoniques ! (sice n'est déjà fait...)

Patrick GUEULLE

Nomenclatute. - -.-

: : : . : : : : , . . : . . . , . i ,

R1 : 1500 Q

; t : !:, :.t;,:.,,..a:, : t : : :J ! :'Dr: pont redresseur 15OV200 mA minimumDz I LED rouge

RLI : relaisreed 6V 13000(senre OREGA 108 T06 232)

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I arrive parfois que le soÉs'acharne cruellement sur unarticle et ce lut le cas pourdrSCôM6"4-86-I-avions lTntention de vous

donner les modifications pourtôncmn;æae-; nouvearuMINITEIS t0IÀTnÀ, ets. flra-isn0u5 ne penslons pas avolr acotigE' tant d-àutres cfioses I

Page 73 : L'implantation pré-sente ICa et ICa à I'envets (lespoints sur le CI pouvâient attirerI'attention).

D'autre pâIt, Ie tracé en bleu-velt est en lait celui de la faceopposée. Les pistes visibles dansce sens devaient être les pistesgnses.

Si I'on veut être précis, Ie DIPswitch 1200 Bd doit être noilci àla paftie supérieure (enfoncé). Nepas tenir compte des photogm-phies sur lesquelles cet inter estretourné et mal enfoncé. De plus,les positions 75 et 9600 sontinversées (75 côté ICi).

Dans ce sens (face composant),le connecteur doit être vu enpointillés car il est placé de I'au'tre côté de la carte.Voici Ie nouveau dessin :

La figure 7 page 74 est incom'plète et fâusse... un des filsn'aboutit pas à la bonne brochede ]a DIN, et il manque Ies repè-

C'en est fini des erreurs impd-mées les plus graves: il man-quait encore une signature carcet article est I'ceuvre de Mes-sieurs SIMON Jean-Luc et CHA-BANOL Pierre.

De plus, un troisième auteurs'était chargé du logiciel de reco'pie d'écran des pages MINITEL.Ce personnage n'a pas cru bond'âpporter Ies modificationsindispensables au fonctionne-ment correct de ce soft etMICROLOGIC s'est vu devoirrefuser Ia dist bution d'un pro-duit impafait. Dès que tout serarentré dans I'ordre, nous ne man-querons pas de vous le faire

Nos confrères CAPO et AI-ARYqui utiiisent depriis plusieurs

54

lffi mll${}Olt,ii H r ræR;æ

Page 35: ERP488

Amscom errata

mois AMSCOM, ont découvert unprob]ème avec Ies MINITELS 10retournables, Une coûection aétè apponée aux fichiers d'émis-sion et de réception, afin de cou,v r.tous les cas de figures. Enesperant que tes constructeursne b colent pas trop souvent lesprccédures...

Vous trouverez ci-dessous lesdata les plus técents, compati-bles 18 et 10.

COMPLEMENT : si le recep-teur voit ce qui se pâsse pendantla transmission, I'émetteur est

aveugle et peut s'impatienter.Notez donc qu'il faut enviton20 secondes pour transmettrelko, ce qui porte à 5 minutes40 secondes pout une imaqeécran de 17 ko.

Dans Ia procédure de test, iIfaut tendre l'oreille pour enten-dre la porteuse... et lâ p se deligne est plus significative.

Si vous utilisez le prékit disDo-nible au club aAC (circuitimpdmé DF trous métal.) et cenouveau soft (déjà chez MICRO-LOGIC), vous ne devriez obtenir

que des satisJactions de cetensemble fiable et pelfomant.

MILLE EXCUSES pour tous cescontretemps bien indépendantsde rotre volonté, et qui ne doi-vent pas vous faile douter de laqualiré d'AMscoM.

NOTA: si vous êtes tout seulau moment des essais en pleinenuit, Jean AIARY vous Droposede vous confirmer Ie boln fonc-tionnement en appelant entre23}l et 24I l le 84.76.51.99 dumardi au vendredi inclus. C'estvous dire si AMSCOM lui a plu !

EMlSSt0t{3 Ëp=cp}lmr REI{ "R,lSCoXl.dàt {V?)IO IlE MY ûâ]FF2! mR :: t4400 I0 [4598 sTEp I30 Fon J=0 T0 7!RÊAD JrrÈVAL("&,,+Nt)48 P0Æ IiJ,V:T0T:T0TrV:N€XT J:50 REA0 ArlF A{0T ÎHEN 7060 PRI$rt ERREIIR Et'l ";iP!ST0P!70 '0T:0!CP=CP{10!NE)(T Is0 PRINT -SA\/E " i Clfrf (34) i, AïSCiI'U. bi n ";90 PRIIÎ c}!R$ (1,4) i " r b, &440û, &198, &é408"l@ |)AÎA 21 ,4Ctm!{Èr2l,49,m,I I , 293lr0 0ATA 00,c0JcI)r7?,8c,00,22,54J 1030120 DATA 00,tDr43,5[rotsrED!53,4E, 782139 DATA 09,32,4D,00,F8,1É,[A,7F, 732140 IATA A5,21r68,00,CD,83,88,D0, 1026150 DATA 22,52,@,CDr7A,8€,D8,C0, 1044160 DATA l4,B[!01,03,A5,C0,t3rA4, 989170 DAÎA C0r18rt8i01,3D,A5!CD,74, 964180 DATA A5r0l,18,A5,CD,F3,A4,F3, 1213190 DAIA 01 r3l,As,tD,74rA5r06,03, 710

200 0ATA CDrT{rA4,81,35rA5,C0,74,210 DATA A5!CD,EÈ,A4,F8,13,20rF9,220 DATA CDrÊ6rA4,Fr!sJ!20rt9,$,230 DATn 87,A4!C5,D5,Cti72!A4,011240 DAÎA Cl, Ct t 06 ! 0c t !€ lFF,IE r FF r250 DAÎA lD,20!F!,00,20,FSi05,2S,?60 DATA F3,09,21,00tots,D9,c9rCDr270 DATA ÉA,A4,3E,07,CDtD7,A4,E r2S0 DAÎA 48,50,ær21,21 r01!!9,11r290 DAÎA 40i00t!9,23t3Et04,8C,!0,300 DATA t{ i 6A, A4,2D i 20,1D r 6,2r,310 DAIA 1A,01 ,I9 t A5 r CD,74,A5,06,320 DAÎA 03,C0,74,A4rF8,01,58tA5,330 IATA CD,74 r AS,0t,0t, cD,74 r A4,340 DATA C3 i 00 ! û0,1A, F5 t F6J 0F,07,350 IIATA !7r07,07,C8r07!A4!Fl,FéJJ60 DATA F0,CDtD7!A4, 13,tS,C3,F5r370 DAÎA 01 JF1'FAtED,i8,CrJ47,28r3S0 0ATA FArFl !gB!E0,79,C9r01,Fl I390 0A1A FA,ED,78,CrJ4F'2SrFA,0B,400 DAÎA E0 J 78 ' C9 ! 26, lD,2Ê,0C,CD,

4t0 DA'A iSrBr r0A! 87iC8rCDJsA,88,420 IATA 03r18rF/,{1,54r54,45r481{30 0ATA 54,45,20r45,4D,49153'53'4{0 DAÎA 49, {Fr 4E,20,2E,2E,2!,20,450 0ATA 20J20t00!4t,40!49,53,53,460 DATA 49 r 4F,4E,28,45r 4E r 20,43,470 0A1A 4tr55!52,53,20r28r2E,28,480 ûtIA 00,1Br 39 r 6F,80 r 18,39,68,490 DATA 00r18,39,67,00,8C, 1F,40,5S0 IATA 0l r45,4D!49,53t53r49,4F,510 0ATA 4E!20,45,48,20,43,4F,55,520 DATA 52,53,20,2Er2E,2E,m,00t530 DAÎA 87,0Cr 1F,40,01 ,45,40,49,340 DATA 53r53r49J4Ft4E!20r54,45t55S DATA 52,40J49 ' {E! 45 !45'28'2E'5ô0 DATA 2E r 2E r 0A,80,0n, Bi, C8, C5,570 DATA CDrD7,A4,Ct,93,18rF512l,580 DAÎA ô0,00,01 r 00,00 t cD,80, Bc,590 DATA D2,90 jA5r77,2tt0t,t€rF5,608 DATA E0,43, t0,00, C3, ?St A4 r 00 r6t0 DATA 0gr00r00,00,00,00,00,00,

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210 DATA 40,77,23,18!E0,01,Fl,FA,228 DATA E!,78,98,4F,28, FA r 08,!0,230 UATA 78,C9r26,1!,2€,0C,CD,75,240 DATA BB,0A, B7, C8 r CD,5A, BB,03 r250 DAÎA 1S,F7,01 r27,A5rCDr6A,A4,2é0 DAÎA 1t,80,8E,21,40,00r01,20,270 IATA 00, ED,80, JA ! 4C,00,l1 r 8g,288 DAïA BEr83r5F,3E,0gr12t21,4C!290 DATA 00r4ér21,49!0!r1l r00,Ê9,300 DAIA rD J Er ' BC ' D2 rEC, A4, eS,2l ,Jl0 DATA 40,00,7E,C8,87,FÊ,16,CA,320 0ATA 94,A5,21 t60!90,ED,:8,50,330 DATA 00,E0,48r52!s0,CDJt8,Btrt4g DATA D2rE[,A4JEl,01,15t00!09!3S0 0ATA JA,4E,00,77,23 r JA r 4î i00,160 IATA 77rCD,EFrrct02iEC,A4,91,r70 DATA 7t,A5,CDrS0!A5t0t, lFrA5,390 DAïA C0,89rA5,81,78,A5,C0r80r390 0ArA A5,C3rg0r00,Cn,t3,A5,g1,4S0 DATA 7A,A5,C!t80JA5r91t57,A5,4r0 DATA CD,B0!A5,01,78,A5iC0r89,420 DATA A5,01,80 ! Bt, CD,80, A5, CD,410 DATA 83rA5rC3r00,S0,52,43,43!

440 DATA 45,50t54,49,4Fr4Er20,4s, 5ô44:0 DATA 4Er20,43,4Fr55t52,53,20, 538460 DAÎA ?E,2E,28,20,20,20t00r33, J17470 DATA 41,55r5È!45,47,41,5!r44r s91480 DATA 45,2pr45J48,20i43,4F,55, 5t1490 DAIA 52,93t29,2E,28,2!,80,53, 418508 DATA 41t55t56,45,4i,41,52,44, 591510 DATA 45,20t54,45,52,4D,49,4Ei 5645?0 DAIA 45,45,m,20,20r20!00,45, 335530 DATA 52,52,45,55,52,20r54,52, 599s40 DATA 41t{Er53r40,49,53,53,49, 6rs550 DATA 4F!4E!20,21,20,20,00,18, 3135É0 IATA 39,68,00r0C! lF,40,gr,00r 269579 DATA 0A,00,0!J07' lF'40'01'00' l2:5m DATA 0âi87,C8,C5;CD,8B,A5,Ct, 1292599 DATA 03,18iF5,F5,01,F1,FA,ED, 1246É80 DATA 78,C8,47,28,FA,08,F1,Ê0, 1173610 DATA 79,C9,21,00,01,80,4r,50, 74€620 DATA 00,09J01'é0'00'0A'cD'95' 470ê30 DATA BC,0J,2Di20,FS,?5,20,F5i 830ô40 DATA C3,Cl,A4r06!03,0E,FF,1Ê, 8626S DATA ÊF,10,?0JFD!8D'20'F8'05r 867668 DATA 20,F3,C9,00r80,00,09,09, 4i6

1034lLn

l0{59514É5

6033161405t01tB5É939866427t26h109711179181038ll11l1s7757

Page 36: ERP488

IËTflilIO!Ë-

Ouel diamètredtanfrenne pourvotre station

ous trouvant à Mediavec,notrc attendon asouvent ete aElree pârdes tisiteurs

exposantssurlediametre-deI'antenne à acquélir en fonction deleur site et du ou des satellitersoltitiiés.

-

Pour les épauler daûs leur

réflecteu en fonstion de la PIRE.

démarche, nous publions un abaque

La publication d'un tel docu-ment nécessite préalablementquelques explicatiorls ou com-mentaires,

Nous rappelons tout d'abordgu'il s'agit du dramètre typique,faisant appel à des valeulsmoyennes dans les pâramètresinhérents au bilan de liaison dela bânde KU, s'étalant de 10,90 à72,75 G}lz...

Ces différents et pdncipauxparâmètres sont connus, tels quela PIRË, I'affaiblissement dansI'espace, la figure de bruit de lâtête hyperfréguence (Convertis-seur), Ia bande passante, le ren-dement de I'antenne, etc.

Premier commentaire sur IaPIRE ou P.I.R.E. Elle nous estJournie par les pdncipaux orga-

trismes de diffusion, FRANCETELECOM, EUTELSAT. INTEI.SAT, TDF/DBP et la SES. CefiePIRE peut varier de 1dB de tathéorie à la pratique, d'où unepremière confuainte pouvantinfluercer le résultat.

L'affaiblissement dalls I'espacede la LD qui varie suivant la fté-quence de 204,8 à 10,90 GHz à206,2 dB à 12,75 GHz en passantpar 205,2 dB dâns la bande spec-trale d'Astra et 205,7 dB pourTDF 1, entraine un écaft de1,4 dB, pouvânt, il est vrai, êuecompensé par le gain d'antennequi augmente en fonction deI'éIévation de Ia ftéquence.

En ce qui conceme Ie bruit duconvertisseur. F. nous avonsretelru une tête présentant une

figure de bruit de 1,6 dB, puisqùecela nous parait être une bonnemoyenne entre la nouvelle géné-ration des convertisseurs HEMTet les ( anciennes r têtes 1,9 dB.

Une petite parenthèse pourconstater que les têtes de typeHEMT 1,3d8 sont onéreuses etne sont pas toujouts en rapportavec l'amélioratior de I'imageescomplee.

Ouânt à la bande passante dudémodulateur. nous estimon6qu'une valeur de 27 lùJtr}lz coltes-pond actuellement à ce qui sefait le plus souvent dans cedomaine, apportant un seuil pro'che de 7,5 dB, vofu un peu moins.

Voyoûs maintenant un âutreélément eyânt son impoftance,I'antenne, et plus particulière-

50

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Quet diamèbe d'antenne pour votre station

ment le réflecteur parabolique êtson rendement, d'ou son gain,NOUS aVOnS retenu un rendementde 65 %, bien que nous savonsque 72 % sont des efficacités cou-rantes, notarnment sur les réflec-teurs de type offset ne dépâssantpas 1,20 m de diamètre.

Voici pour les principaux para-mètres. Mais il faut encore pren-ctre en compte la déviâtion de lâfréquence FM, ainsi que toutesles caractédstiques (diverses per-tes notamment) qui ont été déjàmentionnés dans R.P. n.482(page 69 - exemple de bilan deliaisoq typique) .

Nota :II est délicat de coûparer des

bilans de liaisons issus des aliffé-rents diffuseurs, puisqu'il fautétablfu une analyse entre Iesparamètres d'émission propres àchaque diffuseut et ertre lespararrètres de réception retenusou pas par chacune de ces otgani-

De tout ce qui précède, I'aba,que fournit une coutbe, o"ui estfonction de ]a PIRE -abscisse -et qui précise - ordonnée - lediamètre tlTigue du réflecteupour un c/N constânt d'environ11 dB, par ciel clâi.r.

Sous un ciel couvert (précipita-tions), une atténuation du signalde 1,5 dB doit être soustraite âurésultat précédemment annoncé,ce çlui ne laiôse plus qu'uneêtroite marge au-dessus du seuilde démodulation.

Voilà pour la théorie... mais enpratique le diamètre Iu sur I'aba-que peut s'avérer légèrementsupérieur à celui employé dansles instâllatioos individuelles-

Voici quelques exemples pourtester le réalisme de I'abaque.

Pour la réception de TELECOM1C (ou 1A), le diâmètre lu surI'abaque est de 60 cm pout unePIRE de 52 dBW. Sur le terrainI'expédence est concluânte àParis, Strasbourg, Lille, Lyon, oùla PIRE est Iégèrement supé-

eule à 51 dBW. Théorie et prati-que se confondent.

Notons que le diamètre utiliséest celui précoûisé par Ie CNET,qui en outre calcule un C/N de10,7d8, pou! F i 2,2 dB et .u-rrePIRE de 51 dBW (ciel ctait).

En extrapolant ces valeurs, F :1,5 dB (+1,5 dB) +1dB de PIRE,on obtiert un C/N de 13 dB (B!ut)au point de visée 52 dBW.

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{i;rr. ,.t I ' -- *-

Deur.ième expé ence, cettefois-ci sur le sarellite EUTELSATI Fl via son faisceau est diffusantRTL +. La PIRE locâle vâut40 dBW (façade Est de la Frârce).Nous constatons qu'une pârabolede 1,80m de diamètre sembtêsuffisante, au lieu de 2,40l'ir slj-pulés par l'abaque.

Toutefois, avec un gain réduitde plus de 2 dB, la marge au-des-êus du seuil devient minime,voire nulle, ce qui entraine parteûrps de plùe, une image ( flir-tart , avec les premiets clics.

Ces clics disparaissent adifi-ciellement en enclenchant lâ tou,che ( turbo ), (extension de seuilpar réduction de Ia bânde pâs-sante, 5 dB C/N à 16 MHz) équi.pant les récepteurs modernes dumarchés.

Signalons à titre d'informationet de comparaison, que la SES,Société Européenne de Satellite,préconise un diamètre éga.l àcelui édité dans RADIO-PLANSpour les mêmes valeurs de PIREet cela dans la zone de convet-ture nominale d'Astra, ertre 54et 44 dBW.

Cependaût, la réception d'As-tra est annoncé, sous un ciel clair,avec un C/N de 13 dB pour unrapport S/B de 43,7 dB.

L'acquisition du satelliteluxembourgeois est prévu avecdes perêboles de 60 cm à

52 dBW, atteignanr. 1,50m à44 dBW. D'autre part, Ia SES pré-cise qu'en MAC, des parâ.bolesde 50/55cm (52 dBw) à 1,30m(44 dBI^r) seront suffisantes pouratteindre les mêmes résultatsqu'en PAL.

Nota :Les C/N et rapport S/B men-

tionnés tout au long de cet articlesont ceux calculés par Ies diffu-seurs,

VoiIà, nous espérons que l'aba-que présenté permettra de gui-der le futur acguéreur sur lâ taille

(gain) du réflecteur, en fonctionde la pire la plus faible, du canel,et du faisceau du satellite à rece-voir.

Oùant aux PIRE, conditionssiné qua non à I'utilisation deI'abaque, se reporter aux infor-mations parues dans les diffé-rents numéros de Radio-Plans.

L'auteur remercie FranceTELECOM, Ie CNET, L'EUTEL-SAT, TDF et la SES pour leurcollaboÉtion.

S. NUEFFER

ii:iCo!!'!tnali deru itt:;Lliige;:Lr: r tl,::Éaura!;'t ; ai: c;!a:g.ti natiic|llr.ti ptf r at r:: :i: :.t::

!,ré t ég ! éi i; lJè I rài),j$:iet Jj itli:iÊ

tensior de sortie est directementproportioDnel à une tension decontrôle, habituellement fourriepar un générateur tachymétriqueet ce contrôle permet une préci-sion de I'ordre de 1,5 %.

Elaborée en technologie VIPo-wer, qui réalise I'intégrationsimullanée d'étage de puissanceen technologie bipolaire verticaleet de circuits de contrôle à faibleniveau, le V8100 SGS'THOMSONcomprend un étage de sortieDarlington à collecteur ouvert, delobuste dimension, une com-mande de base programmable,des circuits de polarisation deprotection, un génélateut propor-tionnel d'une teDsioû en dentsde scie et un comparateur de ten-sion disposant d'erttées différen-tielles à haute impédance.

L'étage Darlinqtor de sortiepeut déliwer un courant de 5 A,tandis qu'une plage de tensionpouvârt atteirdre 450 V est dis-ponible poul ( encaisser D lespics de tension qui apparaissentà chaque commutation surcharge inductive. En plus de Iaprotection directement intégréesur les entrées du comparateur,le V8100 possède une protectionthermique contre les courts-cil-cuits. Fourni en boitier plastiquede puissance Multiwatt-11, leV8100 permet une dissipationmaximale de 50 W.

Pou! de plus amples infolma-r iôna ^^nrâ.rê' .

Chdstine LéonardSGS Thomson CeûtillyTé1. : (33'1) 47.40.75.75.

SGS-THOMSON vient d'intro-duire un circuit intégré de puis-sance destiné à la commande demoteurs à courant continu ou decourant sur charges inductives.

Le V8100 est un dispositifhaute tension/fort courant guipemet de contrôler Ia puissancedéliwée dans Ia charge par varia-tion du rapport cycligue à unefréquence de commutation pou-vaot atteindre 100 kHz, fté-quence impo€ée par I'adjonctionde deux éIéments passifs exter-nes. Le rapport cycligue de la

Page 39: ERP488

08 amplificateursFGrEfGlàs6riemtOR-eISE sont

pleine expression avèc les sôirces80n0les modernes ûue sont lesieèaùrsTD etEaDff-

que la quasi-totalité da cesalDareiBest depourvue d'une commande devolume en sorrtie. Même si lêscommandes de tonalité et detâEncæ nbht tptùxiiiniéiêq il resteun prcblème d'interface Source/Enpli.

-

l,e gadget presentê n'en est doncpas un puisqu'il représente lacondiiion nécessalre etlumsantepou! une écoute sans concessionsde vot!€ musique favorite. A ceaitrelll€rnFlàce purement etsimplenre.* un pEamFilFateur...

I se déduit des caractéristiquesde sortie des CD et DAT qui

par chance délivrent couramment1 V efficace sous une impédancecompdse entre 600O et 10kQ.On rencontre même en 1988 desniveaux de 2 V eff. qui tendentvers Ia majorité, et peut-ètre deral! une lulure norme

Pour cette raison, nous avonsdonné dans un précédent articledes valeurs de résistances conJé-

rant aux amplis HEXORCISTEdes sensibilités d'entrée compatibles. Il est claù que l,ancientemode 0,775 V â vécu, tempiacéepâr une valeur actuelle de 1,25 v(ou 1,5 V ou 2 V).

Ceci nous conduit à la figure 1qur représente l'ensemblemoderne en ordre de matche. Lesenceintes font I'objet d'un autleexposé (pârce qu'elles dsquentbie4 d'être dépassées par cetteiévolution technologique, nousavons une suqgestioû valable),

conçus pour offri! unegrande rnusicalité quitrouve sa

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La source d'odgine numériqueest exploitée sur ses sorties ana-Iogiques 1 ou 2 V, et non sur lesliaisons digitâles. A ce propos, etcomme nous I'avons schématiséet figure 2, une sortie numéiqueest destiûée à une conversionDigitale/Analogique ext€lne quisuppose Ie DAC et le filtrâgeinterne de mauvaise qualité, lesconnexions et câbles également,toutes choses actuellement peuréalistes compte tenu des raresconvertisseurs 12, 14 ou 16bitsexistants.

En attendant les circuits DAC18 bits (ou mieux peut-être), nousconseillons de mettre en boîte unsimple potentiomètre stéréo2 x 10 kQ loga thmique, en met-tant lâccent sur la qualité decelui-ci, ainsi que des connec-teurs RCA et câbles de liaisonemployés (voir pub Sélectronic).Un avântage éventuel de Ia for-mule est la possibilité de règlageà distance avec des liaisons deIongueur suffisante (5 mètres estun maximum absolu).

Au plan électdque, la figure 2montre que I'intelfâce travailleen alternatif seulement avec laprésence d'ur condensateur desotie inclus dans lâ source CDlDAT et l'autre (47 ou 100 pF chi-mique) inclus dâns I'HEXOR-

CISTE. En l'absence de ce der-nier, on s'expose à des crache-ments, Iors de Ia manæuvre du

-( ùrj f I' - " ï

) ,

NTERFACE COIDAT

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potentiomètre, crées par l,offsêtd'entree du crrcuit amplificateur.Nous avons deià notè Iè rôle erra-tique au plan musical descondensat_eurs de couplage 0ial_son,. un lera àvec toutefois, enprècisânt qu'il n'y a pas de limiteau condensateur d'entréeHEXORCISTE {470 !F par exem-ple] srnon celle de sa qualite pro-

maquette). Y loger 1e potentiomè-tre iaponèis (bélas t) de marqueALPS 2 x 10 kQ LOG qui est f;rrcher, mais excellent avec sa pistePlastrque stable, son étanchéitésuffisante, et sa mécanique bienconçue, Les deux canaux sont( t rès égaux r.

Monter guatte embases RCAdorées_ teflons (MONACOR parexempte) avec couleurs de repé-rage assofties. Effectuer les 16soudures soigneusement en utili-sant de préférence un câbleblindé teflon, ou bien imité. L,iso-lement des fiches RCA a été réâ-lisé par une plaquette de plasti-que épais sur laquelle elles sontmontées, puis I'ensemble visséen face arière du cofftet, Une

carte époxy débarâssée du cuivreserait encore meilleute,

La mise à la masse du coffret,si elle semble necessaire (c'est àdrre sr lè main touchant la facadedonne uD ronflement) se ferâ parfil séparé relié eu coffret seule-ment, puis à la borne de massedu CD/DAT ou de I'HEXORCISTE(l'un. ou I'autre mais pas les

D, JACOVOPOULOS

hoisir ùn boîtier esthétique' {et si possible robuste) de

petite taille (ESM strl notre

Nomenclature

. 1 potentiomètre 2 x 10 kO LOGmarque ALPS (canaux appariés àmieux que 1 %). 4 fiches CINCH/RCA doréesgarnies téllon, couleurs assoties(MONACOR par exemple). 1 plaque isolante époxy ( alé-cuivre D ou plastique épars de40 x 80 mm minirnum. 1 coffret ESM type EM 10/05.. 50 cm de câble blindé ( spécialaudio '.,(téflon à btindage treiltisargenlel,. 4 cordons CINCH/RCA Mâe/MâIe professionnels (gerue SéIec-tror\lc 171 7 922\ .. 1 joli bouton.aMise à la masse {acultative patdouille 4 mm non isolée sul l]of-ftet, etc...

(Le materiel utilise pout natrc maquette aete tro4ve chez SELECTROMC)

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IllFf/siCarte de contrôIeuniverselle

La carte GPC 51 est ur modulede contrôIe et de gestion ultra-puissant, sous format standardunifié EUROPA de 100 x 160 mm.

Elle opère sur le puissânt BusABACO(R) de 16 bits dont elleexploite la sé e abondante dêpériphériques industriels et demodules intelligents.

ta carte suppote la famille 51de CPU Intel dans ses différentesversions avec ou sans ROM/EPROM interne, y compris Iemodèle masqué BASIC.

Le développement et la miseau point des programmes pourcette carte peuvent déjà com-mencer par lâ CPC 51 car ellecomporte à elle seule tout ce quisert à une première approche, ycompris le programmateutd'EPROM incorporé.

Sa structure très modulaire enfait le composant idéal pour Iaréalisation d'architectules à logique répafiie, avec des ressoulcesIocâIes remarquables aussi bienen matière d'E/S qu'eû matièrede traitement,

La GPC 51 est à ce point com-plète qu'elle est à même, engénéral, de résoudre le problèmede la gestion de machines oud'automations moyennementcomplexes, Lorsque des complé-ments sont nécessaires, il estextrêmemeni facile d'en augmen-ter les possibilités à I'aide de car-tes adéquates à introduire dansle puissant Bus ABACO(R).

Caractéristiques :- Carte foiûat Europa poul leBus ABACO(R).- cPU Intel 8031,8032, 8751,8052 AH BASIC, etc.- Socles pour un maximum de288 K - EPROM,- 32 K RAM avec cucuitede deBack-up et batterie âu lithium.- Socle prévu pour la program-mation avec algo thmes intelli'genrs d'EPROM jusqù',àla 27728.- Rétro-action des différentsétats de la carte par LED.- Une seule tension d'alimenta-tion en 5 V, 850 mA.- Commutateur à I voies lisiblepar logiciel.- 16l ignes d'E/S du 8255 à gérerpar logiciel.- I-igne de communication etpour impdrnârte en RS 232.

- Bùzzer d.ë bord pour son etligne PWM sur le connecteur.- Jusqu'à trois compteurs avecleur ligne de contrôle.- Gestion intelligente, par 8279,du clavier et de I'écran en mesurede pilotei jusqu'à 128 LED ou16 chiffres 7 segments, 64 tou-ches ou matrice équivalente desenseurs du champ.- Circuiterie de watch-dog sursection display pour ptotége! lessegments.- 4 lignes de conversion A/D de12 bits avec précision garantie de10bits; 5ms de temps deconversion,- Real Time clock - calendrier à

- Possibilité de disposer de lan-gages et d'environnements évo-lués pour le développement desIogiciels de gestion, aussi biensur EPROM comme FORTH,DEBUGGR-ÎRACE, BASIC, etc,qu'en cross, sur ordinateurshotes comme ASSEMBLER,DEBUGGER-TRACE, Générateurde FLOW-CHART PASCAL, ],an'gage c, etc-ABACO(R) et GPC(R) sont desmarques déposées enregisléesde Ia Société GRIFO(R).GRIFO40016 San Giorgo di PianoBologna - Italieviâ Dante, 1TéL : {051) 892 052.

Nouvelles cartes VCA

La société GENIE S.4., repré-sentant les sociétés ADI (fabri-cant des moniteurs profession-nels dont lâ répùtation concer-nant Ia qualité et la fiabilité n'estplus à faire) et TSENG LAB. (lea-der et fabicant de chips vidéo etcartes grâphiques couleur profes-sionneùes hâut de gâmme) nousinforme de la disponibilité des

- DM 3014: écran VGA ADI 14monochrome, P.U. HT : 1415 F._ EVA 8OO : carte VGA TSENG,P.U. HT : 2600 F.VGA BIOS et registre 640 x 480et 800 x 256, 16 couleurs.' EVA 7024 : CArtE VGA TSENG,P.U. HT : 3990 F.

VGA BIOS et registre 640 x 480et 7024 x 768 , 16 couleurs.

ECRAN GRATUITADI, TSENG et GENIE S.A, ont Ieplaist d'annoncer que pour toutecommande d'une carte EVA 1024âu p x de 3990 F HT, un écranADI DM 3014 sera livré gratuite-ment, et ce, pour les 300 premiè-re6 cârtes EVA 1024 vendues àparrir du 1- juillet 1988.

GENIE S.A.8, rue Proudhon932 1 0 ta Plaine-Saint-DeoisTé1. :48.20.23.06Télex : 231 906Télécopie : 48.20.53.64

62

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Suîte de lâ page 29.ment. Physiquement et rnusicale_ment, i] r'existe aucun voile ici,ce qui correspond à I'esprit ( dj_Iect r des électroniques asSO-clees-

Les qualités sont si nombreu-ses et I'ensemble une telle affaireque nous seaons accusés de l)ar-tialité, c'est pouguoi nous men-ûonnerons cruellement Ies trèsIales pornts négatifs, tout le resteetant égal et p ncipalementsupédeur à ce que nous connais-sots :

a hélâs, deux foisles fâire soimêmedescdption)

hélas, il faut{d'où cette

a éIectriquement, elles ont unrendement peu éievé à cause dufiltre. Celui qui écoute Iaible oumoyen choisit I'Hexorciste II,celui qui n'a pas de voisins châ-gdns préIélera I'Hexorciste IILa I'extrême grave est atténuéinévitableûrent, mais nos amDlisle délivrent beI et bien, c,est l'ùnecte leurs exclusivités. Le Hpmédium grave est toutefoisextrémeme4t convainvant ( enbas r ce qui suppose un soupçonde trànage màis nous sommesici déformés par I'habitude duhaut de gamme mondiel et desboomers asservis, ce qui estrntuste pour Ie MXT 50 quin'avalt pas prévu une telle com_palaison l

Il faut préciser aussi que seulesIes mesures de laborâtoire ontmontré Ies inconvénie4ts ci-des-sus que l'oreille n'avait pas dél-tecte : I'ecoute cDlDAT+ HEXORCISTE + MXT SO peutêtie considéré comme sidér,enteParce que vtâiment HiFi !

Voici quelques mesures typiques du MXT 50 avec en fig:ure 1le releve phase/fuéquence quecachent la plupart des fabricantsd'enceiâtes âcoustiques. C'estprtncipâlement pour cet excep-ttonnel résultat que I on sacrifieun peu de rendement, choix guenous approuvons sats résetve,Les lecteurs audiophile app!écie-ront... les ûovices feront confian,

En ligure 2, iâ réponse (bandepassante vérifiée dite utile) appa,raÎt dans toute sa linéârité âvecpour référence 1W donnant90 dB microphone à 1 mèrre. Lapartie aigrie donne I'aspect dansI'axe d'écorite (section plate), etdéca]é de 30. (section descen-dânte). On notera que te Hp à

Eéelise2 yos enceintes AUDAX MfX SO

s

couRBE pHASE / FRÉeuENcE

couRtsE tMpÉDÀNCF / FRÉouENcE

COURBE DE REPONSE MICROPHQNEiDANS L.AXE ET A 10. HORIZONTAL

{o)

dôme montre une Jaible directivi-té, soit qu'il prouve sa caractéris-tique omridirectionnelle : onpouûa se déplace! dans la piècesans petdie les notes aigùes,

La figure 3 montre que I'imDe-dance I Q ne descend pas, dànstoutes les enceintes il y a Ià un( suspense D qui fâit vacillerbeaucoup d'amplis. Les remon-tées de I Q vers 15, 25 et 40 Ocorrespondent à une relationacoustique/électrique qui estnormale et saine, à fotiori sur unEXORCISTE ulttâ-stable. Sur unampli suspect, placer une cellulede Boucherot en sortie (0.1 uF+ 22 A/5W).

La figure 4 précise la pented'atténuation dâns I'extrêmegrave du MXT 50 et prouve l'hon-nêteté du constructeut quiânnonce 38 Hz à 20 kHz à :t 3 dB.Ajoutons que tout ceci est bieraudible avec un rendu qui est

iuste et n€utre, donnant untésultat exceptionnel sur toutesles musiques I

La description dans RadioPlans du kit MTX 50 ne résutrepas d'une demande à câractèrepublicitaire de Ia Société AUDAX,mais d'une démarche tout à faitpersonnelle, aussi ne nous éten-drons nous pas d'avantage enéIoges sur ce produit. Nous voussuggêrons toutefois d'aller lesécouter pour apprécier le natutel,la dynâmigue, Ia spatialisation etle respect de la phase. Si c'estimpossible, sachez que le prixne saurait en aucun cas Iaisserdeviner une telle qualité...

Le kit AudaxIndustries

Tl se compose des élémentslmentionnés en figure 5 aux-guels il faut ajouter I'ébénisterie.

63

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BEi,L[iAfl0ilLa notice du kit, gui est fort biendétaillée, comporte une pagedétachable que I'on remettra à lapersonne devant fâire Ie débit debois. Audax préconise habituelle-ment du bois ( aggloméréCTBH W, soit estampillé ( qua-lité humidité ) au Centre Techni-que du Bois. La fiche du débitdes panneaux comporte d'autresprécisions, et le plaquage(conseilé) est à définir selon vosgoûts.

Au plan électrique, Ie schémade principe complet est donné enfigure 6 et re doit en èucur ca6être modifié. D'âilleurs Ie filtreest tout monté sur citcuitimprimé ce qui minimise les sou'cis et garantit Ies performances.

L'ensemble des renseigne-ments acoustiques, techniques etde construction, ainsi que lescourbes, plans, cotes et Pas à Pasde montage sont fort bien préci-sés par la notice incluse dans lekit. Nous avons souhaité com-plété par I'image tout ceci pourvous faciliter les choses au maxi-mum. Nul besoin d'êtue électro-mécanicien pour réussir cesuperbe kit comme vous le cons-taterez certainement !

Pour réaliser les plans photo-grapbiques du montage d'uneenceinte MTX 50 AUDAX, nousnous sommes assurés les compé_tences de prolessionnels de I'en-ceinte en kit, M. James ENGARDet Daniel SATOMON respective-ment animateurs des sociétésHP Systèmes et BOX Systèmes,que nous tenons à remercier icipoul leur aimable et efficace col-Iaboration. Des activités de cesdeux sociétés nous dtons quel-ques mots et tout d'abord, qu'el-les s'exercent dans un mêmeIocal, au 35, de la rue Guy-Moquet dans Ie 17. âûondisse-ment, qu'elles sont complémen-taires et que d'amicales relationsentre les responsables Jacilitent^è ï r hn r ^ ^hânôh r

La vocation de HP Systèmesest d'étudier et de composer desensernbles à partfu de produits(HP, filtres) judicieusement séIec-tionnés et adaptés les uns auxautes (ses services vont jusqu'àl'étude particulière de très hautde gamme). BOX Systèmes réa-lise des ébénisteries et placagesd'enceintes, étudie, éventuelle-ment avec des décorateurs, etréalise I'intégration de systèmesacoustiques dâns des intédeurs

CARACTÉRISTIQUE DE LA COUPUREGRAVE DU KIT MTX 50

(mesu.é en chamb.e ânéchoîquè)

3,3 pÉl63 V l0 pFlô3 V

x 9 0 2 5 G 8 Q

+ENlÊÉËMODULATION

MTX 2025 TDSN 2 CN 128 0

5 ( H E M A i L Ë ( ' ] R I Q U E D U F I I I R I - M K X ' I I

(privés ou professiotnels). Lesdeùx sociétés ont moins de troisans d'existence mais Ies hommesqui les dirigent possèdent uneexpé ence d'une vingtaine d'an-nées dans le métier de I'enceinte,

Dans le magasin, nous avonspu voù et écoutei l'équivalent enqualité de systèmes prestigieuxmais dort les pJix conservaiettici des prcportions tout à fait lai_sonnables,

Revetons maittenant à nosMTX 50 AUDAX: nous donne-rons quelques précisions techni'crues qenérales, mâis indispensa_6tes

-au bon déroulement de

l'opération, avant de conrlnenterle ( fiIm )) de I'essemblage

L'ébénisterie

Les caissons sont réaùsés dansun aggloméré de moyenne den-

Hâutparlèur d. grNÈn'idium

2s nm. 3 ôhmi av.c sdlle , ,,.,...-,-....

Mouse acouniquê.dhésivc

Fih€ pa$ilnDnié surciEuit inpriné

Pnv de raccôrdèûe âudio

Clips dc fixsrio. de pris aK

vis à boh tt bombé.5 x l0 (mn)

vÈ à bon rk bonbé..1x 20 (nfl)

Plan de ltbénisÈn.. éch.lle I

Mânùe! d. montagÊ KIT MTX 50

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sité appelé MEDITE ou MEDIUM(chez le fâbicant ISOROY) ouencore FIBI1APAN (fabricant ?).Ce matédau se présente sous lafolme de ( feuilles r aux mêmescotes que l'agglomélé standard,]'épaisseur préconisée parAUDAX est de 22mm. LaMEDITE est souvent utilisée pourla fablication de meubles plaquésde haut de gamme, elle présentedes surfaces très lisses, Ies cou-pes sont particulièrement rlettes(arêtes vives), le tout se prêtetrès bien à I'assemblage par col-lage et vissâge (sans rainures),c'est cette technique qui a étéretenue pour ûotre application.

Note Le concepreùr du kit (AU-DAX) indique que le Iatté et lecontre plagué sont à déconseillerpour ctes râisons d'acoustique

La figure 7 donne les cotes despanneâux, elle vous servira defiche de débit chez votre détail-Iant de bois. l-es cotes et leséquerrages dewont être palfaite-men! respectés, ce qui ne devraitpas poser de problème si tesdécoupes sont faites à Ia scie àPanneaux. Attention, Ia MEDITEne se trouve pas partout, noustâchelons de donner des adres-ses en fin d'article pout vous sim-plifier les recherches.

Les chants devront être géné-Ieusement enduits de colle blan-che !"yniligue, en étaler unegrasse couche au pinceau, Lesvis servant à 1'assemblage serontdes vis à panneaux de pâticulesde 45 à 50 mm de hauteur, ellesseront espacées de 15 à 20 cm. Ilest préférable d'effectuer unavânt trou de 3 mm avant de pla-cer les vis ; il est nécessa e demaintenir fermement cet assem-blage pendânt I'opérâtion. Unftaisage pour loger ta tête de lavis est conseillé. Des lames detournevis cruciformes adaptablessur perceuses doive4t existerchez les grands du bdcolage etpeuvent faciliter l'opération devissage. Si des défâuts existeientà la fir des phases de montage, ilserait nécessaire de :1 - poncer les surépaisseuls àI'aide d'une ponceuse vibrânte ouà bande.2 - de colmâter Ies jours entredeux pièces si des défautsd'éguerrage étaient constatés,On utilisera pour cela du s\,ntho-fer ou du cosmofer de préférenceaux enduits àbois. Ces matériaux

/ïéadr'.çe; r"os encer,æies AAmAX fifiTlt 5@

sonr €ratives a une èpars.sêur de bols de 22 mm.Elles dôivenr ére mod.

depaisseu. ditlere.re êsr

226

oEssus

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2

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2 1 0 x a 7 a x 2 2

2 7 0 x 6 9 3 x 2 2

2 7 0 x 5 0 x 2 2

2 7 0 X 1 8 5 x 2 2

2 2 6 x 8 7 8 X 2 1

2 2 6 X 1 1 6 x 2 2

2 2 6 x 2 2 6 x 2 2

2 4 0 X 2 4 0 x 2 2

DÉcRocHEMËNT

DESSUS

t 0 0 x 2 5 x 2 5

226x40x40

TAQUETS

DE RAIDISSENlENT

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BEALISANAilcomposites sont moins 6ensiblesaux vibrations,,. Les creux laisséspar les têtès de vis seront égiale-ment remplis de synthofer, lesexcédents seront poncés. Nousavons, lors de tos plise de vues,ettendu maintes fois D. SALO-MON invoque! Saint Offer...

Le placage

C'est une opération délicate etde Iâ minutie de son exécutiondépendra I'espect final de vosenceintes. II existe delrx techni-ques possible de placage.

Lâ première fait appel à du pla-cêge préenduit d'une colle àchaud, Ce placage se pose au fe!à repasser et ilne feut pas hésiterà lepasser plusieuls fois. La la!-geur du placâge t'étant Proba-blement pas assez large Pourcouvdr Ia totalité d'une face deI'enceinte, on prendra soin debien mettie bord à bord et centrépeu rappot au panneau, les der.x( lé D de placage.

La seconde méthode est Plusûaditionnelle et consiste à ache_ter du placage chez un fournis-seur spécialisé, d'enduire lesdeux pârties à coller (placage etMEDITE) de coUe néoprène liqui-de, et de laisser séchet à part Iesdeux parties dats un preltiertemps, Or Place ensùite desréglettes ou tou llons de bois surla surface encollée de I'enceinte,on dépose pa! dessus le placageencollé. En commençânf,. Par Iemilieu du pânneau, on enlève unepremière réglette et I'on met encontact les surfaces encollées,Attertion, cette opération nesouffte aucune fausse man@uvre,le collage est définitif. En fuyantveÉ les extrémités des Pan-neaui'., on enlèvera successive-ment les réglettes. Après collage,Ia surface sera énelgiquementmaroulflée à I'aide d'une cale debois. La découpe du placage esturo phase impottante; elle s'ef_fectuera à I'aide d'une cale debois et d'une scie à placage oud'un cutter. La cale de bois seraplacée sur le placage et la coupes'effectuerâ par dessous, A lahauteu! de I'évent et des haut-parleuIs, un cutter sera tout indi-qué. Il feudrâ effectuer Ie pres-sion pour la coupe, uniquementpendant Ie mouvement descen-dant.

Mise en gard€Les placages en matédaux tels

le folmica peuvent entraîne! unemodiJication au niveau de ]a resti-tutior du son, ceci dans le sensd'une dégradation, ils sont dorcà éviter.

Ceux de nos lecteurs qui ne sesentùaient pas une âme d'ébé-niste aurait intérêt à faire appelaux serrices de professionnels,

Les matériaux absorbantsLa notice de moûtage p!éco-

nise I'utilisation de lâine de veûesemi-dgide de 40 mm d'épais-seur. Dans notre présentationphoto, de la laine de veûe souplede 70 mm a été utili6ée.

A proscrire absolument, les lar-ne6 de verre éqldpées de pare-vapeur à face aluminium,

Précisions diverses- Itn tasseau de râidisseûent de40 x 40 doit lier le fond de l'en-ceinte au panneau avant. Il estsitué entre la découpe de l'éventet la découpe du boomer.Vous neveûez pas son installation dans

Ia suite de photos, mais celle-ciest simple, lorsquê les extrémitéssont enduites de colle: il estintloduit par I'ouverture du boo-mer. (un évidement est fait dansla IaiDe de verle) il est ensuiteglissé à sa plâce définitive etvissé.- Un ouverture doit être prati-quée dan6 Ie fond pour introduirele bornier(voir sur fiche de débit).- HP Systèmes devrait tenir deskit MTX 50 en stock et BOX Sys"tèmes proposer des pânneauxdécoupés, peut-êtle cedainsassemblés. Té1. : 42.26.34.45.- La société AUDAX Industriespeut fournfu les adresses de sesrevendeurs {Té1. : 42.87.50.90) àPads et en Province.

L'auteur tient à remercier poutIeur précieux cotcours les res-ponsables d'AUDAX INDUS-TRIES gui olrt apprécié I'HEXOR-CISTE et les bonûes plaisânte-ries. Il leur adresse un hommagepersonnel pour la réussite techni-que de I'ensêmbie MTX 50.

D. JACOVOPOULOS

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IROUSSES DE F PINCES2LNlg.t!!!{10!t < DEttt.Bo DE Ei":..::Y:::!:".. . -' UN|vERSELLE

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rFANslsToRs 8C238: l ,0O Fzt{2:122: 1,55 FBSl70:5,90 F

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6r

tunisiens, qu'ils soientparticuliers ou prof essionnels, ainsiqu'aux exportateursjlEllqbconnaissant souuent mal lesposslD ltes de recepti0n déc0ulantdes zones de co!.verture plus vastes

Eutelsat I FI et I F4 ainsi queTéléqom I A et I C est permis avecun réflecteur de 1,20 ou 1,50 mètre,grace en panle, au progres der ereclronlque : tetes etdérnodulateurs de plus en plusperformants,

et?Ii4g!!!!utqdestirLé à nos lecteursalgériens, marocains et

que celles théoriquement prévuespar les orgadsmes nationaux ouinternationaux de ditf usion,comme I'lntelsat ou Francerelecom qut strpuhlenqnotanrrnent Ia premiere citée, quedes antennes de I'ordre de 2 mètresétaient nécessaires à Tunis et à

La pratique est différente dans ce!2 capitales, où I'accès aux satellites

Alger.

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g= n arrivant à Alqer et Iorscru on,E; Ieve Ies yeux iers les toits etteûasses de la ville blanche, Ieregaid est immédiatement attirépal des forêts d'antenne VHF-UHF installées sur un rotor, cequi peut sembler paradoxal pourun pays ne disposant que d'unseul réseau VHF (RTA) en ban-de III

Alors, à quoi peuvent servù cesinstallations sophistiguées com-pren.ant 2 antennes suivies d'unpréâmplificâteur large bande 40-800 MHz ?... Eh bien tout cet atti-rail sert à capter les chaines detélévision françaises mais aussiitaliennes et espagroles.

Oui, mais voilà, la réception detoutes ces chaines heftziennesest cap cieuse, c'est au bon vou-loir de cette dane météorologie,un coup j'te voie, un coup j'tevoie pas.. .

En général la ( propague D estsurtout bonne du p ntemps àI'automne dès que Ia grandebleue est inondée de soleit. C'estainsr gue le téléspectateur âlgé-rois peut suivre A2, FR3, etc.,depuis les émetteurs du littoralfrançais : Marseille et Nice ou deCorse, Ajaccio.

Nous savons que Ia réception àlongue distance, en I'occulence750 1(m, est erratique : elle peutsoudainement s'évanouir enquelques minutes et cela en pleinfilm. ( C'est plus frustrant qu'unecoupure d'une émission sur TF 1ou la 5 par la pub. ) nous confiaitun téIéspectateur et de poursui-

vle ( les mois de mai à septembresont les meilleùrs, la réceptionest quasi permatente, toutefoisavec des qualités d'image trèsfluctuantes en niveau r.

Comme bien d'autres téléspec-tateurs, Rachid a les yeux rivé6sur la ligne bleue de la Méditeûa,née,.. et connaît âvec pertinencela solution à ces maux? I'acquisi-tron d'une antenne paraboiiquecâptant définitivement iâ télévi-sion françâise..,

;' 'éû'Jssio,ir desj:}ss'ê.&{lisri

(Lr ur Ies hauteurs d'Alger,É..'Hydra, quafcier résidentiel,apparaissent les premières para-boles, celles qui font 2 mètres etplus. ( Au début, c'était surtoutpour câpter TV 5 et les autreschaînes émis€s par le satelliteEUTEI-SAT I IrL.. Mâis mainte'nart, B0 % du marché de la paÉ-bole est axé sur les systèmesTELECOM I D.

Î'&-i,Ef Oil,T.f, Je ['oixeie Ja ,r:"a;ec*

'lil semble en effet que M6 et Lai!,cinq (ainsi que Canal J via IB)soient beâucoup plus demandéeset... appréciées ? que TV 5, IaRAI, SAT I, SKY ou la RTVE... Cer-tainement un pioblème de lan-gue, en partie. Il ne nous appar-tient pâs, nous, magazine d'é]ec-tronique, d'émettre des juge-ments sur telle chaine par Ép-

Ês:ats; dua;s/t;ids s,tué à aoo xn àu suÀî-ager. on remarq;; ieteiaiion ae àpàrabole, vu ]e sne P2a N). Laquatité d imageoblenùe yoùs est fournie paria mnercpér<te par la mèntiôn AWC-HVS.

Vue d une parriè de nôs hovens.Bécèprion de 1é|écam 1 A à'Riadh El Feth.

port à une autre, toutefois lesresponsables de TV 5 peuvents interroger sur ce constat...

Ici, à Alge! ou Tunis, onregrette beaucoup que TELE-COM I ne diffuse pas I'ensembledes chaines frânçâises. On attendavec impatience lâ chaite musicale ainsi que Canal Plus ! et leretour de Canal J, avec espoû decapter prochainement Ia Sept,..tout un ptogramme,,.

Si les questions sur l'aspecttechnique fusaient de toutespafts, d'autres, sur les chaines etleurs moyens de diffusionn'étaient pas en reste, colnlne( pourguoi Tv 5 n'est Pas diffu-see par TELECOM ? A quand lachaine de I'information ?... etc.

Un rapide sondage auprès des( parabolisés , met eû évidenceque le choix du programme dusoil est réglé comme du papier àmusique, La 5 ou M6, sauf s'il y aun bon ïilm en ftançais on unmatch de football sur la chainenatiotale.

Voilà quelques aspects sur Iaréception satellitaire recueillisdans la grânde métropole qu'estAlger. Notre choix sur le pays aété influencé pâr le fâit que I'Al-géde est Ia seule nation dumaghreb où Ia réception n'estpas soumise à des autorisationspréalâbles. En revanche, desdroits de douâne s'élevant à100 7o y sont pe!çus. En Tunisie,

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la réception des satellites de TVdevrait être prochainement libé-râlisée. Mais maintenant entronsdans Ie vif du sujêt.

IJes &i';J€,â ù!-.:r f.yésdr'fféren r;s suiramt Jessites

T es diffélentes possibitités deii-r réception des châines de télé-vision françaises et européennessont conditionnées par Ia confi-guration particulière de I'Afriquedu Nord, proche de l'europe enTunisie et au Maroc, plus étoi-gnée en Algéde et évidemmentâu fur et à mesure que I'on sedirige verc le Sud marocâin, tunisien et algé en.

Avec cette configurâtion, par-fois paradoxâle - exemple : Tan-ger bien que située à quelqueskilomètres de I'Espagne, capteplus difficilement les signauxsatellitâires qu'Alger-, les satel-Iites français, européens ou inter-nationaux de TV qui émettent enbande Ku avec un puissanceégale - 20 watts - présententdes faisceaux pouvant ûe pasêtre destinés à lâ couverture decette partie nord du continentafricain.

Des faisceâux à couv€rture pâr-ticulière suivant les sâtellites

Les satellites d'Ëurope, TELE-COM I A et C, EUTELSAT I FI-2

Réæption .le Eutelsat 1 F1 difiusânt Tvs.

et 4 INTELSATV Fn et prochainement ASTRA, voire TDF 1?concentrent ou concentrerontleur énergie sur I'Europe del'Ouest avec des iso-PIRE*décroissantes plus ou moins rapi-dement selon le diamètre - gain- et Ia forme de l'antenned'émission utilisée. Ces paramè-tres d'antenne déliwent un Iais-ceau - une sorte de cône - quiinflue directement sur la pite cen-trale et sur I'importance des déc-croissances des iso-PIRE.

SIJ !'.SI'$-i.]r'r- r' :l'é:rt e-tgTe éiale *

I a décroissance des signaux,lGs des satellites EUTELSAT I FIF2 et F4 (ECS 3 ayânt subil'échecdu lanceur Ariane), est limitée,par l'emploi d'une parâboled'émission ayant un angle d'ou-verture de 3,7 ô et un gain de33 dB. Cette configuration àl'émission concède qu'une ( pet-te, de signal de I'ordre du déci-bel à Marseille, pourtant distantede 1 000 km du point de visée -fv - soll une PtHlt tocàlemoyenne de 45146 dBW, permetI'emploi d'une parabole de 90 cméquipée d'une tête et al'un polad-sateur dont le bnrit ajouté n'ex-cède pas 1,6 dB. Le tout étanttraité avec un démodulateur dontle seuil est inférieur à 7 dB.

Les signaux d'EUTELSAT I neperdent ensuite ( que ) 2,5/3 dBd'intensité jusqu'à Alger etTunis, respectivement situées à1 700 et 1 800 kû du Pv, soit unePIRE locale proche de 43 dBW ou

3,5 dB à Alger et - 7 dB à Tan-ger et 11 à Maûakech (Maroc),ou encore 10 à la pointe sud dela Tunisie, située à 2 400 km duPv.* De surcrcît la liaisan descendante deI Intelsat V F 11 ùésette ue PIB,E irtéieû|e à ælle ûæùée à sôn entrée opéra

Nous ne nous étenderons pointsur le faisceâu Est de I'EUTEL-SAT I diffusent RTL +, qui aûosela Tùnisie et la partie Est de I'Al-géfie. PouI foumir une indicationsur la réceptior de ce faisceau,se reporter à f illu6tration - mire- phse à Tunis sur une antennede 1,50 m (- 4,5 dB du pv).

Ouant au sâtellite INTELSAT VF 11 et son faisceau Est - CNN-, il dessert surtout la paltieNord-Ouest alu Maghreb. Nousne possédons pas de documentssi ce n'est des éIéments contra_dictoires. La mire de CNN, voirphoto, a éte prise à Alger depuisune pârabole de 1,50m. Préci_sons que Ie faisceau Ouest* duditsateilite n'est pas exploitâble,meme avec une antenne de1 , 8 0 m .

Réæptian du laisæau est d'Eutetsat 1 F1ên Tunisie. L image est parfaitè.

Mne d une chaine ttansmi.e partesatellite Eùtêlsat 1 F1 càptéedans teSaharaà - 7 dBdu potôt de visee,Rèceptian avec une pàrabote dê 1,aO m.

Mne de ta Cinq à Alger.

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Zare de ,où er1ù e . le , rd re l r les Eùr . /s - r IT I -T- t4

Couverrure du faisceau Ié|écôh I A et C Contôlrs mesûrés de / ân tenne .t éûissian

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i : ieddvi'so_qggr qafefJ!ôe er! Afreque dlj dtofld

TELECOM 1 A-C :un taisceau pincé

La décroissance des signauxdu satellite français TEI-ECO-M I A, objet unique de mesule etI C, est plus marquée, comme lefut par ailleurs I B.

Toutefois, les sarellites TELE,COM I A (B) et C présentenr res-pectrvement une PIRE moyennemaximale

supédeure sur le teûitoire ftan-çâis, à celle de l'EUTELSAT.

A titre de renseignement, noussavons que plus au Sud du teûi-toire, un réflecteur de 75 cm (off-set) suffit, comme nous I'avionsdéjà précisé dans Radio Plansnuméro 478.

Un essai ponctuel, à titre anec-ooclrque, nous a permis de cons-tater d'une palt, que les signauxde TELECOM 1A s'éteignent surune antenne de 60 cm à hauteur- grosso modo - du 38. N sis enMéditeûânée et d'autre part, quele recoupement des signauxd'EUTELSAT-TELECOM, à inten-sité égale, s'opère égalementvers cette latitude,, 38/39. N.

Revenons au faisceau TELE-COMIA qui perd en ouveture

5 dB de ta poinre Sud de IaCorse au littoral proche de laKabylie (Câp Boursaroun) situé à1200 km du Pv soit - 8 dB autotal en ouverture et 10, en

Ouant à 1â PIRE, eIIe est prochede 42 dBW dans cette partieextrême Nord du Maghreb. leCNET nous précise que tecontour 41 dBW est tângentaux capitales de ]a Tunisie et del'AlgéIie. Cette vateur communi-quée concernait le satetlite TELE-coM r 8 . . .

Au-delà, vers le Sud, nous nepossédons pas de documentsofficiels sur la zone de couveltu-re, en revanche nous disposonsd'éléments portant sur le gaind'antenne - contours - donnant

15dB aux environs d'Oran et20 dB du côté d'Oudja, Maroc.Nous attirons l'attention de nos

lecteurs sur le fait qu'il s'agitd ouverture et non de couveture.

La notron d'ouverture corres,pond aux contours, mesurés enlaboratoire, des ântennes d'émis,sion, l'une pour les cânâux pailset l'autre pour les impâirs, donton applique les résultats sur unecate géogrâphique.

de 51,7 dBW(52,4 dBW) et estimée supérieureà 52 dBW au C.E.T.S. de MuI-house situé à 200 km du Pv, soitun signal nettement supérieur àcelui produit par les engins de lafamille des EUTELSAT (jusqu,à+ 5 dB confirmés par Ie CNET).

Ce confort de signai dû à ungain d'antenne élevé = 40 dB,produisant un faisceau pincé -2,60 X 1,5. -permettrâit théoquement I'emploi d'une paraboleayant un diamètre réduit de moi-tre par rappot aux satellites deI'EUTELSAT I, si la différerceétair de 6 dB.. .

Notons qu'en ( cudosité deiaboratoire r Ies suppositionsmentionnées ci-dessus sontatteintes avec un F de 1,3 dB etune pârabole de 45 cm, dâns leNord-Est de la France.

En passant, nous rappelonsqu'il faut 60 cm, actueliement,dans les meilleurc sites français(F = 1,7 dB).

Avec ces paramètres d'émis-sion, les sigDaux de TELECOM Is'affaiblissent plus rapidementque ceux de I'EUTELSAT soit- 3 dB en ouvetture ou - 4 dBen couverture à la pointe de laCorse ainsi qu'à Biaûitz.

Un premier commentaire pourconstater que malgré la décrois-sance plus marquée du satelliteTEIECOM I, 1â PIRE esr toujours

CNN sur le liftoralAlgétô marocan.

tique

379OF frânco) 499OF (ranco)

mênrvc ÀLilrPcY . onoe Éàrê tr , o ia b,e 'ê d ree d€ \,êr Fr. orc-,s à r ê i , , o H r r r P s C 1 _ r d € . d b - , - . ' . r â ' ! e s t Êô ' rmes. à /à9rê s p 'o re55 io . r r . , f i dê ;bcae

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Bien que nous informant sur ladécroigsance des signaux, lanotion d'ouverture t'est pas, enpratique, réaliste, seule la zonede couverture, comprenant Iedépointage de l'antenne d'émis-sion du satellite en orbite, doitêtie retenue.

Avant de cloie cette premièrepartie consacrée à des aspectsgénérâux et à une approche théo-dque, intéressons-nous auxzones de couverture des futurssatellites ASTIIA et lDF I, enAfiigue du Nord.

Pour TDF I, Télédiffusion deFrance tâble sur un 50 dBW àAlger ou Tunis, pour un signal à- 10 dB en ouverture. Toujour6en ouverture, nous relevons

s'ur une terraæe, prèê d Oujda. unepaâbôte de 1,8o û captant /es sate/rtesEutelsat I et le taisceau est de

- 20 dB à Tanger et - 30 dB àCasablanca et à la pointe Sud delâ Tunisie.

En ce qui concerne le satelliteASTRA et sa nouvelle zone decouverture, la SES ou SociétéEuropéenne de Satellites, précisequ'il faudra des antennes pro-ches de 1,50 m à Alger ou Tunis(43/45 dBW) pour seulement60 cm au centre du Jaisceâu(52 dBW).

En conclusion, nous cotstatonsque les pays du Maghteb sesituent en bordure des zones decouvertuie (parfois en dehors)entraînant des PIRE plus prochesde 40 que de 50 dBW, exceptionfaite pour TDF I, ce qui impliqueun matédel adapté cornme nousle veûons dans Iâ secondê partie,

S. NUEFFER

/,WF$$Dupleneurs TEKELEçcoit4P0^SAtvrs

La gamme des duplexeuFTEKETEC COMPOSANTS permetde répondre aux besoins desapplications radiomobiles :- Gamme de f{équences:35 MHz à 470 MHz.- camme de puissance : 10 w à120 W.

Dans le but d'améliorer les per-formances, I'adaptation et la miseau point des filtres desduplexeurs TEKELEC COMPO'SANTS s'effectuent grâce à descondensateurs céramique ( HighO D, des condensateuF ajusta-bles ou des éléments d'accoldhyperftéguences fabrigués parTEKELEC COMPOSANTS dansson usine de Pessac.

Deux technologies différentessont actuellement disponibles :

MODÈLES A CAV1ÎÉS I{ORZI-ZONTALES :

Le séde ( H ', à cavités hélicoi-dales horizontales, est une sériemoyenne puissance. Réaliséeavec des filtres type ( réjectionde bânde r, elle est destinée àdes utilisations aussi bien dansles stations de base que dan6 le6postes mobiles,

MODËLES I\TINIAIURÈS ACAVITES VER'TICALES

La série ( V r, à cavités hélicoi-dales verticales a été développéepour des applications dâns les-quelles Ie volume et le poids sontdes facteurs impoftants, commepar exemple pour les radiomobi_les portables. TEKELEC COMPO-SANTS propose aujourd'hui unduplexeù 450 MHz d'un poidsinfélieur à 150 grammes.

( V r comprennent des filtres det)?e ( passe-bânde )) adaptésaux problèmes de filtrage destêtes HF, et résolvent lea incon-vénients des émissions palasitesharmoniques des émetteurs,

La série ( V r est surtout desti-née aux iadrotéléphones cellulai-res; RADIOCOM 2000, NMTmobile et potable.

PRODIJITS EN COURS ]DECONCEPTION

TEKELEC AIRTRONIC disposedans son usine de Pessac d'uneéquipe importante d'ingénieursqui travaillent sur des étudesdestinées à répondre aux besoinsdes procharnes années, commepâr exemple un duplexeur pourle 900 MHz ou pour la BANDEVHF A/8.

D'autre paft TEKELEC, cher-chant à tirer bénéfice de sonexpérience de plus de dix ansdans les condensateurs cérami-que et Ies produits hyperf!équen-ces, commence à étudie! desRESONATEURS et des FILTRESCERAMIOUES.

ÎEKELEC COMPOSANTSaiiÀ .lôc RnlvÀrac

Rue Ca e-Vernet92315 Sèwes CedexTéL :45 .34 .75 .35

Grâce à la maîtdse que TEKE-LEC COMPOSANTS a acquisedans le couplage par éIémentslocalisés (c'est à dire avec descondensateurs et des inductan-ces), les duplexeum de Ia série

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'est à la lin du siècledernier que Jacques etPierre Culie montrèrelt

_ que certains corpscristalliN possédaient là propriétéde convertir de l'énerqie mécaniqueen énergie électrique etréciploquement, En comprimantpar exemple un clistal de quartz, onpouvait faire apparaître descharges électriques sur $a surface ;ils baptisèrent ce phénomène lapiézoélectricité, du grec ( piezein }),presser,Aujould'hui qne grande variété decomposants électroniques etélectroasoustiques, ainsi que descapteuls qui gxploitent qetteptopdété, ont envahi de nombreuxdomaines de latechnique : buzzers,hydrophones, allume-gaz, capteursde pression, thermomètres,rèsonateurs à quartz, miiïophones,Iiltres, haut-parleurr d'aigus, etc.Nous parlerons tout d'abord desphénomènes physiques qq!!égisselt la piézoélectridté pou!nous attacher ensuite plltsparliculièrement aux priincipauxcomposants que rencontrcl'électronicien : les quartz, lesfiltres céramique$ etles jfiltres àondes de surfase,

e phénomène physigueappelé piézoéledricité â tout

d'âbord été découvert dans descorps se présentant sous formede gros cristaux d'une seuleptêce ou monocristaux. Cesmonocristaux sont composésd'ions, c'est-à-dire d'atomesayant des électrons manquantsou excédentaires, ce qui leurconfère une charge électriquerespectivement positive ou néga-tive. Du fait de la répulsion ou deI'attraction électrostatique de cescharges, Ies ions se positionnentselon un motif géométrique tridi-mensionnel identique dans toutle cr istal : le réseau d' ions estpériodique dans I'espace, c'est-à-dire que la même ( maille D éié-mentaire se retrouve de procheen proche,

Suivant Ia taille et les prop é-tés éIectroniques des ions qui lacompose, Ia maille éIémentaiiepeut prendre plusieuts formesgéométriques particulières:cube, paraùélogramme, prismehexagonal, etc, L'empilement desmaiÙes se traduit sur le cdstâlcomplet par des propdétés desymétrie (par rapport à des planset des drcites pârticulières appe-lées a:aes principaux du cristal)et par I'orientation des facettesexternes du cdstâl.

Les considérations de symétrieont permis âux physiciens declasser les c staux en ( classesc stallographiques '. A I'inté'rieur d'une même clâsse, les cds-taux ont une maille de mêmeforme et des prop étés physi-ô , , â< êômh l . h tô .

La piézoélectricité est une pro-p été liée à certaines classescistallographiques ; quand un

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cristal possédant les symétliesadéquates est soumis à une con-trainte mécanique, compressionou cisaillement, la défomâtion deIa maille cristalline éiémentairedéplace les ions chârgés positive-ment Par rappolt à ceux chârgésnégêtiveûrent. Ceci provoquedâns Ie réseau cristallin I'appad-tion d'un champ éIectrique dû àIa déformation, ce qui se traduitpar I'accumulation de chârgesélectrigues sul les faces externesdu cristat; si ces faces sontmunies d'électrodes métalliques,ces charges peuvent s'écoulerdans un circuit électrigue exté-deur relié aux éIectlodes: onobserve une conversion mécani_que/électrique (figure 1).

Ces mêmes cristaux possèdentIa prop été inverse: un champéIectrique appliqué âu cistelmodifie l'équilibre des chargreséIectriques dans la maille élé-mentate, ce qui déforme celle-ciet se t!âduit donc par une défor-mation globale du c stal. Cettedéformation reste faible, cefies,mais peut provoquerr lorsqu'eÙeest contrariée, des contraintesélevées.

Cette piézoélectricité desmonocristaux â été exploitéeprincipalement sur Ie quaftz,mais on utilise également beau-coup le niobâte de lithium et letantalate de lithium. l,es grands

\ j J : ;

Assottiment des cônposants piézoélectriques.

Converôion mécânique/éleclrique

Conversion électrique/mécanique

C'est âinsi que l'on a vu apparaÎ-tre des céramiques piézoélectriques (PXE ou PZT par exemple)qui sont à base de zirconate tita-nate de plomb. Ces coips ûainte-nant très courânts et lelative-ment bon marché sont obtenuspar ftittage, c'est-à-dire par cuis-son d'une poudre fortement com-p mée.Ils sont duls et chimique-ment inertes, ce qui les Èend trèsfâciles à manipuler.

Enfin on connaît depuis quel-ques années des mâtières plasti-ques piézoéIectriques comme lePVF2 (polyfluorure de vitylidène)qui sont des polymères dont leschaînes moléculailes sont orien-tées à chaud par étirement etpolarisation éIectdque lors deleur Jâbrlcation, Ces nouveauxcomposés piézoélectriques peu-vent se présenter ell filins minceset souples et montrent un fortcouplage électrique/mécanique.

.tes ûr âi?sducfÉuïs

l- â première applicâtion de Iai1-, piézoéIectdcité est, bien évidemment, la conveGion d'éner-gie électrique en énergie mécâni-que et réciproquement. Les com-posants effectuant cette opéra-tion sont nommés transducteurs,Le fonctionnement d'un trans-ducteur peut être statique (trans-felt d'une glandeuI électdquestatique en grandeur mécaniquestatique) ou dynamique (il s'agit

monocristaux utilisés sont soitnaturels (quat-tz du B!ésil parexemple) soit cJbtenus aftificielle-ment en laboratoire. Les cher-cheurs se sont aperçus que I'onpouvait également observer I'ef-fet piézoélectrique sur des coDsqui n'étaient pas monoc stallins,mais composés de microc stauxpiézoélectriques que l'on oden-tait tous dâns la même dùectiondans le processus de fabrication.

Conve6ion mécânique/électrique : une conkâinte appliquée au crislâl {compression- sxtsnsion ou cisaillement, suivânt I'oriêntâtion des facês libros pâr rapport âux âxesprincipaux cdslallographiques) fait apparaltre dês charges électriquss sur les électro-des. et donc une difiérencê de ootêntiel V au borne clu cilcuit extérieur.Conve.sion électdque/mécanique : une tension U appliquée êu moyen d'un générâ-teur provoque un champ électrique E dans le cristal; la déformaton de lâ mâ:lleélémentaire quo cela provoque se traduit par une déformation clu cristal. (compres-sion-extension ou cisaillement, suivânt I'orientâtion).N.B.: Sur les figures, les défomâtions du crislâl ont été volontairêmênt lrès sxagé-

Figurc 1 - L'etfêt piézoélècttique dtæt et iôversè.

v -

RA

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alors. de vibratiors ou d'impùl-srons),

. Les .transducteurs stahques àDase de ceramrques piézoélectri_ques servent principalement lors_qu'il s'agit de provoquer desqepracements micrométdquesconrlnus, corrrrne par exemple ledeplacement dun petit obietdevant I'objectif d'un microscopea rort grossFsement.

tes transducteurs dynamiquessont beâucoup plus connus dugrand public. Citons tout d'abordI'allume-gaz piézoélect gue quiest constitué p ncipalement d'unpetit baûeau de céramique quevient frapper un mârteau. L'utili-sateur, par pression du doigtbancte un ressort qui, libéré enfin de course, pousse le marteaugui ftappe lâ céramique : I'impul-sion mécanique est convertie erimpulsion électrique. La fotte sur-tensron qui apparaît sur les élec-trodes de la céramique provoqueune étincelle gui allume te gaz.Dans la même catégo e destransducteurs dynamiques serangent les haut-parleuls, micro-pnones, sonars et autres trans-ducteurs ultrasonores,

Dâns un microphone par exem-ple, I'onde sonore, vibrationmécanique de 1'aù transfert unepaftie de son énergie (selon laqualité de l'( adaptation acousti-que , de Ia céramique à I'air) autransducteur qui Ia conveltit envibration élect que (tersionalternative) de même fréquerce.Dans ce cas précis, poul que lemicro soit fidèle, il faut que saréponse dépênde te moins possi-ble de Ia fréquence. Pour que saréponse en fréquence soit plate,Ia céramique ne doit pas présen-ter de résonance mécanique ouélectrique ou du moins celles-cidoivent être très amorties. Il enva exactement de même pour leshaut-parleurs d'aigus où ie trans-lert d'énergie se fait dans Ie senséiectdque/mécaniqùe.

Dâns le cas où il n'y a aucuneexigence de fidélité pârce qu'onn'excite le trânsducteur qu'à uneftéquence fixe, on tire au con-traire pafti du phénomène derésonance: Ia céramique estconstiuite pour p!ésenter unerésonance mécanique à la fré-quence de travail. Les plus grân-des amplitudes du déplacementmècanique âutour de cette fré-quence favodsent le transfert

meûts r- une capâcité C0 dite ( palallèle ) qui estla capacité entre ôlecttodes que I'on aurâits'il n'y avait pas d'effei piézoélectrique,- un circuit résonant ( série ) cornDoséd'une câpacité Ct, dbne inductance i1 etd'une rébistânce R1,

Ce circuit rcnd compte de l èffet piézoé.lechioue.

. L'iftpédance we entre les bornes du dipôle peut âtre déconposée en urc somme deoeux rcrûe8 I- un terme dftcirarÏ nots Zd qui rcnd compte de la conâoûûation i!'energie par lediÉlè i cetæ consomnation est soit d'origine électdqu€ leffei Joulel. sàiq iprCsconversion electriqu€/mècanique, due à des câuses mécâniquê8 | Itotlemênts dans Iamâille caistalline ou, et c'est I'effet rechetché dans les tranlducteurs, rayonnement

- un terme reastijnoté Z, qui dèdit le slockagê pâr lê dipôle dê l,ènergie quê cêlui.cine consomme pa9lelfatde type ( capâcitit, ou tr solfique ,),

Chacun do cês teûtês est une fonction de lâ fré.fueæe et d€ la valeur des élém€nts C0.&, L! lr Erl utilisani la notation conplexe chère aux élechonicieN on peut écrireI'impédânce Z du dipôle sous lâ lolm€ : Z = Zd + jZ, oir j2 = l.

Annexe 7

Le schéma électrique équivalentdu résonateur piézoéleæriqueLo$que I'on conÊidère Ie resinateur oié-

zoélectrique coûh€ un dipôle, on peut, auvoisinâg€ de lâ résonance, assimiler 6oncomportemsni à celui d'uû circuit élèckique passif équivâlent, Le schéma èquiva.lent le plus utilisé campone quate élè-

Lorsqu'on tlace dans le ( plan com.plexe r le ( lieu D deZ, c'est.à.dle I'ensem.ble des points do l'alscisle (axe des X)ost donnée par Zd on obtient un€ coutbecaôctéristique.

Dêux cas typiques peuvent se présênter,telon que I'on elt eû présence d'un té60tra.teur électriquo âuquel on demânde unerésonance trè6 ( pointue, (câ6 du quartz)avoc la plus petite dissipâtio! possible ouâu colltlaire celui d'un transducteur où ladissipalion sous forme de râyonnementdoit êtle optinâle.

Cas du quartzAutout de la réÂonancê, la valeur de R1

est négligosble devant celle des autes élé.ments !érie : le costfcient de qual é A eatgtand:O = Lr 2 jr, f,/Rr ori f. elt Ia fréqrênce dere30nance.

Pour uno Iréquence f petite dêvânt lafréquenco f, de résonance, le tésonâteû seconpolte comme uûe câpacité de vâleur C0 + Cl Au vohiûage dê la réBonance, la courbedédit une boucle quâsi circulaie. L'irnpédance vârie très vite dans un p€tii intervallede fréqueûce, passant pa! deux val€urs où elle êst strictenent tésirtive, c,o3t.à.dite oliZ, est nulle. La promière de ces valeurs conespond à la héWence de É,sonancê 1,. Acette ftéquence, Z est peu dilférente de Rt !ésistance de laiblê valeur, L'aut!ê valeu!conespond à Iâ fréqlrerca d'antfuésonance h oùZ = llR1C0. 4 r?, f, plus le aoetficiont dequâlité 0 est $ând, plus le diâmètre du cercle est grard,

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Le cercle est dé6it pour urc variation de lréquence petite (noins de 1 %), Pou! desfréquences grândes devani f,, le résonateur relrend Ie comportement d'une capacité devaleur Co.

Lorsque le quartz est monté dâns un oscillâteur,l€ circuit éledronique qui I'environnone peut entretenir I'oscillation que si le quartz lui ( moDtre r ltne impédânce de vâleurlaiblement réâctivê {donc Z est proche de I'axe Zd) et une composânte Zd ou très fâible(oscillâteur travailllant sur la résonance) ou au conttaire trè$ gÉnde (oscillateùr surI'antirésonance). Comme I'impédance veJie ttès vitè dats laboucle I'oscillation se lera àuûe ftéquence hès proche de fi ou de 1,, suivârt le typê dê l'oscillateur, L'oscillateur serado c synchrcnisé pat le q)ùtz,

Cas des transducteursDans le cas des transducteurs, on favorise la conversion d'énergie électrique en

énergie âcoustique. Le transdusteur va donc dissiper de l'énergie en layonnant uneollde âcoustique vers le milieu extérieur, 0n ne recherche plus comme pour Ie résonâ.teur à quaJtz une composante réactive de grande âmpliiude, variânl râpidement sur ûneplage de fréque&e réduite, mais au contraire une composanie dissipâtive sur uninterva.lle de fréquence conJoÉâIlê. La courbe d'impédance garderâ la même ellulegéûélale, mais la boucle est plus réduite et de diamèhe plus lâible car le coetticient dequalité O sera ici beâucoup plus petit.

La diminution de lâ boucle décrilje parI'impédânce a pour conséquence en géné-râl $r'elle IIe coupe plus I'axe Zd et qu'ellepr&ente alots unè composante capâciliveimponante quelle que soit la fréquence(courbe en trait plein). le hansfert d'éner-gie du générateur vers le tiansducteû sedégrade alors du lait du déphâsege tension/courant rx bohes de celuici,

On a lour remédier à ce délaut recoursau stbterfuge suivaît I on connecte enparallèle sur Ie fansducteur une induc-tance L0 qui ( compenle I Co à la lréquênce

L0 s'accompagne inévitablement d'unerésistarce parâsitè R0 qui représente lespertes obmiquer de la bobine et l'ânrortis.semelt dù au circuit d'excitation. La courbed'inpédance devient syûrét.ique par tap.port à l'âxe Zd si I"oCo = LrCl ei à la fré-quence de tésonance t, Z vaut iRoRr/{Ro + Bn.

Autour de f. le déphâsege tension/cou.rônt reste réduii (courbe en pointillés) cequi âssurè un bon rendemeDt, L'ensembleL0, R0 est en fait souvent un trâDsformateurou un autotransformateur qui relie le géné.rateur au tnnsducteur,

d'énergie verc le milieu (at oueâu Par exemple) où I'onde émiseou reçue se propage. Au voisi-nage de Ia !ésonance, Ie trans-ducteur est ( !'u D par Ie circuitélectrigue auguel il est cornectécomme un composant dont lecomportement est semblable àcelui d'un résonateur électdque(voù annexe encadré 1). On ârecours alors à des circùits élec-tdques analogues à ceux qu'onemploie pour I'attaque de résorla-teurs électriques : réseaux âyant

suivant Ie cas une très fote ouune très faible composante résis-tive, transformateurs, etc. Ren-trent dans cette catégorie decomposants piézoélectriques lesémetteurs et récepteurs ultraso-nores utilisés pour les télécom-mandes, les sonars Pour la détection sous-ma ne, les buzzers...

Le catalogue de ces compo-sants s'accroît rapidement et leurpdx souvent modique les destineau marché de la gnnde consom-mation.

L intétieur d un quaftz.

Les transducteurs ne sont Pasà proprement pârler des compo-sants électroniques puisqù'i1sassurent la ( frontiète ) entreI'électricité et Ia mécanique.D'autres composants çnle nousallons étudier maintenant ne sontutilisés que pour leu! comporte-ment vis-à-vis du circuit électri-

quartz, filtres céramique, filtres àondes de sulface, etc,

:;i a ' ..r i:..j r,j:r '

' es quartz sont les composants: piézoélect ques les plusconnus de l'électronicien. Ce sontdes monocistaux qui préseûtentdes vibrations mécaniques très( pointues , : le cdstalpossédantune structure géométdqueinterne très ordonnée et Ie tauxd'impuretés dans la maille clistal-line restant très faible, i] y a peude frottements mécaniques inter"nes lors de la vibration. Celle-cine s'amoltit donc que très lente-ment au regard de ]a période dela vibration. Le quartz est par

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aiùours piézoéIectlique : I,oscilla-tioû mécanique peut êtte excitéeet entretenue par voie électtique.Autour de la fréquence de rèso-nance mêcanigue du c stâ1, I'im_pédânce électrique vue entre IeséIectrodes déposéeê sur celui-civarie très rapidement et dans detrès grandes proportions (voirl'encadré ( le schéma électrioueéquivâlent du résoûateur Diéz;é-lectdque )). Du fait du trè; faibleaûortissement propre - le coef-ficient de qualité O peut s'éleverà plus de 100 000 - er du cou-plage piézoélectrique, les quartzont été très tôt utilisés pour svn-chroniser des osciuateuri électro-nigues, aux teûrps héroiques dela triode. Sous certaines condi-tions électriques Ie résonateurconfère à I oscillateur dans lequeliI e6t incorporé sa grande stàbi-tité intrinsèque.

La ftéquence d'utilisation testedans des limites très étroitesautour de la ftéquence de réso-tance du qua*z ot les dérivesdues au vieillissement et auxfluctuations xhelmiques se rédui-sent pratiquement à celles duquartz. Il va sans dire que denombreuses études ont étécotsacrées au vieillissement desrésonateurs, dri pdncipalement àle migration lente et progressivedâns les ûrailles du cristal d'im-puretés ploverant Ie plus sou-vert des éIectrodes métalliquesd'excitation. La dédve en telrpé-ratule de Ia ftéquence, quant àeùe, dépend de l'o entation desfaces de la lanre du résonateurpar rapport auK Éules cristallogra-phiques ; le choix de Ia ( coupo ))du quartz est un délicat comprc-mis ertre Ia plage de tempéra-ture utilisée, l'écart maxiroal defréquence et la facilité de fab ca-tion.

Notons également que ladérive thermique peut êtte ren-due propodionnelle à la tempéra-ture ce qui permet de réaliserd'excellents themomètres : lafréquence d'oscillation est corn-parée à une horloge de réfélencece qui permet pat comptagedirect Ia digitalisation de la tem-pérature.

Les oscillateurs à quartz seprêtent bien, comme nous I'avolrs!'u, à la réaliaation d'étalons defréquence. Mais lâ stabilité intrin-sèque du quartz ne suffit pes tou-iours : dans celtains cas on chet-

che à supprimet ou à compenserles dérives ésiduelles. La sup-preêsion de la dérive thermiques'obtient par exemple en enfer-mant le résonateur ou tout I'oscil-Iateu! dans une enceinte ther-mostatée ; ce procédé préserteI'inconvénient d'être souventencorDbrant et gourmând. Uneautre approche consiste à rendrele résonateur réglable - dansune très faible plopottion, bieûstr - autour de sa fréquencenominale en le perturbart auDoyen par exemple d'u[e diodevâricap placée en parallèle ou enséde. Cet oscillateur à quârtzcoûmandé par une tension ouVXO (pour Voltage ControlledC stal OsciUator) peut alors êtrecompense en températute si Iatension de corection de l'oscilla-telrr dép,-nd d'un éIément ther-mosensible (thermistance ou sta-bistor paa exemple) judicieuse-mert câblé. Il deviert alors unTCXO (Temperature Compensa-ted Cdstal OsciUator).

Rappelons par ailleurs poutmémoire qu'une horloge atomi,que nest autre qu'un excellentVCXO métuologique, à très Jâiblebruit de fréquence, asservi à uneraie quantique d'un atome oud'une molécule (Césium, aûmo-tuac, etc,,,

Nous ne terminerots pas ceparagraphe consacré au quartzsans mentionner les filtrer àquartz clui sont des sous-ensem-bles pedormants et coûteuxobtenus par l'âssociation de plu-

sreurs quattz conçus pour fotc-tronner ensemble : I,asêociationde leurs impédances pefinetd'obtenir des filtres d;nr târéponse en ftéquence est trèspécise et ptésente des pentestrès raides avec des largeuF rela-tives A f/fo pouvant êtle très fâi-bles. Ilê sont utilisés dâns lestéIécommunications et Dour lafabrication d'appareils dé mesu-re.

Les composantscéramiques

T es céramiques utilisées enUélectronique étânt des maté-riaux artificiels obtenus pâtmelange de poudre, leurs Dro,priétés peuvent être rnodutéès àvolonté par dosage de leurs cons-tituants. C'est airsi que I'onfabrique les ferdtes utiliséesconrme noyaux magnétiques desinductances ou des ttansforma-teurs, les aimants à haut rende-ment des haut-parleurs, les ther,mistances, les varistânces et unelarge palette de composants utili-sant I'effet piézoéloctrique. Nousavons vu à propos du quartz queplusieur6 résonateurs intetcon-nectês pouvaient, du fait de leurinteraction, constitue! un filtre,En associant des résonateurs pié-zoéIectriques céramique de prixmodique êt à faible encombre-ment, on a pu proposer sur lemarché des composaût6 simpleset très compâcts présentés leplus souvent sous etùobage plas-tique. Ces composants qui sontdes Jiltres, des résonateurs oudes réseaux déphaseurs p!ésen'tent I'avantage de ne nécessitetaucun réglage par I'utilisateur,leur impédarce et leur ftéquencede résonance étant figées parconstruction. De ce fait égale-ment, ces composants ne sontdisponibles que pour des fré-quences normalisées coEespon-dânt par exemple aux f!équencesintemédiaires radio et téIévision,aux fréquences des sous-porteu-ses audio ou chrominance, otc.

Les filtres passe-bandg se pré-sentent comme des composants( à trois pattes , (figurê 2) dontla courbe de !éponse optimalee6t obtenue pour Ies impédaûcèsde source et de charge préconi-sées par le constructeur. Oû lesutilise surtout en ladio (fré-

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1 :

quence intemédiaire pour I'AMà 455 kHz et pour Ia FM à10,7 MHz) et en télévision (Iil-trage des sous-porteuses chromi-nance à 4,43 MHz par exempleou audio à 5,5, 5,74, 6 ou 6,5 MHzsuivant Ies normes).

Un grând choix de sélectivitéset de largeurs de bande est dis-ponible principalement chezMurata qui semble êtle Ie Ieâderdans ce domaine. On ne trouveplus aujourd'hui de radios FMdont les étages de filtrage FIsoient basés sur d'autres procé-

Les céramiques se prêtent éga-Iement bien à réalisation de fil-tre6 coupe-bande. Les < réjec-teurs , ou ( trappes r ainsi obte-nus se rangent en deux catégo-ries suivant qu'ils présententdeux ou trois éIectrodes. Lestrappes à deux électrodes sebranchent entre la ligne et Iarnasse et court-circuitent Iesignal à la fréquence de réso-nance (figure 2). Plus efficaces,les treppes àtrois électrodes s'in-tercalent en 6érie et comme ellessont incepables de transmettreles ftéquences très basses et àfortio le continu, elles sont dou-blées par une inductance (figu-ro 2). Les Jiltres céramique réjec-teurs s'utilisert principalementpour éliminer les sous-porteusesaudio p!ésentes dans une bandede base vidéo.

Pour renforcer un filttage, onpeut aisément cascader les filttes

a

Figure 2 - Le bënchement dês hlhés.qamtques.

céramique passe-bande et coupe-!anoe.

D'autres lbnctions peuventêtre obtenues au moyen de cé!a-miques, comme par exemple Ieréseau déphaseur indispensabledans les discriminateurs de fté-quence intégrés des récepteursF'M: ce réseau !éalisé classicJue-ment au moyen d'un résonateurRLC ajustable existe aussi sousforme d'ulre céramique qui, bierque ne permettErnt pas les pelfor-mance6 qu'autolise Ie dispositifclassique, est néanmoirÉ guffi-sante pour les appiications basde gamme.

Citons enfin les résonateurscéramique à deux électrodes uti"lisés comme réfétence de fté-quence pour stabiliser un oscilla-teul (CERALOCK chez Murata).Dans beaucoup d'applications, ona besoin d'un composant remplis-sant Ia fonction d'un qùartz maissâns nécessairement présenter niles performances de celuici, nison encombrement, ni surtoutson p x. tes céramiques repré-sentent une solution élégante deplus en plus largement utiliséepoul la stabilisation d'oscillateurslogiques en micro-informatiqueoù une forte précision de fté-quence n'est pas nécessairementrequise.

Les dispositifs àondes de surface

f es guartz et Ies filtres cérami-|J ques soni des dispositifs àondes de volume car la vibrationse propage dans toute l'épaisseur

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*HF."

du matériau. La ftéquerce derésonance dépend âlors desdimensions du composant. Dansles dispositifs à ondes de surlâce,I'onde, comme son norn I'indique,reste conJinée au voiginâge de Iasurface d'un cristal ou substrat,Une image assez coûecte estdonnée par I'éblanleûlent gue,par exemple, un caillou lâncédanê uûe mare provoqug à la sur-face du liquide. Une onde s'éIoi-gne du point d'impact er cerclesconcentriques en ne déplaçantI'eau que suI une faible épaisseursous la surface; en profondeur,Ie liquide reste immobile. Si Iecaillou est remplacé par unvibreur à demi irnmergé, I'ondepouîa être entretenue enperma-nence et Ia longueur d'onde, faci-Iement mesurée: elle ne dépen-dra que de la fréquence imposéepar le vibreur et de la vitesse depropagation de I'onde de surface,

Dans les composants piézoé-lectdques c'est un systèmed'électrodes déposées par photo-gravure sur Ie substrat gui tientlieu de dispositif d'excitation deI'onde. Le champ élect que quele circuit électrique extérieur pro-voque entre les électrodes induit,par effet piézoélectique, uneonde mécânique de surface (voirannexe 3 encadrée). Ces électro-des se présentent comme delongs ( doigts r parallèIes inter-connectés en ( peignes ) (figu-te 3). L'onde se propage perpen-diculairement aux doigfts gui, dufait de leur disposition géométri-que périodique excitent l'onde desufface préférentiellement à cer-taines fréquences. On tire partide cette propdété de séIectivité

Réjecteu (par eremplo sous-portêuseâridio dans une ban.le de base vidéo)ve.sion à deux élêctrodês.

Réject€ur, version à trois ébcrrodes.

Fllt.e pass€-bândè, par exemple de fr&quence intô.médiaire FM à 10,7 MHz.

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dans les filtres à ondes de surfa-ce, Dans ces fùtres, un premiersyÊtème d'éIectrodes envoie uneonde de sudace vers undeudème système qui reconver-tit I'onde en signal électrique.

En multipiiânt le nombre dêdoigts de I'un ou I'autre des pei-gnes, ot augrrente la séIectivitédu filtre dont Ia courbe deréponse dépend de Ia tépartitionde lâ longueur des doig'ts Ie longctu peigne. Le design d'un nou-veau liltre à ondes de sudace seJait tout d'abold à l'ordinateur.Un logiciel sophistiqué détermineen fonction de Ia courbe dêrépon€e demandée le tracé deséIectrodes qui est ensuite tepro-dùt par photogravule stù unsubstrat d'essai. Après quelquesretouches on obtient Io dessinfinal des peignes qui déterminecomplètement les caractéristiques du filtre. Le nombre dedoigts augmente avec la bandepasêante relative du filtre (bandepassante/fréquence centrale) etavec Ia raideur de ses flancs,L'augmentation de la supediciede substrat qui en résulte et lêdifficulté accrue de sa réalisation{plus de déchets de fab cation)explique la va ation lapide desP x avec les perfomances du fil-tre.

Les filtues à ondes de surfaceont un grand succès du fait quese sont des filtres sâns téglages,la courbe de réponse étant déter-minée par le constructeur unefois poui toutes. Ils sont particu-lièrement appréciés en télévisionPour le traitement des fréquen-ces intermédiaires vision, en rem-placement de filtres LC réglable6.Dans les applications proJession-neues ils sont ext!êmement pré-cieux car ils permettent d'obtenirde fortes sélectivités tout enconservant un retard d€ propa-gation de groupe conÈtatlt, Ceretard qui caractérise le tempsde trânsit de I'entrée à lâ sortiedu filtre d'un ( paquet d'ondes tdépend de Ia ftéquence dans unfiltre classique LC, et d'autantplus que le filtre est plus sélectif.Ceci est particulièrement gênanten télévision où les informationsde luûinance (noir et blanc) et dechrominance (couleur) ne sontpas transmises à la même fré-quence. Au passage dans un fil-tle présentant un retard de pro-pagatior de groupe différentpour les deux composântes, cel-

Annêse 2

Les modes de vibrationet les partiels du résonatew à Etartz

Lonqu6. l'oû taill€ ur crbtal de quartr pou! obt Dit uo disqu, ou un bareau pa!6.!enpte,Io3 Iace$er que I ot obtietrt !e sont Dtô !éc63sâilenett parallàles âux plaD,qeren,lltes par lês ar$ cridalogapÀiqu$, Dais peuvolt prendle à volonté touter les0ri6nlation8. po$ible6. Lroriontation d€ la caupe, la forDe filals olr!ênue et la po€ldo!ale3 electrod6s d'excitation détemiDent la tréquetce de vibretlon ôt lâ naiière davib|ot, ar ûode dê dhÊtion du quartz. On distilgu€ 6h gé!éral, selon leur modê devibration, doux gmupes d€ qù&tz :- le6 quadr { basse ûéquelce D pour lerquols l€s cotrttailtss dynaûiqu€s éléEe ai.rea, compr$liotr-ext€lsion ou cisâilleoed n€ Êont pas uniforEir, lei IrâIuences dovibration rott inlérioùes à l MHz voite irfédeùrês à t0 ùgz. O! trouvo pât eronplodan; cette câùôgorie les lamos lésonâ en flexioD, dont certâins type;descênd;ntetd$soua du kilohodz,

- le! quanz 0 haute fréquence D sont de. galet!6s de Iâible épai$our vibratt oDci8âilleDent et dâû l€squelles la contehte dymmique est homogàne danr un plânpâlallèlo aux élec!rcd€s. Suivant I'orientâtio! du plan de la galetr€ pt rapport aùx ;rcrcriÊtallographiques, la variatioû de la fré$eûce do vibrâtion du quartr en iolcion de lateûDélaiure obéit à d6s lois pârticu.liàres. [.ô rorya du quârtz peut conservet dou! dogar€i ditallographiqueÊ pâlallàlet à la galstt6, ou û'en comerv€i qo,ur seul (cou!€ dite deiEprê r.,tatra!,i ou prêndte ule oriontatioû arbikain (coupe à dot blê mtâtioa),Ia variatioû relâtive do IÉquetce pat raFport à une réfétence prise pat erearpl6 à

25 .C pêut s'écrie en lolctior do la tempérâture T(l - L)Æ, = a0 + a,0 - T0) + âr{T- 1o), + a. F - T0)3où To = 25 .C €t f, €rt lâ ftequetrco à 1À

Los coupes ler plus coura$eÊ oontre d€B coutlær de vatiâtion 6n lorbe de û S tavec uD maiioue et u! EinimlE de fréquénc6. Lê poilt d'tdlexior dg ls couùe ertlbteN pour la teûNrafutu d'iùwrÊioù du quartz pour la cowe colridéréo. Ulomodlllcation do I'orisntatlo! de lâ coup€ moditie ler coèfficio s a! ar, ù et donc l,ecartf'- - Li. a:lsi que Tu et T'r,. Lonque I'ol déeire ul quattz st bL vis.à-vir ds lateûpératû€, on aalâpte lâ coule à l'écart de fn6qu€me que l,on tolèæ ot à la plsgo detoEpérôture ale lonctionreEeût que fotr a choi6le.

L€r coq)er les plus courdrte! sont les coùpæ Àtutlli!âbler au.d6$u! du ué{tahertqui lolt dos coupes à 8i&ple rctation fâciles à obtênir industriellemênt. Ler rDâ:ialistesdu quartz utllisert d'autrss coupes égslêûent, qu'otr d6rigre pa! dos lotEes, Aq Z?, oupar eremple trC qui 6st urc coupe à double rotatio! poul laquello oD a mitiDisé lorcoefiicierts & oJ tu cê qui fait que la variation de f!équence eit ;elsiblemDnt lroportioD.nello à la teûÉlature : Iô coupô Lc ae plêtê donc bGa à la r,éaigatiol de therm;iaètres,

A4

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l,a coupe du quartz et la configurâtion de rer él€.ttodes ne détermiût! Das coûDlàte.ûeDt lâ fréquence do vibration de celui.ci, Etr effoi, un nêmo quert, ptÉ;.rt6 e; phsd'un€ prellière fréquenco d6 r'lbration appelée l€ { fonrtaurental o d,airtes fréqueacesalê vibredon appeléer los pertiels 3, 5, 7, etc. et dont les val€uri sont s€n6iHe;eDt Ietriple, le quintuple, €tc. de la ftéqu€nce du tondsmehtal, pr€nona I'exemDle d'uo luartz( hâute ftéquence r vibraùt et cisaillemetrt d'épaisseu. Le déplacendt do h ;âiuocrktallino autour do si lorition moyonne peut ôtle dàrit coEma une onde atôtioDuiresinusoiidal€ dont la lotrgueur d'onde ert le prcduit de lâ vitesle de prcpagâtiot d,une

ln"llffrlsatttement dans u! crbtl.l d€ quariz itrdéfini et do lâ période I = l/f de la

) ,=vÎ -V/ l

0r los ioi6 de lâ nécâniquê iûposont que le déplaceneot soit msximal rt|t les tace6nes du cristal (là où il n'ert !âr cortrffié) et ûrl à mi.épaisseù du sistâI. E! elfet,à m!épaiss.ur que 6e situe l€ centre de gavité du quaÉz qui, du fâit que c€lulcj

nonté suspeldu dans son boltier, doit tester lûnobile,Dan6 ces conditionÊ, l'épai$ou! e de la laûe est nécessairement ég.le à ut ûultipi€

impei! de ls d6ml.lor$reur d'ondê |

e = {2n+ r) },/2 = .@21

Les ftéquences, de rqsotânce colreÂpondaùt à un€ épais6eul e donùée, sont doDc dg latotme h =Vlzo,tu = 3vl2e, fi = 5V/2e, etc,

Pour âugmenter le lréquence d'un quart, on te pout indéfinitnent diEinuor so1lépaisseur car il devi.nt fmgile et difticile à tâiller. 0rl a alom remuts eu fotctioûremetrtsur partiel 3 ou 5. Les quartz ordirairo3 de coupe AT sotrt utilisé6 do préféretco sur l.u!Iondâmental de I à 30 lltHz envirotr, sut lour pârtiel 3 de Z0 à 90 Mï2, ,û leu! pattid 5de {0 à 150 MHz,

Autou de chaque résomtrce, fondamottâl ou partiel! otr peut modélirer lê r&omt€urâu moyen d'utr cilcuit élecirique équivalont.

Loruqu'un orcillateu à tramistor rtâbili!é par qudtz dolt odciller 3ur patiiel deceluici, il contie elr généIâl utr circuit réronânt auxiliaite LC. Ce ésonât€ur rrtliâileÉglé sur Ia ûéquenc. du pdtiel choisi empécho toute oscillation !ârâ3lùe ,ur lefondameDtal ou un âutle Dârtiel.

bles (figure 3, ce sont Ies gouttesbrillantes de part et d'autte ducdstal). C'est notammeût cegrând gaspillage d'énergi@ dânsdes âb6orbants âcoustiques (Iamoitié de I'énergie éIectriquecorvertie en éneigie acoustiquepal le peigne d'émission est pot-tée par I'onde tégressive gui esttotalement absorbée) qui gxpu-que gue le principal défaut desfiltres à ondes de surface est leurimportante perte d'insetion(jusqu'à 30 dB ou plus sur lesfiltres sophistiqués).

On trouve maintenant une trèslârge gemme de filtres, Ies pdncipaux fabricants étânt Toshiba,Siemens et Murata. Lês maté-riaux utilisés vont du Niobate deIithium aux céramiques en pas-sant par I'oxyde de zinc, Suivantle type de filtre,les prix s'étagententre quelques francs et plu-sieurc milliers pour les versionsprofessionnnelles.

Les filtres ne représentent pasIa seule application des ondos desuface, Comme c'est une ondeacoustigue qui assure le transitdu signâl de I'entrée vets la sortiedu composant et que ce t'.ped'onde possède une vitesse depropagation très inférieure à celled'une onde électromagnétique(2 000 m/s au lieu de 300 000 km/s), Ies dispositifs à ondes de sur-face sont tout indiqués poul laréalisatior de lignes à retard. CeI-Ies-ci possèdent une bande pas-sante utile imposée par Ia consti-tution du peigîe émetteur et desdifférents peignes réceptoursque I'on peut dispoêer de procheen proche sur le trajet de I'ondede surface.

ÇlfP a * : * l

les-ci se décâlent dans le tempsI'une pâr rapport à I'aut!e, ce quisur l'écran du téléviseur produitun décalage ho zontal qui fait( baver ) la couleur.Dans les filtres à ondes de sur-face Ia vitesse de transit deI'onde dépend de Ia vitesse depropagation acoustique sur lesubstrat gui est indépendante de

la fiéquence : le tetard de propa-gation de groupe reste donc sen-siblement constant, si I'on prendla précaution de supprirûet lesondes acoustiques parasites quipeuvent provent par exempledes réflexions sur les bords libtesdu substrat. On dispoêe à ceteffet des gels absorbants quiamortissent les ondes indésire-

aft*rë3*tqÂ!l'n-T-r--fr/il-;

J e u .tea@ m p o sê nt s p i ézo cq a m i q t ê s

Lâ distance de propagation deI'oûde détermine Ia valeu! duretard. Ces composânts sont utili-sés essentiellement pour desapplications professionnelles. Enrebouclant la Iigîe à retard sur

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un amplificateur qui compenseles pertes de celle-ci, on obtientur osciUateut dont la fréquenced'oscillation dépend de Ia vitessede propagâtion de I'onde sur le6u-bstrât. Si I'on soumet une [gnea retard construite à cet effet àune perturbation extédeure,comme par exemple une vada-tion de température ou une con-,trainte de pression sur le gubs-

'trat, la variation de vitesse dePropagation de I'onde de surfacedue à cette pertutbation va setrâduire par une vedation de fré-quence de I'osciliateur, directe-ment numédsable par compta-ge i on aura fab qué un capteurcte températute ou de pression.

D'autres propdétés des ondesde sudace ont été exploitées au

Exèmptæ de transducteurc piézô Murata.

Figurc s - Exemplè de tiftre à ûdes de sunaæ (OFW A69 de Sienens)Courbê Aûplitudê/fréquence (O dB coffespondânt au passâge optimat)

8 æ@ n s @ &

moyen de jeux d'éIectrodes judi-cieusement disposées et qui ontpermis pour des besoins profes-sionnels de réaliser des fonctionscoûplexes dê traitement dusignal analogique, notammentdans le domaite des tadars:convolution, corrélation ou com-pression d'impulsions.

Ne terminons pas ce paragra-phe consacré aux composants àondes de surfece sans citer lesrésonateurs à ondes de 6ulfacequi sont des dipôles : un seul jeud'éIectrodes en peigle excite uneonde de sutface progressive etune onde régressive, Les deuxondes te sont pas absorbées outeconverties par un peigne récep-teur ûais réfléchies presçlue tota-lement pat des dispositifs placésde part et d'autre du peigne. Cesréflecteurs sont des réseaux deIigilês gravées appelées ( corru-gations r gui rervoient I'ordevers le peigne. On obtient un sys-tème d'ondes statiornaires à laftéquence imposée par le peigneet donc une !ésonance. Le coeffi-cient de qualité du résonateurainsi constitué peut atteindreplusieuls milliers et sa ftéquencepropre est donnée pâr l'écarte-ment des doigts du peigne. Cesrêsonateurs peuvett avoir desfréquerces fondamertales trèsélevée6 (plusieurs certaines deMegahertz), ce quipermet de sta-biliser des oscillateurs sans avoi!recours à des modes partiels ou àdes multiplicateurs de téquencecotûne pour les résonateurs àquartz à ondes de volume.

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AùDate 3

Excitation de propagationdes ondes de surtace

...1êa,ord€r acoultiquea do cudaco d. typa ûotrde6 de nayhigh r se progagêlt àr|D$mco- onuo qoux llltioux d'iDl,àlanc$ acoultiqu$ trèr différettes coDDe patoroEple I'at et uû cdrtal piézoôlechiqus. Lêut slplitud€ e6t nariDale à Ia sudaco ettlacroit etpooênti€llaEett datrr l'éÉi!s.u du qbtal ou r substat ,.

. Considércns deur élecEodes mÉtâlllques €n forûe de doigt patallàl6s déposées pâravaporatron aoua vida nlt le sub3tlaL oltre laiquelles on âpplique u|16 tensio! électri-$re D€nodlque gric6 e u! gèlarâteu! extériêur. Le chaEp élec.tlique pédodiquê siûlicéé iDduit Dar-êlf€t ptéroélecldque ute déIomatiol pàrioaiçe ae nene plrioae.ueDfanremoltdu suDitrôt va Ee propâger da|rs deùx dilactiona peryotdlculaircs eu!oraclrcdè8 an deut ofites djter d l,rogreaôive r ât { tégrcssive ,. pour une fréouetrc€d'otcitâdotr I = UT ot urs vitesse V d€ Dropagâtiotr de lbnde de sudace, celle.ci ie teladéplacéa (darls l€3 deur directiotrs) d'une distâDæ I = VT durant la pédode T. gi au boutdo ce trajet, l, I'ondo se fiouvô 6ous deur électtodes de mêre toNiion colnoctéoa ôuxdstr lr€Dièrer, calla6-d voût r€nlo&er I'ond.. Sl aù bout dê châque trsjet l, l,oDdêreDcontrê d€u! nolrvellos élecÉrode! orcitée6 en pias. âcec les précÉdgntÀ, I'ond€ vâs€ ttoùvey progterrivemani rentotcés pa! u! effet d,in EÉéreûcè coastructiy€.pot$ ùeJréqu9lce f + f, h lo[gueu! dbnde 1,,æ cobcidara plus avec l,écârtemed des doig,t clup€ignÉ. L€ décalags accumulé dê proche 6n procbe fait que l,i!!ed&€nce n,et duscotttn&tive ot qua l'orde r8stora d,amplhudo fâible. L€ peigbe ercito dotc I'otdêNeiéIlntielle,,eat à ta tréq\ênce l,

Il y a dorc un elLt dê filtrago, ûD d€uliàoe ayrtène d'élê{trodea a,su!s, pa! ê'Iêt!écilroquo, la recotversior d9 lbnde de sudrco êtr siglal électrique avec, bier èltérdu,uÀ dotxièEa affet ds filtrage qui ronforce lê prêEier,

Lbrd€ régresrivo Don uiilfuée est suppriméo âu moyen d'un gol abiorbalt placé 6ut30! tni€t et qui évit€ los efiâts pârerites dûs à ]a réflsxioD su! l'ôrtrêeité du su!t!a!.Da !ûêDê, su.delà du peig!6 ré(rpteur, uro deurCèûe barriàr€ de gel âùgorbortsuplaiEe l'orde ptlgro8sivê réridugug qui n,a pâ6 été convertie en sig!â.l électriqu€. Lâfiaquoncê citrt|elo du filtse aitsi obtêlu dépeDd évideneent de l'é6ræûent d€sdoigts du XêigD€ (do!trant ). et donc f = V^). La couÈ€ d. ÈponÂe dépsnd du noobre d6doigtr_pâr poignê {plûsigutr cettai!ês drls certâinr câr, et de h bn$eur de chacu!d'eur-(qui dÉlemlto sâ contributlon à l'j:rterféreaco). Ls fome des peigrneE ert calculéeà llordiDateût ot o[ peut prosque à volotté { Dodeler } lâ courbe de é6Àso (figure 3).

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Pour conclureT e domâine des comDosantslpiézoélectriques évolue rapi-dement et de nouveaux disposi-tifs sont régulièrement proposéssur le marché par les fabdcantsqui, dans ce domaine, font preuved'une grande inventivité. Il vadonc sans dire que ce bref pâno-rama des composants piézoélec-triques ne saurait être exhaustif- et il s'en faut de beaucoup -et que I'âvenir nous réserve cot-tainemeût de bonnes surpdses :abaissement proglessif des prix,peformances acdues, fonctionsde plus en plus complexes. Lespdncipaux filtrages dans un téIé-viseur sont d'ores et déjà effec-tués aù moyen de composant6piézoéIectriques, céramiques etIiltres à ondes de surface, etceux-ci envahissent progressive-ment l'éIectronique profession-neIIe.

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t'électronicien amateur cruantà lui gagne à les uriliset bÀquec est possible car ils évitent leréglage délicat de6 filtres LC tou-jours problémâtique lorsque I'ondispose de peu d'appareiilage.

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aaPNlippe HORVAT

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ilrF0sNouveautés AOIPmesure

Calibrateurs portafits

Ces nouveaux calibrâteurs sontdes appareils tous usagies et tousteûains pout le contrôle et l'éta-lonnage des chaînes de mesuteet de régulation.

Portatifs, autonomes, loqésdans une sacoche à bândouliare,ils sont utilisables sur site et enatelier aussi bien gu'en labotatoi-Ie. D'un emploi simple et immé-diat, ils peuvent être mis en@uvte par du personnel de tousniveaux, spécialisé ou non.

Ils comportent un clavier decommande à 24 touches pour lasélection en direct de iâ plupartdes fonctions et une affichettealphanumérique à cristaux liqui-ctes Pouvant être éclâirée.

le modèle le plus complet pJN5208 permet de gènérer et mesu-rer tensions et couraûts continusjusqu'à 50 V et 50 mA, mesurerles températures avec 11 tvpesde thermocouples et par sondesà résistances de platiûe, simulerles mêmes thermocouples et son-des à résistances. Le modèle pN5209 possède, parmi ces fonc-tions, celles telatives aux contrô-Ies des teûpératures ; le modèleJN 5305, celles relatives aux con-trôles des boucles de régulation(0-10 v, 4-20 mA...).

Chaque modèIe peut, en outre,générer rampes et incréments,effectuer des mesures relativesou suivant une loi de conversion.

En option, ils peuvent êtreéquipés d'un dispositif de mémo'isation et sortie codée RS 232 Cpermettant de stocker jusqu'à1000 mesures, pouvant êtreappeiées au clavier ou par calcu-

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Logiciel pour indicateurde tabteau inteltigent

AOIP MESURES proposelogiciel destiré à centtalisermesures effectuées par ses nou-veâux indicateurs traÂsmetteulsnumériques de tableau program-mables ITI 20 sur un calculateurPC compalible. Ce togicielpermetviâ le bus RS 232 de gérer jusqu'à63ITI sur une même boucle, deles conTigurer, de recueilir, d'affi-cher et de stocker les résultatsdans le calculateut sous forme detableaux.

Une version permet égaleûentde faire appâraître Ies résultatssur un s'.notpique spécifique-ment adapté.

Les mesures stockées peuventensuite seryir à I'analyse de fonc-tionnement de prccess indus-tdels ou d'évènements, à des tra-cés de courbes ou être archivées.

AOIPZI de St Guénaultrue Mary6e BastiéBP 182 91006 Evry CedexTé1 . :60 .77 .96 .15

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