FLAMBEAU des démocrates N° 0447 du Jeudi 21 Avril 2016

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FLAMBEAU des démocrates N° 0447 du Jeudi 21 Avril 201622222Annonce

Est mis en vente, un immeuble avec titre foncier sis à Hedzranawoe, non loin de l’Aéroport. La bâtisse est de trois (3) niveaux.Un rez-de-chaussée comprenant 2 chambres + 1 salon+ 2 WC et douche,une cuisine+ 1 boutique+ 1 bureau avec 2 garages de 7 à 8 voitures.Le premier étage dispose de deux couloirs. Le premier comprend 4 chambresavec WC + 1 salon +1 cuisine+ 1 terrasse+ balcon.Le second dispose de 1 salon+ 1 salle à manger+ 2 chambres avec WCet Douche + 1 cuisine + 1 WC visiteur.Au deuxième étage, se trouvent un grand salon + 1 chambre avec WCet Douche + 1 Bar avec une vue sur la terrasse+ 1 grande terrasse avec vue sur le premier étage. L’ensemble de l’immeuble estcouvert avec une dalle en pente.Derrière l’étage, se trouve également une villa composée de 4 chambres+1 couloir + 1 couloir + 1 WC et Douche.

Pour toutes informations, contacter les numéros ci-dessous:Togocel : (00228) 91 69 69 13 - Moov : (00228) 98 58 13 42

AAAAAVIS DE VIS DE VIS DE VIS DE VIS DE VENTE D’IMMEUBLEVENTE D’IMMEUBLEVENTE D’IMMEUBLEVENTE D’IMMEUBLEVENTE D’IMMEUBLE

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FLAMBEAU des démocrates N° 0447 du Jeudi 21 Avril 2016

Actualité 33333

Voici venu le temps de la vérité,après toute la polémique qui a entouré laloi d’application portant statut de chef defile de l’opposition. Le « super opposant »qui marchait déhanchement, comme le di-rait un artiste de la chanson, et passait poi-trine dégagée quand la caravane centristeaboyait pour le retrait du titre de chef de fileau profit de Zeus Ajavon, est face à ses pro-pres turpitudes. Le célèbre opposant Jean-Pierre Fabre a, depuis hier, précédé lesévénements en décidant de dribbler lepiège sans fin qu’il a érigé lui-même sur lechemin des autres opposants.Il dit donc oui, pour le titre de chef de file del’opposition et les différents avantages maisnon, aux devoirs d’un chef de file de l’op-position. Craignant donc d’être « mangé »comme il a « mangé » ses autres camara-des de la classe politique qui ont vouluapprocher Faure Gnassingbé pour plan-cher sur les problèmes de la République, leprésident de l’Anc décline déjà une quel-conque invitation aux festivités de la fête del’indépendance. Et pourtant, la loi est clairesur le sujet.

Pour se tirer d’affaire, le chef defile d’une opposition, à la rue, évoque lesobligations non tenues par le Chef de l’Etat,« l’attitude irrespectueuse » de certainsministres à son égard et l’instrumentalisationdont il risque d’être l’objet s’il se décidait àse présenter aux côtés de Faure à la com-mémoration des 56 ans de l’indépendancedu Togo.

Comme toutes ses sorties média-tiques ratées, Jean Pierre Fabre a encoremanqué une occasion de se taire, affichantà la face du peuple, une fuite en avant. Onpeut donc croire que le défenseur de labonne gouvernance est pire que ceux qu’iln’a de cesse traités de tous les nomsd’oiseaux. Chaque citoyen peut donc pro-fiter du contribuable togolais sans pourautant remplir le devoir qui est le sien ? Est-ce cela que le Chef de file de l’oppositiontogolaise tente de cautionner en conviantla presse hier ? Pourquoi avoir accepté untitre et les avantages y afférents sans pourautant mettre en exergue, les conditions nonsatisfaites et c’est à l’heure de répondre àses devoirs qu’on évoque le sujet ? L’ex-lieutenant de Gilchrist Olympio est prison-nier de ses aspirations politiques, et de lamentalité inculquée à ses militants qui faitdésormais de lui, un pantin et saprophytede surcroît.

Ceux qui pensent que l’homme aun goût prononcé pour les billets de ban-que n’ont donc pas tort face au dernier dé-veloppement de l‘actualité. Il est donc diffi-cile d’accorder le bénéfice du doute à l’op-posant radical au pouvoir de Faure qui,après les millions amassés lors de la prési-dentielle d’Avril 2015, n’a daigné préparersa campagne électorale comparativementaux autres candidats qui ont déployé demoyens financiers énormes.

Cette fois-ci, tout est clair. Fabrene peut plus passer tout son temps à bernerses partisans, plongés dans un sommeilhypnotique. Il doit forcément avoir certainsencore lucides pour savoir que le chef defile de l’opposition est tombé dans le viragede la fuite en avant.

Isaac Tonyi

Fuite enavant

EDITEDITEDITEDITEDITORIALORIALORIALORIALORIAL Gala des 100 entreprises les plus dynamiques du TogoLes 15 meilleures entreprises du

Togo désormais connues

entre temps dans une léthargie, a retrouvé unsouffle depuis la nomination d’Ihou Gabriel àsa tête. Avec un réseau assez dense, la ban-que la plus implantée sur le territoire est auservice de ces clients depuis 50 ans. La qua-lité des prestations pour laquelle l’Union To-golaise de Banque vient d’être primée résultede la qualité des services et de l’accueil quisont des exigences premières dans les ac-tions quotidiennes de la banque, d’une com-pétitivité soutenue qui ,demeure un instrumentincontournable de survie et de croissance,d’un développement sélectif et prudent, durenforcement de la sécurité de traitement etd’exécution des opérations bancaires. Elles’est illustrée par de grandes performancesacquises lors de l’exercice 2009-2013, avecun bénéfice net de 2548 millions de frs cfa.La Salt (Société Aéroportuaire de LoméTokoin), en charge de la gestion des installa-tions de l’Aéroport International Gnassingbé

Ces trois sociétés se sont distinguées dans letop 15 des meilleures entreprises du Togo.Bien qu’elles opèrent dans de secteurs diffé-rents, la force de ces trois structures est qu’el-les ont à leur tête, des directeurs de carac-tère : Myriam Dossou à l’Inam, Ihou Gabriel àl’Utb et Kogoé Akrima à la Salt.

Depuis samedi dernier, un événement vientconsacrer les efforts consentis par l’Etat to-golais pour l’amélioration du climat des affai-res au Togo. Le gala des 100 entreprises lesplus dynamiques du Togo vient donc boosterl’image des entreprises togolaises, tant dusecteur privé que public, qui ont pu répondre

L’Inam (Institut National d’Assurance Mala-die) : institué par la loi N. 2011-003 du 18 fé-vrier 2011, le régime obligatoire d’assurancemaladie au profit des agents publics et assi-milés a conduit au démarrage des activités del’Inam qui a pour mission d’assurer la couver-ture des risques liés à la maladie, aux acci-dents et maladies non professionnels et à la

aux 4 critères d’éligibilité qui sont l’exper-tise, la capacité d’innovation, la capacité depénétration du marché et l’impact de l’activitéde l’entreprise sur l’économie pour se hisserdans le Top 15 des meilleures entreprises duTogo. Un top 15 composé du CIB Inta, primépour sa promotion des nouvelles technolo-gies, de Sopal (Société de Production Alimen-taire), primée tout comme la Brasserie BB etFan Milk dans le secteur Agro-alimentaire, deSotral dans le secteur des transports, del’Inam dans le secteur de l’Assurance mala-die, de Gester dans le secteur de l’ingénie-rie, de L’Esa dans le secteur de la formation,de la banque Atlantique primée banque laplus innovante, de Agetur-Togo dans le sec-teur de la construction des infrastructures, deRodis-Togo dans le secteur du cosmétique,de la Nsia dans le secteur des Assurances,de l’Aec dans l’expertise comptable, de l’Utb,primée pour la qualité de ses prestations etde la Salt, pour ses activités aéroportuaires.

Pour Djibri l Barry, Dg de EcoFinance Entreprise, organisatrice de cegrand événement, «ce classement sert devitrine pour les entreprises et met en exergue,le niveau et la qualité de ces dernières ». Trèshonorée par ce gala, la ministre duCommerce, Bernadette Legzim-Balouki quia présidé la soirée de gala, n’a pas manquéde saluer l’initiative qui consacre les réformeséconomiques engagées, i l ya de celaquelques années, par le Chef de l’Etat.

Outre la visibilité à elles assurée,ce classement vient ainsi conforter certainessociétés dans leur statut d’exemplarité parrapport à la qualité des prestations, auxgrandes innovations entreprises et au dyna-misme qui ont été leur cheval de bataille.

L’Inam, l’Utb et la Salt sous les feux de larampe

maternité des agents publics et de leurs ayantdroit. Installé dans toutes les régions du pays,l’Inam compte à ce jour près de 15000 béné-ficiaires et ses prestations, assez appréciées,ont permis d’amortir le coût des soins des fonc-tionnaires togolais, l’Inam a pu optimiser desperformances dans le domaine du travail desagents de l’administration publique et desretraités, des facteurs qui ont milité dans leurchoix parmi les 100 meilleures entreprises,puis dans le classement du Top 15.L’Utb (Union Togolaise de Banque), tombée

Pleins feux sur l’Inam, l’Utb et la Salt lauréates

Outre la visibilité à elles assurée ,Outre la visibilité à elles assurée ,Outre la visibilité à elles assurée ,Outre la visibilité à elles assurée ,Outre la visibilité à elles assurée ,ce classement vient ainsi conforterce classement vient ainsi conforterce classement vient ainsi conforterce classement vient ainsi conforterce classement vient ainsi confortercertaines sociétés dans leur statutcertaines sociétés dans leur statutcertaines sociétés dans leur statutcertaines sociétés dans leur statutcertaines sociétés dans leur statut

d’exemplarité par rapport à lad’exemplarité par rapport à lad’exemplarité par rapport à lad’exemplarité par rapport à lad’exemplarité par rapport à laqualité des prestations, auxqualité des prestations, auxqualité des prestations, auxqualité des prestations, auxqualité des prestations, aux

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cheval de bataillecheval de bataillecheval de bataillecheval de bataillecheval de bataille

Siège de l’Utb primée pour la qualité de sesprestations

Après Bamako, Dakar, Ouaga et Cotonou, Lomé a accueilli le 16 avril dernier, legala des 100 entreprises les plus dynamiques, un gala organisé par le Cabinet Eco Fi-nance Entreprise. Un processus qui s’étend sur la totalité des pays de l’espace Uemoa etouvre ainsi une fenêtre sur l’investissement dans la zone. A l’issue de ce gala, le top 15 desentreprises les plus dynamiques du Togo par secteur d’activité a été dévoilé.

Eyadema de Lomé, assure l’établissement,l’entretien, le renouvellement et le dévelop-pement des ouvrages, terrains bâtiments, ins-tallations, matériels et services nécessairesau fonctionnement de l’aéroport et aux activi-tés qui s’y rattachent. La Salt doit sa palme dudynamisme à la grande innovation apportéedans le secteur aéroportuaire avec la cons-truction d’une aérogare qui va certainementrévolutionner le transport aérien au Togo.

Isaac Tonyi

Photo de famille des lauréats avec la ministre du commerce (1er plan)

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time depuis des années déjà. Crai-gnant le sort qui leur serait réservéau pays, nombre de cadres dediverses compétences, aprèsleurs formations, optent offrir déli-bérément leurs services dansd’autres pays d’Afrique oud’ailleurs, aux dépens du Togo.Et les exemples sont légions. Etpourtant, le Togo n’est pas moinspourvu en richesses que certainspays dont les fonctionnaires s’of-frent royalement une vie de Pa-lais.

Anormal !Au Togo, ce ne sont

malheureusement pas les res-sources ni les moyens qui man-quent. Disposant du port le plusprofond de la sous-région avecune profondeur de 14 à 16 mè-tres, le Togo regorge en outre desressources minières à lui offertes

Problématique du SMIG en Afrique francophone

Le Le Le Le Le TTTTTooooogggggo doit mieux fo doit mieux fo doit mieux fo doit mieux fo doit mieux fairairairairaire !e !e !e !e !

De façon générale,les salaires ne sont pas envia-bles en Afrique. Hormis quelquespays qui font des efforts, la ma-jorité des fonctionnaires africains

privé où nombre d’entrepriseset sociétés réchignent depuislors à s’exécuter. Ceci, mal-gré l’existence de cet arsenaljuridique qui est de nature con-

gracieusement par dame nature.On peut en citer entre autres, lePhosphate togolais -l’un des plusraffinés du continent- le clinker -servant à fabriquer le ciment to-golais convoyé dans nombre depays de la sous –région y com-pris d’autres pays d’Afrique Cen-trale notamment le Gabon et laGuinée Equatoriale, le marbre, lefer… un ensemble de ressour-ces qui, à priori, devraient per-mettre à l’autorité de doter la fonc-tion publique d’une grille salarialeraisonnable. Mais non ! Tel n’estmalheureusement pas le cas àce jour. Des salaires misérablesqui ne permettent pas aux tra-vailleurs togolais, publics commeprivés, de remplir convenable-ment le panier de la ménagère.Et c’est triste que le Togo partagela queue du peloton des paysd’Afrique francophone disposant

La revalorisation salariale est un sujet d’actualité en Afrique,surtout celle francophone. Ce sujet, au regard de sa sensibilité, estsouvent porté par nombre d’organisations syndicales œuvrantsurtout dans la défense des droits des travailleurs. Au Togo, il est aucœur des différentes revendications syndicales. La dernièrerevalorisation salariale, en date de 2012, porte le salaire MinimumInterprofessionnel (SMIG) à 35.000 Fcfa. Un revenu mensuel qui nepermet tout de même pas au Togo de sortir du peloton des pays ayantles salaires les plus bas en Afrique francophone.

des salaires les plus bas commela Mauritanie, le Niger, le Bur-kina- Faso ou encore le Mali. Despays de l’Hinterland dont la ma-jorité s’approvisionne en diversproduits au Togo. Pire encore, leTogo est dépassé dans ce clas-sement par le Bénin dont le Smigest porté de 31.625 à 40.000 FCfa, soit une augmentation de21%. Il en est de même pour laCôte d’Ivoire dont le salaire mini-mal est aussi porté de 36. 607 à60.000 F Cfa, soit une augmen-tation de 39%. Pendant ce temps,certains pays moins pourvus quele Togo en ressources le dépas-sent largement. Le cas du Marocdont le Smig est à 137.095 FCfa,la Guinée Equatoriale (128.000FCfa), la République Démocrati-que du Congo (RDC) avec90.000 FCfa ou encore le Gabonavec un Smig de 80.000 FCfa.

A voir de près, il vasans dire que le Togo, malgréses multiples atouts économi-ques, a encore du chemin à faire,surtout en matière d’émergence.Des efforts sont faits certes. Maisil convient ici d’attirer l’attentionde l’autorité sur le sujet, surtoutsi tant est qu’on tient à faire véri-tablement du Togolais, le princi-pal acteur de son propre déve-loppement, le principe cardinal dumandat social.

Magloire TEKO

traignante. Un ensemble de si-tuations conjoncturelles qui ex-pliquent, en partie, la fuite decerveaux dont le pays est vic-

vivent dans la «servitude ». Tou-tefois, bien que leurs salaires nesoient souvent pas en adéqua-tion avec leur niveau d’instruc-tion, les travailleurs africains sesatisfont, malgré eux, de ce queleur proposent leurs employeurscomme grille salariale, à défautde ce qu’ils méritent.

Cas du TogoC’est connu de tous,

le fonctionnaire togolais est malpayé. Malgré ses multiples ef-forts et sacrifices, il n’arrive tou-jours pas à s’épanouir, son sa-laire étant insignifiant. Contraire-ment aux fonctionnaires du Ma-roc, du Congo, de la Guinée Equa-toriale, de la Côte d’Ivoire, duGabon et même du Tchad dont leSMIG varie entre 60.000 et137.000 F Cfa, il est par contredifficile au travailleur togolais des’offrir une vie professionnelle di-gne de ce nom. A ce jour, lesalaire minimum interprofession-nel est porté de 28.000 F CFA en2012 à 35.000 F Cfa au Togo,soit une augmentation de 20%.Bien que moindre, au regard ducoût élevé de la vie, cette reva-lorisation salariale est néanmoinssalutaire. Toutefois, si cette grilleest déjà opérationnelle dans lafonction publique, il n’en est pasencore le cas dans le secteur

tements civiques tels la nondestruction des biens publics,le refus à la désobéissance àl’autorité et la violation des droitsde l’homme, entre autres.

Nous osons croireque les différentes recomman-dations issues de ces campa-gnes de vulgarisation permet-tront réellement aux Togolaisd’adopter désormais des com-portements responsables et ci-toyens. Quant aux hommes demédias et acteurs de la sociétécivile, ils se sont engagés àjouer pleinement leurs parti-tions.

Magloire TEKO

Ils sont une centaine de journalistes et acteurs de lasociété civile à prendre part, le vendredi 15 avril dernier àLomé, à l’atelier de restitution des travaux de la campagnede vulgarisation de la politique nationale de formationcivique et d’éducation à la citoyenneté. Une politique nationaleque coordonne le ministère de la Communication, de laCulture, des Sports et de la Formation Civique.

Vulgarisation de la politique nationale de formationcivique et d’éducation à la citoyenneté

Hommes de médias et acteurs de lasociété civile mis à contribution

Lomé, il était question, à en croireDjato Kanda, directeur de la For-mation Civique, de divulguer auxjournalistes et acteurs de la so-ciété civile, les résultats de cettecampagne. «Cette formationmet ainsi fin à cette campagnede divulgation des résultats decette politique nationale de for-mation civique et d’éducation àla citoyenneté », a-t-il précisé.

Satisfaction de joieégalement exprimée par le Di-recteur de Cabinet du ministèrede la Communication, FranckMissité pour qui, cette politiquefavorisera désormais la mise enplace d’un citoyen nouveau etémancipé. Ceci, a-t-il expliqué,à travers l’adoption des compor-

politique a été adopté en conseildes ministres en juin 2014, aprèsvalidation, en février 2014, desrésultats des études et travauxcommandités à cet effet. Dès lors,il était question à l’autorité de me-ner une campagne de sensibili-sation dans différentes localités dupays aux fins d’amener la nou-velle à chaque Togolais, où qu’ilse trouve sur le territoire national.Ainsi donc, après Kara, Dapaong,Sokodé, Atakpamé, Tsévié et

Depuis septembre1996, le Togo a émis le vœud’instaurer une politique natio-nale visant à faire désormaisdu Togolais, un citoyen nou-veau, moderne, pacifique, dé-voué et pacifique. Processusqui a véritablement pris corpsavec la mise en place, en mai2001, d’une politique nationalede formation civique et d’édu-cation à la citoyenneté. Le dé-cret instituant officiellement cette

Contrairement auxContrairement auxContrairement auxContrairement auxContrairement auxfonctionnaires du Maroc, dufonctionnaires du Maroc, dufonctionnaires du Maroc, dufonctionnaires du Maroc, dufonctionnaires du Maroc, du

Congo, de la Guinée Equatoriale,Congo, de la Guinée Equatoriale,Congo, de la Guinée Equatoriale,Congo, de la Guinée Equatoriale,Congo, de la Guinée Equatoriale,de la Côte d’Ivoire, du Gabon etde la Côte d’Ivoire, du Gabon etde la Côte d’Ivoire, du Gabon etde la Côte d’Ivoire, du Gabon etde la Côte d’Ivoire, du Gabon et

même du Tchad dont le SMIGmême du Tchad dont le SMIGmême du Tchad dont le SMIGmême du Tchad dont le SMIGmême du Tchad dont le SMIGvarie entre 60.000 et 137.000 Fvarie entre 60.000 et 137.000 Fvarie entre 60.000 et 137.000 Fvarie entre 60.000 et 137.000 Fvarie entre 60.000 et 137.000 FCfa, il est par contre difficile auCfa, il est par contre difficile auCfa, il est par contre difficile auCfa, il est par contre difficile auCfa, il est par contre difficile au

travailleur togolais de s’offrir unetravailleur togolais de s’offrir unetravailleur togolais de s’offrir unetravailleur togolais de s’offrir unetravailleur togolais de s’offrir unevie professionnelle digne de cevie professionnelle digne de cevie professionnelle digne de cevie professionnelle digne de cevie professionnelle digne de ce

nom.nom.nom.nom.nom.

Le P.M Selom Klassou Komi

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pour le bien- être et le confort desvoyageurs, surtout togolais. Car,avant tout, c’est la vision du Chefde l’Etat qui veut que ses com-patriotes se sentent à l’aise chezeux. Surtout que l’effet induit decette nouvelle aérogare sera l’ar-rivée massive des touristes,grâce aux nouvelles compa-gnies. Cela fera, par conséquent,l’affaire des hôtels et des com-merçants. Les jeunes trouverontégalement à faire et comme l’atoujours souhaité le Président

pouvait traiter, au maximum, 700à 800 mille passagers. Et lesvoyageurs se plaignent de laperte de temps dans les longuesqueues y compris la lenteur dansles services. Aujourd’hui, la nou-velle aérogare va traiter jusqu’à2 millions 500 voire 3 millions depassagers par an mais de ma-nière rapide. Nous avons aussile Terminal de Fret qui traitait entre12 mille et 15 mille tonnes debagages. Aujourd’hui, nous pas-sons à 60 mille Tonnes. Lesatouts pour les voyageurs, c’estqu’il n’y aura dorénavant plus dequeues car, i l ya assez d’es-pace. Nous avons une trentainede box. Parlant toujours d’inno-vation, le passager qui n’a pasde bagage à part ceux en main,peut aller s’enregistrer directementsur les bornes automatiques.Plus intéressant encore en vousenregistrant, vous choisissez di-rectement le siège sur lequelvous voulez vous asseoir dansl’avion, puisque vous avez leplan de l’avion qui s’affiche surun écran. Après cette étape, il nevous restera plus qu’à faire lesformalités de Police et d’Immi-gration. Pour ce qui est de la mo-dernisation, avec les passeportsbiométriques (bientôt OpératorAirport Certificated exigera lespasseports électroniques), nousavons installé la Biométrie à dixdoigts et non à deux doigtscomme c’était le cas dans l’an-cien aéroport. Nous avons aussi,pour le confort des voyageurs,mis trois systèmes de Wifi hautdébit. Cela voudrait dire queceux qui sont en transit peuventcontinuer par travailler en en-voyant des mails et des messa-ges à leurs partenaires d’affairesou encore aux membres de leursfamilles. Nous avons aussi desboutiques hors taxe et des res-taurants. Lomé étant devenue ungrand hub, nous avons plusieursnouvelles compagnies qui vontarriver. Déjà cinq nouvelles sontannoncées. Vous pouvez doncvoir par là qu’on a rien négligé

Interview exclusiveCol. Gnama Latta parle nouvelle aérogare

Monsieur le Directeur Géné-ral, citez- nous alors deux outrois particularités de la nou-velle aérogare de Lomé, parrapport à celles de la sous-région.D’abord, elle est construite avecune architecture ultra moderne.

Flambeau des Démocrates :Bonjour Monsieur le Direc-teur Général. Le Togo se pré-pare à inaugurer une nouvelleaérogare. Dites- nous, quel-les sont les caractéristiquesde ce nouveau joyau ?Dokissime Gnama Latta : Per-

et avions sûrs et sécurisés avecaux commandes, des piloteschevronnés. Vous savez,l ’ANAC ne badine pas avecl’agrément des ateliers de main-tenance. Nous avons mis unaccent particulier sur la forma-tion du personnel. Nous veillonssur les indicateurs de perfor-mance par des audits internes etexternes. Notre souci permanentse résume donc à la sûreté et lasécurité des installations, au ren-forcement sans cesse de la for-

mettez-moi, avant tout, de saisircette occasion pour remercier etsaluer la clairvoyance et la luci-dité de ce leader charismatiquequi a une vision si élevée dudéveloppement des infrastructu-res au point de mettre le peupletogolais à l’aise. Cette aérogarea ce qu’il y a de plus modernedans la sous- région. Elle estdotée d’équipements de dernièregénération en matière de sûretéet de sécurité. Il y a tout. Lessnife américains, les L3 euro-péens, les tomographes, les dé-tecteurs d’explosifs liquides etsolides. Voilà grosso modo, laconception de notre nouvelle aé-rogare. Vous savez, l’OACI (Or-ganisation de l’Aviation Civile In-ternationale) fait des audits dansles Etats et souvent, il est repro-ché aux pays, les mélanges deflux. Vous n’aurez plus ce pro-blème à Lomé. L’aérogare estbâtie sur 22.000 mètres carrés(m²). Elle a trois niveaux. Laséparation des flux est doncnette. Avec le soutien du Prési-dent de la République, FaureGnassingbé, nous avons mis lesbouchées doubles.

Et comme je vous l’ai dit tantôt,la nouvelle aérogare a trois ni-veaux et vous ne le verrez paspartout. Un premier niveau pourles Arrivées et les Départs. Ledeuxième niveau pour les Volsen Transit. Puis le troisièmeniveau pour le Départ des avi-ons qui voyagent loin. Dans lesystème d’exploitation et dansle service de sûreté et de sécu-rité, nous avons pris des mesu-res exceptionnelles très renfor-cées, exigées par les organesde contrôle dans le monde. Etvous savez, d’ici trois ans, vousne pouvez plus voyager sur l’Eu-rope ou les Etats- Unis par unaéroport si ce dernier n’est paséquipé de certains appareils hautde gamme en matière de sûretéet de sécurité. Au niveau del’aéroport de Lomé, nous n’avonspas ce problème puisque nousy avons pris les dispositionsnécessaires.Car, le défi sécuritaire est un soucipour le gouvernement.

Quels sont les atouts de cettenouvelle aérogare pour lesvoyageurs ?Vous savez, l’ancien aéroport

Faure, cela aidera à réduire lechômage dans le pays. Encoreque bientôt, il y’aura la construc-tion des chemins de fer. Loméest donc partie pour être un grandhub.

Monsieur le Directeur Géné-ral, après la nouvelle aéro-gare, quels seront les pro-chains défis de l’ANAC ?Naturellement, nous avons tou-jours un leitmotiv. C’est celuid’être toujours leader. Vous de-vez le savoir, depuis que lesautorités nous ont fait confianceen nous nommant à ce poste, iln’y a jamais eu d’accidentsd’avion. Notre objectif, c’est doncde faire chaque jour mieux. As-surer la sécurisation totale desvoyageurs par des installations

Notre pays le Togo s’apprête à inaugurer le 25 avrilprochain, la toute nouvelle aérogare de l’aéroport internatio-nal Gnassingbé Eyadéma de Lomé. Ce nouveau joyau d’unmontant de 155 milions de dollars réalisé par Exim Bank ofChine et dont la construction a été assurée par l’entreprisechinoise SOCOTEC dotera désormais le Togo à compter demardi prochain, d’un des aéroports les plus sécurisés d’Afri-que lequel attire déjà nombre de compagnies internationa-les. Approché par notre rédaction le Directeur Général del’Agence nationale de l’aviation civile (ANAC), le colonelDokissime Latta Gnama nous retrace les caractéristiques deladite aérogare, sa particularité vis-vis des autres de la sous-région ainsi que les perspectives d’avenir de son agence.

mation du personnel pour restertoujours leader. Il faut évoluer ens’adaptant au temps, car monobjectif, c’est zéro accidentd’avion, zéro risque pour les To-golais et les voyageurs. Pourcela, nous avons besoin de toutle monde à quelque niveau quece soit pour y arriver. Car, jecrois fort à l’émergence de cepays, souci permanent du Chefde l ’Etat Faure EssozimnaGnassingbé qui s’y attèle mer-veilleusement bien.

Merci, Monsieur le DirecteurGénéralC’est plutôt moi qui vous remer-cie.

Propos recueillis parla Rédaction

Colonel Gnama Latta

Cette aérogare a ce qu’il yCette aérogare a ce qu’il yCette aérogare a ce qu’il yCette aérogare a ce qu’il yCette aérogare a ce qu’il ya de plus moderne dans laa de plus moderne dans laa de plus moderne dans laa de plus moderne dans laa de plus moderne dans lasous- région. Elle est dotéesous- région. Elle est dotéesous- région. Elle est dotéesous- région. Elle est dotéesous- région. Elle est dotéed’équipements de dernièred’équipements de dernièred’équipements de dernièred’équipements de dernièred’équipements de dernièregénération en matière degénération en matière degénération en matière degénération en matière degénération en matière desûreté et de sécurité... Ellesûreté et de sécurité... Ellesûreté et de sécurité... Ellesûreté et de sécurité... Ellesûreté et de sécurité... Elletraitera jusqu’à 3 millionstraitera jusqu’à 3 millionstraitera jusqu’à 3 millionstraitera jusqu’à 3 millionstraitera jusqu’à 3 millions

de passagers par ande passagers par ande passagers par ande passagers par ande passagers par an

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entre les deux hommes déchiréspar une haine viscérale. Et rien qu’às’en tenir aux déclarations des dif-férentes parties prenantes, à la sor-tie du conclave d’Abidjan, l’on peutenfin dire que les deux protagonis-tes ont enfin fumé le calumet de lapaix. «Nous avons échangé con-formément à l’esprit qui prévautdans la sous-région. Les Prési-dents Alassane et Faure viennent deposer un acte fort…Il y avait cettecomplicité entre mon frère Patriceet moi…Nous étions des amis etnous le demeurerons… », a dé-claré Thomas Yayi Boni. Et PatriceTalon d’ajouter : «Je fais le sermentà Yayi Boni d’être un bon Présidentet je le rassure que je donnerai lemeilleur de moi-même pour garantir

C’est un secret de poli-chinelle, plus rien n’allait entre l’ex-président béninois Thomas YayiBoni et son successeur, Patrice Ta-lon. Deux ennemis jurés pourtantdes amis d’hier. A l’origine, la fa-meuse affaire de «tentative d’em-

français, Patrice se retrouve depuisle 20 février dernier, le 6ème Prési-dent de la République du Bénin. Etdepuis lors, la peur a changé decamp.

La paix des braves ?Et comme par enchan-

Le 18 avril dernier, sous la médiation des Chefs d’EtatOuattara de la Côte d’Ivoire et Faure Gnassingbé du Togo, lePrésident béninois Patrice Talon et son prédécesseur YayiBoni ont enfin fumé le calumet de la paix. Toutefois, s’agit-il réellement d’une « vraie » paix des braves ou d’une simpleréconciliation de façade ? C’est bien la question que se posentdepuis lors, nombre d’observateurs.

Retrouvailles entre Talon et Yayi Boni à AbidjanEnfin la «vraie» réconciliation ?

au Bénin et à toute la sous-région,une bonne ambiance de solidaritéet de paix. Les intrigues de la com-pétition politique ne prendront pasle pas sur notre devoir d’œuvrerpour la paix ». Et FaureGnassingbé, l’un des médiateursde conclure en ces termes desatisfaction: «Je voudrais saluermes deux frères du Bénin qui ontsu s’élever et nous démontrer quela perception qu’on pouvait avoird’une mésentente n’a rien à voiravec la réalité. Ils ont démontré quece qui compte, c’est le Bénin !».Même si l’on a des raisons suffisan-tes d’avoir des réserves sur la réus-site de cette médiation, voici néan-moins l’image que renvoie officiel-lement la rencontre d’Abidjan. Une

fois le ciel enfin dégagé, plus deplace à la distraction.

Aller à l’essentielFinis les moments

d’euphorie, d’extase et de raccourciprotocolaire. Hissé à la magistra-ture suprême de son pays depuis le20 février et renvoyé officiellementdans ses nobles fonctions le 6 avrildernier par la Cour Constitution-nelle. Patrice Talon est attendu im-patiemment par le peuple béninoisqui voudrait voir son nouveau pré-sident à l’oeuvre. Les règlements decompte, la chasse aux sorcières etautres mesquineries politiques doi-vent être rangés dans les oubliettespour s’attaquer aux vrais chantiersqui l’attendent. Plutôt que de se lais-ser distraire chaque fois par les hu-meurs de Yayi Boni, Patrice Talon doitcomprendre qu’il finira par connaî-tre un échec politique, surtout qu’ila promis ne faire qu’un seul man-dat. Par conséquent, il doit aller trèsvite en besogne en s’attelant à laréalisation de ses urgences stipu-lées autour des réformes politiques,la restauration de l’économie natio-nale et la reconstitution du tissu so-cial. Autrement, c’est signer son pro-pre échec politique en voulant re-garder à tout bout de champ dans lerétroviseur. Et Talon doit se l’incul-quer si tant est qu’il veut faire de sonmandat, un mandat de rigueur dansla gouvernance de son pays.

Magloire TEKO

mois. Ce qui est formellement interditpar la législation française.Injonction à laquelle se serait doncopposée, Joyce qui a mis au monde,le 26 mai 1998, sa fille Amissa. C’estdès lors que, tout en refusant de voirsa fille, Ali mettait tous les moyensmatériels pour acheter le silence decette dernière qui enfin aura décidéfinalement de rompre avec le silence.«Jai décidé d’engager cette actionen justice pour protéger ma fille », aexpliqué Joyce Ondo quiajoute : «Ali m’a promis pendant desannées de la reconnaître, puis il m’aproposé de multiples choses, mais

L’affaire fait actuellement grand bruit au Gabon. Aquelques mois de la prochaine présidentielle, prévue pouraoût 2016, le Président Ali Bongo est au centre des intrigues.L’affaire «Amissa Bongo », du nom d’une supposée fillerejetée du Chef de l’Etat gabonais, vient d’être révélée parJoyce Ondo, la mère de cette fille. Réalité ou intox ? Seulesdes preuves scientifiques sauront la prouver. Une procéduremédicale qui risque de révéler, au grand jour, une situationjusque-là mise au secret.

Affaire « Amissa Bongo »Un trUn trUn trUn trUn traquenaraquenaraquenaraquenaraquenard pour d pour d pour d pour d pour Ali BongAli BongAli BongAli BongAli Bongooooo

mai 1995, en pleines fiançailles,cette dernière tombée enceinte, sefait avorter par le futur Présidentgabonais, année où cette dernièrealla continuer ses études à Paris enFrance. Alors même qu’ils étaient eninstance de divorce, Ali ayant optépour une autre partenaire, Joycetomba à nouveau enceinte en 1997,pour une seconde fois et se refuse,cette fois-ci, un second avortementà elle proposé par l’amant, Ali. Leprénom Amissa, du nom de l’unedes sœurs d’Ali décédée un peu plustôt, aux dires de Joyce Ondo, futmême proposé par ce dernier. Nerésistant plus à la pression de sonfeu père, poursuit la mère d’Amissa,Ali insista à nouveau de procéderau curetage, pendant que lagrossesse bouclait son quatrième

Elle s’appelle AmissaBongo, une adolescente de 17 ans,f i l le de Joyce Ondo, une exconcubine d’Ali Bongo. Aujourd’hui,elle est à la recherche de songéniteur. Et d’après sa mère, ellen’est que la fille de l’actuel N°1gabonais, une progéniture que cedernier aurait rejetée. Raison pourlaquelle, cette dernière assigne cedernier en justice en France,exigeant de lui, unereconnaissance de paternité de« sa » fille.

L’histoire !Tout a commencé en

1994 quand, Ali Bongo, députéentretenait une relation amoureuseavec Joyce Ondo, une lycéenne enclasse de seconde à Libreville. En

la dernière fois que je l’ai vu, ennovembre, il est allé trop loin dansles menaces ».

Mais alors, danger …En portant l’affaire par

devant le Tribunal d’Anger enFrance, le Conseil de Joyce Ondoentend donc exiger de l’actuelPrésident gabonais, des tests ADN.Ce qui révélera, au grand jour, sioui ou non Ali Bongo est le vraigéniteur de la fille de Joyce Ondo.Mais se pose d’ores et déjà, un autreproblème toujours sur le tapis auGabon. Il s’agit de la polémique

autour de la filiation d’Ali Bongoavec feu Président Omar BongoOndimba, pris par l’oppositiongabonaise pour son père adoptif.Voilà se profiler à l’horizon, ce quecraint le plus, le N°1 gabonais.Aujourd’hui, deux alternativess’offrent devant lui. Soit, accepter lapaternité de la jeune Amissa pourvoir l’affaire définitivement close,soit s’y opposer et se plier au verdictde la science médicale qui peut luiêtre fatale. Et s’il s’avérait qu’il n’étaitque l’enfant adoptif du feu Bongo,les portes de la présidentielle d’aoûtdevraient malheureusement sefermer sur lui, puisqu’il ne sera plusprésidentiable, en vertu de laconstitution gabonaise en vigueur.Mais un homme averti, voit le malvenir de loin, dixit un vieil adagecontemporain. Ali Bongo a lasituation dans ses mains et à lui seulde la décanter. Toutefois, la vie étantun choix, il pourrait refuser cettepaternité s’il estime ne pas être legéniteur d’Amissa. Mais alors, ildevra faire face à sesresponsabilités.

Magloire TEKO

poisonnement » et de «coupd’Etat » dont est accusé depuis sep-tembre 2012, l’homme d’Affaires etactuel occupant du Palais de laMarina. Après plusieurs mandatsd’arrêts lancés à son encontre, ledestin de l’homme lui aura dessinéune autre posture. De son asile

tement, les deux ennemis jurés sesont retrouvés, la semaine dernière,dans la capitale ivoirienne. Le butvisé par les Présidents IvoirienAlassane Dramane Ouattara (ADO)et Faure Essozimna Gnassingbé(FEG) du Togo était de faire tablerase du passé et racoler les liens

Yayi Boni et Patrice Talon

Ali Bongo et sa supposée fille Amissa

Plutôt que de se laisser distrairePlutôt que de se laisser distrairePlutôt que de se laisser distrairePlutôt que de se laisser distrairePlutôt que de se laisser distrairechaque fois par les humeurs dechaque fois par les humeurs dechaque fois par les humeurs dechaque fois par les humeurs dechaque fois par les humeurs deYayi Boni, Patrice Talon doitYayi Boni, Patrice Talon doitYayi Boni, Patrice Talon doitYayi Boni, Patrice Talon doitYayi Boni, Patrice Talon doit

comprendre qu’il finira parcomprendre qu’il finira parcomprendre qu’il finira parcomprendre qu’il finira parcomprendre qu’il finira parconnaître un échec politique,connaître un échec politique,connaître un échec politique,connaître un échec politique,connaître un échec politique,surtout qu’il a promis ne fairesurtout qu’il a promis ne fairesurtout qu’il a promis ne fairesurtout qu’il a promis ne fairesurtout qu’il a promis ne faire

qu’un seul mandat.qu’un seul mandat.qu’un seul mandat.qu’un seul mandat.qu’un seul mandat.

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FLAMBEAU des démocrates N° 0447 du Jeudi 21 Avril 2016 77777Sport/Culture

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Fidèle à sa philosophiede développement du football àla base et rapprochement despeuples à travers le sport, la fon-dation Issa Hayatou était en modehumanitaire à Lomé le vendredidernier pour soutenir le football àla base et des personnes vulné-rables.

Au nombre des bénéfi-ciaires des largesses de cetteassociation dirigée par l’IvoirienAnoi Niniba, l’orphelinat ‘’la Solu-tion’’ qui se voit octroyer 12 bal-lons en plus d’un jeu de maillots,l ’équipe d’Agouwa deKoussountou 15 ballons plus un

Croisade pour la paix à travers le footballLa fLa fLa fLa fLa fondaondaondaondaondation Issa Hation Issa Hation Issa Hation Issa Hation Issa Hayyyyyaaaaatou entou entou entou entou en

bon samaritain au bon samaritain au bon samaritain au bon samaritain au bon samaritain au TTTTTooooogggggooooo

Messan Gnamey pour son im-mense carrière dévouée à la pro-motion du sport roi en Afrique.Un autre Togolais aura aussi beau-coup compté pour la fondation. Ils’agit du jeune étudiant en diffi-culté Ayih Zalesky qui, sur or-dre du président de la Caf, a bé-néficié d’une enveloppe de 1 mil-lion de francs CFA pour conti-nuer ses études en Chine. Par-lant au nom des bénéficiaires deces dons, le doyen MessanGnamey a salué l’œuvre gran-diose du président de la Caf et aremercié la fondation pour avoirpensé au Togo. « La famille dufootball est grande et il faut sa-

luer tout ce que certains fontpour son développement » s’estréjoui ce dernier. Pour le prési-dent de la fondation, toutes lesquestions liées au football doi-vent être prises avec beaucoupde responsabilité en dehors desproblèmes de personne. Il a parailleurs invité la famille du foot-ball africain à prendre au sérieuxle développement du football àla base comme le fait si bienIssa Hayatou. « J’invite les an-ciens joueurs à descendre à labase, dans les villages pour par-tager leur savoir et leur avoir aveccette jeunesse qui a envie desuivre leur exemple » a souhaité

jeu de maillots, l’équipe de Dyto25 ballons plus un jeu de maillots,la ligue de football de Lomé 25ballons. Outre l’apport au déve-loppement du football au Togo,la fondation chère au présidentde la Caf s’est investie dans l’hu-main en octroyant une enveloppe

symbolique à l’icône du journa-lisme sportif au Togo le doyen

Anoi Niniba. Il n’a pas tari d’élo-ges tout comme la directrice dela radio Sport Fm Gina Lawsonsur la personne de MESSANGnamey qui mérite qu’on accordeassez d’intérêt. « Nous prenonsl’engagement d’organiser d’ici lafin de l’année un téléthon en sonhonneur » a-t-il affirmé.Notons que la fondation IssaHayatou prône la paix en Afriqueà travers des œuvres pour la pro-motion du football à la base etélargit ses champs d’action dansl’humanitaire.

Del-Jo

Le président de la fondation Anoï Niniba remettant les dons à la Ligue de Lomé et au représentant de Dyto

Enveloppe symbolique de la fondation à Messan Gnamey

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