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Couverture : Classique

[Grand format (170x240)] NB Pages : 48 pages

- Tranche : (nb pages x 0,07 mm)+2 = 5.36 ----------------------------------------------------------------------------

Francine - Français

Jean-Rock LeBlanc

5.36 655608

Jean-Rock LeBlanc

Francine - Français

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Ouverture Resto Rora

Je suis en forme, j’ai bien dormi, je décide d’aller déjeuner au nouveau Resto Chez Rora.

Arrivé, les filles me connaissent, elles m’installent donc près de la fenêtre, endroit de prédilection pour l’inspiration.

Je commande un déjeuner gargantuesque (deux œufs, bacon, creton, jambon, rôtis avec confiture) pour faire descendre le tout, je commande un cocktail au fruit, sans omettre le café.

La table juste à côté, une des cinq dames commande un gruau, lorsque livré, elle le reçoit sur un plateau dans un bol d’argent avec un couvert monté d’une tétine.

Commentaire de la dame à la serveuse « Fait attention de ne pas te brûler le bout des doigts, tu ne pourras plus t’en servir avec tu sais qui ma chère ».

Il y a beaucoup de monde dans le restaurant, c’est l’ouverture officielle, il y a plusieurs invités de marque.

Tout ce petit monde fourmille autour de la table d’honneur.

La photographe se prépare, le maître de cérémonie commence son rituel qu’il a bien répété, ça s’entend et se voit.

Annonce de mise, commençant par celle qui fait en sorte que les Restos Chez Rora existent, Madame Rora elle-même.

Ensuite, vient le tour des franchisés propriétaires, de la mairesse, du député, etc. Vient la séance de photos.

Que se passe-t-il ? On cherche un client pour faire plus vrai.

Le maître de cérémonie se dirige vers moi, je m’empiffre dans mon

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ordinateur portable, je ne veux pas qu’il me voit, mais non, il a fallu que ce soit moi qu’il ait choisi.

Sur la photo, juste derrière moi, il y a une policière en service de courtoisie, ce qui est assez rare pour ce genre d’événement.

Elle est vêtue d’une jupe au genou, d’une chemise police vert pâle, elle n’a pas son arme par contre.

La photo prise, les invités se dirigent vers la table d’honneur.

La policière m’adresse la parole. Certains de ses collègues sont clients au magasin et elle a entendu parler de moi.

Elle veut savoir où je travaille, qu’est-ce que je fais ici, comment ça se fait, qu’un mercredi, je ne suis pas au magasin.

Beaucoup de questions, me voilà dans les explications de rigueur afin de me justifier, et pourquoi ?

Tout en lui expliquant, elle me murmure que j’ai une voix suave, sensuelle, que ma voix ne correspond pas avec mon style.

Elle m’invite un peu à l’extérieur, pas trop, pour ne pas attirer l’attention de ses collègues du milieu.

Le journal local est présent avec sa photographe, elle ne veut être prise en photo avec un gars comme moi, son mari est jaloux.

Elle emploi une voix de plus en plus langoureuse et invitante.

Elle recherche le Rebelle en moi. Son mari l’exaspère, il ne la comprend plus depuis qu’elle est devenue autonome.

Elle a besoin d’un homme, un vrai. Elle sent à mon contact, s’éveiller en elle une énergie rebelle, inconnue à date.

Quelques idées lui effleurent l’esprit… Elle se laisse aller aux confidences, un tantinet intime, pour l’étranger que je suis.

Plus nous sommes à jaser, plus elle sent en elle monter une source de plaisir, encore là, inconnue d’elle-même.

Une chaleur monte entre ses cuisses, son sexe devient moite, ses seins se sensibilisent et pointent un tantinet vers l’avant, elle devient

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inconfortable et elle regarde tout autour d’elle.

Je la regarde se dandiner subtilement sur le long du mur longeant les toilettes, cela me semble une invitation.

Je me dirige vers celle-ci doucement, de manière à ce qu’elle suive le mouvement, elle qui veut entendre ma voix, elle se glisse inconsciemment le long du mur du restaurant.

Arrivé à la hauteur des toilettes des dames, je la pousse au-travers de la porte, elle résiste un peu, elle ne veut pas montrer qu’elle serait une femme facile… Ouinnnnn…

Je l’empoigne par les cuisses, la soulève, glisse mon pénis sous sa jupe… Surprise pour moi, elle ne porte pas de sous vêtement.

Le gland de mon pénis pénètre son vagin et d’un léger mouvement de va et vient, je la fais jouir, elle atteint l’orgasme, elle n’en peut plus et des ronronnements se font entendre.

Elle coule à flot, elle gémit un peu fort. On cogne à la porte, on s’informe, elle répond que tout est OK !

Après nos ébats, nous sortons. Quelques invités restés nous observent et en ont qu’un très large sourire exprimé.

Elle devient très inconfortable. Et elle se jure de me faire payer ce moment d’égarement passager espère-t-elle en ce moment.

Elle sait où je demeure, elle sait où je travaille, et croyez moi, quand je dis qu’elle a plusieurs tours dans son sac.

Je suis la victime idéale qu’elle pourra utiliser à sa guise, et cela quand elle en sent le besoin extrême de sensations fortes.

Elle a des arguments très convaincants pour le voyeur que je suis.

Elle a des besoins, que même lorsqu’elle est en service, elle ne se gêne pas pour de quémander satisfaction immédiate.

Je ne peux dire non devant ce corps qui ne demande qu’une chose dans son fort intérieur, c’est que j’en prenne bien soin.

Elle a une vulve si proéminente, que je ne peux résister… hummm

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Petite Danse à Table

Une serveuse jeune grande et svelte, me demande après m’avoir servi plusieurs cafés, si je désire en avoir un dernier,

Je lui dis, que j’en ai pris plusieurs et que si je continue, Je vais me mettre à danser sur la table, d’un geste prompt et sure elle me

verse un autre café. Elle a de la suite dans les idées…

Elle se dandine dans les allées en me regardant, En envoyant dans les airs, en tournoyant, sa serviette d’un regard qui en dit

long sur ce qu’elle me réserve, Elle me regarde et fait quelques mouvements de danse du ventre, elle

sourit, J’entrevois ici une habituée…

Elle revient avec une assiette pour la table voisine, Elle se penche, elle se monte le derrière vers moi et d’un mouvement de

« dandinage » insolite de sa part, Elle me regarde et d’un petit sourire en coin, elle Me provoque…

Elle continue son service, faisant mine de rien, Elle est à servir un verre d’eau à une tablée de trois dames qui viennent

d’enfantées. C’est évident, à voir leurs seins, Elle se saisie un sein de la main de la main et elle me regarde d’un œil

approbateur alléchant et tordu…

Bon ! Bon ! Bon ! A-t-elle une idée derrière la tête ? Je suis beaucoup plus vieux qu’elle ! Que veut-elle ? Une danse, Je suis allumé et conquis dans mon rôle de Rebelle…

Je ramasse toutes mes choses, et voilà, je m’exécute, Je monte sur une table et me met à danser, Lentement, je déboutonne ma chemise mais voilà que toutes les autres

serveuses en veulent, et elles en redemandent activement.