G . LEC PINTEE

RECHERCHES D fEÀU POUR LA VILLE DELIGNIERES (Cher).

Décembre 1954

RECHERCHE D'EAU POUR LA VILLE DE LIGNIEHES (Cher)

par 0 . LECOIÎJTHE

INTRODUCTION

Le 13 Septembre 1941, le Conseil Municipal de Lignièresprenait une délibération tendant à faire établir un réseau dedistribution d'eau potable.

Il faisait choix de IM. COURTOT et R0NF3RT d1 Amiens, com-me Ingénieurs-conseils et demandait au Préfet la désignation d'ungéologue.

Les besoins étaient évalués à ¿00 me par 24 heures.

A cette époque, la France était coupée en deux par la "li-gne de démarcation" de sorte Que cette partie du département duCher était isolée de Paris, résidence de M . A B R A R B , Collaborateurprincipal pour le Cher.

M. Ronfort replié à Chateaumeillant pouvait s'en occuper.

De par mon lieu de résidence, je me trouvais en zone occupéemais jouissais d'un "permis" frontalier me permettant - à ce mo-ment - le franchissement facile de la ligne. Je suppléai doncii. .abrard et conservai la direction de l'affaire après la suppres-sion de la ligne de démarcation.

SITUATION GEOLOGIQUE

L'ensemble de la région est constitué par les couches duLias et du Dogger inclinées au Nord, recouvertes en discordancepar des formations éocènes,: sables et argiles de Brenne, surmon-tées par d'autres sables miocènes ( Sables de la Sologne ) , et uncailloutis de quartz roulé probablement pliocène ou quaternaireancien.

Localement tout l'ensemble est déprimé sous la forme d'unovale dont la Ville de Lignières occupe le centre de sorte queles couches tertiaires affleurent Jusqu'au fond de la vallée tan-dis que le Toarcien et le Bajocien en aaont et le Bathonien enaval, apparaissent au bas du flanc des coteaux surmontés par lesmêmes formations tertiaires.

La carte au 80.000? - 22 édition fait très bien apparaîtrecette disposition. Je conseille d'y référer pour l'intelligencede ce qui va suivre.

I - RECHERCHE DE LtEAÜ DAN¿ LES COLLIDES

La Municipalité de Lignières aurait désiré une adductionpar gravité des eaux qui sourdent des sables et grès tertiai-res et des graviers des plateaux à la périphérie de la cuvette.

Une inspection rapide me montra que ces émergences étaienttrop dispersées et que des kilomètres de galeries captantes se-raient nécessaires pour n'obtenir peut-être que le quart du dé-bit désiré.

II - RECHERCHES DANS LA PRAIRIE DE L ' A R M

Les alluvions de l'Arnon paraissant sableuses, je conseil-lais un puits de recherche de 4 à $ m àe profondeur pour serendre compte de leur importance et de leurs possibilités.

EXECUTION DE3 RECHERCHES

En 1943, la Municipalité faisait effectuer un puits derecherches Nël à l'endroit indiqué dans les prés.

Il rencontrait : de 0 m à lm Limon alluvial et quartz roulé

1 m - 2,50 Sable et quartz roulés

et dessous : " 2,^0 - 4,20 Grés argilosilicite rouge

4,20 - 6,80 Grès argilosilicite blancsale appartenant à la forma-tion éocbne des Grés deBrenne ( Bartonien ) .

Les alluvions n'étaient pas assez épaisses pour être aquifères;quant au grfcs de Brenne il était à cet endroit parfaitement im-perméable et non fissuré.

C'est là qu'intervinrent un ou plusieurs sourciers dontJe n'ai pu savoir le nom.

La Municipalité fit donc,sans m'en aviser, creuser undeuxième puits a 50 m environ SE du premier.

- 3 -

Puit3 de recherohes NS2

II rencontra :

de 0 à 5m Alluvions modernes peu sableuses5 - 20,5 l e s argiles et argilosilicites de Brenne

sans bien entendu plus de résultat que le premier.

III - FORAGE

Je fus alors convoqué et dans un second rapport (Nov.1943)étudiai à fond la solution d'un forage envisagé des le débutet destiné à atteindre le calcaire du Dogger sous les grés deBrenne vers le centre de la cuvette.

Le forage devait avoir au moins }0 m et être implantéau Nord de la Ville ; ceci pour deux raisons :

IS - Ne pas risquer d'aboutir dans les marnes du Toarcien quidans cette région ont, d'après de Grossouvre, 70 m d'épais-seur -chiffre confirme par le puits d'Argenton s/Creuse-r

22 - II semblait qu*à cette distance les calcaires après leurploiement sous la cuvette de Lignières aient déjà amorcéleur remontée vers le Jour et que la profondeur à attein-dre ne soit pas excessive.

Les recherches furent reprises en Septembre 1945 surl'initiative de M . de la SOURCE, Ingénieur en chef du Génie Ru-ral de Bourges qui me demandait de visiter le point d'implanta-tion propose par la Municipalité.

Ce point était assez bien choisi quant à la positiongéologique X au ÎJE de la ville) et topographique :a proximitéd'une colline bien disposée pour recevoir le réservoir.Mais, je reconnus la "main" du sourcier par sa position à mi-pente dans un ravin Inaccessible au matériel de forage . . .

Je proposai donc un autre emplacement au pied du coteauau bord de la route de Condé où se trouvait en outre une lignehaute tension.

L'on se rendit à mes raisons, et l'adjudication d'unpuits fut accordée à la Maison Huillet.

Ce puits est resté jusqu'à 34 m dans les formations dela Brenne ( voir annexe N81 ) . Toutefois dans les derniers mè-tres, l'abondance de matériaux détritiques très grossiers lais-sait prévoir la base de oette formation.

- 4 -

Le Génie Rural décidait alors de prolonger le puits par unforage carotté qui fut exécuté par la Société "Bonne Espérance".Malheureusement,on n'employa que le carottier simple de sorte queles parties marneuses n'ont pu être échantillonnées et soumises àune étude microfaunique. Celle-ci a porté uniquement sur les cal-caires.

Apres avoir traversé de 34 à 43 m,25 une argile à silexjaune de décalcification, le carottier a ramené de 43m,25 à 65m,50de calcaires plus ou moins saccharoïdes blancs avec chaules at-tribuables au Bathonien puis de 65m,^0 à 92m,}0 des calcaires plusfoncés avec chailles bleutées et cavités contenant de la limoniteattribuée au Bajocien.

Cette formation montrant des traces non équivoques de cir-culation d'eau, on a décidé de procéder aux essais de pompage dansle sondage établi aux diamètres de 6 ' de 0 à 40m, 51 de 40 a 50 etterminé a 4 ' 1/4.

Ceux-ci ont été effectués à l'émulseur et ont fourni sansdésamorçage If» Aébit de 44 mc/h pendant 1/2 journée.

Il a donc été décidé d'établir le forage définitif à cetendroit.( voir coupe détaillée annexe Nil).

HYDROLOGIE

le - Le Puits a fourni un peu d'eau provenant des parties les moinscompactes du grès de Brenne. L'analyse chimique a donné des ré-sultats défavorables quant a la potabilité.

13 Mai 1952 - Profondeur atteinte : 33 m

Niveau piézométrique - 8 m,50

Débit à épuisement 8 mc/h.

Analyse : Nappes 1 - 2 - 3 cumulées (Labo. de la Ville deParis).

RésistivitéT)° hydrot. total 28,5Sulfates 15 mgr/litreChlorures j 190 mgr/litre

28 Novembre 1952 - Profondeur : 34 mLaboratoire départemental du Cher

Analyse : Nappes 2 et 3 après élimination de la nappe 1

Mat.organique (en oxygène en milieu alca-lin après filtration) . . 0,8

Ammoniaque NH' 0Acide nitreux N2(P 0Acide nitrique N20^ 3,2

- 5 -

Chlore ( Cl ) 24,85

Di hydrot. total 19

Eau terreuse.

Analyse par le Labo. départemental du Cheraprès 30 h. de pompage consécutives.

Mat.organique en 0. (milieu alcalin) . . . 2 mgr/litre

Ammoniaque ( NH*) 0 "

Acide nitreux ( ITO-5) 0

Acide nitrique ( N20^) 1,8

Chlore ( Cl ) 58,57 "

D§ hydrotimétrique total 24

M

n

it

II y a une charge anormale en Chlorures. liais on ne voitguère comnent elle pourrait être le résultat d'une pollutionancienne. Il est plus probable qu'elle est d'origine géologique.

2% L'eau provenant du Jurassique par le forage carotté estdifférente :

Analyse par le Labo. départemental du Cher11 Mai 1954.

Mat.organique en 0. (milieu alcalin) . . . 1,1 mg/1

Ammoniaque (Nïr ) 0

Acide nitreux ( N V ) 0

Acide nitrique(N20^) " . 4.6

Chlore (Cl) 15,97

D1-- hydrot. total 17^

pH 7,2

Fer 0,3 mg/L

Cette eau est chimiquement bonne, mais on peut êtresurpris de son faible degré hydrotimdtrique sachant qu'ellea circulé dans les calcaires jurassiques.

- 6 -

C O N C L U S I O N : ]

li - Du point de vue de l'hydrologie, ce forage confirme ce quenous savions déjà un peu de la région, par les forages etpuits de Tendu, St-Août, Pruniers et Chezal-Benoit, c'est àdire qu'il faut descendre jusqu'au Bajocien -ou tout au moinsà la base du Bathonien- pour trouver des calcaires fissuréset caverneux présentant des circulations souterraines intéres-santes.

2ë - Du point de vue tectonique ;

Nous trouvons la confirmation de vues exprimées parlà. JODOT, auteur de la révision des terrains tertiaires de laCarte Géologique de la France au 80.000? (Feuille Issoudun),et qu'il a exprimées par les tracés de la Carte c'est-à-direque :

Les terrains tertiaires d'origine continentale sont éta-blis en discordance sur la tranche des terrains jurassiques, quipendent vers le Nord c.à d. vers la dépression générale du Bas-sin de Paris.

Localement, à Lignières, cet ensemble a été affecté d'unmouvement d'enfoncement qui semble se placer au Miocène. LesSablea de Sologne (Burdigalien) remplissent le centre de la cu-vette mais débordent quand même sur le plateau.

Les formations plioquaternaires du plateau ne sont pasaffectées.

La base du Tertiaire qui partout ailleurs se trouve àpeu de distance du sommet des plateaux descend à Lignières à34 m sous le niveau de la plaine alluviale de 1' Arnon c.à.d.a la cote 126. d u dépôt

On pourrait être tenté de voir là l'effet/des grés deBrenne dans une vallée préexistante ; or, nulle part on nevoit trace de vallée ancienne prolongeant la dépression de Li-gnières : En effet les cotes de la base de la formation deBrenne dans les autres forages connus sont : Chezal-Benoit I58-St-Août 186.

A Pruniers cette cote est seulement de 1}9 B . Or, si onpeut observer le prolongement du bassin tertiaire jusqu'à cettelocalité située à 10 km à l'ïTNW de Lignières ; d'autre part,on constate que } Km plus à l'ouest encore le bassin se ferme.Cette hypothèse doit donc être rejetée.

- 7 -

On peut hésiter également an sujet de la nature de 1*ac-cident. S'agit-il sisplesent de la formation d'un synclinal oubien celui-ci serait-il faille sur son bord Hord, l'affleure-ment de la Celle-Condé figurant la lèvre soulevée ?

Il ne m'est possible de trancher la question que par une"impression" :

Je pense plutôt à un ploiement en synclinal »-Seuls desforage3 ultérieurs pourraient, à aon avis rpercettre la discri-mination.

Je figure néanmoins ci-après les schémas résultant desdeux hypothèses, (annexes Nos 2 et J ) .

Paris» le

ANHEXE N U COUPE DE L'AVANT PUITS ET DU FORAGE DE RECHERCHE

JJEPABTEüßCHT du Cher, Commune de LIGNIERESroute de Condé.

Profondeurs Nature des terrains Interprétation

0,00- 1,00

i,oc- 6,00

6,00- 11,00

11,00- 12,00

12,00- 19,00

19,00- 24,00

24,00- 34,00

34,00- 43,25

Carottes

2,71 29

IS Avant-puits par Huillet

Terre végétale et limon de ruiselle-

ment.

Argile verte, tendre

id plus dure

id contenant du quartz par-

ties salies par oxyde de fer

Sable argileux ferrugineux rouge-

brique, plus grossier vers la base

Grès argilo-silicite gris

Brèche à éléments d*argilo-silicite

anguleux, quartz gros et roulé, piso-

lithesde fer. Ciment; limonite

et quartz fin.

Bartonien

Grès argilo-

si -icites de

la Brenne

2S Sondage carotté par Bonne Espérance

Argile jaune contenant des lits de Jurassique

chailles foncées décalcifié

DEPARTEMENT DU CHEH, Commune de LIONIEBES - 2 -

Carottes

L %

4^,2^-46,00 0,8 29,0 Calcaire à chaules, récifal Bathonienpolypiers, vacuoles, tantôtcristallin, tantôt sublitho-graphique.

46,00-46,50 0,6 120 Cale, à chailles, gris brun àpatine blanche, fissures sa-lies de limonite, géodes dequartz, traces de tests defossiles.

46,50-49,10 0,7 26,9 Calcaire marbre, llthogr.larg:cristallisé, spatMque-chailles

49,10-51,50 1,0 41,6 ( Cale.à chailles, pâte fine cou-'( leur crème, géodes de quartz

51,50-51,80 0,5 166,5 ( dans les chailles.

51,80-51,90 0,13 130 Cale, blanc, fissures raresminéral noir en taches,crist*de calcite,tige d'encrine ronde

51,90-52,45 0,7 127,2 Cale.saechar, à entroques, chail-les fissurées avec ocre

52,45-53,15 0,5 71,4 Calc.oolithique, cassure nodu-leuse, vacuoles, dendrites

53,15-54,30 1,3 II3 Cale.blanc piqueté de jaunecristall. de calcite,chaillesgris-bistre à patine blanche etgéodes de quartz.

54,30-55,65 1,0 74,0 Cale.beige clair, saccharoide$vacuoles et géodes de calcite

55,65-55,90 0,4 160 ( Cale.blanc-crème cristallin t

55,90-56,40 0,55 H O ( à chailles.56,40-56,90 0,5 100 Caie.sacchar.blanc et jaune/géo-

des d'aragonite pyramidée.

56,90-57,25 0,35 100 ( Cale.sacchar.blanc à entroques) piqueté jaune,fissures jaunes ou( verdies.

57*50-57,75 0,22 88 Cale.blanc-jaunâtre à entroques.

Ep: 14 m,50 9*50 65,5

DEPARTEMENT DU CHER, Commune de LIGNIEEES - 3 -

Carottes

I

57*75-53,40 C,42 64,6 ( Calca entroques chamois avec

p8,40-^>y,25 0,7 82, j ( chailles, fissures et dentirites Bajocien

59,¿5-61,35 1,7 fiO,9 id. peu ou pas fissuré.Tere-bratula.

61,35-63,35 1,85 9¿»5 Cale.marbre blanc et chamoissemble un mélange hétérogène decale, à entroques et d'oolitheun peu ferrugineuse, largementcristallisé a la base. Traces detests de fossiles.

63,35-63,75 ü,33 rf¿#5 id. plus oolithique et plus large-ment cristallisé parfois caverneux

63,75-64,85 1,1 100,0 i d . T Trigonia - vers 64,5 - pfissuré, dentirite, calcaire blancoolithique jaunâtre parfois cris-tallin Ostrea

64,85-66,45 1,4 87,5 Calc.oolith.et cristallin clair,ensemble peu fissuré.

66,45-68,95 0,76 30,4 Cale, à entroques, clair + oolith.vers le bas, banc de chailles

r^-5^{asPec't i e hard ground h 66,6p i e d)0t à 68

ov, r^-5^{asPect i e hard gra u pied)03trea sp. à 68 m

68,95-69,35 0,15 37*5 Calcaire, chailles

69,35-70,95 0,2 12,50 Arg. de caverne avec chailles +usées, calcite, débris calcete...

70,95-71,85 0,25 27,7 Cale.caverneux, cavité avec ara-gonite et argile.

71,85-73,45 0,77 48,1 Cale.chamois ool. et entroquesparties microvacuolairesTX Ostrea, Amusslum )

73.45-74,45 0,2 20,0 Calc.chamois, cristallin, chail-les, géode de calcite.

DEPARTEMENT DU CHER, Commune de LIGNIEBES - 4 .

Carottes

L >:•

74,45-74,70 0,18 72,0

74,70-75.^0 0,17 28,3

75,30-75.65 0,25 71,4

75,65-77,30 0,22 13,3

77,30-79,20 0,2 10,5

79,20-79,80 0,17 28,3

79,80-81,35 0,35 22,5

81,35-82,60 0,45 36,0

82,60-83,15 0,3 54,5

83,15-83,75 0,7 116,6

83,75-83,90 0,2 113,3

83,90-84,30 0,33 82,5

84,30-85,40 0,25 22,7

85,40-85,80

Cale, à silex caverneux, stalag- BajocienmiteCale, chamois caverneux

Cale, chamois cristallin caver-neux

id. géode dfaragonite

cale, chamois clair à chaules

id.

Silex à géodes puis calcairecristallin dur, chamois.

Cale, id, au précédent :Cale, marmoréen largement cris-tallisé.

Cale.cristallin chamois clair.Calcool, à chaules (pass.va-cuolaire vers le milieu de lacarotte)

Cale.erist. et ool. chamois -clairj bancs chaules en tête,milieu,pied.

Cale, chamois à silex

(1 carotte bien entière)

En tête chaules bleues à géodespuis cale.chamois à chaules.

Cale.chamois à dendrites et chail-les bleutdes.

85,80-85,90 0,1 100 Chailles isolées éparses + rou-lées : Caverne ? ~*

- 5 -DEPARTEMENT DU CHER, Commune de LIGNIERES

Garottes

85,90-86,25 0,37 105,7 Calc.ool.et crist.chamois Bajocienhomogène, lourd.

86,25-86,35 0,15 150,0 Cale.chamois clair, chaulesbleutées à géodes.

86,35-87,45 0,29 26,3 Cale.cristallin et ool.chamois

87,45-88,40 0,1 10,5 (Cale.avec chaules bleutées mon-

88,40-89,00 0,13 21,6 (trant traces de circulationd'eau

89,00-89,15 0,2 133#3 Cale.avec chaules chamois fon-cé

89,15-89,90 0,32 42,6 id (le silex au pied)

89,90-90,00 0,1 100,0 (Calcaire chamois foncé finement90,00-91.05 0,2 19,0

91,05-92,30 0,34 27

Ep. 34 m,55 15,90 46,8

cristallin, fissures avec limo-

nite en poudre.

' A.2LI6NIERES (CHER)

COUPE SCHÉMATIQUE LE LONG DE LA VALLEE DE L'ARNON

[Synclinal ?

Sé Hi/aire Ugniëresprojection du

iorege La Celle Condè

N

SABLES DE LA SOLOGNE

H1. 3.R.Û.6.M. N?2/76 A. 717

A . 3ÜGMíRZS ÇCHERJ

COUPE SCHÉMATIQUE LE LONG DE LA VALLEE DE L'ARNON

'Faille 1N

S* H ¡la ire Lignièresprojection du

Forage la Celle Condé

' «M • S " " ^ ^ " " ^ • • "*^«^SOLOGNE

CALLOVIEN

BAJOCIEN

15-12-54 HI. . N"2I77 A1J7