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Histoire du thۥtre 1

Histoire du thۥtre

Le D€part des com€diens italiens en 1697, gravure de L. Jacob d'apr‚s Watteau.

Antiquit€

Articles d€taill€s : Th€•tre de l'ƒgypteantique, Th€•tre grec antique et Th€•tre

romain.

Selon la Po€tique d'Aristote, le th€•tre vient

du dithyrambe (chant en l'honneur de

Dionysos). L€histoire du th€•tre occidental

d€bute avec les c€r€monies religieuses de la

Gr‚ce antique. „ ces occasions avait lieu le

concours de trag€die. Chaque auteur €tait

subventionn€ par un m€c‚ne et devait

pr€senter une t€tralogie (trois trag€dies et un

drame satyrique[1]), ces quatre pi‚ces €taient

 jou€es … la suite dans la m†me journ€e. Le

spectacle se d€roulait dans un th€•tre

(theatron) de plein air. Le mot amphithۥtre

n€€tait pas utilis€ par les Grecs, mais plut‡t

par les Romains. Les acteurs €taient uniquement des hommes.

En l€an -534, Thespis associa au chˆur (qui chantait des dithyrambes … la gloire des h€ros grecs) un unique acteur (le

protagoniste) qui jouait tous les r‡les. „ partir d€Eschyle, il y eut un deuxi‚me interpr‚te, puis Sophocle en fit

intervenir un troisi‚me. Les personnages et le chˆur (tous masculins) €taient alors masqu€s, comme au d€but del€€poque romaine (… partir du IIe si‚cle av. J.-C.).

Ensuite, le th€•tre latin se tourne davantage vers la farce et le mime. „ l €€poque romaine, les repr€sentations €taient

 jou€es dans un th€•tre, d€architecture l€g‚rement diff€rente du th€•tre des Grecs. Il €tait construit selon les cit€s sur

un espace plat, ou au dos d€une colline. Les acteurs sont d€sormais maquill€s au lieu de porter un masque.

Suit la p€riode des d€buts du christianisme oŠ le th€•tre est violemment critiqu€ par les th€ologiens (Tertullien le

qualifiera de d€moniaque dans son  Des spectacles, Augustin d'Hippone en critiquera l€attrait pernicieux), et les

com€diens sont excommuni€s (d‚s le concile de Carthage, en 398, voir aussi l €article : excommunication des

acteurs).

Th€•tre au Moyen ‚geArticle connexe : Th€•tre au Moyen ‹ge.

La pratique du th€•tre semble inconnue du Haut Moyen ‹ge : si les ˆuvres dramatiques de T€rence ou de S€n‚que

ne sont pas totalement oubli€es, elles sont envisag€es ind€pendamment de toute pratique sc€nique, … tel point que

dans ses  •tymologies, Isidore de S€ville (vers 570-636) commet un contresens sur ce que devait †tre le th€•tre

antique : il pensait que le texte et le jeu €taient dissoci€s, qu'un r€citant prenait en charge l'ensemble des r€pliques de

la pi‚ce tandis que d'autres intervenants se contentaient de mimer les actions[2].

La premi‚re ˆuvre th€•trale du Moyen ‹ge dont on ait connaissance est une Visite au s€pulcre, dont il est question

dans les €crits d'un €v†que de Winchester, saint Ethelwold (vers 969-975) [3]. Il s'agit de la premi‚re trace €crite d'un

genre que l'on baptisera le drame liturgique. Il €tait repr€sent€ … l'int€rieur des €glises, devant l'autel, des moines

interpr€tant les r‡les des personnages du Nouveau Testament.

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Histoire du thۥtre 2

On a longtemps cru que le th€•tre occidental €tait n€ d'une €mancipation progressive du drame liturgique, qui serait

sorti des €glises pour †tre repr€sent€ dans leurs porches ou sur leur parvis. Le Jeu d'Adam, au milieu du XIIe si‚cle,

en repr€senterait l'aboutissement. Or, si cette pi‚ce pr€sente bien des caract€ristiques novatrices sur le plan de la

dramaturgie, rien ne prouve qu'elle n'ait pas €t€ jou€e … l'int€rieur des €glises[4].

Une autre voie possible par laquelle le th€•tre aurait ressuscit€ en Occident est celle qui passe par les jongleurs,

sp€cialis€s dans une ex€cution orale des textes de litt€rature qui m†le constamment narration et interpr€tation, … une€poque oŠ celle-ci se diffuse essentiellement par l'oralit€[5].

C'est en tout cas dans le cadre du d€veloppement urbain du XIIIe si‚cle que le th€•tre en langue vulgaire (que l'on

appelle alors Œ Jeu ) prend v€ritablement son essor par des troupes itin€rantes qui se produisent sur les places

publiques : onze pi‚ces nous sont parvenues de cette €poque, dont pr‚s de la moiti€ viennent d'Arras. On ne connait

les noms que de trois de leurs auteurs : Rutebeuf, Adam de la Halle et Jean Bodel [6]. Tous trois sont des jongleurs[7].

Si Jean Bodel, avec  Le Jeu de saint Nicolas (1200 environ) et Rutebeuf avec  Le Miracle de Th€ophile (1263-1264)

inaugurent la vogue de l'adaptation pour la sc‚ne de la litt€rature hagiographique (genre dit des Œ Miracles ). Adam

de la Halle met en sc‚ne, avec Le Jeu de la feuill€e (1276) un univers enti‚rement profane[8].

Apr‚s un ralentissement au cours de la p€riode troubl€e, du XIVe au XVe si‚cle on voit apparaŽtre ou se d€velopper

de nouveaux genres th€•traux : farces, soties, moralit€s, myst‚res.

Les myst‚res sont jou€s dans le cadre de f†tes li€es au calendrier liturgique. Ils mettent en sc‚ne essentiellement la

passion et la r€surrection du Christ, parfois des personnages de l €Ancien Testament, les Ap‡tres, ou retracent la vie

de saints.

La RenaissanceArticle d€taill€ : Th€•tre … la Renaissance.

Au XVe si‚cle, on red€couvre les trag€dies de S€n‚que le Jeune.

„ la Renaissance, les formes principales de la fin du Moyen ‹ge subsistent, mais en 1548, la repr€sentation des

myst‚res est interdite, seules des pi‚ces Œ profanes, honn†tes et licites [9] peuvent †tre cr€€es. ApparaŽt un th€•tre

nouveau qui, tout en rompant avec les traditions litt€raires, renoue avec l €Antiquit€.

Le XVIIe si„cleArticle d€taill€ : Classicisme.

„ partir du moment oŠ la division religieuse s€instaure avec la r€forme  protestante, au XVIe si‚cle, les myst‚res

religieux disparaissent. L'ƒglise oscille alors selon les €poques, les volont€s du prince (ainsi l'€dit de Louis XIII le 16

avril 1641 semble lever l'opprobre frappant les com€diens) ou l'€volution socio-culturelle entre tol€rance (tel

Georges de Scud€ry, proche du cardinal de Richelieu dans son  Apologie du Th€ƒtre en 1639) ou interdiction (tel

Andr€ Rivet dans son Instruction chrestienne touchant les spectacles publics des Com„dies et Trag„dies en 1639 ou

la traduction en 1664 du Trait€ contre les danses et les com€dies de Charles Borrom€e qui incite certains €v†ques

franais … excommunier temporairement les com€diens[10]) contre les spectacles religieux. Le concile de Soissons ne

l‚vera l'excommunication mineure qu'en 1849.

L'esth€tique du th€•tre classique s'impose en France, avec pour principaux repr€sentants Pierre Corneille, son fr‚re

Thomas Corneille, Jean de Rotrou, Tristan L'Hermite, Paul Scarron, Moli‚re, Jean Racine ou encore Philippe

Quinault.

En Angleterre, la victoire des puritains porte un coup fatal au th€•tre €lisab€thain qui s'€tait d€velopp€ depuis le

milieu du si‚cle pr€c€dent : les th€•tres sont ferm€s par Olivier Cromwell en 1642. Les dramaturges Ben Jonson,

Christopher Marlowe, et surtout William Shakespeare en avaient €t€ les principaux repr€sentants.

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Histoire du thۥtre 3

En Espagne, le Œ Si‚cle d'or est contemporain des ˆuvres dramatiques de Lope de Vega, Tirso de Molina ou

Caldern, qui €laborent une dramaturgie s'€loignant des canons aristot€liciens, notamment en ce qui concerne la

distinction entre les genres comique et tragique.

Le XVIIIe si„cle

En France

La Com€die-Franaise au XVIIIe si‚cle

Au d€but du XVIIIe si‚cle, l€influence des

grands dramaturges du si‚cle de Louis XIV

persiste sur la sc‚ne de la

Com€die-Franaise. La com€die issue de

Moli‚re se voit admirablement prolong€e

par un auteur comme Jean-Franois

Regnard. La Trag€die, au-del… des

imitations raciniennes que l'on peroit chez

Antoine Houdar de La Motte, se tourne versla mise au th€•tre de sc‚nes d'horreur … la

limite de la mals€ance chez Prosper Jolyot

de Cr€billon. N€anmoins, des

renouvellements plus profonds apparaissent

avec les trag€dies de Voltaire (1694-1778)

qui introduit des sujets modernes en gardant

la structure classique et l€alexandrin ( Za…re, Mahomet ) et qui obtient de grands succ‚s. La censure est toujours active

comme en t€moignent, sous Louis XVI, les difficult€s de Beaumarchais pour son  Mariage de Figaro. La lib€ration

des mˆurs de la R€gence apporte un autre renouvellement du th€•tre avec le retour, d‚s 1716, des Com€diens

italiens chass€s par Louis XIV et le d€but d€une tr‚s grande vogue du spectacle th€•tral : on se presse pour admirer

des acteurs r€put€s (L€lio, Flaminia, Silvia•) et rire des lazzis et du dynamisme des personnages issus de la

commedia dell€  arte comme Arlequin, Colombine ou Pantalon. C€est dans cette lign€e que trouve place Marivaux

(1688-1763) et ses com€dies qui associent la finesse de l€analyse du sentiment amoureux et la subtilit€ verbale du

marivaudage aux probl‚mes de soci€t€ en exploitant le th‚me embl€matique du couple maŽtre-valet. les Fausses

Confidences, le Jeu de l'amour et du hasard ou l'†le des esclaves constituent quelques-unes de ses ˆuvres majeures.

Lesage (1668-1747) a, lui aussi, marqu€ la com€die de mˆurs avec son Turcaret (1709), mais l€autre grand auteur de

com€dies du si‚cle est Beaumarchais (1732-1799) qui se montre habile dans l€art du dialogue et de l€intrigue, mais

aussi dans la satire sociale et politique … travers le personnage de Figaro, valet d€brouillard qui conteste le pouvoir de

son maŽtre et qu€on retrouve dans deux ˆuvres majeures : le Barbier de S€ville (1775) et le Mariage de Figaro

(1784). Le th€•tre du XVIIIe  si‚cle est marqu€ aussi par des genres nouveaux, aujourd€hui consid€r€s comme

mineurs mais que reprendra et transformera le XIXe si‚cle, comme la com€die larmoyante et le drame bourgeois qui

mettent en avant des situations path€tiques dans le contexte r€aliste de situations dramatiques qui touchent des

familles bourgeoises. Quelques titres explicites : le Fils naturel (Diderot, 1757), le P‚re de famille (Diderot, 1758),

le Philosophe sans le savoir (Sedaine, 1765), la Brouette du vinaigrier (Mercier, 1775) ou encore la M‚re coupable

(Beaumarchais, 1792).

Mentionnons enfin le d€veloppement de genres qui associent texte et musique comme le vaudeville ou l €op€ra

comique, ainsi que des textes de r€flexion sur le th€•tre avec Diderot et son Paradoxe sur le com€dien, les €crits de

Voltaire pour d€fendre la condition des gens de th€•tre toujours au ban de l€ƒglise, et les condamnations du th€•tre

pour immoralit€ par Rousseau.

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Histoire du thۥtre 4

En Allemagne

Le philosophe et dramaturge Lessing pose, avec son ouvrage la Dramaturgie de Hambourg (1767-1769) les bases de

l'esth€tique du drame romantique.

Le XIXe si„cleLe drame bourgeois est reni€ en bloc, les spectateurs d€sormais familiaris€s … la libert€ n'y trouvent plus leur compte,

pire encore les histoires des drames bourgeois les font maintenant rire d'un rire moqueur.

Cependant, le drame romantique arrive au galop dans cette p€riode qui ne veut plus d'histoires r€serv€es … un public

bourgeois. Victor Hugo est alors le principal auteur du drame romantique. Son style d'€criture d€clenche une guerre

d'opinion entre certains classiques et certains modernes appel€e Bataille d'Hernani.

La censure (r€tablie en 1793 sous la Terreur) guette et Alfred de Musset ne peut pas faire repr€senter ses pi‚ces sur

sc‚ne car celles-ci pourraient paraitre trop choquantes. Il d€cide donc d'€crire des pi‚ces … lire et … imaginer. Ces

pi‚ces sont pour la plupart des proverbes, c'est-…-dire des pi‚ces dont le titre est un proverbe bien connu de l'€poque

(par exemple, On ne badine pas avec l'amour, 1834 et Il ne faut jurer de rien, 1836) et dont l'intrigue doit †tre un

commentaire de ce proverbe.

La fin du XIXe si„cle et le d€but du XXe si„cle (jusqu'aux ann€es 1910)Le drame entre en crise, d€sormais on ne vient plus au th€•tre pour voir des pi‚ces €piques, mais pour voir la r€alit€

sous deux formes, parfois concurrentes, parfois compl€mentaires : le drame naturaliste, notamment repr€sent€ par

Andr€ Antoine, qui repr€sente une peinture de la vie ouvri‚re et/ou artisanale la plus pr€cise possible, les histoires

sont tr‚s souvent des adaptations de romans d'auteurs naturalistes comme ƒmile Zola, et le drame symboliste,

notamment repr€sent€ par Maurice Maeterlinck, qui repr€sente quant … lui une r€alit€ spirituelle oŠ les dialogues

prennent le pas sur les actions et oŠ des €v‚nements jusque-l… n€glig€s par le th€•tre apparaissent (comme la mort

naturelle de la fille de l'aveugle dans L'Intruse, 1890).

Entre 1800 et 1900, 32 000 pi‚ces ont €t€ repr€sent€es … Paris, la fin de la Belle ƒpoque voyant la coupure entre

th€•tres officiels, commerciaux et d'avant-garde (tel le Th€•tre-Libre ou le th€•tre de l €‘uvre). Paris compte alors

une quarantaine de salles et pr‚s de 200 caf€s-concerts, au point qu'on peut parler de Œ dramatocratie , le th€•tre

participant … la fabrication de l'opinion publique comme les journaux. „ partir du Second Empire, le th€•tre est

n€anmoins concurrenc€ par la soci€t€ du spectacle (cabaret, spectacle sportif).

Le d€but du XXe si„cle (… partir des ann€es 1910)En 1906, la censure th€•trale qui r€gnait encore sur la sc‚ne est abolie en France par une manˆuvre budg€taire, le

moyen d€tourn€ consistant … supprimer le traitement des censeurs. La pi‚ce de Guillaume Apollinaire Les Mamelles

de Tir€sias, €crite en 1903 mais repr€sent€e seulement pour la premi‚re fois en 1917 profite alors d'un renouveau de

cette abolition et fait disparaitre, … titre non-exclusif €videmment, la r‚gle d'unit€ d'action, qui €tait la seule r‚gle des

trois unit€s … rester depuis l'assouplissement d’ au drame romantique. Apollinaire d€signe sa pi‚ce comme €tant un

drame surr€aliste.

Un peu plus tard, le d€ferlement du cin€ma classique, qui suit la fin de la Premi‚re Guerre mondiale en Europe,

oblige le th€•tre … cr€er une nouvelle norme pour se distinguer du nouvel art. Pour cela, on d€cide de faire passer la

psychologie du ou des personnage(s) avant l'intrigue, ce qui cr€e de fait un th€•tre radicalement diff€rent de ce qu'il

€tait jusque-l….

Un renouveau est aussi marqu€ dans la dramaturgie, en effet, certains dramaturges reprennent des pi‚ces tragiques de

l'€poque grecque antique en les r€€crivant … la mani‚re moderne, comme Jean Cocteau (Antigone, 1922), JeanGiraudoux (ƒlectre, 1937) et Jean Anouilh (Antigone, 1944). Contrairement … toutes les reprises des pi‚ces tragiques

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Histoire du thۥtre 5

depuis la Renaissance, ces pi‚ces ne reprennent pas le th‚me du choix que doit affronter le personnage principal

invent€ par S€n‚que et anobli par Pierre Corneille d'oŠ son nom g€n€rique de choix corn€lien, ne laissant donc de

tragique uniquement l'id€e du personnage maudit ou de la famille maudite.

La moiti€ du XXe si„cle

L'impact majeur de la Seconde Guerre mondiale au niveau moral de la civilisation fait qu'on ne peut plus penser leth€•tre comme on l'a toujours pens€, bien au contraire, les dramaturges cherchent maintenant … €crire des pi‚ces (des

anti-pi‚ces pour paraphraser Eug‚ne Ionesco) oŠ il n'y a plus d'actions concr‚tes, mais seulement des actions

absurdes, dont le nom du mouvement, le thۥtre de l'absurde. Les principaux dramaturges sont Samuel Beckett (En

attendant Godot, 1953), Eug‚ne Ionesco (La Cantatrice chauve, 1950) et Arthur Adamov dans la premi‚re partie de

sa carri‚re (La Parodie, 1947).

La fin du XXe si„cle et le d€but du XXIe si„cleGardant du th€•tre de l'absurde un refus de montrer des actions concr‚tes en permanence mais en enlevant l'absurde,

le th€•tre contemporain apparait, notamment sous la plume et la direction de Michel Vinaver. Il consiste … cr€er defait un th€•tre sans aucun genre dramatique.

Notes et r€f€rences[1] C€est-…-dire li€ … Dionysos et aux satyres, et non … la satire.

[2] Estelle Doulet, Val€rie M€ot-Bourquin, Dani‚le James-Raoul, Adam le Bossu / Jean Bodel, Atlande, 2008, p.32.

[3] Bernard Faivre, Œ La pi€t€ et la f†te , in Jacqueline de Jomaron (dir.), Le Th€ƒtre en France, Armand Colin, 1992, p.20.

[4] Michel Rousse, Œ Le Th€•tre , in Frank Lestringant et Michel Zinc (dir.), Histoire de la France litt€raire, T.1, Naissances, Renaissances,

PUF, Paris, 2006, p.819-820.

[5][5] Bernard Faivre, art. cit., p.38-40.

[6][6] Estelle Doulet, Val€rie M€ot-Bourquin, Dani‚le James-Raoul, op. cit., p.46.

[7][7] Michel Rousse, art. cit., p.821.[8] Charles Mazouer, Le Th€ƒtre fran‡ais du Moyen ˆge, SEDES, Paris, 1998.

[9] Arr†t du Parlement de Paris du 17 novembre 1548.

[10] Cette excommunication mineure va … l'encontre du mythe de l'excommunication majeure ou anath‚me.

Annexes

Bibliographie

“ Jacqueline de Jomaron (dir.), Le Th€ƒtre en France, Armand Colin, Paris, 1992.

“ Pierre Sauzeau (€d.), Œ La Tradition cr€atrice du th€•tre antique , t. I ( En Gr‚ce ancienne) et II ( De Rome ‰ nos

 jours), dans Cahiers du GITA, n” 11 et 12, Universit€ Paul Val€ry, Montpellier, 1999.

Articles connexes

Voir aussi la cat€gorie Chronologie du th€•tre.

““ Th€•tre d'agitprop

““ Th€•tre grec antique

““ Th€•tre romain

““ Th€•tre m€di€val

““ Th€•tre … la Renaissance

““ Th€•tre classique

“ Th€•tre baroque et Danse baroque“ Th€•tre du XVIIIe si‚cle

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Histoire du thۥtre 6

““ Th€•tre romantique

““ Romantisme

““ Naturalisme

““ Th€•tre de l'absurde

““ Th€•tre prol€tarien

“ Acteurs et actrices du XVIe au XXe si‚cle

““  La Dramaturgie

Lien externe

“ Centre de recherche sur l'histoire du th€•tre (http:/   /  www.crth.org/  ) (Universit€ Paris IV-Sorbonne)

“ Portail du th€•tre

“ Portail de l€histoire de l€art

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Sources et contributeurs de l€article 7

Sources et contributeurs de l€articleHistoire du th€•tre  Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?oldid=97095818 Contributeurs: Aeleftherios, Againstwork, Antaj7co, Arcaruron, Archeos, Arkanosis, Aviron, Badmood,Benoit Rochon, Bfaivre, Bibi Saint-Pol, Bobodu63, Buisson, Cantons-de-l'Est, Ccmpg, C€r€ales Killer, DaiFh, David Berardan, Deep silence, DocteurCosmos, Ellisllk, Emirix, En passant,Erasmus, Escaladix, Esprit Fugace, EyOne, Galoric, Groumphy, Guillaume28, Guillaume70, Gz260, Hemmer, Hercule, Huster, IAlex, Israfel, JLM, Jastrow, Jaucourt, Jbacon, Jborme, Kccc,Kilith, Koui, LAFEUILLE Thomas, Le petit chat est mort, Le sourcier de la colline, Leag, Letartean, Linedwell, Localhost, Loudon dodd, Luc Ab., MH, Masque-sur-Mesure, Mattho69,Miloslava Asaciacibovic, Nebula38, OlivierFils, Orikrin1998, Orlodrim, OxTaz, PRA, Panda rouge, Papier K, Peter17, Philou1024, Pld, Poulos, Pymouss, Restefond, Salsero35, Sebleouf,Sebletoulousain, Shakki, Stanlekub, St€phane33, Theoliane, TiChou, Toddy12, Toto Az€ro, Treanna, Ursus, Vargenau, Vlaam, Woww, Xila, Yuzuru, 256 modifications anonymes

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