JEAN AUBERT

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M W f f û I S t

e t d e s e s h a b i t a n t s

à t r a v e r s s e s r u e s ,

p l a c e s e t m o n u m e n t s .

EDITIONS HORVATH

La réalisation d'un tel ouvrage n'a été rendue possible que grâce au concours de per- sonnes, associations, collectivités, administrations pour lesquelles le présent de la ville de Pontoise s'inscrit dans la suite logique de la connaissance de son passé.

Nous tenons tout particulièrement à remercier pour leur aide :

— Monsieur le Maire de Pontoise qui nous a félicité l'accès aux Archives de la com- mune et aux fonds d'archives légués à la ville ;

— Monsieur Michel Ingelaere pour sa contribution à l'évocation de la résistance et des résistants pontoisiens morts pour la France ;

— Madame la Directrice Départementale des Archives du Val d'Oise ;

— Monsieur le Président de la Société Historique et Archéologique de Pontoise, du Val d'Oise et du Vexin ;

— et tous ceux qui ont accepté de consacrer un peu de leur temps pour nous confier leurs souvenirs d'un passé récent ou évoquer ce qu'ils ont acquis de connaissance.

Nous ne saurions oublier les auteurs des ouvrages sur Pontoise ou d'études particu- lières se rattachant à son histoire, ainsi que ceux qui ont bien voulu permettre la repro- duction de documents personnels.

L'auteur et l'éditeur adressent à tous leur vif sentiment de gratitude.

Directeur de Publication Joël BONGINI ISBN 2-7171-0401-1

COPYRIGHT - Editions HORVATH - 42120 Le Côteau

Pantoise

Sceau de Pontoise.

Charte octroyée p a r Philippe Auguste à la commune de Pontoise.

PONTOISE Dans Pontoise, il y a pont. Dans Pontoise, il y a Oise. Le nom de la cité vient tout

simplement de la présence d'un pont sur l'Oise. Mais quel pont ?

Quand nous arrivons de Paris en voiture, deux solutions s'offrent à nous : l'auto- route ou la route. La première, bien sûr, est toute récente. La seconde beaucoup plus ancienne. Aussi éviterons-nous de passer par l 'autoroute pour gagner Pontoise par la route, quitte à n'atteindre celle-ci que quelques kilomètres avant le franchissement de l'Oise. La route, qu'on appela longtemps route de Rouen, puis R.N. 14 est à peu près rectiligne depuis Saint-Denis. Elle traverse d'anciens villages devenus cités urbaines : Epinay, où mourut le bon roi Dagobert en 638, puis Sannois (Cent-Noix) dont l 'homme illustre fut Cyrano de Bergerac, puis Franconville-la-Garenne qui connut au XVIIIe siècle une certaine célébrité grâce au comte d'Albon, personnage hors du commun, bâtisseur fantaisiste, expérimentateur d'aérostation, et enfin la plaine d'Herblay et de Pierrelaye avant d'atteindre Saint-Ouen-l'Aumône.

Retenons ce nom. Il fait référence à un personnage historique du VIP siècle et de grand renom : Ouen (encore appelé Dodon ou Dadon) archevêque de Rouen, conseiller écouté des maires du Palais, qui vint négocier une trève entre deux hauts- personnages mérovingiens tout près de Paris, et mourut au cours de la négociation. « Tout près de Paris », ai-je écrit. C'est tout simplement aujourd'hui Saint-Ouen.

Mais pourquoi le même nom, la même référence, là, sur les bords de l'Oise ? L'histoire mérite d'être contée.

Le Pont avec ses moulins.

P a n o r a m a de Pontoise, gravure de C. de Chastillon.

Quand la population rouennaise apprit la mort de son évêque (en 681), elle voulut posséder le corps du saint homme. En procession, elle emprunta la voie romaine que nous dénommons encore aujourd'hui « chaussée Jules-César » et traversa le Vexin d'ouest en est. Dans le même temps, un autre cortège, royal celui-là, conduisit la dépouille de l'évêque par la même chaussée, mais sur la rive gauche de l'Oise, et la rencontre se fit en un lieu non dénommé jusqu'alors, sur cette rive gauche de l'Oise, où l'on construisit bientôt un lieu de culte. Celui-ci existe encore aujourd'hui, bien qu'ayant été reconstruit au XIIe siècle. Il fut dédié à la mémoire de l'évêque bientôt canonisé : saint Ouen.

Si l'on regarde une carte détaillée, carte d'état-major, par exemple, où figure le tracé de la « chaussée Jules-César », on voit que l'implantation de l'église est exacte- ment sur l'axe de la voie romaine, laquelle franchissait l'Oise au seul endroit où, sur la rive droite, il n'y avait ni escarpement rocheux, ni marécage. Le pont sur l'Oise, le premier, était là : approximativement à l'endroit où la route venant de Rouen semble venir buter sur la rivière et par conséquent se détourne latéralement.

Le premier site humain de Pontoise fut également là. Peu de chose en vérité. Quel- ques maisons de paysans qui trouvaient un sol fertile, quelques huttes de pêcheurs que l'Oise, poissonneuse, nourrissait, et puis, bientôt, un monastère s'implanta, au sud de la voie romaine, alliant l'avantage du cours d'eau et du plateau. Le monastère porta la nom de Saint-Germain, avant, comme on le verra plus loin, de prendre celui de Saint- Martin.

PONTOISE à vol d'oiieau

Sous les murs de Pontoise.

Certes, le voyageur qui vient de Paris évite l'église de Saint-Ouen pour traverser un faubourg de l'antique agglomération portant le nom de l'Aumône. Mais le conducteur constate aisément qu'il tourne vers le nord-est avant de reprendre à peu de chose près la direction précédente. La route, alors, vient se présenter perpendiculairement à l'axe de l'Oise, face à une falaise rocheuse qui borde la rive droite et que, la rivière franchie, il faudra contourner par le nord ou par le sud.

C'est là que, depuis plus d'un millénaire sans doute, un pont nouveau franchit l'Oise, l'autre ayant été abandonné pour cause de vétusté, et peut-être aussi d'incommodité...

Mais, pour un moment, quittons les rives de l'Oise et revoyons l'histoire de France. La paix carolingienne n'est pas un vain mot : des marchands circulent librement sur le territoire ; les troupeaux, surveillés, paissent sans trouble ; des marchés s'implantent aux points de convergence des routes. Cela, hélas, ne durera pas longtemps, surtout pour les agglomérations riveraines de cours d'eau navigables. Les Normands sèment bientôt la terreur, pillent Rouen en 841... et au cours d'une autre incursion, assiègent une forteresse « en un lieu appelé Pontoise ». Incendie et pillage. Il faudra attendre le traité de Saint-Clair-sur-Epte (911) pour fixer les envahisseurs à l'ouest de la petite rivière vexinoise. Mais, conséquence importante, Pontoise se trouve en avant-poste face à l'ennemi normand dont on sait les conquêtes successives et les incursions guer- rières. Pontoise devient donc ville de défense (construction d'un château fortifié, d'une enceinte, creusement de fossés). Car, tout naturellement par souci de sauvegarde, la population a quitté la partie basse pour le haut de la falaise et se protéger à l'abri du château construit sous le règne de Louis VI le Gros, et des murailles. Il restera cepen- dant, au sud, un « village Saint-Martin » modeste, aux abords de l'abbaye devenue florissante.

Pontoise - La St-Martin

C e m o u v e m e n t d e p o p u l a t i o n e t d ' h a b i t a t e s t é g a l e m e n t s e n s i b l e s u r la r i v e g a u c h e o ù l e s h a b i t a n t s d e S a i n t - O u e n q u i t t e n t l e s p a r a g e s i m m é d i a t s d e la c h a u s s é e a n t i q u e

p o u r le p l a t e a u . E s t - c e v r a i m e n t p a r m ê m e s o u c i d e p r o t e c t i o n o u t o u t s i m p l e m e n t

parce que le pont a été construit, d'abord en bois, puis, au XIe siècle vraisemblable- ment, en pierre ? Toujours est-il que son rôle ne va que s'accroître au cours des siècles.

La présence fréquente de Blanche de Castille et de Louis IX à Pontoise sera béné- fique pour la ville et ses environs. C'est d'ailleurs sur le territoire de Saint-Ouen que Blanche de Castille fera édifier l'abbaye de Maubuisson. Et de nombreuses commu- nauté religieuses s'implanteront soit à l'intérieur des murs, soit aux abords immédiats.

Deux foires ont lieu chaque année, l'une à la Saint-Gautier (l'abbé de Saint-Martin au XIe siècle a été canonisé peu de temps après, et sa mémoire est conservée à travers cette rencontre commerçante autant qu'auprès de son magnifique tombeau) et l'autre à la Saint-Martin. Seule cette dernière à subsisté. On sait qu'au début du XIVe siècle Pontoise comptait 2 150 feux, soit, en estimant à quatre ou cinq le nombre d'habitants par foyer, environ 10 000 habitants. L'organisation communale mise en place par la charte qu'octroie Philippe Auguste, sera bénéfique à la cité qui jouit d'une double autonomie : administrative et judiciaire. Même si la guerre de Cent-Ans est funeste pour Pontoise, même si, plus tard, les guerres de religion entament lourdement sa prospérité peu à peu retrouvée, la ville reste jusqu'à la Révolution une cité autonome, partagée entre le pouvoir civil royal et le pouvoir religieux de l'archevêque de Rouen, ce qui parfois sera cause de conflits.

Mais le XIXe siècle sera redoutable pour Pontoise. La ville n'a plus de rôle militaire. Elle n'est plus qu'un gros bourg, un gros marché qui s'appuie sur le Vexin. Le chemin

Sur les bords de la Viosne.

de fer ne lui apportera pas une nouvelle prospérité et son industrie traditionnelle (minoteries, tanneries, imprimerie) ira même périclitant. Restera cependant le fait qu'elle est siège d'un tribunal, ce qui lui maintiendra une activité judiciaire assez active, et chef-lieu d'un arrondissement très étendu qui coiffe presque tout le nord du département de Seine-et-Oise.

Une rénovation urbaine sage et mesurée dans le dernier tiers du XIXe siècle sort un peu Pontoise de sa paisible léthargie, et il faudra seulement que la ville soit mutilée par la dernière guerre, pour qu'un essor véritable redonne souffle à l'agglomération.

Aux 10 000 habitants (environ) estimés au XIVe siècle font un mauvais équilibre les 6 412 habitants dénombrés en 1876, ou les 8 180 du recensement de 1901. L'accroisse- ment démographique apparaît plus nettement en 1936 :12 145 habitants (presque deux fois plus que 60 ans auparavant) et surtout depuis 1950. On compte aujourd'hui 28 225 habitants, soit plus du double de l'immédiat avant guerre, quatre fois plus qu 'un siècle plus tôt.

Cette population nouvelle vient, naturellement, de tous les horizons. Les Pontoi- siens qui peuvent se référer à trois ou quatre générations dans la cité sont rares, et le passé de Pontoise reste, pour le plus grand nombre, méconnu, malgré les efforts d'his- toriens qui publièrent voilà une décennie un ouvrage documenté, Pontoise - 2000 ans d'histoire, malgré la présence d'une active société historique et archéologique plus que centenaire, malgré les chroniques qu'un adjoint presque nonagénaire rédigea pour le bulletin municipal...

En suivant les rues de Pontoise pas à pas, le passé prendra-t-il un visage plus fami- lier? C'est ce que nous espérons.

LA DERNIERE GUERRE

L ' o c c u p a t i o n

Le bac pendant l'occupation. (Photo Ingelaere)

Les bombardements

Pontoise bombardée en Août 1944. (Photo Ingelaere)

INDEX ALPHABÉTIQUE DES NOMS DE RUES

Adenauer (place) 125 Adrien-Lemoine (rue) 112 Albert-Camus (rue) 126 Albert Ier (place) Albert-Schweitzer (rue) 12^ Albert-Thomas (rue) 125 Alexandre-Prachay (rue) 60 Alsace (avenue d') 125 Anatole-France (rue) 126 Anglais (avenue des) 9 6 Antoine-de-Saint-Exupéry (rue) . . . . . . . . . . . . 126 Aristide-Briand (place) 125 Arquebusiers (rue des) 3 0

Balais (rue des) 48 Basse (rue) 3 6 Beauséjour (rue de) 103 Beau-Sire-Dieu (rue) 74 Beau-Tison (rue du) 38 Beaux-Soleils (sente des) 85 Béguines (rue des) 37 Belle-Croix (place) 57 Berthelot (rue) 101 Beurriers boulevard des) 123 Bleds (Grande Place aux) 4 8 Bôblingen (rue de) 125 Bourgeois (Léon) (rue) 125 Bois-Payen (rue du) 104 Bord-de-l'Eau (rue du) 3 0 Bottés (chemin des) 104 Boucheries (rue des) 3 8 Bourdelle (rue) 123 Bourgogne (rue de) 125 Bretagne (rue de) 125 Bretonnerie (rue de la) 57 Bucherelle (quai) 23

Camille-Pissarro (rue) 123 Carnot (rue) 71 Carrières (rue des) 93 Cergy (boulevard de) 91 Cervoise (rue de la) 3 8 Champagne (rue de) 125 Champ-du-Repos (rue du) 111 Champ-Loisel (rue du) 3 8 Charles-Bouticourt (boulevard) 123 Charles-Daubigny (rue) 123 Charrée (rue de la) 61 Chars (chemin des) 125 Château (rue du) 30 Château-Belgien (rue du) 103 Château-Hanneton (sente du) 125 Chaudronniers (rue des) 52 Cheminées (sente des) 112 Chevalerie (rue de la) 61 Chou (chemin du) 112 Cimetière-Neuf (rue du) 111 Citadelle (rue de la) 120 Clamard (rue) 111 Claude-Debussy (rue) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122

C l o c h e ( rue de la) 5 3 Clos ( c h e m i n des) 9 4 C los ( s en t e des) ' 1 5 C l o s - d e s - A n g l a i s e s ( c h e m i n du) 9 2 C l o s - d e - M a r c o u v i l l e ( rue d u ) 8 5 C l o s - d e s - N o y e r s ( r u e du) 9 5 C o l l è g e ( i m p a s s e du ) 1 0 9 C o r d e l i e r s ( b o u l e v a r d des) 1 2 3 C o r d e l i e r s ( c h e m i n des) 1 2 3 C o r d o n n e r i e ( rue d e la) 5 0 C o r n e (p lace de la) 61 C o r n e ( rue d e la) 61 C ô t e - L é z a r d ( c h e m i n de la) 1 0 4 C o u l e u v r e ( a v e n u e de la) 9 0 C o u t e l l e r i e ( r u e de la) 5 5 C r o i x - d u - B o u r g ( rue de la) 3 7

D a u m i e r ( r u e ) 1 2 5 D e l a c o u r ( r u e ) 5 4 De r r i è r e - l e -Bo i s ( rue ) 1 1 2 D e s c a r t e s ( r u e ) 1 2 2 D e u x - P o n t s ( r ue de s ) 8 3 D i x - A o û t ( rue du) 61 D o c t e u r - D e r ô m e ( a v e n u e du ) 1 2 3 D o c t e u r - G a c h e t ( rue du) 1 2 3 D e g r é s - D o r v a l l e ( rue ) 6 8

E d o u a r d - M a r t e l ( rue ) 1 2 3 E m i l e - H e n r i o t ( rue) 1 2 6 E m i l e - Z o l a ( rue ) 1 2 6 E n n e r y ( b o u l e v a r d d ' ) 1 1 4 E n n e r y ( i m p a s s e d ') 1 2 2 Epée ( rue de l') 3 7 E p e r o n ( rue de l') 5 6 E r i c - d e - M a r t i m p r e y ( rue ) 9 4 Est ( a v e n u e de l') 9 6 E t a n n e t s ( rue des) 8 4 E tape (place de l') 6 4 E u g è n e - T u r p i n (qua i ) 2 8 - 1 1 6 E u r o p e ( b o u l e v a r d d e l') 1 2 5

F i l l e s - P e r d u e s ( rue des) 5 5 F l a c h e ( rue de la) 8 4 F l a n d r e (place de) 1 2 5 F o n d - d e - l ' H e r m i t a g e ( rue d u ) 1 12 F o n t a i n e (quai ) 1 2 4 F o n t a i n e ( rue) 1 2 3 F o n t a i n e - d ' A m o u r ( rue de la) . . . . . . . . . . . . . . 9 3 F o n t a i n e - H o n o r é ( rue de la) 3 7 F o r e s t - H a r d e l o t ( rue) 6 0 F o r t e s - T e r r e s ( c h e m i n des) 1 0 4 Fossés ( b o u l e v a r d des) 1 0 7 F o s s é s ( rue des) 1 0 7

G a m b e t t a ( rue) 1 1 1 G a r e (place de la) 7 3

G a s c o g n e ( rue de ) 1 2 5 G a s p e r i (place de) 1 2 5 G a u g u i n ( rue) 1 2 3 G e e l e n ( rue de) 1 2 5 G é n é r a l - d e - G a u l l e (place du) 7 3 G é n é r a l - D e l a r u e ( a v e n u e du) . . . . . . . . . . . . . . 8 9 G é n é r a l - S c h m i t z ( rue du ) 9 6 G e o r g e s - D u h a m e l (rue) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2 5

Gisors (rue de) 117 Grand-Godet (rue du) 38 Grand-Martroy (place du) 48 Grande Rue 60 Grande-Tannerie (rue de la) 37 Grand-Vicariat (rue du) 52 Gratte-Coqs (sente des) 104 Grouettes (sente des) 104

Harengerie (degrés de la) 59 Harengerie (rue de la) 59 Henri-Dunant (rue) 125 Hautil (boulevard de l') 96 Haut-de-l'Hermitage (rue du) 103 Hermitage (rue de F) 108 Hôpital (boulevard de 1') 123 Hôpital (quai de P) 124 Hôtel-Dieu (rue de F) 21 Hôtel-de-Ville (place de F) 64

Ile-de-France (boulevard de l') 125 Impériale (rue) 68 Isle (rue de F) 115

Jacques-Cœur 122 Jacques-Tête (boulevard) 122 Jalet (rue du) 109 Jean-Claude-Chabanne (impasse) 109 Jean-Jacques-Rousseau (rue) 51 Jean-Jaurès (boulevard) 107 Jean-Mermoz (rue) 101 Jean-Paul-Soutumier (rue) 108 Jean-XXIII (place) 125 John-Kennedy (avenue) 125 Joseph-de-Guignes (place) 125 Jules-César (chaussée) 95 Jules-Lambert (rue) 110 Justice (rue de la) 118

Lards (place aux) 55 Lavoisier (rue) 95 Lebel (rue) 68 Lecharpentier (rue) 112 Lemercier (rue) 52 Libération (place de la) 89 Liberté (place de la) - 110 Livilliers (chemin de) 125 Louis-Mulot (rue) 125 Louis-Nobel (rue) 125 Louvrais (cours des) 125 Lucien-Francia (rue) 108 Ludovic-Piette (rue) 122

Maison-Rouge (rue de la) 90 Malebranche (rue) 120 Marat (rue) 61 Marcel-Rouzier (rue) 37 Marché (avenue du) 96 Maréchal-Canrobert (avenue du) 89 Maréchal-de-Lattre-de-Tassigny (avenue du). 87 Maréchaux (rue des) 84 Maria-Deraismes (rue) 112 Mathurins (chemin des) 104 Menandon (route de) 87 Michelet (rue) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122

Millet (rue) 123 Moineaux (place des) 53 Moincaux (rue des) 53 Mondétour (rue) 53 Montagne (place de la) 35 Mouton (rue du) 84

Neuve-Saint-Louis (rue) 109 Neuve-des-Ursulines (rue) 6 8 Nicolas-Flamel (rue) 111 Normandie (avenue de) 123 Notre-Dame (place) 75 Notre-Dame-du-Val (rue) 61 Nouveau-Saint-Martin (chemin du) 101 Noyers (rue des) 95 Noyers (sente des) 95

Oise (rue de F) 30 Ordre (rue de F) 30

Palais-de-Justice (rue du) 111 Palette (avenue de la) 9 6 Paon (rue du) 34 Parc-aux-Charrettes (place du) 7 4 Pardon (rue du) 55 Pasteur (rue) 115 Pâtis (rue des) 85 Paul-Cézanne (rue) 123 Peigne (rue du) 54 Pelouse (quai de la) 24 Petit-de-Coupray (rue) 115 Petit-Martroy (place du) 4 6 Petite-Tannerie (rue de la) 3 6 Picarderie (rue de la) 2 9 Picardie (rue de) 125 Pierre-aux-Poissons (rue de la) . . . . . . . . . . . . . 51 Pierre-Butin (rue) 3 6 Pierre-Curie (rue) 101 Pierre-de-Coubertin (rue) 95 Pierre-Lavoye (rue) 115 Piscine (place de la) 23 Pis-de-Vache (rue du) 57 Pont-d'Oyse (rue du) 23 Pont-aux-Tripes (place du) 50 Port (quai du) 2 4 Pothuis (quai du) 2 6 Poulain (rue) 118 Prêcheurs (rue des) 55 Premier-Dragons (rue du) 9 7 Prêtres-Saint-Maclou (rue des) . . . . . . . . . . . . . 4 9 Prison (impasse de la) 4 7 Provence (rue de) 125

Rabelais (rue) 112 Ravine (ruelle de la) 104 Réunion (place de la) 4 7 Revert (rue) 120 Richebourg (rue) 8 4 Robert-Schuman (rue) 125 Robinet (sente) 85 Roche (rue de la) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 9 Rodin (rue) 123 Rouen (rue de) 8 7 Rude (place) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123