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LECTEL'R PBOPIUKTAIRK UMl'IUMKUP, gcmont MAQLOIJU BOIS-VEHM liA Rue Américaine, 1358 (UMERO 220 CENTIMES QUOTIDIEN TÉLÉPHONE N> 212 le plus grand tepr^che que nous puissions nous laire est assurément de laisser s'éva- nouir, comme ces Unièmes qerg que produit le sommeil, les idées d'honneur et de jus lice qui de temps en temps b'élivcnteu notre cu'ur.Steiéhl! •ANNÉE N-5U58 PO;ir-AU-PRINCE (HAÏTI) MERCREDI 24 NOVEMBRE 1926 Ce dont on parle... a—•- i i * * » —i———i-i ,e Manifeste inlernalioual des financiers jilesle que viennent s; quelques-uns Jes li- iet industriels les plus «"Europe manifeste j a lait grand bruit -- lie, somme toute, rien i»mi. Les conclusions Éesilaboulil se trou- tja dans le rapport de irenec financière de —s, dans l'appel lancé Conseil suprême lors de leieiK'cik Cannes, dans gluliuns votées pur lu Ke de Gênes, dans les liions des divers co- Id'txperts ijni s'attaque- Ti problème des r épura- mles motions udop- irla Chambre de Coni- ilolernatiouule. Il n'y a non plus qui n'ait été Itoutau long à (îenèvt, diverses commissions fcriélèdes .Nul ions. Inoifeste présente un lalérél cependant, eu Ides milieux d ou I il lllreprésente, en ellel, ptede voir d'une bon ede cette féodalité in- et linanciére qui, Iwile du suIIrage uni- lent entre ses mains Mttuvemements.Or, 'a guerre a créé un Vnouveau qui coin- ! rust<î à poindre Ittdu siècle dernier, '{génération de décrivait à ce pro- «npmier dans son de notre temps". \jM de luttes. La f»ne.raiion à tissé et jjucjour un immense l^'Wacldecjnsor- p procède par coo- pération et non plus pur élra.i glenient ». Ainsi la haute finance, com- me la grande industrie, incli- ne franchement a l'inlernalio- nalisme. Dans leur désir de voir s abaisser les barrières de toute sorte dont le monde est hérissé, et de voir s'établir de larges courants d'échanges entre tous les p:iys - ce qui sérail le seul moyen de remé- dier à b slaguâtion actuelle et à l'appauvrissement de l'Eu- rope les auteurs du m mi- leste en arrivent nié ne à mé- connaître les heureux résul- tats de la victoire des Alliés. Ils semble il regretter, en el- le!,le morcellement des«gran- des unités politiques») d'a- vant guerre el 11 multiplicj- tion des nouveaux Etats, ils oublient q ie la liberté écono inique dont ils se font les champions est incompn'i de avec les métlio I s impéria- listes qui llorissaient avant 1914. De même, lorsqu'il* cri tiquent le nationalisme des jeunes nations, ils n'ont pas l'air de comprendre que celles-ci ne sauraient abais- ser leurs Irontières avant d'a- voir organisé leur ménage in- térieur. Celle myopie et ce mépris tacite des contingen- ces politiques s'explique par le fait que les banquiers et les industriels jugent un Etat non sur sa valeur morale ou sur la qualité de sa civilisation, mais d'après les garanties pra- tiques qu'il offre et sur son rendement immédiat- comme tournisseurou comme client... C'est une conception étroitement matérialiste. Mais l'étal de dénuement et de dé- sordre dans laquelle IT.ur .;>e est tombée, appelle impérial sèment des solutions positive ; el rapides. M, ù ce |.o.ni du vue, le manifeste coniient des suggestions excellentes II té- moigne, en particulier, d'un bel esprit de soli la; ité el tiunc le me volonté de reconslruc lion. Devant la carence des politiciens, devint Iattitude souvent négative de, classe* laborieuses, les capitaines d.i capitalisme international es- saient de tirer le m m le de sa torpeur et de diriger le sauve- tage de la civilisation. a.- delà les anciens antagonismes nationaux el les éternelles luttes île classes, ils aspirent à l'avènement d'un ordre non veau, fondé sur I organisation méthodique de la production et des échanges internatio- naux. C'est ce que préconis lit déjà le malheureux Ralhenau lorsqu'il écrivait, dans si « Triple révolution » que I E- lat politique et patriarcal avait atteint, pendant la guerre, sa tanne la plus haute et qu'il s'agissait niuutcnant de lui substituer 1 Etat économique et social basé sur une stricte hiérarchie du travail et sur le principe de l'entre-aide. Mais c'est là, comme disent les Allemands, de la « musique d'avenir» el les diverses ten- tatives auxquelles nous assis- tons ces temps-ci, ne représen tent encore qu'une première étape vers la conquête de l'Etat moderne incapable de se renouveler par lui-mê- me par les puissances capi talistes coalisées. In grand obstacle EcMoiqiie du Paysan flaittii !£ctuel dévtloppe- *»'t encore, il est •réseau roatier, le JP P*»ur une . andon- fjmon» lo.gue ftan- '«iprmioi, de p;ir . , P»}'s presque désert. Tentation, nécessaire de» marchés, ne èW *"" wn Passage r-Presseurdelannite TO*" 0 » 8 de paysans. Ef*» heures durant, IwuT' M|),,ir dc '•«'»- i ï , 2 on . ne ou 'nau- KIMI" é,0, «*. la roule K?> ,,a ' 1 l,eva » 1 Kits n" 1 " 6 " 6 ' SaUS Hlur, les combinées Souv. P u rson e,ner NjJ de notre voyj- i d . I| | a conclure au p^s;«de ":- ,ic,i,e |«NJI" que la densité Kr e esl dt> :,: ' k;^? S1 u '> limi- 1 ^ aux chefs- lieux d'arrondissement et aux villes qu'il faut par décence dé- corer de ce nom, nos popula- tions urbaines represenleraie.it plus de la dixième partie de la population totale du Pays, Usée a 2 millions et plus. Evidem- ment non ! Aucun esprit«*éricux ne peul être en désaccord avec nous sur ce point. Et ce qui saule aux yeux d'une façon non moins frappante et qui a consti- tuée un des plus sérieux obsta- cles à l'évolution de notre agri- culture, c'est l'éparpillement. la dissémination des réels exploi- tants de notre l'omis rural, a qui conviendrait mal. l'appellation lapidaire de masse paysanne, si cette appellation ne se justifiait par le souci d'une comparaison métrique avec ce que représente l'élément lettré du Pays. Il ne parait pas déplaire a l'ortho- doxie sociologique du voir o.i dédire qu'il existe entre la masse et I élite dd pays un large el pro- Ton I fossé. Ne pou rail-on |>as dira plusieurs fossés?.... Mais glissons sur ce sujet. Sans partager complétecnenl l'avis général nous croyons que sur ce lossé puisque lossé il va les ponts jetés en vue dM contacts prérévolutionnaires ont été insuffisants, tant en longueur qu'en solidi é, pour une pénétr i- tion Iruclueus' pr,r notre élite, et pour une lérie <l observations inéthodi pies sur l'aetiv éco- nomique et agricole de l'élément rural.On ne saurait relaser d'ad- mettre qu'Us auraient fort à (pire, les détenteurs du Pouvoir, s'ils cherchaient uniquement dans les dissertations de nos publicis- tes, les éléments, les formules pratiques des réformes et des créations destinées à améliorer le rouage administratif. I.a dissémination de notre population productrice sur des étendues trop considérahles d.i territoire national esl une des caractéristiques de noire milieu que nous nous étonnons de voir échapper à l'attention des sa- Vania analystes descai»'» I- nos malheurs -; nous noa» s i pressons de convenir q.nl . l de reconfortantes axceptioii i cette remarque et trouvo i ; l.-s excuses a cel oubli |dnn le grsn I uoin'ne d.- |»io!»' \nn politiques qui sollicitaient* les esprits. Mais si Haïti a inconte.laole ment fiai de vivre so.i éaoa u ***** « m* «*r Em.Lmmv % i es Uestouclies & Grand Une *;" ^Provision* alimentaires g S de toutes sortes g ^| liqueurs fins Pâtisserie Blium Clairin Biscuits Boulions etc f$ Le meilleur accueil est reserve à tous. Prix Jdéfianti toute concurrence. 1 militaire il ne faudrait pas que l'âge de la rhétorique pure soit trop long et nous lisse oublie.- notre obligation de ne plus cou traiier l'évolution el la valorisa- tion éiononiinucs de notre peu- ple si plein de vitalité. - Nous devons juguler notre esprit cri- tiqua devant les nécessités de l'heure. Comment comprendre que dans un Pays où, il y a à peine une dizaine d'années, la nou- velle d'un triomphe du gouver- nement sur uue insurrection, dj la formation d'un nouveau mi- nistère, une vente à l'encan de- vaient, même SU sein de la ca- pitale se répandre par la publi- cation 4 son de tambour et tromoeltas, des écrivains aient pensé vulgariser par la brochure ou I article de journal tantôt des procédés de culture, lanlot I idée de sociétés corporatives,de svn- dicalsou de banques agricoles. Au gouvernement qui ne de- vra point tenter d'une main ti- mide la réforme que nous envi- sageons; aux olli'.iels duT'it- de 1915 que ce problème int - resse ti ut aussi bien; a nos com- patriotes à qui nous demandons de seconder cette (euvre quand elle sera entreprise, nous vou- lons crier, pour être entendus par tous que rétablissement d'agglomérations paysannes vers lesquelles porter ellicaeenient les bienfaits de la civilisation et le bonheur que tous prétendent désirer au peuple esl d'une im- périeuse nécessité. Il sérail intéressant et néces- saire peut-êlie de rechercher les causes de l'état de choses que nous signalons, c'est-à-dire de la dissémination exagérée de la population rurale. Mais ce qui demeure de capital intérêt cl de llagrante évidence, c'est que les réformes al les institutions dont I heure a sonné, réformes qui paraissent hanter l'esprit du Gouvernement actuel, ne réu- niront leurs cb inces de suce,}s que par la réa isation dans nos Campagnes des conditions de réceptivité aux inemres admi- nistratives qui coiicornent leurs habitants : l'agglomération en TUC du village esl la base de ces conditions. Avons-nous des mo- y us pratiques d'arriver a ce ré- sultat ? C'est ce qui nous exami- nerons dans notre prochain ar licle. L P. ... a vu, di uanclie soir, au nouveau aie dont M. Ilvppo- litc l'iorvil est le propriétaire, (irandruir. H ou '.' compagnons qui, gravement* l'index au Iront, devant des petits verres qu'ils us vidaient pas, dans la lumée des nombreuses cigarettes qu'ils lai- ssent g r il le r, cherchaient un nom au Café. Le jazz, entraî- nant faisait entendre les plus beaux airs, dans la salle, les pla te uix, chargés de petits verres remplis de liqueurs Unes, a - huent et venaient, l'entrain des clients était grand ; mais les « neul •» songeaient, songvaie t., * ... voit une chose assez curieu- r.euse à Po:l-au Prince : c'est /-<• . •! j. ril M que les grefle, des Tribunaux de LéOnseii (Xhélai * •« « p«<*« téléphone. Et SïlANCE DU LUNDI 'VI NoVEMllllK Assistaient à la séance d'a- vant hier. Messieurs les Sec la ires d'Etat Charles Routier et ( harlcs l'onibrun. L* \ssrmblée, interrompant son ordre du jour, .reçoit le dépôt tait par le Secrétaire d'Ëtatdtf Finances d'uu pro- jet de loi qui supprime les agences postales UM (iiiiiinii nés dont les agents perçoivent au dessous de Vingt gourdes par mois. Ce projet est dé- féré à l'étude de la Section des finances. Puis Mr. Charles Houzier obtient l'urgence el le vote immédiat pour un projet de Convention qui met tin au Contrat ci J ce l'Etal haiticii et la Compagnie française dei t âbles télégraphiques en date (\u ô Mai 1HJ.J. modifié par la Convention du 21) Juin l'J )7. Ap es la d scussion el le vote des articles, l'Assemblée vole la loi qui sain lionne c«!le convention. Kt MrChirlei Kombruu dépose un projet de Contrai entre l'Etal haïtien et la C >in > ign e franc aise des Câblât télégraphiques réglant les conditions d'allérissage des Cables, des Installation! et du trafic de celte Compa- gnie en Etait] à partir «la mai PJ25. Ce C mirât sera voté à lu sé- ance d'aujourd hui. Le bureau sera renouvelé à la se mec de ce jour, noua don lierons dans noire édition de demain le résultat de l'urne pnirtant l'automatique y serait d.* très grande utilité. ... a vu, lundi vers 2 heures de l'après-midi, une exécution de saisie devant le Tribunal de Haix de la Section nord, (iarde- iiunger, malles, tasses et soucou pes, verres et cruches, carafe* et assiettes, matelas, oreillers, fourchettes et coule mx, tout ce- la était jeté, péie-méle, sous la ^alêne. Kl. londés de pouvoir, uisiiers. brocanteurs, cour- tiers, hoinines d'al'laires tour- noyaient autour comme de si- nistres oiseaux de proie. Ma s si tous ces objets pouvaient cou- ler leurs souvenirs f Si ces verres disaient combien de lèvres sou- riantes s'approchèrent deux dans les jours heureux, si ces oreillers racontaient les doux rêves dont ils luivnt les confi- dents, si ce lit criait qu.lles joies pures il abritai... Mais on ne saura rien et tous ces objets passeront à d aulne maîtres el, toujours, ils cMttf- nueronl d'être les témoins d a joies et des tristesses dans l P secret des lov«rs. (.'est la pmt d-s choses. El un beau ntalinl NOTRE OEx les reverra sous la galerie du Tribunal lue nou- velle lois, ils ssronï vendus. Vieux in delas, c'est votre desti- née I Paris ( vouf |avez besoin de beaux CHALES, nnances va- *^ riée^pour cadeau de fiu d'année, empressez-vous £& de passer à Pari s-Bazar Envoyer-y vos portraits, ceux de vos amis, parents? , pour agrandissement. Prix très modérés. W" etc, po tmymwnmw%mvmm' ...s vu. lundi.vers 2 heurssde l'aprél midi. I la rua des Mi- racles, devant la Pharmacie St. Léger Perriar lils. un accident assez grave, l'ue auto No. 8îfô, conduite par une femme heurta' une bicyclette Mo. 04. La cyclis- te qui est le sergent île fa Musi- que «le la Gendarmerie lut blessé à la jambe "anche, sa bicyclette fracturée. Des passants, des voi - sine accoururent a son secours et le transportèrent à fa Phar- macie il recul les premiers soins. Puis il a été conduit à l'Hô- pital Général. ... a vu. mardi vers fi heures du matin, un petit accident de- vant le (iarajte du Service Sani- taire, rue du Magasin de l'Etat. Undeacamioasdu Service ail; u sortir pour sa tournée quoti- dienne dans les rues de '*ort au- Pi ire»-, lorsque l'un des deuxlr* veilleurs, qulprenaerrl ordinai- rement place dans le véhicule et qui l'attendaient dans II rue.' voulut y monter pendant que le camion était en marche. ... vit l'homme laire panache el retomber lourdement sur 11 chaussée. On le releva avec uni jambe Iracturée. -t * i

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  • LECTEL'R PBOPIUKTAIRK

    UMl'IUMKUP,

    gcmont MAQLOIJU BOIS-VEHM

    liA Rue Amricaine, 1358

    (UMERO 220 CENTIMES

    QUOTIDIEN

    TLPHONE N> 212

    le plus grand tepr^che que

    nous puissions nous laire est

    assurment de laisser s'va-

    nouir, comme ces Unimes l

    qerg que produit le sommeil,

    les ides d'honneur et de jus

    lice qui de temps en temps

    b'livcnteu notre cu'ur.Steihl!

    ANNE N-5U58 PO;ir-AU-PRINCE (HATI)

    MERCREDI 24 NOVEMBRE 1926

    Ce dont on parle... a-i i

    ** ii-i ,

    e Manifeste inlernalioual des financiers

    jilesle que viennent s; quelques-uns Jes li- iet industriels les plus "Europe manifeste j a lait grand bruit -- lie, somme toute, rien imi. Les conclusions esilaboulil se trou- tja dans le rapport de

    irenec financire de s, dans l'appel lanc Conseil suprme lors de

    leieiK'cik Cannes, dans gluliuns votes pur lu Ke de Gnes, dans les liions des divers co-

    Id'txperts ijni s'attaque- Ti problme des r pura- mles motions udop- irla Chambre de Coni- ilolernatiouule. Il n'y a non plus qui n'ait t Itoutau long (envt, diverses commissions fcrildes .Nul ions.

    Inoifeste prsente un lalrl cependant, eu Ides milieux d ou I il lllreprsente, en ellel, ptede voir d'une bon

    ede cette fodalit in- I et linancire qui,

    Iwile du suIIrage uni- lent entre ses mains Mttuvemements.Or, 'a guerre a cr un Vnouveau qui coin- !ruste est tombe, appelle imprial sment des solutions positive ; el rapides. M, ce |.o.ni du vue, le manifeste coniient des suggestions excellentes II t- moigne, en particulier, d'un bel esprit de soli la; it el tiunc le me volont de reconslruc lion. Devant la carence des politiciens, devint Iattitude souvent ngative de, classe* laborieuses, les capitaines d.i capitalisme international es- saient de tirer le m m le de sa torpeur et de diriger le sauve- tage de la civilisation. a.- del les anciens antagonismes nationaux el les ternelles luttes le classes, ils aspirent l'avnement d'un ordre non veau, fond sur I organisation mthodique de la production et des changes internatio- naux. C'est ce que prconis lit dj le malheureux Ralhenau lorsqu'il crivait, dans si Triple rvolution que I E- lat politique et patriarcal avait atteint, pendant la guerre, sa tanne la plus haute et qu'il s'agissait niuutcnant de lui substituer 1 Etat conomique et social bas sur une stricte hirarchie du travail et sur le principe de l'entre-aide. Mais c'est l, comme disent les Allemands, de la musique d'avenir el les diverses ten- tatives auxquelles nous assis- tons ces temps-ci, ne reprsen tent encore qu'une premire tape vers la conqute de l'Etat moderne incapable de se renouveler par lui-m- me par les puissances capi talistes coalises.

    In grand obstacle EcMoiqiie du Paysan flaittii

    !ctuel dvtloppe- *'t encore, il est

    rseau roatier, le JP P*ur une . andon- fjmon lo.gue ftan-

    'iprmioi, de p;ir. , P}'s presque dsert. Tentation, ncessaire

    de marchs, ne W *"" wn Passage r-Presseurdelannite TO*"08 de paysans. Ef* heures durant,

    IwuT'M|),,ir dc ''- i ,2on.ne ou 'nau-

    KIMI" ,0,*. la roule

    K?>,,a'1 l,eva1 Kits n"1"6"6' SaUS

    Hlur, les combines Souv.Purson e,ner

    NjJ de notre voyj- id.

    I||a conclure au

    p^s;de,":-,ic,i,e

    |NJI" que la densit Kre esl dt> :,:'

    k;^? S1 u'> limi- 1 ^ aux chefs-

    lieux d'arrondissement et aux villes qu'il faut par dcence d- corer de ce nom, nos popula- tions urbaines represenleraie.it plus de la dixime partie de la population totale du Pays, Use a 2 millions et plus. Evidem- ment non ! Aucun esprit*ricux ne peul tre en dsaccord avec nous sur ce point. Et ce qui saule aux yeux d'une faon non moins frappante et qui a consti- tue un des plus srieux obsta- cles l'volution de notre agri- culture, c'est l'parpillement. la dissmination des rels exploi- tants de notre l'omis rural, a qui conviendrait mal. l'appellation lapidaire de masse paysanne, si cette appellation ne se justifiait par le souci d'une comparaison mtrique avec ce que reprsente l'lment lettr du Pays. Il ne parait pas dplaire a l'ortho- doxie sociologique du voir o.i ddire qu'il existe entre la masse et I lite dd pays un large el pro- Ton I foss. Ne pou rail-on |>as dira plusieurs fosss?....

    Mais glissons sur ce sujet. Sans partager compltecnenl

    l'avis gnral nous croyons que sur ce loss puisque loss il va les ponts jets en vue dM

    contacts prrvolutionnaires ont t insuffisants, tant en longueur qu'en solidi , pour une pntr i- tion Iruclueus' pr,r notre lite, et pour une lrie in > ign e franc aise des Cblt tlgraphiques rglant les conditions d'allrissage des Cables, des Installation! et du trafic de celte Compa- gnie en Etait] partir la l mai PJ25.

    Ce C mirt sera vot lu s- ance d'aujourd hui.

    Le bureau sera renouvel la se mec de ce jour, noua don lierons dans noire dition de demain le rsultat de l'urne

    pnirtant l'automatique y serait d.* trs grande utilit.

    ... a vu, lundi vers 2 heures de l'aprs-midi, une excution de saisie devant le Tribunal de Haix de la Section nord, (iarde- iiunger, malles, tasses et soucou pes, verres et cruches, carafe* et assiettes, matelas, oreillers, fourchettes et coule mx, tout ce- la tait jet, pie-mle, sous la ^alne. Kl. londs de pouvoir, uisiiers. brocanteurs, cour-

    tiers, hoinines d'al'laires tour- noyaient autour comme de si- nistres oiseaux de proie. Ma s si tous ces objets pouvaient cou- ler leurs souvenirs f Si ces verres disaient combien de lvres sou- riantes s'approchrent deux dans les jours heureux, si ces oreillers racontaient les doux rves dont ils luivnt les confi- dents, si ce lit criait qu.lles joies pures il abritai...

    Mais on ne saura rien et tous ces objets passeront d aulne matres el, toujours, ils cMttf- nueronl d'tre les tmoins d a joies et des tristesses dans lP secret des lovrs. (.'est la pmt d-s choses. El un beau ntalinl NOTRE x les reverra sous la galerie du Tribunal lue nou- velle lois, ils ssron vendus. Vieux in delas, c'est votre desti- ne I

    Paris (vouf |avez besoin de beaux CHALES, nnances va- *^

    rie^pour cadeau de fiu d'anne, empressez-vous & de passer

    Pari s-Bazar Envoyer-y vos portraits, ceux de vos amis, parents?

    , pour agrandissement. Prix trs modrs. W" etc, po

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    ...s vu. lundi.vers 2 heurssde l'aprl midi. I la rua des Mi- racles, devant la Pharmacie St. Lger Perriar lils. un accident assez grave, l'ue auto No. 8f, conduite par une femme heurta' une bicyclette Mo. 04. La cyclis- te qui est le sergent le fa Musi- que le la Gendarmerie lut bless la jambe "anche, sa bicyclette fracture. Des passants, des voi - sine accoururent a son secours et le transportrent fa Phar- macie o il recul les premiers soins. Puis il a t conduit l'H- pital Gnral.

    ... a vu. mardi vers fi heures du matin, un petit accident de- vant le (iarajte du Service Sani- taire, rue du Magasin de l'Etat. Undeacamioasdu Service ail; u sortir pour sa tourne quoti- dienne dans les rues de '*ort au- Pi ire-, lorsque l'un des deuxlr* veilleurs, qulprenaerrl ordinai- rement place dans le vhicule et qui l'attendaient dans II rue.' voulut y monter pendant que le camion tait en marche.

    ... vit l'homme laire panache el retomber lourdement sur 11 chausse. On le releva avec uni jambe Iracture.

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