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  • LECTEL'R PBOPIUKTAIRK

    UMl'IUMKUP,

    gcmont MAQLOIJU BOIS-VEHM

    liA Rue Amricaine, 1358

    (UMERO 220 CENTIMES

    QUOTIDIEN

    TLPHONE N> 212

    le plus grand tepr^che que

    nous puissions nous laire est

    assurment de laisser s'va-

    nouir, comme ces Unimes l

    qerg que produit le sommeil,

    les ides d'honneur et de jus

    lice qui de temps en temps

    b'livcnteu notre cu'ur.Steihl!

    ANNE N-5U58 PO;ir-AU-PRINCE (HATI)

    MERCREDI 24 NOVEMBRE 1926

    Ce dont on parle... a-i i

    ** ii-i ,

    e Manifeste inlernalioual des financiers

    jilesle que viennent s; quelques-uns Jes li- iet industriels les plus "Europe manifeste j a lait grand bruit -- lie, somme toute, rien imi. Les conclusions esilaboulil se trou- tja dans le rapport de

    irenec financire de s, dans l'appel lanc Conseil suprme lors de

    leieiK'cik Cannes, dans gluliuns votes pur lu Ke de Gnes, dans les liions des divers co-

    Id'txperts ijni s'attaque- Ti problme des r pura- mles motions udop- irla Chambre de Coni- ilolernatiouule. Il n'y a non plus qui n'ait t Itoutau long (envt, diverses commissions fcrildes .Nul ions.

    Inoifeste prsente un lalrl cependant, eu Ides milieux d ou I il lllreprsente, en ellel, ptede voir d'une bon

    ede cette fodalit in- I et linancire qui,

    Iwile du suIIrage uni- lent entre ses mains Mttuvemements.Or, 'a guerre a cr un Vnouveau qui coin- !ruste est tombe, appelle imprial sment des solutions positive ; el rapides. M, ce |.o.ni du vue, le manifeste coniient des suggestions excellentes II t- moigne, en particulier, d'un bel esprit de soli la; it el tiunc le me volont de reconslruc lion. Devant la carence des politiciens, devint Iattitude souvent ngative de, classe* laborieuses, les capitaines d.i capitalisme international es- saient de tirer le m m le de sa torpeur et de diriger le sauve- tage de la civilisation. a.- del les anciens antagonismes nationaux el les ternelles luttes le classes, ils aspirent l'avnement d'un ordre non veau, fond sur I organisation mthodique de la production et des changes internatio- naux. C'est ce que prconis lit dj le malheureux Ralhenau lorsqu'il crivait, dans si Triple rvolution que I E- lat politique et patriarcal avait atteint, pendant la guerre, sa tanne la plus haute et qu'il s'agissait niuutcnant de lui substituer 1 Etat conomique et social bas sur une stricte hirarchie du travail et sur le principe de l'entre-aide. Mais c'est l, comme disent les Allemands, de la musique d'avenir el les diverses ten- tatives auxquelles nous assis- tons ces temps-ci, ne reprsen tent encore qu'une premire tape vers la conqute de l'Etat moderne incapable de se renouveler par lui-m- me par les puissances capi talistes coalises.

    In grand obstacle EcMoiqiie du Paysan flaittii

    !ctuel dvtloppe- *'t encore, il est

    rseau roatier, le JP P*ur une . andon- fjmon lo.gue ftan-

    'iprmioi, de p;ir. , P}'s presque dsert. Tentation, ncessaire

    de marchs, ne W *"" wn Passage r-Presseurdelannite TO*"08 de paysans. Ef* heures durant,

    IwuT'M|),,ir dc ''- i ,2on.ne ou 'nau-

    KIMI" ,0,*. la roule

    K?>,,a'1 l,eva1 Kits n"1"6"6' SaUS

    Hlur, les combines Souv.Purson e,ner

    NjJ de notre voyj- id.

    I||a conclure au

    p^s;de,":-,ic,i,e

    |NJI" que la densit Kre esl dt> :,:'

    k;^? S1 u'> limi- 1 ^ aux chefs-

    lieux d'arrondissement et aux villes qu'il faut par dcence d- corer de ce nom, nos popula- tions urbaines represenleraie.it plus de la dixime partie de la population totale du Pays, Use a 2 millions et plus. Evidem- ment non ! Aucun esprit*ricux ne peul tre en dsaccord avec nous sur ce point. Et ce qui saule aux yeux d'une faon non moins frappante et qui a consti- tue un des plus srieux obsta- cles l'volution de notre agri- culture, c'est l'parpillement. la dissmination des rels exploi- tants de notre l'omis rural, a qui conviendrait mal. l'appellation lapidaire de masse paysanne, si cette appellation ne se justifiait par le souci d'une comparaison mtrique avec ce que reprsente l'lment lettr du Pays. Il ne parait pas dplaire a l'ortho- doxie sociologique du voir o.i ddire qu'il existe entre la masse et I lite dd pays un large el pro- Ton I foss. Ne pou rail-on |>as dira plusieurs fosss?....

    Mais glissons sur ce sujet. Sans partager compltecnenl

    l'avis gnral nous croyons que sur ce loss puisque loss il va les ponts jets en vue dM

    contacts prrvolutionnaires ont t insuffisants, tant en longueur qu'en solidi , pour une pntr i- tion Iruclueus' pr,r notre lite, et pour une lrie in > ign e franc aise des Cblt tlgraphiques rglant les conditions d'allrissage des Cables, des Installation! et du trafic de celte Compa- gnie en Etait] partir la l mai PJ25.

    Ce C mirt sera vot lu s- ance d'aujourd hui.

    Le bureau sera renouvel la se mec de ce jour, noua don lierons dans noire dition de demain le rsultat de l'urne

    pnirtant l'automatique y serait d.* trs grande utilit.

    ... a vu, lundi vers 2 heures de l'aprs-midi, une excution de saisie devant le Tribunal de Haix de la Section nord, (iarde- iiunger, malles, tasses et soucou pes, verres et cruches, carafe* et assiettes, matelas, oreillers, fourchettes et coule mx, tout ce- la tait jet, pie-mle, sous la ^alne. Kl. londs de pouvoir, uisiiers. brocanteurs, cour-

    tiers, hoinines d'al'laires tour- noyaient autour comme de si- nistres oiseaux de proie. Ma s si tous ces objets pouvaient cou- ler leurs souvenirs f Si ces verres disaient combien de lvres sou- riantes s'approchrent deux dans les jours heureux, si ces oreillers racontaient les doux rves dont ils luivnt les confi- dents, si ce lit criait qu.lles joies pures il abritai...

    Mais on ne saura rien et tous ces objets passeront d aulne matres el, toujours, ils cMttf- nueronl d'tre les tmoins d a joies et des tristesses dans lP secret des lovrs. (.'est la pmt d-s choses. El un beau ntalinl NOTRE x les reverra sous la galerie du Tribunal lue nou- velle lois, ils ssron vendus. Vieux in delas, c'est votre desti- ne I

    Paris (vouf |avez besoin de beaux CHALES, nnances va- *^

    rie^pour cadeau de fiu d'anne, empressez-vous & de passer

    Pari s-Bazar Envoyer-y vos portraits, ceux de vos amis, parents?

    , pour agrandissement. Prix trs modrs. W" etc, po

    tmymwnmw%mvmm'

    ...s vu. lundi.vers 2 heurssde l'aprl midi. I la rua des Mi- racles, devant la Pharmacie St. Lger Perriar lils. un accident assez grave, l'ue auto No. 8f, conduite par une femme heurta' une bicyclette Mo. 04. La cyclis- te qui est le sergent le fa Musi- que le la Gendarmerie lut bless la jambe "anche, sa bicyclette fracture. Des passants, des voi - sine accoururent a son secours et le transportrent fa Phar- macie o il recul les premiers soins. Puis il a t conduit l'H- pital Gnral.

    ... a vu. mardi vers fi heures du matin, un petit accident de- vant le (iarajte du Service Sani- taire, rue du Magasin de l'Etat. Undeacamioasdu Service ail; u sortir pour sa tourne quoti- dienne dans les rues de '*ort au- Pi ire-, lorsque l'un des deuxlr* veilleurs, qulprenaerrl ordinai- rement place dans le vhicule et qui l'attendaient dans II rue.' voulut y monter pendant que le camion tait en marche.

    ... vit l'homme laire panache el retomber lourdement sur 11 chausse. On le releva avec uni jambe Iracture.

    -t

    * i


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