Upload
jl
View
213
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
IMAGERIE DES SPONDYLARTHROPATHIES :LE SQUELETTE PERIPHERIQUEEPluot, MC Lavie, A Feydy, H Guerin!, RCampagna,J Rousseau, D Richarme-Barthelet, D Godefroy, A Chevrot,JL DropéParis - FronceCorrespondance: e,pluot@voila,fr
14 h 30 Durée: 30 minutes
ORL
4307 Tumeurs et pseudo-tumeurs de la basedu crâne
Modérateur: Francis Veillan
DIAGNOSTIC ET SUIVI DES SPONDYLARTHROPATHIES(SA) : LE POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUELGossec, X Ayra!' A Ruyssen, M DougadosParis - FronceCorrespondance: [email protected],fr
Objectifs: Connaître les atteintes typiques des enthèses périphériques dans la spondylarthrite ankylosante.Connaître le rôle des radiographies, de l'échographie et de l'IRM dansle diagnostic de ces enthésopathies.Connaître les principaux scores d'évaluation de l'atteinte du squelettepériphériqueComprendre la nécessité d'une imagerie reproductible pour le diagnostic précoce, le suivi des patients sous traitement.Messages à retenir : Le bilan échographique permet le diagnosticdes lésions des enthèses du membre supérieur et du membre inférieur.L'IRM montre les lésions des enthèses mais aussi l'atteinte osseuseéventuelle.Les scores radiographiques sont connus et validés, des scores échographiques sont aussi utilisés.Résumé: L'atteinte de certaines enthèses (talon, avec tendond'Achille et aponévrose plantaire) est caractéristique de la maladie.L'échographie couplée au Doppler puissance est actuellement unetechnique essentielle en pratique courante, mais un apprentissage spécifique de la technique et de la sémiologie est nécessaire. En effet,cet examen met en évidence des anomalies non visibles sur les radiographies standard à un stade précoce de la maladie, et permet également de visualiser des signes d'enthésite chez des patientscliniquement asymptomatiques.
Mots clés: Squelette, rhumatisme - Squelette, arthrite
Objectifs: Connaître les critères diagnostiques de la spondylarthriteankylosante.Comprendre l'intérêt d'un diagnostic précoce.Connaître les principaux traitements utilisés.Connaître les modalités du suivi de la maladie.Messages à retenir: La SA est caractérisée par l'atteinte inflammatoire du squelette axial, comprenant le rachis et les articulations sacroiliaques, ainsi que du squelette périphérique par le biais des enthésopathies inflammatoires.Le symptôme le plus fréquent est la douleur lombaire basse d'horaireinflammatoire.La progression de la maladie est plus importante dans les dix premières années de son évolution.Résumé: L'atteinte des enthèses du squelette axial constitue la lésionélémentaire de l'atteinte ankylosante. Le délai de prise en charge despatients atteints de SA s'explique en partie par le caractère insidieuxet non spécifique des symptômes initiaux. La relation de cette maladieavec des facteurs biologiques est bien connue. Il existe un lien étroitavec l'antigène d'histocompatibilité HLA-B27, présent chez environ90 % des patients atteints de SA. La démonstration récente de l'efficacité spectaculaire des inhibiteurs du TNF-alpha dans la SA a permisd'identifier cette cytokine comme jouant un rôle prépondérant dansle développement de la maladie. Le suivi des patients sous traitementest essentiel.
Mots clés: Rachis, rhumatisme - Rachis, arthrite - Recommandations
Durée: 30 minutes
Durée: 30 minutes
Durée: 30 minutes
IMAGERIE DES TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURSDE LA REGION ETHMOIDO-FRONTALEJ Casselman (1), FVeillon (2), JL Dietemann (2)(1) Bruges - Belgique, (2) Strasbourg - FronceCorrespondance: jan,casselman@azbrugge,be
IMAGERIE DES TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURSDE L'OS TEMPORAL ET REGIONS ADJACENTESFVeillon (1), J Casselman (2), JL Dietemann (1)(1) Strasbourg - Fronce, (2) Bruges - BelgiqueCorrespondance: francis.veillon@chru-strasbourg,fr
Objectifs: Connaître l'anatomie des cavités, canaux et foramens del'os temporal, des nerfs VII, VIII, IX, X, XI, XII.Connaître les principales techniques d'imagerie et leurs résultats dansle diagnostic des tumeurs et pseudo-tumeurs de l'os temporal.Messages à retenir: Savoir reconnaître un processus tumoral oupseudo-tumoral de l'os temporal et de son environnement immédiat,son mode d'extension, sa nature.Résumé: L'os temporal contient 3 cavités externe, moyenne, interne,plusieurs canaux (dont le canal facial et le méat acoustique interne)
Objectifs: Connaître l'anatomie, les variantes du normal, l'aspectdes nerfs crâniens (l, II, III, IV, VI, V2, VI) en imagerie ethmoïdofrontale.Connaître les principales techniques d'imagerie et leurs résultats dansle diagnostic des tumeurs et pseudo-tumeurs ethmoïdo-frontales.Messages à retenir: Savoir reconnaître un processus agressif tumoral ou non de la région ethmoïdo-frontale, son mode d'extension, sanature.Résumé: L'ethmoïde et son environnement osseux sont soumis à denombreuses variantes. Les infections, inflammations, tumeursmuqueuses, sous-muqueuses, nerveuses, osseuses et autres se présentent sous divers aspects en particulier au contact des nerfs l, II, III,IV, V, VI présentés en imagerie.
Mots clés : Sinus, processus expansif
14 h 00
IMAGERIE DES TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURSDE LA REGION SPHENOIDALEJL Dietemann (1), J Casselman (2), FVeillon (1)(1) Strasbourg - Fronce, (2) Bruges - BelgiqueCorrespondance: jean-Iouis.dietemann@chru-strasbourg,fr
14 h 30
15 h 00
Objectifs: Connaître l'anatomie, l'aspect des nerfs crâniens II, III,IV, V, VI en imagerie sphénoïdale.Connaître les principales techniques d'imagerie et leurs résultats dansle diagnostic des tumeurs et pseudo-tumeurs du sphénoïde.Messages à retenir: Savoir reconnaître un processus tumoral oupseudo-tumoral du sphénoïde et de son environnement, son moded'extension, sa nature.Résumé: L'os sphénoïde et son sinus supportent l'espace hypophysaire, le sinus caverneux, sièges de nombreux processus lésionnelsbénins ou malins impliquant les nerfs crâniens (II, III, IV, V, VI) présentés en imagerie TDM et IRM.
Mots clés: Sinus, processus expansif
Durée: 30 minutes15 h 00
1404
Digestif
LE POINT SUR LE CANCER DE L'ESTOMACRVialle, JP TasuPoitiers - FranceCorrespondance: vialleromain@yahoo,fr
Durée: 30 minutes15 h 00
Messages à retenir: L' entéroscanner et la vidéocapsule endoscopique sont les examens de choix dans l'exploration des pathologiestumorales de l'intestin grêle.Le choix de la technique d'imagerie à utiliser en première intentiondiffèrera selon le mode d'entrée dans la maladie (anémie, hémorragieactive, syndrome de Koenig, occlusion... ).Les caractéristiques sémiologiques des tumeurs bénignes et malignesde l'intestin grêle sont souvent spécifiques.Résumé: L'intestin grêle peut être le siège de tumeurs bénignes(lipome, adénome, léiomyome), mais aussi de tumeurs malignes(lymphome, adénocarcinome, tumeur carcinoïde, tumeur stromale,métastases ... ). La maladie coeliaque ainsi que la maladie de Crohnexposent à une risque accru d'adénocarcinome. Alors que le diagnostic peut être suspecté sur l'échographie haute résolution et le scannerabdomino-pelvien standard, ce sont l' entéroscanner et la vidéocapsuleendoscopique qui seront les examens les plus efficaces et les plusappropriés au diagnostic et à l'exploration de ces tumeurs. L'utilisation de l'entéro-IRM reste anecdotique dans ces pathologies.
Mots clés : Grêle, tumeur
IMAGERIE DES TUMEURS ENDOCRINES DU PANCREASC Caramella, FBidault, EBaudin, M Schlumberger,M Ducreux, C DromainVillejuif - FranceCorrespondance: caroline,[email protected]
Objectifs: Connaître les principales caractéristiques cliniques, biologiques et histologiques des tumeurs endocrines du pancréas.Connaître la stratégie diagnostique et l'aspect en imagerie (morphologique, endoscopique, métabolique et vasculaire) de ces tumeurs.Discuter les particularités de protocoles d'imagerie en particulier enIRM.Messages à retenir: Les tumeurs endocrines du pancréas présententun large gamme d'aspect en imagerie.Seuls un peu plus de 50 % de ces tumeurs sont hypervasculaires.Grâce à l'optimisation des séquences, l'IRM pourrait devenir unealternative non invasive et non irradiante dans le bilan de localisationet d'extension de ces tumeurs du fait de son excellente sensibilité(supérieure à 90 %).Résumé : Les tumeurs endocrines du pancréas sont séparées en fonctionnelles et non fonctionnelles selon qu'elles sont révélées par dessymptômes cliniques en rapport avec une hypersécrétion hormonale.Elles peuvent s'intégrer dans un syndrome de prédisposition génétique (NEM). Leur prise en charge est multidisciplinaire. Les examensde référence actuels (échoendoscopie, scanner et scintigraphie àl'octréotate) pourraient être avantageusement secondés par l'IRM. Lameilleure séquence IRM à utiliser en diagnostic est la séquence T2avec saturation de graisse pour les tumeurs hypervasculaires et laséquence Tl au temps artériel pour les tumeurs non hypervasculaires.
Mots clés : Pancréas, tumeur
Durée: 30 minutes
Pathologies tumorales digestives
Modérateur: Caroline Caramella
14 h 00
4304
constituant en outre l'apex pétreux, le foramen jugulaire. Les lésionsépidermiques, méningées, paragangliomes, schwannomes, adénomes,Wegener, histiocytose, sarcoïdose, lymphomes, leucoses aiguës, carcinomes sont présentés en imagerie et analysés dans leur spécificité.
Mots clés: Rocher, processus expansif
Objectifs: Connaître la sémiologie en imagerie du cancer de l'estomac (TOGD mais surtout tomodensitométrie).Décrire comment réaliser un scanner pour cancer de l'estomac.Connaître les éléments permettant de réaliser un bilan pré thérapeutique optimal.Décrire les principaux diagnostics différentiels.Messages à retenir: L'adénocarcinome primitif de l'estomac représente 95% des tumeurs malignes de l'estomac.L'examen tomodensitométrique est l'examen de référence pour l'établissement du stade TNM, étape indispensable à l'établissement duprojet thérapeutique.Des adénopathies à distance du site gastrique sont considérées commemétastatiques.Les autres tumeurs fréquentes sont les GIST et les lymphomes gastriques.Résumé : Les tumeurs de l'estomac sont principalement malignes etlargement dominées par l'adénocarcinome primitif (95 % des tumeursmalignes de l'estomac). Malgré une diminution progressive de sonincidence depuis 30 ans, les adénocarcinomes gastriques demeurentl'une des dix premières causes mondiales de mortalité liée au canceren raison de leur diagnostic souvent trop tardif. Le diagnostic estaujourd'hui essentiellement endoscopique. L'imagerie présente unintérêt pré thérapeutique majeur: la tomodensitométrie doit permettrele bilan d'extension en donnant le stade TNM de la lésion. C'est àpartir de cette analyse que seront évaluées les possibilités thérapeutiques. Le transit œso-gastro-duodénal ne présente plus d'intérêt clinique actuellement. Les autres cancers de l'estomac sont beaucoup plusrares et regroupent principalement les lymphomes, les tumeurs gastro-intestinales malignes, les tumeurs carcinoïdes et les métastases.Ce travail présente les critères sémiologiques pouvant orienter versces lésions plus rares. Dans ces lésions, l'imagerie a là encore un rôleprincipalement pré-thérapeutique et post thérapeutique.
Mots clés : Estomac, tumeur maligne
14 h 30 Durée: 30 minutes
IMAGERIE DES PATHOLOGIES TUMORALES DU GRELESAufort, N Ragu, J Lonjon, V Schrembri, EDelhom,MA Pierredon-Foulongne, BGallix, JM BruelMontpellier - FranceCorrespondance: [email protected]
Objectifs: Connaître les différentes tumeurs bénignes et malignespouvant intéresser l'intestin grêle.Précisez la sémiologie spécifique de chacune des tumeurs del'intestin grêle.Connaître les examens d'imagerie les plus pertinents à l'exploration de ces pathologies.
1405