Séance organisée par la SOFMIS

Modérateurs: Pascal Chérel, Céline Chaveron

Durée: 7 minutes

Durée: 7 minutes

Objectifs: Déterminer la valeur des images classées suspectes ipsiou contro-latérales en IRM pré-opératoire dans le carcinome lobulaireinfiltrant (CU).Matériels et méthodes: Etaient incluses rétrospectivement lespatientes avec CU documenté histologiquement entre 2004 et 2007,ayant été explorées par IRM mammaire bilatérale en pré-opératoire,et ayant été traitées par mastectomie bilatérale, suivant les recomman­dations actualisées de la Society of Surgical Oncology SSO 2007. Laconfrontation lésion par lésion des données de l'IRM pré-opératoire(BI-RADS 2006) à l'analyse anatomo-pathologique de la mastecto­mie bilatérale était étudiée.Résultats: Parmi 152 patientes traitées pour un carcinome lobulaireinfitlrant, 16 (âge moyen 52 ans, 38-66 ans) ont été incluses. Un totalde 60 images suspectes a été détecté en IRM, incluant 43 masses, 17non-masses. En IRM 40 lésions IRM ipsilatérales et 20 lésionscontrolatérales suspectes (BIRADS =4) étaient détectées incluant deslésions à rehaussement progressif (50 %), en plateau (23 %) ou avecwashout (27 %). En anatomo-pathologie, 32 lésions tumorales infil­trantes étaient identifiées incluant 30 lésions ipsi et 2 lésions contro­latérales (VPP de l'IRM de 53 %-72 % en ipsilatéral et 10 % encontrolatéral).Conclusion: La majorité des lésions ipsilatérales suspectes en IRMcon-espond à des lésions infiltrantes. A contrario, la plupart deslésions controlatérales classées suspectes ne con-espond pas à desfoyers tumoraux, pouvant alors orienter vers une stratégie diagnosti­que alternative.

Mots clés: Sein, tumeur maligne - IRM

IRM MAMMAIRE ET CARCINOME LOBULAIREINFILTRANT: VALEUR DES IMAGES SUSPECTES IPSIOU CONTROLATERALESA Stivalet A Luclani, FPigneur, EMeyblum, C Lepage,C De Bacque Fontaine, A Rahmouni, TH DaoCréteil - FranceCorrespondance: alain.luciani@hmn.aphp.fr

10 h 40

10 h 30

L'AIDE AU DIAGNOSTIC (CAD) EN IRM FACILlTE-T-ELLELA CARACTERISATION DES LESIONS MALIGNES?RFerré, C Balleyguier, FBidault, H Caillet, SDelaloge,C DromainVillejuif - FranceCorrespondance: balleyguier@igr.fr

Objectifs: Comparer les résultats d'une analyse par système CADIRM à celle du radiologue pour des lésions suspectes en IRM.Matériels et méthodes: Vingt-trois lésions mammaires classéesBIRADS 3,4 ou 5 en IRM, biopsiées chez des femmes à risque, ontété rétrospectivement analysées avec un système CAD IRM. Lescaractéristiques IRM des lésions, analysées par deux radiologues avecle score de Teifke, (incluant les paramètres du lexique BIRADS) sontcomparées au score du CAD, et corrélées à l'histologie.Résultats: Vingt-trois lésions ont été incluses: 9 bénignes, 7 fron­tières, 7 malignes (3 CIS, 4 CCI). Le score moyen IRM était de 3avec CAD versus 4 pour le radiologue seul (lésions bénignes), de3 versus 4 (lésions frontières) et de 3 versus 4 (lésions malignes). Letaux de faux négatifs du CAD était de 66 % alors que le taux de fauxpositifs du CAD était diminué par rapport à l'analyse du radiologue(44 % versus 69 %).Conclusion: Le taux élevé de faux négatifs doit inciter à la prudencepour l'utilisation des CAD IRM, même s'ils peuvent aider à diminuerle nombre de faux positifs. Ce problème peut être lié à une importanceprédominante de l'analyse cinétique surtout dans les intracanalaires.

Mots clés: Sein - IRM - Diagnostic assisté par ordinateur

Durée: 7 minutes

Responsable: Isabelle Doutriaux-Dumoulin

IRM et imagerie interventionnelle du sein

11 h 50

Objectifs pédagogiquesPromouvoir l'utilisation optimale des différentes méthodesd'imagerie.

Objectifs: Décrire les aspects radiologiques des carcinomes papil­laires du rein, du plus typique aux présentations plus trompeuses.Matériels et méthodes: Etude rétrospective multicentrique sur5 ans de 103 carcinomes papillaires explorés par TDM avec 3 ou4 phases d'acquisition (81 cas) et/ou IRM (62 cas).Résultats: L'aspect TDM typique de petite lésion homogène ethypovasculaire est présent dans 85 % des cas. Parmi les lésions homo­gènes, 87 % ont un rehaussement inférieur à 40 UH. En IRM, onretrouve l'hyposignal T2 classiquement décrit dans 93 % des cas.Parmi les formes atypiques, on compte 7 % de tumeurs massivementnécrosées, 5 % de tumeurs à croissance kystique (Bosniak 4) et 3 %de lésions infiltrantes centrées sur le sinus. En TDM, à la différencede plusieurs publications de la littérature, on retrouve seulement 7 %de tumeurs calcifiées. La présence d'un contingent graisseux macros­copique, d'un thrombus veineux ou d'adénomégalies rétropéritonéa­les est exceptionnelle (l % des cas).Conclusion: Le carcinome papillaire apparaît sous sa forme classi­que (hypovasculaire en TDM et en hyposigna1 T2 en IRM) dans 85 %des cas. Dans 15 % des cas, la lésion prend un aspect atypique (infil­trant, à croissance kystique ou nécrotique), ne permettant pas d'orien­ter vers ce diagnostic.

Mots clés: Rein, tumeur maligne

tives de 6 mm) et Tl injectée. VK était calculé à partir du seuillagede VR 3D sur les séquences T2 et Tl puis par con-ection manuelledes pixels inclus (station ADW 4.2, GEMS).Résultats: VR était surévalué en IRM (T2 49/56, Tl 44/56) par rap­port au scanner. Le VR initial était TDM/ IRMT2/ IRMTI RD482 ± 265 / 520 ± 300 / 502 ± 278 ml, RG 552 ± 327 / 583 ± 345 /573 ± 341 ml. La croissance moyenne annuelle du VR était: RD37 ± 28 ml ; RG 39 ± 31 ml. Le VK initial était IRMT2/1RMTl RD224 ± 223 / 212 ± 218 ml, RG 266 ± 267 / 256 ± 254 ml. La croissancemoyenne annuelle du VK était: RD 24 ± 26 ml ; RG 28 ± 26 ml.Conclusion: La détermination des VR et VK et leur progression estfaisable et ouvre la voie au développement des nouvelles thérapies.

Mots clés: Rein, kyste- Traitement d'images, kyste

REDEFINITION DES CRITERES D'IMAGERIEDES CARCINOMES PAPILLAIRES DU REINC Couvidat D Eiss, SMerran, V Verkarre, A Vieillefond,A Méjean, JM Corréas, 0 HélénonParis - FranceCorrespondance: couvidatc@yahoo.fr

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