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zr Uinta— l\° I WW (-4LPages) 15 Centimes — EDITION DCMATIN — 15Mines (•4: cages) 1 Jnillet 1915 Administrateur -Délégoé -Gérant O. RAN DO LET Administration, impressions etAnnonces, TÊL. 10.47 35, Rue Fontenelle, 35 *" 1" AdrssseTélégraphlque : KAHDQLET Havra Le Petit Havre RÉDACTEUR EN CHEF J.-J. CASPAR - JORDAN BeorétairoG-èoéral : TE. VALLÉS Rédactlon,35,rue Fontenelle- Tél.7.G0 ANNONCES AO HAVRE. Bureau du Journal, 112,bout'deStrasbourg. LéAGENCE HAVAS, 8,placetie la Bourse,est seulechargéederecevoirlesAunoncespour le Journal. LePETIT HAVRE estdéstgné pourlesAnnonces Jndlcialres et légales A PARIS. ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMQCRATIQUE Le plus fort Tirage des Journaux de la Région ABONNEMENTS Le Havre, la Seine -Inférieure, l'Eure, l'Oise et la Somme , Autres Departement?. Union Postale Ons'abonneegalement,SANSFNAIS,Nanstousles BureauxtiePastede France Tbois Mois Six Mois Un T Fr. 13 Fr. »5 Fr, s » 15 Fr. SS «3 » 85 Fr. ■45 > Au Fit des Jours Anee l'Armêe Américaine « Youlez-voas nous faire ie grand plaisir « (Poire des nóires Ie 4 juillet, el fèter en « noire compagnie « Independence day » ? « Cost un voyage el l'essence est rare. « Mais Sammy" qui traverse si facilement « l'Atlantique, ne s'inquiète pas pour si peu « de cliose. Une aulo militaire vous ira « cliercher... Faut-il vous dire que noire « amitic ose compter-sur vous ? » Que réporidre a une invitation si cordiale et si spirituellement présentée ? Accepter avec enthousiasme de commémorer le glo- rieux anniversaire de la Liberté en se fai— sant, pour quelques heures trop courtes, le prisonnicr ravi de tant de souriante cour-, toisie. Je suis allé a . . . , meltons, si vous le vouiez bien « somewherijin France ». La censure n'est pastoujours cettc viei lie dame acariatre et bougonne, dont ies airs coupants s'aiguisent sur la meule de nos ironies. G'est une personne prudente et sage, rendue un peu timorée par (to ho¬ norable excès dc vigilance, mais chez iaquelle il y a, en somme, mêiés aux Pilules Pour les Pages Pales, des grains de bon sens. Je comprends si bien ses émois et ses in¬ quietudes que j'ai pris coutume de les de- vancer cn me censurant moi-même. De grAce, bonne dame, ne me remerciez pas 1 II est done parfaitement inutile de con- fier a ce papier en quel coin de la jolie terre normande jc suis allé cc 4 juillet, un coin oil le ciel, la route et ies coquelicots lanqnient dans ia pureté de Pair vibrant une fanfare éclatante et tricolore qui se irouvait être a la fois par son bleu, son blanc, son rouge, la fanfare dos couleurs ' franeaises,nméricaines et britanniques. « Somewhere in France ». Une petite ville. Des frivolités parisiennes avaient coutu¬ me d'y viilégiaturer autrefois — autrefois, c'est le passé lointain de i'avaut-guerre. Ellcs y trouvaient une retraite aimable oil Félégancene capitulait pas. La mode pour- suivait 14son règne souverain sur les mon- danilés 4 la cure de repos. Le coffiplct- lennis avail ses « five o'clock » recher¬ chés. ct le smoking sorlait volontiers 4 la nuit loinbante pour aller fumer quelques cigarettes aulou r d un piano ami qui pleu- rait du Chopin dans la douceur du crépus- cule. Tangos ct romans. Flirts et bridges. La sympathie pour notrè ami Teddy ne s'y manifestait encore publiquement que parmi détail de la toilette : ie succès du visage rasé. Le bleu-borizon a dispersé le complet en flanelle, et le smoking a rendu Fame dans l'attente des victorieuses résurreclions. L'indécent tango est proscrit, le roman humaiu se vit en horreur tragique. Mais, le masque imberbe se porte beaucoup aujour- d'hui dans ce petit coin de la terre nor¬ mande. Nous nous sommes faits 4 ces restrictions pilcuses. La Grande-Bnetagne et l'Ameri- que leur ont donné chez nous une vogue intense et noire vieiiie antilié leurs lettres de naturalisation. Si, plus fortement que l'eslhélique, l'hy- giènc pratique impose le glabrc, celui-ci trouve aussi des raisons d'étre dans l'ex- pression sensible des psychologies. . Les yeux : miroir de lime, a dit un obser- vatcur qui fut peul-être un oculiste. Le visage : grand périscopc du coeurlmmain, Bjouterons-nous. Tant il apparait bien que dei'éclatdes prunelies a i'attitude mobile des lèvres, de la pointe d'un menton résolu aux plis verticaux qui mettent entre les sourcils ies points d'exclamation de la vo lonlé tenace, tout contribue a refléter fldè- lement sur la figure les mouvements variés dc la vie inférieure. Comment ne pas lire tout de suite sur ces masques ouverts et rayonnants la belle franchise du caractère, la süre cordiaiité du sentiment, la sincérité manifeste du plaisir, a mesure que le parfait gentleman qui porte l'unifonne d'un officier supérieur de l'armée américaine me présente ses ca- marades. Shake hands et félicitations. Echange de mots enrubannës d'amabilité et desourires. Une affection mutuelle jaillit spontanément, préparée, je le sais, par des pensees com¬ munes, des amitiés latentes impatientes de se.traduire, mais qui se développe intensi- vement dans ce milieu d'intimité quasi- familiale, pareille 4 ces fleurs dont la fi¬ nesse s'épanouit plus briüamment sous les effluves de la serre chaude. Ge que fut cette « journée américaine » pour celui qui renconlra auprès de ses hó- tes les témoiguages les plus touchants, les plus exquis de leur attention, je suis assez cmbarrassé de le dire. J'ai peur d'user de mots que leur long service a faits banals en éventantle parfum qu'y mirent un jour. i* délicatesse de notre coeur et la subtilité de notre esprit. La toute simple et trés élo¬ quente vérité est que les ollieièrs améri- cains m'ont accueilli au nom de Ia plus charmante bonne grüce, alliée 4 une ex- expansive et joyeuse camaraderie. Le rire est la santé des bonnes gens qui se donnent tout entiers. Sammy sait rire, et e'est pour cela peut-être quë nous Ie sentons tout prés de nous, frère de notre race, de notre tempérament. Ce jour-Ia, avec son ami britannique, il avail organisé,'pour l'après-midi, unesorte ' de garden-party qui fut surtout un field- party. Son programme allait de la parade foraine au match de box#, en passant par les jeux nationaux de base-hall et de cric¬ ket. La foule était venne nombreuse. Le champ librement ouvert aux curiosités champêtres leur devait un aspect d'une originalité forte que la photo a bien fait de fixer pour Fhistoire pittoresque du pays Bormand pendafit la guerre. Les villagcoises endimancbées enlou- raient les baraques oü les khakis, camou- flés eo JJarnums et Baileys prolixes et f«- nambulesques, déroulaient du baut des planches l'hyperbole des boniments. Je revois une bonne face de Sammy, aux rotondités lunaires, douffiement en- cerclée par des iuuettes larges comme des phares d'auio, el dont le divertissant propriétaire exhibait pour quelque vul¬ gaire « copper » des phénomènes insoup- gonnés, maintenus en cages : the spanish jumping beetle, le scarabée es])agnol sau- teur , the Clüneese duck, Ie canard chi- nois, the V-boaltoad, le crapaud sous-ma- rin, el bien d'autres caprices de la nature que des affiches appelaient, bien entendu, le sujet unique, la merveille de l'époque, the only one, the wonder of age ! Le boniment cascadait encore sur les éba- bissements ruraux.qui ne le comprcnaient pas mais s'en amusaient follement, quand l'arrivée d'une voiture de Sioux cmplumés, peinturlurés et tapageurs, vint créer unc concurrence redoutable. Elle fut bientót réduile a néant elle-même par un combatde boxe oü les gants rembourrés faisaient « Boum ! Boum! » en plaquant des coups sur ies joues grasses, pendant que les bra- vos partaient en gerbes et que le Pc Malan- drin de Fendroit exhalait des soupirs émus : « Mais, doux Jésus, comme y leux baltent!. . . » ... Le soir, dans le jardin du mess des officiers. Des petites tables pavoisées et fleuries. Les couleurs alliées cbantent è l'unisson autour des assieltes, dans le charme enve- loppant et tiède du jour qui Unit. Le chef vénéré/très paternei, qui a daignc me re¬ cevoir 4 sa fable, a voulu que je pariage avec un général britannique l'honneur d'é¬ tre assis immédiatement 4 ses cötés. Un consul général des Etats-Uriis et l'obscur publiciste qui signe ces lignes sont les deux seuls civils en ce mi¬ lieu militaire off le khaki domine, mais oü i'on rencontre aussi le dolman noir a sou¬ taches des officiers de la U. S. Navy. Pas de speech, mais beaucoup rnieuxque cela, Ia vieille tradition de l'Américain a table qui veut que l'on chante en cboeur, sur des airs familiers, des couplets impro- visés dans la fumée des cigarettes, — car nous fumonstous dés le potage, ame>ican style — entre la petite assiette a pain et le paquet de Virginia. Le cboeur et sa fabrique de chansons 4 l'emporte- pièce sont représentés par un groupe de jeunes médecins qui out con- servé, intacte ét savoureuse, la belle hu¬ meur de l'étudiant. Le couplet est tour a tour grave cl snu- tillanf. H commence le plus souvent sur un air de cantique et Unit dans la note éehe- velée du rag time:G'est la chanson au cock¬ tail, avec la glacé pilée de la blague a froid et le zeste de citron de la fantaisie. On agite forlemont au moment de servir. L'esprit américain excel le dans l'art de ces mélanges imprévus qui le rendent assez détieata délinir mais bien aimable 4 dé- gusler. Un jour que je m'entretenais avec un diplomate des Etats-Unis, dont Ie nom émi¬ nent désigne une grande valeur morale ct intellectueile, et que devant les rudes né- cessités de l'heure jc lui pariais de la joie du devoir accompli, il me glissa dans un fin sourire : — Avez vous remarquó que Ia joie du devoir accompli consiste surtout... a ne plus avoir 4 l'accomplir ? Gette psychologie a la Mark-Tvvain voi- sine singulièrement avec l'esprit francais. La gaité saine qui pique sur Ia ciblo de Pimprovisation des flècbes légères de la boutade procédé de la même école. Elle a mis, l'autre soir, a notre repas,en plein air un inoubliable cachet d'exotisme_.et de fraternité. Comme, au moment de prendre congé je m'apprêtais 4 sortir mon meilleur an¬ glais pourdire les « Manythanks » imposés par la reconnaissance, "le lieutenant-co¬ lonel D. . . m'arrêta d'un geste, et, dans ce « mixed language » qui est le sel de nos relations franco-americano-brilanniques : — Did n'l I tell you ? Speeches are strictly forbiden. Mais puisque vous tenez aux remerciements, acceptez les nótres et n'en parions plus. Good bye et revenez soon ! Le démarrage de l'auto brisa net la con- tre-offensive de gratitude que je m'apprê¬ tais 4 déelancher, sous un violent tir de barrage de mots sympathiques. AUiEnT-HEFUlENSCHMlDT. LI1I0151 A.MÉ16ICA.IIV 4 MILLIONS DE SOLDATS lcr janvier prochain au Onannonceotficicllementque trots miltionsd'A- mëricains seront sous les armos to 1" septemlire. Des informations rticemmentilonnées au Congrés révèlent que le quarticr-maitro général en aui'a équipe quatro millions ie 1" janvier. Siekaitser Tent lapaii flemain... » M. Lloyd George, accompagnó de lord Mil- ner, secrétaire d'Efat a la guerre, de M. Ungues, premier ministro australien, du général Iiawlin- son.a visité vendredi les Australiens au Sud do la Somme et un secteur oü it a prononcó un petit discours devant les soldats amérieaias : Les declarationscl'Licrdu présidentWilson, a-l-il dit, détinissentnos buis do guerre. Si le kaiser ct ses conseillersacceptentdemain lcsconditions déi'i- nies par votre président, il peut avoir la paiv non seulementde l'Amériqüe,mais do la Grande-Breta- gne et de la France, rpais auciine indication qu'il ait pareilleintention nexiste. Nous (R couvoitons pas un metre do territoirs allemandet nous no de¬ sirous pas privcvt'Aliemagnede la possession a ia¬ quelle elle a droit. En vous voyant passer tout a i'keure, a dit encore M.LloydGeorge,jo remerciaisDieuque vous soyez avec nous. J'élais anvieux de voir les hommes,qui ctaient venus de milticrs do kilometres pour, par dela l'Atlantique,combattrcaux cótésdos Francais el desBritanniquespour la liberté du monde. Et j'ai le privilege dc les voir. Vous êtes la, ct e'est un fait qui inquièto sérieusementie kaiser. II no vous attendaitpas. Aujourd'hui, le kaiser sait que des millionsdeces hommespareils vont suivre, etilsaitsadéiaite certaiue ctiaévitable-j COMMUNIQUÉS OFFICIELS FRONT FRANCAIS 6 Juillet . 14 heures. — En Champagne, nos détachements ont pénétré dans les lignes et ont ramené des prison- niers. Plusienrs coups de main ennemis au bois Le Chaume, sur le secteur américain de Xivray et dans les Vos- ges ont complètement échoué. Nuit calme sur le reste du front. FRONT AMÉRICAIN" S3 heures. — A l'Ouest de Chateau- Thierry, nous avons réalisé quelques progrès dans la region de la cote 204 et fait une trentaine de prisonniers. Journée calme sur le reste du front. AVIATiON. Dii Jer au 6 juillet, nos équi¬ pages ont abattu ou mis hors de combat seize avions allemands et incendié sept ballons cap- tifs En outre, deux appareils ennemis ont étó abafus par les moyens de la D. C A Dans la même période, nos bombardiers ont jete 56 ionnes do projectiles sur des gires, camonnements, éiablissements et terrains d' aviation de la zone ennenrie Un incendie a 6té constalé dans les gares de Chaulnes et ü'Am-igne-Lucquy, et da violentes explosions, suivies d'inoendies, dans les dépots de munitions de la Neuville et de Roye. 6 juillet. — Dans la région de Cha¬ teau-Thierry. l'artillerie reste active. Nos patrouilles ont encore ramené des prisonniers. Dans les Vosges et en Woevre, l'en- nemi a de nouveau tenté d'aborder nos lignes mais sans succès. En Woe* vre, un fort détachement allemand réussit a occuper 1un de nos petits petits postes, mais il a été rapidement chassé. FRONT 1TALIEN FRONT BRITANNIQUE 6 Juillet, après-midi. — Au cours de rencontres de patrouilles dans le voi- sinage d'Ypres, nous avons fait quel¬ ques prisonniers. 1,'artillerie ennemie a été active entre Villers-Bretonneux et 1Ancre. Rien d'autre a signaler. _ Soir. — La nuit dernière, au Nord- Est de Villers Bretonneux, les trou¬ pes australisnnes ont avancé leur ii- gne sur un front de deux mille yards. Des troupes du Lancashire ont réus- si un raid prés d Hinges, au cours du- quel elles ont fait plusieurs prison¬ niers. AVIATION. — Le 5 juillet, l'activité aêrienne a été faibie. Deux appareils allemends ont été détruits, un autre a été descendu hors de no j'o controle Un des nótres m-mque. Nos aeroplanes et nos bailees d'observation ont heureusement cónlribué a un important travail ü'artillerio. Dix-neuf ionnes de.b -mbes ont été jetées sur divers objeciifs dans la jour. nee et durant la nuit suivanle. Communiqué de l'Amirnutê. — Au cours de la période du fer au 3 juillet, nos forces aérien- navales ont jeté 15 tonnes et o'emie de bomPer, provoquant un grand incendie a. Brugges et a Zeebrugge oil des explosions furent observées autour de l'écluse et auprès do deux sous-ma- rins. Quatre coup d'obus furent co' States sur un comre torpilleur ennemi, sur les hangars et les magasins du qusi d'Ostende. 6 juillet. — Sur le ba3 Piave, nos troupes continuent de presser l'en- nemi. Dans la journée d'hier, après avoir brisé l'opiniatre défense opposée par l'ennemi, nous avons gagné du terrain en atteignant la rive droite du nou¬ veau Piave, de la hauteur de Gri So¬ lera jusqu'a l'embouchure. Nous avons fait 400 prisonniers, dont 6 officiers. Un violent retour offensif tenté par" l'ennemi dans la direction de Chiesa Nueva fut arrêté après une lutte ar- dente. De nouvelles et violentes attaques sur les positions de Poptes Salton et sur Cornone ont échoué. L'aviation fut trés active, bombar- dant les troupes et les centres vitaux de l'ennemi. Au dela du Piave, deux avions ennemis furent abattus. Lalivegauchs duPiaves!libéréa Après cinq jours de lutte inces- s ante, nous avons repousse complète¬ ment l'ennemi sur la rive gauche du Piave, achevant la conquête de toute la zone du littoral entre Sile et le Piave. Du 15 juin au 6 juillet, nous avons captxiré 523 officiers, 23,911 soldats, 63 canons, 65 bombardes et récupéré le matériel de toute notre artillerie dans la zone avancée que nous dümes abandonner pendant les premiers combats. A feweii. FRONT DES BALKANS 5 juillet. — Lutte d'artillerie assez active de part et d'autre du Vardar et dans la région de Monastir. Dans la région de Wetrenik et aur les rives de la Cerna' de fortes recon¬ naissances ennemies ont été repous- sées après de viis combats a la gre¬ nade. leraiire fere Le <2omteMyrbaeh Ambassadeur d'Aiistnagne aMoscoa est t-u.é èv coxx.jp 3 d.e erreaaacies BA'e.— Oa mande do Berlin que deux incon- nus ont demandó audience ce matin au comte Myrbach, a l'ambassado allemande a Moscou. Ils le blessèrent d'abord a coups de revolver, puis lancèrcnt onsuite des grenades. Le comte Myrbach mourut presque immédiatement. Les auteurs de l'altentat prirent la-Iuite ct ne purent être arrêtés. üasiiggês frsngaïs sur!efroRf ifalien Rome.— Dansla malinée du Gjuillet, apréé une eourte preparation d'artillerie, les troupes Irancaises onl execute un briilant coup uo main daus la région a l'Est d'Asiago.Des batteries britanniques et ita- liennes contribuèrentü i'opération'qui, conduite vi- góurcusement,ent un plein succès. 'Plusieurs mi¬ trailleuses furent réduites au silence puis prises après uno lullo acbarnéo. Les Francais ont ramené 70 prisonniers dont 3 of¬ ficiers. L'ennemi a subi des perles trés importantcs, Les Noces d'argent du Rol et de la Reine d'Angleterre Lonttres.— Aprèsavoir asslstö a un service(Fac¬ tions de grace a la cathédraleSaint-Paul,le roi et la reine sont allés au Guildhall, salués par la loulo qui so pressaitdans les rues pavoisées. La Corporationdo Ia Cité a presenté uno adresse a iaquellele roi répondit. Le lord maire a remis au roi un cheque de 52,000 livres sterling, produit d'une souscriptionque le roi affecteraa Foeuvrede charitéqu'il choisira. Le lord maire a offert comme cadeau personnel aux souverains un vieil hanap en argent qui appar- tint a CharlesII. 41 Transport américain coulé Washington.—Lodëpartomontdo la marine an¬ nonce quo le transport Covington(transatiantique Cincinnatido la CompagnieHarabourgeoiseAméri¬ caine) a été coulé dansla zope de guerre, lundi soir. Six marins manquent. Ii n'y ayait aucun passager4 bord. Le CovingtQn a *éto torpillé pendant qu'if navi- guait avec une flötto d'autres transports convovés par des contrc-torpilieurs.II se rnariitint sur l'ëau jusqu'a mardi. Le sous-marinfut apcivu, A la BeurssdeHamburg Bale.—La Boursede Ilambourgmenacantde faire gróve pour protester contre des imiiöls projetés sur les transactions, i'autorité militaire a ordoiinó a tout lo personnel, qui s'inclina, do-continuer 'les operations sous peino d'cnvoi immédiat sur lo front. La loi contre l'espioiuiage enEspagne Madrid.— La discussion, a la Chambre, du pro¬ jet coptro1'espiomiagea soulevódo vivescritiques. La presse libéralele représento comme un atten¬ tat a la neutralité et a Ia dignitë do l'Espagné.Elle prevoit la"chutedu cabinet si, a la suite do l'abs- tention des députés libéraux, le quorum ne pouvait pas ètro obtenu pour la vote délinitifdu projet. "L'Heurs critipde !aguerre asenné" DECLARATIONS DEM.BONARLAW Du discours prononcó par M. Bonar Law au banquet offert a Ia Chambro des Lords en l'hon¬ neur dos membres do la conférence parlemen- tair.o interalliéo, il faut retenir cctto declaration ; J'ai la ferme convictionquo l'heure critique do la guerre a sonnéet que, si d'lei trois móis notro en¬ nemi r.'a atteint aucunobjectiistratégique, sa cam¬ pagne aura échoué ; ct eet échec, je 1'espAresera décisif. » Ai.Bona Law a dit encore : Le gouvernementliritanhique n'a pas perdu es- poir en laRussie.L'Allemagne,d'ailieurs, s'esl déja rendu coraptoqu'eile n'obliendraitpas ce qu'elle es- pérait obtenir en Russie. ~«s~~ LE BASSIN DE BRIEY Mort tragiqued'HnancienMairedsNew-York ■LakeCharles(Louisia'e).—LecommandantMitchel» ancien mairede New-Yorks'est lué dans une cliute d'aéroplane. ' i ijlfc * LA MORT D'ALMEREYDA Paris. — Joucla, qui dans l'affairo du Bonnet Rougefut condamnéè cinq ans de travaux forcés pour intelligencesavec l'ennemi, a écrit au capi- taino Bouchardon,demandant a faire des revela¬ tions. II no spécifiepas lesquellos, mais elles semblent avoir trait, selonla .conte\ lure de la -Jetli-e, aux circonstancesde la mort d'Alinerevdadans la pri¬ son de Fresnes. Le lieutenantMornet,auquel cette Iettre fut trans- mise, prendi-a proclialnexnvat usedecision. « II eut fallu l'anncxcr en 1870» dit lc modéró Berliner Tufjeblutt Lo BerlinerTageblaltécrit : " Le raondoest « aflame » do fer et cela donne uno imporlanconouvelle ii noire exportation mé- tailurgique.Si ,on s'était rendu complo en 1870do Ia valeur des gisomentsdu bassin de Briey, ce der- nier eut été annexe a l'empiro allemand'.Aujour¬ d'hui nous sommes obliges de rattraper le temps perdu (sic)el nous devrons nous assurer la posses¬ sion de ce bassin dans lo futur traité do paix. En quelques Mots — Le ravitaillementdisposeaeluefiementde saiai- sonset de saindoux d'Amérique réservés aux be- soins do la populationcivile. LAGUERRE_AÊRIENNE Nouveau raid sur Coblentz et Sarr-ebnück Un communiquéofficielbritannique du 5 dit : « Nosappareils ont attaqué vigoureusemeiit,co matin, la station do clieminde fer do Coblentz.Les nuages ont rendu difficilel'observation. «barfébrück a été aussi attaque avec succès. o Notro groupe a été assailli au-dessus do Sarre- briick par des aeroplanes ennemis. L'un d'eux a été abattu en Dammes,un autre est tombédésemparë. Tous nos appareilssont rentrés indemnes.» ATTAQUE SUR DUNKERQUE Des avions ennemisont de nouveau attaqué Dun- kerque dans la nuit de lundi a mardi. L'alerte dura uno heure. On eutendit d'abord l'explosion lointaino des bombeset torpilles. Puis après miecourto accalniio ce iut lc fracas des projectilestombant-sur i'agglo¬ meration de Bunkerque. Dansia journée do mardi, on apprit avec satis¬ faction qu'un dos avions qui priront part ail raid avait été abattu par le' tir des batteries 'deD. G. A. Touchépat' un éclat d'obus dans un do ses orga- nes cssentiels,il est venu s'écraser dans un champ, a uno dizainode kilometresdo Dunkerquc.Lopilote ct lo bombardier ont étó tués. LEURPEUR DES RAIDS Les raids aériens alliés rendent la populationdo ia frontière allemandodo plus en plus nerveuse. UnHollandais,retour d'Allemagne,rapportequ'au cours du raid de Karlsruhe, le 25 juin, il y eut 15 tués ot environ 30 blesses. Dn aviateur franjais, lo 29 juin, détruisit lo large pont de fer a Horne,en Westphalie. UNEESCADRILLE AUTRICHIENNE POURSUIVIE JUSQU'APOLA Le bureau du chef de l'état-major de la marine communique la note suivanto : Dans la nuit du 1" au 2 juillet, line do nos esca¬ drilles légères en reconnaissance dans le golfedo VcnisoapoiTutun groupe ennemi de cinq unites legeres. Losnótres ouvrirent immédiatementle feu. Lo groupoennemi se dirigoa vers Pola, poursuivi par notro escadrille. Lo combat dura un quart d'heure environ, jusqu'a ce quo l'ennemi, continuant sa route vers Pola, se trouvit hors de vuo en raison do l'oliscurité. On a des raisons do croire que notre lir produisit- des cffctsheureux. EN PLTTSS1E . Les Tchéco-SIovaques S Vladivostok Le consul de Russio a Kobó a recu des informa¬ tions confirmant quo les Tchéco-SIovaquessont rnaitres de Vladivostok.Locommandant on chef do la place,ie généralDiderichs,un des plus briHants officiersdol'état-majordu généralAloxeieff,a lance uno proclamation ferm'anti'entree du port a tons les navires pendant ia nuit. EN F!NLANDE La situation resultant do l'avaneo allemande vers la cole mourmanoa travers la Finlandeest sórieuse, mais non immédialementdangereuso. II est vraisomblablequ'jis liepourront rien faire avant les goleesd'hi'vev(fin octobre). Jusque la la siluation sora surveilléodo trés prés par les Alliés. Les Finnois uu Sud sont germanophiles,mais ies Finnois du Nord sont liostiies aux Allemands.La politiquedes Alliesest do ravitailier ies Finnois du Nord. Lesgouvernementsallies ont do nouveaudéoiaré au Sovietcentral qu'ils ne vjsent pas a-des conquê- tes territoriales dans la péninsulemourmane. Le Sénatfinnoisa dééidé do rappcler sous les ar¬ mos les classes1892a 1890et renvoyéesrécemment dans leurs lovers. EN ALLEMAGNE Arrestation sensationnelle d Berlin Le correspondant berlinois de la Zeit do Vienne apprend qu'uno personnalUó parlementaire trés connuevieiitd'etre arrêtéoa Berlin sous l'inculpa- lion de haute trahison pour avoir essayéd'organfser ia grèvogénérale.Cette arrestation provoquo dans les milieux politiquesuno emotionconsiderable. Le procés Kuhlmann ajourné Dansle procésKuhlmann,ies accusesont présenté deux volumineuxmémoires constituant leur maté¬ riel do preuves. Le tribunal a décidé par suito d'ajourner les débats. Le discours de Scheidemann . Un grand nombre do journaux allemandsannon- ccnt quo lo discoursdo Scheidemannvadisloquer la majoritd. La Gazettede Vossdit notamment que I'attitude do Scheidemanndoit avoir pour conséquencod'obli- ger le gouvernementa se créer une autre majorité. Lessocialistesmajoritaires passseront dans l'opposi- tion. Cependant, suivant uno dépêchedo Genèvo aux Debate,on estimodans lcs milieux politiquesberli'- nois quo le discours do M.Scheidemanncontro i'at¬ titude do la droito n'amènera aqcune scission dans la majorité. II est également probableque i'attitude du gouvernementvis-A-visdela majorité ne subira aucunomodification. EN AUTRICIiE Un « La paix, la paix... » journal socialisto de Trieste, II Litvo- situation in- ralore, fait un exposé succinct dela térieurc de l'Autriche ; Pendant quo nos hommes souffrent sur le front, écrit le journal, des millionsde femmoset d'enfants périssent de misère. Getétat do chosesest intolera¬ ble. Le conscildes ouvriors do Trieste engage, en conséquenco,lo gouvernemonta n'-fléchira lagra- vité de la situation. IIn'y a plus do-pain.Nosforces s'épuisent. Cettoguerre satisfin réduit au désespoir les classesouvrières. Nous voulons la paix. Nous voulonsun góuvernèmenlparlementaire, la liberté de la pj^sse et la libei'léde reunion. Lesresponsabilitésdu comte Czernin Au coursd'uno assembleeeonvoquée par I'Union populairechréiiemie a l'hótel do ville do Vienöo pour défondrel'empereur Gliaries et l'impératrico Zita contre les bruils malveillants mis en circula¬ tion dansla monarchie. M. Funder, rédacteur en chef du Rekhspost , prit ia parole. Après avoir réfuté certaines insinuations concer- nant Tintervéntionimpérialedans i'interdictionsoi disant faite a l'arméo de so servir degazasphyxiants, et de jets (loflammesur le front itaiien, il paria djj comteCzerninet do ses responsabilités ct déclara textuellemcnt: « C'est Ie#comte Czernin,ministro responsablo, qui fut l'instigateur de la iettre impériale et cela, non seulement en co qui concerne le sens, mais aussi la teneur ; c'est" lui qui en choisit le destina- taire. II aurait dü, en homme d'Etat capable,pren¬ dre l efftièreresponsabiiitéde cettoinitiative. « Cosdeclarationsconfirment en tous pointscelles faitospar ie comte Karolyièila Chambrohongroiso ... . . et renroduitesdans le Vilagdu 1G mai, et on sait berge ée la fivièro de 1Illinois ct a chavüc par J les altachcs prefondes que le licidtswst a avecla Vemesde brums, iïï jtoy és. " {cour.de Yiem» " —Cinquantepetits Parisicns celone. sont arrivés a Bar- — A la suite du jugementrendu par le Conseil de guerre,_unarrêté, d'expulsiona étó pris contre le journalisteitaiien CesareHanau. — A Gisay-la-Cqudre (arrondissementdoBernay), deux cultivateurs voisins, Sgés d'une soixantaine. d'années, qui vivaient en mauvaiso intelligence,out tranche leur querelie ficoups de fusil. A.7ou 8 mè- tres de distance, les deux hommes épaulèrent leurs ai-mes.Deuxcoups de feu retentirent. L'un desdeux hommes nommé Lefèvre, atteint ii la carotide, tomba raido mort. Lo mcurtrier Lamya étc arrêté. —Le bateau de plaisance Columbia a hemté la idtirvo /lo lo i.t \r *.'i*o /lo Pllïin CMpeLosala ^3 Oiüjèqaesdu Généial Gripois Hier maiin, a dix heures, ont eu lieu les obsèques du générai Gripois, divisionnaire eu retraite, commandeur do la Légion d'hofineur, doyen du Conseil municipal du Havre, sa viilo natalo. Pour respecter les interflions du défunt, qui avait auiant dc simplicitó quo de noblcsso do caractère, on no rendit point les honneurs mili- taires et il n'y eut qu 'uno couronne, cello do « La Ville du' Havre au Général Gripois, conseii- ler municipal ». Parmi los nombreuse3 personnes réunics au domicilo mortuaire, 23, ruo des Brindes, l'on remarquait : MM.lecontre-amiral Dldelot,gouverneurduHavrej Morgand,maire du Havre ; Benoist,sous-préfet; Brindeau, sénateur ; Rispal, ancien sériateur; le colonel Brunei, adjoint au gouvernement; lo colonel Drudo; lcs commandants Dubtcix, jaco- tin, Nodot©tun cei'tainnombre d'autjes officiers; Aclior et Léon Meyer, conseillers généraux'; JoannèsCouvert,président,ct Bricka, vice-présidcut dola Chambrode commerce; de Quc-rhocnt,maire de Sainte-Adresse ; Thomas,maire par inP;rimdo Graville-Sainte-Honorine ; Jeimequinet Badoureau, adjoints au rnairo du Havre ; Kranck Basset ct Duraiid-Viel,adjoiRtsintoririiairos;Begouen-Demcaux, Beurriev,Encontre, do Grandmaison,Langct Wiu- desheim,conseillersmunicipaux; MM.Patrimonio, président du Tribunal civil ; Henriet,jugoau siège; Berson,proviseurdu Lvcce; Ghancerel, membrodo la Chambro de commerce; Ducrocq,ingénieuren chefdes ponts ct chaussées; Bosdechér, ingénieurdés mines; Olry,recoveurprin¬ cipaldes télégraPhes; Haussmann,'ancienreceveiu' particulier des finances;O.Randolet,administratem? déléguëet Th. Vallée,secrétaire général des jour¬ naux Le Havreot Le Petit Havre; Ch.-AugusteMa.- rando,présidentdo Ia LigueColonialo; Gas, secré¬ tairegénéraldo la Mairie;Lefebvre,directeurdu ser¬ vice des eaux; Sturmlingsr,ingénieurmunicipal; la ehanoinoMalleville,superieurdel'institution Saint- Joseph; Loevenbruck,secrétairedu Souvenir fran¬ cais; lodoeteui'Loir,directeurdu Bureaud'hygiéne; Sanarens,directéur du Lalioraloiromunicipal; An- toinOjFrambourgetBataillé,commissairesde police; ie lieutenantIionsiaux, commandant do la compa¬ gniedessapeurs-pompiers; des délégationsdes ser¬ vices municipaux : mairie police, sapeurs-pom¬ piers, octroi, ot beaucoup d'autres personnes qua nous nous excusonsdo ne pas citer. Surle ccrcueil, recouvcrt d'un drap tricolore, étaient places les insignes militaire.?du défunt et la cravato do commandeur de la Légion(l'honneur. Derrière le cliar, l'on portalt lo drapeau de la section du « Souvenir Francais », dont le géné-> ral Gripois était lo trés dóvoué président. La lovéo du corps fut faito par M. le ehanoino Barré, curé de Saint-Vincent-do-Paul,qui célébra lui-mêrae lo service religieux en cetto eglisé. A Tissue do la cérémonie funëhre, le long cortege s'acliemina vers lo cimetière Sainlo-Marie. La, avant de témoigner, une dornièro fois, sa sympathie a la familie, la nomhreüso assistance entendit trois discours par lesquels il fut dignc- ment rendu hommage aux qualités militaires ct civiques, au patriotismo clairvoyant ct utile da l'honorablodéfunt. Discours de M. Morgand, maire dit Havre Messieurs, Je vions, au nom du Conseilmunicipal,dice un dernier adieu A son doycu respcclë M.le général Gripois. M.lo général Gripois jouissait de la déférento estimoct ito la cordialesympathiode tous les mem- Tires de l'asscmblëocommunalequi aimaieut sou abord si simploet si courtois. Les services siguaiés quo M.le général Gripois avait rondus au cours desa liellocarrière militaire lui mérilaieutd'ailieurstous les égards dont il était enlouré par ses coflègues. Né au Havre -lo 7 octobro1831,d'une vieille fa¬ miliehavraise,M.le général Gripoisfit do bri'lautes études au coltègodu Havre d'uü il passa direelc- meut a l'Ecolopolyteohniquo. 1!appavtienta l'armo du génie dans Iaquelle il conquit tous ses grades. Officier des plus distin- gués, il fut chargede l'exécution do travaux mili¬ taires importants, tets quo, au Havro même, les fronts de la Floridoet le fort do la jetéo du Sud, ot a Bourgesun grand höpitalmilitaire dont les aména- gementsconstituérentalors un progrèsconsiderable sur les installationsexislantes. Costravaux le signalórent a Taltenlion de ses chefs; M.Gripoisfut successivcment directeur tin génie en Tunisie,ii Toulonet a Tours. Nommé co¬ lonelet placéAla tête du 3"génie A Arras, puis gouverneurdoLaon,M.Gripoisfut promu général dc brigadea Versaillespuis, comme généralde di¬ vision, nommégouverneur do Belfort. Legouvernementcouronnaitainsila.bellqcarrière de M.ie général Gripois,auquel avait été conférélo grade de commandeurde la Légion d'honneur,par uu des plus beaux posiesqui puissentètro donnésa un officier,celui qu'a illustréDenfert-Rochereau. Nuldoute que si M.lo général Gripois cut eu a défondrecontrol'ennemila Placo dont la garde lui était confiée,il sc fut montré entiérementdiguede sonprédécesseuret do.la coufiancedu Pays dontil tenait i'uno des portes. M.le généralGripois so retira au Havre lorsquo sa carrière militaire fut terminée. Ses concitoyens,qui i'entouraient d'uno rospec- tuouseestimo,l'appelèrentcn 1912a faire partie du Conseilmunicipal. Etrangeraux luttcs politiques, il s'adonna aux questionsadministraliveset spécialementa co qui a trait Al'ihstruction publique. M. le généralGripois se montra toujours trés assidu aux séanecsdu Con¬ seil municipaletdesCommissionsoü sosavis, dictés par linehaute culture scicntiiiquo ct une granda experience,étaientparticulièrementécoutés. Cc n'est quo depuispeu do temps quo l'ctat de sa santé l'avait tenu éloignéde la Mairie. Animéd'un ardent patriotisme, M.le généralGri¬ pois avait été nommé président de la section ha¬ vraise du Souvenirfrancais. En celle qualité, it s'occupaavec ie plus grandsoin de Tontrctiene.tdo la decorationdes tffmbesdos soldats inhumésdans notre cimetière communal. Ses angoissespatrioliques eonlribuèrent assuré- ment Ahater sa mort; fe vaillant ofticier de 1870 suivait d'un coeur particulièrement sensible,, los péripétiesde la lutte tragiqueengagéedepuis quatro anneos. M.logénéralGripob, qui éiait venu, cn grande tenue, a Ia têto du Conscilmunicipal,saluer au nom de la populationhavraisole 129"régimentd'infante- rie a son.départdola caserneKlébér,le Gaoüt 19.11, ne poiirra'malheureusementpasle recevoir lors do son retour triomphant. \ La Villedu Havre peut-etrefiére d'enfantstelsqua M. le géncralGripois,dontlesouvenirrestera vivaca dans lamémoirode ses collègueset concitoyens. En leur nom, je ra'inclinedevant sa tomlicei prie les membrosde sa familie do bien vonloir fiercer l'expressioiides sentiments de condoleaueesde la Municipalité. M. Brindeau, sénateur, prononco ensuite uno éloquente allocution oil s'allie a Télévatiou des pensees la précision émouvanlo do Ia fonne. Kous avons public ce discours in extenso dans Le Havre d'hier. Après avoir retracé la carrière militaire du .regretló général Gripois, l'honorablo sénateur rappelle le rölc du défunt dans l'ceuvrc patrioli- que du Souvenir Francais : Retire au Havre, il prolongea en quelque sorto sa carrière do soldatdans les fonclionsde président du,SouvenirFrancais.Toussaventavecquellcdignitö et quel dévouementil s'en acquitta et comment il savait traduire, en"quelques paroles émues,sobres et fières, les sentimenls les plus élevcsdans les cé¬ rémonies publiques. L'uiic des dernièresfois, ce fut Ie 21janvier 1915, üuwttfs.46 .lautiuiiiiistaUvu arsauisiie ïju: is

IWW LePetitHavre - Archives Le Havre...4 LePetit Havre —Oimanehe7Juillet4918 vcnir Franfais pour comntemoreri an pieddu mo-Buinent deSatet-Homain, les combats de i'année terrible,

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  • zr Uinta— l\°IWW (-4LPages) 15Centimes— EDITIONDCMATIN— 15Mines (•4: cages) 1 Jnillet1915Administrateur-Délégoé-GérantO. RAN DO LETAdministration,impressionsetAnnonces,TÊL.10.47

    35, Rue Fontenelle, 35* " 1"

    AdrssseTélégraphlque: KAHDQLETHavra Le Petit Havre RÉDACTEUR EN CHEFJ.-J. CASPAR - JORDANBeorétairoG-èoéral: TE. VALLÉSRédactlon,35, rue Fontenelle- Tél.7.G0ANNONCES

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    LePETITHAVREestdéstgnépourlesAnnoncesJndlcialreset légalesA PARIS.

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    ABONNEMENTSLe Havre, la Seine -Inférieure, l'Eure,l'Oise et la Somme ,Autres Departement?.Union PostaleOns'abonneegalement,SANSFNAIS,Nanstousles Bureauxtie Paste de France

    Tbois Mois Six Mois Una»

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    Au Fit des JoursAnee l'Armêe Américaine

    « Youlez-voas nous faire ie grand plaisir« (Poire des nóires Ie 4 juillet, el fèter en« noire compagnie « Independence day » ?« Cost un voyage el l'essence est rare.« Mais Sammy"qui traverse si facilement« l'Atlantique, ne s'inquiète pas pour si peu« de cliose. Une aulo militaire vous ira« cliercher... Faut-il vous dire que noire« amitic ose compter-sur vous ? »Que réporidre a une invitation si cordialeet si spirituellement présentée ? Accepteravec enthousiasme de commémorer le glo-rieux anniversaire de la Liberté en se fai—sant, pour quelques heures trop courtes, leprisonnicr ravi de tant de souriante cour-,toisie. Je suis allé a . . . , meltons, si vous levouiez bien « somewherijin France ».La censure n'est pastoujours cettc viei liedame acariatre et bougonne, dont ies airscoupants s'aiguisent sur la meule de nosironies. G'est une personne prudente etsage, rendue un peu timorée par (to ho¬norable excès dc vigilance, mais cheziaquelle il y a, en somme, mêiés auxPilules Pour les Pages Pales, des grains debon sens.Je comprends si bien ses émois et ses in¬quietudes que j'ai pris coutume de les de-vancer cn me censurant moi-même. DegrAce, bonne dame, ne me remerciez pas 1II est done parfaitement inutile de con-fier a ce papier en quel coin de la jolieterre normande jc suis allé cc 4 juillet, uncoin oil le ciel, la route et ies coquelicotslanqnient dans ia pureté de Pair vibrantune fanfare éclatante et tricolore qui seirouvait être a la fois par son bleu, sonblanc, son rouge, la fanfare dos couleurs' franeaises,nméricaines et britanniques.« Somewhere in France ». Une petiteville.Des frivolités parisiennes avaient coutu¬me d'y viilégiaturer autrefois — autrefois,c'est le passé lointain de i'avaut-guerre.Ellcs y trouvaient une retraite aimable oilFélégancene capitulait pas. La mode pour-suivait 14son règne souverain sur les mon-danilés 4 la cure de repos. Le coffiplct-lennis avail ses « five o'clock » recher¬chés. ct le smoking sorlait volontiers 4 lanuit loinbante pour aller fumer quelquescigarettes aulou r d un piano ami qui pleu-rait du Chopin dans la douceur du crépus-cule. Tangos ct romans. Flirts et bridges.La sympathie pour notrè ami Teddy nes'y manifestait encore publiquement queparmi détail de la toilette : ie succès duvisage rasé.Le bleu-borizon a dispersé le complet enflanelle, et le smoking a rendu Fame dansl'attente des victorieuses résurreclions.L'indécent tango est proscrit, le romanhumaiu se vit en horreur tragique. Mais, lemasque imberbe se porte beaucoup aujour-d'hui dans ce petit coin de la terre nor¬mande.Nous nous sommes faits 4ces restrictionspilcuses. La Grande-Bnetagne et l'Ameri-que leur ont donné chez nous une vogueintense et noire vieiiie antilié leurs lettresde naturalisation.Si, plus fortement que l'eslhélique, l'hy-giènc pratique impose le glabrc, celui-citrouve aussi des raisons d'étre dans l'ex-pression sensible des psychologies. .Les yeux : miroir de lime, a dit un obser-vatcur qui fut peul-être un oculiste. Levisage : grand périscopc du coeurlmmain,Bjouterons-nous. Tant il apparait bien quedei'éclatdes prunelies a i'attitude mobiledes lèvres, de la pointe d'un menton résoluaux plis verticaux qui mettent entre lessourcils ies points d'exclamation de la volonlé tenace, tout contribue a refléter fldè-lement sur la figure les mouvements variésdc la vie inférieure.Comment ne pas lire tout de suite surces masques ouverts et rayonnants la bellefranchise du caractère, la süre cordiaiitédu sentiment, la sincérité manifeste duplaisir, a mesure que le parfait gentlemanqui porte l'unifonne d'un officier supérieurde l'armée américaine me présente ses ca-marades.Shake hands et félicitations. Echange demots enrubannës d'amabilité et desourires.Une affectionmutuelle jaillit spontanément,préparée, je le sais, par des pensees com¬munes, des amitiés latentes impatientes dese.traduire, mais qui se développe intensi-vement dans ce milieu d'intimité quasi-familiale, pareille 4 ces fleurs dont la fi¬nesse s'épanouit plus briüamment sous leseffluves de la serre chaude.Ge que fut cette « journée américaine »pour celui qui renconlra auprès de ses hó-tes les témoiguages les plus touchants, lesplus exquis de leur attention, je suis assezcmbarrassé de le dire. J'ai peur d'user demots que leur long service a faits banalsen éventantle parfum qu'y mirent un jour.i* délicatesse de notre coeur et la subtilitéde notre esprit. La toute simple et trés élo¬quente vérité est que les ollieièrs améri-cains m'ont accueilli au nom de Ia pluscharmante bonne grüce, alliée 4 une ex-expansive et joyeuse camaraderie.Le rire est la santé des bonnes gensqui se donnent tout entiers. Sammy saitrire, et e'est pour cela peut-être quë nousIe sentons tout prés de nous, frère de notrerace, de notre tempérament.Ce jour-Ia, avec son ami britannique, ilavail organisé,'pour l'après-midi, unesorte 'de garden-party qui fut surtout un field-party. Son programme allait de la paradeforaine au match de box#, en passant parles jeux nationaux de base-hall et de cric¬ket.La foule était venne nombreuse. Lechamp librement ouvert aux curiositéschampêtres leur devait un aspect d'uneoriginalité forte que la photo a bien faitde fixer pour Fhistoire pittoresque du paysBormand pendafit la guerre.Les villagcoises endimancbées enlou-raient les baraques oü les khakis, camou-flés eo JJarnums et Baileys prolixes et f«-

    nambulesques, déroulaient du baut desplanches l'hyperbole des boniments.Je revois une bonne face de Sammy,aux rotondités lunaires, douffiement en-cerclée par des iuuettes larges commedes phares d'auio, el dont le divertissantpropriétaire exhibait pour quelque vul¬gaire « copper » des phénomènes insoup-gonnés, maintenus en cages : the spanishjumping beetle, le scarabée es])agnol sau-teur , the Clüneese duck, Ie canard chi-nois, the V-boaltoad, le crapaud sous-ma-rin, el bien d'autres caprices de la natureque des affiches appelaient, bien entendu,le sujet unique, la merveille de l'époque,the only one, the wonder of age !Le boniment cascadait encore sur les éba-bissements ruraux.qui ne le comprcnaientpas mais s'en amusaient follement, quandl'arrivée d'une voiture de Sioux cmplumés,peinturlurés et tapageurs, vint créer uncconcurrence redoutable. Elle fut bientótréduile a néant elle-même par un combatdeboxe oü les gants rembourrés faisaient« Boum ! Boum! » en plaquant des coupssur ies joues grasses, pendant que les bra-vos partaient en gerbes et que le Pc Malan-drin de Fendroit exhalait des soupirsémus : « Mais, doux Jésus, comme y leuxbaltent!. . . »... Le soir, dans le jardin du mess desofficiers. Des petites tables pavoisées etfleuries.Les couleurs alliées cbantent è l'unissonautour des assieltes, dans le charme enve-loppant et tiède du jour qui Unit. Le chefvénéré/très paternei, qui a daignc me re¬cevoir 4 sa fable, a voulu que je pariageavec un général britannique l'honneur d'é¬tre assis immédiatement 4 ses cötés.Un consul général des Etats-Uriis etl'obscur publiciste qui signe ces lignessont les deux seuls civils en ce mi¬lieu militaire off le khaki domine, mais oüi'on rencontre aussi le dolman noir a sou¬taches des officiers de la U. S. Navy.Pas de speech, mais beaucoup rnieuxquecela, Ia vieille tradition de l'Américain atable qui veut que l'on chante en cboeur,sur des airs familiers, des couplets impro-visés dans la fumée des cigarettes, — carnous fumons tous dés le potage, ame>icanstyle— entre la petite assiette a pain et lepaquet de Virginia.Le cboeur et sa fabrique de chansons 4l'emporte- pièce sont représentés par ungroupe de jeunes médecins qui out con-servé, intacte ét savoureuse, la belle hu¬meur de l'étudiant.Le couplet est tour a tour grave cl snu-tillanf. H commence le plus souvent sur unair de cantique et Unit dans la note éehe-velée du rag time:G'est la chanson au cock¬tail, avec la glacé pilée de la blague a froidet le zeste de citron de la fantaisie. Onagite forlemont au moment de servir.L'esprit américain excel le dans l'art de cesmélanges imprévus qui le rendent assezdétieata délinir mais bien aimable 4 dé-gusler.Un jour que je m'entretenais avec undiplomate des Etats-Unis, dont Ie nom émi¬nent désigne une grande valeur morale ctintellectueile, et que devant les rudes né-cessités de l'heure jc lui pariais de la joiedu devoir accompli, il me glissa dans unfin sourire :— Avez vous remarquó que Ia joie dudevoir accompli consiste surtout... a neplus avoir 4 l'accomplir ?Gette psychologie a la Mark-Tvvain voi-sine singulièrement avec l'esprit francais.La gaité saine qui pique sur Ia ciblo dePimprovisation des flècbes légères de laboutade procédé de la même école. Elle amis, l'autre soir, a notre repas,en plein airun inoubliable cachet d'exotisme_.et defraternité.Comme, au moment de prendre congéje m'apprêtais 4 sortir mon meilleur an¬glais pourdire les « Manythanks » imposéspar la reconnaissance, "le lieutenant-co¬lonel D. . . m'arrêta d'un geste, et, dans ce« mixed language » qui est le sel de nosrelations franco-americano-brilanniques :— Did n'l I tell you ? Speeches arestrictly forbiden. Mais puisque vous tenezaux remerciements, acceptez les nótres etn'en parions plus. Good bye et revenezsoon !Le démarrage de l'auto brisa net la con-tre-offensive de gratitude que je m'apprê¬tais 4 déelancher, sous un violent tir debarrage de mots sympathiques.

    AUiEnT-HEFUlENSCHMlDT.

    LI1I0151 A.MÉ16ICA.IIV

    4 MILLIONS DE SOLDATSlcr janvier prochainau

    Onannonceotficicllementque trots miltionsd'A-mëricainsseront sous les armos to 1" septemlire.Des informations rticemmentilonnées au Congrésrévèlent que le quarticr-maitro général en aui'aéquipe quatro millionsie 1" janvier.

    SiiekaitserTentlapaiiflemain...»M. Lloyd George, accompagnó de lord Mil-ner, secrétaire d'Efat a la guerre, de M.Ungues,premier ministro australien, du général Iiawlin-son.a visité vendredi lesAustraliens au Sud do laSomme et un secteur oü it a prononcó un petitdiscours devant les soldats amérieaias :Les declarationscl'Licrdu présidentWilson, a-l-ildit, détinissentnos buis do guerre. Si le kaiser ctses conseillersacceptentdemain lcsconditions déi'i-nies par votre président, il peut avoir la paiv nonseulementde l'Amériqüe,mais do la Grande-Breta-gne et de la France, rpais auciine indication qu'ilait pareilleintention nexiste. Nous (R couvoitonspas un metre do territoirs allemandet nous no de¬sirous pas privcvt'Aliemagnede la possession a ia¬quelle elle a droit.En vous voyant passer tout a i'keure, a dit encoreM.LloydGeorge,jo remerciaisDieuque vous soyezavec nous. J'élais anvieux de voir les hommes,quictaient venus demilticrs do kilometres pour, pardela l'Atlantique,combattrcaux cótésdos Francaisel desBritanniquespour la liberté du monde.Et j'ai le privilegedc les voir. Vous êtes la, cte'est un fait qui inquièto sérieusementie kaiser. IIno vous attendaitpas. Aujourd'hui, le kaiser saitque des millionsdeces hommespareils vont suivre,etil saitsadéiaitecertaiuectiaévitable-j

    COMMUNIQUÉSOFFICIELSFRONT FRANCAIS

    6 Juillet . 14 heures. — En Champagne,nos détachements ont pénétré dansles lignes et ont ramené des prison-niers.Plusienrs coups de main ennemisau bois Le Chaume, sur le secteuraméricain de Xivray et dans les Vos-ges ont complètement échoué.Nuit calme sur le reste du front.

    FRONT AMÉRICAIN"

    S3 heures.— A l'Ouest de Chateau-Thierry, nous avons réalisé quelquesprogrès dans la region de la cote 204et fait une trentaine de prisonniers.Journée calme sur le reste du front.AVIATiON. — Dii Jer au 6 juillet, nos équi¬pagesont abattu ou mis hors de combat seizeavions allemands et incendié sept ballons cap-tifs En outre, deux appareils ennemis ont étóabafus par les moyens de la D. C ADans la même période, nos bombardiers ontjete 56 ionnes do projectiles sur des gires,camonnements, éiablissements et terrainsd'aviation de la zone ennenrieUn incendie a 6té constalé dans les gares deChaulnes et ü'Am-igne-Lucquy, et da violentesexplosions, suivies d'inoendies, dans les dépotsde munitions de la Neuville et de Roye.

    6 juillet. — Dans la région de Cha¬teau-Thierry. l'artillerie reste active.Nos patrouilles ont encore ramenédes prisonniers.Dans les Vosges et en Woevre, l'en-nemi a de nouveau tenté d'abordernos lignes mais sans succès. En Woe*vre, un fort détachement allemandréussit a occuper 1un de nos petitspetits postes, mais il a été rapidementchassé.

    FRONT 1TALIEN

    FRONT BRITANNIQUE

    6 Juillet, après-midi. — Au cours derencontres de patrouilles dans le voi-sinage d'Ypres, nous avons fait quel¬ques prisonniers.1,'artillerie ennemie a été activeentre Villers-Bretonneux et 1Ancre.Rien d'autre a signaler. _

    Soir. — La nuit dernière, au Nord-Est de Villers Bretonneux, les trou¬pes australisnnes ont avancé leur ii-gne sur un front de deux mille yards.Des troupes du Lancashire ont réus-si un raid prés d Hinges, au cours du-quel elles ont fait plusieurs prison¬niers.AVIATION. — Le 5 juillet, l'activité aêriennea été faibie. Deux appareils allemends ont étédétruits, un autre a été descendu hors de no j'ocontrole Un des nótres m-mque.Nos aeroplanes et nos bailees d'observationont heureusement cónlribué a un importanttravail ü'artillerio. Dix-neuf ionnes de.b -mbesont été jetées sur divers objeciifs dans la jour.nee et durant la nuit suivanle.

    Communiquéde l'Amirnutê. — Au cours de lapériode du fer au 3 juillet, nos forces aérien-navales ont jeté 15 tonnes et o'emie de bomPer,provoquant un grand incendie a.Brugges et aZeebrugge oil des explosions furent observéesautour de l'écluse et auprès do deux sous-ma-rins. Quatre coup d'obus furent co' Statessurun comre torpilleur ennemi, sur les hangarset les magasins du qusi d'Ostende.

    6 juillet. — Sur le ba3 Piave, nostroupes continuent de presser l'en-nemi.Dans la journée d'hier, après avoirbrisé l'opiniatre défense opposée parl'ennemi, nous avons gagné du terrainen atteignant la rive droite du nou¬veau Piave, de la hauteur de Gri So¬lera jusqu'a l'embouchure.Nous avons fait 400 prisonniers,dont 6 officiers.Un violent retour offensif tenté par"l'ennemi dans la direction de ChiesaNueva fut arrêté après une lutte ar-dente.De nouvelles et violentes attaquessur les positions de Poptes Salton etsur Cornone ont échoué.L'aviation fut trés active, bombar-dant les troupes et les centres vitauxde l'ennemi. Au dela du Piave, deuxavions ennemis furent abattus.

    LalivegauchsduPiavees!libéréaAprès cinq jours de lutte inces-sante, nous avons repousse complète¬ment l'ennemi sur la rive gauche duPiave, achevant la conquête de toutela zone du littoral entre Sile et lePiave.Du 15 juin au 6 juillet, nous avonscaptxiré 523 officiers, 23,911 soldats,63 canons, 65 bombardes et récupéréle matériel de toute notre artilleriedans la zone avancée que nous dümesabandonner pendant les premierscombats.

    Afeweii. —

    FRONT DES BALKANS

    5 juillet. — Lutte d'artillerie assezactive de part et d'autre du Vardaret dans la région de Monastir.Dans la région de Wetrenik et aurles rives de la Cerna' de fortes recon¬naissances ennemies ont été repous-sées après de viis combats a la gre¬nade.

    leraiirefereLe

  • 4

    Le Petit Havre — Oimanehe7 Juillet4918vcnir Franfais pour comntemoreri an pied du mo-Buinent de Satet-Homain, les combats de i'annéeterrible, notamment celui du 17 janvier 1874,auqueiprirent part de nombrcux volontaires beiges au nii-Beu de nos francs-tireurs.Ecoutons-ie s'» Parmi nous, disait-il, fieaucoup ont di'j-i priscontact. en 1870, avee dos féroces emietnis. Loufmer.talité n'a guero varié : elle est seuicment deve-jiue plus eruelle. Chaque jour nous apporte le rédtde leurs nouveau* forfaits. Ils s'imaginent seiner laterreur et uc récoltent que la hainc.« Si le spectacle de tant de misères et il infortnnesest proloadémcnt alligeant., ajoutait-H, celui des con¬cours quo nous donnent nos alliés est réconfortant,ear avec cm, d'originc si variée, on peut diro a la• puissance de l'Allemagne ces vers prophétiqueS doiictee illustre poèic normand :Quei'Orifiïireontreelle ft l'Oceidents'altieQuecent peuples vernis des bouts de l'unirèrsPassent pour la détruire, ct les monts et lesmersw

    a Soyor.3done patients, prudents, coniiants »,Et il termine par ces mots t« L'heure de la vengeance sonnera J Mafgré lespertes douloureuse» ct ui'éparables, la France ct scsallies sorliront victorieux d'une ltttlc insènsée quileur a été imposes eoïtïre tont droitettoute justice.»Derrière ces ptsoies «m devinait un vif regret :celui do tie posveir partiwper a la tutte, it la revan¬che, constante pensee des anciens officiers do 1870,et do se savoir contrahit au rêle de. spectateur parcetto « vieillesse Mincmie » dont parlo égalementnelre grand poèle. Et sans doato a ce regret est venuse joindre, dans scs deruiers jours, celui de dispa-vafirc avanl d'avorr vu flottcr au vent de la vio-toirc nos drapeaux jadis humiflés. Mais dans l'amesi élevéo du général la fiji dans le triompho de nosatinr-s et dans l'avenir de la France domiuaienf tous. ces regrets.A inon tour, je m'ineline avec respect devant cettobelle figure militaire ct je 'prie MadameGripois ctsou fils de recevoir mes condoléances émues.Enfin II. Loovenbruck, secrétaire du SouvenirFrancais, salue la uiémoire du vénéré présidentde cello soeiété :Ibtrouvait une satisfaction évidente i> prokmgcrses services au culto do la Patrio. Pouvait-il mieuxfaire qu'on se consacrant. a cetto Association pourPédification et pour l'ontretien des tombes desMilitaires et" Marins morts pour la Patrio 1 OEuvrefondée en 1887, pour honoror nos héros tombés lesarmos a la main il y a 48 ans et dont le champu'aciion va êtee eilroyablemcnt élargi.Cetto grave cérémonie, l'Iiommage déiicate-me.nt rendu a la méjnoire du géuéral Gripois ontcause sur l'assislance une impression profande.

    Kéex'ologêeSatnedi aprês-midi ont cu lieu, en presence d'unctres norabreuso assistance, los obsèques de Mmefiarabcn-Dcnelitin, institulfice d'école laïqu'e et pro-fesscur de musique, eulevce hrusquement ft r affec¬tion des sieas.Hionveillaute pour tous, animéc cTuno grandeeoliicitude pour les enfants confiés a ses soins, cllose mostra lont parlieuljérement dévouce pour lesdésbérilés de la fortune. Cost aiusi que ehaqueannée. TÜEitvredes Colonies scolaires do Vacancesavail la bonne fortune de la compter parmi scs col-toboralrires tos pins empressées.Vioionistc de talent, eöe prêla souvent con con¬tours genércux a do nombreuses ceuvres de bicn-btaanco a'msi qu'a de» fètes scolaires, et contribua arép.uidre ie gout do la musiquc. Nombrcux ctaientitcux qui l'entouraient de leur affection. Aussi sonscmitil disparaissait-it sous des joncbties ue fteurs.-Parmi los eouronnes, nous avons remarqué cellesjléposées par le Personnel des.Kcotes. la Fralernelletaïque, la Muteelle du Foyer, ks Eleves do I'Ecolodo la rue de I'Alma.Dans Passistanco qui suivait ie char, nous avonsremarqué : li, Jeimequin, adjoint ; MM. Lang,Mevcr. Bcurrier, Kncontre.Langlois, conseiBers mu-niripaux : M.1inspecteur primaire, ; Mmcs lesdirec-Irires, MM.les directeurs et anciens directeurs d'éco-les lalques : M. Dclbende, ingénieur des ponts ctdiaussées -.'les membres du bureau de la SoeiétéFrédérie-BóManger, d.enombrcux chefs de service doia mairic, plusicurs prefesseurs de musique et uaeiélèralioh d éièvcs de ïEcoJe rue do l:A!ma.

    DlariageDcmairt; liradi 8 juiiret, a deux Lcures et do-füie de l'après-midi, sera béni dans le Templeprotestant, rne du Lycée, le mariagc de M.' lpprofesscur Jean Martin, adjudant a Casablanca,décoré de la Croix de guerre, avecMileRoseLai'on.M. le pastoor et Mme Jean Lafon prient leursimis de considérer lo présent avis commc uneidtre d'invitaiion.

    LLYOD DE FRANCEASSURE BO viBAR DEMENTS

    et tous risques de guerreIIS, boulevard tie bttrasbom-g

    Lli FEUflier, vers Oheures du soir, des ouvriers travail-lant dans l'atcfier do tonnollerie de la BrasseriePailk Ue, to. rue de Melz, ou i'on s'oecupe de la re¬paration et du l'Osinagedo tous ks flits do l'impor-tant, établissement, s'aperfurent qu'un ineendie ve-nail de so declarer.L'un d'eBXcounit pivfvenir nn contre-mallre de laniaison.tandis que ses eamarades ehcrcbaicut a com-battre le fell qui, ayant pris dans un las do füts,pi uvait, alimeofe par tino quantité de résine, causerae grands dcgSts dans lo quartier. Lo contre-maitre,arrivant bientót, fit soriir uno douzaine do füts;aprés quoi, vit te dévetoBpement do lincebdie, i! n'yuvait plus qu a laisser los sapcurs-pompiers ' lutlereontrc le sinistre.Ceux-ci, arrivés avee t'auto-pompe et la grandeMk'ISo, accomplire.nt rapidemcnt et efficacémentkur lache sous les ordres de lour chef, le capitainellonsiaux.Bes lances puissanfes inondèront le foyer, ks im-nicubles contigus furcrrt protégés, les toitures ayanteeuleraent un peu souffert.Néanmoins, quelquo affolemeatse produisit parmi,tes habitants. Des sotdats de Farméo britann'ique,vonus en louto liato, so nil rent on devoir* de proeé-der au déménagement d'un pavillou Uabité par MmeDeróme, au 7, rtle Toul, et adossó a i'atelier in-ceadié.Le service d'ordre était ló.onassurë par un piquetdes 129"d'infantetoe et 24\ territoria), conmraiidopai1le capitaine de Ia Jugannière ct un adjudant, etpar la police municipale que dirigeait M. Frambomg, coramissaire, et M. Cbemin, lieutenant desgardiens do la pais.Au bout dune Iit tire a peine, les sapeurs-pompiersétaient maitres du leu.Des precautions furcnt prises pour assurer loqai-libre don haut mur donnant sur la ru© et privé detoute charpcntft,.De I'atelier ilo tonnellerie, formant a peu prés unearre de 15metres de cóté, il no roste plus que lesmurs. La torture, le plancber ct toutes ks jioutresnc sont plus qu'un amas de déc«n>bw>«,avec lesnombreux füts et les objets divers rasseroWés aurez-ik-fhaussée. Toutes ces choses détruites reprö-sentent un assez grand domiUoge.

    Folies-BergèreAtijourd bui, matiuée ct soirée ; dernières repré-sentations de la tournée du Perehoir de Paris.Location de li hcures & mWi et do 4 h- 4/2 a5 hcures. _____

    Salson d'été (impresario Charles-Robert)Domain lundi, representation du Papa dn Ré¬giment, vaudeville en 3 aetes, l actuel grand !succès du theatre de ia Scala, (lette série de repre¬sentations sera des plus brillanle étant donnée partoute la troupe de la Scala de Paris.Location de 11 heures a midi et do 1 h. 1/2 a 3 h.

    Square Saint-BochAu cours de /'intéressant concert que la Fanfareits Invalides beiges dc Sainte-Adresse ilonnera au-jourtVbui dimanche, dans le jardin Saint-Koch, auprofit de i'OEuvrc du Colis aux Prjsonniers de guerreet Soldats beiges du front, OEuvre du C.M.B.do Gra-ville, MM.Leo Marco et Achillo Wildt, quo les lia-vrais out déjii si souvent applaudis dans nos con¬certs publics, inlerprèteront pour la première foisdeux magniliqucs morceanx du poète-compositeurThéophile Droncliat, l'auteur du célèbre cantique aIa Bclgiquo : 7'» renaitrasx morceaux intitules LaCatlUdrats et t Ikant de Hainc, ce dernier fait en ré-ponso au Chant de Haine allemand. Des exemplairesformat piano de ces deux morceaiLX seront mis envente, revftus dc la signature dc l'auteur, au profitde l'cuuvre.

    Mortpourla FranceSI""DUBOURSet sonRils,et toute la Familie,Ont la douieur de vous faire part de la portoeruelle qu'ils viciuientd'éprouveren lapersonnedeMonsieurJean-BaptisteDUBOURGSoldat au i 42' Régiment d' Infanterie

    décëdé i l'Sgc do 32 ans.Et vous prient do Vbuloir Men assister au ser¬vice religieux qui sera célébré a sa mérooiro iemardi 9 juillef, a neuf heilrosl'église Saint-Nicolas, sa paroisse

    a ncuJ heiiros du matin, enV(23t«z)

    Thóalre-Cirque Omniat Cinéma Omnia PalUéAujourd'bui, matinée ii 3 hcures, soirée a 8h. 1/2;Excursion sur 'les cötes de Norvège (plein air). Lu-üen Transfuse, éomédie de (Lucien Rosenberg),Dernières Acluraütésde la Guerre et du Pathé-Journal.Sliss IVobody, (dramei. Elle est de l'JtqMechan¬son filmde, tlóeur d'iléi-oïne, 3' épisode : dela mort a l'amour,L'enlèvement deDoireau (eomique).Attraction : Trio MAhlETTI, (équilibres surechelles fibres].Avis. — Bureau do location, ouvert boulevarddo Strasbourg.

    Select-PalaceAujoimVhui, matinée a 3 heures et soirée &8h.l/2,1" épisode de Fnuvctte (grand roman-cinémaOil2 episodes) ; Le Mannequin balladeur, Luftrnc etIe Lae des Quatre-Cantons, Mérites personnels, Der¬nières Actualitcs de la Guerre ; Grand Concours re¬gional el'Entrainement physique a Roucn, le i(i juiniliiS, et Distribution des Recompenses: Elle était smt-riante. chanson filmde, cbanlée par MileMireilleBaïa.— Attraction : Miss CamilSo and partner,jongleuse et danseuse-acrobate. Location ouverte do10 hcures a 12heures et de 13 h. -1/2a 17heures.

    Une seule Matinée ü 3 heuresSoirée & 8 heures

    ^aumofi? CONSCIE CES .. . ! ! IA GrandDrame sénsationnelLEBARONPSYSTÈREt4«épissSs)

    Vousêtes prié de vouloir Men assister auxconvoi, service ct inhumationdoMademoiselleThérèseVAUOOLON

    dêcédee le 3 juillet, a midi, Sgée de 23 ans, ma¬nie des Sacrements do I'Egiise, qui auront licule lundi 8 juillet, ü ncuf heures du matin, cnbégliseSainte-Marie.Oil se réunira chez M. G. Poupel, 31, rue Col-iai'd.De la part de :31. et BI"' Albert VAUDGLOR,ses fiére ct licile-mère ;tö. et tl"' Georges PGtJPLL,ses oude et tante;ffl. et M" Geo ges VAUDOLON(au fipnt}, scsfrèro ct beUc-soeui':BI"' Madeleine VAUDOLON.sa soeur:M Raymon SMEYERS,son frère ; *DJ'1'Fernando SMEYERS,sa soeur ;M Lucien LECAPPENTIER,son fiancé ;31. et iïim-Jules LEPORQ,ses cncie"et tante ;NI"' oeuoe VALLÉE,n=e LEPORQ,sa cousine, etson Fits ;M Pierre LEPORQ(au front), son cousin ;tii. André LEPO Q (au front), son cousin;31.eta • Carta te LEPORQ,31.et BI'" LEQUEUX,née LEPORQBI.et IH*>°Albert LEPOnQet leur Demoiselle,ses oncles tantes, ct cousine :Bt" oeuoe Albert LE. Or.Qei sa üemoiselie, scstante et cousine ;BI. VéLIN,son onele, et ses miants ■,0"' ostwe LANQS,sa tante, et sa Familie ;Les Families HORION, ÜROUET, FELTEIN,BEAUFILS. GOSSEUN, RECIUR, BELLAT RO -QUELAY,Xnoier POUPEL,EBRAN,Li.CARPENUER,Et les mis .La maisoa E. Lenoble et ie Personnet.

    u HERNIE#GUÊft/E FAt ■la MéthodeLEROYCHUTES daMATRICE

    DfePLACE*flENTS des ORGANESCe n'est plus une utopie : La Terribto infirmitdqu est JL« ïlei-nie, est aussitét maitriséo ctrapiilement guèrie grace a ia JMétliotleLei-oy, Dominant de bien haut les belles pro¬messes dessoi disant spt'cialistes, la nouvelle preuveci-dessous, véritable Citation a l'O dre duJour «le Ia Science, est bien la confirmationdes INNOMBRAUES GU ÉRÏSONS puhliées ici ;«Monsieur LEROY, inParia,

    CompJétemcnt Guéri do ines deux Hernies, c'estavec reconnaissance quef atteste i'cxcéilence de votroMéthode ; je vous autoriso, dans l'intérêt de tousceux qui souifrent cmnme j'ai souffert, a en publierie résultat. — 1" mai 1918,POLLET, i 7 » 45» i » 00» 1 O50

    ö.7 (2367)

    wwmmmmm L'Épave hup/iasneGrandDrameen 5 partiesLeSecret duSous-Maria

    40"Episode ;I, 'Aeroplane en feuNÉNETTE ET RINTIÏ2TINCoirièdie,ete.

    Matinee u3ii. Soirée a 8 h. 1/3

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    0"" oeuoe J G IPOiS ; ff. Edouard GRiPOiS:Les Families FOERST'ER,TOPSEN , GRIPOIS,MALLET,C OQUEFEf!et les Amis remercieot lesautorités civvies et roilitaires ct tes nombreusesi personnes qui ont liien voulu assister aux convoi,service et inhumation deMonsieurIeGénéra!deDivisionJ.GRIPOIS' iIIIIm*lllltXIWBWMBBtgWPIRBWBtaMatR-.

    GRANOHOTELMOERf»ESoeiété anonyme au Capital de 650,000fr.Stége social : 81, bou'eoard tie St asbourg, LeHaore

    Les actionnaires du Grand HOtel Moderne sontconvoqués en assemhiée générale extraordinaire, leSamtdi 27 Juillet, a 14 h. 30, au siege de la Soeiété.

    ORDRE DU JOURModification do l'article 47 des statuts.

    Les actionnaires du Grand Hötel Moderne soütconvoqués en assemhiée générale ordinaire pour leSamtdi 27 JuüUt, au siège do la Soeiété, il Tissue doI'assemhiée générale extraordinaire.

    ORDREDUJOUR:i" Rapport du Conseil d'ariministration ;2" Rapport du commissaire des comptes ;3" Approbation du rapport du Conseil d'adminis-tratten, de celui du commissaire, du bilan et descomptes de.l'exercico 1917-;£ Repartition des hénéiiccs et JLxationdu divi-dende ;5° Üuitus du Conseil d'administration pour l'exer-clco 1917 ;6° Nomination du commissaire des comptes pourI'excrcice 1918ot d'un commissaire-adjoint. Fixationde sa rémunération ;7* Autorisation aux administrateurs conformö-ment a la loi du 24 juillet 1867.L'Assemblee se compose des actionnaires porteursdo cinq actions au moins.Pour assister a t'Assemblee générale, les proprié;-taires d'actions devront avoir iléposö leurs litrescinq jours au moins avant TAssembtóo générale auCi'édit Havrais.Les réeépissés de dépót délivrés par les établisse¬ment do crédit seront acceptés aux lieu et place destitres eux-mèmes.(2383) Le Cemeil d'Administration.

    VENTESPUBLIQUESCOWittlSSAIR,S prUBS DU HAVRE

    Vente mohiiieieaprès décèsLe illercrcdi ÏO Juillet 1918, &dixheures du matin, au Havre, Hötel des Rentes, 62-64,rue Victor-Hugo, il sera procédé ii ta vente publiquodu mcdiilier dependant de la succession Fasscur. et' consistant notamment en ; fourneau ct ustensiies'decuisine, vaisselle et vorrerie, chaises, tables] glacés,ridcaux, pendules, commode, toilette acajou, meu-bles de salie a manger ct de chambre ii coucher, bi-bliothèque, livres, ouvrages divers, matelas, litorie,iinge et offets a usage de iemme, bijoux et argente-rie et objets divers.

    Argent Comp/antRequête dc M. Guiliot, admteistraieur provisoire.A a suite : Salle a manger cn chêne, piano aqifoue, meubles ct objets mobiiicrs divers.

    Le 9 Juillet 1918, i*. 15 lie'm-cs. canal deTancarviile, quai do Gironde, MM. Jamcin et IT,ieront vendro publiquement pour comptc do qui dedroit, en vcrtu d'un jugemeut du Tribunal do Com¬merce du Havre èn d'afe du 3 juillet 1918, par Ie mi¬nistère do Etienne dureau et do tdkbot courtiers.Environ 100 Ton. HARICOTS.» 300 caisses QUAKERS OATS (farinc

    d'Avoine) plus ou moins avariés. impropre a laconsommation humaine. 5.7.8 (2355)

    Etude de fen M DUBOSC,nolaire a Montivillicri

    VENTE DE BÉGOLTE3, CHEVAL ETMATERIEL DE FERME

    AMannevilfotte, hamcan du Carreau-dos-Moulins,ferme Rousselin, io Martli 9 Juillet 1918, a2 heures. M.Lefè'vre, suppléaat, vèndra 3 hectares50 ares dc Die, 2 hectares d'avoine, / cheeal de 3ans, ooiture de marché, harnais, 4 colliers, 2ratellesa livas, charrue motteuse, fourches, fauix, scie, pil-ierie, pressoir, cuves, laneillcs, eribles, brouetiedo grenier, 100 lagota et objets divers.

    30.7jt (2038)Etudes de feu M' DDBOSC et. ds M" I.ECARPKX-

    TIEIl, uotaires it Montivilliers.

    Vente de Récoltes. Oheval et Materiel deForme.

    A Manëgtise, hameau do Cocussevitie, ferme Re-nousin.Lo Lundi 8 Juillet 1918, ft 2 h. 1/2, MM.Leièvre et Aubourg, supptéants, vendront : 0 hec¬tares de hie, 3 hectares 50 ares U'avoine, 1 chevalhongro do 6 ans, fnucheuse-moissonneuse , banneaa,lerraille, colliers, harnais et objets divers.

    - 30j 7jt (2037)

    Etude de M' René LECARPENT7ER, notaire üMontioiUürs (Successtor dc M°MA1LLARD)

    Ventes publiquea de Récoltes-IjCMavdi 9 Juillet I 918, a 2 heures 1/2, hMontivilliers, route de Bofbec, ferme de MhoDe-neuvo :3 h 50 a. do trés beau bid.1 h. 70 a. de belie avoine.

    Aux conditions ordinaires. ,Requête dc MileDeneuvft. 30 7jt (2014)

    Etude dc M" Gcorgee^lÉRLER, huissier de la Barquede France a Criquetot-t'Esneval.

    Ventes de Récoltes, Matériel de Cultureet de Café-Débit

    Le Mardi O Juillet 1918, 5 2 heitres, &Bordeaux-Salnt-GIair, section d'Epivent, ferme Adol-pho Cambert : Vente dc 3 hectares de blé et 2 hec¬tares 50 arcs d'avoine.

    Le Mercredi 1 0, a 2 beures, ü AhglesqueviBe-l'Esneval, hameau du Parlement, forme vcuve Le-baillif ; Vente de 1 hectare 68 ares de bon blé, l hec¬tare 50 ares d'avoine, 4 barriquede 400 litres pleinede cidre.

    Le Vendredi 12, !t 2 lietires, a Criquetot-t'Es-neval, ferme Léon Gosselin : 4 hectares 50 ares datrés beau blé, 1 hectare d'avoine.

    Le Samtdi 13,1 i hcures, ii La Poterio "(lapd'Antifer, hameau do la Place, ierme Fouquay4 hectares de bon blé, 2 hectares 27 ares d'avoine,1 hectare 70 ares d'orge, 1 hectare 13 ares do pom-mes de terre.

    ANGLAISIFÏWP III 1 11 aYant sêjom-nö. 7 onndesjiHJllISi r ILIjfi en Angleterre, donneLefons particulières, Anglais commercial. (Tousles jeudis, de deux heures it six heures), courspour enfants do 6 h 13 ans, gary.ons et filles.Conversationanglais, jeux et promenades,tout "aanglais.—Sadreseer23, rue Bard. »—)j (6255)

    UOKHS ET MA1STEAUXLegons, cours de Coupe. Moulage et CouturaMademoiselleÊLLOY,diplömée

    45, ruc Frédérick-Lemalti'c, 2', Le lfavr®^ (2I24Z)_

    lU IKaWr reeommaiiqabie,prés la.gweI MIlWiWIi Samt-Romain, prendrait En-fant peiisiomiulrc.Pour renseiguoments prendre Tadrcssc au bureaudu journal. (2H8z)

    Lo Lundi 15, 4 2 hcures, a la Poterie Cap d'An¬tifer ; 3 hectares 40 arcs do lilé, 1 hectare 70 aresd'avoine, 1 eharrette a gerbes en bon état, 1 iian-noau en bon état, 1 eharrette anglaiso état de ncuf, 'civières et toiles i colza, colliers de limou et de 'labour, charrue, ete.

    Le Mercredi 17, &2 hcures, a AnglcsqneviUe-l'Esneval, hameau des Broucttes, ferme ArisiiiieToutain : 1 hectare beau blé, 1 hectare d'avoine.

    Le Mercredi 21, a 2 beures, ii Pierrefiques,pi"('>Sl'Egliso : Matériel dc caié-débit. — Requête doM. Georges Avenei. 7 (2416)

    Etudes de M' HASSEI.MANN, notoire au Havre,S. rue tie la Paix (succcsssur de M' AUGER), et deM° GUERARD, huissier dc la Banque de franseau Havre.Vente pubüque de RÉCOLTES

    Lc Jendi 11 Juillet 1918, h deux hcuresprécises, M*Hasselmaan, notairc, procédera cn.firé-scnco de M°Guerard, huissier au Havre, sur la prci-priété du Petit, Coupeauvilie, située a Epouviile, aia vente publiquo de :42 hectares environ de blé ;45 hectares environ d'avoine ;4 hectare environ d'orge ;50 arcs environ dc pommes de terre.

    il) 0,0 en sitsCrédit aux personnes eonnucs et solvalifes.Réunion a la ferme. 23 30 4.7jt (!65S)

    Etude de Af' I.li VA1LLANT,notaire d GoderoiUeVente aux Enchères

    Lc Mercredi 18 Juillet 1918, S deuxheures, a Goderoille sur la ferme de fa Vestièroqu'exjiloitait M. Jean Lucas, do : 8 hectares 50arcs dc tres beau JJïé, il hectaresd'Avoine,

    Le Jeudi 1 1 Juillet 1918, 5 deux heures,a AubsroHle-ta-Renau't, sur la ferme qu'exploitait M.Pierre Cavelier, do 1 7 hectares de trés beauBic, 2 grands chariots, rouleau, colliers, hanncau,moissomieuse systéme « Mahieu » et instrumentsaratqires. (2463)mSSSX*l**X-> e- ^ -f--— -- --

    AVIS DIVERSEtude de M- Félix V1VIER

    Receoeur de Rentes64, rue de Saint-Quentin. — Le Havro

    ïttftlSIliffliScherehent'it LODER^pïustot possible, quartier central, Appartement^Favitlon ow partic de Havillonavec cabinet dd. toilette w.-c., eau, gaz, ü i»5 piecesnon iiièubk'es. — On aohèterait A l'occa-Bion; — Faire ofire avoa prix : ALBERT 30,bureau du journal. (22S9z)

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    (eiijz)Mrjllifr Bans Enfants, CHERCIIEiflij'vilvSsj Appurtcinciit ïneiilitépreipre, deux ou trois pieces.Reponse MARTIN,bureau du journal. (2451z)

    Cessiond'irsdnslrie(2e Ivis)Suivant acte s. s. p., en date du 27 juin 4918, M.Alphonsc MASS()\, a cédé a M. OustaveLECIIEVALIEB^ son londé de pouvoirs, saFabrique de Procuits d'entretien, sise' a Graville-Sainte-Honorine, rue de Mieulle, n" 7.Prise de possession immédiato ct paioment eomp-tant.Domicile élu ehez M' Félix Vivier.

    29.7}t

    Ancïeime Mntuelle2' AVIS

    O. ELOY, agent génsrai, 106, boulevardde Strasbourg, rappetlo a ses nombrcux socié-taires qu'il est en possession des Quittances del'exercice 1918 ; et qu'ils psuosnt en o ersr lerègiemdit dans ses bureaux, tous les jours noufériten (2465) .

    Le Mercredi IO Juillet 1918, ii 2 h. 1/2,è Manéglise, hameau' des Mares, ferme do MHeGolain :3 h. 50 a. do trés beau blé.2 h. 25 a. de belle avoine.12 hectolitres de cidre, füts et chanliers, 30 kilosdo vieux métaux, et divers objets.

    Aux conditions ordinairesRequête de MiioGolain. 30 7jt (2015)

    Etude dc M' GUÉRY, gradué en droit, huissier uSaint-Romain-de-Cplbose

    Vente de Blé et Avoine, Orge 1Lo Lundi 8 Juillet, ii deux hcures, ii Roger-ville, sur la ierme do « Rogei'val » qua cesse d'ex-ploiter M.Périer, M' Guérv vendra : 4 hectare 50aresde blé. 1 hectare d'avoiuo', 50 ares d'orge. — Crédituiiiquémont aux personnes counties solvable».— Re¬quêtedeM.Périer. (2397)

    JIliHI! ETUDE

    Vente de Colza, Seigle, Blé et Avoine,Oheval et Bestiawx

    Le Jeudi 11 Juillet, ii deux hcures, ii Saint-Aubin-Routot, hameau des Marcs, sur la ferme oecu-pée jiar M.Jacquelin, M° Guéry veiidra : 14 ares docolza, 44 ares de seiglo, 1 hectare 70 sites do bonblé, i hectare 40 ares*do boile avoine, 1 bon chevalhougre Hors d'age, 2 bonnes vaches pleines.— Crédit"uniquomeut aux personnes connues et solvahles. —Requête dc 41.Jacquelin. (2398)

    ME.MME ETUDE

    Vente de Blé

    res de bon blé. —Crédit uniqueinont aux personnesconnues solvahles. — Requête do Mmoveuve Paim-paray, (2399)

    ancien negotiant du Nord. par/antk") trés couramment I'anglais et t'es-

    pagnoi, ''trés sórieux, cherclie Fiuploi dansMaison d'lmfiortation ou Déchargement. — Ecrireg R. DUMANOIR,28, rue de la Mor, a Trouviüe.

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    Dépcndaiit de ia succession de feu SS. Perquer

    UAdjudication est fixée aa Jeudi viiigt-cinq Juiliet iOLS,it deux heures et demie après-midi

    Ou fait savoir ü tous certx qu'ilappartiendra qu'en vertu et puurl'exécution d un iugement sur re-quète rendu par ia première Cham-j bre du Tribunal civil du Havre, lecinq avril mil iieuf cent dix-huit,I enregistré, expédié et signifié.Aux requête, poursuiies et dili-1 genees 'dc: Monsieur Godrges-Paul-Autoine Palyart, proprietaire ctofficier des Ilaras, et Madame Ga-brielio Vinchon, son èpouse, de-meurant ensemble a Paris, rueBoissière, n*30, ladiiedame vouvej en premières noees de MonsieurPaul Éugènc-CéiestinPerquer, «Ma¬il dame Palyart en qualité de tu-« trice -natureüe et légale do Ber-« nard-Paul-Eugène Perquer, souo fils mineur, né au Havre, 1c« cinq avuil mil buit cent quatre-« vingt-dix-neuf, issu de son pre-t>nativesde 500 fr. chacune iibéreeud'un quart , de la Compagnie d'As¬surances conlro nnceudie , La Sa-lamandre , dont le siège social estau Havre, place Jules-Ferry, u*1.TROISIÈME LOT

    GO Actions nominatives«5e GOO francs chacune,hbéré s d'un quart, de la Compa¬gnie llavraise de »Vaïs«r«,iCcs,tuHitle siège social, est au Havre, placeJules-Ferry, n" 1 bis.QUATRIÈMELOT

    41Actions de priorité etnominatives cle 50Ó francscliacune, entièremeat liberéss,de la Sociétc des Caoutchoucs deTackimaia, Société anonyiue dontle siège social et au Havre, ruoViqto*-llUgo,n° 15).CINQU1ÈMELOT

    25 paris de l'ondatcurau porteur de 50 irancschacune, entièremsiit liberées,de la mème Société.

    SIX1ËMELOT2G Actions nominativesde 500 francs chaciuit ,tièrement libérées, de la aièiueSociété.SEPTIÈME LOT

    1 O Actions nominativesdc lOO francs chacuneewis remeut libérées , deda SociétéGrand Skating Havrais, Sociétéanonyme ayant sou siège socialau Havre, boulevard do Stras¬bourg, n° 123.HUITIÈME LOT

    GOAetionsde lOOfraneschacune, de la Société anonymedu journal La Démocratiellavraise.dont 20 sont libérées de mnitie etfes 10 autres d'un tiers settlement.Miscs a Prix :. Outre les charges, clauses etconditions du cahier des chargesdéposé eu l'étude de M* Hasselmaun, notaire au Havre, oü lesamateurs peuvent eu prendrecommuoication, les enchères se¬ront rerucsA TOFT PRIXRédigé par i'avoué soussignépoursuivant la vente.Havre, ie vingt-neuf juin mUneuf cent dix-huit.Signé • Paul ROUSSEL.suppléant de M"Paul B0ÜCHEZ.Enregistré au Havre,- le deuxjuiliet mil ueuf eent dix-huit.Recti uu franc quatre-vingt-huitcentimes.

    Signé : 6U1LL0N.Pour tous renseiguaKcnts, s'a¬dresser A:V M*HASSELMANN,notaire ;2' if* Paul BQl'CHEZ, avoué.

    (2323)

    Etude de M' Paul BOUCHEZ,avoué au Havre, 87, boulevardde Strasbourg. _ ■ .Eicitation ARQFIS

    M®i£ATI0MSS&n2Tribunal civil du Havre, lo Vtn,-dredi SO Juillct 1918, a 2 heuresaprès-midi, de :1" Lot. — line Propriétésiso A Graville-Saintc-Ifonorine,section ries Acacias, ruo Pierrc-Dumont, n° 11, divisi'e cn deux lo¬cations. Loyers annuels, 400 fr.MiseAprix : 2,500 fr.2" Lot. — Une Propriótésiluée a Gravitlo-Sainte-Honorine,section des Acacias, rue Piorre-Rumor.t, n*« 13 et 15, divisée endeux locations. Loyers annuels,500 fr.Mise a prix : 1 ,(HM) fr.3' Lot. — Un Terrain enjardiuage sivué'AGraville-Sain-te-Houorine, quartier des Acacias,ayant aecès ruo Picrre-Dumont, di¬visé cn deux locations. Loyersannueis, 10 Ir.Kise a prix : 500 fr.4*Lot.— Hue Mai»»» d'ha-bitati-on située AGraville-Sainte-llonoi'ine, rue des Acacias, n' 93.Lqyer annuel, 250 fr.Mise a prix ? 2, OOO fr.5* Lot. — Une Piece deTerre nu en labour, situéoa Bftvilie, au BOisde Biévillc, con-tenant I hectare 46 ares 24 ccntia-res. Loyer annuel, 300 fr.Mise a prix : 3, OOO fr.Pour tous renseiguements, s'adres¬ser a :1*M*' BOUCHEZet HOUZARD,avoui's au Havre ;2' M LEFÉVRE,suppléant M"DÜ-BOSC,notaire a Montivilliers.

    __ 7.14 (2392)

    Etude de il' Paul ROUSSEL.avouéau Harre, boulevard cle Stras¬bourg, n° 129.

    Uicitalion D. AUGER

    Etude dc M' LE ROi'X, notaire anHavre, place de I'Uotel-dc-YUk,2Q.

    ADJUDICATIONiltrcrtdi 24 Juillct 1918, a 14 lieu-res, d'unc Maison. située ailHavre, run Michelet, ré' 61. en iacodu square Holker, éievée sur cavoeu sous-sol, d'un rez-de-chausséode trois pieces, de trois étages dochacun quatre pieces et cabinet dotoilette, et d'un quatrièmo élagalambrissé, comprenant mansardes,buanderie, waU-r-rioset, eau etgaz a tous les étages, cour der¬rière dans laqueiie' bélimeni aitSud eh aile ei autre bailmenten retour d'équerre a rez-de-cbausséo ct un etage de trois piè¬ces,et grenier au-dessus. Superfi¬cie -160m. c . environ. — Revenuannuel par bau.x : 3,410 fr. — Misea prix : 40,000 fr..S'adresser : pour visiter, surplace, et pour tous renseigue¬ments et traitor, a M. GeorgesELOI,i'ceeveur de rentes an Havre,boulevard do Strasbourg, n' 106,-et audit notaire.

    30 7 14)11(1965)

    Etude de M°GASajET, notaireLilttboune

    ATnnsjriD P flUXenchères pu-VLixkff '.Su bliqurs, cn I'au-dience des criéds du Tribunal civildu Havre, au Palais de Justice deladite viile, lo Vendredi 26'Juiliet1918, a deux heures precises der après-midi :PREMIER LÓT

    Grand Immeublc, sis auHavre, boulevard de Strasbourg,n* 57.Revenu ; 19,560fr.MiseAprix : 200,000 fr.DEUXIÈMELOT'

    Grand Immcuble, sis ditevitle, run Juies-Ancel, 11°12.Rcveuu : 6,760 fr.Mise a prix : GO,OOO fr.TROISIÈMELOT

    Deux .Maisons, sises diteville, ruo du GénéraJ-Fa^berbe,

    Revenu : 4,000fr.Mise a prix : 20,000 fr.QUATRIÈMELOT

    Une Portion dc Maisonet Une Maison, sises dite- ville,rue du Général-Faidherbe, IT-31et 33, a i'angle de la rue do laFontaine et sur cétte ruc, n° 3.Revenu : 3,430 tr.Mise a prix : 20,000 fr.C1NQUU5MELOT

    Unc Maison siso dite ville,rue du Général-Faidherbe, n"35, al'auglo de la ruo do la Fontaine ctsur ccttc rue, n* 2.Revenu : 2,600 fr.Mise4 prix : 15,OOOfr.Pour tous renseignements, s7»-di'esser :1*A M" Paul ROUSSEL, SOU-I QUE, PRESGHEZ et RENAULT,avoués au Havre ; 2*M"NARCV,notaire ; 3*au Greffe du Tribunalcivil du Havre.Et pour visiter : lo 1" lot lesmardis-et vendredis, de 2 h. A5 heures, lo 2* lot les mardis etvendredis, de 2 A5 heures. lo 3°lot les mercredis et vendredis do2 A5 heures, lo 4° lot les lundis et |_.mereredis de 2 4 5 heures, et tori5' lot les lundis et mercredis de a4 5 heure», les après-midi.NOTA.— Les enchères ne seront■refills gv.cpar minisDrt rfareué.2 3 [9046J a.4.7 (2134)

    M*Gaschet et en présenee do M*James, notaire a Gaudeiiec-en-Caux, Ié Mtccrcdn 24 Juillct 1918,a 2 heures du soir, dc :file de LILLEGONHEPREMIER LOT

    Makon (l'h^ebitation, ruodu Moulin-de-ilaut, n* 68. •- Re¬venu 240 fr.Misea prix : J.GOOfr.DEUZIÈMELOT

    Props-iété, quarlior do inVallée. rue Gouhermoulin, n '132,134, 134 bis, comprenant maisond'habitalion. jardin et dépendan¬ces. — Revenu 350 fr.Mise a prix : 2,500fr.TROISIÈME LOT

    Maison (l'habitaiion, aver,jardin, rue Victor-Hugo, n' 27. —Revenu 150fr,MiseAprix -. 2, OOO fr.•QUATRIÈMELOT

    Props-iété, .boulevard -do!*Al¬liance, n°slo, 18, 20, comprenant3 maisons a'habftation, janiin,bitimenfs Ausage d'abattoir, éeu-rie, remise. — Revenu 810 fr.Mise Aprix : 5,Olit>CINQUIÉMELOT

    Propriété place du Marehê,n" 7, 9. comprenant 2 maisons ausage ae commerce, occupéos parMM.Vittecoq, boulanger, et Bcau-fils, couvreur.— Revenu jusqu'au29 septembre 1918. suseeptiblod'augraentalion, 1.280 fr.Mise Aprix : 4 G,O4>0 fr.Commune de SAINTJEAH-DE-

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    Maison d'Habitalibn surle bord du chemin de Radicate!.—Revenu : 100 Ir.Mise a prix : 1,000 fr.SEPTIÈMELOT

    Propriété sur lo bord dc laroute do Tancarville, comprenantmaison, cour, verger planlé, isares 6 centiare-s. — 'Revenu :200 fr.Miss Aprix : 2, 500.fr.HUITIÈMF,f.OT -

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