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www.vaulx-en-velin-journal.com Le 28 avril, le service municipal de l’Education organise les pré-inscriptions pour les séjours d’été des enfants de 6 à 17 ans. A la mer, à la campagne ou à la montagne, chacun pourra trouver la colo qui lui va. Lire en dernière page Au Village comme au centre-ville, les commerçants font part des difficultés à faire venir de nouvelles enseignes. Quand, aux Sept chemins, le centre com- mercial joue la proximité pour se démarquer de son concurrent du Carré de soie. Lire p.5 Inquiétudes et espoirs des commerçants vaudais Tout le programme des séjours d’été 18 avril 2012 n°50 - 0,76 Luttes et résistances, hier, aujourd’hui et demain Du 24 avril au 27 mai, avec la manifestation Une ville, des mémoires, Vaulx-en-Velin se penche sur son his- toire, mais aussi sur les luttes présentes et en devenir. Sur le thème des luttes et résistances, Une ville, des mémoires, se décline en commémorations, spectacles, expositions… Et un temps fort, le 12 mai toute la jour- née au centre culturel communal Charlie-Chaplin. Lire pages 6 et 7 Vincent Colin, la passion des échecs en héritage Lire p.2

Journal N°50

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Le 28 avril, le service municipal de l’Educationorganise les pré-inscriptions pour les séjours d’étédes enfants de 6 à 17 ans. A la mer, à la campagneou à la montagne, chacun pourra trouver la coloqui lui va. Lire en dernière page

Au Village comme au centre-ville, les commerçantsfont part des difficultés à faire venir de nouvellesenseignes. Quand, aux Sept chemins, le centre com-mercial joue la proximité pour se démarquer de sonconcurrent du Carré de soie. Lire p.5

Inquiétudes et espoirsdes commerçants vaudais

▲Tout le programme des séjours d’été

18 avril 2012n°50 - 0,76 €

Luttes et résistances,hier, aujourd’hui et demainDu 24 avril au 27 mai, avec la manifestation Une ville, des mémoires, Vaulx-en-Velin se penche sur son his-toire, mais aussi sur les luttes présentes et en devenir. Sur le thème des luttes et résistances, Une ville, desmémoires, se décline en commémorations, spectacles, expositions… Et un temps fort, le 12 mai toute la jour-née au centre culturel communal Charlie-Chaplin. Lire pages 6 et 7

Vincent Colin,la passiondes échecs en héritage

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Vincent Colin, une histoire de filiation et de passion

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Louise Neyret, au cœur du développement urbain

GRICHA Ivanov, né en Bulgarie, a grandi avec la passiondes échecs. Une flamme qui ne l’a jamais quitté : “Ça resteà vie ! J’ai commencé à cinq ans. A l’époque, il n’y avait pas declub. J’ai appris en regardant les gens jouer. A 25 ans, je suisdevenu champion de Bulgarie par correspondance”, relate-t-il. Aujourd’hui, il est entraîneur au club d’échecs vaudaisAvinkha. Pour cela, il a passé un diplôme remis par laFédération française d’échecs : “J’ai dû expliquer ma propreméthode”, précise-t-il. Ce passionné se réjouit que le parle-ment européen ait adopté une résolution sur l’introduc-tion du jeu d’échecs dans les écoles : “Ça donne une satis-faction morale pour tous les efforts fournis pour former lesjeunes”. Et de vanter les mérites de “ce sport qui développel’imagination et donne de bons résultats, notamment pourcombattre la maladie d’Alzheimer. Il possède aussi des vertusthérapeutiques”. J.P

Gricha Ivanov, ancien champion d’échecs

Vincent Colin, à l’origine de la création du club d’é-checs vaudais Avinkha, en est le responsable. Ce vau-dais, natif d’Hanoï, aime transmettre sa passion toutcomme l’avait fait avant lui son grand-père, à qui ilsouhaite rendre hommage.“C’EST une belle histoire. Je voulaisdédier le tournoi que nous venons d’or-ganiser sur la commune à mon grand-père qui m’a appris à jouer lorsque j’a-vais six ans”, commence VincentColin. La scène se passe à Hanoï dansles années 1970 : “C’est mon anniver-saire et je suis triste car ma mère, dan-seuse, est partie en tournée. Mon père,ingénieur électricien, lui aussi, est endéplacement. Pour me consoler, mongrand-père me donne un jeu d’échecset prononce ces paroles que je n’ou-blierai jamais : Ce jeu t’accompagneratoute ta vie”.Le petit Vincent se plonge alors dansl’étude de la méthode que SibanKhuu, son grand-père lui a donnée :“Lors du premier tournoi du district, j’aiété sélectionné par un entraîneur. J’aibattu le champion grâce au livre demon grand-père écrit en chinois ! Enfait, nous sommes d’origine chinoise.J’étais un petit élève de CP qui a battuun élève de CM2. Ils étaient tous sur-pris. C’était en pleine guerre, ça tiraillaitaux frontières entre la Chine et leVietnam”.Quelques années plus tard, toute lafamille vient s’installer en France.Vincent a alors 11 ans et n’a pasperdu son intérêt pour les échecs.“J’ai fait le tour des clubs et j’ai étérepéré par le club de Lyon olympiqueéchecs”. De matchs en champion-nats, il devient animateur et consacresa vie à sa passion : “J’ai un diplômed’animateur de la Fédération française

d’échecs et un diplôme d’arbitre. En 18ans, j’ai eu le temps de faire beaucoupde choses”, livre-t-il.Vincent n’est porté par aucune ambi-tion si ce n’est celle de transmettre saferveur pour ce sport. Le nom dont ila doté le club vaudais reflète bienson état d’esprit et l’importance qu’ilaccorde aux valeurs inhérentes àcette activité : “Pourquoi avoir choisile nom Avinkha ? Voici l’explication : lalettre A, c’est l’amour du jeu, le V, c’estcelui de vaudais, I, comme invaincu,après 20 matchs en trois ans, le club aété jusqu’à présent invincible, dit-ilavec humour, mais ça peut changerbien-sûr. Le N, c’est celui de la nou-veauté, car c’est le premier club d’é-checs de Vaulx-en-Velin. K de king, leroi du jeu d’échecs, H pour le mot humi-lité, être humble, c’est très important.C’est toujours ce que je dis aux enfantset aussi qu’il faut être respectueux avecson adversaire. Le dernier A, c’est celuide l’amitié”.Aujourd’hui Avinkha compte qua-rante-huit joueurs enfants et adultes.“80 % d’enfants et 25 % de filles avecdes personnes issues de diverses natio-nalités. Le club est le reflet de la ville”, seréjouit le responsable. Il compte s’ap-puyer sur cette spécificité vaudaisepour renforcer son rayonnement etpourquoi pas imaginer des échangesavec les villes jumelées : “C’est unsport éducatif qui mérite d’être déve-loppé, d’autant qu’il est porteur d’unecertaine philosophie. Mon grand-père

me disait toujours que la façon dejouer aux échecs correspond à notremanière d’être dans la vie. Si on prendl’exemple du cavalier, c’est en soi unephilosophie, il avance, il recule et il

saute par dessus-tout. C’est comme ledicton reculer pour mieux sauter. C’estun jeu qui enseigne la prudence, l’anti-cipation. Combien de fois tout celam’a-t-il servi dans la vie ! Ça aide les

enfants à aller de l’avant et tout ce queje fais, c’est pour eux”, conclut-il.

Jeanne PaillardContact : 06 67 99 46 66 ou [email protected]

RÉCEMMENT arrivée au GPV de Vaulx-en-Velin, Louiseprend peu à peu ses marques. A 27 ans, elle est en chargedu développement territorial du projet urbain. En clair :coordonner les différents acteurs et maîtres d’ouvragesqui agissent dans le cadre du renouvellement urbain. Et ily a matière à faire. “J’ai commencé par un parcours en socio-logie à Saint-Etienne, explique-t-elle. J’ai poursuivi par unmaster 2 en aménagement et développement à l’Institutd’urbanisme de Lyon”. Après ses études, sa carrière com-mence dans la Loire à l’établissement public d’aménage-ment de Saint-Etienne puis dans une agence d’urbanisme.Si la jeune femme arrive à Vaulx, elle n’est pas en territoireinconnu puisqu’elle a déjà eu l’occasion de travailler sur leprojet de La Soie. Elle aura l’occasion d’agir en lien avec leshabitants et d’œuvrer dans une ville qui connaîtra deschangements profonds. R.C

Philippe Donadieu, Alain Clisson et Guillaume Ayoub sont trois entrepreneursdésireux de s’inscrire dans une dynamique de création d’entreprises, en respec-tant une qualité environnementale et humaine au travail.LES DEUX entreprises Keleos etKozea, l’une créée par PhilippeDonadieu et Alain Clisson et l’autrepar les deux mêmes et un nouveaucomplice, Guillaume Ayoub, sontnées à la pépinière Carco. “Keleos c’estdu conseil et de la formation auprèsdes personnels de santé. Kozea déve-loppe des logiciels libres, c’est-à-direqu’on ne vend pas de licences. Nousvendons du service et un savoir-faireadaptés aux besoins des clients avecune spécialisation dans le domaine dela santé”, souligne Philippe Donadieu,lui-même issu de ce secteur.Attachés à la qualité de leur vie pro-fessionnelle, les associés accordentune importance majeure à leur envi-

ronnement de travail et aux relationshumaines. “Nous avons trois profilsdifférents et l’envie de créer quelquechose ensemble, d’être bien dans ceque nous faisons et d’apporter un ser-vice de qualité à nos clients”, poursuitPhilippe Donadieu. L’entrepriseKozea, créée il y a quatre ans, sembleavoir pris une vitesse de croisière.Mais pas question de “développer ungrand groupe. A travers l’humain et desservices intelligents, notre but est decréer de la valeur ajoutée. Nous som-mes sur des technologies nouvelles,c’est pour cela que nous accueillons desstagiaires issus de l’Insa et de l’IUTinformatique. Tous trois, nous sommesissus de groupes industriels et nous

voulions sortir du formalisme”.C’est aussi tout naturellement qu’àl’issue de leur contrat à la pépinière,ils se sont installés dans les locauxconçus par l’architecte PatrickRheinert. “Nous fonctionnons par pas-sion et affinités. Avec lui, ce qui nousréunit, c’est l’envie du mieux vivreensemble. Il a ce don de l’architectepaysagiste qui travaille sur le vert etl’habitat, il prend les gens et construitautour”, apprécie Philippe Donadieu.

J.P

Keleos et Kozea, 1 rue Louis et Marie-Louise-Baumer. Tel Keleos : 04 27 1183 95. [email protected]. Tel Kozea :09 52 34 21 23. [email protected]

Keleos et Kozea, une certaine philosophie de l’entreprise

Vincent Colin (au centre) a créé l’association Avinkha pour transmettre sa passion des échecs.

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Couturière, elle crée des robes de fêtes, notamment pour les mariages. LaVaudaise, qui se pique aussi de décoration, loue une trentaine de créations et nedésespère pas d’ouvrir une boutique.

Katia Lehmaidi, deux courses, deux coupesKATIA a participé pour la deuxième année à la Ronde vau-daise, course organisée par l’Office municipal des Sportsde Vaulx-en-Velin. Elle a pris le départ parmi la centained’enfants de l’Usep qui courraient sur 2 kilomètres et elleest arrivée première de sa catégorie. L’an dernier déjà, elleétait repartie avec une coupe. Du haut de ses 9 ans, Katiafile comme le vent, légère et rapide. Cette petite fille auxpieds ailés ne s’entraîne pas particulièrement à la course.“C’est un don”, dit son père. Elle a cependant le goût dusport. Elle pratique le taekwondo depuis deux ans et faitdu basket avec Sport dans la ville. “J’aime beaucoup lessports en équipe et plus tard, je voudrais entraîner uneéquipe de basket”, indique t-elle. Cette élève de CM1, sco-larisée à l’école Martin-Luther-King, ira assurément aubout de ses rêves. Pour l’heure, outre ses activités sporti-ves, elle apprend l’arabe, dessine et lit à loisir.

François-Xavier Poex,tout pour le 13 !AU DÉBUT son ballon était rond, puis il est passé à l’ovale.A 26 ans, cet ancien basketteur est maintenant agent dedéveloppement du rugby à 13. Pour le comité du Rhône,il a participé à la mise en place du challenge du 13 social,qui doit se dérouler le 18 avril au stade Georges-Lyvet deVilleurbanne. Il a notamment initié une quinzaine de 8/9ans du centre social et culturel Peyri. “Nous agissons dansplusieurs structures de l’agglomération pour promouvoirnotre sport. On leur apprend les bases et en deux heures, ilssont capables de disputer un tournoi”, explique-t-il. Lefameux challenge touche à chaque édition presque 400enfants. “C’est un jeu simple qui véhicule de nombreusesvaleurs : partage, dépassement de soi, poursuite d’un objec-tif commun”, poursuit-il. Sans oublier qu’ici l’initiative estfavorisée : si l’on est plaqué, notre équipe conserve la pos-session du ballon. Comme une ode au droit à l’erreur…

Rachida Toumi, petite main aux doigts d’or

UNE ROBE unique pour un mariaged’exception ? Rachida Toumi a tou-jours rêvé de créer ses propres robes.Cette mère de trois enfants, BEP etCAP stylisme, modélisme et créationsur mesure en poche, avait pourtantmis sa carrière de créatrice entreparenthèses. “Cela me démangeait. Jem’y suis remise il y a deux ans”,explique-t-elle. Des vêtements defête orientaux, qu’elle loue, à lamariée ou aux invités, dans le casd’un mariage. Compter 70 eurospour un week-end. Outre son catalo-gue d’une trentaine de robes,Rachida peut se charger des arts dela table, du conditionnement desdragées et de la décoration. Dans son

salon elle retape ainsi deux fauteuils. Revenons aux vêtements et péné-trons dans la pièce de son apparte-ment vaudais transformé en atelier.Ses armes ? Une seule machine àcoudre, des tonnes de tissus et unesolide imagination. Qui lui procuredes sortes de flashs où se dessinedans son esprit sa prochaine créa-tion. “Cela peut venir au petit déjeunercomme à 11h du soir”, sourit-elle. Ellepasse ensuite directement au tissus,ciseaux et aiguilles en main. “Je ne faisjamais de patron”, confirme-t-elle.Pour faire sa promotion, elle distribuedes cartes de visite, songe à un siteInternet et a participé fin mars,notamment avec un défilé, au festival

de danse orientale de la MJC. A 35ans, elle ne désespère pas monter unjour sa “propre boutique”. D’autantqu’au-delà des aspects créatifs deson activité, la couturière apprécie “larelation avec les clients. Cela fait partiede ma démarche. Etre heureuse en leurdonnant le sourire”. Grâce à ses vête-ments colorés, rehaussés de strass,où le velours, qui a “plus de tenue”,occupe une place de choix. Et d’oùvient cette fibre artistique ? Peut-êtrede son père, peintre, dont destableaux ornent les murs de RachidaToumi… S.L

Contact : Rachida Toumi. Tél. 06 1138 48 28.

SAVOIR poser ses sentiments sur unefeuille de papier ou plus simplementavoir des conseils pour plus de pres-tance sur scène. Depuis janvier, DavidFavel s’occupe des ateliers rap de laFédévo, la Fédération vaudaise dehip-hop et des cultures urbaines.Ainsi, avec plus d’une dizaine de jeu-nes, il encadre l’écriture et aide lesartistes en herbe à vaincre leur timi-dité. “C’est une première année, onessaye de poser les bases pour que lesjeunes puissent avoir confiance,explique-t-il. A terme on essayera demonter des scènes ou un spectacle,pour montrer leur progression. L’idéeest de les former, de les conseiller et deleur trouver des salles. Et pour les plusmotivés, des sessions de studio aborda-bles. Enfin, il faut qu’ils puissent écrireconvenablement”. Des conseils et uneexpérience que l’encadrant âgé de 35ans dispense. Ce dernier a eu une car-rière dans le domaine musical. Les plus âgés se souviennent sûrement dugroupe Ethos. Mais, depuis, David est passé de l’autre côté de la scène. Entreautre avec le Killa Sound Massive et dans l’événementiel. Plus posé, il se formeaussi en passant un brevet dans le domaine de l’animation et de la médiationculturelle. Mais il n’y a pas que la musique. Plutôt discret sur ce domaine, Davidenfile les gants et s’entraîne régulièrement au jiu-jistu brésilien. Malgré un plan-ning chargé, il reste très calme et très serein. R.C

Kassim Checkoumar, “en plus c’est bon pour la santé !”

A 70 ans, il est un des piliers du Taekwondo club de Vaulx-en-Velin. Le vénérableretraité d’origine vietnamienne n’a de cesse de conseiller les plus jeunes. Et de trans-mettre sa passion.

Animateur des ateliers rap à la Fédévo, David resteune personne plutôt discrète. Un homme d’actionqui préfère rester dans l’ombre.

David Favel, un fonceur assez discret

PETIT bouc de barbe parfaitementtaillé, plastron impeccable et sourireprotecteur aux lèvres… Trois soirspar semaine, Kassim Chekoumararpente quelques heures le tapis duTaekwondo club de Vaulx-en-Velin.Pour l’amour de son art martial. Et leplaisir de transmettre ses techniques.Qu’il a apprises bien loin et il y a bienlongtemps. Un coup d’avion et demachine à remonter le temps : 1969,le Vietnam. “J’étais militaire, dans lamarine. Et le taekwondo y était systé-matiquement enseigné”, se souvient-il. Mais une version un peu plus“rude”, que celle devenue disciplineolympique. “Nous nous entraînions aucombat d’homme à homme, sans pro-tections”, poursuit Kassim. Une pas-

sion pour le sport naît pourtant. Aupoint qu’il décroche quelques cou-pes dans des compétitions et passeson troisième dan. La guerre passepar là, Kassim est emprisonné cinqans puis reprend le chemin des tata-mis, cette fois dans le civil, à sa libéra-tion en 1980. Sept ans plus tard, arri-vée en France, à Feyzin, avant derejoindre sa sœur au Mas du Taureau.Nous sommes en 1989, Kassim tra-vaille pour une société vénissiane desystèmes anti-incendie et met entreparenthèses la pratique de l’art mar-tial. Jusqu’à 1998. “J’ai alors rejoint leclub de la ville. Notamment pour memaintenir en forme mais aussi pouraccompagner mes deux filles !”, se sou-vient-il. Plus qu’une pratique indivi-

duelle, celui qui croit beaucoup auxvertus du travail en groupe va s’inves-tir. A fond. D’autant que la retraitearrivant en 2001, il avait “du temps etpeur de s’ennuyer. Il fallait que je bouge!”. Alors il “donne un coup de main”,résume-t-il modestement. En dis-tillant ses conseils aux jeunes. “Il fautles pousser, les techniques sont très dif-ficiles”, assure-t-il. Arrêter ? Grandsourire : “Tant que le corps suivra…”.Au fil du temps, il connaît tout lemonde, dans ce club qu’il a vu sedévelopper et progresser. Y observeles combattants grandir et se muerparfois en éducateurs. Qui ne taris-sent pas d’éloges pour cette figure dela grande famille du taekwondo vau-dais. S.L

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557 euros récoltésau vide-grenier de SolidariteamPLUS de 760 Vaudais se sont inscrits

au repas des têtes blanches, un évé-nement organisé par la Ville sur deuxjournées, les 3 et 5 avril, au centre cul-turel communal Charlie-Chaplin.Pour de nombreux retraités, c’est unmoment attendu. Rendez-vousannuel, le repas des têtes blanches seveut convivial et festif. Un objectif qui mobilise pleinementle service municipal des Retraités.Cette année le repas était accompa-gné de chansons sur le thème del’Italie et fidèle à la tradition, il a faitplace à la danse. La volonté de la Ville est d’accueillir unpublic large, les personnes âgées deVaulx-en-Velin dans toute leur diver-sité. Parmi les nouveaux venus, il yavait Alexandra. “Pour moi, c’est unepremière. Je trouve que c’est une belleinitiative, un temps pour converser,rencontrer du monde”, dit-elle.“Beaucoup de gens seuls apprécient l’é-vénement. Pour tous, c’est un momentd’échange, de retrou vaille, de fête. Cetévénement symbolise le partage et lasolidarité que nous tentons de mettreen œuvre”, commente Pamela Alba-Rubio, élue déléguée aux Retraités etaux Personnes âgées. Un moment de reconnaissance aussipour les anciens : “L’occasion de leuradresser nos remerciements pour toutce qu’ils ont apporté et apportentencore à la ville”, conclut l’élue.

LE RETOUR du printemps est propiceaux rassemblements et aux fêtes. Ilest possible d’organiser ces momentsheureux à proximité de chez soi. Denombreux équipements municipauxsont disponibles et à disposition deshabitants. Ils sont parfois gérés pardes prestataires dans le cadre dedélégations de services publics.Locaux communs résidentiels (LCR),salles polyvalentes ou salles des fêtes,ces équipement sont aussi nombreuxque variés. Toutefois, ils restent trèsprisés le week-end et pour être sûrd’avoir une réservation mieux vautplanifier les réjouissances au moinssix mois à l’avance . Maison des fêtes et des famillesSituée rue Louis-Saillant, dans la zoned’activité de la Rize, elle accueilleponctuellement des fêtes mais aussides séminaires. Elle peut être aussibien louée par des familles, des asso-ciations que des entreprises, mêmeen semaine. Ces dernières l’ignorentsouvent, ce qui explique le peu deréservations de leur part. Le com-plexe propose trois salles modula-bles : une de 360m2 capable d’ac-cueillir 350 personnes, une autre de

180m2 avec une capacité maximalede 150 personnes. Enfin une dernièrede 155m2 pour 100 personnes. Lestarifs oscillent entre 1500 euros TTC et700 euros TTC pour une journée de8h à 6h avec arrêt de la musique à 5h.Ces prestations ont été votées enconseil municipal sachant que la Villesubventionne la location à hauteurde 30 % pour les Vaudais. Toutefois,un chèque entre 120 et 180 euros estdemandé pour les frais de nettoyage. Pratique : renseignements et réserva-tions auprès d’Hayette Henni à l’hôtelKyriad au 04 78 79 65 00. Locations auprès de MédiactifLe prestataire Médiactif assure égale-ment la gestion de deux salles poly-valentes de moindre taille pour lesfamilles, celles des espaces munici-paux associatifs Carco (rue Robert-Desnos) et Frachon (avenue Maurice-Thorez). Ces deux salles ne peuventêtre louées que par des Vaudais etpour une capacité d’accueil maximalede 80 personnes. Les réservationssont possibles les samedis pourFrachon et même le dimanche pourCarco de 9h à 23h. Et coûtent 76,22euros TTC, le tarif ayant été fixé par un

arrêté municipal. Le nettoyage et l’é-vacuation des poubelles restent à lacharge des locataires. Médiactif, pro-pose également la location du localcommun résidentiel (LCR) desGrolières (chemin des Vergers). Lacapacité maximale de la salle est de70 personnes. Le tarif de la journée delocation est également fixé à 76,22euros TTC de 9h à 23h. Pratique : pour louer les salles Carcoet le LCR des Grolières, s’adresser àl’espace municipal associatif Carco au04 78 80 22 01. Pour la salle polyva-lente de Frachon, espace municipalassociatif Frachon au 04 72 04 94 56. Pour les associationsAfin d’organiser un rassemblementou des assemblées, des espacesmunicipaux sont à disposition desassociations. La mairie annexe au Sud(32, rue Alfred-de-Musset) et la salleJara (rue Jean-Lesire) peuvent toutesdeux accueillir 200 personnes.L’espace municipal Jean-Moulin et sestrois salles à la Grappinière (rue Jean-Moulin) peut, quant à lui, accueillirjusqu’à 140 personnes pour desréunions ou des séminaires. Idempour la salle Edith-Piaf (41 rue Gabriel

Péri). Seules les structures associati-ves peuvent bénéficier de ces équipe-ments. Pour en profiter, elles doiventadresser une demande par écrit aumaire. Demandes transmises au ser-vice Fêtes et cérémonies qui secharge de contacter directement les

structures. La mise à disposition estgratuite mais le nettoyage des sallesreste à la charge des utilisateurs. Pratique : pour les associations, adres-ser un courrier au maire, Hôtel deville, place de Nation, BP 30, 69511Vaulx-en-Velin cedex.

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Comment faire pour louer une salle ? Que trouve-t-on à disposition pour les particuliers ou pour les associa-tions, voire même les entreprises ? Petit tour d’horizon avant l’arrivée des beaux jours. LOISIRS

SENIORS

Louer une salle : mode d’emploi

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Le rendez-vous des têtes blanches SOLIDARITÉ

TERMINUS du C3 à la Grappinière,samedi 31 mars, un peu avant midi.Une dame monte avec un meuble enfer sous le bras. Bon signe : le vide-grenier du groupe de jeunesSolidariteam du centre socialGeorges-Levy a au moins une cliente.Quelques pas jusqu’à l’avenue Jean-Moulin : elle n’est pas la seule. Toute lajournée de nombreux Vaudais sontvenus faire de bonnes affaires enaidant le groupe à financer, grâce auSecours populaire, des vacances pourdes familles défavorisées. 557 eurosont été récoltés avec la vente desmètres aux cinquante exposants.

Pendant toute la journée, ils ont aussifait tourner la buvette. Merguez,pâtisseries et autres pizzas fabriquéespar les mamans. Les pères ont aussirépondu présent pour mettre la mainà la pâte. Ou plutôt au barbecue.Saluons également le courage mati-nal des jeunes, de l’équipe du centresocial et du Secours populaire quiétaient sur le pont dès 6h. Le groupeparticipe d’ailleurs au Défi solidaire del’institut Bioforce. Institut qui organi-sera une cérémonie de valorisationdes différents projets engagés, lemardi 15 mai.

S.L

La compagnie LucaThéâtre, de Laurent Vercelletto, en résidence à Vaulx-en-Velin, reprend son projet “Histoires dans la ville”. Son équipe se tient en effetà la disposition des habitants pour mettre un place un temps d’art du récit,à domicile. Il pourra se tenir dans votre salon ou votre jardin, mais aussi dansun lieu public ou associatif, une bibliothèque ou un établissement scolaire.Renseignements auprès de la compagnie au 09 54 54 05 39. Compagnie quireprendra sa dernière création, Tartuffe 2012, en janvier 2014 au centreCharlie-Chaplin. La pièce qui avait cartonné à Vaulx a également été présen-tée à Dijon, Thonon-les-Bains, Rillieux-la-Pape, Corbas et Port-de-Bouc.

“Histoires dans la ville” et à la maison

ANNONCÉE depuis près d’un an lorsdes assemblées générales de quar-tier, l’équipe des médiateurs est enfinau complet. Ils étaient déjà deux, ilssont désormais cinq. Cinq personnesqui assurent l’interface entre l’institu-tion et les habitants. Une volonté dela Ville d’assurer une présence cons-tante au sein de l’espace publiccompte tenu des futurs enjeux.Notamment le renouvellementurbain qui se poursuit au Mas duTaureau. Mais la nouvelle équipe demédiateurs ne sera pas uniquementcantonnée à ce quartier. Elle ira au

centre-ville, au Village mais égale-ment au Pont des Planches pour êtreau contact des habitants et ainsi dia-loguer et expliquer les enjeux et leschangements de la ville. “L’équipe prend ses marques, elle est aucomplet depuis le 2 avril, expliqueMichel Da Silva, directeur du servicemunicipal Médiation jeunesse. Elleagit directement sur le terrain et est encapacité d’analyser, faire face etremonter les tensions sociales. Lesmédiateurs sont en lien avec les équi-pes du GPV pour les projets urbainsdans chaque quartier. Les change-

ments à venir seront profonds. Leurrôle sera d’accompagner la populationà ces mutations”.Si les médiateurs sont présents sur leterrain, ils ne sont en aucun desagents de la sûreté publique ouencore moins des “grands frères”. Ilsinterviennent aux abords de l’espacepublic et des bâtiments municipaux.Le public ciblé reste la tranche d’âgedes 14-25 ans, un public jeune maissurtout peu au fait des avancementsdes projets et de plus en détaché desinstitutions. Le projet de cette équipeest financé sur trois ans par la Ville,

l’Agence nationale de la rénovationurbaine (Anru) et l’Agence nationalepour la cohésion sociale et l’égalitédes chances (Acsé). Ainsi Jahid,

Nawelle, Newfel, Abdelaziz et Mehdiseront présents pour donner unvisage humain aux projets urbains.

R.C

Cinq agents vont au contact avec la population etassurent l’interface entre la Ville et les habitants.PREVENTION

Une équipe de médiateurspour établir le dialogue

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Pamela Alba-Rubio, élue déléguée aux Retraités et aux Personnes âgées et le maire, Bernard Genin ont remercié les participants au repas des têtes

blanches “pour tout ce qu’ils ont apporté et apportent encore à la ville”.

Que ce soit la Maison des fêtes et des familles ou d’autres salles de la ville, il faut s’y prendre à l’avance pour réserver les week-ends.

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“C’EST dur, mais c’est partout pareil.”Que ce soit pour David Louis, prési-dent de Centre vie, l’association decommerçants du centre-ville ouYonnel Birbaud, son homologue duVillage à la tête de Vaulx commerceset services, il est nécessaire de seretrousser les manches et de se serrerles coudes. “Nous nous sommes ainsiregroupés au sein de la Fédération ducommerce vaudais pour mettre enplace des opérations communes,comme les animations de Noël qui onttrès bien fonctionné”, explique ce der-nier. Point de rivalité entre les deuxpôles qui craignent d’avantage laconcurrence du Carré de Soie ou desSept chemins. Que faire donc face aux locaux videsdu centre-ville, à la difficulté deséduire de nouveaux commerçantsau Village, en privilégiant la qualité etla diversité voulue également par laChambre de commerce et d’industrie(CCI) de Lyon. Au centre-ville, desloyers élevés sont pratiqués pourfavoriser les implantations de com-merçants aux reins solides. Mais les

tarifs se font aussi dissuasifs et lesbailleurs nombreux. Du coup, uneSociété d’économie mixte patrimo-niale devrait être créée par le Grand-Lyon d’ici juin dans l’espoir qu’il n’y aitplus qu’un interlocuteur. La Ville deVaulx-en-Velin en sera partie pre-nante. Au Village, Yonnel Birbaud manie l’artde la litote. “Le commerce ne se déve-loppe pas vite, estime-t-il. Des fondssont en vente alors que nous ne parve-nons pas à faire venir une boucherietraditionnelle. Nous aimerions complé-ter l’offre avec un magasin de chaussu-res de qualité ou une enseigne de sur-gelés”. Regrettant le manque d’impli-cation de certains nouveaux com-merçants, il croit dans les actions deredynamisation de leurs pôles. Quece soit la récente fête de printempsdu centre ou encore le vide grenierdu Village en septembre. Attention, tout n’est pas noir. “Je suis àVaulx depuis 20 ans et j’ai pu noter quela clientèle y est très fidèle. Les nou-veaux logements nous apportent éga-lement de nouveaux chalands. Mais

nous devons répondre à leurs attentespour qu’ils ne prennent pas des habitu-des de consommation ailleurs”, pour-suit Yonnel Birbaud. Du côté de la CCI, on se montre plusoptimiste. Si Marc Degrange, vice pré-sident chargé de l’organisation descommerces, estime que la situationvaudaise n’a rien d’exceptionnel, ilvoit dans une tendance actuelle unprécieux levier d’action. “Les consom-mateurs sont soucieux de développe-ment durable et veulent favoriser laproximité et les circuits courts”, assure-t-il. La Chambre fait par ailleursdécouvrir à de grandes enseignes lespôles d’attractivité de l’aggloméra-tion, comme le centre et le village deVaulx-en-Velin. Elle met aussi chaqueannée en valeur leurs atouts lors dusalon de l’immobilier commercial deCannes et forme les commerçants àrépondre encore mieux aux attentesdes consommateurs. Et alors que lacrise depuis deux ans n’a rien arrangé,Marc Degrange insiste : “Vaulx a unvéritable potentiel”…

S.L

COMMENT se comporter face à unchef d’entreprise, rédiger correcte-ment un CV, mettre ses atouts envaleur ? Depuis quelques années, laMission locale a mis en place en par-tenariat avec l’association Vaulx-en-Velin entreprises (VVE) des parraina-ges de jeunes vaudais par des entre-preneurs. Ils sont 25 cette année àéchanger une fois par mois avec leurparrain. Ce petit monde s’est retrouvéfin mars dans les locaux de la Missionlocale pour un petit-déjeuner d’infor-mation. L’objectif est de donner uncoup de pouce aux jeunes dans leurprojet professionnel. “Ils ont besoin degagner en confiance et de démystifierles entreprises et leurs dirigeants”,explique Ouahiba Kenzari, chargéede projet emploi à la Mission locale, etqui repère, avec son équipe, les jeu-

nes en difficulté dont le profil cor-respond au dispositif. “Nous pouvons leur expliquer les com-pétences, mais aussi les attitudes quenous attendons. Et cela nous permet derester connectés aux réalités. Nosfilleuls peuvent être nos futurs clientsou employés”, reconnaît Thierry Astier,président de la commission emploiformation de VVE. Tout en renvoyantune bonne image des entreprises. “LaMission locale est l’épine dorsale dudispositif”, ajoute-t-il. Des passionnés intarissables sur leurspetits protégés... Nous retiendrons iciDjahida et Chloé, actuellement sui-vies par Moncef Djerbi, courtier enassurances et gestionnaire de patri-moine. “Je désire intégrer des écolesmédicales. Il me sert de coach pour lesentretiens”, explique Djahida. “La

reconnaissance des jeunes me suffit. Jesuis issu d’une banlieue de Lyon et j’au-rais aimé pouvoir bénéficier d’un teldispositif à leur âge”, souligne Moncef.Comme de nombreux jeunes, la clefde la réussite passe pour Chloé parune réorientation. “J’ai un BTS dans lesocial mais ai toujours rêvé d’être coif-feuse. J’ai décidé de passer le pas et deme lancer dans un CAP. En alternance,pour pouvoir travailler en mêmetemps”, projette la jeune femme. Pasfacile du coup de démarcher despatrons. Il s’agira donc pour elle degagner en assurance et de ne pashésiter à faire jouer les réseaux. Oncompte sur Moncef pour le lui rappe-ler ! S.LPratique : pour devenir parrain,contacter la Mission locale, 3 avenueDimitrov. Tél. 04 72 04 94 14.

5Vaulx-en-Velinjournal -18 avril 2012 - N°50

COMMERCE

Le centre commercial des Sept chemins joue la proximité

Depuis quelques années, des membres de l’association Vaulx-en-Velin entreprises parrainent des jeunes sui-vis par la Mission locale.

David Louis et Yonnel Birbaud, présidents de leurs associations de commerçants regrettent les difficultés à faire venir de nouvelles ensei-gnes. Leur souci de favoriser une offre de qualité et diversifiée est partagé par le vice-président de la Chambre de commerce et d’industrieen charge du domaine. Chacun multipliant les pistes pour redynamiser le commerce vaudais.

Préoccupations teintées d’espoir pour les commerces du centre-ville et du Village

“Mon parrain, il est patron !”ENTREPRISES

Rénové et agrandi il y a deux ans, le centre commercial des Sept chemins veut se démarquer de son concurrentle plus proche, le Carré de soie. Il joue sur l’accessibilité, la proximité et les services du quotidien.

Djahida et Chloé avec leur parrain, Moncef Djerbi.

David Louis de Centre vie et Yonnel Birbaud de Vaulx commerces et servicesveulent renforcer l’attractivité du centre-ville et du Village.

FACE à la “machine” pôle de commer-ces et de loisirs du Carré de soie quifête ses trois ans avec de nombreusesanimations et des moyens de com-munication conséquents, le centrecommercial des Sept chemins joue laproximité. Son directeur, OlivierLecoq, vient d’ailleurs de clore uneopération en partenariat avec les TCLbaptisée “Tous les chemins mènentaux Sept chemins”. Il s’agissait de mon-trer l’accessibilité du centre en bus etl’opération permettait de remporterdes abonnements TCL. “Deux ansaprès l’extension et la rénovation ducentre commercial, nous devons fairesavoir aux habitants qu’ils ont à proxi-mité des boutiques dans un nouveaucadre de grande qualité”, note OlivierLecoq. Situé à l’extrémité Sud de Vaulx, à lalimite de Bron, Chassieu et Décines, lecentre des Sept chemins accueille 45boutiques et partage les lieux avecl’hypermarché Carrefour. Ce qui le dif-férencie de son voisin du Carré desoie : “Il est un centre de destination,professe Olivier Lecoq.Avec une clien-

tèle qui vient en moyenne une à deuxfois par trimestre. Nous sommes uncentre de proximité, nos clients vien-nent régulièrement”. Proximité que leges tionnaire Ségécé, filiale de Klé -pierre, a voulu renforcer lors de larénovation il y a deux ans, danslaquelle il a investi 14 millions d’eu-ros : “Nous sommes identifiés commeun centre du quotidien, nous avons desboutiques de prêt-à-porter, chaussu-res, mais aussi de services comme lepressing, la pharmacie… Les genssavent qu’ici, ils pourront avoir accès àces services, c’est un plus”. Une proximité et une accessibilitéque le directeur veut garder, “d’autantque le développement du quartier,avec le boulevard urbain Est et de nou-veaux logements, va favoriser cetteposition. Nous accueillons environ 2,8à 3 millions de visiteurs par an. Ils pour-raient être 300 000 de plus”.Olivier Lecoq et la Ségécé entendentdonc poursuivre les opérations deproximité vers leurs clients et veulentfédérer les commerçants en créantune association. E.G

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Une ville, des mémoires - Programme

TOUT un symbole. Une ville desmémoires débute avec la commémo-ration du Génocide arménien par lejeune gouvernement turc et se ter-mine par celle de la journée nationalede la Résistance. Entre les deux, d’au -tres commémorations – la journée dela Déportation le 29 avril, celle l’aboli-tion de l’esclavage le 10 mai et la com-mémoration de la Victoire du 8 mai

1945. Des commémorations pour nepas oublier les grandes luttes de notrehistoire. Autour de ces dates, toute laville est invitée à se pencher sur sesmémoires, qui cette année, se décli-nent autour des luttes et des résistan-ces. Avec des expositions, débats etdes conférences pour s’interroger,comprendre, échanger, s’impliquer ettoujours, résister et lutter.

Pratique : toutes les manifestationssont gratuites hormis le concert deMamani Keita, le 12 mai.Renseignements à la direction duDéveloppement social et de la vieassociative : 04 78 80 44 35.

HOMMAGE

COFONDATEUR du mouvement Libé -ra tion Sud, il était le dernier survivantdes chefs de la Résistance, réunis etarrêtés en juin 1943 à Caluire avec lechef du Conseil national de laRésistance (CNR) Jean Moulin.Raymond Aubrac, de son vrai nomRaymond Samuel, est décédé le 10avril à l’âge de 97 ans. Sa femme,Lucie Aubrac, elle aussi héroïne de laRésistance, est morte en 2007, à l'âgede 92 ans. Invité par l’Association nationale desanciens combattants et ami(e)s de laRésistance (Anacr), pour une semainedédiée à la citoyenneté fin mai 2008,Raymond Aubrac avait comblé sesauditeurs que ce soit au centre cultu-rel Charlie-Chaplin où plus de quatrecents personnes s’étaient presséespour l’écouter, ou lors de sa rencontre

avec les élèves du lycée Doisneau quin’avaient pas perdu une miette deson intervention. Car pour lui, la soli-darité faisait sens aujourd’hui encoreauprès des jeunes : “Tous, quelles quesoient leurs origines sociales, le milieudans lequel ils vivent, font un jour l’ex-périence des injustices, du racisme etsont capables de faire preuve de solida-rité, nous le voyons avec leurs camara-des sans-papiers…”, exprimait-ildevant les jeunes vaudais. Lui qui di-sait aussi modestement que son “seulmérite est d’être un des survivants”.Le maire, Bernard Genin, se souvientde cette visite à Vaulx : “Compagnonde route du parti communiste français,à chacune de ses interventionspubliques, il aimait à rappeler ce quefut le Conseil national de la Résistanceet les avancées établies par son pro-

gramme politique et social”, citant lasécurité sociale en exemple. Lesmembres du comité de Vaulx-en-Velin de l’Anacr se remémorent,quant à eux, la spontanéité aveclaquelle Raymond Aubrac avaitrépondu à leur demande de venirtémoigner et de “son inlassable com-bat pour transmettre tout le sens et lesvaleurs de la Résistance”. Pour l’Anacr,désormais, “son nom restera pournous la référence à cette constante etindispensable activité de toute une vie“pour apprendre aux jeunes que l’espritde la Résistance représente une valeuruniverselle qui doit éclairer notre quoti-dien et notre avenir”, selon ses propos.Notre Comité est là pour assurer cettemission ! C’est le plus bel hommageque nous pensons ainsi rendre àRaymond Aubrac”.

Disparition de Raymond Aubrac, défenseur des valeurs de la Résistance

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Luttes et résistances hier, aujourd’hui et demain

Lors de sa venue en 2008, Raymond Aubrac (à gauche) avait rencontréMarcel Roche, ancien Résistant et déporté et des élèves du lycée Doisneau.

Décédé le 10 avril à l'âge de 97 ans, Raymond Aubrac, ancien Résistant, était venu à Vaulx-en-Velin lors de la journée de la Résistance, le27 mai 2008. Le maire et l’Anacr rendent hommage à cet homme qui prenait toujours le temps de témoigner.

Du 24 avril au 27 mai, avec la manifestation Une ville, des mémoires, Vaulx-en-Velin se penche sur son histoire, mais aussi sur les luttes présentes et en devenir.Sur le thème des luttes et résistances, Une ville, des mémoires, se décline en com-mémorations, spectacles, expositions… Et un temps fort, le 12 mai toute la jour-née au centre culturel communal Charlie-Chaplin.

Les commémorations

Commémoration du GénocidearménienMardi 24 avril à 12h au monumentdes Arméniens, place du 24-Avril-1915, au Village.Commémoration de la journée de la Déportation Dimanche 29 avril à 10h30 au monu-ment des Droits de l’homme, place dela Nation.Commémoration de la Victoire du 8 mai 1945Dimanche 8 mai à 11h au monumentaux Morts, rue de la République.Commémoration de l’Abolition de l’esclavageJeudi 10 mai à 12h au monument desDroits de l’homme, place de la Nation.Commémoration de la journée nationale de la Résistance Dimanche 27 mai A 11h, pose de la plaque FiorelloMicollini, rue Fiorello-Micollini, anglerue Rémy-Cachet.A 12h, cérémonie au monument auxMorts, rue de la République.

Les rencontres

Les Résistants vaudaisExposition, du vendredi 27 avril aumercredi 16 mai.Au 2e étage de l’Hôtel de ville, placede la Nation, de 9h30 à 17h.Si Lyon était la capitale de laRésistance, la situation géographiqueet la topographie de Vaulx-en-Velin(Vaulx la grande île) en faisaient unlieu peu surveillé servant à cacher desvivres, des armes et des documents.De nombreux jeunes vaudais,Français ou étrangers, ne pouvantaccepter de vivre sous le joug desnazis, ont rejoint divers maquis :maquis du Bugey, maquis del’Azergues, bataillon Carmagnole-liberté (FTP-MOI), maquis de laCreuse, etc…Cette exposition retrace leur combat.L’exposition “Les Résistants vaudais”est réalisée par l’associationMémoires et l’Association nationaledes anciens combattants de laRésistance et amis de la Résistance(Anacr).

Logement et contrôle de la popula-tion algérienne à Lyon Projection, conférence, débat.Samedi 28 avril de 14h à 18h à la MJC,13 avenue Henri-Barbusse.A 14h, rencontre avec Emilie ElongbilEwane.En 1951, environ 8 000 travailleursalgériens vivent dans l’agglomérationlyonnaise. En 1955, ils sont 11 000auxquels il faut ajouter 1000 femmeset environ 2000 enfants dont une par-tie a fui les débuts de la guerred’Algérie. Dès la fin des années 1940,des dispositifs se mettent en placepour accueillir ces migrants dans l’ag-glomération. Différentes initiativeslocales naissent pour aider à l’héber-gement des travailleurs ou fournirune assistance aux familles. Un ser-vice des affaires musulmanes est crééà la préfecture du Rhône pour coor-donner les différentes actions socia-les. Avec le développement de laguerre d’Algérie, le conflit a des réper-cussions dans l’agglomération. Ainsi,en 1957, le MNA et le FLN s’affrontentavec violence à Lyon. Pour les servicesde l’Etat, la population algériennedevient alors une population à sur-veiller. L’objet de la rencontre sera demontrer la manière dont les poli-tiques d’action sociale, notammentd’aide au logement, sont peu à peumises au service d’une politique decontrôle de la population algérienne. Emilie Elongbil Ewane, est doctoranteà l’Université Lyon-II, Larhra, en his-toire contemporaine, sur le sujet “Lelogement des immigrés, comparai-son Lyon/ Berlin - années 50 /70”.

A 16h, projection d’El Bi’r et débatavec la réalisatrice Béatrice Dubell.El Bi’r : l’abbé Carteron, surnommé ElBi’r (Le puits), est l’homme des secretsbien gardés. Cet homme de convic-tion et d'action a fédéré autour de luitout un ensemble de soutiens aux tra-vailleurs algériens de Lyon en luttepour leur indépendance. Ce filmrevient sur cette histoire méconnuepar le biais des témoignages desacteurs de l’époque.Béatrice Dubell est réalisatrice defilms documentaires. Elle a réalisé “Elbi’r - Le puits” en 2008, sur le parcoursd’Albert Carteron, pendant la guerred'Algérie.Une rencontre proposée par Grandensemble en lien avec l'exposition“Récits d'engagements 1954/1962-Solidarités franco-algériennes” qui setient en deux volets : au Rize àVilleurbanne du 15 mars au 9 juin,“Solidarités franco-algériennes dansl'agglomération Lyonnaise” et auxarchives municipales de Lyon, du 9mai au 28 juillet, “Avocats lyonnaisauprès d’Algériens en guerre”.Faire (re)vivre les pratiques de soli-daritésDébat, vendredi 4 mai à 18h, au localdu Collectif des privés d’emploi etprécaires, 9 place Guy-Môquet auMas du Taureau.Ces quarante dernières années sesont développés chômage et préca-rité de masse. Pourquoi, comment,fonctionne la “machine à précariser” ?Comment y résister, à Vaulx et ailleurs ?Autour de ma villeMercredi 9 mai de 14h à 18h.

Un tour de la ville commenté destinéaux jeunes vaudais âgés de 12 à 25ans. Inscription au service municipalde la Jeunesse au 04 72 04 93 40.L’art comme moyen de résistance ! Exposition, vernissage jeudi 10 mai à18h au collège Aimé-Césaire, 2, ruedes frères Bertrand.Avec l’intervention du chœur d’en-fants du conservatoire municipal demusique et de danse (voir le pro-gramme de la journée du 12 mai).A quelle distance de la langue com-mune as-tu laissé ton cœur ?Lecture spectacle dans le cadre deslectures multilingues, vendredi 11mai à 20h à la mairie annexe du Sud. La bibliothèque municipale Chassineet le centre social et culturel Peyri pro-posent cette lecture spectacle avecdes poèmes et chansons multilinguesqui affirment avec force et enthou-siasme toute la beauté de la diversitéculturelle qui fait la richesse de notresociété. Lecture préparée avec ungroupe d’habitants et mise en voixpar Mohammed El Amraoui, poète etanimateur des ateliers d’écriture del’association Dans tous les sens.Les fondements de la résistance.Pourquoi résiste t-on ? Conférence débat, vendredi 11 mai à19h30 au centre social Georges-Levy,place André Bollier.Une rétrospective des grands conflitsdu 20e siècle à travers l’analyse descontextes et des évènements qui pré-sident à l’engagement et à la résis-tance. Intervenant : Marc André, his-torien, professeur d’histoire au lycéede Chambéry-le-Haut.

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L’ART comme moyen de résistance ?Telle est la question que se sontposée des élèves du collège AiméCésaire en travaillant, à l’initiative duservice municipal de la Jeunesse,avec le plasticien Elie Armand Mekoaet leur professeur d’arts plastiquesElodie Maggiori. Tous volontaires, ilsse sont inspirés du poète qui a donnéson nom à leur collège : “Ma bouchesera la bouche des malheurs qui n’ontpoint de bouche, ma voix, la liberté decelles qui s’affaissent au cachot dudéses poir”, disait Aimé Césaire, dansCahier d’un retour au pays natal.“Qu’y a-t-il lieu de faire sur la résistance

et comment nos mémoires peuvent-elles participer à cette manifestationqui s’intitule justement Une ville, desmémoires ?, a questionné ElieArmand Mekoa. Et comment sollicitercette mémoire pour le futur, car unesociété qui ne crée pas est une sociétéqui risque de stagner”.Les seize jeunes des classes de 4e et 3e

ont testé en atelier, une fois parsemaine, la sculpture, la vidéo, laphoto et la peinture. S’appropriantainsi, aussi bien les paroles d’AiméCésaire, que les différentes tech-niques d’arts plastiques. Et pendantles vacances scolaires, ils ont visité

deux expositions au musée desbeaux arts et au musée d’art cotem-porain de Lyon pour comprendre lestechniques d’une exposition. “A partir de la phrase d’Aimé Césaire, ilsont cherché à témoigner, en tant qu’ar-tistes, de ce que d’autres n’arrivent pasà dire”, souligne Elie Armand Mekoa.L’occasion encore, pour le plasticien,de leur faire comprendre “qu’on ne vitpas seul dans la société, on a toujoursquelqu’un à côté de soi, quelqu’unqu’on aime ou qu’on n’aime pas maisavec qui on doit vivre”. Et les jeunesartistes de travailler ensemble, deconfronter leurs idées, d’argumenter

pour les défendre et d’apprendre àaccepter les propositions des autres.“Je les ai trouvé mûrs, responsables,conclut l’artiste. C’est un cadeau d’a-voir travaillé avec eux”.

Pratique : vernissage de l’expositionL’art comme moyen de résistance, le10 mai à 18h au collège Aimé-Césaire. Elle sera visible le 12 mai aucentre culturel Charlie-Chaplin.

7Vaulx-en-Velinjournal - 18 avril 2012 - N°50

L’art comme moyen de résistance ?EXPOSITION

Pour la Fédération nationale des anciens combattants d’Algérie, Maroc et Tunisie,le début du mois d’avril a été marqué par deux événements liés au devoir demémoire, dont un hommage à l’un de ses fondateurs, Georges Thollot.

Les élèves du collège Aimé-Césaire ont pris en exemple le poète pour réfléchir à laplace de l’art dans la société et comme moyen de résistance.

LE TRADITIONNEL rendez-vousannuel de la Fédération nationale desanciens combattants en Algérie,Maroc et Tunisie (Fnaca) au Village,autour de la dégustation du sabodetle 1er avril, vise deux objectifs. “Ça per-met de récolter des fonds mais c’est sur-tout un moyen de faire apparaître laFnaca, de faire connaître ses revendica-tions d’autant plus que cette année estcelle du 50e anniversaire du cessez-le-feu de la guerre d’Algérie. On continuemalheureusement de passer soussilence les événements qui se sontdéroulés pendant cette période”,explique Robert Géa, le président.

Pour qui la date du 19 mars 1962marque bien la fin des combats etdoit être retenue officiellement. C’estpour exiger du gouvernement lerespect de cette réalité historique queles 350 000 adhérents de la Fnacadont une cinquantaine de vaudaiscontinuent de se battre aujourd’hui :“Il ne faut pas oublier que les accordsd’Evian qui ont permis le cessez-le-feudès le 19 mars ont été approuvés à90 % lors du référendum du 8 avril1962. La date du 5 décembre choisi parle gouvernement ne veut rien dire carelle n’est rattachée à aucun fait histo-rique”, dénonce Robert Géa.

Le lendemain, 2 avril, les comitésvilleurbannais et vaudais de la Fnacaont honoré la mémoire de leur cama-rade Georges Thollot, décédé il y a 20ans à l’âge de 58 ans, en déposantune plaque sur sa tombe au cimetièredes Brosses. Georges Thollot, prési-dent du comité de Villeurbanne de laFnaca, avait participé activement à lacréation des sections de Vaulx-en-Velin en 1982, avec Maurice Audiardactuel président de Villeurbanne, etDécines. Il était aussi responsable dela section juridique de la FnacaRhône.

La Fnaca entre tradition et histoireASSOCIATION

Luttes et résistances hier, aujourd’hui et demain

La dégustation du sabodet le 1er avril, vise deux objectifs : récolter des fondset, surtout, faire connaître la Fnaca et ses revendications.

Toute une journée sousle signe des luttes et desrésistances

Samedi 12 mai à partir de 10h aucentre culturel communal Charlie-Chaplin, place de la Nation.

10h : ouverture de la journée par lechœur d’enfants du conservatoiremunicipal de musique et de danse.

De 10h30 à 17h30 : tables rondes citoyennes10h30 : citoyens dans la ville, citoyens dans l’entreprise ! Une ville ne se construit pas sur desruines industrielles… De la fin desannées 70 à nos jours, à travers les lut-tes pour de vrais emplois qualifiés,reconnus, utiles… et donc la défensede l’outil de production dans le privécomme le public, ainsi que les évolu-tions des formes de l’emploi, un enjeupermanent pour l’activité syndicalevaudaise hier, aujourd'hui et demain.Débat animé par l’Union locale CGT.14h : implication citoyenne et crise économiqueA la question de savoir quelles sontaujourd’hui les luttes à mener, uneinterrogation revient sans cesse :comment résister aux diktats desbanques, des marchés financiers etdes toutes-puissantes agences denotations qui semblent désormaisavoir le pouvoir ? Cette deuxièmetable ronde citoyenne donnera à voirle besoin urgent de mener cettebataille, à travers l’exemple de lasituation catastrophique de la Grèce.

Mais surtout l’objectif est de prendreconscience que l’on peut y résister,exemple à l’appui avec un des prota-gonistes de la révolution citoyenneen Equateur, petit pays latino-améri-cain qui a réussi à tenir tête aux puis-sances financières.Intervenants : Ramiro Noriega ex-ministre de la Culture de l’Equateur etPanayota Maniou, membre de lacommission internationale duSynaspismos grec (coalition de laGauche, des mouvements sociaux etde l’écologie).16h : l’accès à l’eau, un enjeu d’avenirUne des luttes politiques les plusimportantes des années à venir : cellede l’accès à l’eau. De jeunes vaudais,partis en Palestine organiser unforum de la jeunesse, exposerons lasituation catastrophique de ce pays.Puis, en lien avec la table ronde précé-dente, il sera donné à voir comment,d’ores et déjà, des luttes pour garantirl’accès à l’eau sont menées etgagnées en France. Un échange basésur l’expérience de retour en régiepublique de l’eau de la communautéd’agglomération Les Lacs del’Essonne.Intervenant : Gabriel Amard, prési-dent de la communauté de commu-nes.

11h15 : rencontres avec des artistesVisite commentée de l’expositioninspirée de l’œuvre d’Aimé Césaire,“L’Art comme moyen de résistance !”.Rencontre avec le plasticien ElieArmand Mekoa et avec WilfridN’Sondé, écrivain en résidence

accueilli par l’association Dans tousles sens.

12h : A quelle distance de la languecommune as-tu laissé ton cœur ?Extrait des textes et poèmes des habi-tants dans le cadre des lectures multi-lingues “D’une langue à l’autre”.

A partir de 12h30 : buffet/barbecueTarif 6 euros.

De 12h30 à 14h : les musicales Trois formations musicales, issues dudépartement adultes du conserva-toire municipal de musique et dedanse et de l’association Dans tousles sens, se produiront au sein del’espace artistique de la cafétéria ducentre culturel.

A partir de 10h : L’art comme moyende résistance !Exposition inspirée de l’œuvre d’AiméCésaire.“Ma bouche sera la bouche des mal-heurs qui n’ont point de bouche, mavoix, la liberté de celles qui s’affais-sent au cachot du désespoir”, disaitAimé Césaire, dans Cahier d’un retourau pays natal. Cette citation seral’inspiratrice d’une exposition d’artsplastiques réalisée par un groupe d’é-lèves du collège Aimé-Césaire, enca-dré par le plasticien camerounais ElieArmand Mekoa. Une occasion pourles jeunes de s’approprier la mémoire,la sensibilité, l’imaginaire fructueux etla poétique d’Aimé Césaire mais aussiun moyen de les sensibiliser autourde certains sujets comme : la traite

négrière, les colonisations, l’abolitionde l’esclavage, le témoignage, lamémoire, l’identité... Ce projet est coordonné par le servicemunicipal de la Jeunesse en partena-riat avec le collège Aimé-Césaire.

18h30 : harmonies de Vaulx-en-Velin et de Grandvallières (Jura)

21h : concert de Mamani KeitaAu Mali, la tradition interdit à ceux quiportent le nom royal de Keita dechanter ou de jouer d’un instrument.Heureusement, il y a des exceptions.Mamani Keita en est une qui, d’an-cienne choriste d’un autre Keita enrupture de caste (Salif), est en passede devenir l’une des principalesambassadrices de la modernité musi-cale africaine. Gagner l’ArgentFrançais, son troisième album est leplus rock, le plus électrique à ce jour.Celui où elle prend le plus de risques.Il révèle une personnalité forte, pas-

sionnée, insoumise, une voix rebelledont la part mandingue se débrideau contact d’un univers sonore aussiinventif qu’hétéroclite conçu par leguitariste Nicolas Repac, connu poursa collaboration au long cours avecArthur H. Plein tarif : 13 euros ; tarif réduit(comités d’entreprises, étudiants deplus de 26 ans, retraités, handicapés,groupes d’au moins dix personnes) :10 euros ; tarif spécial (demandeursd’emplois, étudiants) : 8 euros ; tarifenfants : 5 euros. Billetterie en lignesur www.centrecharliechaplin.comEn extérieur, place de l’hôtel de villeet sur le parvis du centre culturel- Un stade solidaire : tournoi de foot etsolidarité.- Exposition sur les résistants afri-cains : les grandes figures de la luttepour les droits de l’homme enAfrique.- Ateliers artistiques ouverts à tous, de14h à 18h. Des moments artistiquesqui associent le graffiti, la calligraphiearabe, les percussions et la danse afri-caine. Ecriture de textes : R’n’B, slam,rap. Transformation d’objets de récup’en motifs d’art. Et photo pour immor-taliser les meilleurs moments de cettebelle aventure artistique. AvecRécup'Art, Dar D'art, Ulumbu, Fédévo,Epi, Arka-court, Kamerboy, DJ Tony,Kras et Cure (graffeurs) et le soutiendes stagiaires de l’institut Bioforce. Unprojet coordonné par l’Espace projetinterassociatif (Epi).

De 18h30 à 20h30 : buffet/barbecueTarif 6 euros.

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“NOUS avons choisi cette école pourdémarrer cette action contre legaspillage car, il y a trois ans, c’est làque nous avions déjà initié une anima-tion avec les élèves pour éviter legaspillage de l’eau et du pain”,explique Philippe Tourre, agent muni-cipal responsable de secteur. Il s’agitdonc, à travers une campagne decommunication orchestrée par la Villeet soutenue par la société de restau-ration, d’apprendre aux enfants àgoûter à tous les aliments proposés, àne pas se servir plus qu’il ne faut.“Tout cela fait partie de l’autonomiedes enfants dans la restauration. Cesont eux qui partagent le contenu desbarquettes de nourriture. Ils savent quele pain qui n’est pas mangé est donné àdes personnes qui ont des animaux etque l’eau qui reste dans les brocs sert àarroser les plantes, mais ils savent aussique les denrées périssables sont jetéescar pour des règles d’hygiène les platsqui ont été réchauffés ne peuvent êtreresservis”, poursuit Philippe Tourre.Pour ce faire, les agents de restaura-

tion sont partie prenante et ont étéformés à cette question. La plupart des enfants ont bien reçule message et sont capables d’expli-quer que “ce n’est pas bien de jeter lanourriture parce qu’il y a des gens quin’ont rien à manger”. Mais l’heure estau bilan et le résultat laisse à penserqu’il s’agit de poursuivre ce travail desensibilisation dans la durée. Entre lepremier comptage des denréesjetées et le dernier deux semainesaprès, l’écart est peu perceptible ence qui concerne le pain : de 32 painsjetés, on est passé à 30. Pour les lai-tages, l’impact est plus probant : 47avaient été gaspillés la premièresemaine contre 25 la troisième. Lesfruits, de 17 sont descendus à 8. Enfin,pour les plats cuisinés, l’écart est de 4.Les enfants ayant eux-mêmes fait lecomptage du gaspillage, cela laisseespérer aux organisateurs que la pro-chaine opération sera plusconcluante : “C’est un début”, com-mente Laurent Martinet, coordina-teur de la vie scolaire. J.P

AUX côtés de leur chef de chœur,Monique Martin, les Ans Chanteursont fait vibrer le public venu les écou-ter, fin mars salle Jara. Ils ont offert unrépertoire varié, d’une vingtaine dechansons mêlant gravité, révolte,légèreté, drôlerie... Ils ont chantéOradour la Partisane, La révolte despaysans, Les Canuts, Ma France, BellaCiao, des chants “renaissance”,Armstrong, La ballade irlandaise, Lacomplainte du progrès, Le criminelaffamé, Les filles de Paimpol… etmême L’alphabet de Mozart, l’air dePapageno, deux chants accompa-gnés à la guitare par Alain Ducret.La chorale a été créée en 1991-92 à lademande de quelques membres del’Association sports et loisirs desretraités de Vaulx-en-Velin (ASLRVV).Quinze à vingt retraités se sont ainsimis à chanter pour d’autres, “en pro-posant des spectacles dans les maisonsde retraite de Vaulx et de l’aggloméra-tion et en participant à des commémo-rations”, explique Monique Martin. En2001, les Ans Chanteurs ont étéaccueillis par l’association musicalemunicipale. Depuis, ils répètent salleJean-Foucaud les mardis de 9h à 11h.Ils ont vingt printemps communs,mais une dizaine d’entre eux a passéle cap des 80 ans. Le chant continuede les réunir et le fil de leurs voixcontinuera d’enchanter nos oreilles.

F.M

Vingt printemps Ans Chanteurs

L’école Gagarine a piloté une action de sensibilisation des enfants au gaspillage, durant le temps de restauration scolaire, dans le cadre dela semaine du développement durable. Elle devrait être étendue prochainement aux autres écoles.

EDUCATION Pas de gaspillage à la cantine

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CHORALE Le folk, la country,la convivialité et l’entraide

DANSE

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CAFÉ folk and country propose desateliers de danses country, folklo-riques et d’animation qui rassem-blent des habitants de Vaulx-en-Velin,Bron, Décines… Tout est né d’ungroupe qui a opté pour le statut asso-ciatif il y a quatre ans et l’association,chaque année, consacre une part deses bénéfices à une bonne cause. Al’occasion d’une soirée conviviale, le 6avril au centre social et culturel Peyri,Café folk and country a remis unchèque de six cents euros à l’associa-tion nationale Vaincre les maladiesLysosomales, VML. Une somme d’ar-gent collectée lors du bal organisé enfévrier dernier à la mairie annexe, àl’occasion des dix ans du groupe dedanse. “Depuis plusieurs années, noussoutenons VML parce que nous comp-tons parmi nos soixante-treize adhé-

rents la maman de Nicolas, un enfantatteint d’une maladie lysosomale”,explique Monique Merlin, présidentede l’association vaudaise. Sensibilisésà ces maladies génétiques rares(1), lesadhérents souhaitent participer aucombat engagé contre elles. Outre laconvivialité des rencontres hebdoma-daires, des bals annuels et des soiréesouvertes aux amis et organiséesavant les vacances scolaires, la solida-rité est aussi de mise au sein de Caféfolk and Country. F.M

(1)Les maladies lysosomales regroupent despathologies dues à un dysfonctionnement dulysosome. Situé au cœur de chaque cellule, lelysosome a pour rôle de recycler des matièresissues du fonctionnement cellulaire. S’il devientdéfaillant c’est tout le fonctionnement cellulairequi est perturbé et cela entraîne peu à peu desmodifications dans l’organisme. Selon les cellu-les concernées, le cerveau, les os, le cœur… sonttouchés.

A l’occasion du Printemps des poètes, les élèves de l’école Langevin ont lâché desballons porteurs de messages poétiques, le 2 avril.

Ténors, sopranos, mezzo sopranos, altos… ils n’étaient pas moins d’une cinquan-taine à célébrer leurs vingt ans en chanson, salle Jara..

ECRITURE Un envol de poésie à l’école Langevin

C’EST avec enthousiasme que les éco-liers de Langevin ont participé à laseconde édition du Printemps despoètes, une activité autour de la poé-sie conduite par Emilie Charpin, maî-tresse du Réseau d’éducation priori-taire (Rep). “Toutes les classes se sontjointes au projet et chaque élève a puproduire plusieurs poésies. Les parentseux aussi ont été de la partie, en aidantà gonfler les ballons. Ils ont préparé desgâteaux et l’argent récolté sera destinéaux sorties scolaires”, commente

Noémie Bernard, l’une des institutri-ces de l’école.Des parents venus nombreux assisterà l’envol des ballons porteurs despoèmes écrits par leurs enfants :“Nous sommes victimes de notre suc-cès. Je n’aurais jamais pensé qu’autantde parents seraient présents, ils se sonténormément investis. Cette journée estle couronnement de nombreuses heu-res de travail. A la fin, les enfants sontcontents, c’est l’essentiel”, se réjouitBenjamin Grandener, le directeur.

Kamel Grine, un des parents d’élèvesest ravi de cette initiative qui, selonlui, “fait plaisir aux enfants et, de plus,permet de consolider les bases de l’écri-ture”. Aymen, Beyza, Chloé et Imeddisent avoir “beaucoup aimé écrire despoèmes” et espèrent que leurs messa-ges trouveront un écho auprès deceux qui les trouveront. “L’an dernier,nous avions reçu quelques réponses,certains ballons avaient été jusqu’àDijon”, relate Noémie Bernard.

J.Pévén

emen

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Le maire de Vaulx-en-Velin, a pris la décision à l'heure où nous entrons dansune période officielle d’échéances électorales. Celle du Village du jeudi 29mars ne s’est donc pas tenue. Tout comme sont reportées, après les élec-tions présidentielle et législatives les AGQ Balme/cités Tase/Brosses/Carré deSoie/La Côte prévue le 26 avril, centre-ville/Vernay ouest, le 10 mai et Pontdes planches, le 7 juin. Des reports “afin de ne pas interférer dans les débats,de ne pas être suspecté de propos partisans et d’empêcher toute opérationpoliticienne”, a-t-il précisé.

Les assemblées générales de quartier reportées

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MERCREDI 4 avril se jouait au boulo-drome Pierre-Claude-Faure la coupedes vétérans, compétition de loisirsqui a lieu chaque année depuis lacréation de l’Association bouliste vau-daise. Soixante-quatre participantsont été comptabilisés au total, répar-tis en quatre poules. Chaque joueurdevait gagner le plus de points suronze possibles dans chaque partie, etchaque bouliste avait à jouer troisparties dans la journée, afin de procé-der le soir à un système de classe-ment bien précis où personne nepouvait être éliminé. Réservée aux abonnés, la compéti-tion accueillait des seniors venantprincipalement de Vaulx-en-Velin,mais aussi de Villeurbanne, Décines,Bron où encore de la Croix-Rousse.Dès le début du tournoi, à 9h30, laconcurrence était au rendez-vous, semanifestant par de superbes presta-tions de précisions et de stratégie. Onpouvait compter deux heures parpartie. A la fin de la première manche,le repas de midi était offert à chaqueparticipant par l’association.

Les deux manches suivantes s’enchaî-naient en début d’après-midi , et c’estaux environs de 19h qu’était dévoiléle nom des vainqueurs (ChristineDeray, Iukic Deray et André Negrelo),récompensés de quinze euros parpartie gagnée et de médailles remi-ses par le président Bernard Peyratou.Le prochain rendez-vous au boulo-drome aura lieu le 25 avril avec un 16quadrettes loisir par poules. Et le pro-chain tournoi est annoncé fin 2012 : lefutur vainqueur repartira aveccomme premier prix une dinde deNoël, d’où le nom du concours : leconcours de la dinde.

Chamseddine Ouali

Pratique : l’Association bouliste vau-daise est ouverte à un public de toutâge et de tout niveau sportif. Elle pro-pose la gestion et l’animation d’activi-tés sportives et de loisirs organiséespar la fédération française du sportboules (FFSB). Son siège : boulodrome Pierre-Claude-Faure, 123 avenue Paul-Marcellin. Tél. 04 72 04 37 32.

Le vote par procuration c’est possibleELECTIONS

L’ÉLECTION présidentielle a lieu lesdimanches 22 avril et 6 mai et les élec-tions législatives les dimanches 10 et17 juin. Les électeurs qui ne pourrontpas se rendre dans leur bureau devote le jour du scrutin peuvent don-ner procuration. Voter reste un acte citoyen. Une pro-curation, c’est confier son vote. Ladémarche est simple : il suffit de serendre dans un commissariat avecune pièce d’identité pour remplir surplace un imprimé, avec trois volets.Qui comprennent : un formulaire deprocuration, une déclaration surl’honneur indiquant le type d’empê-chement et un récépissé délivré au

mandant. Le jour du scrutin, le man-dataire bénéficiaire de la procuration,devra présenter son récépissé. Ellepeut soit concerner le premier ou lesecond tour, soit les deux tours.

LE QUARTIER bouge enfin. Après lespremières créations de voies, c’est autour de la rue d’Artik de bientôt voir lejour. Comme elle doit relier les ave-nues du 8-Mai-1945 et Jean-Moulin,le long de l’actuel terminus du C3, legarage Baravian est en cours dedémolition. Dans un premier temps, àla mi-mars, le bâtiment lui-même aété détruit. Depuis le 16 avril, il s’agitmaintenant de purger ses cuvesenterrées, d’huile de vidange notam-ment. Et bien sûr de les enlever. Enjuin devraient du coup débuter lestravaux de création de la nouvelle rue.A quelques encablures, la réfectiondu réseau d’assainissement et l’amé-nagement des voiries autour del’espace Noëlle-Grégoire est sur lepoint de se terminer. L’objectif est depermettre le raccord de futures cons-tructions au réseau d’assainissement.Constructions qui devraient interve-nir au deuxième semestre 2012. Alorsque l’année se terminera par le lance-ment de la restructuration du groupescolaire Henri-Wallon qui durera envi-ron deux ans. Rappelons que tous ces projets s’intè-grent dans la Zone d’aménagementconcerté (Zac) de La Grappinière.L’objectif de ce projet de rénovationurbaine étant de rendre le quartierplus attractif et plus convivial tout enaménageant de nombreux espacesverts. A terme, 230 nouveaux loge-ments, dont une cinquantaine de

type HLM, seront créés et le centrecommercial sera lui aussi totalementrestructuré. S.LPratique : chargé de développe-

ment, Ychem Sallouh. Tél. 04 37 45 1141. Permanences les mercredis de14h à 16h au centre social Levy, placeAndré-Bollier.

9Vaulx-en-Velinjournal -18 avril 2012 - N°50

BOULES

Coupe des vétérans : la passion avant le sport

La Zac de La Grappinière avanceAMÉNAGEMENT

L’Association bouliste vaudaise rassemble plus de cent soixante adhérents. Club de compétition et de loisirs,elle organise à chaque printemps la coupe des vétérans, réservée aux seniors.

La démolition du garage Baravian à La Grappinière a commencé. Il laissera la place à la nouvelle rue d’Artik.

TRAVAUX

TRAVAUXAménagement du carrefour rue Tita-CoïsLe service voierie du Grand-Lyon entre-prend, à partir du 23 avril le réaménagementdu carrefour, rue Tita-Coïs, à l’angle des ruesdu Canal et des Genièvres. Pendant les tra-vaux, qui vont durer un mois, le carrefoursera géré par des balises “cédez le passage”.Un ralentisseur sera positionné rue du Canal,à l'approche de l'intersection, pour ralentir lavitesse des véhicules et protéger le passagepiétons créé à l'occasion pour se rendre surle chemin de halage du canal.Réaménagement du parvis du collège Aimé-CésairePour des raisons techniques, les travaux sur le parvis du collègeAimé-Césaire, rue des Frères-Bertrand, qui devaient débuter mi-avril,sont reportés et auront lieu en juillet. Pour rappel, le service voieriedu Grand-Lyon interviendra pendant un mois et demi pour amélio-rer la sécurité des collégiens et les espaces devant l'établissement. Latraversée piétonne, avenue des Frères-Bertrand, intègrera un refugecentral pour faciliter le cheminement. Une voie de dépose minuteainsi qu’une voie pour les bus scolaires sont également prévues pouraméliorer la gestion des différents flux de circulation. Enfin, le nou-veau parvis sera agrémenté par des plantations et du mobilier urbainde façon à rendre plus fonctionnel et agréable cet espace public.

Le vide grenier du VBC a lieu samedi 9 juin toute la journée (de 9h à 17h) austade Edouard-Aubert (rue Alfred-de-Musset au Sud). Inscriptions auprès deMaryvonne au 06 60 49 58 98 ou sur www.vaulxbasketclub.fr

S’inscrire au vide grenier du VBC

L’association bouliste vaudaise a rassemblé soixante quatre participants à la coupe des vétérans, début avril.Prochain rendez-vous le 25 avril avec un 16 quadrette loisir par poules.

Plus d’infos sur www.gpvvaulxenvelin.org

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SAM21AVRAnimations à l’EcoinL’Espace projets interassociatifs (Epi)propose des animations dans le parcFrançois-Mitterrand de 14h à 18h.Calligraphie, graffiti, atelier d’écriture(slam, rap, chant), musique, percus-sion et danse africaine, ateliermanuel, vidéo photo, avec Ulumbu,Récup’Art, Fédévo, Dar D’art, collec-tifs Big Mess, RSD, VEV crew, Arka-court, stagiaires Bioforce, Dans tousles sens.FootballEn honneur Rhône-Alpes, le FC Vaulxaccueille Rhône-Vallée, à 18h austade Francisque-Jomard (avenuePaul-Marcellin). Boules : qualificatifs fédérauxQualificatifs fédéraux illimités en 4e

division quadrettes par poules, à par-tir de 8h au boulodrome de Chassieuchemin du Trève à Chassieu.Tél. 04 78 90 76 85.

19/21AVRAnimations cirque au Carré de SoieLe pôle du Carré de Soie propose desinitiations cirque en partenariat avecl’UCPA, de 14h à 19h. Inscriptions surplace. www.carredesoie.com

JEU19AVRAssemblée généralede la Mission localeDans ses locaux, 3 avenue Georges-Dimitrov à 18h30. A l’ordre du jour :rapport moral, rapport d’activité, rap-port financier. Tél. 04 72 04 94 [email protected]éâtre à PeyriLe centre social présente “Moi Jacob,l’esclave d’Agbodrafo woold home”, àpartir de 20h. Un spectacle sur l’escla-vage interprété par Ap’Nondas d’a-près le texte de Jacques Bruyas. Apartir de 12 ans. Participation volon-taire (chapeau). Centre social Peyri,rue Joseph Blein. Tel : 04 72 37 76 39.

agen

da VEN20AVRShow dance à JaraFedevo organise un show dance –hip-hop, ragga, newstyle, coupédécalé, kuduro – le vendredi 20 avrilde 17h à 22h salle Victor-Jara, rueLesire. Paf : 5 euros, 3 euros pour lesadhérents de Fedevo, gratuit pour lesmoins de 10 ans.Répétitions des lectures multilinguesA partir de 8h45 à la bibliothèque del’Ecoin (promenade Lenine, écoleMakarenko B).

20/21AVRUn forum de la jeunesse autour de la PalestineDans le cadre de la venue d’une délégation de jeunes de la commune de BeitSahour, située en Cisjordanie et liée à Vaulx-en-Velin par un pacte de coopéra-tion, un forum autour de la jeunesse se tient salle Victor-Jara (rue Lesire). Unemanifestation festive et militante avec projection, débat, échanges, expositionsmais aussi jeux et concerts. Par le Collectif 69 génération Palestine, les servicesmunicipaux, le GPV et le centre social Georges-Levy. Renseignements au servicemunicipal Médiation jeunesse : 04 72 04 93 40.

DIM22AVRElection présidentiellePremier tour de l’élection présiden-tielle. Les bureaux de votes sontouverts de 8h à 19h. Deuxième tourdimanche 6 mai. Plus d’informationssur www.vaulx-en-velin.comCourses à l’hippodromeTrot et galop pour des courses régio-nales à partir de 13h30. Hippodromede La Soie : avenue de Böhlen. Lecalendrier des courses sur www.les-hippodromesdelyon.frLes rencontres sportivesDans son championnat de promo-tion d’excellence de district, l’USVaulx accueille Belleroche à 15h austade Edouard-Aubert (allée duStade). Les handballeuses de l’Asul(D2) rencontrent Bègles à 16h aupalais des sports Jean-Capiévic (placede la Nation).

LUN23AVRDiabète, obésité surpoidsPermanence organisée par la mairie,de 15h à 19h, pour un échange et unaccompagnement avec une diététi-cienne et un endocrinologue. Laprestation étant gratuite, elle estréservée aux Vaudais. Sur rendez-vous auprès du service municipal dePromotion de la santé au 04 72 04 80 33.

23/26AVRSemaine de la vaccinationLe Centre de santé et de prévention du CDHS de Vaulx-en-Velin (25 rueRabelais), centre de vaccination publique est partenaire de la semaine euro-péenne de la vaccination. Venez vous informer et poser vos questions du 23 au26 avril (apportez vos carnets de santé) : lundi de 10h à 18h, mardi de 14h à 18h,mercredi de 10h à 15h, jeudi de 10h à 15h. Et faites vous vacciner par un méde-cin du centre, gratuitement et sans rendez-vous : le 24 avril de 15h à 18h et lemercredi de 12h à 15h. Les adolescents et jeunes adultes recevront un accueilprivilégié le 24 avril de 15h à 18h… surprise !

24AVR/27MAIUne ville, des mémoiresCommémorations, tables rondescitoyennes, théâtre, concerts, exposi-tions, animations… sont au pro-gramme de cette nouvelle édition.Lire pages 6 et 7.

24/26AVRIII : Shakespeare new-look à ChaplinCliché : Richard III, du dramaturge britannique, pourtant écrit au 16e siècle, estd’une terrible actualité. A voir III, variation de Philippe Malone autour de la piècede Shakespeare, on se dit que le cliché est parfois criant de justesse. En 17séquences aussi cruelles que poétiques, il décrit un monde au bord du gouffre, siproche du nôtre. Et repose une fois encore la question du pouvoir, des abus qu’ilengendrerait, de l’arrogance et de la soumission. En parallèle, Approche et décou-vertes permet, le 24 avril à 18h30 (entrée libre), de s’interroger sur le pouvoir.Avec Thierry Morlet, ergonome et Sylvain Diaz, professeur à l’Ecole normale supé-rieure de Lyon. III, le 24 avril à 20h30, les 25 et 26 à 19h30, au centre culturel Charlie-Chaplin (placede la Nation), réservations au 04 72 04 81 18 et sur www.centrecharliechaplin.com

MAR24AVRCommémoration du GénocidearménienLa commémoration du Génocidearménien a lieu à 12h, place du 24-Avril-1915 au Village.Cafés des entrepreneursLe centre d’affaires Activ’buro, enpartenariat avec le Cridel, organisedes rencontres thématiques pour lesporteurs de projet et jeunes diri-geants. 24 avril : l’auto-entreprenariat(avantages et limites). 22 mai : lacommunication d’entreprise. 12 juin :le droit des affaires. 26 juin : les nou-velles formes de l’entreprenariat. 10juillet : la fiscalité d’entreprise. De 17hà 19h à Activ’buro : 1, chemin duMont-Pilat. Tél. 04 26 78 17 30.Réunion autour du projet social duMasHabitants et associations sont invitésà réfléchir autour du projet du Masdu Taureau. A partir de 18h à l’espaceassociatif Benoît-Frachon (avenueMaurice-Thorez). Répétitions des lecturesmultilinguesA partir de 18h45, à la bibliothèqueGeorges-Perec (rue Louis-Michoy).Ciné-club des retraitésEt si on vivait tous ensemble, un filmde Stéphane Robelin, avec JaneFonda, Pierre Richard… Annie, Jean,Claude, Albert et Jeanne sont liés parune solide amitié depuis plus de 40ans. Quand la mémoire flanche etque le spectre de la maison deretraite pointe son nez, ils se rebel-lent et décident de vivre tous ensem-ble. Séance suivie d’un échange avecl’association Chamarel qui mène unprojet d’habitat coopératif sur lacommune. Tarif : 4 euros. A 14h aucinéma Les Amphis, rue Pierre-Cot.Tél. 04 78 79 17 29.

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MER25AVRBoules : coupe du PrésidentUn 16 quadrettes 3 et 4e divisionsvétérans par poules, à partir de 8h auboulodrome Pierre-Claude-Faure àVaulx-en-Velin. Tél. 04 72 04 37 32.

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UN PROGRAMME riche autour du thème de la famille ouvert à tous durant qua-tre jours dans différents lieux de la ville. “Cette action s’appuie sur nos partenairesCaf, Lieu écoute, la bibliothèque Pérec, Médiactif. L’idée est de proposer à la fois desanimations et des temps d’échanges et de réflexion”, précise Nathalie Charef,responsable du secteur adulte au centre social du Grand-Vire.Mercredi 25 avril : au centre social le Grand-Vire à 8h30, accueil, café parents,présentation du programme. A 9h, atelier parents enfants, confection d’unarbre généalogique. Jeu “La famille en question”, l’objectif est de permettre auxparents d’échanger sur l’éducation et aux ados d’aborder les conduites àrisques. A 14h, atelier slam parents enfants avec la Fédévo, jeu “La famille enquestion”.Jeudi 26 avril : au centre social le Grand-Vire à 9h, café parents. A 9h30, jeu “Lafamille en question”. A 15h30 : spectacle pour enfants de moins de trois ans “Lepotager de Filo”. A 17h, atelier danse parents enfants par la compagnie Atou. Vendredi 27 avril : à l’espace Carco à 8h30, café parents. A 9h, atelier massagepour bébés jusqu’à neuf mois. A 14h, atelier “mieux communiquer en famille”,selon la méthode Espere de Jacques Salomé, échanges et discussions avecMichel Emin de l’association S’apprivoiser. A 20h, théâtre-forum au centre socialle Grand-Vire “L’autorité en question” par la compagnie Le petit saltimbanque.Samedi 28 avril : au centre social le Grand-Vire à 10h, atelier cuisine parentsenfants. A 12h, repas partagé (chacun amène un plat). A 14h, animationsparents enfants : tournoi de baby foot, coin lecture, découverte de la danse afri-caine avec la Fédévo, ateliers slam. A 16h, goûter, rendu des ateliers.Contact : centre social le Grand-Vire, 23 rue Jules-Romains. Tel : 04 78 80 73 93.Espace Carco, 20 rue Robert-Desnos. Tel : 04 78 80 22 61.

26/27AVRLa lettre en spectacle à la MJCLa compagnie Tapage issue des ate-liers théâtre de la MJC a poussé un peuplus loin l’aventure en créant sa struc-ture. Et présente La lettre. Le spectaclealterne jeu, lecture et chansons autourde… lettres bien sûr ! A 20h30 à laMJC, 13 avenue Henri-Barbusse. Tél.04 72 04 13 89. La compagnie ferapasser un chapeau parmi les specta-teurs à la fin du spectacle.

JEU26AVRRepas à l’espace FrachonLe groupe A Vaulx marques, duSecours catholique, avec le soutiende Médiactif, organise un repas soli-daire à 12h. Inscriptions (10 euros) àMédiactif, espace Frachon, 3 avenueMaurice-Thorez. Tél. 04 72 04 94 56.Ou Secours catholique, ManuelaBarnéoud au 04 78 80 56 89. Rencontre femmes A l’espace Carco à 14h, pour discuterde sujets qui concernent les femmeset les intéressent, organisée par lecentre social du Grand-Vire, l’associa-tion Femmes solidaires et Médiactif.Espace Carco, 20 rue Robert-Desnos.Tel : 04 78 80 22 61.

27AVR/26MAIL’Ensal s’exposeA quoi peut bien ressembler un projet de fin d’études d’étudiants en architec-ture ? Pour lever un voile sur le mystère, l’Ecole nationale d’architecture de Lyon(Ensal) expose les projets de 20 jeunes diplômés. Ils se sont exprimés sur des ter-ritoires en devenir, au cœur des préoccupations de l’agglomération lyonnaise. AArchipel, 21 place des Terreaux à Lyon, du mardi au dimanche de 13h à 19h.

VEN27AVRVisite de quartier du maireLe maire ira à la rencontre des habi-tants du Pré de l’Herpe pour le sec-teur avenue Thorez, rue Lesire, ave-nue Monmousseau, avenue Péri etchemin Pierre-Dupont. Rendez-vousà 18h, à l’angle de l’av. Monmousseauet du chemin Pierre-Dupont.

27AVR/16MAILes résistants vaudaisUne exposition réalisée par l’associa-tion Mémoires et l’Association natio-nale des anciens combattants de laRésistance et amis de la Résistance(Anacr), dans le cadre de la manifes-tation Une ville, des mémoires (lirepages 6 et 7). 2e étage de l’Hôtel deville, place de la Nation, de 9h à 12het de 13h30 à 17h.

SAM28AVRLogement et contrôlede la population algérienne à Lyon Projection, conférence, débat. A 14h,rencontre avec Emilie Elongbil Ewane,à 16h, projection d’El Bi’r et débatavec la réalisatrice Béatrice Dubell, à laMJC : 13 avenue Henri-Barbusse. Stage de danse hip-hopPar le conservatoire municipal demusique et de danse avec MaïssaBarrouche. Au studio Carmagnole, 2avenue Bataillon-Carmagnole-Liberté : à partir de 7 ans de 10h à12h, à partir de 14 ans et adultes de14h à 16h. Renseignements etinscriptions au conservatoire : 55, ruede la République. Tél. 04 78 79 51 41.HandballL’équipe réserve de l’Asul (N2)accueille Grasse, à 20h30 au palaisdes sports Jean-Capiévic. Répétitions des lectures multilinguesA 10h30 à la bibliothèque Paul-Eluard(espace culturel René-Carrier, 55 ruede la République).

DIM29AVRCommémoration de la journée de la Déportation A10h30 au monument des Droits de l’homme, place de la Nation.FootballL’Olympique de Vaulx rencontre Saint-Forgeux, à 15h, au stade Jules-Ladoumègue (158, avenue Gabriel-Péri). Une rencontre de promotion d’excel-lence départementale. Cyclisme FSGT : prix de la Ville L’épreuve de cyclisme FSGT sur route, prix de la Ville de Vaulx-en-Velin “SouvenirChristian-Vairon”, organisée par le VCVV, se déroule dans la zone industrielle Est.Deux courses sont au programme. La première rassemble les catégories 5 FSGTet 4 Ufolep pour 25 tours soit 59 km et les catégories 3 FSGT et 2 Ufolep pour 29tours soit 68 km. Départs à 13h. La seconde verra courir les catégories 4 FSGT et3 Ufolep pour 27 tours soit 63,5 km et 1 et 2 FSGT, 1 Ufolep et Pass FFC pour 32tours soit 75km. Départs à 15h30. Inscriptions au VCVV : 04 78 80 15 63.

MER2MAICarnavalL’association Récup’Art propose auxhabitants un grand défilé de carnavalsur les saisons, de 14h à 17h. Départ etretour de l’espace Carco. Préparer la fête du VillageRéunion de la commission vie socialedu Village à 18h à la salle du Bourg(55, avenue de la République). Avisaux bonnes volontés : il sera notam-ment question de poursuivre la pré-paration de la fête qui se tiendra lesamedi 30 juin. Ouverture de l’espace jeux CachinL’espace jeux à l’espace municipalCachin (rue du 19-Mars-1962) ouvrede 9h à 11h30. Jeu, rencontre,détente et partage pour les familles.Equipe féminine du FC VaulxLe club de football souhaite monterune équipe féminine avec des joueu-ses nées 1999, 2000 et 2001.Opération de détection à 17h au stadeJomard (avenue Paul-Marcellin). Ouverture Jeux Vaulx-lympiquesA 14h sur le plateau Rousseau (prèsdu palais des sports) avec le passagede la flamme olympique. Programmecomplet dans le prochain Vaulx-en-Velin Journal.

Esprit de famille au Grand-Vire

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Lectures multilinguesLes voisins se donnent rendez-vous...Instants volés dans l'escalier,moments partagés sur le pas de laporte. Lecture préparée avec ungroupe d’habitants et mise en voixpar Mohammed El Amraoui. A 19h30à la bibliothèque Paul-Eluard, espaceRené-Carrier, 55 rue de la République.Tel : 04 78 79 51 45Faire (re)vivre les pratiquesde solidaritésCes quarante dernières années ont vuse développer le chômage et la préca-rité de masse. Pourquoi, comment,fonctionne la “machine à précariser” ?Comment espérer y résister ? Débat à

18h, au local du Collectif des privésd’emploi et précaires, 9 place Guy-Môquet au Mas du Taureau.Visite de quartier du maireLe maire ira à la rencontre des habi-tants de La Grappinière pour le sec-teur rue de la Barre, rue Pierre-Cot,avenue du 8-Mai-1945 (de la ruePierre-Cot au rond-point de l’auto-route), rues Baumer, Delestraint, ave-nue Jean-Moulin, rue André-Werth,place André-Bollier, rues René-Trousselle, Marius-Pied, Geoffray,Ducognon, Stanislas-Bozi, Oreste-Zénézini, de Beït-Saour (nouvellevoie), de Sebaco (nouvelle voie),d’Artik (nouvelle voie). Rendez-vous à18h, à l’angle de la rue Charles-Delestraint et de l’avenue Jean-Moulin.

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Les petites annonces ne pouvantfaire l’objet de vérifications systéma-tiques, elles sont publiées sous laseule responsabilité de leurs auteurs.

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Pour paraître dans le journal du 2 mai, les petites annoncesdevront parvenir à “Vaulx-en-Velin Journal” avant le 26 avril enutilisant obligatoirement le coupon prévu à cet effet. Ces petitesannonces gratuites sont réservées aux particuliers demeurant surVaulx-en-Velin.

Vaulx le journal vous offre la possibilité de faire publier gratuitement une petite annonce

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BP 244 - 69515 Vaulx-en-Velin cedexTel : 04 72 04 04 92Fax : 04 72 04 85 [email protected]

édité par la Ville de Vaulx-en-VelinDiffusion : 20 500 exemplaires - Directeur de la publication : le maire - Rédactriceen chef : Edith Gatuing - Rédacteur en chef adjoint : Stéphane Legras - Rédaction :Rochdi Chaabnia, Fabienne Machurat, Jeanne Paillard, Chamseddine Ouali - Photos :Jean-Loup Bertheau, Charly Bourganel - Illustrations : Alexandre Bresson - PAO :Bruno Valéra, Aleksandar Zauli - Réalisation : Public Imprim®, BP 553, 69637Vénissieux cedex - Impression : SIEP, ZA les Marchais, 77590 Bois-le-Roi - N° ISSN :2106-7813

Vaulx-en-Velinjournal- 18 avril 2012 - N°50

2/21MAIL’histoire des sports à VaulxL’association Mémoires, en partena-riat avec l’Office municipal des sports,organise une exposition sur l’histoiredes sports à Vaulx, des années 20 auxannées 80. Du 2 au 21 mai à la MJC,13 avenue Henri-Barbusse.

JEU3MAIUn tableau concert à ChaplinEt c’est l’Arfi qui est à la palette de ce“A la vie à la mort”, inspiré par l’œuvrede Pieter Bruegel l’Ancien, “LeTriomphe de la Mort”. Proche d’unciné-concert, le spectacle mêlemusique, vidéo et scénographie.Magie : les 4 musiciens de l’associa-tion lyonnaise “à la recherche d'unfolklore imaginaire” invitent le spec-tateur au plus près de la magnifiquepicturalité de la toile. A 19h30 au cen-tre Charlie-Chaplin (place de laNation), réservations : 04 72 04 81 18et sur www.centrecharliechaplin.comPermanences impôtsLe centre des impôts tient une per-manence à l’Hôtel de ville (place de laNation) dans la salle du conseil de 9hà 12 h.

VEN4MAI

5/6MAIChampionnat du Rhône de doublette provençaleL’Association sportive pétanque Vaulx Village accueille au stade Francisque-Jomard (avenue Paul-Marcellin) le championnat du Rhône de doublette pro-vençale, qualificatif pour le championnat de France. Les rencontres débutent à8h les samedi 5 et dimanche 6 mai, où la finale devrait intervenir vers 17h.Parallèlement, et toujours le dimanche, se disputeront, et cette fois enpétanque, le championnat du Rhône tête-à-tête féminin et le championnat duRhône doublettes jeunes (benjamins, minimes, cadets et juniors). Et ce de 9h à17h. L’entrée au stade sera gratuite.

SAM5MAIAutour de ma villeUn tour de la ville commenté destiné aux jeunes vaudais âgés de 12 à 25 ans,dans le cadre de la manifestation Une ville, des mémoires. Inscription au servicemunicipal de la Jeunesse au 04 72 04 93 40. De 14h à 18h.Vide-greniersDe 6h à 18, par l’association Avec, parking de l’espace Carco, rue Robert-Desnos.Les rencontres sportivesLes footballeurs du FC Vaulx accueillent Montélimar à 18h au stade Jomard(avenue Paul-Marcellin), en championnat honneur Rhône-Alpes. Les hoc-keyeurs du Roc (D2) rencontrent Mérignac à 20h au gymnase Ambroise-Croizat(av. Roger-Salengro). En lever de rideau, la réserve du club, D3, face à Chambéry.Mamani Keita, entre rock et tradition africaineBéni soit qui Mali pense. Telle pourrait être la devise d’Assitan Mamani Keita, éle-vée dans la tradition bambara chantée par sa grand-mère, avec pour horizon l’é-mancipation des femmes. “Gagner l’argent français”, son 3e album, est plus rock,plus électrique. Il révèle une personnalité forte, passionnée, insoumise, une voixrebelle dont la part mandingue se débride au contact d’un univers sonoreinventif et hétéroclite conçu par le guitariste Nicolas Repac, connu pour sa col-laboration avec Arthur H. A 21h au centre culturel Charlie-Chaplin (place de laNation), réservations : 04 72 04 81 18 et sur www.centrecharliechaplin.comBoules : coupe HumbertUn 32 quadrettes 3 et 4e division promo par poules organisé par l’associationbouliste de Bron au boulodrome Flachet 40 rue Jules-Verne à Bron, à partir de8h. Tél. 04 72 37 46 57.

pratiqu

e / ag

enda

DIM6MAIElection présidentielleSecond tour de l’élection présiden-tielle. Les bureaux de votes sontouverts de 8h à 19h.

HandballL’Asul (D2) défie Nantes à 16h. Palaisdes sports Jean-Capiévic (place de laNation).

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SÉJOURS A LA CAMPAGNE● Poney, natureCadre de vie : le centre de vacances Les mésanges sesitue à Darbres en Ardèche, dans un environnementexceptionnel pour passer des vacances riches en

découvertes.Hébergement : des chambres composées de 2 à 6 lits, des sallesd’activités, une salle polyvalente, une salle de restaurant et uneterrasse, une piscine, une carrière équestre.Activités : poney, baignade en piscine, initiation VTT, activitésenvironnement mais aussi des grands jeux, des veillées, des spec-tacles, des activités manuelles artistiques et sportives.Dates : du 20 au 26 juillet (7 jours)

du 10 au 16 août (7 jours)

SÉJOURS A LA MONTAGNE● Arts plastiques, danse et jeuxCadre de vie : le centre Le Duchet se situe à Prénovel,dans le Haut-Jura.Hébergement : dans un chalet avec des chambres de 2

à 4 lits, un espace de restauration, une terrasse avec unevue sur les montagnes du Jura, des salles d’activités et une sallede spectacle...Activités : le séjour est organisé par les ateliers artistiques deVaulx-en-Velin autour du festival Idéklic à Moirans. Les enfantspourront découvrir les spectacles vivants pendant ce festival et,en parallèle, d’autres activités seront prévues (piscine, balades,excursions, sorties,…).Dates : du 8 au 15 juillet (8 jours).

● Ecrins : expressionCadre de vie : le centre Le relais de l’Oisans se situe àproximité de la station des Alpes du Grand-Serre enIsère.

Hébergement : dans un chalet avec des chambres de 2 à 6lits, 2 salles de restauration, des salles d’activités, des espacesextérieurs aménagés...Activités : activités d’expression (théâtre, danse et chants), de jon-glage, de maquillage, de magie, avec la création d’un spectacle,escalade, découverte du patrimoine local, baignades, baladesdans le parc national des Ecrins, trampoline, patinoire écologique,jeux sportifs, tyrolienne, parcours d’orientation, veillées… uneanimation photo.Dates : du 22 juillet au 3 août (13 jours).

● Poney et piscineCadre de vie : le centre La Marmottière se situe sur lacommune de Cordéac au pied de la montagne del’Obiou, en Isère.

Hébergement : dans un gîte avec des chambres de 3 à 6lits, 2 salles de restauration, des salles d’activités, des espacesextérieurs, une piscine...Activités : séances de poneys suivies des soins et des repas quileur seront donnés, baignades, jeux aquatiques, balades sur lessentiers montagnards, visite de ferme, mini camping, jeux spor-tifs, parcours d’orientation, veillées…Dates : du 23 juillet au 4 août (13 jours).

● Séjour multi – activitésCadre de vie : le centre Les Chavannes se situe dansle village d’Onnion face à la chaîne du Mont-Blanc.Hébergement : le village vacance offre un héberge-

ment confortable avec des chambres de 3 à 5 lits,salle de restauration, des salles d’activités, des espaces extérieursaménagés...Activités : comme Robin des bois pour les enfants de 6-9 ans avecla découverte des activités tir à l’arc (flèches en caoutchouc), leponey, le golf et de multiples aventures. Pour les 10-13 anscomme Lucky Luke avec la découverte de l’escalade, le poney etle biathlon (combinaison de l’activité VTT et tir). Pour tous, demultiples aventures, de la baignade, des grands jeux et desveillées…Dates : du 22 juillet au 3 août (13 jours).

SÉJOURS MER / OCÉAN● Séjour multi – activitésCadre de vie : le centre Castel Landou se situe dans levillage de la Taussat (40 km de Bordeaux), avec unaccès direct à la plage et qui dévoile un fabuleux

pano rama et de somptueux couchers de soleil.Hébergement : le village vacance offre un hébergement spacieuxavec des chambres de 4 à 6 lits, une salle de restauration et sa ter-rasse, des salles d’activités, des espaces extérieurs aménagés...Activités : les duos d’activités avec voile/karting ou plongée/kar-ting (pour les 8 ans révolus) ou équitation/kayak. Pour tous, des sorties, des baignades, des grands jeux et desveillées…Dates : du 3 au 16 août (14 jours).

● Destination Grand bleuCadre de vie : le centre Le Mas de l’Artaude se situe auPradet (entre Hyères et Toulon) dans un parc arboréde 7 hectares et aménagé par de nombreux espaces

de jeux, et surtout à 400 m de la plage.Hébergement : centre spacieux avec des chambres de 5 lits, 4 sal-les de restauration, 1 terrasse face à la mer, 5 salles d’activités, uneludothèque, une bibliothèque et des aires de jeux.Activités : voiles/activités nautiques, sorties à la journée, décou-verte de la Méditerranée – faune, flore – baignade en mer et dansla piscine du centre, jeux aquatiques, VTC, ateliers d’expression,veillées, grand jeux…Dates : du 20 juillet au 2 août (14 jours).

● Les aventuriers de la Côte OuestCadre de vie : le centre Les salicornes se situe àMontmartin-sur-Mer dans la Manche, au milieu d’unparc de plusieurs hectares.

Hébergement : centre spacieux avec des chambres de 4à 6 lits, un bâtiment restauration, des salles d’activités, une piscine.Activités prévues : activité voile et/ou char à voile, activités spor-tives pour les 9-11 ans : initiation escalade, VTT, judo et, pour les6-8 ans : initiation équitation et judo. Pour tous, baignade en meret en piscine, activités découverte du milieu, sortie à la journée,balade en bateau mais aussi des grands jeux, des veillées, desactivités manuelles et d’expression, minigolf… Dates : du 13 au 31 juillet (19 jours).

du 1er au 19 août (19 jours).

● Le Monde du silence Cadre de vie : le séjour se déroule au camping del’Arquet au bord de la mer, village de La Couronne,commune de Martigues.

Hébergement : en camping sous tentes maraboutsavec des lits et des espaces de rangement aménagés.Une tente réservée à l’espace cuisine, une tente pourles activités…Activités prévues : plongée sous-marine, kayak de

mer, accro branches, randonnée palmée, visite deMarseille avec une balade en train qui longe la côte bleue et deslieux célèbres (le vieux port, la Canebière, le stade du vélodrome,l’OM). Mais aussi découverte du milieu marin, des jeux de plages,body-board, baignades, beach volley… et veillées. Dates : du 5 au 17 juillet (13 jours) pour les 12 - 15 ans.

du 1er au 13 août (13 jours) pour les 12 - 15 ans.du 16 au 29 août (14 jours) pour les 15 - 17 ans.

PRÉ-INSCRIPTIONSCoupon réponse à rendre le samedi 28 avril

Nom et Prénom(s) des parents : …………………

…………………………………………………….

Adresse : ………………………………………….

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Téléphone fixe : …………………………………

Téléphone portable : …………………………….

Nom de l’enfant : …………………………………

Prénom de l’enfant : ……………………………..

Date de naissance : …………………………….…

Séjour choisi :……………………………………………………

Dates du séjour :……………………………………………………

(dans la limite des places disponibles)

Direction de l’EducationActions Éducatives - Séjours de vacances 2012ATTENTION PRE-INSCRIPTIONS OBLIGATOIRESPour les séjours juillet et août : samedi 28 avril de 9h à 12h.A l’Hôtel de ville (place de la Nation).INSCRIPTIONS DEFINITIVES du 2 au 16 mai, au serviceActions éducatives à l’Hôtel de Ville (place de la Nation)de 9h à 17h.Séjours proposés pour les familles vaudaises exclusivement.La ville se réserve le droit de modifier un séjour pour toute raison indépendante de sa volonté.

Se munir obligatoirement des pièces suivantes :- Carte de quotient municipal en cours de validité- Carte de quotient CAFAL + bons CAFAL- Justificatif de domicile- Livret de familleParticipation des familles calculée selon le quotient familial.

Renseignements : direction municipale de l’Education (2e

étage de l’Hôtel de Ville). Tél : 04 72 04 80 80. Aucune inscription ne sera faite par téléphone.

8-12 ANS

12-15 ANS

15-17 ANS

7-12 ANS

8-12 ANS

6-8 ANS

7-11 ANS

6-12 ANS

6-12 ANS

6-13 ANS

SÉJOURS VACANCES ENFANTS ÉTÉ

Pré-inscriptions :

Samedi 28 avril de 9h à 12h