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lettre information du Conseil de développement Erdre & Gesvres
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La lettreLa lettre
L’édito du PrésidentL’édito du Président
CassonFay-de-Bretagne
Grandchamp-des-FontainesHéric
Les TouchesNort-sur-Erdre
Notre-Dame-des-LandesPetit-Mars
Saint-Mars-du-DésertSucé-sur-Erdre
TreillièresVigneux-de-Bretagne
SommaireSommaire
Ne nous laissons pas envahir par le contenu de nos poubelles
L’agenda 21 local : partager la culture
Bonnes vacances
N°9N°9
Numéro 9 - juillet 2010
Conseil de Développement Erdre & Gesvres
1, rue Marie-Curie P.A. La Grand’Haie 44119 Grandchamp-des-Fontaines Tél. 02 28 02 22 40 Fax : 02 28 02 22 47 [email protected]
Ont participé à ce numéro :
Responsable de la publication : Jean-Louis PETERMANN
Directeur de la rédaction : Jacky LEROY
Coordination de la rédaction : Commission Communication
Réalisation : Aries Computing - 02 28 02 02 91
4
Enfin, l’été s’installe et les frimas de janvier semblent lointains. Grâce aux engagements et au soutien de tous, qu’avons-nous fait depuis? Nous avons produit un avis sur la politique des déchets, des notes de synthèse complémentaires pour les conseils communautaires. Nous avons poursuivi les travaux sur le schéma de secteur, l’agenda 21, démarré les observations sur les déplacements, participé aux commissions CCSPL et CIAPH, intégré les comités de pilotage du CARLDU et de la charte environnementale de l’habitat, qui font suite à nos avis émis en 2009. Nous avons organisé deux débats d’information, sur les déplacements et le compostage. Nous avons rencontré les autres Conseils de développement, le Conseil général, le Conseil régional, renouvelé notre conseil d’administration, rencontré quatre Conseils municipaux, publié 4 lettres d’information et nombre de documents de communication…Et puis, nous préparons l’automne : un nouveau rendez- vous citoyen du territoire, le travail sur la politique culturelle, un projet de catalogue de formation, le séminaire régional des Conseils de développement… Sans hésiter, nous méritons bien quelques vacances et pouvons nous souhaiter bel été et bon repos !
Jean-Louis Petermann, Président du Conseil de développement Erdre & Gesvres
L’agenda 21 local : partager la cultureLa CCEG s’est engagée dans la construction d’un agenda 21 local, au niveau communautaire. Le Conseil de Développement a été identifié comme un des acteurs de la démarche au même titre que les élus communaux et les techniciens municipaux et com-munautaires. Ainsi, nous avons été invités à participer à un stage orga-nisé sur notre territoire et dont l’ani-mation a été confiée au Centre natio-nal de la fonction publique territoriale (CNFPT).En fait, il est proposé deux niveaux de stage : l’un, court, d’une journée, est ouvert à tous ceux qui manifestent un intérêt pour l’esprit de l’agenda 21. L’autre, plus long et plus complet, est réservé aux décideurs et animateurs, membres des commissions et groupes de travail.
C’est du premier que je témoigne à travers cet article.
Je me suis ainsi retrouvé dans une salle de la maison de l’emploi de Grandchamp des Fontaines, le 29 avril au matin, accueilli par Bruno Gemin, le formateur du CNFPT. Nous étions une quinzaine de participants : élus, agents territoriaux et membres du Conseil de développement. Nous avons beaucoup appris et partagé pendant les séances de travail en sous groupe et en sommes sortis porteurs d’une nouvelle motivation. Car, comme pour beaucoup d’actions col-lectives, il importe avant de se lancer, d’échanger, de comprendre et de construire une culture commune.Un agenda 21, c’est fait de volonté et de bon sens. Cela permet très directement d’organiser les étapes du dévelop-pement durable, de lancer des consultations, de prendre des décisions collectives et de les évaluer. Chacun peut devenir contributeur et participer à ce projet qui peut sembler complexe. En effet, pour être efficace et pertinent, pour travailler ensemble à l’échelle d’un territoire, il faut bien guider et organiser. De ce fait, toute une démarche est mise en place, des analyses sont conduites, des étapes sont définies.
Jean-Louis PETERMANN
La commission communication vous souhaite de bonnes vacances
et se propose de vous retrouver à compter de la rentrée prochaine.N’hésitez pas à la rejoindre si vous souhaitez faire partager votre propre point de vue.
De gauche à droite : Marcel Josso, Jean-Louis Petermann, Jean-Yves Le Guennec, Thérèse Caillaud, Marcel Poulizac, Jacky Leroy.
1 Juillet 2010 3détailsPour plus de détails
http://www.cceg.fr/
Le compostage des déchets, pourquoi ?Les objectifs du Grenelle de l’Envi-ronnement le rappellent. Nous sommes obligés de réduire le volume de nos déchets, notam-ment en augmentant leur valorisa-tion pour atteindre 35% en 2012, puis 45% en 2015.Or, le compostage, qui concerne les déchets fermentescibles, soit 29%, peut aussi intégrer les papiers et cartons, soit 25% et l’ensemble atteint alors 54% des déchets ménagers. Il permet d’obtenir en 6 à 12 mois un produit équivalent au terreau : le compost. Les conséquences sont évidentes : réduction des quantités de déchets transportées, enfouies ou incinérées, espacement possible des collectes.
Que peut-on composter et comment ça marche ?- Des bois de taille (coupé/broyé),
des feuilles mortes, des fanes de légumes et fleurs, des épluchures de fruits, de légumes…
- Des coquilles d’œuf, du marc de café, du thé, du papier blanc, des journaux, du carton ;
- De la tonte de gazon, des restes de repas…
Le compostage est un processus de transformation des déchets par des champignons microscopiques et des vers de terre. Le résultat, après quelques mois, est un pro-duit comparable au terreau.
Les avantages du compostUn compost de qualité est un amendement organique naturel. Il
est aéré, ne sent pas mauvais, n’est pas acide et ne contient ni mauvaises graines, ni germes pathogènes.Il améliore le sol : allège les sols argileux, limite l’évaporation de l’eau et procure aux plantes tous les éléments nutritifs indispen-sables.Globalement, on estime que 10 kg de compost par m² permet de produire 10 kg de légumes !
Comment composter ?Le compostage domestique au niveau individuel ou d’un quar-tier se caractérise par un tri manuel d’une grande efficacité, pratiqué avant la collecte des ordures ménagères. Il diminue donc avantageusement le volume collecté et à traiter des déchets.Le Tri Mécano Biologique (TMB) est du domaine de la gestion industrielle des déchets. Il a lieu après la collecte des déchets ménagers. Il ne réduit donc pas le volume collecté. Par ailleurs, ce tri n’a pas la même efficacité que le tri manuel, plus fin. Il laisse passer des subs-tances nuisibles, notamment des métaux lourds.
Ne nous laissons pas envahir par le contenu de nos poubelles !
Soirée débat
Le compostage collectif, une solution réaliste, écologique et économique. La soirée, organisée par le Conseil de développement Erdre et Gesvres, le 15 juin dernier, au siège de la CCEG, a réuni une assistance attentive et avide d’informations.Les débats, conduits par Didier MENET du Conseil de développement, étaient animés par Jean Pierre MORISSEAU, Président de Compost citoyen et Pascal RETIERE, Président de COMPOSTRI, tous deux initiateurs dans le domaine du compostage et dépositaires d’une solide expérience.
Quelles sont les conséquences sociales du compostage au niveau d’un quartier, d’un hameau ou d’une commune ?- La mise en place du compostage
et son suivi sont à l’origine de réunions qui regroupent la majo-rité de la population ;
- L’organisation repose sur un réseau de bénévoles employés à l’accueil et à la manipulation ;
- Les abords des composteurs sont des espaces de convivialité et de lien social entre les générations, par les rencontres qu’ils suscitent.
Quelles pourraient être les conséquences économiques du compostage ?Une collecte des ordures ména-gères ramenée à une fois tous les 15 jours, sur le territoire de la CCEG, pourrait se traduire par une baisse des coûts de l’ordre de 375 000 Euros par an.Par ménage, une économie de l’ordre de 50 Euros par an a été réalisée à St Philibert de Bouaine.
« L’état des lieux » dans la CCEG- Les sommes perçues ne tiennent
pas compte des efforts réalisés individuellement par les usagers. Seule une redevance tenant compte des quantités collectées encouragerait les plus vertueux et inciterait les autres ;
- Le contrat d’enlèvement des déchets, passé par la CCEG avec le prestataire, doit être pro-chainement renouvelé (2012) pour cinq années : le moment est
opportun pour proposer une autre organisation incluant la mise en place d’une redevance incitative.
Des freins à l’évolution- Une structure en place, qui fonc-
tionne et ne demande pas d’ef-fort, favorisant un certain conser-vatisme chez les élus, comme chez les citoyens.
- Un habitat dispersé, favorisant les comportements individuels.
- Un système de redevance opaque.
Des facteurs favorables à une mise en œuvre- Certains secteurs d’activités
constituent des gisements pro-ductifs intéressants : cantines scolaires, restaurants d’entre-prises, centres bourgs…
- Nous disposons de retours d’ex-périences sérieux et proches. Nantes Métropole, par exemple, dispose d’une dizaine de sites
opérationnels, avec une trentaine d’autres en projet ;
- A la CCEG, qui dispose de la compétence déchets, il existe un interlocuteur.
Le moment est propice ! Nos concitoyens devront subir les conséquences de nos excès pen-dant de nombreuses décennies. Il est encore temps pour tenter d’éviter à nos successeurs d’avoir à payer très cher le cynisme de nos contemporains
Marcel POULIZAC et Jacky LEROY
URBAN-ECO / Marine Linglart-Lime 11
1 Juillet 2010 3détailsPour plus de détails
http://www.cceg.fr/
Le compostage des déchets, pourquoi ?Les objectifs du Grenelle de l’Envi-ronnement le rappellent. Nous sommes obligés de réduire le volume de nos déchets, notam-ment en augmentant leur valorisa-tion pour atteindre 35% en 2012, puis 45% en 2015.Or, le compostage, qui concerne les déchets fermentescibles, soit 29%, peut aussi intégrer les papiers et cartons, soit 25% et l’ensemble atteint alors 54% des déchets ménagers. Il permet d’obtenir en 6 à 12 mois un produit équivalent au terreau : le compost. Les conséquences sont évidentes : réduction des quantités de déchets transportées, enfouies ou incinérées, espacement possible des collectes.
Que peut-on composter et comment ça marche ?- Des bois de taille (coupé/broyé),
des feuilles mortes, des fanes de légumes et fleurs, des épluchures de fruits, de légumes…
- Des coquilles d’œuf, du marc de café, du thé, du papier blanc, des journaux, du carton ;
- De la tonte de gazon, des restes de repas…
Le compostage est un processus de transformation des déchets par des champignons microscopiques et des vers de terre. Le résultat, après quelques mois, est un pro-duit comparable au terreau.
Les avantages du compostUn compost de qualité est un amendement organique naturel. Il
est aéré, ne sent pas mauvais, n’est pas acide et ne contient ni mauvaises graines, ni germes pathogènes.Il améliore le sol : allège les sols argileux, limite l’évaporation de l’eau et procure aux plantes tous les éléments nutritifs indispen-sables.Globalement, on estime que 10 kg de compost par m² permet de produire 10 kg de légumes !
Comment composter ?Le compostage domestique au niveau individuel ou d’un quar-tier se caractérise par un tri manuel d’une grande efficacité, pratiqué avant la collecte des ordures ménagères. Il diminue donc avantageusement le volume collecté et à traiter des déchets.Le Tri Mécano Biologique (TMB) est du domaine de la gestion industrielle des déchets. Il a lieu après la collecte des déchets ménagers. Il ne réduit donc pas le volume collecté. Par ailleurs, ce tri n’a pas la même efficacité que le tri manuel, plus fin. Il laisse passer des subs-tances nuisibles, notamment des métaux lourds.
Ne nous laissons pas envahir par le contenu de nos poubelles !
Soirée débat
Le compostage collectif, une solution réaliste, écologique et économique. La soirée, organisée par le Conseil de développement Erdre et Gesvres, le 15 juin dernier, au siège de la CCEG, a réuni une assistance attentive et avide d’informations.Les débats, conduits par Didier MENET du Conseil de développement, étaient animés par Jean Pierre MORISSEAU, Président de Compost citoyen et Pascal RETIERE, Président de COMPOSTRI, tous deux initiateurs dans le domaine du compostage et dépositaires d’une solide expérience.
Quelles sont les conséquences sociales du compostage au niveau d’un quartier, d’un hameau ou d’une commune ?- La mise en place du compostage
et son suivi sont à l’origine de réunions qui regroupent la majo-rité de la population ;
- L’organisation repose sur un réseau de bénévoles employés à l’accueil et à la manipulation ;
- Les abords des composteurs sont des espaces de convivialité et de lien social entre les générations, par les rencontres qu’ils suscitent.
Quelles pourraient être les conséquences économiques du compostage ?Une collecte des ordures ména-gères ramenée à une fois tous les 15 jours, sur le territoire de la CCEG, pourrait se traduire par une baisse des coûts de l’ordre de 375 000 Euros par an.Par ménage, une économie de l’ordre de 50 Euros par an a été réalisée à St Philibert de Bouaine.
« L’état des lieux » dans la CCEG- Les sommes perçues ne tiennent
pas compte des efforts réalisés individuellement par les usagers. Seule une redevance tenant compte des quantités collectées encouragerait les plus vertueux et inciterait les autres ;
- Le contrat d’enlèvement des déchets, passé par la CCEG avec le prestataire, doit être pro-chainement renouvelé (2012) pour cinq années : le moment est
opportun pour proposer une autre organisation incluant la mise en place d’une redevance incitative.
Des freins à l’évolution- Une structure en place, qui fonc-
tionne et ne demande pas d’ef-fort, favorisant un certain conser-vatisme chez les élus, comme chez les citoyens.
- Un habitat dispersé, favorisant les comportements individuels.
- Un système de redevance opaque.
Des facteurs favorables à une mise en œuvre- Certains secteurs d’activités
constituent des gisements pro-ductifs intéressants : cantines scolaires, restaurants d’entre-prises, centres bourgs…
- Nous disposons de retours d’ex-périences sérieux et proches. Nantes Métropole, par exemple, dispose d’une dizaine de sites
opérationnels, avec une trentaine d’autres en projet ;
- A la CCEG, qui dispose de la compétence déchets, il existe un interlocuteur.
Le moment est propice ! Nos concitoyens devront subir les conséquences de nos excès pen-dant de nombreuses décennies. Il est encore temps pour tenter d’éviter à nos successeurs d’avoir à payer très cher le cynisme de nos contemporains
Marcel POULIZAC et Jacky LEROY
URBAN-ECO / Marine Linglart-Lime 11
La lettreLa lettre
L’édito du PrésidentL’édito du Président
CassonFay-de-Bretagne
Grandchamp-des-FontainesHéric
Les TouchesNort-sur-Erdre
Notre-Dame-des-LandesPetit-Mars
Saint-Mars-du-DésertSucé-sur-Erdre
TreillièresVigneux-de-Bretagne
SommaireSommaire
Ne nous laissons pas envahir par le contenu de nos poubelles
L’agenda 21 local : partager la culture
Bonnes vacances
N°9N°9
Numéro 9 - juillet 2010
Conseil de Développement Erdre & Gesvres
1, rue Marie-Curie P.A. La Grand’Haie 44119 Grandchamp-des-Fontaines Tél. 02 28 02 22 40 Fax : 02 28 02 22 47 [email protected]
Ont participé à ce numéro :
Responsable de la publication : Jean-Louis PETERMANN
Directeur de la rédaction : Jacky LEROY
Coordination de la rédaction : Commission Communication
Réalisation : Aries Computing - 02 28 02 02 91
4
Enfin, l’été s’installe et les frimas de janvier semblent lointains. Grâce aux engagements et au soutien de tous, qu’avons-nous fait depuis? Nous avons produit un avis sur la politique des déchets, des notes de synthèse complémentaires pour les conseils communautaires. Nous avons poursuivi les travaux sur le schéma de secteur, l’agenda 21, démarré les observations sur les déplacements, participé aux commissions CCSPL et CIAPH, intégré les comités de pilotage du CARLDU et de la charte environnementale de l’habitat, qui font suite à nos avis émis en 2009. Nous avons organisé deux débats d’information, sur les déplacements et le compostage. Nous avons rencontré les autres Conseils de développement, le Conseil général, le Conseil régional, renouvelé notre conseil d’administration, rencontré quatre Conseils municipaux, publié 4 lettres d’information et nombre de documents de communication…Et puis, nous préparons l’automne : un nouveau rendez- vous citoyen du territoire, le travail sur la politique culturelle, un projet de catalogue de formation, le séminaire régional des Conseils de développement… Sans hésiter, nous méritons bien quelques vacances et pouvons nous souhaiter bel été et bon repos !
Jean-Louis Petermann, Président du Conseil de développement Erdre & Gesvres
L’agenda 21 local : partager la cultureLa CCEG s’est engagée dans la construction d’un agenda 21 local, au niveau communautaire. Le Conseil de Développement a été identifié comme un des acteurs de la démarche au même titre que les élus communaux et les techniciens municipaux et com-munautaires. Ainsi, nous avons été invités à participer à un stage orga-nisé sur notre territoire et dont l’ani-mation a été confiée au Centre natio-nal de la fonction publique territoriale (CNFPT).En fait, il est proposé deux niveaux de stage : l’un, court, d’une journée, est ouvert à tous ceux qui manifestent un intérêt pour l’esprit de l’agenda 21. L’autre, plus long et plus complet, est réservé aux décideurs et animateurs, membres des commissions et groupes de travail.
C’est du premier que je témoigne à travers cet article.
Je me suis ainsi retrouvé dans une salle de la maison de l’emploi de Grandchamp des Fontaines, le 29 avril au matin, accueilli par Bruno Gemin, le formateur du CNFPT. Nous étions une quinzaine de participants : élus, agents territoriaux et membres du Conseil de développement. Nous avons beaucoup appris et partagé pendant les séances de travail en sous groupe et en sommes sortis porteurs d’une nouvelle motivation. Car, comme pour beaucoup d’actions col-lectives, il importe avant de se lancer, d’échanger, de comprendre et de construire une culture commune.Un agenda 21, c’est fait de volonté et de bon sens. Cela permet très directement d’organiser les étapes du dévelop-pement durable, de lancer des consultations, de prendre des décisions collectives et de les évaluer. Chacun peut devenir contributeur et participer à ce projet qui peut sembler complexe. En effet, pour être efficace et pertinent, pour travailler ensemble à l’échelle d’un territoire, il faut bien guider et organiser. De ce fait, toute une démarche est mise en place, des analyses sont conduites, des étapes sont définies.
Jean-Louis PETERMANN
La commission communication vous souhaite de bonnes vacances
et se propose de vous retrouver à compter de la rentrée prochaine.N’hésitez pas à la rejoindre si vous souhaitez faire partager votre propre point de vue.
De gauche à droite : Marcel Josso, Jean-Louis Petermann, Jean-Yves Le Guennec, Thérèse Caillaud, Marcel Poulizac, Jacky Leroy.
