UNE FORCE POUR LES PSYCHOSOCIAUX

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VOTRE CHOIX

D’ici quelque temps, les professionnel-les, les techniciennes et les techniciens travaillant dans les services psychosociaux, tout comme l’ensemble des employé-es du réseau de la santé et des services sociaux, auront à faire un choix important : elles et ils auront à désigner l’organisation syndicale qui les représentera au cours des prochaines années. A�n de vous aider à prendre une décision éclairée, nous vous proposons ce document qui, nous l’espérons, pourra vous guider dans votre choix.

BONNE LECTURE

ENTRE TECHNICIENNES, TECHNICIENS ET PROFESSIONNEL-LES

LA CSN REPRÉSENTE PLUS DE 120 000 MEMBRES DU RÉSEAU DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX,soit près de 47 % du personnel. De ce nombre, 24 000 professionnel-les, techniciennes et techniciens ont fait le choix de la CSN. Parmi les raisons qui les ont convaincus d’adhérer à la centrale, notons le fait qu’ils y sont

regroupés autour de leur pratique professionnelle, au sein d’une même communauté d’intérêts. Autrement dit, ils débattent ensemble des enjeux auxquels ils sont confrontés et prennent, entre eux, les décisions qui les concernent. Regroupés à la FSSS–CSN et à la FP–CSN, ils sont répartis sur tout le territoire du Québec.

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DES SERVICES DE PROXIMITÉ

ciens et des professionnel-les dans les rapports avec l’employeur et la gestion des relations de travail.

EN PLUS DES SERVICES DE PROXIMITÉ DONT ILS BÉNÉFICIENT,les professionnel-les, les techni-ciennes et les techniciens tirent bien d’autres avantages de leur adhésion à la CSN, qui est sans contredit l’organisation la mieux structurée pour les appuyer. La CSN offre des services variés, tous inclus dans la cotisation. Le personnel profession-nel et technique peut pro�ter d’un soutien constant, notamment dans les dossiers suivants :

APPUYÉS PAR LES CONSEILLÈRES ET LES CONSEILLERS DE LA CSN, qui sont présents dans toutes les régions du Québec — et non au bout d’une ligne téléphonique à Québec ou à Montréal —, les comités exécutifs sont disponibles pour répondre à vos préoccupations. Ils connaissent en profondeur les réalités des différents milieux, comprennent mieux que quiconque les dif�cultés rencontrées par leurs collègues et re�ètent leurs aspirations. Ce fonctionnement démocratique permet d’intégrer les valeurs des techniciennes et techni-

À LA CSN, CHAQUE PROFESSIONNEL ET CHAQUE TECHNICIEN sait qu’il peut compter sur un ou une collègue qui provient de son établissement pour le représenter. En effet, tous les comités exécutifs sont élus par les professionnel-les, les techniciennes et les techniciens de l’établissement local.

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NÉGOCIATION, MOBILISATION ET INFORMATION

— DES CONSEILLÈRES ET DESCONSEILLERS SYNDICAUX aguerris, présents dans toutes les régions du Québec, appuient les négociations et la vie syndicale des syndicats af�liés, en fonction des priorités que les syndicats ont eux-mêmes déter-minées de manière autonome dans leurs assemblées ; — UNE ÉQUIPE COMPLÈTE formée de conseillères et de conseillers syndi-caux à la négociation, à la mobili-sation et à l’information, ainsi que d’économistes, intervient lors de la négociation du secteur public.

SERVICES JURIDIQUES, SANTÉ-SÉCURITÉ-ENVIRONNEMENT ET DÉFENSE DES ACCIDENTÉ-ES

— LE PLUS IMPORTANT SERVICE JURIDIQUE SYNDICAL AU CANADA,composé de 30 avocates et avocats, appuie les équipes de travail lors de litiges ;— DES INGÉNIEUR-ES INDUSTRIELS, DES PSYCHOLOGUES ET DES ERGONOMESfournissent des expertises sur les conditions, les lieux et les postes de travail, et suggèrent des correctifs (équipements, postures de travail, épuisement professionnel, harcèle-ment au travail, sécurité) ;— DES CONSEILLÈRES ET DES CONSEILLERS SPÉCIALISÉS EN DÉFENSE DES ACCIDENTÉ-ES assurent une repré-sentation devant tous les tribunaux.

LUTTES DE LA CSN POUR LE PERSONNEL PROFESSIONNEL ET TECHNIQUE DU RÉSEAU

LORS DE LA DERNIÈRE NÉGOCIATION, la CSN a réussi à faire réintroduire la prime de rétention et d’attraction ver-sée aux psychologues, et à assurer sa pérennité. Par la suite, les autres organisations du Front commun ont pu béné�cier de ce gain. Tenace, la CSN est également arrivée à négo-cier une rétroactivité au 1er avril 2015 pour la prime versée aux psycholo-gues, ainsi que pour celle versée aux professionnel-les, techniciennes et techniciens œuvrant auprès d’une clientèle présentant des troubles graves de comportement. La CSN a aussi réussi à négocier la mise en place d’un comité paritaire qui sera entre autres responsable du suivi de la prime, notamment en évaluant ses effets. Nous aurons ainsi la possibilité d’évaluer l’ef�cacité de la prime avant la �n de la convention. Finalement, la CSN est toujours active au sein du groupe de travail pour la plani�cation de la main-d’œuvre des psychologues. Dans ce cadre, elle entend notamment ramener à l’ordre du jour la question de la rémunération des stages pour les doctorantes et doctorants ainsi que l’évaluation de celle proposée en pratique privée comparativement à celle offerte dans le réseau. Les actions de la CSN ont d’ailleurs porté leurs fruits, puisque le gouvernement s’est engagé, en novembre 2016, à rémunérer les stagiaires.

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DANS LE RÉSEAU DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX, les travailleurs sociaux, les édu-cateurs, les psychologues, les techniciens en travail social, les psychoéducateurs, les organisa-teurs communautaires, les crimi-nologues, jouent un rôle essentiel.

CES TECHNICIENS ET PROFESSIONNELS interviennent auprès de plusieurs clientèles issues de différents milieux, aux prises avec des dif�cultés mul-tiples : santé mentale, dépression, abus, enfants et jeunes en dif�culté, etc. Leur travail est primordial.

Au �l des ans, face aux multi-ples réformes gouvernementales, la CSN a toujours été en action pour défendre et assurer la reconnais-sance du travail des psychosociaux, et possède une expertise de longue date en ce sens. Lors de ses repré-sentations à la Table d’analyse du travail des techniciens, mise en place par l’Of�ce des professions, la CSN a été la seule organisation à livrer bataille pour démontrer la nécessité de reconnaître la compétence des techniciens en éducation spécialisée, en travail social et en intervention en délinquance. Certains programmes de formation collégiale ont été boni�és pour répondre aux nouvelles compétences requises par le marché du travail.

LUTTES DE LA CSN POUR LE PERSONNEL PROFESSIONNEL ET TECHNIQUE DU RÉSEAU

FACE À LA RÉFORME BARRETTE, la CSN a été très active pour dénoncer le transfert des différentes ressources œuvrant en CLSC vers les GMF, pour sensibiliser le public aux effets néfastes des compressions sur la population et la pratique profession-nelle dans les centres jeunesse. Diffé-rents comités de travail composés de professionnel-les, de techniciennes et de techniciens ont été mis en place pour dégager des recommandations, notamment dans les dossiers de la loi 21, des centres jeunesse et des GMF.

LA CSN, PAR L’ENTREMISE DE SES DEUX FÉDÉRATIONS EN SANTÉ, LA FP–CSN ET LA FSSS–CSN, détient une expertise unique pour soutenir les membres du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux. La FP–CSN et la FSSS–CSN possè-dent un plan de travail commun sur un ensemble de dossiers politiques touchant le réseau de la santé et des services sociaux, alimentant ainsi les travaux de la CSN. Cette expertise unique lui permet d’être l’organisation la plus crédible et la plus in�uente dans le réseau de la santé et des services sociaux, pour les représenter et défendre leurs intérêts. La valorisa-tion de leur travail, la représentation de leur réalité professionnelle, la défense de l’autonomie profession-nelle, tout comme l’importance de leur rôle à l’intérieur d’un réseau public fort, sont quelques-uns des enjeux défendus par la CSN auprès de toutes les instances. Plus que quiconque, la CSN se bat pour une reconnaissance des services psychosociaux dans le réseau public. Elle dénonce les

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coupes budgétaires imposées aux services sociaux, mais aussi l’alour-dissement de la tâche ainsi que l’épuisement du personnel. Très active dans les projets de réorganisa-tions du travail pour contrecarrer les prétentions de �rmes privées, la CSN s’élève aussi contre la centralisation abusive imposée par la réforme Barrette et orientée vers les centres hospitaliers, au détriment des ser-vices sociaux. À ce titre, la CSN lançait au prin-temps 2016 sa campagne Ma place en santé, j’y tiens, visant à mettre en échec la vaste réforme engagée par le Dr Barrette et la privatisation des services qui mettent à mal notre réseau public universel de santé et de services sociaux.

DÉCIDER POUR SOILA VÉRITABLE AUTONOMIE

LES TECHNICIENNES, LES TECHNICIENS ET LES PROFESSIONNEL-LES DE LA CSN ont choisi l’autonomie, une valeur précieuse qu’aucune autre organi sa-tion syndicale n’est en mesure d’offrir. Entre eux, ils règlent des questions aussi primordiales que le fonctionne-ment du syndicat, le montant de la cotisation, l’adoption et le contrôle du budget, l’élaboration et l’adoption de la convention collective. L’infor-ma tion transmise et les échanges constants entre les membres leur per-mettent de débattre et de s’appro-prier les différents enjeux. C’est ce qui fait la force des syndicats CSN.

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LA CSN À LA DÉFENSE DE NOS CONDITIONS DE TRAVAIL

que dans la mobilisation. C’est grâce à la détermination de la CSN que la partie patronale a retiré l’ensemble de ses demandes de reculs aux tables de négociation sectorielles.

C’est grâce à notre ténacité que nous avons su protéger les droits des techniciennes, des techniciens et des professionnel-les de la santé et des services sociaux sur des ques-tions comme l’assurance salaire, la mobilité du personnel, les mesures d’attraction et de rétention, les absences et les congés.

C’est aussi à nos tables secto-rielles que plusieurs gains ont été obtenus. Parmi ceux-ci, mentionnons : — LA CRÉATION D’UN COMITÉ LOCALd’amélioration continue (CLAC), a�n d’améliorer à la fois la qualité des services aux usagers et la qualité de vie au travail (organisation des services, charge de travail, pratique profession-nelle et transfert d’expertise) ;— UN MONTANT pouvant aller jusqu’à 0,5 % de la masse salariale consacré à la pratique professionnelle, soit le double des autres organisations ;— UNE AUGMENTATION concrète du nombre de postes à temps complet avec pour cible minimum une propor-tion de 60 % ; — LA RECONDUCTION des primes pour les salarié-es œuvrant auprès de clientèles présentant des troubles graves de comportement et celles et ceux travaillant dans le Grand Nord ;

C’est la CSN qui représente le plus grand nombre de salarié-es du secteur public. C’est elle qui, en 1972, a mis en œuvre le Front commun et qui a obtenu les �eu-rons de nos conventions collec-tives, notamment : — la création de la

notion de poste ;— la sécurité d’emploi ;— le régime de retraite ;— les congés de maternité

et parentaux ;— un mois de vacances

après un an ;— l’arbitrage médical

en cas d’invalidité.

NÉGO 2015 SE REGROUPER À LA CSN POUR UNE NÉGOCIATION ENTRE NOS MAINSLa dernière négociation du secteur public a donné lieu à une grande mobilisation des techniciennes, des techniciens et des professionnel-les de la CSN. Si cette négociation n’a pas permis d’atteindre tous les objectifs que nous poursuivions en Front commun, elle a démontré que c’est en étant à la CSN que l’on peut obtenir le plus de gains et avoir le plus d’emprise sur notre négociation.

Tout au long de la négociation, la CSN a joué un rôle d’avant-plan, aussi bien aux tables de négociation

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supplémentaires qui pro�teront à l’ensemble des techniciennes, des techniciens et des professionnel-les. Cette détermination a permis d’aller chercher plus de 80 millions supplé-mentaires pour les membres de la CSN, soit : — UNE RÉTROACTIVITÉ au 1er avril 2015 pour la prime des psychologues, la prime des techniciennes, des techniciens et des professionnel-les œuvrant auprès d’une clientèle présentant des troubles graves du comportement (TGC) et de celles et ceux œuvrant dans le Grand Nord ; — UNE CONTRIBUTION supplémentaire à l’assurance collective de 14,5 millions de dollars par année pour les membres de la CSN. Les membres des autres organi-sations syndicales ont pu béné�cier par la suite des gains obtenus par la CSN !

Face à des gouvernements qui pro�tent de chaque négociation pour s’en prendre aux conditions de travail des techniciennes, des techniciens et des professionnel- les du réseau, la meilleure solu-tion demeure de se regrouper au sein de l’organisation syndicale la plus combative et la plus repré-sentative, la CSN.

— UNE MEILLEURE DÉFENSE de la sécurité d’emploi des techniciennes, techniciens et des professionnel-les ; — UN CONGÉ D’UNE À HUIT SEMAINES aux �ns de conciliation famille-travail-études avec étalement du salaire ;— UNE RECONNAISSANCE DU RÔLEfondamental des techniciennes, des techniciens et des professionnel-les dans les projets de réorganisation du travail ;— DES MESURES POUR CONTRERla privatisation sous diverses formes, notamment la sous-traitance, les contrats à forfait et les partenariats public-privé (PPP) ; — DES MESURES POUR AMÉLIORERla prévention en santé et sécurité du travail. Parmi les autres gains de cette négociation, mentionnons : — DES AUGMENTATIONS SALARIALESmoyennes de 2,4 % en 2019 pour le personnel du secteur public en raison des travaux de relativité salariale ;— L’AJOUT DE LOCALITÉS qui seront touchées par la question des dispa-rités régionales. En outre, la prime de rétention de 8 % de la Côte-Nord a été maintenue alors que la partie patronale souhaitait l’abolir. Et c’est à la CSN que nous avons eu l’occasion de tenir un réel débat sur l’entente de principe. En décidant de poursuivre la négocia-tion, nous avons obtenu des gains

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ÉQUITÉ SALARIALE

C’est depuis le milieu des années 80 que la CSN mène la bataille de l’équité salariale. Au �l des ans, elle a consacré d’importantes res-sources pour faire cesser la discri-mination envers les femmes, jusqu’à l’adoption de la Loi sur l’équité salariale en 1996. Depuis ce temps, elle lutte ardemment pour le maintien de l’équité salariale.

EN 2008, la CSN est seule à déposer des plaintes de maintien de l’équité salariale dans toutes les catégories de personnel du réseau de la santé et des services sociaux.

EN 2013, elle parvient à une entente qui entraîne des hausses impor-tantes de la rémunération pour des titres d’emploi représentant les techniciennes, les techniciens et les professionnel-les de la santé :

— LES PSYCHOLOGUES obtiennent un ajustement salarial de 4,02 %, rétroac-tivement au 31 décembre 2007, et un autre ajustement de 4,92 %, rétroacti-vement au 1er janvier 2011.

EN 2010 ET 2015, d’autres plaintes sont déposées à la suite de l’exer-cice de maintien de l’équité sala-riale du Conseil du trésor. La CSN poursuit actuellement des démarches pour obtenir une rétroactivité avant cette date. Les démarches sur les plaintes pour l’exercice de maintien de l’équité salariale de 2010 et de 2015 se poursuivent actuellement et plusieurs titres d’emploi de techni-ciennes, de techniciens et de profes-sionnel-les sont concernés.

TOUJOURS VIGILANTE, LA CSN livrera les batailles nécessaires pour que le maintien de l’équité salariale s’applique à toutes et à tous.

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POURQUOI LA CSN ?

MÉLANIE VEILLEUXTechnicienne en travail social CSSS Pointe-de-l’Île

«Cela fait déjà 12 ans que j’occupe mon poste de technicienne en travail social au soutien à domicile. La CSN nous a aidés à gagner plusieurs batailles dont celle de la performance que l’employeur nous imposait par l’entremise d’une �rme privée externe PROACTION, qu’il avait embauchée. Pour moi, la CSN, c’est un rapport de force qui nous aide à maintenir nos acquis et à faire respecter nos droits en tant que professionnel-le. Avec la venue du CIUSSS, je trouve d’autant plus essentiel d’avoir ce rapport de force où nous nous devons d’être solidaires entre établis-sements a�n de pratiquer un travail que nous aimons dans les meilleures conditions possibles et dans un

climat de travail sain. J’ai toujours eu con�ance en la CSN où nous sommes représentés par des gens dévoués qui ont à cœur nos causes et nos luttes, puisque nos représentants sont des gens de terrain. Ils possèdent une forte expertise, car ils sont présents dans le réseau de la santé depuis plus de 50 ans. Ils nous tiennent rapidement informés à travers le site Internet, les publications (comme les journaux syndicaux) et les assemblées où nos représentants locaux sont pré-sents. Selon moi, il est essentiel que nous soyons solidement représentés et appuyés devant ce gouvernement qui ne cesse de vouloir privatiser notre réseau public. C’est avec la CSN que je veux poursuivre cette bataille, et la gagner, a�n de préserver des services publics de qualité pour la population, mes proches et peut-être pour moi-même ! »

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n.DES SYNDICATS COMPOSÉS DE PROFESSIONNEL-LES, DE TECHNICIENNES ET DE TECHNICIENS pour discuter des questions qui les touchent et pour prendre, entre eux, leurs propres décisions.

DES SERVICES DE PROXIMITÉ assurés par une présence sur le terrain de délégués et de conseillers qui connaissent votre réalité et qui offrent des réponses rapides à vos demandes.

UNE CONNAISSANCE APPROFONDIE DE TOUTES LES COMPOSANTES DU RÉSEAU, puisque la CSN représente l’ensemble des professions dans toutes les missions et dans toutes les régions du Québec.

LA VALORISATION DE VOTRE PROFESSION en vous assurant un accès à la formation et au perfectionnement.

UNE AUTONOMIE INÉGALÉE pour défendre vos priorités locales.

LA FORCE D’UNE GRANDE ORGANISATION qui vous offre des services de pointe partout au Québec, mais aussi une voix pour porter vos préoccupations et défendre vos intérêts.