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Trimestriel gratuit, par et pour les habitants de la Roseraie Le numéro 42 de votre journal paraîtra vers le 20 mars 2011. Nous vous remercions de bien vouloir déposer vos articles, photos, dessins avant le 12 janvier au CUCS (contrat urbain de cohésion sociale) : 3 rue André Maurois. tél : 02 41 66 02 61 / fax : 02 41 66 02 64 E-mail : [email protected] ; [email protected] décembre 2010 n° 41

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Trimestriel gratuit, par et pour les habitants de la Roseraie

Le numéro 42 de votre journal paraîtra vers le 20 mars 2011. Nous vous remercions de bien vouloir déposer vos articles, photos, dessins

avant le 12 janvier au CUCS (contrat urbain de cohésion sociale) : 3 rue André Maurois. tél : 02 41 66 02 61 / fax : 02 41 66 02 64

E-mail : [email protected] ; [email protected]

décembre 2010 n° 41

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Actualité

2

Éditorial

Sommaire

Actualité

2 Editorial.

Chauffage urbain

3 Courrier des lecteurs »

Dépôt de vêtements à la Régie de

quartier

4 Octobre rose en Maine et Loire

Vie du quartier

5 Les agents territoriaux au service de

la Roseraie

6 Education canine

Portail internet,

Réouverture de la bibliothèque

7 Ludothèque angevine

Fête de quartier

8 Loisirs : chant, gymnastique et foot

ball

9 Echos de la fête de Salpinte.

Magazine

10 Vacances de Noël imprévues

11 Histoires de rues.

C ela fait dix ans que La Roseraie a la parole !

Oui, tout un chacun a droit à la parole, et votre

journal de quartier vous permet de vous exprimer

depuis dix ans déjà.

Alors, n'hésitez pas, profitez-en ! Il faut que cela puisse

intéresser le plus grand nombre. Sachez que cela ne parai-

tra que trois mois après.

Evidemment, tout ce qui touche le quartier passera en

priorité. Pensez aussi au portail Internet du quartier, pour

annoncer un évènement, par exemple.

Nous avons une chance inouïe d'avoir cet outil de commu-

nication presque instantané, spécialement pour notre quar-

tier !

Un bon complément à ce journal, qui met du temps à pa-

raitre et à arriver dans nos boites aux lettres.

C'est quand même un privilège de recevoir chez soi

gratuitement ces feuilles luxueusement imprimées par

l'imprimerie municipale sur du beau papier glacé, ras-

semblées et patiemment encartées pour former un jour-

nal plein d'infos et d'articles divers dans une mise en

page assez bien réussie, et sans annonces publicitaires !

Même s'il y a eu quelques couacs ces dernier temps,

dus à quelques défections, les équipes de bénévoles ont

fait du bon boulot, seulement c'est un peu pareil par-

tout, il faut maintenant une relève.

On a besoin de vous pour collaborer à la fabrication et

à la distribution du journal dans les boites aux lettres.

Pensez à envoyer des reportages, articles, recettes, poè-

mes, infos concernant votre association, avec des illus-

trations, faites-nous part de vos désirs ou de vos criti-

ques, nous en tiendrons compte. Michel Ardouin

Chauffage urbain

de La Roseraie

Echéancier des travaux

Biopole

prendra le relais de l'usine d'incinération pour le

traitement des déchets dès janvier 2011.

Printemps 2011 :

Arrêt définitif de l’usine d’incinération.

Une chaufferie biomasse prendra le relais.

Passage en basse pression en été 2011.

Les travaux dureront d’avril à septembre, avec de

coupures les plus courtes possible pour ne pas gêner

les usagers.

La chaufferie d’appoint de secours basse pression

gaz+fuel sera en construction le premier semestre

2011 et toutes les démarches seront faites auprès des

syndics…

Michel Ardouin

Page 3: la_roseraie_a_la_parole_41

Actualité

3

L e partenariat entre la Régie

de quartiers d’Angers et Api-

vet, initié en septembre der-

nier facilite et sécurise le

recueil de vos dons dans un lieu d’ac-

cueil Régie.

Ceci dans trois quartiers de la ville :

Monplaisir, Hauts de St Aubin et la

Roseraie

Au cœur de la Roseraie,

Chaque mercredi matin, de 9h00 à

12h30, l’agent d’accueil de l’antenne

Régie reçoit les sacs de vêtements en

accord avec l’association Api-

vet, au 7 de la rue André Mau-

rois.

Sachez que vous pouvez appor-

tez aussi chaussures, maroqui-

nerie, linge de maison et jouets

usagés. Tous ces objets sont

recyclés et valorisés.

Les personnes qui se déplacent

à l’antenne Régie apprécient

d’avoir un accueil et un lieu de

collecte à proximité de chez

elles.

Vous aussi participez au déve-

loppement de l’économie soli-

daire. Vous contribuerez ainsi

au maintien d’une filière locale

de réinsertion professionnelle et

sociale.

Pour en savoir plus : vous pou-

vez joindre

le siège de la Régie

de quartiers d’Angers

au 02 41 34 29 15

ou celui d’APIVET

au 02 41 60 88 00

Nouveau : Un point de dépôt de vêtements

au cœur du quartier

L

a notion de beauté est souvent subjective.

Elle varie en fonction des époques, des cultures et des

goûts de chacun.

Elle est souvent un critère de choix mais elle n’est pas le

seul.

Il me semble que pour faire partie du patrimoine, une œu-

vre doit nous apprendre quelque chose, nous intriguer,

parler à notre imagination, susciter des questionnements,

voire nous choquer, mais surtout elle doit être un témoi-

gnage du passé, le rendre présent et visible aux hommes

d’aujourd’hui.

Il me semble qu’un immeuble HLM peut tout à fait répon-

dre à ces critères. Il peut être conservé au même titre qu’un

château Renaissance, une bourrine Vendéenne, la Tour

Eiffel ou la Cité radieuse de Le Corbusier.

Une barre HLM est le témoignage de l’époque de recons-

truction de l’après-guerre, des progrès accomplis dans le

confort de l’habitat, des avantages et des inconvénients

pour la vie des gens qui l’occupent. C’est un témoignage

du passé dont nous devons tirer des leçons pour le présent.

Merci pour votre petit journal que j’apprécie beaucoup.

Anne-Marie

Courrier des lecteurs

Une de nos lectrices, et nous la remercions, nous fait part de ses réflexions suite à la question posée

dans notre dernier numéro, relative à la notion de patrimoine, réflexions fort intéressantes :

Page 4: la_roseraie_a_la_parole_41

Actualité

4

Une grande opération de communication a eu lieu dans

notre département comme dans 48 autres départements.

Elle est initiée par les Comités féminins pour la

Prévention et le Dépistage des cancers.

C'est la 1ère fois que le Maine-et-Loire participe à cette

opération "Octobre Rose" puisque notre comité

départemental vient d'être créé.

Le mois d'octobre est au niveau national le mois de

sensibilisation à la lutte contre le cancer du sein :

« Suivez la Baguette » est une opération initiée par les Co-

mités Féminins pour la Prévention et le Dépistage des can-

cers qui ont choisi un mode de sensibilisation original : la

baguette de pain !

L'objectif est d'inciter les femmes à participer davantage

au dépistage organisé pour le cancer du sein qui est le can-

cer le plus fréquent chez les femmes. Le cancer du sein

est un véritable fléau de santé publique. Il est la 1ère cause

de mortalité par cancer chez les femmes.

On dit qu'en France, une femme sur huit a eu, a, ou aura

un cancer du sein. Un cancer découvert au début de son

évolution a 90 % de chance de guérison, d'où l'importan-

ce d'un dépistage précoce.

Dans le département de Maine-et-Loire :

36 000 dépistages sont réalisés par an pour un taux de par-

ticipation de 70 % des femmes environ alors que dans le

reste de la France il est moindre. Nous sommes un dépar-

tement pilote et le but est d'améliorer encore ce taux de

participation.

Au cours de ces dépistages organisés, 240 cancers sont

détectés sur les 450 cas de cancers du sein diagnostiqués en

Maine-et-Loire et 7 % de cancers sont découverts au cours

de cette 2ème lecture.

Plus de 600 000 sachets de baguettes on été distribués au

cours du mois d'octobre dans le département par 250 bou-

langers participant à l'opération et ces sachets portent

deux messages de prévention imprimés en lettres roses :

« Le dépistage organisé ? C’est une mammographie prise

en charge à 100 %, avec une double lecture, deux avis

valent mieux qu'un »

« Le dépistage organisé du cancer du sein : dès 50 ans,

c'est tous les 2 ans »

Le Comité Féminin de Maine-et-Loire pour la Prévention

et le Dépistage des Cancers a pu compter sur l’aide de la

Fédération Départementale de la Boulangerie et de la

Boulangerie-Pâtisserie ainsi que sur le soutien de l’asso-

ciation Cap Santé 49, centre de coordination des dépista-

ges des cancers. «Les boulangeries sont des lieux où le contact est très important.

Les échanges quotidiens avec la clientèle nous amènent à parler de

santé. Il était évident pour les boulangers et les boulangères de

Maine-et-Loire d’accepter de transmettre ces messages de préven-

tion. Nous sommes heureux de participer à cette campagne pour

la 1ère année. » annonce Monsieur Courant, représentant le

Président de la Fédération Professionnelle de la Boulange-

rie et de la Boulangerie-Pâtisserie de Maine-et-Loire.

Au total, 644 000 sachets de baguettes, portant des mes-

sages de prévention ont été distribués dans le département

de Maine-et-Loire pour la 1ère fois durant ce mois d’octo-

bre pour inciter les femmes à se faire dépister et à devenir

des relais de ces messages de prévention.

Contacts :

Marie-Christine Laffinneur,

présidente du Comité Féminin de Maine-et-Loire,

06.88.46.77.63

Muriel Chatokhine,

secrétaire générale du Comité Féminin de Maine-et-Loire,

06.76.34.88.08

Informations complémentaires sur :

www.e-cancer.fr

www.comitesdepistagecancers.fr

www.capsante49.fr

De gauche à droite :

Monsieur Courant de la Fédération

Professionnelle de la Boulangerie et de la

Boulangerie-Pâtisserie de Maine-et-Loire,

Monsieur et Madame Foucher, propriétaires

de la boulangerie l’Armoire à Pains à Angers

participant à cette opération de

communication,

Madame Laffineur, présidente du Comité

Féminin de Maine et Loire pour la Prévention

et le Dépistage des Cancers et Monsieur

Maugin, président de l’association des

dépistages des cancers :

Cap Santé 49

Dépistage du cancer

Octobre Rose en Maine-et-Loire

Page 5: la_roseraie_a_la_parole_41

Vie du quartier

5

J e suis certain que vous les avez déjà rencontrés,

soit au guichet du Relais Mairie , soit à la halte-

garderie ou tout simplement dans le quartier. Je

veux parler des agents municipaux, qu’il est d’ail-

leurs plus correct d’appeler agents territoriaux.

Combien sont-ils à être spécifiquement attachés au quar-

tier de La Roseraie ?

Allez, dîtes un chiffre (le nombre exact est donné sous la

signature de l’article).

Vous êtes sans doute surpris par l’importance de cet effec-

tif lequel dépend en majeure partie, soit directement de la

Mairie, soit du Centre Communal d’Action Sociale

(C.C.A.S) ou encore de la Communauté d’agglomération.

Et encore ne sont pas prises en compte les deux cents per-

sonnes du Centre Technique de l’Environnement, près de

l’usine d’incinération, qui assurent la collecte des ordures

ménagères ou circulent dans les voiturettes de propreté.

Sur le total de 391, 231 personnes sont consacrées

au secteur Educa-

tion-Enfance :

Les tâches y sont

multiples, allant de

la restauration sco-

laire à l’assistance

en milieu scolaire

en passant par les

crèches ou l’anima-

tion du temps péris-

colaire. La Roseraie

est en effet un quar-

tier où les enfants et

adolescents deman-

dent beaucoup d’at-

tention. C’est aussi

pourquoi vingt et

un permanents se

retrouvent à l’en-

semble Sports -

Loisirs pour la pis-

cine et la salle de sports.

Soigner le cadre de vie est également une préoccupation

constante pour les concierges des écoles et agents d’entre-

tien, au nombre de trente deux.

Dans le même esprit, trois agents à vélo veillent à la Sécu-

rité et à la Prévention par une surveillance de la voie publi-

que. Quant aux vingt quatre jardiniers qui ont en charge

les espaces verts du quartier ils ne font pas que ramasser

les feuilles mortes. Non, il leur faut définir les végétaux

destinés aux massifs, ronds-points ou autres lieux, mettre

en culture, puis disposer et entretenir les plantes.

Cinquante trois agents dépendent, uniquement pour notre

quartier, du Centre Communal d’Action Sociale, les

seniors constituant une part assez importante de la popu-

lation de La Roseraie. Ainsi, vingt huit aides à domicile

assurent un confort journalier aux habitants pour les cour-

ses, le ménage ou le portage des repas. Par ailleurs, le fonc-

tionnement de structures telles que l’espace du Bien Vieillir

Robert Robin, le Centre d’Information pour la Gérontolo-

gie (C.L.I.C) et le Relais-Accueil Jean Vilar nécessitent

respectivement la présence de treize et sept permanents.

Même si, du fait de sa grande population, il a toujours

demandé une attention particulière, notre quartier a été

déclaré prioritaire il y a environ douze ans. Avec les res-

sources financières qui ont suivi la municipalité a pour-

suivi deux objectifs :

D’abord être en contact plus étroit avec la popula-

tion.

En effet augmenter les moyens est insuffisant s’il n’existe

pas une coordination entre les différents intervenants.

C’est, depuis 2007, le rôle du Pôle Territorial, établi sur

place, où cinq personnes créent du lien entre les services et

aussi entre les habitants et les institutions. C’est par exem-

ple ce qui se fait quand, hors des bureaux, des barnums

sont installés en pied d’immeuble pour établir une ren-

contre directe.

L’autre but poursuivi est d’éviter que le quartier ne se

renferme sur lui-même. La Roseraie fait partie de la Ville

et c’est pourquoi certaines structures ou associations dé-

passent le cadre local comme Angers-Gymnastique ou le

Service Educatif du Patrimoine dont nous parlions dans le

dernier journal. Claude Boissenot

(391)

Au service de la Roseraie :

les agents territoriaux

Page 6: la_roseraie_a_la_parole_41

6

Vie du quartier

Education canine

« Un bon maître fait un bon chien »

L

a Régie de quartiers d’Angers a créé en partenariat

avec la ville d’Angers le service Education Canine.

Ce service existe depuis maintenant douze ans.

La seule obligation pour accéder aux cours est d’habiter un

des cinq quartiers suivants : Belle-Beille, la Roseraie, Ver-

neau, Monplaisir, et Grand Pigeon.

Deux éducateurs canins se partagent ces cinq

quartiers. Ce service est proposé aux habitants

pour la gestion de leur animal et le mieux vivre

ensemble.

Nous vous proposons :

1 - Entretien cynophile (test de comportement).

2 - Obéissance de base, leçon individuelle d’une

demi-heure :

Suite au pied

Positions : assis- couché- debout

Pas bouger

Rappel

3 - Cours de sociabilité, environ une demi-heure

avec plusieurs chiens

4 - Cours collectifs/ballades collectives, ¾ d’heu-

re, deux fois par semaine. Soit le lundi à18h sur

un des cinq quartiers et le vendredi à 16h à Belle

Beille.

5 - Agility Dog : C’est un sport canin qui mélan-

ge obéissance, détente et loisirs entre le maître et

le chien.

Pour tous renseignements, n’hésitez pas à nous

contacter :

Dans les antennes de la Régie de quartiers d’Angers, au-

près des agents d’accueil :

antenne La Roseraie au 02 41 47 30 20, Embarek

antenne Belle Beille au 02 41 35 00 52 , Messaouda

antenne Grand Pigeon au 02 41 05 11 06, Gisèle

auprès d’Angélique Régnier (Educatrice canine)

au 06 26 10 41 09

Nouveau portail

Internet du quartier

T out évolue, se rénove et se modernise à la Roseraie.

Il en va de même pour le site internet du quartier,

dont on attend une nouvelle version, plus claire, plus

facile à utiliser et avec de nouvelles fonctionnalités.

Pour l’instant, on ne peut guère en dire plus : ce sera la

surprise pour 2011, le webmaster et les bénévoles y tra-

vaillent.

D’ailleurs, à ce propos, nous faisons appel aux bonnes

volontés :

au comité de rédaction, nous ne sommes pas nombreux,

alors ceux ou celles qui veulent s'impliquer pour couvrir

les évènements et faire des petits reportages de temps en

temps sont les bienvenu(e)s. Michel Ardouin

Réouverture

de la bibliothèque

F ermée depuis juin 2009, la bibliothèque Jean

Vilar rouvrira ses portes le 28 mai 2011, rajeunie

et en offrant davantage de services.

Les locaux seront rénovés avec création d’espaces de

convivialité et d’une salle de projection, l’offre vidéo

sera développée et l’offre wi-fi augmentée. Le person-

nel passera de quatre à six personnes.

Pour satisfaire de plus nombreux d’usagers, la plage

horaire sera élargie : ouverture le mardi jusqu’à 19h

et journée continue le samedi de 9h30 à 17h30.

La ludothèque est destinée aussi à émigrer vers le

Centre Jean Vilar à partir du mois de mai.

Rendez-vous en mai dans des locaux tout neufs !

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Vie du quartier

7

D ès à présent, nous pouvons d’ores et déjà vous

communiquer la date de la fête de quartier :

« Le monde en fête » aura lieu

le samedi 28 Mai 2011

Associations du quartier, professionnels, bénévoles et habi-

tants se mobilisent ensemble pour organiser cette manifes-

tation et vous proposer un temps festif et convivial, de ren-

contres et d'échanges sur le quartier!

Cette année, le monde en fête

nous embarque

vers le futur !

Alors, si vous avez des idées, des envies, si vous souhaitez

participer d’une manière ou d’une autre à cet évènement,

vous pouvez nous contacter au 02 41 68 92 50.

A très bientôt et surtout n'hésitez pas à nous contacter si

vous souhaitez de plus amples renseignements:

02 41 68 92 50

Fête de quartier de la Roseraie

La ludothèque angevine

Jeux sur place ou à emporter, animations extérieures.

C ’est souvent par le jeu qu’un enfant se cons-

truit, intègre des règles et s'ouvre aux autres.

Les ludothèques municipales ou associatives

sont de véritables lieux d’accueil parents/

enfants. Ils contribuent à la communication et aux

échanges au sein de la famille. Ils permettent aussi la

découverte et l’emprunt de jeux par tous, enfants, jeunes

et adultes

Au 25 de l’avenue Jean XXIII ;

vous avez l’opportunité de fré-

quenter une des ludothèque

d’Angers :

voici un espace récréatif

géré par les bénévoles de

l'association qui permet

aux familles de passer de

bons moments avec

leurs enfants, avec des

jeux pour s'amuser sur

place ou à emporter.

Plus de 4000 jeux

(adresse, construction, stra-

tégies, cartes…) disponibles

et convenant à tous les âges.

Ouverte aux collec-

tivités, la ludothè-

que se déplace par-

fois lors de manifes-

tations municipales

ou dans le départe-

ment.

Accueil tout public : le mercredi de 9h30 à 12h et de 14h

à 18h, le jeudi de 16h30 à 18h30, le samedi de 14h à 17h.

Accueil de groupes sur rendez-vous : le mardi de 9h30 à

12h et de 14h à 16h, le jeudi de 9h30 à 12h, le vendredi

de 9h30 à 12h.

Location jeux : 1 euro le jeu pour 15 jours.

La ludothèque organise aussi des soirées jeux pour les

adolescents et les adultes le premier vendredi du mois à

partir de 20h : 1 euro pour les non adhérents, gratuit

pour les adhérents.

Adhésion familiale : 16 euros Angers, 20 euros hors An-

gers ;

Collectivités : 40 euros Angers, 45 euros hors Angers.

Ludothèque angevine, 5 avenue Jean XXIII, 02 41 47 11 92

Seconde adresse au centre de Monplaisir,

3 rue de l'Écriture (Maison pour tous), 02 41 34 71 87

Page 8: la_roseraie_a_la_parole_41

8

Vie du quartier

Vous aimez chanter ?

Alors…venez nous rejoindre le jeudi soir de

20h à 22h à l’école Marcel Pagnol (37, rue

de Salpinte).

Vous découvrirez et partagerez le plaisir de

chanter « ensemble » au sein de la chorale

« la Rose des vents ».

Qui sommes-nous ?

52 choristes dirigés par une chef de chœur

compétente et dynamique et accompagnés

par un pianiste professionnel .

Que chantons-nous ?

Essentiellement des chansons contemporaines (C.Maé,

Zazie, Ferrat, J.Hallyday, Brel…) parfois, quelques mor-

ceaux classiques (Haendel, Mozart…) , du folklore étran-

ger…

Vous êtes tentés ?

N’hésitez pas à franchir le pas, même si vous n’êtes pas un

virtuose !!!

Si vous voulez vous faire une idée avant de vous engager,

vous pouvez assister à une répétition.

Pour tout contact, appelez le 02 41 47 42 62

des loisirs pour tous

Chant : la Rose des vent

Envie de bouger ?

Venez nous rejoindre ! Gymnastique d’entretien pour

adultes –ouvert à toutes et à tous

(ASPTT-Angers)

Cinq séances de gym dynami-

que/renforcement musculaire et

deux séances de gym douce par

semaine pour un tarif annuel de

110 euros donnant accès aux huit

séances.

Cours sur le quartier !

Renseignements :

Asptt 35 rue de l’Enfer :

02 41 68 3359

ou 02 41 68 46 14

Site web :

www.angers.asptt.com – courriel :

[email protected]

Un nouvel horizon

pour l'Asptt Football : Le club profondément attaché à sa

vocation sociale sur le secteur à

intégré le stade de la Roseraie cou-

rant septembre , afin de le redyna-

miser la jeunesse du quartier Sud .

Ce changement marquera ainsi le

développement des catégories jeu-

nes .

Dès à présent quarante jeunes de

cinq à douze ans issus du quartier

s'entrainent tous les mercredis de

10h à 12h sous la responsabilité de

trois éducateurs diplômés .

Contact :

Julien Chailland

au 06 84 96 75 32

Gymnastique et football à l’ ASPTT

Page 9: la_roseraie_a_la_parole_41

9

Vie du quartier

V oici, résumé par un nouvel habitant des Caléï-

des, l’impression d’un bon nombre de person-

nes qui se sont déplacées sur la plaine de jeux

Marcel Pagnol, ce samedi 25 septembre 2010.

Pour la troisième année consécutive, cette fête est préparée

par les habitants de Salpinte, l’Ilot vert et les Caléïdes où

chacun est invité à apporter sa contribution selon sa dispo-

nibilité et son savoir faire. Par exemple la belle et originale

affiche, annonçant la fête, a été dessinée par Nicole, loca-

taire dans un immeuble de Salpinte.

De multiples animations se sont déroulées à partir de 14h.

Défilé en musique dans le quartier, mini puces avec 22

exposants, jeux et ateliers divers pour les enfants de tous

âges. Les stands boissons, frites, gaufres, gâteaux ont aussi

été appréciés, sans oublier « la barbe à Papa »

Le groupe « La marmite à Roselyne » avec sa dizaine

de jeunes musiciens et chanteurs ne ménagea pas ses ef-

forts pour que cette fête soit chaleureuse, avec des airs de

musique d’Europe centrale et des chansons Tziganes.

Le réchauffement climatique aidant, on aurait pu penser

que la température fut plus agréable, notamment en soirée

au moment où quatre vingt dix convives du quartier se

mettaient à table sous le barnum et les petites tentes rap-

prochées, à l’abri du vent frais.

Jean Louis, chanteur accordéoniste, sut nous réchauffer le

cœur par des refrains connus de tous en invitant chacun à

chanter et à exprimer le plaisir d’être ainsi réunis.

Les clés de la réussite :

- Un groupe d’une vingtaine de personnes du quartier, ou-

vert et déterminé à participer « au mieux vivre ensemble »

et agissant au sein de la nouvelle association « Salpinte

sans frontière ».

- Des partenaires fidèles : les associations d’habitants des

quartiers voisins, le Centre Jean Vilar et ses animateurs, les

services de la Ville dont le soutien du Contrat Urbain de

Cohésion Sociale.

- Des habitants nombreux qui, heureux de cette initiative

annuelle, tiennent à faire un tour à la fête ou même à y

passer toute l’après midi et soirée.

Afin que cette fête de l’ « été de la Saint Michel » puisse

continuer dans des conditions aussi agréables, toutes les

bonnes volontés et de tous les âges sont les bienvenues.

Nous sommes également à la recherche d’idées nouvelles

pour l’égayer et éviter la monotonie.

A l’année prochaine !

Contact : Jean Coreau au 02 41 79 01 62

Véronique, Gilbert et Jo

Echos de la fête de Salpinte en septembre dernier

« Une fête comme ça s’est vraiment sympa,

j’aurais bien aimé que dans mon ancien quartier ça existe »

Page 10: la_roseraie_a_la_parole_41

Magazine

10

O n la connaît bien Monique Richou dans le quar-

tier, peu bavarde mais avec toujours un sourire

aimable quand on la croise.

Ancienne institutrice, elle sait fermement calmer disputes

et bousculades des enfants en bas de l’immeuble.

D’ailleurs, ils savent qu’ils peuvent sonner à sa porte lors-

qu’ils ont oublié leur clé et commencer leurs devoirs dans

sa salle de séjour. Une grande carte du monde occupe un

des murs avec les photos de divers pays envoyées par son

fils.

Ses plus proches voisins du « troisième » sont devenus ses

amis : une famille de Wallis (territoire français d’outre-

mer)

Le papa, militaire, est souvent absent, et la maman, nostal-

gique de son île natale : un petit caillou dans l’Océan Paci-

fique. Anna lui confie souvent combien sa mère lui man-

que, et ses oncles et tantes ; les enfants sont pris en charge

là-bas par toute la famille .

En ce mois de Décembre, Monique Richou est plus joyeu-

se et dynamique que d’ordinaire : c’est un évènement, son

fils va venir de Singapour à Noël, avec sa femme, et leurs

deux garçons de neuf et onze ans.

- Monique, lui a proposé Anna, tu pourras utiliser une de

nos chambres. Mon mari a une permission et nous allons

passer les fêtes chez nos cousins en Bretagne.

Cela se prépare donc au mieux pour le bonheur de tous

quand un téléphone très matinal vient tout remettre en

question.

« Allo, maman, comment vas-tu ? Je veux tout de suite te

prévenir. Ne nous attend pas pour le 24 Décembre. Un

ami vient de nous proposer son chalet près de Megève du-

rant une semaine. C’est une occasion unique… Impossible

de refuser.

- Nous avions prévu depuis des mois pour-

tant…

- Oui, mais tu comprends, les enfants !

C’est la première fois qu’ils verront la neige,

qu’ils pourront faire du ski ! On ne peut pas

les décevoir. C’est promis dès le 2 Janvier,

avant de reprendre l’avion à Roissy on fera

le détour par Angers. On t’offrira ton ca-

deau pour la nouvelle année et tu verras les

photos.

- Oui, évidemment je suis déçue. C’est

dommage, il n’y a pas de station de ski en

Anjou…

- Je suis au travail, je ne peux pas te parler

plus longtemps. A bientôt quand même, je

t’embrasse maman. »

Heureusement qu’Anna n’est pas loin pour

consoler Monique, qu’elle voit pleurer la

première fois.

Tony, son mari, vient d’arriver pour les

vacances. Monique referme sa porte en en-

tendant leurs éclats de rire et oubliant de dîner, s’endort

assez tard, la télé restée allumée dans sa chambre.

Un toc-toc vigoureux à sa porte la réveille le lendemain

matin :

- C’est Anna et Tony, Monique, veux-tu nous ouvrir. On

veut te parler.

- Bonjour, qu’est ce qui se passe ? Rien de grave ?

- Oh non, au contraire, répond Tony. On a une proposi-

tion à te faire. Voilà, dans notre voiture Espace, il y a sept

places, donc une pour toi.

- Je viens d’appeler les cousins, ajoute Anna. Ils seront très

heureux de faire ta connaissance, et je pense que ce sera

ton cas aussi. Tu ne vas pas rester toute seule ici, alors

qu’ils habitent une grande maison, à côté de Perros-

Guirec.

- Mais, ce n’était pas prévu comme ça …

- On ne fait pas toujours les choses qui sont prévues, ré-

pond Anna. Notre cousin est gendarme et a souvent chan-

gé d’affectation. Ils se plaisent en Bretagne. Les filles aî-

nées chantent à la chorale de St Pol. Avec leurs robes ba-

riolées et leurs colliers de coquillages, elles ont beaucoup

de succès. Tu verras, ce sera la fête. On fera un réveillon, à

moitié breton avec les huîtres et les langoustines, à moitié

mélanésien, avec les recettes et les fruits des îles. Si tu

veux, tu pourras même faire ta fameuse bûche à la crème

de marrons pour le dessert.

- Ah ! merci, merci, à vous deux. répond Monique, en les

embrassant. Et mon fils, je ne sais pas comment lui dire.

- Mais, tu ne diras rien du tout. Quand tu les verras, ils ne

pourront que se réjouir de savoir que tu as passé Noël en

famille. Tu sais, chez nous, on n’est pas riches pour la

plupart, mais jamais personne ne reste seul. Marilou

Vacances de Noël imprévues

Confection de colliers de fleurs en Polynésie

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Magazine

11

Histoires de rues

N ous avons été contactés au sujet de la rue de l'En-

fer par une dame qui nous a dit habiter cette rue

depuis 1963.

En face de chez elle, la propriété rachetée par la poste et

protégée par de hauts murs s'appelait "La Diablerie" et

aurait appartenu à un militaire, Mr Ory, car elle a une

carte postale envoyée pour ce monsieur qui date de 1902

et qui mentionne dans l'adresse : Village de la Diablerie.

Elle pense que ce nom a un rapport avec le nom de la

rue : « l'Enfer », c'est diablement chaud, non ?

Remercions donc cette personne qui est venu nous appor-

ter ces renseignements et la fameuse carte postale datant

de 1902 (ci-jointe) : Mme Vendeputte, si on peut la nom-

mer ici.

De plus, un groupe de retraités angevins a rassemblé des

éléments d'information venant du premier volume du

Dictionnaire des noms de rue d'Angers de J. Saillot, pour

nous les donner :

« Commençant Bd J. Portet, l'actuel chemin de l'Enfer n'a

point d'issue et résulte d'un remaniement du quartier ef-

fectué en 1972-73. Auparavant, ce chemin occupait l'em-

placement de la rue Adrien Recouvreur (1956), le nom de

chemin fut maintenu seulement à la partie de voie com-

prise entre la rue A. Recouvreur et le Bd J. Portet.

L'Enfer était un lieu-dit avec une ferme, sur le terrain du-

quel on a partiellement élevé les bâtiments du Lycée Che-

vrollier, et ces terrains de l'Enfer relevaient de St-Augustin

-les-Angers. »

Comme chez les anciens Egyptiens qui s'en allaient dans

le monde inférieur le long du lac de feu avant de parvenir

dans les régions célestes où se trouvait le champ des Bien-

heureux, on peut penser que l'enfer est le lieu inférieur

dans l'esprit des gens car en bas de la Cathédrale St Mau-

rice, il y a aussi un enfer. Et on lit aussi que le quai du

même nom, actuellement situé Bd H. Arnaud, a été com-

blé lors des travaux d'assainissement des bas quartiers de

la ville et du rattachement à la Doutre de l'île des Carmes,

en février 1869.

L a question posée dans le dernier numéro : « quelle

est l'origine du nom Aupannes ? » a provoqué la

curiosité de ce même groupe de retraités :

« Après de nombreuses recherches dans les dictionnaires,

Larousse encyclopédique en cinq volumes, nous n'avons

rien trouvé, ni dans les noms propres ni dans les noms

communs (fleurs, espèces d'arbres, etc.) ».

Nos correspondants sont allés voir dans le Dictionnaire des

noms de rue d'Angers (J. Saillot) et voyons ce qu'il dit pour

le rue du Liseron. Comme les Aupannes sont « rue du Li-

seron » cela peut être intéressant...

Délibération du 20 septembre 1974 :

« On ne sait laquelle des convulvacées, - que le populaire

confond sous le nom de liseron -, a été donnée à une rue

d'Angers. »

En France poussent spontanément une dizaine de convul-

vacées dont le liseron des champs, qui est la pire des mau-

vaises herbes.

Sous le nom d'ipomée ou de volubilis, on cultive une plan-

te grimpante exotique de la même famille la convolvulus

batava ( patate douce ). Aussi le jalop et le scamonée dont

la racine laisse écouler une sorte de latex purgatif. Le lise-

ron tricolore est appelé "Belle de jour". Bref, tout cela nous

éloigne du sujet...

Et voilà qu'à la fin, ils ont trouvé dans Le parler populaire

en Anjou ce qui pourrait être bien l'origine du mot

« aupannes » :

panerée, en patois local, c'est le contenu d'un panier, pan-

ne, ou pâne, c'est une grande cuve destinée à "couler la

lessive".

Les linguistes savent que dans un mot les voyelles peuvent

changer mais la racine du mot est constituée par les

consonnes.

Donc entre aupannes et pannes il y a sans doute parenté

de mots. Michel Ardouin

Rue de l'Enfer

Les Aupannes

nos lecteurs précisent

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Imprimerie Municipale d’Angers - Dépôt légal 4ème trimestre 2010 - Tirage en 12300 exemplaires - Journal n°41– décembre 2010 -

Directeur de publication : Philippe Rouilly - Coordinateur : Alain Simonin - Frappe et rédaction : les habitants ayant préparé ce nu-méro - Composition : Hélène Dahan, Florence Lizé - Photos : Alain Simonin -. Dessins : Michel Ardouin.

Magazine

Réception

des sapins de Noël

Elle aura lieu le same-

di 18 décembre de 9h

à 12h sur l'esplanade

Robert Robin, proche

du marché, place Jean

XXIII, seulement à

ceux qui en auront fait

la demande (les ins-

criptions au CJV se

terminant le 12 décem-

bre).

L'Atelier des doigts est cette fois notre partenaire pour

vous apprendre à fabriquer des décorations de Noël.

La présence du Père Noël et des animations sont pré-

vues sur place (chorales, distribution de friandises)

Une après-midi récréative se déroulera également le

samedi 18 décembre, au Centre Robert Robin, pour les

personnes et les familles qui se seront inscrites aux diffé-

rentes permanences et à celles qui participent à l'opéra-

tion de décoration d'un sapin de Noël dans une des en-

trées d'immeubles du quartier.

Opération organisée par l'Interassociation Roseraie,

le Centre Jean Vilar, l’Espace du « Bien vieillir » Robert

Robin,

avec le soutien des bailleurs sociaux.

Recette pour environ 800g de biscuits.

Ingrédients

300 g de farine tamisée, 180 g de beurre, 180 g de sucre

en poudre, deux sachets de sucre vanillé, 1 pincée de

sel, un oeuf battu, un zeste de citron non traité, une

cuillère à soupe de cannelle en poudre, 30 g de poudre

de noisettes.

Préparation :

Mélangez le beurre mou en petits morceaux, le sucre en

poudre et le sucre vanillé. Lorsque le mélange est homo-

gène, ajoutez l'oeuf battu, mélangez, puis la pincée de

sel, la farine et mélangez.

Partagez la pâte en trois parts égales. Ajoutez le zeste de

citron finement haché à la première, une cuillère de can-

nelle à la seconde et la poudre de noisette à la troisième.

Formez une boule avec chaque part de pâte, recouvrez

d'un film alimentaire et laissez reposer au moins une

heure au réfrigérateur.

Sortez du réfrigérateur, préchauffez votre four à 200°C.

Etalez votre pâte sur une épaisseur de 5-6 mm. Utilisez

des emporte-pièces de formes différentes pour découper

les biscuits que vous disposez sur une plaque recouverte

de papier sulfurisé.

Enfournez pour 15 min environ. Laissez refroidir avant

de déguster.

Variantes : vous pouvez parfumer vos petits biscuits à la

poudre d'amande, aux zestes d'orange, à l'arôme de clé-

mentine, au gingembre en poudre ou autres épices.

Boules de Noël au chocolat

Ingrédients pour 4 personnes

250 g d'amandes en poudre, 200 g de sucre en poudre,

125 g de chocolat râpé, 2 œufs, 4 à 5 cuil à soupe rases

de farine- 1 cuil à café de cannelle.

Préparation

Fouettez les oeufs et le sucre jusqu'à obtenir un mélange

mousseux. Incorporez les autres ingrédients. Travaillez

la pâte, jusqu'à l'avoir souple. Façonnez des boules de la

grosseur d'une petite noix. Roulez-les dans du sucre

glace. Laissez-les sécher 4 heures sur la plaque à pâtisse-

rie recouverte de papier sulfurisé.

Préchauffez le four à 140°C (th 5). Faites-les cuire pen-

dant environ 20 minutes jusqu'à ce qu'elles se fendillent.

Recettes de biscuits de Noël

Opération « sapin de noël »