…LE COIN DES JEUNES REPORTERS…

Votre gazette communale bi-annuelle – octobre 2016

L'agenda de vos élus C.C.P.G Réunions communales Autres participations communales

Conseil communautaire :

les derniers jeudis du mois

Commission scolaire : 05/07/16 &26/09/16

Commission assainissement : 30/08/16 &

17/10/16

Commission environnement déchets :

05/09/16

Participation au forum des élus : 22/09/16

Commission enfance : 01/12/16

Commissions :

02/09/16 : environnement

06/09/16 : réunion de travail

12/10/16 : PCS (plan communal de

sauvegarde)

20/09/16 : communication

22/09/16 : bâtiment

29/09/16 : services aux personnes

Réunions du conseil municipal : 24/10/16 & 13/12/16

Réunion au Pays de Gâtine

Conseil d’école

Commission de suivi des ciments Calcia

Réunions des maires

Sivu, Ccas, Sevt

Réunions préparatoires aux activités sportives du Gesa

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Gazette réalisée par la commission "communication" de la commune d'Amailloux : N. Brescia, N. Blanchard, F. Dayan, J. Jénot, D. Langford,

D. Faucher, L. Guignard, N. Dureisseix, et par le CMJ : Justine & Zoë Grellier, Aurélie Pelé, Salomé Brescia, Lenny Braconnier et Evan Roy.

En septembre, de nouveaux jeunes ont intégré notre CMJ.

Cette équipe de reporters inédite saura vous concocter de nouveaux

articles avec le même enthousiasme.

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Chers lecteurs, Dans ce numéro

Des herbes et désherbage

Plan d’accessibilité d’Amailloux

Etang : paraîtrait que…

SEVT le système de l’eau potable

« Maisons fleuries » & « L’insolite

dans mon jardin » : les finales

Les nouvelles activités sportives…

Le coin des jeunes reporters

N°

2

Bonne dégustation. Encore, faudra-t-il attraper l'animal !...

Noisette de chevreuil à la sauge (et au miel !) sur une tatin de poire

1. Préchauffer le four à 200°C. 2. Découper à l'emporte pièces les cercles de pâte feuilletée,

puis les disposer entre 2 plaques de cuisson recouverte d'une feuille de silicone. Cuire au four à 200°C pendant 15 minutes.

3. Eplucher, vider et émincer les poires. Dans une poêle, faire fondre une noisette de beurre, ajouter le miel, verser l'émincé de poire et laisser caraméliser. Une fois les poires colorées, les égoutter puis les disposer sur les cercles de pâte feuilletée une fois que tout a bien refroidi.

4. Dénerver puis tailler les pavés de chevreuil (70g environ). Les assaisonner puis les faire colorer à l'huile d'olive dans une cocotte chaude. Après coloration, sortir les pavés et les laisser reposer. Dans la même cocotte, faire colorer les parures de chevreuil, ajouter la garniture aromatique émincée et la sauge. Déglacer avec 2 verres de vin rouge. Laisser réduire puis ajouter 3 verres d'eau et 1 cuillère à

soupe de fond de veau déshydraté. 5. Une fois que la sauce a une consistance sirupeuse, la

passer au chinois. Terminer la cuisson des pavés de chevreuil au four à 220 °C (durant 5 minutes), pour une cuisson rosée. Réchauffer également les tatins de poires au four.

6. Dans une assiette, disposer les pavés de chevreuil sur les tatins et les accompagner de sauce à la sauge.

Il n’est pas innocent si votre commune s’est fait

remarquer lors de le visite du comité Départemental du concours

« Villes et Villages fleuris » 2016 : Amailloux est lauréate comme

cinq autres communes des Deux-Sèvres au concours régional pour

obtenir sa première fleur ! Même si la municipalité ne s’est pas

engagée dans la démarche Terre Saine, elle porte une attention

toute particulière à la gestion durable des espaces verts : au-delà

de l’adaptation aux nouvelles exigences environnementales, les

méthodes de travail des employés communaux visent à vous offrir

un milieu de vie plus sain, respectueux de la nature et de ses

ressources, notamment en eau. C’est donc la perception de notre

environnement immédiat qui se redessine aujourd’hui : avez-vous

remarqué qu’une herbe parasite telle que le muguet produit son

plus bel effet dans un bouquet ? Qu’une jachère fleurie habille

agréablement un recoin oublié et entretient la biodiversité ?

Qu’une haie rabotée, c’est comme un sourire édenté ! De là à faire

abstraction du bitume et des sentiers gravillonnés, non, ne serait-

ce que pour des questions de sécurité et d’accessibilité. Il nous faut

trouver un équilibre harmonieux, pour dire enfin « Mauvaises

herbes, on vous aime ! ». Ce travail de reconsidération de l’espace

est d’autant plus constructif et efficace si vous, citoyens jardiniers

ou contemplatifs, participez à la valorisation environnementale de

votre commune. Déjà, vos pratiques et initiatives, comme en

témoigne le concours des Maisons Fleuries, permettent à chacun

d’apporter sa contribution. Il me semble alors essentiel d’avancer

ensemble. Bonne lecture à tous ! Nathalie Brescia.

Dans ce nouvel article, nous vous proposons d’aller à la rencontre de Corinne JENOT, apicultrice depuis 4 ans sur la commune d’Amailloux. "L’apiculture ? C’est d’abord une histoire de famille !" commence-t-elle. "Lorsque j’étais enfant, ma grand-mère, puis plus tard, mon père possédaient déjà une cinquantaine de ruches ». Un beau jour, Corinne reçoit en cadeau, sa première ruche … Son aventure auprès des abeilles pouvait commencer ! Depuis, elle a récupéré quelques ruches appartenant à son père. Aujourd'hui, une petite douzaine de ces "maisons à abeilles" sont installées sous les châtaigniers, en bordure de son pré. "Même si l’apiculture est une activité parfois physiquement fatigante, parce qu’une ruche pèse entre 20 et 25 kg ! " précise-t-elle, "c’est pour moi avant tout, un plaisir". Tout en soulevant le couvercle d'une ruche encore vide qu'elle s'apprête à mettre en place et habillée de sa vareuse (veste de protection anti-piqûres), notre apicultrice nous explique comment 20 000 à 80 000 abeilles peuvent cohabiter dans un seul de ces petits habitats artificiels. Nous comprenons en l'écoutant qu'un essaim (groupe d'abeilles) ne possède, en principe, qu'une seule reine. "Les abeilles sont très organisées et chacune d'elles a un rôle bien spécifique" nous explique-t-elle. "La reine produit les larves, les gardiennes assurent la protection de la communauté contre d’éventuels agresseurs tels que les frelons asiatiques de plus en plus présents malheureusement". Les ouvrières bâtissent les alvéoles de cire dans lesquelles grandiront les larves tandis que les butineuses ont pour mission de récolter puis de rapporter à la ruche, le précieux nectar qui deviendra le miel. Cependant, pour que les abeilles daignent venir s’installer et produire leur miel dans ses ruches, Corinne doit se montrer rusée et … patiente ! Elle utilisera pour cela un appât constitué de pâte à sucre. Ici, le miel est issu des fleurs de châtaigniers, de trèfles, de colza, de lierre … et peut être récolté deux fois par an : en mai-juin puis en août-septembre. Mais gare aux dards ! Les abeilles peuvent se montrer redoutables lorsque notre apicultrice vient parfois prélever dans leurs délicieuses réserves. Pour les endormir et ainsi les approcher sans risques, comme tous les apiculteurs, Corinne utilise un enfumoir (sorte de soufflet à fumée). Elle nous explique qu’il est cependant, indispensable de laisser aux abeilles, une quantité suffisante de miel afin que toutes puissent se nourrir correctement et garder des forces pour l’hiver. La production de cette année aura été moins importante que les années passées. La chaleur sèche et le manque d'humidité de cet été en sont probablement la cause. Si d’aventure, vous trouvez un nid d’abeilles, vous pouvez contacter Corinne Jenot. Notre rencontre s'est terminée par une dégustation de son délicieux miel !! Nous remercions Corinne pour son accueil chaleureux et pour ses explications claires sur ce monde étrange et incroyable … Pas folle l’abeille !

Portrait d’une apicultrice

Qui se cache dans la mosaïque ?

Réponse du mot surprise gazette n°1 :

« FOUGERIT »

Les ingrédients pour 6 personnes :

• Noisettes de chevreuil (70g) : 12 pièces

• Poires Abate : 3 pièces

• Rouleau de pâte feuilletée : 1 pièce

• Miel : 15 g

• Eau : 45 cl

• Fond de veau déshydraté : 10 g

• Oignon : ½

• Carotte : ½

• Sauge : ½ botte

• Vin rouge : 35 cl

• Beurre doux : 10 g

• Sel fin : 6 pincées

• Moulin à poivre : 6 tours

• Huile d’olive : 3 cl.

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DES HERBES

ET DESHERBAGE Une succession de lois et de textes relatifs à la transition

énergétique pour la croissance verte ont été adoptés ces

dernières années. La dernière en date – loi n°2015-992 du

18 août 2015 – dans son article 68, vise à mieux encadrer

l’utilisation des produits phytosanitaires.

Ainsi, à compter du 1er janvier 2017, l’usage de tels

produits sera interdit (hors produits de bio-contrôle) sur les

espaces verts, les forêts, les voiries (dont les trottoirs) et les

promenades (chemins de randonnées, allées de parcs et de

cimetières) dans l’ensemble des espaces publics gérés par

l’Etat, les collectivités et les établissements publics . En fait

tous ces textes sont liés à la préservation de la qualité de

l’eau. Une réduction « à la source » de toutes les formes de

pollutions, qu’elles soient ponctuelles ou diffuses, d’origine

agricole, domestique ou industrielle, permettra de conserver

voire d’améliorer cet élément naturel vital pour tous les êtres

vivants.

En ce qui concerne les particuliers, on parle déjà d’une

réglementation pour 2020, mais aucune date fixant une

interdiction de l’usage des désherbants n’est arrêtée

définitivement. Quoi qu’il en soit, il faudra se préparer aux

changements de pratique et à utiliser des produits non

toxiques et non polluants pour détruire « les mauvaises

herbes ». Des recettes de grands-mères relativement

efficaces seront peut-être remises au goût du jour (par

exemple l’utilisation du gros sel gris). Hélène LENFLE qui

est chargée des espaces verts dans la commune (avec son

binôme Jean-Michel Gourdon), en connait un rayon en

matière de protection de la nature ; de son point de vue « le

vrai problème réside dans le dosage des produits utilisés

ainsi que dans la nature des sols sur lesquels ils sont

utilisés ; écologiquement cette réglementation, semble une

bonne chose et pratiquement, il faudra s’y adapter ».

Concrètement, les particuliers doivent s’attendre à utiliser

davantage les binettes, les rotofils et les tondeuses à gazon

et la collectivité devra peut-être prévoir le bitumage de tous

les trottoirs ou leur engazonnement fleuri… N’est-il pas un

vieil adage qui dit « que chacun nettoie devant sa porte et la

rue sera propre ! ».

...PARAITRAIT QUE...

INITIATIVES

L’aventure sportive continue !

Trois nouveaux temps sportifs-vous sont proposés par l’animateur Florimond Blais :

Dates Pour les enfants (8-14 ans) De 10h00 à 17h00

Pour les adultes De 18h30 à 20h00

26/10/16 Volley, hand, thèque Marche sportive

22/02/17 Jeux traditionnels, lutte, hockey Renforcement musculaire

19/04/17 Rugby, techni-foot, basket Marche sportive

Venez-vous inscrire à la mairie ! Une participation de 3€ par personne vous sera

demandée (règlement par chèque).

En 2014, le SEVT a distribué 2 millions de mètres cube d’eau à ses 35 communes

adhérentes ; Amailloux fait partie de celles-ci.

Quelle qualité pour cette eau ?

Pas de problème majeur ; la source de Seneuil, en surface, « flirte » avec la limite de

tolérance en matière de nitrates. Elle peut présenter parfois quelques traces de

pesticides. Le SEVT utilise le principe de la dilution (mélange) pour entrer dans les

normes et c’est ainsi que l’eau potable qui coule de nos robinets est un savant

mélange de l’eau de Seneuil et de celle du Cébron. Les gros travaux entrepris durant

l’été sur la RD46 (Amailloux - Clessé) sont directement liés à l’adduction en eau

potable. En effet sur certains secteurs de ce réseau, les canalisations sont dans un état

critique et un plan de renouvèlement a été lancé. Sur cette partie du réseau les

travaux entièrement financés par le SEVT s’élèvent à 354.000 € H.T. « Suite à des fuites

à répétition depuis ces dernières années, ces travaux ont été mis en priorité dans le

plan de renouvèlement des canalisations et notre objectif est d’en changer de

nouvelles en 2017 et les années suivantes sur d’autres secteurs de la commune » ont

confié Cédric Airaudo et Jérôme Guérin respectivement directeur et responsable

travaux neufs du SEVT.

Frank Brottier, conseiller municipal d’Amailloux et référent SEVT pour la commune-

avec comme suppléant Eric Guillon - suit de près et avec beaucoup d’intérêt toutes

les réunions de concertation avec le syndicat d’eau et sans vouloir trop se mouiller

annonce « il faut d’ores et déjà envisager une augmentation des tarifs abonnement et

eau pour 2017… ».

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Amailloux : plan accessibilité

Entre PAVE et ADAP l’agenda d’accessibilité est programmé.

Ce sont des démarches qui à l’origine ont pu paraître difficiles, voire rébarbatives

pour les communes chargées de les mettre en place. Tout découle de la loi

n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la

participation et la citoyenneté des personnes handicapées. Deux principes

fondamentaux sont à la base de ce texte de loi :

Prendre en compte tous les types de handicap, qu’ils

soient dus à une ou plusieurs déficiences, qu’elles soient

temporaires ou non et prendre plus largement en compte

les personnes à mobilité réduite étant donné que

l’accessibilité bénéficie à tous les usagers.

Rendre accessible l’intégralité de la chaîne de

déplacement, qui comprend le cadre bâti, la voirie, les

aménagements des espaces publics, les systèmes de

transport et leur intermodalité.

Quelques éclaircissements :

Le décret n°2006-1657 du 21 décembre 2006 précisait que toutes les communes

devaient élaborer ce plan de mise en accessibilité de la voirie et des

aménagements des espaces publics (PAVE) dans un délai de 3 ans à 9 ans. C’était

ambitieux en termes d’échéance et bon nombre de communes ont pris du retard.

L’Agenda d’Accessibilité Programmée (Ad’AP) permet à tout établissement

recevant du public (ERP) de poursuivre ou de réaliser son accessibilité après le 1er

janvier 2015, date limite pour rendre accessibles les commerces, cabinets

libéraux, écoles, mairies, etc…

Qu’en est-il à Amailloux ?

La première tranche de travaux concerne la mise en accessibilité de la mairie, de

l’église, du restaurant, des WC publics, du salon de coiffure ; elle est réalisée. De

plus, un agenda couvrant la période 2016-2018 pour la poursuite de la mise en

accessibilité a été validé par la préfecture. La deuxième tranche concernera la

supérette ; la troisième tranche sera consacrée au restaurant scolaire, vestiaires

du stade, salle polyvalente, ateliers municipaux, bureau du comité des fêtes.

L’estimation de ces travaux par le cabinet d’études mandaté s’élevait à 110.000€

TTC ; mais grâce aux compétences multiples des employés communaux, à leur

ingéniosité et leur bonne volonté, le tout associé à un peu de pédagogie, les

sommes engagées ont été sérieusement revues à la baisse. Par exemple en ce qui

concerne l’église le coût estimé était de 8.125€ alors que le réalisé sera inférieur

à 2.000€ et pour la mairie les travaux étaient estimés à 14.850€ alors que le

réalisé ne dépassera pas 3.000€.

Quels enseignements tirer de la mise en place d’un PAVE et d’un Ad’AP?

Elles restent des démarches ardues pour lesquelles l’implication de la commune

est primordiale afin de connaître précisément les problématiques et les usages

sur le terrain, qu’ils soient actuels ou futurs. Ensuite rien n’est définitivement figé

et la commune agit en fonction de ses moyens et de ses disponibilités pour le

bien-être et la sécurité des citoyens.

Les inscriptions des enfants

pour la rentrée 2017

commenceront dès fin novembre.

Renseignements à la mairie.

…A l’hameçon, un canard, en voyage de noces sur l’île de Robinson Crusoë, s’est pris la patte. Surpris, il

ouvrit un large bec et recracha tous les œufs de poissons dans l’étang, fruits de sa dernière pêche.

Il s’en suivit l’éclosion d’une myriade d’alevins,

malencontreusement aspirés par la pompe

d’arrosage en eau potable du stade municipal. Et

depuis, par les nuits de pleine lune, on peut

admirer le scintillement d’une pluie d’écailles,

parsemant le gazon, tels des vers reluisants ! La

carte de pêche remplacera-t-elle bientôt la licence

de foot ?

S.E.V.T : D’OU VIENT L’EAU QUI COULE A NOTRE ROBINET ?

Dans le nord du département la quasi-totalité de l’eau potable est

fournie par le Syndicat d’Eau du Val de Thouet (SEVT) qui lui-même

gère cinq zones de prélèvement soit par forage soit par champ

captant (au moyen d’un réseau de drainage). En ce qui concerne ce

dernier mode de prélèvement, c’est le cas au Chillou près de St Loup

sur Thouet à partir de la source de Seneuil.

Pensez à emmener une attestation d’assurance et votre pique-nique ! Le goûter vous sera offert. Moment convivial assuré !

En cas d’intempérie, réadaptation des activités prévue.

Info école