Le Mag N°1 2010

1LE MAGSEMAINE 1 temps forts DU 2 AU 8 JANVIER 2010

JEUDI 7 JANVIER 20.35

François Busnel propose deux heures d’émission autour de l’homme de lettres

La Grande LibrairieSpéciale Camus

FRANCE 5 • SEMAINE 1 DU 2 AU 8 JANVIER 20102

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MARDI 5 JANVIER 20.35

Ces femmes qui luttent contre le crimeEntre ses expertises et les cours qu’elle donne à l’Ecole nationale de gendarmerie,le quotidien de Céline Nicloux sort de l’ordinaire. Portrait de la seule Françaisecapable de décrypter les traces de sang sur les scènes de crime.

DIMANCHE 3 JANVIER 16.10L’Air du temps :Alain Bashung

Disparu en mars dernier, AlainBashung a imposé une œuvre qui leplace aujourd’hui parmi les grandsnoms de la chanson française. Portraitd’un artiste unique en son genre.

MARDI 5 JANVIER 21.35Prisons — Histoire d’une faillite

Attendue depuis dix ans, la nouvelleloi pénitentiaire est loin de fairel’unanimité. A travers de nombreuxtémoignages, retour sur la situationcarcérale en France.

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La grille des soirées 3-4

La Grande Librairie

Spéciale Camus 5-6

Ces femmes qui luttentcontre le crime 7

Prisons — Histoired’une faillite 8

L’Air du temps

Alain Bashung 9

Versailles, le rêve d’un roi 10

Empreintes

Daniel Pennac,la métamorphose du crabe 11-12

Le maître qui laissaitles enfants rêver 13

Comme chez nous 14

Actus / Echos 15

La grille desprogrammes 16-17

Contacts 18

Temps forts Sommaire

© Crédit photo de couverture : René Saint Paul / Rue des Archives

long-métragede cinéma

documentaire magazine jeunesseprogramme

courtinformation


Soirées Semaine 1

documentaire magazine fictionjeunesseprogramme

court

SAMEDI 2 JANVIER

Fiction avec Thomas Hugues

20.35Le maître qui laissait les enfants rêver Né en 1896 dans les Alpes-Maritimes, Célestin Freinet sedestinait à faire carrière dans l'enseignement lorsque laguerre interrompt sa formation. Grièvement blessé en 1917, le maître d’école ne commence à exercer qu'en 1920.Rapidement, il mettre au point de nouvelles méthodespédagogiques, pour tenter de donner à ses jeunes élèves le goût du travail et de l'apprentissage...

20.35Echappées bellesLes Carnets de Sophie ou lescoups de cœur de notregrande baroudeuse, installéece soir dans les Caraïbes,sont consacrés aux meilleursmoments musicaux desvoyages de Sophie Jovillard.

21.35 ExploraImmersion en Inde et sonmilliard d’habitants, avec despersonnages aussi diversqu’un joueur de cricket issudes bidonvilles, une femmed’affaires, un pêcheur, ungourou ou un pilote d’essai.©

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Fiction avec Thomas Hugues

20.35Versailles, le rêve d’un roiUn documentaire-fiction pour raconter le rêve d’un roi qui fitdu château de Versailles l’instrument de son pouvoir et de la monarchie absolue. En créant de toutes pièces « un avant-goût du paradis sur terre », Louis XIV donne à la noblesse l’envie de venir à Versailles et les soumetentièrement à son contrôle dans cette magnifique prison dorée.

DIMANCHE 3 JANVIER

21.45C’est notreaffaire Consommateursavisés, suivez lestraces de ClaireFournier, défricheusedu bien acheter etbien produire.

21.20Silence,ça pousse !Plus moyen de raterson jardin ! Avant desemer, révisez toutesles semaines avecStéphane Marie et Noëlle Bréham !

20.35QuestionmaisonDes intérieurs pourrêver, des idées àpiocher, des artisansà découvrir avecStéphane Thebautdans toute la France.

FRANCE 5 • SEMAINE 10 DU 1ER AU 7 MARS 2008

Soirées


Soirées Semaine 1

MERCREDI 6 JANVIER La Maison France 5 avec Stéphane Thebaut

20.35La Grande LibrairieSpéciale Albert CamusA la veille du 50e anniversaire de la mort de Camus, La GrandeLibrairie lui rend hommage. A l’issue de la diffusion du film AlbertCamus, le journalisme engagé, construit autour des articles de l’écrivain, de témoignages de ses proches et d'historiens,François Busnel et ses invités évoqueront cette facetteindissociable de l’homme d’engagement et de convictions.

JEUDI 7 JANVIER Arts et culture avec Laurence Piquet

21.30Café PicoulyAmbiance zinc pourdiscussions tous azimuts...culturels, bien sûr ! L’écrivainDaniel Picouly ouvre le débat au Café Charbon encompagnie de ses invitéspour parler culture(s).

VENDREDI 8 JANVIER

Le Monde en face avec Carole Gaessler

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20.35Ces femmes qui luttent contrele crimeA 33 ans, Céline Nicloux estla seule femme à exercer lemétier d'experte en trajectoirede sang, à l'IRCGN, La Mecquede notre police scientifique...

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Daniel Pennac : la métamorphosedu crabeUn film qui permet dedécouvrir un être paradoxal,généreux et solitaire.

21.35Prisons — Histoired’une failliteUne « autopsie » des politiquespénales et carcérales de ces trente dernièresannées pour comprendre la faillite d’aujourd'hui.

MARDI 5 JANVIER Le Monde en face avec Carole Gaessler


MAGAZINEDURÉE 75’ PRÉSENTATION FRANÇOIS BUSNEL PRODUCTION ROSEBUD PRODUCTIONSDOCUMENTAIRE DURÉE 52’ AUTEUR-RÉALISATEUR JOËL CALMETTES PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS PÔLE FRANCE 5/CHILOÉ PRODUCTIONS ANNÉE 2009

JEUDI 7 JANVIER 20.35

La Grande LibrarieSpéciale Albert Camus

A l’heure où l’on célèbre le 50e anniversaire de la mort d’Albert Camus, François Busnel propose une émission spéciale consacrée à l’écrivain-philosophe. Au programme de cetteGrande Librairie : un direct de 1 h 15 en compagnie de Catherine Camus, la fille du Prix Nobel, et de plusieurs philosophes. Un documentaire de Joël Calmettes sur la carrière journalistique de l’homme de lettres complète ensuite cette soirée exceptionnelle.

Entretien avec François BusnelQui recevrez-vous sur le plateau decette émission spéciale ?François Busnel : Nous évoquerons lavie d’Albert Camus avec plusieurs invitéset notamment avec Catherine, sa fille. Ellequi n’a pas connu l’écrivain, le philosophe,le journaliste, le résistant apportera un

éclairage précieux sur le père qu’il a été,mais aussi sur l’homme, finalement peuconnu. A ses côtés se trouveront plusieursphilosophes. Leur regard, leur point devue permettront, en contrepoint de cetémoignage personnel, de brosser le por-trait de l’intellectuel.

Comment construirez-vous cette GrandeLibrairie ?F. B. : A travers plusieurs thématiques, tantl’existence de Camus est riche. Ce qui mefrappe surtout chez lui, c’est son destinexceptionnel. Comment le fils d’unefemme de ménage analphabète est-il

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devenu l’intellectuel que l’on sait, PrixNobel de littérature ? Sa trajectoire, jalon-née de rencontres, est un miracle. Sa vieprouve à elle seule qu’il n’y a pas de déter-minisme social.Camus était également un homme éclec-tique, dramaturge de talent qui connaît toutd’abord le succès grâce à ses romans,puis grâce à ses essais philosophiques. Ilest également apprécié pour les articlesqu’il signe et respecté pour son engage-ment dans la Résistance. A sa mort, à47 ans, il a accompli tant de choses…Sa rivalité avec Jean-Paul Sartre m’inté-resse également. Hommes de gauchetous les deux, ils se sont distingués par leurapproche de l’existence et de la philoso-phie. L’un était d’origine bourgeoise, l’autreétait né pauvre ; l’un refusait les prix, l’autreles acceptait ; l’un était un homme entouré,l’autre était un franc-tireur solitaire.Et puis, il y a aussi les derniers jours deCamus, mort dans un accident de voiture,un billet de train dans la poche… Onretrouve à ses côtés le manuscrit du Pre-mier Homme, qui aurait certainement inau-guré une nouvelle période dans le travailde l’écrivain.

Comment le documentaire s’intégrera-t-il à cette soirée ?F. B. : Le film de Joël Calmettes s’intéresseà la carrière de journaliste d’Albert Camuset, sur notre plateau, nous évoquerons lesautres facettes de l’homme. Ces deuxmoments de la soirée se complètent. Mais,en réalité, plusieurs émissions seraientnécessaires pour parler de Camus !

Propos recueillis par Isabelle Ducrocq


La Grande LibrarieSpéciale Albert Camus

Albert Camus, le journalisme engagéHistoriens et proches révèlent à la caméra de Joël Calmettesun aspect méconnu de la vie d’Albert Camus : sa carrière de journaliste. A grand renfort de témoignages, d’extraitsd’articles, de lettres et d’images d’archives, ce documentairerevient sur le travail du futur Prix Nobel de littérature dans les différents journaux auxquels il a collaboré.

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A ceux qui pensaient tout savoir surl’œuvre de Camus, sur ses romans,

ses essais, ses écrits dramatiques, il res-tait peut-être un pan de la vie du PrixNobel de littérature 1957 qu’ils ignoraient :sa passion pour le journalisme. Si sa collaboration à Combat est connue, lereste de son travail au sein de pério-diques tels qu’Alger Républicain, Le SoirRépublicain, Paris-soir ou L’Express l’estbeaucoup moins.C’est pourtant en 1938, alors qu’il n’a que25 ans, qu’Albert Camus embrasse la carrière de rédacteur. Par hasard toutd’abord, l’administration refusant qu’ilpasse l’agrégation au motif qu’il est tuber-culeux. « Je fais du journalisme, les chiensécrasés et des reportages, quelquesarticles littéraires aussi », explique-t-ildans une lettre à Jean Grenier, son pro-fesseur de philosophie. Peu à peu, il trouvedans cette voie une façon d’être à l’écoutedu monde, au plus près de ses souf-frances et de ses injustices.

L’homme révoltéMais il ne se contente pas de décrire cequ’il voit, il dénonce aussi dans ses articlesce qui est contraire à sa conception del’humain. C’est lors d’un reportage enKabylie qu’Albert Camus révèle pour lapremière fois son style, son sens de la for-mule, mais aussi son regard, sensible etperçant. De ce voyage initiatique au cœurde l’Algérie blessée, il tire son désir devivre le journalisme comme un engage-ment au service des hommes et commeun moyen de changer le cours de l’his-toire. L’époque tourmentée qui est lasienne lui donne maintes occasions dedéfendre des causes ou de prendre

position contre d’autres. De la SecondeGuerre mondiale à la guerre d’Algérie, dela censure à l’épuration, des goulags deStaline à Hiroshima, les sujets sont tropgraves pour qu’il accepte de se taire. « En produisant des écrits en prise avecl’actualité, il s’expose, il propose des solu-tions, avance des arguments et essaie, àtravers cette volonté de l’enquête et dujournalisme, de ne pas rester dans desschémas théoriques ou des carcans idéo-logiques », explique Benjamin Stora. Amiset historiens interrogés saluent tous sonsens de l’analyse, la hauteur de ses vues,loin des polémiques stériles dans les-quelles d’autres s’obstinent. Son derniercombat fut pour sa terre natale, l’Algérie.Mais un accident de la route ne lui permitpas de le mener jusqu’au bout.

Isabelle Ducrocq

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Quand son « bout de chou » sera en âgede l’interroger sur son métier, Céline

Nicloux lui dira juste qu’elle est gendarme,oubliant ce qui fait son quotidien à l’Institutde recherche criminelle de la gendarmerienationale (IRCGN). Dépêchée sur une cen-taine de scènes de crimes par an commeexpert « en morpho-analyse des traces desang », la jeune mère de famille sait faire« parler » les marques laissées sur les murs

ou les parquets par un « jet artériel », une« dispersion en rayonnement », un « trans-fert par contact » ou « par ripage ». Autantd’indices, parfois « dilués ou nettoyés »,qu’elle sait révéler avec un produit miracle,et qui peuvent « laisser suspecter que descoups ont été portés » à une victime plus làpour en témoigner. Après une formation en biologie, en crimi-nalistique et une spécialisation acquise

au pays du héros de la série américaineDexter, l’efficace trentenaire s’est impo-sée en douceur dans un monde d’hom -mes. Première et seule femme en Francedans sa spécialité, le maréchal des logisen chef Nicloux transmet son savoir-faireaux techniciens en identification criminelleet aux enquêteurs à l’école de gendar -merie de Fontainebleau.

Parcours d’éliteQuatre autres portraits de femmes d’ex-ception, après celui-ci présenté par CaroleGaessler dans Le Monde en face, serontdiffusés à un rythme hebdomadaire. Ceuxde Judicaële Ruby, chef de la brigade criminelle et de répression du banditismede Lyon ; de Sophie Gromb, chef du ser-vice de médecine légale de Bordeaux ; deJanel Iskenderian, membre d’une unitéd’intervention contre le trafic de métham-phétamine en Californie, et de Laura Vaccaro, magistrate anti-mafia à Palerme.Des itinéraires qui devraient susciter, sinondes vocations, du moins le respect.

Christine Guillemeau


COLLECTION DOCUMENTAIREDURÉE 5 X 52’ RÉALISATION BRUNO SEVAISTRE (1ER ÉPISODE), MARION GARNIER, CHRISTOPHE LANCELLOTTI, FRANÇOIS SALTIEL, ANNE VERDAGUER PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS PÔLE FRANCE 5/PHARE OUEST ANNÉE 2008


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Ces femmes qui luttent contre

le crimeEn France, aux Etats-Unis ou en Italie, elles contribuent,chacune avec ses armes, au combat contre la criminalité. Le premier volet de cette série documentaire suit à la traceCéline Nicloux, gendarme à l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.


DOCUMENTAIREDURÉE 52’ RÉALISATION PHILIPPE PICHON PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/OCTOBRE PRODUCTIONS ANNÉE 2009


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S PrisonsA l’occasion de la promulgation toute récente de la nouvelle loi pénitentiaire, ce documentairepropose un tour d’horizon de la situation carcérale. Et donne la parole aux bâtisseurs et auxpourfendeurs d’une législation qui est loin de faire l’unanimité. Etat des lieux des prisons françaises.

L a montagne a accouché d’une souris.Attendue depuis près de dix ans, la

nouvelle loi pénitentiaire n’apporte aucuneavancée et constituerait même, selon sesopposants, une régression manifeste. Unedéception pour tous ceux qui tablaient surune réforme radicale et courageusecapable de sortir les prisons françaisesde la faillite économique et sociale danslaquelle elles se trouvent. La réponse dugouvernement actuel à des probléma-tiques vieilles de plusieurs décennies a dequoi surprendre. Interpellée par les dépu-tés, la ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, affirmait devant l’Assemblée natio-nale, en septembre dernier, que« l’incar cération a pour but de protéger lasociété contre des personnes qui pour-raient représenter un risque pour lescitoyens, d’apporter une sanction à desactes de délinquance et de permettre la

réinsertion des personnes incarcérées ».Des principes éculés qui n’ont jamais faitpreuve d’efficacité en termes de préven-tion de la criminalité et de la récidive. Dansles années 70, les détenus se mutinaientdans des prisons déjà surpeuplées pourréclamer des conditions de vie décentes.

L’impasse carcéralePour faire face à une situation intenableaussi bien pour les prisonniers que pourles surveillants, la solution prônée a le plussouvent été d’augmenter le nombre d’éta-blissements. Un non-sens pour tous ceuxqui considèrent la privation de libertécomme ultime recours. A l’instar de Mar-tine Lebrun, juge d’application des peines :« … Chalandon a créé 13 000 places, per-suadé que ça allait régler les problèmes.La démonstration est faite que non. »Patrick Marest, de l’Observatoire interna-

tional des prisons, renchérit : « Ça faittrente ans qu’on explique qu’il faut durcir larépression pour en finir avec la criminalité,construire pour résorber la surpopulation,et on voit que le niveau de criminalité n’arien à voir avec le nombre de gens en pri-son et que plus on construit de prisonsplus il y a de gens qui y sont. » Aujourd’hui,le taux d’occupation en maison d’arrêtdépasse souvent de 200 % la capacitéd’accueil . Du jamais-vu depuis lesannées 60. L’enfermement est-il utile ?Pas sûr quand on sait que le taux de réci-dive après une courte peine est de 65 % !Alors, on cherche des solutions venuesd’ailleurs, comme le bracelet électronique,et on continue de construire… Peut-êtrefaudrait-il envisager des sanctions posi-tives. Mais, pour l’instant, la révolution car-cérale n’a pas eu lieu.

Beatriz Loiseau

Histoire d’une faillite


DOCUMENTAIREDURÉE 52’ RÉALISATION JACQUES PESSIS PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/P6 PRODUCTIONS ANNÉE 2009

DIMANCHE 3 JANVIER 16.10

Discret, énigmatique, Alain Bashung a longtemps attendu un succès pourtantamplement mérité. A contre-courant de son époque, il a imposé un style etune œuvre qui le placent parmi les grands noms de la chanson française.Retour sur la carrière du poète rockeur, en images d’archives et en musique.

Depuis mars 2009, il n’est plus. Emporté par lafumée de ses éternelles cigarettes. Un can-

cer du poumon qui ne l’a pas empêché de chan-ter aux dernières Victoires de la musique, quinzejours avant sa mort. L’élégant M. Bashung, éluinterprète masculin de l’année, rendait ce soir-làun hommage inoubliable à son public bientôtorphelin. Meilleur spectacle, meilleur album, lesprix tombent et les Victoires s’accumulent : onzeau total depuis 1986, un record dans l’histoire decette cérémonie qui récompense les talentshexagonaux. Pourtant, il lui a fallu bien des annéespour parvenir au pinacle de la chanson française.

Monsieur rêveNé à Paris en 1947, comme Jane Birkin, MichelSardou ou Patrick Dewaere, Bashung passe sonenfance en Alsace chez les parents de son beau-père. D’abord enfant de chœur, c’est dans unesalle paroissiale qu’il fait ses premiers pas dans lamusique avec un groupe baptisé Les Cancres enanglais. Déjà, il rêve de rock, fasciné par le son deBuddy Holly. En 1965, à 18 ans, il se produit sur

les bases américaines de l’Otan, à Fontainebleau,Chinon et Dreux. Un an après, on le trouve à Parissur une petite scène de la rue Pierre-Charon.C’est là qu’un directeur artistique le remarque etlui fait signer un contrat pour un 45-tours. Premieréchec. Ses tournées ne marchent pas mieux.Pour survivre, Alain Bashung enchaîne les petitsboulots. Dans les années 1970, il alterne les hautset les bas, sans jamais se décourager. En 1980, il obtient un succès inattendu avec Gaby,face B d’un disque vendu à un million d’exem-plaires. C’est le début de l’ascension. Suivent destubes comme Vertige de l’amour ou SOS Amor.En 1992, l’album Osez Joséphine lui vaut trois Vic-toires de la musique. En 1998, il crée à nouveaul’événement avec Fantaisie militaire, considérépar la critique comme le meilleur album des vingtdernières années. Puis, ce sera Bleu pétrole, pen-dant la préparation duquel il apprend sa maladie.Pour l’exorciser, il monte sur scène le plus sou-vent possible. Jusqu’à la fin. Le 14 mars, il s’en estallé chanter ailleurs.

Beatriz Loiseau

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DOCUMENTAIRE-FICTIONDURÉE 90’ RÉALISATION THIERRY BINISTI SCÉNARIO ET DIALOGUES JACQUES DUBUISSON ET MICHEL FESSLER DISTRIBUTION SAMUEL THEIS (LOUIS XIV), JÉRÔME POULY (COLBERT), ANTOINE COESENS (LE VAU)… PRODUCTION FILMS D’ICI/FRANCE 2/NHK ANNÉE 2007

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Versailles

Comment un jeune roi visionnairecomme Louis XIV (1638-1715) a-t-il fait

d’une simple résidence de chasse au som-met d’une butte exposée aux vents, entou-rée de forêts et de marais insalubres, laplus somptueuse demeure royale d’Eu-rope ? Accompagné de commentaires historiques, ce documentaire-fictionreconstitue les nombreuses années detransformation de Versailles et lève le voilesur des conditions de travail épouvan-tables : une facette sombre de ce chantiertitanesque. Il permet ainsi de suivre dansle détail la difficile et hésitante élaboration

d’une des œuvres les plus éclatantes del’absolutisme louis-quatorzien. Alliant déter-mination politique et goût prononcé pour lesarts, le Roi-Soleil a mis en effet à son ser-vice les plus grands talents de l’époque, àl’instar de Le Vau, Le Brun, Le Nôtre ouMansart. Maître d’œuvre unique de sonpalais et des jardins, il ne fléchit pas dans laréalisation de son rêve, malgré les guerres,les finances et les drames personnels.

Un palais aux diverses facettesGrâce à cet avant-goût du paradis sur Terre,le monarque donne à la noblesse, mais

aussi aux riches marchands et fabricants,l’irrésistible envie de s’y installer. Au fur et àmesure, ce site exceptionnel devient uneprison dorée dont les habitants se trouvententièrement soumis au contrôle royal. En parallèle, ce documentaire-fictiondémontre que plusieurs grandes périodesde l’histoire de Versailles sont liées auxamours successives de Louis XIV : le châ-teau des plaisirs de jeunesse avec Mlle deLa Vallière, celui de la politique avec Mmede Montespan, celui de la gloire et de l’em-baumement avec Mme de Maintenon.

Camille Flocon

Retour sur la lente et continue transformation de Versailles tout au long du règne de Louis XIV,de la Fronde à l’avènement de son arrière-petit-fils, le jeune Louis XV. Un documentaire-fictionsigné Thierry Binisti tourné dans des décors réels et enrichis parfois d’images de synthèse.

le rêve d’un roi

Daniel PennacLa métamorphose du crabe

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De la rivière de sonenfance au plateau duVercors, au théâtre de la Pépinière ouencore dans sonquartier à Paris, enpassant par les écolesoù il insuffle auxjeunes l’envie de lire…l’auteur de Chagrind’école et de la sagades Malaussène seconfie comme jamais.Portrait d’un homme àla fois généreux,populaire, respecté,exigeant, paradoxal etsolitaire.

COLLECTION DOCUMENTAIREDURÉE 52’ AUTEUR-RÉALISATEUR CHARLES CASTELLA PRODUCTION FRANCE TÉLÉVISIONS/DOCSIDE PRODUCTION ANNÉE 2010

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Quand j’étais professeur à Soissons en 1970, j’avais desclasses en assez mauvais état et j’avais décidé avec uncopain qu’on leur apprendrait à jouer aux échecs. (…) Lesélèves arrivaient très fiers en disant : « Monsieur, on a battules latinistes ! » Eux qui se voyaient comme la dernièreroue de la charrette, le fond de la poubelle scolaire, ilsétaient tout contents. (...) Ils ont joué avec leurs échecs,c’est quand même plus marrant que de jouer à la réussite !

Je suis un ordinateur sans mémoire utile. Le faitest que je n’ai pas non plus de mémoire d’enfance :quelques vagues images de déserts, de Somalie,de Djibouti… Alors, curieusement, l’imagination estvenue compenser cette absence de mémoire.


Daniel Pennac, la métamorphose du crabe

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“Mon vrai nom est Daniel Pennacchioni. Je suis nétout à fait par hasard à Casablanca, je suis un fruitd’escale. Ma mère a accouché à Casablancapendant que l’armée américaine accouchait monpère sur les plages de Provence.

Un jour, en troisième, un professeur m’a commandé un roman parce qu’il me trouvaitaffabulateur. Je racontais beaucoup de mensonges pour justifier les devoirs que jen’avais pas faits, et ce professeur a eu le trait de génie de transformer ce petitaffabulateur en narrateur.

On pose souvent la question aux gens : « Pourquoi écrivez-vous ? » Alors comme disait l’ami Beckett :« Bon qu’à ça. » En effet, il n’y a pas d’autre raison que le mystère de ce désir d’utiliser des mots pour rendrecompte de notre passage dans la réalité. En tout cas, j’écris, et largement pour être lu, pour créer un lien.

Le crabe marche de travers, lentement. Métaphoriquement,l’élève-crabe, le cancre, marche de travers, ne suit pas ladroite ligne du résultat scolaire que suivent les autres.

La première fois que je suis arrivé [chez Gallimard], Christian [Mounier] était là. Robert Soulat, derrière son bureau, sort un harmonica, me regarde : « Tu sais te servirde ça ? » (…) Il me l’envoie et je lui joue La Carmagnole. Il me dit : « Bienvenue au club. »Et ça a été mon entrée chez Gallimard. Avec un pareil accueil, je me suis dit : « Ça y est,je suis chez moi, je suis à la maison, je ne bouge plus d’ici. »

Les enfants sont de doux métaphysiciens assez hédonistes, ensuite, les adolescentsdeviennent psychologues et moralistes, et nous, les adultes qui avons de la bouteille,nous sommes assez naturellement épistémologues, logiciens et comptables.

Je crois beaucoup à la physiologie du lecteur. Je pense que l’acte de lire consiste d’abord às’installer dans la forme du corps qui lit. (…) Avantmême que de lire, on est dans un bonheur physique.©

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Pour sa cohorte de survivants, sesveuves, ses orphelins et ses estro-

piés, la fin de la Grande Guerre apportel’espoir d’un monde nouveau, débarrassédes carcans qui l’encombrent. Blessé en1917 et rendu à la vie civile avec une capa-cité respiratoire diminuée, Célestin Frei-net veut faire bouger les lignes. C’est àl’école de Bar-sur-Loup, où il obtient en1920 sa première affectation, que l’insti-tuteur, nourri notamment des œuvres duphilosophe américain John Dewey, com-mence à bousculer la pédagogieimmuable de l’institution scolaire. Per-suadé que « l’on ne fait pas travailler un

enfant en l’humiliant », le jeune maître varemiser estrade et bonnet d’âne pourmettre en pratique ses convictions et« faire entrer la cour de récréation dansla classe ». Travail collaboratif, exercicespratiques, production de journaux declasse imprimés… il imagine une nouvellemanière d’associer ses élèves aux ensei-gnements afin d’en amener un plus grandnombre jusqu’au certificat d’études.

Vers une pédagogie moderneAprès avoir été muté à Saint-Paul-de-Vence au début des années 30, l’ensei-gnant va voir se dresser contre ses inno-

vations progressistes de farouches oppo-sants. Notables, catholiques et fervents del’Action française en appellent alors auministre de l’Education nationale. L’inter-vention de Gabriel Péri à l’Assemblée neparviendra pas à empêcher sa mutationd’office dans « l’intérêt de l’école laïque ».Une sanction que Freinet, porté dans cetéléfi lm par le comédien Alexandre Thibault, refusera et qui lui fournira l’occa-sion de créer à Vence sa propre école. La« méthode Freinet » va pouvoir prendreson essor. Elle est mise en œuvre aujour-d’hui un peu partout dans le monde.


Dans l’entre-deux-guerres, Célestin Freinet (1896-1966) s’est attelé à inventer une nouvellemanière d’enseigner. Daniel Losset revient dans ce téléfilm sur la genèse de sa pédagogie, à laquelle se sont opposés de farouches conservatismes.

FICTIONDURÉE 93’ SCÉNARIO SYLVIE MARJOLAINE ENCREVÉ ET PIERRE NAUDON ADAPTATION ET DIALOGUES DANIEL LOSSET, SYLVIE MARJOLAINE ENCREVÉ ET PIERRE NAUDON RÉALISATION DANIEL LOSSET PRODUCTION MFP/FRANCE 3/CNC DISTRIBUTION ALEXANDRE THIBAULT (CÉLESTIN FREINET), NINA GABALDA (ÉLISE), ROBIN CAUSSE (TITIN), LORENZO AUSILIA-FORET (NINIO) ANNÉE 2006

Le maître qui laissait les enfants rêver

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SÉRIE DOCUMENTAIREDURÉE 5 X 26’ RÉALISATION JEAN-THOMAS CECCALDI PRODUCTION FTV PÔLE FRANCE 5/BONNE COMPAGNIE/CNC ANNÉE 2008

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Comme chez

Les heures supplémentaires défiscali-sées ? Une aubaine pour Nathalie

Royer, mère de famille divorcée, qui vientde retrouver un poste dans un restaurantdu centre-ville. L’envolée du cours descéréales ? Un cadeau du ciel pour EricGobard, qui peut enfin équiper son exploi-tation d’un nouvel engin agricole. La flam-bée du pétrole ? Une chance pour PascalChampagne, directeur commercial d’uneentreprise spécialisée dans les énergiesrenouvelables. La débâcle des placesboursières et de la finance internationale ?D’angoissants lendemains qui s’annoncentpour de nombreux foyers columériens…Des élections municipales de mars, quiglissent Franck Riester dans son nouveaufauteuil de maire, à la mobilisation collec-tive de décembre pour le Téléthon danslaquelle s’investit l’énergique Philippe deMurel, Jean-Thomas Ceccaldi est allé sai-sir comment battait le pouls de la France àCoulommiers, en Seine-et-Marne.

Des « héros » ordinaires à retrouver bientôt !Plantée en pays briard, à soixante kilo-mètres de Paris, la petite ville de 14 000habitants offre une vue en miniature de lasociologie hexagonale, avec ses notableset ses précaires, ses fonctionnaires et sesartisans, ses citoyens nés ici ou ailleurs.De la manière aussi dont le pays réagit à la« rupture » sarkozyste et se heurte auxsoubresauts d’une économie mondialiséedevenue imprévisible. Au rythme des versdésenchantés du rappeur-cheminot Repi,chacun laisse échapper un peu de ce quifait son quotidien. Des « héros » ordinaires,souvent généreux et parfois malmenés,dont on découvrira dans deux films inéditsde 52’ le mardi 12 janvier comment ils onttraversé le tumulte de 2009.


Retrouvailles, dans une versionremontée et augmentée, avecles Columériens suivis par Jean-Thomas Ceccaldi en 2008.Cinq volets d’une chronique oùse dessinent, par thèmes, lestemps forts de la premièreannée pleine du quinquennatde Nicolas Sarkozy.


ActusEchos

« Sourds et malentendus » priméRéalisé par Igor Ochronowicz et produit par Point du Jour, le film Sourds et malentendus, diffusé le 3 mars 2009 surFrance 5, a obtenu le Prix du meilleur document dans le cadrede la compétition internationale « La création filmée dessourds », au 36e Festival international du film indépendant

de Bruxelles. A travers le récit de Sandrine, sourde de naissance,ce documentaire propose une rencontre avec un monde où la langue des signes est porteuse d’une identité et d’une culture, où sourds et entendants peuvent vivre ensemble enacceptant leurs différences.

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C politique (magazine)

Revu & corrigé (magazine)

C à vous (magazine)

Les Maternelles (magazine)

C dans l'air (magazine)

Silence, ça pousse ! (magazine)

Médias, le magazine (magazine)

Les Escapades de Petitrenaud (magazine)

C'est notre affaire (magazine)

Question maison (magazine)

Midi les Zouzous (jeunesse)

Echappées belles (magazine)

Empreintes (collection documentaire)

Case documentaire 16 heures

La Grande Librairie (magazine)

Case documentaire 15 heures

Le Magazine de la santé (magazine)

Allô, docteurs (magazine)

Fourchette & sac à dos (série documentaire)

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Le baromètre de novembre Quelles émissions ont remporté l’adhésion destéléspectateurs de France 5 en novembre ?En tête du dernier baromètre qualitatif FranceTélévisions, Julie Andrieu et son émissionFourchette & sac à dos remportent un joli succès auprès du public, tout comme lesincontournables magazines Allô, docteurs etLe Magazine de la santé. Autres rendez-voustrès appréciés, les cases documentaires de 15 et 16 heures et la collection Empreintes. Figurent aussi dans ce baromètre les autresmagazines de France 5, des programmes de qualité pour satisfaire tous les goûts. Les plus jeunes téléspectateurs, quant à eux,demeurent fidèles aux Zouzous.


06.50 Nature en furie

07.40 Gotlib trait pour trait

08.35 Docteur Béligté, la nomade des steppes

09.30 Le Mystère des Mayas

10.55 Echappées belles

12.00 Les Escapades de Petitrenaud

12.30 Subak — Les Trois Sources du bonheur

13.25 Voyage aux confins de l’Univers

14.20 Le chef est une femme

15.15 Les Dix Plaies d’Egypte

16.10 L’Air du temps :Alain Bashung

17.05 Rendez-vous en terreinconnue : Avec Zaziechez les Korowai

19.00 Ludo

20.35 Versailles, le rêved’un roi

22.10 Amazonie, la ruée sauvage

23.35 Le Monde à tout prix

00.20 Au cœurde la canopée

01.10 Tics et manies des hommes politiques

02.05 Chachapoyas,guerriers des nuages

SAMEDI 2 DIMANCHE 3 LUNDI 4

Grille 24 / 24S

emai

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05.45 C dans l’air

06.50 Debout les Zouzous

10.00 C’est notre affaire

10.35 Silence, ça pousse !

11.10 Question maison

12.00 C à vous

13.00 Les Escapadesde Petitrenaud

13.25 Wallis, le peuple du lagon

14.20 Petits d’homme, les deux premières années de la vie

15.20 Au cœur de la canopée

16.10 Israël, rêve d’avenir

17.05 La Dynastie des lionsdu Serengeti

18.00 Expédition Nouvelle-Guinée

19.00 Ludo

20.35 Echappées belles

21.35 Explora

22.30 Homo sapiens

00.05 Venise, 1575

01.00 Shangri-La et les aventuriers du paradis perdu

02.20 Echo-logis

05.50 Pour que tombe la pluie

06.45 L’Emploi par le Net


08.25 A vous de voir

08.55 Les Maternelles

10.00 Allô Rufo

10.10 Il faut sauver le diamant noir

11.10 Planète bleue

12.00 Midi les Zouzous

13.30 Le Magazine de la santé

14.25 Allô, docteurs

15.00 Comme chez nous

15.35 Le Recul des dieux

16.25 Polynésie entre cielet terre

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!

17.40 Echo-logis


19.00 C à vous

19.55 Gang de macaques

20.25 C à dire ?!

20.35 Le maître qui laissaitles enfants rêver


23.30 Pierre Cardin — Le Dernier Empereur

00.20 Darwin (R)évolution

01.15 L’Aventure des premiers hommes

02.05 Révolutions dansla nature

Emission sous-titrée par télétexte pour les sourds et les malentendants.


courtinformation





10.00 Allô Rufo

10.10 Avis de sorties

10.20 Survie : mode d’emploi







16.25 Expédition Nouvelle-Guinée

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!

17.40 Echo-logis


19.00 C à vous


20.25 C à dire ?!

20.35 Ces femmes qui luttent contre le crime

21.35 Prisons — Histoire d’une faillite


23.35 Avis de sorties

23.40 L’Air du temps :Régine

00.35 Thaïlande, la fleur de l’Asie

01.30 L’Aventure des premiershommes

02.15 Echo-logis


MARDI 5 MERCREDI 6 JEUDI 7 VENDREDI 8





10.00 Allô Rufo

10.10 Superstructures

11.05 Faune d’Europe





15.30 La Route des deuxocéans

16.30 Zoo nursery

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!

17.40 Echo-logis


19.00 C à vous


20.25 C à dire ?!

20.35 Question maison

21.20 Silence, ça pousse !

21.45 C’est notre affaire


23.25 Grains de folie — Petites Histoires du caviar français

00.15 69, année érotique ?







10.00 Allô Rufo

10.10 Dynasties de légende

11.05 Un combat pourles buffles





15.35 La Grande Muraillede Chine

16.25 Planète insolite

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!

17.40 Echo-logis


19.00 C à vous


20.25 C à dire ?!

20.35 La Grande Librairie : Spéciale Albert Camus


23.50 Voyage aux confinsde l’Univers



02.25 Echo-logis





10.00 Allô Rufo

10.10 A la poursuite des pierres précieuses

11.05 Planète bleue




15.00 Empreintes


15.35 Au cœur de la canopée

16.30 Les Dix Plaies d’Egypte

17.25 C l’info

17.30 C à dire ?!

17.40 Echo-logis


19.00 C à vous


20.25 C à dire ?!

20.35 Empreintes :Daniel Pennac, la métamorphose du crabe

21.30 Café Picouly


23.50 La Route des deux océans

00.45 Superscience


02.25 Echo-logis

Grille 24 / 24 documentaire magazine fictionjeunesseprogramme

courtinformation


ContactsDIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DU MARKETING

Valérie DissauxDirectriceTél. 01 56 22 92 [email protected]

Laurence CadenatDirectrice adjointe en charge du service de presse Tél. 01 56 22 92 33Fax 01 56 22 95 [email protected]

Blandine GuyonAttachée de presseTél. 01 56 22 92 [email protected]• Question maison • Silence, ça pousse ! • C à dire ?! • Fourchette & sac à dos • C politique • Le Doc du dimanche • Teum Teum

Frédérique Lemaire-BenmayorChargée de communicationTél. 01 56 22 92 [email protected]• C dans l’air • Documents Arts et culture • Un soir au musée • Un soir avec… •Cinémas • Empreintes • Webdocumentaires• La Grande Librairie : Spéciale Camus

Anne-Sophie BruttmannAttachée de presseTél. 01 56 22 92 [email protected]• Ludo Zouzous + Ludo • Documentaires sciences et environnement• Programmes courts • Café Picouly • L’Œil et la Main • A vous de voir • Darwin (R)évolution

Philippe BroussaudAttaché de presseTél. 01 56 22 92 [email protected]• Echappées belles • Les Maternelles • Allô Rufo • Documentaires histoire

PARTENARIATSResponsableEstelle BrouckeTél. 01 56 22 92 [email protected]

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Eric MartinetChef de service Tél. 01 56 22 92 [email protected]

ÉDITIONS-PHOTO

RELATIONS AVEC LES TÉLÉSPECTATEURSResponsableIsabelle PivierTél. 01 56 22 92 45 [email protected]

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Sylvie SyrenAttachée de presseTél. 01 56 22 92 [email protected]• Documentaires découverte • Documentairesanimaliers • Coproductions internationales• Gang de macaques • Le chef est unefemme • Petits d’homme • Les Dix Plaiesd’Egypte • Echo-logis (saison 2)

Alicia FlochAttachée de presseTél. 01 56 22 92 [email protected]• Les Escapades de Petitrenaud • Fiction • Le Magazine de la santé • Allô, docteurs • C l’info • Médias, le magazine

Carole CurtAttachée de presseTél. 01 56 22 92 [email protected]• C’est notre affaire • Documentairessociété et économie • La Grande Librairie • Empreintes • Comme chez nous • Ces femmes qui luttent contre le crime • La Grande Librairie : Spéciale Camus • Faillite carcérale : autopsie comptable • Webdocumentaires

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Photos, mode d’emploi

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Service photo

Valérie Blanchet 92 [email protected]

Nathalie Guyon 92 [email protected]

Valérie Prades 92 [email protected]

Ont participé à ce numéro

Stéphanie Chaix, Christine Guillemeau

Coordination / Abonnements

Nelly Berne 92 [email protected]

Direction artistique / maquette

Antoine Vu Dinh Khiem 92 [email protected]

Graphisme

Michaël Isler 92 [email protected]

Société nationale de programmesFrance 5

10, rue Horace-Vernet92785 Issy-les-Moulineaux Cedex 9ISSN 1761-9211 N° AIP 0000471

Directeur de la publication

Patrick de Carolis

Photogravure

K & D Média

Relations téléspectateurs0 890 71 05 05 (0,15 ¤ TTC/min)