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Janvier/février 2018 58 NUMÉRO D ans Ma Ville Le magazine de Saint-Leu-la-Forêt 2018 Cultivons nos plus belles énergies !

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Janvier/février 2018

58NUMÉRO

Dans Ma VilleLe magazine de Saint-Leu-la-Forêt

2018

Cultivons nos plus belles énergies !

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Éditorial

Je tiens à vous présenter tous mes vœux de bonheur et de santé pour cette nouvelle année, pour vous, ainsi que pour toutes celles et tous ceux qui vous sont chers. Comme il s’agit de mes premiers vœux en tant que maire, je veux me permettre une familiarité particulière avec chacun d’entre vous.

Dans quelques jours, il y aura trois mois que je suis devenue maire de Saint-Leu-la-Forêt. Durant cette période j’ai pris connais-sance des dossiers importants qui se présentent et c’était également une période constructive de passation où j’ai directement pu apprécier l’engagement constant et fervent de Sébastien Meu-rant pour notre ville. Indéniablement, il a mis Saint-Leu-la-Forêt sur les bons rails, sur la voie de l’équilibre et des ambitions retrouvées. Cette réalité née de sa volonté politique et de son affection pour Saint-Leu-la-Forêt, m’oblige à poursuivre avec la même véhémence et le même courage le travail effectué depuis bientôt 10 ans. Dans ce regain de confiance dont nous sommes tous les bénéficiaires, je veux que 2018 marque un nouveau repère. À cet instant où nous récoltons les fruits des actions bénéfiques initiées par mon prédécesseur, parce que nous avons des raisons d’être plus sereins, je veux que l’enthousiasme accompagne la moindre de nos initiatives. On agit d’autant mieux que nous sommes convaincus de ce qui est essentiel et utile. C’est avoir le sens de l’intérêt général que de savoir miser sur ses forces sans dénier ses faiblesses. Je connais Saint-Leu-la-Forêt. Notre ville est naturellement portée par des énergies aussi diffuses que constructives : autant de raisons qui nous imposent de lui offrir le meilleur.

Pour ces raisons, je ne doute pas que nous nous retrouvions sur l’essentiel de ce qui est mis en œuvre : sur nos orien-tations budgétaires qui préservent notre capacité à investir durablement, sur notre engagement à mieux pourvoir la police municipale pour garantir la sécuri-té des Saint-Loupiens, sur nos projets de réhabilitations en centre-ville et dans la plaine avec entre autres, la rénovation de la façade de la mairie, la construction de la nouvelle salle des fêtes rue Gambetta et le développement du projet d’éco-quartier dans la Plaine.

L’ambition que nous souhaitons affirmer pour la cité est en rapport avec sa vita-lité intrinsèque, largement relayée par la qualité de la vie associative. C’est cette synergie entre les institutions commu-nales et l’énergie des bénévoles qui nous permet de nous retrouver aussi à l’occa-sion de rendez-vous que nous attendons et que nous souhaitons plus nombreux. Notre ville agréable à vivre appelle aussi les bons moments à partager ensemble. Dans les semaines qui viennent, le festi-val de l’hiver musical (du 19 janvier au 11 mars), le centenaire de l’arrivée du Jazz en France (le 21 janvier avec le jazz-Club), le bal celtique de l’école de musique (le 3 février), le carnaval (10 février) ou la course des coteaux (25 mars) nous don-neront l’occasion de nous forger dans la joie et la bonne humeur des souvenirs qui comptent.

Avec tout mon dévouement,

Sandra BilletVotre maire

Chères Saint-Loupiennes, chers Saint-Loupiens,

Som

mai

re

www.saint-leu-la-foret.fr

Notre ville est naturellement portée par des énergies aussi diffuses que constructives : autant de raisons qui nous imposent de lui offrir le meilleur

Directeur de la publication : Sandra BilletDirecteur de la rédaction : Loïc DrouinRédaction : Olivier PlantecosteCréation/Mise en page : Karine Chamignon-Rangé Maquette : Agence FlorilègesPhotos : Mairie de Saint-Leu-la-Forêt – Fotolia Impression : Imprimerie Desbouis-Grésil 01 39 33 01 01Régie publicitaire : Cithéa Communication 01 53 92 09 00Ce numéro a été imprimé à 8000 exemplaires. ISSN 1632-3203Papier aux normes environnementales.

Deux mois 4 La ville au fil des jours Le magazine en images

Actualités 6 Ce qu’il faut savoir…

Événement 10 2018 : cultivons nos belles énergies

Aménager 12 Des travaux dans la ville

Développement durable 14 Coupes rases : les dilemmes de l’ONF

Entreprendre 15 Le 1er Forum de l’orientation inauguré par Michel-Édouard Leclerc

On en parle 16 Le marché se réinvente

Ca nous intéresse 18 Baby-sitting : un annuaire municipal labélisé

Vie sportive 19 FC Saint-Leu : le temps des ambitions

Sortir 20 Vos rendez-vous

Agenda culturel 23 Prenez date !

Les Saint-Loupiens 24 Ils font l’actualité

Service public 25 La ludothèque : de la nécessité de jouer

Tribunes 26 Libre expression des groupes politiques

4 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 2018

5 18 et 19 novembre : 71 créateurs font battre le cœur des « Métiers d’Art » organisés par Saint-Leu Art Expo

25 novembre : l’école de 4 Musique réunit les chorales de Saint-Leu pour fêter la Sainte-Cécile, patronne des musiciens

5 11 novembre : 99e commémoration de l’armistice qui mettait fin à la Première Guerre mondiale avec la participation des élèves de l’école Marcel Pagnol

5 12 novembre : déjeuner d’automne des seniors au CSL les Dourdains

25 novembre : 5e journée des droits de l’enfant parrainée par l’UNICEF 6

Deux mois Saint-Leu-la-Forêt

au fil des jours : des gens, des événements

et quelques dates.Le magazine en images.

N’hésitez pas à nous envoyer

vos photos> à l’adresse mail :

[email protected]

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12 décembre : 4 chansons mythiques, danses endiablées et douceurs sucrées pour le goûter de Noël des Seniors

5 25 novembre : la Reine Hortense, également Duchesse de Saint-Leu et Napoléon III, son fils : sujets passionnants de la conférence proposée par Saint-Leu-Terre d’Empire

5 26 novembre : le Jazz Club de Saint-Leu célèbre Duke Ellington avec Sylvia Howard & the Black Label Swingtet

5 1er décembre : lancement des illuminations de Noël proposé par « St Leu Priorité commerces » avec la Reine des neiges accompagnée par Michael Jackson…

5 9 décembre : à l’occasion de la sortie de son dernier livre « Silencieuse » aux éditions Seuil, la romancière Michèle Gazier fait l’objet d’une rencontre littéraire à la médiathèque Georges Pompidou

6 Les 15, 16 et 17 décembre Saint-Leu-la-Forêt fête Noël

6 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 2018

Actualités

Élu le 24 septembre 2017, Sébastien Meurant a fait ses premiers pas au Sénat la semaine suivante. Comme il le souhaitait, il accède à la commission des Finances où il

devient le rapporteur spécial sur les questions d’immigration, de droit d’asile et d’intégration. Il est également membre de la délé-gation aux entreprises et siège avec la majorité Les Républicains. Il a vite pris ses marques auprès de ses pairs et participe déjà à de nombreux groupes de travail et d’échange. Peu de temps pour découvrir le Palais du Luxembourg pour les nouveaux sénateurs récemment élus. Depuis fin octobre, les séances s’enchainent avec les examens des projets de la loi de finance rectificative, de loi de finance de la sécurité sociale et de la loi de finance géné-rale. Dans ce cadre, le Sénateur a pu cosigner des amendements et interroger différents ministres sur les sujets liés à sa commis-sion et aux préoccupations des élus locaux. Ainsi le 14 novembre, au cours d’une audition du ministre de l’In-térieur, Monsieur Gérard Collomb, Sébastien Meurant a demandé au ministre d’État comment il comptait faire face aux flux massifs de personnes en situation irrégulière et comment reconduire effi-cacement les personnes dont la demande d’asile ou d’accès au territoire a été refusée.Le 23 novembre, il a interpellé Benjamin Griveaux, alors secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie sur la suppression de la Taxe d’habitation pour 80% des Français. Le 24 novembre, la question était également posée à Gérald Darmanin en séance. Le 5 décembre, Sébastien Meurant, en tant que rapporteur spé-cial, a commis son premier discours sur le « plateau ». C’est l’équi-valent du perchoir à l’Assemblée nationale. Il y a défendu l’insin-cérité du budget proposé par le gouvernement pour lutter contre l’immigration et la baisse des crédits alloués à l’intégration. Le Sénat a suivi l’avis du rapporteur spécial et le budget a été rejeté, retournant à l’Assemblée pour une nouvelle lecture. Enfin, pour le Val-d’Oise, il n’a de cesse de défendre les conditions de transport et notamment les projets structurants tels que la création de la ligne 17 du Grand Paris Express et l’interconnexion de la ligne H à la gare Saint-Denis / Pleyel pour 2024. Si vous souhaitez suivre l’actualité du Sénateur, rendez-vous sur www.senat.frUne fois sur la page vous cherchez votre sénateur et vous retrou-verez toute son activité ainsi que ses interventions filmées.

Les premiers jours du Sénateur Meurant Sandra Billet

au 100e congrès des maires

Si j’étais, non pas sur cette estrade, mais, comme l’an passé, assis à votre place, peut-être ferais-je partie de ceux d’entre

vous qui sont aujourd’hui inquiets ». Le 21 novembre dernier, en écoutant Édouard Philippe, le Premier ministre qui était l’an passé dans le public en tant que maire du Havre et se retrouvait à la tribune pour ce 100e congrès des maires de France, Sandra Billet comme une majorité de ses collègues maires avait du mal à cacher son inquiétude. « Le Premier ministre est un homme sérieux qui sait communiquer, notamment quand il nous dit que nous savons que notre mission consiste bien plus souvent à dire non qu’à dire oui. Mais son discours de la raison ne nous donne hélas pas matière à espérer après quelques coups de rabots significatifs : la suppression des contrats aidés, la baisse des APL et les 13 Mds€ d’économies exigées des maires (au lieu des 10 prévues initialement » ! Pour la maire de Saint-Leu-la-Forêt, rien ne change concrètement dans les faits même si le président de la République souhaite mettre en place une « refonte totale de la fiscalité locale » pour les collectivités. « Comment être réellement rassuré par la compensation de l’exonération de la taxe d’habitation qu’il prévoit. Oui, je suis sceptique sur ce qu’il annonce pour rétablir la confiance entre l’État et les collectivités. Et comme François Baroin, président de l’Association des maires de France (AMF), j’ai du mal à comprendre sa logique quand il dit vouloir supprimer une recette fiscale pour la remplacer par une dette supplémentaire de l'État qui devra emprunter pour nous compenser au moment même où il est d’abord question de réduire la dette publique ! »

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78 % des moins de 26 ans voient leur avenir en rose : la confiance en l’avenir a augmenté de 9 points en trois ans chez les adolescents et les jeunes adultes. La jeunesse est plus optimiste, c’est l’élément clé de l’étude réalisée fin 2017 par OpinionWay pour Le Parisien.

Le chiffre

78

Vendredi 26 janvier à 19 h, Sandra Billet présentera ses vœux aux Saint-Loupiens au gymnase Jean-Moulin. Sa première cérémonie en tant que maire de Saint-Leu-la-Forêt est un moment que Sandra Billet

veut convivial et chaleureux. « Une fois dans l’année, avec nos différences, nous pouvons nous retrouver sur l’essentiel et nous souhaiter le meilleur ! »

Cérémonie des vœux

Alors que le débat sur la place de la voiture à Paris suscite de plus en plus de passions, la question

de l’avenir du périphérique se pose pour de plus en plus d’élus socialistes qui considèrent le périphérique « obsolète ». Pourtant, c’est l’autoroute urbaine la plus fréquentée d’Europe ! À lui seul, cet axe majeur représente, selon l’Atelier pari-sien d’urbanisme (Apur), 35 à 40 % du trafic routier pari-sien et est fréquen-té quotidiennement par plus de 1,1 mil-lion de véhicules. Mais pour Anne Hidalgo, la maire de Paris, ce symbole de l’automobile reine, dont la construction a débuté dans les années 1960 pour s’achever complè-tement en 1973, doit être foncièrement remis en cause. Une idée récurrente qui frôle l’obsession, d’autant que la Ville de Paris a décidé d’interdire le diesel en 2024 et souhaite ardemment la dis-parition de l’essence pour 2030. Dans cet esprit et dans la perspective 2020-2022, l’une des pistes étudiées par son équipe municipale pourrait voir le jour rapidement : les quatre voies actuelles du périphérique seraient conservées mais une serait dédiée au covoiturage.

Périphérique :

Anne Hidalgo veut s’attaquer au périphérique ! Une manière de réduire les émissions de CO2, la congestion et les embou-teillages qui a cours à Los Angeles, avant de mettre en place pour 2030 un boulevard urbain avec des transports en commun et des véhicules autonomes. Une réflexion qui de toute façon ne pourra pas faire l’économie du consen-tement du Grand Paris et de la Région.

Car il faudra aussi également trouver de vraies solutions pour les autoroutes qui se terminent à Paris. Même si aucune date n’est avancée, pas plus que de projet concret, des élus et pas des moindres,

à l’instar de Célia Blauel, Adjointe à la Maire de Paris en charge des questions relatives à l'environnement, se réfèrent fréquemment à l’étude commandée par la ville en 2010 à un cabinet d’archi-tectes dans lequel on pouvait voir le péri-phérique dans le XVIIe arrondissement tel un espace ouvert dans la ville, faisant le lien entre Paris et les communes voi-sines, avec des transports, des parcs et des habitations. Une image trafiquée où la végétation vient masquer le mur érigé entre Paris et sa banlieue. Comme si de rien n’était…

Avec la disparition de Johnny Hallyday, c’est incontestablement un pan de l’histoire de chacun qui s’est trouvé

affecté. Le Président de la République ayant même déclaré « On a tous quelque chose de Johnny ». La cérémonie du 9 décembre dernier à la Madeleine était tout à fait exceptionnelle : illustrant à la fois l’immense émotion suscitée par la mort du chanteur dans le pays et l’appétit insatiable de la société du spectacle qui raffole de la mise en scène du crépuscule des divinités médiatiques. Toujours est-il que Paris n’avait pas connu pareil rassemblement du souvenir et d’hommage depuis Édith Piaf et Victor Hugo.

photoLa

Je crois que si je passe pour l’écrivain du bonheur, c’est parce que je pense qu’il faut être heureux en dépit de tout le reste

La phrase

Jean d’Ormesson (1925-2017)Écrivain qui recyclait le ciel gris dans son regard bleu. Esprit français à la bannière étoilée.

Actualités

8 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 2018

Du 18 janvier au 17 février 2018 certains d’entre vous seront appelés à participer

au recensement. Se faire recenser est un geste civique, utile à tous. Le recensement de la population per-met à l’Insee de connaître le nombre de personnes vivant dans chaque commune. De ces chiffres découlent la participation de l’État au bud-get des communes, le nombre de conseillers municipaux ou le nombre de pharmacies. Par ailleurs, ouvrir une crèche, installer un com-merce, construire des logements ou développer des moyens de trans-port sont des projets s'appuyant sur la connaissance de la population. Le recensement permet ainsi d’ajuster l’action publique aux besoins des populations. Participer est simple  : un agent recenseur recruté par la mairie se présentera chez vous et vous remet-tra vos identifiants pour vous faire recenser en ligne ou, si vous ne le pouvez pas, les questionnaires papier à remplir qu’il viendra récupé-rer à un moment convenu avec vous. Le recensement se déroule selon des procédures approuvées par la Commission nationale de l’informa-tique et des libertés (CNIL). Lors du traitement des questionnaires, votre nom et votre adresse ne sont pas enregistrés et ne sont pas conser-vés dans les bases de données. Enfin, toutes les personnes ayant accès aux questionnaires (dont les agents recenseurs) sont tenues au secret professionnel.Le recensement par internet, c’est plus pratique! Pour en savoir plus, vous pouvez vous adres-ser à votre agent recenseur, à votre mairie ou vous rendre sur : www.le-recensement-et-moi.fr

Les inscriptions scolaires des enfants entrant

à l’école maternelle (nés en 2015) se dérou-

leront du lundi 8 janvier au vendredi 2 février 2018 inclus à la Direction des affaires scolaires, de l’enfance, de la jeu-nesse et des sports (14 rue de l’Église). Les parents concernés doivent être munis des pièces suivantes : livret de famille (ou acte de naissance de l’enfant), justificatif de domicile datant de moins de 3 mois (quittance de loyer, fournisseur d’électricité, etc), nom, adresse, téléphone des employeurs des parents, numéro d’affiliation aux allocations familiales et extrait du jugement de divorce ou de séparation (si nécessaire).Lundi : de 13 h 30 à 17 h 30 / Mardi – mercredi – jeudi – vendredi : de 8 h 30 à 12 h

Recensement 2018

Ouverture des inscriptions scolaires

C’est désormais une réalité ! Val-Parisis équipe son territoire dont Saint-Leu-la-Forêt de bornes de

recharge pour véhicules électriques et hybrides rechargeables. 82 équipe-ments accessibles au public vont être ainsi progressivement déployés entre le 19 décembre 2017 et juin 2018 sur les 15 communes. La première borne sur la commune sera installée sur le par-king du rond-point du Jubilé. L’objectif de la Communauté d’agglomération : encourager la mobilité électrique des habitants. En offrant aux utilisateurs de véhicules électriques un dispositif de 82 bornes publiques de recharge pour les véhicules électriques et hybrides rechargeables, la Communauté d’ag-glomération Val Parisis a souhaité développer une solution de mobilité au service des habitants et des entreprises de son territoire. Les mises en service débuteront à partir du 19 décembre 2017 et se poursuivront jusqu’à fin juin 2018. Chaque borne sera équipée de 2 points de charge, lente près des gares et accélérée en centre-ville, permettant à deux véhicules de se recharger en

même temps. Compatibles avec le plus grand nombre de formats, les bornes de recharge seront accessibles à tous grâce à un badge à commander en ligne sur www.freshmile.com/valparisis. La charge est gratuite jusqu’au 2 sep-tembre 2018 inclus. La tarification qui sera appliquée à partir du 3 septembre 2018, fixée par Val Parisis, se voudra accessible et incitative. Par ailleurs, les propriétaires de véhicules électriques et hybrides rechargeables pourront égale-ment stationner gratuitement dans les secteurs de stationnement payant sur le territoire.

Renseignements : 01 30 40 22 04Pour les enfants entrant au cours pré-paratoire (nés en 2012) et fréquentant une école maternelle de la ville, les inscriptions s’effectuent par correspon-dance. Un dossier a été remis à chaque élève scolarisé par l’intermédiaire de son enseignant et a été rendu complété le 12 décembre dernier. En cas de 1ère inscription à Saint-Leu-la-Forêt, la pro-cédure est identique à celle des enfants entrant à l’école maternelle.

Bornes électriques : elles arrivent !

Accueils de loisirs Les inscriptions en accueil de loisirs pour les vacances d’hiver 2018 auront lieu du 8 au 26 janvier 2018.Accueils de loisirs ouverts : La Châtaigneraie pour les élémentaires, Marie Curie pour les maternels,

Rentrée

2018/19

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Le Carnaval fête les enfants de Saint-Leu

Permanences du Maire et des élus Sandra Billet, votre maireSans rendez-vous aux heures d’ouverture de la mairie : les samedis 20 janvier et 17 mars

Anne Marioli, adjointe au maire déléguée aux Affaires socialesSans rendez-vous aux heures d’ouverture de la mairie : les samedis 20 janvier et 17 mars

Christian Malacain, conseiller municipal RBM reçoit en mairie sans rendez-vous tous les premiers samedis du mois de 10 h à 12 h

Permanence de la députéeNaïma Moutchou reçoit le vendredi 26 janvier 2018 de 10 h à 12 h en mairie

Prochain Conseil municipal30 janvier - 20 h 30 à la Maison pour Tous, rue du Château.

Groupes de quartierIls vous représentent et font remonter les informations du quotidien de votre quartier. Vos contacts :Groupe de quartier de la Plaine [email protected] de quartier du Centre-ville [email protected] de quartier des Coteaux [email protected] de quartier des Tannières [email protected]

Inscrivez-vous à la course des coteaux !

Perdu/Trouvé

La montée de Chauvry et son incroyable déni-

velé vont une nouvelle fois faire le spec-tacle ! Plus de 500 coureurs sont atten-dus au départ de la désormais classique saint-loupienne. La quatorzième édition de cet évène-ment sportif devenu un rendez-vous populaire aura lieu le dimanche 25 mars et saura à coup sûr, une nouvelle fois, attiser l’appétit des compétiteurs les plus chevronnés et les plus motivés à l’image de Yawo Kloutse de Saint-Brice Athlétisme, vainqueur l’an passé. Pour les participants plus modestes : n’oubliez pas qu’à côté de la course reine, les jeunes (des poussins aux cadets) et les moins aguerris (un parcours de 5 km) peuvent également prendre part à la compétition.Renseignements : 01 30 40 22 52 [email protected] en ligne : à partir du 5 février 2018 sur le site www.prolivesport.fr

La dictée du cœur avec Gilles Legardinier

Le samedi 10 mars, le Rotary-

club organise un concours de dictée ouvert à tous au CSL Les Dourdains. Après Robert Plagnol l’an passé, c’est au tour de l’écri-vain saint-loupien Gilles Legardinier de faire la dictée aux participants. L’objet de cette manifestation est de rassem-bler un large public intergénération-nel pour partager un moment convi-vial et ludique autour d’une dictée. Le Rotary souhaite promouvoir la lec-ture et l’écriture, mais également sen-sibiliser la population à la réalité de l’illettrisme en France et de collecter des fonds au bénéfice d’une action. En 2018, le club souhaite soutenir maté-riellement au sein d’une école primaire de Saint-Leu-la-Forêt, l’ouverture d’une classe « ULIS», qui accueille les élèves en situation de handicap ou de maladies invalidantes qui ne peuvent être entière-ment pris en charge dans le cadre d'une classe ordinaire.10 mars à 14 h au CSL Les Dourdains 3 catégories : moins de 10 ans, moins de 18 ans, adultes et de nombreux prix à gagnerRenseignements et inscriptions : [email protected] 61 54 96 70

Vous avez perdu vos clefs, un gant, un doudou ? Ou vous avez trouvé un chat ou un portefeuille ? En pareils cas, « Entre Saint-Loupiens » peut considérablement vous aider. Désormais, une rubrique "J'ai perdu - J'ai trouvé" est désormais proposée « Entre Saint-Loupiens », en partenariat avec la Ville. (www.saint-leu-la-foret.fr).

Le carnaval aura lieu cette année le 10 février prochain. « À une période qui s’inscrit dans la tradition des

carnavals  » comme le souligne Marie-Christine Pinon-Baptendier, adjointe au maire déléguée à la Culture et aux Associations culturelles, l’édition 2018 sera dédiée aux enfants de Saint-Leu-la-Forêt qui seront accueillis au gymnase Jean-Moulin de 14 h à 18 h 30. Le moment clé sera le grand concours de déguise-ment (pour les 5 / 12 ans) ou l’élection du plus beau costume. Trois catégories ont été retenues : personnages de conte

et de dessins animés (catégorie 1), super héros et robots (catégorie 2), animaux de conte et de

dessins animés (catégorie 3). Chaque catégorie couronnera trois gagnants. Le but étant de récompenser la créativité des costumes, les petits saint-loupiens sont invités à imaginer et à réaliser eux-mêmes leur propre déguisement et non à acheter un costume « tout fait ». La fête battra son plein au rythme des tempos colorés du carnaval et au fil d’un rassem-blement joyeux.Inscription obligatoire : 01 30 40 22 [email protected]

Événement

Dans Ma Ville : Vous présentez vos vœux aux Saint-Loupiens avec une carte qui met en lumière des enfants de Saint-Leu. Est-ce le fait d’avoir été durant plus de trois ans, adjointe délé-guée, notamment, à l’éducation qui a motivé ce choix ?Sandra Billet : C’est vrai que c’est un domaine que je connais bien mais c’est le symbole qui m’importe. Il y a d’abord cette image forte qui s’échappe de la carte de vœux. Des enfants courent avec leur instrument de musique vers un hori-zon assurément prometteur. Ils affichent un sourire radieux. On fixe longtemps la photographie. Comme un ralenti que notre esprit commande pour profiter plei-nement de cet instant. Pour mes premiers vœux aux Saint-Loupiens, il m’a semblé important de mettre en avant l’espérance et l’énergie. L’idée de la photographie des enfants qui ont participé au projet Démos et ont ainsi pu avoir accès à la découverte de la musique classique pendant trois ans est tout un symbole. Celui de l’apprentis-sage, de la volonté, de la culture pour tous, de la force de la musique et surtout de la jeunesse qui, comme une promesse, a le pouvoir d’exprimer le meilleur de l’huma-nité. Après, nous avons tous de bonnes énergies qu’il convient de canaliser pour faire avancer la ville sur des dossiers déterminants.

DMV : Vous êtes maire de Saint-Leu depuis presque trois mois, qu’est-ce que vous avez eu le temps de faire en 3 mois ?SB : Je ne suis pas entrée dans des habits qui me donneraient soudai-nement un pouvoir magique. Pour moi, être maire cela implique sim-plement de faire le job ! Parce que c’est du travail que de vouloir bien faire pour sa ville, pour la collectivité ! Je découvre chaque jour. J’apprends. Mais je sais où je vais puisque notre liste a été élue par les Saint-Loupiens sur un programme précis. Puis j’ai la chance d’avoir des collègues, des coéquipiers très présents, actifs, compétents et avec lesquels nous partageons les mêmes ambitions pour Saint-Leu-la-Forêt.

DMV : Régulièrement des Saint-Loupiens s’inquiètent des projets immo-biliers. Vous souhaitez que la commune poursuive ses programmes de construc-tion ?

« En 2018, cultivons nos plus belles énergies ! »Des projets, des réalisations, des rendez-vous et des émotions. ! Au fil de sa première interview, la maire de Saint-Leu-la-Forêt revient sur une année qui s’annonce avec la meilleure des vitalités pour faire encore mieux et encore plus.

10 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 2018

Sandra Billet :

SB : Les choses sont claires et ont été fort bien expliquées par Sébastien Meurant. D’une part notre ville a besoin de pérenniser ses services publics, d’as-surer son développement et le maintien de son attractivité. D’autre part, il y a depuis cinq ans, une vraie pression des pouvoirs publics pour densifier l’urba-nisation des communes. Même quand elles ont peu de foncier, ce qui est le cas de Saint-Leu-la-Forêt. Le Plan local d’urbanisme (PLU) qui a été modifié l’an passé doit nous préserver, c'est-à-dire préserver cette qualité de vie et cet équilibre urbain auquel nous sommes attachés et qui est la marque de Saint-Leu. Mais comme vous le savez, nous ne sommes pas à l’abri des décisions supra communales et notamment des orienta-tions autocratiques de l’État.

DMV : Pour les quartiers, les change-ments évoqués l’an passé par Sébastien Meurant sont-ils toujours d’actualité ?SB : Les projets suivent leur cours. Il n’y a pas de blocage à proprement parlé. Il est juste question des modalités, des inves-tissements, du recours à l’emprunt en fonction de nos capacités, des besoins réels qui sont parfois difficiles à mesurer et aussi des subventions qui se raré-fient d’autant que les dotations de l’État

sont devenues peau de chagrin ! Nous souhaitons toujours que les réaménage-ments des Diablots s’inscrivent dans une logique d’écoquartier, que le centre-ville poursuive sa mue en douceur et que le quartier de la gare corresponde à une entrée de ville qui fasse durablement le lien entre les quartiers du centre et de la Plaine avec des logements, des infras-tructures et des services. Les intentions ont déjà été définies et maintenant nous nous attelons à un calendrier fiable qui devrait être rendu public dans les mois qui viennent.

DMV : Les travaux dans la ville sont-ils des sujets techniques plus difficiles à appréhender quand on devient maire ?SB : À partir du moment où cela implique des changements significatifs dans la vie des Saint-Loupiens, c’est presque plus facile à comprendre et plus aisé quand il faut décider. Sur les dossiers d’actualité, j’ai très vite mesuré les attentes et les besoins. Qu’il s’agisse du fibrage de la commune programmé jusqu’en 2019, de

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l’extension du PPP concernant la rue du Rû et la rue Gateau pour laquelle nous avons organisé une réunion publique avec les riverains en fin d’année, du projet de construction d’une nouvelle Croix-Blanche dans le quartier de la gare (côté Plaine) ou encore du ravalement nécessaire de notre mairie…

DMV : Concernant la sécurité, l’an passé, la police municipale a fait son retour dans le giron communal. Que cela va-t-il réellement changer ?SB : D’abord, nous avons pris en compte la nécessité de ce retour sur le plan budgétaire. Nous devons aujourd’hui prendre en charge la masse salariale qui était précédemment assurée par l’agglomération. Ensuite, à partir du moment où nous devons assurer un poste qui est pour le moins régalien, nous devons répondre à la question de l’uti-lité publique et de la proximité en met-tant en place les outils dont nous avons besoin. Évidemment, nous avançons progressivement. Les policiers munici-

« Il s’agit pour la commune d’être extrêmement vigilant en matière de dépenses publiques sans pour autant rogner sur les besoins élémentaires de la collectivité. Ma priorité, ce sont les Saint-Loupiens ! »

Sandra Billet :

paux qui seront bientôt armés recevront prochainement une formation adaptée avec des séances répétées de tirs super-visés. Au cours du premier semestre, un technicien cynophile (maître-chien) doit intégrer notre police municipale. Enfin, le nombre de caméras de vidéo-surveil-lance doit être revu à la hausse avec le concours de Val Parisis.

DMV : Êtes-vous sur la même ligne que votre prédécesseur qui a tenu à ne pas augmenter les taux d’imposition com-munaux ? SB : Avant Sébastien Meurant, il y avait eu des excès et le levier fiscal était devenu pour l’administration commu-nale la boîte de Pandore. Depuis 2008, les taux d’imposition communaux n’ont effectivement pas augmenté ! 10 ans sans augmentation ! Un fait extrême-ment rare compte tenu des baisses drastiques et consécutives des dota-tions de l’État. Je souscris tout à fait à cette volonté politique de Sébastien Meurant : il s’agit pour la commune d’être extrêmement vigilante en matière de dépenses publiques sans pour autant rogner sur les besoins élémentaires de la collectivité. Ma priorité, ce sont les Saint-Loupiens ! Maintenant, j’attends de voir ce que le Gouvernement déci-dera vraiment concernant ses dotations avec la perspective de la suppression de la Taxe d’habitation.

DMV : La question de l’enfance et de la jeunesse est toujours une priorité pour vous ?SB : Bien entendu ! Vous connaissez des sociétés responsables qui ne se préoccupent pas de l’avenir des enfants et des familles ? Pas moi ! Saint-Leu est une ville où nous comp-tons de plus en plus d’enfants. Nous avons d’ailleurs eu deux créations de classes l’an passé à l’école Jacques Prévert. Ce qui est un indice très posi-tif. Ces dernières années, nous avons rénové l’ensemble des établissements scolaires, nous nous sommes pourvus d’un contrat éducatif local qui a valeur de véritable feuille de route pour la

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communauté éducative. Nous poursui-vons le développement des Tableaux numériques interactifs (16 TNI sur 36 classes élémentaires), nous multiplions les actions en direction du public ado-lescent après la création de l’Espace municipal de jeunesse (EMJ). Nous continuerons dans le même esprit. 2018 verra l’agrandissement de la crèche des Diablots qui pourra ainsi augmenter l’offre d’accueil et comme nous l’avions annoncé, l’aire des Diablots verra l’ins-tallation de modules de jeux pour les enfants (jusqu’à 12 ans).

DMV : Avec la baisse des dotations les villes ont moins de moyens et certains domaines en pâtissent et notamment la culture : pour vous l’action culturelle est-elle déterminante ?SB : La culture est essentielle. Et je pense sincèrement que nous avons engagé des actions qui comptent comme avec Démos et que nous accompagnons au mieux celles et ceux qui animent la vie culturelle dans la cité. Mais je veux reve-nir sur un sujet qui me touche et dont on parle beaucoup  : l’importance de la lecture publique et l’accès au livre pour les enfants et les familles. Au moment où l’on dénonce le niveau de lecture des petits Français, il faut absolument développer les actions qui vont vers plus de lecture : et ce n’est pas parce que la compétence « Lecture publique » est dépendante de Val Parisis que je ne vais pas inviter mes collègues à plus de cohésion entre les propositions commu-nales et les actions intercommunales !

DMV : Dans le même esprit, le sport est aussi un domaine à privilégier selon vous ?SB : Contrairement à Sébastien Meurant, je ne suis pas sûre de courir le 25 mars prochain la course des coteaux (rires) mais je reconnais au sport tellement de qualités qui favorisent le dévelop-pement personnel. Le sport dans une ville comme Saint-Leu, c’est primordial. Nos équipements sont de qualité. Notre stade est superbe, et nous avons des projets de piscine avec Taverny et un projet d’agrandissement du Tennis-Club de la Chataigneraie que nous mènerons à terme. Plus prosaïquement, dans les mois qui viennent, des points d’entrai-nement sportifs seront installés aux Diablots (agrès dédiés et spécifiques) pour promouvoir l’exercice physique et la pratique sportive dans la ville et le terrain de basket extérieur, attenant au gymnase Jean-Moulin sera mis en accès libre. C’est une demande qui correspond à la densité associative sur la ville.

DMV : Les associations qui sont effecti-vement très nombreuses !SB : Plus d’une centaine qui se déve-loppent, se réinventent, se créent ! Cette année, le comité de jumelage célèbrera le 30e anniversaire du jumelage avec Wendlingen et prépare un rapproche-ment avec une ville italienne. En ce début d’année, le Jazz-Club commémore les 100 ans du Jazz en France, en mai, Saint-Leu Art-Expo fêtera ses trente ans ! Il n’y a pas une semaine, un mois, une année sans qu’il ne se passe un événement qui parle de la vitalité asso-ciative ! Ça c’est Saint-Leu !

DMV : Pour terminer, 2018 cela signifie une chose particulière pour vous ?SB : Le fait d’être maire m’amène à consi-dérer la question du temps, de l’histoire et de l’action publique avec un regard sans doute différent. Cette année, certains célèbreront mai 68 dont les effets sont incontestables et diversement appré-ciés. Ce sera de toutes les manières une manière d’exercer notre esprit critique. Enfin, à titre personnel, je souhaite que la ville commémore dignement le cente-naire de l’armistice de 1918 en associant la population. Nous nous souviendrons et redirons les noms des Saint-Loupiens morts pour la France. Nous rappellerons leur histoire qui est aussi la nôtre.

Événement

Il n’y a pas une semaine, un mois, une année sans qu’il ne se passe un événement qui parle de la vitalité associative ! Ça c’est Saint-Leu !

Avec Val Parisis, Saint-Leu-la-Forêt voit son nombre de caméras de vidéo pro-tection augmenter. Alors qu’elles étaient au nombre de 16 fin 2017, elles passe-ront à 18 cette année et à 20 en 2019.

Les travaux d’enfouissement des réseaux aériens programmés sente du Pré commenceront le 9 janvier pro-chain. Suivra la rénovation du trottoir de la rue.

Les travaux d’envergure prévus rue du Rû et rue Gateau dans le cadre de l’extension du PPP (Partenariat Public Privé) se dérouleront du 9 jan-vier jusqu’à la fin juin. L’enfouissement des réseaux aériens, la rénovation du réseau d’assainissement, la mise aux normes avec un certain nombre de raccordements, la réfection de la voirie sans trottoir (comme rue de la Forge) et la pose de trois bornes enterrées pour les ordures ménagères sont à l’ordre du jour. La réunion publique du 7 décembre dernier a permis d’informer les riverains sur la nature des interven-tions et leurs effets sur l’accès à ces deux voies publiques. Il faut rappeler que ces travaux dont le coût est estimé à 1 million d’euros sont financés, en

Le mur du cimetière fait l’objet de travaux importants : les palissades métalliques ins-tallées par endroit après l’effondrement important de pierres sont retirées et laissent place à un nouveau mur en meulière parfaite-ment conforme à l’esprit de l’ouvrage initial. La première partie rue Michelet est en cours d’achèvement et dans la foulée, le mur qui donne sur la rue Jacques Prévert sera à son tour rénové. Coût : 50 000 €

Les locaux de la police municipale qui donnent sur le square Leclerc vont être

agrandis en lieu et place de l’ancien local syndical attenant. Coût : 2500 €

Vidéo protection Sente du Pré

Extension du PPP

Police municipale

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Aménager

C’EST à NOTER !

La sécurité des piétonsPour plus de sécurité, un pas-sage pour les piétons va être créé rue Jean Jaurès entre l’avenue des Diablots et le Boulevard André Brémont (au niveau de la résidence des « Terres blanches »). Dans le même esprit, il faut noter l’installation d’un feu tri-colore intelligent à l’angle de la rue du Général de Gaulle-rue de Paris et rue Jules Moulin. Équipé de pro-grammateurs, ce feu doit permettre de mieux organiser la circulation en fonction des heures de la jour-née de manière, notamment, à prendre la mesure de la densité de circulation le matin à proximité des écoles. Cette solution de régulation cumule de nombreux avantages comme la priorisation aux appels piétons, la prise de conscience des bienfaits de la limitation de vitesse ou encore la maîtrise de la fluidité de la route. À la clé également, une réduction notable de la pollution de l'air et des nuisances sonores.

RLPLe Règlement local de publicité adopté le 10 décembre 2015 et exécutoire le 15 janvier 2016 impose aux afficheurs de se mettre en conformité avant le 15 janvier 2018. Quant aux commerçants, ils ont jusqu’en 2022 pour faire face à leurs obligations liées au RLP.

Les bons gestesDes poubelles plus grandes, des bornes de sacs pour déjections canines supplémentaires : la pro-preté dans la ville est l’affaire de tous. Comme les services munici-paux ne peuvent pas tout, chacun se doit d’être responsable et adopter les gestes citoyens d’utili-té publique : qu’il s’agisse de tri sélectif, du respect de l’environne-ment ou encore de l’entretien de « son » trottoir en cas de verglas, de neige ou de chute de feuilles dont les arbres sont plantés sur votre propriété.

Cimetière

partie, grâce à la renégociation par la ville des intérêts en rapport avec le PPP contracté en 2012 pour réaliser des travaux rues du Général de Gaulle, de Chauvry, de la Forge et le chemin des Claies avec la société Sphéria.

Développement durable

Puis les périodes de sécheresse qui ont suivi ont achevé les arbres aux systèmes racinaires nécrosés. Afin de quantifier ce constat alarmant, un tra-vail de cartographie a été fait à partir de photos aériennes. Cela a permis dans un premier temps de visualiser les zones les plus impactées et de faire un bilan du dépérissement dans cette forêt. Les premières mesures sylvicoles consistent aujourd’hui à programmer sur les peuplements morts ou dépéris-sants des coupes sanitaires conduisant à des coupes rases qui seront suivies de plantations d’essences mieux adap-tées au sol et tolérantes au pathogène.

VigilancePour Laurent Lucas, conseiller muni-cipal délégué au Domaine forestier, la communication de l’Office national des forêts n’a jamais été plus claire, lais-sant entendre que si l’émotion suscitée par certaines décisions étaient inévi-tables, ces mêmes décisions étaient en rapport avec une gestion respon-sable et une conscience éco citoyenne. « Il y a eu manifestement par le passé un déficit de communication qui n’était pas acceptable à partir du moment où l’on considère que la forêt est un

bien commun. Mais aujourd’hui, nous devons reconnaitre à l’ONF son désir d’associer le public qui fréquente la Forêt en faisant cas de leurs observa-tions». En effet, depuis quelques mois, la direction territoriale Seine-Nord de l’Office national des forêts a mis en place une nouvelle stratégie de sylvicul-ture, dite irrégulière, qui permettra aussi de poursuivre l’exploitation raisonnée des forêts. Des nouvelles orientations qui visent à amplifier la prise en compte de l’enjeu sociétal des forêts en répondant aux attentes de la population. Ce qui tend à promouvoir le mouve-ment « vers la fin des coupes rases » en Île-de-France pour consacrer des espaces privilégiés, de loisirs où chacun peut découvrir et profiter de la nature. «  Un moment que nous avons tous souhaité et que malheureusement nous devons ici apprécier avec des bémols de poids ! » poursuit Laurent Lucas qui se veut vigilant en souhaitant plus que jamais que les coupes rases program-mées s’inscriront uniquement dans le cycle de régénération de la forêt de Montmorency.Plus d’infos : www.onf.fr/enforet/montmorency

L’ONF a annoncé vouloir arrêter les coupes rases pour les sept ans qui viennent afin de maintenir dans les cinquante forêts domaniales d’Île-de-France un couvert boisé permanent et éviter les changements trop brusques du paysage. Un cap qui semble difficilement tenable pour la forêt de Montmorency qui souffre d’un dépérissement important.

Les dilemmes de l’Office national des forêts : comment arrêter les coupes rases tout en soignant la Forêt de Montmorency ?

Décidément la Forêt de Montmorency joue de mal-chance ! Alors que l’ONF met

en place une gouvernance qui tient compte davantage des usagers et des comités de défense qui contri-buent également à sa sauvegarde, les coupes rases qui sont appelées quasi-ment à disparaître jusqu’en 2023 dans 50 domaines forestiers vont se pour-suivre en forêt de Montmorency ! Et qui sait, peut-être même s’inten-sifier  ! Ce régime de défaveur qui n’a rien d’un choix arbitraire est consécutif au grave dépérissement dont elle fait l’objet. En effet, la forêt domaniale de Montmorency, grand massif d’environ 2000 hectares, se caractérise par une proportion importante de châtaigniers (plus de 70  % des peuplements) souf-frant pour une bonne part de la maladie de l’encre, un pathogène microscopique qui attaque le système racinaire des arbres. Ce champignon parasite, à l’état latent, s’est propagé très rapidement ces deux dernières années au sein des châtaigniers en raison de printemps humides qui ont engorgé les terrains favorisant la multiplication et le dépla-cement du pathogène dans le sol.

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Comme Val Parisis propose un forum de l’emploi pertinent et per-formant, nous avons pensé avec

Sébastien Meurant puis aujourd’hui avec Sandra Billet, que dans le cadre de la lutte contre le chômage qui reste pour tous les élus une priorité, il serait sans doute plus complémentaire de mettre en lumière les métiers de demain avec des présenta-tions concrètes assurées par des acteurs prépondérants des professions suscep-tibles d’intéresser celles et ceux qui se posent la question de leur orientation professionnelle  ». Arnaud Vandamme, adjoint au maire délégué au Développe-ment économique et à l’Emploi est par-ticulièrement heureux de ce nouveau rendez-vous. «  Parce qu’il s’inscrit dans la continuité de ce que nous avons dé-jà entrepris et qu’il s’adresse en premier lieu à la jeunesse ». Résultat, en coopé-ration avec la mission locale de Taverny et les compagnons du devoir, le forum de l’orientation qui se déroulera au gym-nase Jean-Moulin donnera lieu à des pré-sentations et des démonstrations signi-ficatives. Ainsi, les 45 compagnons du devoir réunis pour l’événement montre-ront toute l’étendue de leur savoir-faire

et expliqueront la philosophie propre au compagnonnage sur un stand de plus de 80 m2. Dans le même esprit, plus de 50 Centres de formation et d’apprentis-sage (CFA) seront présents pour aller au plus près des réalités des métiers : coif-feurs, maçons et métiers tertiaires n’au-ront plus de secrets pour les centaines de collégiens et lycéens attendus grâce au précieux relais des CIO (Centre d'in-formation et d'orientation).

Des interlocuteurs exemplairesPour parachever sa mission d’intérêt gé-néral et d’utilité publique, le forum pour-ra aussi compter sur la participation et les compétences d’interlocuteurs ins-titutionnels de premier plan : le Centre d'information et de recrutement des Forces armées (CIRFA), Pôle emploi et les écoles de la deuxième chance (E2C) qui permettent à des jeunes motivés, sans diplôme ni qualification profes-sionnelle, d’intégrer une école dédiée à la construction de leur projet d’inser-tion sociale et professionnelle. Enfin, de manière à donner l’écho qu’il convient à la manifestation, deux hommes ex-ceptionnels qui sont aussi deux acteurs

majeurs de la vie économique viendront inaugurer ce nouveau forum saint-lou-pien. En plus d’un artisan de renommée mondiale, Michel-Édouard Leclerc, héri-tier exemplaire et patron de l'enseigne de grande distribution E. Leclerc, au-ra à cœur de partager son expérience de l’entreprise et exprimer son enthou-siasme pour les nouveaux métiers qui sont autant la marque du fait sociétal que l’incarnation de nouvelles forces vives et prometteuses. 1er Forum de l’OrientationMardi 14 février 2018. De 10 h à 12 h et de 13 h à 17 h Gymnase Jean Moulin

Le 14 février prochain, Saint-Leu-la-Forêt organisera son premier forum de l’orientation. Après avoir mis l’accent durant plusieurs années sur la recherche d’emploi, la Ville a décidé de valoriser l’orientation qui permet notamment aux plus jeunes de s’intéresser à des filières d’activité et des métiers d’avenir.

Service publicEntreprendre

Michel-Édouard Leclerc inaugure le premier Forum de l’orientation

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Les Compagnons du Devoir et du Tour de France réunis en une association de type loi

1901, reconnue d’utilité publique, pro-posent plus que de simples forma-tions : ils visent à l’épanouissement de chacun, à sa réalisation « dans et par son métier ». Cela est possible grâce aux valeurs du compagnon-nage du Devoir qui sont inculquées aux jeunes formés. L’éthique com-pagnonnique repose sur la formule suivante : « Ni se servir ni s’asservir, mais servir ». Pour les Compagnons du Devoir, le métier ne se limite pas à un savoir-faire : c’est une culture, un savoir-être. Un métier, c’est une his-toire, des hommes, un langage, des écrits, des ouvrages laissés par les anciens. Depuis toujours, les Compa-gnons du Devoir prennent un enga-gement moral : celui de transmettre. Le Compagnon se donne pour de-voir de transmettre non seulement son savoir-faire, mais aussi son sa-voir-être parce qu’il aspire à être plus qu’un bon ouvrier : un « homme bon ».

L’esprit du compagnonnage

Événement

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On en parle

Depuis qu’en 2015, il a vu des tra-vaux d’envergure redéfinir son espace et sa vocation, le marché

de Saint-Leu-la-Forêt fait de nouveaux adeptes. Il faut dire que sa trop grande superficie était devenue inadaptée et plutôt que de créer une synergie entre les commerces, elle zonait, isolait et séparait les commerçants au point de rendre l’ensemble moins attrac-tif et interactif. Il a donc fallu repen-ser le « spacieux » et se concentrer sur l’objet même de la rénovation : un marché pratique, accessible et cohé-rent plus conforme aux attentes des Saint-Loupiens, anciens et nouveaux, qu’ils vivent seuls ou en famille, avec des prix qui soient également abordables et un registre de qualité constant et exi-geant. Car la ville à l’image de la vie a

changé. Comme le souligne Arnaud Vandamme adjoint au maire délé-gué au Développement économique, « le marché devait prendre la mesure de ces changements en proposant des nouveautés significatives. Les contraintes de départ ont été justement le moyen de rester axé sur l’essentiel pour définir un cahier de charges de bon sens ». Jane Tizon qui a longtemps été en charge du « Dossier Marché » avant de devenir maire adjoint délé-guée à l’Éducation aime à le rappeler. « La réorganisation de l’espace impli-quait de revoir son occupation, notam-ment en ce qui concerne le fond du marché puisque l’entrée donnant sur la rue de Chauvry avait été supprimée et que la charcuterie Delahousse, située au fond du marché a préféré un empla-

cement au centre, motivant du même coup un autre type de circulation à l’in-térieur du marché. Notre mission avec Claude Zekri, le placier, a été de trouver un nouvel équilibre avec de nouveaux commerçants qui assurent une vraie complémentarité et une réelle visibilité». À force d’attentions durables, le mar-ché a retrouvé ces derniers mois de sa superbe. Reste à rendre les mercredis aussi attrayants et populaires que les samedis qui rassemblent de plus en plus de fidèles. Avec la réfection de l’escalier de la place Foch, la création d’une trentaine de places supplémentaires en zone bleue et des animations constantes (Fête des mères, du Beaujolais, du Mimosa) le marché est en passe de retrouver plei-nement sa place au centre de la cité.

Avec la fréquentation d’une nouvelle clientèle, l’installation de nouveaux commerces et parce qu’il a tout simplement connu de nouveaux aménagements, le marché de Saint-Leu-la-Forêt se réinvente sans cesse !

Le marché se réinvente

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Le marché affiche de nouveaux visages qui incarnent de nouvelles envies et de nouvelles habitudes de consommation : plats cuisinés, légumes et fruits bio, fromages affinés, cuisines du monde, viandes françaises avec triperie et poissons exotiques sont à portée de main dans un périmètre à échelle humaine et dans un environnement qui donne l’envie d’avoir

envie. Dans cet esprit, il est fondamental que le marché regroupe des commerçants en rapport avec vos attentes. Ainsi, ces derniers mois, plusieurs installations ont fait écho aux besoins identifiés : suite à des départs en retraite (Fauveau le boucher), des cessations d’activité, la réorganisation initiale prévue a laissé place à une mue intelligente consécutive à la venue de nou-veaux commerçants qui ont rapidement pris leurs marques avant de rencontrer une clientèle rapidement séduite.

Jordan Traiteur : ce jeune artisan-charcutier de 26 ans qui a déjà 10 ans d’expérience propose des produits qui sortent directement de son laboratoire (Jambon blanc, choucroute maison, plats traiteurs).

« La ferme aux Amaranthes » : producteur et maraîcher biologique dont plus de la moitié des produits vendus (fruits et légumes de saison) viennent de l’exploitation.

« Chez Éléonore et Stéphane » : ils sont mariés et la boucherie c’est leur affaire. Les deux escalopent et les deux sont à la caisse. La vraie parité derrière le billot pour le meilleur du foie de veau ou de l’onglet de bœuf.

Poissonnerie ALS : Mariés à la ville comme derrière l’étal, ces deux-là s’entendent à merveille pour lever les filets de la dorade ou du bar qui sauront ravir vos papilles

« Les fromages du Château » : quand deux fromagers récemment convertis se concentrent d’abord sur la qualité de l’affinage pour vous faire découvrir des merveilles d’Auvergne, du Sud-ouest et une petite rareté suisse.

Cuisines du monde : après le traiteur chinois, la trattoria (boutique italienne), la cuisine marocaine fait montre de toute sa subtilité avec l’arrivée depuis quelques mois d’un nouveau traiteur.

Chéri, j’ai enfin trouvé quelqu'un pour garder les enfants jeudi soir ». Il faut reconnaître qu’il n’est pas

toujours facile pour les parents de trou-ver la solution rapide et idéale quand il faut faire garder les enfants, notamment à la dernière minute. Face à cette réa-lité largement partagée par beaucoup d’entre vous, l’EMJ (Espace municipal de jeunesse) a piloté un projet en tous points professionnel pour proposer le service le mieux adapté avec des jeunes gens qui, pour la plupart, ont suivi une formation initiée par la ville avec des modules leur permettant d’appréhen-der parfaitement leurs missions et leurs connaissances des enfants (de 0 à 12 ans) : besoins selon la tranche d’âge, développement de l’enfant, questions nutrition, gestion émotionnelle, hygiène et sécurité (maladie, prévention des risques, diplôme de premiers secours), immersion au sein d’un accueil de loi-sirs. Rien n’a été négligé pour répondre aux exigences du babby-sitting pour les parents qui sont demandeurs. Ces derniers doivent également savoir que

Baby-sitter est un emploi comme un autre qui doit faire l’objet d’une déclara-tion de travail. Il est possible de recourir au paiement par chèque emploi-ser-vice universel (CESU) pour la rémuné-ration. La signature d’un contrat devient obligatoire dès lors que la prestation dépasse 8 heures par semaine et ce plus de 4 semaines consécutives. La rémunération doit respecter le mini-mum légal, soit 9,76 € brut de l’heure (SMIC horaire), majoré de 10% au titre des congés payés, soit 10,74€ brut de l’heure. Ceci revient à 8,27 € net de l’heure (déduction des charges sociales d’environ 23%). Ceci représente le mini-mum légal car la rémunération peut évi-demment être supérieure et faire l’objet d’une négociation avec le baby-sitter. Enfin, s’il n’existe pas d’horaires de nuit, l’usage veut qu’au-delà de minuit, un baby-sitter soit payé plus. Par ailleurs, il peut être pertinent de raccompagner le jeune baby-sitter à son domicile pour assurer le retour en toute sécurité la nuit.

Renseignements : 01 30 40 22 92

Finis les problèmes de garde d’enfants quand une soirée inopinée se présente : désormais la Ville avec le concours de son secteur jeunesse, propose aux parents une liste de jeunes gens formés et responsables qui sauront répondre à vos attentes.

Baby-sitting : la ville édite un annuaire municipal labellisé

Ca nous intéresse

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Annuaire baby-sitter 2017-2018

La Plaine

Héléna (17 ans) 06 45 23 60 23

Julie (15 ans) 07 69 29 52 83

Anne Andréa (15 ans) 07 67 14 96 17

Jasmine (16 ans) 07 83 42 04 82

Mathieu (16 ans) 07 89 33 08 97

Soukaïna (17 ans) 06 16 13 65 18

Imane (16 ans) 07 81 16 22 69

Meriem (15 ans) 06 56 83 74 15

Bintou (17 ans) 07 61 98 11 05

Camille (15 ans) 07 69 15 51 96

Camilia (16 ans) 07 69 52 24 35

Amélie (15 ans) 06 23 87 80 08

Les Tannières

Aaricia (16 ans) 06 71 84 93 47

Sirine (16 ans) 06 15 40 98 69

Amina (15 ans) 07 81 58 36 73

Les Coteaux

Bérénice (16 ans) 06 27 75 94 54

Cassandre (15 ans) 06 40 98 43 40

Charlotte (16 ans) 06 95 10 10 37

Solène (17 ans) 06 68 60 83 60

Sindy (16 ans) 07 68 65 17 45

Sarah (15 ans) 06 52 39 76 54

Mathilde (15 ans) 07 61 00 01 88

Centre-ville

Inès (16 ans) 06 33 55 67 73

Chloé (16 ans) 06 44 98 20 92

signifie labellisé : le jeune a suivi volontairement la formation proposée par la ville.

mieux que bonne figure et l’ensemble des équipes de jeunes ne sont pas en reste. Chez les U19, sur deux équipes, les deux sont premières de leur groupe et l’équipe 1 peut prétendre légitimement à la montée en Régionale. Chez les U  17, on compte trois équipes dont la 1ère qui joue les premiers rôles en Régionale. Concernant les U15, sur les trois équipes, la première est classée 2e en D1. Enfin, sur les U 13 qui évoluent en Régionale, il faut noter que 2 enfants ont été sélectionnés pour le 4e et dernier tour du concours d'entrée à l'Institut National du Football (INF) Clairefontaine. Il faut dire que l’école de foot fait le plein tous les mercredis après-midi. La réputation du club qui a recouvré de sa superbe et ses installations qui accueillent régulièrement des matchs internationaux africains font que le succès est au rendez-vous. Le club a été labellisé deux années de suite et a obtenu le label école de foot Élite.

Pour Emmanuel Lopes, qui rappelle le soutien indéfectible de la ville, le travail d’orfèvre de Yann Lethuaut, Manager Général du club et coach de l’équipe première est pour beaucoup dans cette courbe ascendante. « Encore une fois, les grandes réussites sportives sont d’abord le fait de ceux qui dans une situation particulière, réussissent à savoir comment faire pour aller mieux et plus loin. Yann est de ceux-là et prend pleinement part à une aventure sportive et humaine qu’il sait passionnante». Un état d’esprit qui se vérifie à tous les niveaux de la vie du club. Aussi bien quand les U 16 Féminines en critérium font alliance avec l’entente Méry /Meriel /Bessancourt que quand les quatre équipes vétérans dont la première en Régionale ou l’équipe CDM (Championnat du Dimanche Matin) en Départementale vivent chaque semaine leur passion du football. Le FC Saint-Leu est de retour !

Les chiffres sont éloquents  : avec 800 licenciés dont 300 à l’école de foot, le FC Saint-

Leu est indéniablement la première association de la ville en nombre de licenciés ou d’adhérents. Depuis l’arrivée d’Emmanuel Lopes, le nouveau président et le remaniement du comité directeur, le club est en passe de retrouver l’élite du département et même de la région.Notamment avec les deux 2 montées consécutives de l’équipe fanion en régional, passant de la Promotion d’honneur (PH) à la Division supérieure régionale (DSR) avec cette année, après avoir accédé à la R2, un objectif suprême : monter en R1, plus haut niveau de l’Ile de France. Ces résultats qui illustrent la bonne santé du club boostent littéralement l’ensemble des équipes. Ainsi les Seniors 2 visent la montée en D1, les Seniors 3, 6e en D3 après 2 montées consécutives font

FC Saint-Leu : le temps des ambitions

En ce début d’année, le FC Saint-Leu peut résolument afficher la mine des beaux jours. Trois saisons que les bleus et blancs retrouvent les couleurs galvanisantes qui accompagnent les meilleurs résultats. Des équipes jeunes aux vétérans, les joueurs saint-loupiens ont indéniablement retrouvé des ambitions qui en disent long !

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Vie sportive

Sortir

sur le rythme ternaire de la valse-musette dans laquelle on a injecté une bonne dose de swing. Le jazz-tzigane connaît par la suite quelques avatars avec la valse-swing, le swing-musette ou la guitare-musette. Mais cette musique fait la joie des cabarets et hôtels de Paris dans les années 30 et se perpétue avec succès dans les caves de Saint-Germain jusque dans les années 60 avec notamment l’immense Stéphane Grappelli. Grâce à l’association Tympanzé, retrouvez l’ambiance feutrée et jubilatoire d’une soirée exceptionnelle Jazz Manouche en compagnie de deux pointures du répertoire, Steven Reinhardt et Pascal Bordeau et avec la participation d’Éric Métais.

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Jazz manouche, swing manouche, jazz gitan ! 74 ans

après la disparition du grand Django

Reinhardt il est bien difficile de donner un nom

à sa formidable musique  ! On compte de nombreux

héritiers et autant de définitions pour exalter les vertiges réjouissants de cette guitare virevoltante. À l’époque, on ne parle pas de jazz-manouche, mais de jazz tzigane : heureux alliage de l’enchanteur Django qui réussit un mariage entre la musique tzigane de Moldavie, de Russie et de divers pays de l’Est, empreinte de nostalgie et de fête, et une musique très française

Pour fêter le cente-naire de l’arrivée du Jazz en France, le

Jazz Club de Saint-Leu vous invite le dimanche 21 jan-vier, à une conférence de Dan Vernhettes suivie d’un concert donné par le Vintage Jazz Men. Arrivé en France en fin d’année 1917, le corps expéditionnaire américain comptait parmi ses soldats des musiciens noirs qui firent découvrir leur musique aux Français grâce à deux for-mations, le Brass Band de James Reese « Jim » Europe et le Hellfighters Band dirigé par le même chef d’orchestre. `Cette arrivée marque une étape importante pour le développement du Jazz en France et en Europe. En effet, tout au long de leur séjour, ces orchestres vont jouer dans divers lieux et diffuser ainsi cette musique nouvelle née aux États-Unis. Elle deviendra la musique de la liberté pour les Français qui ont eu la chance de l’entendre. Et l‘histoire ne s’arrêtera pas là : dans les années 20, au moment où la prohibition se mettait en place et où la ségrégation raciale se renforçait aux États-Unis, un certain nombre de ces musiciens, séduits par l’accueil qu’ils avaient reçu en France, y sont revenus et ont participé au développement du Jazz à Paris, dans les années folles. Dimanche 21 janvier Croix-Blanche 15 heures : conférence), 16 heures : avec le Vintage Jazz Men.Entrée libre / Renseignements : jazzclubdesaintleu.free.fr

Samedi 13 Janvier21 h à la Croix-BlancheEntrée 10 euros (gratuit pour les moins de 18 ans) Tarif d'entrée préférentiel à 5 euros pour les adhérents Tympanzé

Le Jazz-Club fête les 100 ans du jazz en France !

La musique ça s’entend aussi sans

nos oreilles ! De concerts en repré-sentations, de réci-tals en auditions, Yanis Baybaud est un photo-graphe qui saisit les émotions por-tées, transportées, déportées, empor-tées et apportées par la musique et les musiciens de toutes concessions : ces clichés sont autant de rencontres qui découlent aussi bien des parti-tions que des perditions de celles et ceux qui composent à peine masqués. Une magnifique exposition à ne manquer sous aucun prétexte dans le cadre du 15e Hiver musical.Du 16 au 27 janvier à la médiathèque Georges Pompidou

Jazz Manouche Soirée

Hiver musical/ EXPOSITION

La musique s’écoute aussi avec les yeux

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En 2006 la rencontre de Ballake Sissoko, célèbre magicien MAlien de lakora avec Driss El Maloumi,

maître MArocain du oud et de Rajery, prince MAlgache de la valiha avait déjà donné lieu à des concerts mémorables et à un superbe disque. 12 ans après, les voici de nouveau voyageurs complices et leur présence rare est un cadeau sublime pour l’hiver musical et Saint-Leu-la-Forêt ! Sans réserve, et avec une infinie élégance, ils vont nous offrir la magie de leur amitié et l’alchimie de leurs cordes entremêlées. Entre transes malgaches et indiennes, mélodies mandingues et berbères avec des notes de jazz et d’improvisations ins-pirées, ils créent un langage commun, où la tradition de l’un s’enrichit de celles des autres. À la violence du monde qui nous entoure, 3MA oppose des harmonies douces et vivifiantes. Un événement à ne pas manquer.Avec Ballake Sissoko : Kora

Driss El Maloumi : Oud

Rajery : Valiha

Cordes Pincées d’AfriqueDimanche 28 janvier à 17 h à la Croix-BlancheBilletterie & RéservationsTarif: 18 € • Tarif réduit : 12 € (pour adhé-rents, 12-18 ans, étudiants, handicapés, chômeurs) -12 ans : gratuitVente des billets Billetterie en ligne La Fontaine aux Pralines, 41 rue du Gal Leclerc Saint-Leu-la-ForêtRéservations 01 34 18 00 27 [email protected]

Quand musique sacrée et profane se rencontrent en beauté : l’émo-tion est forcément troublante quand

un concert réussit à ce point à mettre en correspondance l’art de deux grands musi-ciens allemands amis intimes et tellement différents. Telemann, le voyageur extraverti, curieux et plein d’esprit fut en son temps bien plus renommé que le célèbre Bach, improvisateur extraordinaire et pédagogue passionné, sédentaire et introverti. Des tem-péraments distincts, mais deux grands com-positeurs qui cherchèrent à élever l’homme et lui permettre d’exalter le sens profond de la vie et des beautés du monde. La souplesse, la délicatesse de l’un et la puis-sante ferveur de l’autre se retrouvent ici pour une plongée dans les profondeurs d’une musique exprimant la présence de Dieu sur la terre, comme au ciel. Ne manquez pas ce moment suprême : profane ou sacrée, la grande musique portée par cette petite for-mation d’exception saura faire vibrer corps et âme dans un rare esprit de réjouissance. Avec l’Accademia dei Dissonanti : Nicholas Scott :

ténor, Sébastien Marq : flûte,

Antoine Torunczyk : hautbois,

Tami Troman : violon, Javier Zafra : basson

Chiaopin Kuo : clavecin,

James Munro : contrebasse

Bach, Telemann sur la terre comme au cielSamedi 3 février à 20 h en l’Église Saint-Leu-Saint-Gilles.Billetterie & RéservationsTarif : 20 € • Tarif Réduit : 15 € (pour adhé-rents, 12-18 ans, étudiants, handicapés, chômeurs) -12 ans : gratuitVente des billets Billetterie en ligne La Fontaine aux Pralines, 41 rue du Gal Leclerc Saint-Leu-la-ForêtRéservations 01 34 18 00 27 [email protected]

Comment Bach et Telemann mettent-ils leur esprit de chercheurs au ser-vice de la musique? Leur vie entière,

ils ont utilisé les instruments de musique de l’époque baroque, expérimentant de nou-veaux mariages de timbres et en mettant en valeur leurs propres couleurs. Sébastien Marq et Antoine Torunczyk, flûtiste et hautboïste de l’ensemble L’Accademia dei Dissonanti vous font partager leur enthou-siasme et leur admiration pour ces com-positeurs géniaux. En partenariat avec les Amis de la MédiathèqueVendredi 2 février à 19 h à la médiathèque Georges Pompidou

Abdallah AKAR peintre-calligraphe valdoisien venu de Tunisie, mêle lettres arabes et couleurs dans une poésie chatoyante et dansante. Il enseigne l’art de la calligraphie à l’Institut du Monde Arabe.

« Longtemps à l'écoute des Maîtres de la Calligraphie, des anciens comme de leurs héritiers, la lettre, le poème, sacré ou profane, sont au centre de mon travail. Le papier était d'évidence. Lentement, obscurément, je me suis hasardé vers de nouveaux supports: les textiles, le bois, le fer, le verre. Sans rien perdre de l'ancrage de cet art, j'ai dans ces parcours découvert des sensations inhabi-tuelles. Ces avancées ont été, je pense, à l'ori-gine de savoir-faire, de dimensions nouvelles de cet art du signe que je tente, modeste-ment, de faire aller dans le temps présent. » Du 16 au 27 janvier à la médiathèque Georges Pompidou

Hiver musical/ MuSIquE du MONdE Hiver musical/ CONCERT PRESTIgE

Trois MA pour Trois MAnières sublimes de pincer les cordes

Corps et âme avec Bach et Telemann

Hiver musical/ CONFéRENCE-RENCONTRE

Bach, Telemann : deux sacrés musiciens

Gestes suspendus

Aussi…

Hiver musical/ EXPOSITION

Sortir

• Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 201822 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 201822

Ne manquez pas cette pièce, créa-tion originale en 5 actes d’après les œuvres de Courteline et

Feydeau qui retrace la journée cauche-mardesque d’un riche avocat en proie aux pires turpitudes face à une galerie de personnages loufoques, insolites ou inquiétants. Si «  La Folle Journée de Maître La Brige  », pièce à la fois drôle et burlesque existe, le talent de l’adap-tateur y est pour beaucoup. Car au départ, c’est plutôt une gageure que de vouloir réunir Courteline et Feydeau dans un même spectacle  ! Pour Luc Girerd, «  il s’agit d’une tentation vieille comme le monde, ou plutôt comme la fin du XIXème siècle, puisque les deux célèbres Georges furent contemporains d’époque et de style. Un style fait de quiproquos et de non-sens, où la mau-vaise foi des personnages n’a souvent d’égale que leur naïveté… Avec, au final, le même génie pour le rire et la légè-reté ». Encore fallait-il trouver la clef qui permette d’assembler l’écriture de ces deux géants du vaudeville, sans tomber dans le collage artificiel de sept textes courts sans rapport les uns avec les autres. « Mon challenge fut de dénicher l’idée qui lierait l’humour absurde de Feydeau et l’extravagante fantaisie de Courteline. Tout en respectant l’unité de temps qui est, pour chacun de ces auteurs, la mesure du rythme essentiel à leurs partitions comiques. Je n’ai donc pas trouvé de meilleur cadre temporel que celui de la journée : du matin au coucher ».

Le bonheur du théâtreRésultat, l’ensemble des textes de Feydeau et Courteline associés avec l’esprit brillant qu’il fallait pour la Troupe du Rhum et les Feuilles d’Or, donne lieu à un vaudeville haletant, construit et inspiré avec une série de sketches hila-rants qui débouche sur un savoureux condensé d’aventures : dans les décors d’un salon bourgeois, d’un bureau de poste, d’un cabinet, d’un commissariat, cette folle journée, s’avère être un véri-table et merveilleux cauchemar pour le public qui s’amuse des situations

Théâtre

La folle journée de maître La Brige

vécues par maître La Brige, avocat vani-teux, menteur, et cupide. En plus, le spectacle qui joue sans retenue la carte de la farce avec l’irrésistible détresse de Maître La Brige est magnifiquement servie par deux comédiens au sommet de leur art.

La folle journée de maître La BrigeComédie d’après les œuvres de Georges Courteline et Georges Feydeau dans une adaptation de Luc Girerd.Mise en scène et interprétation : Claire Tuloup-Duthieuw et Denis DuthieuwVendredi 9 et samedi 10 février 2018 à 20h45 - La Croix-BlancheTarifs : 16 € ;Tarif Réduit (Étudiants, -18 ans, Chômeurs, + 65 ans) : 14 € ;Groupes (à partir de 10 personnes) : 12 €Réservations : 01 39 89 01 79 / 06 63 40 85 95 (Les Feuilles d’Or)FNAC, www.fnac.com,

Ces deux jeunes chanteuses ori-ginaires du Pays Basque vous proposent un voyage le long

de la chaine pyrénéenne, de leur Pays natal jusqu'à la Catalogne en passant par le Béarn et la Bigorre. Au pro-gramme, de magnifiques chants inter-prétés dans la pure tradition de la polyphonie pyrénéenne. Un moment de partage et de douceur, empreint d'humour, de nostalgie pour un voyage dans le temps grâce à un répertoire vocal ancestral et intemporel. Dimanche 14 janvier à 11 h à l’espace claire fontaine. Participation libre

À 15 h, venez découvrir

les musiques et chants celtiques avec les élèves et professeurs de l’école de musique.

L’ensemble de l’école de musique se mobilise autour de cet événement : classes de chant, d’instruments, chorales et ensembles ...À 16 h 30, pour tout l’or du folklore, prenez part au bal et entrez dans la danse avec le groupe Clonakilty qui sait merveilleusement marier les influences celtiques qu’elles viennent de Galicie, d’Irlande ou de Bretagne. Crêpes et cidre au rendez-vous !Samedi 3 février dès 15 h à la Croix-Blanche. Entrée : 3 €

ConCert et bal

Celtique

Polyphonie pyrénéenne ou « duo de chants traditionnels »par Laura Etchegoyhen et Maylis Raynal

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Exposition

La musique s’écoute aussi avec les yeux*Exposition de photographies de Yanis BaybaudGestes suspendus*Exposition du peintre-calligraphe Abdallah Akar * Du 16 au 27 janvier - Entrée libreMédiathèque Georges-Pompidou

SigneDessins réalisés par l’atelier « Et pourquoi pas ? »Du 20 janvier au 4 février Maison consulaire

MusiquE

L’école de Musique présentePolyphonie pyrénéenneDimanche 14 janvier à 11 hEspace Claire-Fontaine

Le Jazz-Club présenteLes 100 ans du Jazz en France avec Le Vintage Jazz MenDimanche 21 janvier à 15 hCroix-Blanche

L’Hiver Musical présenteCordes pincées d’Afrique avec 3MADimanche 28 janvier à 17 hCroix-Blanche

L’école de Musique présenteConcert et bal celtiqueSamedi 3 février dès 15 hCroix-Blanche

L’Hiver Musical présenteBach, Telemann sur la terre comme au cielSamedi 3 février à 20 hÉglise Saint-Leu-Saint-Gilles

théâtrE

La Cie la Troupe du Rhum et les Feuilles d’Or présenteLa folle journée de maître La BrigeDe Georges Courteline et Georges FeydeauVendredi 9 et samedi 10 février à 20 h 45 Croix-Blanche

EvènEMEnt

Carnaval de Saint-Leu-la-ForêtAttention les enfants se déguisent !Samedi 10 février de 14 h 30 à 18 h 30 Gymnase Jean Moulin

conférEncEs

Avec Les Amis de la Médiathèque« Les incroyables fouilles du parc du château de Baillet-en-France » par Isabelle Joz RolandL’incroyable histoire d’une découverte archéologique. En 2004, François Gentili de l’Institut régionale de recherches archéologiques préventives (inrap) qui mène des recherches concernant l'habitat seigneurial au Moyen Âge et à l'époque moderne, découvre avec une équipe d’archéologues, un amoncellement impressionnant de sculptures colossales qui avaient été brisées et se révélaient être des statues du monument soviétique de l’exposition universelle de Paris de 1937.Samedi 20 janvier à 17 hEspace Claire-Fontaine

« Bach, Telemann : deux sacrés musiciens » par Sébastien Marq et Antoine Torunczyk, flûtiste et hautboïste de l’ensemble de l’Accademia dei Dissonanti. Comment Bach et Telemann mettent-ils leur esprit de chercheurs au service de la musique ? Vendredi 2 février à 19 hMédiathèque Georges Pompidou

« Les Français qui ont contribué à la modernisation du Japon à la charnière de l’ère Meiji » par Bernard Champanhet. 2018, année du 150e anniversaire. Samedi 3 février à 17 h Espace Claire-Fontaine

Avec saint-Leu terre d’Empire « Auguste Nélaton, chirurgien de Napoléon III » par Denis HannotinSi le chirurgien avait pu guérir l'empereur de son calcul dans la vessie, peut-être que la guerre de 1870 aurait été évitée…Samedi 10 février à 17 hEspace Claire-Fontaine

Agenda culturel« Napoléon 1er et les îles » par David Chanteranne, rédacteur en chef de l’ensemble des publications napoléoniennesVendredi 16 février à 18 hEspace Claire-Fontaine

LEcturE pubLiquEMédiathèque Georges-pompidou

Tapa touluMardi 9 janvier à 17 h 30 Enfants en élémentaireSamedi 13 janvier 10 h 30 Enfants en maternelleLes histoires préférées, les albums chouchous et les kamishibaïs favoris des bibliothécaires ! Préparez vos yeux et vos oreilles !

Tapa touclicMardi 6 février 17 h 30 enfants en élémentaireSamedi 10 février à 10 h 30 enfants en maternelleLes bibliothécaires partagent avec leurs plus belles découvertes sur tablette ! Quand les histoires deviennent numérique...

Légo Mindstorm Pour apprendre en vous amusant, formez un duo adulte-enfant (de 10 à 15 ans) et venez participer à un atelier pour construire, programmer et commander un robot en lego !Les samedis 20 janvier, 27 janvier et 10 février à 14h30 (sur inscription)

Club Lecture pour adultesPour partager vos plaisirs de lectureMardi 6 février à 18 h - Entrée libre

Caf’ Conf ‘ Philo Histoires autour des mythesPar Dominique PaquetSamedi 3 février à 15h. À partir de 12 ansRenseignements, inscriptions et réservations au 01 34 18 36 80

« Napoléon 1er et les îles »Vendredi 16 février à 18 h

Les Saint-Loupiens

L’embellissement de la commune est aussi le fait de tous les Saint-Loupiens qui fleurissent balcons et

jardins. Les lauréats du concours de fleu-rissement 2017 organisé par le Syndicat d’Initiative ont été récompensés le 18 novembre dernier par Sandra Billet, maire de Saint-Leu-la-Forêt.

Catégorie Maison avec jardin d'agrément visible / non visible de la rue 1er prix : Marie-Cécile Breau, 2e prix : Martine Boggio, 3e prix : Françoise Delort, 4e prix : Guy Barrat, Louise Dupas, Michel Durand, Renée Kop, Christian Malacain et Claudine Meunier Catégorie Maison avec jardin d'agrément et potager visible / non visible de la rue1er prix : Aline Boehler, 2e prix : Daniel Lemée, 3e prix : Bernadette VingotCatégorie Balcon - Terrasse - Fenêtre visible / non visible de la rue 1er prix : Jacqueline Delestre, 2e prix : Pascale PerrinPrix Coup de Cœur du Jury : Marie-Dominique Alavoine

Dites-leur avec des fleurs ! Les collages de Christine

Christine Orihuela est une artiste-peintre saint-loupienne recon-nue (elle a exposé à la Maison

consulaire et à la galerie SoLo) et nombreux sont ceux qui aiment son univers où comme personne, elle sait faire émerger des émotions à fleur de papier. Papier qui, depuis une quin-

zaine d’années, la conduit également à faire des collages étonnants. Comme l'envie de transmettre et partager l'ont amenée à créer en 2011 des Ateliers Créatifs où chacun peut découvrir ses talents en matière d’arts plastiques, elle vous propose aussi depuis la rentrée de septembre, de rejoindre les ateliers de collage qu’elle organise aux Dourdains. Depuis Jacques Prévert, on sait les col-lages édifiants pour signifier avec esprit et poésie ce que les mots ne peuvent consigner. Christine Orihuela, lors des festivités de Noël, a d’ailleurs convié les Saint-Loupiens à participer à un collage collectif géant qui sera dévoilé lors de la cérémonie des vœux du maire, le 26 janvier au gymnase Jean Moulin.Renseignements au 06 85 66 06 [email protected]/christine.art.95

Sa belle énergie

L’œil de Yannis

Yannis Baybaud expert en res-sources humaines en entreprise est aussi photographe de spec-

tacles et de concerts dont l’œil fait la différence. Il voit des choses que nous ne voyons pas. Il patiente, il attend cet instant qu’il veut saisir sans se faire trop d’idées sur les registres d’émotions pour ne pas conditionner la photogra-phie. Il attend la personne, une forte expression d’humanité en photogra-phiant le plus souvent des musiciens, des chanteurs (Keziah Jones, Christine and the Queens, Ibrahim Maalouf, Olivia Ruiz), qui dégagent sur scène ce

Les enfants, les siens et aujourd’hui ceux des autres l’ont amenée à l’art de la photographie. Après la

création de sa petite entreprise (RegArt

24 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 2018

Votre talent nous intéresse

Qui sera le prochain jeune talent saint-loupien ? Vous avez entre 12 et 25 ans et vous rêvez de monter

sur scène seul, en duo ou à plusieurs pour chanter, jouer d’un instrument, faire des acrobaties, de la magie, jouer un sketch ou tout autre chose ? Alors n’hésitez pas à participer à la « Soirée Talent Fou » qui se déroulera le samedi 17 mars prochain à la Croix-Blanche et, qui sait, vous per-mettra de devenir « star d’un soir » grâce aux votes du public et de gagner dans la foulée des prix inoubliables.Pour participer au concours : inscriptions au 01 30 40 22 53 ou 01 30 40 22 92 pour une audition préalable le samedi 3 mars 2018

qui nous engage dans la vie l’amour, la ferveur, la distance, la peur jusqu’à l’abandon. D’excellentes raisons pour ne pas manquer l’exposition « La musique s’écoute aussi avec les yeux » (Du 16 au 27 janvier à la médiathèque Georges-Pompidou).

éphémère) et des expositions remar-quées Nathalie Poline a signé la pho-tographie de la carte de vœux de Saint-Leu-la-Forêt (« Cultivons notre belle énergie »), après une très jolie séance avec les enfants qui participent au pro-jet Démos. Prochain projet de Nathalie : aller à la rencontre des personnes âgées d’une Maison de retraite. « Avec mon appareil photo, j’aime observer et apprendre de mes semblables  : à l’instar des jeunes enfants, les vieilles personnes ont une capacité à ne pas feindre, à vous restituer des morceaux de vie sidérants ».

Dites-leur avec des fleurs !

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État civil

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La ludothèque :

de la nécessité de jouer

Naissancesl Natéo BORGES 25/09/17

l Rose MARTHINHO-ARRIZURIETA 27/09/17

l Abel FINTA 03/10/17

l Josh CHEMANI NICOLAÏ 06/10/17

l Eléanore PRINGUAY COPPENS 06/10/17

l Ousmane SALL 16/10/17

l Lowen LEPRETRE 17/10/17

l Maxime MACIASZEK LOURSEYRE 18/10/17

l Zélie BLANDIN DE CHALAIN 21/10/17

l Timoté FICHET LUCAS 22/10/17

l Soren MÉTAIS 24/10/17

l Paulin ENJALBERT 26/10/17

l Peteron JEAN PIERRE 02/11/17

l Andreia SUTRA 02/11/17

l Anna DUFOURNAUD 12/11/17

Mariagesl Gladys MIARA et

Frédéric BENAVENT 30/09/17

l Ouarda KISRI et Julien BALBO-ROSSETTO 07/10/17

l Sarah NABTI et Stéphane DE LA TORRE 04/11/17

l Mélissa GUILLE et Mathieu OLIVEIRA 04/11/17

l Floriane JOSSERAND et Samuel MARIKO 04/11/17

l Aurore DEIDLER et Lahyane NOURDDINE 18/11/17

l Claris TEMBO et Assalé GNENATY 24/11/17

Décèsl Raymonde BURÉ 25/09/17

l Michel WINTER 28/09/17

Avec la rénovation et l’embellisse-ment de la Maison pour tous où siège au rez-de-chaussée

la ludothèque, chacun peut redécou-vrir l’endroit et mieux apprécier ce lieu d’échanges et de convivialité. Cécile Dejardin Wasterlain, la directrice de la ludothèque vous accueille avec le sourire d’un gagnant du Monopoly. La jeune femme prend manifestement plaisir à décrire la nouvelle organisation avec les ludothécaires présents pour expliquer les règles de jeux de société. La visite est précise et son inventaire «  non exhaustif » comme elle le sou-ligne. « Vous avez un espace bébé avec des tapis au sol, des jouets d’exercice, des jouets musicaux, un espace motri-cité avec une piscine à balles, un petit toboggan et des modules à installer au grè de ses envies, un coin figurines avec des Playmobil, des châteaux forts, des maisons de poupées en bois, des petites voitures ». Il y a aussi des jeux de construction, un espace dînette et marchandes, des pou-pées, des puzzles, des jeux à encastrer, 2 000 jeux de société, des jeux de figu-rines sans oublier le coin café et le coin

lecture. La ludothèque, c’est aussi un espace de 250 m² aménagé pour tous. Pour les enfants qui sont accompagnés de leurs parents avant 7 ans et qui ensuite peuvent venir seuls, en famille ou avec leurs copains et copines. Mais aussi pour les adultes qui peuvent participer à la soirée organisée chaque fin de semaine autour de jeux de stra-tégie, de jeux d’ambiance et de jeux de rôle. Si vous souhaitez venir jouer, votre première visite est gratuite, puis vous devez vous acquitter d’une inscription à l’année qui vous donne un droit d’en-trée à la ludothèque les mardis matins et 3 après-midi par semaine (les mer-credis, vendredis et samedis).

Par ailleurs, deux matinées par semaine sont exclusivement réservées aux 0-5 ans accompagnés d’un parent ou d’un grand-parent (le mercredi et le vendredi)  : c’est le Lieu d’Accueil Enfants Parents Ludopoucet (gratuit et sans inscription).

Ludothèque à vos jeux !!64, rue du château Renseignements : 09 51 80 98 42

Service public

L’association « À vos Jeux !! » gère et anime la ludothèque de Saint-Leu-la-Forêt avec pour mission de promouvoir l’activité ludique pour tous les âges et faire partager le plaisir de jouer.

26 • Dans Ma Ville • N° 58 • Janvier/février 2018

Tribunes

À l’aube de cette nouvelle année, il n’est pas inutile de regarder dans le rétroviseur afin de faire le point non exhaustif sur les opérations qui se sont déroulées dans notre commune au cours de ses douze derniers mois. En effet, « 2017 » fut une année fructueuse pour notre cité.Réfection de la place Cyrille-Lecomte (place de la Gare), rue de la Marée, rue de Diane, chemin des Bretoux… Travaux d’entretien et de rénovation multiples dans toutes les écoles communales ou encore agrandissement de la Maison pour Tous, rénovation du gymnase Jean-Moulin, création d’un second terrain synthétique au stade des Andrésis, réhabilitation complète du mur d’enceinte du cimetière, etc.Comme vous avez pu le constater depuis

En ce début d'année 2018, je m'adresse à vous, Saint-Loupiens et Saint-Loupiennes, et je forme des vœux pour vous, vos familles, notre ville et notre pays. J'espère qu'elle ne sera pas semblable à toutes ces années précédentes. Plein emploi et prospérité économique, paix et stabilité, indé-pendance et puissance; on ne compte plus les promesses trahies de l'Europe et de nos dirigeants successifs, et ce n'est pas le président actuel qui va changer quoi que ce soit. Pour lui il n'y a pas de

Les membres de REUNIR SAINT LEU LA FORET vous souhaitent une bonne année 2018. A l’occasion de cette nouvelle année nous souhaitons que Madame le maire se démarque de son prédécesseur sur plusieurs sujets notamment sur l’urbanisme et sur la transparence de son action.

Très belle année !En toute simplicité, que cette année 2018 soit pour vous 12 mois de bonheur. La page 2017 est tour-née, c’est le temps des vœux et des projets. Nous sommes ainsi heureux de vous annoncer la nais-sance de notre association : Décidons Autrement Saint-Leu-la-Forêt. Parce que face aux projets de

la majorité municipale, il y a besoin d’une oppo-sition déterminée pour vous informer, défendre le bien être de toutes et tous, et proposer des projets alternatifs. Dans son discours de prise de fonc-tion, notre nouvelle maire s’est dite déterminée à « gérer la ville comme une entreprise ». Peut-être est-ce dû à son inexpérience en politique mais

une ville, ce n’est pas une entreprise ! L’action d’un conseil municipal, ce n’est pas faire du profit pour quelques-uns mais œuvrer pour l’intérêt général. Face à cette vision, vous pouvez compter sur nous ! Si comme nous, vous souhaitez agir, vous manifes-ter, ou vous renseigner, rejoignez-nous : http://www.decidons-stleu.fr/Delphine ARMANDIN, Christel LEROYER, Gerold SCHUMANN

plus de neuf années, la priorité est donnée à l’investissement dans l’espace public et à l‘embellissement de la ville dans tous les quartiers. La municipalité conduite par le maire, Sandra Billet, entourée de son équipe, proposera pour l’année qui débute un budget maîtrisé et ambitieux afin que nous puissions continuer à mettre en œuvre le programme de mandature sur lequel vous nous avez accordé votre confiance en mars 2014.Nous agissons également dans un contexte budgétaire contraint où l’État tente d’as-phyxier les collectivités territoriales alors que l’échelon communal demeure celui qui est le plus pertinent pour mener une multipli-cité de politiques publiques de proximité. Par exemple, l’exonération et/ou la sup-pression de la taxe d’habitation promis par le président de la République est un sujet de préoccupation majeure et aura certaine-

culture Française, avait-il lancé pendant sa cam-pagne présidentielle. Notre France est riche sur les plans naturel et géographique, mémoriel et histo-rique, économique et industriel, culturel et civilisa-tionnel. Notre France est riche de ses hommes et femmes, de son formidable potentiel créatif. Toutes ces richesses ont été abandonnées voire trahies depuis de nombreuses années. Il faut en finir avec l'impuissance collective, pour cela rejoignez notre mouvement qui est ouvert à toutes idées novatrices

2018 sera pour notre mouvement une nouvelle étape, avec un projet en cours d’élaboration pour notre ville et une nouvelle équipe plus motivée que jamais à poursuivre le travail mené depuis 2013 au service de St-Leu.Nous vous invitons à venir échanger avec nous lors d’une réunion publique le dimanche 21 janvier à 11h00 pour un moment convivial à la salle André Maura (Espace ClaireFontaine)

ment un impact sur nos finances locales. Depuis 2008, les taux d’imposition communaux sont restés inchangés et nous tiendrons le cap de cet engagement ! À Saint-Leu-la-Forêt, preuve a été faite de ne pas modifier le levier fiscal et continuer à investir durablement et massivement dans l’espace public. Nous restons à votre écoute, n’hésitez pas à nous contacter si vous le désirez et nous vous redisons notre engagement total pour notre ville. Chères Saint-Loupiennes, chers Saint-Loupiens, la liste « J’aime Saint-Leu » vous adresse ses meilleurs vœux de santé, de bonheur, de prospérité et d’espérance à l’occasion de la nouvelle année.

Bien fidèlement,La Liste J’aime Saint-Leuwww.jaimesaintleu.fr

dont vous voudrez bien l'enrichir, et qui est actuel-lement la seule alternative à la politique actuelle qui est menée.Je vous souhaite de nouveau une bonne et heu-reuse année.

La permanence du Rassemblement Bleu Marine, se tient à votre écoute le premier samedi de chaque mois en mairie de 10h00 à 12h00.Christian MALACAIN - Conseiller Municipal RBM

Des vœux pour 2018 …Qu’elle soit l’année de la valorisation de l’eau de source de Saint-Leu, l’année du classement de

la forêt de Montmorency en Forêt de Protection et l’année du raccordement de notre ligne H à la gare Saint-Denis Pleyel, pôle ferroviaire du grand Paris Express.

Très bonne année à tous.Monique BaquinPlus d’info sur :www.choisirstleulaforet.fr

J’aime Saint-Leu

Réunir Saint-Leu-la-Forêt

Monique Baquin

Saint-Leu-la-Forêt Rassemblement Bleu Marine

Décidons Autrement Saint-Leu-la-Forêt