L e Télévie est né en 1989.Le groupe RTL décide,cette année­là, de récolter

des fonds pour la lutte contre lecancer (une maladie grave).L’argent gagné pourra payerune partie du matériel, des pro­duits et des salaires des scienti­fiques qui essaient de trouvercomment vaincre le cancer.La recherche contre le cancercoûte en effet très cher. Le can­cer est une maladie complexe,et il en existe de plusieurs ty­pes. S’en débarrasser est diffi­cile. En 1989, 60 % seulementdes malades en guérissent.Depuis 1989, le Télévie a rap­porté plus de 116 millionsd’euros. Et, en partie grâce à cetargent, la science a fait degrands progrès : aujourd’hui,90 % des malades guérissent ducancer ! La recherche continuepour que les traitements soientencore plus efficaces et qu’ilsaient moins d’effets désagréa­bles pour les malades.

● Le Télévie 2012RTL en est à son 24e Télévie.Comme chaque année, des cen­taines d’activités ont été orga­nisées dans tout le pays : desmarches parrainées, des con­cours, des rallyes, des soupers,

des spectacles… Des bénévoles(personnes qui ne se font paspayer) ont vendu des pin’s, desbonbons, des CD, des essuies…Pendant plusieurs mois, beau­coup de personnes se sont mo­bilisées (bougées).Ce 21 avril, l’opération Télévie2012 se clôturera par unegrande soirée télévisée. Onpourra regarder des reportagespour mieux comprendre la ma­ladie et le travail des scientifi­ques, et voir des témoignages(récits de vie). Pour animer lasoirée, des artistes sont invités :

Christophe Willem, M.Pokora,Katie Melua, Laurent Voulzy,Alain Souchon, la comédie mu­sicale 1789, Caroline Costa…Tout au long de la soirée, onpourra aussi voir tourner lecompteur qui montre lasomme d’argent réunie cetteannée. Les téléspectateurs sontinvités à faire des promesses dedons, ce qui fait grimper encoredavantage le compteur. En2011, le Télévie avait réuni8 212 537 euros. Combien, cetteannée ?

Nathalie Lemaire

Le Télévie 2012se clôture le 21 avrilLe 21 avril, RTL-TVI organisela grande soirée declôture du Télévie 2012. Onpourra voir, à la télévision,des vedettes, mais aussides reportages pourcomprendre l’utilité decette grande opération.

RTL

Le Télévie 2011 avait permis de donner 8 212 537 €aux scientifiques qui essaient de trouver com-ment soigner les malades qui ont un cancer.

En savoir +➜ Le corps humain est constituéd’environ 60000 cellules qui ontdes formes et des tailles différen-tes. Ensemble, ces cellules for-ment nos organes et nos tissus.Chaque cellule a un rôle précis.C’est cette organisation complexequi permet au corps de fonction-ner.➜ Il peut arriver qu’une cellule neremplisse plus son rôle correcte-ment, qu’elle se multiplie et pro-duise des cellules malades. Cescellules forment une tumeur, unemasse compacte. Parfois, cettetumeur est cancéreuse. Si les cel-lules malades se répandent danstout l’organisme, le corps ne fonc-tionne plus convenablement.

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Vendredi4 février 2011HebdomadaireN˚ 925-11

Prix de vente : 1,50

BelgiqueLes transportsen communen grèveà Bruxelles

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Ê tes­vous nomophobe ?Un nomophobe est unepersonne très angoissée

à l’idée de perdre son télé­phone portable. Le mot nomo­phobe vient d’une expressionanglo­saxonne « no­mobile­phone­phobia ». Une étudevient d’être menée au Royau­me­Uni auprès d’un millierd’utilisateurs de mobiles. Plusde 66 % d’entre eux se disaient« très angoissés » à l’idée deperdre leur téléphone. Parmiles 18­24 ans, 76 % étaient no­mophobes. En France, un son­dage a été réalisé auprès de1 500 personnes. Une per­sonne sur 5 dit qu’il lui est« impossible » de passer plusd’une journée sans son télé­phone portable. Et visible­ment, plus on est jeune et pluson dit se passer très difficile­ment de son téléphone plus de24h.Du 21 au 27 avril, ce sera la Se­maine numérique (ancienne­ment fête de l’Internet) par­tout en Wallonie et àBruxelles ! C’est un momentunique dans l’année pour réflé­chir et s’informer quant à l’uti­lisation de ces nouveautés quisont en train de révolutionnerpetit à petit notre existence. Ily aura plus de 350 activités. Ony parlera aussi des portables,des smartphones. Sur le sitewww.lasemainenumerique.be,vous pouvez découvrir ce quise passe dans votre région.

Le Journal des Enfants

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J’y réfléchis?

MondeLes rhinocéros sont en danger.Comment les protéger ? p. 5

SportLes cyclistes sontau départ desclassiques wallonnes

p. 6

MagM. Pokoranous a parléde son nouvel album

p. 7

MondeUn avionfabriqué à lamaison,en Afghanistan!

p. 5

GAGNEZ p.8

le DVD de Happy feet 2

SPECIMEN Vendredi13 avril 2012

HebdomadaireN° 981-12

Prix de vente : 1,50 €

2 Vendredi 13 avril 2012

BelgiqueVendredi 13 avril 2012 3

Je souscris un abonnement d’un an au JDE* et je choisis : O de ne rien payer maintenant et d’attendre le virement de 53 €

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Adresse de l’abonné :Nom PrénomRue N°CP LocalitéE-mail Date de naissance

Adresse du souscripteur :Nom PrénomRue N°CP LocalitéTél. DateSignature

I ls ont entre 14 et 18 ans et ilsont décidé de s’engager pourles droits des enfants. « Ils »,

ce sont les 20 membres très mo­tivés du Youth Board, le conseildes jeunes de Plan Belgique(une organisation qui lutte con­tre le non­respect des droits desenfants). Ensemble, ils mettentdes projets sur pied dans le butd’apporter leur aide à ceux quien ont le plus besoin.

● Sensibiliser pour aiderTous les enfants ont des droitset malheureusement, ceux­ci nesont pas toujours respectés.C’est un fait et il faut le crierhaut et fort pour espérer qu’unjour, ils le soient, par tous etpartout. « Je me suis engagée dansce projet parce que je me sentaisinutile à ne rien faire, expliqueJana. Je voulais aider les autres,faire bouger les choses. » Et fairebouger les choses, c’est avanttout faire connaître la réalitédes problèmes vécus par les en­fants. La sensibilisation (le faitde faire réagir les gens) est unepartie de la mission des jeunesdu Youth Board.

● Un projet au BéninParmi l’ensemble de ses activi­

tés, le Youth Board s’est engagédans un projet au Bénin et auTogo (Afrique occidentale).Dans ces pays, la traite (l’exploi­tation) des enfants est fré­quente. Elle peut prendre diffé­rentes formes : travail oumariage forcés, prostitution, en­lèvements, etc. Les droits desenfants sont alors totalementbafoués (méprisés). Pour chan­ger les mentalités sur place, ungroupe de jeunes Béninois s’est

également constitué. « Les en­fants sont les êtres les plus touchéspar les différentes sortes de vio­lence. Il est temps que les jeuness’impliquent eux­mêmes dans cetteproblématique », explique Léon,un des jeunes Béninois engagés.

● Une belle rencontreIl y a peu, ces deux groupes dejeunes, Belges et Béninois, onteu l’occasion de se rencontrerpour partager leur expérience

en matière de lutte contre lesviolences faites aux enfantsainsi que leur vision de ce projetqu’ils mènent en commun. En­semble, ils ont rencontré Ber­nard De Vos, le délégué généralaux droits des enfants en Belgi­que. « Nous sommes étonnés devoir que, même en Belgique, lesdroits des enfants ne sont pas forcé­ment respectés, explique Léon. Ceproblème existe donc partout. »Effectivement, il existe partout,

mais de plus en plus de person­nes s’allient pour le faire dispa­raître. Et les activités fonction­nent, les résultats le prouvent.« Depuis que nous faisons la pro­motion des droits des enfants auBénin, la violence diminue dans no­tre région », explique Léontine.Beaucoup de progrès sont en­core à réaliser mais chaqueavancée « prouve que ce que l’onfait a du sens », conclut Jana .

Adeline Nonet

Ensemble pour les droits des enfantsL’union fait la force. Lesjeunes de Youth Boardl’ont bien comprislorsqu’ils ont choisi dedéfendre les droits desenfants dans le monde.

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Léon, Léontine et Zita sont venusà la rencontre de jeunes Belgesqui s’impliquent pour leur pays.

L es cockers sont deschiens anglais, de taillemoyenne aux poils longs

et doux avec de longues et lour­des oreilles.Leur tête est allongée, leursyeux sont tristes et grands.Leur pelage peut avoir plu­sieurs couleurs : roux (brun),noir, blanc et noir, blanc etroux. Ce sont des chiens dechasse, plutôt nerveux etjoueurs.La bande dessinée « Boule etBill » a rendu les cockers decouleur brune, les roux, trèspopulaires dès les années 60.Cela a créé une forte demandede chiots roux pendant des dé­cennies (dizaines d’années). Denombreux éleveurs ont em­

ployé le même mâle reproduc­teur très beau mais qui étaitvraiment belliqueux (qui cher­chait le conflit).Ce chien a transmis son mau­vais caractère à tous ses trèsnombreux descendants (bé­bés). Ce qui explique que lescockers roux sont plus agres­sifs que les autres. Néanmoins,

cette agressivité des cockersroux n’est pas généralisée etcertains cockers d’autrescouleurs peuvent aussi êtreagressifs ou hargneux.Pour limiter le risque, si tuaimes les cockers roux etque tu décides d’en adopter

un, tu dois voir les parents (etaussi les chiots issus de portéesprécédentes, nés de mêmes pa­rents, plus tôt) et t’assurerqu’ils sont doux et calmes. Fais­toi aider dans ton choix par unvétérinaire et aussi par des édu­cateurs canins qui pourront teguider dans son éducation.

Estelle Lhoest, vétérinaire

Les cockers roux plus agressifs ?

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Envoyez votre question avecune belle photo de votre ani-mal préféré à partir de notresite web lejde.be ou à :JDE – Question pas bêteroute de Hannut 385004 Bouge.

Q u e s t i o n p a s b ê t e

«Est-ce que les cockersroux sont plus agressifsque les autrescockers ?» Nayra, 12 ans

Flandre occidentale

Flandre orientale

Anvers

Limbourg

Liège

Luxembourg

Namur

Hainaut

Brabant flamand

Brabant wallon

Bruxelles

Vendredi 13 avril 2012 3 Vendredi 13 avril 2012 3

Plus de 5500 personnes ontramassé 505000 œufs dePâques à Bruxelles le 8 avril.C’était la plus grande chasseaux œufs du monde! AF

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Route de Hannut 38, 5004 Bouge (Namur)www.lejde.be

redaction@lejde.be

RESPONSABLE RÉDACTION :Philippe Martin

Tél. : 081/24 89 10 - Fax : 081/22 60 24

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UNE PUBLICATIONDES ÉDITIONS DE L’AVENIR S.A.

ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ : Quentin Gemoets

RÉDACTEUR EN CHEF - ÉDITEUR RESPONSABLE :Thierry Dupièreux

L e samedi 7 avril au ma­tin, un accident a lieuà Bruxelles entre un

bus et une voiture. L’auto­mobiliste prévient deux co­pains, qui arrivent sur place.Le chauffeur de bus, lui, ap­pelle un superviseur. C’est larègle. Les superviseurs sontdes personnes de la STIB quiinterviennent en cas de pro­blème sur le réseau destransports en commun de lacapitale : tram en panne,voyageur qui fait un malaisedans un bus, accident ouagression dans un métro…Le superviseur vient, il es­saie de comprendre ce qui sepasse, il prend des notes etdes photos, et cherche dessolutions pour que la circu­lation des transports re­prenne le plus vite possible.Ce samedi, donc, c’est IliasTahiraj qui arrive pour pren­dre des notes et des photosde l’accident. Mais un desamis de l’automobiliste esténervé. Il frappe Ilias, quis’effondre… Quelques ins­tants plus tard, la nouvelletombe : Ilias Tahiraj estmort. Sous le choc, les con­

ducteurs de la STIB rentrentau dépôt et cessent le travail.

● Tout à l’arrêtLes travailleurs de la STIBsont en colère. Ils disent que,de plus en plus souvent, ilssont menacés, injuriés ouagressés. Ils réclament plusde sécurité.Une réunion est organiséelundi, entre les représen­tants des travailleurs, les di­rigeants de la STIB et les mi­nistres responsables. Desmesures sont décidées. Maisles jours passent, et aucunbus, aucun tram et aucunmétro ne roule à Bruxelles.C’est mercredi matin seule­ment que, timidement, letrafic reprend en partie.Samedi dans l’après­midi,l’homme qui a frappé Iliass’est rendu à la police. Il ditqu’il regrette son geste. Il nevoulait pas tuer le supervi­seur. La veille, il avait bubeaucoup d’alcool. Est­cel’alcool qui l’a rendu violentce samedi matin ? L’hommea été arrêté. Il devra s’expli­quer devant la justice.

N.L.

Bruxelles-Capitaleparalysée 4 jours

Le 7 avril, un employé de la STIB (société detransports en commun de Bruxelles) a été tué.Les bus, trams et métros ont cessé de rouler.

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7000 tonnesde déchetsUne tonne, c’est 1 000 kg.En 2011, 7 000 tonnes, soit7 000 000 kg de déchetsont été jetés sur le borddes autorouteswallonnes. La Régionwallonne a entamé unevaste opération denettoyage qui coûtera 16millions d’euros. D’iciquelques mois, le nombrede policiers présents surle terrain pour verbaliserles pollueurs passera de13 à 30. Jeter une canettesur l’autoroute coûtera auminimum 50 euros. Etcette amende pourramonter jusqu’à 150 euros.

Une exposur l’amitié«Avoir un bon copain»,c’est le titre de cetteexposition qui se tient àLiège. Véronique Marit estphotographe, elle expose150 clichés faits par desinconnus. Elle a trouvéces photos dans desbrocantes. Selon elle,l’expo parle à tout lemonde et, en mêmetemps, toutes les photossont positives. Donc,chacun repart joyeux etc’est très agréable. Cetteexposition se tient auQuai sur Meuse, c’est-à-dire sur la Batte, jusqu’au8 mai, les week-ends de14 à 18 heures.

Albert II :la série TVLa VRT (télévisionpublique flamande) vadiffuser une série defiction en cinq parties surle roi Albert II. La sériebrossera un tableau de lavie du souverain. L’anprochain, le roi sera sur letrône depuis vingt ans.L’intention desproducteurs est deraconter l’histoire de lavie du roi le plusfidèlement ethonnêtement possible. Lasérie sera diffusée auplus tôt à l’automne 2013sur la Één.

E n b r e f

Les conducteurs et contrôleurs ont organisé desmarches silencieuses.Ils sont trop souvent agressés.

➜ On peut signer une pétition (demande d’un grand nom-bre de personnes) pour sauver le rhinocéros. (p.5)

L e c o u p d e c rayo n

➜ Des faucons pèlerins se sont installés au sommet de la maison communale deSchaerbeek (Bruxelles). Pour en savoir davantage sur ces oiseaux, la commune a faitvenir un ornithologue. On ne sait pas encore si ces oiseaux vont s’établir sur ce toitschaerbeekois. Si c’était le cas, il y aurait alors huit couples de faucons pèlerins enRégion bruxelloise. www.fauconspelerins.be

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C l i c - c l a c !

D epuis ses 10 ans, Ber­nard Daune est unvéritable passionné

d’animaux. En 1989, il a dé­cidé d’ouvrir un refuge quis’occuperait des animauxsauvages belges et exotiques(venant d’un pays lointain)blessés ou abandonnés. Sonrefuge s’appelle l’Arche etest situé à Bousval, dans leBrabant wallon.

● La missionde BernardBernard doit donc s’occuperdes animaux sauvages bles­sés qu’on lui apporte, maisaussi des animaux exoti­ques qui sont saisis par lapolice car leurs propriétai­res ne les traitent pas correc­tement. Ceux­ci peuventprovenir de cirques, de ma­gasins spécialisés ou mêmede particuliers qui avaientenvie d’avoir un animal spé­cial chez eux.

À l’Arche, les animaux pour­ront trouver un refuge et, sinécessaire, être soignés parun vétérinaire.On trouve donc dans ce re­fuge des animaux très spé­ciaux : des loups, des ours,des ratons laveurs. Maisaussi des renards ou desoiseaux qui se sont blessés.De Ali, le chameau, à Obélix,le sanglier (photo), chacundes 500 animaux du refugeporte un nom.Tous ces animaux sont làpour différentes raisons.Certains d’entre eux peu­vent être adoptés, mais laplupart doivent rester làpour toujours. « Comme ilsne sont plus habitués à se nour­rir seuls, ils ne pourraient passurvivre dans la nature » ex­plique Bernard.

● Manque de moyensPour pouvoir payer la nour­riture des animaux et cons­

truire les enclos nécessaires,Bernard a besoin de beau­coup d’argent. Il en reçoit del’État, mais pas assez. Voilàpourquoi il organise des vi­sites du refuge et prête cer­tains animaux pour des re­présentations.Mais malgré tout, Bernardne peut pas garder tous lesanimaux. « Il n’y a pas assezde place pour accepter tout lemonde», explique­t­il.Comme il y a très peu de re­fuges comme l’Arche en Bel­gique, les animaux qui netrouvent pas de place serontsouvent euthanasiés (tués).L’Arche est donc une solu­tion de rechange pour cer­tains animaux. Même si Ber­nard est content de lesaccueillir, le mieux seraitque ces animaux ne quittentjamais leur milieu naturel...

Émilie Stainier

www.larche-asbl.be

Trouver unrefuge à l’ArcheEn Belgique, les centres pour animaux sauvages nécessiteuxmanquent. L’Arche est un des rares refuges de ce type.

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4 Vendredi 13 avril 2012

MondeVendredi 13 avril 2012 5

U n drone est une sorte depetit avion sans pilote àson bord. Il est télécom­

mandé à partir du sol ou possèdeune capacité de pilotage automa­tique (sans intervention del’homme). Il est capable d’empor­ter une charge destinée à des mis­sions de surveillance (une ca­méra) ou de combat (une armecomme un explosif). Ce genred’appareil est généralement uti­lisé par les forces armées d’unÉtat. Il est discret et silencieux.

● Un défi de tailleZemaraï Elali, un Afghan ingé­nieur et plutôt bricoleur, s’estlancé le défi de réaliser une séried’appareils volants. Depuis toutpetit, il souhaitait comprendrecomment les avions volaient et,un jour, avoir les siens. Voilà quiest chose faite ! S’il a commencé,il y a six ans, par construire desjouets, il possède maintenant unevéritable flotte de deux « grands »et de trois petits avions. Certainspeuvent voler jusqu’à 7 000 mè­tres d’altitude (de hauteur) mais àpartir de 2 000 mètres, il devientdifficile de les contrôler. Ces appa­reils peuvent rester en l’air pen­dant une vingtaine de minutes.

● 100 % pacifiquesPour cet ingénieur, pas questiond’utiliser ses drones à des fins mi­litaires (pour y attacher des bom­bes). Il veut que ceux­ci restentpacifiques (soient utilisés pour lapaix et non la violence). Pour lemoment, ses appareils n’ont pasde caméra embarquée mais Zema­raï Elali n’est pas contre l’idée deles développer pour qu’ils puis­sent, un jour, aider son pays dansla problématique de la sécurité(police, douane, etc.).

● Du liège et du plastiquePour réaliser ses engins, pas d’alu­minium ni de kevlar (des métaux

utilisés dans la construction desavions « traditionnels ») mais duplastique, du liège (un matériaunaturel avec lequel on fait parexemple des bouchons), ou en­core du bambou. Quelques mé­taux récupérés sont égalementutilisés. Les moteurs ? Des modè­les pris sur des tronçonneuses carils sont plus légers. En d’autrestermes, on peut parler ici de « ma­tériaux de récupération » (des élé­ments qui ont déjà servi). En plus,ils sont accessibles à petit prix.Ses créations sont donc à l’opposédes drones militaires utilisés parles Américains en Afghanistanqui, eux, sont réalisés par des

moyens technologiques avancéset ultrasophistiqués.

● La légèretéd’une libelluleIl y a quelques jours, ZemaraïElali a présenté ses engins devantplusieurs responsables politiquesde sa province. Une véritableréussite. Les petites créations sontrapides, semblent légères et sontrelativement silencieuses. Le pariest donc réussi !Reste à voir, dans les années à ve­nir, si les drones de Zemaraï Elaliseront un jour utilisés, par qui etpour quoi !

Adeline Nonet

LE PAYS➜ L’Afghanistan est un paysd’Asie centrale entouré par lePakistan, la Chine, le Tadjikis-tan, le Turkménistan, l’Ouzbé-kistan et l’Iran.➜ Zemaraï Elali vient de la pro-vince de Nimroz (Sud-Ouest).➜ Depuis 2001, ce pays esttouché par une guerre dite«du terrorisme ».

Il construit des avions lui-mêmeAprès six ans de travail,un ingénieur afghanpassionné d’aviation aenfin réalisé son rêve :construire des drones bonmarché et pacifiques.

AFP

Ce drone a été construit avec duplastique, du liège, du bambouet quelques matériaux récupérés.

I l y a 6 ans, un Américain,Jack Dorsey, a inventé unsite Internet qui permet

de diffuser gratuitement desminimessages vers des ordi­nateurs ou GSM. Ces courtsmessages, les tweets, ne peu­vent compter que 140 carac­tères au maximum. Envoyerdes tweets est gratuit. Il fautjuste s’inscrire sur le site In­ternet. Mais quel est l’inté­rêt ? De diffuser rapidementdes petits messages qui peu­vent être lus par d’autresmembres de Twitter qui ontenvie de « suivre » ce quel’on raconte. Ce sont alorsdes «followers». Tandis quesi je m’intéresse à un sujet ouune personne, je peux déci­der d’être son « following »,de suivre ses messages. Maisquelle est la différence entreFacebook et Twitter ? SurTwitter, les gens partagentdes informations sur des su­jets qui les intéressent sansse connaître tandis que Face­book est plutôt un réseau degens qui se connaissent. Oncompte 140 millions d’utili­sateurs de Twitter. Parmieux, il y a des gens célèbres,des gens ordinaires, deschanteurs, des sportifs, etc.Que veut dire « twitter » ?En anglais, « gazouillis ».

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À noter

C’est le Français Jean qui aremporté la grande finale deTop Chef 2012. Il a conquis leschefs et le publicRT

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À Santiago, nous avons pris le métropour aller en ville. Lou­India et Né­maiah se sont fait cirer les chaussu­

res par un cireur, en rue ! Nous avons aussirencontré notre grand­père et passé une jour­née avec lui. Nous sommes restés cinq joursà Santiago sous un soleil de plomb. Un après­midi, il a fait 40°C !

Nous avons fini par quitter la capitale etavons longé la côte de l’océan Pacifique.

Nous sommes arrivés à Valparaisooù nous avons vu des bus électri­

ques. Ils ressemblent à destrams sans rails. Nous avons

continué vers le nord, tou­jours en longeant la

côte. Nous nous im­patientons car nousvoyons beaucoupde plages, qui neplaisent pas aux pa­

rents car elles sont remplies d’enfants quicrient partout et nous continuons pendantqu’elles nous passent sous les yeux ! Nousnous arrêtons finalement à une plage aussipleine que les autres pour que nous puis­sions nous défouler un peu.Le lendemain, nous nous arrêtons là où il n’ya personne, cette fois, et nous faisons unénorme bateau­château contre la mer.Dans la petite ville de Papudo, au bord de

l’océan Pacifique, nous avons rencontré unefamille qui nous a invités à manger chez elleun plat typiquement chilien à base de pom­mes de terre et de viande.Le lendemain, nous arrivons à la Serena, unegrande ville chilienne, et nous y achetons desvêtements, de la nourriture et d’autres cho­ses pour le camion.Nous terminons notre remontée côtière àPuerto Choros pour faire un tour en bateau

sur une île afin de voir des dauphins, des cor­morans, des lions de mer et des manchots deHumboldt. Nous sommes arrivés trop tardpour la croisière et nous avons dû attendre lelendemain. Malheureusement, l’océan Paci­fique était très agité et toutes les sorties enmer ont été annulées. Alors, nous avons bi­vouaqué (campé) sur la plage déserte oùnous avons pensé à vous ! Hasta luego !

Maximilien et Jade

Nous sommes sur la côte PacifiqueVoici la suite du carnet devoyage de Jade et Maximilien,qui traversent l’Amérique du Sudavec leur famille. Ils sont au Chili.

Chili

4 Vendredi 13 avril 2012

MondeVendredi 13 avril 2012 5

Ville à vendreBudforf, la plus petiteville des États-Unis, aété mise en vente, auxenchères. Elle ne comptequ’un seul habitant,une école et une pompeà essence. Budford aautrefois abrité 2 000habitants avant que lechemin de fer ne cessede s’y arrêter. Les genssont alors partis peu àpeu. C’est unVietnamien qui l’aobtenue, pour900 000 dollars.

Un serpent auxcommandes ?En Australie, le piloted’un avion a eu la peurde sa vie en voyantapparaître un serpentsur le tableau de bord,alors qu’il était en pleinvol. Heureusement, ilest parvenu à poserson avion après avoirlancé un appel dedétresse… Mais alorsque l’avion était en trainde se poser, le pilotepouvait sentir leserpent contre sajambe. L’Australie abriteles serpents parmi lesplus venimeux aumonde.

Un chatretrouvé après16 ansUne Allemande aretrouvé son chat« Poldi », disparu depuis16 ans. Il aurait vécutout ce temps dans lesbois, près de Munich(au sud du pays). On apu l’identifier grâce à untatouage derrièrel’oreille. Or, ce numérod’identification estunique. C’estextrêmement rare deretrouver un chat vivantaprès une si longuepériode.

C ’ e s t f o u !

L e rhinocéros est endanger. Les 20 000 in­dividus vivant dans

le monde sont menacés.Chaque année, le nombred’animaux tués par des bra­conniers (des personnesqui chassent alors que c’estinterdit) augmente. L’Afri­que du Sud abrite environde 70 à 80 % de la popula­tion mondiale de l’animal.En 2011, 440 rhinocéros yont été abattus contre seu­lement 13 en 2007.

● La vente des cornesCette forte augmentationdu braconnage s’expliquepar l’explosion des ventesde cornes de rhinocéros enAsie. Elles sont de plus enplus utilisées dans la fabri­cation de faux médica­ments ou de porte­bonheur

dans des pays comme laChine et le Vietnam. C’estalarmant. Certains scienti­fiques estiment que d’ici 4ans, les rhinocéros auronttotalement disparu de lasurface de la Terre.

● Une pétitionLe 26 mars, une pétition aété lancée sur le siteAvaaz.org pour agir contrecette situation. Le but estde réunir un million de si­gnatures afin de demanderaux institutions européen­nes de créer une loi et unvéritable plan qui protége­raient les rhinocéros au ni­veau mondial. Actuelle­ment, plus de 720 000personnes ont déjà signé lapétition. A.N.

www.avaaz.org/fr/save_rhinos_fr

Le rhinocéros envoie d’extinctionDe plus en plus de rhinocéros sont abattuspour leurs cornes. L’espèce risque de disparaître.

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Une pétition a été lancée pour protéger les rhinocé-ros dont le nombre diminue sans cesse.

➜ Petit plaisir des yeux en Allemagne. À Saalfeld, le retraité Volker Kraft décore chaqueannée un de ses pommiers d’une manière on ne peut plus originale pendant la pé-riode de Pâques. Au total, il y accroche plus de 10 000 œufs colorés et décorés. Sontravail est devenu une véritable attraction touristique. Et on comprend pourquoi. Ce quel’histoire ne dit pas, c’est le temps qu’il lui faut pour les installer puis les retirer.

AFP

C l i c - c l a c !

C’ est un énorme fiasco (échec) etun immense gâchis au Mali(nord­ouest de l’Afrique). Le

21 mars en soirée, des militaires déclarentque le président de leur pays est un inca­pable. Selon eux, il ne parvient pas à biengérer les attaques des groupes rebelles(opposants) au nord du pays. Ils décidentdont de prendre le pouvoir !Dans les jours qui suivent, les groupes re­belles avancent dans le Nord à une vitesseincroyable. Ils s’installent dans les villessans que les militaires ne réagissent, carils sont sous­équipés et désorganisés. Ra­pidement, ils occupent plus de la moitiédu pays ! Certains des groupes armés re­belles déclarent même l’indépendance duNord (ils veulent que cette région ne fasseplus partie du Mali). La population, elle,souffre : elle a faim, peur, et les secours etles soins médicaux n’arrivent pas.

● Les voisins interviennentRapidement, des pays voisins proposentune médiation (servir d’intermédiairepour trouver un accord entre les différen­tes parties en conflit). Le Burkina Faso, no­tamment, cherche une solution de paix.Le vendredi 6 avril, un accord est signéavec le capitaine Sanogo, chef de la juntemilitaire qui a pris le pouvoir par la force.Selon cet accord, la junte militaire rend lepouvoir aux civils (aux non­militaires). Leprésident renversé (chassé) le 21 mars,Amadou Toumani Touré, a officiellementaccepté de démissionner (renoncer à sonposte de président). Le président du Parle­ment (les députés élus) est devenu prési­dent transitoire (pour une courte période)en attendant des élections.Le problème, c’est qu’entre­temps, desgroupes armés se sont installés dans lenord du pays. Que faire, maintenant ?

N.L.

Au Mali, la junterend le pouvoirLe 21 mars, des militaires ontchassé le président du Malide son poste et ont pris saplace. Deux semaines plustard, ils rendent le pouvoir.Mais le pays a changé…

AFP/

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Les habitants du Nord fuient.

LE PAYS➜ Superficie : 1,25 million de km2 (40fois la Belgique)➜ Population : 14,5 millions d’habi-tants (11 millions en Belgique)➜ Capitale : Bamako➜ Le nord du pays est désertique(Sahara).➜ Dans ce pays en développement,pauvre, 1 habitant sur 4 seulementsait lire et écrire.

MALIAFRIQUEAFRIQUE

NIGER

BURKINA

GHANA

Bamako

Taoudenni

TombouctouGao

Kidal

MoptiKayesSégou

Koutiala

Sikasso

MALI

BÉNIN

CÔTE-D'IVOIRE

GUINÉE

ALGÉRIE

MAURITANIE

SÉNÉGAL

En savoir +➜ On dénombre cinq espèces de rhinocéros : les rhino-céros blancs, noirs, indiens, de Sumatra, de Java. Lesdeux premières espèces sont présentes en Afrique et lestrois autres en Asie. Elles sont toutes menacées.➜ Les rhinocéros peuvent courir jusqu’à 50 km/h pourles plus rapides et ce malgré leur poids imposant pou-vant avoisiner les 3 tonnes (3 000 kg). Le rhinocéros estle plus gros mammifère terrestre après l’éléphant.

D’après un proche, c’est cetété que Justin Timberlake etJessica Biel vont enfin offi-cialiser leurs 5 ans d’amouren se mariant. Justin avaitdemandé la main de Jessicaen décembre 2011. Aprèsplusieurs ruptures, le cou-ple semble vouloir repartirsur des bases solides.

L’acteur Alain Delon, 76 ans,légende du cinéma fran-çais, a été admis à l’Hôpitalaméricain de Neuilly (Paris)dans la banlieue ouest deParis pour traiter un pro-blème cardiaque. « Ils ontessayé de me mettre lecœur en place », a précisél’acteur.

Le chanteur de 38 ans, Rob-bie Williams, est aux an-ges. La semaine dernière, ila annoncé que sa femmeétait enceinte d’une petitefille. Ce sera le premier en-fant de Robbie et il ne ca-che pas sa joie. Il paraîtraitmême qu’il n’arrête pas depleurer de bonheur.

L E P E T I T M O N D E D E S STA R S

REPORTERS/INF_

Reporters/Visual

Reporters/DPA

6 Vendredi 13 avril 2012

Sport

L eWorldTour 2012 a démarréen Australie le 17 janvier etse termine le 14 octobre avec

le Tour de Pékin, en Chine. Au to­tal, les 18 équipes du WorldTourparticipent à 28 épreuves.Bien sûr, tous les cyclistes ne pren­dront pas le départ de toutes lescourses ! Le calendrier de chacun,dans les équipes, est établi en fonc­tion des forces et des priorités desuns et des autres… Exemple : ungrand et puissant Tom Boonen està l’aise sur les pavés des courses deFlandre, qu’il vient de gagner avecbrio (éclat, talent), mais il a moinsde chances pour grimper les côtesde Wallonie. Boonen ne sera doncsans doute pas au départ des deuxclassiques wallonnes.

● D’abord la FlècheC’est ce mercredi 18 avril que laFlèche wallonne s’élancera deCharleroi. Les coureurs pédaleront4 à 5 heures avant la ligne d’arri­vée, environ 200km plus loin, àHuy.À Huy, le clou du spectacle, c’est cequ’on appelle le Mur de Huy. C’estune pente très raide. Les cyclistesdoivent la grimper trois fois : ilsmontent, font une longue boucle,repassent une deuxième fois, nou­velle boucle, troisième montée et,enfin, ligne d’arrivée ! C’est en gé­néral là que tout se joue, que le cou­reur doit bien se placer et être assezfort pour passer devant tout lemonde et arriver premier en haut !

● Liège-Bastogne-LiègeLe dimanche 22, les mêmes équi­pes se donnent rendez­vous placeSaint­Lambert àLiège pour le dé­part de la Doyenne. On appelleainsi Liège­Bastogne­Liège parceque c’est la plus vieille coursebelge. Cette année, c’est sa 98e édi­tion !Les cyclistes traverseront Liège en

«troupeau» avant de s’élancervraiment dans la course à partird’Embourg. Vous l’avez deviné, ilsdoivent aller jusqu’à Bastogneavant de revenir à Liège, plus préci­sément à Ans.Sur le parcours d’environ 250km,quelques côtes feront souffrir lesmollets : à Stavelot, à Remou­champs (la côte de la Redoute), à

Esneux (la Roche auxFaucons), à Saint­Nico­las…Au fil des heures et desépreuves, les coureurs de­vraient se distancier.Contrairement à la Flè­che wallonne, une sélec­tion se fera tout au longde la course, et pas seule­ment en fin de parcours.La Doyenne est plus lon­gue, plus difficile, et plusprestigieuse (admirée),que la Flèche.

● Un spectaclepour le public

Pour les deux courses, le publicpourra choisir de se placer le longdu parcours pour encourager lessportifs, ou de regarder l’épreuve àla TV. Quelques grands noms sontattendus : Valverde, Evans, San­chez, Rodriguez, les frèresSchleck…. et, bien sûr, Philippe Gil­bert ! Bonnes courses !

Nathalie Lemaire

Les cyclistes au départdes classiques wallonnesLes 18 et 22 avril, environ 200 cyclistes participeront aux deux classiques deWallonie : la Flèche wallonne et Liège-Bastogne-Liège. Ce sont deux rendez-vousqui comptent pour le WorldTour (championnat du monde cycliste).

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En 2011, Philippe Gilbert avaitgagné les deux courses !

En savoir +➜ 25 équipes participent auxdeux classiques wallonnes.➜ 18 équipes sont inscritesau calendrier du WorldTour.C’est en quelque sorte la D1,les équipes les plus fortes.Les 7 autres sont invitées.➜ Les deux classiques wal-lonnes appartiennent etsont organisées par ASO, l’or-ganisateur du Tour de France.➜ La Flèche wallonne a uneversion féminine : les cyclis-tes dames courent le 18 avrilégalement. Leur parcours faitune centaine de kilomètres.La course compte égalementpour la Coupe du monde fé-minine de cyclisme sur route.

E n demi­finales ! Leclub belge Dragonss’est qualifié pour

les demi­finales de la pres­tigieuse Euro Hockey Lea­gue, la plus grande compé­tition de hockey au niveaueuropéen. Déjà championde Belgique, le Dragons faitmaintenant partie des 4meilleurs clubs européensde cette année. Nos compa­triotes ont battu les An­glais du club de Reading 3buts à 1. Deux prolonga­tions ont été nécessairespour départager les deuxéquipes dans un match in­tense. C’est la deuxièmefois, après Louvain en2009, qu’une équipe belgeparvient à intégrer le top 4de cette compétition euro­péenne.Les demi­finales aurontlieu le 26 mai. Le Dragonsaffrontera les Allemandsde Uhlenhorster (Ham­bourg), et les Néerlandaisd’Amsterdam rencontre­ront leurs compatriotes(du même pays) de Rotter­dam.

A.N.

Dragons :Top 4européen

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Moto : le cham-pionnat est lancéLe championnat du mondede vitesse moto a commencéle 8 avril par le Grand Prix duQatar. En MotoGP, la catégoriereine, c’est l’Espagnol JorgeLorenzo (Yamaha) qui a rem-porté la course, devant unautre Espagnol, Dani Pe-drosa, et l’Australien CaseyStoner. Dix-huit courses sontinscrites au calendrier duchampionnat : en MotoGP,Moto2 et Moto3.Associated Press/Kamran Jebreili

Basket : la Coupede BelgiqueCe lundi 9 avril, à Anvers, la fi-nale de la Coupe de Belgiquede basket a opposé deux équi-pes flamandes : An-vers et Alost. Anvers aeu l’avantage pen-dant la majorité dumatch, très serré.Mais après les pro-longations, c’est fina-lement le club d’Alostqui s’est imposé.

Belga

Boonen, roi deParis-RoubaixLe 8 avril, c’était la 110e édition dela course cycliste Paris-Roubaix.Au total, 194 coureurs ont pris ledépart à Compiègne (Paris).C’est le grand favori, le BelgeTom Boonen, qui a remporté lacourse après 257,5 kilomètres deroute dont 51,5 kilomètres enpavés. Il lui a fallu 5h55 min et22 sec pour rejoindre la ligned’arrivée à Roubaix (nord de laFrance). Plus de 80 cyclistes ontdû abandonner en cours deroute.C’est la quatrième fois que Boo-nen remporte cette course ré-putée difficile à cause de ses

routes défoncées enpavés arrondis. Il re-joint ainsi l’ancienchampion Roger DeVlaeminck, qui était leseul jusqu’à présent àl’avoir gagnée quatrefois.

L’Australien Glenn O’Shea, 22 ans,a remporté l’omnium messieursdes championnats du monde decyclisme sur piste, devant le Cana-dien Zachary Bell et le DanoisLasse Hansen, le 6 avril, à Mel-bourne.Le Belge, Gijs Van Hoecke aterminé l’épreuve à la 9e place. LaBelgique est ainsi assurée d’uneplaceauxprochains JOdeLondres.L’omnium, c’est une épreuve indi-viduelle qui regroupe plusieursépreuves de la piste (comme ledécathlon en athlétisme).

Reporters/Andrew Brownbill

9 jours à la tête duLevski SofiaÀ peine 9 jours après son en-trée en fonction au club defootball bulgare du Levski So-fia, l’entraîneur Georgi Ivanov adécidé de quitter son poste.Deux défaites ont eu raison del’ancien international. Au clas-sement, le Levski n’est plus que5e à 9 points du grand rival duCSKA Sofia. Le nom du succes-seur d’Ivanov n’est pas connu.

Formule 1 : le troi-sième GP, en ChineLe troisième Grand Prix (course)du championnat du monde deformule 1 aura lieu ce 15 avril enChine. Les pilotes devront effec-tuer 56 fois le tour du circuit deSepang. Le circuit a une lon-gueur de 5543m. L’an dernier,c’est Sebastian Vettel qui avaitgagné ce GP. Mais les vain-queursdesdeuxpremiersGPdela saison sont Button et Alonso.

À noter

L’équipe nationale belge de rugby, lesDiables noirs, est devenue championned’Europe de sa catégorie en battant laPologne devant près de 4500 spectateurs.Be

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C’est RobertoBellarosa, 17 ans,qui a gagné TheVoice BelgiqueBe

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A ncien village de pêcheurs, je suisaujourd’hui la 5e ville d’affairesen Europe. Beaucoup de ban­

ques et de grandes entreprises ont choiside s’installer à l’intérieur de mes frontiè­res.➜ Je suis une capitale multiculturelle (oùon trouve différentes cultures ou civilisa­tions). La moitié de ma population estd’origine étrangère.➜ On appelle mes habitants les «Amstel­lodamois ». Leur moyen de transport pré­

féré est le vélo. Un demi­million de bi­cyclettes circulent dans mes rues. Jesuis couverte de parkings pour vé­

los et de 400 km de pistes cycla­bles.➜ Chaque année, je reçois la vi­site de 11 millions de visiteurs.➜ Jacques Brel m’a dédié unechanson. Il y parle de mon portet de ses marins. Le groupe de

rock britannique Coldplay a aussifait un tube avec une chanson qui

porte mon nom.➜ En néerlandais, mon nom signifie «lebarrage sur l’Amstel ». L’Amstel est la ri­vière qui me traverse. De très nombreuxcanaux découpent mes quartiers et ryth­ment ma vie. On m’appelle d’ailleurs joli­ment «La Venise du Nord ».➜ Dans quelques années, vous entendrezsûrement parler de mon célèbre quartier

rouge et de mes fameux coffee­shops. Àl’heure qu’il est, si j’en parlais, vos parentsm’en voudraient.➜ Par contre, je peux vous faire part dema fierté pour mon zoo Artis. Il accueilleprès de 8000 animaux. C’est un des plusvieux du monde.➜ Je suis aussi la ville d’Anne Frank. Vousvoyez, cette adolescente allemande juive

décédée pendant la 2e Guerre mondiale(1940­1945) ? Son journal a été publié auxquatre coins de la planète. J’autorise lestouristes à visiter la maison où elle avécu.➜ Connaissez­vous Van Gogh, le peintreimpressionniste? Vous avez déjà certaine­ment vu son célèbre autoportrait. Je pos­sède un grand musée dédié à ses œuvres.➜ Mes visiteurs ne manquent pas de faireun crochet par le Rijksmuseum. De ma­gnifiques galeries destinées à mieux faireconnaître l’histoire de mon pays, les Pays­Bas.

Stéphanie Dezangré

Jacques Brel m’a chantéeOù le père Atlas vousemmène-t-il cette semaine ?

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On m’appelle« La Venise du Nord ».

En savoir +Autour de son centre quadrillé parl’eau, on tombe sur ses polders. Cesont de grandes étendues de terre,aménagées par l’homme au-des-sous du niveau de la mer. Elles sontgorgées d’eau. On y trouve des ma-rais, des lacs, etc.Solution : Amsterdam

➜ Tu sors ton 5e album. Qu’est-ce qui achangé depuis le début de ta carrière,quand tu avais 17 ans ?Quand je sortais du lycée, je n’écoutaisque du R & B et des musiques urbaines.J’écoute beaucoup plus de choses diffé-rentes maintenant, et ça se ressentdans l’album. Ce que je fais aujourd’huiest plus «musical» qu’avant, il y a plusde mélodies, d’instruments, les textessont plus variés et plus ouverts… Il restedes influences dansantes parce que j’aibesoin de ça, mais en même temps, jevais vers autre chose.

➜ Tu as participé à l’écriture de teschansons. Comment ? Avec qui ?Je ne me sentais pas capable d’écrireseul. Donc, j’ai fait appel à Soprano, à Cor-neille… à plusieurs personnes. Souvent,j’écrivais la musique avant. La mélodiem’inspirait un thème, et on se réunissaitpour écrire. Ou on écrivait des bouts cha-cun dans son coin, et on s’échangeaitdes e-mails, pour demander à l’autre cequ’il en pensait, on modifiait…

➜ Quand as-tu écrit et enregistré teschansons ? On t’a tellement vu et entendudepuis l’été dernier !J’ai commencé en juillet. Et j’ai enregistrépendant ma tournée. Dès que j’avais unjour off (sans concert), j’enregistrais.J’étais dans l’euphorie (joie) des concertset ma voix était prête, bien chaude.

➜ Et pendant ce temps-là, on t’entendaittout le temps, à la radio, avec ta reprised’«À nos actes manqués», la chanson deJean-Jacques Goldman !Oui, ça, au départ, c’était un petit délireavec mon manager (celui qui s’occupede la carrière de M. Pokora). On admireGoldman et, un jour, on écoutait ses an-ciens albums. J’ai commencé à danser et

à chanter sur À nos actes manqués.Mon manager m’a proposé d’en faireune version. On l’a envoyée à monsieurGoldman, qui a répondu qu’il était tou-ché, qu’il trouvait que c’était fidèle et enmême temps actuel. Donc, OK, on l’a sor-tie !

➜ Ton album s’appelle «À la poursuite dubonheur». Pourquoi ?C’est mon état d’esprit, un truc positif.Quand jemeréveille lematin, j’ai desob-jectifs, des rêves. Pour moi, le principe dubonheur, c’est ça : de courir après. Sinon,le jour où j’ai atteint le bonheur, qu’est-cequ’il y a après ?

➜ De quoi parle «Mes rêveurs» ?Des gens qui vont bousculer les choses,qui n’ont pas peur de foncer, qui se don-nent les moyens de réaliser leurs rêves.C’est un hommage à ceux qui se bou-gent les fesses.

➜ Dans «Reste comme tu es», tu propo-ses d’être fier de ses défauts. Bizarre, non ?Il faut être fier de ce qui fait nos différen-

ces. Si on était tous faits selon le mêmemodèle, avec la même gueule et lemême caractère, on se ferait ch… J’aimebien Untel même s’il a une grandegueule, au moins, il dit ce qu’il pense.Une autre, je l’aimerai parce que sa timi-dité la rend touchante, attachante… Lui, ilest peut-être gros, rond, mais il est rigoloou ila lecœursur lamain… Il fautêtresoi-même.

➜ Et puis, il y a un hommage aux femmes,dans «Merci d’être».Oui ! Nous, les mecs, on fait les fiers. Maisles trois quarts de ce que supportent lesfemmes, que ce soit la souffrance physi-que ou morale, on ne les supporteraitpas. Et ce qu’elles font, on ne serait pascapables de le faire. C’est toujours ellesqui vont te soutenir même quand t’esadulte. Si t’asunegalère, lapremièreper-sonne qui te vient en tête, c’est ta mère.Et quand on est en couple, la premièrepersonnechezquionvaseréfugier, c’estles bras de notre femme. Elles méritentnotre respect, ici et partout.

Interview : Nathalie Lemaire

M. PokoraÀ la poursuite du bonheur

M. Pokora sortson 5e album.

S am est un artistenamurois pas­sionné par les ima­

ges. Depuis 12 ans, ilanime des soirées, desspectacles, des concerts…en faisant du Vjing.«Je prends des images vidéoet des images fixes (photos,peintures, dessins…) et jeles mixe, je les mélange. Jepeux ajouter des effets sur lesimages. Et je mixe le tout endirect, sur de la musique, enfonction des ambiances et desrythmes.»Le Vjing n’est pas aussiconnu du grand publicque le Djing (mixer desdisques). Mais il existe de­puis longtemps. «Dans lesannées 1970­1980, certainss’amusaient déjà avec desfilms super 8 (longues pelli­cules de film), puis avec lescassettes vidéo (sur bandesmagnétiques). Mais avec

l’évolution des technologies,c’est devenu plus facile. Il suf­fit d’un ordinateur, un lecteurDVD, une table de mixage…Aujourd’hui, on peut mêmese débrouiller avec un petitprojecteur et une tablette nu­mérique !»Sam a déjà animé des soi­rées avec un DJ. Mais cequ’il préfère, c’est les con­certs. Il a ainsi accompa­gné le groupe Flexa Lyndo.«Les images que je mixaisétaient projetées derrière lesmusiciens. J’étais même surscène, quand il y avait de laplace. Ce que j’aime le plus,c’est écouter le groupe et joueravec lui. »Sam aime aussi chercheret filmer des images enfonction des univers et desthèmes des morceauxqu’il va jouer. Et puis, surscène, c’est un peu commes’il était lui aussi musi­cien. Sauf qu’au lieu deproduire du son, il produitdes images…Cela dit, le VJ peut aussi,grâce à l’évolution techno­logique, mixer les imagesavec le son, et être à la foisVJ et DJ ! Tiens, l’œil deSam pétille quand il nousen parle… N.L.

Sam est VJ :DJ d’imagesVous connaissezles DJ, qui mixentdes sons et desmusiques. Et lesVJ ? Ils mixentdes images.

8 Vendredi 13 avril 2012

Récré 1.À combien de mètres s’arrê-te-on au feu vert ? 1 m, 2 m ou3 m.

2.Une savonnette demande àune autre :- Comment fais-tu pour mai-grir ?- C’est simple, je prends unbain tous les jours.

3. C’est deux chiens qui discu-tent. Il y en a un qui demandeà l’autre :– C’est quoi ton nom ?– C’est Ché.– Ché ? C’est plutôt bizarre…– Ben pourtant, mon maîtreme dit tout le temps : «Va,cher Ché !».

4.Deux grains de sable sepromènent dans le désert.L’un dit à l’autre :«Oh, ne te retourne pas, onest suivi !»

5.Si vous recevez une mou-che entre votre nez et votrebouche, qu’est-ce que c’est ?

6. Un technicien en informati-que raconte à un ami :– J’ai inventé un ordinateurpresque humain.– Tu veux dire qu’il est capablede penser ?– Non pas encore, maisquand il se trompe, il met unefaute sur le dos d’un autre or-dinateur.

7. Sarah va à la pâtisserie etvoit un millefeuille qui coûte10 €. Elle demande :– Est-ce que je pourrais avoirun 500 feuilles ? Je n’ai que5 euros… !

8. Dans un restaurant :– Monsieur, pourquoi bougez-vous toujours votre pied ?– C’est pour empêcher lesloups de s’approcher de moi.– Mais il n’y a pas de loups ici !– Vous voyez, ça marche !

B l ag ue s !

C’est nouveau

Balthazaret le secret de l’agent Muller

Cette année, en français, Bal-thazar et Jumbo doivent réali-ser un récit de science-fiction.Ils se lancent dans le scénariod’une BD.Le thème : une vieailleurs est-elle possible ? Parchance, l’ami du père de Bal-thazar les met en contact avecPaola, une spécialiste en exo-biologie (science qui étudie lesconditions d’apparition de lavie dans l’espace). Mais Paoladisparaît. Les jeunes soupçon-nent l’agentMuller,unétrangescientifique, d’y être pour quel-que chose. Ils mènent l’en-quête. Si le récit démarre unpeu lentement, il se révèle en-suite passionnant ! M.-A.C.

➜Balthazar et le secret de l’agentMuller, Christophe Chaffardon éd. lePommier, 180p., à partir de 9 ans.

Livre

L’élève Ducobu révise un max !

Dans ce 18e album, Ducobucherche encore à varier les acti-vités en classe. Il se connectesur Internet et répond en di-rect aux e-mails de cancres endevenir. Mais le professeur La-touche ne renonce pas à met-tre Ducobu au travail, au pointque celui-ci se demande si«Autableau !» n’est pas devenuson nom de famille. Heureuse-ment, les vacances arrivent,Ducobu part avec Léonie et lamère de celle-ci. .. L’album estcomplété par le « journal deLéonie » qui évoque le film Lesvacances de Ducobu qui sortce 25 avril. On apprend aussiqu’une nouvelle série va com-mencer : celle de l’instit Latou-che(àparaîtreenoctobre2012).

M.-A.C.➜L’élève Ducobu révise un max !,Godi et Zidrou, éd. Le Lombard.

Bédé!!?!

HOPLA ! La fête des artsdu cirque de Bruxelles

«HOPLA ! », c’est la fête desarts du cirque.Pour la 6e an-née, cette fête a lieu à Bruxel-les. Elle se déroule jusqu’ausamedi 21 avril.Mais les 14 et15 avril a lieu un week-endtotalement gratuit avec Cir-ques en fête ! Durant ceweek-end auront lieu 40spectacles en plein air, ensalle ou sous chapiteau, desateliers pour petits etgrands, des animations… entout quelque 150 artistes etune dizaine de DJ’s pour deuxjours et une nuit de cirque !➜Où ? À Bruxelles, au quartierVismet, Sainte-Catherine, àLaeken, Sainctelette et à Tour &Taxis.Tél. : 02/678 09 95.

www.hoplacirk.be

Sortie

Le voyage extraordinaire

Le 28 décembre 1895, le magi-cien français Georges Mélièsest invité à la projection despremiers films de l’histoire ducinéma, par les frères Lumière,à Paris. Fasciné, il se lance dansl’aventure et réalise les pre-miers trucages du cinéma.Ce documentaire raconte lesdébuts du cinéma et le travailde Méliès. Il se penche en par-ticuliersur le filmleplusconnude cet homme : Voyage dans laLune, réalisé il y a 110 ans. Mal-heureusement, les copies dece film ont presque toutes dis-paru. Le documentaire montrecomment on a réussi à en sau-ver une et à lui redonner vie.Après avoir vu tout ce travailminutieux et risqué, on peutvoir le résultat : Voyage dans laLune en couleur. On admire !

N.L.

Ciné

Happy feet 2Mumble et Gloria ont ungarçon nommé Erik, qui sebat pour découvrir ses pro-pres talents dans le mondedes manchots empereurs.Mumble, le roi des claquet-tes, est bien ennuyé quandil découvre que son fils Erikest allergique à la danse.C’est alors que ce derniers’enfuit et rencontre Sven,puissant pingouin capablede voler ! Mumble com-prend qu’il ne peut nulle-ment rivaliser avec ce per-sonnage qu’Erik tented’imiter… Mais la situationne fait qu’empirer quand lemonde est menacé : le sol

tremble, les blocs de glacetombent…Une des très bonnes idéesde ce Happy feet 2, c’estd’introduire deux person-nages aussi petits que drô-les, deux « crevettes » Krill,qui, à elles seules, appor-tent les touches d’humournécessaires à l’équilibre dufilm.

Nous avons 10 DVD/BRHappy feet 2 à vous offrir.Pour participer, répondez auxtrois questions de cette se-maine. Vous avez JUSQU’AU20 AVRIL pour nous écrire àpartir de notre site web le-jde.be ou sur carte postalesans enveloppe au JDE, routede Hannut 38, 5004 Bouge.N’oubliez pas d’indiquer vosnom, prénom, date de nais-sance et adresse postale. Lesgagnants seront tirés ausort.

Les 3 questions1. En quelle année le Télé-vie a-t-il été créé ?

2. Quelle BD a rendu lecocker roux célèbre ?

3. Combien d’espèces derhinocéros existe-t-il ?

Concours

■ Bienvenue chez les Ch’tis : la célèbre comédie de Dany Boon à enregistrer le dimanche 28 novembre à 20 h 45 sur TF1.

■ Laëtitia et+ ses loups : c’est un documentaire réalisé dans la taïga (forêt de sapins dans une région froide) russe, une jeune biologiste française observe les loups. Elle brave l’hiver avec pour seule compagnie son chien Thalis, elle travaille dans une station de recherche où elle se consacre à l’observation et à la remise en liberté des loupsSur TV5, le lundi 28 novembre, à enregistrer car c’est à 21 h 56.

C’est pas sorcier :Le grand frissonÀ la découverte desattractions les plusimpressionnantes d’Europe.Sabine est dans le parc d’attractionssaisonnier le plus fréquenté d’Europe :Europa-Park. Un psychopathologiste,spécialisé dans l’étude des sensations fortes,lui explique pourquoi le public aime à cepoint se faire peur sur les montagnes russes.Sur France 3, samedi 14 avril à 20 h 10.

Réponses:1.Aufeuvert,onnes’arrêtepas,onpasse5.C’estunemouchetache(mousta­che:mouche­tache).