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1 Mathilde Viard Ranya Bouchli Kaman Subit Lola Sikora Le vol de la Joconde

Le vol de la Joconde - ac-nancy-metz.fr

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Mathilde Viard Ranya Bouchli Kaman Subit Lola Sikora

Le vol de la Joconde

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Chapitre I

Le désastre au musée

Je me présente, je suis Caroline l’enquêtrice. Aujourd’hui, je vais au musée du Louvre tranquillement avec ma famille. Je me promène et je vois que le tableau de la Joconde a disparu et il y a un monsieur tout affolé.

- Bonjour monsieur qu’est-ce que vous faites ? lui dis-je. - Bonjour, je suis le propriétaire du musée, je m’appelle

Henri et la Joconde a été volée, c’est horrible !! - Moi, je m’appelle Caroline et je suis une enquêtrice .Je

pourrais vous aider ? Soudain, on entend des cris. Cela vient des toilettes. Henri et moi nous nous précipitons vers ces bruits étranges. En poussant la porte, nous voyons une chaussure à côté de Charles le gardien du musée qui est allongé sur le sol. Illustration : Un homme sur le sol

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- Henri, la chaussure qui se trouve à côté du corps doit appartenir au criminel.

- Oui, tu as sûrement raison, nous devons la prendre avec nous et nous rendre au commissariat de police, dit Henri.

Décidés à retrouver à qui appartenait cette chaussure, nous nous dirigions le plus rapidement possible à l’hôtel de police. En effet, mon métier m’a permis de connaître beaucoup de policiers et certains sont devenus des amis. A ce même moment, mon téléphone sonne.

- Henri, je te rejoins tout de suite tu vas voir le policier à l’accueil.

- Oui, j’y vais. - Bonjour, pouvez-vous identifier la chaussure que j’ai

retrouvée dans les toilettes ? car il y a eu un vol et un crime au musée du Louvre. Dit Henri au policier

- Bonjour monsieur, pourquoi êtes-vous aussi intéressé par ce qui s’est passé ?

- Je connais une grande enquêtrice qui s’appelle Caroline, répond le propriétaire du musée.

- Ah oui Caroline la grande enquêtrice, mais je la connais dit le policier.

Le policier continue son interrogatoire avec Henri et d’un seul coup il pose cette question : Mais pourquoi Charles, le gardien s’est- il fait assassiner ? - Je pense que cela serait plus judicieux de regarder les vidéos des caméras qui étaient dans le couloir près des toilettes. Une heure plus tard, dans la salle de surveillance, nous observions la vidéo.

- Nous pouvons faire un portrait robot du voleur et la façon

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dont il est habillé. Dit Henri - Oui, très bonne idée. Dis-je - Ce voleur porte un bandeau noir autour des yeux, ses

cheveux sont roux, il porte des baskets de la marque ‘Nike’, un pantalon gris avec des trous, des bracelets qui brillent dans la nuit et un tee-shirt avec une inscription sur laquelle il est écrit Star – Wars. Il tenait aussi un revolver à la main.

- Je prends la parole ; il doit être fan de Star – Wars ! - Mais oui, tu as raison dit Henri.

Nous retournons au commissariat pour entendre ce que va nous dire le policier.

- J’ai trouvé des empreintes digitales sur la chaussure, elles appartiennent à un membre de la famille Cooper dit l’agent de police.

- Je vais chercher l’adresse sur Internet dis-je.

Deux heures plus tard, je rentre au commissariat de police j’annonce à tout le monde que j’ai trouvé l’adresse exacte du coupable. - C’est le boulevard Vertive à Paris, numéro 35.

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Chapitre II

Mystère…

Le lendemain, je me rends au Boulevard Vertive, je sonne à la porte. Un des membres de la famille Cooper ouvre la porte. Je me présente et aussitôt je mène mon enquête en posant plusieurs questions.

- Bonjour, je ne sais pas si vous savez mais il y a eu un vol et un crime au musée du Louvre et le propriétaire et moi nous avons retrouvé une chaussure qui appartient à une personne de votre famille.

Dans cet appartement, il y avait cette famille très nombreuse ; des petits, des grands, des mamies, des papis, à ne plus retrouver le voleur.

- Venez-tous me voir, je vais prendre vos empreintes digitales leur dis-je.

Une demi-heure plus tard, j’hésite entre Sacha et Valentin Cooper, deux frères qui se ressemblent beaucoup. Je les emmène au commissariat pour les interroger. Un quart d’heure plus tard, Henri me rejoint pour assister à mon interrogatoire et pour m’aider à poser des questions aux deux frères Cooper.

- Jeune homme aimez-vous Star- Wars ? - Non, pas du tout ma série préférée c’est « petits secrets

entre voisins » dit Sacha. - Et vous Valentin ? dit Henri. - Moi j’aime Star Wars et esprits criminels.

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- Cela explique peut-être pourquoi il a volé la Joconde, dit Henri.

- En plus, une Lamborghini coûte très cher. Dit le propriétaire du musée.

- Son prix est estimé à 500 000 € lui dis-je. Illustration des billets d’euro et des pièces.

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Je soupçonne Valentin d’être le coupable mais je ne suis pas encore sûre. Nous allons continuer à l’interroger.

- Que faites-vous dans la vie ? dis-je. Il reste bouche bée à ne plus retrouver la parole, Valentin répond en bafouillant. - J….je….n’ai..n’ai …pas ..de..de…de métier, mais je rêve d’avoir une très belle voiture. Une Lamborghini bleue et noire. Illustration de la Lamborghini bleue et noire

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- Cela explique peut-être pourquoi il a volé la Joconde, dit Henri.

- En plus, une Lamborghini coûte très cher. Dit le propriétaire du musée.

- Son prix est estimé à 500 000 € lui dis-je. Illustration des billets d’euro et des pièces.

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- Les garçons puis-je regarder ce qu’il y a dans vos chambres ? Cinq minutes plus tard, dans la chambre de Sacha, Henri et moi nous voyons beaucoup de posters de Renaud le chanteur, des CD de Louane la chanteuse et des vêtements de la marque du chanteur Black M, tout le contraire de Star Wars comme ce que portait le voleur.

- Est-ce que ton frère te parle de choses bizarres que tu n’apprécies pas beaucoup ? dis-je.

- Oui, il me dit qu’il rêve d’avoir plusieurs couteaux, beaucoup d’argent…

- Vous pouvez regarder sa chambre, c’est vraiment un désastre ! on y trouve beaucoup de choses et c’est très mal rangé !

- Avec cette réponse très précise et ce que j’ai pu voir dans la chambre de Sacha, je commence à y voir plus clair.

Henri me regarde dans les yeux et il me fait comprendre que lui aussi à tout compris et que ses soupçons à l’égard de Sacha commencent à disparaître. Sans dire un mot à son frère, nous sortons de la chambre … Pendant que je parlais avec Sacha et Henri, Valentin en a profité pour partir en douce. Sans que je n’y prête attention.

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Chapitre III

Le coupable démasqué

Henri et moi, nous nous dirigeons vers la deuxième chambre, celle de Valentin. Une fois dans celle-ci, nous observons qu’il y a autant de posters que dans la chambre de Sacha. Mais à la différence et à notre grande surprise également, ces posters ne sont pas du tout du même genre. En effet, ce sont des posters de revolvers, des CD de musique de rock et des vêtements de Star Wars. A cet instant précis nos soupçons ont été confirmés. Malheureusement pour Henri et moi, Valentin s’était échappé. Après avoir expliqué à la famille Cooper que les indices et les empreintes digitales trouvés correspondaient bien à un des deux frères. - Je peux vous dire que nous retrouverons Valentin, car c’est

lui notre coupable. Quelques semaines plus tard, Henri et moi nous nous promenions dans une brocante de la banlieue parisienne, pour essayer de retrouver les traces du tableau de la Joconde. En observant très attentivement les personnes qui étaient là, Henri et moi nous espérions vraiment apercevoir Valentin. Dans un magasin de brocante, Valentin avait vendu La Joconde, il se réjouissait car il pouvait enfin acheter la voiture de ses rêves ; la Lamborghini. Une fois sa voiture achetée, il prend conscience qu’il est recherché par Henri et moi. C’est alors qu’il décide de partir à New York pour fuir.

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Deux jours plus tard, il part pour cette grande ville américaine. Tout se passe comme prévu, il est bien installé sur son siège. Dans cet avion d’Air France, il y a un policier qui a reconnu Valentin. Illustration de l’avion d’Air France. Discrètement il prend son téléphone et m’appelle.

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- Bonjour, je me présente, je suis policier au commissariat

proche de Paris et je pense avoir reconnu le voleur de la Joconde qui se trouve avec moi dans l’avion pour New York.

- Il faut que vous appeliez les policiers de l’aéroport pour l’arrêter à la sortie de l’avion. Dis-je.

- Oui, d’accord je m’en charge. Onze heures plus tard, l’avion a atterri. Beaucoup de policiers sont à l’aéroport et ils attendent Valentin. L’un d’eux prend la parole et parle au coupable. - Vous allez rentrer en France pour être jugé.

Dix- neuf jours plus tard, en prison Valentin est triste. Henri et moi nous décidons de lui rendre visite pour lui dire ce qui va lui arriver.

- Je suis désolée pour toi car nous venons te dire que tu vas faire quinze ans de prison pour le vol et l’assassinat du gardien.

Henri et moi nous étions soulagés et contents d’avoir pu retrouver le coupable de ce terrible crime. - Je te dis aussi que ta belle voiture va être échangée contre le tableau de la Joconde qui sera remis au musée.

Clémentine Derlon

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Ayoub Mouammine Tiago Sousa Mariam Maazouz

Le mystère de la maison

brûlée

Chapitre I

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Ayoub Mouammine Tiago Sousa Mariam Maazouz

Le mystère de la maison

brûlée

Chapitre I

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- Bonjour, je me présente, je suis policier au commissariat

proche de Paris et je pense avoir reconnu le voleur de la Joconde qui se trouve avec moi dans l’avion pour New York.

- Il faut que vous appeliez les policiers de l’aéroport pour l’arrêter à la sortie de l’avion. Dis-je.

- Oui, d’accord je m’en charge. Onze heures plus tard, l’avion a atterri. Beaucoup de policiers sont à l’aéroport et ils attendent Valentin. L’un d’eux prend la parole et parle au coupable. - Vous allez rentrer en France pour être jugé.

Dix- neuf jours plus tard, en prison Valentin est triste. Henri et moi nous décidons de lui rendre visite pour lui dire ce qui va lui arriver.

- Je suis désolée pour toi car nous venons te dire que tu vas faire quinze ans de prison pour le vol et l’assassinat du gardien.

Henri et moi nous étions soulagés et contents d’avoir pu retrouver le coupable de ce terrible crime. - Je te dis aussi que ta belle voiture va être échangée contre le tableau de la Joconde qui sera remis au musée.

Clémentine Derlon

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De drôles de tableaux

Un matin, au coin de la rue Coquelicot, le grand détective Hugo Laloupe se dirige vers la boulangerie « Chez Marine » pour y acheter son croissant matinal. Cette boulangerie est spéciale, on peut y prendre le petit déjeuner à l’intérieur. Hugo Laloupe est grand, mince et il a les yeux bleus. Il adore les croissants (surtout au chocolat), il ne quitte jamais son éternel chapeau vert et sa grande loupe. Tout à coup, une sonnette retentit, Eliott Lousu venait d’entrer. C’est un habitant de la ville, il est plutôt petit avec des cheveux blonds et des yeux verts. Il aime dessiner et il peint des tableaux qu’il expose au musée. Dring, la sonnette retentit une seconde fois. C’est Linda Oyami qui entre. Elle a de grands cheveux bruns avec des yeux pervenche virant un peu au violet. Elle est assez grande, elle a vingt-cinq ans. Elle aime beaucoup les œuvres d’arts et surtout les tableaux. Soudain, M. Lousu se lève et se dirige vers la table de Linda et lui demande :

- Bon Linda, comme tu es mon amie d’enfance, tu veux venir chez moi cet aprèm ?

- D’accord, on y va tout de suite ? demanda t-elle. En réalité, celle-ci avait une autre idée en tête.

- Oui, on y va tout de suite. Après un bref au revoir à la boulangère, les deux amis d’enfance se dirigèrent vers un bus qui semblait les attendre. Il roula un bon quart d’heure avant d’arriver devant la maison d’Eliott. Il ouvrit la porte et entra. Linda fit de même.

- Tu viens, on va dans le salon ; dit Eliott. En réalité, elle savait bien qu’il peignait des tableaux et elle avait

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Ayoub Mouammine Tiago Sousa Mariam Maazouz

Le mystère de la maison

brûlée

Chapitre I

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bien l’intention d’effacer les signatures d’Eliott pour ajouter les siennes. Pendant ce temps, il était dans la cuisine pour préparer l’apéritif. Mme Oyami en profita pour filer dans le couloir où elle avait vu les tableaux et elle se dépêcha d’effacer les signatures d’Eliott pour y ajouter les siennes.

- Linda, tu es où ? j’ai fini de préparer l’apéritif. - Oui, j’arrive !

Elle arriva dans le salon, après avoir mangé les gâteaux apéritifs celle-ci repartit chez elle. Le lendemain, Eliott alla présenter ses tableaux au musée des Beaux-Arts (sans avoir vu les signatures de Linda car les deux amis d’enfance ont presque la même signature). M. le maire arriva au musée. Il trouva les tableaux de Mme Oyami (il connaît tous les habitants de sa commune) qui étaient en réalité à Eliott.

- Fantastique dit M. Hector (le maire). Il alla voir Linda.

- Vos tableaux sont vraiment magnifiques ! Pourriez-vous me les vendre à un bon prix ?

- Bien sûr M. le maire, j’en serais ravie. En la regardant vendre ses tableaux à Mr Hector, Eliott entra dans une colère folle. A la fin de la journée, il rentra chez lui pour préparer un plan de vengeance contre elle. Soudain, il trouva, il savait comment faire pour se venger. Le lendemain soir, Linda comptait son argent quand elle sentit une odeur de brûlé. Elle alla voir dans la cuisine et vit que sa maison brûlait. Comme sa maison était de plain-pied (il n’y a pas d’étages) elle courut dans la salle de bain et sauta par la fenêtre pour atterrir dans son jardin.

- A l’aide, cria t-elle. Une dame remarqua les flammes qui venaient de la maison et elle se dépêcha de prévenir les pompiers. Quelques minutes plus tard, on entendit la sirène.

- Ouf ! je suis sauvée. Chapitre II

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Une enquête pour Hugo Laloupe

Linda avait été dormir chez sa voisine. Le lendemain matin, plusieurs policiers débarquèrent en trombe dans la maison de la voisine de Linda.

- Mme Oyami, avez-vous laissé quelque chose allumé le jour de l’incendie ?

- Non, non, j’ai bien éteint ma cigarette, j’ai bien coupé toutes les choses qui auraient pu déclencher un incendie.

Soudain, on entendit une porte claquer. Hugo Laloupe, le célèbre détective entra dans le salon. Alerté de l’incendie, il s’était dépêché de venir (avec la plus belle voiture de police).

- Monsieur. Dit un policier, l’enquête révèle que quelqu’un aurait brûlé la maison de Mme Oyami.

- Hum…Mme Oyami, avez-vous un ennemi dans la vie ? - Non….Si..Si Victor Ecanne ! - Qui est Victor Ecanne ? ajoute l’enquêteur. - C’était un ami à moi, dit-elle avec une note de tristesse et

de regrets. On travaillait ensemble dans la même entreprise. On s’entendait bien, jusqu’au jour où M. le maire nous a demandé de créer une affiche (on travaillait dans une entreprise de panneaux publicitaires). celui-ci devait sélectionner la plus belle affiche.

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bien l’intention d’effacer les signatures d’Eliott pour ajouter les siennes. Pendant ce temps, il était dans la cuisine pour préparer l’apéritif. Mme Oyami en profita pour filer dans le couloir où elle avait vu les tableaux et elle se dépêcha d’effacer les signatures d’Eliott pour y ajouter les siennes.

- Linda, tu es où ? j’ai fini de préparer l’apéritif. - Oui, j’arrive !

Elle arriva dans le salon, après avoir mangé les gâteaux apéritifs celle-ci repartit chez elle. Le lendemain, Eliott alla présenter ses tableaux au musée des Beaux-Arts (sans avoir vu les signatures de Linda car les deux amis d’enfance ont presque la même signature). M. le maire arriva au musée. Il trouva les tableaux de Mme Oyami (il connaît tous les habitants de sa commune) qui étaient en réalité à Eliott.

- Fantastique dit M. Hector (le maire). Il alla voir Linda.

- Vos tableaux sont vraiment magnifiques ! Pourriez-vous me les vendre à un bon prix ?

- Bien sûr M. le maire, j’en serais ravie. En la regardant vendre ses tableaux à Mr Hector, Eliott entra dans une colère folle. A la fin de la journée, il rentra chez lui pour préparer un plan de vengeance contre elle. Soudain, il trouva, il savait comment faire pour se venger. Le lendemain soir, Linda comptait son argent quand elle sentit une odeur de brûlé. Elle alla voir dans la cuisine et vit que sa maison brûlait. Comme sa maison était de plain-pied (il n’y a pas d’étages) elle courut dans la salle de bain et sauta par la fenêtre pour atterrir dans son jardin.

- A l’aide, cria t-elle. Une dame remarqua les flammes qui venaient de la maison et elle se dépêcha de prévenir les pompiers. Quelques minutes plus tard, on entendit la sirène.

- Ouf ! je suis sauvée. Chapitre II

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Naturellement, une envie de gagner s’empara de moi. Jusqu’à me pousser à tricher. J’étais sûre que Victor allait gagner car son affiche était plus belle que la mienne. Alors, le soir quand tout le monde fut parti, je me suis emparée de son affiche et ai mis la mienne à sa place. Le lendemain, le jour où Mr le maire allait choisir l’affiche (je suis passée en premier, j’ai eu beaucoup de chance). C’est la mienne qu’il a choisie (plutôt celle de Victor, en réalité). Je savais que je faisais quelque chose de mal, et en plus je perdais un ami. Depuis ce jour là, Victor ne m’a plus jamais parlé.

- Bon, vous ! dit Hugo Laloupe en désignant un petit groupe de policiers. Allez trouver Mr Ecanne et posez lui des questions.

Linda marqua l’adresse de Victor Ecanne sur un bout de papier et le donna aux policiers qui s’empressèrent de partir.

- Bon (il aimait bien dire ce mot). En attendant que votre maison soit reconstruite prenez ce numéro et appelez car c’est une entreprise de rénovations de maison.

Puis il ajouta en regardant Linda Oyami droit dans les yeux :

- Concernant ce que vous avez fait subir à Victor Ecanne, je vais y réfléchir et nous en reparlerons plus tard !

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Chapitre III

Le mystérieux briquet

Hugo Laloupe, après avoir repris son téléphone se dépêcha d’aller au commissariat .L’après-midi, Linda se rendit près de sa maison et elle trouva un briquet dans son jardin. Contente de sa trouvaille, elle prit le précieux briquet dans un mouchoir et se rendit en bus au commissariat. Elle entra et demanda où se trouvait l’enquêteur Laloupe. La secrétaire lui répondit qu’Hugo Laloupe était à l’étage. Linda montait les marches d’escalier à toute vitesse. Très, très excitée, elle entra en trombe dans le bureau de l’enquêteur. Elle lui montra le briquet et le détective poussa un cri.

- Allons tout de suite l’examiner au labo ! cria t-il Ils se dépêchèrent d’aller au laboratoire. Une fois que les experts eurent finis de l’examiner, ils trouvèrent des empreintes digitales qui appartenaient à Eliot Lousu. Hugo Laloupe, un peu surpris et chamboulé par cette annonce déclara :

- Hum…cela complique l’affaire, nous avons maintenant deux suspects dans notre ligne de mire. Mme Oyami quelle heure est-il ?

- Hein ? - Quelle heure est-il, je vous dis ! - Euh…18h30 pour être exacte. - Très bien, nous n’aurons plus le temps d’aller interroger

M.Lousu ce soir. Nous le ferons demain matin à 8h00, vous devez être présente au commissariat.

Le lendemain matin, à huit heures précise, Linda se rendit au commissariat. Le détective l’attendait avec deux policiers. Tout le monde décida de se rendre en voiture chez Eliott.

Chapitre IV

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Enfin démasqué !

Dring-dring la sonnette retentit. M. Lousu ouvrit la porte.

- Euh…que faites vous là ? - Nous venons vous poser des questions dit Hugo d’un ton

grave. - Euh…(Eliot était tout rouge et il transpirait beaucoup).

Un policier s’approcha de lui et lui posa une question. - Que faisiez-vous le jour où la maison de Mme Oyami a

brûlé ? - Je peignais des tableaux. - Bizarre car vous n’étiez pas censé savoir que sa maison

avait brûlé et vous avez répondu spontanément sans vraiment être étonné.

Eliott plaqua une main contre sa bouche. - Vous êtes le coupable ! dit M. Laloupe. - Bon, j’avoue c’est moi, mais c’est de sa faute !

Il raconta toute l’histoire aux policiers, la trahison de sa meilleure amie d’enfance.

- Bon, Mme Oyami vous devez lui rendre son argent et je vais trouver un moyen pour que vous remboursiez aussi le pauvre Victor Ecanne. Ensuite, je ne veux plus entendre parler de vous ! Quant à vous, M. Lousu, vous allez passer un bon moment sous les verrous…

Deux mois plus tard, la maison de Linda était reconstruite et

l’harmonie régnait de nouveau dans la commune. Elle avait travaillé pendant ces deux mois pour la mairie

(travaux d’intérêts généraux) pour rembourser Victor Ecanne puis avait fait une promesse au détective, de ne plus jamais recommencer à tricher car cela faisait beaucoup de mal autour d’elle. Sarah Trolong-Bazin

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Chapitre III

Le mystérieux briquet

Hugo Laloupe, après avoir repris son téléphone se dépêcha d’aller au commissariat .L’après-midi, Linda se rendit près de sa maison et elle trouva un briquet dans son jardin. Contente de sa trouvaille, elle prit le précieux briquet dans un mouchoir et se rendit en bus au commissariat. Elle entra et demanda où se trouvait l’enquêteur Laloupe. La secrétaire lui répondit qu’Hugo Laloupe était à l’étage. Linda montait les marches d’escalier à toute vitesse. Très, très excitée, elle entra en trombe dans le bureau de l’enquêteur. Elle lui montra le briquet et le détective poussa un cri.

- Allons tout de suite l’examiner au labo ! cria t-il Ils se dépêchèrent d’aller au laboratoire. Une fois que les experts eurent finis de l’examiner, ils trouvèrent des empreintes digitales qui appartenaient à Eliot Lousu. Hugo Laloupe, un peu surpris et chamboulé par cette annonce déclara :

- Hum…cela complique l’affaire, nous avons maintenant deux suspects dans notre ligne de mire. Mme Oyami quelle heure est-il ?

- Hein ? - Quelle heure est-il, je vous dis ! - Euh…18h30 pour être exacte. - Très bien, nous n’aurons plus le temps d’aller interroger

M.Lousu ce soir. Nous le ferons demain matin à 8h00, vous devez être présente au commissariat.

Le lendemain matin, à huit heures précise, Linda se rendit au commissariat. Le détective l’attendait avec deux policiers. Tout le monde décida de se rendre en voiture chez Eliott.

Chapitre IV

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Tanguy Olivier Julien Courson Anaé Probeck

Les expériences

de chimie

Chapitre I

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Enfin démasqué !

Dring-dring la sonnette retentit. M. Lousu ouvrit la porte.

- Euh…que faites vous là ? - Nous venons vous poser des questions dit Hugo d’un ton

grave. - Euh…(Eliot était tout rouge et il transpirait beaucoup).

Un policier s’approcha de lui et lui posa une question. - Que faisiez-vous le jour où la maison de Mme Oyami a

brûlé ? - Je peignais des tableaux. - Bizarre car vous n’étiez pas censé savoir que sa maison

avait brûlé et vous avez répondu spontanément sans vraiment être étonné.

Eliott plaqua une main contre sa bouche. - Vous êtes le coupable ! dit M. Laloupe. - Bon, j’avoue c’est moi, mais c’est de sa faute !

Il raconta toute l’histoire aux policiers, la trahison de sa meilleure amie d’enfance.

- Bon, Mme Oyami vous devez lui rendre son argent et je vais trouver un moyen pour que vous remboursiez aussi le pauvre Victor Ecanne. Ensuite, je ne veux plus entendre parler de vous ! Quant à vous, M. Lousu, vous allez passer un bon moment sous les verrous…

Deux mois plus tard, la maison de Linda était reconstruite et

l’harmonie régnait de nouveau dans la commune. Elle avait travaillé pendant ces deux mois pour la mairie

(travaux d’intérêts généraux) pour rembourser Victor Ecanne puis avait fait une promesse au détective, de ne plus jamais recommencer à tricher car cela faisait beaucoup de mal autour d’elle. Sarah Trolong-Bazin

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Le cours de chimie Jeudi 10 mars 2016 à 9h00. Moi Hugo 12 ans je vais en cours de chimie. J’ai redoublé ma sixième l’année dernière. Je mesure 1m60 j’ai des lunettes et j’adore la glace à la vanille. J’entre dans la salle puis je vois ma voisine… Sarah ! Je lui dis :

- Sarah tu connais Philippe ? - Philippe Pricroket ? - Oui, c’est lui ! - Alors ça te dirais de former une bande d’enquêteurs ?

Sarah n’a pas eu le temps de répondre car la sonnerie retentit Dring…Dring…. Le professeur M. Delatoré arrive et il dit :

- Sortez vos livres exercice 5 p.64. - C’est le plus dur exercice de tous les temps, il consiste à

faire un produit d’invisibilité. Je vois que tout le monde y arrive sauf moi. J’observe Sarah qui part dans le couloir puis je me mets à travailler. Philippe me donne un coup de coude. - Hé ! Tu as vu Sarah elle a pris la bouteille du prof. Illustration de Sarah qui part dans le couloir une bouteille à la main.

- Le prof lui a demandé de remplir la bouteille avec du jus dit

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Hugo. - Elle n’est pas nette cette fille dit Philippe.

Quelques minutes plus tard, Sarah revient avec la bouteille pleine de jus de fruits. Dring…Dring… Tous mes camarades sortent en récréation .Quinze minutes sont passées, la récré est terminée. Le proviseur arrive dans la salle.

- Les enfants, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer j’ai retrouvé le professeur Delatoré endormi et je n’ai pas réussi à le réveiller donc vous n’aurez pas cours de chimie aujourd’hui. Vous pouvez rentrer chez vous.

- Super ! je vais pouvoir mener ma première enquête. Je

demande à Sarah si elle veut venir avec Philippe et moi. Sarah me répond :

- Non, je ne peux pas j’ai trop de choses à faire.

Notre premier lieu, la salle des profs. Nous pouvons commencer à enquêter.

Chapitre II

L’analyse

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Le cours de chimie Jeudi 10 mars 2016 à 9h00. Moi Hugo 12 ans je vais en cours de chimie. J’ai redoublé ma sixième l’année dernière. Je mesure 1m60 j’ai des lunettes et j’adore la glace à la vanille. J’entre dans la salle puis je vois ma voisine… Sarah ! Je lui dis :

- Sarah tu connais Philippe ? - Philippe Pricroket ? - Oui, c’est lui ! - Alors ça te dirais de former une bande d’enquêteurs ?

Sarah n’a pas eu le temps de répondre car la sonnerie retentit Dring…Dring…. Le professeur M. Delatoré arrive et il dit :

- Sortez vos livres exercice 5 p.64. - C’est le plus dur exercice de tous les temps, il consiste à

faire un produit d’invisibilité. Je vois que tout le monde y arrive sauf moi. J’observe Sarah qui part dans le couloir puis je me mets à travailler. Philippe me donne un coup de coude. - Hé ! Tu as vu Sarah elle a pris la bouteille du prof. Illustration de Sarah qui part dans le couloir une bouteille à la main.

- Le prof lui a demandé de remplir la bouteille avec du jus dit

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Nous sommes Philipe et moi dans la salle des profs. Nous cherchons des indices, nous regardons dans les casiers, derrière la porte, derrière le tableau, en dessous de l’armoire. Quand soudain, Philippe découvre une bouteille qui ressemble à celle du professeur Delatoré. Je pense que nous avons trouvé notre premier indice. Au même moment, je vois Sarah arriver.

- Salut je suis dispo vous avez besoin d’aide ? - Oui, nous avons besoin de toi pour analyser le produit, lui

répond Philippe. Nous sommes arrivés dans la salle de chimie pour analyser ce fameux produit. Je regarde dans le microscope et je vois des cellules. Je zoom pour agrandir l’image que j’ai sous mes yeux. Tout à coup, je vois de la poudre blanche. Peut-être un somnifère… L’enquête progresse bien, nous avons de plus en plus d’indices. Maintenant, il faut trouver plus de preuves. Nous décidons de retourner dans la salle des profs. Nous observons attentivement. Illustration : Le prof dans la salle Je vois une empreinte à quelques mètres du professeur Delatoré. J’observe celle-ci et je vois sur la trace de pas la pointure 39. Je

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Hugo. - Elle n’est pas nette cette fille dit Philippe.

Quelques minutes plus tard, Sarah revient avec la bouteille pleine de jus de fruits. Dring…Dring… Tous mes camarades sortent en récréation .Quinze minutes sont passées, la récré est terminée. Le proviseur arrive dans la salle.

- Les enfants, j’ai une mauvaise nouvelle à vous annoncer j’ai retrouvé le professeur Delatoré endormi et je n’ai pas réussi à le réveiller donc vous n’aurez pas cours de chimie aujourd’hui. Vous pouvez rentrer chez vous.

- Super ! je vais pouvoir mener ma première enquête. Je

demande à Sarah si elle veut venir avec Philippe et moi. Sarah me répond :

- Non, je ne peux pas j’ai trop de choses à faire.

Notre premier lieu, la salle des profs. Nous pouvons commencer à enquêter.

Chapitre II

L’analyse

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Nous sommes Philipe et moi dans la salle des profs. Nous cherchons des indices, nous regardons dans les casiers, derrière la porte, derrière le tableau, en dessous de l’armoire. Quand soudain, Philippe découvre une bouteille qui ressemble à celle du professeur Delatoré. Je pense que nous avons trouvé notre premier indice. Au même moment, je vois Sarah arriver.

- Salut je suis dispo vous avez besoin d’aide ? - Oui, nous avons besoin de toi pour analyser le produit, lui

répond Philippe. Nous sommes arrivés dans la salle de chimie pour analyser ce fameux produit. Je regarde dans le microscope et je vois des cellules. Je zoom pour agrandir l’image que j’ai sous mes yeux. Tout à coup, je vois de la poudre blanche. Peut-être un somnifère… L’enquête progresse bien, nous avons de plus en plus d’indices. Maintenant, il faut trouver plus de preuves. Nous décidons de retourner dans la salle des profs. Nous observons attentivement. Illustration : Le prof dans la salle Je vois une empreinte à quelques mètres du professeur Delatoré. J’observe celle-ci et je vois sur la trace de pas la pointure 39. Je 23

regarde encore une fois cette empreinte et je remarque également des zigzags. Illustration de l’empreinte de la chaussure taille 39

- On va rentrer chez nous, on a bien travaillé pour aujourd’hui, on continuera demain.

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Nous sommes Philipe et moi dans la salle des profs. Nous cherchons des indices, nous regardons dans les casiers, derrière la porte, derrière le tableau, en dessous de l’armoire. Quand soudain, Philippe découvre une bouteille qui ressemble à celle du professeur Delatoré. Je pense que nous avons trouvé notre premier indice. Au même moment, je vois Sarah arriver.

- Salut je suis dispo vous avez besoin d’aide ? - Oui, nous avons besoin de toi pour analyser le produit, lui

répond Philippe. Nous sommes arrivés dans la salle de chimie pour analyser ce fameux produit. Je regarde dans le microscope et je vois des cellules. Je zoom pour agrandir l’image que j’ai sous mes yeux. Tout à coup, je vois de la poudre blanche. Peut-être un somnifère… L’enquête progresse bien, nous avons de plus en plus d’indices. Maintenant, il faut trouver plus de preuves. Nous décidons de retourner dans la salle des profs. Nous observons attentivement. Illustration : Le prof dans la salle Je vois une empreinte à quelques mètres du professeur Delatoré. J’observe celle-ci et je vois sur la trace de pas la pointure 39. Je

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regarde encore une fois cette empreinte et je remarque également des zigzags. Illustration de l’empreinte de la chaussure taille 39

- On va rentrer chez nous, on a bien travaillé pour aujourd’hui, on continuera demain.

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regarde encore une fois cette empreinte et je remarque également des zigzags. Illustration de l’empreinte de la chaussure taille 39

- On va rentrer chez nous, on a bien travaillé pour aujourd’hui, on continuera demain.

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Nous sommes Philipe et moi dans la salle des profs. Nous cherchons des indices, nous regardons dans les casiers, derrière la porte, derrière le tableau, en dessous de l’armoire. Quand soudain, Philippe découvre une bouteille qui ressemble à celle du professeur Delatoré. Je pense que nous avons trouvé notre premier indice. Au même moment, je vois Sarah arriver.

- Salut je suis dispo vous avez besoin d’aide ? - Oui, nous avons besoin de toi pour analyser le produit, lui

répond Philippe. Nous sommes arrivés dans la salle de chimie pour analyser ce fameux produit. Je regarde dans le microscope et je vois des cellules. Je zoom pour agrandir l’image que j’ai sous mes yeux. Tout à coup, je vois de la poudre blanche. Peut-être un somnifère… L’enquête progresse bien, nous avons de plus en plus d’indices. Maintenant, il faut trouver plus de preuves. Nous décidons de retourner dans la salle des profs. Nous observons attentivement. Illustration : Le prof dans la salle Je vois une empreinte à quelques mètres du professeur Delatoré. J’observe celle-ci et je vois sur la trace de pas la pointure 39. Je

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regarde encore une fois cette empreinte et je remarque également des zigzags. Illustration de l’empreinte de la chaussure taille 39

- On va rentrer chez nous, on a bien travaillé pour aujourd’hui, on continuera demain.

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Sur le chemin du retour, je pense à la solution pour faire progresser notre première enquête. Le lendemain matin, j’aperçois mes amis : Sébastien, Philippe et Sarah qui discutent de l’empreinte. Je me réjouis de cette conversation.

- Salut Hugo crie Sarah qui ne m’avait pas vu arriver. - Vous avez trouvé une idée ? - J’ai trouvé dit Sébastien.

La sonnerie retentit ; Dring…Dring…. C’est mercredi la matinée est passée très vite .Nous sortons en vitesse du collège.

- Alors, Sébastien c’est quoi ton idée lui dis-je. - Hier, je me suis fait mal au poignet en jouant au tennis.

Puisque demain il y a piscine je n’irai pas car j’ai vraiment mal et comme cela je demanderai à ma prof de français si je peux venir dans votre classe. J’en profiterai pour faire une description de tous les élèves qui font une pointure 39.

- Super, il est très bien ton plan dit Sarah. - Tu es sûr que cela va marcher parce qu’avec toi je me méfie

un peu dis-je. - Oui, ça va marcher, j’ai toujours de bonnes idées lui répond

Sébastien. Illustration les enfants parlent devant le collège.

Chapitre III

Mystère, Mystère

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Sur le chemin du retour, je pense à la solution pour faire progresser notre première enquête. Le lendemain matin, j’aperçois mes amis : Sébastien, Philippe et Sarah qui discutent de l’empreinte. Je me réjouis de cette conversation.

- Salut Hugo crie Sarah qui ne m’avait pas vu arriver. - Vous avez trouvé une idée ? - J’ai trouvé dit Sébastien.

La sonnerie retentit ; Dring…Dring…. C’est mercredi la matinée est passée très vite .Nous sortons en vitesse du collège.

- Alors, Sébastien c’est quoi ton idée lui dis-je. - Hier, je me suis fait mal au poignet en jouant au tennis.

Puisque demain il y a piscine je n’irai pas car j’ai vraiment mal et comme cela je demanderai à ma prof de français si je peux venir dans votre classe. J’en profiterai pour faire une description de tous les élèves qui font une pointure 39.

- Super, il est très bien ton plan dit Sarah. - Tu es sûr que cela va marcher parce qu’avec toi je me méfie

un peu dis-je. - Oui, ça va marcher, j’ai toujours de bonnes idées lui répond

Sébastien. Illustration les enfants parlent devant le collège.

Chapitre III

Mystère, Mystère

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Sur le chemin du retour, je pense à la solution pour faire progresser notre première enquête. Le lendemain matin, j’aperçois mes amis : Sébastien, Philippe et Sarah qui discutent de l’empreinte. Je me réjouis de cette conversation.

- Salut Hugo crie Sarah qui ne m’avait pas vu arriver. - Vous avez trouvé une idée ? - J’ai trouvé dit Sébastien.

La sonnerie retentit ; Dring…Dring…. C’est mercredi la matinée est passée très vite .Nous sortons en vitesse du collège.

- Alors, Sébastien c’est quoi ton idée lui dis-je. - Hier, je me suis fait mal au poignet en jouant au tennis.

Puisque demain il y a piscine je n’irai pas car j’ai vraiment mal et comme cela je demanderai à ma prof de français si je peux venir dans votre classe. J’en profiterai pour faire une description de tous les élèves qui font une pointure 39.

- Super, il est très bien ton plan dit Sarah. - Tu es sûr que cela va marcher parce qu’avec toi je me méfie

un peu dis-je. - Oui, ça va marcher, j’ai toujours de bonnes idées lui répond

Sébastien. Illustration les enfants parlent devant le collège.

Chapitre III

Mystère, Mystère

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Le jour suivant, je vois Sébastien arriver dans ma classe, son plan a fonctionné.

- Bonjour, je suis blessé et ma classe part à la piscine, ma prof de français m’a dit de venir dans votre classe.

- Oui, bien sûr tu peux entrer, installe- toi au fond de la classe lui répond chaleureusement mon prof de maths.

- Allez ! je commence mon observation dit Sébastien. Marie 37, Antonin 38, Sarah 39, Mattéo 39 etc...

- Jeune homme que fais-tu sous la table ? tu retournes à ta place immédiatement dit le prof de maths énervé par mon comportement.

- Oui, oui monsieur. Dring…Dring…c’est la récré. Philippe, Sébastien et moi nous allons dans la salle du crime. Tout à coup, on aperçoit une salle vide.

- Le prof ! M. Delatoré a disparu dit Hugo. - Où est donc Sarah ? dis-je.

Nous repartons dans la cours. En marchant un peu, j’aperçois une clef par terre je la ramasse et je me demande bien à qui elle peut appartenir et surtout que fait-elle dans la cour ? Je décide de la montrer à mon équipe d’enquêteurs.

- Super, nous sommes maintenant à notre quatrième indice, dit Philippe.

Au même moment, j’entends des cris. - A l’aide, à l’aide…

Pas de chance, la sonnerie retentit et nous ne pouvons pas aller voir. Le prof de maths s’approche de nous et dit :

- Je dois vite aller voir mon collègue, vous avez dix minutes de récré en plus.

- Quelle chance ! Je dis à Philippe et Sébastien, nous pouvons vite aller voir ce qui se passe là-bas.

Chapitre IV

Le placard

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Sur le chemin du retour, je pense à la solution pour faire progresser notre première enquête. Le lendemain matin, j’aperçois mes amis : Sébastien, Philippe et Sarah qui discutent de l’empreinte. Je me réjouis de cette conversation.

- Salut Hugo crie Sarah qui ne m’avait pas vu arriver. - Vous avez trouvé une idée ? - J’ai trouvé dit Sébastien.

La sonnerie retentit ; Dring…Dring…. C’est mercredi la matinée est passée très vite .Nous sortons en vitesse du collège.

- Alors, Sébastien c’est quoi ton idée lui dis-je. - Hier, je me suis fait mal au poignet en jouant au tennis.

Puisque demain il y a piscine je n’irai pas car j’ai vraiment mal et comme cela je demanderai à ma prof de français si je peux venir dans votre classe. J’en profiterai pour faire une description de tous les élèves qui font une pointure 39.

- Super, il est très bien ton plan dit Sarah. - Tu es sûr que cela va marcher parce qu’avec toi je me méfie

un peu dis-je. - Oui, ça va marcher, j’ai toujours de bonnes idées lui répond

Sébastien. Illustration les enfants parlent devant le collège.

Chapitre III

Mystère, Mystère

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- Ces cris proviennent du couloir dit Sébastien, nous devons aller voir de plus près.

- Tu as raison dit Philippe. - Non, taisez-vous …je pense qu’ils viennent de la salle de

cours. - On entre dit Philippe. - Oui mais pas un bruit, ne parlez-pas ! dis-je.

Nous entrons tous les trois et les cris venaient bien de là. J’entends des coups et une voix provenant du placard de la salle de classe.

- Tu ne peux pas ouvrir ce placard dit Sébastien. - Je réfléchis un instant …Mais bon sang ! La clef que j’ai

trouvée dans la cour, je vais essayer d’ouvrir avec. - Super, c’est la bonne clef dit Philippe. - Ouvre vite, ouvre vite dit Sébastien.

J’ouvre le placard et là je vois le professeur de chimie. - Mais qu’est-ce que vous faites dans ce placard ? Lui dis-je. - Oui professeur dites-nous tout, dit Philippe. - Je...je vais vous raconter les enfants, répond M. Delatoré.

Jeudi, quand j’ai bu dans ma bouteille j’ai commencé à avoir des vertiges et d’un seul coup je suis tombé. Pour le reste je ne m’en souviens plus et surtout je ne sais pas qui m’a enfermé dans ce maudit placard !

- Merci de vos précisions. Dit Sébastien. Après avoir eu les explications de M. Delatoré, mes amis et moi décidons de l’aider et surtout de comprendre qui a pu lui faire ça.

- Les amis, on doit mener notre enquête et trouver rapidement le coupable dit Philippe.

- Je suis d’accord dis-je. J’ai des soupçons, cela se joue entre Camille et Sarah.

- Pourquoi penses-tu à elles ? dit Sébastien. - Camille de son côté aime bien jouer des tours aux autres et

Sarah est sortie dans le couloir avec une bouteille d’eau. Toutes les deux ont la même pointure. Je pense qu’elles

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Le jour suivant, je vois Sébastien arriver dans ma classe, son plan a fonctionné.

- Bonjour, je suis blessé et ma classe part à la piscine, ma prof de français m’a dit de venir dans votre classe.

- Oui, bien sûr tu peux entrer, installe- toi au fond de la classe lui répond chaleureusement mon prof de maths.

- Allez ! je commence mon observation dit Sébastien. Marie 37, Antonin 38, Sarah 39, Mattéo 39 etc...

- Jeune homme que fais-tu sous la table ? tu retournes à ta place immédiatement dit le prof de maths énervé par mon comportement.

- Oui, oui monsieur. Dring…Dring…c’est la récré. Philippe, Sébastien et moi nous allons dans la salle du crime. Tout à coup, on aperçoit une salle vide.

- Le prof ! M. Delatoré a disparu dit Hugo. - Où est donc Sarah ? dis-je.

Nous repartons dans la cours. En marchant un peu, j’aperçois une clef par terre je la ramasse et je me demande bien à qui elle peut appartenir et surtout que fait-elle dans la cour ? Je décide de la montrer à mon équipe d’enquêteurs.

- Super, nous sommes maintenant à notre quatrième indice, dit Philippe.

Au même moment, j’entends des cris. - A l’aide, à l’aide…

Pas de chance, la sonnerie retentit et nous ne pouvons pas aller voir. Le prof de maths s’approche de nous et dit :

- Je dois vite aller voir mon collègue, vous avez dix minutes de récré en plus.

- Quelle chance ! Je dis à Philippe et Sébastien, nous pouvons vite aller voir ce qui se passe là-bas.

Chapitre IV

Le placard

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Le jour suivant, je vois Sébastien arriver dans ma classe, son plan a fonctionné.

- Bonjour, je suis blessé et ma classe part à la piscine, ma prof de français m’a dit de venir dans votre classe.

- Oui, bien sûr tu peux entrer, installe- toi au fond de la classe lui répond chaleureusement mon prof de maths.

- Allez ! je commence mon observation dit Sébastien. Marie 37, Antonin 38, Sarah 39, Mattéo 39 etc...

- Jeune homme que fais-tu sous la table ? tu retournes à ta place immédiatement dit le prof de maths énervé par mon comportement.

- Oui, oui monsieur. Dring…Dring…c’est la récré. Philippe, Sébastien et moi nous allons dans la salle du crime. Tout à coup, on aperçoit une salle vide.

- Le prof ! M. Delatoré a disparu dit Hugo. - Où est donc Sarah ? dis-je.

Nous repartons dans la cours. En marchant un peu, j’aperçois une clef par terre je la ramasse et je me demande bien à qui elle peut appartenir et surtout que fait-elle dans la cour ? Je décide de la montrer à mon équipe d’enquêteurs.

- Super, nous sommes maintenant à notre quatrième indice, dit Philippe.

Au même moment, j’entends des cris. - A l’aide, à l’aide…

Pas de chance, la sonnerie retentit et nous ne pouvons pas aller voir. Le prof de maths s’approche de nous et dit :

- Je dois vite aller voir mon collègue, vous avez dix minutes de récré en plus.

- Quelle chance ! Je dis à Philippe et Sébastien, nous pouvons vite aller voir ce qui se passe là-bas.

Chapitre IV

Le placard

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sont assez complices pour avoir fait ça à M. Delatoré. - Oui, tu as raison Hugo dit Philippe. - On va commencer à interroger Camille dis-je.

Dring…Dring…la sonnerie retentit, nous rentrons en classe. Quelques minutes plus tard, on frappe à la porte, c’est la prof de Sébastien.

- Bonjour, excusez-moi de vous déranger, je viens récupérer mon élève Sébastien.

- Oui, je viens madame. Le cours est terminé, nous nous dirigeons vers la cantine. Dans la cours, nous apercevons Camille. Je regarde mes copains et je dis :

- C’est le moment, nous allons lui poser des questions. - Salut Camille, on peut te parler dit Philippe. - Oui bien sûr, que se passe-t-il ? - Où étais-tu jeudi ? - Eh bien j’étais en classe. - Tu faisais quoi ? lui dit Sébastien. - Je préparais mon expérience. Mais pourquoi vous me posez

toutes ces questions ? - Ensuite, tu as fais quoi ? dit Philippe. - J’ai dû tout refaire car mon flacon a explosé. - Bon, bon…merci. Les copains maintenant nous allons

interroger Sarah pour en savoir plus. - Sarah, on peut te parler dit Sébastien. - Oui, vous voulez quoi ? - Où étais –tu jeudi ? - J’étais dans le couloir, enfin non j’étais dans la classe. - Que faisais-tu ? dis-je. - Je remplissais la bouteille, enfin non je faisais comme vous

les gars. - Comme nous, tu es sûre ? dit Philippe - Oui dit Sarah. - Alors tu peux nous dire ce que nous faisions nous !

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- Je ne m’en souviens plus… Vous…vous.. - Tu ne peux pas nous répondre car tu es sortie dans le

couloir avec ta bouteille et tu en as profité pour faire l’échange avec M. Delatoré. Ensuite tu l’as mis dans le placard ...Tu dois avouer Sarah !

- Non, non ce n’est pas moi. - Tu fais bien du 39 en pointure et tes chaussures ont des

zigzags sous la semelle. Dit Sébastien. - Oui. Allez les gars ! vous n’allez pas me dénoncer ? - J’en étais sûr dit Philippe. - Tu sais Sarah ce que tu as fait au prof, ce n’est pas bien du

tout car il est super sympa et il nous apprend plein de choses en chimie. Tu es la coupable et tu dois payer pour ce que tu as fait.

Après notre discussion avec Sarah, mes amis et moi nous avons décidé de l’emmener chez le proviseur du collège pour qu’elle s’explique avec lui. Au bout d’une heure, le proviseur est venu nous voir pour nous remercier d’avoir trouvé le coupable et il a ajouté que Sarah était renvoyée du collège.

Merlin Blin Naim Maayoufi Rayan Guelai Alexi Galmiche

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L’attaque terroriste

Prologue Attention que les choses soient claires, ce n’est pas parce que je fais partie du GIGN que je ne vais pas mourir. Croyez moi être soldat du GIGN c’est difficile car travailler en groupe ce n’est

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- Je ne m’en souviens plus… Vous…vous.. - Tu ne peux pas nous répondre car tu es sortie dans le

couloir avec ta bouteille et tu en as profité pour faire l’échange avec M. Delatoré. Ensuite tu l’as mis dans le placard ...Tu dois avouer Sarah !

- Non, non ce n’est pas moi. - Tu fais bien du 39 en pointure et tes chaussures ont des

zigzags sous la semelle. Dit Sébastien. - Oui. Allez les gars ! vous n’allez pas me dénoncer ? - J’en étais sûr dit Philippe. - Tu sais Sarah ce que tu as fait au prof, ce n’est pas bien du

tout car il est super sympa et il nous apprend plein de choses en chimie. Tu es la coupable et tu dois payer pour ce que tu as fait.

Après notre discussion avec Sarah, mes amis et moi nous avons décidé de l’emmener chez le proviseur du collège pour qu’elle s’explique avec lui. Au bout d’une heure, le proviseur est venu nous voir pour nous remercier d’avoir trouvé le coupable et il a ajouté que Sarah était renvoyée du collège.

Merlin Blin Naim Maayoufi Rayan Guelai Alexi Galmiche

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L’attaque terroriste

Prologue Attention que les choses soient claires, ce n’est pas parce que je fais partie du GIGN que je ne vais pas mourir. Croyez moi être soldat du GIGN c’est difficile car travailler en groupe ce n’est

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pas mon genre alors j’ai décidé de mener l’enquête du meurtre du président … Le 10 mai 2016, lors de mon anniversaire un mardi …Je m’en souviens. J’ai reçu un coup de téléphone du cabinet du président en m’annonçant la terrible nouvelle. Je n’en croyais pas mes oreilles, comment cela pouvait-il arriver ? Il fallait absolument que je me déplace le plus rapidement possible pour être au palais de l’Elysée. Cette enquête allait être très très spéciale…. Jean-Jacques et Rayan qui ont entre vingt et trente ans et mesurent 1m70 pour l’un et 1m80 pour l’autre. Tous les deux sont sans travail. Il y a quatre victimes, ils font entre 1m75 et 1m80, ces personnes mettaient les gens au chômage sans raison, ils travaillaient dans leur bureau jusque deux heures du matin. La première victime travail au palais de l’Elysée, la deuxième victime mesure 1m75. Il a quarante et un ans et il travaille à la maison blanche.

Chapitre I

Le plan diabolique Rayan et Jean-Jacques les deux terroristes qui feront le plus grand crime que connut la France. En effet, ils agiront le 10 mai 2016 en élaborant un plan diabolique. Par la suite, ils essayeront

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L’attaque terroriste

Prologue Attention que les choses soient claires, ce n’est pas parce que je fais partie du GIGN que je ne vais pas mourir. Croyez moi être soldat du GIGN c’est difficile car travailler en groupe ce n’est

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L’attaque terroriste

Prologue Attention que les choses soient claires, ce n’est pas parce que je fais partie du GIGN que je ne vais pas mourir. Croyez moi être soldat du GIGN c’est difficile car travailler en groupe ce n’est

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pas mon genre alors j’ai décidé de mener l’enquête du meurtre du président … Le 10 mai 2016, lors de mon anniversaire un mardi …Je m’en souviens. J’ai reçu un coup de téléphone du cabinet du président en m’annonçant la terrible nouvelle. Je n’en croyais pas mes oreilles, comment cela pouvait-il arriver ? Il fallait absolument que je me déplace le plus rapidement possible pour être au palais de l’Elysée. Cette enquête allait être très très spéciale…. Jean-Jacques et Rayan qui ont entre vingt et trente ans et mesurent 1m70 pour l’un et 1m80 pour l’autre. Tous les deux sont sans travail. Il y a quatre victimes, ils font entre 1m75 et 1m80, ces personnes mettaient les gens au chômage sans raison, ils travaillaient dans leur bureau jusque deux heures du matin. La première victime travail au palais de l’Elysée, la deuxième victime mesure 1m75. Il a quarante et un ans et il travaille à la maison blanche.

Chapitre I

Le plan diabolique Rayan et Jean-Jacques les deux terroristes qui feront le plus grand crime que connut la France. En effet, ils agiront le 10 mai 2016 en élaborant un plan diabolique. Par la suite, ils essayeront

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de trouver une cachette dans la forêt pour stocker leurs armes. Pour mettre leur plan en action, ils auront besoin d’une voiture.

- On pourrait braquer une banque, la banque de France par exemple pour payer la voiture dont nous avons besoin. Dit Jean-Jacques.

- Oui, tu as raison répond Rayan. Ces deux copains décidèrent d’aller à la banque de France, de tuer les gardes, de désactiver les caméras et de faire évacuer la banque à l’exception d’une personne qui se trouvait derrière le guichet afin qu’elle puisse saisir le code. Aussitôt le coffre ouvert, les deux complices prirent l’argent et ils mirent leur butin dans leurs sacs en cuir. Ils ne voulaient laisser aucune trace de leur passage, aucun indice pour la police. Alors ils décidèrent de placer une bombe au sous-sol de la banque et de la faire exploser pour éviter qu’il y ait des témoins. Les deux se mirent à courir très vite et ils sortirent par derrière.

- Maintenant, que nous avons l’argent il faut acheter la voiture dit Rayan.

- Oui tu as raison, il faut que l’on se dépêche lui répond Jean-Jacques.

Le GIGN arriva sur les lieux mais trop tard, les deux complices étaient déjà loin… La seule personne qui était en vie mais très blessé c’était Tom. Les ambulances et les pompiers étaient aussi présents, Tom fut soigné sur place et il répondait également aux questions du GIGN.

Chapitre II

A l’attaque

- Nous avons la voiture, nous pouvons donc passer à l’action

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de trouver une cachette dans la forêt pour stocker leurs armes. Pour mettre leur plan en action, ils auront besoin d’une voiture.

- On pourrait braquer une banque, la banque de France par exemple pour payer la voiture dont nous avons besoin. Dit Jean-Jacques.

- Oui, tu as raison répond Rayan. Ces deux copains décidèrent d’aller à la banque de France, de tuer les gardes, de désactiver les caméras et de faire évacuer la banque à l’exception d’une personne qui se trouvait derrière le guichet afin qu’elle puisse saisir le code. Aussitôt le coffre ouvert, les deux complices prirent l’argent et ils mirent leur butin dans leurs sacs en cuir. Ils ne voulaient laisser aucune trace de leur passage, aucun indice pour la police. Alors ils décidèrent de placer une bombe au sous-sol de la banque et de la faire exploser pour éviter qu’il y ait des témoins. Les deux se mirent à courir très vite et ils sortirent par derrière.

- Maintenant, que nous avons l’argent il faut acheter la voiture dit Rayan.

- Oui tu as raison, il faut que l’on se dépêche lui répond Jean-Jacques.

Le GIGN arriva sur les lieux mais trop tard, les deux complices étaient déjà loin… La seule personne qui était en vie mais très blessé c’était Tom. Les ambulances et les pompiers étaient aussi présents, Tom fut soigné sur place et il répondait également aux questions du GIGN.

Chapitre II

A l’attaque

- Nous avons la voiture, nous pouvons donc passer à l’action

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dit Rayan. - Jean-Jacques as-tu préparé les munitions ? - Oui, on peut y aller.

Les deux terroristes se rendirent au palais de l’Elysée. Le 10 mai 2016, 01h30 du matin.

- Rayan il y a des gardes devant l’entrée du palais. - Pas de problèmes je m’en occupe, pendant ce temps tu dois

faire diversion. - Oui d’accord lui répond Jean-Jacques.

Rayan ouvre le feu et tue les gardes. Ensuite, les deux terroristes mirent les vêtements des gardes et ils cachèrent leurs corps dans les toilettes. Ils pénétrèrent dans le palais sans être inquiétés. Tous les deux se dirigèrent vers le bureau du président mais sur le chemin un autre garde arriva et il sentit bien que ce n’étaient pas ses collègues. Il commença à mettre sa main sur son arme de service quand Rayan lui tira dessus. Le garde tomba à terre, il avait été touché en pleine tête. De son bureau le président François Herlante entendit le coup de feu tiré, Il appela aussitôt des renforts mais ce fut trop tard. Les deux terroristes tirèrent en sa direction, le président fut touché par plusieurs balles et il mourut lui aussi. Rayan et Jean-Jacques mirent le corps dans l’armoire du président et ils prirent la fuite. Les renforts de police arrivèrent mais ils ne trouvèrent aucune piste des deux terroristes. Uniquement des traces de sangs qui se trouvaient devant le bureau présidentiel. Illustration la salle, le bureau de François Herlante

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34

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équipe arrivèrent sur les lieux du crime aidés de la police scientifique. Ils analysèrent la salle du président.

- Pas beaucoup d’indices dit Merlin. Sauf un bureau vide, des balles de Kalachnikov et des traces de pas menant vers l’armoire du président. Oh mon Dieu, je craints le pire !

Les craintes de Merlin étaient bien fondées… - Ouvrez tout de suite cette armoire les gars.

Le corps du président gisait dans cette armoire, plus aucun espoir pour lui, il était bien mort. Plus personne ne réussissait à parler, ils étaient tristes et en colère car la personne la plus importante de France venait de mourir. La BRI présente aussi sur les lieux était complètement déboussolée. Un des membres pris la parole :

- C’est un désastre, c’est tout le pays qui va sombrer.

En très peu de temps, les analyses commencèrent et le dimanche 15 mai 2016, la police scientifique trouva par bonheur des traces d’ADN . Les policiers regardèrent dans leur fichier et ils trouvèrent le nom du coupable : Jean-Jacques la Voutre. L’adresse de celui-ci avait aussi été trouvée : 11 Boulevard d’Oric à Paris. Il était connu des services pour blanchiment d’argent. Ils se rendirent aussitôt sur les lieux mais malheureusement c’était une fausse adresse elle appartenait en réalité à un millionnaire.

Chapitre IV

Deux otages pour une rançon Jean-Jacques et Rayan décidèrent de ne pas tuer Barick Osouma et Nolan Trosy. Ils ont finalement décidés de les prendre en

33

Chapitre III

La première enquête Après la fuite des deux terroristes, l’enquêteur Merlin et son

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otage et ils demanderont une rançon pour qu’ils puissent être libérés.

- Pour que notre plan puisse fonctionner, nous devons recruter d’autres personnes qui nous aideront à kidnapper Osouma et Trosy dit Jean-Jacques. Il faudrait faire deux équipes une ici et une autre aux Etats-Unis.

- C’est une super idée, tu connais des personnes ? - Oui, je vais demander à Théo Lugou et Raphaël deux

copains à moi. - Tu sais comment ça va se passer ? - Raphaël ira dire à la police qu’il nous a aperçus et il fera

un faux témoignage, pendant ce temps Théo et moi on ira capturer Osouma.

- Si j’ai bien compris, vous allez partir au Etats-Unis et Raphaël et moi on s’occupera de Trosy .

- Oui, tu as tout compris, bonne chance à vous deux. - Merci, à vous aussi.

Jean-Jacques et Théo partirent donc en Amérique. Arrivés sur les lieux, ils n’étaient pas très rassurés car il y avait la police partout dans les rues. En effet, le monde entier était au courant de l’assassinat de François Herlante alors chaque pays était sur ses gardes. Les deux terroristes élaboraient un plan pour entrer dans la maison blanche sans se faire remarquer par tous ces policiers postés devant la porte.

- Je vais me faire passer pour un pompier en disant qu’il y a un problème dans la maison blanche. Qu’une fumée s’échappe et qu’elle peut-être dangereuse pour le président. Dit Théo.

- Oui, ça peut marcher. Dit Jean-Jacques. Théo réussit son coup, il entra dans la maison blanche et se dirigea vers une sortie de secours pour y faire entrer Jean-Jacques. Les deux hommes se séparèrent dans le très grand couloir et Jean-Jacques pénétra dans le bureau du président Osouma. Sans prendre garde le président le regarda et lui

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équipe arrivèrent sur les lieux du crime aidés de la police scientifique. Ils analysèrent la salle du président.

- Pas beaucoup d’indices dit Merlin. Sauf un bureau vide, des balles de Kalachnikov et des traces de pas menant vers l’armoire du président. Oh mon Dieu, je craints le pire !

Les craintes de Merlin étaient bien fondées… - Ouvrez tout de suite cette armoire les gars.

Le corps du président gisait dans cette armoire, plus aucun espoir pour lui, il était bien mort. Plus personne ne réussissait à parler, ils étaient tristes et en colère car la personne la plus importante de France venait de mourir. La BRI présente aussi sur les lieux était complètement déboussolée. Un des membres pris la parole :

- C’est un désastre, c’est tout le pays qui va sombrer.

En très peu de temps, les analyses commencèrent et le dimanche 15 mai 2016, la police scientifique trouva par bonheur des traces d’ADN . Les policiers regardèrent dans leur fichier et ils trouvèrent le nom du coupable : Jean-Jacques la Voutre. L’adresse de celui-ci avait aussi été trouvée : 11 Boulevard d’Oric à Paris. Il était connu des services pour blanchiment d’argent. Ils se rendirent aussitôt sur les lieux mais malheureusement c’était une fausse adresse elle appartenait en réalité à un millionnaire.

Chapitre IV

Deux otages pour une rançon Jean-Jacques et Rayan décidèrent de ne pas tuer Barick Osouma et Nolan Trosy. Ils ont finalement décidés de les prendre en

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équipe arrivèrent sur les lieux du crime aidés de la police scientifique. Ils analysèrent la salle du président.

- Pas beaucoup d’indices dit Merlin. Sauf un bureau vide, des balles de Kalachnikov et des traces de pas menant vers l’armoire du président. Oh mon Dieu, je craints le pire !

Les craintes de Merlin étaient bien fondées… - Ouvrez tout de suite cette armoire les gars.

Le corps du président gisait dans cette armoire, plus aucun espoir pour lui, il était bien mort. Plus personne ne réussissait à parler, ils étaient tristes et en colère car la personne la plus importante de France venait de mourir. La BRI présente aussi sur les lieux était complètement déboussolée. Un des membres pris la parole :

- C’est un désastre, c’est tout le pays qui va sombrer.

En très peu de temps, les analyses commencèrent et le dimanche 15 mai 2016, la police scientifique trouva par bonheur des traces d’ADN . Les policiers regardèrent dans leur fichier et ils trouvèrent le nom du coupable : Jean-Jacques la Voutre. L’adresse de celui-ci avait aussi été trouvée : 11 Boulevard d’Oric à Paris. Il était connu des services pour blanchiment d’argent. Ils se rendirent aussitôt sur les lieux mais malheureusement c’était une fausse adresse elle appartenait en réalité à un millionnaire.

Chapitre IV

Deux otages pour une rançon Jean-Jacques et Rayan décidèrent de ne pas tuer Barick Osouma et Nolan Trosy. Ils ont finalement décidés de les prendre en

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Chapitre III

La première enquête Après la fuite des deux terroristes, l’enquêteur Merlin et son

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otage et ils demanderont une rançon pour qu’ils puissent être libérés.

- Pour que notre plan puisse fonctionner, nous devons recruter d’autres personnes qui nous aideront à kidnapper Osouma et Trosy dit Jean-Jacques. Il faudrait faire deux équipes une ici et une autre aux Etats-Unis.

- C’est une super idée, tu connais des personnes ? - Oui, je vais demander à Théo Lugou et Raphaël deux

copains à moi. - Tu sais comment ça va se passer ? - Raphaël ira dire à la police qu’il nous a aperçus et il fera

un faux témoignage, pendant ce temps Théo et moi on ira capturer Osouma.

- Si j’ai bien compris, vous allez partir au Etats-Unis et Raphaël et moi on s’occupera de Trosy .

- Oui, tu as tout compris, bonne chance à vous deux. - Merci, à vous aussi.

Jean-Jacques et Théo partirent donc en Amérique. Arrivés sur les lieux, ils n’étaient pas très rassurés car il y avait la police partout dans les rues. En effet, le monde entier était au courant de l’assassinat de François Herlante alors chaque pays était sur ses gardes. Les deux terroristes élaboraient un plan pour entrer dans la maison blanche sans se faire remarquer par tous ces policiers postés devant la porte.

- Je vais me faire passer pour un pompier en disant qu’il y a un problème dans la maison blanche. Qu’une fumée s’échappe et qu’elle peut-être dangereuse pour le président. Dit Théo.

- Oui, ça peut marcher. Dit Jean-Jacques. Théo réussit son coup, il entra dans la maison blanche et se dirigea vers une sortie de secours pour y faire entrer Jean-Jacques. Les deux hommes se séparèrent dans le très grand couloir et Jean-Jacques pénétra dans le bureau du président Osouma. Sans prendre garde le président le regarda et lui

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équipe arrivèrent sur les lieux du crime aidés de la police scientifique. Ils analysèrent la salle du président.

- Pas beaucoup d’indices dit Merlin. Sauf un bureau vide, des balles de Kalachnikov et des traces de pas menant vers l’armoire du président. Oh mon Dieu, je craints le pire !

Les craintes de Merlin étaient bien fondées… - Ouvrez tout de suite cette armoire les gars.

Le corps du président gisait dans cette armoire, plus aucun espoir pour lui, il était bien mort. Plus personne ne réussissait à parler, ils étaient tristes et en colère car la personne la plus importante de France venait de mourir. La BRI présente aussi sur les lieux était complètement déboussolée. Un des membres pris la parole :

- C’est un désastre, c’est tout le pays qui va sombrer.

En très peu de temps, les analyses commencèrent et le dimanche 15 mai 2016, la police scientifique trouva par bonheur des traces d’ADN . Les policiers regardèrent dans leur fichier et ils trouvèrent le nom du coupable : Jean-Jacques la Voutre. L’adresse de celui-ci avait aussi été trouvée : 11 Boulevard d’Oric à Paris. Il était connu des services pour blanchiment d’argent. Ils se rendirent aussitôt sur les lieux mais malheureusement c’était une fausse adresse elle appartenait en réalité à un millionnaire.

Chapitre IV

Deux otages pour une rançon Jean-Jacques et Rayan décidèrent de ne pas tuer Barick Osouma et Nolan Trosy. Ils ont finalement décidés de les prendre en

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demanda : - Vous êtes un nouveau du service d’ordre ? - Oui, oui répondit Jean-Jacques.

Sans se méfier le président des Etats-Unis se retourna pour prendre un dossier sur son bureau. A cet instant, Jean-Jacques lui donna un coup sur la tête et il tomba aussitôt. Dans le couloir Théo chuchota :

- Jean- Jacques tu es où ? - Tais –toi je suis là, aide moi à le transporter. Nous avons

réussi notre coup. En France, Raphaël et Rayan avaient également kidnappé M.Trosy. Illustration de la salle, bureau d’ Osouma .

Chapitre V

L’arrestation

Pendant tout ce temps en France et en Amérique, les

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otage et ils demanderont une rançon pour qu’ils puissent être libérés.

- Pour que notre plan puisse fonctionner, nous devons recruter d’autres personnes qui nous aideront à kidnapper Osouma et Trosy dit Jean-Jacques. Il faudrait faire deux équipes une ici et une autre aux Etats-Unis.

- C’est une super idée, tu connais des personnes ? - Oui, je vais demander à Théo Lugou et Raphaël deux

copains à moi. - Tu sais comment ça va se passer ? - Raphaël ira dire à la police qu’il nous a aperçus et il fera

un faux témoignage, pendant ce temps Théo et moi on ira capturer Osouma.

- Si j’ai bien compris, vous allez partir au Etats-Unis et Raphaël et moi on s’occupera de Trosy .

- Oui, tu as tout compris, bonne chance à vous deux. - Merci, à vous aussi.

Jean-Jacques et Théo partirent donc en Amérique. Arrivés sur les lieux, ils n’étaient pas très rassurés car il y avait la police partout dans les rues. En effet, le monde entier était au courant de l’assassinat de François Herlante alors chaque pays était sur ses gardes. Les deux terroristes élaboraient un plan pour entrer dans la maison blanche sans se faire remarquer par tous ces policiers postés devant la porte.

- Je vais me faire passer pour un pompier en disant qu’il y a un problème dans la maison blanche. Qu’une fumée s’échappe et qu’elle peut-être dangereuse pour le président. Dit Théo.

- Oui, ça peut marcher. Dit Jean-Jacques. Théo réussit son coup, il entra dans la maison blanche et se dirigea vers une sortie de secours pour y faire entrer Jean-Jacques. Les deux hommes se séparèrent dans le très grand couloir et Jean-Jacques pénétra dans le bureau du président Osouma. Sans prendre garde le président le regarda et lui

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recherches continuaient. Une collaboration entre les deux pays se faisait. Les chercheurs et tous les policiers commençaient à avoir de sérieuses pistes. Les traces d’ADN et des empreintes avaient permis de mettre sur écoute tous les téléphones portables des terroristes. Le nom de tous ces criminels était maintenant connu. Ils étaient recherchés dans le monde entier. En France, Merlin et Marco Dello son assistant avaient enfin trouvé la planque des terroristes. Ils ont été aidés par la GEC. A six heures du matin, l’assaut a été lancé et tous les terroristes furent arrêtés. Heureusement pour l’enquête sans faire de victimes. Aucun policier n’avait été blessé. Quelques mois plus tard, tous les terroristes furent jugés et condamnés à la prison à vie. Nolan Trosy et Barick Osouma furent libérés.

Lexique

GIGN : groupe d’intervention de la gendarmerie Nationale. Stocker : ranger des affaires. BRI : brigade recherche intervention. ADN : petit élément invisible à l’œil nu, présent dans chacune de nos cellules. Blanchiment d’argent : retirer de l’argent de compte bancaire inconnu sans autorisation. GEC : Groupe enquête criminelle.

Perrine Michel Antonin Probeck Sakip Aliti

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demanda : - Vous êtes un nouveau du service d’ordre ? - Oui, oui répondit Jean-Jacques.

Sans se méfier le président des Etats-Unis se retourna pour prendre un dossier sur son bureau. A cet instant, Jean-Jacques lui donna un coup sur la tête et il tomba aussitôt. Dans le couloir Théo chuchota :

- Jean- Jacques tu es où ? - Tais –toi je suis là, aide moi à le transporter. Nous avons

réussi notre coup. En France, Raphaël et Rayan avaient également kidnappé M.Trosy. Illustration de la salle, bureau d’ Osouma .

Chapitre V

L’arrestation

Pendant tout ce temps en France et en Amérique, les

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demanda : - Vous êtes un nouveau du service d’ordre ? - Oui, oui répondit Jean-Jacques.

Sans se méfier le président des Etats-Unis se retourna pour prendre un dossier sur son bureau. A cet instant, Jean-Jacques lui donna un coup sur la tête et il tomba aussitôt. Dans le couloir Théo chuchota :

- Jean- Jacques tu es où ? - Tais –toi je suis là, aide moi à le transporter. Nous avons

réussi notre coup. En France, Raphaël et Rayan avaient également kidnappé M.Trosy. Illustration de la salle, bureau d’ Osouma .

Chapitre V

L’arrestation

Pendant tout ce temps en France et en Amérique, les

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otage et ils demanderont une rançon pour qu’ils puissent être libérés.

- Pour que notre plan puisse fonctionner, nous devons recruter d’autres personnes qui nous aideront à kidnapper Osouma et Trosy dit Jean-Jacques. Il faudrait faire deux équipes une ici et une autre aux Etats-Unis.

- C’est une super idée, tu connais des personnes ? - Oui, je vais demander à Théo Lugou et Raphaël deux

copains à moi. - Tu sais comment ça va se passer ? - Raphaël ira dire à la police qu’il nous a aperçus et il fera

un faux témoignage, pendant ce temps Théo et moi on ira capturer Osouma.

- Si j’ai bien compris, vous allez partir au Etats-Unis et Raphaël et moi on s’occupera de Trosy .

- Oui, tu as tout compris, bonne chance à vous deux. - Merci, à vous aussi.

Jean-Jacques et Théo partirent donc en Amérique. Arrivés sur les lieux, ils n’étaient pas très rassurés car il y avait la police partout dans les rues. En effet, le monde entier était au courant de l’assassinat de François Herlante alors chaque pays était sur ses gardes. Les deux terroristes élaboraient un plan pour entrer dans la maison blanche sans se faire remarquer par tous ces policiers postés devant la porte.

- Je vais me faire passer pour un pompier en disant qu’il y a un problème dans la maison blanche. Qu’une fumée s’échappe et qu’elle peut-être dangereuse pour le président. Dit Théo.

- Oui, ça peut marcher. Dit Jean-Jacques. Théo réussit son coup, il entra dans la maison blanche et se dirigea vers une sortie de secours pour y faire entrer Jean-Jacques. Les deux hommes se séparèrent dans le très grand couloir et Jean-Jacques pénétra dans le bureau du président Osouma. Sans prendre garde le président le regarda et lui

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recherches continuaient. Une collaboration entre les deux pays se faisait. Les chercheurs et tous les policiers commençaient à avoir de sérieuses pistes. Les traces d’ADN et des empreintes avaient permis de mettre sur écoute tous les téléphones portables des terroristes. Le nom de tous ces criminels était maintenant connu. Ils étaient recherchés dans le monde entier. En France, Merlin et Marco Dello son assistant avaient enfin trouvé la planque des terroristes. Ils ont été aidés par la GEC. A six heures du matin, l’assaut a été lancé et tous les terroristes furent arrêtés. Heureusement pour l’enquête sans faire de victimes. Aucun policier n’avait été blessé. Quelques mois plus tard, tous les terroristes furent jugés et condamnés à la prison à vie. Nolan Trosy et Barick Osouma furent libérés.

Lexique

GIGN : groupe d’intervention de la gendarmerie Nationale. Stocker : ranger des affaires. BRI : brigade recherche intervention. ADN : petit élément invisible à l’œil nu, présent dans chacune de nos cellules. Blanchiment d’argent : retirer de l’argent de compte bancaire inconnu sans autorisation. GEC : Groupe enquête criminelle.

Perrine Michel Antonin Probeck Sakip Aliti

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demanda : - Vous êtes un nouveau du service d’ordre ? - Oui, oui répondit Jean-Jacques.

Sans se méfier le président des Etats-Unis se retourna pour prendre un dossier sur son bureau. A cet instant, Jean-Jacques lui donna un coup sur la tête et il tomba aussitôt. Dans le couloir Théo chuchota :

- Jean- Jacques tu es où ? - Tais –toi je suis là, aide moi à le transporter. Nous avons

réussi notre coup. En France, Raphaël et Rayan avaient également kidnappé M.Trosy. Illustration de la salle, bureau d’ Osouma .

Chapitre V

L’arrestation

Pendant tout ce temps en France et en Amérique, les

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Astrid Poplavsky-Mayor Talia Caliskan

L’enlèvement du président

Chapitre I

Le jour arrive

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recherches continuaient. Une collaboration entre les deux pays se faisait. Les chercheurs et tous les policiers commençaient à avoir de sérieuses pistes. Les traces d’ADN et des empreintes avaient permis de mettre sur écoute tous les téléphones portables des terroristes. Le nom de tous ces criminels était maintenant connu. Ils étaient recherchés dans le monde entier. En France, Merlin et Marco Dello son assistant avaient enfin trouvé la planque des terroristes. Ils ont été aidés par la GEC. A six heures du matin, l’assaut a été lancé et tous les terroristes furent arrêtés. Heureusement pour l’enquête sans faire de victimes. Aucun policier n’avait été blessé. Quelques mois plus tard, tous les terroristes furent jugés et condamnés à la prison à vie. Nolan Trosy et Barick Osouma furent libérés.

Lexique

GIGN : groupe d’intervention de la gendarmerie Nationale. Stocker : ranger des affaires. BRI : brigade recherche intervention. ADN : petit élément invisible à l’œil nu, présent dans chacune de nos cellules. Blanchiment d’argent : retirer de l’argent de compte bancaire inconnu sans autorisation. GEC : Groupe enquête criminelle.

Perrine Michel Antonin Probeck Sakip Aliti 38

Astrid Poplavsky-Mayor Talia Caliskan

L’enlèvement du président

Chapitre I

Le jour arrive

39

Un matin, à 9h15 dans la rue Abeille à trois cents mètres de

l’Elysée en Ile- de- France. Grégoris vingt-six ans 1m78 et son meilleur ami David trente-cinq ans 1m80 se donnèrent rendez-vous dans une maison secrète pour préparer l’enlèvement du président de la République Française : François Challande. Ils décidèrent de l’enlever car les gardes du corps du président avaient tué leur ami d’enfance. En effet, Moris est mort à trente-cinq ans car il avait braqué une banque et au même moment les gardes du président se trouvaient à l’intérieur. Deux jours plus tard, Grégoris et David avaient préparé le plan pour passer à l’action. Samedi 12 mars à 17h38, David et Grégoris se rendirent en ville pour acheter des armes chez un ami à eux. Le genre d’armes que l’on ne peut pas acheter librement dans un magasin mais plutôt sous le manteau (c’est illégal) ils décidèrent d’acheter une Kalachnikov, un AK-47, une gazeuse, un lance roquette. Puis, ils avaient pensé aussi aux déguisements aux fausses cartes de policiers pour s’introduirent à l’Elysée. Ils rentrèrent avec tout ce qu’ils avaient acheté dans leur maison secrète. Le lendemain à 10h48 ils appelèrent le customiser le plus connu au monde Francesco pour qu’il leur transforme leur voiture une Konigsberg ils voulaient qu’il ajoute un méga turbo à réaction, des mitraillettes sur les roues et des hélices sur les portes. Une semaine plus tard, ils se rendirent à Saint-Martin en Italie pour la transformation de la voiture par Francesco. Illustrations de la Konigsberg

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Astrid Poplavsky-Mayor Talia Caliskan

L’enlèvement du président

Chapitre I

Le jour arrive

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Un matin, à 9h15 dans la rue Abeille à trois cents mètres de

l’Elysée en Ile- de- France. Grégoris vingt-six ans 1m78 et son meilleur ami David trente-cinq ans 1m80 se donnèrent rendez-vous dans une maison secrète pour préparer l’enlèvement du président de la République Française : François Challande. Ils décidèrent de l’enlever car les gardes du corps du président avaient tué leur ami d’enfance. En effet, Moris est mort à trente-cinq ans car il avait braqué une banque et au même moment les gardes du président se trouvaient à l’intérieur. Deux jours plus tard, Grégoris et David avaient préparé le plan pour passer à l’action. Samedi 12 mars à 17h38, David et Grégoris se rendirent en ville pour acheter des armes chez un ami à eux. Le genre d’armes que l’on ne peut pas acheter librement dans un magasin mais plutôt sous le manteau (c’est illégal) ils décidèrent d’acheter une Kalachnikov, un AK-47, une gazeuse, un lance roquette. Puis, ils avaient pensé aussi aux déguisements aux fausses cartes de policiers pour s’introduirent à l’Elysée. Ils rentrèrent avec tout ce qu’ils avaient acheté dans leur maison secrète. Le lendemain à 10h48 ils appelèrent le customiser le plus connu au monde Francesco pour qu’il leur transforme leur voiture une Konigsberg ils voulaient qu’il ajoute un méga turbo à réaction, des mitraillettes sur les roues et des hélices sur les portes. Une semaine plus tard, ils se rendirent à Saint-Martin en Italie pour la transformation de la voiture par Francesco. Illustrations de la Konigsberg

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Mardi matin à 08h30, les deux amis d’enfance rentrèrent avec leur voiture customisée. A 23h56, ils remplirent le coffre de la voiture avec les armes puis ils partirent pour l’Elysée. Ils ne se garèrent pas très loin. David tenait la gazeuse (bombe lacrymogène) il arriva devant les quatre gardes et le président. Il commença à les asperger en plein dans les yeux. Il en profita pour assommer tous les gardes et il embarqua le président dans leur puissante voiture customisée. Il avait été mis dans le coffre. Le président ne se laissa pas faire, il donna des coups de pieds pour se défendre mais David lui remit un coup de gazeuse et il se calma. Sans y prêter attention, David perdit son écharpe sur le trottoir. Au même moment une personne cachée au coin de la rue avait vu l’agression du président. Cet homme appela aussitôt la police. Grégoris qui était au volant n’eut pas assez de temps pour démarrer la voiture, la police les avait déjà encerclés. Très rapidement il enclencha le bouton du méga turbo et les hélices pour voler au-dessus de toutes les voitures de police. Les policiers possédaient aussi des hélicoptères et ils encerclèrent les deux amis. C’est alors que David décida de sortir par la fenêtre de la voiture volante avec son lance roquette, il visa et tira .Celui-ci dégringola et créa un grave accident au sol. Il arriva la même chose aux autres hélicoptères de police. Les deux amis se posèrent dans un champ de blé .David ouvrit le coffre, le président se mis à crier : - Je vous en prie relâchez-moi. - Arrête de crier et écoute-moi lui dit David, on te libère à

une seule condition. - Je vous écoute, je ferais tout ce que vous voudrez dit le

président. - Nous avons un très bon ami, Al Capone qui est en prison.

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Chapitre II

La terrible nuit

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Mardi matin à 08h30, les deux amis d’enfance rentrèrent avec leur voiture customisée. A 23h56, ils remplirent le coffre de la voiture avec les armes puis ils partirent pour l’Elysée. Ils ne se garèrent pas très loin. David tenait la gazeuse (bombe lacrymogène) il arriva devant les quatre gardes et le président. Il commença à les asperger en plein dans les yeux. Il en profita pour assommer tous les gardes et il embarqua le président dans leur puissante voiture customisée. Il avait été mis dans le coffre. Le président ne se laissa pas faire, il donna des coups de pieds pour se défendre mais David lui remit un coup de gazeuse et il se calma. Sans y prêter attention, David perdit son écharpe sur le trottoir. Au même moment une personne cachée au coin de la rue avait vu l’agression du président. Cet homme appela aussitôt la police. Grégoris qui était au volant n’eut pas assez de temps pour démarrer la voiture, la police les avait déjà encerclés. Très rapidement il enclencha le bouton du méga turbo et les hélices pour voler au-dessus de toutes les voitures de police. Les policiers possédaient aussi des hélicoptères et ils encerclèrent les deux amis. C’est alors que David décida de sortir par la fenêtre de la voiture volante avec son lance roquette, il visa et tira .Celui-ci dégringola et créa un grave accident au sol. Il arriva la même chose aux autres hélicoptères de police. Les deux amis se posèrent dans un champ de blé .David ouvrit le coffre, le président se mis à crier : - Je vous en prie relâchez-moi. - Arrête de crier et écoute-moi lui dit David, on te libère à

une seule condition. - Je vous écoute, je ferais tout ce que vous voudrez dit le

président. - Nous avons un très bon ami, Al Capone qui est en prison.

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Chapitre II

La terrible nuit

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Tu fais en sorte de le libérer et nous on te relâche, c’est compris !

- D’accord, d’accord je ferais tout ce que vous voudrez, je le libérerai mais pour cela il faudrait me relâcher.

- Tu appelles la prison et ensuite on verra dit Grégoris. - Oui, oui...

Voilà comment le grand bandit Al Capone fut libéré. Il devait retrouver Grégoris et David dans ce petit village éloigné de tous. Une fois les criminels ensemble, Al Capone versa une somme très importante aux deux amis d’enfance pour les remercier d’être libre…mais toujours recherché par la police. David et Grégoris tinrent leur parole, le président fut relâché sain et sauf à quelques kilomètres de Paris. Illustrations des billets

Chapitre III

Suspens

43

Une semaine plus tard, Al Capone, David et Grégoris préparèrent leurs bagages pour s’enfuir loin de Paris. Ils avaient décidé d’aller en Nouvelle-Zélande à Wellington plus exactement. A mi-chemin en Egypte un radar les avait détectés. Le premier ministre Français avait alerté tous les continents voisins (Afrique, Asie et l’Europe). Le ministre Egyptien alerta les brigades aériennes. Des avions militaires se rendirent sur place très rapidement. La voiture volante était repérée, les trois garçons décidèrent d’atterrir au plus vite à Wellington. Tous les continents étaient en alerte. Le gouvernement Egyptien décida de faire appel au meilleur agent du monde. Christophe M. Celui-ci était au service de chaque pays qui en faisait la demande pour arrêter les plus grands criminels. Aussitôt, il fut prévenu, aussitôt il arriva… Munis de tous ses instruments pour retrouver les indices, il se mit au travail. Pendant ce temps, les trois copains s’étaient réfugiés dans une vieille maison isolée. David décida d’aller mettre la voiture à l’abri des regards, il trouva un hangar au fond de la maison. Il ne s’était pas rendu compte qu’un habitant du village l’observait. En rentrant chez lui celui-ci dit à sa femme :

- C’est bizarre, je ne le connais pas ce garçon qui cachait sa voiture, il m’a l’air très louche. Appelle la police tout de suite.

- Oui, oui répondit sa femme. Christophe M. débarqua aussitôt sur place avec des renforts. Ils encerclèrent toute la maison, les trois amis étaient piégés.

- Vous êtes pris, sortez les bras en l’air. Dit l’enquêteur. Les trois garçons étaient coincés, ils décidèrent de se rendre. Ils furent condamnés à trente ans de prison. Enlimati Mahamoudou Timothé Godot Enola Sorbe Matthieu Vautrin Célia Da Cunha- Baillot

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Tu fais en sorte de le libérer et nous on te relâche, c’est compris !

- D’accord, d’accord je ferais tout ce que vous voudrez, je le libérerai mais pour cela il faudrait me relâcher.

- Tu appelles la prison et ensuite on verra dit Grégoris. - Oui, oui...

Voilà comment le grand bandit Al Capone fut libéré. Il devait retrouver Grégoris et David dans ce petit village éloigné de tous. Une fois les criminels ensemble, Al Capone versa une somme très importante aux deux amis d’enfance pour les remercier d’être libre…mais toujours recherché par la police. David et Grégoris tinrent leur parole, le président fut relâché sain et sauf à quelques kilomètres de Paris. Illustrations des billets

Chapitre III

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Tu fais en sorte de le libérer et nous on te relâche, c’est compris !

- D’accord, d’accord je ferais tout ce que vous voudrez, je le libérerai mais pour cela il faudrait me relâcher.

- Tu appelles la prison et ensuite on verra dit Grégoris. - Oui, oui...

Voilà comment le grand bandit Al Capone fut libéré. Il devait retrouver Grégoris et David dans ce petit village éloigné de tous. Une fois les criminels ensemble, Al Capone versa une somme très importante aux deux amis d’enfance pour les remercier d’être libre…mais toujours recherché par la police. David et Grégoris tinrent leur parole, le président fut relâché sain et sauf à quelques kilomètres de Paris. Illustrations des billets

Chapitre III

Suspens

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Une semaine plus tard, Al Capone, David et Grégoris préparèrent leurs bagages pour s’enfuir loin de Paris. Ils avaient décidé d’aller en Nouvelle-Zélande à Wellington plus exactement. A mi-chemin en Egypte un radar les avait détectés. Le premier ministre Français avait alerté tous les continents voisins (Afrique, Asie et l’Europe). Le ministre Egyptien alerta les brigades aériennes. Des avions militaires se rendirent sur place très rapidement. La voiture volante était repérée, les trois garçons décidèrent d’atterrir au plus vite à Wellington. Tous les continents étaient en alerte. Le gouvernement Egyptien décida de faire appel au meilleur agent du monde. Christophe M. Celui-ci était au service de chaque pays qui en faisait la demande pour arrêter les plus grands criminels. Aussitôt, il fut prévenu, aussitôt il arriva… Munis de tous ses instruments pour retrouver les indices, il se mit au travail. Pendant ce temps, les trois copains s’étaient réfugiés dans une vieille maison isolée. David décida d’aller mettre la voiture à l’abri des regards, il trouva un hangar au fond de la maison. Il ne s’était pas rendu compte qu’un habitant du village l’observait. En rentrant chez lui celui-ci dit à sa femme :

- C’est bizarre, je ne le connais pas ce garçon qui cachait sa voiture, il m’a l’air très louche. Appelle la police tout de suite.

- Oui, oui répondit sa femme. Christophe M. débarqua aussitôt sur place avec des renforts. Ils encerclèrent toute la maison, les trois amis étaient piégés.

- Vous êtes pris, sortez les bras en l’air. Dit l’enquêteur. Les trois garçons étaient coincés, ils décidèrent de se rendre. Ils furent condamnés à trente ans de prison. Enlimati Mahamoudou Timothé Godot Enola Sorbe Matthieu Vautrin Célia Da Cunha- Baillot

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

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Une semaine plus tard, Al Capone, David et Grégoris préparèrent leurs bagages pour s’enfuir loin de Paris. Ils avaient décidé d’aller en Nouvelle-Zélande à Wellington plus exactement. A mi-chemin en Egypte un radar les avait détectés. Le premier ministre Français avait alerté tous les continents voisins (Afrique, Asie et l’Europe). Le ministre Egyptien alerta les brigades aériennes. Des avions militaires se rendirent sur place très rapidement. La voiture volante était repérée, les trois garçons décidèrent d’atterrir au plus vite à Wellington. Tous les continents étaient en alerte. Le gouvernement Egyptien décida de faire appel au meilleur agent du monde. Christophe M. Celui-ci était au service de chaque pays qui en faisait la demande pour arrêter les plus grands criminels. Aussitôt, il fut prévenu, aussitôt il arriva… Munis de tous ses instruments pour retrouver les indices, il se mit au travail. Pendant ce temps, les trois copains s’étaient réfugiés dans une vieille maison isolée. David décida d’aller mettre la voiture à l’abri des regards, il trouva un hangar au fond de la maison. Il ne s’était pas rendu compte qu’un habitant du village l’observait. En rentrant chez lui celui-ci dit à sa femme :

- C’est bizarre, je ne le connais pas ce garçon qui cachait sa voiture, il m’a l’air très louche. Appelle la police tout de suite.

- Oui, oui répondit sa femme. Christophe M. débarqua aussitôt sur place avec des renforts. Ils encerclèrent toute la maison, les trois amis étaient piégés.

- Vous êtes pris, sortez les bras en l’air. Dit l’enquêteur. Les trois garçons étaient coincés, ils décidèrent de se rendre. Ils furent condamnés à trente ans de prison. Enlimati Mahamoudou Timothé Godot Enola Sorbe Matthieu Vautrin Célia Da Cunha- Baillot

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

45

résumer, c’est fuir la police. Mon complice Côme, petit aux cheveux blonds est mon meilleur ami. Aujourd’hui, nous allons essayer de prendre vingt-cinq millions d’euro à Enola. Côme fera des faux témoignages à la police. Enola a trente-quatre ans, elle habite l’allée des Mirabelles. Cette femme a gagné à la loterie, son gain est de vingt-cinq millions d’euro. Dans la foule des personnes étaient jalouses, envieuses du gain ; dont Côme et moi. Je vais vous raconter en détails mon histoire… Illustration des billets et des pièces

1

Les menaces

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

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Une semaine plus tard, Al Capone, David et Grégoris préparèrent leurs bagages pour s’enfuir loin de Paris. Ils avaient décidé d’aller en Nouvelle-Zélande à Wellington plus exactement. A mi-chemin en Egypte un radar les avait détectés. Le premier ministre Français avait alerté tous les continents voisins (Afrique, Asie et l’Europe). Le ministre Egyptien alerta les brigades aériennes. Des avions militaires se rendirent sur place très rapidement. La voiture volante était repérée, les trois garçons décidèrent d’atterrir au plus vite à Wellington. Tous les continents étaient en alerte. Le gouvernement Egyptien décida de faire appel au meilleur agent du monde. Christophe M. Celui-ci était au service de chaque pays qui en faisait la demande pour arrêter les plus grands criminels. Aussitôt, il fut prévenu, aussitôt il arriva… Munis de tous ses instruments pour retrouver les indices, il se mit au travail. Pendant ce temps, les trois copains s’étaient réfugiés dans une vieille maison isolée. David décida d’aller mettre la voiture à l’abri des regards, il trouva un hangar au fond de la maison. Il ne s’était pas rendu compte qu’un habitant du village l’observait. En rentrant chez lui celui-ci dit à sa femme :

- C’est bizarre, je ne le connais pas ce garçon qui cachait sa voiture, il m’a l’air très louche. Appelle la police tout de suite.

- Oui, oui répondit sa femme. Christophe M. débarqua aussitôt sur place avec des renforts. Ils encerclèrent toute la maison, les trois amis étaient piégés.

- Vous êtes pris, sortez les bras en l’air. Dit l’enquêteur. Les trois garçons étaient coincés, ils décidèrent de se rendre. Ils furent condamnés à trente ans de prison. Enlimati Mahamoudou Timothé Godot Enola Sorbe Matthieu Vautrin Célia Da Cunha- Baillot

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résumer, c’est fuir la police. Mon complice Côme, petit aux cheveux blonds est mon meilleur ami. Aujourd’hui, nous allons essayer de prendre vingt-cinq millions d’euro à Enola. Côme fera des faux témoignages à la police. Enola a trente-quatre ans, elle habite l’allée des Mirabelles. Cette femme a gagné à la loterie, son gain est de vingt-cinq millions d’euro. Dans la foule des personnes étaient jalouses, envieuses du gain ; dont Côme et moi. Je vais vous raconter en détails mon histoire… Illustration des billets et des pièces

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Les menaces

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

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L’horrible nuit

Prologue Je me présente je m’appelle Matthieu ; je suis chef d’un groupe d’assassins j’ai trente-cinq ans. Je commets des crimes pour avoir de l’argent de mes victimes, c’est cela mon métier. Pour

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résumer, c’est fuir la police. Mon complice Côme, petit aux cheveux blonds est mon meilleur ami. Aujourd’hui, nous allons essayer de prendre vingt-cinq millions d’euro à Enola. Côme fera des faux témoignages à la police. Enola a trente-quatre ans, elle habite l’allée des Mirabelles. Cette femme a gagné à la loterie, son gain est de vingt-cinq millions d’euro. Dans la foule des personnes étaient jalouses, envieuses du gain ; dont Côme et moi. Je vais vous raconter en détails mon histoire… Illustration des billets et des pièces

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Les menaces

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Comme je le disais Enola venait de gagner à la loterie. Profitant de son absence chez elle, Côme et moi nous avions déposé devant sa porte une lettre anonyme. Le message disait : « Déposez nous les vingt-cinq millions devant la porte à 18h00 précise, sinon vous payerez pour avoir eu de la chance. » A 18h00, nous nous rendions devant chez elle. Pas un sac ni une valise, aucune trace de l’argent, rien… Quelques heures plus tard, Côme et moi préparions nos revolvers près à l’attaque. C’était l’heure du crime. Illustration : les 2 hommes dont un avec un revolver

2

L’heure du crime 47

1h00 du matin, plus nous nous rapprochions de l’allée des Mirabelles plus le crime approchait. Quand vint l’heure exacte, nous frappions à la porte. Enola un peu inquiète car il était tard, demanda :

- Qui est là ? - Pizzas offerte !! répondit Côme.

Elle ouvrit la porte et….PAN !! le coup de feu fut fatal pour elle. Aussitôt, nous lâchions nos revolvers et prirent nos jambes à notre coup en direction de la voiture. Une fois installé au volant, je me disais que la plupart des voisins devaient être réveillés par le bruit du coup de feu. Effectivement, j’ai appris plus tard que le voisin d’Enola avait prévenu la police. Pour mener l’enquête, la police avait demandé l’intervention de Célia, une enquêtrice très connue. Elle était aussi la meilleure amie d’Enola.

- Je trouverai ton assassin mon amie, je ne lâcherai rien. Dit l’enquêtrice.

Illustration Enola morte

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L’enquête commence

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Comme je le disais Enola venait de gagner à la loterie. Profitant de son absence chez elle, Côme et moi nous avions déposé devant sa porte une lettre anonyme. Le message disait : « Déposez nous les vingt-cinq millions devant la porte à 18h00 précise, sinon vous payerez pour avoir eu de la chance. » A 18h00, nous nous rendions devant chez elle. Pas un sac ni une valise, aucune trace de l’argent, rien… Quelques heures plus tard, Côme et moi préparions nos revolvers près à l’attaque. C’était l’heure du crime. Illustration : les 2 hommes dont un avec un revolver

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L’heure du crime

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Comme je le disais Enola venait de gagner à la loterie. Profitant de son absence chez elle, Côme et moi nous avions déposé devant sa porte une lettre anonyme. Le message disait : « Déposez nous les vingt-cinq millions devant la porte à 18h00 précise, sinon vous payerez pour avoir eu de la chance. » A 18h00, nous nous rendions devant chez elle. Pas un sac ni une valise, aucune trace de l’argent, rien… Quelques heures plus tard, Côme et moi préparions nos revolvers près à l’attaque. C’était l’heure du crime. Illustration : les 2 hommes dont un avec un revolver

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L’heure du crime 47

1h00 du matin, plus nous nous rapprochions de l’allée des Mirabelles plus le crime approchait. Quand vint l’heure exacte, nous frappions à la porte. Enola un peu inquiète car il était tard, demanda :

- Qui est là ? - Pizzas offerte !! répondit Côme.

Elle ouvrit la porte et….PAN !! le coup de feu fut fatal pour elle. Aussitôt, nous lâchions nos revolvers et prirent nos jambes à notre coup en direction de la voiture. Une fois installé au volant, je me disais que la plupart des voisins devaient être réveillés par le bruit du coup de feu. Effectivement, j’ai appris plus tard que le voisin d’Enola avait prévenu la police. Pour mener l’enquête, la police avait demandé l’intervention de Célia, une enquêtrice très connue. Elle était aussi la meilleure amie d’Enola.

- Je trouverai ton assassin mon amie, je ne lâcherai rien. Dit l’enquêtrice.

Illustration Enola morte

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L’enquête commence

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Comme je le disais Enola venait de gagner à la loterie. Profitant de son absence chez elle, Côme et moi nous avions déposé devant sa porte une lettre anonyme. Le message disait : « Déposez nous les vingt-cinq millions devant la porte à 18h00 précise, sinon vous payerez pour avoir eu de la chance. » A 18h00, nous nous rendions devant chez elle. Pas un sac ni une valise, aucune trace de l’argent, rien… Quelques heures plus tard, Côme et moi préparions nos revolvers près à l’attaque. C’était l’heure du crime. Illustration : les 2 hommes dont un avec un revolver

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L’heure du crime

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1h00 du matin, plus nous nous rapprochions de l’allée des Mirabelles plus le crime approchait. Quand vint l’heure exacte, nous frappions à la porte. Enola un peu inquiète car il était tard, demanda :

- Qui est là ? - Pizzas offerte !! répondit Côme.

Elle ouvrit la porte et….PAN !! le coup de feu fut fatal pour elle. Aussitôt, nous lâchions nos revolvers et prirent nos jambes à notre coup en direction de la voiture. Une fois installé au volant, je me disais que la plupart des voisins devaient être réveillés par le bruit du coup de feu. Effectivement, j’ai appris plus tard que le voisin d’Enola avait prévenu la police. Pour mener l’enquête, la police avait demandé l’intervention de Célia, une enquêtrice très connue. Elle était aussi la meilleure amie d’Enola.

- Je trouverai ton assassin mon amie, je ne lâcherai rien. Dit l’enquêtrice.

Illustration Enola morte

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L’enquête commence

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Quelques minutes plus tard, la police était sur les lieux du crime. D’abord, elle sécurisa le périmètre, ensuite Célia interrogea le quartier pour récolter des informations. Elle réussit à avoir des infos, comme par exemples : les deux hommes étaient habillés en noir, ils portaient une cagoule de la même couleur, ils sont repartis en Ford blanche. Ces petits détails pouvaient la conduire sur une piste. Plusieurs heures s’étaient écoulées, les analyses étaient terminées et malheureusement la police n’avait pas trouvé grand chose. L’enquêtrice dit :

- Ils devaient sûrement porter des gants car ni sur la sonnette ni sur le revolver, on ne voit des empreintes.

La police a emmené le corps de la victime dans leur laboratoire pour essayer de trouver des indices supplémentaires. - Je le sais car j’étais là, personne ne le sais, mais j’étais là…. .

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Enfin une piste

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Quelques minutes plus tard, la police était sur les lieux du crime. D’abord, elle sécurisa le périmètre, ensuite Célia interrogea le quartier pour récolter des informations. Elle réussit à avoir des infos, comme par exemples : les deux hommes étaient habillés en noir, ils portaient une cagoule de la même couleur, ils sont repartis en Ford blanche. Ces petits détails pouvaient la conduire sur une piste. Plusieurs heures s’étaient écoulées, les analyses étaient terminées et malheureusement la police n’avait pas trouvé grand chose. L’enquêtrice dit :

- Ils devaient sûrement porter des gants car ni sur la sonnette ni sur le revolver, on ne voit des empreintes.

La police a emmené le corps de la victime dans leur laboratoire pour essayer de trouver des indices supplémentaires. - Je le sais car j’étais là, personne ne le sais, mais j’étais là…. .

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Enfin une piste

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Des heures passées à mener l’enquête et enfin une piste. Le jour où nous sommes allés chez la gagnante de la loterie Côme et moi nous avions enfoncé le portail de son allée. J’ai manqué à mon devoir de grand criminel car j’avais oublié de mettre mes gants tout de suite, Côme aussi. Du coup, la police avaient nos empreintes, c’était un vrai problème car ce n’était pas la première fois que nous faisions des crimes et nos empreintes étaient dans les fichiers de la police. Célia décida d’interroger le mari de la victime.

- Je suis parti au boulot hier soir et ma femme dormait, tout allait bien.

Ces informations n’aidaient pas beaucoup l’enquêtrice .Elle ordonna immédiatement aux policiers de fouiller la maison. Un des policiers se dépêcha d’aller voir Célia en lui disant :

- J’ai trouvé cette lettre dans la cuisine. - Oui et alors ? dit Célia - Vous devez la lire, je pense que c’est une piste dit le

policier. - Une lettre anonyme, les coupables s’intéressaient à son

argent, celui qu’elle a gagné à la loterie. En observant la maison de la victime, Célia remarqua que les propriétaires avaient installé une caméra de surveillance dans la maison. Elle s’adressa encore au mari.

- Vous avez oublié un détail important, votre maison est protégée par une caméra de surveillance.

- Oui, mais vous savez je suis tellement triste que j’ai oublié de vous le dire Mme.

Au commissariat, Célia regarda la vidéo et elle remarqua la voiture blanche des coupables. Elle dit : - On les tient! Agrandissez l’image. Vous voyez ce que je vois, la plaque d’immatriculation de la voiture. Les policiers étaient très contents, ils tenaient les coupables avec les empreintes sur le portail et maintenant la plaque de la voiture.

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Quelques minutes plus tard, la police était sur les lieux du crime. D’abord, elle sécurisa le périmètre, ensuite Célia interrogea le quartier pour récolter des informations. Elle réussit à avoir des infos, comme par exemples : les deux hommes étaient habillés en noir, ils portaient une cagoule de la même couleur, ils sont repartis en Ford blanche. Ces petits détails pouvaient la conduire sur une piste. Plusieurs heures s’étaient écoulées, les analyses étaient terminées et malheureusement la police n’avait pas trouvé grand chose. L’enquêtrice dit :

- Ils devaient sûrement porter des gants car ni sur la sonnette ni sur le revolver, on ne voit des empreintes.

La police a emmené le corps de la victime dans leur laboratoire pour essayer de trouver des indices supplémentaires. - Je le sais car j’étais là, personne ne le sais, mais j’étais là…. .

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Enfin une piste

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Quelques minutes plus tard, la police était sur les lieux du crime. D’abord, elle sécurisa le périmètre, ensuite Célia interrogea le quartier pour récolter des informations. Elle réussit à avoir des infos, comme par exemples : les deux hommes étaient habillés en noir, ils portaient une cagoule de la même couleur, ils sont repartis en Ford blanche. Ces petits détails pouvaient la conduire sur une piste. Plusieurs heures s’étaient écoulées, les analyses étaient terminées et malheureusement la police n’avait pas trouvé grand chose. L’enquêtrice dit :

- Ils devaient sûrement porter des gants car ni sur la sonnette ni sur le revolver, on ne voit des empreintes.

La police a emmené le corps de la victime dans leur laboratoire pour essayer de trouver des indices supplémentaires. - Je le sais car j’étais là, personne ne le sais, mais j’étais là…. .

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Enfin une piste

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Des heures passées à mener l’enquête et enfin une piste. Le jour où nous sommes allés chez la gagnante de la loterie Côme et moi nous avions enfoncé le portail de son allée. J’ai manqué à mon devoir de grand criminel car j’avais oublié de mettre mes gants tout de suite, Côme aussi. Du coup, la police avaient nos empreintes, c’était un vrai problème car ce n’était pas la première fois que nous faisions des crimes et nos empreintes étaient dans les fichiers de la police. Célia décida d’interroger le mari de la victime.

- Je suis parti au boulot hier soir et ma femme dormait, tout allait bien.

Ces informations n’aidaient pas beaucoup l’enquêtrice .Elle ordonna immédiatement aux policiers de fouiller la maison. Un des policiers se dépêcha d’aller voir Célia en lui disant :

- J’ai trouvé cette lettre dans la cuisine. - Oui et alors ? dit Célia - Vous devez la lire, je pense que c’est une piste dit le

policier. - Une lettre anonyme, les coupables s’intéressaient à son

argent, celui qu’elle a gagné à la loterie. En observant la maison de la victime, Célia remarqua que les propriétaires avaient installé une caméra de surveillance dans la maison. Elle s’adressa encore au mari.

- Vous avez oublié un détail important, votre maison est protégée par une caméra de surveillance.

- Oui, mais vous savez je suis tellement triste que j’ai oublié de vous le dire Mme.

Au commissariat, Célia regarda la vidéo et elle remarqua la voiture blanche des coupables. Elle dit : - On les tient! Agrandissez l’image. Vous voyez ce que je vois, la plaque d’immatriculation de la voiture. Les policiers étaient très contents, ils tenaient les coupables avec les empreintes sur le portail et maintenant la plaque de la voiture.

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Des heures passées à mener l’enquête et enfin une piste. Le jour où nous sommes allés chez la gagnante de la loterie Côme et moi nous avions enfoncé le portail de son allée. J’ai manqué à mon devoir de grand criminel car j’avais oublié de mettre mes gants tout de suite, Côme aussi. Du coup, la police avaient nos empreintes, c’était un vrai problème car ce n’était pas la première fois que nous faisions des crimes et nos empreintes étaient dans les fichiers de la police. Célia décida d’interroger le mari de la victime.

- Je suis parti au boulot hier soir et ma femme dormait, tout allait bien.

Ces informations n’aidaient pas beaucoup l’enquêtrice .Elle ordonna immédiatement aux policiers de fouiller la maison. Un des policiers se dépêcha d’aller voir Célia en lui disant :

- J’ai trouvé cette lettre dans la cuisine. - Oui et alors ? dit Célia - Vous devez la lire, je pense que c’est une piste dit le

policier. - Une lettre anonyme, les coupables s’intéressaient à son

argent, celui qu’elle a gagné à la loterie. En observant la maison de la victime, Célia remarqua que les propriétaires avaient installé une caméra de surveillance dans la maison. Elle s’adressa encore au mari.

- Vous avez oublié un détail important, votre maison est protégée par une caméra de surveillance.

- Oui, mais vous savez je suis tellement triste que j’ai oublié de vous le dire Mme.

Au commissariat, Célia regarda la vidéo et elle remarqua la voiture blanche des coupables. Elle dit : - On les tient! Agrandissez l’image. Vous voyez ce que je vois, la plaque d’immatriculation de la voiture. Les policiers étaient très contents, ils tenaient les coupables avec les empreintes sur le portail et maintenant la plaque de la voiture.

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le nouveau propriétaire des mes biens. Il s’appelait Tim (je ne me souviens plus de son nom), il n’était pas très bavard et cela m’arrangeait car il ne posait pas trop de questions. C’était un homme qui me paraissait très sympathique, pas très grand il portait des lunettes et avait des cheveux châtains. Au même moment, Côme s’occupait de vendre la voiture. A son retour, il m’a raconté que la personne qui avait acheté la Ford blanche était très grande, elle avait des cheveux noirs, la peau brune, elle s’appelait Enlimati. Comme par hasard, c’était la femme de Tim. Avec l’argent de la vente de la maison et de la voiture, j’ai décidé d’acheter une nouvelle voiture. Une de la marque Volkswagen, le modèle Tiguan pour être précis. J’ai aussi acheté un petit appartement. Avant de quitter la ville où le crime avait été commis, je voulais passer devant mon ancienne maison car j’avais oublié des outils dans mon garage. En s’approchant de mon ancien quartier. Côme et moi observions tous ces policiers postés devant. Côme dit :

- Arrête la voiture, je vais voir de plus près ce qui se passe. Tu gares la voiture au coin de la rue.

Il se cacha derrière un mur et observa la scène. Célia, l’enquêtrice parlait avec Tim le nouveau propriétaire de la maison. - Bonjour monsieur, je me présente je suis celle qui mène l’enquête. J’ai des questions à vous poser et je dois encore fouiller votre maison. - Désolé madame, je peux savoir pourquoi ? - Je vous l’expliquerai plus tard. En attendant, vous devez me

suivre au poste de police. Côme arriva en courant et il me dit :

- Tu dois suivre la voiture de police, vite... J’ai appuyé sur le champignon, et nous avons suivi cette voiture.

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Des heures passées à mener l’enquête et enfin une piste. Le jour où nous sommes allés chez la gagnante de la loterie Côme et moi nous avions enfoncé le portail de son allée. J’ai manqué à mon devoir de grand criminel car j’avais oublié de mettre mes gants tout de suite, Côme aussi. Du coup, la police avaient nos empreintes, c’était un vrai problème car ce n’était pas la première fois que nous faisions des crimes et nos empreintes étaient dans les fichiers de la police. Célia décida d’interroger le mari de la victime.

- Je suis parti au boulot hier soir et ma femme dormait, tout allait bien.

Ces informations n’aidaient pas beaucoup l’enquêtrice .Elle ordonna immédiatement aux policiers de fouiller la maison. Un des policiers se dépêcha d’aller voir Célia en lui disant :

- J’ai trouvé cette lettre dans la cuisine. - Oui et alors ? dit Célia - Vous devez la lire, je pense que c’est une piste dit le

policier. - Une lettre anonyme, les coupables s’intéressaient à son

argent, celui qu’elle a gagné à la loterie. En observant la maison de la victime, Célia remarqua que les propriétaires avaient installé une caméra de surveillance dans la maison. Elle s’adressa encore au mari.

- Vous avez oublié un détail important, votre maison est protégée par une caméra de surveillance.

- Oui, mais vous savez je suis tellement triste que j’ai oublié de vous le dire Mme.

Au commissariat, Célia regarda la vidéo et elle remarqua la voiture blanche des coupables. Elle dit : - On les tient! Agrandissez l’image. Vous voyez ce que je vois, la plaque d’immatriculation de la voiture. Les policiers étaient très contents, ils tenaient les coupables avec les empreintes sur le portail et maintenant la plaque de la voiture.

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Illustration : Célia qui tient la lettre anonyme.

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L’enquête continue J’avais mis ma maison à vendre car je craignais d’être démasqué par la police. Quelques heures plus tard, je rencontrais

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le nouveau propriétaire des mes biens. Il s’appelait Tim (je ne me souviens plus de son nom), il n’était pas très bavard et cela m’arrangeait car il ne posait pas trop de questions. C’était un homme qui me paraissait très sympathique, pas très grand il portait des lunettes et avait des cheveux châtains. Au même moment, Côme s’occupait de vendre la voiture. A son retour, il m’a raconté que la personne qui avait acheté la Ford blanche était très grande, elle avait des cheveux noirs, la peau brune, elle s’appelait Enlimati. Comme par hasard, c’était la femme de Tim. Avec l’argent de la vente de la maison et de la voiture, j’ai décidé d’acheter une nouvelle voiture. Une de la marque Volkswagen, le modèle Tiguan pour être précis. J’ai aussi acheté un petit appartement. Avant de quitter la ville où le crime avait été commis, je voulais passer devant mon ancienne maison car j’avais oublié des outils dans mon garage. En s’approchant de mon ancien quartier. Côme et moi observions tous ces policiers postés devant. Côme dit :

- Arrête la voiture, je vais voir de plus près ce qui se passe. Tu gares la voiture au coin de la rue.

Il se cacha derrière un mur et observa la scène. Célia, l’enquêtrice parlait avec Tim le nouveau propriétaire de la maison. - Bonjour monsieur, je me présente je suis celle qui mène l’enquête. J’ai des questions à vous poser et je dois encore fouiller votre maison. - Désolé madame, je peux savoir pourquoi ? - Je vous l’expliquerai plus tard. En attendant, vous devez me

suivre au poste de police. Côme arriva en courant et il me dit :

- Tu dois suivre la voiture de police, vite... J’ai appuyé sur le champignon, et nous avons suivi cette voiture.

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le nouveau propriétaire des mes biens. Il s’appelait Tim (je ne me souviens plus de son nom), il n’était pas très bavard et cela m’arrangeait car il ne posait pas trop de questions. C’était un homme qui me paraissait très sympathique, pas très grand il portait des lunettes et avait des cheveux châtains. Au même moment, Côme s’occupait de vendre la voiture. A son retour, il m’a raconté que la personne qui avait acheté la Ford blanche était très grande, elle avait des cheveux noirs, la peau brune, elle s’appelait Enlimati. Comme par hasard, c’était la femme de Tim. Avec l’argent de la vente de la maison et de la voiture, j’ai décidé d’acheter une nouvelle voiture. Une de la marque Volkswagen, le modèle Tiguan pour être précis. J’ai aussi acheté un petit appartement. Avant de quitter la ville où le crime avait été commis, je voulais passer devant mon ancienne maison car j’avais oublié des outils dans mon garage. En s’approchant de mon ancien quartier. Côme et moi observions tous ces policiers postés devant. Côme dit :

- Arrête la voiture, je vais voir de plus près ce qui se passe. Tu gares la voiture au coin de la rue.

Il se cacha derrière un mur et observa la scène. Célia, l’enquêtrice parlait avec Tim le nouveau propriétaire de la maison. - Bonjour monsieur, je me présente je suis celle qui mène l’enquête. J’ai des questions à vous poser et je dois encore fouiller votre maison. - Désolé madame, je peux savoir pourquoi ? - Je vous l’expliquerai plus tard. En attendant, vous devez me

suivre au poste de police. Côme arriva en courant et il me dit :

- Tu dois suivre la voiture de police, vite... J’ai appuyé sur le champignon, et nous avons suivi cette voiture.

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Une fois arrivés au commissariat, Côme et moi avions mis nos vêtements de policiers pour ne pas nous faire reconnaître. Côme eut une idée.

- Je vais parler avec l’enquêtrice, elle ne se doutera de rien et j’en profiterai pour lui poser des questions.

- Super idée ! je te suis. Deux minutes plus tard, dans le couloir Côme s’adressa à Célia.

- Je peux vous parler ? - Oui, enfin, attendez un peu dit Célia.

Dix minutes plus tard, elle sortit de son bureau avec les policiers et Tim. Elle s’approcha de nous et dit :

- Vous vouliez me parler ? je vous écoute. - Je voudrai savoir comment avance l’enquête ?dit Côme. - Eh bien... dit Célia, excusez-moi je dois répondre à mon

téléphone. - Très bonne nouvelle merci. Les collègues ont trouvé des

traces d’ADN. - Oui, c’est bien dit Côme (le regard anxieux). - Suivez- moi, nous allons voir cela de plus près dit Célia.

6

L’arrestation Pendant que Côme suivait l’enquêtrice, j’ai décidé de quitter le

53

commissariat et de l’attendre à l’extérieur. Des heures passèrent et il n’était toujours pas revenu. Je commençais vraiment à m’inquiéter. Au même moment à l’intérieur, Côme et de vrais policiers accompagnaient Célia à l’étage où les scientifiques avaient l’ADN et le portrait des coupables.

- Bonjour messieurs, alors vous avez réussi, c’est très bien. Je veux voir cela.

- Oui, regardez dit le policier de la brigade scientifique. Elle regarda attentivement les deux visages des coupables et se mit à crier.

- Mais…. Mais…c’est vous Côme... Tout affolé, Côme prit la fuite, les policiers étaient tous à sa recherche. Ils fouillèrent le commissariat de fond en comble.

- Vite, démarre la voiture Matthieu, ils savent que c’est nous. - Quoi ? tu es sûr ? - Vite je te dis…on s’en va.

Dans la voiture Côme me raconta tout ce qui s’était passé au

commissariat. Il avait également précisé qu’ils connaissaient nos noms : Matthieu Vautrin et Côme Housseaux. Tous les policiers de la ville étaient à notre recherche, ils avaient mis des barrages à tous les ronds-points de la ville. Au bout d’un moment, nous arrivions à la hauteur d’un carrefour à la sortie de la ville. Des voitures de polices étaient là, il y en avait partout. Ils nous avaient encerclés. Illustration de la police qui encercle les coupables

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Une fois arrivés au commissariat, Côme et moi avions mis nos vêtements de policiers pour ne pas nous faire reconnaître. Côme eut une idée.

- Je vais parler avec l’enquêtrice, elle ne se doutera de rien et j’en profiterai pour lui poser des questions.

- Super idée ! je te suis. Deux minutes plus tard, dans le couloir Côme s’adressa à Célia.

- Je peux vous parler ? - Oui, enfin, attendez un peu dit Célia.

Dix minutes plus tard, elle sortit de son bureau avec les policiers et Tim. Elle s’approcha de nous et dit :

- Vous vouliez me parler ? je vous écoute. - Je voudrai savoir comment avance l’enquête ?dit Côme. - Eh bien... dit Célia, excusez-moi je dois répondre à mon

téléphone. - Très bonne nouvelle merci. Les collègues ont trouvé des

traces d’ADN. - Oui, c’est bien dit Côme (le regard anxieux). - Suivez- moi, nous allons voir cela de plus près dit Célia.

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L’arrestation Pendant que Côme suivait l’enquêtrice, j’ai décidé de quitter le

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le nouveau propriétaire des mes biens. Il s’appelait Tim (je ne me souviens plus de son nom), il n’était pas très bavard et cela m’arrangeait car il ne posait pas trop de questions. C’était un homme qui me paraissait très sympathique, pas très grand il portait des lunettes et avait des cheveux châtains. Au même moment, Côme s’occupait de vendre la voiture. A son retour, il m’a raconté que la personne qui avait acheté la Ford blanche était très grande, elle avait des cheveux noirs, la peau brune, elle s’appelait Enlimati. Comme par hasard, c’était la femme de Tim. Avec l’argent de la vente de la maison et de la voiture, j’ai décidé d’acheter une nouvelle voiture. Une de la marque Volkswagen, le modèle Tiguan pour être précis. J’ai aussi acheté un petit appartement. Avant de quitter la ville où le crime avait été commis, je voulais passer devant mon ancienne maison car j’avais oublié des outils dans mon garage. En s’approchant de mon ancien quartier. Côme et moi observions tous ces policiers postés devant. Côme dit :

- Arrête la voiture, je vais voir de plus près ce qui se passe. Tu gares la voiture au coin de la rue.

Il se cacha derrière un mur et observa la scène. Célia, l’enquêtrice parlait avec Tim le nouveau propriétaire de la maison. - Bonjour monsieur, je me présente je suis celle qui mène l’enquête. J’ai des questions à vous poser et je dois encore fouiller votre maison. - Désolé madame, je peux savoir pourquoi ? - Je vous l’expliquerai plus tard. En attendant, vous devez me

suivre au poste de police. Côme arriva en courant et il me dit :

- Tu dois suivre la voiture de police, vite... J’ai appuyé sur le champignon, et nous avons suivi cette voiture.

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Une fois arrivés au commissariat, Côme et moi avions mis nos vêtements de policiers pour ne pas nous faire reconnaître. Côme eut une idée.

- Je vais parler avec l’enquêtrice, elle ne se doutera de rien et j’en profiterai pour lui poser des questions.

- Super idée ! je te suis. Deux minutes plus tard, dans le couloir Côme s’adressa à Célia.

- Je peux vous parler ? - Oui, enfin, attendez un peu dit Célia.

Dix minutes plus tard, elle sortit de son bureau avec les policiers et Tim. Elle s’approcha de nous et dit :

- Vous vouliez me parler ? je vous écoute. - Je voudrai savoir comment avance l’enquête ?dit Côme. - Eh bien... dit Célia, excusez-moi je dois répondre à mon

téléphone. - Très bonne nouvelle merci. Les collègues ont trouvé des

traces d’ADN. - Oui, c’est bien dit Côme (le regard anxieux). - Suivez- moi, nous allons voir cela de plus près dit Célia.

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L’arrestation Pendant que Côme suivait l’enquêtrice, j’ai décidé de quitter le

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commissariat et de l’attendre à l’extérieur. Des heures passèrent et il n’était toujours pas revenu. Je commençais vraiment à m’inquiéter. Au même moment à l’intérieur, Côme et de vrais policiers accompagnaient Célia à l’étage où les scientifiques avaient l’ADN et le portrait des coupables.

- Bonjour messieurs, alors vous avez réussi, c’est très bien. Je veux voir cela.

- Oui, regardez dit le policier de la brigade scientifique. Elle regarda attentivement les deux visages des coupables et se mit à crier.

- Mais…. Mais…c’est vous Côme... Tout affolé, Côme prit la fuite, les policiers étaient tous à sa recherche. Ils fouillèrent le commissariat de fond en comble.

- Vite, démarre la voiture Matthieu, ils savent que c’est nous. - Quoi ? tu es sûr ? - Vite je te dis…on s’en va.

Dans la voiture Côme me raconta tout ce qui s’était passé au

commissariat. Il avait également précisé qu’ils connaissaient nos noms : Matthieu Vautrin et Côme Housseaux. Tous les policiers de la ville étaient à notre recherche, ils avaient mis des barrages à tous les ronds-points de la ville. Au bout d’un moment, nous arrivions à la hauteur d’un carrefour à la sortie de la ville. Des voitures de polices étaient là, il y en avait partout. Ils nous avaient encerclés. Illustration de la police qui encercle les coupables

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Une fois arrivés au commissariat, Côme et moi avions mis nos vêtements de policiers pour ne pas nous faire reconnaître. Côme eut une idée.

- Je vais parler avec l’enquêtrice, elle ne se doutera de rien et j’en profiterai pour lui poser des questions.

- Super idée ! je te suis. Deux minutes plus tard, dans le couloir Côme s’adressa à Célia.

- Je peux vous parler ? - Oui, enfin, attendez un peu dit Célia.

Dix minutes plus tard, elle sortit de son bureau avec les policiers et Tim. Elle s’approcha de nous et dit :

- Vous vouliez me parler ? je vous écoute. - Je voudrai savoir comment avance l’enquête ?dit Côme. - Eh bien... dit Célia, excusez-moi je dois répondre à mon

téléphone. - Très bonne nouvelle merci. Les collègues ont trouvé des

traces d’ADN. - Oui, c’est bien dit Côme (le regard anxieux). - Suivez- moi, nous allons voir cela de plus près dit Célia.

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L’arrestation Pendant que Côme suivait l’enquêtrice, j’ai décidé de quitter le

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commissariat et de l’attendre à l’extérieur. Des heures passèrent et il n’était toujours pas revenu. Je commençais vraiment à m’inquiéter. Au même moment à l’intérieur, Côme et de vrais policiers accompagnaient Célia à l’étage où les scientifiques avaient l’ADN et le portrait des coupables.

- Bonjour messieurs, alors vous avez réussi, c’est très bien. Je veux voir cela.

- Oui, regardez dit le policier de la brigade scientifique. Elle regarda attentivement les deux visages des coupables et se mit à crier.

- Mais…. Mais…c’est vous Côme... Tout affolé, Côme prit la fuite, les policiers étaient tous à sa recherche. Ils fouillèrent le commissariat de fond en comble.

- Vite, démarre la voiture Matthieu, ils savent que c’est nous. - Quoi ? tu es sûr ? - Vite je te dis…on s’en va.

Dans la voiture Côme me raconta tout ce qui s’était passé au

commissariat. Il avait également précisé qu’ils connaissaient nos noms : Matthieu Vautrin et Côme Housseaux. Tous les policiers de la ville étaient à notre recherche, ils avaient mis des barrages à tous les ronds-points de la ville. Au bout d’un moment, nous arrivions à la hauteur d’un carrefour à la sortie de la ville. Des voitures de polices étaient là, il y en avait partout. Ils nous avaient encerclés. Illustration de la police qui encercle les coupables

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- C’est la dernière fois que nous voyons la ville dit Matthieu à Côme.

En effet, les coupables de l’odieux crime de la gagnante du loto allaient rester sous les verrous pour plusieurs années.

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commissariat et de l’attendre à l’extérieur. Des heures passèrent et il n’était toujours pas revenu. Je commençais vraiment à m’inquiéter. Au même moment à l’intérieur, Côme et de vrais policiers accompagnaient Célia à l’étage où les scientifiques avaient l’ADN et le portrait des coupables.

- Bonjour messieurs, alors vous avez réussi, c’est très bien. Je veux voir cela.

- Oui, regardez dit le policier de la brigade scientifique. Elle regarda attentivement les deux visages des coupables et se mit à crier.

- Mais…. Mais…c’est vous Côme... Tout affolé, Côme prit la fuite, les policiers étaient tous à sa recherche. Ils fouillèrent le commissariat de fond en comble.

- Vite, démarre la voiture Matthieu, ils savent que c’est nous. - Quoi ? tu es sûr ? - Vite je te dis…on s’en va.

Dans la voiture Côme me raconta tout ce qui s’était passé au

commissariat. Il avait également précisé qu’ils connaissaient nos noms : Matthieu Vautrin et Côme Housseaux. Tous les policiers de la ville étaient à notre recherche, ils avaient mis des barrages à tous les ronds-points de la ville. Au bout d’un moment, nous arrivions à la hauteur d’un carrefour à la sortie de la ville. Des voitures de polices étaient là, il y en avait partout. Ils nous avaient encerclés. Illustration de la police qui encercle les coupables

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- C’est la dernière fois que nous voyons la ville dit Matthieu à Côme.

En effet, les coupables de l’odieux crime de la gagnante du loto allaient rester sous les verrous pour plusieurs années.