Nouveau Gastricalm 25 000 mg Pour faire un grand pas en avant,il faut savoir se concentrer.

P.09 Lencareles points clés d’une nouvelle étape

P.04

devient

Synthèse

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OSTEOSIN®

renforce sa place de numéro 1

OSTEOSIN® pour les chevaux confrontés à des problèmes ostéo-articulaires.

OSTEOSIN PCA® pour les chevaux en croissance, à l’entraînement et les poulinières.

MBPEXCLUSIF

10 BREVETS

EFFETS

CLINIQUEMENT

PROUVÉS24

ÉTUDESLa fraction protéique MBP(Osteosin® et OsteosinPCA®) est une exclusivitéde notre laboratoire.

Les effets sur lemétabolisme osseux et laméthode d’extraction dela fraction MBP (Osteosin®

et Osteosin PCA®) bénéficientde 10 brevets.

Les effets sur le métabolismeosseux du cheval ontété cliniquement prouvés.

Plus de 24 études cliniqueset scientifiques confirmentnos revendications.

EXCLUSIVITÉ

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Sommaire.

CHANGEMENT DE NOM Points clefs d’une nouvelle étape.

En 5 années, l’efficacité de Gastricalma été confirmée par plusieurs étudesen France, Angleterre et Australie.

P.04

GASTRICALM S’IMPOSE COMME LE NUMERO 1 DE SON MARCHE

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L’EXERCICE, UN DES FACTEURSDÉCLENCHANT DES ULCÈRESGASTRIQUES En savoir plus ?

Agents pathogènes, épidémiologies ettaux de survie des poulains.

P.06

HYMUNOX IMMUNITE DU POULAINP.14

SYNTHESE DE L’ENSEMBLE DE LA GAMME LENCARE

P.1 6

GASTRICALM 25 000 mg

Pour faire un grand pas en avant, il faut savoir se concentrer.

P.09

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Entretien

Avec un développement soutenue de l’activité à l’export, le renforcement de notre pôlerecherche & développement, la mise en place d’une division eau de boisson et l’évolutionde la structure logistique, 2016 inaugure le début d’une nouvelle aventure pour LENCARE.Pascal Bonhommet Directeur général détaille les points clés de cette nouvelle étape del’histoire du laboratoire.

Pouvez-vous nous parler de la création et del’actionnariat du laboratoire ?Notre laboratoire est né de l’association des dirigeantsactuels et d’un pôle de financiers passionnés par l’activitééquine (élevage, course). Nous détenons 70 % du capital et le pôle financier 30 %, cette répartition n’a pas changé depuis la création. En conclusion, nous ne dépendons que de nous-même etfinançons notre développement.

Quelle est la logique derrière ce changement de nom ?A vrai dire ce changement est lié à deux points : - la volonté d’avoir une seule marque pour nos activitésactuelles et futures.- simplifier notre communication institutionnelle ettechnique, à l’export notamment.

Pourquoi Lencare ?Nous souhaitions un nom de marque qui puisse êtreenregistré sur l’ensemble du globe, facilementprononçable dans une majorité de langue, bref un vrai défidans un contexte de concurrence mondiale.Nous avons choisi Lencare pour sa prononciation, sa typologie et l’utilisation de son -care « soins ».

Pourquoi ne pas avoir conserver une de vos marques ?Pour les raisons évoquées précédemment, aucune desdeux marques que nous possédons n’ont pu êtreenregistrées sur l’ensemble des pays où nous souhaitonsinvestir dans un futur proche. Aujourd’hui nos produits sont distribués en Chine sous la

marque Ecophar et Lehring Naturellement Efficace dansplusieurs pays européens ce qui nous demande de gérerdeux gammes, deux budgets de communications, etc… cequi n’est ni cohérent ni simple à gérer.Au 1er janvier 2016 Lencare devient notre marque uniquece qui va nous permettre de simplifier notre communica-tion et de faciliter notre développement à l’export.

Qu’en est-il de votre développement à l’export ?Nous avons deux approches, la première concerne ledéveloppement dans des pays ayant une culture équestretels que l’Allemagne, l’Angleterre, etc… La deuxième parl’investissement vers les pays qui connaissent uneconstante évolution tels que la Roumanie où noussommes présents depuis l’année dernière.Dans tous les cas, notre stratégie de développement estbasée sur l’innovation et l’organisation.

Pouvez-vous nous parler de votre activité dedéveloppement ?L’innovation est un levier fondamental de croissance pournotre laboratoire. Le développement d’actifs exclusifscomposants certains de nos produits comme Gastricalm,Osteosin, Myodazole, Florequin, Hymunox, etc… , nouspermet dans un contexte de concurrence exacerbée deconnaître une croissance continue.Afin de rester à la hauteur de nos exigences, nousaccordons une place grandissante aux études cliniquespour valider l’efficacité de nos produits, ce budget a étémultiplié par 4 en cinq ans.

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Gérez-vous l’ensemble de vos projets de développement en interne ?Le développement de nouveaux produits nécessiteaujourd’hui la maîtrise d’une multitude de technologiesqui n’existe pas toujours en interne. D’où la nécessitéd’associer des fournisseurs au processus d’innovation.Ainsi nous avons, à travers la mise en place de partenariatsprivilégiés, accès à des compétences techniquesspécifiques, tout en accélérant le temps de mise sur lemarché des nouveaux produits.Partenaires plus que fournisseurs, ces derniers deviennenten partie responsables de la compétitivité des produits.Et ce, dans un processus structuré et contractuel quipermet de sécuriser la relation… et d’accélérer l’innovation.

Accepteriez vous de nous présenter les innovations à venir ?Vous comprenez que ces projets sont l’avenir du laboratoireet par conséquent ne peuvent être divulgués. Je peux justevous confirmer que nous travaillons depuis plusieursannées sur la nutrition vétérinaire avancée « AdvancedVeterinary Nutrition  ». L’AVN concerne les alimentscomplémentaires qui s’intègrent dans des protocoles desoins et apporte des solutions complémentaires auxmédicaments

Où et comment sont fabriqués vos produits ?Nos produits sont 100 % fabriqués en France ce qui estd’ailleurs un élément très important pour notre export etnotamment pour la Chine.Leur fabrication répond aux Bonnes Pratiques deFabrication ou Good Manufacturing Pratices Animal Feed.Les BPF constituent un des éléments de l'assurancequalité qui garantit que les produits sont fabriqués etcontrôlés de façon cohérente et selon les normes dequalité adaptées à leur emploi. Elles s'appliquent à la foisà la production, au contrôle de la qualité et concernentplusieurs champs d’applications :-Système qualité répondant aux normes et à la certification de l’établissement.

-Personnel qualifié, formé et en nombre suffisant.-Locaux et équipements conçus, construits, adaptés et entretenus de façon à convenir aux opérations à effectuer.

-Documentation pour assurer la conformité des opérations. -Production suivant des instructions et des procédures définies préétablies.

-Contrôle de la qualité placé sous l’autorité d’une structure externe.

CHINE

ALLEMAGNE

ROUMANIE / POLOGNE

HOLLANDE

ANGLETERREIRLANDE

Entretien

en France Fabriqué conditionné&100% France

Siège social, fabricationdéveloppement

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Synthèse

Le syndrome des ulcères gastriques équins regroupe plusieurs affections qui s’accompagnent d’érosionsou d’ulcères de la muqueuse digestive en des endroits divers de l’œsophage, de l’estomac ou duduodénum proximal.

L’exercice, un des facteursdéclenchant des ulcères gastriquesINTRODUCTION

Figure 1 : Effet de l’exercice sur la pression intragastrique Figure 2 : Evolution des pressions intragastrique (IG) et intra-abdominale (IA)

L'ulcération de la muqueuse primaire touche surtout les chevaux adultes à l’entraînement intensif, sans prédispositiond’âge, de race ou de sexe. Les signes cliniques incluent : une baisse de l’appétit, une difficulté à finir la ration, une baisse des performances, unmanque d’enthousiasme à l’exercice, une baisse de l’état général, un amaigrissement, un poil piqué, des coliques de faibleintensité, notamment post-prandiales.Un des Facteurs déclenchant des ulcères gastriques : L’EXERCICEEn effet, l’exercice intense auquel sont soumis les chevaux, est responsable d’une exposition excessive de la muqueusesquameuse au contenu acide par un phénomène purement mécanique (Merritt et al.,)Lorsque le cheval se déplace à une allure plus rapide que le pas, les muscles abdominaux se contractent. Ceci entraîneune augmentation de la pression intraabdominale, qui est responsable d’une augmentation de la pression à l’intérieurde l’estomac.

L’augmentation de pression intra-gastrique lors d’unexercice a été démontrée expérimentalement chez lecheval sur tapis roulant par mesure du volume d’aircontenu dans un petit ballonnet placé dans la partieproximale de l’estomac, celui-ci devenant progressivementvirtuel au fur et à mesure que l’allure devient plus vive, etne retrouvant son volume original que lorsque le chevalrevient au pas.

La pression est de 6 mmHg à l’intérieur du ballonnet. Dèsque l’allure dépasse le pas, le ballon se collabe(affaissement d’un organe), indiquant qu’une pressionsupérieure à 6 mmHg est exercée sur ses parois.Afin de montrer que cette augmentation de pressionintragastrique est liée à une augmentation de pressionintra-abdominale, des mesures de pression ont étéréalisées simultanément dans l’estomac et dans la cavitéabdominale, chez 3 chevaux.

7

Synthèse

L’exercice joue également un rôle indirect dans lapathogénie de la maladie squameuse. En effet, laproduction d’acide chlorhydrique est physiologiquementplus importante chez le cheval à l’entraînement que chezle cheval au repos.La sécrétion d’acide chlorhydrique par les cellulespariétales est, entre autres, sous la dépendance d’unehormone : la gastrine, sécrétée par les cellules G de larégion glandulaire de l’estomac. A la suite d’un repas, saconcentration plasmatique augmente fortement demanière physiologique. Furr et al. [ ont exploré la réponsehormonale gastrique suite à l’ingestion d’un repas, enfonction du niveau d’entraînement. La concentrationplasmatique en gastrine est mesurée avant, et 2 heuresaprès la distribution de la ration, en période de repos ainsiqu’après une période d’entraînement de 6 semaines. S’iln’y a pas de différence significative dans les 2 groupesconcernant la valeur précédant le repas, en revanche, laconcentration post-prandiale est significativement plusélevée chez les chevaux à l’entraînement.

D’autre part, lors d’un exercice ponctuel, on observe unediminution du flux sanguin dirigé vers la muqueuse del’estomac. En effet, lors d’un exercice, les besoinsmétaboliques des muscles squelettiques augmentent, enparticulier en oxygène. Le flux sanguin est donc dirigépréférentiellement vers les muscles, au détriment desautres organes comme les viscères abdominaux.Une étude a mesuré le flux sanguin (en ml/min/100g detissu) dans le tractus gastrointestinal chez des chevauxau repos et soumis à un exercice modéré ou intensif grâceau suivi du trajet de microsphères radioactives dans lacirculation générale.A la vitesse imposée de 8 m/s, la perfusion du tractusgastro-intestinal est déjà réduite de façon significative.En effet, la vasoconstriction entraîne une augmentationde la résistance vasculaire. A la vitesse de 13 m/s, ladiminution du flux sanguin vers le tractus gastrointestinalest encore plus importante. Lors d’un exercice, lavascularisation de la paroi de l’estomac est donc réduite,même à vitesse modérée. L’apport de substances nutritivesvers la muqueuse est donc limité, ce qui la rend vulnérableface aux facteurs d’agression.

Cette hypothèse est supportée par le fait que lors d’uneffort (trot, galop), le pH mesuré à l’entrée de l’estomacest significativement plus bas (descendant parfois jusqu’à1.0) que lorsque le cheval est à l’arrêt ou au pas (où il estcompris entre 5.0 et 6.0). Cette modification de l’aciditéen région proximale s’effectue rapidement et se maintientlongtemps après l’arrêt de l’exercice. Les mesures sontréalisées grâce à une électrode placée juste sous lesphincter oesophagien inférieur.

Dès que le cheval passe du pas au trot, la pression intra-abdominale gagne 12-15 mmHg, et les pressions évoluent defaçon parallèle dans la cavité abdominale et dans l’estomac. Si le volume du ballonnet de l’expérience précédentedevient virtuel, c’est parce qu’une pression extérieure s’exerce sur ses parois : la pression intra-abdominale, elle-mêmedue à la tension des muscles abdominaux lorsque le cheval se déplace à une allure vive.La pression exercée sur les parois de l’estomac est à l’origine d’une remontée du contenu gastrique vers la régionproximale de l’estomac.

Chez le cheval à l’entraînement, plusieurs facteurs de risque sont réunis. Aux multiples modifications de la physiologiegastrique induites par l’exercice s’ajoutent les effets du management des chevaux (alimentation, habitat, transport) etdu comportement alimentaire des chevaux confinés au box sur le pH gastrique. Il est difficile de distinguer le rôle relatifde chaque facteur sur la physiologie de l’estomac et le développement des lésions.L’ensemble des facteurs de risque contribue à exercer sur un cheval donné ce que l’on pourrait appeler une « pressionulcérogène », dont l’expression en tant qu’ulcère dépend ensuite de la sensibilité individuelle de chaque cheval.

CONCLUSION

Figure 3 : Variation du pH mesuré à l’entrée de l’estomac en fonction de l’exercice

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Dossier

s’impose comme le n°1 incontesté de son marché

2012Distinction internationale , notre actif a reçu l’Award du meilleur produitfini. Ce prix est décerné à l'entreprise qui a développé un produitinnovant, grâce à l'excellence dans la recherche, le développement, lafabrication, et a abouti au lancement d'une nouvelle offre dont lasécurité, l'efficacité et la qualité ont été validées par des études.

2010lancement de Gastricalm granuléétude clinique réalisée en Francesur 59 chevaux.

2012lancement de Gastricalm solutionétude clinique réalisée enAngleterre sur 48 chevaux.

2015Lancement de Gastricalm 25 000 mgboite de 900 g étude cliniqueréalisée en Australie sur 29 chevauxdont 120 chevaux gastroscopés

GASTRICALM®

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Contrôle des substances naturelles alimentaires prohibées effectué par le Laboratoire des Courses Hippiques (LCH). Caféine, théobromine, théophylline, atropine, scopolamine, morphine, methybufotenine, dimethyltryptamine, bufotenine,hordenine, thébaine.

Espèces cibles Chevaux

Indications d’utilisation chez les équidés Perte d’appétit Prévention d’ulcèrePerte d’étatSuivi ou accompagnement d’un traitement

Mode d'emploi Mélanger la substance à l’alimentation du cheval.

Posologie usuelle :La dose recommandée est de 15 g matin et soirLa durée du traitement est de 30 jours (boîte de 900 g)

Mise en garde particulière Aucune

Effets indésirables Il n’y a pas d’effets indésirables cliniques connus enrelation avec l’utilisation du produit

Composition Gastricalm…………………………………………………….. 83,33 %Dextrose monohydraté………………………………………14,45 %Sulfate de magnésium anhydre………………………… 2,02 %Arôme………………………………………………………………0,20 %

Composition qualitative et quantitative Une dose journalière contient 25 000 mg de substanceactive

Présentation Code ACL 4591984 - Boite de 900 g Code ACL 4591991 - Boite de 2,7 kg

Galénique Poudre homogène

Durée de conservation24 mois dans son emballage d’origine et dans un endroittempéré et sec.

Précautions particulières de conservationA conserver dans un endroit tempéré et sec Bien refermer la boîte après chaque utilisation.

GASTRICALM 25 000 mgPour faire un grand pas en avant, il faut savoir se concentrer.

Dossier

Contrôle des contaminants dopants naturels.

NOUVEAU

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Dossier - Comprendre son mécanisme d’action

Les cellules épithéliales intestinales ont la capacité de répondre à de nombreux stimuli dont la présence de bactérieslactiques, par exemple en produisant des cytokines. Le profil cytokinaire de ces cellules épithéliales est représentépar des IL-6 (cytokine stimulant la production d’anticorps), IL-8 (cytokine proinflammatoire chemoattractant : chemokine)et des RANTES (cytokine impliquée dans la réponse inflammatoire).

Afin de comparer l’activité immunomodulante de différentes bactéries lactiques et leurs influences sur différents aspectsde la réponse immunitaires (production d’anticorps et activation des lymphocytes et des macrophages), 5 souches,après inactivation par chaleur, ont été mises en contact avec des cellules épithéliales intestinales humaines (lignéeHT-29) en utilisant 2 types de préparations (Mann Rogosa Sharpe/Lab Grown et préparation industrielle).

Études laboratoires : analyses des effets des bactéries lactiquesinactivées sur la production de cytokines

GASTRICALM 25 000 mg

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Comprendre son mécanisme d’action - Dossier

Les IL-6 produites en présence de Lactobacillus delbrukiissp lactis (notée R0187 et histogramme vert) sontsignificativement plus importantes que 3 autres souchestestées, en particulier pour la préparation industrielle.La bactérie inactivée a donc induit une augmentation dela production d’IL-6 (p=0,004, n=3). En revanche, R0187tend à diminuer la production de IL-8. Enfin, la bactérieR0187 est celle qui semble avoir le moins d’effet sur laproduction de RANTES. L’induction optimale de RANTESpar les cellules épithéliales nécessite la présence deTNFα (Tumor Necrosis Factor) et d’interféron γ (IFNγ).La bactérie R0187 induit une diminution de la sécrétionde TNFα.

TNF α intervient dans différents processus biologiquesdont un rôle proinflammatoire : il a la capacité destimuler les neutrophiles et les macrophages, augmenterla sécrétion d’IL-8 par les cellules endothéliales, attirantet activant ainsi les neutrophiles. La production decytokines par les cellules épithéliales intestinales est àdouble tranchant. Si la production de cytokines pro-inflammatoires peut être bénéfique dans certainessituation, leur production peut également participer àendommager localement les tissus et à soninflammation. D’importantes expressions des IL-8,RANTES et TNF α ont été notés dans les muqueusesintestinales de patients souffrant d’inflammationintestinale.

Les surnageants ont été collectés et quantifiés par ELISA.

Ces données in vitro montrent que les productions de cytokines IL-6, IL-8, TNF α et RANTES sont ainsi potentiellementaffectées par les bactéries lactiques suivant la souche et les conditions du milieu de culture.

Considérant ces éléments, l’ingestion orale de bactérie lactique spécifique représente une voix importante demodification du microenvironnement muqueux et d’interaction avec la réponse immunitaire, en particulier dans lessituations de dérèglement cytokianire au niveau muqueux entrainant dommage tissulaire et douleur.

Rappel : l’actif composant Gastricalm est une exclusivité de notre laboratoire. Dans ce cadre aucun autre produit ne peut revendiquer son utilisation – Nous vous invitons àêtre vigilant en demandant par écrit à toutes personnes se revendiquant comme distributeur, la provenance de l’actif, la quantité incorporée et la composition exacte du produitproposé.

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Dossier - Fréquence d’apparition des ulcères gastriques

Il existe plusieurs signes cliniques extérieurs, plus ou moins directs, associés à la présence d’un ulcère, qui permettentd’alerter le propriétaire. Ces signes ne sont en aucun cas des « symptômes spécifiques », et ne peuvent être le supportd’un diagnostic certain, ils restent néanmoins d’excellents indicateurs de ce type de trouble.

Santé : Episodes de coliques (souvent récidivantes), douleurs abdominales (pouvant s’observer au sanglage ou survenantlors des repas).Comportement alimentaire : prise incomplète des repas, amaigrissement, aérophagie…Activité : méforme au travail, baisse de la condition physique et contre-performances.

Qualité de la robe : poil terne et piqué. Cependant, le diagnostic d’ulcère ne peut exclusivement se faire sur ces signesextérieurs. D’ailleurs beaucoup de poussées ulcéreuses restent muettes, asymptomatiques.

INTRODUCTION

La première gastroscopie a démontré que 94 % des chevauxprésentaient des lésions plus ou moins importantes :

Les chevaux (grade 2, 3 et 4) marquaient une perte d’appétitet/ou un appétit capricieux.

Un mois après la première gastroscopie, les chevaux toujoursen période d’entrainement ont été gastroscopés une secondefois.

- 100 % des chevaux de grade 0 sont passés au grade 1- 69 % des grades 1 se sont aggravés - 38% des grades 2 se sont aggravés - 20% des grades 3 se sont gravés - A noter que 83% des chevaux de grade 4 sont repassés au grade 3 en un mois.

MATÉRIEL ET MÉTHODE

LECTURE DES GASTROSCOPIES

Sans traitement ou prévention, une lésion diagnostiquée à un faible grade évolue très fréquemment vers des gradesplus sévères. Il est donc importance de prendre en charge rapidement même les lésions les moins inquiétantes quifinissent le plus souvent par le devenir à court ou moyen terme.

CONCLUSION

- 6 % grade 0- 27 % grade 1- 33 % grade 2

- 21 % grade 3- 13 % grade 4

Étude réaliséen en 2012 à Newmarket ( Grande Bretagne )

RÉPARTITION DES CHEVAUX

Gastroscopies Nombre de chevaux Examens clinique

J 0 48 chevaux Des chevaux à l’entrainement de deux écuries de Newmarket(Grande-Bretagne), ne recevant aucun traitement contre les

affections gastriques, ont été gastroscopés (n=48 chevaux) à J0.

J 30 48 chevauxEntre la première et la deuxième gastroscopies, les chevaux n’ont

reçus aucun traitement et sont restés à l’entrainement

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Efficacité clinique prouvée - DossierÉtude réalisée en 2010 en France sur 59 chevaux à l’entrainement

MATÉRIEL ET MÉTHODE 59 chevaux venus consulter suite à l’observation par leur propriétaire, de signes cliniques réputés être associés auxulcères. Les chevaux ont été repartis en 3 groupes en fonction de la gravité pressentie de la pathologie :

RÉPARTITION DES CHEVAUX

Groupe Nombre de chevaux Examens clinique

Groupe A 23 chevaux Chevaux non gastroscopés avec des signes cliniques associés à la

pathologie et recevant du Gastricalm pendant 30 jours

Groupe B 17 chevaux Chevaux gastroscopés et recevant du Gastricalm pendant 30 jours

Groupe C 19 chevaux Chevaux gastroscopés et recevant un médicament "anti-acide"

(Oméprazole) pendant 15 jours (7 chx) à 30 jours (12 chx). Gastricalm a ensuite été prescrit pendant 30 jours

Groupe A : Chevaux non gastroscopés avec des signes cliniquesassociés à la pathologie et recevant GASTRICALM pendant 30 jours.Au bout de 1 mois de traitement, 81 % des symptômes initiauxont disparu. A noter également, que cette amélioration a étéconfirmée lors du second examen à 2 mois, soit 1 mois aprèsl’arrêt la distribution de GASTRICALM dont l’effet semble pouvoirse prolonger.

Groupe B : Chevaux gastroscopés et recevant GASTRICALMpendant 30 jours.Les résultats obtenus sur ces chevaux, présentantmajoritairement des lésions de faibles grades (1 et 2), confirmentles résultats obtenus sur les sujets du groupe A et justifie lechoix thérapeutique de n’utiliser que le GASTRICALM. Après 1 mois de traitement, les signes cliniques des chevaux dugroupe B ont été réduits de 69 % (72 % de réduction au 3ème

examen, soit après 1 mois sans GASTRICALM ).

Groupe C : Chevaux gastroscopés et recevant un médicament«anti-acide» (Oméprazole) pendant 15 jours (7 chx) à 30 jours(12 chx). GASTRICALM a ensuite été prescrit pendant 30 jours.Le principe de ce protocole thérapeutique complet (Oméprazole+ GASTRICALM) était de calmer rapidement la pathologieulcéreuse et de ramener progressivement la lésion à un gradeinférieur. Il permet de confirmer l’intérêt du GASTRICALM, utiliséen relai de l’Oméprazole, d’abord pour limiter le risque de récidive.La réduction des signes cliniques a été de 83 % le premier moiset s’est poursuivie le second mois (93 %).

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Dossier - Immunité et diarrhées du poulain

Chez les foals, la diarrhée est un des signes cliniques le plus couramment observé puisqu’en moyenne80% de ces jeunes équidés manifestent au moins un épisode de diarrhée dans les six premiers moisde leur vie. On distingue classiquement deux catégories de diarrhées :

INTRODUCTION

Agents pathogènes impliqués dans les diarrhées infectieuses du foalDans une étude rétrospective analysant la nature des agents infectieux observés chez 233 poulains diarrhéiques,Frederick et al. (2009) rapportent que 55% d’entre eux étaient infectés par au moins un agent pathogène. Cependant,les auteurs soulignent que la détection d’un agent pathogène chez un poulain diarrhéique ne signifie pas nécessairementque cet agent est la cause de la maladie.

Parmi les 122 poulains dont au moins un agent infectieux a été mis en évidence, les prévalences suivantes sont décrites :

Rotavirus : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .20 %Clostridium perfringens : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 %Salmonella spp. : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .12 %Les parasites : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .7%

Clostridium difficile : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .5%Coronavirus : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1%Cryptosporidium spp. : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1%

-les diarrhées non infectieusesElles regroupent celles liées aux chaleurs de lait oud’origine alimentaire (suralimentation, consommationexcessive d’eau ou de sable, intolérance au lactose) oud’origine médicamenteuse (antibiothérapies).

-les diarrhées infectieusesCes dernières, particulièrement graves et parfoismortelles, sont causées par divers agents bactériens(principalement Clostridium et Salmonelle spp), viraux(essentiellement Rotavirus), protozoaires (Cryptosporidiumspp) ou encore parasitaires (strongyloides).

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Dossier - Immunité et diarrhées du poulain

TRAITEMENT

L'immunisation passive consiste en un transfert à unanimal d'anticorps préformés chez un autre individu,mimant ainsi le transfert d'immunité d'une mère à sadescendance.

Les anticorps peuvent être transmis par voie intraveineuseou par voie orale. Cette dernière option est cependantlargement préférée dans le cas d'une lutte contre desinfections localisées au niveau du tractus digestif del'animal. Si l'immunité passive ainsi conférée ne subsiste

que durant un laps de temps relativement court, laprotection est cependant immédiate, ce qui constituel'atout majeur de l’immunisation passive.L'emploi d'anticorps en vue d'une immunothérapie vis-à-vis de bactéries zoonotiques ou pathogènes a égalementconnu un intérêt grandissant en raison de l'apparition d'unnombre croissant de microorganismes résistants auxantibiotiques. Les anticorps présentent en comparaisonl'avantage de ne pas conduire au développement de tellesrésistances.

Selon l’agent causal, un traitement spécifique peut être mis en place tel que, par exemple, une antibiothérapie cibléedans le cas de Salmonella ou Clostridium ou un traitement par vermifuge dans le cas d'un problème parasitaire. D’autrepart, la fluidothérapie est nécessaire pour corriger la déshydratation.

PRÉVENTION SANITAIRELes mesures de prévention commencent au quotidien :Par la qualité du nettoyage des structures : pour réduire les contaminations dans l’environnement, l’hygiène est trèsimportante- Par l’élimination régulière des crottins que ce soit dans les boxes comme dans les herbages- En évitant la surpopulation et les mouvements d’animaux en période de poulinage- En stimulant l’immunité passive du poulain

NOTION D'IMMUNISATION PASSIVE, APPLICATION ET LIMITES

E.COLI

ROTAVIRUS G3

CRYPTOSPORIDIUM PARVUM

SALMONELLA (TYPHIMURIUM, DUBLIN)

CLOSTRIDIUM PERFRINGENS (A,C)

CLOSTRIDIUM DIFFICILE

Posologie poulain (1er mois)Flacon A : 30 ml/ matin Flacon B : 15 ml/ matin

Source : fiche maladie du RESPE

HYMUNOX 8 000 mgProtocole poulain (1er mois)Composition - anticorps sous forme Per os

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Pour plus d’informations, demandez conseil à votre vétérinaire ou consultez le site : www.lencare.fr

MYODAZOLEAide à la préparation et à la récupération des efforts physiques (exemple : chevaux sujets aux myosites)et compensation de la perte d’électrolytes.

Composition : Alkosel, Chlorure de Sodium, Bicarbonate de Sodium, Chlorure de Potassium, Carbonatede Calcium, Sulfate de Magnésium, Phosphate Monopotassique, Vitamine E naturelle, Sorbitol, L-LysineHCL, DL-Méthionine, Bétaïne anhydre, Plantes micronisées.Mode d’emploi : 50 gr « poudre » par jour de préférence le matin.

Vitamine E

100 % naturelle

MYODAZOLE PHYSIOAide à la préparation et à la récupération des efforts physiques (exemple : chevaux à l’entraînement) et compensation de la perte d’électrolytes.

Composition : Alkosel, Chlorure de Sodium, Bicarbonate de Sodium, Chlorure de Potassium, Carbonatede Calcium, Sulfate de Magnésium, Phosphate Monopotassique, Vitamine E naturelle.Mode d’emploi : 50 gr « micro-granulé » par jour de préférence le matin.

DETOXSoutien des fonctions hépatiques et rénalesComposition : Extraits végétaux, Glycérine brute, Sorbitol, Méthionine, Choline, Bétaïne, Sodium.

Mode d’emploi : 10 ml à 25 ml par jour - Usage intensif : 25 ml par jour.

Nouveaux

conditionnements

ÉNERGYVETApporte de l’énergie et des minérauxComposition : Sulfate de magnésium, Propylène glycol, Chlorure de potassium, Vitamines, Oligo-éléments :fer, cuivre, zinc.

Mode d’emploi : Cheval : 30 ml par jour - Yearling et poney : 20 ml par jour

GAMMA-ORYSoutien de l’effortComposition : Gamma Oryzanol 99,5 %.

Mode d’emploi : Travail normal 1 gr par jour – travail intense ou préparation aux ventes 2 gr par jour(une boîte de 90 gr correspond à 45 ou 90 jours).

ZENOQUINESituation de stressComposition : Extrait de levure inactivée, Magnésium, Lysine, Méthionine.Mode d’emploi : 100 ml pendant 3 jours.

RYDRAVETCompensation de la perte d’électrolytes Composition : Chlorure de sodium, Chlorure de magnésium, Chlorure de calcium, Chlorure de potassium,Phosphate mono potassique, Dextrose, Glycine, Vitamine C.

Mode d’emploi : Liquide : 50 ml par jour – Poudre : 50 gr par jour.

Nouveau

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Pour plus d’informations, demandez conseil à votre vétérinaire ou consultez le site : www.lencare.fr

DIALACTONSoutien de la digestionComposition : Charbon végétal, Argile bentonite, Huile de lin, Propylène glycol.

Mode d’emploi : Poulain 1 à 2 seringues par jour. Cheval 2 à 3 seringues par jour.

GASTRICALM 25 000 mgConfort gastriqueComposition : Fermaid Ease.

Mode d’emploi : Cheval 15 g matin et soir, Yearling 10 g matin et soir.

GASTRICALMConfort gastriqueComposition : Fermaid Ease, Levucell sc 10, Agrimos.

Mode d’emploi : Cheval 50 g matin et soir, Yearling 40 g matin et soir.

GASTRICALM SOLUTIONProtection de la paroi gastriqueComposition : Chlorure de sodium, Profeed® P 95 Fructo-oligosaccharides, Extrait de Pépins de pam-plemousse, Propylène glycol, Silicate d’aluminium.

Mode d’emploi : Cheval et Yearling : 60 ml matin et soir ou 40 ml matin, midi et soir Accompagnement de période de stress (transport, antibiothérapie, sevrage) : Cheval et Yearling : 40 mlmatin et soir / - Foal : 20 ml matin et soir.

FLOREQUIN Stabilisation de la digestion physiologique Composition : Levucell SR® (probiotique), Agrimos®(prébiotique), Sélénium organique R397 (Alkosel®),Saccharomyces cerevisiae Levucell® SC10, Melofeed®.

Mode d’emploi :

Florequin granulé: Fin de gestation, 8 jours avant le terme et jusqu’au 4ème jour après le poulinage. Lactation 35gr/jour pendant 10 à 30 jours. Désordre intestinal 25 gr/jour pendant 10 à 30 jours.Florequin solution : Poulain nouveau-né : 20 ml deux fois par jour du jour de la naissance jusqu’au 5ème jour.Poulain au sevrage : 20 ml deux fois par jour 5 jours avant le sevrage. Cheval adulte lors de transition alimentaire,transport, mise à l'entraînement, compétition : 20 ml deux fois par jour pendant 5 jours.

Nouvelle galénique

Micro-granulé

PSYLOCARE Digestion physiologiqueComposition : Plantago Ovata (Psyllium).

Mode d’emploi : Mélanger à la ration journalière pendant 7 à 10 jours- Cheval 1 dose matin et soir- Poney ½ dose matin et soir.

Nouvelle galénique

Micro-granulé

SMECTOLÉtats diarrhéiquesComposition : Argile de type smectiteMode d’emploi : - Veau et Poulain : diluer 1 cuillère à soupe matin et soir dans l’eau, une solution réhydratante ou du lait.- Cheval : diluer 10 cuillères à soupe matin et soir dans l’eau ou une solution réhydratante

MYOLACTINAide la reprise d’état et de poids Composition : Magnésium, Levures, Acides aminés (40 000 mg/kg) d’aluminium Vitamine E / Acetated’α-tocopherol, Biotine, Alkosel®.

Mode d’emploi : Cheval 50 gr/jour pendant 6 à 8 semaines.

NOUVEAU

PLUS CONCENTRÉ

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FLECTION Pour des articulations souplesComposition : Glycérine brute, Huile de soja, Huile d’avocat, Propylène Glycol, Extrés végétaux : Curcumalonga, Boswellia serrata, Equisetum arvense, Ribes nigrum.Mode d’emploi : Dose initiale : 50 ml / Dose intensive : 100 ml.

Nouveau

conditionnement

OSTEOSIN Métabolisme osseux Composition : Lactoprotéine Osteosin/MBP® dont les effets ont été brevetés sur le métabolisme osseux.

Mode d’emploi : Foal : 10 gr/jour pendant 3 mois - Yearling : 20 gr/jour pendant 3 moisCheval : 20 gr/jour pendant 3 mois.

HYMUNOXPour soutenir le système immunitaireComposition : Ovoproduits séchés, Vitamine E, Vitamine C, Alkosel, Extraits végétaux, Huile de lin (47 % omega 3 et 6).

Mode d’emploi : Flacon A - cheval, yearling et foal 30 ml par jour / Flacon B – Cheval, yearling et foal15 ml par jour.

FLECTION DUOSoutient la qualité et le fonctionnement des articulationsComposition : Huile de Soja et Avocat, Chondroïtine sulfate, Glucosamine de potassium, MSM, Collagènemarin, Propylène glycol, Pidolate de calcium, Protéines de poisson.

Mode d’emploi : Dose initiale 25 gr ou 25 ml - Dose intensive 50 gr ou 50 ml.

OSTEOSIN PCAMétabolisme osseuxComposition : Pidolate de Calcium, Phosphate bicalcique, Lactoprotéine Osteosin/MBP®, Glutamate deCalcium, Phoscalim® marin, Lithothamne, Zinc, Cuivre, Magnésium et Manganèse. 

Mode d’emploi : Foal « jusqu’à 6 mois » : 20 gr. Yearling «jusqu’à 18 mois» : 40 gr. 2 ans à l’entraînement :50 gr. Jument en gestation : 60 gr.

NAVITOLSoutien du piedComposition : Chrysanthellum americanum, Ginkgo biloba, Vigne rouge, Hamamélis virginiana.Mode d’emploi : 50 ml par jour.

BIOTINOLAméliore la qualité et la croissance des sabotsComposition : Lithothamne, Mélasse de betterave, Biotine, Méthionine, Cuivre, Zinc, Fer.Mode d’emploi : 20 gr/jour.

Nouveau

conditionnement

TORAXINConfort respiratoireComposition : Glycérine végétale, Chlorure de magnésium, Complexe de plantes micronisées.

Mode d’emploi : 15 ml matin et soir.

Pour plus d’informations, demandez conseil à votre vétérinaire ou consultez le site : www.lencare.fr

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MILK-FOALAliment d’allaitement pour poulainsComposition : Lait écrémé en poudre, Lactosérum, Huile de coprah.

Mode d’emploi : Diluer 130 gr de MILK FOAL par litre d’eau chaude dans un récipient.

CORTÈNEReproductionComposition : Phosphate bicalcique, Agrimos®, B-carotène, Oxyde de magnésium.Mode d’emploi : 50 gr/jour 4 à 6 semaines.

GESTALACBesoins spécifiques de la jument en gestation et en lactationComposition : Phosphate bicalcique, Oxyde de Magnésium, Lithothamne, Bicarbonate de Sodium,Phophate monopotassique, Levucell® sc 10, Agrimos®, Fer, Zinc, Manganèse, Cuivre, Iode, Cobalt,Sélénium, Vit A, Vit D3, Vit E, Vit C, Vit PP, Vit B1, Vit B2, Vit B5,Vit B6, Vit B12, Biotine, Acide folique,Pantothénate, Chlorure de Choline, Méthionine, Lysine.

Mode d’emploi : Gestation 9 et 10 mois : 50 gr/jour - Gestation 11 mois : 75 gr/jour Lactation : 75 gr/jour.

FOALINGFournit un supplément d'énergie pour les premières heures après la naissanceComposition : Vitamines, Propylène glycol, Levures, Oligo-éléments : chélates, Oméga 3 et 6.

Mode d’emploi : 1 seringue à la naissance puis 1 seringue par semaine pendant 6 semaines.

BREEDING SPECIALITYRations alimentaires composées de granulés ou floconnés.Gestation et CroissanceComposition : Phosphate bicalcique, Lithothamne, Vitamines, Sels minéraux, Oligo-éléments, Levures.

Mode d’emploi : Foal 2 à 6 mois : 25 gr - Foal 6 à 18 mois : 35 gr - Yearling : 50 gr.

BREEDING ESSENTIALRations alimentaires composées d’orge et d’avoineGestation et Croissance Composition : Phosphate bicalcique, Lithothamne, Vitamines, Sels minéraux, Oligo-éléments, Levures.Mode d’emploi : Foal 2 à 6 mois : 25 gr - Foal 6 à 18 mois : 35 gr - Yearling : 50 gr.

WINNING ESSENTIALRations alimentaires composées d’orge et d’avoine.Entraînement et compétitionComposition : Vitamines, sels minéraux, oligo-éléments, levures.Mode d’emploi : Cheval 50 gr/jour.

WINNING SPECIALITYRations alimentaires composées de granulés ou floconnésEntraînement et compétitionComposition : Vitamines, sels minéraux, oligo-éléments, levures.Mode d’emploi : Cheval 50 gr/jour

Pour plus d’informations, demandez conseil à votre vétérinaire ou consultez le site : www.lencare.fr

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Florequin& Florequin Solution

Flore intestinale et santé digestive

Les actifs composants Florequin bénéficient d’études cliniques.

Etude de la flore du poulain et effets de Florequin administréà la jument ou au poulain nouveau-né

Effet de Florequin sur la production d’IgG dans le colostrum de jument

Florequin maintient la santé digestive et diminue le risque d’acidose

L’efficacité de notre souche sur l’espèce équine estcertifiée par l’EFSA «  European Food SafetyAuthority ». Autorisation 4a1711 selon le règlementeuropéen 910/2009

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