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L’ENTREPRISE D’ABORD 77 MARS-AVRIL 2013 www.ariege.cci.fr MAGAZINE D’INFORMATION DE LA CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE ARIÈGE 0,30 PERFORMANCES : DES ENTREPRISES ARIÉGEOISES PRENNENT DE LA HAUTEUR

L'entreprise d'abord N°77 Mars Avril 2013

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Journal de la CCI Ariège

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Page 1: L'entreprise d'abord N°77 Mars Avril 2013

L’ENTREPRISED’ABORD

N° 77 MARS-AVRIL 2013

www.ariege.cci.frMAGAZINE D’INFORMATION DE LA CHAMBRE DE

COMMERCE ET D’INDUSTRIE ARIÈGE0,30 €

PERFORMANCES :DES ENTREPRISES ARIÉGEOISESPRENNENT DE LA HAUTEUR

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sommaire

Directeur de publication : Paul Louis MAURATRédacteur en chef : Nicolas COUVREUR

Chargé de communication : Patrice HUBERTCrédit photo : Graphic Valley, AriègeNews,

Laurent Crassous, Le Petit Journal, Fotoliales entreprises, tous droits réservés

Conception graphique : YAPUCAVisuel couverture : YAPUCA

Mise en page et impression : IPS IMPRIMERIEDépôt légal : ISSN 0996-9535 / 5 000 ex.Siège CCI Ariège : 21 cours Gabriel Fauré

BP 30011 - 09001 FOIX [email protected] - www.ariege.cci.fr

COMMERCES & SERVICES• Unions commerciales :

les enseignements d’un jeu concours• Soldes flottants : un réel flottement !

page 4TOURISME• Hôtellerie : la CCI s’investit• Rendez-vous en France…

C’est le 26 et 27 mars

page 5INDUSTRIE& INTERNATIONAL• MFL : un trophée du développement

durable• Semaine de l’industrie - 3éme édition

du 18 au 24 mars• Club Export

Invitation aux Forges de Niaux

pages6 et 7COMPÉTENCES& FORMATION• Soirée IFCAP : rendez-vous le 28 mars• Opération humanitaire “Afrique en vue”• Formation Bac+3 - Responsable de site

e-commerce et e-tourisme• Enquête sur les besoins en compétences

et formation

pages8 et 9

DES ENTREPRISESRÉCEMMENTDISTINGUÉES“500 000 ET MOI”Dans le cadre de ce concours national des-tiné à mettre en valeur les créateursd’entreprise, le “coup de cœur” a été at-tribué à M. Philippe LACUBE, qui a créé 8emplois en ouvrant son restaurant “A laMontanha – La Maison Lacube” aux CA-BANNES.

TROPHÉE DE LA MEILLEUREREPRISE EN MIDI-PYRÉNÉESCe Trophée a récompensé M. StéphaneFAURE, qui a repris l’entreprise familiale dumême nom, spécialisée à MAZERES dansla valorisation de déchets, dans la récu-pération de fers et métaux, et dans la dé-pollution.

CONCOURS GÉNÉRAL AGRICOLEPour le 50ème anniversaire du Salon del’Agriculture, ont été récompensées pourla qualité de leurs produits les Sociétés“Charcuterie André CAZAUX”, à Lorp Sen-taraille, “CONFITURES ET TRADITIONS” àSaint-Lizier, “FROMAGERIES OCCITANES”à Castillon en Couserans et “FromagerieJean FAUP” à St-Girons.

TROPHÉE RÉGIONALDU DÉVELOPPEMENT DURABLECe concours a permis de distinguerM. René LENOIR qui, en créant la Manu-facture Française de la LED à LAVELANET,distribue ce système d’éclairage d’aveniret ambitionne de créer une vingtained’emplois d’ici à la fin de l’année.

La CCI adresse toutes ses félicitations à cesentreprises performantes, d’autant que laplupart d’entre elles ont été accompagnéespar les services de la Chambre.

PORTRAITS• ORIZONA-SCE : mise en lumière

à Lézat-sur-Lèze• Les Mini Pouces, une crèche

pour les entreprises et les collectivités• Trophées de l’économie numérique

les candidatures sont ouvertes

pages10 et 11ECONOMIE & TERRITOIRES• Zone de Peysales - La CCI en appui

de l’association des commerçants• ZA d’intérêt général de Gabriélat :

2013 démarre sur de bons rails• Activité économique en Ariège

Perspectives 1er semestre 2013• FISAC - Modernisation du commerce

pages12 et 13ZOOM SUR• Prévention des difficultés :

Ayez le réflexe APREDIFE !• Un plan pour le renforcement

de la trésorerie des entreprises• Centre de Formalités :

De nouvelles prestations

pages14 et 15

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Cet hiver long et rigoureux qui s’éloigne nous laisse à présent l’espoir dejours plus ensoleillés, de nuages enfin dissipés…

Ces éclaircies se manifestent également dans le monde économique, etnotre département ne déroge pas à la règle.

Ainsi, ces dernières semaines, des Chefs d’entreprises ariégeois ont étémis à l’honneur au niveau régional et national dans le cadre de plusieurs com-pétitions, organisées dans des domaines bien différents :

• Création et reprise d’entreprise,

• Dévelopement durable,

• Produits du terroir…

Qu’ils en soient félicités, et ce, à un double titre : pour leurs propres per-formances, et aussi, pour l’exemple donné et le message d’espoir qu’ils gé-nèrent, tant auprès des PME-PMI existantes, qu’auprès de porteurs de projetsdont il faut, raisonnablement bien sûr, encourager la prise de risque et l’en-vie d’entreprendre.

C’est bien là le rôle de notre Compagnie consulaire, qui se réjouit d’au-tant plus de ces distinctions, qu’elle a accompagné la plupart des lauréats etentend bien accompagner, de la même façon, toutes celles et ceux qui veu-lent aller de l’avant.

Selon les secteurs d’activités, les niches de progrès ne manquent pas :l’innovation, l’économie numérique, le management environnemental ou en-core la conquête de nouveaux marchés en France et à l’international, consti-tuent autant d’opportunités en la matière.

Les équipes de la CCI sont à votre entière disposition pour vous éleverau-dessus de cette mer de nuages, que pourrait symboliser la crise.

Paul Louis MAURATPrésident de la Chambre de Commerce et d’Industrie Ariège

DES ENTREPRISES ARIÉGEOISESPRENNENT DE LA HAUTEUR

édito

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L’objectif était d’apporter un appuiau commerce local pour cette pé-riode stratégique. Le moins quel’on puisse dire est que celui-ci ajoué le jeu, avec 53 000 tickets dis-tribués par 13 Unions commer-ciales participantes : CASTILLON,TARASCON SUR ARIEGE, FOIX, MI-REPOIX, PAMIERS, LES CABANNES,SAVERDUN, OUST, PRAT-BONRE-PAUX, LAVELANET, LE FOSSAT, MA-ZERES, sans oublier les Commer-çants non sédentaires. Bref, l’équi-valent de 600 Commerçants !

Les consommateurs auront de même appréciécette opération, particulièrement les gagnants,avec 13 séjours à Disneyland (un par ville par-ticipante) et un séjour d’une semaine en Tur-quie offerts par la CCI

Le tirage au sort départemental pour ce dernierlot a eu lieu le 3 janvier dernier. La gagnante,dont le ticket a été remis à PAMIERS par la ma-roquinerie FRANSAC, fut Mme Sylviane ROMAN.

Cette mobilisation est particulièrement en-courageante pour la stratégie mise en place encollaboration avec la CCI. 2013 sera en effet

riche en actions avec la mise en place d’un pro-gramme de formation-action des unions com-merciales et des groupements d’entreprises, enleur permettant notamment:• De déployer des programmes concertés

d’actions pour dynamiser leurs outils de tra-vail et leur territoire,

• D’être force de proposition en matière d’ur-banisme et d’équipement commercial et deservices, notamment dans le cadre du Do-cument d’Aménagement Commercial et duSCOT (Schéma de Cohérence Territoriale),

• De contribuer à l’équilibre de l’appareil com-mercial ariégeois

Mais avant tout la CCI souhaite créer deséchanges entre des hommes et des femmes,en un mot faire travailler les unions commer-ciales ensemble au service des centres villes etdes commerces en zone rurale.

Contact : Marika REPONDService Appui aux Entreprises et Aux TerritoiresTél. 05 61 02 03 26 - [email protected]

UNIONS COMMERCIALESLES ENSEIGNEMENTS D’UN JEU CONCOURSLa Chambre de Commerce et d’Industrie avait proposé aux Unions Commerciales du Dépar-tement un grand jeu concours durant tout le mois de décembre intitulé “Jouez, c’est Noël”.

Quatre ans après sa mise en œuvre, le dispo-sitif des “soldes flottants” fait l’objet de bilansplus que mitigés et reste dans l’attente d’uneconcertation quant à son avenir.Cette pratique introduite par la loi de moder-nisation de l’économie (LME) du 4 août 2008poursuivait l’objectif de relancer la consom-mation mais force est de constater qu’il ne bé-néficie ni aux professionnels, ni aux consom-mateurs.En accord avec le rapport du Centre de Re-cherche pour l'étude et l'observation des condi-tions de vie (CREDOC) et de l’Institut Françaisde la Mode (IFM) de Juillet 2012 confirmantl’inefficacité du dispositif, les CCI se mobilisentavec la confédération générale du patronat despetites et moyennes entreprises (CGPME) et lesCommerçants de France pour demander la sup-pression des soldes flottants.

Ceux-ci n’impactant pas tant sur le niveau desventes que sur le niveau des prix.

Les CCI de France soutiennent également l’or-ganisation d’une table-ronde nationale an-noncée par la Ministre Sylvia PINEL afin que,professionnels et consommateurs puissentcontribuer ensemble à l’avenir des soldes enFrance.

SOLDES FLOTTANTSUN RÉEL FLOTTEMENT !

COMMERCE & SERVICES

NOS PROCHAINESFORMATIONSGESTION COMPTABILITÉSpécial jeune entreprise commercialeou prestataire de services immatricu-lée au RCS depuis moins de 2 ansPour aider le jeune chef d’entreprise dansl’organisation administrative et comptablede son entreprise, analyse des comptes an-nuels, applications informatiquesDurée : 3 joursPériode : 8 – 15 – 22 Avril 2013INITIATIONGESTION COMPTABILITÉPour les créateurs repreneurs d’entrepriseDurée : 3 joursPériode : 27 mai – 3 et 10 Juin 2013Ces stages bénéficient du fonds social eu-ropéen et sont proposés à titre gratuit. Ilssont organisés sous réserve d’un minimumde 8 participants.Inscriptions et renseignements :Service Appui aux entreprises et aux terri-toires – tel : 05 61 02 03 26mel : [email protected]

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Cela fut l’occasion pour la CCI deprésenter les actions collectivesréalisées au cours des derniersmois en faveur de ces deux sec-teurs d’activité.

UNE ENQUÊTE RÉALISÉE AUPRÈSDES HÔTELIERS ET GESTIONNAIRESDE CAMPING

L’étude, menée en partenariat avec la DI-RECCTE, l’UMIH et l’association de l’Hôtelleriede plein air, a porté sur 150 établissements. Elleavait pour objectif• De connaître les besoins des chefs d’entre-

prise en matière de recrutement et de for-mation,

• De promouvoir les métiers de l’Hôtellerie CaféRestauration / Hôtellerie de Plein Air au tra-vers d’actions collectives auprès des jeuneset des demandeurs d’emploi,

• D’informer et sensibiliser les chefs d’entre-prises sur la bonne application de la conven-tion collective dans leur secteur d’activité. Unplan d’action et des pistes de réflexion ont étéproposés aux participants.

LES SITES INTERNETPASSÉS EN REVUE

Sophie ESTRADE, Chargée de mission de la CCI,a réalisé un diagnostic portant sur la totalité dessites Internet des hôtels et campings ariégeois.Pour chacun, elle a dégagé les points forts, les

HÔTELLERIELA CCI S’INVESTITL'association ariégeoise de l'Hôtellerie de plein air a tenu son assemblée générale en févrieret l’UMIH (Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière) en mars. Bilan 2012 et prévisions 2013étaient au programme, ainsi que la conjoncture et les nouvelles contraintes règlementaires.

TOURISME

faiblesses et suggéré des pistes d’amélioration.Des modules adaptés sont depuis proposés ausein de notre Institut de Formation consulaire(IFCAP) aux personnes souhaitant développerleurs compétences dans ce domaine.

L’ACTISCOPE TOURISME

La Chambre de Commerce et d’Industrie Ariègemet gratuitement à disposition des profes-sionnels ariégeois de l’hôtellerie et de l’hôtel-lerie de plein air cet outil de mesure de leur ac-tivité économique. Il est directement en lignesur Internet, avec un accès sécurisé. A ce jour,dans le département, une vingtaine d’hôtels etde campings ont conventionné avec la CCI pourl’utiliser.

Contact : Sophie ESTRADEService Appui aux Entreprises et Aux Territoires05 61 02 03 26 - [email protected]

NOS PROCHAINESFORMATIONSEVALUATION DES RISQUESPROFESSIONNELSDurée : 7 heures - Date : 8 Avril 2013• Le contexte réglementaire• Identifier les risques• Evaluer les risques• Proposer des actions de préventionsVENTES ET ORGANISATIONAU RESTAURANTDurée : 14 heuresDate : 27 mai et 3 juin• Rappel des principes fondamentaux• La charnière école-entrepriseBesoin de réalisation• La pyramide de la motivation au travail• Le comportement au travail : rapidité,

efficacité, fluidité du service• La réalisation clientèle• La venteL’esprit de création• La fidélisation de la clientèle• Le traitement des plaintes et des re-

marques• La gestion du temps (anticipation), la

gestion du stress,• L’aisance dans le comportement• L’adaptation aux différentes situationsBUREAUTIQUELes formations bureautiques sont organiséesau centre de Ressources de l’IFCAPContact : Didier PELOFFIService Appui aux Entreprises et aux TerritoiresTél. 05 61 02 03 26 ou [email protected]

Les 26 et 27 mars 2013, Toulouse accueille« Rendez-vous en France ». Organisée par AtoutFrance, avec le soutien financier du CRT, de l’Of-fice de Tourisme de Toulouse et de la CCI Midi-Pyrénées, la manifestation va accueillir unworkshop et 877 tour-opérateurs venus dumonde entier sont attendus.La CCI assurera à cette occasion la promotiondu Tourisme de découverte économique, dansle droit fil de l’action qu’elle mène depuisquelques années dans le cadre des Routes Tou-ristiques Ariège-Pyrénées Berguedà.Il s’agit de présenter des entreprises qui pro-posent des produits susceptibles d’intéresser

le grand public international. Chaque CCI a ainsiidentifié des entreprises répondant à ces cri-tères sur son territoire et un comité de sélec-tion s’est ensuite tenu au niveau régionalpour la sélection finale.A noter que ce salon s’adresse aux seuls pro-fessionnels acheteurs pour des tour-opéra-teurs, agences de voyages ou réceptifs. La prisede rendez-vous avec les exposants en amontdu salon est obligatoire

Pour en savoir plus sur ce salon :http://www.rendezvousenfrance.pro/fr).

RENDEZ-VOUS EN FRANCE…C’EST LE 26 ET 27 MARS

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UN TROPHÉE DU DÉVELOPPEMENTDURABLE

La Manufacture Française de la Led a su attirerl’intérêt et la reconnaissance des partenairesterritoriaux de la Région Midi-Pyrénées en pro-posant une opération régionale dédiée à la ré-novation de supports de lampes halogènes, in-titulée “Bye bye halogènes”. Cette initiative apermis à la MFL de se voir remettre en dé-cembre dernier un Trophée du Développe-ment Durable par la CCI de Région Midi-Pyré-nées, la Région Midi-Pyrénées et l’ARPE.

Issue d’une idée simple et lumineuse de son di-rigeant M. René LENOIR, la MFL propose de re-mettre à neuf les anciens projecteurs à lampeshalogènes pour y adapter des systèmes à basede diodes électroluminescentes (led) bien pluséconomes en énergie. Grâce à une largegamme de led garantie 5 ans, la MFL adapte lescomposants aux conditions spécifiques d’ex-ploitation pour de l’éclairage d’intérieur ou d’ex-térieur (enseignes, parkings,…).

A l’usage, le bénéficiaire voit sa consommationélectrique être divisée par 7 à 10 sur le posteconcerné. Au cumul des économies réalisées enachats d’électricité ainsi que par la revalorisa-tion des supports existants, le constat de la ren-tabilité est vite fait.

LE SUCCÈS EST GRANDISSANT

Preuve en est, de nombreux acteurs ont déjà étéconvaincus, à commencer par la Cité de l’Espaceà Toulouse, ou encore des Musées nationaux…

MFLUN TROPHÉE DU DÉVELOPEMENT DURABLELa Manufacture Française de la LED, qui fabrique des luminaires LED à LAVELANET depuis fin2012, invite les acteurs publics et privés de la région à moderniser leurs luminaires pour undéveloppement durable.

INDUSTRIE & INTERNATIONAL

UNE DIZAINE DE PMEACCOMPAGNÉESSELON L’ISO 26000La CCI Midi-Pyrénées lance une opérationd’accompagnement individuel de dix en-treprises. Il s’agit d’accompagner les PME àintégrer la RSE selon la norme ISO 26000.Ce dispositif innovant est financé par la Ré-gion Midi-Pyrénées et l’ADEME. Les PME éli-gibles recevront 70 % de subvention descoûts réels de l’accompagnement.En fonction du programme d’action que l’en-treprise aura mis en place, l’entreprisepourra :• Accroître sa performance,• Réduire sa facture énergétique, et sa dé-

pendance à certaines matières premières,• Renforcer la motivation de ses salariés, et

son attractivité sur le marché de l’emploiLancée en Novembre dernier, l’opération sepoursuivra jusqu’en Octobre 2014.Contact : Julien BOURDONService Appui aux Entreprises et Aux Territoires05 61 02 03 21 ou [email protected]

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Diversité, variété, responsabilité,en prise avec les évolutions de lasociété et de l’économie : tellessont les caractéristiques premièresdes métiers de l’industrie. Ils sup-posent une réelle aptitude au chan-gement et à l’innovation, un goûtmarqué pour un savoir-faire dehaute qualité et une ouverture àl’international. Une carrière dansl’industrie se fonde sur des compé-tences renouvelées à mesure desfonctions exercées et implique desformations régulières.

UNE DIVERSITÉ D’ACTIVITÉS…

La diversité des secteurs d’activité et descompétences distinctives requises, ainsi queleur localisation sur l’ensemble du territoire na-tional, en Europe et dans le monde, offrent deréelles opportunités de mobilité professionnelle.Des qualifications transverses développéesdans l’industrie permettent aux personnels deproduction de mettre leurs compétences et leursavoir-faire d’opérateurs qualifiés ou très qua-

SEMAINE DE L’INDUSTRIE3ÈME ÉDITION DU 18 AU 24 MARS 2013

Le CLUB EXPORT Ariège-Pyrénées, dans son pro-gramme de redynamisation entrepris pour2013, proposera sur l’année plusieurs rencon-tres thématiques à destination des dirigeants,cadres et techniciens des services exportsd’entreprises ariégeoises.

Le premier temps fort se tiendra le Mercredi27 Mars 2013 de 8h30 à 11h00, aux Forgesde Niaux sur l’invitation du Président du Club,Laurent PINEDA, et proposera d’aborder unthème incontournable : “International et lo-gistique”.Cette réunion-débat sera animée par Franck NA-

DEL, acheteur “Transport” de la branche Era-met Alloys dont fait partie Aubert et Duval à Pa-miers.

A l’issue des échanges, Laurent PINEDA pro-posera une présentation et une visite desFORGES DE NIAUX, jusqu’à 12h30.

Renseignements :Club Export : Michel [email protected] de l’Ariège : Nicole SOULERE05 61 02 03 21 - [email protected]

CLUB EXPORTINVITATION AUX FORGES DE NIAUX

INDUSTRIE & INTERNATIONAL

A l’occasion de la Semaine de l’industrie, les industriels et leurs partenaires invitent legrand public, notamment les jeunes et les demandeurs d'emploi à (re)découvrir l’Industrieet ses métiers. La Chambre apporte son concours à cette opération nationale, le réseau desCCI de France ayant par ailleurs désigné 2013 comme étant l’année de l’industrie.

lifiés au service d’opérations de production si-milaires dans de nombreux autres secteurs in-dustriels.

... ET DES MÉTIERS

D’ici 2015, l’industrie pourrait recruter en-tre 80 000 et 100 000 hommes et femmespar an, notamment pour rééquilibrer la pyra-mide des âges dans les entreprises. Pratique-ment 20 % de ces nouveaux emplois concer-neront des cadres.L’industrie a donc besoin de jeunes talents, àpratiquement tous les niveaux de qualification.Ces emplois requièrent une formation techniqueet technologique conjuguée avec de réelles ap-titudes à l’innovation et au travail d’équipe, ap-titudes essentielles dans les métiers de l’in-dustrie.

Un important effort de développement de l’al-ternance et de l’apprentissage est à l’œuvredans l’industrie : ces formations facilitent en ef-fet l’insertion dans l’entreprise : au moins80 % des jeunes formés en alternance ouen apprentissage sont intégrés dans lesentreprises qui les ont accueillis pendantleur formation. Ces formations “sur le terrain”combinant acquisition de compétences théo-riques et de confrontation pratique avec les mé-tiers et les réalités de l’entreprise couvrent unetrès large palette de qualifications : CAP, BTS,Ingénieur.

Retrouvez la liste des entreprisesariégeoises participantes sur lesite internet :www.redressement-productif.gouv.fr/semaine-industrie

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Sur le modèle de la soirée de l’anpassé qui avait connu un franc suc-cès, l’IFCAP va organiser le Jeudi 28Mars prochain à partir de 18h30une nouvelle soirée sur le thème“pour que mon orientation ait unsens après le bac”.

Les jeunes, mais aussi leurs parents, pourronttrouver lors de cette soirée, outre des anima-tions, la présentation des formations initiales eten alternance, mais aussi rencontrer des pro-fessionnels, parler de métiers et recevoir desconseils individuels.

Cette action pilotée par le POINT A de la CCI varegrouper de nombreux partenaires, en parti-culier l’Inspection Académique avec son serviced’orientation et des établissements scolaires,l’UPAP, et le Conseil Régional.

SOIRÉE IFCAPRENDEZ-VOUS LE 28 MARS

L’association GEMACOM (association des al-ternants de l’institut de formation) organise uneaction humanitaire proposée par les ROTARY deFoix et de Pamiers en lien avec l’association“Opticiens Lunetiers sans Frontières” quiconsiste à récolter un maximum de lunettes etde montures afin de les envoyer dans un paysd’Afrique, le SÉNÉGAL, où les habitants n’ontpas accès aux soins ophtalmologiques.Ce projet a été proposé de plus au Conseil Ré-gional Midi-Pyrénées dans le cadre des appelsà “projets d’avenir” avec vocation humanitaireet ce dernier été retenu et validé puisque la Ré-gion va subventionner cette action.

“AFRIQUE EN VUE”,UN PROJET HUMANITAIRE

L’opération “Afrique en vue” va être menée toutau long de l’année. Dix équipes de 3 à 5 al-ternants ont été formées afin de prospecter l’en-semble des entreprises du territoire ariégeoisdans le but de collecter des lunettes (y comprisdes lunettes de soleil), des montures (et des

étuis) via des récupérateurs mis à leurs dis-positions mais également des dons pour par-ticiper aux frais de déplacement au Sénégal.Le lancement de l’opération a eu lieu le 31 jan-vier 2013 lors de la soirée de l’IFCAP et un bi-lan sera effectué en septembre afin de déter-miner l’équipe vainqueur.L’équipe qui aura récupéré le maximum de lu-nettes et de dons pourra apporter l’ensemblede la collecte directement au Sénégal.

“AFRIQUE EN VUE”,UN PROJET PÉDAGOGIQUE

L’opération “Afrique en vue” a vocation pour lesalternants d’avoir aussi un intérêt égalementpédagogique. Chaque équipe est composéed’alternants de formations et de compétencesdifférentes. Leur travail va consister à rencon-trer des entreprises, présenter le projet, met-tre en place une communication et une stra-tégie de collecte, tenir des objectifs, avoir l’es-prit de compétitivité....

OPÉRATION HUMANITAIRE“AFRIQUE EN VUE”

COMPÉTENCES & FORMATIONS

Après la soirée du 31 janvier qui a vu le Président de la CCI, M. Paul Louis MAURAT, etM. Claude DELPY, Président de la Commission Emploi Formation, remettrent les diplômesBTS 2012 aux alternants de l’IFA et fêter les 15 ans de ce centre de formation d’apprentis,l’IFCAP prépare sa prochaine soirée consacrée aux “Métiers et à l’Orientation profession-nelle”.

Contact : Carole ROQUESService Emploi Formation05 61 02 03 15 - [email protected]

POINT DE COLLECTE ET PROMESSEDE DONS

De nombreux points de collecte vont être misen place par les équipes dans les entreprisesariégeoises, un point de collecte est d’ores etdéjà présent à l’IFCAP.Vous pouvez vous aussi participer à cette ac-tion humanitaire en apportant vos anciennes lu-nettes …

Contact : Floriane HERNANDEZService Emploi Formation05 61 02 03 32 - [email protected]

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 77 9

COMPÉTENCES & FORMATIONS

FORMATIONSINTER-ENTREPRISES1er SEMESTRE 2013DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL• Savoir accueillir au téléphone, le 22/04 et

23/04• Mieux vendre en magasin, le 18/04 et

19/04COMPTABILITÉ GESTION• Les fondamentaux de la comptabilité,

le 02/04 et 04/04• Faire face aux relances et aux impayés,

le 21/03 et 22/03ENVIRONNEMENT RH/SÉCURITÉ• Prévention et Gestion des conflits, le

28/03 et 29/03• Formation de formateurs, le 25/04 et

06/05INFORMATIQUE/BUREAUTIQUEToutes les formations bureautique et inter-net se déroulent dans notre centre de res-sources le lundi de 15h30 à 18h et le jeudide 9h à 12h. Entrées et sorties permanentes.• Découverte de windows• Word initiation / Word perfectionnement• Excel initiation / Excel perfectionnement• Powerpoint initiation• Communiquer via les réseaux sociaux le

22/04• Photoshop le 18/04Contact : Simon ARCIDIACONOService Emploi-Formation05 61 02 03 45 - [email protected]

UN DU ACCESSIBLE SOUSPLUSIEURS STATUTSCette formation d’un an et de niveau Bac+3 estaccessible à toutes personnes diplômées d’unbac+2 (BTS , DUT, DEUG…) sous statut étu-diant, mais également en alternance souscontrat de professionnalisation permettantainsi aux entreprises ariégeoises de dévelop-per leur activité sur Internet.Les candidats justifiant d’une expérience d’aumoins 5 ans dans les métiers du commerceet/ou du tourisme pourront également préten-dre à cette formation.Notons que ce DU pourrait être transformé enLicence Professionnelle à la rentrée 2014.

UNE FORMATION BASÉE SUR4 UNITÉS D’ENSEIGNEMENTS• Connaissance de l’environnement des en-

treprises e-Commerce et e-Tourisme : Dé-veloppement durable, Sociologie du tourismeet sociologie des organisations, Webmarke-ting stratégique, Gestion de projet…

• Actions commerciales et logistiques ; Filièresde promotion et de distribution,Webmer-chandising, Gestion de la relation client,Système d’information commercial et logis-tique…

• Applications technologiques pour la mise enplace de support e-Commerce et e-Tourisme :TIC appliquées à la commercialisation,

FORMATION BAC+3RESPONSABLE DE SITEE-COMMERCE / E-TOURISMEDepuis octobre 2010 l’IFCAP propose en partenariat avec l’ISTHIA (Université de Toulouse 2Le Mirail) du site universitaire de Foix un Diplôme Universitaire de « Responsable de site e-commerce et e-tourisme pour le développement économique et durable des territoires .

conduite de projetWeb, conception et gestionde bases de données, création technique desites, Infographie…

• Projet tuteuré et alternance / stage en en-treprise.

CANDIDATURESEn octobre prochain, la 4ème promotion inté-grera la formation. Les inscriptions 2013 se-ront ouvertes au mois d’avril et ce jusqu’à finjuin. Les dossiers de candidature sont télé-chargeables sur notre site internet (www.if-cap.cci.fr) et également sur celui du l’IS-THIA.Contact : Carole ROQUESService Emploi Formation05 61 02 03 15 - [email protected]

OBSERVATOIRE ÉCONOMIQUEEMPLOI ET FORMATION…Face à la question de l’emploi et de l’indis-pensable adaptation des qualifications auxcompétences requises par les entreprises, le ré-seau des Chambres de Commerce et d’indus-trie de Midi-Pyrénées a mis en place depuis1995, un système d’interrogation directe et per-manente des entreprises sur leurs pratiques etleurs besoins en matière de Ressources Hu-maines et de Formation. Devant la richesse desenseignements issus des dernières enquêtes,le Réseau des CCI se mobilise à nouveau en

2013 pour permettre aux entreprises de s’ex-primer sur ces questions relatives à l’emploi età la formation dans le but de mieux répondreà leurs attentes dans ce domaine. Cette éditionest réalisée en collaboration avec le Carif Orefet le soutien du Fonds Social Européen.

Vous pouvez remplir ce questionnaire directe-ment en ligne en vous connectant sur notre sitewww.ifcap.cci.fr rubrique AgendaContact : Lise THEILService Emploi Formation05 61 02 03 44 - [email protected]

ENQUÊTE SUR LES BESOINS ENCOMPÉTENCES ET FORMATION

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 7710

PORTRAITS

En décembre 2011, la Société Cen-trale d’Eclairage, qui employaitprès de 80 personnes à Lézat-sur-Lèze, était menacée de disparitionsuite à un enchaînement de difficul-tés qui l’avait conduite sous procé-dure de liquidation judiciaire. Unevéritable déchirure et un nouveaudrame économique et social se pro-filait jusqu’à ce que le Groupe ALI-ZARI, spécialisé sur les marchés del’éclairage, ne propose un plan desauvetage retenu par le Tribunal deCommerce de Foix. L’histoire pou-vait se poursuivre…

Au premier janvier 2012, le Groupe ALIZARI, em-mené par son dirigeant Sébastien BONNE-VILLE, entrait dans les murs et allait à la ren-contre des 46 employés sauvés par le plan dereprise, lequel permettait également de main-tenir l’outil de production et les compétences.Car c’est bien les savoir-faire qui avaient su re-tenir l’attention du repreneur : depuis plus de50 ans la SCE développe et produit des lumi-naires de fabrication française, dont la qualitéet le design sont reconnus au niveau interna-tional.Le groupe ALIZARI quant à lui s’est constitué de-puis 2004, par la création et l’acquisition d’en-treprises spécialisées dans la conception, la fa-brication et la commercialisation d’appareilsd’éclairage, avec une notoriété et une imageforte sur ses marchés.En 2012, la tâche du repreneur s’avérait ardue :en constituant une équipe de cadres provenantdu Groupe ALIZARI associée aux salariés locaux,Sébastien BONNEVILLE devait relever trois dé-fis de taille : remobiliser des salariés, regagnerla confiance des clients de la SCE, tout en re-mettant l’outil de production “en ordre demarche”.Un an après la reprise, la SCE est de nouveauopérationnelle. Elle a su en premier lieu éclu-ser le retard de livraison considérable quiavait été accumulé. La confiance des clients aainsi été retrouvée avec la capacité de la SCEà livrer des produits de qualité en respectantles délais de livraison.Le programme d’investissements ambitieux aété lancé avec la mise en production d’unechaine de thermo laquage semi-automatique etle réaménagement de plusieurs zones de pro-duction.Les enjeux pour la SCE sont désormais de re-trouver une croissance de chiffre d’affaires luipermettant d’envisager l’avenir avec séré-nité, tout en continuant à moderniser l’outil de

production pour accompagner cette crois-sance.Aujourd’hui les équipes sont focalisées sur lerenouvellement de la gamme, en travaillant surle développement de nombreux nouveauxproduits, avec en ligne de mire la présentationde cette nouvelle collection au salon interna-tional de Milan : Euroluce 2013. Ce sera l’oc-casion de montrer au public le nouveau visagede la SCE et de redynamiser les ventes sur lesmarchés export.Sur ce dernier point, un programme d’inves-tissements lourds, de plus d’un million d’eurossur trois ans, s’avérait nécessaire afin notam-ment de consolider les quatre métiers dont lacombinaison sur un même site avait su faire laforce de l’entreprise : le travail du métal, lethermo laquage, la galvanoplastie et le montageélectrique.Dans le courant de l’année 2012, ALIZARIchoisissait de faire du site de la SCE sa tête depont industrielle, en transférant également lesiège du Groupe à Lézat-sur-Lèze : notons quece dernier emploie actuellement plus de 100 sa-lariés en France et réalise un chiffre d’affairesde plus de 20 M€.

ORIZONA – SCEMISE EN LUMIÈRE A LÉZAT-SUR-LÈZE

Vers de nouvellesambitions…

Le 12 Février 2013, le Groupe ALIZARI an-nonçait la prise de participation majoritairede la société internationale AURORA à soncapital, donnant ainsi naissance à une en-tité qui pèse près de 200 M US$ de chiffred’affaires et emploie plus de 800 salariésdans le monde. Ce rapprochement entredeux groupes très complémentaires per-met à la nouvelle organisation de se po-sitionner comme un acteur majeur du mar-ché de l’éclairage.Pour Sébastien Bonneville, PDG du GroupeALIZARI, la stratégie est claire : face à l’ar-rivée de nouveaux acteurs sur le marchéde l’éclairage et afin d’accompagner et nonpas subir l’arrivée de la LED, ALIZARI de-vait se rapprocher d’un industriel com-plémentaire et disposant de toutes lescompétences techniques et d’innovationsdans le domaine de la LED.Pour AURORA, le choix d’entrer dans le ca-pital d’ALIZARI n’est pas le fruit du hasardpuisqu’un partenariat commercial unitles deux entités depuis 2010. Groupe in-ternational puissant dans l’univers del’éclairage, AURORA dispose de struc-tures commerciales dans 38 pays à traversle monde et de plusieurs sites de produc-tion. Doté d’un pôle R&D très performantet d’une expertise technique pointue, sonoffre comprend un large panel de solutionsd’éclairage à LED et à économie d’énergie.L’alliance ALIZARI / AURORA est la pro-messe d’un développement économiquefort, d’une grande stabilité et de croissancepour l’ensemble de la nouvelle organisa-tion.

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 77 11

PORTRAITS

L’idée est venue d’un vécu personnel où,mères de famille, celles-ci ont bien connu la dif-ficulté de concilier au quotidien ce rôle essen-tiel, la disponibilité qu’il réclame, et les exi-gences du travail.

Les “Mini pouces” à PAMIERS répondent doncbel et bien à ce besoin et proposent leurs ser-vices de 7 à 19 heures du Lundi au Samedi àdes collectivités et entreprises telles queMAESTRIA, MAPAERO ou encore CONTINENTAL.

Agréée par la Protection Maternelle et Infantile(PMI) du Conseil Général, cette société est ainsigarante, au travers d’une capacité d’accueil de40 places et d’un personnel qualifié, de toutel’attention que l’on peut porter aux bébés etjeunes enfants (de deux mois à quatre ans) enmatière d’hygiène, de sécurité et d’encadre-ment, les contrôles étant les mêmes que ceuxpratiqués auprès des crèches traditionnelles.

Parce que la Caisse des Allocations Familialesreste le principal financeur, les familles béné-ficient des mêmes tarifs que dans les crèchespubliques avec une plus forte amplitude horaire(un espace temps pour évoluer, découvrir et ex-périmenter au rythme de l’enfant) et uneseule semaine de fermeture annuelle.

D’étroites relations de confiance sont privilé-giées avec les parents et les employeurs, les-quels, en réservant des places pour les enfantsde leurs salariés, y trouvent bien sûr égalementleur compte en terme d’image… et en avan-tages, en matière de ressources humaines (fi-

délisation des salariés qualifiés, moins d’ab-sentéisme et de stress de la part des parentsqui travaillent).

Des grosses sociétés, mais aussi des PME etmême des petits commerçants ou professionslibérales, sont aujourd’hui tentés par ce systèmequi bénéficie d’une forte déduction fiscale(crédit d’impôt famille).

Comme les enfants qu’elle accueille, la Crèchene demande qu’à grandir, en s’attachant tou-jours à proposer en Ariège un service de qua-lité, assuré par des professionnels, avec un coûtraisonnable.

LES MINI POUCESUNE CRÈCHE POUR LES ENTREPRISES ETLES COLLECTIVITÉSLa plupart des grandes villes en France disposaient d’une telle structure. C’est chose faiteen Ariège depuis Août dernier, au travers d’une Société créée par Mmes Anne FONTENY etHélène GUILLEMOT.

Les MiniPouces “Créateurs D'éveil”24 Chemin des Canonges, 09100 PAMIERSTél. 05 34 01 87 78Directrice : Mme Nelly MARQUESSite Internet : lesminipouces.com

Organisée par la CCI Midi-Pyrénées et la Mêléenumérique, cette manifestation régionale dis-tinguant les initiatives dans le développementde solutions et applications numériques, est do-tée de nombreux prix : visibilité régionale et na-tionale, dotations et accompagnements di-vers…Les catégories du concours sont les suivantes :Territoire numérique et citoyenneté, Perfor-mance des systèmes d’information, Innovation,E-Business, Développement durable.

La date limite des candidatures a été fixée au19 avril prochain.

Renseignements : Gilles TEYCHENNEService Appui aux Entreprises et aux Territoires05 61 02 03 26 - [email protected]

TROPHÉES DE L’ECONOMIE NUMÉRIQUELES CANDIDATURES SONT OUVERTES

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 7712

ÉCONOMIE & TERRITOIRES

Dans le cadre de l’intervention de la CCI en ap-pui des collectivités locales pour le dévelop-pement des pôles commerciaux, la CCI a en-gagé une démarche auprès de la communautéde communes du Pays de Foix depuis 2009 avecune attention particulière sur la zone de PEY-SALES. Il avait notamment été signalé la né-cessité de requalifier cet espace économiqueen confortant sa vocation commerciale tout enveillant à sa bonne articulation avec l’appareilcommercial du centre ville.

La communauté de communes du Pays de Foixa engagé des études pour l’aménagement dela zone et en particulier sur la problématiquedu pluvial. Des son côté la CCI est venue der-nièrement en appui de l’association des com-merçants de PEYSALES “Foix Sud” pour inven-torier les attentes des professionnels pourl’amélioration de ce parc commercial. Ainsi, l’As-sociation a mandaté un Cabinet conseil spé-cialisé pour la réalisation d’un diagnostic de lazone, accompagné de préconisations sur qua-tre axes de réflexion :• Equipement / Environnement,• Signalétique,• Action économique,• Communication, animations.

L’ensemble de l’étude et des propositions ontété transmises aux élus de la Mairie de FOIX etde la Communauté de Communes du Pays deFOIX.

Contact : Marika REPONDService Appui aux Entreprises et aux Territoires05 61 02 03 26 - [email protected]

ZONE DE PEYSALESLA CCI EN APPUIDE L’ASSOCIATION DES COMMERCANTS

La communauté de communes de Pamiers pour-suit l’aménagement économique de son terri-toire. A titre d’exemple, la Zone d’Activités deGanriélat qui accueille déjà sur 65 hectares, 11entreprises créatrices de 323 emplois, soit untaux de commercialisation de la premièretranche de 65%.La zone dispose d’un certain nombr d’atouts :• A 35 minutes de Toulouse par accès direct à

l’A66, sur l’axe européen E9 Toulouse Barce-lone.

• Un foncier viabilisé à des prix attractifs.• Un taux de subventionnement possible du

projet immobilier allant de 15 à 35 % (situéeen zonage AFR – projets industriels).

• Un très haut débit par fibre optique….

2013, UNE ANNÉE CHARNIÈRE…

Attendue pour septembre 2013, la nouvelle Ins-tallation Terminale Embranchée (ITE) devraitfaire de la zone d’activités appaméenne la pre-mière dotée d’un tel outil dans le grand sud est

toulousain. Ce nouvel équipement renforcerale secteur des transports et de la messageriedéjà bien marqué sur la zone avec, notamment,la présence de l’entreprise Subra (80 salariés).

En entrée de zone, une emprise de 3 hectaresest exclusivement dédiée aux activités de ser-vices. La Communauté de Communes du Pays

ZA D’INTÉRÊT RÉGIONAL DE GABRIÉLAT2013 DÉMARRE SUR DE BONS RAILS

de Pamiers cible en premier lieu les activités ter-tiaires dédiées aux services aux entreprises (ca-binets comptables, bureaux d’études, centresd’appels….).

Contact : Denis DUBRULLEService : Pôle Etudes Aménagement05 61 02 03 18 - [email protected]

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 77 13

ÉCONOMIE & TERRITOIRES

Conséquence directe de la crise de la dette pu-blique qui a fait suite à la crise économique etfinancière survenue en 2008, l’année 2012 s’estachevée sur un ralentissement de l’activité éco-nomique au plan national et européen. Dans cecontexte, l’activité départementale n’a de soncôté malheureusement pas été épargnée bienque certains secteurs aient pu montrer leur ré-sistance.

Avec un taux de croissance annuel proche dezéro pour l’économie nationale, les prévisionsdes entrepreneurs ariégeois sont prudentespour l’année 2013. Au-delà du manque de vi-sibilité sur les plans de charge et au-delà de laréduction des carnets de commande, cette pru-dence est renforcée par les incertitudes légis-latives, réglementaires et fiscales qui pèsentlourdement dans les décisions chefs d’entre-prises.

Malgré les grandes différences de situations ob-servées d’un établissement à l’autre, les sec-teurs de la métallurgie et du travail des métaux(en particulier à destination de l’aéronau-tique), de la parachimie, de l’agroalimentaireconservent leur niveau d’activité voire pro-

gressent, tandis que pour les entreprises dessecteurs du BTP, de la vente automobile, ou en-core de la papeterie le ralentissement estplus marqué.

Retrouvez l’ensemble de “Regards sur l’actua-lité économique en Ariège” sur notre site In-ternet www.ariege.cci.fr rubrique s’informer.

Pour recevoir à chaque parution le documentde conjoncture, s’inscrire à partir de la rubriqueNewsletters.

Contact : Denis DUBRULLEService : Pôle Etudes Aménagement05 61 02 03 18 - [email protected]

ACTIVITÉ ÉCONOMIQUE EN ARIÈGEPERSPECTIVES 1ER SEMESTRE 2013Chaque 6 mois la CCI Ariège réalise un baromètre de conjoncture, “Regards sur l’actualitééconomique en Ariège”, élaboré à partir de la consultation des principaux établissements dudépartement, d’organismes socioprofessionnels et d’informations transmises par différentsservices de l’Etat

Les dotations de crédit FISAC sontannoncées en baisse pour l’année2013, ce qui serait de nature à pé-naliser les interventions de soutienaux pôles commerciaux et aux“multiservices” sur les territoires

Le budget national du FISAC se situerait aumieux à 32 Millions d’euros en 2013 contre 85Millions en 2010 et 42 Millions en 2012, alorsmême que 1800 dossiers FISAC instruits sontencore en attente au plan national.

Cette réduction drastique des enveloppes estde nature à contrarier la poursuite ou la fina-lisation de démarches collectives de moderni-sation et d’animation commerciale déjà enga-gées sur plusieurs pôles commerciaux ariégeois.Elle est également synonyme d’un coup d’ar-rêt pour de nouvelles opérations de type OCUR

ou OMPCA ayant été dernièrement envisagéessur différents bassins du département. Par ail-leurs, elle devrait pénaliser lourdement les in-terventions de soutien ou de création de “mul-tiservices” sur les territoires.

La Chambre est intervenue auprès de l’Etat poursensibiliser sur l’importance de ces opéra-tions qu’il importe de pouvoir poursuivre à l’ave-nir, en particulier sur les zones fragiles et surles zones sensibles, pour préserver les équili-bres entre les différentes formes de distribution,pour maintenir l’attractivité locale et pour pé-renniser les emplois associés à ces pôles com-merciaux locaux.

Contact : Jean-Marc COTService Appui aux Entreprises et Aux Territoires05 61 02 03 26 - [email protected]

FISACMODERNISATION DU COMMERCE

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 7714

ZOOM SUR

Il n’y a pas de “profil type” des en-treprises défaillantes. Tous les sec-teurs et toutes les zones du terri-toire ariégeois sont concernés,avec, parfois, un lourd tribut àpayer, au plan économique, maisaussi social.

Pour autant, il n’est pas toujours facile, pour unChef d’entreprise, de prendre la juste mesuredes difficultés qu’il traverse pour plusieurs rai-sons : le fait d’avoir trop ““la tête dans le gui-don”, de jouer l’attentisme en espérant desjours meilleurs, ou tout simplement, ce que l’onpourrait appeler… la peur du docteur !

UNE PREMIERE SENSIBILISATION

Face à ce constat, des réponses existent, qu’ils’agit de faire connaître. Tel avait été, déjà, l’ob-jectif de la réunion organisée début 2012 à l’Ins-titut de Formation consulaire par la Chambre etl’Union Patronale Ariège-Pyrénées, en parte-nariat avec le Tribunal de Commerce de Foix.Quelques 80 personnes avaient pu prendreconnaissance, à cette occasion, des différentsdispositifs et procédures mis en place pour per-mettre aux entreprises concernées (PME, maisaussi TPE…) et à leurs dirigeants de passer uncap difficile et de les aider à rebondir.

Les différents acteurs du traitement et de la ré-solution des difficultés avaient ainsi présentéleurs rôles respectifs: notaires, banquiers, ex-perts-comptables, avocats, auxiliaires de jus-tice, Commission départementale des Chefs desServices Financiers (médiation fiscale et so-ciale), Banque de France (médiation bancaire),URSSAF…

Plusieurs chefs d’entreprise avaient témoignéde l’efficacité de ces différents outils dès lorsque les mesures et délais sont respectés.Cela avait été également l’occasion pour la CCIet l’Union patronale d’annoncer la réactivationavec l’ensemble des partenaires concernés del’Association pour la Prévention des Difficultésdes Entreprises (APREDIFE). C’est maintenantchose faite !

UNE SEULE CONDITION :NE PAS PERDRE DE TEMPS !

Coprésidée par Germain ALBERICH (ancienbanquier) et Jean-Charles MEYER (expert-comptable), l’Association, créée en 1992, etréactivée lors de son Assemblée générale ex-

traordinaire du 19 Décembre dernier prend unnouveau souffle en coordonnant sous la hou-lette de son Secrétaire général Pierre DORIE lescompétences des services techniques de la CCI,de banquiers et experts-comptables, rompus àl’analyse experte de ce type de dossiers et àla recherche de solutions… lorsqu’il est encoretemps !

“Avant on recevait des dossiers pour l’accom-pagnement d’entreprises en difficulté biensouvent trop tard ou incomplets» assure Phi-lippe ASTRUC, Président de la Fédération desBanques Françaises ariégeoises (FBF 09). «Ona pourtant tout intérêt à ce qu’une entrepriseen situation difficile s’en sorte”.

Cet outil partenarial complète les dispositifsexistant en appréhendant et en traitant enamont, en toute confidentialité et neutralité, lesproblèmes auxquels les entreprises peuventêtre confrontées.

L'APREDIFE veut ainsi apporter une réelle va-leur ajoutée au chef d’entreprise, dès que lespremiers signaux d’alerte apparaissent, enmobilisant les ressources appropriées faceaux difficultés diagnostiquées.

Ainsi, diverses cellules de veille et de détectionadministratives existent, encore trop mécon-nues, avec lesquelles l’Association jouera lacarte de la complémentarité et “un rôle de fa-cilitateur pour déclencher le meilleur accom-pagnement possible”.

Simplicité et réactivité sont les deux moteursde l’association.

PRÉVENTION DES DIFFICULTÉSAYEZ LE RÉFLEXE APREDIFE !

L’APREDIFE,COMMENT CA MARCHE ?

Le chef d’entreprise établit lui-même, ou avecson expert-comptable, son auto - diagnostic. Sicela s’avère nécessaire, il est alors assisté parun des conseillers CCI ou ressources de l’APRE-DIFE qui l’accompagne dans l’élaboration d’undossier plus complet, validé ensuite par unecommission interne qui déclenche un accom-pagnement personnalisé et la mise en œuvredes préconisations identifiées.

“On se situe là dans une nouvelle approche par-tenariale autour du Chef d’entreprise pourmieux structurer, mieux informer et mieux ac-compagner”, indique Jean-Marc COT, Respon-sable du Service Appui aux Entreprises et auxTerritoires de la Chambre…

Et Germain ALBERICH d’ajouter “l’autre objec-tif majeur de ce dispositif est clairement la sau-vegarde et le maintien de l’emploi”.

Contact : APREDIFE, 21 Cours Gabriel FauréBP 30011 09001 FOIX CEDEX.TEL. 05 61 02 03 26 FAX. 05 61 65 28 71e-mail : [email protected] : http://www.ariege.cci.fr(Rubrique “Prévenir des difficultés”).

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L’ENTREPRISE D’ABORD • MARS-AVRIL 2013 • N° 77 15

ZOOM SUR

En ce début d’année 2013, la tréso-rerie est l’une des premières préoc-cupations des entreprises, particu-lièrement pour ce qui concerne lesTPE et PME, et les délais de paie-ment se situent encore à un niveauélevé : en France, un tiers des en-treprises voient leurs factures tou-jours réglées au-delà de 60 jours,fragilisant leur situation financièreet générant des risques de défail-lances.

Ainsi, d’après une récente enquête d’OSEO,40% des PME disent avoir rencontré des diffi-cultés de trésorerie dans les six derniers moiset 32 % des PME s’attendaient en novembre2012 à une dégradation supplémentaire dansles mois à venir.

Face à cette situation, un nouveau dispositif degarantie publique permettant d’apporter plusde 500 M€ de crédits de trésorerie aux PME estopérationnel depuis le 3 janvier 2013.

QUELLES SONT LES ENTREPRISESQUI PEUVENT ACCÉDERAU DISPOSITIF ?

Le dispositif s’adresse à toutes les PME et àtoutes les TPE, quelle que soit leur date de créa-tion.La seule condition d’accès est que l’entreprisene soit pas en difficulté structurelle, confor-mément à la législation européenne et à la mis-

sion générale de la Banque Publique d’Inves-tissement.

COMMENT FONCTIONNELE DISPOSITIF ?

Un fonds spécifique est créé auprès d’OSEO, fi-liale de la Banque Publique d’Investissement.Le fonds permet de garantir des crédits ac-cordés par des banques privées aux PME : lefonds ne délivre pas lui-même les crédits,mais fait donc levier sur les financementsofferts par le privé.

Sont éligibles les crédits dont la durée normaleest comprise entre 2 et 7 ans et qui ont pourobjet :• de financer l’augmentation du besoin en fonds

de roulement (BFR) ;• de consolider les crédits court terme existants.

Par ailleurs, les prêts personnels aux diri-geants pour réaliser des apports en fondspropres à l’entreprise sont également éligibles.

Enfin, les opérations de cession-bail immobi-lières sont éligibles, avec une durée pouvantêtre portée jusqu’à 15 ans.Le montant de la garantie d’OSEO est de1,5M€ maximum par entreprise.

COMMENT UNE ENTREPRISE PEUT-ELLE BÉNÉFICIER DU DISPOSITIF ?

Pour rendre le dispositif simple et efficace, lesPME et TPE intéressées s’adressent directement

UN PLAN POUR LE RENFORCEMENTDE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES

COMPÉTITIVITÉET EMPLOI :UN SITE DÉDIÉLe site www.ma-competitivite.gouv.fr estun outil simple destiné à s’approprier aumieux les mesures mises en œuvre en fa-veur de la compétitivité des entreprises.Notamment, il permet aux entreprisesde procéder à la simulation du créditd’impôt dont elles pourront bénéficier en2014, avec une prise en compte possiblede l’allègement de charge dans leur plande financement dès 2013, soit autant demoyens libérés pour l’investissement, la re-cherch et l’innovation, la formation et lesoutien à l’export.

à leur interlocuteur bancaire traditionnel, qui seretourne vers OSEO pour bénéficier de la ga-rantie offerte par le nouveau fonds.Les décisions sont prises à 100% au niveau lo-cal avec un délai de réponse de quelques jours.

Le détail du dispositif est disponible sur le sitewww.oseo.fr

Cette mesure de soutien aux TPE et PME s’ac-compagne d’un projet de loi, qui sera deposeau printemps, visant a remplacer les sanctionsciviles et penales en cas de non-respect desdelais de paiement interentreprises par unesanction administrative. Le Ministre souhaiteaussi faciliter le recours des TPE et PME a l’af-facturage et a l’assurance credit.

Le réseau des CCI a adopté une nouvelle ver-sion de la norme d’intervention des Centres deFormalités des Entreprises. Celle-ci exclue cer-taines prestations du champ de la mission deservice public et introduit la facturation de cesmêmes prestations. Le contenu de la prestationet le tarif (60 EUROS), harmonisés au niveau na-tional, ont été mis en application depuis le 1erJanvier dernier.

La différence entre la prestation gratuite dite“de base” (contrôle formel et complétude desformulaires et pièces justificatives, critères derecevabilité et de compétence, traitement etdiffusion auprès des organismes) et cette pres-tation “Service +” se traduit principalement par

CENTRE DE FORMALITÉSDE NOUVELLES PRESTATIONS

un accompagnement personnalisé avec un desagents du CFE, allant au-delà du rôle qui lui estdévolu par les textes.

La prestation “Service +”, facultative etpayante, qui pourra être délivrée en “face àface”, par téléphone, ou lors d’un dossier reçupar courrier, est donc proposée aux porteurs deprojets, aux entreprises, ainsi qu’aux manda-taires souhaitant cet accompagement

Contact : Service Appui aux Entreprises etaux Territoires. Cécile FALANDRY ou PatriceHUBERT. 05 61 02 03 04 - [email protected].

FACILITEZ-VOUSVOS FORMALITÉS

Via la rubrique “Accomplir vos forma-lités” directement accessible sur lapage d’accueil de notre site, vous pou-vez prendre connaissance des listes depièces justificatives et des tarifs RCScorrespondant à chaque formalité, té-lécharger les formulaires associés etcertains modèles de documents.Par ailleurs, jouez la dématérialisationde votre déclaration via www.cfe-net.cci.fr: du temps de gagné, et beau-coup de simplicité. Beaucoup de Chefsd’entreprises et mandataires ont choisice dispositif. Alors, pourquoi pas vous ?

Page 16: L'entreprise d'abord N°77 Mars Avril 2013

Contact : APREDIFE, 21 Cours Gabriel Fauré BP 30011 09001 FOIX CEDEXTEL. 05 61 02 03 26 FAX. 05 61 65 28 71 e-mail : [email protected]

URL : http://www.ariege.cci.fr (Rubrique « Prévenir des difficultés »).

UPAP

Union Patronale Ariège Pyrénées

Comment prévenirles di)cultésde votre entreprise ?

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des Di)cultés des Entreprises(APREDIFE)

L’APREDIFE, C’EST…Un Centre d’information, de conseil et d’accompagnement mettantà disposition de votre entreprise, en toute confidentialité de nom-breuses compétences :> Chambre de Commerce et d’Industrie Ariège,> Union Patronale Ariège – Pyrénées,> Association des Experts-Comptables de l’Ariège,> Comité des Banques de l’Ariège de la Fédération Bancaire

Française