Les cahiers de l'Industrie Electronique & Numérique N° 86

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - novembre 2015 - n° 86 - 1

mars 2015 > N°83

LE MARCHE DES OBJETS COMMUNICANTS : Créez ! nous fabriquons

de l’industrie électronique & numérique

IN FORMAT IONS COMMERC IALES & TECHN IQUES

DOSSIERS > USINE DU FUTUR : Robotiser c’est d’abord garder son esprit d’entrepreneur

novembre 2015 > N°86

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2 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - novembre 2015 - n° 86


Revue d’informations des entreprises de sous-traitance électroniqueéditée pour le SNESE(Syndicat National des Entreprises de Sous-traitance Électronique)

de l ’ industr ie électronique & numérique

RÉDACTION Richard Crétier REPORTER : Dominique Lemière

RÉGIE PUBLICITAIRE Franck Rannou D’COM CONSEIL - 7 rue Douric Ar Gueben

F 29510 LANDREVARZEC - Tél. : + 33 (0)2 98 50 18 53 L’envoi des textes ou photos impliquent l’accord de leurs auteurs

pour une reproduction libre de tous droits. Dépôt légal : novembre 2015 - ISSN 1774 - 5438

CONCEPTION & RÉALISATION D’COM CONSEIL DIFFUSION Service Abonnements Les Cahiers - 7 rue Douric Ar Gueben

F 29510 LANDREVARZEC - Tél. : + 33 (0)2 98 50 18 53 Tarif France 1 an ou 4 numéros : 92 euros

Tarif étranger 1 an ou 4 numéros : 129 euros Prix de vente au numéro : 23 euros

CRÉDITS PHOTO Photos de couverture :

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6 Informations SNESE

10 GFIE Informations

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•L’usinedufutur:robotiserc’estd’abord

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Cap’Tronic 38 Fabricants d’électronique

50 Informations commerciales

54 Nouveautés technologiques

Sommaire

45

51

46

57

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I N F OR M AT ION S > SNESE

ÉD I TO

Le délai moyen de paiement est passé en un an de 58 à 59 jours.

La dernière enquête sur les délais de paie-ment menée conjointement par la FIM, la FIEEC et la Plasturgie à laquelle de nom-breux adhérents du SNESE ont répondu montre une nouvelle dégradation des dé-lais de paiement. Cela est d’autant plus surprenant que, glo-balement, le sentiment est que la loi LME a eu des effets positifs. Le délai moyen de paiement est passé en un an de 58 à 59 jours.Pour 34% des entreprises, le délai de paie-ment est supérieur à 60 jours. Ce pourcen-tage monte à 35% à l’export et 43% dans le cas des marchés publics. Le médiateur a indiqué que pour les 120 premières entreprises françaises, le retard de paiement représentait pas moins de 4 milliards d’euros. Pour la DGE, les dettes totales des entre-prises sont de 414 milliards d’euros. Une aggravation de deux jours peut être esti-mée à 14 milliards d’euros. Neuf ETI sur dix ont des retards de paiement. Ceux-ci sont souvent de quelques jours mais cela suffit à perturber la trésorerie de nos en-treprises. Il faut rappeler que les pénalités courent à partir du lendemain de la date d’échéance.Les observateurs trouvent que les entre-prises sont très passives et ne réclament ni les intérêts de retard ni l’indemnité d’un minimum de 40 € prévue par les textes (loi Warsmann de 2013). Elles veulent surtout éviter de perdre du temps. Une entreprise sur cinq réclame les intérêts de retard et son action est couronnée de succès dans un cas sur quatre seulement. Les entre-prises veulent aussi éviter que la réclama-tion dégrade la relation commerciale, on le comprend aisément.

Les Pouvoirs Publics mettent en garde les entreprises. Il y a une corrélation parfaite entre les défaillances d’entreprises et les retards de paiement. Quand les retards dé-passent 60 jours, le risque de défaillance est multiplié par 11. De même, il est vive-ment conseillé de mettre de l’ordre dans nos entreprises en indiquant clairement nos conditions de paiement dans les CGV,

la mention des pénalités sur les factures et en recourant aux enquêtes de solvabi-lité, sans oublier la connaissance exacte de la dénomination de nos clients.

Si les entreprises craignent d’intervenir auprès des clients, il faut savoir que la DGCRRF a complété l’arsenal des possibi-lités d’action avec les sanctions adminis-tratives qui peuvent aller de 0 à 375 000 € par infraction constatée (loi Hamon de 2014).

La DGCCRF a indiqué au cours de la réu-nion que 140 procédures étaient en cours et 2 millions d’euros de sanctions noti-fiées. Le montant des sanctions obéit à de nombreuses considérations, l’entreprise incriminée ayant la possibilité d’accéder au dossier et de se défendre. La DGCCRF a aussi la faculté d’ordonner la publicité de ses décisions. Voilà qui pourrait faire réfléchir ceux qui considèrent que ne pas payer à l’échéance est un jeu, un sport national !

Ces conflits représentent une grande partie de l’activité de la médiation qui constate souvent que les entreprises sont mal préparées. La médiation recommande aux entreprises de recourir à un règlement amiable avant de saisir le juge. En effet, ce dernier se saisira du dossier s’il constate que l’assignation fait bien état d’une ten-tative de règlement du conflit à l’amiable.

Obtenir que les délais de règlement soient respectés est la démarche des Pouvoirs Publics qui considèrent que l’arsenal des mesures est maintenant en place. Cela ne les empêche pas de les amener à réfléchir à d’autres mesures coercitives telles que l’affacturage inverse ou surtout le vire-ment irrévocable à échéance dont nous souhaitons que cela devienne la règle pour les clients importants.

Michel de NONANCOURT Président du SNESE

Quand les retards dépassent 60 jours, le risque de défail-lance est multiplié par 11. De même, il est vivement conseillé de mettre de l’ordre dans nos entreprises en indi-quant clairement nos conditions de paiement dans les CGV, la men-tion des pénalités sur les factures et en recourant aux enquêtes de solva-bilité, sans oublier la connaissance exacte de la déno-mination de nos clients.

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INFORMATIONS > SNESE

DÉLAIS DE PAIEMENT : RÉSULTAT DE L’EN-QUÊTE SNESE/FIEEC - FIM - FÉDÉRATION DE LA PLASTURGIE

Les trois principales fédéra-tions professionnelles repré-sentatives de l’industrie ont lancé une vaste consultation sur les délais de paiement. Le SNESE remercie ceux de ses adhérents qui ont participé à cette enquête et contribué ainsi à une meilleure visibilité de ce particularisme français qui consiste à toujours retar-

der le paiement de ses four-nisseurs. Dans la conférence de resti-tution de cette enquête, qui a eu lieu le 15 octobre dernier à Paris, un intervenant a présenté cefléausouscetteforme:Quelsport, en France revendique autant de licenciés que le foot-ball (soit 1 900 000) ? Selon le dernier indicateur des retards de paiement, 120 de ces licen-ciés tardent excessivement à régler leurs factures et seraient donc ainsi les clubs de L1 de ce sport mortifère. Ce sont les

120 plus grandes entreprises françaises, qui ont fait bondir, sur un an les délais de 11.4 % …Ces 120 mauvais payeurs se distinguent par leurs pratiques abusives que la loi devrait nor-malement punir. Bien évidem-ment, les grands comptes ne sont pas seuls à enfreindre la loi. Selon Altares, le crédit fournisseur pèse 635 milliards d’euros, soit près du tiers du PIB de la France. Mais parcequ’elles se situent au sommet de la pyramide économique, ces entreprises déséquilibrent

financièrement l’ensemblede la chaîne de leurs fournis-seurs. De plus les banques rechignent à financer les cré-dits de trésorerie, préférant fiancer l’investissement. Maiscomme les entreprises en bout de chaîne du crédit fournisseur sont fragilisées par une tréso-rerie anémique, conséquence des retards de paiements, elles ne peuvent présenter des dossiers d’investissement. Le serpent se mord la queue et le ministre Macron voit son retour sur amortissement traité à la marge par les entreprises.


38

Mécanique58%

FIEEC31%

Plasturgie11%

FEDERATIONS

Q 1a : Secteur d’activité

CARACTERISTIQUES DE L’ECHANTILLON

39

DELAIS DE PAIEMENT

Q 8 : Délai de paiement prévu dans les CGV

Inférieur à 30 j5%

30 jours37%

45 jours40%

60 jours18%

Délai prévu par CGV

40

DELAIS DE PAIEMENT

Q 9 : Délai moyen de paiement en France en 2014 : 58 jours

1.85.4

36.0

22.5

34.2

0.0

5.0

10.0

15.0

20.0

25.0

30.0

35.0

40.0

< 30 j 30 à 44j 45 à 59j 60j > 60j

Nombre d'entreprises en %

41

DELAIS DE PAIEMENT

Q 10 : Délai moyen de paiement au premier semestre 2015 : 59 jours

2.44.8

34.7

20.8

37.2

0.0

5.0

10.0

15.0

20.0

25.0

30.0

35.0

40.0

< 30 j 30 à 44j 45 à 59j 60j > 60j


42

DELAIS DE PAIEMENT

Q 11 : Délai moyen de paiement relatif aux marchés publics

5.4

23.227.7

43.8

0.0

10.0

20.0

30.0

40.0

50.0

30j 40 à 59j 60j > 60 j


43

DELAIS DE PAIEMENT

Q 12 : Délai moyen de paiement fournisseur

2.1

20.6

44.2

25.8

7.3

0.0

10.0

20.0

30.0

40.0

50.0

< 30 j 30 à 44j 45 à 59j 60j > 60j




INFORMATIONS > SNESE

Dans ce contexte, et au regard des montants en jeu, on peutse demander si le simple res-pect de la loi ne devrait pas être la priorité du gouverne-ment. Créer le CICE, multiplier les allégements de cotisations comme le prévoit le Pacte de responsabilité est-il efficace,

si la bouffée d’oxygène qu’ils procurent aux entreprises leur permet seulement de résister aux retards de paiement de leurs clients et en particulier des grandes entreprises ? Et si le respect de la loi était la seule réforme structurelle qui vaille ?

DELAIS DE PAIEMENT, PRA-TIQUES ABUSIVES, ASSU-REURS CREDIT, MEDIATION, etc .Le SNESE (Espace adhé-rents du site snese.com) vous informe et accompagne vos actions :Fiches conseil : n° 52, n° 51, n°

46, n° 42, n° 41 n° 38Notes d’information : n° 90, n° 89, n° 87, n° 76Les services permanents : Révision des prix et pénalités de retard, la médiation inter entreprisesAssistance : [email protected] 02 98 55 04 56

53

PERSPECTIVES

Q 20 : Quelle évolution des délais de paiement envisagez-vous dans les mois qui viennent ?

52

RECOUVREMENT

Q 19 : Quels moyens utilisez-vous pour recouvrer vos créances

Interne63%

Assurance crédit20%

Cabinet de recouvrement

8%

Les 3 moyens4%

Autres5%

48

RECOUVREMENT

Q 15a : Réclamation des pénalités ou intérêts de retard

En cas de réclamation de pénalités ou d’intérêts de retard, seule une entreprise sur quatre enregistre un règlement (23 %).

Q 15b : Si oui, vous sont-ils payés ?

Réclamation17%

Sans réclamation

83%

Pénalités ou intérêts de retard

49

RECOUVREMENT

Q 16a : Réclamez-vous l’indemnité de frais de recouvrement de 40 € par facture ?

Réclamation15%

Sans réclamation

85%

Indemnité de frais de recouvrement de 40 €

Q 16b : Si oui, vous est-elle payée ?

payée15%

non payée85%

Indemnité de frais de recouvrement

50

RECOUVREMENT

Q 17 : Les raisons qui incitent les entreprises à ne pas appliquer les indemnités et pénalités de retard

La crainte de perdre le

client41%Autres

sanctions commerciales

19%

Autre40%

46

APPLICATION DE LA LEGISLATION

Q 14c : Principales causes de retard de paiement

59.7

44.2

40.3

0.0 10.0 20.0 30.0 40.0 50.0 60.0 70.0

Difficultés financières

Litiges

Motifs injustifiés

Réponses en %

45

APPLICATION DE LA LEGISLATION

Q 14a : Amélioration des délais de paiement depuis la mise en place de la LME

L’amélioration s’essouffle d’année en année et on constate une dégradation pour 80 % des réponses depuis plus d’un an.

Q 14b : Dégradation constatée

47

Q 7 : Utilisez-vous la facture électronique ?

Oui, régulièrement

21%

Oui, occasionnelle

ent35%

Non43%

Simple facture PDF

77%

Facturation sécurisée

23%

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Éditorial

J-71En tous les cas au mo-ment où j’écris cet édito,et beaucoup moins sans doute lorsque vous le lirez. En effet, le premier janvier2016, les syndicats pro-fessionnels ACSIEL, GFIE et SIMTEC dans leur ordre alphabétique ne feront plus qu’un : « ACSIEL Alliance Electro-nique », toujours sous labannière de notre Fédéra-tion, la FIEEC, la deuxième en France après celle de la mécanique.Si le processus de regrou-pement se déroule comme prévu, les Assemblées Gé-nérales devant se tenir le 30 octobre prochain, ce nou-veau Syndicat représen-tera 160 adhérents, pour un Chiffre d’Affaires de 9 milliards d’euros et 120.000 emplois. Dans le domaine de l’électronique et du numérique, les acti-vités des adhérents cou-vriront la recherche, l’inno-vation, la conception, la

production, la commerciali-sation et les services pour : les composants actifs, les composants passifs, les composants d’inter-connexion (dont le circuit imprimé), les composants électromécaniques, les systèmes et modules élec-troniques, l’identité numé-rique (dont la carte à puce), les équipements de test et de mesures électriques, électroniques et numé-riques (Instrumentations, testeurs de cartes, analy-seurs, générateurs de si-gnaux, enregistreurs...), les équipements les outillages les matériaux et les pro-duits pour la fabrication des circuits imprimés et pour l’assemblage et le brasage des composants.J’aibienessayédesynthé-tiser, mais on aura com-pris que les activités des membres « d’ACSIEL 2.0 », grands groupes, ETI, PME et TPE, couvrent une très grande partie de notre « supply chain ».

Pourquoi ce regroupement ? Par pragmatisme et parce qu’il est logique. En fait il aurait pu avoir lieu plus tôt.Logique et pragmatique, car le mouvement général, depuis un bon moment, est aux regroupements, en tous les cas au niveau des entreprises. Cela n’a plus beaucoup de sens d’avoir une kyrielle de syn-dicats professionnels alors qu’ils travaillent tous sur les mêmessujetsd’unemême« supply chain ». Logique et pragmatique, car si on veut que nos mé-tiers de l’électronique et du numérique gagnent en visi-bilité, il est préférable que les structures qui les re-présentent aient du poids, soient représentatives et aussi peu dispersées que possible. Cela gagne aussi en crédibilité et en lisibilité vis-à-vis des entreprises et des interlocuteurs institu-tionnels et politiques. Logique et pragmatique car cela offre la possibilité

de mutualiser les actions et permettra certainement d’êtreplusefficace.

Une petite page de notre propre histoire industrielle se tourne, mais la nouvelle ne peut être qu’enthousias-mante pour contribuer à bâtir notre futur.Le monde est comme cela, il change et il faut s’adap-ter.

Pierre-JeanALBRIEUXPrésident du GFIE

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Les rendez-vous 2015 du GFIE • Le GFIE sera présent à : PRODUCTRONICA Munich du 10 au 13 novembre Hall A4 Stand 425/1

• Retrouvez également des adhérents du GFIE au : MIDEST Paris nord Villepinte du 17 au 20 novembre.

INDICE GFIEIndice GFIE juillet/aout 2015Indice GFIE (France uniquement) = 136,34Variation / juin = -23,82 %Indice total GFIE = 155,07 (-28,81 %)Indice de confiance (/10) = 5,31Book bill = 0,89 Commentaire : -23,82% pour l’indice France et – 28,81% pour l’indice global par rap-port au mois de juin, comme on dit « çà pique » et il faut remonter à 2011 pour observer un tassement de cette ampleur. C’est vrai qu’en période de vacances, il ne faut pas s’attendre à des indices flamboyants. Ceci dit,nous sommes quand même en deçà des indices de juillet/août de 2012,2013 et 2014 pour les plus récents. En fait, tous les indices de ce juillet/aout sont au plus bas par rapport au

3 dernières années. Même l’indice de confiance,bienqu’ilsoitencore«haut» à 5,31 est le plus faible de 2015.

Comité Directeur : ALBRIEUX Philippe (CIF) - ALBRIEUX Pierre-Jean (IFTEC) - BISMUTH Bernard (BdeB Consulting) - CHAPON Laëtitia (SDEP ACE) - CHARLOT Thierry (ASM Assembly Systems) - DUPOUX Stéphane (SEICA France) - FRAYSSE Jean-Louis (ELMITECH) - LAUGT Anne-Marie (INVENTEC) - LEPAGNOL Jean (CDS) - MADRANGE Alain (Weller) ; MILARD Alain (LASER TECHNOLOGIES).

Composition du Bureau :Président : Pierre-Jean ALBRIEUX Vice Présidents : Bernard BISMUTH ; Stéphane DUPOUX Trésorier : Alain MADRANGE Délégué Général : Jean-Pierre VELLY

Liste des adhérents : Membres actifs : ACCELONIX ; AIR LIQUIDE ; ANTELEC ; ASM Assembly Systems ; AVNET EMG France ; B de B CONSULTING ; CCI EUROLAM ; C.D.S ; C.I.F ; C.T.S ; DAVUM TMC ; ELMITECH ; EUROCIRCUITS ; F.T.M ; HUMISEAL EUROPE ; IFTEC ; INVENTEC ; LASER TECHNOLOGIES ; MBO/RADIEL/FONDAM ; MÉTRONÉLEC ; M.J.B. ; MYCRONIC ; PIE DIFFUSION ; S.D.E.P ACE ; SEICA France ; SJM EUROSTAT ; – STPElectronics ; WELLER ; W-TECH ; Membre associé : FRAMATECH

GFIE : [email protected] - www.gfie.fr - www.lignevirtuelle.comSiège Social : 13, rue Hamelin F - 75783 Paris cedex 16

Tél : (33) 6 07 46 54 19 (Jean-Pierre VELLY)


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En 2015 MIDEST développe ses animations

Alors que l’industrie en général , e t f rançaise en particulier, reprend quelques couleurs depuis le début d’année, MIDEST, le salon mondial de tous les savoir-faire en sous-traitance industrielle, tien-dra sa 45ème édition du 17 au 20 novembre au Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte. L’occasion unique pour les profes-sionnels d’éprouver, en sillonnant les allées du Salon, la réalité de cette reprise et de préparer des lendemains que chacun espère plus apaisés.

Cet événement demeure en effet plus que jamais perçu par les profession-nels comme un outil d’aide efficace pour piloter leur activité, la développer au contact de visiteurs offrant des débouchés concrets, mais aussi trouver un sou-tien dans les changements et les ruptures majeurs que connaît actuellement l’industrie.C’est dans cette dernière optique que le salon a for-tement développé cette année son programme de conférences et anima-tions. Sans oublier les temps forts habituels : les Trophées de la sous-trai-tance industrielle, seule récompense au monde exclusivement dédiée aux entreprises, aux acteurs et aux savoir-faire du sec-teur, les rendez-vous d’af-faires, le plateau télé…

Des animations ancrées dans le présent… et en route vers le futur MIDEST a fortement déve-loppé cette année ses conférences et animations autour des grands thèmes du marché : industrie du futur, emploi / formation,économie de l’entreprise, tendances/innovation.

1-Les conférencesL’investissement, l ’évo-lution des relations entre sous-traitants et donneurs d’ordres, les regroupements d’entreprises, la reprise économique, l’emploi et la formation, la robotisation, la fabrication additive ou encore l’efficacité énergé-tique seront quelques-uns des thèmes qui seront ainsi traités.

Le plateau télé, regroupé cette année avec l’espace conférences, accueillera les grands acteurs de l’industrie présents dans les allées : autant de moments forts consultables sur le site www.midest.com et sur la chaîne YouTube MIDEST TV. Parmi ces moments forts, la conférence présentée par le SNESE sur le thème OBJETSCOMMUNICANTS,A U T O M A T I S M E S , SYSTEMESEMBARQUES,LIGHTING, FAISCEAUXINTELLIGENTS : CREEZ ! NOUSFABRIQUONS.L’èredu tout connecté ne fait que commencer. La proximité entre le créateur et l’indus-triel est un gage sérieux de réussite. La France compte plus de 500 entreprises de fabrication électronique.

Comment choisir son futur partenaire ? Le SNESE vous donnera les clés le vendredi 20 novembre de 9 heures à 10 heures.

Le Cetim, Centre tech-nique des industries méca-niques, organisera égale-ment ses très attendues conférences flash sur la Place de la Mécanique qu’il anime avec la Fédération des Industries Mécaniques.

2-Les animationsun logiciel de maîtrise des coûts élaboré par des sous-traitants Lamaîtrisedescoûts,etdonc des prix de revient, est unepréoccupationmajeuredes dirigeants. Diverses méthodes de réduction de coûtsfondées,soitsur la

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réduction comptable des coûts,soitsuruneréductionplus ou moins équitable des budgets de différents sec-teurs de l’entreprise, se sont développées. Ces approches ont connu des succès probants à court terme, compte tenu de marges de progrès importantes. Néanmoins, elles se sont parfois révé-lées décevantes en matière d’amélioration de la perfor-mance économique à plus long terme, tant en termes de création de valeur, que de pérennisation des gains. Sur la base de retours d’ex-périence, un groupe de tra-vail composé d’adhérents du SNESE a développé et mis en œuvre avec succès une approche originale de maîtrise stratégique des coûtsdans la fabricationélectronique. Pour en faci-liter l’accès aux entreprises – principalement aux PME - un logiciel baptisé EFFICIO a été mis au point. C’est un outil d’aide à la décision qui permet aux sous-traitants de définir avec précision le périmètre d’une négociation équilibrée avec leurs clients. Il sera présenté au MIDEST sur le Village Electronique - stand EFFICIO L172 et remis aux premiers utilisateurs.

EFFICIO est adaptable aux autres domaines de la sous-traitance industrielle (plasturgie, mécanique, forge-fonderie, etc…).

ROBOTIQUE COLLABORATIVE : le snese donne la parole aux sous traitants de l’in-dustrie electronique. C’est inéluctable, la robo-tique collaborative pour-rait traiter 25% des tâches automatisables d’içi 2025.

Comme l’écrivait Michel de Nonancourt, le Président du SNESE dans l’édito du der-nier numéro des Cahiers, le cordonnier ne doit pas être le plus mal chaussé ! Car si certains peuvent pen-ser que les usines de fabri-cation électronique sont suffisamment robotisées avec les machines de pose de composant et de test, il ne faut pas oublier que la manipulation des compo-sants, l’insertion manuelle et l’intégration des cartes et systèmes électroniques dans les produits finis repré-sententencoreaujourd’huiunepartimportanteducoûtde main d’œuvre. « il nous faut donc imagi-ner des solutions de stoc-kage, de sorties de stocks, de préparation des com-posants intelligentes, des postes de travail pour nos usines » poursuit Michel de Nonancourt. En effet, les sous-traitants en conception et fabrication électronique sont en pointe pour développer pour le compte de leurs clients des solutions de robotisation sous de multiples formes, la profession semble être restée en arrière pour ses propres productions. A l’occasion du MIDEST, le SNESE lance donc une opération de sensibilisation de ses adhérents à la robo-tique collaborative. Tout d’abord en présentant de façon ludique ARIA le robot humanoïde conçu par CYBEDROID.Etensuiteenlançantunappelàprojetspour identifier des besoins

réelsquiferontl’objetd’unprogramme de conception et fabrication de robots réel-lement adaptés à la fabrica-tion électronique.

Unejournéespécialeseraconsacrée le mercredi, en association avec la Fabrique de l’Industrie et avec la par-ticipation de nombreux par-tenaires,à l’enjeumajeurde l’emploi et de la forma-tion, permettant de mettre en contact des industriels avecdesjeunesdel’ensei-gnement professionnel. Pour la première fo is , MIDEST met également en place quatre points infos consacrés respectivement à l’industrie du futur, la fabri-cationadditive,l’emploi/for-mation et les Trophées de la sous-traitance industrielle.

Parmi les autres animations proposées aux visiteurs comme aux exposants, les Trophées de la sous-traitance industrielle valori-seront les réalisations d’ex-cellence.

Les rendez-vous d’affaires b2fair–BusinesstoFairs®permettront de mettre en relationsous-traitantsou/et donneurs d’ordres qui souhaitent nouer des par-tenariats concrets dans un secteur, un marché ou sur une zone géo-graphique spécif iques. MIDEST 2015 L’INDUSTRIE DU FUTUR A L’HONNEURMIDEST 2015 a souhaité mettre en lumière l’Industrie du Futur, cette révolution majeurequeconnaîtencemoment le secteur, tant les enjeuxsonténormes,àlafois pour les sous-traitants et les donneurs d’ordres. Elle sera ainsi omniprésente sur le salon, tant dans les allées à travers l’offre des exposants, qu’à travers tout un cycle de conférences et d’animations.Parallèlement, les organi-sateurs ont souhaité, cette année, faire un focus sur des problématiques qui affectent au quotidien les industriels.

MIDEST 2015 : quand l’industried’aujourd’huiren-contre celle de demain…Afin d’aborder ce thème générique aux ramifications tentaculaires, les organisa-teurs se sont appuyés sur la définition suivante de ce que sera l’industrie du futur :

1-Une industrie proche de ses clients et qui a intégré ses sous-traitants dans sa démarche globale : table ronde sur le déploiement de l’industrie du futur en France Jeudi19de14hà14h45 2-Une industrie bien inté-grée dans son environne-ment urbain et industriel : la robotisation - Mercredi 18 de 16h à 16h45 3-Une industrie capable de s’adapter en permanence : la fabrication additive -

CYBEDROÏDestunestart-up, créée en 2011 par trois passionnés, à l’origine de l’associationCALIBANquiregroupe des passionnés de robotique au travers de rencontres mensuelles, les «APEROBOT». Sur le stand du SNESE, CYBEDROÏD p résen teARIA, le seul robot huma-noïde 100% français conçu autour d’un concept unique d ’endosque le t te au to -nome. Initialement dédié à la recherche, ARIA sort du laboratoire pour aller à la rencontre du public.

Siaujourd’huiARIAanimedes événements technolo-giques et prestigieux, ses successeurs se destineront à être intégrés dans les milieux familiaux pour l’aide à la per-sonne.


DOSSIER > SALON

Mardi 17 de 15h à 15h45 et jeudi19de10h45à11h304-Une industrie propre et qui recycle : l’efficacité énergétique - Mardi 17 de 10h à 10h455-Une industrie centrée sur l’humain : l’emploietlaformation–Journéespéciale le mercredi 18

MIDEST 2015 : l’economie de l’entreprise a l’honneurAu fil de leurs discussions avec les visiteurs et les exposants, les organisateurs du MIDEST ont identifié cinq grandesquestionsousujetsqui affectent leur quotidien :

1-2015 est-elle enfin l’an-née de la reprise pour l’in-dustrie ? - Mardi 17 de 14h à 14h45 2-Les fonds et aides aux industriels trop souvent ignorés - Jeudi19de15hà16h15 3-Le partenariat donneurs d’ordres – sous-traitants - Mercredi 18 de 11h à 11h45 4-La « chasse en meute » ou quand l’union indus-trielle fait la force - Mercredi 18 de 14h à 14h45 5-L’automobile ou quand la crise rebat les cartes - Jeudi19de10hà10h30

MIDEST 2015 - l’emploi et la formation au cœur de cette edition En partenar iat avec la Fabrique de l’Industrie et avec la collaboration de grands acteurs de ce sec-teur, le salon met en place cette année une grande opé-ration destinée aux indus-triels, visiteurs ou exposants, aux étudiants engagés dans la filière professionnelle, aux apprentisetauxjeunesenrecherche d’emploi. Une journée spéciale Lajournéedumercredi18novembre sera ainsi dédiée

plus spécifiquement à la thé-matique de l’emploi et de la formation.

MIDEST 2015 : du nouveau du côte des tropheesCette année, les Trophées se démultiplient à travers deux grandes familles, les Trophées de la sous-trai-tance et les Mentions spé-ciales MIDEST, qui seront tous deux remis à l’issue de l’inauguration du salon. Les Trophées de la sous-trai-tance industrielle désignent les traditionnels Trophées qui permettent, depuis main-tenant dix ans, de mettre en avant les qualités trop souvent méconnues des sous-traitants, quel que soit le secteur pour lequel ils tra-vaillent. Seules récompenses exclusivement dédiées aux entreprises, aux acteurs et aux savoir-faire de la sous-traitance industrielle, leur succès ne cesse de croître d’année en année. En 2014, ce sont ainsi 80 candida-tures internationales qui ont été reçues et ont généré près de 200 retombées dans la presse française et étran-gère. Les nominés et lauréats ont unanimement salué le bénéfice d’image que cette manifestation leur procure. Destinés à valoriser la sous-traitance industrielle et à permettre aux visiteurs de découvrir des exposants aux performances et aux atouts remarqués, ils reflètent l’évo-lution de la sous-traitance à travers six grandes caté-gories :Bureaud’études,Innovation, International, Organisation, Partenariat /AllianceetRéalisationsExemplaires. Une large variété qui offre à chaque exposant la possibilité de participer gratuitement pour mettre en valeur ses poten-tialités et ses particularités. Les Mentions spéciales

MIDEST permettront, pour leur part, de distinguer des exposants et partenaires du salon, tout aussi méri-tants mais ne s’inscrivant pas stricto sensu dans le cadre des Trophées de la sous-traitance industrielle. Ils permettront notamment de mettre un coup de pro-jecteursurunpartenariatconçu à l’occasion de l’un des rendez-vous d’affaires organisé lors d’une édition précédente (voir encadré ci-dessous).

De même, fort du partenariat qui lie depuis de nombreuses années les deux salons, un Trophée Tolexpo, seul Trophée en France réservé exclusivement aux fabricants d’équipements de produc-tion pour le travail de la tôle, des tubes et des profilés, sera lancé. Exclusivement réservé aux exposants par-ticipant à l’opération nou-veaux produits de Tolexpo qui, depuis 2009, a pour but de mettre en valeur les princi-pales nouveautés du secteur Tôlerie, il sera désigné par lejurydesTrophéesdelasous-traitance et remis pour la première fois lors de cette édition. En 2013, lors de la dernière édition de Tolexpo, 64 lancements de nouveaux produits, solutions ou techno-logies avaient été présentés.

Autre nouveauté, un Point Info « Trophées », repre-nant les réalisations des nominés et exposant cer-taines d’entre elles, sera à découvrir dans les allées du salon. Les visiteurs pourront également y voter pour dési-gner leurs candidats et pro-jetspréférés.Achaquejoursa catégorie : Organisation le mardi, Innovation le mer-credi, Réalisations exem-plaireslejeudietPartenariat/Alliancelevendredi.

MIDEST 2015les rendez-vous d’affairesLe succès d’un salon pro-fessionnel dépend prin-cipalement du nombre et de la qualité des contacts établis. Un tel événement constitue en effet une pla-teforme idéale pour les petites et moyennes entre-prises qui désirent élaborer des accords de partenariat techniqueet/oucommercial.

P o u r c o m p l é t e r l e s échanges spon tanés , MIDEST accueille pour la cinquième fois en 2015 un programme de rencontres d’affaires mises en place par b2fair–BusinesstoFairs®.Ce programme international d’échanges professionnels propose une approche mul-tisectorielle adaptée aux besoins et aux exigences spécifiques des petites et moyennes entreprises. Celui-ci s’opère via l’organi-sation et la coordination de rendez-vous d’affaires qua-lifiés avec les partenaires potentiels souhaités dans un secteur spécifique pour constituer des partenariats internationaux concrets entre sous-traitants et avec des donneurs d’ordres. Les rencont res b2 fa i r constituent un espace de rencontres privilégié pour soutenir les entreprises dans l’acquisition de nou-veaux contacts profession-nels et qualifiés. Plateforme d’échange d’expériences et de savoir-faire sur des mar-chés ou des produits bien ciblés, elles permettront de faire naître de nouvelles technologies et de nouveaux produits… qui auront ainsi été conçus sur MIDEST !Contact : Amrita Singh Tél:+352423939370/377/334 Mail : [email protected]


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LES ADHÉRENTS DU SNESE AU VILLAGE ÉLECTRONIQUE DU MIDEST 2015

Stand N171 Léonie GAUL +33(0)3 67 10 12 08 [email protected]

Stand N163 Jean-Luc PAUMIER +33(0)6 24 43 92 32 [email protected]

Stand N163 Frédéric BRIAND +33(0)2 31 34 14 07 [email protected]

Stand L172 La solution SNESE de maîtrise des coûts +33(0)2 98 54 05 56

Stand L164 Thomas LOOS +33(0)4 27 86 10 00 [email protected]

Stand N161 Joel GASNIER +33(0)5 49 70 87 98 [email protected]

Stand M162 Thierry BASSE +33(0)2 35 50 41 41 [email protected]

Stand N157

Samuel ALTOUNIAN +33(0)4 74 99 94 23 [email protected]

Stand M158 Pierre BARNAUD +33(0)4 75 83 57 00 [email protected]

Stand N153 Thierry MORENO +33(0)4 77 59 32 59 [email protected]

Stand M154

Michel HOUDOU +33(0)2 41 73 18 18 [email protected]

Stand M164 François KUREK +33(0)1 30 79 17 61 [email protected]

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Distribution • Design • Production servicesMembre du SPDEI

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DEL - La distribution électronique

Tél. : +33 (0)1 30 79 17 50Fax : +33 (0)1 34 81 20 [email protected] - www.del.fr

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Stand N172 Hervé DUFRESNE +33(0)5 62 74 34 98 [email protected]

Stand P171 Eric Lamboley +33(0)2 40 57 51 70 [email protected]

Stand N168 Fabrice LETESSE +33(0)1 43 09 93 13 [email protected]

Stand N164 Pierre-Jean ALBRIEUX +33(0)1 45 47 02 00 [email protected]

Stand P163 Gilles FLAUX +33(0)2 23 25 53 04 [email protected]

Stand N162 Jérôme BOOTZ +33(0)2 37 31 40 00 [email protected]

Stand N161

Jean-Marc GRESSIER +33(0)3 84 58 55 10 [email protected]

Stand N154 Richard CRETIER +33(0)2 54 05 56 [email protected]

Stand N154 Franck RANNOU +33(0)2 98 50 12 91 [email protected]

Stand N153 Patrick GUERINEL +33(0)6 52 69 32 35 [email protected]

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LES ADHÉRENTS DU SNESE HORS VILLAGE ÉLECTRONIQUE DU MIDEST

ICAPE Stand P173 1 LIFE stand M42 CSI Sud Ouest - Groupe Cimulec stand L186 MELISEY Electronic stand F194 ALTRICS stand N128 ACEA - EMS stand T49 ESTELEC Industrie stand S50


L’ERP un outil de performance pour l’électroniqueLe système d’information est au centre du pilotage de l’entreprise industrielle : production, achats, CRM, stocks…les sous-traitants de l’électronique (EMS) n’échappent pas à la règle.

Les achats de composants électroniques représentent près de 75% du chiffre d’affaires d’un sous-traitant électronique. Depuis une dizaine d’années, les EMS ontdoncdûacquérir denouvelles compétences afin de maîtriser la gestion des achats et des approvision-nements.

Comment acheter au bon prix et au bon moment ?Pour cela il faut pouvoir s’appuyer sur une informa-tion fiable et en temps réel. Les ERP sont capables de répondre à ce besoin en se basant sur une approche mathématique. La gestion des approvisionnements par l’ERP s’appuie notam-ment sur des calculs de besoins et sur la rotation des stocks, afin de détermi-

ner de manière précise les besoins.

L ’ E R P Y o u r c e g i d Manufacturing PMI, uti-lisé par plus de 2 300 PME industrielles, permet une gestion fine des compo-

sants. Outre le suivi des approvisionnements et la gestion de production, l’ERP industriel de Cegid gère la relation fournisseur, les offres et demandes de prix, le contrôle qualité et la traça-bilité, les inventaires.I n t e r f a c é n a t i v e m e n t avec le logiciel d’achat B u y M a n a g e r , l ’ E R PYourcegid Manufacturing PMI enrichit sa gestion des achats afin de faciliter la relation fournisseur, le chif-frage et l’intégration des BOM.

1LIFE ET L’ÉLECTRONIQUE L’accompagnement d’un prestataire expert lors de la mise en place d’un ERP est un prérequis de succès.

Fort d’une expérience de

plus de 15 ans dans le sec-teur industriel, 1Life a acquis les connaissances néces-saires de la filière électro-nique.

1Life propose des modules complémentaires spécia-lement développés afin d’améliorer votre processus achats.

Avec son interface native ent re l ’ERP Yourcegid Manufacturing PMI et les portails e-commerce des fournisseurs de l’électro-nique (RS, Farnell…) per-mise par des EDI (Echange de Données Informatisées) via la passerelle TICIO, 1Life affirme sa volonté de faciliter la gestion des approvision-nements aux acheteurs des sous-traitants de l’électro-nique. Accès à des milliers de références en un clic, intégration automatique des articles dans l’ERP, mise à jourinstantanéedeladis-ponibilité et des tarifs, sont les avantages apportés par la solution 1Life Sourcing de 1Life.

L’entreprise compte égale-ment parmi ses clients de belles entreprises dans le secteur de l’électronique.

DOSSIER > ERP

L’accompagne-ment d’un presta-taire expert lors de la mise en place d’un erp est un prérequis de succès...


D’AUTRES CLIENTS EN PARLENT

SEICO Concepteur de solutions électroniques

« Nous avions besoin d’un logiciel complet et pérenne, pouvant s’adapter parfaite-

ment à nos problématiques métiers. L’ERP Yourcegid Manu fac tu r i ng PMI a répondu à nos attentes, particulièrement dans la gestion de nos approvi-sionnements et le pilotage de nos tableaux de bords.» témoigneEricLAMBOLEY,Directeur Général de SEICO

MIDEST : Stand P171

MELISEY ELECTRONICSous-traitant filerie, élec-tronique et électrotech-nique

«L’enjeuprincipaldeceprojetétaitd’améliorernotreperformance globale et le pilotage de nos processus .

Avec l ’ERP Yourcegid Manufacturing PMI récem-ment intégré chez Melisey, nous espérons optimiser notre productivité aussi bien au niveau de la production qu’au niveau de nos appro-visionnements. » témoigne Laurent GRILLET, Président de Melisey Electronic

Contact :1LIFE Denis AFFRE +33(0) 4 81 09 07 00 [email protected] www.1life.fr

SYSTECH SOUTIENT SA CROISSANCE AVEC UNE SOLUTION DEDIÉE À L’ÉLECTRONIQUE

Créée depuis plus de 20 ans, SYSTECH étudie et réa-lise des prototypes de cartes électroniques, des sous-ensembles et ensembles complets de pet i tes et moyennes séries.

La problématique de l’ap-provisionnement est belle est bien présente parmi les

enjeuxdel’entreprisequiachète plus de 25 millions de composants par an.

La société SYSTECH a choisi l ’ERP Yourcegid Manufacturing PMI pour gérer les spécificités de son métier. Déployé par 1Life, l’ERP Yourcegid a séduit SYSTECH par sa large couverture fonctionnelle et les Add-on 1Life dédiés au monde de l’électronique. « L’expertise 1Life dans le domaine de l’électronique est un atout dans la compré-hension de nos probléma-

tiques. L’interface de l’ERP Yourcegid Manufacturing PMI avec le logiciel d’Achats BuyManager a facilité la ges-tion de notre service Achats, réduisant de 50% notre temps de traitement notam-ment grâce à l’intégration en automatique de nos BOM clients. » affirme Vincent Fanon, Directeur Général de Systech. « Notre activité est en pleine croissance depuis quelques années, l’ERP Yourcegid était pour nous l’assurance d’utiliser une solution éprou-vée et pérenne. Depuis la

mise en place de l’ERP, nous maîtrisons mieux notre volume d’activité et avons optimisé notre réactivité. Notre délai de réponse aux demandes clients s’est amé-lioré et nous avons réduit le montant de nos achats de 10%. » confie Vincent Fanon.

MIDEST : Systech sera pré-sent sur le stand N162 sur le village électronique du SNESE pendant toute la durée du salon.

1LIFE EN BREFSpécialiste du système d’information pour les entre-prises industrielles, 1Life propose des solut ions simples et innovantes pour comprendrelesenjeuxetactiver les leviers essentiels à la performance industrielle des entreprises : ERP, GPAO, F inance , GED, Décisionnel, CRM, Collaboratif, Planification.

Basée à Lyon, Paris etMontpellier, l ’entreprise compte une quinzaine de collaborateurs et prévoit l’ouverture de nouvelles agences en 2016. Forte d’une croissance fondée sur l’expertise et l’innova-

tion constante, 1Life place la proximité et la réactivité au centre de la relation client.

Retrouvez-nous sur le stand M42 du Midest 2015 –


Robotiser c’est d’abord garder son esprit d’entrepreneur

La nouvelle offre de ser-vices que propose la robo-tique collaborative est un relai de croissance pour la filière de la sous-trai-tance électronique (voir mes articles précédents et l’édito de M. Michel de Nonancourt dans le pré-cédent numéro). Ne pas chercher à bénéficier de ce nouveau moteur serait faire reculer les efforts déjà effectués par la pro-fession.C’est dans ce sens que le comité directeur du SNESE a créé un groupe de travail robotique qui s’est attaché, après avoir pris connais-sance de l’état de l’art, a procéder à une première identification des activités qui seraient susceptibles d’en bénéficier.

La vision est claire, le robot collaboratif doit s’insérer, en

premier lieu, dans un ilot de production pour y effectuer des missions de préparation et de post pose de compo-sants. Il doit aussi pouvoir facilement passer d’un lot à un autre, qui est le quoti-dien de notre activité. Tout cela passe par une bonne répartition des tâches entre l’opérateur et son robot : c’est cette complémentarité qui doit être génératrice de valeur dont la profession a besoin.Cette vision a été périodi-quement communiquée et partagée avec quelques acteurs et doit se poursuivre parlacréationd’unprojetcommun à la profession. Une offre naissante Chaque société de robotique complète son catalogue par un robot collaboratif avec des promesses d’applica-tionsfutures.Maisàcejour

quid des solutions sur éta-gère ? Pour cause de tech-nologie récente et peut-être au regard des problèmes particuliers que posent la fonction d’assemblage, nous n’avons accès qu’à des démonstrations qui couvrent une partie seulement de ce que l’on attend.

Des plans pour favoriser l’im-plantation d’un robot dans les PME ont été créés mais ils visent le développement d’un robot mono mission. Le but est de faire prendre conscience de l’intérêt d’un robot dans l’entreprise mais

ne répond pas à la problé-matique d’une filière.Devons-nous attendre ou nous emparer du sujetsachant que l ’ introduc-tion de cette technologie peut potentiellement ren-forcer notre positionne-ment concurrentiel et les précurseurs en auront les premiers bénéfices ? Aussi pourquoi ne pas s’engager dèsaujourd’hui versdestests autour de la robotique collaborative et les réali-seràmoindrecoûtautra-versd’unprojetmutualisé? S’engager à moindre risque dans la technique Le premier des risques est d’orienterleprojetrobotiquevers une solution technolo-gique relative à un fournis-seur, un intégrateur ou une opportunité. De même il convient de ne pas rester braqué sur une probléma-tique à traiter alors que la fourchette des missions à confier potentiellement à des robots collaboratifs est large. L’orientation straté-gique définitive doit être fixée le plus tard possible après de nombreux allers-retours entre les sites de production et le centre de développement pour passer l’ensemble des solutions et besoins au tamis et à la fin «viserjuste»Une fois cette étape franchie, le risque opérationnel doit être traité en choisissant le meilleur chemin à parcourir. Il sera d’autant plus facile à

La vision est claire, le robot collabora-tif doit s’insérer, en premier lieu, dans un ilot de produc-tion pour y effec-tuer des missions de préparation et de post pose de composants. Il doit aussi pour pouvoir facilement passer d’un lot à un autre, qui est le quotidien de notre activité...

Par Eric BOURRELI, REFACTEO. (manager du groupe de travail Robotique du SNESE)

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tracer que les incertitudes auront été levées.Dans le cas de la robotique pour la filière électronique il s’agira de l’efficacité des briques suivantes :

• des systèmes de vision appliqués à l’identification des composants dans plu-sieurs contextes de stoc-kage

• de la manipulation des composants et surtout de sa précision• de la faculté d’effectuer plusieurs missions au travers de préhenseurs différents• de la réa l isat ion de gammes d’opérations variée• de l ’ interaction entre l’homme et le robot et de son positionnement respec-tifjudicieux

L’ensemble des expériences devront être priorisées et effectuées dans le bon ordre car les risques ne sont pas égaux.

Cependant, dès les pre-miers résultats atteints, il s’agira de les confirmer et d’aller plus loin dans le déploiement. Les premiers retours d’expérience enchaî-neront de nouveaux résul-tats ainsi les parties pre-nantesauprojetverrontlespremiers résultats tangibles. Soulager les sous-traitants du risque lié à l’introduc-tion d’une nouvelle tech-nologie Le développement d’une nouvelle solution qui va faire un « meilleur travail » n’est qu’une première étape. La deuxième est l’adoption de cette solution par l’utilisateur final : c’est le travers de l’in-novation de rupture de res-ter concentré sur l’offre et de croire qu’une proposition de valeur supérieure suffit.La promesse d’un grand retour sur investissement ne

suffit pas à bouleverser des procédures bien établies qui fonctionnent, des équipes bien organisées qui savent travailler ensemble et une qualité de production par-faitement maitrisée et recon-nue par les clients.

Il faut aussi garantir l’ab-sence des dépassements de coûts et des frais demodification. C’est-à-dire proposer une solution clé en main en étudiant tous les aspects de la solution.

De même il convient de sortir des spécifications machines mais de raisonner en valeurs d’usage (ou bénéfices utili-sateurs) en énonçant des missions réalisables, les temps de paramétrage et le nombre de lots traités.

Développer une solution d’automat isat ion, c ’est devoir sélectionner les fabri-cants de convoyeurs, de robots, de préhenseurs et de capteurs, les intégrateurs et spécialistes pour la mise en œuvre de l’ensemble et le soft. En réalité peu d’en-treprises ont l’ingénierie du matériel, développement de logiciels, et de l’exper-tise d’intégration en interne pour fournir des solutions complètes.Il en résulte que l’industrie de la robotique n’est pas habituéeàvoirdesprojetsd’automatisation complexes prendre vie facilement et qui fonctionnent correctement la première fois. C’est pour-quoiunprojetrobotiquedoitlivrer la solution développée de manière à ce qu’elle s’in-tègre rapidement dans l’uni-vers du site de production et cela passe par un point de responsabilité unique. Le succès dépend de la contri-bution interdépendante de plusieurs parties et par un accompagnementjusqu’àl’installation.

Pour faciliter le choix d’in-vestissement dans la robo-tique collaborative.Enfin une fois, l’ensemble des points ci-dessus traités, l’adoption d’une solution robotique sera moins ris-quée que maintenir le statu quo. Les travaux porteront alors sur l’évaluation du retour sur investissement.

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DOSSIER > CMS MOYENNE CADENCE

MJB devient distributeur exclusif de la machine de placement CMS de moyenne cadence E-by-SiplaceASM Assembly Systems diversifie son offre avec un équipement de placement CMS de moyenne cadence E-by-Siplace. Jusque là, seuls des systèmes haut de gamme constituaient l’offre d’ASM, et la vente en France de ces équi-pements étant jusqu’à présent l’apanage de la filiale française dirigée par Thierry Charlot. La distribution de la nouvelle machine a été confiée à MJB. Pour Th ier ry Blanche, son directeur général, «ce choix est d’autant plus cohérent qu’il intègre une logique liée au rachat l’an dernier de DEK par ASM». En effet, le distributeur de Marne-la-Vallée qui commercialisait déjà les machines de séri-graphie automatique DEK voit son offre globale de placement de composants étendue à une machine Siplace originale.

Avec cette plate forme et cet accord de distribution, ASM vise à développer sa présence sur le créneau des fabricants en petits et moyens volumes. En outre, souligne René Gouhier, responsable commercial EquipementsdeMJB,«Du fait de son activité mixte, tant en consommables qu’en petits et gros équipements de production, MJB a l’avan-tage d’une connaissance approfondie du tissu indus-triel de la sphère de la sous-traitance électronique et des bureaux d’étude.»

Intérêt technique et posi-tionnement de la machnine E by Siplace Cette machine de placement polyvalente (« All-rounder ») se distingue par sa flexibilité, elle est dédiée aux produc-tions de moyenne cadence, petites et moyennes séries. Mais pas uniquement, pré-ciseThierryBlanche:« La E-by-Siplace trouve aussi sa place dans des centres de recherche ou des bureaux d’études de type CNRS ou CEA, qui préfèrent garder en interne un minimum de production de prototypes ou de petites séries, ou encore dans les grandes entreprises où la production de grandes séries rend problématique la mise à disposition de machines pour des petites séries qui demandent plus de flexibilité». La E-by-Siplace peut être une machine d’ap-point appréciable pour la réactivité d’une entreprise.

Caractéristiques Dans sa version standard, la E-by-Siplace bénéficie des caractéristiques haut de gamme de Siplace : • tête de placement combi Siplace CP12PP • moteurs linéaires ASM haute résolution, contrô-lés en boucle fermée, sans maintenance • caméras haute précision pour un contrôle permanent descomposants(jusqu’à6contrôles pour une pose de composants) • feeders précis, simples et sans maintenance • capteurs de placement permettant une manipulation

rapide et précise des nou-velles générations de com-posants ultra fins (01005) jusqu’aux composants200X110 • un seul portique supportant un choix de têtes telle que : - CP14 ou CP12 (chips à forte vitesse)

-CP12/PPouCP6/PP:mix entre cadence et poly-valence - Twinheads : pour les composants les plus exo-tiques

• programmation simple, pouvant être effectuée direc-tement sur l’équipement (ou sur poste déporté) • nombre élevé d’emplace-ments composants : (8 mm, sticks, plateaux) • chargement fixe ou par trolleys.

Une offre complète chez MJB La solution Siplace permet à MJBdecomplétersonoffreen proposant des équipe-ments pour des lignes com-plètes d’assemblage : la sérigraphie, le placement, la refusion, le convoyage et les inspections. La E-by-Siplace est annoncée entre 140 000 et 200 000 e (si toute équi-pée).

Du fait de son activité mixte, tant en consommables qu’en petits et gros équipements de production, MJBal’avantaged’une connais-sance approfondie du tissu industriel de la sphère de la sous-traitance électronique et des bureaux d’étude....

Par Dominique LEMIERE, reporter

Contact :MJB René GOUHIER

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CRÉEZ ! nous fabriquons Par Dominique LEMIERE, reporter

Les objets connectés annoncent un renouveau pour le monde indus-triel. Un des 34 plans de reconquête industrielle du ministère du redressement productif leur a d’ailleurs été consacré, et les cabi-nets d’études multiplient les prévisions astrono-miques de chiffre d’affaires potentiel à l’horizon d’une unique décennie. Même si la longue histoire des pré-visions mirobolantes nous invitent à la prudence, il n’en reste pas moins vrai que les objets connectés sont une source d’innova-tion potentielle et consti-tuent une réserve de crois-sance pour l’industrie de la fabrication électronique. Car de vrais défis d’indus-trialisation sont à relever. Ainsi le sous-traitant Lacroix Electronics fabrique les gé lu les é lec t ron iques miniatures de la start-up BodyCap,destinéesàmesu-rer la température de l’ani-mal (Anipill) ou d’un humain avec e-Celsius. Lacroix Electronics a mis au point des procédés particuliers de dépose de composants sur le circuit imprimé miniature, et un vernis biocompatible pour enrober l’ensemble et éliminer toute interférence avec les tissus biologiques. En outre, Lacroix Electronics prend également en charge le test du produit.Chez Seico, c’est une balise de géolocalisation conçue par Aguila Technologie qui a été conduite au stade de l’industrialisation.

Pour les deux sous-traitants, la collaboration avec les concepteurs a été un suc-cès. Mais chacun tient pour

acquis l’importance d’une distribution des rôles bien comprise, et le rôle de la définition la plus aboutie des attentes des concepteurs.

Fabrice Verjus (BodyCap) : «Travailler en confiance avec une société française»

«Nous avons créé notre société en 2011 et nous sommes par t i s su r l e concept de la gélule que nous avons entièrement développé. A ce stade, à fin 2012, nous avons cher-ché des fonds d’investisse-ments, et un industriel pour la fabrication en volume. Pourquoi avoir choisi Lacroix Electronics ? En fait, nous avions audité plusieurs industriels, trois ou quatre, en France, parce que nous voulions prêcher pour notre paroisse et travailler avec une société française. Avec Lacroix Electronics, nous avons eu un bon feeling. Nous avons visité les unités de production, nous avons sentidespersonnesdéjàintéressées par le chal-lenge qui s’offrait à eux. Et qui, de plus, possédaient les moyens industriels adaptés pour nous aider dans notre fin de développement avant de passer à l’industrialisa-

tion proprement dite. Nos cr i tères fondamentaux étaient le pré-requis métho-dologique, la norme ISO 1385, mais aussi le contact humain, l’envie «d’y aller», de prendre le risque, et bien sûr les développementsque Lacroix Electronics avaitdéjàréalisésdansledomaine de l’électronique médicale.S t é p h a n e G e n d r o t , directeur du Business Development chez Lacroix Electronics : «Des rôles clairement identifiés de part et d’autre»

«Chez Lacroix Electronics, on retrouve des critères iden t iques à ceux de FabriceVerjus.Desstartup,ilyenaujourd’huibeau-coup sur le marché, et chez Lacroix Electronics on prend le temps d’écouter le besoin du client, on souhaite procé-der ainsi et cela a été aussi apprécié par BodyCap.FabriceVerjusnousaexpli-qué le road map de son businessjusqu’àsonplande financement, dans une grande transparence. Nous nous sommes retrouvés devantunvraiprojettechno-logique, un vrai challenge. Pouraborderlesujet,nousavons tenté d’être le plus factuel possible, tout en

restant humble, car si l’on couvreaujourd’huiunlargepérimètre de process et de technologieschaqueprojetembarque ses spécificités. AvecFabriceVerjus,nousavons mis le doigt sur les zones de risques identifiées. Dans les workpackages, les rôles ont été clairement défi-nis.»«Le produit était dans une phase très avancée au niveau de sa conception, il était quasi finalisé par BodyCap.Mais il restaità mettre au point le «fine tuning», et là-dessus nous avons un peu transpiré. Il fallait en effet l’amener à une taille et un volume plus réduit, faire des choix commeceluiduPCB,quin’était pas encore défini. Là où Lacroix Electronics a pu apporterdelavaleurajou-tée, c’est dans la mise en relation avec certains fabri-cants, notamment dans le cas présent avec les plas-turgistes. La gélule était d’un élément tout à fait particulier. A l’étape cruciale entre le design et la fabrication, il restait de la place pour faire lesajustementsnécessairespouratteindrelescoûtsetleniveau de qualité accep-table en intégrant la possibi-lité de fabriquer en volume.»Les écueils à éviter pour une collaboration réussie concepteur/industriel«S’entourer de compé-tences en électronique dès la conception»Si l ’expérience Lacroix ElectronicsBodyCapestune success story, l’indus-trialisation d’un produit, pour avoir toutes les chances d’être menée à la satis-

DOSSIER > LE MARCHÉ DES OBJETS COMMUNICANTS


faction mutuelle, nécessite de prendre en compte plu-sieurs aspects. Pour Fabrice Verjus,ilestfondamentaldesavoir s’entourer au niveau de la concept ion, d’au moins une personne qui ait des compétences en élec-tronique. Faute de quoi, l’in-dustriel sous-traitant n’aura pas d’interlocuteur digne de nom. Le deuxième point tient à la bonne connaissance du concepteur de la typolo-gie du marché qu’il compte adresser. Important aussi de ne pas faire d’erreur sur l’ensemble des éléments de la qualité. «C’est une faille que l’on constate souvent, des gens qui prévoient de mettre sur le marché des

objets connectés, mais qui vont zapper les tests CEM par exemple».

«Intervenir en amont»Du côté industriel, Stéphane Gendrot considère que plus tôt le concepteur entre en contact avec le sous-traitant, mieux c’est. Dans les premières réflexions de concept, alors que le concepteur n’a pas enté-riné tous ses choix, l’indus-triel peut s’orienter vers des composants dont il connait les fabricants, leur fiabilité, le coût et lapérennité.« Sur tous les projets qu’on a pu conduire, cela facilite les choses. Quand vous êtes sur un mode de sous-traitance,

l’élément clé est la spécifi-cation du besoin. Bien sûr, nous avons certains clients qui sont moins pointus, voire même incompétents en élec-tronique. Mais nous sommes en mesure de les accompa-gner dans la rédaction des spécifications. Il y a aussi des organismes comme Cap’Tronic qui peuvent accompagner des sociétés très en amont de leur pro-jet. Tout le monde se rejoint sur le fait que la qualité du résultat d’une sous-traitance efficace tient beaucoup à la capacité à bien exprimer son besoin.» «Il existe aussi des sociétés qui se lancent sans compé-tences. Souvent, ces per-

sonnes compensent par une très bonne connaissance du marketing, de l’aspect nor-matif, c’est important de bien se renseigner sur le marché qui doit être adressé». Mais il y a d’autres pièges. Pour attaquer un marché, et notamment dans des domaines comme le médi-cal, suivant les pays, ce ne sont pas du tout les mêmes normes qui sont en vigueur. Certains concepteurs ne sont pas avertis qu’il y aura des coûtsadditionnelsliésauxcertifications et aux normes mais au final ils n’auront pas le choix et devront apporter ces preuves pour mettre le produits sur le marché.

Lacroix ElectronicsAvec 5 bureaux d’études et une centaine d’ingénieurs en France et en Allemagne, LACROIX Electronics éla-bore des solutions person-nalisées et accompagne ses clients de la conception à l’industrialisation d’un pro-duit électronique complet. Spécialisés par secteur d’acti-vité, les sites industriels de France, d’Al lemagne, de Pologne et de Tunisie dis-

posent de lignes de production dédiées aux petites, moyennes ou grandes séries.

Chaque année, LACROIXElectronics réalise des investis-sements importants pour déve-lopper ses infrastructures, per-fectionner ses équipements et animer son centre de formation

BodyCapFabr ice Ver jus , 40 ans ,est depuis 2001 t i tu la i re du Doctorat en Physique-

Électronique de l’Institut d’Élec-tronique Fondamentale. Il a rejointPhilipsSemiconducteursen 2000 comme ingénieur de conception en vue du test de circuits numériques. Il a déve-loppé de nouvelles techniques de test et d’émulation de cir-cuits pour des applications telles que les enregistreurs de DVD et les décodeurs TV. En2004,ilarejointungroupenouvellement créé au sein de Philips Semiconducteurs (main-

tenantNXPSemiconducteurs),où il était responsable du déve-loppement de solutions d’inté-gration de nouveaux compo-sants pour les technologies SiP (System-in-Package), en parti-culier des capteurs MEMS des-tinés aux applications biomédi-cales. Il a développé un réseau en collaborant avec les univer-sités Françaises et participe à plusieursprojetsderecherched’envergure nationale (ANR) ou européennes.

Eric Lamboley, directeur général de SEICO : «Automat iser la pro-duction pour réduire les coûts» Localisée dans la région nantaise, SEICO est très concernée par le «bouillon-nementd’objetsconnec-tés», et souvent sollicitée pour réaliser l’industrialisa-tion. «Nous sommes en contact avec tous les types de clients possibles et imaginables, confirme Éric Lamboley, certains ont une culture en électronique, d’autres n’en ont quasiment pas». Ce n’est pas le cas d’Aguila et d’Hubert Forgeot. Aguila

est un bureau d’études, qui est arrivé chez SEICO avec un dossier bien avancé au niveau de son développe-ment. Celui dont nous par-lons est une balise de géo localisation, avec diverses applications, un petit boi-tier avec un détecteur GPS et une fonction de commu-nication, soit par GSM, soit par le réseau européen Sigfox. «C’est un produit assez générique, qui per-met d’aborder un mar-ché ouvert», estime Éric Lamboley.

«Nous avons abordé la réa-lisation du produit classi-quement, en évaluant dans quelle mesure on peut modi-

fier la matière pour atteindre un coût optimum. En paral-lèle, il y a une phase de ges-tion, avec la prise en compte de l’obsolescence des com-posants par exemple. C’est une phase où nous avons eu des échanges très sou-tenus avec Aguila. Les pre-miers lots de fabrication sont cruciaux. Dans le cas de la balise Aguila, la carte communicante devait être initialisée de façon particuliè-rement précise pour qu’elle «accroche» bien au réseau, une condition sine qua non de la réussite du produit. A ce moment l’équipe d’Aguila est venue passer quelques jours chez SEICO pour ces

mises au point, et l’adéqua-tion la plus parfaite pour l’in-dustrialisation.»

«C’est dans cette phase de tests et d’intégration que le concepteur et le fabricant industriel ont les échanges les plus nourris. Parce que d’un processus de test, développé dans un labora-toire, on ne peut déduire un processus qui permette de tester quelques milliers de cartes. C’est complètement différent.»

«Il y a bien sûr la question du coût final du produit. En l’occurrence, il est facile de dire «Créez, nous fabri-quons» ; mais on sait bien


DOSSIER > LE MARCHÉ DES OBJETS COMMUNICANTSqu’en France, les coûts de main-d’œuvre sont signi-ficativement plus élevés que ceux qui sont pratiqués dans d’autres pays. Dès qu’on commence à aborder cet aspect, il est important qu’en terme de conception de la carte, le choix se soit porté sur des composants disponibles et pas trop chers, qu’on ait ensuite un processus de fabrication de la carte électronique qui soit le plus automatisé possible, et pour fermer la boucle un processus de test d’intégra-tion lui aussi économique. C’est pourquoi les discus-sions avec les concepteurs, autour du processus de fabrication, sont nourries. Le processus de fabrication n’est pas anodin : il néces-site souvent un investisse-ment pour le sous-traitant, en termes d’outillage de test, de formation des opérateurs, pour arriver à une produc-tion économique et fluide.» Cartes communicantes «Avec Aguila, nous avons passé beaucoup de temps dans la phase de test. Les cartes d’Aguila sont com-plexes dans la mesure où elles sont communicantes, et nous avons investi beaucoup de temps et d’énergie pour rendre ce processus le plus fiable et le plus reproductible possible. Aguila a d’ailleurs mobilisé plusieurs ingénieurs et chez Seico, pas moins de 5 personnes ont planché sur le produit.»

En tant qu’industriel, Eric Lamboley considère lui aussi qu’il y a «une règle majeure» pour optimiser le passage en production : «plus tôt vous intégrez dans votre processus les contraintes de la production, mieux cela se passera».

Intégrer le process de fabri-cation dès la conception Mais les concepteurs ont-ils ce réflexe ? L ’ e x p é r i e n c e d ’ É r i c Lamboley et de SEICO est plus complexe. «Les gens des start up, puisque SEICO a souvent affaire à des objets connectés, n’ont pas forcément la culture qui leur permettrait de prendre en compte la production. Ils veulent aller le plus vite possible pour pouvoir atta-quer le marché dans des délais records, et comme on l’a vu avec certains clients, ils valident de ce fait leur concept et procèdent ensuite à une levée de fonds. En revanche, cette stratégie s’opère au détriment du coût du produit. En consé-quence on a souvent le retour du produit avec une nouvelle phase de design qui peut être totale, «on jette tout et on recommence». Il est vrai que dans le monde desobjetsconnectésetdel’Internet, il y a une prime à la vitesse, c’est le premier arrivé qui prend le marché et devient indétrônable.

Hubert Forgeot (Aguila Technologie) : Assurer un niveau de qualité constant «Pour Aguila, il est impor-tant d’avoir un partenaire réactif avec des prestations de qualité, dans des temps en adéquation avec notre méthodologie de développe-ment, c’est-à-dire des délais raisonnablement courts.»«Le choix d’un industriel pour la fabrication d’un produit est basé sur sa force de propo-sition, sa capacité à réduire les coûts pour obtenir un prix de revient compétitif à celui qu’on aurait en Asie. Par contre, en Asie, il n’y a pas cette force de proposition.»

«Ce que nous recherchons pour industrialiser nos pro-duits électroniques commu-nicants, c’est une réactivité très forte. Nous savons que les produits que nous met-tons sur le marché ont une durée de vie limitée, parce qu’avec le développement rapide des technologies, ce produit sera dépassé dans 18 mois, il y aura des avan-cées et des performances supérieures. Nous devrons alors faire évoluer le produit, ne pas rester sur une fabri-cation standard. Aujourd’hui, les révolut ions dans le domaine des objets connec-tés se produisent tous les 12, voire 6 mois ! «

Les sous-traitants français tirent leur épingle du jeu «Dans ces conditions, ce que nous attendons de notre

fabricant, c’est sa capacité à faire évoluer sa chaine de production par rapport aux différentes technologies qu’Aguila aura retenues pour faire évoluer son produit. C’est une vraie gymnastique, cette réactivité, mais c’est elle qui permet aux acteurs français de la production de tirer leur épingle du jeu.»

«SEICO fait partie des sous-traitants qui n’hésitent pas à investir pour améliorer la chaîne de production, que ce soit en visant à réduire les coûts, pour améliorer les performances, s’adapter aux nouvelles technologies : on parle de chimie aux rayons X par exemple, mais cela peut aller encore dans bien d’autres domaines.» Relation entre concepteur et fabricant : la confiance doit être tacite «La relation entre le concep-teur et le fabricant doit être basée sur la confiance tacite. Des problèmes, l’équipe en connait en permanence, et ce n’est pas en cherchant le «fautif» que l’on avance, mais en cherchant ensemble des solutions. Souvent, quand on rencontre un pro-blème en production, la solution se trouve en partie chez le bureau d’études et en partie chez la production. Chacun détient un élément de la réponse !»

Aguila TechnologieSociété indépendante de haute technologie, AGUILA est installée sur la tech-nopole IzarbelàBidart -Biarritz.HubertForgeotenest le président.

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électroniques, l’entreprise nantaise SEICO a été créée en 1981. Elle emploie 100 personnes et réalise 10 ME de chiffre d’affaires. Ses domaines d’activité : fabrication de cartes élec-troniques, câblage filaire, intégrationjusqu’auproduitfinal, et outillage de tests, son métier historique


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lisation, environnement nor-matif, etc.), élaboration du cahier des charges, nomen-clature des composants, sélection des fournisseurs, achats, tous les types d’as-semblages (manuels, tradi-tionnels, CMS), le câblage filaire, et les tests, la gestion de la supply chain ainsi que la maintenance et la répara-tion.

Pour une meilleure efficacité de cette phase de la défini-tion des besoins, le SNESE apporte son concours au demandeur.

Pourleporteurdeprojet,lesavantages du Guetteur sont multiples : DISCRÉTION, car l’anony-mat est préservé dans la phase de recherche,RAPIDITÉ avec fourniture d’une première liste sous 48 heures.ÉCONOMIE, la recherche est gratuite.

LA MÉTHODEIl faut d’abord remplir une fiche de demande (dispo-nible auprès du SNESE en appelant le +33 (0)2 98 55 04 56 ou en utilisant le for-mulaire en ligne sur snese.com rubrique Le Guetteur)

1 – Cette Fiche Contact Demandeur doit être remplie aussi précisément que pos-sible. A réception, le SNESE prend contact avec vous pour finaliser la demande.

2 – Cette demande est dif-fusée le vendredi auprès des adhérents du SNESE, sans mention de l’identité et des coordonnées de votre entreprise. Les adhérents du SNESE figurent parmi les plus performants dans de nombreuses spécialités et représentent près de 60% du marché.

3 – 48h après, le SNESE vous transmet les fiches d’identité (plus de 60 cri-tères) des sous-traitants ayant répondu.

Vous pouvez ainsi préparer le premier contact et négo-cier les conditions de votre futur partenariat.

Les entreprises répondant au Guetteur sont signataires d’une charte professionnelle les engageant notamment

en matière de responsabilité sociale et environnementale (RSE), de lutte contre le tra-vail clandestin, de responsa-bilité civile, de formation du personnel, etc. Ces entre-prises appliquent également les principes des Conditions générales de ventes, de sous-traitance et de presta-tions de services industriels en électronique.


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Jean - Philippe Malicet, d i recteur généra l de Cap’Tronic : « Conseiller les PME pour l’industriali-sation de leur produit est aussi notre rôle» L’Associat ion JESSICAFrance, fondée par le CEA et Bpifrance, est princi-palement financée par le Ministère de l’économie, des finances et de l’industrie. Elle porte le programme CAP’TRONIC, qui a pour objectif d’aider les PMEfrançaises, quel que soit leur secteur d’activité, à amélio-rer leur compétitivité grâce à l’intégration de solutions électroniques et de logiciel embarqué dans leurs pro-duits. Les Cahiers : Historiquement, Cap’Tronic aide les PME à intégrer de l’électronique et des logi-ciels dans leurs produits. Ce rôle peut-il s’étendre à la phase d’industrialisation ?

Jean-Philippe Malicet : On note une évolution dans ce sens. Nous nous sommes rendu compte qu’il y avait

une demande du côté de sociétés qui ne trouvent pas sur le marché une solution standard ou adaptée qui leur permette d’améliorer leur outil de travail et leur productivité, par exemple au niveau du contrôle de la qualité. Nous sommes inter-venus par exemple auprès d’une entreprise qui fait du poinçonnage sur de la tôle, et qui avait un problème de bris des poinçons dans la continuité. Nous avons tra-vaillé avec des experts pour trouver une solution. Cela s’apparentait à une machine spéciale, du sur-mesure dans leur cas. On retrouve le savoir-faire des Cap’Tronic, qui consiste à aller cher-cher de bons experts. Nos ingénieurs ont des compé-tences, mais ce ne sont pas des experts à proprement parler. C’est tout l’intérêt de Cap’tronic de disposer d’un réseau d’experts pour apporter une réponse dans de telles situations.

Les Cahiers :Quelleestlaposition de Cap’Tronic sur le sujetdelafabricationdescarteset systèmes électroniques ?

Jean-Philippe Malicet : T r è s t h é o r i q u e m e n t , Cap’tronic se cantonne au cahier des charges. Aujourd’hui, cependant,nous allons plus loin dans l’accompagnement dans l’industrialisation. Mais a priori, nous laissons aux PME le choix de leurs sous-traitants. Nous sommes là pour les aider en leur per-mettant d’être clairs sur leurs besoins, clairs sur les solutions techniques. Mais

en revanche, on les avertit très tôt des contraintes des process de production, en leur expliquant par exemple de prendre en compte que si l’industrialisation de leur produit en volume com-prend trop d’opérations manuelles, ils se retrouve-ront en situation de faire appel au low-cost. On attire aussi leur attention sur les opérations qui ne permet-tront pas de garantir à coup sûrlaqualitédeleurproduit. Les Cahiers : Vous ne dis-suadez personne de faire fabriquer dans les pays low cost ?Jean-Philippe Malicet : La réponse est plus nuancée. A partir du moment où l’on automatise une production, le low cost devient beau-coup moins attractif, et si l’industrialisation est pensée dès l’amont, la production peut tout à fait être réalisée dans une société de sous-traitance française. Les pro-jetsaidésparCap’Tronicconcernent très margina-lement des volumes impor-tants, qui ont recours au low-cost, et si c’est le cas, c’est souvent via un prestataire français qui fait du montage, de l’intégration. Mais si cela a du sens pour la PME, pour-quoi pas ?

Ce qui nous intéresse, là où nous sommes dans notre rôle, c’est de faire en sorte que la PME sorte son pro-duit dans les meilleures conditions possibles. Le lowcostestunsujetrécur-

Electronisez vos produits avec CAP’TRONIC

Par Dominique LEMIERE, reporter

Le low cost un sujetrécurrentdediscussion avec les syndicats professionnels, qui sembleraient pré-férer que Cap’Tro-nic conditionne son action à une fabrication en France. Mais nous ne sommes pas là pour ça ! Notre jobestdefaireensorte que les PME créent de la valeur en intégrant de l’électronique...


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rent de discussion avec les syndicats professionnels, qui sembleraient préférer que Cap’Tronic conditionne son action à une fabrication en France. Mais nous ne sommes pas là pour ça ! Notrejobestdefaireensorteque les PME créent de la valeur en intégrant de l’élec-tronique. L’aide Cap’Tronic aunobjectif:aiderlesPMEfrançaises à se développer, à faire du chiffre d’affaires. Ensuite, elle a un impact sur le secteur de l’électronique, maisc’estunobjectifdedeuxième position. Dans la mesure où nous sommes dans un marché ouvert, la fabrication dans les pays low cost est une fausse question. Très peu d’entre-prises s’orientent vers le low cost pur. Au contraire, Cap’Tronic est dans la démarche de les attirer dansunmodeprojetoùonleur présente des bureaux d’études, des prestataires locaux. S’ils veulent consul-ter en Chine, on les met en garde : on leur conseille de se déplacer, on souligne la difficulté du dialogue, on les prévient des risques.

Les Cahiers : Il est plus rentable pour l’Etat de voir se développer une acti-vité industrielle sur le ter-ritoire français. L’aide de Cap’Tronic ferait d’une pierre deux coups.

Jean-Philippe Malicet : Nous sommes très en lien avec la production locale. Nous demandons à nos experts de préconiser des prestataires nationaux. Nous accompagnons des socié-tés dont 60 % n’ont pas d’ex-périence en électronique, on les aide à comprendre les offres, ce qu’elles sont en mesure de faire grâce à notre appui. Dans ce dialogue, on explique les

raisons des écarts entre les offres. L’idée n’est bien sûrpasd’êtresurlemoinsdisant, bien que nous ayons aidé des PME qui se sont tournées vers le moins cher, et nous avons été alors pré-sents en deuxième rideau pour essayer de récupérer l’affaire. Malgré tout, nous avons 350 sociétés par an qui bénéficient du soutien de Cap’Tronic, et très peu ont ce recours. Pour Cap’tronic, c’est tout de même la règle dujeu:nousn’avonspasà intervenir dans ce choix. Notre rôle n’est pas de nous substituer à la PME. Nous aidons des entreprises qui nesortirontjamaisleurpro-duit, d’autres qui ont des super réussites, d’autres qui vont se planter, pour de multiples raisons, mais ces résultats ne sont pas toujoursliésàunsuccèsouun échec de la fabrication, loin de là. Nous sommes detoutefaçon,toujoursenamont.

C e s o n t l e s b u r e a u x d’études qui sont en défi-nitive garants de la qualité s’il y a fabrication low cost, Cap’tronic n’a pas la volonté de s’immiscer au-delà de la consultation, sauf si la PME le demande expressément. On reste présents, car l’im-pact sur l’activité en final est réclamé par le Ministère qui nous finance. Il y a une évaluation en termes d’em-plois, de chiffre d’affaires. Mais cela n’exclut pas une partie de fabrications hors de France, pour permettre à la PME d’être concurren-tielle sur le marché. Mais au total, plus on a une offre en France qui tient la route, mieux on se porte. La balle est dans les deux camps.

Les Cahiers :Quelleestlatendanceforteaujourd’hui

danslesprojetsaidésparCap’Tronic ?

Jean-Philippe Malicet : Sans aucun doute le logiciel et l’embarqué. Cela change beaucoup de choses , notamment pour les bureaux d’études.Beaucoupd’entreeuxontbesoinaujourd’huide se renforcer sur l’archi-tecture logicielle, d’embau-cher, ou d’apprendre un nouveau métier axé sur le développement. Une autre notion importante est celle des modules de standardi-sation. Il faut pouvoir propo-ser des solutions logicielles «sur étagère» ; beaucoup de bureaux d’études disent : «Mon cl ient ne va pas racheter une conception !» Certains bureaux d’études bien organisés arrivent à dépasser ce cap et à se concentrer sur les deside-rata du client. D’autres se débrouillent au cas par cas.Ce qu’on voit beaucoup, ce sont des gens qui viennent du soft - du web, du cloud - qui se rapprochent du monde de l’électronique, qui veulent présenter un service et un produit, tel Kivivo qui vient du monde du soft. C’est aussi beaucoup de chefs d’entreprises qui veulent connecter leurs pro-duits, avec une belle inter-face. En outre, les produits se démodent à toute vitesse et cela booste le marché. Et à mon avis, nous avons beaucoup à gagner là-des-sus, la part des nouveaux projets augmenteen faitplus vite que ce qui actuel-lement, sort. Nous avons de très bons ingénieurs en électronique, de très bons ingénieurs dans le soft, et l’on arrive à rapprocher les deux, ce qui est intéressant. La valeur de l’électronique estaujourd’huibeaucoupplus qu’auparavant dans les bureaux d’études, c’est

un point crucial pour l’attrac-tivité du métier.

Les Cahiers : Y a-t-il un mes-sage que vous souhaitiez faire passer aux sous-traitants de la filière électronique ?

Jean-Philippe Malicet : Le message aux sous trai-tants,c’estdelesenjoindreà répondre quand ils sont bons, et a contrario, ne pas répondre quand ils sont à côté de la demande. Ce n’est pas facile. Certains se plantent, et ça se passe mal, évidemment. Nous sommes en relation avec des bureaux d’études qui sont très com-pétents,maisj’aime,àtitrepersonnel, quand un bureau d’études nous informe qu’il n’est pas en mesure de prendreunprojetsic’estlecas.Quandonarriveàce niveau de relation, nous sommes très contents. Plus on se rend compte d’un pro-blème de conception tardi-vement,pluscelacoûtecheret au final personne n’est satisfait.



Rôle de Cap’TronicFondée par le CEA et Bpifrance,etfinancéeparle ministère de l’Écono-mie, de l’Industrie et du Numérique, l’association JESSICAFranceestchar-gée de la mise en œuvre du programme CAP’TRONIC. Celui-ciapourobjectifd’ai-der les PME françaises, quel que soit leur secteur d’acti-vité, à améliorer leur compé-titivité grâce à l’intégration de solutions électroniques et de logiciel embarqué dans leurs produits. Spécialistes en électronique et en logiciel

embarqué, les 24 ingénieurs CAP’TRONIC sont présents sur l’ensemble de la France, au plus proche des entre-prises et des défis qu’elles doivent relever au quotidien. Chaque année CAP’TRONIC aide plus de 2 500 PME appartenant aussi bien au secteur électronique qu’aux secteurs traditionnels.

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Direction inter régionale Paris Nord-Est Directeur : Michel MARCEAU CEASaclay/NANOINNOV Bâtiment863-Pointcourrier44 91191 GIF sur YVETTE Cedex Tél. : 01.69.08.60.54

Direction inter régionale Ouest Directeur:JeanYvesDESMARRES 60,BdduMaréchalJuin 44100 NANTES Tél. : 02.40.73.17.24

Direction inter régionale Grand Sud-Ouest Directeur : Sébastien SALAS P.A. Georges Petit 43-47 rue Marcel Sembat 33130BEGLES Tél. : 05.61.33.63.33

Direction inter régionale Sud-Est Directeur : Patrick MONASSIER CEA Grenoble 17, rue des Martyrs 38054GRENOBLECedex9 Tél. : 04.38.78.32.77


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Encoreaujourd’hui,laréalisationdesgabarits et les outillages nécessaires à la fabrication électronique relève d’usinages parfois complexes et onéreux. En investissant dans une imprimante 3D, ALLIANSYS s’affranchit de l’obstacle de l’usinage traditionnel par enlèvement de matière en passant à la fabrication additive.

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EFF’INNOV TechnologiesEff’Innov Technologies est un Bureau d’Etudes spécialisé dans le développement de systèmes électroniques embarqués. Cette entreprise participe à la Transformation Numérique de notre société, notamment dans l’Internet des Objets (IoT) et l’électronique à porter sur soi (Wearable).

L’Internet des Objets consiste àconnecter des produits de la vie courante au réseau Internet pour pouvoir offrir de nouveaux services pour en faciliter leurs usages. On peut citer par exemple, un système domotique qui vous informe via votre smartphone que vous avez oublié de fermer une fenêtre lorsque vous quittez votre habitation et qui met en route votre alarme.

«Rendre un objet connecté peutparaitresimplecarilsuffitderajouterune b r ique techno log ique de communication filaire ou radio qui lui permet d’échanger avec d’autres objetsdanssonentourageprocheouéloigné»expliqueFrédéricBriandledirigeant de Eff’Innov Technologies. « Cependant, il faut veiller à faire le bon choix de technologies qui va permet d’avoir une solution pertinente en termedeperformances,defiabilitéetdecoût».

L’électronique à porter sur soi répond à un besoin différent : il s’agit de diminuer drastiquement l’encombrement d’un système électronique pour le rendre portable sur soi sans aucune gêne. Dans le milieu médical, ceci permet de proposer des systèmes de monitoring

de patients sans les astreindre à rester dans un milieu hospitalier.

Pa t r i c k Sau v i gne t , Bu s i n e s sDevelopment Manager nous précise « Les avancées technologiques dans le milieu du semi-conducteur nous permettentd’avoiraujourd’huidescomposantstoujourspluspetits,plusperformants et moins énergivores». Et d’ajouter«L’enjeudansl’électroniqueportéesursoiestdetrouverlejusteéquilibre entre performance, autonomie et taille, sans oublier le prix».

En 2015, Eff’Innov Technologies a enrichi son offre autour de la technologieNFC.LeprojetPhoenixseprésente sous la forme d’un lecteur NFC autonome en énergie – il est alimenté par un petit panneau photovoltaïque –capabledetransmettrel’identifiantstocké sur le tag NFC à un serveur via le réseau bas débit longue portée SigFox.

Ef f ’ Innov Technologies a aussi développé un « Reference Design » dans le domaine de l’électronique à porter sur soi (Wearable) capable de garantir un haut niveau de sécurité – un autre point faible de ces solutions – qui intéresse beaucoup les acteurs du transport et de la monétique.

Pourréalisercesprojetsetproposerune offre complète à ses clients (de l’idéeauproduitfini),Eff’Innovasignéun partenariat avec la société Alliansys spécialisée dans la fabrication de cartes électroniques et l’assemblage deproduitsfinis.

CesprojetsontpermisàEff’InnovTechnologies de renforcer ses compétences dans les domaines des

nouveaux réseaux bas débit longue distance (SigFox, LoRa), de la gestion fine de la consommation électrique et de l ’ intégrat ion de solut ions électroniques.

« Notre bureau d’études d’environ 25 personnes, présent à Caen, Grenoble et Aix en Provence, accompagne nos clientsdans leursprojetsdeR&Dà travers une offre de services de la conception à l’industrialisation de produits. Notre veille technologique et nos investissements dans des programmes d’innovation sur fonds propres nous permettent d’anticiper les besoins technologiques de nos clients. Cela se matérialise par un ensemble de briques technologiques permettant de déployer rapidement une solution tout en réduisant les risques pour nos clients»préciseFrédéricBriand.

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Notre expérience Pourassurerlapérennitéetsimplifierlefonctionnement de l’application. Optimiser les fonctions, évolutions, rendementsetcoûts.

Nos challenges Serveur Web Rac Electronic Développementaccèssurlasûretédefonctionnement. L’aspect métier est dissocié de l’interface.

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L’Entreprise Adaptée du Phénix est spécialisée dans la fabrication de sous-ensembles électroniques et électro-mécaniques.

Depuis plus de 30 ans et avec nos 80 salariés, nous évoluons avec nos clients, partenaires privilégiés dans les développements de produits et de process.

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Nos activités principales : • p répara t ion e t i nse r t i on de composants traversants

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Notre fonctionnement est identique à toute autre entreprise industrielle, mais nous avons également une mission sociale par l’intégration de personnes en situation de handicap.

Nous les formons aux métiers de l’électronique et nous adaptons leurs postes de travail.

Nos partenariats permettent à nos clients de bénéficier de prestations de qualité, de souplesse dans leur propre fabrication, et de réduire leur contributionAgefiph(taxeenfaveurde

l’emploi de personnes en situation de handicap, applicable à toute entreprise française de plus de 20 salariés).

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ACEA Votre partenaire dans le métier de la sous-traitance électronique depuis plus de 30 ans, développe, fabrique et assemble des cartes et des sous-ensembles et ensembles électroniques.

La stratégie de l’entreprise, reprise en 2011 par Thierry Mohr, directeur général, met l’accent sur la relation et la satisfaction du client.

ACEA est implantée dans le nord de l’Alsace à Gundershoffen.

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Nous proposons une offre complète : • Achat et approvisionnement • Industrialisation • PoseCMS(0201,finepitch,BGA) • Tests fonctionnels • Tests in situ • AOI • Montage de sous-ensembles et d’ensembles • Vernissage des cartes et résinage de produits

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Avec ses 100 collaborateurs, SEICO propose une offre globale de services sur des domaines de compétences allantdel’étude/industrialisationàlalivraison clef en main de vos produits.

Fort de sa croissance continue, SEICO est un spécialiste reconnu dans le domaine de la sous-traitance par :

• Sa proximité client • Sa réactivité • Sa souplesse d’adaptation aux attentes clients • Sa grande maîtrise technique • Sescapacitésàprendredesprojetsàfortes contraintes (technique, process, délais courts (- de 2 semaines))

L’équipeprojetsousl’impulsiond’uninterlocuteur unique se donne comme objectif de répondre à tous vosbesoins.

La proximité et la réactivité sont des attentes fortes de nos clients. Leur nombre en hausse constante et la fidélité de l’ensemble de nos

partenaires en est la preuve.

Notre certification ISO9001 et nos démarches d’améliorations continues sont les garants de notre rigueur dans nos quatre domaines de compétences : cartes électroniques, câbles et câblage filaire,assemblageetintégrationainsique dans l’activité outillage et banc de test.

Nos derniers investissements portent sur : • Un système d’inspection à rayons x NikonXTV130KV. • Une machine de réparation (soudage etdessoudage)deBGASOVTECH • Une augmentation du matériel autour de notre parc machines pour la gestion des MSL par un investissement d’étuves et Armoires sèches complémentaires. • UnemachineDOPAGMICROMIXpour moulage et surmoulage de câble • Un robot F4400N ELLSWORTH de dépose automatique d’enrobage pour carte • Des outillages pour répondre aux nouvelles technologies xprobe et bead probe sur notre activité de développement d’outillage de test. • Un nouve l ERP (You rceg id Manufacturing PMI) pour nous donner les moyens de poursuivre notre croissance • Une augmentation de surface

significative de notre magasin et de production pour répondre à la demande croissante de nos clients notamment sur la fabrication (cartes et intégration) desOBJECTSCONNECTES.

N’hésitez pas à nous contacter ou nous consultersurvosprojets.

Contact :SEICOPhilippe GALIVEL+33(0)6 89 09 49 20 [email protected] www.seico.fr

TECH POWER ELECTRONICS investit massivement

Afin d’augmenter son offre, ses capacités de product ion et de remporter des marchés exigeants tant entermedequalité,délaisetcoûts,Tech Power Electronics a lancé en 2014 une vaste campagne d’investissements sur deux ans.

Ces investissements concernent tant le développement de nouveaux produits propres pour étoffer ses gammes que les équipements de production.

En 2014, les investissements en équipements de production ont concerné les sites de Courlaoux et de Medias. Le premier a accueilli en novembre, une nouvelle ligne de production CMS automatisée capable de poser tous types de composants disponibles sur le marché, y compris

les boî t iers exot iques. El le est dédiée au lancement de production, aux prototypes, pré-séries et à la qualification.QuandausitedeMedias,ce sont de nouvelles machines de bobinage multi et mono-broche et une machine de moulage qui sont venues accroître ses capacités de production.

En 2015, les investissements en équipement de production se sont poursuivis avec : • l’atelier de moulage à Courlaoux (acquisition de nouvelles étuves et machines de moulage, installation d’un sol ESD, d’un local dédié au silicone…) • les travaux d’agrandissement (600m2) et d’aménagement du site d’Arad pour accueillir la réplique de la ligne CMS qui se trouve en France, facilitant ainsi les transferts de production et les échanges d’expérience entre sites.

Opérationnelle à la Toussaint, elle sera dédiée à la production en moyennes et grandes séries de cartes électroniques.

Ces investissementsmajeurssonten adéquation avec la politique de l’entreprise de devenir un des leaders européens en électronique.

Contact :TECH POWER ELECTRONICSSéverine BERROD+33(0)3 63 84 00 05 [email protected] www.techpowerelectronics.com

STAND

P171


CSI Sud-Ouest, Groupe Cimulec BaséeàToulouse,CSIestl’unedes3sociétés du Groupe CIMULEC, qui est lesecondacteurfrançaisduPCBavecplus de 21Me de CA et 170 employés. Nos 2 sociétés sœurs sont fortement orientées sur des marchés très spécifiques(militairepourCIMULECetspatial pour SYSTRONIC, chacun avec prèsde40%àl’Export)etsilamajoritéde notre CA se fait dans l’embarqué, nous revendiquons la place « d’électron libre » du groupe, ce qui nous permet de répondre à des attentes de clients issus d’horizons divers et variés. C’est ainsi que CSI est devenu au fil des ans un partenaire privilégié pour la fabrication de vos circuits imprimés de haute technologie en prototypes, petites et moyennes séries.

Les EMS sont devenus des clients prioritaires, car cela fait longtemps que nous avons compris que ce sont les donneurs d’ordre de demain, et non pas de simples intermédiaires. Nous avons développé des sessions de formation orientées PCB aveccertains d’entre eux, et entretenons

avec l’ensemble de la profession d’excellentes relations.

V o s e x i g e n c e s s o n t n o t r e engagement : • Proximité et réactivité : Une équipe disponible, du devis à la livraison, pour être à vos côtés à chaque étape. Une qualité d’écoute reconnue, un support technique dédié. • Développement : Des investissements constants et une évolution permanente afindevousaccompagnerdansvosprojetslesplusinnovants. • Pérennité : L’appartenance au Groupe Cimulec permet, grâce à l’homogénéité des principaux moyens de production, de vous offrir la sécurisation de vos projets. • Qualité:CSIestcertifiéISO9001,EN9100 et UL. • Envi ronnement : Les valeurs sociétales et l’éthique sont au cœur de nos préoccupations. Ainsi le respect de l’environnement, la responsabilité sociale, le bien-être de nos équipes et la qualité des relations que nous entretenons avec nos clients sont partie intégrante de notre stratégie.

CSI c’est également : • Plus de 35 ans d’expérience • 48 collaborateurs • 2 000 M² d’atelier • 5,8 Me de chiffre d’affaires

Contact :CSI SUD OUESTJean COULAUD+33(0)5 62 75 86 80 [email protected] www.cimulecgroup.com

Contact :SECADFabien MENU +33(0)4 74 76 35 45 [email protected] www.secad.fr

SECAD L’électronique sur mesure…

Implantée en région Rhône-Alpes (à StMARTINDUFRESNEetGRENOBLE)depuis plus de 30 ans, SECAD est une PME qui étudie et fabrique des cartes et des systèmes électroniques sur cahier des charges client. Notre société s’articule autour d’un bureau d’études et d’une unité de production. Nous prenons enchargetoutoupartiedesprojetsdenos clients : du conseil en passant par l’étude, la fabrication de cartes, leur intégrationdansleproduitfinal,jusqu’auSAV et à la veille technologique.

SECAD met en œuvre ses compétences dans des secteurs d’activité tels que :

L’industrie, l’aéronautique, le transport routier, l’automobile, le machinisme agricole, leparamédical/médical,lesport…

SECADbénéficied’unlargefaisceaude compétences : • µP/µCde8,16,32,64bits • Circuits programmables (FPGA, CPLD) • Acquisition et traitement de signal • IHM (écran graphique couleur tactile) • Asservissement de moteurs • Régulation de process, température, position, vitesse, débit… • Positionnement GPS • Communication sans fil : GSM, ZIGBEE,WIFI,Bluetooth,RFID... • RSxxx,USB,Ethernet,CAN,LIN,fibreoptique • BusPCIe • Caméras CCD, CMOS, traitement d’images • Audio, synthèse et reconnaissance vocale • Programmation:assembleur,C/C++,VHDL,Java,HTML,SQL… • OS : Temps réel, Windows, Linux, ANDROIDsousVisual,QT,Eclpise,ISE, VIVADO…

• Priseenchargecertifications:CEM,CE, Emarking…

SECADestcertifiéeISO9001,bénéficied’agrémentsministérielsCIR/CIIetdela part de fabricants de composants électroniques.

Toute votre expérience et la nôtre en plus… Telle est notre devise. Notre volonté est de travailler en partenariat avec nos clients pour mutualiser nos compétences en vue d’optimiser les performances technico-économiques duproduitfinal.

STAND

L186



SGAME - S’agrandit - Renforce son service prototypes et micro-séries en délai Flash - Renforce sa capacité de production en moyennes et grandes séries

• SGAME s’agrandit de plus de 20%, atteignant ainsi une surface de 1000m² sur son site de CHAPONOST. Ce nouvel espace va permettre de fabriquer des rampes lumineuses jusqu’àplusde25mdelongueuretfacilitera les préparations logistiques France/Tunisie.

C e t a g r a n d i s s e m e n t a é t é principalement réalisé pour poursuivre l’amélioration des conditions de travail des salariés, conformément à notre labellisation ISO26000 AAA.

• SGAME renforce son service prototypes et micro-séries en délai flash Forte de ses 25 ans d’expérience dans cette activité, -et en qualité (ISO9001 et ISO14001),etenFABRICATIONFRANÇAISE (à Chaponost)-, SGAME réduit encore ses délais : 2 à 3 jourspourdes«paniersgarnis»,et moins d’une semaine (achats

compris réalisés par SGAME) pour des prototypes ou des micro-séries. Cette réactivité est aussi facilitée en amont par la proximité (< 2Km) du spécialiste de circuits imprimés prototypes en délai très court qu’est CIRLY. En aval, nous pouvons également proposer du vernissage, du « résinage », de l ’ intégrat ion, avec la même réactivité, grâce à notre partenaire et voisin mitoyen RESILEC (adhérent SNESE).

• SGAME renforce sa capacité de production en moyennes et grandes séries avec le robot CMS de son partenaire LPE Au travers de son partenaire Tunisien LPE, SGAME propose maintenant de plus grandes séries, par l’acquisition d’uneligneCMS,déjàutiliséedepuis2 ans dans une société partenaire. Cela renforce donc notre fabrication MADE IN FRANCE : Etudes et Industrialisation (FRANCE), sous-ensembles CMS, manuel et robot (TUNISIE), contrôle et traçabilité (FRANCE). Tout ceci en QUALITETOTALESGAME(ISO9001,14001,26000)etLPE(QSE,personnelformé aux normes IPC 610A et 7711)

Contact :SGAMEJean-Claude GAS+33(0)4 72 39 94 50 [email protected] www.sgame.fr

AR3E Depuis 1978, AR3E vous propose des solutions complètes dans le domaine de la conception et de la fabrication de produits électroniques destinés à l’industrie.

Sous-traitant dans le domaine de l’électronique pour des grands noms du transport ou de l’automobile industrielle, AR3E s’est spécialisée dans les puissances moyennes, en mono ou en triphasé. L’accompagnement que nous sommes susceptibles de vous fournir durant l’intégralité du cycle de vie de vos produits, vous permet de vous concentrer sur vos métiers propres. Dans l’espace de confiance et de collaboration où nous nous inscrivons, vous n’avez pas besoin d’acquérir nos compétences pour que celles-ci deviennent aussi les vôtres.

Dimensionnée pour répondre aux exigences des petites et moyennes séries, notre société se positionne comme un partenaire disponible et réactifpourvosprojets.C’esttoutà

la fois notre capacité à appréhender lesspécificitésdevossollicitationsetla synergie permanente qui lie notre Bureaud’EtudesetnotreUnitédeProduction qui vous garantit des temps de développement réduits ainsi qu’une industrialisation optimisée pour des coûtsdefabricationtirés. Nos compétences transversales nous permettent en sus de vous proposer des solutions de prises en charge intégrale, allant de la conception de pièces mécaniques simples, boitiers ou refroidisseurs, au développement des banc-tests nécessaires aux besoins de vos productions séries. Nous assurons de plus la totalité des approvisionnements nécessaires à la fabrication de vos produits et nous nous engageons à maintenir une veille continue en termes d’amélioration de la qualité, de gestion des risques sur obsolescence et de recherche de gains de productivité. Nos unités de vernissage et d’encapsulation en

vernis acrylique et en résine époxy sont également susceptibles de fournir des réponses adaptées aux contraintes des environnements les plus sévères.

Venez nous rencontrer sur le salon du Midest à notre stand N168, pour nous présentervosprojets.

Contact :AR3EFabrice LETESSE+33(0)6 88 80 63 99 [email protected] www.ar3e-electronics.com

STAND

N168

STAND B29 7 & 8 décembre

2015


NFELEC la diversification par l’innovation environnementale

NFelec, sous-traitant franc-comtois a toujourssuconciliersesconvictionsde respect de l’environnement et sa maîtrise de l’éco-conception et de la fabrication électronique. Engagée depuis 3 ans dans une démarche de diversification orientée énergies renouvelables, l’entreprise a été remarquée pour sa conception d’un chargeur hybride pour le marché BtoC.Cettepremièrecréationaretenul’attentiondeNhéolis,filialedeIDSUDEnergiebaséeàMarseillequiaconfiéàNFeleclaconceptiond’unchargeur/contrôleur de batterie pour candélabres autonomes, hybride (solaire et éolien) et communicant.

Cecontrôleur/chargeurdenouvellegénération très compact (installé à l’intérieur du mat) et à forts rendements, permet à Nhéolis de commercialiser d e s c a n d é l a b r e s t o t a l e m e n t autonomes, et nécessitant peu de génie civil. La versatilité du chargeur NFelec, permet à Nhéolis de proposer

une version soit 100% solaire, soit 100% éolienne ou hybride associant les deux énergies en simultané.

Devenusobjetconnectésgrâceàun modem GPRS, ces candélabres peuvent être télépilotés. L’ensemble des données de fonctionnement sont en permanence accessibles pour une meilleure utilisation, mais également pour dé tec te r une éven tue l l e défaillance. Ces données permettent également de faire le bilan énergétique de l’installation et ainsi pouvoir calibrer son fonctionnement au plus près du besoin sur le terrain.

Enfin, ce produit a été conçu avec la volonté de diminuer au maximum l’impact environnemental par le choix de matériaux adaptés et une fabrication locale (Made in Franche-Comté). La durée de vie des différents composants de ce candélabre, sa réparabilité ainsi que son recyclage ont également été pris en compte par NFelec.

NFelec a été récompensé de ses efforts de développement en faisant partie des 3 nominés aux Trophées des

entreprises de Franche-Comté 2015 dans la catégorie la plus disputée : celle de l’Innovation. Suivez notre actualité sur les réseaux sociaux

Contact :NFELECYannick FAIVRE+33(0)3 81 51 06 87 [email protected] www.nfelec.fr

Contact :ARIA ELECTRONIQUEYvan Serrano-Clastres +33(0)5 81 30 30 06 [email protected] www.ariaelectronique.fr

ARIA ELECTRONIQUE La Maîtrise de vos fabrications électroniques

Aria Electronique est un industriel de production électronique sous exigences normatives, spécialiste des marchés de l’aéronautique, militaire et nucléaire.AriaElectroniquebénéficiedescertificationsISO9001,EN9100etUL.

L ’ o f f r e g l o b a l e c o m p r e n d l ’ i ndus t r ia l i sa t ion , les achats , la fabrication, le test ainsi que

l’intégration de petites, moyennes séries et prototypes en assemblage électronique.

Aria Electronique est expert de la sous-traitance électronique. Nous maîtrisons pour nos clients les activités suivantes :

• L ’ a s s e m b l a g e d e s c a r t e s électroniques de haute technologie à forte densité • Le câblage fi laire : harnais et faisceaux embarqués, torons, coffrets et racks de haute technologie • L’intégration et le test d’équipements électroniques.

Nos équipements de production récents et la format ion de nos équipes garantissent la conformité et la réalisation rapide de fabrications complexes.

Fondée en 1982 à Aston (09) Aria Electroniqueestaujourd’huiinstalléeà Verniolle (35 minutes de Toulouse) dans des locaux construits en 2011.

Aria Electronique réalise un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros et emploie 45 personnes. L’entreprise est membre du pôle de compétitivité Aerospace Valley et du SNESE.



MELISEY ELECTRONIC vous accompagne dans tous vos projets, du prototype à la grande série » Créée en 1984, Mélisey Electronic est une société d’une vingtaine de personnes spécialisée dans le câblage de cartes électroniques, le câblage filaire, le bobinage et le montage/câblage/intégrationdesous-ensembles électroniques.

Equipée de moyens automatiques et semi-automatiques (2 lignes CMS Mydata,vague,coupe/dénudeuse/sertisseuse automatique Komax, …..) et fort de l’expérience et du savoir-faire de ses équipes, Mélisey Electronic répond aux besoins du marché français et européen dans des domaines d’activité aussi différents que l’aéronautique, l’informatique industrielle, l’automobile, l’éclairage, les bornes de recharges de

VE, les telecom, la géolocalisation …..

Les grands noms de l ’ industr ie nousfontconfiance:Zodiac,CXR,Gravotech, Liebherr, SEE Telecom, Thorn,Sermat,DBT,Hitec,Ocean-Orange…

Orientée satisfaction clients, Mélisey Electronic est à votre écoute et prend en compte vos exigences dès les premiers contacts, et nous sommes présents à vos côtés à chaque étape de la vie du dossier et des produits pour apporter de manière réactive notre expertise et notre savoir-faire.

Cette pol i t ique fa i t de Mél isey Electronic un partenaire reconnu pour sa réactivité et sa capacité à fournir des solutions à ses clients du prototype jusqu’àlagrandesérie.

Contact :MELISEY ELECTRONICVéronique ROSSIGNOL+33(0)3 86 75 77 32 [email protected] www.meliseyelec.com

MICRONIQUE L’atout proximité et qualité A u - d e l à d e l a m a î t r i s e d e s f ondamen taux t echn iques de l’assemblage des composants, la fabrication électronique moderne est indissociable de deux principes cardinaux : la proximité et la qualité. MICRONIQUE(40ansd’expérience,30 collaborateurs, 2 500 m²), basé en Ile-de-France à Corbeil s’inscrit dans cette tendance. Un produit se fabrique bien, au plus près des besoins clients, si la phase industrielle est associée le plus en

amont possible de l’idée créatrice du produit. C’est dans cet esprit que nous avons conclu un partenariat avec CIELE Ingénierie, bureau d’Etudes de la région parisienne. L’offre de qualité suppose que le fabricant d’électronique dispose de la maîtrise d’un large éventail d’outils de contrôle et de test. Les moyens deMICRONIQUEsontdiversifiés : FAIXPRESSAccelonix,AOIsOmron,RayonsXXtech,Testeuràsondesmobiles simple face en ligne, testeur vertical à sondes mobiles double faces SEICA. Leurs mises en œuvre s’ef fectuent dans le cadre des certifications ISO9001 et EN9100 associées au référentiel IPC A-610. (MICRONIQUEestadhérentdirectIPC). Pour MICRONIQUE, la qua l i téétantaujourd’hui indissociabledesproblématiques environnementales et sociales, une démarche RSE a été engagéeavecl’objectifd’obtenirenJuillet2016lalabellisationISO26000.

Pour ledébut2016,MICRONIQUEajouteunenouvelletoucheàsapalettede moyens de production : le vernis-sage par pulvérisation avec une ligne automatisée, qui complétera les équi-pements actuels de vernissage par immersion.

Contact :MICRONIQUELucie DIEBOLD ou Rosa DIAS+33(0)1 60 88 45 08 [email protected] [email protected] www.micronique.fr Testeur vertical à sondes mobiles double

faces SEICA

L i g n e d e v e r n i s s a g e a u t o m a t i s é e ASYMTEK-NORDSON


AQLE Lagrandemajoritédes confrèresspécialistes du câblage électronique a su moderniser son outil de production. Ceux qui n’ont pas su utiliser les atouts de l’informatique pour leurs processus de fabrication ou pour la gestion de leurs données ne sont plus qu’un petit nombre. Le métier de câbleur a changé. Les concepteurss’appuientaujourd’huisurle câbleur pour optimiser la production future. L’intérêt pour nos clients à s’appuyer sur nos compétences techniques a créé une autre relation avec les « donneurs d’ordre ».

ChezA.Q.L.Electroniquenousavonspoussé au plus loin nos savoir-faire techniques. Ce n’est pas seulement pournotregoûtpourlatechnique,maisc’est parce que nous pensons qu’il faut être les meilleurs en technologies pour savoir proposer les solutions les plus adaptées aux besoins.

D u t r a v a i l d e f o r m a t i o n s u r plusieurs années, des embauches

de professionnels à l’expérience reconnue pour aider les jeunestechniciens à devenir excellents, des investissements….

Aujourd’hui,commelamajoritédenosconfrères, nous maîtrisons notre métier.LesOTD,lesPPMvisés,lesobjectifssonttenus.Etlescoûtssontmaitrisés.Mais en plus de nos confrères nous sommes devenus des spécialistes extrêmement pointus pour deux processus particuliers : • L e P r e s s f i t : n o u s a v o n s étudié tout part icul ièrement les phénomènesspécifiquesd’insertion,d’arrachements, de reproductibilité du processus . E t nous avons développé des modèles de contrôle et d’enregistrement des données d’insertiontrèsoriginaux,signésAQLElectronique. La compréhension des particularitésduPressfitnouspermetde réaliser nos propres outillages pour optimiserlescoûts.

• Le Vernissage : une ligne automatique de vernis a été mise en place avec maîtrise des principaux paramètres parasitaires à l’obtention d’un résultat.

Pour ces deux phases, Pressfit et Vernissage,lavaleurajoutéeapportéeparAQLElectroniqueàsesclientsestlavaleurajoutéed’untrèsgrandspécialiste. Les autres phases des processus de production ont été relevées à la hauteur des exigences globales des électroniques à câbler.

Nous avons réalisé de très importants investissements : • remplacement de la sérigraphie par la technologieJetPrinting:c’estledépôtoptimal de la crème à braser • automatisation des transferts entre postes, • in format isat ion g lobale pour i n te rac t i v i té dans le Sys tème d’Informations.

A.Q.L.Electronique vousproposede réfléchir avec vous aux meilleurs choix pour un câblage optimal de vos électroniques.

Contact :AQL ELECTRONIQUEFrédérique DANNE+33(0)3 44 19 29 39 [email protected] www.aqle.fr

CANON BRETAGNE Succès pour la journée de la sous-traitance

Canon Bretagne organisait le 22octobredernierunejournéedédiéeàlasous-traitance industrielle sur son site de Liffré. Cette première édition a réuni près de 70 invités qui ont eu l’occasion de découvrir un site de production en plein essor.

Depuis plus de 12 ans la société œuvre sur le marché de la sous-traitance et propose un véritable partenariat industriel aux fabricants de produits. CanonBretagne peut prendre enchargedenombreuxprojetsdansdesdomaines très variés : médical (ISO 13485), communication, bureautique,

industriel… Les prestations proposées sont toutes réalisées sur un même site et couvrent l’ensemble des besoins liés à la mise sur le marché d’un nouveau produit : bureau d’études, industrialisation, fabrication de cartes électroniques, injectionplastique,assemblage de produit, logistique et service après-vente.

Depuis peu, la société propose é g a l e m e n t u n s e r v i c e d e téléprospection. En se plaçant en amontdelavente,CanonBretagnevientcomplétersonoffredéjàbienétoffée.

La structure mise en place pour cette activité indépendante est celle d’une PME de 150 personnes, qui a conservé

les bonnes pratiques et les savoirs acquis au contact d’un grand groupe.

Un autre événement de ce type estd’oresetdéjàenvisagél’annéeprochaine.

Contact :CANON BRETAGNEGilles FLAUX+33(0)2 23 25 53 04 [email protected] www.canon-bretagne.fr

STAND

P163



OSE OSE fête ses 30 ans avec des projets plein la tête !

Située en Isère, au cœur de la Matheysine, dans l ’arr ière-pays montagnard grenoblois, OSE a pris le tempsd’unejournéedeseretournersur son histoire, mais aussi de se projeterversl’avenir. Durantcettejournéeporteouvertedu1er octobre, les habitants de la région ont pu découvrir l’activité de l’entreprise, guidés par les membres du personnel qui avaient déployé des trésors d’imagination pour présenter, avec « moult visuel » (déformation LEAN !) et humour, leurs métiers et savoir-faire. Enfindejournée,clients,fournisseurset partenaires ont eu droit à une visite plus technique mettant en exergue les projetsmajeurs en cours et àvenir.

Toutcejolimonde(300personnes)s’est retrouvé durant une longue soirée mémorable pour fêter cette étape importante dans la vie de l’ensemble de l’équipe OSE et des partenaires historiques. Ainsi, les visiteurs ont pu découvrir l’évolution et l’aménagement du pôle ingénierie test, avec l’arrivée prochaine du testeur à sondes mobiles de dernière génération SPEA 4060 S2 installé en îlot automatisé. Disposant de 6 sondes, cette machine permettra de tester simultanément les 2 faces d’une carte. Grâce à de nombreuses fonctions performantes, le dépannage de cartes à forte valeur ajoutéepourra êtrepoussé très loin lorsque le diagnostic issu du test fonctionnel aura atteint ses limites. Avec ce nouvel équipement, OSE va emmener ses clients encore plus haut dans la démarche « DFT (Design For Test) et optimisation de la chaînedecontrôle-test»déjàentaméeavec les outils existants d’AOI et test fonctionnel.

Une autre nouveauté plébiscitée par de nombreux clients : une machine de résinage des cartes (potting). Grâce à l’internalisation de cette étape de finition,OSEgagneraenmaîtrisedelaqualité et du délai de production.

Nous reviendrons en détail dans les prochains mois sur ces investissements qui viennent après ceux de 2014 (3ème

ligne CMS avec MYDATA My200 et AOI MIRTEC MV-7xi).

S i les 30 années passées ont été rythmées par les extensions successives de bâtiment, celles à venir n’y échapperont pas. Dans les cartons, unprojet d’agrandissement, avecune phase transitoire d’installation de préfabriqués confortables au cours du 1er trimestre 2016, permettra d’assumer l’accroissement de l’activité « montage-intégration » de sous-ensembles et produits finis, avec la surface nécessaire pour travailler l’optimisation desfluxetdescoûtsdeproduction.Ladéfense du « made in France » passera par un travail en profondeur sur cette étape de fabrication. Les équipes Méthodes et LEAN vont être fortement sollicitées !

Parmilesprojets2016déjàlancés,toutunvoletcertifications: • Passage de l ’ ISO9001-2008 à ISO9001-2015 • ISO14000 qui doit concrétiser une démarche environnementale de longue date chez OSE (cf les 800m² de panneaux photovoltaïques sur le toit) • ISO26000 qui sera la reconnaissance d ’une p réoccupa t i on RSE de l’entreprise inscrite dans son ADN ; àcesujet,OSEseverraattribuerle 5 novembre le label «employeur partenaire des sapeurs-pompiers» pour l’année 2015 par le SDIS de l’Isère.

• ISO13485 (dispositifs médicaux) qui permettra à OSE d’aller encore plus loin sur le marché médical ; en rapport avec cette démarche, un investissement important est à l’étude pour gérer la traçabilité.

Grâce à l’ensemble des moyens techniques et humains, à la formation permanente (3% de la masse salariale en moyenne), OSE est perçue par ses clients comme un partenaire à taille humaine (80p.) de proximité garantissant le « made in France », alliant maîtrise technique, souplesse et réactivité.

Contact :OSEPhilippe PARISOT+33(0)4 76 30 04 93 [email protected] www.ose.fr

Les trois associés dirigeants : Jean-Marc ATTALI, Sylvaine TABOURET et Pascal GUERIN


Contact :ALTRICSPatrick GUERINEL+33(0)6 52 69 32 35 [email protected] www.altrics.com

PETITESERIEELECTRONIQUE.COM by altrics Le low cost pour les petites et moyennes séries, c’est maintenant.

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Venez participer à cette révolution industrielle….Réinventez votre façon de consulter et de commander vos petites et moyennes séries de cartes électroniques.

Depuis sa création en décembre 2013 au Portugal par ALTRICS S.A.S., cette nouvelle unité de fabrication de cartes et produits électroniques permet aux donneurs d’ordres de réduire leurs coûtsderéalisationsanscontraintesdedélaisallongésdûsàladistancedes pays lointains.

Les paramètres gagnants : De part ses coûts horaires, sonplacement géographique près de

Porto, ses moyens de productions, le professionnalisme du personnel et la méthodologie de l’encadrement, cette unité réalise depuis un peu plus d’une année des productions à prix réduits pour des petits et moyens volumes.

Des processus gagnants ayant fait leurspreuvesen«copier/coller»del’unité moyennes et très grandes séries se trouvant en Tunisie ont permis de gagner du temps dans le démarrage d’activité.

Des collaborateurs de proximité sont dédiés en France au siège social pour traiter les commandes en petits lots des cartesouproduitsconfiés.Untrajet « commande-livraison » plus court avec certaines étapes de gestion allégées et une automatisation de certaines tâches permet de concurrencer la réactivité et la logistique Française tout en diminuantlescoûtsderevient.

La volonté des dirigeants pour prendre cette part de marché qui normalement était délaissé pour cause de non-retour rapide sur investissement du aux faibles quantités des tailles de lot.

Les bénéfices donneurs d’ordres : Une nouvelle possibilité de gagner des parts de marché ou d’augmenter les marges sur des produits en petites et moyennes quantités pour les donneurs d’ordres. Des interlocuteurs Français à l’écoute des besoins clients à Rosheim (Alsace).Unaller-retourdanslajournéepour auditer le site de production sur

vol low cost. Une logistique quotidienne permettant les urgences.

A propos du groupe ALTRICS : Lasociétéaujourd’hui,sepositionnepar ses différents sites de productions comme partenaire industriel pour vos cartes et produits électroniques allant du prototype à la très grande série (France/Tunisie/Portugal).Lasociétés’étaitdéjàillustréeparlacréationenjanvier2014desonportailWebdédié à la réalisation des prototypes www.protoelectronique.com (N°1 en Europe pour gérer les commandes de prototypes de cartes électroniques câblées en live)

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F.Iniciativas est un groupe spécialisé dans le conseil du financement de l’innovation.

G r â c e à u n e é q u i p e d e 6 0 0 collaborateurs hautement qualifiés, nous nous engageons à accompagner les entreprises de toute taille et dans tout secteur d’activité.

Numérique, Chimie, Agroalimentaire, Industrie… Tous nos experts sont ingénieurs ou docteurs et connaissent parfaitement votre domaine d’expertise. Aujourd’hui,plusde5000entreprisesinnovantesnousfontainsiconfiancechaque année pour les accompagner.

Fort de son expertise en ingénierie fiscale, F.Iniciativas détermine les subventions auxquelles vous pouvez prétendre, reconnaît les projetséligibles aux dispositifs concernant la Recherche et le Développement, vous aide à remplir votre feuillet fiscal, et vous soutient également techniquement lors de contrôles de l’administrationfiscale.

En France ou à l’international, les équipes F.Iniciativas vous apportent leur grande expertise f iscale et technique. Nous sommes là pour vous diriger vers les dispositifs appropriés et vous conseiller sur toutes les phases definancementdel’innovation.

Nos activités : F.Iniciativas accompagne ses clients de bout en bout sur toutes les phases definancementdel’innovation.

• Crédit d’Impôt Recherche - Montage - Optimisation

- Sécurisation - Accompagnement technique en cas de contrôle -Garantiefinancière

• Crédit d’Impôt Innovation • JEI&AgrémentCIR • Aides&subventionsnationaleseteuropéennes.

Contact :F. INICIATIVASBastien CAILLAUT+33(0)6 17 17 30 35 [email protected] www.f-iniciativas.fr


Contact :STPELECTRONICS Éric VIGNARD +33(0)4 76 45 69 25 contact@stp-electronics.comwww.stp-electronics.comwww.inspectoscan.com

STPELECTRONICS La Charly Mi l l ing adaptée et développée par STPElectronics fait déjà parler d’elle.Grande nouveauté dans le catalogue STPElectronics depuis Mars 2015, elle adéjàtrouvésonpublicravidesonefficacité et de sa rapidité de mise en œuvre. Depuis son lancement, la machineadéjàétécommandéeen6exemplaires par de grands noms de l’industrie électronique internationale.

En effet, ce moyen de découpe des PCB en flanc, intègre un logicielde pilotage par vision avec une interface d’utilisation intuitive. La structure mécanique a été repensée : un tiroir pneumatique, des outillages techniques adaptés, et un mini PC à écran tactile ont été intégrés pour un gain de confort.

Grâce à une gamme de produit s’adaptant aux petites et grandes structures, la Charly Milling convient parfaitement à tous les environnements de productions.

Présentée lors du salon Enova à Paris en Septembre, nous n’avons pu que constater l ’engouement des professionnels de l’industrie électroniquequiontpujugerdel’utilitéde la Charly Milling, et cela à un prix plusquecompétitif.Avousdejuger!

Plus d’informations : www.stp-electronics.com rubrique «DécoupedesPCB»

OC2I Le module de calcul du coût p r é v i s i o n n e l d e s p r o d u i t s électroniques d’EXCALIBUR ERP, progiciel ERP de référence pour la filière électronique, s’enrichi d’un outil de qualif ication de nomenclatures.

EXCALIBURERPpermetdemanièretotalementintégrée,decalculerlecoûtprévisionnel d’un produit électronique (composants,valeurajoutée, fraisgénéraux, marge commercia le prévisionnelle)

Nous avons associé en amont du moduledecotationd’EXCALIBURERP, un module de qualification de nomenclature s’appuyant sur un Web Service Octopart, développé par OC2I.

Octopart est un site de référencement et de recherche de composants électroniques.(https://octopart.com/)

Le Web Service Octopart développé par OC2I permet de manière automatisée, de qualifier les informations des composants d’une nomenclature de produit électronique (existence du composant, fabricants et références fabricants,donnéestechniques,fichestechniques, distributeurs, références fournisseur, conditionnement…

La nomenclature source importée est doncanalysée,qualifiéeetcomplétéeautomatiquement d’ informations complémentaires très utiles pour la cotation, les consultations des fournisseurs, la validation des données techniques.

Entièrement intégréàEXCALIBURERP, le module de qualification et de cotation d’une nomenclature d’un produit électronique permet de viser une productivité de très haut niveau sans équivalent sur le marché.

Contact :OC2I Francis MOURER+33(0)3 88 18 37 73 [email protected] www.oc2i.fr


INFORMATIONS COMMERCIALES

ALME Teste 7 machines avant de faire son choix !!!

La société ALME, située dans le bassin annécien, est un acteur important de la sous-traitance électronique en France.

Depuis p lus de 20 ans, ce t te sociétéapourobjectifderépondreau p lus près aux a t ten tes de ses clients du secteur industriel, automobile et domotique.

Face à la demande croissante de cartes de plus en plus complexes et denses(boitiers01005,0201,QFN,µBGA)MVucic,responsabletechniquede la société, a engagé depuis 2 ans une démarche importante auprès des principaux fournisseurs européens et mondiaux de machines spécialisées dans le contrôle des composants CMS pour acquérir une AOI supplémentaire répondant au plus près à ces exigences.

Depuis début 2014, à raison de 4 semaines d’essai par machine minimum, au total pas moins de 7 marques ont été auditionnées, testées, jugéesetmisesenconditionsurlesmêmes critères, par M Vucic et le responsableContrôleMBerchoux.

Cetteopération, jamaisréaliséeenFrance, a également permis aux différents acteurs de progresser et d’ajusterleurproduit,grâceàl’étroitecollaboration créée par cette opération d’envergure.

Lechoixdéfinitifs’estdoncportésurla machine 3088 Ultra 3D de chez Viscom, qui présente les performances techniques requises (résolution 8µm, interface de programmation vVision, support technique Viscom).

Après une période d’apprentissage et 8 mois d’utilisation, M Vucic est pleinement conforté dans son choix et confiant dans les perspectives d’évolution de sa machine 3088 Ultra 3D.

Almé est, dès à présent, prêt à répondre aux exigences techniques futures de ses clients.

Contact :ALME Nicolas VUCIC+33(0)4 50 69 59 34 [email protected] www.alme.fr

AIR LIQUIDE FRANCE INDUSTRIE Les gaz industriels pour améliorer la fiabilité de l’Electronique :

Il est fréquemment rapporté que l’utilisation de gaz dans l’industrie électronique, à différentes étapes de la production, contribue à améliorer la qualitéetlafiabilitédesassemblagesde cartes électroniques.

L’application principale est, sans surpr ise , la pro tec t ion cont re l ’oxydat ion avec un gaz inerte pendantleprocessusdebrasage,afind’améliorer les caractéristiques des jointsdesoudure.

Pouratteindreetconserverl’objectifclef de fiabilité qui leur est imposé, les secteurs de l’Automobile, de l’Aéronautique&SpatialetduMilitaire,adoptent la mise en œuvre de gaz inerte pour leur brasage.

Les secteurs du médical et de l’industrie convergent de plus en plus vers cette tendance, tout comme l’électronique Grand Public, du fait de la complexité des assemblages (miniaturisation, et haute densité - ex : smartphones).

D’aut res appl icat ions des gaz industriels pour le stockage de composants, pour les tests accélérés HALT HASS, ou pour le nettoyage, participent à faire progresser la performanceetlarobustessedesPCB.

Air Liquide France Industrie propose une offre dédiée spécifiquement aux électroniciens, au travers d’une gamme complète de gaz, de procédés techniques innovants, de services de contrôle d’atmosphère, associés à une expertise technique.

Contact :AIR LIQUIDE FRANCE INDUSTRIEBertrand DUTOURNIER+33(0)2 23 46 18 66 [email protected] www.airliquide.com


VOTRE FOURNISSEUR POUR LA PRODUCTION DE CARTES ELECTRONIQUES

CRM SYNERGIES, FABRICANT D’ALLIAGES POUR L’ELECTRONIQUE ET DISTRIBUTEUR DE CONSOMMABLES ET D’EQUIPEMENTS

AUTOMOBILE MEDICAL FERROVIAIRE AERONAUTIQUE ENERGIE SOUS-TRAITANCE

Sérigraphie MPM Inspection Rayons X Inspection AOI et SPI en 3Di

Fours et Vagues ELECTROVERT Ecrans de sérigraphie high tech

Lavage ACCEL Fabricant d’alliages étain et produits de soudure

Dispensing CAMALOT pour l’électronique:

Alliages ROHS: FujiSN100CRM Vagues sélectives et vernissage SAC305 SAC+0307

Vagues sélectives et vernissage Alliage etain plomb: SN63/PB37

CONTACT: Vincent LAFON [email protected] TEL: 06 20 75 33 52 C/ José Antonio, s/n Pol. Ind. UAI Naves 3-4 45183-Las Ventas de Retamosa.-Toledo (ESPAÑA)

Tel.: 0034 91817 34 74 Fax: 0034 91 817 34 66

www.crmsynergies.com


NOUVEAUTES TECHNOLOGIQUES

RADIALL Radiall et FCI annoncent leur partenariat pour OCTISTM Par is , F rance (Octobre 2015) – Radiall et FCI annoncent leur partenariat pour développer et promouvoir la solution innovante OCTIS™ (« Outdoor Connector Transceiver Ins ide System ») . OCTIS™ est une solution « Multi-standard » qui prévoit différentes configurations d’interconnexion, comme l’intégration d’un convertisseur SFP ou SFP+ (avec câblage LC duplex), une version RJ45 (poursignal ethernet cat5e ou cat6), une version de signal très haut débit, du POE+ (puissance sur ethernet), une alimentation électrique (AC/DC),ou encore une version hybride de puissance et de signal.

Spécialement conçue pour relever les défis associés au déploiement de la 4G+, du LTE+ et du futur standard 5G sur le marché des télécommunications, OCTIS™ apporte une solution d’interconnexion robuste de terrain, idéale pour supporter les

conditions climatiques extérieures en environnements sévères. Le partenariat entre Radiall et FCI prof i te de l ’expert ise des deux sociétés. L’expérience de Radiall dans le développement de systèmes d’interconnexion en extérieur, associée à la compétence de FCI dans la conception de connexions signal très haut débit et de puissance, procure aux clients une large gamme de solutions performantes.

OCTISTM est une marque déposée par Radiall.

A propos de Radiall R a d i a l l e s t u n f a b r i c a n t d e renommée mondiale de composants d’interconnexion de haute fiabilité pour divers secteurs exigeants comme l’aérospatial, la Défense, l’industriel, le médical et les télécommunications, avec des centres d’expertise et des sites de fabrication situés sur 3 continents et 13 pays. A propos de FCI FCI est un fabriquant international de

systèmes d’interconnexions d’entrée-sortie conçus et fabriqués pour différentes applications marché comme le transport, les télécommunications, le stockage de données, l’industriel et l’électronique grand public .

FCI a des unités sur tous les continents.

Pour plus d’informations, visitez le site web : www.fci.com.

Contact :RADIALL Pierre BIGOT +33(0)4 76 50 00 [email protected] www.radiall.com

GOEPEL ELECTRONIC GmbH Inspection optique 3D des broches de connecteurs Grâce à lénregistrement des valeurs mesurées sans effet dómbre, le système 3D•EyeZ de GOEPELelectronic ouvre une mult i tude de possibilités dútilisation dans la fabrication électronique. Outre lássurance de qualité d’analyse des jointsdesoudureetcomposants,cecapteur permet une inspection de la circonférence et de la profondeur des broches de connecteurs sur les cartes électroniques. Par ailleurs le module3D•EyeZcontrôlelatorsionenx/yetmesurelahauteurdesbroches. M a l g r é l a m i n i a t u r i s a t i o n e t l ´ augmen ta t i on de l a dens i té d ´ i n t é g r a t i o n s u r l e s c a r t e s électroniques, les connecteurs représentent toujours une partieessentielle des composants assemblés.

Enplusdesjointsdesoudureetlapolarité, la position mécanique de chaque broche est très importante pour pouvoir évaluer la qualité. Afin dássurer le positionnement du connecteur lors du montage final ou chez lútilisateur, il est nécessaire de mesurer les pointes des broches non seulement en direction x ou y, mais aussi en z. De plus, il est important de mesurer non seulement les positions entre elles, mais aussi par rapport aux autres objets, par exempleaux boîtiers ou perçages dans les cartes électroniques. Dans ce cas la combinaison de plusieurs méthodes de mesure est essentielle : méthode 3D pour les mesures de hauteur et tests de coplanarité, ainsi que des enregistrements dímages 2D orthogonales et inclinées pour positionnementx/yaumêmeniveau.Les résultats de mesures et les valeurs de tolérance définis peuvent être utilisés pour différentes positions.

Cést pour cela que la mesure 3D est trèsflexibleetglobale.

Lemodule3D•EyeZpeutêtreintégréavec la caméra orthogonale et la caméra dángle « Chameleon » dans les systèmes AOI en ligne ou stand-alone, de la société GOEPEL electronic.

Contact :ORION INDUSTRY Eric VOJET +33(0)1 69 34 53 11 [email protected]


WURTH ELEKTRONIK Nouveauté dans le calcul des alimentations : avec l’outil d’aide au design REDEXPERT publié par Wurth Elektronik, bénéficiez des résultats les plus précis au monde lors de votre simulation.

Wurth Elektronik a publié un nouvel outilen lignebaptiséREDEXPERTavec lequel les développeurs peuvent dimensionner les inductances de stockage de leurs alimentations à découpage avec une facilité et une précisionjamaisrencontréejusque-là.En quelques clics, les inductances de stockage sont déterminées en valeur, en boitier et en taille. Grâce à une méthode de calcul des pertes DC et AC extrêmement précise, le rendement et l’élévation de température sont connus et très proches de la réalité. Laparticularité:REDEXPERTpermetle calcul des pertes le plus exact du monde car il n’est pas simplement basé sur les modèles de Steinmetz habituellement utilisés mais bien déduit et validé par des mesures réelles des différentes familles de selfs dans des alimentations à découpage.

LespertescalculéesparREDEXPERTsont basées sur les formes typiques d’application du courant et de la tension. Elles comprennent, outre les pertes de noyau et cuivre, également

les pertes issues des effets de bord dus à la présence d’un entrefer lorsque c’est le cas.

Il faut souligner que, pour le modèle de pertesACdeREDEXPERT,sontprisencompte aussi bien la plage de rapports cycliques de 10 à 90% que la plage de fréquences de découpage allant de 50 kHz à 5 MHz. Ceci confère au modèledepertesACdeREDEXPERTuneprécisionjamaisatteintejusqu’àprésent.

REDEXPERT e s t d i s p o n i b l egratuitement sous : www.we-online.com/redexpert.

Contact :WURTH ELEKTRONIKDominique VERARDO+33(0)6 88 23 96 08 [email protected] www.we-online.com

RED EXPERT offre une interface utilisateur moderne et intuitive

BETA LAYOUT Production en Pool de cartes de circuits Flex - Nouveau Service PCB-POOL® de Beta LAYOUT Pour les géométries complexes, les cartes de circuits Flex sont le meilleur moyen de faciliter le travail des ingénieurs. Les cartes flexibles sont peu encombrantes, légères et peu coûteuses, leurs connexionsélectriquessontplusfiables...etlalistede leurs avantages ne s’arrête pas là !

Pour le développement de prototypes, BetaLAYOUTaintroduitunnouveauservice de fabrication, qui offre la production de cartes de circuits Flex enutilisantlaméthodedepoolingPCB-POOL®.PlusieursdesignsdePCBssont combinés et les commandes sont fabriquées ensemble, pour réduire

lecoûtglobaletsupprimerdesfraisd’outillage importants. EnélargissantceservicePCB-POOL® pour les cartes de circuits Flex, les clientsbénéficientdefaiblescoûtset de délais de livraison courts. Les cartes de circuits Flex de notre Flex-Pool sont fabriquées exclusivement en Allemagne. Le calcul de prix et le passage de commande sont possible directement en ligne, en utilisant www.pcb-pool.com.

Les cartes de circuits Flex sont actuellement disponibles en simple ou double couche. Le matériau de polyimide est uti l isé en tant que couche de base; l’épaisseur entre les couches de cuivre est de 18 m ic rons e t l ’ épa isseur totaleduPCBestde0,2mm.

Ilyaaussilapossibilitéd’ajouterunmatériau de renfort. Lesdétailstechniquesetspécificationsrelatives à la production de cartes de circuits Flex sont disponibles sur le site deBetaLAYOUT(www.pcb-pool.com). Vous pouvez également y trouver des astuces et conseils sur le layout de cartes de circuits Flex et le processus d’assemblage.

Contact :BETA LAYOUT Jennifer WICKERS 0800 90 33 [email protected] www.pcb-pool.com



CRM Synergies Fabricant d’alliages étain pour l’électronique.

CRM Synergies est un acteur européen majeurdanslafabricationd’alliagesde brasage et de produits de soudure dédiésspécifiquementàlaproductionde cartes électroniques. Sur notre site de production en Espagne, près de Madrid, nous fabriquons tous types d’alliages en base étain pour l’ industrie électronique. De nombreuses références d’alliages sont mises au point, fabriquées et contrôlés par CRM Synergies, alliages qui peuvent être regroupés en 3 grandesfamilles:lesétain/plomb,lesétain/cuivre/argent,commeleleSAC305 ou le SAC+0307pour les plus courants,etlagammedesétain/cuivretels que le Sn99,3Cu0.7 ou encore leFujiSn100CRM,alliagedopéauGermanium qui offre des qualités de soudures et une résistance dans le temps remarquables.

Nous complétons notre offre d’alliages parlafabricationdenospropresfluxet décapants de soudures, flux de soudure pour la soudure à la vague ou fluxincorporéspourlesfilsdebrasage.

Nos principaux clients sont issus de l’industrie automobile, des secteurs de l’énergie, du médical ou encore sont des sous-traitants pour l’aéronautique. A travers notre service technique, nos délégations commerciales dans les principaux pays européens et notre filiale au Maghreb, CRM Synergies accompagne et conseille l’ensemble de ses clients dans leur production électronique. CRM Synergies , d is t r ibuteur de pièces de rechange et de consommables pour pose de CMS et traversants.

Depuis plus de 15 ans CRM Synergies aréférencéetqualifiéungrandnombrede fournisseurs de consommables et de pièces de rechange en CMS et traversants. Au siège de la société,

nous disposons d’un département sourcing composé de 6 personnes qui répondent quotidiennement aux consultations de nos clients et recherchent pour eux les références recherchées au meilleur rapport qualité prix.

Aujourd’huiCRMSynergiesestenmesure d’offrir des pièces de rechange pour la quasi-totalité des marques de machines de placement existantes sur le marché : buses, filtres, courroies, moteurs, feeders et pièces de feeders etc…Nous complétons cette offre avec de nombreux consommables, notamment une large gamme de produits de raboutage, du petit outillage, des protections ESD etc..

CRM SYNERGIES, travaille sur des marchés à forte concurrence où les résultats et l’expérience s’obtiennent sur le long terme, ce qui nous amène naturellement à proposer à nos clients un service exclusif et des tarifs compétitifs.

CRM Synergies , d is t r ibuteur d’équipements de production : La gamme Speedline Technologies.

CRM Synergies distribue, notamment pour le marché français, la gamme Speedline Technologies. Ce fabricant américain réunit sous sa bannière quatre marques, chacune parmi les mieux reconnues dans leur catégorie: MPM pour la sérigraphie, CAMALOT pour le dispensing, ELECTROVERT pour la soudure à vague et les fours de refusion et enfin ACCEL pour les machinesdelavage.Depuistoujours,Speedline Technologies s’est forgé une réputation de leader en innovation et solutions technologiques pour les industries d’assemblage électronique et de semi-conducteurs.

Aujourd’hui,Speedlinetechnologiesconforte sa renommée mondiale grâce à son expérience et à sa connaissance des process et soutient par ses innovations technologiques l’ensemble de ses clients, pour améliorer sans

cesse leur productivité et compétitivité.

Outre la distribution des équipements Speedline sur les marchés français, espagnol et des pays du Maghreb, CRM Synergies complète sa gamme d’équipements proposés avec des fabricantsreconnuspourleurfiabilitéet leurs compétences :

• Inspection Rayons X, Phoenix -General Electrics ,

• Inspection AOI et SPI en technologie 3Di, A Leader

• Ecrans de sérigraphie, Christian Koenen

• Vagues Sélectives et machines de vernissage ProMasTech

Contact :CRM SYSNERGIESVincent LAFON+33(0)6 20 75 33 52 [email protected] www.crmsynergies.com


Contact :STPELECTRONICS Éric VIGNARD +33(0)4 76 45 69 25 contact@stp-electronics.comwww.stp-electronics.comwww.inspectoscan.com

STPELECTRONICS Les solutions Robotas, d’aide à l ’ insert ion manuelle et d’aide à l’assemblage, sont déjà connueset reconnues pour leurs efficacités et le gain de temps constaté par les opérateurs.

Nouveauté SIGMA SIGMA vous permet d’informatiser vos instructions de montage via une interface de programmation simple et intuitive. Réduisez considérablement votre temps de création d’instructions d e m o n t a g e . V o s o p é r a t e u r s bénéficierontdesinformationsetdesoutils nécessaires dont ils ont besoin pour chaque étape d’assemblage.

Cette année, l’accessoire DPL (ou Dynamic Pick to Light) vient agrandir la famille Robotas. Cet outi l est un système intelligent qui permet

d’indiquer à l’opérateur où piocher les composants ou pièces afin d’éviter les erreurs. La configuration est personnalisée et l’interface est simple d’utilisation. Intégrer le système DPL dans vos magasins et laissez-vous guider pour le choix et la recherche d’outils et composants.

Profitez d’un outil complet qui vous fera gagner du temps et améliorera la qualitédevosproduitsfinis.

Plus d’ informat ions : www.stp-electronics.com rubrique « Insertion manuelle »

W-TECH W-Tech présente la nouvelle vague sélective « Pilot », développée par Pillarhouse (UK) Cette toute nouvelle vague sélective de « table », à chargement manuel, est idéale pour les petites moyennes séries.Conçuepourjoindreflexibilitéetqualité, elle est compatible avec toutes les technologies Pillarhouse en restant peu onéreuse. Caractéristiques : • Dimension : 1025 x 726 x 700mm (H x L x P) • Taille de carte max : 330 x 250mm • Système d’azote inerte • Alimentation de soudure automatique et détection de niveau • FluxeurDrop-jet • Extraction intégrée de la fumée • Caméra couleur programmable • Deuxchargeursuniverselsajustables • Logiciel PillarCOMM (base Windows) • Compatible alliage sans plomb • Buses: Style AP : 2,5mm à 16mm Ø Busestype«Extended»: 2,55mm à 20mm Ø MicroBuse:1,5mmà2,5mmØ Busestype«Jet-Tip»:6mmto40mmØ Busesurmesuredédiéesur demande

Options : • Systèmedefiltrationdefumée • Correction manuelle des mires • PillarPAD Système de programmation «Offline» • Préchauffe basse • PillarGEN30:Générateurd’azote/Stand pour machine

Cette « petite » qui a tout d’une grande, va bousculer vos calculs de ROI.

Contact :W-TECHOlivier WEEGER+33(0)4 74 93 01 54 [email protected] www.w-tech.fr



Contact :SERSASamad NASSIH+33(0)1 39 29 73 37 [email protected] www.sersa.fr

SERSA Mettez de la couleur dans vos affichages La technologie FSLCD permet de se différencier en apportant de la couleur surdesafficheursàsegments.

C’estlebacklightàLEDRGBassociéàun liquide cristal très rapide qui permet cette innovation en créant une palette de 8 couleurs. Pour aller plus loin dans l’ergonomie onpeutyajouterunedalle tactilecapacitive.

Ainsi on peut monter en gamme le niveau del’IHMtoutenmaîtrisantsescoûtsdedéveloppementetdeproduitfinal. Les avantages de cette technologie FSLCD : • Solution sur mesure

• Grands Angles de vue • Excellent contraste Larobustessedecetafficheurpermetson utilisation dans l’embarqué, ou les environnements industriels et médical.

S E R S A v i e n t d e f i n a l i s e r l e développementd’unafficheurFSLCDéquivalent d’un 7’ pour une application de four professionnel. Un kit de démonstration est disponible afind’évalueretd’intégrercettesolutionpour vos applications.

Industriels de l’électronique, vous générez des déchets, ces déchetssont soit des mines de matières premières réutilisables, soit desdéchets à éliminer. Dans tous les cas et dans votre intérêt, cesdéchets doivent être confiés à une société dont c’est le métier.

Depuis 1985, Chimie Circuit propose une solution à ce besoin degestion rationnelle des déchets.

Chimie Circuit traite et valorisa les déchets contenant des métauxprécieux et non ferreux : circuits imprimés, composantsélectroniques, cartes et équipements électriques et électroniques,étain et étain plomb, etc.

Chimie Circuit vous assiste également dans la gestion (collecte etlogistique) de vos déchets dangereux conditionnés : emballagesvides et/ou souillés, fûts métalliques, pâteux et liquides organiques,résines, silicones, isocyanate, etc.

Parc d’Entreprises La Radio – F28 100 DreuxTéléphone : 02 37 38 30 28

Courriel : [email protected] internet : www.chimie-circuit.fr

Industriels de l’électronique, en matière de gestion et de valorisation des déchets, vous avez besoin d’une expertise

Best-in-Class SMT Solutions

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SIPLACE Placement SolutionsLeader en matière d’innovation sur le marché des équipements de placement CMS – Offre les machines les plus rapides, les plus flexibles et les plus précises du marché.

DEK Printing SolutionsLeader technologique et leader du marché de la sérigraphie, fournisseur de la plateforme évolutive Horizon iX qui s’adapte à toute dynamique de production ainsi qu’aux besoins futurs.

DEK et SIPLACE forment désormais la Division SMT Solution au sein d’ASM Pacific Technologies. L’acquisition de DEK complète la gamme des équipements CMS et offre aux clients un potentiel important d’innovations, permettant en fin de compte d’améliorer encore plus leur efficacité.


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Les cahiers de l'Industrie Electronique & Numérique N° 86