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28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole. 49 Ir.; I an, 92 Ir. VIVE NE MALHEUR ! DROLE de journal que l'Or- sire, espèce d'hôtel ou les te- nôtres sont ouvertes à tous les vents sauf à ceux qui viendraient du Front Populaire Enfile Bure, qui semble y régner sans y gouverner, est peut-être de tous les hommes qui tiennent une plume en ce moment celui qui aime à r6prouver le plus sou- vent les a fureurs partisanes a. Cela n'empêche pas certes la Heur o partisanerie a de pulluler le long des colonnes. Et cela, même pour 110 odorat peu difficile, ne sent pas toujours bon. Tout le monde se souvient du frappant tableau que Lion Blum, avant de clore la session parle- mentaire vendredi matin, a fourni la Chambre et au pays de Leuvre réalisée en commun par le Gouvernement et par la majo- rité de Front Populaire, en dmx mois d'existence ministérielle. En face de chacun des projets annon- ces le jour ou se présentait le Ca- binet et déposé dans la huitaine, il pouvait mettre le mot voté. Je! ne rappelle pas ce magnifique bi- lan. Qui ne l'a dans la tête ? 131um ajoutait la série de lois adaptées' par les deux Chambres pour ré- primer la fraude, comme... Une organisation du marché, ouvrir des débauchés aux forces jeunes de la France, entamer la série de mes.m propres b aider le com- merce et l'industrie dans la lutte contre la crise, etc... 11 pouvait avec fierté constater encore que le Parlement avait donné raison aux ministères dans des négocia- tions extérieares difficiles. Il no- tait enfin que d'ici à la fin des PaAnces. le trupil -a.empli per- niellait d'en annoncer une suite associant tous les éléments so- ciaux de notre pays au relèvement économique nécessaire à sa liberté comme à sa grandeur. Assurent, les opinions sent libres et l'on comprend que des « conservateurs a, des réaction- noirra ne joignent pas kurs mots d'approbation à la maniestation d'enthousiasme quia salué notre Président du Conseil à sa descente de la tribune. Mais quelle forme la rédaction de l'Ordre donne- t-elle à son impression au sujet de la besogne entreprise et à pour- suivre ? Critiques, réserves, objec- tions, si rudes, si sévères, si in- justes même qu'elles soient sur les moyens employés ou envisagés pour k but à atteindre : la virée notre pays ? Ce serait trop peu « partisan o. Le titre mis en tête du ooMpte rendu de la fin de ses- sion est celui-ci : Trop tôt le bul- letin de victoire, M. Léon Blum I Cri où s'entend tout de suite le vu qui est yens en tête à l'adver- saire : a Si la voiture qui porte la fortune de la France pouvait capoter 1 Quel bonheur ce serait de voir notre pays s'enfoncer dans le malheur perce qu'il a voulu changer la direction que lui don- naient les Tardieu, Laval et Cie s Les gens qui ont applaudi aux tentatives heureusement manquées du fascisme en Erance, qui ne craignent pas de saisir toutes les Enfin le soleil a 'brillé. PENDANT LES FÊTES occasions d'aider les fascismes d'ailleurs, qui, dons les nouvelles d'Espagne, montent en épingle tout ce qui favorise les réactions euh- rées contre le Gouvernement ré- publicain légal, ne savent pas même dissimuler leur vrai senti- ment. Vont-ils feindre de souhai- ter le succès d'une a expérience a, fût-elle contraire à leurs concep- tions, qui remettrait leur Patrie dans un bramas chemin ?Ils n'ont pas la force de cette hypocrisie le voeu mort au Front Popu- laire ! peme leur profession ha- bituelle de patriotisme. Car, est-il besoin de le dire, ce sant de grands patriotes qui vouent ainsi l'effort de leur patrie à la catastrophe parce que la victoire coûterait peut-être quelque chose aux pri- vilégiés qu'ils veulent défendre. Notes qu'il ne s'agit pas d'une note isolée dans un mneert qui serait diffèrent. Il ne serait pas difficile d'en trouver dans d'au- tres journaux de tout aussi signi- ficatives, même davantage. Si j'ai de préférence relevé cette for- mule, c'est qu'elle paraît dans un numéro dont la m.chette, coïnci- derme paradoxale, portait ces mots de Blanqui :On appelle NATIONAL aujourd'hui tout ce qui sert à dé- truire la nation. Le rapprochement parle trop bien pour être 0005- menté. A tous les citoyens qui le com- prennent, d'aider, d'appuyer de plus en plus le ministère do Front Populaire à direction socialiste, dans la route où ils trouveront avec tous les Français, même ceux qui la suivent de si mauvais gré, un horizon libreMent onvert Damia. MACKE (A.-M. »raseuseamO. mont. nus ilistiili anspeolionsion Indaleeio Prieto (à droite), photo- graphié la semaine dernière avec un Calltaradn SOCIALISTE Dans la sierra Guadarrama, une section d'infanterie part à l'arasul des positions insurgées. La lutte s'intensifie dans le pays basque que depuis quelques jours 1_, les Oreiller an Pendrai Moto ont ,,tdeltê Our le front Irae-Saint- Sébastien se renouvelle chaque jour avec soi grand acharnement. Jusqu'a Présent Oct rebelles n'ont pas an réa- liser des progrès Ores sensibles, et il laut s'o./lare d ce qu'ils décleneent dc nouvelles attaques, avec Da collabo- ration des quelques navires dont ils disposent. Satntedbastien serait ainsi investie par terre et Par mer. La ré- sistance des forces du Front pomdoire est admira* ' fer tranehees sont construites on hommes et femmes s'apprêtent d empêcher Vero00 des monarchistes. 000 ru kre.er',n.*.à4Ttoe're .gat - Enfin, /a chaleur! Tandis que les travail- leurs en congé ont emmené leurs femmes et leurs gosses sur les plages de la mer et de l'océan, ceux qui n'ont en partir Ru iifjt ensAg 5j pieciam,, rue. ces rames mua/. comeresprat quelques centaines enomines de trou. CO et environ 4.000 sninciens armés de Mauser et de Nails de chasse. « Les rebelles, au nombre de 4100, Mes.- ..rient d'une batterie ausilleria eamPag,oe et d'une grosse seperiorité en armement de dernier modtle. » Puivont le môme correspondant, les rebeiles, en entrant do. In vilts, ace trouvé 380 prisonniers politiques que le, républicains avaient respectes. Par contre, «pris ta victoire, ç ris ciras 1201. miliciens et suspects ont Clé passés aussitôt par les armes s. Lu différence d'attitMde entre tes ré- s./geai. et les mercenaires du génê- ral Franco prouve de socs ofté an lutte pour le civilisation. Jamais les air. menrt populaires n'arriverst 0 lu froide ersautô des fascistes. La a croi, rade » maromine centre Or peuple es- Paelos est un des crimes les plus atro- ces et les plus ignobtes du fascisme internotiona/. André LEROUX. Paris, 17 août. Les nouvelles toujours PCII préci- ses soi nous parviennent aujoubil'hui d'Espagne confirment que l'action principale des combattants s'est por- tee sur le front de Gailmmos. Les premières dépêches annoncent que les navires rouelles ont Com. mencé à bombarder Saint-Sébastien. En effet, l'ultimatum qui avait cté envoyé par les blaura à Iran et à Saint-Sébastien, d'avoir e se rendre avant /e 17 août, atity..1 lals été exé- cuté, le bombardement a 010 décidé. D'autre biffer/Mens, parvenues au début de l'après-midi, tont conuai- tre qu'a hou également l'action des rebelles s'est manifestée activement que les autorisée du Front Populaire avaient déclaré qu'au premier obus gai tomberait da nombreux otages seraient fusillés. Dans le fort de Guadelupe, qui commande Saint.Sébastion, soumis depuis 9 heures. au tir du croiseur rebelle e ESpana s, se trouvent en- viron 1.200 Prim.... Divers bruits ciondent à la fron- tière française selon lesquels un cer- tain nombre de ces prisonniers ais. rober été fusillés. On dit même que le comte de Ronsanones, qui se trou- vait à Fontarabie, y aurait été con. duit ce matin. On précise que a l'Espana n avait croise tout la nuit au large des côtes ,spagcSle, pointant ire canons sur les hauteurs de Fontarabie où est si- tué le buée Guadelupe. Le bombar- dement était parfaitement '324"4'" 050 2.4ka. FIQUO(RoS Les événements d'Espagne LES MILICES POPULAIRES résistent vaillamment aux attaques des troupes rebelles contre Irun et Saint=Sébastien UN MILLIER DE MILICIENS ONT ETE FUSILLES A BADAJOZ PAR LES FASCISTES Une colonne républicaine progresse de Valence sur Teruel LEGERE AVANCE DES TROUPES GOUVERNEMENTALES SUR LA SIERRA GUADARRAMA juchées sur le toit de leur maison, en suivaient les péripéties. .Les canons de Guadelupe n'ont pas répondu. A midi, le bombardement par suer du fort de Guadelupe a cessé. Une bombe tombée dam une ferme de Fontarabie a fait deux blessés. En s tes an , b'cvv,tc duo ma- gnais de Fontarabie a commence dans la matinée, vers la frontière/ française. Ds traversent en harpe,/ chargés de valises, de malles, de pa- guets de toutes sortes; quelques uns ont placé leurs affaires dans des lia- niera d'osier que les femmes partent sur la tête. A 13 heures, on comptait trais cents réfugiés; femmes et en- fants en grand nombre, le visage an- xieux, étaient arrivés à Hendaye. Quelques personnes ont également traversé la frontières' brun; d'au- tres sont arrivées de Saint-Sébastien Trais navires rebelles croisent en- tra le cap des Pipiers, à la limite des eaux territoriales françaises et Saint-Sébastien. Ce sont outre e l'Es- pana D, H l'Almirante-Cervera a et le torpilleur a Velasco Le bruit court que deux avions gouvernementaux partis de l'aéro- drome de la Stae, prés de Saint-Sé- bastien, auraient bombardé les navi- Sur le front de terre, aucune atta- que n'a été déclenchée et u de l'a. près-midi, ft 13 h. 30, /es positions des deux partis en présence restaient sons amusement. LES GOUVERNEMENTAUX AVANCENT SUR SARAGOSSE tin communiqué radiophonique de Barcelone annonce que, sur le front aragonais, le colonel Villalba, centi- me soa avance Me Saragosse. La colonne du commandant Ortie sers dl sud de Saragosse, s'est rendue maîtresse de positions importantes. a L'ALMIRANTE- CERVERA BOMBARDERAIT SANTANDER 2 On mande de ? c Déhalage Tele- graph r, que selon des infermations de presse, lo cuirasse rebel.le espa- gnol se trouvant actuelement dans Ira parages dé Santander va armé- der a. brève tehéance au bombarde- ment de cette ville. LES G(0IIVERNEMLNTAUX ANNONCENT LE DEBARQUEMENT DE LEURS TROUPES A MAJORQUE 442.11:épatés soelatia les SaLàbans A Villars la présence de La Rocque est devenue intolérable La population rurale, un moment intimidée par les croix de feu, déclare qu'elle ne supportera plus aucune provocation DE SON COTE, LA CLASSE OU- VRIERE CLERMONTOISE ESTIME QU'ON A ASSEZ VU LES MEUS FACTIEUX DANS LA 1111(11031 Il a tout de moue bien fallu, li la saite de nos révélstio., parter de la mort de se »uses de Barbue du Mes- On ne s'y est résolu qu'a regret. Si certains journaux 0,00 d'information ont donné quelques détails sur ras, faire, d'aunes, comme 4'.Eclio de Paria Ou fegelete 11101110P.. 0000 150 Kérillis SI l'Aption française du provocateur Maurms, se sont bernés à la public. ti on,des communiqués unemongere du fre,,,Ele la vietime ou de 8.1. inspira- Si Sou en mon la mes. réaction. c'enpeine si Hugues de Ba, bue s'est un tout petit peu suicidé. Oui 0005mt on ne lui en fait pas publiquement grief, mais on regret. n'ait choisi ni un autre moment nt un autre lieu. De la Rooque ne s'est-11 pas exclamé: Oet idiot aurait nu choisir une antre heure... Il a fallu quit devienne fou pour me faire ça, h MOI, ICI 1... En quelque sorte, M. de Berbus4 du PlP00551, dont la neurasthénie a pu avoir Poux origine davantage la scis. slon C. d. 8. N. que Ilepofhétique pava dont son frêne vient de faire état n'a peut-être pas eu d'autre tort, au regard de ses anciens amis, de son au. cies ohm, que de ne ms aller (Proyer, un temt petit peu plus loin et un tout getic tuée. .diseratement. YeMplole h dessein le mot e crever uniquement parce que je pense h cer. tains chiens fidèles qui finissent ce. pendant sur les tables d'équarrissage. Mals ceci est affaire entre ces me. sieurs du Parti Social Malts 1515050 0) Français et leur conscience. A. LAMBORAY. (Voie /a suite en deuxième Pagel. ont télégraphié sa président Compa- nys que, suivant des renseignements Obus avaient reçus du navire de gurere s Almirante Miranda r, la première colonne des forces loyales éatient parties à la conquête de File Majorque vient de débarquer dans celte ile à 9 heures du matin. LE TRANSPORT PAR AVION nes TROUPES MAROCAINES S'INTF3NSIFIE Les transport des troupes de Te- toun en Espagne par la voie des airs se sont intensifiés hier et avant- On évalue à ria ou six cents hum' mes par jour le nombre des soldats transportés. AUCull transport n'a lieu par bateau. IV. /g ssite en deuxième page) f L'effroyable guerre civile, 'dans laquelle l'entreprise criminelle et sans excuses d'aucune sorte, de quelques soudards f). Mem et stupides, a jeté l'infortunée Capa- gne, se poursuit dans les ,conditions que Von sait, ruinant complètement ce mall.m. reux pays. Les mercenaires sauvages du Riff et les bandits sans foi ni lois du u Tercio amenés du Maroc par le sinistre Franco, ont mis samediO feu et à sang Badajoz, captait° de restremadure, cité de soma habitante, gui, du moins les comptait en- gare d y a quetques jours. Et /es scènes effroyables de tueries d'hommes, de fem. 'mes et d'enfants, dont la presse mondiale louas apporte le récit, prouvent que les jCsalliffets rapagnois remplissent très erse- lement le programme sanguinaire qu'ils .bRichaient impudemment depuis plusieurs semaines, dans la presse ou par la radio. Cependant, gutivm use incroyable pis- 010111, notreu grande cercle,. les enre- gistre. Hier encore, n'étai:po pas le Petit Parisien qui, avec complaisance, de Sé- ville transmettait les propos insensés, les arrogantes et féroces prétentions du sou- dard Fran. non exposé fallacieux des taises de s, robnllios, SCS projets sala. lins - sans sa de Protestation, ni lame une réserve. 1., essoMes 'Tee eeereie- "LEON BI.UM A RENDU AU PAYS LA CONFIANCE DANS LA DEMOCRATIE" ...déclare M. Viollette au cours d'un beau discours prononcé à Angoulême Le ministre d'Etat exalte l'oeuvre législative accomplie en dix se. mainm et rappelle la mande. lotion grandiose du 14 juillet, C'était une moralité nouvelle qui s'affirmait au service d'un idéal retrouvé et rajeuni a, a- Cil ajouté en évoquant l'accueil émouvant que la foule a réservé à Léon Blum lors de son appm rition à la tribune de la place de /a Nation. Angeulôme, Id août. Au uoura Fun banquet org.ise à Rouilla, pour :Mer 10 SUCDèS du Front Populamo et l'élection de M. Gounin M. Mau- rice Vieilette a déclaré notamment Lo Front Populaire vient de li- vrer sur le terrain parlementai05 sa première bataille, Il r° brillamment famée. Le 2.11aUf ea. mdutirê ms parolo ue,t, gouvernement et majorité ont dû, au milieu des préoccupations intérieu- res et extérieures les plus abserkan-: tes, concevoir, étudier, rédiger et dés libérer dans las commissions d'abord. ensuite dans l'une et 10010m don assemblera législatives. Aiui e'est, phiié un mouvement législatif dont, le président du Conmil avait raison, samedi matin, d'en considérer les lignes aies fierté. «Let effort a MI réalise dans la légalité et la cécité démmratiques. Pas trme de décret-loi. Le gouver- nemeint joue 19 jeu avec uno loyaut4 totale, ne biaisant avec aucune dif- ficulté, se bornant, aux minutes de lassitude ou de mauvaise tumeur, a rammer le courage en faisant sim- plement appel au devoir Moab/Mai. Ceux mêmes qui, hier, doutaient et dénigraient, tiennent aujourd'hui 4 honneur d'avoir participe, (Voir la suite en deuxième page). lllll 1111 11 llllllllllllll lllllll lllllll 1111/111 lllll 1111/1111111 lllll 11111111 llllll 1m Le Palaminy lIME IRE QU'IL FAUT 'M ECLALRCIR 1 DES CARTOUCHES DEPOSEES 1 CHEZ LE REPRESENTANT OFFICIEL DU DUC DE GUISE 1 LN PROVENANCE D'ESPAGNE I PAR UN AVION SUSPECT (Voir Pular-matim en deuxième Page) APRES LES TUERIES D'ESTREMADURE Notre devoir, face à la tragédie de "Espagne Par Jean LONGUET Peres Farras, qui 5000mande la eolenne catalane sons Saragosse, ment mon esprit en ces journées usai ques, oh elle est ensanglantée se report vers le voyage que de Madnd Ois a quatre années, en compagnie de notre camarade margarits Nelken, députée se eigiSle 4e 1.13 peovjgee. 080 949, à CENT) s4101101 Is AOUT 1656 on o Vivre en paix, travailler en paix TOUL et dormie en paix. Rédaction et Administration : 38, rue Roquelalne, TOULOUSE Tél. 200.43 C. C. Postaux 5.277 BUREAUX A PARIS : 5, rue St-Augustin (2,9 Téléph. Richelieu 69.00 (3 lignes groupées sur ce numét0) Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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28. eiNle. 9e8

ABONNEMENTSà mele, 25 tr. 6 mole. 49 Ir.; I an, 92 Ir.

VIVE NE MALHEUR !

DROLE

de journal que l'Or-sire, espèce d'hôtel ou les te-nôtres sont ouvertes à tousles vents sauf à ceux qui

viendraient du Front PopulaireEnfile Bure, qui semble y régnersans y gouverner, est peut-êtrede tous les hommes qui tiennentune plume en ce moment celuiqui aime à r6prouver le plus sou-vent les a fureurs partisanes a.Cela n'empêche pas certes la Heuro partisanerie a de pulluler lelong des colonnes. Et cela, mêmepour 110 odorat peu difficile, nesent pas toujours bon.

Tout le monde se souvient dufrappant tableau que Lion Blum,avant de clore la session parle-mentaire vendredi matin, a fourni

la Chambre et au pays deLeuvre réalisée en commun parle Gouvernement et par la majo-rité de Front Populaire, en dmxmois d'existence ministérielle. Enface de chacun des projets annon-ces le jour ou se présentait le Ca-binet et déposé dans la huitaine,il pouvait mettre le mot voté. Je!ne rappelle pas ce magnifique bi-lan. Qui ne l'a dans la tête ? 131umajoutait la série de lois adaptées'par les deux Chambres pour ré-primer la fraude, comme... Uneorganisation du marché, ouvrirdes débauchés aux forces jeunesde la France, entamer la série demes.m propres b aider le com-merce et l'industrie dans la luttecontre la crise, etc... 11 pouvaitavec fierté constater encore quele Parlement avait donné raisonaux ministères dans des négocia-tions extérieares difficiles. Il no-tait enfin que d'ici à la fin desPaAnces. le trupil -a.empli per-niellait d'en annoncer une suiteassociant tous les éléments so-ciaux de notre pays au relèvementéconomique nécessaire à sa libertécomme à sa grandeur.

Assurent, les opinions sentlibres et l'on comprend que des« conservateurs a, des réaction-noirra ne joignent pas kurs motsd'approbation à la maniestationd'enthousiasme quia salué notrePrésident du Conseil à sa descentede la tribune. Mais quelle formela rédaction de l'Ordre donne-t-elle à son impression au sujetde la besogne entreprise et à pour-suivre ? Critiques, réserves, objec-tions, si rudes, si sévères, si in-justes même qu'elles soient surles moyens employés ou envisagéspour k but à atteindre : la viréenotre pays ? Ce serait trop peu« partisan o. Le titre mis en têtedu ooMpte rendu de la fin de ses-sion est celui-ci : Trop tôt le bul-letin de victoire, M. Léon Blum I

Cri où s'entend tout de suite levu qui est yens en tête à l'adver-saire : a Si la voiture qui portela fortune de la France pouvaitcapoter 1 Quel bonheur ce seraitde voir notre pays s'enfoncer dansle malheur perce qu'il a vouluchanger la direction que lui don-naient les Tardieu, Laval et Cie s

Les gens qui ont applaudi auxtentatives heureusement manquéesdu fascisme en Erance, qui necraignent pas de saisir toutes les

Enfin le soleil a 'brillé.

PENDANT LES FÊTES

occasions d'aider les fascismesd'ailleurs, qui, dons les nouvellesd'Espagne, montent en épingle toutce qui favorise les réactions euh-rées contre le Gouvernement ré-publicain légal, ne savent pasmême dissimuler leur vrai senti-ment. Vont-ils feindre de souhai-ter le succès d'une a expérience a,fût-elle contraire à leurs concep-tions, qui remettrait leur Patriedans un bramas chemin ?Ils n'ontpas la force de cette hypocrisiele voeu mort au Front Popu-laire ! peme leur profession ha-bituelle de patriotisme. Car, est-ilbesoin de le dire, ce sant de grandspatriotes qui vouent ainsi l'effortde leur patrie à la catastropheparce que la victoire coûteraitpeut-être quelque chose aux pri-vilégiés qu'ils veulent défendre.

Notes qu'il ne s'agit pas d'unenote isolée dans un mneert quiserait diffèrent. Il ne serait pasdifficile d'en trouver dans d'au-tres journaux de tout aussi signi-ficatives, même davantage. Si j'aide préférence relevé cette for-mule, c'est qu'elle paraît dans unnuméro dont la m.chette, coïnci-derme paradoxale, portait ces motsde Blanqui :On appelle NATIONALaujourd'hui tout ce qui sert à dé-truire la nation. Le rapprochementparle trop bien pour être 0005-menté.

A tous les citoyens qui le com-prennent, d'aider, d'appuyer deplus en plus le ministère do FrontPopulaire à direction socialiste,dans la route où ils trouverontavec tous les Français, même ceuxqui la suivent de si mauvais gré,un horizon libreMent onvertDamia.

MACKE (A.-M. »raseuseamO.

mont. nus ilistiili anspeolionsion

Indaleeio Prieto (à droite), photo-graphié la semaine dernière avec un

Calltaradn

SOCIALISTE

Dans la sierra Guadarrama, une section d'infanterie part à l'arasul des positions insurgées.

La lutte s'intensifie

dans le pays basque

que depuis quelques jours1_, les Oreiller an Pendrai Moto ont

,,tdeltê Our le front Irae-Saint-Sébastien se renouvelle chaque jouravec soi grand acharnement. Jusqu'aPrésent Oct rebelles n'ont pas an réa-liser des progrès Ores sensibles, et illaut s'o./lare d ce qu'ils décleneentdc nouvelles attaques, avec Da collabo-ration des quelques navires dont ilsdisposent. Satntedbastien serait ainsiinvestie par terre et Par mer. La ré-sistance des forces du Front pomdoireest admira*

'fer tranehees sont

construites on hommes et femmess'apprêtent d empêcher Vero00 desmonarchistes.

000ru

kre.er',n.*.à4Ttoe're .gat

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Enfin, /a chaleur! Tandis que les travail-leurs en congé ont emmené leurs femmeset leurs gosses sur les plages de la mer etde l'océan, ceux qui n'ont en partir Ruiifjt ensAg 5j pieciam,,

rue. ces rames mua/. comerespratquelques centaines enomines de trou.CO et environ 4.000 sninciens armés deMauser et de Nails de chasse. « Lesrebelles, au nombre de 4100, Mes.-..rient d'une batterie ausilleriaeamPag,oe et d'une grosse seperioritéen armement de dernier modtle. »

Puivont le môme correspondant, lesrebeiles, en entrant do. In vilts, acetrouvé 380 prisonniers politiques quele, républicains avaient respectes.

Par contre, «pris ta victoire, ç risciras 1201. miliciens et suspects ontClé passés aussitôt par les armes s.Lu différence d'attitMde entre tes ré-s./geai. et les mercenaires du génê-ral Franco prouve de socs ofté an luttepour le civilisation. Jamais les air.menrt populaires n'arriverst 0 lufroide ersautô des fascistes. La a croi,rade » maromine centre Or peuple es-Paelos est un des crimes les plus atro-ces et les plus ignobtes du fascismeinternotiona/.

André LEROUX.

Paris, 17 août.Les nouvelles toujours PCII préci-

ses soi nous parviennent aujoubil'huid'Espagne confirment que l'actionprincipale des combattants s'est por-tee sur le front de Gailmmos.

Les premières dépêches annoncentque les navires rouelles ont Com.mencé à bombarder Saint-Sébastien.En effet, l'ultimatum qui avait ctéenvoyé par les blaura à Iran et àSaint-Sébastien, d'avoir e se rendreavant /e 17 août, atity..1 lals été exé-cuté, le bombardement a 010 décidé.

D'autre biffer/Mens, parvenues audébut de l'après-midi, tont conuai-tre qu'a hou également l'action desrebelles s'est manifestée activementque les autorisée du Front Populaireavaient déclaré qu'au premier obusgai tomberait da nombreux otagesseraient fusillés.

Dans le fort de Guadelupe, quicommande Saint.Sébastion, soumisdepuis 9 heures. au tir du croiseurrebelle e ESpana s, se trouvent en-viron 1.200 Prim....

Divers bruits ciondent à la fron-tière française selon lesquels un cer-tain nombre de ces prisonniers ais.rober été fusillés. On dit même quele comte de Ronsanones, qui se trou-vait à Fontarabie, y aurait été con.duit ce matin.

On précise que a l'Espana n avaitcroise tout la nuit au large des côtes,spagcSle, pointant ire canons surles hauteurs de Fontarabie où est si-tué le buée Guadelupe. Le bombar-dement était parfaitement

'324"4'" 050 2.4ka. FIQUO(RoS

Les événements d'EspagneLES MILICES POPULAIRES

résistent vaillamment aux attaquesdes troupes rebelles

contre Irun et Saint=Sébastien

UN MILLIER DE MILICIENS ONT ETE FUSILLES

A BADAJOZ PAR LES FASCISTES

Une colonne républicaine progressede Valence sur Teruel

LEGERE AVANCE DES TROUPES GOUVERNEMENTALESSUR LA SIERRA GUADARRAMA

juchées sur le toit de leur maison,en suivaient les péripéties.

.Les canons de Guadelupe n'ont pasrépondu.

A midi, le bombardement par suerdu fort de Guadelupe a cessé. Unebombe tombée dam une ferme deFontarabie a fait deux blessés.

En s tes an , b'cvv,tc duo ma-gnais de Fontarabie a commencedans la matinée, vers la frontière/française. Ds traversent en harpe,/chargés de valises, de malles, de pa-guets de toutes sortes; quelques unsont placé leurs affaires dans des lia-niera d'osier que les femmes partentsur la tête. A 13 heures, on comptaittrais cents réfugiés; femmes et en-fants en grand nombre, le visage an-xieux, étaient arrivés à Hendaye.

Quelques personnes ont égalementtraversé la frontières' brun; d'au-tres sont arrivées de Saint-Sébastien

Trais navires rebelles croisent en-tra le cap des Pipiers, à la limitedes eaux territoriales françaises etSaint-Sébastien. Ce sont outre e l'Es-pana D, H l'Almirante-Cervera a et letorpilleur a Velasco

Le bruit court que deux avionsgouvernementaux partis de l'aéro-drome de la Stae, prés de Saint-Sé-bastien, auraient bombardé les navi-

Sur le front de terre, aucune atta-que n'a été déclenchée et u de l'a.près-midi, ft 13 h. 30, /es positionsdes deux partis en présence restaientsons amusement.

LES GOUVERNEMENTAUXAVANCENT SUR SARAGOSSE

tin communiqué radiophonique deBarcelone annonce que, sur le frontaragonais, le colonel Villalba, centi-me soa avance Me Saragosse. Lacolonne du commandant Ortie sersdl sud de Saragosse, s'est renduemaîtresse de positions importantes.

a L'ALMIRANTE- CERVERABOMBARDERAIT SANTANDER 2

On mande de ? c Déhalage Tele-graph r, que selon des infermationsde presse, lo cuirasse rebel.le espa-gnol se trouvant actuelement dansIra parages dé Santander va armé-der a. brève tehéance au bombarde-ment de cette ville.

LES G(0IIVERNEMLNTAUXANNONCENT LE DEBARQUEMENTDE LEURS TROUPES A MAJORQUE

442.11:épatés soelatiales SaLàbans

A Villarsla présence

de La Rocqueest devenueintolérable

La population rurale, unmoment intimidée parles croix de feu, déclarequ'elle ne supporteraplus aucune provocation

DE SON COTE, LA CLASSE OU-VRIERE CLERMONTOISE ESTIMEQU'ON A ASSEZ VU LES MEUS

FACTIEUX DANS LA 1111(11031

Il a tout de moue bien fallu, li lasaite de nos révélstio., parter de lamort de se »uses de Barbue du Mes-

On ne s'y est résolu qu'a regret. Sicertains journaux 0,00 d'informationont donné quelques détails sur ras,faire, d'aunes, comme 4'.Eclio de PariaOu fegelete 11101110P.. 0000 150 KérillisSI l'Aption française du provocateurMaurms, se sont bernés à la public.ti on,des communiqués unemongere dufre,,,Ele la vietime ou de 8.1. inspira-

Si Sou en mon la mes. réaction.c'enpeine si Hugues de Ba,

bue s'est un tout petit peu suicidé.Oui 0005mt on ne lui en fait pas

publiquement grief, mais on regret.n'ait choisi ni un autre moment

nt un autre lieu.De la Rooque ne s'est-11 pas exclamé:

Oet idiot aurait nu choisir uneantre heure... Il a fallu quit deviennefou pour me faire ça, h MOI, ICI 1...

En quelque sorte, M. de Berbus4 duPlP00551, dont la neurasthénie a puavoir Poux origine davantage la scis.slon C. d. 8. N. que Ilepofhétiquepava dont son frêne vient de faire état

n'a peut-être pas eu d'autre tort, auregard de ses anciens amis, de son au.cies ohm, que de ne ms aller (Proyer,un temt petit peu plus loin et un toutgetic tuée. .diseratement.

YeMplole h dessein le mot e creveruniquement parce que je pense h cer.tains chiens fidèles qui finissent ce.pendant sur les tables d'équarrissage.

Mals ceci est affaire entre ces me.sieurs du Parti Social Malts 1515050 0)Français et leur conscience.

A. LAMBORAY.

(Voie /a suite en deuxième Pagel.

ont télégraphié sa président Compa-nys que, suivant des renseignementsObus avaient reçus du navire degurere s Almirante Miranda r, lapremière colonne des forces loyales

éatient parties à la conquête deFile Majorque vient de débarquerdans celte ile à 9 heures du matin.

LE TRANSPORT PAR AVIONnes TROUPES MAROCAINES

S'INTF3NSIFIE

Les transport des troupes de Te-toun en Espagne par la voie desairs se sont intensifiés hier et avant-

On évalue à ria ou six cents hum'mes par jour le nombre des soldatstransportés. AUCull transport n'a lieupar bateau.

IV. /g ssite en deuxième page)

f L'effroyable guerre civile, 'dans laquellel'entreprise criminelle et sans excusesd'aucune sorte, de quelques soudards f).Mem et stupides, a jeté l'infortunée Capa-gne, se poursuit dans les ,conditions queVon sait, ruinant complètement ce mall.m.reux pays.

Les mercenaires sauvages du Riff etles bandits sans foi ni lois du u Tercioamenés du Maroc par le sinistre Franco,ont mis samediO feu et à sang Badajoz,captait° de restremadure, cité de somahabitante, gui, du moins les comptait en-gare d y a quetques jours. Et /es scèneseffroyables de tueries d'hommes, de fem.'mes et d'enfants, dont la presse mondialelouas apporte le récit, prouvent que lesjCsalliffets rapagnois remplissent très erse-lement le programme sanguinaire qu'ils.bRichaient impudemment depuis plusieurssemaines, dans la presse ou par la radio.

Cependant, gutivm use incroyable pis-010111, notreu grande cercle,. les enre-gistre. Hier encore, n'étai:po pas le PetitParisien qui, avec complaisance, de Sé-ville transmettait les propos insensés, lesarrogantes et féroces prétentions du sou-dard Fran. non exposé fallacieux destaises de s, robnllios, SCS projets sala.lins - sans sa de Protestation, nilame une réserve.

1.,essoMes 'Tee eeereie-

"LEON BI.UM

A RENDU AU PAYS

LA CONFIANCE

DANS LA DEMOCRATIE"

...déclare M. Violletteau cours d'un beau

discoursprononcé à Angoulême

Le ministre d'Etat exalte l'oeuvrelégislative accomplie en dix se.mainm et rappelle la mande.lotion grandiose du 14 juillet,

C'était une moralité nouvellequi s'affirmait au service d'unidéal retrouvé et rajeuni a, a-Cil ajouté en évoquant l'accueilémouvant que la foule a réservéà Léon Blum lors de son appmrition à la tribune de la placede /a Nation.

Angeulôme, Id août. Au uouraFun banquet org.ise à Rouilla, pour:Mer 10 SUCDèS du Front Populamoet l'élection de M. Gounin M. Mau-rice Vieilette a déclaré notamment

Lo Front Populaire vient de li-vrer sur le terrain parlementai05 sapremière bataille, Il r° brillammentfamée.

Le 2.11aUf ea. mdutirê msparolo ue,t,

gouvernement et majorité ont dû, aumilieu des préoccupations intérieu-res et extérieures les plus abserkan-:tes, concevoir, étudier, rédiger et déslibérer dans las commissions d'abord.ensuite dans l'une et 10010m donassemblera législatives. Aiui e'est,phiié un mouvement législatif dont,le président du Conmil avait raison,samedi matin, d'en considérer leslignes aies fierté.

«Let effort a MI réalise dans lalégalité et la cécité démmratiques.Pas trme de décret-loi. Le gouver-nemeint joue 19 jeu avec uno loyaut4totale, ne biaisant avec aucune dif-ficulté, se bornant, aux minutes delassitude ou de mauvaise tumeur,a rammer le courage en faisant sim-plement appel au devoir Moab/Mai.Ceux mêmes qui, hier, doutaient etdénigraient, tiennent aujourd'hui 4honneur d'avoir participe,

(Voir la suite en deuxième page).

lllll 1111 11 llllllllllllll lllllll lllllll 1111/111 lllll 1111/1111111 lllll 11111111 llllll 1m

Le

Palaminy

lIME IRE QU'IL FAUT 'M

ECLALRCIR 1

DES CARTOUCHES DEPOSEES 1

CHEZ LE REPRESENTANT

OFFICIEL DU DUC DE GUISE 1

LN PROVENANCE D'ESPAGNE I

PAR UN AVION SUSPECT

(Voir Pular-matim en deuxième Page)

APRES LES TUERIES D'ESTREMADURE

Notre devoir, faceà la tragédie de "Espagne

Par Jean LONGUET

Peres Farras, qui 5000mande laeolenne catalane sons Saragosse,

ment mon esprit en ces journées usaiques, oh elle est ensanglantée se reportvers le voyage que de Madnd Ois

a quatre années, en compagnie de notrecamarade margarits Nelken, députée seeigiSle 4e 1.13 peovjgee. 080 949,

à CENT)s4101101 Is AOUT 1656

on oVivre en paix,travailler en paixTOUL

et dormie en paix.Rédaction et Administration : 38, rue Roquelalne, TOULOUSE Tél. 200.43 C. C. Postaux 5.277

BUREAUX A PARIS : 5, rue St-Augustin (2,9 Téléph. Richelieu 69.00 (3 lignes groupées sur ce numét0)

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Les événements d'Espagne - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole

tes journées de Chelem torekle,icomme et LE MYSTEREtondait BI sdusent cette tégjon gab%dan0,11 Mime exPrinte (ESIMemiduie, 'etre,fument dure). - Du CHÂTEAU

Dans une puissante Voilure de-notre es.Mende Prieto, alors ministre des Tramaspublics, nous avions parcouru I. quatre DE VILLARScents kilomètre, elnihoue eéPgraide 'I. F1

Pays Incendié, si sordide et si beau »(A. de _Noailles), visitant notamment

chef-lieu de lemireenscription denotre camarade de Villafranca -sMerida. rite? lieu de la &conseils.te..accueillis avec un enthousiasme prod.Aie., Aussi Délaine .que h Mmpératureétait ta fervent de ses adierables paysansMocialietes, dent la presse fasciste veut àgsme ffordi faire de féroces c_Mtinmnni,tes ,,quoi qu'A...sent voté dansta pro-portion de So oh, pour les mndidats duNetur -Faeligih/P.51. saehliate.M4cern, leur deveambeN total d-le, Démo-Tree, à laRépdblique, ca parti de ksi

(Suite de la première page)Poupes qui est des suites judiciaires

mg peut °emporter le drame de Vil-/an., t West mie d'attendre le résultatde l'enquete en cours.

Mais subsiste un problème Immé-diat Pepuratfon du cauton de Che-matières.

Il est désormais impossible que deLa Rocque séjourne à Villars. La popu-lation ne tolbrerait pas sa présencePlus fouet mot.

Le drame de l'autre jour a réveilleale ni flint raisonnes.Je f,:lr";;;,.'. 0';,ez'rl"..rtle,qu'ils ont subies dem. l'arrivée du

humer, apparaissaient partout. Mieux, 71Îasee;Onit:aiirassect esvenlent être libé,

sennes rot e"'"'"' Ils "1. y'eee%t%rom preuve ces loura-ni en suchen déiste total dut nettepar milliersitegeektteace pou, la misside is Répub344e 31`Sociaiisme

aiC'est ou les kne Pour atténued l'in-

tensité de la t'Et...ban./ universelle quimonte conne les b.rreaux, leurs com-plices:dans la presse partslenne, vou-draient nous faire maire queue sont lesvictimes ,, qui onf'Sdifinieitc. u.'

Dans l'admirable eS PrOPliétiqUeal que Fernando de Los Rios apportait-Brutelks, en mai dernier, devant BErn-,cuti) de l'Inmrnatienale, noire teLeMlelle'camarade nous rappeltut.avec quelle ad.Inirable humanité, aVec quelle doureuret quelle bent6-te p./do/espagnol assitlagi lors, de sa première racloir, en mur./I nous contait comment nit1 cantaradesers Jeunesses dediallbma ta Alatbedavaient alors sauvegarde dans le palaisroyal, la reine et les princesses royaleseue Fa -,-6.baiREo 5)-Alefokde lège là-

aba.d.."..., Fe.-1".1e1re e» an- na L'est. malteLf yt. tms,essiihe tinNoua n'accepterons plus les estons

ses smiensteg les avaient =Marées, pro- Nermontes vienne. mequetner, au des.s.gées,

555 (5 Ontn: ver e ue:: ei:t.'e. ses.d

d on imie,Seenfite elles avalent pu

classe etC' sa grande mutes de /16ration

Bayent la France -- pour se Paire rem-valr t la gare d'Orsay en M. CASP.

pins le Manchester Guardi«, un cor-resplie.6.1.41e4Pede te mules vit et--Andalousie, a publié ces jours Orale.me Mile d.articlm vraiment excellentsde mita au point, relatant une serD aleainces et d'incidente caractéristiques,oser il st été le iérnoin oculaire - par-. los paysans andalous appartenant à

ces connmnantés de villages onarehistesqui depuis le ternes lointain de la pre-mike propagande de Bakounine sont res-tés Piétas t ses cOnceptions libertaires.A mem les montre protégeant avec Maté

brsve Inarguts Originaire du viliage,comire Itquel des jeunes de là ville you-lant «mes des représaillee - ne letaniiiksef es. Lee braves paysans star.chiites ne voulaient voir ça fut eue

Nto 0.1 pueblo e (un fils du peuple) el'a te ahtleihilt la e lames atm

Le journaliste 1154551/ anglais montreMe IN actm de violence des ouvriers etdee e.moti u Mese, ut il assisté à'taievr les dergidres luttes le tarent ta.:nets que des répliques lavables auxfigressions sauvages, coismises par fereg feutré s dats lepr haltrefügehale

des Pattis ouvriers et de ,tegre, alguePablicains m

Quant euX ouvritou et aux paysans es.'fflelsuieo Mangin 1111PariSklast SernOutdeux - tout son récit ,prouve à cesorlittr - tient k Marge-hommage n èana humanité, A leur mimeirité, t leur'ilaerna, à leve espiée intellisemeilainites qualitésteuj.6 trouve particulièrementattractives dans le caractère espagnol o.

Au roora.t nette oh °gag smineree lestémoins épouvantés_ des crimes-conimisparera soudards armés par Hitler et PatMussolMi, n'est. pas avre-rne-degtturnherta, que nues pOR.M., tender Itee.toiss selddrollissieineOecoonçaiteila assiat-noEate rje.Loim. Mat,Lred, /notrecarastadkelndalecio.,Pcjeto. -, actuelle.numa-Piene de-kt resistakee deubkani.ne ?

seoir stieeeté.comme IIluit u has Amimie milmism ...ennuiesgaC:en:de tg/une Onfanelnietepateiageir-eiee 7ques combattante et défenseurs de R Ré.Publiette.g. de leur aniser /a traire qu'il)méritent; il ajoutait aussitôt t

g, Mais vous saurai aussi garder /s

signe signa* ;a pitié, à .4 s..114,71éliatuainc Que-baie aa leelerial-,,q..ere os â 100, mate tee« de leansié, sr foulustoeue (rat, fy(Çitnstr.mut défaità, en nitté

Quel contraste total entre eev parolesl'hm Cie:Usé-Tue Socialiste et les ah-arts Ms de imam et desengcd'un Lin-de, d'un Mola, ton Franco - surtoutmfinl lauss Seins,, plies Anselmeau on-Ove que (sors p,relrs,t .

ce I çe drame effroyable, ou ne loue

amealgie,Fenmais aussi _Faye, meme de

ge République. dee libertés qatloI el. q3eIsysiemént prepoSéei par- le

. minent fraudais se ha for à /a meut[0, à la ...mise mire/0 Unique

. Rome et de Berlin - peuell y avoirmoindre doute à Landae.E.11... à P.-,s sur notre droit, sur notre devoir en

vers liBspagne républicaine edein /LW:MM

Mal vu et entendu des agriculteursCet m'ont dit

- Cette année, ça s'est un Peucalme.., depuis l'avènement du rouvertnement de Fient populaire. Mais, randernier, ILS agissaient exactementcomme en pays conquis. ILS faisaientdes renflent intimaient l'ordre an.Paysans attardés dans leurs oroprjérds>odes de la gente-on/mie, d'avoirâ s'éloigner. ILS nous menaçaientmIma (r tenea 00m e, ILS

""".r.di vu des ouvriérs de Clermont did

connaissent ces faite et qui no sontPas disposés à souffrir eus longtempsla créa oc Mt chef d. Menet..

Cas ouvriers m'ont affirme-- nuis n'aluns jamais rien fait

contre de La Becque Nous n'aurionsPau VOPlu clidon Puisse mous accuserde créer un conflit préindiciabie A lae saison a.

Maintenant MO le scandale éclaté--déclenche pair les Croix de Feu -nous entendons en ther lac conclu-SI

nions surtout le droit aux gardes ducoroc du chef factieux de nous Impo-ser une le famine sur nos propriétés,

enmme on peut voir, la situation osates. tendue. Noue sommes cependantPintât rassures t Pene le olonelmennetel que nons le connaissons, il Wildemos pas a sacrifier le château de Vil-lars la es trac 10111111 PereOnnene

Le beau discours

de M. Vie:letteà Angoulême

(Suite da le Preass14. Page« Codi uno rems tranqutike et sou-

hante qui animait te président MIConseil, au eourS tiens long débat, rasIl avait Io certitude dere PioteepPP19:de fa volmsté dU pays NIMIMBeatn.

Le plus grand serVte qu'aurapeut-ètre rendu la plSeultutttsi-ltrattl'a(ulr de Léon Blum, c'est do.tupirendu à ne pays la confiance&ans la démocratie. Lk nation cu-lière peut MeSurer tps une serins-lot ene-Inôtne Matirait P. eu011 muni bref délai,. crées un ensem-ble organique si pulesant et si solide.Char. suit di:Sr/Mais Mie dans top.OntpoBlique aussi, quand Old vdtlt,on peut. Le PerleMent et in Gon-vernentent Pidt YOUln, Peres que lePRYS R voulu,

Au jour prridigieux du 14 juilletdernier, des japparitiou de LégaRugi à la DOMnu de lu place de laNation, lorsque par un Ineme gestespontané, dee disuilies de milliers debras surgissaient, le poine dressévers le ciel, dans un silence devenutotal, la grande. de ln minute luisitSom/4in, ela. tous ces MoMmes, etoutot ces fennnee, tué les petites:ses

et les égoïsmes, une âme Mollet:livede' sacr1fiee et de ./mauLd se/ dég.-Benii de cette multitude. Piétait niemoralité nouvelle qUi s'affirmait auservice d'un idéal riaLrouvé at ra-

-..11111.1-11111Mmensrnrn-rnsme

La mer rejettehuit cadavresiie"liOrattalae"

Oran, 16 0001. - On ae perd tua.Jours en conjectures sur tes causes dunaufrage du vapeur « Oranaise c.

Trois causes pourraient être envisa-gées tle déPlarement d'une cargaisonmal arrimée en raison de son instahi-loti

veMre:prIetu'Ill eie":1VdeiêVtPc e,III la rénerenssion du me-de-maren atala /bouleversé le Nord de ta Méditerra-née it y a quelques Jours.

Crier, à Lapasse, non loin de Mou-taganem, la mer a rejeté huit oada-vres, ceux de Mme Michel Scotto et deson enfant, la petite Ambr.mo, MmeSalers .t Sa Dile fa comniandent Ria*sla, le chef niécanielen Codaccioni etan nomme non encore identifié.

D'autres cadavres auraient été aper-çus à la tombée de la nuit et il estsiell,%qtat:,-,Irue.ti.ranudnera encore

MOUVEMENTDU PORT AERIEN

Ligne France-Espagne-Mame

La..silualian mi FranceLe courner urne. trii,France parti14.8ç I. 17 ms. o 6 d,. lé eh

vue par k 51prai York Times' "Uvice,.-nimMOrnes le 17 août, 'à 6 th'ensed, eet arrivé

Newdrork, la amis. - Neg, Toulouse le 17 août, à /6 h. 34York Rimes a, consacrant un éditorial I Désires-vous faire lm dreseemeatan s Nais Deal français at estime que le retr.ger Ake-yous vm,ttolis Peersdprogramma de M. Léon Blum, accepte envoyer t POutlâles pas que les avions

rite eglire'on6:1YeZirenn't'n pries Fs2l'a eesroel'elcaractère extrémiste, aux Flets-Anie turn un te./..

Ce Durnel-Amligne cependant dueles nombreuses lots vo. a, coure

Aelf. 11.f0ées -Lee Arabes jettent une beesefrançais, constituent pour la Franceune veritable reSvolutiog. dans une rue de 'rd Asir

_Le t Nevf-York-Titnes r déclare, Pourcenclure que t Othdrument de dorusalenc, 10 cool. - une boucle ula Chambre, le getivermement. Blum fait explodon anidure'llat dans la P..set essm certain de demeurer nu pou- cigale rue de Tel-Aviv.Vole pendant cet été décisif et ourle Blet jeune fille israélite a êté tuIn sur

certitude introduit dans la confusion le coup et Sel. autr0s Personnes, dent

[européenne un Dament Inespété de une femme, ont cet Blessées.

- on pense quo cette bombe. été. lane.[ d'un are, au moment oh cNai-el frau-ir Naissait un 515e105 4 MME% 4etatid

Les evenemee d EspagneDans les Asturies

(Suite de s première page)Les mineurs ont pénétré

dans quelques faubourgs d'OviedoHendaye, 16 août. - Le journal Fre.-

Pointlar annonce quo le navire re-belle Ainidonte-Idee tera a avisé les ba-teaux étrangers se trouvant dans lesfauxde SaMand. a'avoir à Prendreleurs dispositions, car i/ va comnien.eer le bombardement du littoral.

Les autorités de la ville ont pris, deque

reo. eine "-""On lm d'allere part dans le même

' organe, que 1. minetns des Asturies,

ROC.14415TII

luttant bravement contra les insurgés.continuent le sidge d'Oviedo, réussis-sant même à entrer dans quelques fan.bourgs on se sont déroules des cornistede rues. Les insurgés commencentmanquer de vivres et sont obligés derationner l'eau potable.

D'une façon générale, l'organe duFront pOpulaire esimanol déTre 001la journée d'hier a été hydne. auxtroupes loyales.

An nord 4e MadridLégère progressiondes troupes loyales

Front de Guadarrama, le -

A Madrid, au Centredes Milices Populaires

Récit d'un membre de la Missiondu Ccmité de Vigilance des Intel-lectuels antifascistes qui a apportéà nos camarades espagnols les pre-miers secours sanitaires.

MILIC1A POPULAR

A propésito del moniflestode los irdelectuoles

Fae-similé dc josugal

III1. Lis de eonfiance, nous g

Val.. vers 11 heur. du matin.annonçons dans les villages que noutraversons l'heureuse nouvelle. Celle-cfait traînée de poudre, les paysans l'uncueillent avec beaucoup d'allégresse Valance, point stratégique, est sigle. àRevolution

Notre enrage se Poursuit sans Inci-dents. lias balte toutefois dace tuslage seuelllant. Nous allons &Jeunee.La fonda on nous nous =done est de.jà occupée par de nombreux aidât«.Ceux-ci nous acclament, un discoursde bienvenue est prononcé: notre am'Jean Canal nous le traduit et, comme ilse doit, dans uns brève allocution, re-mercie nos amis eepagnohd de leurcbeleitteux somali. glorifie leur bellerévolution et affirme quo le peuple de

!::;nt,%11:^t't,ee ""05,

Noue arrivons à Madrid. La banlieuees AMIS., très inanalnene, net,

lefellgteg,hes gosses, Mass. par glePst çistgpayos sur les bards de ta (ma,te, ltO tue petIt gales ta ceueoffrent danse le verne geste leur la-vannendlenitlé et l'affirmation do leursentiment révolutionnaire naissant.

Rapidentent noue pénétrons dans lacapitale, Celleel nt possède pas connueses deux enture t Valence et Dareelo.ne, l'animation ineecoutungie créée PoeOrs événements récents.

lems traversons une féhe foraineCelle-ci bat son plein. Une fonte émutme la parcourt. C'est la fàte te Trà.Par une belle et chaude journée: Ici,les grands hôtele, les grands établis.-ments ont été réquisitionnés, mais cettePess.sion ne sembla pas s'affirmercomme à Barcelone.

Les tramways fellation..., la viséconomirne n'est pas arrêtée, colonMame seul en rasait légêroment ralentice qui ne semble Des ...noir outremesure la population mach-Brno. De lon-gues Piles de gens sont massées auxPortes due débits de tabac- ce1M-mdosent de plu eu plus mre et, Pourpouvoir satisfaire leur petite passion,/es fumeurs sont armés de patience.

Nous arrivons enfin an Fatals dugouvernement. Les tonie-. officielsnous ancuellent coMmu trou turt .0-cumllis jusqu'alors les milieux or litsauxquels nous muss sommes prosentés.

loue prenons .ntact nase des dé.rut. sociabstes. Chat par eus quenous apprenons l'héraut], da nos ca-marades se:T.1..644 les premiers nuemente de la rébeMon. 11 existait ausoie du parti espagnol on groupe Mdmie « letoricada s. Ge aucune clamdestin était constitué Par de Jeun.érnuents exressivem.t comhattife,avant prévu depuis longtemps cetterave). faetieuse. EtaleM disposée F.

l'enrayer pas tous les M050100. Etor neeu.05 mas, tout su moins (mur lemarnent, nous étendre sur leur forma-ton. Cela fora plus tar d 1/objet d'uneétude plus dporofondie. Mals il fautrendre hommage el cette minee sutPar son dévouement et surtout par saprévoyance, empêcha Madrid de passer« tutu côtes des reldenes e.

C'eut en revenant ct, aiêle sohalle.le mue l'ai eprouvê une for. dmotlon.J'ai misé sur mon chemin un ca-mion ahare de Dun. miliele.. Ceux.ci se rendaient eut le front et tissaitalent o La Jeu. Garde a de pu ceami Mentana. Les paroles de Celleciétaieut prononcées en français si cor.reetpeuant trouver des compa.triotes, m fis erre,. le camion. C'étaitun groupe d'étudiants qui, le phis ea,Plement possible, partaient « fairleur devoir 0, est d'ailleurs Conà plusieurs rearisos que «Darde s paraissait étre en EsPagne leseul chant révolutionnaire entonné parles miliciens. 000

Nus gogo du Pu 01 socialiste nous

re'en'tn'aCu'':u'iz"Zdots av snoneuna du oneldg per%ni:e

aubesoins de la muse, réquisitionnes et

egeirme6rgfeeenT1--Maire a été creé.

Les fIls du peuple viennent Wyrôler. A toute heure du dom-, es n'eutqu'une file ininterrompue de camera.des_ massée aux pertes.

m'errer 'e'ereee;Z:"%.;1«.p.Maires. Lajfermatten celles,

es est On chefemurre de simplicite etgermanisation

mark MI 5,e Retfrolas-

ta da Milan Populaces

vs sse*tS. 1 dr e,,as

%Maire orChaque compagnie comprend 100 une

[ un groupe de liaison de 10, et 9aines cdnitnandées channe Par migra. Chaque homme y a sa tâchetentent définie; la préparation m.:

ire y eat très active et en nnelque.Jours are compagnie formée est Pretea se battre.

Un lieutenant de miliee nommé peses camarades en prend le corn/1.0wment. lI eat aidé dans sa tâche par uncapitaine désigne par le ministère de laGamme, ainsi que deux sergents.

Chaque chef de compagnie est en ou.tre seeisté par un « groupe politique gCelul-cf comprend un respensaNecheque organisation. Les décisions sontPrises en commun. C'est une collabora.lion très étroite mue les chefs duntstère de la Guerre et les Osera de mi.lies Ce ne sont 555 1150, pouvoirs euts'opposent ou se contraient, ce santdeux énergies inUmernent allie tale

Barbade, demiMme commandant du5e régiment des Milices populaires.

luttent .ntre l'ennemi comm. t le

Le bureau politique des milices Mtd'une activité remmena., Sa corne*

'

migre espagnol est par/fne'.°Cl

010cuneka'itaiihe paa neige...nt

In Mougins militaire. L'éducation ré'vedutionnaire Y lem un grand MM Cet,le-ot tend è faire bien comprendre Isdifférence entre Mem pour lequetent tes milkieus gui détendent lm lbbeide dtesocrationea ge Pays, et lemobile ed eoeene osarontianaerde etuts soliiste dupée a embattre en,gisement pour les privilèges tee Massesgosedentes.

L'éducation sanitaire y est faite 455,lament. De nombreux mmtons sous lmordres d'un dectcnr parcourent les ditvers yen. du front et les Nllaves ocrmines. PM apportant tes produits mêdâceux Osa inffrmldres donnent eue ansmiliciens des ingleatiene nécessaires del'hygiène la plue rudimentaireUn théâtre a 010 crée pour les

clam; ce n'est pas comme on pourraitde croire un theates de tendances. C'estun moyen de distraction.

Un journal ...P. emelt... Baelnumttlnlenv, renseigne "quotidiennnmuet les mmaradel au front sur tous155 4ops-eetO politiques et larme

'P'ildecYatioP2'en ert. t.r;e11. r.- "t'*,

I'll'idbleee7liertifee'tarebe.imesr.usa confiance que le pays met et)

"ur":0 'rois" Caere/DU tratVo' 'ust.'Pa'atout'idee nombreuses confè.re.sont faites. T'ai assis. à liane d'elles et,il mia. été impo.sible de dovin. d'mPrés la teneur du discours ,qui étaitPrononcé, la o c

celui oui le nrmeneeit. C'est un peu,Ide tout entier debout qui défend sea,libertés républicaines inalnet la maltet mn ne reve que d'une société nette,ment sociale et humaine -

Lorsqu'une canosvnie de miliciens niété forme, c'esttAddire qu'elle possèdeéducation technique miltMiresante, éducation sanitaire première etqu'elle est animée de véritables sentiments révolutionnaires elle est fin Prn-ta elle est digne de défendre la natioeillteOahiet c'est alors que tous cesprêtent, au cours d'une eérémoMémouvante, un serment que nous rept..cintrons demain.

eearges RIO..(4 suera)

du, comliket s commencé hier, à 22 heu-res, par Une forte fusillade de Prnduels heure. Les troupes loyales ontlégèrement prOgâcese.

Aujourd'hui, eux premières Femmedu jour, radiation gouvernementale abombardé' le, Ornions des rebellesBencel .f rApondu par un feu nenni

'''''Jks4!oel,litd ont atteint un petitde is Guadarrama, sur 100001e an rEs.codai, où avalent été évacués des bles.

L'hôPitel a d2 oire" reedeateatéverné ertna que toutefois on ait eu g

dle%Voliseeitiinernentelesvaillent a IMAM., leurs positioas et

clerandle envergure vers le front ducol de Len.

En EstrernadureMille miliciens ont été fusillés

BadajozLisbonne, 11 ace. - Lee précisions.

qua Pen recueille sur le bilan de laPrise Gauen. de nodales P., iestrounee rebelles confirment l'énormité

"o';nrncorr,Ce maintenant que millemiliciens auraient ég fusillés sin:VSremit/petiot, de le ville par les catie'nalistes.

le I'Co'reaVp7u"rUtprl'ses'effectua, on peut aire, pierre à Pise..

D'te gleZtnet ss:nneeè'sdénombrer.

Quant à In population civile on peu-

rasgtest're:oi7n:l%tt's."''Barn trois des PrieciPmes rus de

-ec'rdoeiulcezes.'ee"noletre'Per,%7-=boss sont également démolis.Les employés étrangers des mines

de Rio-Tinto ont été évacuésLondres, 16 août. - On confirme

officiellement que 38 sujets bri.nni-ques alen Américain employé dans lesmines du Rio-TMto ont été évacuéshier sur Ilue,a.

Cinq employés supérieurs /mitan.niques col décidé de rester au Rio.Tinto afin d'assurer les servie. nase u'tiels de ernine. Le situation est calme

ans le vryjsinare dd

Au MarocLe feCrUtement du général Francsau Maroc rencontre des diffiCultés

Madrid,. 16 loto. - Hier, â 22 .hetvres, le gouvernement a commuinqué,par radio qu'ou apprend nue le gméraBranco rneoupe de lever, dans le Rndee omtingents de KaitYles afin de 1menvoyer combattre dans la Péninrnle.Celti crée des dissentiments Parant lesuffielers rebelles.

On ai:Trend, d'autre Dern que hentltcoup de belon refusent ,Vomir. Un offi-cier chargé du recrutement s'est sui-chie.

Le mème communiqué ajoute edaucontraire, les dolentoo d'Art.. ontformé tnte colonne qui rejoindrait Tee

forces d'Espagne Pour défendre le gon-vernamdiatadaltime de la tRepublique.

,,France à bugsBures 16 sous (d. (ès masos. sue-

efaturade « dusses Hama sI, -- Le

c!dfeeil:'ire1":;if 10 heures u Rung., en avion, venantde Séville. Il a Mg reçu sur le terraind'aviation par tan geoéthoz Cabanel laset Mole et tous 1m membres de la Junte.

Les trois généraux ont conféré nen-date une heure et demie au Pelais de laJunte. Le secret a été gardé sur le eu'lui de ânes délibérations.

Le .général Freetelee,est Teparti avecnnuto

L'illemanne SC MilleDans le mourant de Falsrés-Midi

d'hier un fait qui pourra avisa- desuonscouences smportlentns dans lesrelations internationales a eu lieu àBahia.

/Le genvemement allemand a re-mis à notre ambassadeur id. FrançoisPontet, une lettre dans laquelle ilMisse prévoir crue la réponse germasnique aux propositions françaises se-rait rdocenece après4lernain au Plustard.

Thms les milieux bien informés ois

Z::geesrrcle ger;aoceptation favorable,

El Molle?Rome n'a pas encore donné de né-

point, mais il est vraisentblable quesi le Reich accepte des proBoSitionsh-empales le gouvcrnensent gegen nepoarra agir dans un SOUS lelepp0e6é.

Quai qu'il en soit, la célérité n'estpus le qua/ite Prédominante du fas-cisme transalpin.

Des marins italiens débarquent

à MalagaILS RAMENENT A BORD

LE CONSUL D'ITALIE ET LE FILSDU GENERAL QUEIPO DE LIONS

Le croiseur Relies a Bue.° di Sa-voia a, parti de Tanger dans la mut demereeth dernier, runsvmt â Malagadans la journée de jettch. Cent fumtl.ersaveu mitrealleues, descendamnt b terreatmetôt et se dirigeaient vers le ormet-lat d'Italie. Ils rentraient a. bard Peuaprè0 emmenant sous leur pretection,le consul d'Itaile et, ditdon, un Ms dugénéra: net onalisto quelpo de Llanodegmbe en marin- Le ermseur « Engem('di Savoie, rentran b Tang0r Jeudi et&iseraneil c. deux Peromhalit..

On explique le débarretement des ma-rins itahens â Malaga de la façon sui-vante

Dès le début de linsurreetion, la fa,mille du chef de la Sûreté de Madr d

Pour touSOCIETE MERIDIONALE D'IMPRESSION

s

aU RUE RQQUELAINE I -rasmaaaa a ah weral

fut faite priSonniare à Séville, par lesmdionaux, tandis que la famille du se-

Quellao de Llano était gardée eOtage par les gouverneinenta. à Masas. Le général Quel,. de 1..1.°

Mt, voici quelques joua b faire fulf safamille d, Malaga gr ce u l'appui duconsulat «Dune de cette ville.

Les gouvernementaux anegamrd ersévénement et se rnontrerent menaçantsenvers le représentant de l'Italie a Ma-laga, ce qui mottes le débarquement desmarins du croiseur a nmenio do Ramiset le (iser) gin consul «nulle avec tefils du général insurgé, qui n'avait Cufuir précedemment avec les autreemembres de sa famille.

La fetnille du général Queipo deno se trouve actuellement à Tetouan,d'on elle partira incessamntient Peur de-vine.

Les travailkurs de Londresproclament leur solidavité

avec les combattants espagnols

Londres, 16 nad. - Au cours d'Itelemanifestation à Trafalgar-Square cetaprès-midi, lu laquelle ont partleilMeus de 16.000 personnes, membres duparti communiste. des Trade-Unions,Os diverses limes de 1. Ianneem 51des roopératives, des ligues socialisteschrétiennes ainsi que des chômeurs,Ors résolutions ont été adoptées s'éle-vant contre la politicien da gouverne.ment anglais en ge qui concerne Tas-sista.. aux chômeurs e assurant lepeuple et le gouvernement espagnolsde Tempe du peuple anglais dans maa lutte courageuse et résolue a.

La dernière résolution condamnel'emploi de Meulage inaroMinell °manse5010 crime contre la civilisation 1100mDotation du droit internat000101

Le MilSlerlelle RÉMI

Ile Polaming

UNE AFFAIRE QU'IL FAUTECLAIRCIR

HES CARTOUCHES DEPOSEE.SCHEZ LE REPRESENTANT

OFFICIEL pu DUC DE GUISEEN PROVENANCE D'ESPAGNE

PAR UN ((PION tili$PeCT

dotGnaEres (Huule-Euronnel, 0e 17

Le dimanche 18 août, vers 16 ben-nes, après avoir survolé Plusieune

fois les communes de Caseras et dePalaminy (Hank-Garonne), na avionmonoplan, couleur bleue clair, hen-des rouges, a aterri dans le comme-ne de Palam)ny, sur le terrain de-viatiOn aPPartenant à M. le marquisdo Palaminy.

Un enfant de 12 ans envie., setrouvant non loin de là, qui suivent150 dVOInhone de, de Melloldap, tutappelé perle pilote eru, yediqgbien l'eider â décharger deux caissesplo s. pour faire la lumi(re,

11111011.11111rWM111,11111111171iiiiiii 17I nominesonssupppouuslopmpupposo

ibeterdperree dneederiese sonS ledritoN

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. .d,-4. 11, Zur,1.Rela,s de la Tour Eiffel t

15 h. 30 Disques.15 h 45 1 Rdais d, la Tour Effel

C°'167- B°15007-'" Oiselascolr,haninoer.:. Relaie de fa Tour EiffeMp

17 b 10 IDisq.e17 h 30 : Rdale d'Alpes-C..1de q

Concert. '18 h. 10 t Radia-km.1 de Franee.19 Ci 00 Mis

JCe:f,Asir o,a,:e0;ea Poésie g

Er lgrafm. MiehaM s, pa m. d' Rollornap,

19 h. 45 I Disques2f) heures t jourgal parlé (deuxième

'''2)r)/.1b Commmiqdés.20 h 39 Transmissieb tin l'Odéon

5) (q, Dcrnières infortephons.22 h 43 . Rd,. du Post. Netianal t

Musique de danse.

RADIO-TUULOUSE

11h15 55 Nom/elles d. la matin.Coure du mardi. eux graine de Toulaime.

12 heures t MModies.2h 15 ilsfosqut de &me'111s. 40 I La quart ,11.ett des abonnés.12 h. 55 Nouvelles d. 1s rnatinée.13h11 lk FanuiSie radiophonique

a Chantons la val. s,13 /L 40 t Ai. d'ohé....

/ 13 Ce 55 / Premières mmv,11. de Fa-prEssenidt. Ootontunistmé ,de l'O. N. M.-14 Fumes t Orchestre musette.

17 L 45.: Musique de dansé,18 h. 15 t Orel..a d. selon.19 heur.. Orage. viennois.19 5, 15 Extraits de films.19 I,. 40 Orchestre opérettes.20 th. 25 t Chansonnettes.2050 40 z [Ache.. Philharevonimm.21 Luges Concert sur a Man.. d.

22 /mares t Fantd)ie radiophoniquep,sr22 L 55 t Nouvelles de deinlère 'mure.23 h. 15 Omhestre de selon.23 L 40 1 McAlce mieitaiee0.

'Le'O'CZZ:1<el.,%,Ure%...0 h. 30 t Belnia métémoketiou..

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TOULOUSE-PYRENEES

0h, 30 I Relais de Vida, I Corsée..11h 50 tR,IaisdnptiosP,î. T.

infannemaa12 heure. Journal paelé Ipremière émis-

sion), présenté par I. redactour intétuns.,12 h. 15 [ Relais do Limoges-P. T. T.

Cone..I, OIt Relais de la Tour LelI Cotisa.

I2 A, 45 I Rmifee do ....ft.

7deux caisses étaient eontenUesa carlingue, au-dessus des ni.

et attachées chacunes d'alese large courroie de cuir. Aprèsavoir fait' glisser, elles furent pro.. à terre

Le pilote dit h l'enfant et aux per,gonnes qui se rendirent sur les lieu4 1,,, suite de l'atterrissage de bienvouloir cacher et dissimuler ersdrux caisses et que le soir a es, gviendrait les Franck°.

Le pilote décolla à nouveau, saug/avoir donné des explications stipulé,axillaires 00e son atterrissage, du,,,la direction de Toulouse.

Chs deux caisses portaient les in,,.chutions suivantes t

, N" 6.575. POIVara de Grenada. 21Série. Tomba. Ns 2.153. Fahricadeon Enero 1936. P. M. Sevilla Parqdgde Cierpo. N. 4 'Barcelone Pesai) gigkg. 1.600 eartuehos de guerre parefusil Mauser do 7 in m, MD 1893,Gays)]. en Oeil 1534, BALAL. Psi.nus construidas en 1936. e

Et le deuxième portait Iii.crossciddessous :

/

e FP 2.236. Ptlivare de Gratlada. 2.Sir Tonelada N. 2125. Fabri.daen Enero me. P. FI, Sevdla Parquade Mena N. 4 Barcelone. Pesan Dgkg. 1.661 cartachos de guera parafusil Mauser de 7 min Mo 1893.' Car-gedo en felmers 1536. Balai. Veinasconstruidae en 1936. a

C'est donc une quantité de 53)0cartouches que contiennent ces Cais-ses. A qui etaient-elles destinées ?Comment ont-elles été déposées danson champ d'aviation /particulier ap.Partenant à FI, le marquis de Pale-miny 7

Quel 't '1) y té ;eu plot° usallures d, gentleman, rasé, sans

.moustaches, raie au milieu, revêtisd'un costume gris et paNant correc-tement 1e français 1 Et par qullecoincidence étrange set-il atterri surun point aussi precis que ce terrain?

Nous laissons lm sois à l'autoritésupérieure dincleircIr ce mystère etde Prendre haste. les mesures néces-saires sein de aimer la léggifimeémotion de la popuéstion,

ination ei-desms nous suentde notre correspondent perhauher,Ndlis Venions ajOuter quelques obkeravalions t

Pourquoi a PExpress a qui a donnéhier, sur cet affermasse mie infor-mation EiMee, afi-il oublie fle signa-ler que Fanon s'était taéep mer letomate prisé slts Mares de ',s'ami-ny, mares reperé ayou e33,1,-tude

Pourquoi a l'Usure. , si hign ross-e) sur le nuiagement des avionsSeiAné Sur le lilinGenteld des avions aFran..., est-il si peu renseignéplein jour à son directeur ?

Pourquoi a PExpress si prompt1 iltighfier de susports les avions ette matériel de Bralleaael& Os elndis040-1-11 pas de cet apport de cartaleehes chez FI. de Pelammy ?

Il ne ks croit donc pas destinéesau g Frank popoler r

Mois 010m.Nous comptons sur é l'UltPrea. s

Us baigneur, er7se portant au secoMi

dus Zund'so'llluitou''s

010111000 Fa000eum, 15 0111.- 0. mn.

40tated, al ans, et denise'Vray..2.1 ans,

Zfutevaatne. Louis Vnop Olv,nrsn rean's

leer o'ur's°, coura'a'srn torecr t

laceId.ellt que le& dem corps ont p.rear Vés.

, ,,,, .. ......

lisU;;Indrap., bele, Bifides Ce .

lerocherres Oe crampe.. de...docuSser.vous e

1,17»2,11 =m'a,cetzeimeee

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Les événements d'Espagne - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole

En l'honneur de Bedouce111111111181111111111111111H1

Invité à czesider la tète du Nons SOmmes fters de vous, cher eues qu'elle /raine il n'y a pas Se.deusdem, anniversaire de la erra- Parrain, qui gravez à cetr.e., ,Deure liment l'inscription o Service SO-U. du Groupe d'EducatIon Socles sur les tablettes de l'Histoire de vint t. Il Y a aussi une abondante

gni Prie S. nom, notre ami, fennec, en collaboration étroite floraison de drapeaux rongea. Et

Albert Bedouce, Ministre des Tan- avec nos collègues du Gouverne- quel spectacle en ville, que ce petit

All

Publies a vécu la »Urée de ment de notre Cher et grand Léon train eus couleurs révolutionnaires;dirnancr dernier au milieu de SeS Blum, les plus beaux chapitres de à l'intérieur duquel se trouvent unnoM S'émancipation et du mieux devenir ministre et les administrateurs de

Programme comprenait la ré- de 10 cloeee Puy ère, de l'écsno,nte la ville.ception de notre ami au siège do retrouvée par le travail libérateur,

ronce et un banquet a Colomiers, de la fraternité et de la paixCes deux mandestatrons se der.- NOno sommes fiers de vous, Mon-tèrent dans une atmosphère de sieur le Ministre et Cher Parrainsympathie et d'aff.tion mutuelles, et /MS VOUS aimons beaucoup,elles furent admIrablement réus- gdoudo,ries.. Daignez, je vous prie, accepter

ces fleurs, elles sont rouges commeSUR LES COTEAUX DE MOSCOU uns ccessra.

Pour tous les filleuls de MoscOu.C'est tout là-haut, sur la colline

Oc Moscou, au terminus des lignes LUcette LOESS.des tramways 15 et 15, que lecroupe Albert Bedonne a fixé SOn Sa lecture terminée, notre gra-zsége, don il exerce son heureuse rieuse billette remet, en souvenir, àInfluence, sur les deuoa versants de Albert Bedo.e, le papier qu'elle

r coin du territoire traversé par la Cent, dont la couverture a été ne-ute de Castres. tistiquement décorée par le maitre

mLa façade et la salle du Café E. Couesnon et qui porte les signa-Jansbaqué ont reçu une décoration tures des élus de la ville, du Parti,de circonstance ois le rouge des do Rédacteur en chef du s Midi adrapeaux et des tentures domine et et des cent soixante et onze mem-Gr sis plantes vertes jettent une bers du Groupe, dont Bedonne estnote de grâce et de Hercheur.le Parrain.

11. Internationale magnifique'retentit tandis que spontanémentou, forât ,ardente de poings levéese dresse, MUS laquelle, alerte et di sr ont tenu à s'associer à Phom-toujours jeune, Albert Bedouce mage affectueux, rendu, en ce

s'engage, accompagné de Mien jour, au fondateur de leur Mais..Prévot, Maire de Toulouse et mem- Dans l'assistance les mains bat-tre du Groupe, de Duesol, de Hyon, trot, ça et là les larmes coulent,'de Bedel, adjoints, de Léon Hudelle l'émotion qui nous étreint tous etnotre Rédacteur en chef, de René laquelle Bedonne lui-méme né-Dentale, secrétaire de la section chappe pus est intraduisible.Toulousaine du Parti, de AndréWollrand,..secrétaire du canton Sud,de Robert et Ibry, membres de laCo.nission Administrative.

De cette première minute se dé-gage déjà une Impression d'amitié,de force et de Volonté intraduisible.

;s'après s'êtreSnell-

L'HOMMAGE DE L'ENFANCE

Mals voici que Lunette Loues,fille, petite-fille et nièce de nosvaillants camarades bien connuSs'avance, un papier ministre à lamain, suivie de deux garçonnetocravatés de rouge et porteursd'une superbe gerbe de fleurs écus-lates..Avec beaucoup d'assurance et unegente exquise, notre mignonne fil-

ree dev.t Albert Bedouce, s'en-prime ainsi ;

Monsieur le ministre, .

.4 manl.erlsli5t

du1.( ,s?lcid-

Le

r'

Au prenner rang, assis Au centre, BEDOUGE.A sa gauche r. ELLEN PREVOT, René wOILRAND, ROBERT, faux.A na droite la petite hueetteLosE, EIEDEL. Ras. InSE, secrétaire du air,.

i istre et Cher Camer ... .une harmonie dont il faut les te-soga,,dif d voas : monsieur le Mi- avec une douceur, un ensemble et ds rs,,1%, iceoMeours .rgrivills.%res, enserrt,d,uers d, j.,,e,,,o, udb. b,,.,,,,,,, ,,,r,,rd.e.,,,,0 .e,reolf,,,ire,e_

des drames de l'alcôve ; Delvins inio bourgeois ne tienn.ent pas lieu AVIS AUX CHASSEURS

e,i joue encre d fit Prece, et, e Quand Q BOrtiè ben d,e lainas (bis)Mais je ne suis qu'une petite flile ,c r ,

tour à tour sentimental ét léger, de .nspétence et qu'un primaire111, trouverais bien einbarraesée, II Et 301L71. aguillado etc., etc... peut reveler autant dbatelligenee, rydss er,edsereeph e

d!enemehdpapssorndegnr

compliment a un .eltiniat de taaujourd'hui 'avoir à lire monPlanté, SOUS, aguillado...AZIOU De l'éloquence plus lusppé de a l'élite a.

autant de soolonté d'arion que le "i"jne11;"-¢uei-dosls", Te peii:Ji.,

République Française, si le ne ndé- .. .. ... .. .. .. .. .. .. .. .. .. Son ascension personnelle démon-Ledérpteomrteeldtre de ce permis neintAif e fe mret.is,osnizere ,...i.d ,prns un, long opyrtpic,e brI.,,,s,ia upeartertieullyeripq

Youuerdu:eirait,

enueborree islvilide . valeur, tomes les possi- pourra faire l'ouverture que danS

At,er pt ecieeLen,st: Jr .dns e d dag t Alb t 5du. Quartier, au pieueer ... 1-nne Lords n' avait rais un Iopper dans Gime d e l'hum bh ou, ment s lim itrophe ppaxt ants aen à la Iforme pour se rendre au Monument (-1 Q secrétaire d° UrrolPe de Mos- bilités qrs'on peut dégager et déve- son départeMent et les arrondisse-t r

Ri ntons et de tous lm membres du E-erloree. . l'Oulu Par one pieuse même zone. Il ne pourra errerGed.,ee d, porte dos, s,,,os.u. ..e.tteutlou, déposer lui-même, are

d

ear. crederevechrheeeeehee' ,,, Pour lui, â la rois d'avoir vu sur dans ce. apnartenant à utre

Clet aussi, MensiCur Ie Ministre, tr¢ quesques instants recueilli, -"-'°.".' ereferei2,7geec lii'ePda'0,mi; le tard . rérarpense de, enerstrdes zone que le dimanche suivantuneal'ou- LARDENNE

ec teus, les fleurs qui venaient deSYNDICAT GENERAL

rejaerelur de son allocution plro.: rit consentit pour le prolétaria s..' vertuereodeans celte zon, .

°que une ardente Internationale

DES ELECTRICIENS GPr voie de cratséqUenCe, 7nOrt .Par-

ROUPE BABCEUFS Les carnstades

rein e in Parrain. de tous Ms en- ui être offert.. ch 'e ouvrira.. Amerrie génrale du nundi 18 août du aroupe 'sdnt priés 'd'assister à la ré.-

fonts de Moscou. Colomiers où doit avoir lieu le re- yoeérsieprtés.iffoli,grtEgNE,d/eJEC.,ALSII.2..71- urt....éts ùà ,,,,,:r maonc.%"e "'Oi

t

en ne- -ZSEU ,11. s' àt, elL. tem t 1135en e . t 21 hrés. -I Elargisemem u bure., orecole.mermedi 19 coma. è 2/- hemEt en route par tram spécial pour

Perrin, qui éerit dans nia-frite du Port/ ms rie Va dit à M DE MOSCOU A COLOMIERS leur chef. Il évoque avec une érno- orr c'D t

gir'llill'eTcet'atlae- J'e .,30 dans nle Tarsr.

Tarn Que le 6 seoembm. or. "Ju -

Nous éommes tiers de vous, Cher , aus.d. toa, , muitg,,,t, .,,,,,,,,,,en,, ,,,,le he,,,,m, de, ,,,,i,,,,,,,,, rres,,,esec,ffoaus,sreosse deeiLarsHeeruted-orCuassm,s; 2. Application du rentras corporatif..1),;xi. 7in.a7TCe'U:elC1::: l'ie':10i

maison sales Pages f.t. ton commun... ses souvenirs Mit, les liant dignitaires de la gmndeIl venir riens la CHAUSSURE

,s.hdedéitd, de se,,,,, dd boutd, Ce voyage est déjà tout un peC- d'enfance, et les heur. tragiques admiaistration centrale posaient anx-3.il ho

de sarOir Ct d'intelligence. me 1 Sur la MOtrice et les remet- oh, t011t petit, Privé de son père blluitres absolus, imposant leursi La FédéradOn rappelle One cette 48-(lé'' tyévs.94' r7.1172.17ét-e''"I'l'ee" v'Q'`I'us'L72'111'''7:Le'"i"7i"di'''''''''i:m'''':::osante-Garonne que le 30 août.

A St-Cyprien, à St-Martin-du-Tonch, le passage du « Train rou-ge 5 provoque des acclamations.

Quel est ce train ? Qui transpor-te-t-il ? Notre faubourg, notre ban-lieue n'en savent rien. Mais il estencadré de rouge. C'est donc unconvoi de socialistes.

Et les bravos de crépiter. Et lesgestes d'amitié de se prolonger àperte de vue.

COLOMIERS

(Photo Simon./

nsort au serviee du parti, il voyait vues à des minisMe héritasse.t' ' 419 ..... .15 mo.

' Bed ce' plein d -1 A B étentions àet de prévenances.. Le jeun e,...11on1de

des pan ignorance. s llm- L anémie dans es campagnes' U. du

edouce, ces prheures, ...ion, rdrd. lir, des ....i.. iedi go, à 2ipenché s. 1m comme un

vétéran s'embrassent rra., go,les yeux de tous se gonflent de lar-

eur

E tr.ni,-1,1arieleuorent,néllo,,e4ten,téetlk:éne,tz. F ,tr ne:ffai

M Maigre grand airil, arrive sm arr. s. -r. s. Rs.s=r.s,aussiqu'on s'ablisse dans les

chaussai. serlauroorem. Indus. ...-

campagnes car les travaux y sont sYNDICAT DES PLATRERmes.

s

olIstsHeY,ONf.ftele .lecurtor ecsore cupeD,IIrudes.

rcni vous maigrissez, si vous Co soir mardi. à 21 heur, Bourse du

çons à notre usage. Soyons vict_ tèrm, parce que et c'est peut-être vos relées' ou vesse ma-ya:te:st

d

eerolze

an ut.

. b:P.:: tiérntdiler: 1 ll,lesstlar: vm,e:u:

.. pe l

Trame essentlé. générer. d:e::::: paon ;

. mus les

. ere on vm forüliant que vous MM.,. radés. so.. pour e ....-semble plus prenez donc. pose., Osât, ers

Ordre do me compte rend. de .s.

tirs. L'organises. méticuleu.se, Léon Blmu a su mettrenotre entraînement pour sep. dre hmmeo à sa place, c'est-à-dm:ireCes en vers

dant dans un litre de vin un

Q Monine. Rapidem t,n m alertes, voila n.r il commit son affame, es emtoutes

lsreeilleurechance de salut. ' rin des couseih de ses subordon-

ta san moue DU5SOL

, ega ce, ge_

hce.uoirenrelh'iret vous apprécierez . Haurusntonme Rémi. de. Masseurs. lin-ms/the,ee., n'éQeu'e d,,eedeeeedie oie

' dohn,ctsrle prix est de 4 fr. 55. 'ries Semons imeemei, le mardi 18 courant, 5éloquent et clones tabl il Mem; egélégife' fédéra' de. Leine,Irrites de Bedouce dont il voit de nes postes élevés. La mauvense fol1,,,reêbseà,Péran:seele. fr.-stable effort, et patrongi, les tentatives des .gros ca- 1111111111111 lllllllllll 1 llllllllllllllllll HUIS c m d P r d C. s.avec quel bonheur il accomplit sa mons pour violer les contrats qu'as

II .

viennent de signer; les rucules dr particularité mise à part, le permis DETtge.121-CÉCIkElilree.Tant que nous aurons dans le ourse. spumeux, au cOntrade, d.- cepartemental pHs d.s la Haute-Parti et à Toulouse, de pareils pltiqu.er rigossmusGoeut ors mêmes Garonne donne le drit de chasserexemples d'abnégation et de rompe- contrats; la mauvaise volonté incon- dans otus les dép.tesnents ffrnitro-Senne réunies le Socialisme gardera ccvable des grands réseaux opposés plies en entier, sauf dans Ir errorleScsert P:ntliieise oBuEvrniètrk es. ¢ 1,1 geste généreux même lors- dissements de Limoux et Narbonne

retour en armer, rognant les,gweun'iclefie.le.ur.ieen.cerostite rieenrs.lels.eixici; dans l'Aude.

desmires luitr syndicale, et. socialis- des gros entrepreneurs dans les ma, est ed'dadllerrerde heauunleeu 'S'ohcréercrles

rescrit combaltif et discipliné, l'es- travaux. Tout cela Bedouee le cous" partementale.

1Ira à Torr. uebien evant la guerre; chas à traiter à l'or.. des grands chasse affiliée à la Fédération dé-

prit de sacrifice qui animait les mi- mie, le flétrit, Péleuffe snadPs ion,litants d'alors.

'aire duFrontPopulaire de ne, se ne peuvent pas, en effet, demeu-

a Nous aurons raison. avens-i-d,de ces oppositions sourdes et comi-ces, véritable mbotage. Des lois nomrites, s'il le faut, nous y aideront a

Et quant aux grand travaux, si lésgrandes firmes veulent nous exploi-ter, nous nous passerons d'elles etno. instaurerons des régies natio-

SOC1ALlfflit -a

« Vous étes;ditril aux rennes, surla route du triomphe. Ce sont lesmilitants d'avant-guerre quoi l'ont dé-frichée, tracée, consirnite a.

Notre rédacte. en chef, Léon HU-DELLE; après avoir évoqué la fo.n-dation du journal par Bedonne, lespremières lattes législatives de lie-donne contre Bouclé, où celui-ci déjà Saurs,irs saut Redon, tient à rm-tenait son adversaire en particulière ree Le, collaborateurs ouestime, demande au ministre du incompétents ou de mauvaise colon-

és nles pl.r

manger si ce n'est chez Estrade ? urgentes, les plus import.. tee., pas. is ne s'agit que do les

,ranPasence inchspensable.

SYNDICAT DES BRASSERIES

scti..s d.. Farcie.' drod

Réer,. prisés/do des emnloyés srudi.nues suiourd'Inli mardi, à 21 heures g1. Hem d. Tsar/

Ordr¢4ü-'5., cdsrisicOnertif.'Section emp/opé En urger

Réunion de mus le rudoyés, à 21 Er-re à la 11..re du Tr.v.11.

Ordr. de Jour Centrai collectif.

DES OUESVSIYEINIFSI'lg MRTAL04

,,.,il

t

dmnere

rts j prfftrtirclgy,t

p i

e pdereire

des

, ies.à.d. 1ms /.saucisse aux choux; Thomas, anus- Puis il donne l'accolade à Bcdou- ca ca

Inrection Ummumerie du « a la mode basque e

entonne cette complainte pOpulaire rc à l'amour qui flotte à la ronde ; Le ministre des Travaux Publics

Le Syndrear des mémuz es perles si..sûres prévient les ouvriers occupé. danslos forcie.. <m'une réunion dec foodevié

!I/ LA-rit IO mouises,' etés; sd Ilerodra à I. Borms. duTravail, mercredi /5 août. à 18 heures.

Classification.ETAIT.CE UNE HALLUCINATION nrése .coindigo..1e.

seele cpTst12S:r. CSke llrrl'lee caneri'rs'sinf's ré.C.rel.' c'eVnr:sediesyneellenlralrriale ,t

Colomiersas oublier que Pune des réformes mes pr des réovateurs.iers I Ois donc peut-on aller n'y res-

mffent tomber dans la Garonne. ede. dereerbild de,.Les pompiers aussfiet Pr6verrns, °. Pranarafion de /a reroustitution d. so,,..

tes au yeux des inilitants, c'est ré- moo,,,,,rendu.« am les lieux accompagnés du ,r, eeddlee, de

Ou,,,,.dehaut goût Service impeccable.

Local fr

sine

ais. Décorations sobres et Prd, ...alebpuration des grandes ad tiministraons " l"v°

commwmire de police de serre.

à coud scausgormer sur ré9i,, i: reinpios.t r re le% tui> e ,a,r bina :race la Js,rer rec:1,earrehr.es,dr ,,r,nen,tolcuars S : ésence rar

Cui de grand traiteur.coins III/ PERSONNEL r

faut MI-11 mse Ses ...errer,.a

1 ',,,,,, à sseuse. cet endroit refusèrent de uvrer leur se- SEFtVANT OF« HoOPICES CIVILSLe menu mul l'indique le

,

même estmR gr même errenoueRéaliser dans le seul intérêt pu- cent sl acre. 1 y a . DE TOULOUSE.

Potage velours /a m bile et non pas dans le bot de nême volonté que le chef. D .se est à noter en effet «ma,rra dis-Hors-d'ceuvre varies L'éloge de Redore par ELLEN maintenir indéfiniment au power. position d'enfant n'a olé signalee et Réunion xênérele mercredi 19, 5651. 45,

an une délicats , Loup de mer mayonnaise pREv0T gut leipanégyyrique d'uni c'est la tâche la plus périlleuse. OU.

trav0,fii0nr,,nare na!-0. preaftisee,rnep,aus ',SU, do Tm./ syndiqués et non soc.

ministrat l Rédacti t l G d nard de O

Cèpes Bordelaise

dh'llImlonegudee dgarteal'e

dmlu d: rml 'geste dual. les Le lidrur11,t,à,ehdaeuds'epnylo.'raCe T re7é.a u 1 p:;L' 'nmeet'' '

dé el

n'<> rion, a, on ea ran cauillé Revole/cations e. erra Qnestiorw di.

Médaillon de foie d'oie régir débuts de J'actuel ministre, son as-5,,

Saladecension lente et régulière, la es- heate° de demaie eg e 1>h's

lourde. Tout en arhadant quels dame ayant rems.dmérge les pompiers, art été victimee nous en. - - cycles, d ee tscre o. ,,,,, eh

Entremets -- Bombe glacée de son exemphire abnégation, la fé-nommée assise de ea eompéseude ee II faut que les grands travaux pro-

n raié eur arran.

Pièces montée Corbeille de fruits condité draps premiers travaux uni- sers, peu-mettre de go- de i..,ed .. ickur:::cm.,..h:r.rseh èse

:,..,

omm e on le vo a me fil ontnistériels, Mut cela Mt brossé à la.

cdeefanitre'rveandre ell'hâlys'aryZereocrup'rr rtueese

elme5e ,re e r

hallucinationz.ron 0.: uLletc; ', i':.i .,

vol.r,,,,,,,

lerl

la fête ormnrsée ao profit de grve degloiro d'on prhuairs «élite par u d 1 g nerrëmlenukr.véSe par R t r a v a il ho. ete duded

urie ete proondemeversitaire de qualit é. Ellen Prert el

Après avoir eMbra,ssé Lucetteeut au cours de cet Immutage d., Da. le domaine extérieur le gon- VOL D'AUTO h mésall . er ch sa f

Lfilleus de Milmots tis . .

... et ardeur rocemion de se fé- vernemeat 'est guidufeeé Parele hee II a été volé une automobile au

S'YaiN"D'I'C'A.T DES MOULEURS

Miett t il f t

,ozes eavec elle par la pensee toussesoscou, notre grand De liciter du changement apporté madresse, Ms. usl réjice de . re Lucien, de- SCULPTEURS, PEINTRES

cceur répond au compliment delviril

a ment a lalp

tradition qui place lesfes ramsolos entre le replia/ et le la paix. Par là s'explique,.

Ami, en quelques par cours du repas, etriuumonie

contrasse-

dans

travail.meurent, 75 boulevard de Stras STATUAIRES

6 /I émit. 5,,,,., digil, qu'on puis_ lldn'oeresu'lah'Per oderélemilperaUse 71°Plli bIllargs

ud

loiture E 'lle

M

orte .

Fab

maso bd thi °. am, ormaninne la note riva. re eau les accents s chants arès es discours, de nom-

de l'Internationale pour que cha- bee. camarades o. fait vivement . s'affronter . pair à pair 5. dp e..... ison. eme pm de complice- 'M N. e . ckinié,,,,,, alr2ramrlies,.,,,

. . 5414 N. T. Elle contena :d ' Pr r. r. l.P.r lr. P illPP, PrleP PP

cun de nous paire s'évader de I. aPplaudir leur talent d'artistes lyri- Parla. des PériPélies nOuvelles bacbacers' ennu moment du vM de

minute poignante qu'a vie.. ah une, ou de os., qui marquèrent les dernières grèves, se veSm. Ilee sleorhe,,gedes;"mit renfermant des appareilr Eh laun to,.:=1Lenr7,',V5Z.77. di,;::.";

if es contrer.. avance pardon à ceux que nous ou- mse grises. Ils ont PM la aie. Le e nCitons en demandant par le maire de Toulouse proclame la ViC'estsa.' ree''''-e

gouvGneme m, Lux.

"t é e ourse ravail. es mnd. Tramil, er le camarade --Csderoves

GL'apéritons vont leur train.

est erse LLes camera- blierons involontairement 1.. l

sageur go

desurme la

tgourme sociale I est un gouve

batrn

ilement de bataille. De La

-p oli e eh -he e &Piss d h B . T L

des

o p i / I be

reee eerysiem,,onse.d.'uee.lorursi ,,aré er ,easr,,eoff .r.érrue demennent des hor nes. Signe cer- pour e oxà ml'''lelrlâ'commentent par petits croupes grief, je.e ténor plein de ProMes- me ses jeunes au moment où.'-I

l bataill nesePse

av.. de'louvelles et bre diospositions1 prgs2 t tain et rassurant de la maturité des l'intéri

/eur.

ter n écrO eA VIE 1. I.ndi i, aver 'iNd,. devons ici remercier l

m à'm

es cora

pathétiquement. en train merveilleux et amateur de es.n

nep' hi': beaa.SItu uc eilrrait'alttI nej.nli.me

ne /am soi ont' &I-irr,OCIÉTÉ n ers do oossible lems erewles mar-

DIES LA LENGO MAMAIA) sant apologiste de la chaleur de no- ce, au nous de la Vile.Ire sang ; Isard sentimental qui né- dluul-llltreaeff Igluariussurchruameani% stfir. ac-' 901L. CHEM.. 'rel-e-a-I'Nee'

( res ers zreve, sens oublrer 1 limon disSyndicats nui . égalas/ro lait son devoirI

se fet.""Etvieassertilifeh-ffeeffregffenfirtt réé. qui chanta la liberté ; Régné"Un geSte parts du rang, le silence ve de donnev.x. Coeur ; .Engène ,Discours de Bedouce ccbrupnffe1,,,ix,elopluereiergellsdaecinsksameasc.i,,IIL-us..

,fitunce,ren.red,0.13,,eurreLue e- Pues.kestrkenr.estrde. enork%orols..,,,,,.iee,pesas'..las

une Bedouce avalt manifesté 1¢ dé- (Mi affectionne les beaux jours ,,, lj, su yjagt soude Menvardenee r courant à. 21 hormis au sr ge nes qm osé dermélsur obole à no, oug,

sir d'entendre chanter par les can d'automne ; Marceau qui proclame C'est maintenant au tour de Be- houp,s, d'apres-grserro.ras-rades du Groupe « lé cent del esse les pauvres ne devralert ' .pas douce. Avant qu'il ouvre la Louche, co, ja,r,

malg,,,,,,,,s,=dem le

Sosie », chanson de nos ancêtres vreillir ; Villespy, chantre de la une tonitruante e Internationale a ...hseareent que ré tout l'humanitéen lutte contre leurs oppresseurs, Normandie ; Meurel qui croit enco- retentit.

- li

Jedrsêrksoohnescc,,,,rIe.,,cti,oionu,,nezenli..,.

groupe soma ste de Ildoscou recel/mil auaid-hier son parrain Bedouce re- la malignité et la sommai-

...arra.. les ouiera vite ee venant . mirer:l'emportent sur na bonne volonté,

bl

11

per au foyer ute l'amitié et de la fru

indestructible (M'est le socialisme

toolourin.

Décisions à prendra concernant seer,tre

lconge filr S75 dr,l¢¢11 rullequ'circha' Lveasee=t eûetLdre

poutriueR:LEsrlooSS,NrarCE0-103,40RojE,

SYNDICAT DES CHEMINOTS

sorbe.Etudc du' programme pour funchunc Sectizzeuiciac

,cré,,iciacazcom,

1,11GALE TOPIIISTIQUE dledridemDE L'AVENUE DE 311IRET re maser, us eece, 5 ,7 e,dere,

mous les

reeb ea'Iret oe RiEM du PMARIE'El'"

slisCnedans la selle.onurtlisnap' Ilecentthc'authiersitTnee t'eh' 'Questions fiés importres. Sortie du

50 amis. Présence tudixpensable. D. COSTES, 25, rue do Rémicalt,Un triple 'ban, une e Interatio-

nale r le couronnentIl est 17 h. Si,

La fête est terminée Les c0000'ive8quittent le banquet, tandis que Be-douce, une dernière fois acclamequitte Colomiers pour aller

assisterJVLIALWau championnat national du boulis-l_ne travailliste au Parc Toulousain.

Jeunesses Socialistes I

COMMISSION DE COTATIONDES VINS

DE LA HAUTE4PARONNEu an 15

Vin rouge 9 fr. à 9 fr. 23 le

ooléance.

COURONNES MORTUAIRES 1 COMMISSION EXECLEGVED. COSTES, M. rue de RemusRamasse,Choix

à domicile TéléphOno 203.1s Rémeon yc Cuis lilaer à 21 11..i°, anFoyer du Peuple.

L. Secrétaire.

GROUPE FELIX LAVIDELOREROUGE

Nécrologie

Nous avons la douleur d'apprendre .mort de I. amod-mère d. ne camaradesGilbert et Charles Qondal.

Que le hmrge Migrée veuille trouverici l'expression de ose plus siucères con- NATATION

Entrais-serrent

Semaine d 10 août

obligatoire . tous lesLa Sociétaire.

sismale, e vne de a raverséenageurs, ce soir à sitheures, piscine nut-

Amis de P n l t deEnfance Towouée.

degré; 95 9 fr. 25 en moyenne; 10° Ouvrière ETOILE TRAVAILLISTE DU CENTRE

pas d'affaires signalées.ReTuugae: xboans '0 t'Un ' sud xbir'. i

Vin blanc Pas d'affaires.v0d0r1IF.-7.72 Rémareirall'rn sco'-dralnat,roautglr Y'llhe'res',"d ce

mirusiège,

'8 s, . w e 8m8 rav ev rer é 21 Café Roland, boulevard Carnot.sroer BOULES 1. rémoiOrdre du jour Adhésions: cotisa-

Une erreur s'étant produite, da. h7rol'rePeaS'o'r(rarurr7(rdisatonP7:11dé. Pons; questrons diverses. serré-l'insertion du 15 août 1936, des nu- ,art pour Capbreton, non, assister a la ,fre,méson gagnants de la tombola- rand. féte organisée par les Faucons . .

souscription du Club bouliste a Les Ro,. 1. dimanche 23 rat L'IRIS

Rouges-Gorges r, voici l'ordre desrr.fizm.etrois .gagnants dans le sens ho- ce ion.. de 17 lb. 30 à 18 lx

rc,30. au ...Io( 13, avenue des Ifilr-riMe2 Café 'I-

da People, où l'on pourras'inscrirePeo, siè214 60E 646 270 230 533 846 705 21

1les pisses à retenir po.s le car419 600 277 390 594 555 474 III .... se.,

Pour les 'Amis de 1Entance Ou-vrière r La seméteire salir. deafemmes socialistes , Elle Massé.

BOULE DU CHATEAU-D'EAURéunion de toua Mu niembres cé'

h 18 rares, au stage, Cafe Novelffs.Organisation et meriptsons pont le

concouss dr pêche et .le banquet.'Presence Mrspensabre.

L'ILLET ROUGEATHLETISME

Entrer-ormeuo obligatoire de soie lesathetes ce sou. à /8 Ileums terram duBazacle; challenge du 23, de l'Iris..

Avis eus ruchrtes aYant parripaau déplacement de Barcelone

Les coureurs dont les omis riventDubosc, Creus, Mercel Raynand,Louis Reynaud, Fernamié, Carme,Maistn, Jean Laffont, Drue, Lesco-fd et Mollet sont priés de passer cewie muribi sans faute au sièège del'Iris pour une communication trrsulmiste ri trés importante au stden var.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: Les événements d'Espagne - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole

Pour combattre le socialismenos adversaires ont recours

aux arguments les plus mensongers. _

Leur but est de dresser les travailleurs des champscontre ceux de la ville

LAlégende do socialisme a par.

tageux .e.tend à '<Reparaître ettout de ettème nos, adversaires

n'osent plus parler de .e vaches cou.pues en quatre s ou de a femmes misesen certain. De -

Cependant les bobarde s'ils ont unP. varié ne cesse. de circuler.

Nous n'en aurions de meilleurespreuves que les tracts, affiches ouarticles de pressanlie nos Cnniuredesnous font parvenir des foutre coins d.la France et tout particulièrement dela Bretagne, de la Vendée. du Mor.Va'n; de la Normandie ou de l'Est.

On y retrouve toujours les rnémesclichés, Jes mômes mensonges, .1amême mauvaise fol...

Entre mille exemples en voici un desplue typiques extrait du e ProgrèsAgricole de l'0uest2, sous la signaturede M. A. Desseller, dans le numéroYu 2 saut

L'Etathane .suolallsamedere toutla monde, et, au noni_ de cette ruinequ'il a causée, qu'il entreileht, qu'II taitdurer, veut déposséder tous ceux adpossèdent ou vivent d'un bout de terre,pour compléter et achever leur ruine,

itrevillëesbclifritesliéedenrégois.tement unn quantité de nourriture cons.tante à un prix qui laisse uns msrgepour le café, le cinéma et les bas de

En dépit de l'obstructiondes Croix-de-Feu

une section socialisteest créée, en Gironde,

dans un centre agricole

(De notre correspondant particulier)Pomerol, 14 soin. Récemment no-

tre camarade Raymond Guyon, de Li-oourne, participait à une splendide remIllen, solo Bilieux, au cours de laquelleil s'est fait longuement ovationner Parles assistants dans son puissant pané.gyrique du gouvernement de ressent.Mame. POpulaire, et dans l'émouvanterrcouragement envoy., par dessus lesPyrénées, h nos frères et à nos sursd'EsPagne mit hâtent déseepérement,fusil â In main, pour défendre leurideal de liberté et leur droit de vivre,contre la terreur Manche royaliste etles honunes noirs de l'Inquisition.

A Pleisue de rette réunion, dans unpaysan, une secti. 0.00.0,0.

plus de 00 membres et 5 femmes lutcréée, après que quelques Croix de Feuqui faisdent de l'.etruction eurent êtéquelque peu Malmenés par 00 010010

rdrisitoirede Guyon.

fais *a. 10 sertie, notre and consta.tait, ouatons indignation, que son antevenait d'étre sabotée par 1. 100006611x1.208.0.

de4T7

soie. Le socialisme, c'est la tyranMedes villes, av., Pour ies csmesignes iemisère toujours et la (amins les rnau.valses années. e

N'est-ce pas là le thème de toute lapropagande actuellement menée dansnos .mpagnes par les ennemis dugouvernement de Front Populaire.

Le but n'est autre que de diviser lestravailleurs, do faire dresser ceux dela terre contre ceux de la ville.

Le refrain n'est pas nouveau, seule-ment la moindre honnêteté devraitcommander à ceux qul nous combat.te. de reconnaître, en ce qui con-cerne l'agriculture particulièrement,tous les efforts du nouveau mtnistère.

EaPPelOns notamment l'applicationdes allocations familiales au mondeagricole, le moratoire des dettes, lesbaux ruraux en attendant la loi surla propriété culturale, l'abaissement duprix du permis de chasse... enfin,l'Office du blé.

Quel est le gouvernement mil, enun laps de temps aussi cours, a pufaire aboutir autant de Projets esfaveur des ruraux

Nos adversaires savent bien toutcela, mals peu leur Importe.

L'essentiel pour eux est de créer de

Tout est là.Pi erre RI D ET.

TRAVAUX DE LA MOISSON

Dans la région de Tromblay-les-Goneme, la moisson est très avancée.En blé est mis en tas avant d'être transporté à In forme on mis en meules.

Les ouvriers des entreprisesde battage du Nordpoursuivent la lutte

Lille, 14 00,00 (40 notre cor, port.).Lue ouvriers des entreprises de batta-ge du Nord, actuellement en grave. onttenu, 00 00110, b Quesnoy-sur-Dente,une importante réunion au cours de Oc.avoue ils vol confirmé leur volontéd'obtenir le salaire minimum réclaméPar eux soit t fr. 10 par heure de bru'OU!.

Line entrevue a eu lieu cet après.mi-m, à, la préfecture.

Au eaure de celle-ci trois points prin-cipaux ont été présentés par la déléga-tion ouvrière. Elle a demandé. 1° Quene soient plue employés Par les fer.miers des ouvriers étrangers a la cor.serein, 2° Que les contrats collectifsrelent appliqués tels qu'ils ont été étm

3° Que les sous-urêtets et les élusprovoquent la reunMn des commissionsparitaires cantonales telles qu'elles ontété prévues.

Une entrevue entre .trons et ou-vriers aura lieu mardi b /a préfecturemur mettre toutes ces questions aupoint.

7amarades,aidez-nous...FAIRE DES LECTEURS

C'est an véritable record d'enduran-ce greo vient de battre le Ministre deduartmature avec 8ons prote, crOffinedu Ene.

En effet, 00 « débuté Psr use eremee de vingt-sept heures d la Chant-bre et a termi. par des navettes plu-t« opres entre le Lueembourg et lePoldisMourbon, iwyettes élit ont né-cessité phisieurs séances de nuit et ontpris fin, hier matin, vers 7 heures àla Pnile de dramatiques débats.

Ce oui fit les difficultés de l'accordfinal, ce fut ta volontd formelle dugouvernement de ne Par transiger surYe nécessité de futre Puer 05 Prie deMe par mi accord librement consentientre producteurs et consommateurs,In gouvernement devant rester t'arbitresi t'accord n'était p. reatisd.

Le 84000 prétendait au contrairelaisser fixer le prix du blé par le Con.seil de nOffice, se PrenenSant a +00Simple majOrité obsobte.

Or, comme le vote des assembléesavait porte le nombre des membresde romee à cinquante et un, sur les.quels vingt-neuf devaient être des reprdsentants de l'agriculture, laisserfixer le prix du DIE par a. simPlemajorité, c'était abandonner d /a ses.0e catégorie des preelleCletare le 1.88i.Miné d'imposer d la .tIon tout en.tiare le prix du blé. c'est-d-dire le Prieda pain sans que le gouvernement ait100f nec/mire droit de recourir.

Devant l'intransigeance du Sénat,Zoo p000noid,oe twvette, te débat pritun tour dramatio. I Monnet signifiaO l'assemblée 01000 était résolu d reti-rer le projet de l'ordre du jour si onne tai donnait pas satiSfaction kr cePoint capitaL

Le gêne ne consentit Pan d s'incli-ner font de 5,1100 4e bonne grâce et/ana deux autres navettes pour ob.tenir le vote.

Et la Chambre. dont la majorité futécnalanintent solidaire du m'avenu,..ent, adopta ie preiet.

Ire!, le vote intervenu au Parlement,,1100p Onu Office rinterprofessMnnel

blé. Les producteur, Pensent S'et-

C'est .40110 00 1 134 qu'éclata le fa-meux conflit qui devait mettre auxprises le Comité national de la grandemeunerie ind.tadelle et l'Associationnationale de /a meunerie

française.Doumergue étant au pouvoir, M.Chasles, président de l'Ass.iation na-tionale de la meunerie française, luiadressait un ultimatum le menacent dela fermeture de tous les motains 81 lemarché du bre n'était pas rendu libreet 01 10 loi du prix minimum, sabotéedans Inc conditions que l'on 0010, 1041011Pas abrogée,

a Si j'étals Hercule, armé de samassue légendaire, eeMealt M. 0000-les au pré-Sidon du Conseil, je terras-serais le monstre anb cent décretsqu'est la loi eue la défense du marchédu blé, mais je ne suis otte le prési-dent de l'Association natio.lo de lemeunerie française et je viens MM.pliant m'adresser I l'homme de curet de courage mie vous etes po. Tad-Reer de briser cette lof inique, vastemonument d'absurdité. a.

E, M. Chasles de s'en imendreO Parlement incapable etau « mi-nistre opportuniste et sans e00000tion a qui avaient fait voter cette lei.

Dans quel but, à ce moment-là. M.Henry Idnvy, au nom de ht grande men,seri, rompit-il avec M. Chasles

Lr.e,...qUi0rorinek, concurrence 0011.

TOuinaru e00-1,1 que la grande meu-nerie se désolidarisait do la petRe ede la moyenne pour toujours et désor-mais allait faire bande à part,

he plus curieno n'est mie Ti. Chasles,etam administrateur de l'usine de Pan-tin, qui appartient an groupe Lévi,avait dore ialt un pied dans lea manda

tendre d bénéficier pour rene céréale5,0 cours très sensiblement supérieurany cours actants.

Le cours nia blé seraprochainement figé

A ce sujet, Georges Monnet a punoirs donner quelques Pre&stons-- Ce cours, déelare le ministre del'Agriculture, sera dtu0000 tafia do moisd'eue. par les soi. du Commit centralde roffice, après consultation des co.mites départementaux qui seront mn-voolés dans quelques jours. 1.00 produmMurs, pour la vente de leur blé, et enattendant la /ixation du cours, pourront4 leur choix s'adresser soit aux net,doits, soit 000e mopérattven Lee népm

Mannoor Robin,,la projet de ('511mo rttle.

mous. et, d'antre part Étant propri,taire d'un moulin à Verneuil, &nen.duit de la moyen. mennerie

Bref. M. Henry Lérey, dans une let.tne rendor putalque, fit savoir à M.Chasles qu'R s'opoosaR tt la fermeturedes nlaulins et qu'il s'en remettait dugouvernement pour exarainer le situa.tien de la meunerie.

Le conflit qui depuis longtemps m,ramât venait d'éclater.

La lutte pour la prépondérance ,A la suite d'une polernimm assez Ii.

rulente entre le comité de la GrandeMeunerie Industrielle et l'AssociationNationale de la Meunerie Française, le

juin 1134, on pouvait lire dans Le Pe-tit Meunier, cette réponse, b M. Henl,Lev,

a On n'a pas manqué d'observer quesi vous êtes toujours un dm membres/es phis en vue de l'Association Natio-nale de la Mertnerle..Franoalse, vousales, depuis 00 réveil fie la petite etmoyenne meunerie auquel nous nousflattons d'avoir centailtuê, créé le Co-mité national de 10 0151100 meunerieindustrielle. C'est de0v la meilleurepreuve qu'au contraire de te que vouSavez pu prétendre 4. diverses reprisesavec une habileté qui yous est fami-lière, les interets de la grosse meune-rie ne eont pas 100 1000000 que les inte-réts de la petit meunerie. En fait, iln'est pas sûr, et Pen ne saurait vo.en vouloir que si Tells le cachiez, quola grosse meunerie dont Vnus êt. lepuissant représentant, ait d'autre des-sein que de voir disparaitre les 8.000Petits et moyens moulins dispersés dans

%. TEL'OFFICE NATI IAL DU BLÉ EST CaÉÉ

Avant la fin de ce mois, le prix du blé

aura été fixé par le causal de l'Officeo Les cultivateurssont assurés de trouver les facilités de trésorerie dont ils ont be-soin jusqu'au jour prochain où entrera en vigueur la nouvelle législation sur lesblés y. nous déclare Georges Monnet, ministre de l'Agriculture.

aidais ex tes coopératives. tout enajournant â la /bu du mois le régi,ment définitif des anantitespourront .corder des acomptes intPe.sanie lu montent de la livraison. Lexfonds amina am acomptes versés Parles coopératives seront fournis d el-les-el par ies caisses de crédit agriColeSoi ont rem d ce sujet toutes Inc ins-tructions nécessaires.

Et Monnet ajoute x

Enfin, les prod.teurs. s'ils nepeuvent livrer i»tmédiatentent lear bléeux coopératives et aux négociants, ontla possibilité de s'adresser aux caissesde crédit agricole et aux coomtrativespour obtenir des avances moyennant /aconstitution de marrants ou /a 801.Criplion de billets.

En/in, ces Presles.La Baffle de l'ranee, depuis plus

d'un mois, a avisé aes sucettraales dépar-tententaieR, qu'eiles pourraient accorderet. Mie,es régionales de crédit mricoleun acompte de xa /rance par quittade blé.

« Les cultivateurs sorts donc 00010.rée de trouver les facilités de trésbre-pieant Ut ont besoin jusqu'an« (Our

prochain-IX g:,à.zeze"ite.-"'corPour créer de nouvelles

coopérativesA NOUVEAU, NOUS INSISTONS

AUPRES DE NOS CAMARADES CUI,TIVATEURS POUR QU'ILS PREN-NENT L'INITIATIVE DE 011000 0000COOPERATIVES LA, OU IL N'Y APAS D'ORGANISATION.

NOUS SOMMES A LEUR DISPOSITION POUR LEUR DONNER TOUSRENSEIGNEMENTS UTILES A CESUJET ET POUR, LEUR PROCURERDES STAITTS-TYPDS S'ILS EN 10E.$101010V.

Moutons enfin 061 éc mvi8106 'Of-fice national sera promu/gués dés 1070.di d l'Orfielel.

Bref, Mut est mis en dês main-tenant pour one l'organisation soit me.71àC à bien..

30.000 en 1904 le nombre des moulins1ei3Oa, tombé à environ 8.000 actuellementEt c'est désormais une lutte acharnée entre la grande

meunerie industrielle et la moyenne meunerie

4-

CISCEUR DES SEDATEURS, On l'aura tout de même amélioré Le tractent l'attelage pont les travaux des cheings.

Lutte pour la prépondérance, n'ont'00 pas

De »..eao le nombre des moulinsest passé à 5.000

En toute objectivité, nous avons évn.MM ce passé récent pour mieux fairecomprendre la situation .tuelle.

Et maintenant, voyons 10 010001 lameunerie comparativement ft ce qu'alla

n'tEn 1904, il y avait environ 30.040moulins en France.

En 1935, d'après les statistiques offi.oiel/es, il n'en restait une 3.517.

Et voici canulent ils se répartis.salent :

Ayant engagé moins de 1.0011quinteux

De 1.000 11 DEO on 1.1010

Do 0.01d b 5.000 nO 0.100Do 0.000 à 10.000 on 06G

U:gg 11010e 100,600 à 200.000 qx 29De 200.000 à 300.000 au 5Plus de 300.000 qx

Et oes chiffres nous amèneront enco-re à d'autres considérations.

N'est-ce pas la un .exemple typiquede conaentration capitaliste.

re ce n'est pas fini. Le rêve de M.Henry Lévy est, nous l'avons dit, d'a-boutir à un véritable consortium de /ameunerie industrielle eu profit désGrands moulins.

Y paryle0400-041 ?En tout ms, nous verrons menai.

nement les résultats auxquels il a dé-jà pu aboutir.

_

LES CHEVAUX N'AIMENT PAS LA FUMÉE

Les chevaux n'aiment pas la fumée; mais ils aiment encore moins lesmouches qui, par ces temps de chaleur, les importunent. Dans la rompagne suisse, Inc paysans allument de petits braseros dont la fumée

Masse les mouches des attelages.

Mns,,,,,ww,..

La Fédération confédérée des travailleurs agricoles

dénonce les agissements

et les provocations des dorgéristes

Elle réclame la dissolution des Chemises Verteset fait appel au sang-froid de tous les ouvriers de la terre

Le Secrétariat de la Fédération Na. La Fédération Confédérée de l'Âge-Nouais Confédérée des Travailleurs de culture, forte de 150.000 adhérents,"ebtl'Agriculture a examine 0001100011v décidée 4 pour qu'il en Soit ain.créée par Pinterrention dm e Volon. si, pour que la paix et non la guerreMires de la moisson 14000 les conflits eiVile regnn daim les campajneq dequi se sont déreules dans les dernières FP.Ce,Semainee

Les informations puisées sur placeont permis de constater quo, P...où /es troupes dorgeristes ne sont pasintervenues, les conflits ont Cté decourte durée 01 000 010 solutionnes aumieux de l'Intérêt général.

Par contre, lb où les briseurs degreva r.rutés par les hommes desrues dissoutes sont intervenus, les con.nits Mit revêtu un caractère 00000100plus grave, ont êtê beaucoup plue longset il a fallu tout le eang-frold des ou.vriers pour em.pêcher none, produisentdes incidents que, visiblement, recheYcitaient les a chemises vertes >.

L'action des briseurs de grève s'estparticulièrement développée dans lePas-de-Calais, lu jour où les Patrons,000 0100000 .cepté verbalement les re-vendications des ouvriers, ont Ire mis

o'et deervrerairde,Jo rr, zur0,1:0-01nsoi-disant e comité des agriculteurs snouvellement constitué.

Pour briser la grêve, do prétendusurriers ont été amenés des divers

;Mei eteleteetto"=re,estafettes. en aute, et en moto...Leursgroupes défilaient dans les villages auPas cadencé, chaque homme «eutom d'une énorme matraque.

La composition de ces troupes étaitMa eue douteuse. Quelques ouvriersagricoles authentiques, qui avaient 000amenés de Normandie, se sont inund.diatement joints aux grévistes lors.qu'ils ont appris la besogne qu'on vou.lait leur faire faire.

Voici, d'après I' a Eche de Parisdu 10 août, quels étaient ces e Talon-taires

a Répétons-le, médecins, acteurs, cl.néestes, journalistes, étudiants, Inge,

%leurs,commerçants, officiers, artisar,

c;e c'rs"er es"crouostUsuerencontre plus souvent sous les pont,

ploinen de pe:,c,,P"i"uo d'"LorMine, SUS l'intervention de notre

Fêdération, il, d'ailleurs ôté procédéà la vérification de l'identité des « Vu-lvOOc00000,lOol0110bf nombre ont ététrouvés porteurs d'armes 00 00 pour 100n'avaient jamais partici. â, aucuntravail dans ragriculture

CM comprend aisément quo la 00000'101000 de ces campagnes, les ouvriers etles artisans, les petits et moyens 11011p010000000, se soient dressés contre /esprovocations quotidiennes des élémentsrecrutés et soudoyée par les ligues dis.soutes.

Quand les ouvriers des autres indus.tries, les mineurs de Lens, les 000.meurs, etc..., ont appris la présence deefascistes dans leur région, ils nous ontImmédiatement prévenus, déclarantqu'ils étaient prêts H. Verne aider leurseamarades des champs pour chasser lesfactieux qui volaient leur paha.

En certain nombre de patrons sesont d'ailleurs désolidarisés des m,neurs et, malgré tout l'argent dépensépar les dorgerlstes, devant la réprobation unanime, les e Volontaires e ontdû partir et satisfaction a &d donnéedéj0 en maints villages aux modestesrevendications dee ouvriers.

Dorgêres et de la Rocque, ainsi quel'officine du 13000 Las Cases, 00 000été pour leurs frais. Mais 00 n'en resteDas Moins que de tels agissements, s'ilsse reproduisaient, peuvent avoir desconséquences très graves. Sous pré.texte de sauver une récolte nullementMenacée, an regroupe les membres deslignes factieuses, on dép.. pour leursdéplacements des sommes dix fele su.Périeures aux augMentations légitimesdemandées Oct lm ouvriers.

Cela constitue une atteinte flagranteau drolt de grève cela constitue unevéritable provocation.

La dissolution des e Chemises ver.tes e S'impose donc sans retard, ainsiMie l'emprisonnement des organisa.Murs de telles provocations dont Polo-jectif conmste 111)01 des incrdentspour les exploiter contre le Front Po,salaire.

Cette vieille paysanne, qui cOnsa.cra tonte sa vie au travail deschamps, vient de recevoir la croix

de la Légion d'homeur.

A la sous-commission

agricole du groupe

parlementaire socialiste

0,1,001100, mue lor100000sblbiOl g:camarades suivants :

Premier groupe iIolloa agricoles,1100 01 ferme et statut du métayage.Responsable I TanguY-Erigent.

2e groupe o assurance nationale, ca-lamités agricoles. Responsable : Vil->dieu.

3e groupe 1 allocations familiales enagricuiture. Responsable b M. Laurent.

4-e groupe 1 0101010100 de la Main-d...ne agricole. Responsaide:

.,1"gr,i0etrooze ectenee'a'.rleconsommation (fleurs, fruits et pri-meurs, halles et marchés). Responsa-ble: Gardiel.

ta grange e Office national des en-nralal et produits antleryptogamiques.Respomable 1 Carnet.

7e groupe 1 /a défense du mardhé dulait et des produits laitiers. Responsa-ble : Ravanat.

Se groupe I la viticulture générale.Financement de la récolte. L'échelonne-ment des ventes. L'Office du vin.Charges fiscales. Responsable I Romcsyrol.

De groupe O la défense des vins decrus et d'appellations d'origine (espar.tation, douane, contrôle des appella-tions, de la répartition, avances mrP000010, e10..1. Responsable: Boulle,

10e drame b les charges fiscales enagriculture. Responsable: Thomas J.-M.

Ile groupe 1 la défense et la stabi-lisation du marché de la viande (éleva-ges, aviculture, etc...). ResponsableRiffaterre.

12e groupe l'organisation de la Pre-duction agricole par la coopération depreduction, de transformation et deP0010. Responsable b Boulay.

13e groupe : le problème des retrai-tes paysannes. Responsable: Fie.

14e groupe b crédit agrirele.,

ISe groupe Office forestier. Respon-I sanie :

Prix et Cours commerciauxAmine. Ose.sure. 111001ee 010401, 5/0,50 le Id,. ta..

41.1el 200/e.Yel nese 1/1660; Cuisse 7110',nein enner 0/1130

leen. -- Prani. qua. 8/10 le Pennmeminé 71700; .dtélème qua. 600/6,90, Ph,,,sema 100/11.

Premiere n.6 11/18 le 011e ;Dem.. 40. 8010.6; Trot.. men. 8 à/le: flou 10/78; Sada parée 16/00; Spa.

20110.00 10 .01,', Pomo. ,,,,sno 7./0., riina 009,60 7/11,30; Letil 6/10.

11.68.aninee 35.MY

lePerlea dee.. 1.11.1ellea.

sresseu WU; mon.«Ur

nommelm/140 I,s Camemberts derrw

000001 '0'le7100/190';ll2.7= lete"Por.ses Mo/DM ni 100 my; Mayne 0 Comte SOUà 105.

l'OUILLESCanard Pomma. 10/11,50 laile; Canard Nana.

/10,29;10/11,60;

Canard fer. 7.60.0,50; Inoin, ne.8,50 Illedeureper morts 1.6; Me en Cell7,,60, Poulets mela Sen. 1860/19.5. rodes000,s,,0 16117,50: Pei. ale Meade ionasc

FRUITS

s A60/550 allos; rades 85..

'"4"%',""0,,M'ole. "1: ;15,«,0001 di 130.110; Harem 150/000; POInteee00/400. Te t sonso

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 5: Les événements d'Espagne - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole

esr POURLe mouvement des vins

Avec quels soins éclairés et minu-tieux le viticulteur soigne amoureu-sement et "avec quelque Inimiatudeses vignes vile récolte pendante

Ses obtervations s'ajoutent à cel-les de ses pères.

En lui, nous aPpeérnionS autour-Trinil la résultante de tontes ms ob-servations judicieuses. Il est en vi-ticulture un maitre que noue admi-

rai/muai hélas, ce meure indiscu-table ne le reste-th pas lorsqu'Il s'a-git de cueillir In trait de slmois d'efforts té

Les mmeils ne manquent pomteutpas. Erni/cament quelques-uns "luiparaissent plus qualifiés, d'autres luiapparaitront moins désintéressésmais enfin son lion sens et son cape.rience lui permettraient de faire ton4.0-ltieneMtichoin judicieux.

Aussi mus ne nous tasserons Pasde répéter ces Conseils, trop souvent,hélas, justifiés.

Trop de viticulteurs feréhr en-core que la propriété, tant du maté-riel virales que des envm et cellier,est la base d'une bonne Vinification,car il n'est pas vrai que la fermenta.tion purifie tout

Nous soulignons que cette hygineest essentielle, qu'elle importe mômeplus que tel ou tcl système de vini-fication, ou l'emploi de telle spécia-lité Or préférenm à telle autre.

Ces remarques établissent naturel-lement le plan de nos oonseils :

L Préparation du matériel vi-nai..

If. -- Vinification des vins rougesVinification spéciale.

F.Paration du matériel vinsireCave

La cave de vinification ne devraitservir eau logement du vin et dumatériel vinicolk. Aussi est-il proton-dément regrettable d'y voir les ob-jets les plus hétéroclites destinés àtout autre usage que le travail du vinles uns dangereux, les autres odo-rants, ou encore de voir la cave starvir à de multiples usages dont quel-ques-uns risquent de donner aux vinsparticulièrement sensibles des ode°euou goûts regrettables.

Dans la mesure du possible, la carce doit être nettoyée de tout objetMD ne doit pas servir ais travail duvin. Ensuite, précéder à sa toiletteobEgatelre.

Les murs doivent allimraiDe danstoute leur netteté. Ils seront Mors ba-digeonnés au kit de chaux. Le sol se-ra arrosé avec une solution de bisul-fite de soude à 1 %. Les Ohm% moi-sis seront supprimés ou nettoyésfond par grattage d'abord et trade.ment avec la solution de bisulfite ouuno solution de permansmare de pu-torve h 3 g'

Alltrée toutes ces opérations, la ca-ve doit être propre. apparaître netteet dégager uns MM faible odeur d'a-nhydride sulfureux.

Dans ces conditions, tous les mau-vais germes seront *but% ou leurvirulence eanterthablmmel atténuée.

Le plancher de la cave oit s'oneruparfois et à cari ouveg le transportdes rai,. et Mir foulage doit êtreégalement propre et net. AttentionROA lies Miches qui peuvent rinfer-mer de mauvais "germes. Attentionégalement aux substances toxiques oumalodorantes qui peuvent acciden-tellement se mélanger au vin.

Après ce nettoyage, lever le plan-cher avec la solution de bisultute.

Si dans la cave il existe encore duvin vieux, l'éloigner le plus possibledes foudres et cuves de fermentation.

C'est dire l'avantage d'une cave de

garde ou cellier séparée de la cave devinification ou euverie.

Profiter de cette abligabon pourfaire, par vent dm nord, un soutiragedans des récipients méchés. A ce su-jet, soMignons le danger :4M Mèneveles vins vieux pouvant être atwinisde la maladie de la tourne. Un traite-ment préventif est toujours efficace.Le traitement pirate, applique truandil est temm emore, est assez aleatoe

les vitiCulteure devraient attacher

Le tableau du mouvement des vinsen juillet 1936 a Paru . JeUrralOfficiel a du 14 août 1936.

De ce tableau il résulte que pourl'ensemble de la Frame les ,rtiesdes caves des récoltants se met elle-Vies à 3.849.773 hectolitres, portantte t tal demfis le début de la Caurpa-

35,780.900 heetotitres.Dem ce tableau, les 4 départements

méridionaux entrent en compte pour:

Sortk' j'et' 21..e19119 TRESORAntérieurement

23.229.510 hl. 3 /12 eie à 6 moisEn Algérie, les sortes se sont éle- 4

vées A 891.024 hectolitres portant le Ountotal des sorties de campagne à13.596.369 hectolitres.

A fin juillet, le stock commercialétait :

1. En France de 13.083.212 hec-tolitres en diminution de 78.699 hec-tolitres sur celui de fin juin

Dam les g décerne/mets me-rdipnaux, de 1,003.325 hmtolitres endiminution de 18.278 hectolitres surceint de hn juin.

3" En Algérie de 974.156 Itelon-tres en diminution de 4.525 hectoll-Mes sur relui rit fie juin.

Par suite l'écoulement des vins enjuillet a été deEnsemble de la France 3.928.472 hl.4 départements méri-

dionaux 2 188.669 hl.Algérie , '895.549 hl.

Les quantités de vin soumises auxdroits de circulation se sont elevé.en juillet, à 4.535.634 hectolitres Fon-t. 4.355,223 hectolitres en Juin 1936et contre 4.319.337 hectolitres en juil_le 1935.

PLACEZ VOTRE ARGENT

SANS FRAISSANS IMPOTS

EN

BONS DU

INTÉRÊTS PAYÉSD'AVANCE

lIlIII,lI5lIIIIl'lIIl'IlIl, 111818 855 55555 I lise I

Observations. Les sorties des ca-ves des producteurs sont en Millet in-femmes é celles de min dans lm-semble de la France, dans les 4 dé-garnements Méridionaux et en Algé-rie.

Les quantités de vin gatunises auxdroits de circulation sont en augmen-talion en juillet sur celles de juin etsur le mois correspondant d,e la canePagne dernièrée.

Elles accusent également b fie lui-1-kt une augmentation de 2.258.158 hl.sur celles de la période correspon-dante de la campagne Préeéfelente.

vendange et vincationMI, plus grande inttiortance a l'exa-men clinique des vins en,. enVS.

Outillage Vinatte

Bémettre on état et Mttoyer par-failement ka seaux, hottes charrettestombereaux. Après nu lavage à gramde eau et raclage avec un balai aunne brosse, lessiver ce amtériel àchaud avec une solution 4 ID c, decarbonate de soude.

Ce lessivage sera suivi Pm rinça-ge à l'eau propre et si possible à lalance juernna ce que toute trace dela solution d,e carbonate de soude oitdisparu. Le matériel en bois subira,en outre, un lavage supplémentaire etfinal au moyen d'une solution de bi-sulfite de soude à 193

Laver ks toiles utilisées, /es filtresà manohes A Sraildj, çau pui5. leStremper edam lersehrtion bre..fite et lés méttre ensuite à sécher.

Laver us tuyaux en caoutchouc auMoyen de la solution de bisulfite di-luée au triple et les mettre à égoutter.Eviter le séjour de Peau dans latuyauterie de camiehou,e.

Les maies el les claies des Presséenseront également brossées, rincées etlavées à Peau hisidmée.

Les robinets à raccords en cuivreseront vérifiés, nettoyés; les joints etles rondelles changées.

ReeiPients vinai.e en Bois

Récipients en usage. Ils doiventêtre propres, sentir bon et ne présen-ter qu'un dépôt de tertre Itm im-portant. Celui-ci, s'il est trop abon-dant pourrait se crevasser el présen-ter alors quelque danger.

Ces fissures, en effet, peuvent êtrele siège du développement d'agentspathogènes, moisissure, tourne sur-tout, qui contamineraient régulière-ment le vin. Il faut, sans hésiter en-lever le tartre, quand il est tropelaoudaul

Pour les foudres le détartrage rateffectué à sec par recasée, ou à chauden promenant la Pomme de la lampede sondeur sur les combes de tmtre.Certains préconisent la dissolution dutartre dans l'eau chaude ou froide,dans une solution akMine ou au' le;ce n'est pas pratique. Le foudre dé-tartré sera ensuite rince abondam-ment, Le foudre bien égoutté rnt mé-ché à raison de 5 grammes de sont,epar hecto et ferme jusqu'au momentde son remplissage Par la veadonge:

Dans les fûts ordinaires le détar-trage sera effectué à l'aide de la chai-ne et de l'eau froide. Effectuer, com-me pour les foudres, un rinçage abon-dant et procéder, après égouttage, aumédiane.

Il est à remarquer rue la conserva-tion des foudres et futs est d'aulmtclam facile qu'ils ont été nettoyés dèsl'enlèvement du vin ou de la vendan-ge.

Récipients ayant Michee turzEcmoisie. Es doivent être traitésavec un soin particulier. Raboter lebois atteint jusqu'à ce que toute Urn-e de moisi ail disparu. En outre, la

paella rabotee sera traitée par une so-lution de permanganate de cotasse à3 grammes par litre d'eau; puis vin-ove avec la solution de carbonate desoude à 10 % aussi chaude que possi-ble; terminer par un traitement aumoyen de la solution acide 15 ce d'a-cille chlorhydrique suivi, par un rin-çage à grande eau. Acres egoultage,megiba,ge mmme d'habitude.

Les fûts moisis doivent être défon-cés, traités douelle 110e donelk, com-me il est dit pour les foudres. Si l'al-tération est trop larnfonde, remPlaeerles Muettes ou rejeter le fût.

Récipients ayant contenu des vinspiqués et tournée. Les détartrercomine il est dit plus hmt et de Pré-féreem au chalumeau. Emuite les la-ver à la brosse avec une solutionchaude de carbonate de soude à 10 %Les rincer une prmnière fois à l'eauordinaire. Les laver ensuite aveu l'eauacidulée à 5 % d'acide Chlorhyd.que, puis rincer 'à grande eau. Laisserégoutter et mécher.

La solution de carbonate de mudepeut être dans bus les cas remplacée

CEUX DE LA TERREavantageusement par le procédé b laehanx que je recommande Partici,lierenient 1 25 kilag.s de chaux viveen pierre par 100 hectolitres de 0e-Paillé Sotil Meugle dene le récipientqu'on bouche parfaitement; 3 joursaprès les parois sont bassinés avec lelad de chaux produit et, deux Joursaprès, la eh ans est enlevée par lasolution d'aride chlorhydrique; rin-cer, 'aimer égoutter et mécher mol-

e ci-dessnaRécipients à goût de pourrL Un

Tellement au permangmate avec lasolution indiquée à 'd % suivi d'unfort rnéchage après égouttage réussitbien souvent.

Récipients n'afeut pas cepterin tlitvin depuis logtepps, lis risquentde n'être pas étanches et d'avoir legont du sec,

L'étanchéité est vérifié après aveirresserré les cercles.

On peut alors soit les bassiner àl'eau salée chaude à 10 %, sort lesétuver la vapeur. Pratiquement sil'on ne dispose pas de s siense d'élu-va,ge, éteindre dans le fondre ou lefût de la chaux vive comme il est ditplus haut. Le bois se Gonfle, les fissu-res se ferment généralement. Cellesqui subsistent encore doivent êtreaveuglées, soit par un masfic au sangconstitué avec do sang frais mélange

qui fait achever la comtruction descuves juste au niriment des vendan-ges. D'une part, on ne peut vérifierPelat d'étancheité dû la mye D'autre

mee de in chaux Pive en Poudre pst- part, on ne peut reahser un séran-ce. consista.. Phan., toit en !es chissement satisfaisant, et dans cebourrant de raider fin ou de Etre oes,, on peut constater parfois aprèsde sang desséché. On peut encore Mi- euune pâtée de oendres de serments et fermentation une désagrégation desgiser un mastic vendu dans le com-Imeteirrerermy'r

misse la chaux du cimentIi faut donc que Ira Coopératives

et les particuliers prennent. leurs dis-positions pour que la cuvelle soitkruhnée un pi'pis au ruougs avant lusvendanges,

La cave terminée sera pendent 8jours maintenue le mon d'ean, légère-ment rosée par 10 11 de permiinga.mate de potasee par hecto.

Dans ces Conditions, le cimentprend bien et Petancheité est vérifiéeLa vider ensuite par vent du nord deprererenc,e ; lamer le ciment biencracher mn em, attendre le séchageParfait l'affrancle

Pour les ceves vin rouge, utilisera raison de 10 litres de solution par de préférence à tout autre moyen, lebectrilitre de capacité. 'badigeonnage avec me solution ti-

rem/ pimmeme peut et. substituée! trent 20 % d'aride tartrique; attendre24 heures ou 48 heums pour les lamsm hen seeher. Passer alors une 2e

aicouche ms avec une solution d'acideiambique à 10 e/, ,est à dire en re-doublant le solution préeérlente.Amès séchage, passer encOre une 3ecouche. Laisser sécher. On peut alorsmécher cone. il est indiqué plushaut.

Pour les cuves à vins blancs, onpeut Pulvériser sur la 2e couche Unestriation de silicate de soude; enfinan lieu et place d'acide tan-thune etsilicate, on peut affranchir la euve

menue, tentent par le sucre du uniftt quRw

i at-

d'abord dégorges pour qu'ils ne rom-muniquent pas au vin un goût de boispeu agréable. Lraction de la vapeurd'eau est particulièrement efficace.

C'est l'étuvage qui doit être renon-

eprontsneufs. doivent etre

celé jusqu'à ee que l'eau oeil plusd orner sui generi r.

lia% si l'on ne dispose pas d'un ap-Pareil/ms° d'étuvage, Miné-One, Fundes systèmes employés : Peau salerou Peau bisulfitée.

L'eau salée se recommande pour lespetits fûts. On peut ks remplir d'unesolution simple d'eau salée à 2 % ouhien les bassiner a l'eau salée à 10%mais aussi chaude que possible et

a l'eau salée. Elle doit liber 50 gram-mes de bisulfite par hecto d'eau.

Si l'on dispose d'eau à volonté, cespratiques sont applicables aux foudres. Mais le traitement à la chauxvive vol préférable. L'appliquer roueme il est dit pane le traitement desrécipients ayant contenu des vins pi-quée et

tournes,Lesparois exterieuses des foudreset fûts doivent être hien nette)... Lebois nana lavé soigneusement, leu cer-eles seront peints 4 la peinture noire

au .nium.Nous ne museillons pas de peindre en pavement Ilmeheate de Tou-

e bois, La pciAture isolerait levis de igk pu.sic magnésie iiluatage), maisall'air extérieltr; el les phénomènes or- fent opérer Avec beaucoup de soins,hilaires de vieillissement seraient puis laver à grande eau.rendus difficiles. Le reselictuent en carreaux de

ver.reest très délicat. Il n'est pas Mono-Récipients en Marne/met% mique dam la région FreduetrEe de

De plus en plus les cuves en ciment -th'ssont mbstituées aux foudres en enr;"'Sans inconvénient à la cuver% cette' 'eaux é'è tr'flaetsestitution n'est pas toujours henreu-''''''' "es eu:0e POste lu eoMervation améliorante 5latériaux Mélaninees tacots differents, fient ce qui a *-do cm. Le vin doit être mn muta,. avec Leman& cette semaine un très léger

CUVE. en usage. Comme pour tes dm matériaux mestitnés uniquement tassement qui ne porte pas, répét..-foudres, se garder d'un dernôt de lar.111m leis on du ciment affranchi, le, sur l'ensemble de la productionIra trop épais. Dans cm dernières el- du brame ou du micro étame ou du méridionale,fectuer un détartrage qui doit être eauttichrnic de écimée qualité sansainsi renouvelé tous les 3 ou 4 ans, odeur particulière.

Celle-ei, dit-on, se rapprocherait

'eeem'epour

Opérer, soit par raclage, mil au Les traPi'm eu 1001e cuves 4°' temasdocelledele1s93rettrui Pafol demoyende la lam pe de soudeur, Les veut être peintes chaque année avec e,'"ti,_ me, k*eem,,

parois seront ensuite brossées hier une peinture faite de noir et d'huile "' 'Dans Iegrquement; lems fissu.s s'il oc éen, de lin mite scruta prot`tv

actuellemen ,t

cimentées, puis affranchies connue en est de même des godets en fer e,..'elPes erieVe tmTe7r emordmme/m me.

Sera indiqué Pont les emes neuves. cies elevalenns, que de fois les trop- /./m

tilts parois sont attaquées rut' les Ces en foule Pourraient ètre manie- '',0eem/mrdn'e`M vins cotre8-7'5-et 9 "75moisissures, ne pas hésiter repitmer geusement remphackis par des trap-rochmnter et affranchir comme Peur Pélrérvrte,b,rt Les -decn.e'Mdbrese, psoiledéesles cuves neuves. le degré-hecto a été gagé. On ne voit

Cuves vides. Certains préfèrent Fr''''ertb'Les inconvénients inhérents aux nié. Dn'' ht4'tat''' sine let ''utsles garder ouvertes en haut et cn bas. m.m, ,/m.lier m,/m. mdesent beeumfm s'affaiblir, on ne

néraltsé goz sulfureux. Aussi son- beeticeup le paher de 19 franc.pas m'ils puissent dépassercuivre sent accrus depuis l'emploi gr. penseCe mode est sans inconvénient si

lientymmein,"dress cod inndenestMain

Pe ror"-ment sur les parois et la moisissureverte s'y développe généuslernent,surtout cl les cmrs eat malsaine desPetits vins.

Il vaut mieux traiter les cuves bienaffranchies et sèches comme les fou-dres, à raison de 4 à 5 grammes desoufre par hecto.

Mais le sonts ne doit pas ormiersur le ciment.

J'insiste une fois entore sur Pin-convérient des cmm à plafond con-cave. La trappe da Mut se présentealors plus basse que les mins eePé-rieurs. Dans ces conditions, elles nesont jamais .eines, la aigurf et latourne peuvent s'y développer. Exi-ger de l'entrepreneur des cuves euh-VeXeS et faire établir autour de /atrappe une kgère surélévation de 10à 20 centimètms, formant col. Dansceszponditions les ouillages s'effectue-ront avec toute la perfection dési-rable.

En donnant au rebord 50 centimérIres environ, formant ainsi cheminée,on peut aménager à. 30 centimètresrie hauteur On trou avec robinet.Dans ces conditions, la cuve peut êtreremplie exactement. Le moût en fer-mentation monte dans la cheminéenefvoquant ainsi l'immersion centi-me do marc. Fit k trop plein se dé-'erre par le robinet et peut être cana-

lise dans une deuxième cuve en rem-Plissage. Duos ces conditions, denombreux avantages sont obtenus :

1. Réduction du volunm de la ca-verne;

2. Fermentation avec chapeauimmergé;

I. Surveillance des fermenta-tions fa,litémi

4. Ensemeneement de /a cuve enremplissage par des levures en pleineactivité.

Extérieurement faire disparaltcrtoute trace de vin ue le /avant aumoyen d'une solution de bisulfite desoude ou de cotasse à 10 % employéeci-dessus.

Cuves neuves. Nous nous éle-vons contre la, pratique déplorable

Oui bulln socutufrrE

Georges Menuet, ministre

de l'Agriculture.

lLa Situation viticoleEN ALGERIE lin PROPRIETE TIENT TREF; SOLIDEMENT SES POST.

ON VENDANGE ET LA CUEILLETTE SERA GENERALEDélos LA DEUXIEME QUINZA me TrAovn DANS LE 511191PROPRII1STE ver PLUS OU MOINS EE.OISTANTE SELON QU'EL-LE A LA CERTITUDE DB LOGER OU NON LES VINS NOUVEAUX,LA RecoLTE 1936 SERA IRES NETTEMENT 17E0ICITAIRE ETSE "RAPPROCHERA SENSIBLEMENT DE CELLE DE 1933, TOUTEN LUI ETANT LEGEMEMENT SUPERIEURE. L'EVALUATIONDES STOCKS PARAIT DEL1CATE.

Ims cours sont restés soutenus sur les evabilations de la récolte sontPlus de fermeté en Algérie que dans assez partagés et vomirai Potir le dé-

reenient de 3.299.190 à 3.899.4ffillhectolitres. Il est encOre trop tôtpour se faire une opinion delimitivecar s'il fait beau fin d'août et en sep-tembre, les vendanges ne nommen,cent que fin mptembre, il y a emoreun mois et demi qui peut transfor-mer les pronostics.

Les sorties sont interkures de présde 700.000 hectolitres à celles du me.me mois de 1935. La consommation

Le, Tema,* se dée,,,ent lem taxée est supérieure de 200.000 bec-Tempes mye*, mm. jem eem mmeeem tos environ à celle du mois de juilletTest., aussi medieerem m mm. de l'année précédente.mimes. Ou procédera à% cueillette géé On trouvera les renseignements pu-°élude en Algérie ,dans la sema&quinzaine d'Août.

Les affaires traitées deus le tomrant de la semaine sont plutôt le faitde reventes des cOnimissionnairesque de transactions directes avec lapropriété.

En Algérie, la récolte 1935 parait eerapprocher de celle rte 1933 et de1931. Elle serait done évaluée entre15.856.669 hectos (1331) et 10.730.954,Motos 11933).

le Midi.

Oran ne varie Pa, Lus MME..dei propriétaires sont fermes et pourtraiter é ne faut pas compter moinsde 9 fr. 50 à 9 fr. 75 el degré-hectopropriété. Si l'un dental-min da

loge'ment,c'est 10 francs.La proyime d'Alger présente une

tunnel& analogue avec quelques 50tentimes de moins sur 155 cours ore-cédrats.

rs's'

Dans Ms quatre départements ma-ricliomux, k Iman temps paraît revetu Mune faeon plus constante. Alter-natives de cent du Nord et de logervent marin. Il y a um chose certaine,

et one le nombre de raisins est tresinférieur â celui do l'an passé et ind-ue st te temps numide et e.p.opromisserneet de> raisins venait entemps opportun, la correction desévaluations aetuenes ne serait pastek i merortanie. Cependant, les ré-sultats des premrères cuvées fixerontsur ce point

Les cours se sont maintenus, maisavm On pen plus de laismr.eller cet-te semaine. Ims tendances des pro-priétaires mnt d'ailleurs assez eue-tradictoires, souvent dans un mêmedépartement, quelquefois aussi àquelques %%mètres de distance.

On s'amande à dire que PlieraultAura Mente pour cent de moinsrie répute que l'an dernier, que toGard sera moins défavorisé, ,guede verra son volume de productioninférieur de quarante pour_get co-ribou sur la récolte precideffe et queles Pyrénées-Orientales dêp.....otun peu I. trois millions délecta-

La propriété commit oes évalua-lims, mass selon qu'elle peut logeravm facilité et le stock restant et lesNiAS nouveaux, ou suivmtéprouve de la difficulté à résoudre

cemraiproblee, elle tient des "sonne-

blies Par me amis Zeddel, dams /esfeuilles centrales de cette édition.l'affitarence des chiffres, line dédite-lion petihelre tirée dès à présentc'est une le stock pouvant rester à lePropmete a lin sptem re prochain(vin Plumé compris) sera voisin de12.800.000 fl'ectolitres os 8es sortiesd'août et de septembre ne sont MSnettement supériemee à oeileu dejuillet.

LES VINS SUPERIEURS à 95ET NOTAMMENT LES VINS

DE COUE1GES POURRONT POREFOURNIS A L'INTENDANCE

ans une question écrite, 31

Ire de la Guerre que la loi du 8 Mil.let 1933 impose aux vins do cm/PageEdouard Berthe, rappelant an ratels-mis en vente une richesse alegoligneMIAIMIIM de 9.5, lui demande

Pour quelles raisons les disco,sillons réglementaires assignées ansvirm achetés par Iiintenflance fixentseulement à I degrés.

S'il est dans l'intention de l'ad:ministration de la Guerre de n'aceepfter que des sins qui ne doivent sep-Porter aucun coupage, la loi n'auto-risent amdessous de 9 degrés une 15vvins de pays,

Tléponse. Le fait de fixer à 9ogres la teneur minima en ainel

deS vins mn, en acipidiegi. pour /esbesoins des ordinaires de la troupedécoule de la nécessité de ne pasMarner des folireitures les vins na-limas de Pays d'excellente Aualitit.Mais 14 n'en demenre pas moins toiseble nux negomants un prof/110.Mdésireux de Participer aux adjudica-tions, d'offrir des vins de COUPAS.,sous réserve Muterais que ces vinsremplissent bien les conditions im-poséma par la législation co vigueur

LES VITICULTEURS POURRONTDISTILLER UNE PARTIE DES VINS

EN STOCK ET LIVRERLES ALCOOLS AU TITRE

DES PRESTATIONS

La Fédération des Syndicats agri-coles de l'Oranie a dem,andé h 31M.Saurin et Enialliert un viticulteurayant un logement insuffisant pourgarder les trois derniers dixrémes et*cueillir dans quelquuu jours la

nouvelle récolte peut distiller pre-ventivement une partie des vins enstock ei livrer les alcools ainsi obit,nus au titre des ptestatrons passe-ront imposées au cours de le pro-chaine campagne.

313f. Saurin et Enjalbert ont inter-cé les mrvices qui ont répondu

affirmativement. Mais le vfticulteurne connaissant pas è l'heure actuellel'importance de la distillabon obli-gatoire de 1150 qui sera fonction duvelumc de la prochaine récolte, ris.que de distiller une Miantite trollgrande. En ce cas cet alcool racé-dentaire pourra Servir Mur destransfert., ou sera mrpiis par l'Et*au prix du contingent de l'alcool de

li est certain que ,tte faculté pentiaider dans une certaine Me...é SIdégager les eaves et permet de *-MMm les vins douteux qui 'mur-raient existé,

(De la e Revue des Boissons r)

vent qu'on k pourra, faire cette addi- Cependant, il fendra tenir mandetion à la cuve seulement des charges nouvelles des propriétai-

Revoir ei nettoyer tout le matériel mes, il faudra tenir compte du défi-grai.er lm PomtgeS, les vis des pres- cit certain de la récolte et enfin ilsoirs, les fouloirs et tous les appa- peut se faire que le merché des vinsrails maca,niques. trouve un appui et une base solide

Certaines maisons se mettent à fa- de résistance dans celui des euxide.briquer des Matériaux vinicoles en vie de vin libres dont les mes sontverre pour les substituer aux moté- déjà élevés et Pte le raisonnementUnix métalliques. Ces initiatives doi- porte à cheire au moins aussi Meseveut être encouragées. sur la campagne prochaine.

Produits oenologiquesEn dehors de la préparMine de ma-

tériel vinaire, le vitirulteur doit se Dans le Bordelais, l'état du vigne-procurer des possibilités d'emploi ble n'est pas excenient, et la prophé-tie certains produits cenologiques. Il té est devenus pessinnste. Les aviss'agit tout d'abomimt d'une façon gé-aérai° du gaz sulfu0e0x, soue torme 111111111111111111111111111111111m1D1111111111111111111111111111111 ______ 11111111011111111111111

de métabisulfite de potasse ou d'a-nhydride sulfureux timide ou gazeux

Ensuite, et pour des cas particuliers Orgueil paternelde l'acide tartrique et dn '0.9PM-ted'ammoniaque.

Faire des prévisions d'emploi encalculant les quantités de produitscenologiques var hecto de ven,dange,à raison de

Pour les produits sulfureux : 10 gr.de mértabisulfite de potasse: 5 gr. degaz sulfureux; 2 gr. 5 de soufre.

Pour l'acide tartriqm. 15 gr, ded'acide tartrique.

Prim lamboaphato d'ammoniaque.grammes.

Plan du Trairai/eut p.* important de prévoir /es

gifantités de vendange à rentrer jour-nellement et in matériel cortes*0.

Prendre au dépourvu.dant à utiliser. Ne jamais se laisserl

En aucun moment une fraction 1,afettquelconque de la vendange ne doit,après sa cueillette, roéer en souf-france soit à la vigne, mei/ ils emee.Il doit on con,quenee prendre sesprécautions pçur avoir toujours à sadisPusitiOn 00 metmiel suffisant ri-goureusement en état.

M. Michel FLANZYDireeteur de la Station RégiCh

nale aie Limberches Viticoleset (Urologiques de Narbonne

A..; /44.LC_

Adolf e Quand on pense qu'il y a des méchants qui voudraientnous empêches de donner des joujoux à un enfant aussi sage... e/fibéig/rie I st(Le avion dernam).

E_lsess

LA PECUE ET POISSON

f4 01115311619E

nnou. pPêRc h°eCETullrsà Iii1::neEmm;I:ag

s1=rinft:,,e cm: «,o.,,,let,b,r.oge,:rri-tsomma Mne leur, pour sa nouture, l'équivalent de son propre Poids

ressort du Fait qu'un brochet dupoids murant de 3 livres comme,nierait anish eu murs d'une année365 PIE Eau pittipre poids, soitIIIISde 1,905 livres d'auto. pOiSsOnS.

La vérité, pour nos murs d'os* etnom leurs habitants les poissons, estlienreneettent hiÇO digée.19;en fournirons un exemPle miSsi eOrMeus qu'animant dans notreeh choie chronique de la pêche.

Il est instructif de retenir quepour tout l'ensemble dns animauxpoissons et humains compris/ la ra-tion moyenne journalière évolue auxenvirons de 2 pl »h du ponté de l'a-

nhnEftalie 71:rge'hae'té'dolapsoidiske'clekl'3'livereuss,

sdans l'exemple cbdessous, n'échappe

règle générale en e set*.faisant d'une' consommation moyen-ne journalière de 60 grammes depoissons.Nous' voici bien loin de la rationjournaleière :de 14,30 Maiumes mqueki ahurir-te la Mende. et out dunes-sait vraiment Par troP les exPiodt3les plus fabuleux de Pantagruel et dglitunon na.

FISFLA3IORCE:,.

Hygiène du Chasseur

par bes neprrnionces qu'il est tentéde commet*, le Masseur, dit lai vieuxtraité de vénerie, court presque autelitde danger que le gibier qu'il poremilit,

Noue ne voulons pas geler lei d. 5g-00v' ta tuji peuvent, hu arriver par Par-me qu'il porte dam sen maim, mais desmille %mecs g* daa imprudentm peu.050t fane a sa santé, comme les roncesen fore a son cos mue,

Le ternes de la chasse est un tempsarrin.age PhYSAue pour le chasseur

quel soit; il fera doue Men de eypregater par une penorle Am/raine-mint tient n PrAttOrA du s.% Peurassouplir costume et chaussures qu'Ilperlera dans l'exerceme de son sport sa-

Co restera° doues etre léger à hou-vettlea, pas de plus en phis chaud 4,

mes, te que te .'soe s'avancera et quele froid ou la pluie mront à redouter.

Noua ne conmiams psa aux cha.eursde poiler des rentements m caoutchoucbi(Ecenéseil7LilltrEnuth es. I0031015 Es/511110108 01 tprécnouve des maltitlIes fm,deusgresides Est empécheet l'évapora-ton de la sueur, cm vêtements contres-punit In corps à un bain de vapeurpepétuct attsibitssant et dangereux.

Il e0331e des coStdines et tollé Serrée,Pminte impermeable, très amples, quiremplissent le men. office et qui n'of-frent pas Pinconvelient

51000 do mite poulain. longue mal-donne, /e Messmer fera Mea de Men-dre Ion délemer substantiel oit il feraenger avec avantage des-aliments nmsbenne frais, sardines, jambon, et, ilse prémunira ainsi congre Ies crises d'es-tomae provoquées par le brouillard etPair vd. quater la partie se Prolonge.

li >Naira emporter dens 05 P3eFe 110tab/ette de chocolat, un petit flacon d'al-cool pli jouemut le rele de combat encas de nécessité.

La seringue de Prame et une ampouledi sérum Calmette contre la morsuredem vipères, doivent faire partie de son

Te mot de Diane est quelquefois tie=rituels et agité. Il s'exerce en plwnsoleil et une Parfois à des courtes ra-pides. Le Chanceur doit être fesser ms

csonnable pour ne Pas sarrêter dans un, murant d'air eMind il est en sueur. poux.ne pas s'allonger a IMM05 d'une hale,leur le uol humide, dans les menues aie,00nstances, pour one pas boire fi longstraits à la vf.qtte Mottante d'une sourceglacée. 11 sait qu'il s'enposeratt. en ar-rêtant brusquement la transpiration cu-tanée, à la fluxion de poitrine, à lapleurésie, aux rhumatismes articulaires,aux névralgies, à l'albuminurie Mune.

Il doit se méfler également de Pue-drue du soleil, de Pinsolation; ne passe remettre en .Mpagne tout de suiteaprès un déjeuner trop copieux, on IIaurait fah excès de mand., de corpsgraS, de vin et d'alccol. En cas d'in-somtion, 3 faut dépecer le malade àl'ombre, la tête ekvée, et le depOudlerde ses vêtements', he appliquer dm oum-presses froid., fréquemment renouve-lées, sur le front et la poitrine; prati-quer des frictions énergiques sur le corpsavec un linge sec ou avec de l'alcool. Al'intérieur, du mumuint, un eri grog anrime.

Par la pluie, lorsque ses chaussureset ses vêtemeritaiont treierces, le chas-seur cl. évIthr Paninoighte, s'agite,marcher et, aussitôt rentre au logis, sechanger complètement, s'muouret 055 00.temente très chauds, en laine, mu fenture neurchse reachon, 00. 5111 a 0000110edes rossons, absOrtier un mog brillant

0115055 fait une aincoule au piedpar lefrottement data MumXscdie, li awtse cententer de nasse, à travers la peaude la boursouflure, une aiguille créa.tentent passée à 10 flamme pour l'asep-tiser; quand le liquide est totalementévacué. on arlarinhè MI rien de FaSelmebouméno et une mraprorim-proline sils 10bobo dont on se sera bien garde den-mer la peau. SE reniai, Prend. Un

t'eue:Falla% tettecelole': Jee:-opoer d'..p.sementh tresitegere.

ad. DESCHAMPS.

IELSES/

ABONNEZ-VOUSgroarr ES SEUL ESOYEN

05 LUI PROUSEsi%OTOS SATISLUTsaift

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 6: Les événements d'Espagne - images.midi.bibliotheque ...images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936... · 28. eiNle. 9e8 ABONNEMENTS à mele, 25 tr. 6 mole

6

CAISSE DEPARTEMENTALED'ASSURANCES SOCIALES

DU TARNCOLONIE DE CURE OU BRIOL

Les assurés sociaux affiliés à la Caissedépartementale cr.A. S. du Tarn sont in-

rifles qu'un, dernier convoi pour la co-lonie de cure du Arroi sera formé auMeut de septembre roue les enfantsdont l'état de santé exigerait un séjourA la montagne.

Les adhérents susceptibles de néné-Ucier de cet avantage sont priée d'adreo

ri-, leur demande dans le plus brefu plus tard avant le 25 août, à

'ai et ' de La Caisse départemen-

I' aaaaan de la Croix-Verte, à Albi,

Otijie'

lu, rirelenrdMM era toutes. instructions

Be deveont joindre à leur depe aebnua....

Pour sa rendre de revenue Jean-Jaurès

S la route Nationale et inversement, les

r

...tus et autocars emeramemm. sclaee de le Scierie. soit les rues Ferre,

t.ic-

roi forge et Arago.

Stationnement dee101' 011511°

Le mairede Canne.. mis tosre stam.

Article manier. - Pende. tonte la du-rée des fêtes de I, Saint-Prive, les mi.tores eutomobiles dites Mais oui fontle servin de place. stationneront le Io.de le rue Rom.. coté des numérospairs des marc. e Crie à le rue Arago.

Art. 2. - Les contravention, au pré-arriété seront cone,. Pm-

aesdrirheux et poursuivie. conforméme.

le Commimaire de policecl tous ace. de la forie /midi 4001charrés de l'exécurion du nrésent mrêté.

NOS FETES. -Notre ville se prépare

un extrait de Pacte de naissance lie

COI des enfants en Ou.O., les

sés de leursvermments des ler et e

trimera 1938 et irzlieert,,eill.calindéde icceual

T'Osantent étre atteinte d'au-

liv'Metantarnaedladieddrearaotere évolutif ou

creloelouflSeuls peuvent être a.. le. enfanta

deO daim sex. gés de 7 ans aCl de 14 ans an Pfirs.

Il est, en outre, rappelé que la Parti-ation des assurés ou indigents aim

Jais de séjour s'élève à I fr. El par

à célébrer dignement les granules fetes de

'ALBIASSOCIATION DES MUTILES ET

VICTIMES DE LA GUERRE (sect.- Nous rappelons» Tom les

adhérents que Gest, jeudi smru.n. à 20 n. 22, uu.,,,in.à à ,

ià réunon uàn.0.onuinnirà déjà 2.22_ la Saint-Prive qui se dérouleront du 20

nonce°.Cainarad., vraies victimes de la

guerre, l'heure actuelle et Plus quejamais, un effort de tous EiMpose pourla défense de n. droits.

Néteovom pas d'avis qu'il faut queplume fin cette situation intolérablequi nous est réservée.

De 1514 à 1918, ce n'était pas de gran-dou phras., ni des .promesses qu'onnous demandait, c'était des actes.

A notre tour, de réclamer mon despromesses illusoires, murs des an. de

Répondez-donc, présent, à l'appel devotre b.eau, m'estant nombreux à Emérone que le beau temps dergnera

zone rem.. au mins de laquelle ami- r1 f.7orr perdent rira ji,inéos de

portantes décisions seront Prises ' fe-rese'd'ont 1:alévitimité"""fée es..., rade de nohed'assister à la dite réunion.

REVENDICATIONS. - Réunis cejour 12 août, salle Maison du Peuple,Albi, les chômeurs de cette ville ontvote â runanimité I. réclamations oui-vantes :

Ouverture de grands travaux, dutravail pour tous selon for. et .pacitéde chacun au toril syndical générai

Augmentation de l'allocation dechômage i chefs de famille. 9 fr.: 5 fr.pour la femme; 4 fr, pote les enfants,cane limitatMn de plafond.

Suppression des cumuls dans tou-tes les fanerons salaries soit privee, soit«Etat, à toue ceux ayant une retraite ixme lagrome q de viennent de fairesuffisaut. rejaillir sur notre modeste cité, mais

Création cpun fond national de plus particulière.oe à leur distinguéchômage, et modeste chef, M. Georges Tounier,

PenEsier égale a un salaire vital à qrrl ara t5che ingrate, avant de pro-duire nos braves a Cigalous », sur unkiosque ou devant un MD', de les se-prendre à chanter. - Un Morne demembres honoraires. - (Communiqué.)

GRAULHETLE SPORT A L'EGLANTINE. - Oral

aujourd'hui 15 août, cette date, en ef-fet, rappelle maintes randonnées ou ex-cursions, et qui est doublée encore d'unheureux dimanche. tour ne pas man-

tuerristlsa lerleeileg'll'ItiEe7s?Jr,comme but de randonnée, la célèbre

FEDERATION NATIONALE DESMUTILES ET REFORMES D'APRES-GUERRE. - Le conseil d'administra-tion de la maion départementale du

.Tarn des Mutilés rt Réformés dames-guerre invite tous ses adhérents et lescamarades non encore arlherents as-MM. à l'assemblée générale annuellequi aura lieu le dimanche 23 août, àCastres, a 9 heurru du matin, dans lasalle de la J.O. de Paix (Mairie).

CARM AUXFl1TES DE LA SAINT-PRiVAT. -

Stationna..nl des autobus et curocurs. -Le maire d. Carme. a mis l'arrêté

euiventArticle premie, - Pendant la durée

des fêtea de la Seint-Privat, les eumbusautocars et voitmes de louage vans,.tant des vieiteurs destination de Car-maux or venant de le direction d'Albi do.poseront les voyageurs .à Croix-Hameet iront. afis ne reperdent immédiate...,statienner sur la place de la République.

FEUILLETON DU MIDI

EN

FOL! EPA.Henri BELLANIY

ROMANMYSTÉRIEUX

Ceux venant de la direction d. Vele-diès déposeront le. voyageurs à Pennéede la me Thiers et iront stationner eux laplace de la République.

Ceux venant de le direction de Rodess'arrêteront à /*entrée de la rue Serpenteet iront stationner le long de cette rue

et sur revenue d. Monestiés, côté des nu-méro. pairs des mei...

Ceux venant de la direction de Saint-Ben. et Blaye s'arrêteront et station.,en en bordure du chemin V. O. n. 9,

embrenchemem de la rate .er la Verrerie.C s venant da la direction de Monet

tufs idarteteront et sten

.

" ' me. place de. mla T

Ar, 2. - Pendent toute la duuéefêtes, le circulation cl. autobus e, aCtacers est interdit sur 1 avenue Jean-Mor..polira la rue de le Scierie

ZrmPisrr;et r te io

Déjà les mats multicoEres groPmmatbelles oriflammes dressent vers le ciel leursilhouette élencée e décorent agréable-mem les principales ertèree.

Nombreux sont dans nos murs les com-patriotes disséminés aux que,. coins dupats quieiment mus lassos, à la mêmeépoque, se retrouver au milieu de leur fa-mille et respirer à nouveau l'air du Pa.natal,

Le comité a travaillé sans relâche à l'a-laboretton d'un beau eromamme de re-jonis.nces une noue ferma ...Me Pro&finement

ace.. ente eue.CEPPMON - ce

soir riririn 18 août, à 20 h » Précises -Sss.étaire.

CASTRESECHOS D'UN CONCOURS. - Nous

avons appris avec fierté les succés qu'aremporté la a Cigale Castraise e,concours international d, musique etde chant de castelnad.V.

A cette occasion, nous mmmes heu-reux, d'adresser nos chaleureuses fél.i-tairons à tous les membres exécutants

ExonératMn des loyers Pendu., lechômage sans reprise lors du retour det'ouvrier en période de trayait.

Paiement de l'allocation de cher.mage, dimanches et jours férié,

Indemnité de chauffage en périoded'hiver.

O. Indemnité minima journalière de9 francs pour tout célibataire.

10. Omit au bénéfice des assurancesmciaks pour tout Produit Phmtammlicme et tous les soins médicaux néeISesafres au chômeur et à sa famille.Maintient de l'allocation de chômagecurant la penode de maladie.

Comme suite aux recendications ci- Plage de Patras. Au moment eu l'écrisdessus l'assemblée nomme sur l'instant ces guelqu00 lignes, ces vaillants roulis-

une délégation .mp.és de quatre jes minent à 114001e 'en Mns nit°g demembres aux fins de transmettre par rs, Montagne Noire, arto vallées encras-l'intermédiaire de M. le Préfet du Tarn mm et Pleines de fr.îcheur. A loir-eg repcg,,riege 0ux mims,. tour (de même qu'après leur dernière

rg,en4s. par sortie de Sète), oes jeunes gens mrontdélégation b L, secrétaire des chô-meurs.

a Vous sauvez le monde, Itionsieurl lions 4.11. pour moi, j'adhère de tout men La séance fut fixée 0x27 décembre

votre proposition. - Plus de huit jours pour refiéehir« Mais cette-adhésion ne saurai

me que personnelle. Je dols consul Or, comme les délégués s'égail-er mon gouvèrnernent, gin, sans au laient dans les couloirs, Scheel,op fitun doute, en une manière aussi gra on signe au marquis de Rober,

collecte effmtuée u Pisane de la derMèreremit., a rapporte la somme de 331 fr,mais toujours la souscription continue,on trouve les listes â la Bourse du Te.

- Le secrétaire.SYNDICAT DES CHAUFFEURS OIT

SIMILAIRES. - Tous les syndiqués etceux q111 veulmt se endiguer sont hi-

à assister à le, réunion qui auraviSéelieu mardi 18 août. à 8 h. 30, dans unesalle de la Bour. du Travail.

Ordre du Jour : Compte rendu del'entrevue avm les patrons. - Le se-crétaire.

MAZAMETREUN/ON. - Réunion de la smfion

de Mmamet, des sous-groupes d'Aussil-lon, d'Aiguefonde et du Pont de l'Arn,mercredi 19 août, à 20 h. 30 au siègede la section.

Ordre dOmonde IMUeaVeol, dépUté de l'Hérault. FIRMIN, Sagas Sa sasSe, Egr,FlRSsilIIr.invités.

riiiIIllllMhtIiIlIIIIIIIIiltIllRuiIIilJluJulIIi 1111111111111111111111111111 lllll 111u111111111111

VILLEMUR

r Avec le concOurs de

LARATUTAncien député.

eltliutTeRGTeiriSs'.

DUBOSCDéputé du Gers.

ESPARBESDéputé de la Haute-Garonne.

LUCHONPOINTES SECHES. - Aux Ther-

mes luchormis de vielle date, j'ai étévivement,gurpris d'apprendre qu'ansthermei les Luehonnais qui de touttemps jeuissaient de la gratuite inte-grele, payent maintenant le lInge,tandis -que les titulaires fort nom-breux des diverses cmtes de faveurdistrifies par la municipalité à sesamis blen pensants ne le payent pas.

Serait-ce pour prouver la solhodu-de extrême que nos édiles proies-sont pour leurs compatriotes, déjà...blés de centimes additionnels

par une gestion incapable qu'on leurréserve l'honneur de contribuer pourplus que leur part aux recettes mu-nicipales

Ail Casino. - Nous avons clé sur-pris aussi de la gestion du C,asIno, laredevance du loyer étant supprimée.Un soupçon d'omhestre nous eloignedes beaux concerts d'autrefois. Unepancarte lumineuse nous indiqueCasino. Entrée libre, alors qu'on netrouve men d'intéressant eu emmo

Ocra dam, acCompli oel OiOOI 100g on ne paye que m chaise, 1 fr.; la'Iule al d'yeir ninn,,,,m5menPoieo n_bene pancarte modifiée on lit : Soirée demips, lui bel diront ..5511'ne' 1'5'1°11 gala et alors le Luchonneis débotta--phs franche emmradmie, au plm gra, , S francs au lieu de trente sousden de leur sa .

dut dit plus haut. « un gr.pe decycles-tours. », car en effet, la plu-part de ceux-ei ont dû laisser 'e. vexede côté (et jc suis du nombre) Peurcrganiser et participer à ranr1.1 chai-Lmge, qui réunira cere fois encore, lesmenieurs arhetes du C. 10.110 Midi.

Encore une journée oui compteraparmi les plus bell,s du mort rra,aiL

Czmme on le eut, l'activité estgrande au min d, rEglantine et notreclub on, Ajuste titre, le Plus imluurtortde /a ville Tout celé nous le devons ànotre camarade Clic 0e B.c, superbeathiête et dévoué smretaVe. Ces jemesseraient heureux et leur moral seraitplus élevé, à; là, Per...Mirés adinini»trati' s de notre v.1., s'occupaient unpeu plus du sport et de leur situation_

'SYNDICAT DES OUVRIERS ME-GISSIEP,S. - Le .nseil syndical re-mercie les corporants pour leur geste,envers nos .rnarad. espagnols. La

1861 ve et décisive, voudra prendre l'avisdu Parlement Français.

a Si cet avis différait ds mien..-mais ce n'eut pas Pheure d'encom-brer le débat de considérations per,sonnettes-

e Je consune 5fesseurs les délé-gués sur le point de savor il neconvent pas d'ajourner la prochaineséance à quelques jours pour per-mettre à eh.uv de neus, de reee-von., de son gouvernement, es ins-tructions qu'appelle la sitnationcréée par les propositions de M. Ar-riage.»

Ce fut un soulagement.- Oui, oui, rend., crièrent-ils,

criaient surtout les e grandes na-

HAUTE-GARONNE

01111 paye a ru e.Encore la sollicitude de nos élus

Dimanche .au 101roi 11,111 00 feud'artifice, les pièces n'étaient pas /réanombreuses mei ell. étaient trèsjolies. Par quelle abhmation l'admi-nistration avait-elle jugé Mile de lescacher en partie à un très nombreuxPublic par les deux colonnes qui en-cadraient le tremplin du ballet I IIétait si facile de les baisser pendant

Celui-ci s'approcha, sans hâte, l'airparfaitement naturel.

- C'est Pheure, n'est-ce pas P ditSchearer â mi-voix.

- C'est l'heure, je vais convo-quer.

CHAPITRE XX

a LES HETES L'ONT MANGELa nuit était sombre. Genève dor-mMt. Les agents de Pence samm-lents etarent a peu prés les seulsêtres vivants qu'on put rencontrerdans les rues. Au bord du lac, leslumièrra clignotantes des becs élec-triques se réflétaient sur Peau, re-hroumée par une brise légère dumu/.

socimasne

1

reauclriar-----Igei

par l'elocIrliclie»MAU tarifs ds nuit Ots Mune

Société Toulousaine du BaladeI( (lel St-Plana

Talephona 222004

rHémorroïdes

Dimanche 23 août

Grand Hasseldlemil PopulaireAvec le concours de l'Union Harmonique de Villemur.

Douteur DAVID MAYSSeNNIEdéputé, conseiller général de Cadour Maire de Boulon

CAZABON ANCLASMaire de Grenade du Parti Communiste

12 heures Grand défilé au Monument aux Mort.13 heures m Grand banquet. Hotel Laurent, Prix i 12 lianes.On peut retirer des .rtes 1mqu'à jeudi 20 août, chez Vacquié, prhneurs;

Comtale, épicier.

L'ISLE-EN-DODON Dimanche 23 Août

Rang liassemblemeol Sciante el npullliCaluA 11 heures Défile.A midi r Banquet, sous la présidence d'ELLES PRBVOT, maire de

Toulouse.

'A

SOU LADéputé de l'Ariège.

BAROESSE, COLL, DOCEILdes jeunesses s.ialistes.

Citoyenne GRAULESecrétaire du comité fédéral féminin

BAL POPULAIRELes sections qui seront représe ntées sont priées de porter le.

drapeau.

Souri eethlrebi'r'erLI9Z-rs00,Saentlte/5 lanonh'e 'h" le "'étal"

SAINT(IAUDENSCOOPERAT/VE e LA SAINT GAIT-

DINOISE DU BLE o.- Les membrnenscrits sont invItes instamment à la

réunion qui aura lieu jeudi Pr.hain20 août, à 15 heur., au Café de l'Eton.

Ordre dot bue 1 CoretrOttion dent,tire du bureau d'administration; exposésur te fonctionnement de l'office dublei projets de «inférer.on dans les di-verses 10001105; expira nue sur les go-

rsIte=1,P,'J::" »t' 2a ,,T=1 `

BLAGNAC

municipaux qur manIfeste une fors TOcyeliste, qui roulait à urre allure Prreied LI,.0e.t.,d concert vocal capde plus en faveur .de ses eninPairio- modérée, a fait un dérapage main la sodé.. Oljence-iseure (75 0/ré en-tes, je ne dis pas de ses électeurs, dune chute. Le sol était renau as- te ustente, so la direction d, 14. Henri.Puisque tant d'étrangers figurent sur sez glissant par la plee nfie Forrvienle Profe.eur au Mortemeldim,les listes électorales. . ,

De droite, de gauche, on entend sellier general du canton. Cet cool-de, plaintes, des regrets.... pour le rent praticien donnait aussitôt levLuohiort d'autrefois qu'on voudrait premiers soins à la meneumuse

voir revivre. - G. B. victime,

son inspection se fit Ides attentive.Dans une coupure dans la berge,escalier avait été aménagé. N'ayantrien vu qui put l'inquiéter, il des-cendit les marches.

Elles le conduisirent à l'entréed'un long boyau mil courait parallè-lement au fleuve, dont on entendaitgronder la chute. Au fond, une lan-terne brillait dans l'air humide.

L'homme s'avança. Au bout d'unevingtaine de pas, un Ordre l'arrêta :

HalteAd auguste, dit-il.Per auguste, répondit /a voix.

Il poursuivit son chemin et setrouva bientôt dans un sorte de ro-tonde as. ,zvaste, éclairée de laternes. Une quinzaine de permnnes

Le long du Rhône un homme glis- s'y trouvaient déjà réunies.sait dans la zone d'ombre, projetée On commençait à Etre un Peapar les arbres. Il regardait prodem- inquiet, dit au nouvel arrivant lement autour de lui; ses chaussures Personnage qui semblait remplir lescamilehoutée.s ne faisaient aucun fonctions d'herbe et de maitre du lieu.bruit. Arrivé au barrage du fleuve, - Monsieur le marquis, n'y avait

M Delherm craint que Pacciden-té ait uns Ira-dure de la base ducrâne.

L'InfOrtuné Peyrane a été tram-Porté de Note urgence à l'HôtelsDieu par les soins de M. Pierre ce-Vet,( boucher à Castanet, nul a bienvoulu mettre sa voittee â /a diSpeasltien des autoritéS.

Grenade-sur-GaronneRESULTAT DES COURSES DE (101e

NASE 15 AOUT 1936.Prix du conseil municipal et du nom-

merce Trot monté ou attelé f 2.500 fr.,2,400 mètres.

I. Fa, Part, à M. Lagarde, G. 8 fr.P. 5 fr, 50.

2 Flers. à M. Seint-Agué. P. 6 francs.3. Héli. IV, à M. P. Doublais P. 10 fr.Non placés Hésimtion 11/, Gabier. Ci-

sèle, Commet, Glatigny, FendlaRize.i-mmet de le 3e pie. pouravoir pesée nu gal. 46. 5'50. 3' 52.

Prie du gouvernassent (plat) .1 3.00 fr.2100 mètre,

I. Lézarde. à M. U. Créance. G. 5 fr.50. Non placé Flirt VI.

Prix du gouvernement de le Rénubli.mie Ore attelé) 3.000 francs. 2.850 mè-tres.

I. ./oli rack. M. J. Pole G. 12 InP. 8 fr. 50.

7. Ktem, à M. G. Rodes. P. 13 h.Non placés Indien II, B, lies

da nais, >dee, Joiselle T. 4' 33, 4' 39,

Pd; de la sa- naaa monté ou attelé) f

4.510 francs. 2.850 mètres./ Herrisoine. à M. L. Lévy, G 10 fr. 50

P. 7 francs.7. n'oresien, à M. I. Fournil P. 13 fr.

Flers. 5M. F. Saint-Ame, P. 111,10.Non placés f Drue, 1-11146, Gabin, Cl-

etle. Grand-Com, C.ourinet. Ismailich,Frère Robert. 4' El 4' 32 4' 33.

Steeple the. militaire, 3e »Sri. 1.100francs. 3.000 métres.

Crinomill., M. Il. C. Rouge, 2e Huriserils. G. 34 hem.. P, /1.

Sme Carde, M. L Dupa, Me Dra-

Pri.i. M. L. C. Antessene, 2. Hus-arids, P. 7

No. telle /1, 12012,0e.celle Le Pace de Justice. Petite Orlo-due, Agathon.

Une encolure, vols longueurs.

pour le numet aux morts de la guerre.; con.rt

umOait s ce momcot, Ipoor la p001eri, bal jusqu'à 19 heu-Des secours furent Immédiate-ire

ment portés par des témoins de A 20 h. 95, clistribution des prix etl'accident au malheureux qui gisait sérénade devant les maisons des lam

tul.larl'e usteBarthe, maire de Caste- decetrred'iaone'ne° et di.VI. Julesnet, arrivait immédiatement sur les De 21 heures à minuit, sur l'espla-lieux, ainsi que les gendarmes de riede grand bal. itnerrompu à 22 h Si,notre brigade qui se livrèrent aue- par un brillant feu d'art»ce tiré 05fsitôt à l'enquête prescrite par la y maison Balondrade de Toul...loi. Le lundi 31 aoûh ir 10 heures, reprisa

Pendant ce temps, M. le maire du batalertait le docteur Delherm con- A 14 heures, course cycliste canto-

nale (nombre. P.»: conrze 50 550;aux ceufs, la grenouille, m t de coca-Une; lie. dive., ;bal jusqu'a 19 heu-

lmsdez-vous.

do danger Mie il manquesde cerenD'autres hommes arrivaient, un àun. Des congratulations s'échan-

geaient. M. le marquis de Rober sefaisait aimable abus gantant ce-pendant, sur .son visage distingué,une empreinte de souci qu'il ne cher-chait pals dissimMer. Près d'unesorte d'estrride qui, avec quelques.barres grossiers, composait tout lemobilier de cet étrange abri, un Per-sonnage glabre et sévère se tenait,sans perdre un pouce de sa taille.

Nous l'avons déjà rencontré dansles couloirs du Bâtiment électoralc'était M. Schearer, Américain grandpatriote aux gages de la BethleemSteel, et de quelques firmes yankeesde premier ordre.

Après quelque Imams, los enivrescessèrent.

- Tout le monde est là, je pense,dit le marquis de Rob. en comptantson monde d'un regard circulaire.

A 21 heur., bal chamPétm, sélection Ineessaminont et Parsiei dem les no.de dames anCienntS et modem., loomea des quotidiens régionaux,A minuit, farandole de clôture. L7ne indiscrétion nom permet d'aSsu-

71 antes illImunational Manèges; rer que la partie musicale a clé confiéeattraotiona diverses. au Maestro Dubois dont rePutation

Le programme détaillé des concerts n'est plus à faire,dx dimanche sers gracieusement offert Le plus chaleureux accueil sera réaau public, serve à, tous les visiteurs. - La Com-

mission.CAZERES-SUR.CARONNE

FETE DE QUARTIER. - Toujoursen avant garde, le grand quartier Ville-neuve, Rola., Bonlebla.nque, a décrdé derésumiter avec éclat ses fêtes crantai;délaissées pendant quelques années.

Les jeunes gens ont constitué unecommission qui a fait l'Impossible pourdonner à cette reprise, l'attrait des di-vertissements d'autrefois.

SOUSCRIPTION EN FAVEUR DU,FRONT POPULAIRE ESPAGNOL. --,Nous sommes heureus de faire connat4tre 5 tous les républi.ins et WmPathissants au gouvernement espagnol en,

lutte contre le fascisme qu'une vastesouscription est ouverte en .ville. muses auspices de la section sociallste. D. .

sommes relativement importantes ontété déjà r.ueillies dans cette dernOreorganisation et dans la colonne est.,

Les fêtea se dérouleront les 22, 23 et gnole. On peut adresser les fonds au cil24 aoid. toyen Couat, adicent au maire, Imm.

Le program/ne complet sera donné rier de la section,

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LA PARUE POPULAIREa, e. sweAuou.,

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I/ franchit /es deux degrés qurconduisaient à la petite estrade, fitune pause, et parla

- Messieurs, en nous voyant iciréunis, ma pensée se reporte auxtemps héroïques des cata,combes,alors que les elmétims se réunis-baient eomme nous faisons anjenr-d'hui, pour se fortifier dams leur foiet la dérfendre contre les gouverne-ments pourris.

«Voue aves entendu ces hommesqui délibèrent au Bâtiment »Moto-ral, Pour une q.stion d'argent, pourune mécanique bancaire, ils sontprêts à sacrifier le seul idée/ qui vail-le qu'on vive ou qu'on meure pourloi r la Patrie !

a La Patrie ! Qui, sans elle, gid-de. des hommes I Qui donnera unsens aux efforts des groupes humains.

« Vous êtes venus ici au premierappeà, vous, les patriotes d'Europe,parce que pour vous, la patrie n'estpas un vocable vide, Heimwehren nul

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VIENT DE PARAITRE 1

aux Editions da Parti socialiste d

Le Gouvernementde Front Populairoparle au pays

UN BILANUN PROGRAMMEDES ACTES

Le beau discours prononedpar VINCENT AURIOL,ministre des Finances, à IdChambre des députés, 1519 juin 1936

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d'Allemagne, irredentitstes de parstout, vous, pour qui le nom de Natio-nalistes, loin d'élre une injur , estle plus bel Serbe, voue avez pers quel'heure était venuc de se jet rtravers des bavardages assassinermeurtrieds

« 11 faut aujourd'hui agir-Ainsi, le discours de 5L le in rquil

de Rober 5e déroulait.Il avait une elminence véritab c, in.

génimse, subtile, el oui portai surcette assemblée de jeunes hommes,montrait les délégués eurppée s entrain de s'attaquer à l'idée Mme denation. C'était le moment d'in ensi4fier partout la propagande. Heureu-sement, des ,patriotes de Fran e etd'An/érigne -- là, il se tourna tcoté dc Schearer - en avaient com-pris la nécessite, et il était en mesured'assurer aux principales org frisa-Pons patnetames, une aide ()argentsubs,etanciefle.

(à sui re) I

L ABASTI D E-BEA U VO IR

Député rlAriège,CAME

devait ami, lieu à 1...bastide-Beauvoir leRF,CTIFICATION. - Le eunion oui

dimanche matin à Il Oeures, aura. lieule samedi soir 22 courent. 21 heures,heure légale. Prière eux intéressés de lefe're savoi br urs amis,

Notre (récuré Fsperbès et nove soi Finvues y dévelo,eront le fonctionnementode l'Office do blé.

Acricrdreers, tous à mmedi.ir, 21 hem., - A. Rivi e, secré-taire de le ...si.,abe am1Erèfialeb.

AUZEVILLE

PETE LOCALE. - Dimanche derniera eu lieu la première réunion intéres-sant la fête lo.le des jeunes gms ethommes mariés, qui doit être célébréele 19 et 20 septembre prochain

II a été étialié certaines ouestMne in-tér.sant le programme et ensuite pro-récié à t'élection du bureau qul est com-posécotende _suit

Président d'honneur Docteur L.

Vice-présidente : any Jean; AsamPierre.-.-

Préablent, actif Claret J.-M.Vice-président Basseran J.-M,Secrétaire ROUXTrésorier Jany Carnitle.Commissaire de musique : RigelJo

Commissaires de bal : Bert .1.

SPORT TRAVAILLISTE. - Les 811111 T.membres de 1011111 Sportive Blagua- Jeudi prochain, réunion à 21 heur.,caise sont i.tanunent priée d'assiste/Café Einend, questions diverses, verse-S l'assemblée générale extraordinaire ment des eqnsatmnl 8dité-qui aura lieu mardi Ta ar Mons. des .nen.. nmines 01n Mudralentau siège. faim partie de /a fête; p.sence de ri-

Questions très important.; presence Mienr,de ngueur. -- Le secrétaire.

MONTASTRUCl.A.C2NeelLLEne

CASTANET POTE LOCALE. - Montastruc célé-brera les 29, 32 et Pl pont, courant, as

GRAVE ACCIDENT DE MOTO- Ie. locale.CYCLETTE. - M. Henry Peyrane, Elle débutera le samedi soir, a 21 h.,âgé de 41 ans, Monteur électricien, Par la retraite me àvào li-do/Moitié impasse Auriol au Eauze- hunination de la ville et bal.Long, a Toulouse, qui traversait la Le lendemain dimanche à 10 h. 30,

commune, le 15 août, vers 20 heu- cérémonie rligieuse à Moud. Part/ci-ors, monté sur une motocyclette, a PO. l'harmonie; à l'Issue de cette cére-été victime d'un grave accident. ...ln uns nnnbe inca déPunnn nu mu/

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