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V1 - N° 5 . VENDREDI 3 FÉVRIER 2012 . PAGE 29 M E T I E R Production porcine Les truies gestantes en groupe Le 13 janvier dernier, la visite de deux élevages ayant adopté le logement des truies gestantes en groupe a permis aux éleveurs devant transformer leurs bâtiments avant le 31 décembre 2012 de voir des réalisations concrètes et de se décider pour un projet. L a Chambre d’agriculture du Bas- Rhin a organisé, avec l’appui de Romain Gérussi de la Copvial, une après-midi de visites dans deux élevages porcins pour tous les éleveurs naisseurs de la région Alsace. Les nouvelles directives sur le logement des truies Avant la visite, avec Romain Gérussi, les nouvelles directives ont été présen- tées. La réglementation dite “bien-être” (arrêté du 16 janvier 2003 paru au JO du 22 janvier 2003) fixe des règles dans plusieurs domaines de l’élevage, et en particulier sur le logement des truies gestantes, une grande nouveauté qui s’appliquera à tous les élevages à partir du 1 er janvier 2013. Les truies gestantes seront logées en groupes à partir de quatre semaines après la saillie jusqu’à une semaine avant la mise bas. Une surface minimale d’espace libre et des dimensions minimales de la case sont fixées selon la taille du groupe (voir tableau ci-dessous). La surface occupée par l’auge n’est pas comptée dans la surface d’espace libre. La distance minimale entre la partie arrière fixe du bat-flanc ou du réfectoire et le côté opposé de la case est de 2 m. Le caillebotis a des fentes d’une lar- geur maximum de 20 mm, les parties pleines entre les fentes ont une largeur minimum de 80 mm. Une case d’infirmerie est prévue pour isoler une truie, elle doit pouvoir se retourner. La case du verrat a une surface de 6 m² minimum et 10 m² minimum si la sail- lie se fait dans la case. L’élevage de Joseph Binder : des cases à bat-flanc en béton L’élevage naisseur-engraisseur de Joseph Binder à Lupstein compte 175 truies productives réparties en sept bandes de 25, pour 206 truies présentes. La conduite des bandes se fait à inter- valles de trois semaines avec un sevrage à 28 jours. Le bâtiment existant pour les truies en attente de saillie et en gesta- tion permettait de loger six bandes de 26 truies : deux bandes en attente de saillie et en confirmation de gestation, soit 52 places, et quatre bandes de truies gestantes confirmées, soit 104 places. Toutes les truies étaient logées en cases individuelles bloquées. Ce sont les quatre bandes de truies gestantes confir- mées, soit 104 places, qui sont concer- nées par la mise aux normes bien-être puisqu’elles sont dans la période de quatre semaines après la saillie jusqu’à une semaine avant la mise bas, où elles doivent être en groupe. Cependant, la surface disponible dans le bâtiment n’était pas suffisante. Joseph Binder a dû construire un nouveau bâtiment, rat- taché à l’ancien, dans lequel une salle est prévue pour loger en groupes une bande de 28 truies. Dans cette salle, quatre cases de sept truies chacune ont été aménagées, les murs des cases sont en béton, chaque case est équipée d’une auge collective avec des doseurs individuels pour l’ali- mentation, les truies sont séparées par des bat-flancs en béton pour se nour- rir individuellement sans être déran- gées, les truies circulent librement dans leurs cases sur un sol en caillebotis aux normes. L’ancien bâtiment est en cours de réaménagement pour loger les trois bandes restantes, soit 86 truies, dans des cases où les truies sont en liberté par groupes de six ou sept, équipées également de bat-flanc. Ainsi, les quatre bandes concernées par la mise en groupe sont logées dans l’ancien et le nouveau bâtiment. Les cases individuelles blo- quées sont abandonnées, sauf pour les deux bandes en verraterie qui ne sont pas concernées. Les équipements de cet élevage ont été fournis par M. Leveil, de la société Celtys de Landivisiau en Bretagne. M. Gui- goures, de la société Fournier de Fougères en Bretagne, a présenté leurs systèmes pour gestantes en bat-flancs béton : nez à nez, nez au mur ou nez au couloir. A Schnersheim : des cases à bat- flanc en tubulaires L’élevage naisseur-engraisseur de Michel et Eliane Schotter à Schne- risheim compte 120 truies productives en sept bandes de 17, pour 130 truies présentes. La conduite des bandes se fait à intervalles de trois semaines avec un sevrage à 28 jours. Lors de l’agrandisse- ment de l’élevage en 2008, le bâtiment pour le naissage, la maternité et la ges- tation a été aménagé dans un bâtiment d’engraissement. Les 61 truies et cochettes gestantes confirmées sont logées par groupe de sept, dans neuf cases à bat-flancs en tubulaires avec une auge sur-élevée et un sol plein sur un mètre devant l’auge puis un sol caillebotis, les murs de la case sont construits avec des séparations en PVC. Les équipements de cet élevage ont été fournis par M. Bricka, de la société I-Tek de Tremeur en Bretagne. Un calendrier à tenir jusqu’au 31 décembre 2012 Pour les élevages qui ne sont pas encore aux normes bien-être, il faudra respecter un calendrier pour franchir les différentes étapes : faire un plan de conception du projet d’aménagement et de construction si besoin, contacter les entreprises et faire un devis, déposer un permis de construire (le service gestion du territoire de la Chambre d’agricul- ture est à votre disposition), établir un rapport pour le service des installations classées pour modification de l’élevage et remettre une demande d’aides à la DDT avant le 30 juin. La Chambre d’agriculture et la Cop- vial vont vous accompagner dans cette démarche. Taille du groupe Surface minimale d’espace libre (m²/truie) Dimensions minimales de la case (m) Cochette Truie Moins de 6 1,81 2,48 2,40 6 à 39 1,64 2,25 2,80 40 et plus 1,48 2,03 2,80 Personnes à contacter Romain Gérussi (Copvial), tél. 06 77 79 99 83 Patrice Denni (Chambre d’agriculture du Bas-Rhin, service gestion du terri- toire), tél. 03 88 19 17 36 Dominique Vachon (Chambre d’agri- culture du Bas-Rhin, service éle- vage), tél. 03 88 19 17 34, d.vachon@ bas-rhin.chambagri.fr. Chez Joseph Binder, les truies gestantes sont logées en groupe mais sépa- rées par des bat-flanc en béton pour se nourrir sans être dérangées. Chez Michel et Eliane Schotter, les truies et cochettes gestantes confirmées sont logées par groupe de sept, dans neuf cases à bat-flancs en tubulaires.

L’EST AGRICOLE ET VITICOLE METIER V1 C P Les truies ... · à 10 jours sur plus de 3 600 micro-zones, image radar des précipitations † Service expert grandes cultures : ana-lyses

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Page 1: L’EST AGRICOLE ET VITICOLE METIER V1 C P Les truies ... · à 10 jours sur plus de 3 600 micro-zones, image radar des précipitations † Service expert grandes cultures : ana-lyses

L’EST AGRICOLE ET VITICOLE V1 - N° 5 . VENDREDI 3 FÉVRIER 2012 . PAGE 29M E T I E RCrédit Agricole

Pleinchamp.com lance sa nouvelle versionD ix ans après sa création par les

Caisses régionales de Crédit Agri-cole, le site Pleinchamp.com change

de visage pour consolider les échanges et la proximité avec les professionnels de l’agriculture, annonce le Crédit Agri-cole dans un communiqué. Le nouveau Pleinchamp.com souhaite renforcer son rôle fédérateur des différents interve-nants de l’agriculture et de l’agroalimen-taire. La nouvelle formule met l’accent sur la personnalisation. Elle propose de nouvelles fonctionnalités :• “Mon Pleinchamp” permet aux inter-

nautes de rassembler, sur une même page, les contenus qui les intéressent tels que la météo, les actualités, l’environne-ment économique, le cours des produits et l’évolution des marchés

• “Mon mini-site”, espace personnali-sable où les exploitants peuvent, en trois pages, présenter leur exploitation, leurs produits ou leurs services.L’interactivité a également été renfor-

cée avec l’ouverture de forums et de son-dages en ligne. Par ailleurs, l’internaute pourra découvrir de nouvelles rubriques d’actualité dédiées notamment à l’agri-culture biologique ou à l’agriculture de montagne. Découvrez le nouveau site Pleinchamp sur Internet : www.plein-champ.com et sur mobile : pleinchamp.mobi

Le site Pleinchamp.com est un site d’in-formation de premier plan, combinant à la fois la proximité de l’information et l’expertise des fi lières agricoles. Plus de 700 partenaires nationaux et départemen-taux publient sur le site, au service de la communauté agricole. Pleinchamp reçoit chaque mois 1,5 million de visites pour plus de 4 millions de pages vues et 400 000 visi-teurs uniques. Ses six services experts, aux-quels 220 000 clients des Caisses régionales de Crédit Agricole ont accès, facilitent le pilotage des exploitations et sont autant d’outils d’aide à la prise de décision :• Service expert météo locale : prévisions

à 10 jours sur plus de 3 600 micro-zones, image radar des précipitations

• Service expert grandes cultures : ana-lyses des marchés avec avis d’experts dès 8 h, prospectives moyen terme et marchés à terme

• Service expert élevage : dès 19 h, ana-lyses des marchés avec avis d’experts

• Service expert porcs : marché à terme en direct, simulateur de couverture de risque

• Service expert énergie/azote : chaque mardi, analyses et avis d’experts sur les marchés de l’azote, de l’ammonitrate, du fi oul et du gaz

• Service expert vins-infos : actua-lité, réglementation, fi ches pays pour l’export.

Production porcine

Les truies gestantes en groupeLe 13 janvier dernier, la visite de deux élevages ayant adopté le logement des truies gestantes en groupe a permis aux éleveurs devant transformer leurs bâtiments avant le 31 décembre 2012 de voir des réalisations concrètes et de se décider pour un projet.

La Chambre d’agriculture du Bas-Rhin a organisé, avec l’appui de Romain Gérussi de la Copvial, une

après-midi de visites dans deux élevages porcins pour tous les éleveurs naisseurs de la région Alsace.

Les nouvelles directives sur le logement des truies

Avant la visite, avec Romain Gérussi, les nouvelles directives ont été présen-tées. La réglementation dite “bien-être” (arrêté du 16 janvier 2003 paru au JO du 22 janvier 2003) fi xe des règles dans plusieurs domaines de l’élevage, et en particulier sur le logement des truies gestantes, une grande nouveauté qui s’appliquera à tous les élevages à partir du 1er janvier 2013.• Les truies gestantes seront logées en

groupes à partir de quatre semaines après la saillie jusqu’à une semaine avant la mise bas.

• Une surface minimale d’espace libre et des dimensions minimales de la case sont fi xées selon la taille du groupe (voir tableau ci-dessous).

La surface occupée par l’auge n’est pas comptée dans la surface d’espace libre. La distance minimale entre la partie arrière fi xe du bat-fl anc ou du réfectoire et le côté opposé de la case est de 2 m.• Le caillebotis a des fentes d’une lar-

geur maximum de 20 mm, les parties pleines entre les fentes ont une largeur minimum de 80 mm.

• Une case d’infi rmerie est prévue pour isoler une truie, elle doit pouvoir se retourner.

• La case du verrat a une surface de 6 m² minimum et 10 m² minimum si la sail-lie se fait dans la case.

L’élevage de Joseph Binder : des cases à bat-fl anc en béton

L’élevage naisseur-engraisseur de Joseph Binder à Lupstein compte 175 truies productives réparties en sept bandes de 25, pour 206 truies présentes. La conduite des bandes se fait à inter-valles de trois semaines avec un sevrage à 28 jours. Le bâtiment existant pour les truies en attente de saillie et en gesta-tion permettait de loger six bandes de 26 truies : deux bandes en attente de saillie et en confi rmation de gestation, soit 52 places, et quatre bandes de truies gestantes confi rmées, soit 104 places. Toutes les truies étaient logées en cases individuelles bloquées. Ce sont les quatre bandes de truies gestantes confi r-mées, soit 104 places, qui sont concer-nées par la mise aux normes bien-être puisqu’elles sont dans la période de quatre semaines après la saillie jusqu’à une semaine avant la mise bas, où elles doivent être en groupe. Cependant, la surface disponible dans le bâtiment n’était pas suffi sante. Joseph Binder a dû construire un nouveau bâtiment, rat-taché à l’ancien, dans lequel une salle est prévue pour loger en groupes une bande de 28 truies.

Dans cette salle, quatre cases de sept truies chacune ont été aménagées, les murs des cases sont en béton, chaque case est équipée d’une auge collective avec des doseurs individuels pour l’ali-mentation, les truies sont séparées par des bat-fl ancs en béton pour se nour-rir individuellement sans être déran-gées, les truies circulent librement dans

leurs cases sur un sol en caillebotis aux normes. L’ancien bâtiment est en cours de réaménagement pour loger les trois bandes restantes, soit 86 truies, dans des cases où les truies sont en liberté

par groupes de six ou sept, équipées également de bat-fl anc. Ainsi, les quatre bandes concernées par la mise en groupe sont logées dans l’ancien et le nouveau bâtiment. Les cases individuelles blo-quées sont abandonnées, sauf pour les deux bandes en verraterie qui ne sont pas concernées.

Les équipements de cet élevage ont été fournis par M. Leveil, de la société Celtys de Landivisiau en Bretagne. M. Gui-goures, de la société Fournier de Fougères en Bretagne, a présenté leurs systèmes pour gestantes en bat-fl ancs béton : nez à nez, nez au mur ou nez au couloir.

A Schnersheim : des cases à bat-fl anc en tubulaires

L’élevage naisseur-engraisseur de Michel et Eliane Schotter à Schne-risheim compte 120 truies productives en sept bandes de 17, pour 130 truies présentes. La conduite des bandes se fait à intervalles de trois semaines avec un sevrage à 28 jours. Lors de l’agrandisse-ment de l’élevage en 2008, le bâtiment pour le naissage, la maternité et la ges-tation a été aménagé dans un bâtiment d’engraissement.

Les 61 truies et cochettes gestantes confi rmées sont logées par groupe de

sept, dans neuf cases à bat-fl ancs en tubulaires avec une auge sur-élevée et un sol plein sur un mètre devant l’auge puis un sol caillebotis, les murs de la case sont construits avec des séparations en PVC. Les équipements de cet élevage ont été fournis par M. Bricka, de la société I-Tek de Tremeur en Bretagne.

Un calendrier à tenir jusqu’au 31 décembre 2012

Pour les élevages qui ne sont pas encore aux normes bien-être, il faudra respecter un calendrier pour franchir les différentes étapes : faire un plan de conception du projet d’aménagement et de construction si besoin, contacter les entreprises et faire un devis, déposer un permis de construire (le service gestion du territoire de la Chambre d’agricul-ture est à votre disposition), établir un rapport pour le service des installations classées pour modifi cation de l’élevage et remettre une demande d’aides à la DDT avant le 30 juin.

La Chambre d’agriculture et la Cop-vial vont vous accompagner dans cette démarche.

Taille du groupeSurface minimale d’espace libre (m²/truie)

Dimensions minimales de la case (m)Cochette Truie

Moins de 6 1,81 2,48 2,406 à 39 1,64 2,25 2,8040 et plus 1,48 2,03 2,80

Personnes à contacter• R o m a i n G é r u s s i ( C o p v i a l ) ,

tél. 06 77 79 99 83• Patrice Denni (Chambre d’agriculture

du Bas-Rhin, service gestion du terri-toire), tél. 03 88 19 17 36

• Dominique Vachon (Chambre d’agri-culture du Bas-Rhin, service éle-vage), tél. 03 88 19 17 34, [email protected].

Chez Joseph Binder, les truies gestantes sont logées en groupe mais sépa-rées par des bat-fl anc en béton pour se nourrir sans être dérangées.

Chez Michel et Eliane Schotter, les truies et cochettes gestantes confi rmées sont logées par groupe de sept, dans neuf cases à bat-fl ancs en tubulaires.

Au lycée agricole d’Obernai

2es Rencontres Edgard PisaniLes jeudi 16 et vendredi 17 février, le lycée agricole d’Obernai accueillera les 2es Rencontres Edgard Pisani sur le thème “Quels systèmes économiques pour l’agriculture de demain”. Au programme : conférences, débats, tables rondes.

S ensibilisés aux questions agri-coles et environnementales, les étudiants du lycée agricole

d’Obernai en classe de BTSA Analyse et conduite du système d’exploitation, s’appuyant sur leur formation, ont décidé de s’impliquer dans le renou-vellement de cet événement exception-nel.

La deuxième édition des Rencontres Pisani est consacrée aux systèmes éco-nomiques de l’agriculture de demain. Ce choix s’est imposé avec l’actua-lité. Les pays de l’Union européenne, comme plusieurs autres à l’échelle planétaire, sont touchés par une pro-fonde crise économique. La tour-mente des marchés fi nanciers impacte les cours des produits agricoles, qui (re)deviennent objet de spéculation comme n’importe quel autre produit. Cela génère une volatilité des prix qui frappe l’économie réelle de plein fouet, et donc les agriculteurs. Face à cette situation, de plus en plus d’agriculteurs se tournent vers les circuits courts, tels que la vente directe, les marchés, les Amap... La production agricole néces-site des investissements, se programme à l’échelle des saisons et requiert donc un minimum de visibilité en matière de prix. Comment répondre à cette néces-sité à l’heure où les logiciels des tra-ders sont programmés pour effectuer des centaines d’opérations à la seconde sur les marchés boursiers ? Comment maintenir le lien entre producteurs et consommateurs par delà la volatilité des prix ? Est-il possible de concilier l’activité des marchés fi nanciers et la réalité de la production agricole, tout en répondant aux besoins de la population et au respect de l’environ-nement ? Pour faire face à toutes ces interrogations quant aux défi s écono-miques auxquels est confrontée l’agri-culture, les étudiants ont fait appel à différents intervenants pour alimenter conférences, débats et échanges entre participants. Les intervenants ont été invités pour leur légitimité à traiter ce sujet, par les travaux, études et actions qu’ils ont réalisés.

Au programmeJeudi 16 février• 13 h 30 - 14 h : ouverture par Franck San-

der, président des Jeunes Agriculteurs du Bas-Rhin

• 14 h - 16 h 15 : conférence de Michel Griffon, conseiller scientifi que du direc-teur général de l’agence nationale de la recherche : “L’économie agricole est-elle compatible avec un monde viable ?”, débat avec le public

• 16 h 30 - 17 h 45 : conférence de Jean-Marie Sander, président du Crédit Agri-cole, “Du global au local, comment faire face aux turbulences économiques qui touchent l’agriculture ?”, débat avec le public

• 18 h 30 - 20 h : dîner (tartes fl ambées) • 20 h - 22 h 30 : projection de Tous comptes

faits, débat avec l’association Nature & Vie, Jean-François Vierling, agriculteur, admi-nistrateur du Comptoir Agricole et pré-sident d’Alsace Qualité, Maurice Meyer, agriculteur et acteur d’Alsace Bio, Thierry Schweitzer, agriculteur et concepteur de la marque éponyme.

Vendredi 17 février • 9 h - 10 h 15 : présentation et remise des

trophées de l’agriculture durable. Inter-ventions de Yves Demouy, chef du service régional d’économie agricole et forestière, de Christian Bockstaller, président du jury, de l’Inra de Colmar, accompagnées des prises de paroles des candidats

• 10 h 30 - 12 h : table ronde “Circuits de distribution et attentes des consom-mateurs : une évolution partagée ?”, avec Emmanuelle Dantan, agricultrice, Col-lette Langrand, coordinatrice de l’Amap de Barr, Laurent Klein, agriculteur et président de la Saf, Marc Faveeux, directeur de l’Intermarché de Benfeld, Georges Kuntz, agriculteur et pré-sident de Bienvenue à la ferme, Vincent Dorfner, de la Chambre de consomma-tion d’Alsace.

• 12 h - 12 h 30 : clôture artistique avec un concert chorale présenté par les sta-giaires de la formation BPREA en poly-culture-élevage adapté à la biodynamie du CFPPA d’Obernai. Chef de chœur : Erik Hofmann.

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