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Mardi 26 mai
Bonjour à tous,
Bon courage pour cette 2ème
journée de la semaine !
Patrick Duparc
Corrections GRAMMAIRE
Ex n° 4 p 39 (livre rouge) et p 37 (livre bleu)
Complète les phrases avec l’article qui convient
a- J’ai recueilli un oisillon qui était tombé de l’arbre.
b- Mon goûter préféré : du pain et de la confiture.
c- Pour l’anniversaire de mon frère, nous avons préparé des gougères au fromage.
d- J’ai très mal aux pieds dans ces chaussures.
e- La mer des Sargasses est au large des Antilles.
Ex n° 5 p 39 (livre rouge) et p 37 (livre bleu)
Recopie des phrases en choisissant le nom qui convient en fonction du genre et du
nombre de l’article
Les galopins jouaient près de la mare aux canards. Ils chassaient les libellules à l’aide d’un
grand filet aux mailles serrées.
La mère des renardeaux avait recouvert le fond du terrier d’un épais tapis de feuilles
CORRECTION MATHS
GEOMETRIE
Calcule le périmètre et l’aire
de chacun des quatre carrés
suivants :
Périmètre :
Pcarré = 4 x C
Aire :
Acarré = C x C = C²
C = 12 m P = 4 x 12 m = 48 m A = 12 m x 12 m = 144 m²
C = 7 km P = 4 x 7 km = 28 km A = 7 m x 7 m = 49 km²
C = 1,5 dm= P = 4 x 1,5 dm = 6 dm A = 1,5 dm x 1,5 dm = 2,25 dm
C = 5,3 hm P = 4 x 5,3 hm = 21,2 hm A = 5,3 hm x 5,3 hm = 28,09 hm²
Calcule le périmètre et l’aire
de chacun des quatre
rectangles suivants :
Périmètre :
Prectangle = 2 x (L + l)
Aire :
Arectangle = L x l
L = 8 cm et l = 6 cm P = 2 x (8 + 6) cm
P = 2 x 14 cm = 28 cm
A = 8 cm x 6 cm
A= 48 cm²
L = 3 m et l = 1,5 m P = 2 x (3 + 1,5) m
P = 2 x 4,5 m = 9 m
A = 3 m x 1,5 m
A= 4,5 m²
L = 7,5 km et l = 3,2 km P = 2 x (7,5 + 3,2) km
P = 2 x 10,7 km = 21,4 km
A = 7,5 km x 3,2 km
A= 48 km²
L = 0,8 m et l = 0,3 m P = 2 x (0,8 + 0,3) m
P = 2 x 1,1 m = 2,2 m
A = 8 cm x 6 cm
A= 48 cm²
LECTURE / VOCABULAIRE
Les Révoltés de la Bounty chapitre 2
Recherche le sens des mots en bleu
quinze pouces : le pouce est une unité de longueur qui équivaut à environ 2,5
cm. Il vaut 1/12 du pied. Ici, 15 pouces = 38 cm (environ)
vingt et un pieds : le pied est une unité de longueur qui équivaut à environ
30,5 cm. Un pied vaut 12 pouces. Ici, 21 pieds = 6,40 m (environ)
nageaient : ici : ramaient
archipels : groupes d’îles
accore :côte abrupte et rocheuse
naturel : habitant local (indigène)
hostiles : agressifs
haler : tirer le bateau sur le rivage
coutelas : grand couteau pouvant être utilisé comme arme
trois gallons d’eau : mesure de contenance ; 1 gallon = 3,8 litres
inhospitalière : pas accueillante
quelques toises : unité de longueur (1 toise = environ 2 m)
la grève : terrain sablonneux en bord de mer
funeste : qui apporte la mort
souquez ferme : ramez énergiquement
Hippomène dans sa lutte avec Atalante : le jeune Hippomène défie à la course
Atalante : il pourra l’épouser s’il remporte l’épreuve, mais devra mourir s'il perd. La
jeune fille est la plus rapide, mais Hippomène dispose de trois pommes que lui a
données Aphrodite, et qu’il jette derrière lui dès qu’Atalante le dépasse. Celle-ci s'arrête
pour ramasser chacune des pommes, permettant à Hippomène de gagner du temps et de
remporter la course. Mais Hippomène oublie de remercier Aphrodite pour le présent des
pommes, et la déesse le frappe d'un désir érotique soudain qui le pousse à s'unir à Atalante
dans le temple de Cybèle. À son tour, celle-ci transforme les deux sacrilèges en lions,
qu’elle attelle ensuite à son char
vareuse : veste de certains uniformes
expédient : moyen utilisé pour la circonstance
douze cents lieues : ancienne mesure de distance. Une lieu = environ 4 km,
donc 1 200 lieues = 4 800 km !
quart de pinte d’eau : environ 15 cl
l’O.-N.-O. : direction ouest- nord-ouest
lames : grosses vagues
pluies torrentielles : pluies extrêmement violentes et abondantes comme
issues d’un torrent.
la Nouvelle-Hollande : l’Australie
le peu de fonds : le peu d’espoir
les brisants : rochers sur lesquels la mer se brise et déferle
ceinture madréporique : en forme de madrépore
trois escouades : petites troupes composées de quelques hommes
amertume : sentiment de tristesse durable
des peignes : coquille St Jacques
des noddis : oiseaux marins
schooner : ou goélette. Un voilier équipé de deux à sept mâts, apparu entre le
XVIᵉ et le XVIIᵉ siècle et qui connut son apogée aux XVIIIᵉ et XIXᵉ siècles.
Travail proposé pour le mardi 26 mai
CONJUGAISON :
Lis le « Cherchons » p 82 et réponds aux questions
Réponse aux questions
Forme conjuguée relevée dans le
texte
Personne Infinitif Groupe
Elle croisa 3ème
personne du
singulier
croiser 1er
groupe
il fut 3ème
personne du
singulier
être Pas de groupe
Elle les trouva 3ème
personne du
singulier
trouver 1er
groupe
Elle sentit 3ème
personne du
singulier
sentier 2ème
groupe
Ils firent 3ème
personne du
pluriel
faire 1er
groupe
Elle tenta 3ème
personne du tenter 1er
groupe
singulier
Léonard la retint 3ème
personne du
singulier
retenir 3ème
groupe
On remarque deux nouvelles terminaisons : -ut et –int
C 15 Le passé simple en « -u » et en « -in » LNOPLF pages 82 / 83
Pour conjuguer « avoir » et « être » ainsi que certains verbes du
3ème
groupe comme « vouloir », « pouvoir », « devoir », au passé simple, il
faut écrire les terminaisons -u.
Les terminaisons en –a et –èrent sont exclusivement réservées aux verbes du 1er groupe et ne conviennent donc ni au 2ème ni au 3ème groupes !
SINGULIER PLURIEL
1ère pers. 2ème pers 3ème pers 1ère pers 2ème pers 3ème pers
-us -us -ut -ûmes -ûtes -urent
AVOIR ETRE POUVOIR VOULOIR DEVOIR
J’eus Je fus Je pus Je voulus Je dus
Tu eus Tu fus Tu pus Tu voulus Tu dus
Il, elle, on eut Il, elle, on fut Il, elle, on put Il, elle, on voulut Il, elle, on dut
Nous eûmes Nous fûmes Nous pûmes Nous voulûmes Nous dûmes
Vous eûtes Vous fûtes Vous pûtes Vous voulûtes Vous dûtes
Ils, elles eurent Ils, elles furent Ils, elles purent Ils, elles voulurent Ils, elles durent
Pour conjuguer les verbes du 3ème
groupe comme venir et tenir
ainsi que les verbes de leur famille (revenir, devenir, provenir, survenir,
convenir, soutenir, contenir…), il faut écrire les terminaisons en -in.
Ecris les verbes entre parenthèses au
passé simple.
1 et 2- Le blessé (venir) _____________
à l’hôpital par ses propres moyens. Les
ambulanciers (n’avoir) __________ qu’à
l’allonger sur un brancard à son arrivée.
3- Le maître (être) _________________
surpris par la réponse de l’élève.
4- L’enfant (vouloir)
__________________ observer la réaction
chimique. 5- Le 4x4 (pouvoir) ________________ traverser la rivière sans
encombre.
6- Le meurtrier (revenir) _____________________ sur le lieu de son crime.
7- Cet intermittent du spectacle (n’avoir guère) _____________ de contrats.
10- Victor Hugo (vivre) ____________________ ici de nombreuses années.
SINGULIER PLURIEL
1ère pers. 2ème pers 3ème pers 1ère pers 2ème pers 3ème pers
-ins -ins -int -înmes -întes -inrent
VENIR TENIR
Je vins Je tins
Tu vins Tu tins
Il, elle, on vint Il, elle, on tint
Nous vînmes Nous tînmes
Vous vîntes Vous tîntes
Ils, elles
vinrent
Ils, elles tinrent
Exercice n° 2 p 83 (livre rouge)
Ajoute la terminaison du passé simple qui convient.
a- Je voul_____ ouvrir la porte. b- Nous p_____ rentrer tôt.
c- Il e_____ froid toute la nuit. d- Elle v_____ me voir souvent.
e- Tu f_____ très malade.
Exercice n° 3 page 83 (livre rouge)
Conjugue les verbes entre parenthèses au passé simple.
a- être je ________________ ; nous ________________
b- être tu ________________ ; vous ________________
c- avoir je ________________ ; nous ________________
d- avoir il ________________ ; ils ________________
d- pouvoir elle ________________ ; elles ________________
e- vouloir tu ________________ ; vous ________________
Exercice n° 4 page 83 (livre rouge)
Conjugue les verbes entre parenthèses au passé simple.
a- venir je ________________ ; nous ________________
b- devenir tu ________________ ; vous ________________
c- provenir je ________________ ; nous ________________
d- avoir il ________________ ; ils ________________
d- pouvoir elle ________________ ; elles ________________
e- vouloir tu ________________ ; vous ________________
MATHS
Opér. 12 Technique opératoire de la division (1)
La division est l’opération inverse de la multiplication.
Rappel : * Dans une multiplication, en partant du multiplicande et du multiplicateur,
on calcule le produit de ces 2 facteurs.
* Dans la division, en partant du produit connu des 2 nombres le
dividende, on recherche l’un des facteurs le quotient, connaissant le second
le diviseur.
Le calcul a pour but de connaître la valeur d’une part
individuelle.
1 * Pour effectuer une division, on l’écrit en colonnes :
2 * Quel est l’ordre de grandeur du quotient, c’est-à-dire combien de
chiffres comptera-t-il ?
3 * J’indique par des points le nombre de chiffres du quotient. A la fin de
mon calcul, chaque point devra être remplacé par un chiffre.
4 * Rappel : diviser a par b c’est comparer a aux multiples de b.
Si a est un multiple de b, ( = si b est un diviseur de a), j’obtiens
un quotient exact et la division n’a pas de reste.
dividende
diviseur
quotient
reste
Chaque destinataire reçoit le même nombre d’éléments et il n’y a aucun élément
restant. On écrit :
Ex : Répartir 12 enfants en 6 classes.
1* Je pose la division en colonnes.
2* Le quotient ne comportera qu’un chiffre car :
6 x 1 < 12 < 6 x 10
.
3* Je place un point au quotient.
4* Je construis un répertoire du diviseur, jusqu’à la valeur du dividende.
6 x 1 = 6 ; 6 x 2 = 12
5* J’écris : 2 au quotient et je reporte le produit 6 x 2 = 12 sous le dividende.
6* Je soustrais au dividende la valeur trouvée et j’écris le résultat de la
soustraction.
7 * J’écris l’égalité qui traduit l’opération que je viens d’effectuer.
Conclusion : Une distribution équitable sera de 2 enfants par classe ; il s’agit
d’une situation de division avec quotient exact.
Si a n’est pas un multiple de b, ( = si b n’est pas un diviseur de a),
j’obtiens un quotient non-exact et la division a un reste.
D : d = q ou D = q x d
1 2 6
- 1 2 2
0 .
D = q x d 12 = 2 x 6
Dans ce cas, chaque destinataire reçoit le même nombre d’éléments mais il reste des éléments
en possession du distributeur. Ces éléments sont néanmoins insuffisamment nombreux pour
que chaque destinataire puisse bénéficier d’une attribution supplémentaire.
On écrit :
Remarque : le reste doit toujours être inférieur au diviseur pour qu’une distribution
supplémentaire ne soit pas possible
Ex : Répartir 51 places de parking entre 8 entreprises louant des bureaux dans
le même immeuble.
Conclusion : Une distribution équitable sera de 6 places de parking par
entreprise ; il s’agit d’une situation de division avec reste puisque 3 places
n’ont pas été distribuées.
On écrit :
D = (q x d) + r ( avec r < d )
Répertoire de 8, jusqu’au premier
multiple inférieur à 51
8 x 1 = 8 8 x 2 = 16 8 x 3 = 24
8 x 4 = 32 8 x 5 = 40 8 x 6 = 48
5 1 8
- 4 8 6
3
D = (q x d) + r et je vérifie que r < d
51 = (6 x 8) + 3 et je vérifie que 3 < 8
Recherche : Pour connaître le prix d’une chaise on pose la division 1290 : 6
Comme 1 < 6, on prend 2 chiffres au dividende et on commence en posant la
question : en 12 combien de fois 6 ?
Réponse : il y va 2 fois car 2 x 6 = 12. J’écris 2 au quotient.
Sous le 12, j’écris – 12 et j’effectue la soustraction : 12 – 12 = 0.
J’abaisse le chiffre 9 et je pose la question : en 9 combien de fois 6 ?
Réponse : il y va 1 fois car 1 x 6 = 6 (2 x 6 = 12 est trop fort) J’écris 1 au quotient.
Sous le 09, j’écris – 6 et j’effectue la soustraction : 9 – 6 = 3.
J’abaisse le chiffre 0 et je pose la question : en 30 combien de fois 6 ?
Réponse : il y va 5 fois car 5 x 6 = 30. J’écris 5 au quotient.
Sous le 30, j’écris – 30 et j’effectue la soustraction : 30 – 30 = 0.
Conclusion : cette division « tombe juste ». Son reste est nul ce qui signifie
que 1 290 est divisible par 6 ou que 1 290 est un multiple de 6.
Remarque : on pouvait le pressentir car 1 290 est un nombre pair donc divisible
par 2.
La somme de ses chiffres 1 + 2 + 9 + 0 = 12. Or 12 est dans la table de 3 (3 x 4 =
12).
Donc 1 290 est à la fois divisible par 2 et par 3. Un nombre divisible par 2 et 3
est divisible par 2 x 3 = 6.
Quand une division ne tombe pas juste on peut écrire son résultat de 2
manières.
Ex : 371 : 8 = 46 et il reste 3
371 = (8 x 46) + 3
LECTURE SILENCIEUSE / ORALE Le feuilleton d’Hermès épisode 52
http://divinews.free.fr/HERMES/Herm%C3%A8s%20de%20051%20%C3%A0
%20075.pdf
DICTEE ou COPIE Hermès se retrouve face à face avec Cerbère
Hermès, sur son radeau, se servant de son caducée pour ramer, traverse lentement les eaux
noires du fleuve Styx qui mène aux Enfers. Arrivé sur l’autre rive, il fabrique une torche et
découvre Cerbère, un chien monstrueux à trois têtes et à queue de dragon, qui menace de
l'avaler.
Soudain Hadès apparaît. Hermès le salue, se fait reconnaître et lui explique qu’il se met à son
service, sur l’ordre de Zeus. Bien qu’un peu agacé par cette visite imprévue et la décision de
Zeus, Hadès surpris par le naturel et la spontanéité du jeune dieu et l’invite à visiter les
Enfers.
Le caducée
est un des
attributs du dieu Hermès
dans la mythologie grecque,
représenté comme une
baguette de laurier ou
d'olivier surmonté de deux
ailes et entouré de deux
serpents entrelacés. Le
caducée sert à guérir les
morsures de serpents et c'est
pourquoi il en est orné.
HISTOIRE
Hist. 6 La société au 19ème
siècle : le travail à la mine, à l'usine, à l'atelier, au grand magasin
I – Les conséquences sociales
La construction des usines a nécessité beaucoup 1- d’argent. Des personnes aisées
contribuaient financièrement à l’apport du 2- capital (mise en commun des fonds nécessaires à
la création et au fonctionnement des entreprises). En contrepartie, elles recevaient des 3-
« actions » qui rapportaient d’autant plus d’argent que l’entreprise produisait de 4- richesses.
Les investisseurs et entrepreneurs avaient donc tout intérêt à l’amélioration de la 5-
productivité : on organisa le travail, on individualisa les salaires, on inventa 6- le travail à la
chaîne, mais on négligea 7- l’hygiène et la sécurité.
II – La condition des bourgeois
La bourgeoisie était la classe hétérogène
dominante au XIXème siècle. On distingue :
* 8- la petite bourgeoisie : commerçants pour qui
les affaires marchaient bien,
* 9- la moyenne bourgeoisie : médecins, avocats,
jeunes travaillant dans la littérature,
* 10- la haute bourgeoisie : banquiers, puissantes
familles d’industriels, patrons d’entreprises.
Les 11- banquiers et des bourgeois aisés qui
s’étaient enrichis dans le commerce ont prêté de
l’argent aux industriels. Les 12- banques se sont
développées après avoir convaincu les particuliers de
leur confier leur argent. La haute bourgeoisie 13- s’est
considérablement enrichie au détriment des ouvriers.
La dictature de la bourgeoisie
III– La condition des ouvriers travaillant en usine ou en atelier
Les ouvriers travaillaient 14- tous les jours 12 à
15 heures, sans repos ni vacances pour de 15-
très faibles salaires contraignant ainsi leurs
femmes et enfants à travailler pour rapporter de
quoi manger. Tous effectuaient un 16- travail
extrêmement dur avec une 17- discipline
sévère et n’avaient ni le droit de se révolter ni
de faire grève pour dénoncer leurs conditions
de travail inhumaines ou en demander
l’amélioration. Ils œuvraient dans la saleté et à
côté de machines dangereuses, aussi beaucoup
de 18- maladies ou d’accidents du travail
étaient-ils à déplorer.
Travail mauvais qui prend l’âge tendre en
sa serre, qui produit l’argent
en créant la misère, qui se sert d’un enfant
ainsi que d’un outil.
Victor Hugo
Le tissage, la couture, la dentelle ou la
broderie étaient réalisés en 19- petits ateliers,
pour le compte d’un patron.
Les ouvriers vivaient dans des logements 20- minuscules,
insalubres et non chauffés. Ils se nourrissaient de 21- pain
noir, de pommes de terre, de lait et de fromage. 22-
L’alcoolisme faisait des ravages. Les mauvaises conditions
de travail, une alimentation pauvre sur le plan nutritif et le 23-
manque d’hygiène sont la cause de maladies, d’accidents et
donc de 24- chômage. Quand ils étaient trop âgés pour
continuer de travailler, la 25- misère des ouvriers
s’accentuait. Au cours du XIXème
siècle les ouvriers se sont
organisés, ont créé des 26- syndicats et fait des 27- grèves
pour améliorer leur sort : Ils ont progressivement obtenu :
des augmentations de salaires, la réduction du temps de
travail avec un jour de repos hebdomadaire, l’interdiction du
travail des enfants, le système de retraite.
IV – La condition des ouvriers travaillant dans les mines
28- Les hommes et les femmes travaillaient
aussi dans les mines de charbon pour des
salaires dérisoires. Pendant longtemps, 29- les
enfants ont aussi travaillé dans les mines.
Leur petite taille le permettait de se glisser
dans les galeries les plus étroites. Ils
poussaient des wagonnets remplis de
charbon, au risque de se faire écraser, quand
à bout de force, ils ne pouvaient plus retenir
la lourde charge. Ils risquaient leur vie
menacée par l’effondrement des galeries, les
« coups de grisous » et attrapaient des
maladies pulmonaires souvent mortelles.
Une 30- grande misère accablait les familles
de mineurs.