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newsletter_atelier_nam_23.03.2011
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banque de financement & d’investissement / épargne / services financiers spécialisés
www.am.natixis.com
Pascal VoisinDirecteur général de Natixis Asset Management
n Crise japonaise, matières
premières, énergie : quels
impacts macroéconomiques ?
n Matières premières : quelle
allocation stratégique et
tactique ?
n Politiques énergétiques :
quelle nouvelle donne pour les
stratégies d'investissement ?
Autant de questions abordées au
cours de l'Atelier Natixis Asset
Management qui a réuni près de
200 participants le
23 mars dernier autour de
Pascal Voisin, directeur général,
Philippe Waechter, directeur de
la recherche économique, Franck
Nicolas, directeur allocation
globale et ALM, Hervé Guez,
responsable de la recherche
extra-financière, Brigitte Le
Bris, directeur gestions taux
internationaux et devises et
Emmanuel Bourdeix, directeur
gestions actions, diversifiée et
structurée.
"Crise japonaise, matières premières, énergie : quels scénarios ?"
newsletteravril 2011
Atelier Natixis AM - 23 mars 2011"Les récents événements qui ont
touché le Japon, la hausse des matières
premières et la résurgence de la question
nucléaire, ne sont pas sans impact sur
l’allocation stratégique et tactique de
nos portefeuilles. La difficulté reste de
définir l’ampleur réelle de cet impact."
4 pistes de réflexion : n 15 mois après le tremblement de terre de Kobe, le Japon avait récupéré 98 % de sa production industrielle d’avant séisme. Même si la situation est aujourd’hui plus grave, notamment en raison des dégâts causés par les défaillances des centrales nucléaires, le pays a démontré une grande capacité de mobilisation de sa population et de solidarité. n Le prix du pétrole est certes élevé mais le baril n’est pas, aujourd’hui, plus cher qu’en 1864, à dollar constant. Ce qui change en revanche, c’est la nécessité d’intégrer un prix haut de manière structurelle en raison de l’évolution de la demande et de sa structure.n En 2040-2050, le monde comptera 9 milliards d’habitants. L’explosion de la demande de matières premières qui en résulte va se heurter à un stock d’énergies fossiles limité, de moins en moins accessible.n Enfin, le choc japonais pourrait ouvrir le débat sur le rôle du nucléaire laissé de côté à Copenhague dans le cadre des négociations internationales sur le changement climatique, modifiant ainsi l’approche et le règlement des besoins énergétiques de la planète.
L'Atelier Natixis Asset Management du 23 mars dernier a réuni près de 200 participants.
N E W s L E t t E r - AV r i L 2 011 / / / At E L i E r N At i x i s A M - PA r i s2 /
Quels impacts macroéconomiques ?
"Au-delà du drame humain, le tsunami japonais ne devrait avoir qu'un impact limité sur l’économie mondiale. En revanche, des incertitudes demeurent quant aux conséquences économiques du choc nucléaire..."
La situation au Japon
Un impact limité sur l’économie japonaiseLes régions touchées par le tsunami représentent 6 à 7 % de
l’économie japonaise, ce qui est significatif.
Les études réalisées suggèrent qu’un tremblement de terre
dans un pays développé a, in fine, un impact extrêmement
réduit. Il ne provoque généralement pas de rupture de l'activité.
Ainsi, le tremblement de terre de 1995 à Kobe a engendré une
baisse immédiate de 2,7 % de la production industrielle, suivie
d’un rapide rebond, si bien que la dynamique de croissance
n’en a pas souffert.
L'impact limité s'explique par le bon fonctionnement des
institutions, le niveau de qualification de la population (le
travail peut se substituer au capital, facilitant le rebond de la
production) et la capacité de déplacer la production vers des
lieux non touchés par la catastrophe.
Les régions concernées bénéficieront d’une reconstruction
avec des technologies les plus avancées ce qui constituera un
atout pour le futur. Le coût du séisme est estimé à 3 voire 3,5 %
du PIB. Son financement sera assuré par une recrudescence
de la dette japonaise, une pression fiscale temporairement
plus élevée et le rapatriement des capitaux placés à l’étranger.
Philippe WaechterDirecteur de la recherche économique
Hydroélectrique 8 %
Pétrole 9 %
Autres 2 %
Gaz naturel 26 %Nucléaire 27 %
Charbon 28 %
Source : Energy Information Administration – Natixis Asset Management
Des incertitudes demeurent sur le choc nucléaire Les investisseurs sur les marchés anticipent que le risque
nucléaire sera maîtrisé.
Si le choc devait se révéler plus dramatique, ils modifieraient
leurs positions. Une plus forte aversion au risque et la crainte
d'une diffusion de la situation vers les États-Unis et l’Europe
fragiliseraient la dynamique de l'économie globale et des
marchés. Une aversion au risque plus forte est redoutée,
ce qui aurait un caractère dramatique pour l'activité globale.
Le nucléaire représente en effet 27 % de la production
d’électricité au Japon. (cf. graphique ci-dessous)
Sources de production d'électricité en 2009
N E W s L E t t E r - AV r i L 2 011 / / / At E L i E r N At i x i s A M - PA r i s WWW.AM.NAtixis.coM / 3
Les matières premières
La hausse des prix des matières premières a changé de natureL'équilibre du marché des matières premières a changé. Jusqu'à
la fin des années 90, la demande reflétait principalement celle
des pays développés. Des ajustements avaient lieu du côté de
l'offre. Le niveau de prix était modifié rapidement et fluctuait
ensuite autour d'une tendance horizontale, comme cela a pu
être le cas lors des chocs de 1974 et 1979.
Aujourd'hui, en raison de la vigueur de la croissance dans les
pays émergents, l'équilibre a changé. La demande progresse
rapidement en provenance de ces pays émergents. Le profil
du prix des matières premières croît donc.
Il n'est plus simplement conditionné par l'activité des pays
industrialisés : il est maintenu à un niveau élevé par une
demande émergente forte.
Les années 2000 marquent une rupture. La hausse du prix des matières premières qui s’expliquait, dans le passé, par un choc de l’offre, résulte désormais d’une accélération de la demande des pays émergents.
L’envolée des prix des matières premières pénalise les agents économiques et les marchés…. Pour les pays industrialisés, la hausse du prix des matières
premières a un impact significatif.
Les fluctuations des prix affectent les marges des entreprises
qui ne peuvent répercuter spontanément cette volatilité dans
les prix à la consommation.
Un arbitrage microéconomique relatif à l'évolution du prix
de l'énergie est également observable. Une hausse de
l'énergie incite un individu à réduire ses dépenses ou à
opter pour une utilisation plus efficace de cette énergie. À
court terme cependant, les dépenses en énergie ne sont
pas compressibles. Une hausse du prix se traduit par des
arbitrages forts au détriment des autres biens et services.
Le niveau atteint actuellement par le prix du pétrole suggère
que des arbitrages de ce type pourraient intervenir, tant aux
États-Unis qu'en Europe.
Par ailleurs, la hausse de l'énergie alourdit la facture pétrolière.
Pour maintenir l'équilibre macroéconomique, des ajustements
doivent être faits pour que la balance commerciale sur les
matières premières ne se dégrade trop rapidement, ce qui
pénaliserait le mécanisme interne de croissance.
…. et engendre des politiques monétaires divergentes Privilégiant la reprise de l’économie et l’emploi, la Réserve
fédérale américaine se focalise plutôt sur le taux d'inflation
sous-jacent et ne modifie pas ses taux d'intérêt.
À l’inverse, la Banque Centrale européenne a annoncé une
hausse de ses taux directeurs pour avril afin de contenir
l’inflation. Compte tenu de l'évolution du prix de l'énergie et
du prix des matières premières agricoles (2 composantes
majeures de l'évolution du taux d'inflation), l'objectif de stabilité
du taux d'inflation pourrait peser sur la situation interne (le
3e facteur déterminant du profil de l'inflation).
Cette divergence de comportement des banques centrales
devrait soutenir l’euro face au dollar.
1,5
2
2,5
3
3,5
4
4,5
2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 20114,50
5,00
5,50
6,00
6,50
7,00
7,50
Prix de l'essence (hebdomadaire) Poids des dépenses d'énergie dans la consommation (ech.droite)
Source : Datastream – Natixis Asset Management
0
50
100
150
200
250
300
1951 1956 1961 1966 1971 1976 1981 1986 1991 1996 2001 2006 2011
Base 100 en 2010
Source : Datastream – Natixis Asset Management
CRB : Commodity Research Bureau
états-Unis - Prix de l'essence et dépenses d'énergie par les consommateurs
Indice CRB des matières premières
N E W s L E t t E r - AV r i L 2 011 / / / At E L i E r N At i x i s A M - PA r i s4 /
Matières premières : quelle allocation stratégique et tactique ?
"Les matières premières sont une véritable classe d’actifs qui, en raison de leur décorrélation du marché des actions, peuvent apporter un surcroît de performance..."
Franck NicolasDirecteur allocation globale et ALM
Les matières premières constituent une classe d’actifs à part entièreLes matières premières revêtent les deux caractéristiques
principales de toute classe d’actifs : une homogénéité
de l’univers et une prime de risque distincte de celle des
actions. Elles ont donc leur place dans un portefeuille car
elles peuvent apporter de la performance, considérant
toutefois que l’apport de diversification est différencié selon
les périodes.
Une propriété marquante réside : leur décorrélation par rapport aux actionsLes études montrent qu’aussi bien en entrée qu’en sortie
de récession, les actions anticipent le cycle d’environ
6 mois alors que les performances des matières premières
coïncident avec ce dernier. Cette décorrélation offre des
opportunités d’investissement en cette période actuelle de
reflation.
Optimiser la performance grâce à une allocation tactique au sein des matières premièresLes différences de cycles entre les ressources épuisables
(énergie, métaux…) à cycle long et les énergies renouvelables
(produits agricoles…) à cycle plus court, offrent des
opportunités d’investissement réparties dans le temps à
l’intérieur de la classe d’actifs même si la financiarisation
tend à les rapprocher.
De même, les courbes à terme permettent des projections
de hausse et de baisse à horizon d’1 an.
Enfin, comme les matières premières ne produisent pas
de revenus mais dégagent seulement des gains en capital,
l’investissement est d’autant plus pertinent que les taux
réels sont bas.
Investissement sur les matières premières et maîtrise "opérationnelle"L’exposition aux matières premières peut impliquer, dans
une logique d’investissement socialement responsable ISR,
certaines exclusions ou une compensation via des fonds de
partage notamment.
De même, un positionnement long sur cette classe d’actifs
coûte cher et peut générer des déceptions.
A contrario, on peut "gagner" même en étant acheteur lorsque
leurs prix baissent par le roll de contrats à terme.
La liquidité des sous-jacents de réplication synthétique peut
néanmoins poser problème et générer à terme une bulle.
L’achat de futures implique de maîtriser les rolls pour éviter la
livraison physique.
Différents signaux tactiques permettent d’optimiser l’exposition aux matières premières en choisissant celles qui performent le plus, les périodes pour investir…
Enfin, le choix des indices est important. Notre approche
consiste à privilégier ceux qui sont équilibrés sectoriellement
au détriment de ceux qui sont fortement concentrés sur
l’énergie.
Jouer les matières premières au travers des actions Pour ceux qui ne sont pas convaincus, il est toujours possible de
jouer le thème des matières premières de manière indirecte,
au travers des actions, notamment via des paniers sectoriels
ou les pays émergents. Mais le lien fonctionne différemment
selon les périodes et la corrélation avec les pays émergents
est appelée à diminuer avec la diversification du mix-produit
dans ces régions.
WWW.AM.NAtixis.coM / 5
Philippe ZaouatiDirecteur général délégué
Après une introduction de Philippe Zaouati, DGD, directeur du développement de Natixis Asset Management, plusieurs experts de Natixis Asset Management sont intervenus sur la thématique du jour.
Politiques énergétiques : quelle nouvelle donne pour les stratégies d’investissement ?
Quelles sont les tendances à long terme sur les matières premières ?
par Hervé Guez, responsable de la recherche extra-financièreEn 2012 à Brisbane (Australie), la
réunion des experts internationaux
en géologie pourrait acter que
l’on a changé d’ère depuis la
révolution industrielle. En effet,
depuis les années 1800, l’homme a un impact majeur sur
l’environnement.
Outre les progrès techniques, cet impact est aussi de plus
en plus grand en raison de la croissance démographique*
et du nouvel équilibre entre pays développés et émergents.
L’explosion de la demande de matières premières va se
heurter à une offre limitée. Les réserves fossiles et minérales
connues se comptent en décennies, et non en siècles.
Pour en découvrir de nouvelles, il faudra aller toujours plus
loin tout en respectant des normes de sécurité humaine et
environnementale toujours plus contraignantes. Cela signifie
des prix tendanciellement plus élevés.
Peut-on s’attendre à une volatilité importante des commodities dans les années à venir ? par Franck Nicolas, directeur allocation globale et ALMLa volatilité devrait rester élevée
pendant très longtemps car les
prix échappent de plus en plus
au cartel de producteurs. La
volatilité est forte en raison de l’accroissement inéluctable
de la demande liée à l’augmentation de la population et à la
financiarisation des marchés qui amplifient les mouvements
du cycle.
Quelles sont les projections sur les énergies à moyen terme ? par Philippe Waechter, directeur de la recherche économiqueLa dynamique de l'activité des
pays émergents ne sera pas
remise en cause. Cela se traduira par une demande toujours
très forte sur les matières premières. Cette demande
supplémentaire des pays émergents constituera près de
90 % des besoins nouveaux d'énergie au cours des
20 années qui viennent.
Cela représentera à court terme une pression constante
sur les prix de toutes les énergies et rendra, à terme, les
arbitrages sur les énergies renouvelables plus faciles et
moins couteux.
Se posera aussi la question de l'augmentation et du
renouvellement des sites nucléaires en Chine et en Inde
(pour la construction de nouvelles centrales) et dans les pays
industrialisés. Une remise en cause des choix effectués par
le passé se traduirait, à consommation d'énergie constante,
par une hausse significative du prix de l'énergie et une
accélération des émissions de CO2 dans l'atmosphère.
À moyen et long terme, la substitution de ces sources par
des moyens renouvelables est envisageable.
* Depuis 1800, la population a été multipliée par 10 alors qu’elle a seulement doublé dans la période qui a précédé.
N E W s L E t t E r - AV r i L 2 011 / / / At E L i E r N At i x i s A M - PA r i s6 /
Comment appréhender les énergies renouvelables ? par Hervé Guez, responsable de la recherche extra-financièreLa hausse des prix des énergies fossiles, la contrainte carbone
ou encore la sécurité contre les aléas climatiques poussent
au développement des énergies renouvelables. Le solaire
est, à ce jour, la source d’énergie la plus coûteuse mais
aussi la plus prometteuse compte tenu de sa disponibilité et
des efforts de recherche et développement. De façon plus
générale, après une première phase difficile de mise en route,
une seconde phase "d’euphorie", qui a frôlé la bulle, et une
troisième de scepticisme, la remontée des prix de l’énergie
et les incertitudes sur la place du nucléaire dans le mix
mondial, pourrait ouvrir une nouvelle période favorable aux
investissements dans ce secteur.
Quel impact aurait une hausse de l’inflation sur les marchés obligataires ? par Brigitte Le Bris, directeur gestion taux internationaux et devisesL’impact devrait être limité. Il est
déjà partiellement pris en compte
dans les taux longs. La hausse des
prix des matières premières porte
en moyenne à 2 % l’inflation dans les pays développés et à
6 % dans les pays émergents.
On est loin des niveaux du passé. Les banques centrales des
pays émergents ont par ailleurs déjà commencé à réagir :
25 d'entre elles ont augmenté leurs taux. Elles ont ainsi effacé
un tiers du cycle de baisse des taux réalisé depuis la faillite de la
banque Lehman. Pour contenir l’inflation, les pays émergents
peuvent également jouer sur le niveau de leurs devises. La
BCE et la Banque d'Angleterre ont annoncé qu'elles se
préparaient à monter leurs taux : dès avril pour la BCE, en mai
pour la Banque d’Angleterre. Comme la Fed conditionne une
hausse de ses taux à la reprise de la croissance et de l’emploi,
l’augmentation devrait être limitée.
Anticipez-vous une nouvelle montée de l’aversion au risque ? par Emmanuel Bourdeix, directeur gestions actions,
diversifiée et structuréeAvant les événements du Japon,
les marchés anticipaient une
diminution de l’aversion au risque.
Depuis, on assiste à une remontée
qui se nourrit des inquiétudes
sur le nucléaire, sur la situation
au Moyen-Orient, mais aussi des
incertitudes sur les tensions sociales que les plans d’austérité
pourraient faire naître en Grèce, en Irlande ou au Portugal.
À moyen terme, l’abondance des liquidités, la faiblesse des
taux d’intérêt même révisés à la hausse et l’amélioration
des résultats des entreprises suite à la reprise économique,
militent pour un retour à une volatilité moins élevée.
De gauche à droite : Philippe Waechter, directeur de la recherche économique - Franck Nicolas, directeur de l’allocation globale & ALM - Brigitte Le Bris, directeur gestion taux internationaux et devises - Hervé Guez, responsable de la recherche extra-financière - Emmanuel Bourdeix, directeur gestions actions, diversifiée et structurée - Philippe Zaouati, DGD - directeur du développement
WWW.AM.NAtixis.coM / 7
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n en Europe, en partenariat avec H2o Asset Management, société de gestion entrepreneuriale basée à Londres et spécialisée dans la gestion de type global macro multistratégies et la gestion d’obligations internationales et émergentes ;
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Rédiger le 01/04/2011
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