NUNTIA - Novembre 2013 (Français)

8/13/2019 NUNTIA - Novembre 2013 (Franais)

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El EditorEn finissant ce mois de novembre o nous avons clbr la fte de Notre-Dame, nous vous faisons parvenir ce numro de Nuntia. Nous demandons Dieu de nous permettre d'tre fidle comme Marie la vocation laquelle il nouappels. Comme elle, proclamons ses merveilles et rendons lui lhonneur et la gloire, sachant que la Gloire de Dest que ltre humain en particulier le pauvre ait la Vie.

Le Suprieur Gnral

Les activits du mois doctobre

Le 6 Octobre en compagnie des autres membres de la Curie, il a eu

une retraite de prparation au Tempo Forte. Pendant cette journe derflexion, il y eu une rflexion approfondie sur la section de l'identi-t et de la vocation de la CM (articles 1-9 de la constitution) . La r-flexion a t dirige par le P. Javier Alvarez, Vicaire Gnral.

Le 12 et 13 octobre, il s'est rendu Barcelone, accompagn du P.Shijo Postulateur Gnral, pour assister la batification des 522martyrs. Parmi lesquels 14 confrres, 27 Filles de la Charit et unelaque vincencienne .

Du 16 au 20 octobre, la communaut de la Curie avait ses Exercicesspirituels. Elles ont eu lieu dans une maison des Filles de la Charit Fasano (au sud de lItalie). Le thme de la retraite tait Le mys-

tre de l'Incarnation dans la spiritualit vincentienne et fut dirigepar le confrre vque Mgr Luca Brandolini. Aprs la retraite, lacommunaut a visit les confrres qui travaillent Lecce, ainsi quel'glise o fut ordonn Justin de Jacobis. De retour Rome, ils sontpasss par San Fele , village natal de ce dernier , o ils clbrrentune messe prside par Mgr Luca et la participation des fidles lacsdu village . Dans cette clbration taient galement prsents lesconfrres qui travaillent Melfi .

Du 25 au 30 octobre, le Suprieur Gnral, accompagn du Visiteurde la Colombie s'est rendu en Alaska. Ils sy sont rendus pour orga-niser les dtails de la nouvelle mission, o ils assisteront la pasto-rale de plus de trente mille Latino-Amricains travaillant dans cettergion.

Les activits de novembre

Du 31 octobre au 3 novembre, en compagnie des PP. Stanislav Zon-tak, Eli Chaves et Juventino Castillero, il a particip la rencontrede MISEVI des pays d'Europe et du Moyen-Orient qui sest tenueen Slovaquie.


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Le 7 novembre il sest rendu au Panama pour faire la visitecanonique aux confrres de la Province Est des Etats-Unis de

la Rgion du Panama. Il a visit toutes les maisons o il a pudialoguer avec les confrres, visiter les uvres et partager les

diverses activits programmes. Lors de cette visite il a euune rencontre avec tous les confrres de la rgion, au cours delaquelle il a eu l'opportunit d'exprimer sa vision de la Con-grgation, ainsi que les dfis d'aujourd'hui, dans la recherched'une faon meilleure de raliser la Mission dans la Congr-gation. En plus de ces journes partages avec les confrres, ila aussi rencontr d'autres branches de la Famille Vincentien-

ne. Des clbrations eucharistiques typiques panamennes,des runions, des moments de partage faisaient, entre autres,partie de ses activits.

A la fin de la visite, le Suprieur Gnral a eu une runionavec le Conseil International de l'Association de la MdailleMiraculeuse, o parmi d'autres sujets, ils ont planifi l'As-semble Gnrale qui aura lieu en novembre 2014.

De retour Rome, le 23 novembre il a particip une activitde la Famille Vincentienne de la rgion de Lazio, Italie, dans

le cadre de la commmoration de la naissance de FrdricOzanam.

Les 25 et 26 il est all Genova, Italie, avec le Secrtaire g-nral (le P. Turati), pour une rencontre de la Famille Vincen-tienne et une clbration eucharistique. La rencontre et laclbration se sont droules sur le lieu mme o fut la pre-mire fondation de la Congrgation de la Mission en dehorsde la France.

Du 27 au 29 il a particip la runion des Suprieurs Gn-raux, au cours de laquelle ils ont eu une rencontre de troisheures avec le Pape Franois. Le sujet de cette rencontre fut : Comment le Pape Franois m'inspire-t-il et me provoque-t-il dans le service et l'animation de la communaut religieu-se ? .


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Deux Provinces Surs clbrent leur Centenaire.

Centenaire de la Province de Colombie

(Extrait de larticle du P. Carlos Albeiro Velasquez,CM)

Les premiers Lazaristes franais sont arrivs en Co-lombie en 1870. Ils avaient t envoys pour prendreen charge la formation du clerg dans le vaste diocsede Popayan. La Province, qui sappelait Amriquecentrale , tait compose par les maisons de Quito etde Guayaquil (Equateur ) , Popayan ( Nouvelle-Grenade ) , Lima ( Prou ) et du Guatemala.

Le 11 aot 1913, le P. Antoine Fiat rigea la Province dela Colombie, avec P. Jean Floro Bret comme Visiteur.L'origine franaise des premiers missionnaires marcala vie de la province et dtermina son identit propreet son dvouement aux ministres de la Congrgation.Lorsque la province fut cre, sept des dix maisonsqui existaient en Amrique Centrale taient en Co-lombie : Cali, Nataga , Santa Rosa , Tierradentro ,Tunja et deux Popayan ( grands et petits smi-naires ) . Quant au personnel, 30 prtres et neuf frrestaient la base sur laquelle se construisit la vie auto-nome. Par la suite, nous pouvons souligner un certain

nombre de fonctions caractristiques de la province,qui constituent son patrimoine : attention aux voca-tions, le souci de la formation initiale et continue deses membres, la fidlit au charisme exprime dans lesuvres, service aux Filles de la Charit et aux lacsvincentiens, l'ouverture au changement, la projectionecclsiale, la reprsentation dans les institutions, leservice d'autres provinces.

La clbration du centenaire concide avec le cinquan-tenaire du Concile Vatican II, ce qui signifie que la

moiti de notre histoire sest droule au rythme de lanouveaut conciliaire.

Un sicle de prsence dans la vie ecclsiale colom-bienne, contribuant lvanglisation dans notre cha-risme. Comme lavait galement mentionn dans sonpremier article le P. Gustavo Foing, ce pays a t une terre bien constitue pour recevoir lesuvres de la Congrga-tion, Saint Vincent en tout dcision, a voulu prendre possessionde cette terre du pays

Dans le cadre du centenaire, diverses activits ontralises, allant du domaine acadmique jusquau pument festif, en passant par l'essentiel, celui de la revitsation de la vie spirituelle anime par la vocation msionnaire et le service des pauvres. Ces clbrations atteint leur sommet en septembre et ont t enrichiesla prsence du Suprieur Gnral du 21 au 30 septemb

Centenaire de la Province dAmrique Centrale

Le 7 Aot 1913, le Suprieur Gnral, P. Antoine FC. M. fonda la Province d'Amrique Centrale. Le pmier visiteur tait le P. Louis Durou Sure (1913-192qui devint Archevque de Guatemala (1928-1938).

Lvnement a t clbr au sein de l'Assemble Pvinciale de 2013, qui a eu lieu du 14 au 18 octobre cette anne dans la Maison de retraite La Miracleuse, situe au Guatemala. L'Eucharistie fut prsid

par Mgr Rodolfo F. Bobadilla C.M et conclbre paVisiteur, P. Edilberto Lazo, CM, en prsence des cofrres, des sminaristes et des reprsentants de la mille Vincentienne.

Bndictions et flicitations ces deux provinces. QJsus-Christ vanglisateur des pauvres, continue les accompagner par sa grce tout en suscitant bonnes et de nombreuses vocations.


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rythre: un demi-sicle dagonie

Une petite rflexion aprs la visite canonique la Province du SJJ (du 30 octobre au 16 no-

vembre)Zeracristos Yosief, CM, Assistant Gnral

Introduction

Le 3 septembre 2013, travers les chanes de tlvisiondu monde entier, nous avons assist des scnes hor-ribles savoir la mort de 366 rythrens dans la mer deLampedusa. Comme nous nous rappelons tous de laretransmission la tlvision, les morts taient plus,

mais la majorit des 530 malheureux passagers, dont les155 survivants taient Erythrens. Dans le ventre despoissons de la mer Mditerrane, ces derniers cadavresne sont pas les seuls. En fait, dans la dernire dcenniebeaucoup, beaucoup Erythrens inconnus, taient lesinvits d'honneur des poissions de la mer Mditerrane.

Le monde a gard le silence tant quil pouvait, et enfin ,quand les vagues de la cte de la mer Mditerrane ontmen un grand nombre de cadavres de Lampedusa , lemonde a t alarm . Mieux vaut tard que jamais, mais

cette histoire de la perte d'rythrens dans la mer, estune histoire qui se passe depuis des annes. Plusieursfois, en regardant les jeunes Erythrens l'agonie senoyant dans la mer, beaucoup avaient continu dans lesilence, comme si rien ne se passait. Ils ont continu fermer les yeux et la bouche. Comme il avait raisonMartin Luther King quand il disait : Je ne me proc-cupe pas des intentions des mchants et les gens demauvaises intentions , mais du silence de la majori-t , et en particulier de ceux qui sont considrscomme des sages

Tous ces corps que nous avons vu dans des caisses comptables, des corps flottants dans la mer de Lamdusa sont des personnes qui avaient un rve : arriver terre promise, lEurope (pas seulement en Italie, lrve tait aller en Suisse, Sude et Norvge). Et ils lofait : ils ont t enterrs Agrigento, Europe ! Aprs mauvaises nouvelles que les vagues de la Mditerrannous ont apportes sur les ctes de Lampedusa, il juste de se poser la question : quest ce qui se passerythre ? Pourquoi cette exode massive des jeunes Ethrens ? Que se cache-t-il derrire cet exode massCes vagues qui ont port les cadavres, ont aussi empoleurs sacs, photos de famille perdues dans le videquelques cartes didentits, au moins de certains. taient empils sur la plage de Lampedusa. Le plus rieux est que cette mort est extrmement leve : to

les corps de ces jeunes Erythrens, dont les corps svie ont t ramens par les vagues de Lampedusa ont faire beaucoup de sacrifices. Ils ont eu payer becoup dargent pour traverser les frontires dErythreSoudan ou en Ethiopie. Aprs, traverser le dsert libyavec une seconde paye trs chre. La troisime paye,loin moins chre, est celle permettant de traversermer Mditerrane. La quatrime, inconnue, est la mnire datteindre les pays scandinaves partir de lIta(Sude ou Norvge, vue que la Suisse a dcid de ne padmettre les immigrants). Et tout cela cote trs ch

Tout cet effort, par route fatigu, ou sur le dos dun cmeau pour seulement sachever en rien. En quelqumots, on vit malade pour mourir en sant . Ironiqnest-ce pas ?Pendant que lon espre car lespoir est la dernichose qui se perd un jour que les poissions de la mMditerrane sortent de leau pour tmoigner la Viecommencent raconter la souffrance de ces fleurs asches avant le temps, et en leur bas ge, posons-nousquestion : quelles sont les racines de ce mal ? Pourqtous ces jeunes laissent leurs maisons, personnes chr

leur pays ? Pourquoi se perdent-ils avant dans le dsdu Sahara et aprs dans la mer Mditerrane ?


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Le mal que veulent viter les ErythrensLe grand malheur drythre est la perte du patriotisme national.En effet, les Erythrens taient connues pour leur sens aigu diden-tit nationale, que je dirais que cela tait un fanatisme exagr.Aujourdhui, tout est en sens oppos. A partir de la deuxime moi-ti des annes soixante jusquaux annes quatre-vingt du sicle

pass, les Erythrens aprs avoir termins leurs tudes ltranger,quelques-uns dans les meilleures universits comme Harvard(USA) ou Oxford (Angleterre), ne rvaient pas rester dans ces dif-frents pays. Plusieurs dentre eux retournaient dans la rgion duSahel, dans le sige des gurilleros qui luttaient pour lindpen-dance du pays, laissant parfois leurs chairs acadmiques. Aujour-dhui, la situation a totalement chang et cest tout loppos. Pour-quoi ?

Il est certain que larbre pour lesquels les fruits amers et non co-mestibles que lon rcolte aujourdhui fut plant durant la luttepour lindpendance drythre: le communisme non dclar. 95 %des jeunes Erythrens depuis ces moments nont pas eu loccasiondtre duqus. Au milieu et entre les dents, il y a ce petit groupedduqus qui tiennent un grand niveau de manipulation sous lap-parence du nationalisme. Ces dernires annes, le prsident actuelIsayas Afewerki, un homme qui na jamais montr le moindre int-rt pour le bien-tre du pays vit pour lui-mme. Peut-tre avec unplan cach qui reste dcouvrir. Ses origines sont encore objet dedbat, ses racines rythrennes ne sont pas encres. Mais cela au-rait t un mal mineur. Isayas et ses compagnons, depuis les annessoixante-dix, et surtout depuis 1973, a fini par diviser le pays entreles chrtiens et les musulmans ; entre les habitants de altiplano etceux de la valle.

Mais surtout, dans les trois provinces de altiplano, o vivent lamajorit de ceux qui parlent Tigrigna , il a russi les monter les

uns contre les autres, semant la discorde qui les divise entre eux.En rsum, il apprit bien la philosophie de la colonisation : diviseet tu gagneras, mais sans calculer les graves consquences. Ainsi,pendant que sagement la grande majorit dErythrens luttaitpour la cause du pays, payant le lourd prix de leurs vies, la mutila-tion, la dsintgration des familles et le dsquilibre social dupays ; Isayas Afewerki prparait le terrain pour arriver au pouvoir,semant la discorde, apprenant aussi bien larabe que langlais, lesdeux langues nationales. Oui, il avait son propre plan et il y par-vint. Mais les Erythrens taient trop inconscients et innocentspour comprendre ce plan cach.

Aprs lindpendance qui eut lieu le 24 mai 1991, une fois de plus,

ceux qui luttrent pour la cause du pays innocemment, aprs lespremires annes de prparation, partir de 1993 commencrent dire nous avons accompli notre devoir pour librer rythredes forces trangres, maintenant nous allons donner le pou-voir au peuple Par donner corps cette ide, il y eut un bon tra-vail de prparation de terrain : on commena par prparer la Cons-titution du pays, le document standard pour le systme multipar-tiste. Toutes les commissions prsentrent ses travaux acheves auPrsident et taient prts pour annoncs. Mais au lieu de la procla-mation de la Constitution et le Rglement pour le systme multi-partiste, rythre dcida proclamer la guerre contre lthiopie en1998, qui tua plus de personnes que la guerre dindpendance (1961- 1991). Pourquoi ? Personne ne compris la raison. Pour les Ery-threns, on leur dit que le pays tait attaqu par les thiopiens

cause de la frontire pas bien dfinit Badim. Personne ne savaito se trouvait Badim.

Quelques dcennies aprs, on est en condition de comprequelque chose. Badim tait seulement une excuseIsayas et ses pagnons trouvrent vite une excuse pour chapper du pige lequel les intellectuels dErythre les soumettaient : une vie goune par la Constitution et viter la dictature du parti uniquIsayas. Aprs la guerre, la deuxime vague de la guerre avec lthen 2000, ces intellectuels recommencrent leur projet de remettpouvoir au peuple. Mais cette fois-ci, au prix de leur vie. Cerfurent assassins en secret et dautres dans des prisons inconnuaux conditions difficiles, parmi lesquels 11 ex ministres. Par rappces faits, chaque Erythren fait sa propre lecture. Ceci est la lamentable situation. Ils se divisent au lieu de lutter contre lencommun, ils font la politique insense et la guerre pour leur encommun.

Le grand problme est que ce systme politique a sem la mfianpersonne ne croit en personne. Deux Erythrens ne peuvent pasler de politique sans risquer leur vie. Si un essaye de faire un cmentaire, le jour suivant il disparat. Chacun prfre vaquer occupations, videmment en svadant sans partager personn

ment leur projet de vie avec dautre, et peut-tre on peut les voir les champs de Shire ou dans le Shegereab du Soudain. Cest triste

Ces problmes ci-dessus mentionns sont les racines du mal dapays. Un peuple trs proccup et qui souffre. Le peuple Erythcomme un peuple politiquement naissante est gouvern par unegne de corrompus et mal intentionns avec le grand prix de la pde ses jeunes qui viennent tre soit des fleurs qui se fanent dadsert du Sahara soit des invits dhonneur des poissons de la Mterrane. Malheureusement, il y a des milliers de personnes pouquelles personne na parl jusquaujourdhui. Ces 366 corps retrosans vie ramens sur les ctes de Lampedusa sont seulement untite partie de plusieurs jeunes qui perdent leurs vies pour rien enson de la situation suffocante de leur pays. Les montages et les vadrythre ne sont pas inhospitaliers, les jeunes Erythrens sonrecherche de la libert personnelle, parce quils sentent touffs, gs de travailler par force et sans souffle. Ces travaux forcs incluquils font pour leurs dirigeants pour des raisons personnellequelques mots, on fait sentir au jeune Erythren quil est chose et pas un tre humain . Ds les 18 ans jusqu 50 ans, trouvent obligs au service militaire sans limite dge, laissantrire les parents gs, les enfants, les femmes, etc. Ils sont obligtravailler pour les intrts propres des autres, que ce soit les offimilitaires ou le propre prsident. Ils prfrent prendre les risqueSahara et de la mer Mditerrane. Et ils continuent de le faircomme vous pouvez vous imaginer, tout cela les font tomber dadsespoir.

Comme si cela ne suffisait pas, le peuple Erythren souffre aussdsastres naturels. En effet, une socit qui se base sur lagricultule pturage traditionnel, le peu quelle est capable de produire seaffect drastiquement par le manque de pluie. Ainsi, pendant lason des pluies antrieure - qui va davril septembre-, les pluiet trs rares, produisant que la rcolte de cette anne a t pratiment nulle. Une alerte de famine est visible dans les rues dAsmalon rencontre dj beaucoup de famine. Leau potable est et resteproblme trs grave pour la vie. Je lance cet appel toute la FaVincentienne afin que quiconque ayant la possibilit daider lesthrens, le fasse parce que la situation est trs dlicate et vulnrComme le gouvernement ne permet pas laide, je vous prie de le

en silence et sans faire de bruit. Cest possible au travers de la grgation de la Mission ou des Filles de la Charit, qui travaillenplace en rythre.


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Nominationes / Confirmationes

HAILE Tesfamariam 21/11/2013Directeur des FdC Province dErythre

Necrologium

NomenCond

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Dies ob. Prov. Aet. Voc.

CAWLEY Thomas F. Sac 18/10/2013 Occ 83 65

SEIDEL Aldo Sac 10/11/2013 Cur 59 38

SURLAS Mieczysaw Sac 15/11/2013 Pol 82 61

DARRIELULAT Jean-Pierre Sac 29/11/2013 Tol 78 61

Documents

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