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pw> -• - Vingt-troisième Année. — N° 57 Prix dû numéro : 10 centimes, - v •• :'• - , : ' Dimanche 19 Juillet 1908 Bureaux : Rue de la Serre, 58 OGEEE SUISSE ABONNEMENTS Un an Sil mois: Suisse .... Fr.6»— Fr. 3»— Union postale » 12»— » 6»— Les abonnements étrangers se paient d'avance. Paraissant la Jeaôi et le Oluaiene i la Ghaai-ds-Fetcâi On s'abonne a tous les bureaux de poste. ANNON6ES suisses 20et., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne Les annonces se paient d'avance Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels. Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal Bureau des Annonces : HAASENSTEIN & VOGLER, 49, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger La vente. Les rapports avec la clientèle Pour attirer le client, votre première préoccu- pation sera de veiller à votre étalage : une mar- chandise bien présentée est à moitié vendue. N'épargnez pas la lumière ; le public, comme les papillons, la recherche. On ne s'arrête pas devant un magasin mal éclairé, tandis qu'on s'écrase devant les vitrines rutilantes, aux feux savam- ment combinés ; on admire et on entre. Etiquetez vos articles, c'est l'essentiel ; sur dix clients possibles, neuf n'entrent pas parce qu'ils ignorent le prix qu'ils paieront ; ils craignent une grosse exigence de la part du marchand, ils pré- fèrent s'abstenir de demander le prix, plutôt que d'être obligés de se retirer en avouant que c'est trop cher. C'est reconnaître implicitement qu'ils ne sont pas assez riches ; et c'est un aveu que bien peu de gens aiment à faire, même à un étranger. Renseignez donc, le plus possible, le passant, le désoeuvré, la ménagère, qui s'arrêtent à votre vitrine ; qu'ils sachent à l'avance la somme qu'ils doivent débourser ; cela supprime les hésitations et facilite l'entrée de vos magasins. On sait qu'il n'y a pas de surprise à craindre, on s'habitue à votre seuil, on revient chez vous parce qu'on vous connaît déjà. Voici le client dans la place, la partie n'est qu'à demi gagnée; ne le laissez pas s'égarer seul au milieu de vos comptoirs, en quête d'un em- ployé à qui s'adresser. Si vous n'avez pas de commis et que vous soyez occupé avec un autre client, invitez-le à s'asseoir, en vous excusant de le faire attendre. Soyez prompt à servir, vous pouvez avoir à faire à quelqu'un de pressé, que votre lenteur et l'abondance de vos explications irritent. N'imposez jamais vos goûts. Laissez le client libre de ses appréciations, ne le harcelez pas de sollicitations gênantes, dans le but de lui vendre telle marchandise plutôt que telle autre : quand il demnnde un objet en précisant ou une marque ou la forme ou la nuance de cet objet, ne dites pas : «Cela ne se fait plus», «Ce n'est pas la mode», «J'ai quelque chose de meilleur mar- ché», car vous lui décernez ainsi un brevet d'ignorance ou de vulgarité qui est loin do lui plaire. ( Adoptez le prix fixe, afin de ne pas être dans l'obligation de ruser avec l'aclicteur, à l'instar des ménagères au marché. Montez à tous une égale prévenance, quelle que soit la mise des gens ou l'importance de leur acquisition. Celui qui ne vous verse que 50 cen- times aujourd'hui peut 1res bien, demain ou dans huit jours^ faire un achat de 200 francs. Quand l'objet demandé n'existe pas dans vos rayons, manifestez-en le regret, exprimez l'espoir d'être plus heureux une autre fois. Ne marquez pas de mauvaise humeur de votre dérangement. Restez courtois et souriant. Il ne faut pas que le client sorte de chez vous sur une mauvaise im- pression, il ne reviendrai! pas. Et voilà ! ce n'est pas plus compliqué que cela, mais ce n'est pas non plus aussi facile à mettre en pratique qu'on le pense à première vue. Pour s'y habituer, il faut parfois — souvent même — se faire violence, il faut être poli avec les gens grossiers, agréable avec les grincheux, coulant avec les chicaniers, patient avec les indécis, agréable et d'humeur égale avec tous. Une fois l'habitude prise, tout marche à souhuit, et, vous en conviendrez, cela n'a rien de bien terrible. • (Extrait de Commerce el. Industrie.) Ecole de Commerce Extrait du Rapport sur l'année scolaire 1907-1908 /{enseignements généraux •17 Les examens d'admission ont eu lieu le ,. avril. Vingt-cinq candidats ont pu être reçus en première, 2 en deuxième année; 7 candidats ont du être refusés. Les leçons ont commencé le 30 avril. Au commencement de l'année, les classes ont été composées comme suit : I re année . . . II e IIP 1V° 30 élèves 21 » 21 » __5. » 77 élèves, dont 3 Total . . étrangers à la contrée. L'effectif des classes s'est maintenu pendant l'année. Si, de la troisième année, 15 élèves seule- ment ont subi les épreuves finales, cela provient de ce que 1 ont pusse les examens postaux, tous avec succès, et qu'ils ont dû entrer en service quelques jours avant la fin de l'année scolaire; deux autres ont été malades. Programme Conformément à la demande réitérée de MM. les experts, la brancheallorlogerie» estenseignée maintenant en 3 u,e année ; un plus grand nombre d'élèves profilent ainsi de cet enseignement. Ce- pendant, pour éviter le surmenage, nous en dis- pensons les jeunes gens désirant passer à lu (in de l'année les examens d'apprentis poslaux. La question du surmenage, partout à l'ordre du jour, attire aussi notre attention. Nos élèves ont plus de leçons que leurs camarades de la plupart des autres écoles du môme genre. Dans ie public, l'opinion à ce sujet est encore assez partagée. Il en est qui assimilent les écoles pro- fessionnelles à la pratique el qui croient que le nombre d'heures d'études imposées aux élèves peut ôlre à peu près égal à celui des heures de bureau auquel on astreint les apprentis. Cette opinion est évidemment fausse. Elle ne lient pus compte du fuit que l'étude proprement dite, c'est- à-dire le travail théorique, fatigue les nerfs dans une mesure bien plus grande que le travail pra- tique du bureau ou du comptoir. Or, malgré la tournure pratique que les professeurs s'efforcent de donner à leur enseignement, celui des écoles de commerce n'en reste pas moins avant tout théorique. Par conséquent, les normes éloblies pour les gymnases quant au nombre des heures d'enseignement el à la durée des vacances doivent être appliquées également aux écoles de commerce. Sans cela, on pourrait, avec raison, reprocher à ces dernières de débiliter la jeunesse et de favo- riser chez elle la propension aux maladies ner- veuses. Si nous jugeons nécessaire de fixer de ce côté notre manière de voir, nous sommes d'autre part en opposition à certains réformateurs croyant que ce n'est que par des cou pes ruses au programme et au nombre d'heures de leçons que l'on peut empêcher la neurasthénie croissante. Nous estimons que pour une jeunesse de santé normale, l'obligation à un travail régulier et assidu, sous la surveillance d'un pédagogue, môme pendant un assez grand nombre d'heures de la semaine, loin d'être néfaste à la santé, est au contraire un excellent moyen d'éducation. Les jeunes gens s'habituent ainsi aux efiorts suivis el sérieux et apprennent à préférer l'acti- vité utile el ennoblissante à une inactivité souvent dangereuse tant pour le corps que pour l'àme. Tout en appréciunl hautement le travail inlel- lectuel sous la surveillance du maître, nous ne voulons cependant pas oublier que la jeunesse a besoin d'exercices corporels et de mouvement ci plein air et qu'il faut lui donner l'occasion de montrer sa propre initiative au travail. Si nous encourageons nos jeunes gens à culti- ver la santé du corps, il faut qu'ils en trouvent le temps entre les leçons et les heures passées à" fuire les devoirs. Aussi la question du surmenage . se pose-l-elle chez nous sous la forme des taches. Nous estimons qu'on ne peut pas supprimer les taches, mais qu'il n'y a qu'à gagner en les limitant. Sans cela, l'ampleur du programme et le désir de passer de bons examens poussent les professeurs à charger les élèves pour chaque branche, de telle sorte que ces derniers ont eiL tout pour trois heures et plus de travail par jour, à la maison. Il est clair que c'est trop. Une ré- duction des lâches est nécessaire, non seulement • pour la santé des élèves, mais encore pour leur permettre de rendre quelques menus servicesaux parents et enfin'pour leur procurer l'occasion de s'exercer au travail individuel. Du reste, l'Ecole n'y perdra rien ou très peu. L'expérience a prouvé que l'ensemble de la classe avance bien plus rapidement et plus uniformé- ment par le travail pendant les leçons que par les tâches. Ce sera d'autant plus le cas, si l'élève n'est pas fatigué par les devoirs. El si, malgré celo, la récitation par les élèves est un peu moins brillante, ce n'est pas un mal. Car il ne faut pus

OGEEE - doc.rero.chdoc.rero.ch/record/19459/files/19080719.pdfpw> • -• • - Vingt-troisième Année. — N° 57 Prix dû numéro : 10 centimes, - • v •• :'• - Dimanche

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Vingt-troisième Année. — N° 57

Prix dû numéro : 10 centimes,

- • v ••

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Dimanche 19 Juillet 1908

Bureaux : Rue de la Serre , 58

OGEEE SUISSE

ABONNEMENTS Un an Sil mois:

Suisse . . . . Fr.6»— Fr. 3»— Union postale » 12»— » 6»—

Les abonnements étrangers se paient d'avance.

Paraissant la Jeaôi et le Oluaiene i la Ghaai-ds-Fetcâi On s'abonne a tous les bureaux de poste.

A N N O N 6 E S suisses 20et., offres et demandes

de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

Les annonces se paient d'avance

Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats professionnels.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal

Bureau des Annonces : HAASENSTEIN & VOGLER, 49, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

La vente. Les rapports avec la clientèle

Pour attirer le client, votre première préoccu­pation sera de veiller à votre étalage : une mar­chandise bien présentée est à moitié vendue. N'épargnez pas la lumière ; le public, comme les papillons, la recherche. On ne s'arrête pas devant un magasin mal éclairé, tandis qu'on s'écrase devant les vitrines rutilantes, aux feux savam­ment combinés ; on admire et on entre.

Etiquetez vos articles, c'est l'essentiel ; sur dix clients possibles, neuf n'entrent pas parce qu'ils ignorent le prix qu'ils paieront ; ils craignent une grosse exigence de la part du marchand, ils pré­fèrent s'abstenir de demander le prix, plutôt que d'être obligés de se retirer en avouant que c'est trop cher. C'est reconnaître implicitement qu'ils ne sont pas assez riches ; et c'est un aveu que bien peu de gens aiment à faire, même à un étranger.

Renseignez donc, le plus possible, le passant, le désœuvré, la ménagère, qui s'arrêtent à votre vitrine ; qu'ils sachent à l'avance la somme qu'ils doivent débourser ; cela supprime les hésitations et facilite l'entrée de vos magasins. On sait qu'il n'y a pas de surprise à craindre, on s'habitue à votre seuil, on revient chez vous parce qu'on vous connaît déjà.

Voici le client dans la place, la partie n'est qu'à demi gagnée; ne le laissez pas s'égarer seul au milieu de vos comptoirs, en quête d'un em­ployé à qui s'adresser. Si vous n'avez pas de commis et que vous soyez occupé avec un autre client, invitez-le à s'asseoir, en vous excusant de le faire attendre. Soyez prompt à servir, vous pouvez avoir à faire à quelqu'un de pressé, que votre lenteur et l'abondance de vos explications irritent.

N'imposez jamais vos goûts. Laissez le client libre de ses appréciations, ne le harcelez pas de sollicitations gênantes, dans le but de lui vendre telle marchandise plutôt que telle autre : quand il demnnde un objet en précisant ou une marque ou la forme ou la nuance de cet objet, ne dites pas : «Cela ne se fait plus», «Ce n'est pas la mode», «J 'a i quelque chose de meilleur mar­ché», car vous lui décernez ainsi un brevet d'ignorance ou de vulgarité qui est loin do lui plaire. ( Adoptez le prix fixe, afin de ne pas être dans

l'obligation de ruser avec l'aclicteur, à l'instar des ménagères au marché.

Montez à tous une égale prévenance, quelle que soit la mise des gens ou l'importance de leur acquisition. Celui qui ne vous verse que 50 cen­times aujourd'hui peut 1res bien, demain ou dans huit jours^ faire un achat de 200 francs.

Quand l'objet demandé n'existe pas dans vos rayons, manifestez-en le regret, exprimez l'espoir d'être plus heureux une autre fois. Ne marquez pas de mauvaise humeur de votre dérangement. Restez courtois et souriant. Il ne faut pas que le

client sorte de chez vous sur une mauvaise im­pression, il ne reviendrai! pas.

Et voilà ! ce n'est pas plus compliqué que cela, mais ce n'est pas non plus aussi facile à mettre en pratique qu'on le pense à première vue. Pour s'y habituer, il faut parfois — souvent même — se faire violence, il faut être poli avec les gens grossiers, agréable avec les grincheux, coulant avec les chicaniers, patient avec les indécis, agréable et d'humeur égale avec tous. Une fois l'habitude prise, tout marche à souhuit, et, vous en conviendrez, cela n'a rien de bien terrible. •

(Extrait de Commerce el. Industrie.)

Ecole de Commerce E x t r a i t d u R a p p o r t s u r l ' a n n é e s c o l a i r e

1 9 0 7 - 1 9 0 8

/{enseignements généraux •17 Les examens d'admission ont eu lieu le , .

avril. Vingt-cinq candidats ont pu être reçus en première, 2 en deuxième année; 7 candidats ont du être refusés.

Les leçons ont commencé le 30 av r i l . Au commencement de l'année, les classes ont

été composées comme suit : Ire année . . .

IIe

I IP 1V°

30 élèves 21 » 21 »

__5. »

77 élèves, dont 3 Total . . étrangers à la contrée.

L'effectif des classes s'est maintenu pendant l'année. Si, de la troisième année, 15 élèves seule­ment ont subi les épreuves finales, cela provient de ce que 1 ont pusse les examens postaux, tous avec succès, et qu'ils ont dû entrer en service quelques jours avant la fin de l'année scolaire; deux autres ont été malades.

Programme Conformément à la demande réitérée de MM.

les experts, la brancheallorlogerie» estenseignée maintenant en 3u,e année ; un plus grand nombre d'élèves profilent ainsi de cet enseignement. Ce­pendant, pour éviter le surmenage, nous en dis­pensons les jeunes gens désirant passer à lu (in de l'année les examens d'apprentis poslaux.

La question du surmenage, partout à l'ordre du jour, attire aussi notre attention. Nos élèves ont plus de leçons que leurs camarades de la plupart des autres écoles du môme genre. Dans ie public, l'opinion à ce sujet est encore assez partagée. Il en est qui assimilent les écoles pro­fessionnelles à la pratique el qui croient que le nombre d'heures d'études imposées aux élèves peut ôlre à peu près égal à celui des heures de bureau auquel on astreint les apprentis. Cette opinion est évidemment fausse. Elle ne lient pus compte du fuit que l'étude proprement dite, c'est-à-dire le travail théorique, fatigue les nerfs dans

une mesure bien plus grande que le travail pra­tique du bureau ou du comptoir. Or, malgré la tournure pratique que les professeurs s'efforcent de donner à leur enseignement, celui des écoles de commerce n'en reste pas moins avant tout théorique. Par conséquent, les normes éloblies pour les gymnases quant au nombre des heures d'enseignement el à la durée des vacances doivent être appliquées également aux écoles de commerce. Sans cela, on pourrait, avec raison, reprocher à ces dernières de débiliter la jeunesse et de favo­riser chez elle la propension aux maladies ner­veuses.

Si nous jugeons nécessaire de fixer de ce côté notre manière de voir, nous sommes d'autre part en opposition à certains réformateurs croyant que ce n'est que par des cou pes ruses au programme et au nombre d'heures de leçons que l'on peut empêcher la neurasthénie croissante.

Nous estimons que pour une jeunesse de santé normale, l'obligation à un travail régulier et assidu, sous la surveillance d'un pédagogue, môme pendant un assez grand nombre d'heures de la semaine, loin d'être néfaste à la santé, est au contraire un excellent moyen d'éducation. Les jeunes gens s'habituent ainsi aux efiorts suivis el sérieux et apprennent à préférer l'acti­vité utile el ennoblissante à une inactivité souvent dangereuse tant pour le corps que pour l'àme.

Tout en appréciunl hautement le travail inlel-lectuel sous la surveillance du maître, nous ne voulons cependant pas oublier que la jeunesse a besoin d'exercices corporels et de mouvement c i plein air et qu'il faut lui donner l'occasion de montrer sa propre initiative au travail.

Si nous encourageons nos jeunes gens à culti­ver la santé du corps, il faut qu'ils en trouvent le temps entre les leçons et les heures passées à" fuire les devoirs. Aussi la question du surmenage . se pose-l-elle chez nous sous la forme des taches.

Nous estimons qu'on ne peut pas supprimer les taches, mais qu'il n'y a qu'à gagner en les limitant. Sans cela, l'ampleur du programme et le désir de passer de bons examens poussent les professeurs à charger les élèves pour chaque branche, de telle sorte que ces derniers ont eiL tout pour trois heures et plus de travail par jour, à la maison. Il est clair que c'est trop. Une ré­duction des lâches est nécessaire, non seulement • pour la santé des élèves, mais encore pour leur permettre de rendre quelques menus servicesaux parents et enfin'pour leur procurer l'occasion de s'exercer au travail individuel.

Du reste, l'Ecole n'y perdra rien ou très peu. L'expérience a prouvé que l'ensemble de la classe avance bien plus rapidement et plus uniformé­ment par le travail pendant les leçons que par les tâches. Ce sera d'autant plus le cas, si l'élève n'est pas fatigué par les devoirs. El si, malgré celo, la récitation par les élèves est un peu moins brillante, ce n'est pas un mal. Car il ne faut pus

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428 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

oublier que le but de l'Ecole est plutôt de déve­lopper le jugement que les seules connaissances concrètes.

Pour contrôler les lèches, un élève conscien­cieux de cliaque classe est chargé dès ce prin­temps d'indiquer dans un livre ad hoc le nombre de minutes employées à toute tache. Ln mesure a déjà eu de très bons effets. La question des devoirs ne se présentera plus si cliaque professeur veut bien s'en tenir aux normes fixées d'un com­mun accord.

Enseignement commercial aux jeunes filles

Celle queslion a occupé la Commission depuis plusieurs années. Au début, on pensait créer des dusses spéciales pour les jeunes filles. Mais au cours de notre élude, nous sommes arrivés à la conviction que la question peut être solutionnée d'une façon tout à fait satisfaisante en même temps que très rapide par la création d'un en­seignement mixte.

A nos yeux, l'enseignement mixte présente les grands avantages suivants:

1. Il peut-être introduit facilement, sans avoir pour effet d'augmenter considérablement le bud­get d'une Ecole, le nombre des classes restant le même ou à peu prés.

2. Loin d'exercer une influence fâcheuse sur le travail ou lu discipline des jeunes gens, il con­stitue au contraire en excellent stimulant pour les garçons et les filles. La pédagogie moderne, se basant sur les expériences faites dans presque tous les pays, enseigne qu'au point de vue moral, la réunion des deux sexes dans les mêmes classes ne peut avoir, qu'une influence bienfaisante. Il est inc intestable, en effet, que par le travail en commun, garçons et filles acquièrent les uns vis-à-vis des autres des idées plus exactes et plus saines que s'ils ne se voient que dans la rue et les salons.

3. Le régime économiqus actuel oblige quantité déjeunes filles à chercher des emplois rétribués hors de la maison. De préférence, c'est la carrière commerciale qu'elles embrassent. Jusqu'ici, une culture commerciale nulle ou absolument insuffi­sante ne leur a permis de remplir que des postes inférieurs, cl même dans le cas où elles sont arri­vées à des positions plus élevées, elles se sont con­tentées, soit de plein gré, soit par nécessité, de sa­laires pour ainsi dire dérisoires, faisant ainsi à leurs collègues masculins, une concurrence néfaste. Il est hors de doute qu'un enseignement commer­cial aux jeunes filles aura pour effet d'améliorer dans une large mesure ce fâcheux état de choses. Or, le but poursuivi sera d'autant mieu?: atteint que l'on s'efforcera de donner aux futurs com­merçants des deux sexes une culture plus équi­valente, tout en leur fournissant l'occasion d'ap­prendre à mieux se connaître par des éludes en commun.

Rapports sur les examens d'avril igo8.

Les avis sont parlagés sur la valeur des exa­mens annuels. Nous trouvons qu'ils forment un heureux stimulant pour les élèves et que l'obli­gation de revoir et de posséder le programme d'une année enliére contiibue dans une large mesure à fixer et à approfondir les connaissances acquises.

Mais ils présentent aussi cerlains dangers. La tentation existe, soit de surmener les élèves, soit de ne répéter qu'une partie du programme. Dans les deux cas, les examens perdent leur valeur et sont plus nuisibles qu'utiles.

Pour éviter ces dangers, ils nous semble bon de poser les règles suivantes:

i l l faul, pour truie branche, prendre le pro­gramme entier traité pendant l'année, mais on peut laisser de coté les détails, surtout ceux de pure mémoire, pour s'attacher d'autant plus aux grands traits ouvrant l'horizon en agrandissant la culture générale des élèves.

2. Les répétitions doivent commencer suffisam­ment lot pour qu'il ne soit pas nécessaire, avant les examens, de donner beaucoup de plus de de­voirs que pendant l'année.

. 3 . Il serait désirable que les experts s'atta­chassent moins à un débit plus ou moins brillant des choses apprises qu'à la logique du raisonne­ment des élèves.

4. !1 faut tenir compte du fait que précisément le meilleur enseignement — celui qui développe le jugement — n'a pas toujours pour effet ce qu'on appelle «un bel examen» .

5. Pour pouvoir apprécier l'enseignement à sa jusie valeur, il ne suffît pas d'assister aux exa­mens, il est nécessaire aussi de procéder à des visites de classes pendant l'année.

Nous avons constaté que l'examen"oral se fai­sant en même temps cl dans le même local que l'examen écrit, gène souvent ce dernier. Autant que possible, il faudra donc à l'avenir séparer les deux examens. MM. les experts en particulier salueront avec plaisir celle mesure qui allégera quelque peu la tache souvent très pénible qu'ils assument.

Au reste, l'impression générale qu'ont laissé les examens est très bonne. On sent à peu prés partout qu'on a beaucoup travaillé pendant l'an­née ; les professeurs se dévouent à l'école et ont un enseignement vivant le captivant. Ils arrivent à de beaux résultats avec la plupart des élèves, qui sont disciplinés, presque tous attachés à l'école et d'un esprit sérieux et travailleur.

S'il y a quelques points à critiquer, ce sont les suivants :

1 . L'écriture doit être l'objet de plus d'attention. On ne saurait trop insister sur son importance pour un commerçant. Nous prions tous les pro­fesseurs de toutes les branches de n'accepter que travaux bien écrits et proprement exécutés. Ce n'est qu'ainsi qu'on arrive dés le commencement à habituer les élèves à travailler comme 11 faut.

2. Dans certaines branches les élèves annotent leurs livres. Les professeurs doivent interdire celle pratique qui gale la valeur des volumes en queslion et empêche un examen sérieux des connaissances de l'élève, s'il doit travaillera livre ouvert.

3. Les élèves ont encore trop la tendance à apprendre par cœur au lieu de saisir le sujet par le raisonnement.

Idée britannique: La réforme de l'heure.

L a C o m m i s s i o n p a r l e m e n t a i r e chargée d ' é tud i e r le p ro je t de loi de M. Wi l l e l t su r la ques l i on d ' avance r les hor loges , p e n d u l e s et m o n t r e s d u R o y a u m e - U n i d ' u n e h e u r e , du mois de d 'avri l au mo i s de s e p t e m b r e a fait un r a p p o r t favorable à la p ropos i t i on . Il para i t toutefois p e u p r o b a b l e qu 'e l l e pu i s se ê t re p r i se ön cons idé ra t i on cet é té . L e b u t de cel te jpropos i f ion es t de per­m e t t r e au publ ic de bénéficier de la l umiè re du j o u r . L e t ro i s ième d i m a n c h e du mo i s d 'avr i l , à d e u x h e u r e s d u mat in on avan­cerai t les ho r loges d ' u n e h e u r e et o n les reculera i t d ' u n e h e u r e le t ro i s i ème d i m a n c h e de s e p t e m b r e à la m ê m e h e u r e . O n se lève­rait ainsi une heu re p lus tôt sans s 'en dou te r , cl l 'on qu i t t e ra i t son Iravail u n e h e u r e p lus tôt. Ce pro je t p e r m e l t r a i t à tous d e prof i ler de la lumiè re du j o u r cl de p o u v o i r faire des p r o m e n a d e s ou se l ivrer à des s p o r t s u n e h e u r e p l u s tôt. L e proje t p r é ­sen te d e s difficultés, s u r t o u t en ce qu i c o n c e r n e le Iralic et les r e l a t ions avec l ' é t ranger . Mais les légis la teurs p e n s e n t q u ' u n e ré fo rme qu i a idera i t au d é v e l o p p e ­m e n t p h y s i q u e de la na t ion mér i t e q u ' o n l 'essaye.

Dessin et enseignement professionnel

L'Union suisse des maîtres de dessin et d'en­seignement professionnel, qui à joué en Suisse un role prépondérant pour l'amélioration de l'en­seignement industriel et professionnel tiendra, le 19 et20 juillet, son assemblée général dans la pit­toresque ville de Slans. Celte fête, où la Confédé­ration et bon nombre de gouvernements canto­naux sont représentés, promet d'être très fré­quentée. Les menbres du corps enseignant dans les écoles et cours professionnels sont tout par­ticulièrement invités à y assister.

Desrapporls 1res in léressants y seront présentés sur Les corrections dans .l'enseignement du dessin cl sur les occupations accessoires privées d'un maître d'enseignement profes­sionnel.

Nous engageons vivement les intéressés à pro­filer de cette circonstance pour entrer dans celte société à la participation de laquelle sont atta­chés de nombreux avantages. Il suffit, pour cela, de s'adresser directement à M. Léon Genoud, président de l'Union à Fribourg.

Les télégrammes urgents

En exécution d'une récente dêcision'des Cham­bres, Je Conseil fédéral a pris l'arrêté que voici concernant les télégrammes urgents :

L'expéditeur d'un télégramme privé peut obte­nir pour ce télégrame la priorité de transmission et de remise à destination sur les télégrammes privés ordinaires, en inscrivant avant l'adresse la mention «urgent» ou « D » en abrégé, soumise à la taxe, et en payant le triple de la taxe d'un té­légramme ordinaire de même longueur.

L'expédileur qui veut affranchir une réponse urgente doit inscrire avant l'adresse la mention « réponse urgente payée » (RPD en abrégé), com­plétée éventuellement par l'adjonction du nombre de mots, et acquitter la taxe correspondante d'un télégramme urgent de même nombre de mots,

Lorsque l'expéditeur veut affranchir une ré­ponse urgente illimitée, il fait un dépôt d'arrhes, dont le montant est fixé par le bureau de consi­gnation ; l'excédent lui est remboursé après l'ar­rivée de la réponse.

Dans ces cas est transmise dans le préambule de la réponse la mention « D franco à n° ... », franche de taxe.

Les mentions « réponse urgente payée» (RPD en abrégé) ou a réponse urgente illimitée payée» sont soumises à la taxe.

La priorité de tranmission et de remise au des-tinateur peut être obtenue pour un accusé de ré­ception, si l'expéditeur paie pour cet accusé de réception, le triple de la taxe d'un télégramme de quinze mots. -~~- .-.

Les télégrammes avec accusé de réception ur­gent doivent contenir, avant l'adresse, la mention «Accusé de réception urgent» (CRD en abrégé).

Cette indication est taxée. . L'accusé de réception est transmis avec la men-

lion « urgents » (ou D en abrégée). L'expéditeur qui demande l'urgence pour un

télégramme recommandé et pour son accusé de réception doit payer la taxe triple d'un télé­gramme recommandé ordinaire.

La laxe d'un télégramme urgent avec collalion-nemenl (TCD) se compose du triple de la taxe d'un télégramme ordinaire de même longueur et de la moitié de la taxe simple du télégramme.

Dans le service intsrnational, l'échange de té­légramme privés urgents avec les pays qui ad­mettent celle catégorie de télégrammes se fait conformément aux dispositions du règlement in­ternational.

Les présentes prescriptions entreront en vi­gueur le 1er août 1908.

Socialisme appliqué

Fais ce que je dis et non ce que je fais: voilà ce que certaines collectivités socialistes pour­raient inscrire sur leur drapeau. Et cela ne ferait pas trop mal à côlé des fameux trois-huit que l'on voit figurer dans les cortèges du 1er mai. La Société de consommation de Rorschach vient en­core d'en fournir la preuve, et la chose vaut vrai­ment la peine d'être contée.

S'il faut en croire une correspondance adres­sée au « Bund», un ouvrier aurait pris la parole à la dernière assemblée générale de cette société, et aurait posé au président la question suivante;

« Est-il vrai que les ouvriers de la Boulangerie sociale sont tenus de travailler douze heures par jour?»

Le président n'étant pas à même de donner le renseignement demandé, le chef-ouvrier de celle extraordinaire boulangerie sociale s'est levé et a déclaré que le fait était exact. Les ouvriers bou­langers travaillent non seulement douze heures

'par jour, mais quinze, et cela est nécessaire pour venir à boul du Iravail. Si l'on voulait réduire le nombre des heures de travail, a dit l'orateur, il faudrait me donner quatre ou cinq ouvriers de plus.

Le piquant de l'histoire est que M. Jean Huber, l'avocat socialiste bien connu, qui ne perd jamais une occasion de tomber sur les exploiteurs bour­geois, s'est tiré d'affaire en déclarant qu'il n'avait jamais eu connaissance de ce fait. Pourtant, c'est lui qui préside la société. Que diraient les jour­naux socialistes si M. Huber était bourgeois?

Je laisse au «Bund» la responsabilité de son information : mais, si celle-ci est exacte, il faut convenir à tout le moins que les trois-huit ne sont pas pris au sérieux à Rorschach, et que M. Huber est assez mal venu à critiquer l'orga-nisolion bourgeoise du travail. Elle prouverait ensuite qu'entre la théorie et la pratique, il y a

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 429

tout un abîme* et que, mis au pied du mur, les théoriciens font comme les autres. Quand il s'a­git d'autrui, ce n'est jamais assez ; quand il s'agit de soi! c'est toujours trop. Il e s t a espérer que la presse socialiste né va pas perdre une si belle occasion de partir en guerre contre les pratiques de la Société.de consommation de Rorschach ; elle peut même compter sur l'appui de la presse dite bourgeoise.'

Le commerce extérieur du Japon

Du 1er janvier au 30 avril 1908 les échanges extérieurs japonais ont accusé, avec un chiffre total de 720.280.600 fr., un déficit de 40.757.000 francs comparativement à la même période de l'excercice précédent. Les importations se sont élevées à 451.846.000 francs, en progrès de 14.319.000 francs. Les exportations ont sensible­ment Héchi ; abaissées à 268 millions 435.000 fr., elles sont restées inférieures de 55 millions, en chiffres ronds, au bilan de 1907. Il y a diminu­tion sérieuse pour les fils de coton, les soies et les cuivres. L'acroissemenl des importations est dû aux substances alimentaires, aux tourteaux, aux fers et aciers et aux machines et mécaniques.

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Etats-Unis d'Amérique.

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Nouvelles diverses

Les lois sur le travail en Australie. — Il y a quelque temps il avait été question d'un essai curieux de législation ouvrière. L'Etal devait nommer trois commissaires chargés de décider de quelle façon étaient traités les ouvriers em­ployés dans une industrie quelconque et de récompenser ou de punir le propriétaire; ces fonctionnaires devaient utiliser le tarif à cet effet. Voici comment. Sur (oui article sujet à un impôt ou droit d'entrée, une surtaxe égale à la moitié du droit d'entrée devait être mise ; puis les maisons qui satisfaisaient les commissaires sur les ques­tions de salaires, les conditions du travail ob­tenaient une remise de la sur taxe; celles qui ne recevaient pas l'approbation des commissaires devaient payer la surtaxe. Le Conseil d'Etat a décidé que cette prétention de l'Etal était illégale, mais le gouvernement a l'intention de l'appliquer quand même, sous une forme ou sous une autre.

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un stage de trois années, correspondant en français, anglais, italien et espagnol, bon dactylographe, possédant les meil­leures références, cherche emploi dans maison sérieuse où il aurait les chances d'avenir. P r é t e n t i o n s m o d e s t e s p o u r le d é b u t .

Faire offres sous chiffres W 2 4 4 4 C à H a a s e n s t e i n & V o g l e r , La C h a u x - d e - F o n d s . 2141

VEHTE AUX ENCHERES PUBLIQUES

Le l u n d i 2 0 j u i l l e t 1908, dès 2 heures du soir, il sera procédé, r u e L e o p o l d R o b e r t 132, par les soins du Greffe de la Justice de Paix, à la vente aux enchères de l'outillage suivant :

1. Atelier de découpage de roues d'ancre se composant de : 5 balanciers et accessoires, cisailles, la­minoir, tour de mécanicien avec accessoires, tours lapidai­res, petits tours d'horloger, machines à fraiser, compas aux engrenages, grande meule, établis et peaux pour monteurs de boites, étampes de roues d'ancre nos 4 à 16, etc.

2. Atelier de charpentierà ,'usian9deUsierienîsodèles

se composant de : grandes et petites varlopes, rabots, échop­pes, perçoirs, équerres, chassis, marteaux, grandes et petites scies, etc.

3. Meubles de bureau comprenant : bureau ancien, fauteuils, chaises, table, presse à copier, buffet à deux corps, etc.

La vente aura lieu au comptant. Pour visiter l'outillage et pour tous renseignements,

s'adresser Etude TELL PERR1N, D r en droit et avocat, rue Leopold Robert 42.

La Chaux-de-Fonds, le 14 juillet 1908. Le Greffier de paix,

H11398C 2153 G. H e n r i o u d .

i de li l ies!! Mécanicien

actif, bon organisateur, habi­tué à diriger personnel (100-120 ouvriers) et à suivre fa­brication est demanda par fa­brique du Jura. Traitement initial 250 à 300 francs, tan­tième.

Références de 1er ordre exi­gées.

Adresser offres sous chiffres E 6915 C à H a a s e n s t e i n & V o g l e r , La C h a u x - d e -F o n d s . 2154

Pour cause d'agrandisse­ments, à vendre à de favora­bles conditions, en bon état, divers organes de transmis­sion : 2124

P o u l i e s , P a l i e r s , A r b r e s , M a n c h o n s , etc. diamètre des arbres 35 et 45""".

S'adresser s. chiffres M 6842 C à H a a s e n s t e i n & V o g l e r , La C h a u x - d e - F o n d s .

Commis d e f a b r i c a t i o n

marié, 30 ans, bien expéri­menté pour tous genres de pièces, connaissant la compta­bilité, correspondance et ma­chine à écrire, cherche place stable, pour tout de suite ou époque à convenir.

Certificats et références de premier ordre à disposition.

Ecrire sous chiffres D 2490 C à Haasenstein & Vogler, La Chaux-de-Fonds. 2150

5REVET5 D'INVENTION MARQUES DE FABR!0UE.-DE5S1!<5.M0DÊL£5. omet ointKAi.iOHDC m issa IA CHAUXDI fON35.

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50 cart, montres 19 lignes arg. gaj. remontoir, ainsi que 60 cartons remontoir argent, cy­lindre, 18 lig., genre Hollande.

Ecrire s. P 2415 C à Haasenstein & Vogler, La Chaux-de-Fonds. 2134

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Fabrique de 00 ouvriers sans successeur cherche

Jeune horloger pouvant s'intéresser financièrement pour une nouvelle montre de vente facile et à qui on pour­rait éventuellement remettre la suite de fabrication.

Affaire avantageuse. Ecrire sous chiffres E 24347 L

à l'agence H a a s e n s t e i n & V o g l e r , L a u s a n n e . 2123

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La Chaux-de-Fonds Daniel JeanRichard, 13 1829.

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