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91* Année DIX CENTIMES — Le IS* 9. — DIX CENTIMES ar»*’ t Dimanche zy février 1910. JO U R N A L D E S E N L IS Paraissant le Dimanche ,p^antt ia-^urée de Ti jguirre. DE L’OISE Directeur-Gérant : E. LANCIAUX D» an... •2E mois,. cJf.nliî* ''Jlat. B lr 4 lr < j iM ra t-i i-a jb' isi i’ O n « ab. nnr aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste, - L’abonnement est payable d’avance et contint* de plein droit jusqu’à réception d’avis contraire. Aep Mtr b tr JLetr Abonnement» otintent <&# %* ot* ïi> 1&> < r i^f chaque mois. BUREAUX, RÉDACTlOr?1 ADMINISTRATION 11, Place de MlIôiel-de-Ville, 11 - S KIV 1,1S T JÊ & l ^ ï O H dd II' 4 SEKTÏalS Les manuscrits, insérésfou non, ne sont pas rendus s Sens de l’Emprunt Sur le succès de notre emprunt, nous allons mesurer nos propres forces et les faire mesurer aussi par l’étranger. C’est dire la grosse partie que nous jouons. Nous jouons la paix intérieure que des difficultés financières trop prolongées pour raient arriver à compromettre, et nous jouons encore notre crédit exté rieur qui dépend maintenant de l’idée que le monde se fera de nos riches ses. Certes, personne, chez nos alliés surtout, ne do«te de la fortune de la France, ni de sa capacité de relève ment ; la confiance générale dans l’avenir économique de notre pays est intacte et profonde. On ne doute — il faut avoir le courage de nous l’avouer — que de notre volonté et de notre puissance d’initiative dans le moment présent. On nous voit tâtonner, hésitants devant les sacri fices nécessaires et un solide systè me d’impôts. Nous donnons au mon de, suivant une de nos pires manies, une impression favorable de nous- mêmes par l’âpreté de nos critiques et le spectacle de divisions plus appa rentes que réelles. Telle est, avec les égoïsmes nationaux, la cause princi pale des résistances que nous ren controns un peu partout pour une collaboration financière. Le moyen de les vaincre se trouve dans la vieille formule de la sagesse humaine : « Aide-toi ! » Comptons sur nous d’abord ; prenons sur nous notre point d’appui et ne le cher chons pas au dehors. Prouvons notre valeur. Nous avons contraint nos adversaires à la reconnaître. Suppo sons-nous que nous aurons plus de peine avec nos amis ? L’emprunt nous en fournit l’occa sion. Il nous la fournit à une heure décisive et propice en même temps, quand les élections ont fixé la politi que Française, quand la souplesse et l’éclat de la transmission des pou voirs viennent de montrer une fois de plus la vitalité du régime. C’est pourquoi le succès de l’em prunt est d’une importance extraor dinaire. Il contient tout notre crédit futur ; il sera le signal d’une phase brillante de la prospérité française. Alfred CAPUS, de Y Académie Française. L’Emprunt de la Paix Un appel de S. G. Mgr l’Evêque de Beauvais Le Bulletin Religieux publie l’Appel des Cardinaux français, en faveur de l’Emprunt, appel que S. G. Mgr l’Evèque de Beauvais, recommande chaleureuse ment en ces termes : « Nous nous permutons de joindre à l’appel des cardinaux français notre pres sante invitation personnelle. « Nos catholiques de l’Oise rempli ront. Nous en sommes convaincu, leur devoir patriotique avec le même empres sement qu’aux précédents emprunts. « Nous prions MM les Curés de lire en chaire l’appel des Cardinaux français et de mettre, avec leur dévouement habi tuel, leur autorité et leur influence au service des organisations qui feraient appel à leur conconrs. » f EUGÈNE, Evêque de Beauvais, Noyon et Sentis. Qui garde son argent impro duetif, laisse son champ en friche. Qui place son argent, ense mence son champ et récolte. Qui place son argent dans l’Emprunt, non seulement sème et récolte, mais encore fume son champ et en augmente la va leur de moitié, puisqu’un titre *le lOO francs sera remboursé à 150 francs. QUE PRÉFÉREZ-VOUS ? I^os H ep fésen tan ts Au Sénat. M. Léon Roland, vice-président de la Société des Agriculteurs de l’Oise, fait partie de la Commission de l’Agriculture. Or, cette Commission, qui vient de nom mer son bureau, l’a désigné comme secré taire. DÉP11 RTE|BE|ÎT Conseil Général (suite) Le rélèvement du tarif des chemins de ftr départementaux. Le Conseil général s’est réuni aujour d’hui à “2 heures, en séance extraordinaire, [ our délibérer sur la question du rélève meut du tarif des chemins de fer d ‘partementaux : Hermes Beaiimont,Méi u L bosse, Estié* s Saint-Deais Fi oissy Cre- vecœur, Mitly Formerie, Noyon-Guiscard- Lassigny. La Compagnie des chemins de fer dé partementaux dont les frais généraux, comme partout, se sont accrus, demande que le prix des transports soit porté de de 25 à 100 0/0. Elle se propose d’acquérir dp, matériel pour 1 million, afin de pouvoir aecroîire son trafic. La Compagnie sollicite aussi une dérogation aux stipulations du cahier des charges en fixant à deux trains par jour dans chaque sens, le nombre mini mum des trains. E Ain, elle demande majoration des frais de contrôle, et tout cela pour faire face à l’accroissement des dépenses dues à l’augmentation du prix de lamain-d’œuvre, duchaibon, de l’huile, etc.. La Compagnie invoque aussi, à l’appui de sa réclamation, une demande d'aug- mentatio i de traitement de 700 fr. par an, avec rappel au Ier janvier 1919, que lui présentr son personnel. Les agents de ces Compagnies touchent actuellement, en plus de leur saht're d'avant-guerre, une indemnité de 1080 francs par an et une indemnité de famille de 59, 100 et 200 francs par enfant (50 au premier, 100 aux deuxième et troisième) 200 à partir du quatrième) ; une indemni nité pour charges de famille de 180 francs par enfant (indemnités payés par i’Eiat, loidu 10 j mvier 1919). M. Noël qui préside dit que la Commis sion pténière a pris un cerrai i i ombre de résolutions sur lesquelles il va deman der un vote. Et rappelant les grandes ligues du rapport de l’ingénieur en chef des chemins de fer départementaux, il expose les dispositions contenues dans ce rapport. 1° Pour la ligne Méru-Labosse, il s’agit d’augmenter les tarifs de 100 0/0 La subvention du département et les sub ventions communales ne seraient pas mo- di fiées, Le Cobseil adopte cette disposition. 2° Il adopte également les propositions de la Commission concernant les lignes Mitly-Formerie, Noyon-Guiscard et Noyon- Lassiguy, sous la réserve de transhumer eu voie normale la ligue de Noyon â Ham, mur faciliter les communications entre Paris et le nord de la France. M. Martin fait accepter une autre réser ve relative à la transformation en voie normale de la ligne de Ham à Montdidier. 3° Eu ce qui a trait à la demande de la Copipagnie d’acheter du matériel roulant, la Commission a été d’avis de surseoir à l’achat pour étudier ta question. L’assemblée se range à cet avis. Le Président fait connaître que le Comi té du Syndicat des agents et employés de chemins de fer à voie étroite de l’Oise, de Saint-Just, a saisi le Conseil général des réclamations complémentaires au sujet de 'avance des 700 francs qu’il voudrait voir acorder à tous les hommes sans excep tion. Le Comité exige une solution pour le 19 février. Mais la Commission a fait siennes les conditions du rapport de M. f Ingénieur en chef, présenté par M. le Préfet, disant qu’il est matériellement impossible de prendre une décision pour le 19 février, Cette question fera l’objet d’une étude avec le service de contrôle. Commission départementale de la reconstitution. Il est procédé à la nomination de trois membres, propriétaires, devant faire par tie de la Commission départementale de la Reconstitution. Sont désignés : Pour Compiègne, M. le Comte de l’Aigle . pour Clermont, M. Turck ; pour Senlis, M. de Rersaint. Commission départementale de de Bienfaisance. MM. Dupont, Magnier et Desgroux sont nommés membres de la Commission dé partementale publique et privée. Conseils d’administration des écoles normales d’institulenrs et d’institutrices. L’assemblée désigne comme membres de ces conseils, à raison du deux pour chacun, MM de Poly, Brébant, Bouteille et Magnier. Commission départementale de L enseignement primaire. En sont nommés membres : MM. E. Dupont, Vasseux, Pennelieret Decroze, Comité départemental de protection des enfants du / er âge. MM. de Poly et le docteur Branthomme sont nommés membres de ce Comité. Service des allocations militaires. L’assemblée décide qu’un crédit addi- tionel de 15.000 francs sera inscrit au budget de 1920, pour rétribuer les emplo yés de ce service, en attendant la subven tion de l’Etat. 7P ES I 2C Annonces légales . Annonces volontaires.......... r- éludie y a lieu oos ce ét tdei-. Les vœux. M. le docteur Branthomme émi vœu relatif au quart de place à acci aux muihés. Reuvoy-5 ! à la troisième Commissii M. Turck demande que les papllften- taires de l'Oise, membres du Consfl gé néral, fassect une démarche aupiès du service de la Reconstitutio i au sbA du lonctionnement des commissio sfauto- nales qui doit être hâté le plus rapi/emeut possible. M. le Préfet fait observer qe’ot cette question en ce moinei t D de rechercher dans quelles coftdit fonctionnement pourra être hâté lité. Donc cette question est à l’é/ude et le préfet apportera toute la vigilance pos sible pour éviter le système des avances, M. Linaiès ajoute que si l’on suivait les errements actuels, il faudrait au moins tü ans pour l’évaluation de tous les domma ges. Voeu adopté. MM. Gxiesnet, Vassez/~c et t'xfe iAigle émettent le vœu que les anciennes subventions pour l ’a c h a t de tracteurs soient reiablies le plus lôt possible. M. de hêrsaint demande t’exprvpi iation de certaines maisons de propriétaires pour en faire des logements ouvriers. Monument aux morts. M. NoëlAonno lecture d’une lettre de Mme la Maréchale Foch qui a fondé un Comité pour l’érection d'un monument aux soldats tombés dans le département de l’Oiso. Elle sollicite une suvenfon du Conseil général pour ce monument com mémoratif de la défense de fis e-de- Franoe que l’on se propose d’éiever à Plessy dr-Roye. M. Ao/A estime que remplacement du monument projeté pourrait être plus heu reusement choisi ailleurs où la bu aille a été plus terrible et plus décisive, à Noyon, par exemple, où dorment quatre mille morts. M .del’Aig e s’associe aux paroles de M. Noë'. « Un seul monument suffit pour tout le département », ajoute-t-il En pas sant il fait remarquer que le Comité du monument de Olessis en Roye a déjà re- cué-itli u gh somme de Go.ooo traoos. Après quelques observations MM Yasseux et Picot qui recommandent par ticulièrement la commémoration des Maires de l'Oise fusillés, notamment M. Odent, de Senlis, — et de M- de Ker- sainl qui parle eu faveur de Piessis- Bellevilleoù se produisit l’arrêt de 1 avance ennemie, l’examen de la question est ren voyé à ta session d’avril. Une adresse à M. Deschanel. Le président, demande, maintenant, de remplir un devoir, celui d’envoyer à M. Paul Deschanel l’hommage de la res pectueuse sympathie de l’assemblée et de ui dire combien nous sommes heureux de le voir arrivé à la Présidence de la République, Adopté, M. Langlois signale que le service des distributions postales des journaux et périodiques est des plus défectueux. Il aurait voulu que le Directeur des Postes fût là pour lui demander qu’il soit appor té plus de régularité dans la distribution des correspondances et notamment des journaux. M. de Poly s’associe à ce vœu. Lui- môme a reçu des lettres avec des retards absolument inadmissibles. La séance est levée à 6 heures. mhkmbb-.«særesatp.Trti 'T " . J7 Jravers Senlis Emprunt Nations! de la Paix. Le Comité de Propagande pour l’Em- prin t organise pour le Dimanche 29 Fé vrier, à 2 h. <14. en la Grande Salle de airie dè Senlis, sous la présidence de ê Sous-Préfet JDEtS Xisr S JE JR T I O 2STS o, la ligne. | Réclames. ............ | Faits divers.............. ........... ON n 'a CCEPTB PAS d insertion AU-DESSOUS DB 1 FRANO Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les Départements sont reçues directement aux bureaux du journaf. 0,60 c. la I fr. ,u isris F tE u iv rio iv r Laquelle assisteront MM. les Sénateurs, Députés, Conseillers Généraux et Conseil lé \s d'Arrondissement, ainsi que MM. les lf> ms. Adjoints, Instituteurs et MM. les liirés de l’À'i o uJisseme.nt. f La pupulatio. S mlisienne est priée fassis'er à cette Réunion au cours de laquelle seront exposés les nombreux avantages que présente pour le Pays et les Souscripteurs l'Emprunt National de la PytW r- c.amitè de Propagande. + ------ Souscription pour l’érection d’uu Monument en l’honneur des Y Enfants de Senlis morts pour la France. It’Emprimt de la Paix Sur l’initiative de MM. Serrin, délégué du Comité central départemental de Beau vais, Charbonnier, sous-préfet de Senlis, et Escavy, maire, une réunion a eu lieu à l’Hôtel-de-Ville, à laquelle avaient été conviés les fonctionnaires, directeurs d’établissements de crédit et les représen tants de la presse locale. M. le Sous-Préfet prit la parole, expo sant que l’emprunt national de la paix devait être le couronnement et le complé ment indispensable de la victoire ; qu’il fallait que tous ceux qui avaient quelque autorité ou quelque influencedansle pays s’unissent dans une œuvre de propagande pour faire connaître à tous leurs conci toyens quel sera l’avantage moral pour la France du succès de l’emprunt et quels seront, pour chacun, les avantages maté riels de ce placement. Un comité de propagande d’arrotulisse- —thent, qur sera en môme temps comité p.Anînnoi, o au immédiatement constitué : président : M. Escavy, dents : MM. le Receveur des finances et le Directeur de la Banque de France ; trésorier : M. Mercier fils, banquier ; secrétaire-général : M. Gazeau, deuxiè me adjoint ; secrétaires-adjoints : MM. Warusfel et Legrand, représentants de la presse locale. Confédération Nationale des Assoociations Agricoles) C’est avec plaisir que nous apprenons la nomination du distingué Yice-firésident de la Société des Agriculteurs de l’Oise, M. Henry Girard au Secrétariat général de la Confédération Nationale des Assqi ciations agricoles, Nous félicitons sincèrement M. Henry Girard qui remplace dans ses nouvelles fonctions, M. G. H. Ricard, devenu Minis tre de l’Agriculture. /)c Liste (Suite) Total de la liste précédente Héi'ouin, rue de la Montagne . Lovassour-Hérouiu, » Levassour Jacques, » Vve Fortin, rue Villevert . Brunit I’., place de la Halle . . Tin'el. me Apport au Pain . . , Dambreville, rue de Paris. . . Vve Encaussse .............................. Renault-Encausse ...................... Bonnairo-Encausse ...................... Lëfèvre-Encaussse ..................... Leclereq-Encausse ...................... Anonyme ....................................... Snllier Adolphe .............................. Mme André Sallier . . . . . . Sallicr-Gomot ....................... . . . - Dagoneau J- rue du Chatel.’ . . Rudin. rue RoqgemaUle .... sPè.N-sai'd, » ... Violet E., rue Chancellerie . . Pittet, vieux chemin de Meaux . Pluit Louis, rue du Heaume . . Fréry P., chemin Latéral . . . Bourgogne, maréchal-ferrant . Ilély, facteur des postes . . . Laporte, rue de Villevert . . . Poussard L., inspecteur des . . Eaux et Forêts .... André Jules, géomètre .... Corbeau, av. de Montlévèque . Dufresne, rue Puits Tiphaine . Vignon-Delcoigne, r. Longfilet Vve Grisou, rue du Chatel . . Mme Dupuis, r. Puits Tiphaine Famille Ouvrad, rue du Chatel Vve Beaufort, Quinconce de la Porte de Creib , . . , Houx, débitant, (produit d’une quête au bal du 15 Janvier) Baillet, chef de poste ................. Amicale des Anciens élèves des Ecoles libres, (2e versement) 1lestiné, rue Apport au Pain. . VveVillette, rue Longfilet . . Paradis, avenue île Compiègne Destarac, recev. des finances . Mouret-Appert, r. Tour-d-Ville Baudet, rue du Chatel .... Anonyme ................................. « , Fautrat G., (2'’ versement) . . . YveyMannè, rue de Paris . . . A ve rrault, rue Poulaillerie . Vve Morel, au Poteau . . . . Violet, rue Saint-Pierre . . . Liliane Violet, rue St-Pierre . Banque M e r c i e r .......................... Monnier et Ducret, vins en gros Josquin, rue du Chatel .... Laporte. r Chancelier Guérin Sénéchal, débit., rue Villevert Vve Duflot, av. de Compiègne, llazard, rue Saint-Hilaire. . . Viô, rue Bellon .............................. Clos, rue du Chatel ...................... Alice C f o s ....................................... Thierry ...................................... • • Total .......................... » » » 7.253 fr. Il) » 5 » 5 » 5 30 20 5 20 » 20 » 20 » 20 » 20 > . 6 » 2 50 2 50 ; 2 5 10 10 5 5 5 25 10 5 20 150 40 5 5 10 10 2 20 15 10 50 10 5 10 20 50 » 50 » 25 » 100 » * ¥ ¥ )) B anque MERCIER Fondée en 1885 15, rue Saint-Pierre (près le Marché) Senlis (Oisel E m p ru n t N ational du Trésor Français Rente 5 % amortissables, Exempte d'impôts Prix d’émission lOO francs Remboursable à 1 5 0 francs. Un capital de 100 fr. assure : 1° Un revenu net annuel de 8 fr. 2° Une prime de remboursement de 50 fr. La Banque Mercier reçoit les souscrip tions sans frais, ni commission. Livraison immédiate des litres. Paiement de coupons, comptes d’avance sur litre. Compte de dépôt à vue, productifs d’inté rêts. Chèques sur la France et l’étranger 2988 L’Imprimerie du Courrier de l'Oise Place Henri IV, à SENLIS exécute les Travaux qui lui sont conliés Vite — Bien et dans de bonnes conditions 10 5 5 5 100 50 20 5 5 5 5 100 5 5 5 Refuser sa souscription à l’Emprunt, a écrit M. Léon Bourgeois, ce serait trahir la Patrie. Prêter 150 fr. à 5 0/0 avec la certitude dans un avenir plus ou moins éloigné de toucher 150 fr. ; qui ne voudra faire une opération semblable ? 5 % net â jamais de tout impôt. Gomme garantie, la puissance financière de toute la France et de ses Colonies. Et remboursement à 150 fr. Voilà qui ne s’était jamais vu. Où est le temps du 2 1/2 pour cent! que vous fau:-il de plus, chères lectrices et chers lecteurs. L’Allemagne vous le pouvez croire sans peine à les yeux fixés sur nous : Ah ! si jamais l’emprunt ramassait une bûche, pense les Boches. Mais ils ne nous connaissent pas. Nous savons que si notre emprunt ne réussissait pas, c’est tout qui craquerait, le change, les titres, les billets de ban que... C’est la vie chère qui deviendrait alors effroyable. Ce sont les fortunes privées qui som breraient aussitôt dans le gouffre ouvert, car jamais la fortune privée ne fut aussi liee à la fortune publique. Mais n’oubliez pas chers lecteurs et chères lectrices, qui en dehors du devoir patriotique qui doit mener tous les bons français vers les guichets de la souscrip tion, il y a aussi comme nous le disons plus haut, l’attrait fourni par les avanta ges matériels de cet emprunt. Si nous voulons vainement que nos rui nes soient réparées, que nos finances et notre crédit soient rétablis, que cesse la vie chère, il faut montrer au monde entier que la France est riche, il faut avant tout le succès de l’Emprunt National, de l’Em prunt de la Paix. Comme l’a dit, le Président Poincaré, tous les bons Français doivent tenir à 1 honneur de répondre patriotiquement à l’appel de l’Etat. Ordre National de la Légion d’honneur i 8e Bataillon de Chasseurs à Pied Par arrêté ministériel du 14 Juin 1919, rendu en application des décrets des 13 Août 1914 et l‘r Octobre 1918, publié au Journal Officiel du 19 Juin 1919, la Croix de Chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur, a été attribuée à la mémoire du Sous-Lieutenant SCEUWS André, mort pour la France : 8.473fr. « Officier d’une énergie remarquable donnant en toutes circonstances l’exem ple à ses chasseurs. Chargé de défendre un point important à fait preuve de la plus grande activité en l’organisant en Conseil Municipal. Nous croyons savoir que le Conseil Mu nicipal de Senlis se réunira le Vendredi | quelques heures. A été tué en visitant des 12 Mars, à 20 h. 1/2pour discuter certai- ! postes au cours du combat. A été cité. » Il est déjà titulaire de la Médaille Mili taire et Croix de Guerre avec deux palmes et deux étoiles. M. Sceuws André est le fils de M. et Mme Sceuws Casimir, cultivateurs à Ville- métrie. nés questions importantes. »------ Incorporation de la classe 1920. Les jeunes gens faisant partie du contin gent (service armé et auxiliaire) à incor porer prochainement et dont le père ou deux frères ont été tués à l’ennemi, sont morts de leurs blessures ou sont disparus, et les fils aînés d’une famille de six enfants Y,--moins dont le père est décédé, sont autorisés à fournir au Commandant du Bureau de Recrutement dont ils dépen dent une liste indiquant par ordre de pré férence les armes dans lesquelles ils dési- •’ent être incorporés et les corps de ces armes. Satisfaction leur sera donnée s’ils rem plissent les conditions d’aptitude physique ou professionnelle exigée pour l’arme choisie et si le bureau de recrutement dont ils relèvent fournit un contingent à l’arme ou au corps demandé. Les intéressés justifieront qufils sont en situation de bénéficier des dispositions ci-dessus par la production d’une pièce délivrée par le Maire attestant leur situa tion de famille. Le Major de la Garnison, PRÉVAL, Assemblée générale de l’Amicale des anciens Elèves de l’Ecole Libre de la rue de Villevert L’Assemblée générale des anciens Elè ves de l’école des frères et de l’école libre de la rue de Villevert a eu lieu le Diman che 15 Février, salle Jeanne d’Arc. Elle fut présidée par son vénéré prési dent d’honneur, M. Léon Fautrat, cheva lier de la Légion d’honneur et conseiller municipal, assisté de M. Jules André, le dévoué président et des Membres du Con seil d’Administration. La séance déclarée ouverte et l’appel des sociétaires étant terminé, M. André prit la parole. M. le président André après avoir rap • pelé la cérémonie commémorative du 3 Août dernier au cours de laquelle M. l'abbé Davoust, chevalier de la Légion d’honneur et décoré de la Croix de guerre, avait prononcé des paroles si émouvantes à la Cathédrale, s’est exprimé en ces termes : « Qu’il me soit permis tout d’abord de remplir un impérieux devoir. C’est de saluer de nouveau la mémoire de nos membres bienfaiteurs et de nos adhérents décédés depuis notre fondation. « Je salue tout particulièrement avec respect et avec une reconnaissance infi nie, ceux qui ont scellé de leur sang notre glorieuse victoire. Inclinons-nous devant la valeur de ces héros et que leur souvenir sacré plane sur cette réunion. « Jé salue également nos blessés héroï ques, nos décorés de la Légion d’hon neur, de la Médaille militaire ou de la Croix de guerre. » Je salue enfin tous ceux qui ont fait leur devoir bravement et loyalement. « Vous me permettez aussi de m’incli ner devant les parents de nos camarades qui ont donné à la Patrie leurs enfants une dette sacré«. — «œ’11 soit permis uo leuciter ceux de nos membres bienfai teurs et de nos camarades, que la confian ce de leurs concitoyens qui viennent d’être consultés a appelé à siéger aux Assem blées communales à des fonctions diver ses. Cette confiance fait à la fois honneur à leurs dévoués mai très et à l’Amicale. « Je suis heureux également de féliciter les sociétaires qui ont obtenu des récom penses, soit pour leur long travail, soit pour services rendus au pays ou à la chose publique. M. le Président fait ensuite connaître la situation morale et financière de l’Ami cale. Membres honoraires : 40 ; Membres participants : 155. De l’examen de la situation financière, il résulte que l’avoir en caisse au 15 Février 1920 est de 95 fr. M. André continue ainsi son allocu tion : « Vous savez tous que l’une des gran des familles bienfaitrices de notre école vient de quitter définitivement Senlis. J’ai nommé la famille de Waru. En cette cir constance, le Directeur de l’école et le Conseil d’administration de l’Amicale ont cru de leur devoir de faire parvenir une adresse de sympathie à M. de Waru. Celui-ci a répondu par une lettre témoi gnant de tout l’intérêt que nous portait cette famille. t J’ai aussi à vous transmettre l’affec tueux souvenir du frère Aniel, rentré à Reims dans les derniers jours du mois de Juin, auquel souvenir il joint un homma ge t espectueux à Mgr Dourlent et à notre vénérable président d’honneur, M. Fau trat. Mes chers Camarades, « Lorsque la guerre a éclaté, imposée par un ennemi barbare, au moment où nous étions tous au travail, et loin de nous attendre au déclanchement d’un pareil cataclysme, la plupart d’entre nous ont quitté leurs foyers d’un même élan, saus arrière-pensée, faisant le sacrifice de soi-même avec tout notre cœur, et ce fai sant, nous n’avons écouté que notre devoir, en protégeant le patrimoine com mun, nos foyers, nos femmes et nos enfants ; et maintenant que la victoire a couronné les efforts, que la paix est inter venue, et que le moment est venu pour nos représentants de la faire exécuter sans défaillances, ne pensez-vous pas que si nos héroïques soldats des tranchées ont droit à notre admiration, il est de notre devoir de remercier tous ceux et toutes celles qui, à l’arrière, travaillaient à maintenir le moral, à se prodiguer et à soigner nos frères blessés ou malades. « Et vous me permettrez en saluant les Dames de la Croix-Rouge dont nous avons tous admiré la bonté et le dévouement de témoigner notre gratitude la plus respec tueuse à notre cher et vénéré président d’honneur M. Fautrat, qui pendant la guerre n’a pas cessé une seule journée, malgré son âge, malgré ses fatigues, de se rendre chaque jour à Saint-Vincent oû était installé l’hôpital de la Croix-Rouge, afin de porter à nos blessés et à nos mala des des paroles de consolation et d’espé rance et de remplacer des parents parfois bien éloignés et dans l’impossibilité de venir au chevet de leur cher enfant. « Mes chers Camarades, pendant de nombreux mois qu’ils ont été au danger, les poilus ont forgé une chose magnifi que : « L’Union sacrée ». « Cette union n’est pas seulement l’en tente entre politiciens ; l’union sacrée, c’était, sur le champ de bataille, les Fran çais, tous les Français, sans distinction de contrée, de quelque opinion, de quel que métier, de quelque religion, de quel que classe qu’ils étaient, qui se sacrifiaient pour une seule et même cause : Le Salut du Pays. « Aujourd’hui, méditons la grande leçon des morts. « Ils étaient toute la jeunesse ; ils s’en allaient riants vers l’avenir ; ils ont accep té le plus sublime des sacrifices pour que la France reste vivante et pour que les destinées de notre civilisation se perpé-* tuent à travers les âges. « La Municipalité de notre Ville ouvre une souscription publique pour perpétuer le souvenir des enfants de Senlis « Morts pour la Patrie. » « Nos concitoyens méritent qu’un mo nument digne de leur sacrifice soit édifié sur une place de la Ville afin de montrer, à nos enfants et à nos petits-enfanls ce que leurs aînés ont fait pour eux. Votre Conseil d’administration a pensé qu’il était de notre devoir en souvenir des enfants de Senlis, et en mémoire de nos

DIX CENTIMES — Le — DIX CENTIMES DE L’OISEbmsenlis.com/data/pdf/js/1919-1920/bms_js_1920_02_29_MRC.pdf · 2014-02-11 · « Nous prions MM les Curés de lire en ... [ our délibérer

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9 1 * A n n é e DIX CENTIMES — LeI S * 9 . — DIX CENTIMESar»*’ t

Dimanche zy février 1910.

J O U R N A L D E S E N L I SParaissant le Dimanche ,p antt ia- urée de Ti jguirre.

DE L’OISEDirecteur-Gérant : E. LANCIAUX

D» a n . . . •2E mois,.

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les bureaux de poste, - L’abonnement est payable d ’avance et contint* de plein droit jusqu’à réception d’avis contraire.

Aep M tr b tr

JLetr A bonnem ent» o tin ten t <&# %* ot* ïi> 1&> <ri^f chaqu e m ois .

B U R E A U X , R É D A C T l O r ? 1 A D M I N I S T R A T I O N

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S E K T Ï a l S

Les m a n u s c r i ts , insérésfou non, n e s o n t pas r e n d u s

s

Sens de l’EmpruntS u r le su ccès de n o t r e e m p r u n t ,

n o u s a l lo n s m e s u r e r n o s p ro p re s forces e t les fa ire m e s u r e r au s s i p a r l ’é t r a n g e r . C’es t d i re la g ro s se p a r t ie q u e n o u s jo u o n s . N ous jo u o n s la p a ix in té r ie u re q u e des difficultés f in an c iè res t ro p p ro lo n g ées p o u r ­ra ie n t a r r iv e r à c o m p r o m e t t r e , et n o u s jo u o n s e n c o re n o t r e c ré d i t ex té ­r i e u r q u i d é p e n d m a in t e n a n t de l ’idée q u e le m o n d e se fe ra de n o s r i c h e s ­ses. Certes , p e r s o n n e , chez nos alliés s u r to u t , n e d o « te de la fo r tu n e de la F ra n c e , n i de sa c a p a c i té de re lè v e ­m e n t ; la co n f ian ce g é n é ra le d a n s l ’a v e n i r é c o n o m iq u e de n o t r e p a y s e s t in ta c te e t p ro fo n d e . On n e d o u te — il fa u t a v o ir le c o u ra g e d e n o u s l ’a v o u e r — q u e de n o t re vo lon té et d e n o t re p u is s a n c e d ’in i t ia t iv e d a n s le m o m e n t p ré s e n t . On n o u s voit t â to n n e r , h é s i ta n ts d e v a n t les s a c r i ­fices n é c e s sa i re s e t u n so lide s y s tè ­m e d ’im p ô ts . N o u s d o n n o n s a u m o n ­de , s u iv a n t u n e de nos p ire s m a n ie s , u n e im p re s s io n fav o rab le de n o u s - m ê m e s p a r l ’â p re té de n o s c r i t iq u e s e t le sp ec tac le de d iv is io n s p lu s a p p a ­re n te s q u e rée l le s . Telle es t , avec les ég o ïsm e s n a t io n a u x , la c a u se p r in c i ­pa le d es r é s i s ta n c e s q u e n o u s r e n ­c o n t ro n s u n p e u p a r to u t p o u r u n e co l la b o ra t io n f in an c iè re .

Le m o y e n de les v a in c re se t ro u v e d a n s la v ieille fo rm u le de la sagesse h u m a in e : « A id e - to i ! » C o m p to n s s u r n o u s d ’a b o rd ; p r e n o n s s u r n o u s n o t r e p o in t d ’a p p u i e t n e le c h e r ­c h o n s p a s a u d e h o rs . P ro u v o n s n o t r e v a le u r . N ous a v o n s c o n t r a in t nos a d v e r s a i r e s à la r e c o n n a î t r e . S u p p o ­s o n s - n o u s q u e n o u s a u r o n s p lu s de p e in e avec n o s a m is ?

L ’e m p r u n t n o u s en fo u rn i t l ’o cca­s ion . Il n o u s la fo u rn i t à u n e h e u r e déc is ive et p ro p ic e en m ê m e te m p s , q u a n d les é lec t ions o n t fixé la po li t i ­q u e F ra n ç a ise , q u a n d la so u p le sse e t l ’éc la t de la t r a n s m is s io n des p o u ­v o irs v ie n n e n t de m o n t r e r u n e fois d e p lu s la v i ta l i té d u ré g im e .

C’es t p o u rq u o i le su ccès de l ’e m ­p r u n t es t d ’u n e im p o r ta n c e e x t r a o r ­d in a i r e . Il c o n t ie n t to u t n o t r e c ré d i t f u tu r ; il s e ra le s ig n a l d ’u n e p h a se b r i l l a n te de la p ro s p é r i té f ran ça ise .

A lfred CAPUS, de Y A cadém ie Française.

L’Emprunt de la PaixUn appel de S. G. M gr l’Evêque

de BeauvaisLe B u lle tin R e lig ieu x publie l’Appel

des Cardinaux français, en faveur de l’Emprunt, appel que S. G. Mgr l’Evèque de Beauvais, recommande chaleureuse­ment en ces termes :

« Nous nous perm utons de joindre à l’appel des cardinaux français notre pres­sante invitation personnelle.

« Nos catholiques de l’Oise rempli­ront. Nous en sommes convaincu, leur devoir patriotique avec le même empres­sement qu’aux précédents emprunts.

« Nous prions MM les Curés de lire en chaire l’appel des Cardinaux français et de mettre, avec leur dévouement habi­tuel, leur autorité et leur influence au service des organisations qui feraient appel à leur conconrs. »

f EUGÈNE,Evêque de Beauvais, Noyon et Sentis.

Qui garde son argent impro duetif, la isse son champ en friche.

Qui p lace son argent, ense­m ence son champ et récolte.

Qui p lace son argent dans l’Emprunt, non seulem ent sèm e et récolte, mais encore fume son champ et en augm ente la va­leur de moitié, puisqu’un titre *le lOO francs sera remboursé à 1 50 francs.

QUE PRÉFÉREZ-VOUS ?

I ^ o s H e p f é s e n t a n t s

Au Sénat.M. Léon Roland, vice-président de la

Société des Agriculteurs de l’Oise, fait partie de la Commission de l’Agriculture.

Or, cette Commission, qui vient de nom­mer son bureau, l’a désigné comme secré­taire.

DÉP11RTE|BE|ÎTConseil Général

(suite)Le ré lèvem en t du ta r i f des chem ins de

f t r d ép a rtem en ta u x .Le Conseil général s’est réuni aujour­

d’hui à “2 heures, en séance extraordinaire,[ our délibérer sur la question du rélève meut du tarif des chemins de fer d ‘partementaux : Hermes Beaiimont,Méi u L bosse, Estié* s Saint-Deais Fi oissy Cre- vecœur, Mitly Formerie, Noyon-Guiscard- Lassigny.

La Compagnie des chemins de fer dé­partementaux dont les frais généraux, comme partout, se sont accrus, demande que le prix des transports soit porté de de 25 à 100 0/0.

Elle se p ro p o se d ’a c q u é r i r dp, m a té r ie lp o u r 1 m i l l io n , afin d e p o u v o i r a e c r o î i r eson trafic. La Compagnie sollicite aussi une dérogation aux stipulations du cahier des charges en fixant à deux trains par jour dans chaque sens, le nombre mini­mum des trains. E Ain, elle demande majoration des frais de contrôle, et tout cela pour faire face à l’accroissement des dépenses dues à l’augmentation du prix de lam ain-d’œuvre, duchaibon, de l’huile, etc..

La Compagnie invoque aussi, à l’appui de sa réclamation, une demande d'aug- mentatio i de traitement de 700 fr. par an, avec rappel au I er janvier 1919, que lui présentr son personnel.

Les agents de ces C o m p a g n i e s touchent actuellement, en plus de leur saht're d'avant-guerre, une indemnité de 1080 francs par an et une indemnité de famille de 59, 100 et 200 francs par enfant (50 au premier, 100 aux deuxième et troisième) 200 à partir du quatrième) ; une indemni nité pour charges de famille de 180 francs par enfant (indemnités payés par i’Eiat, loidu 10 j mvier 1919).

M. Noël qui préside dit que la Commis­sion pténière a pris un cerrai i i ombre de résolutions sur lesquelles il va d e m a n ­der u n vote. Et r a p p e l a n t les g r a n d e s ligues du rapport de l’ingénieur e n chef des chemins de fer départementaux, il expose les dispositions contenues dans ce rapport.

1° Pour la ligne Méru-Labosse, il s’agit d’augmenter les tarifs de 100 0/0 La subvention du département et les su b ­ventions communales ne seraient pas mo- di fiées,

Le Cobseil adopte cette disposition.2° Il adopte également les propositions

de la Commission concernant les lignes Mitly-Formerie, Noyon-Guiscard et Noyon- Lassiguy, sous la réserve de t ranshum er eu voie normale la ligue de Noyon â Ham, m ur faciliter les communications entre Paris et le nord de la France.

M. Martin fait accepter une autre réser­ve relative à la transformation en voie normale de la ligne de Ham à Montdidier.

3° Eu ce qui a trait à la demande de la Copipagnie d’acheter du matériel roulant, la Commission a été d’avis de surseoir à l’achat pour étudier ta question.

L’assemblée se range à cet avis.Le Président fait connaître que le Comi­

té du Syndicat des agents et employés de chemins de fer à voie étroite de l’Oise, deS a i n t - J u s t , a s a i s i le C o n se i l g é n é r a l d e sréclamations complémentaires au sujet de 'avance des 700 francs qu’il voudrait voir

acorder à tous les hommes sans excep­tion.

Le Comité exige une solution pour le 19 février.

Mais la Commission a fait siennes les conditions du rapport de M. f Ingénieur en chef, présenté par M. le Préfet, disant qu’il est matériellement impossible de prendre une décision pour le 19 février,

Cette question fera l’objet d’une étude avec le service de contrôle.

C om m ission d ép a rtem en ta le de la reconstitu tion .

Il est procédé à la nomination de trois membres, propriétaires, devant faire par­tie de la Commission départementale de la Reconstitution.

Sont désignés : Pour Compiègne, M. le Comte de l’Aigle . pour Clermont, M. Turck ; pour Senlis, M. de Rersaint.

C om m ission d ép a rtem en ta le de de B ien fa isance .

MM. Dupont, Magnier et Desgroux sont nommés membres de la Commission dé­partementale publique et privée.Conseils d ’a d m in is tra tio n des écoles

norm ales d ’in stitu len rs et d ’in stitu trices.

L’assemblée désigne comme membres de ces conseils, à raison du deux pour chacun, MM de Poly, Brébant, Bouteille et Magnier.C om m ission d ép a rtem en ta le de

L enseignem ent p rim a ire . En sont nommés membres : MM. E.

Dupont, Vasseux, Pennelieret Decroze,Com ité d ép a rtem en ta l de pro tection

des e n fa n ts du / er âge.MM. de Poly et le docteur Branthomme

sont nommés membres de ce Comité.Service des a llocations m ilita ires.

L’assemblée décide qu’un crédit addi- tionel de 15.000 francs sera inscrit au budget de 1920, pour rétribuer les emplo­yés de ce service, en attendant la subven­tion de l’Etat.

7P ES I 2CAnnonces légales .Annonces volontaires..........

r-

élud ie y a lieu

o os ce ét tdei-.

Les vœ u x .M. le docteur B ran thom m e émi

vœ u re la t i f au q u a r t de p lace à acci aux m u ih é s .

Reuvoy-5! à la t ro is ièm e CommissiiM. T u rc k d e m a n d e que les papllften-

ta i re s de l 'Oise, m e m b re s du C onsfl g é ­n é ra l , f a s s e c t une d é m a rc h e aupiès du se rv ice de la R ec o n s t i tu t io i au s b A du lo n c t io n n e m e n t des com m iss io s f a u t o - na le s qui doit ê t r e h â té le p lu s ra p i /e m e u t poss ib le .

M. le P ré fe t fa i t o b se rv e r q e ’ot ce t te qu es t io n en ce m oinei t D de r e c h e r c h e r d a n s q ue l le s coftdit fo n c t io n n e m e n t p o u r r a ê t r e hâ té li té. D onc ce t te qu es t ion e s t à l’é /ude et le p r é f e t a p p o r t e r a to u te la vig ilance pos s ib le p o u r év i te r le sy s tèm e des avances, M. L in a i è s a jo u te q u e si l’on suivait les e r r e m e n t s ac tu e ls , il fa u d ra i t au m oins tü a n s p o u r l ’éva lu a t io n de tous les d o m m a ­ges .

Voeu ad op té .MM. Gxiesnet, Vassez/~c et t ' x f e

i A i g l e é m e t t e n t le v œ u q u e les a n c ie n n e ss u b v e n t io n s p o u r l’a c h a t de t r a c te u r s so ie n t re iab l ie s le p lus lô t po ss ib le .

M. de h ê r s a in t d e m a n d e t’ex p rv p i iation de c e r t a in e s m aiso ns de p ro p r ié ta i re s pour en fa i re des lo g e m e n ts o u v r ie rs .

M o n u m e n t a u x m o r t s .

M. N o ë lA o n n o le c tu re d ’un e le t tre de M m e la M a réc h a le F o c h qu i a fondé un Com ité p o u r l’é rec t io n d 'u n m o n u m e n t a u x so ld a ts to m b é s d a n s le d é p a r te m e n t de l ’Oiso. Elle so l l ic i te u n e s u v e n f o n du Conseil g é n é ra l p o u r ce m o n u m e n t c o m ­m é m o ra t i f de la d é fense de f i s e-de- F ra n o e q u e l’on se p ro p o se d ’é ieve r à P le ssy d r -R o y e .

M. Ao/A e s t im e q u e r e m p la c e m e n t du m o n u m e n t p ro je té p o u r r a i t ê t r e p lus h e u ­r e u s e m e n t choisi a i l leu r s où la b u aille a été p lus te r r ib le e t p lus décis ive, à N oyon, p a r e x e m p le , où d o rm e n t q u a t r e mille m o r ts .

M . d e l ’A ig e s ’associe a u x p a ro le s de M. N o ë '. « Un seu l m o n u m e n t suffit p o u r to u t le d é p a r t e m e n t », a joute-t-il En pas s a n t il fa i t r e m a r q u e r q u e le Com ité du m o n u m e n t de Olessis en Roye a d é jà re- cué-itli u g h s o m m e de Go.ooo trao os .

A p rès q u e lq u e s o b se rv a t io n s dé MM Y asseux e t P ic o t qu i r e c o m m a n d e n t p a r ­t i c u l i è re m e n t la c o m m é m o ra t io n des M aires de l 'O ise fus il lés , — n o ta m m e n t M . O den t , de S en lis , — e t d e M- de K er- sa in l qu i p ar le eu fav e u r de P iessis - Bellev il leoù se p ro d u is i t l’a r r ê t de 1 avance e n n e m ie , l’e x am e n de la qu es t io n e s t r e n ­voyé à ta sess ion d’avril.

Une adresse à M . Deschanel.L e p ré s id e n t , d e m an d e , m a in te n a n t ,

de r e m p l i r un devoir , ce lu i d ’env oy er à M. P a u l D eschane l l’h o m m a g e de la r e s ­p ec tu e u se sy m p a th ie de l’a ssem b lée e t de ui d ire co m b ien nou s so m m es h e u re u x

de le voir a r r iv é à la P ré s id e n c e de la R ép u b l iq u e ,

A d op té ,M. L ang lo is s ign a le q u e le se rv ice des

d is t r ib u t io n s pos ta les des jo u r n a u x et pé r io d iq u e s e s t des p lus d é fe c tu eu x . Il a u ra i t voulu q u e le D ire c te u r des P o s te s fû t là p o u r lui d e m a n d e r q u ’il so it a p p o r ­té p lu s de r é g u la r i té d an s la d is t r ib u t io n des c o r r e s p o n d a n c e s e t n o ta m m e n t des jo u r n a u x .

M. d e P o ly s’associe à ce v œ u . L ui- m ô m e a r e ç u d e s l e t t r e s a v e c des r e t a r d s a b s o lu m e n t in a d m is s ib le s .

L a s éa n c e e s t levée à 6 h e u re s .

mhkmbb -.«særesatp.Trti

' T " ’ .

J7 Jravers SenlisEmprunt N a t io n s ! de la Paix.

Le Comité de Propagande pour l’Em- prin t organise pour le D im anche 29 Fé­vrier, à 2 h. <14. en la Grande Salle de

airie dè Senlis, sous la présidence de ê Sous-Préfet

JDEtS Xisr S JE JR T I O 2ST So, la ligne. | Réclames. ............

— | Faits divers.............. ...........ON n 'a CCEPTB PAS d ’in s e r t io n AU-DESSOUS DB 1 FRANO

Les annonces, réclames, etc., concernant Paris et les Départements sont reçues directementaux bureaux du journaf.

0,60 c. la I fr.

, u i s r i s F t E u i v r i o i v r

Laquelle assisteront MM. les Sénateurs, Députés, Conseillers Généraux et Conseil­lé \s d'Arrondissement, ainsi que MM. les lf> ms. Adjoints, Instituteurs et MM. les liirés de l’À'i o uJisseme.nt. f La pupulatio. S mlisienne est priée fassis'er à cette Réunion au cours de laquelle seront exposés les nombreux avantages que présente pour le Pays et les Souscripteurs l'Emprunt National de la PytW

r - c .a m itè de P ro p a g a n d e . +------

Souscriptionpour l’érection

d’uu Monument en l’honneur des Y Enfants de Senlis morts pour la France.

It’Emprimt de la PaixSur l’initiative de MM. Serrin, délégué

du Comité central départemental de Beau­vais, Charbonnier, sous-préfet de Senlis, et Escavy, maire, une réunion a eu lieu à l’Hôtel-de-Ville, à laquelle avaient été conviés les fonctionnaires, directeurs d’établissements de crédit et les représen­tants de la presse locale.

M. le Sous-Préfet prit la parole, expo­sant que l’emprunt national de la paix devait être le couronnement et le complé­ment indispensable de la victoire ; qu’il fallait que tous ceux qui avaient quelque autorité ou quelque influencedansle pays s’unissent dans une œuvre de propagande pour faire connaître à tous leurs conci­toyens quel sera l’avantage moral pour la France du succès de l’emprunt et quels seront, pour chacun, les avantages maté­riels de ce placement.

Un comité de propagande d’a rrotulisse- —thent, qur sera en môme temps comité

p.Anînnoi, o au immédiatement constitué : p résid en t : M. Escavy, dents : MM. le Receveur des finances et le Directeur de la Banque de France ; trésorier : M. Mercier fils, banquier ; secrétaire-général : M. Gazeau, deuxiè­me adjoint ; secréta ires-adjo in ts : MM. Warusfel et Legrand, représentants de la presse locale.

Confédération Nationaledes Assoociations Agricoles)

C’est avec plaisir que nous apprenons la nomination du distingué Yice-firésident de la Société des Agriculteurs de l’Oise, M. Henry Girard au Secrétariat général de la Confédération Nationale des A ssq i ciations agricoles,

Nous félicitons sincèrement M. Henry Girard qui remplace dans ses nouvelles fonctions, M. G. H. Ricard, devenu Minis­tre de l’Agriculture.

/)c Liste (Su ite )Total de la l is te p récéden te

Héi'ouin, r u e de la M ontagne . Lovassour-Hérouiu, »Levassour Jacq u e s , »Vve Fortin, ru e V il leve r t .Brunit I’., p lace de la H alle . . Tin'el. m e Apport au Pa in . . , Dambreville, r u e de P a r i s . . .Vve E n c a u s s s e ..............................R e n a u l t - E n c a u s s e ......................B o n n a iro -E n c au sse ......................L ë fè v re - E n c a u s s s e .....................L e c le r e q -E n c a u s s e ......................A n o n y m e .......................................Snll ier A d o lp h e ..............................Mme André S a l l ie r . . . . . .Sallicr-Gomot....................... . . . -Dagoneau J- r u e du Chatel.’ . . R u d in . rue R o q g e m a U le . . . . sPè.N-sai'd, » . . .Violet E ., rue Chancellerie . . Pittet, vieux chem in de Meaux . P lu i t Louis, ru e du H eaum e . . F réry P., chem in Latéral . . . Bourgogne, m a réc h a l- fe r ran t . Ilély, facteur des postes . . . Laporte , rue de V illevert . . . P o ussard L., in sp e c te u r des . .

Eaux e t F orê ts . . . . André Jules, g éom ètre . . . . Corbeau, av. de Montlévèque . Dufresne, ru e Puits T iphaine . Vignon-Delcoigne, r . Longfilet V ve Grisou, ru e du C hate l . . Mme Dupuis, r. P u i t s Tiphaine Famille Ouvrad, ru e du C hate l Vve Beaufort , Q uinconce de la

P o r te de Creib , . . , Houx, débitant, (p rodu it d ’une

quête au bal du 15 Janvier)Baillet, chef de p o s t e .................Amicale des A nciens é lèves des

Ecoles l ib res , (2e v e rsem en t )1 lestiné, ru e A pport au P a i n . . V v eV il le t te , ru e Longfilet . . Paradis, av e n u e île Compiègne Destarac, recev . des finances . Mouret-Appert, r. T our-d -V ille Baudet, rue du C hate l . . . . A n o n y m e ................................. « ,Fautrat G ., (2'’ v e r s e m e n t ) . . . YveyMannè, ru e de P a r i s . . .

A ve r r a u l t , ru e P ou la i l le r ie . V ve Morel, au P o te a u . . . . Violet, ru e S a in t -P i e r r e . . . Liliane Violet , ru e S t -P ie r r e .Banque M e r c i e r ..........................Monnier e t D ucre t , v ins en g ros Josquin, ru e du C hate l . . . . Laporte. r C h an ce lie r G uérin Sénéchal, débit. , ru e V il le v e r t Vve Duflot, av. de C o m p iègn e , llazard, rue S a in t -H ila i re . . .Viô, rue B e l lo n ..............................Clos, rue du C h a t e l ......................Alice C f o s .......................................T h i e r r y ...................................... • •

T o t a l ..........................

»

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7.253 fr.Il) »5 »5 »5

30 205

20 » 20 » 20 » 20 » 20 >.

6 »2 50 2 50

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50 10 5

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100 »

*¥ ¥

))

B a n q u e M E R C IE RFondée en 1885

15, rue Saint-Pierre (près le Marché) Senlis (Oisel

E m p r u n t N a t i o n a l

du Trésor FrançaisRente 5 % amortissables,

E x e m p te d 'im p ô ts Prix d’émission lO O francs

Remboursable à 1 5 0 francs.Un capital de 100 fr. assure :

1° Un revenu net annuel de 8 fr.2° Une prime de remboursement de 50 fr.

■ La Banque M e r c ie r reçoit les souscrip­tions sans frais, ni commission.Livraison im m édiate des litres.

Paiement de coupons, comptes d’avance sur litre. Compte de dépôt à vue, productifs d’inté­rêts. Chèques sur la France et l’étranger

2988

L ’I m p r i m e r i e du Courrier de l'Oise Place Henri IV, à SENLIS

exécute les Travaux qui lui sont conliés V ite — B ien

e t d a n s d e b o n n e s c o n d i t io n s

10555

1005020

5555

100555

Refuser sa souscription à l’Emprunt, a écrit M. Léon Bourgeois, ce serait trahir la Patrie.

Prêter 150 fr. à 5 0/0 avec la certitude dans un avenir plus ou moins éloigné de toucher 150 fr. ; qui ne voudra faire une opération semblable ?

5 % net â jamais de tout impôt. Gomme garantie, la puissance financière de toute la France et de ses Colonies.

Et remboursement à 150 fr. Voilà qui ne s’était jamais vu.

Où est le temps du 2 1 /2 pour cen t! que vous fau:-il de plus, chères lectrices et chers lecteurs.

L’Allemagne vous le pouvez croire sans peine à les yeux fixés sur nous : Ah ! si jamais l’emprunt ramassait une bûche, p e n s e le s B o c h e s .

Mais ils ne nous connaissent pas.Nous savons que si notre emprunt ne

réussissait pas, c’est tout qui craquerait, le change, les titres, les billets de ban­que...

C’est la vie chère qui deviendrait alors effroyable.

Ce sont les fortunes privées qui som­breraient aussitôt dans le gouffre ouvert, car jamais la fortune privée ne fut aussi liee à la fortune publique.

Mais n’oubliez pas chers lecteurs et chères lectrices, qui en dehors du devoir patriotique qui doit mener tous les bons français vers les guichets de la souscrip­tion, il y a aussi comme nous le disons plus haut, l’attrait fourni par les avanta­ges matériels de cet emprunt.

Si nous voulons vainement que nos ru i­nes soient réparées, que nos finances et notre crédit soient rétablis, que cesse la vie chère, il faut montrer au monde entier que la France est riche, il faut avant tout le succès de l’Emprunt National, de l’Em­prunt de la Paix.

Comme l’a dit, le Président Poincaré, tous les bons Français doivent tenir à 1 honneur de répondre patriotiquement à l’appel de l’Etat.

Ordre National de laLégion d’honneur

i 8e B a ta illo n de Chasseurs à P iedPar arrêté ministériel du 14 Juin 1919,

rendu en application des décrets des 13 Août 1914 et l ‘r Octobre 1918, publié au Jou rn a l O ffic ie l du 19 Juin 1919, la Croix de Chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur, a été attribuée à la mémoire du Sous-Lieutenant SCEUWS André, mort pour la France :

8.473fr. « Officier d’une énergie remarquable donnant en toutes circonstances l’exem­ple à ses chasseurs. Chargé de défendre un point important à fait preuve de la plus grande activité en l’organisant en

Conseil Municipal.Nous croyons savoir que le Conseil Mu­

nicipal de Senlis se réunira le Vendredi | quelques heures. A été tué en visitant des 1 2 Mars, à 20 h. 1 / 2 pour discuter certai- ! postes au cours du combat. A été cité. »

Il est déjà titulaire de la Médaille Mili­taire et Croix de Guerre avec deux palmes et deux étoiles.

M. Sceuws André est le fils de M. et Mme Sceuws Casimir, cultivateurs à Ville- métrie.

nés questions importantes. »------

Incorporation de la classe 1920.Les jeunes gens faisant partie du contin­

gent (service armé et auxiliaire) à incor­porer prochainement et dont le père ou deux frères ont été tués à l’ennemi, sont morts de leurs blessures ou sont disparus, et les fils aînés d’une famille de six enfants Y,--moins dont le père est décédé, sont autorisés à fournir au Commandant du Bureau de Recrutement dont ils dépen­dent une liste indiquant par ordre de pré­férence les armes dans lesquelles ils dési- •’ent être incorporés et les corps de ces armes.

Satisfaction leur sera donnée s’ils rem ­plissent les conditions d’aptitude physique ou professionnelle exigée pour l’arme choisie et si le bureau de recrutement dont ils relèvent fournit un contingent à l’arme ou au corps demandé.

Les intéressés justifieront qufils sont en situation de bénéficier des dispositions ci-dessus par la production d’une pièce délivrée par le Maire attestant leur situa­tion de famille.

Le M a jo r de la G arn ison ,PRÉVAL,

Assemblée générale de l’Am icale des anciens Elèves de l’Ecole Libre de la rue de Villevert

L’Assemblée générale des anciens Elè­ves de l’école des frères et de l’école libre de la rue de Villevert a eu lieu le Diman­che 15 Février, salle Jeanne d’Arc.

Elle fut présidée par son vénéré prési­dent d’honneur, M. Léon Fautrat, cheva­lier de la Légion d’honneur et conseiller municipal, assisté de M. Jules André, le dévoué président et des Membres du Con­seil d’Administration.

La séance déclarée ouverte et l’appel des sociétaires étant terminé, M. André prit la parole.

M. le président André après avoir rap • pelé la cérémonie commémorative du 3 Août dernier au cours de laquelle M. l'abbé Davoust, chevalier de la Légion d’honneur et décoré de la Croix de guerre, avait prononcé des paroles si émouvantes

à la Cathédrale, s’est exprimé en ces termes :

« Qu’il me soit permis tout d’abord de remplir un impérieux devoir. C’est de saluer de nouveau la mémoire de nos membres bienfaiteurs et de nos adhérents décédés depuis notre fondation.

« Je salue tout particulièrement avec respect et avec une reconnaissance infi­nie, ceux qui ont scellé de leur sang notre glorieuse victoire. Inclinons-nous devant la valeur de ces héros et que leur souvenir sacré plane sur cette réunion.

« Jé salue également nos blessés héroï­ques, nos décorés de la Légion d’hon­neur, de la Médaille militaire ou de la Croix de guerre.

» Je salue enfin tous ceux qui ont fait leur devoir bravement et loyalement.

« Vous me permettez aussi de m’incli­ner devant les parents de nos camarades qui ont donné à la Patrie leurs enfants

une dette sacré«. — «œ’11 soit permis uo leuciter ceux de nos membres bienfai­teurs et de nos camarades, que la confian­ce de leurs concitoyens qui viennent d’être consultés a appelé à siéger aux Assem­blées communales à des fonctions diver­ses. Cette confiance fait à la fois honneur à leurs dévoués mai très et à l’Amicale.

« Je suis heureux également de féliciter les sociétaires qui ont obtenu des récom­penses, soit pour leur long travail, soit pour services rendus au pays ou à la chose publique.

M. le Président fait ensuite connaître la situation morale et financière de l’Ami­cale. Membres honoraires : 40 ; Membres participants : 155. De l’examen de la situation financière, il résulte que l’avoir en caisse au 15 Février 1920 est de 95 fr.

M. André continue ainsi son allocu­tion :

« Vous savez tous que l’une des gran­des familles bienfaitrices de notre école vient de quitter définitivement Senlis. J ’ai nommé la famille de W aru . En cette cir­constance, le Directeur de l’école et le Conseil d’administration de l’Amicale ont cru de leur devoir de faire parvenir une adresse de sympathie à M. de W aru . C elu i-c i a ré p o n d u p a r u n e le t t r e té m o i­gnant de tout l’intérêt que nous portait cette famille.

t J ’ai aussi à vous transmettre l’affec­tueux souvenir du frère Aniel, rentré à Reims dans les derniers jours du mois de Juin, auquel souvenir il joint un homma­ge t espectueux à Mgr Dourlent et à notre vénérable président d’honneur, M. Fau­trat.

Mes chers Camarades,« Lorsque la guerre a éclaté, imposée

par un ennemi barbare, au moment où nous étions tous au travail, et loin de nous attendre au déclanchement d’un pareil cataclysme, la plupart d’entre nous ont quitté leurs foyers d’un même élan, saus arrière-pensée, faisant le sacrifice de soi-même avec tout notre cœur, et ce fai­sant, nous n ’avons écouté que notre devoir, en protégeant le patrimoine com­mun, nos foyers, nos femmes et nos enfants ; et maintenant que la victoire a couronné les efforts, que la paix est inter­venue, et que le moment est venu pour nos représentants de la faire exécuter sans défaillances, ne pensez-vous pas que si nos héroïques soldats des tranchées ont droit à notre admiration, il est de notre devoir de remercier tous ceux et toutesce lles q u i , à l’a r r i è r e , t r a v a i l la i e n t àmaintenir le moral, à se prodiguer et à soigner nos frères blessés ou malades.

« Et vous me permettrez en saluant les Dames de la Croix-Rouge dont nous avons tous admiré la bonté et le dévouement de témoigner notre gratitude la plus respec­tueuse à notre cher et vénéré président d’honneur M. Fautrat, qui pendant la guerre n’a pas cessé une seule journée, malgré son âge, malgré ses fatigues, de se rendre chaque jour à Saint-Vincent oû était installé l’hôpital de la Croix-Rouge, afin de porter à nos blessés et à nos mala­des des paroles de consolation et d’espé­rance et de remplacer des parents parfois bien éloignés et dans l’impossibilité de venir au chevet de leur cher enfant.

« Mes chers Camarades, pendant de nombreux mois qu’ils ont été au danger, les poilus ont forgé une chose magnifi­que : « L’Union sacrée ».

« Cette union n’est pas seulement l’en­tente entre politiciens ; l’union sacrée, c’était, sur le champ de bataille, les F ran­çais, tous les Français, sans distinction de contrée, de quelque opinion, de quel­que métier, de quelque religion, de quel­que classe qu’ils étaient, qui se sacrifiaient pour une seule et même cause : Le Salut du Pays.

« Aujourd’hui, méditons la grande leçon des morts.

« Ils étaient toute la jeunesse ; ils s’en allaient riants vers l’avenir ; ils ont accep­té le plus sublime des sacrifices pour que la France reste vivante et pour que les destinées de notre civilisation se perpé-* tuent à travers les âges.

« L a M unic ipa l i té de n o t r e V ille o u v re u n e s o u s c r ip t io n p u b l iq u e p o u r p e r p é t u e r le so u v e n i r des e n fa n t s de S en lis « M orts p o u r la P a t r i e . »

« N os co n c i to y e n s m é r i t e n t q u ’un m o ­n u m e n t d ig n e de le u r sacr if ice so i t édifié s u r u n e p lace de la V ille afin de m o n t re r , à n o s e n fa n t s e t à no s p e t i t s -e n fa n l s ce q u e le u r s a în é s o n t fa i t p o u r e u x . V o tre Conseil d ’ad m in is t r a t io n a p e n s é q u ’il é ta i t de n o t r e devo ir en so u v e n i r des e n fa n t s de S en li s , e t e n m é m o ir e de nos

.58 camarades « Morts pour la France »(Je procurer A. chacun de nous le moyen de participer dans la mesure de ses dispô- mfciiîtés à cette souscription pour laquelle

. nous faisons appel à votre cœur géné- j'cun »

* Imtaédiatement après, il est procédé à la collecte qui produit 160 francs, a laquelle le Conseil d’administration pro- pose d'ajouter celle de 40 francs à prèle-

• ver sur les fonds disponibles, ce qui porte à 200 francs la participation de l’Amicale à la souscription, somme qui sera déposée entre les mains de M. le Maire.

M. le Président remercie les Membres de l’Amicale de leur geste de reconnais-

'sance envers nos glorieux morts, il ne doutait pas un seul instant de leur géné­ro s i té p o u r c e t te œ u v re p a t r io t iq u e .

U n c e r ta in n o m b r e d ’a n c ie n s élèves se fo n t e n su i te i n s c r i r e c o m m e a d h é re n t s .

Le secrétaire donne lecture des statuts de l’Amicale placée sous l’égide de la loi de 1901, et sur la demande d’un sociétaire, il est décidé que le Conseil d’administra­tion examinera l’introduction d’un article complémentaire concernant le décès de sociétaires.

Ensuite, l’honorable M. Fautrat rap ­pelle les actes héroïques accomplis par tous les français pendant la guerre et félicitant tout particulièrement ceux dont la Croix de guerre témoigne de leur dévouement surhumain. Il trouve des paroles impressionnantes pour saluer tous nos poilus qui ont bien mérité de la Patrie. Faisant discrètement allusion au rôle de la Croix-Rouge, M. Fautrat qui a vu de près nos malades et nos blessés, déclare qu'il n’a jamais entendu une seule plainte sortir de leur bouche.

Le peuple français a repris sa place dans 1 histoire mondiale, grâce à son Ira- vail, à son dévouement, à son héroïsme, à son intelligence et il est heureux de saluer dans cette Assemblée toutes les intelligences et tous les travailleurs sortis de l’école de la rue de Yillevert : en pas­sant, il a un mot aimable pour féliciter M.> v d u suooèsï o b t e n u p a r s o n fils p o u rso n ad m iss io n à l’éco le p o ly te c h n iq u e .

L’allocution de m- rauirc» «..+ «caiMii- reusement applaudie.

Reprenant la parole, M. André s’expri­me en ces termes :

Mes ohers Camarades,« Gomme vous le savez, les pouvoirs

de votre Conseil d’administration sont expirés. Il y a donc lieu de procéder à son renouvellement.

Il y a 6 ans, au début de la fondation de notre Amicale, vous nous avez fait 1 honneur de nous choisir comme Mem-'- b re sd u Conseil d’administration, et vous, mes chers amis, vous avez bien voulu nous confier les fonctions de Président, Vice-Président, secrétaire et Trésorier.

Les Membres du Conseil tiennent à vous remercier de la confiance que vous leur avez témoignée en les désignant pour représenter votre Amicale. De mon côté, je tiens â exprimer publiquement mes biens vifs remerciements à mes collabo rateurs qui n’ont cessé de me prêter sans relâche leur concours le plus dévoué, ce qui nous a permis de mener à bien ce que nous avons pu faire depuis 1914.

Le Président délare .que les élections vont avoir lieu immédiatement. Plusieurs a n c ie n s p ro p o s e n t la ré é le c tio n à m a in ­levée du Conseil d’administration sortant et à l’unanimité par acclamations, le Con­seil sortant est réélu.

Prenant à nouveau la parole, M. André dit combien les Membres du Conseil sont sensibles à la nouvelle marque d’estime et de conflance des camarades de l’Ami­cale. Il affirme à nouveau que le Conseil, dans l’avenir, tiendra à honneur d’ac­croître la prospérité de la Société, en con­tinuant son bon fonctionnement.

C’est par des applaudissements chaleu­reux que se termine l’allocution de M. André.

A l’unanimité, l’Assemblée donne son approbation au projet d’une séance récréa­tive ofîerte aux familles des bienfaiteurs et des anciens élèves. Cette séance aura lieu le D im anche de Q uasim odo, salle Jeanne d’Arc.

Avant de se séparer, sur la proposition de M. le Président, les anciens ont tenu à adresser à M. et Mme Edouard Domart et à la famille si cruellement éprouvés, l’hommage de leurs condoléances attris­tées, à l’occasion de la mort prématurée de Edouard Domart, ancien élève de l’école et membre de l’Amicale. Une délé­gation de la Société a assisté aux obsè-q u e s d u r e g r e t t é c a m a r a d e -

** *Les 200 francs recueillis pour le Monu­

ment des Enfants de Senlis par l’Amicale ont été versés à la Mairie de Senlis.

M. le Maire a tenu à remercier l’Ami­cale par une aimable lettre qui se termine par ses mots :

« Je vous adresse mes plus vifs remer- « ciemenls et vous prie d’en faire part « aux Membres de votre Amicale. Le « geste si généreux de votre Conseil d’ad- « ministration l’honore grandement et je « vous prie de remercier tous les mem- « bres du Bureaux. »

Un deuxième versement (60 francs), montant de souscriptions envoyées par des anciens élèves n’ayant pu venir à l’Assemblée générale, a été opéré entre les mains de M. le Maire.

Le Conseil d’administration est com­posé ainsi qu’il suit pour une période de R années :

P résident : M. Jules André ;V ice-P résident : M. Decout père ;Secréta ire : M. Legrand ;Trésorier : M. Jules Baptiste ;Trésorier-adjo in t : M. Pascal Baude-

quin ;M e m b r c s -• MM . I l o g e r B a r b i e r , B a u d e -

lo q u e , D ubuffe t , L in d e r E u g è n e , M au ro y .

Prix de Vertu.La Commission chargée d’examiner les

titres et mérites des candidates au prix de vertu fondé par le docteur Desachy se réunira prochainement.

Les personnes qui auraient des propp- sitions à faire et les candidates à ce prix peuvent dès maintenant déposer leurs propositions ou leurs demandes à la Mairie.

Ce prix d’une valeur de 500 francs est délivré à une jeune tille sage, tra­vailleuse, probe, et dévouée en­vers ses parents,née de pauvres ouvriers senlisiens et âgée d*au moins dix huit ans.

Il sera remis à la titulaire le premier dimanche de mai.

Paris — Senlis — Crépy.

• Depuis quelque jours, le premier train de Senlis pour P an s a son point de départ reporté de Senlis à Crépy, et le dernier train de Paris à Senlis est prolongé ju s ­qu’à Crépy. Voici les horaires :

Crépy, dép 8 50 Paris, dép .... 21 10Auger*St-Vinc.. . 6 » Chantilly, a r r . . 21 59B arbery ............... 6 14 — dép.. 22 25Senlis ........ 6 28 Senlis .................. 22 49Chantilly, a r r . . . 5 50 Oarbery 23 02

~ d é p . . . 7 02 Auger-Si-Vinc.. 23 16Paris, a r r , , , , . , 8 » Crépy, arr 23 25

Le Concert «lu Tt mars.Nous avons dit dans notre dernier nu­

méro que le programme était maintenant arrêté. Nous avons eu la bonne fortune de rencontrer un des organisateurs de ces deux représentations qui a bien voulu — allant au devant de notre désir — nous donner quelques précisions.

L’orchestre ? — Il sera dirigé par l'ex­cellent chef qu’est notre distingué concito­yen M. J. Périer .. Il exécutera les meil­leurs morceaux de son répertoire. Nous aurons l’occasion prochainement de r e ­parler ici de 1’ “ Union musicale des Amis de Senlis

Et les chanteurs ? ,,, On en dit grand bien !,. — Et ils le méritent..C’est Ærarfe/, l’aimable diseur qui se révélera au public senlisieo. C'est TQ m 're ll[m de nos jeunes concitoyens qui se distingua dans l’avia­tion) un exquis fantaisiste sûrement ap­précié, O’g u s t e t A n d rey 's bien connu du public de nos concerts, duettistes d’un irrésistible comique et F é lix P ou le t un amateur de genre qui plaira sûrement et C harlo tte , l’excellent baryton qui fut tant applaudi l’an passé et enfin nos jeunes amis Robert Del's excentrique désopilant etiH«c-Am, l’inénarable,,,

GoifPbien d e p i è c e s a u p r o g r a m m e ?Trois ! La première est du rénertoire du

1,, H-r-orA/-! OÜ 6116 lUL PC"présentée quelques mois avant la guerre et toujours reprise depuis avec le môme succès. Le siège de B erlin inspiré d’une des plus poignantes nouvelles d’Alphonse Daudet.

Et encore ? . . Un sketch qui si nous en croyons les répétitions sera magistrale­ment interprété : “ Un m a ri p o u r trente centim es ” . Le fou-rire vous empoignera jusqu’au baisser du rideau-

... Et pour finir dignement une alerte comédie du maître du rire Eugène Labu c h f , La pièce d eÇ h a m b ertin , très bien jouée par les jeunes de la troupe, avec un entrain qui ne se dément pas,..

Souhaitons un gros succcès à nos jeu nés amis du L a w n Tennis et de l'Union des A m is de Sen lis . Le public senlisien voudra les récompenser en venant les ap­plaudir Dimanche prochain...

La location sera ouverte à partir du Vendredi s m ars. Qu’on se presse I

E M P R U N T NATIONAL |5 °/o a m o r t i s s a b le e x e m p t d ’im pôts

C a p ita l à verser 1 0 0 / r . po?er Si f r . de re n te re m b o u rsa b le à 1 5 0 f r .

Du 19 Février au 20 Mars inclus, la Recette des Finances de Senlis, Impasse du Grenier au Sel, recevra les souscrip­tions tous les jours, y compris le Diman­che, de 9 heures du matin à 4 heures du soir, et délivrera immédiatement les titres provisoires munis de leurs coupons.

Elle recevra en paiement de la sous­cription les bons de la Défense Nationale échus et non échus, les obligations dé jà Défense Nationale, les rentes h 1/2 °/0 amortissables, les coupons et les arréra­ges de rentes nominatives des emprunts précédents échus ou à échoir jusqu’au ;’.v M ars 1921. 297â<

CINÉMAJ R i x e

S EN LIS IE NA f ' f o r t y

L e Concert-Spectacle du Lawn Tennis-Club de Senlis.

C’est avec un grand plaisir que nous voyons venir à grand pas le grand con­cert organisé par le distingué Comité du “ Tennis Club de Senlis” .

Ce concert révélera à tous, les jeunes artistes de Senlis exaltés par les exploits excentriques d'un “ Chariot” quelcon­que, dont ils se plaisent à admirer et à mimer leur inénarrable culture théâtrale.

Nous invitons donc les habitants de Senlis, à venir applaudir vivement toute cette jeunesse, senhsienne qui travaille ardemment au relèvement moral de notre pauvre cité “ Senlis ” morte depuis si longtemps.

La direction ouvrira un bureau de loca­tions quelques jours avant les représen­tations.

Senlisiens !Accourez tous au Grand Opéra Sen'i-

sien ! Sa direction vous assure un pro­gramme très intéressant qui vous fera passer quelques bonnes heures que vous ne regretterez pas.

Rendez-vous :Dimanche 7 Mars, en matinée à 2 h. 1/2,

et Dimanche soir , . . . à 8 h. 1/2.

L*auginentatioa «lu tarif des chemins de 1er.

Depuis Lundi, nos Senlisiens ont ouvert leur p o r te -m o n n a ie plus grand pour prendre le train. L’augmentation du tarif est maintenant appliquée et un billet d’al­ler et retour pour Paris se paye à l’heure actuelle, 7 fr. 65

Tout augmente hélas, dans les (mêmes proportions. Nos voyages à la campagne —- le printemps approche ! — vont coûter cher. Enfin, les toutous eux-mêmes payent les suppléments.

On a bien raison de dire que ce sont nos amis fidèles, puisqu’ils nous accompa gnent dans l’adversite.

En résumé, il suffira, pour connaître les nouveaux tarifs, de multiplier les anciens prix par 1.288 pour une troisième classse, 1.32 pour une seconde, 1 35‘" pour une première.

S a m e d i 28 Février, soirée à 8 h. 30 .Rim anche 20 Février, m a tin ée à

2 h. 30 et soirée à 8 h. 30-

PROGRAMME

L’Œil de Saint-YvesGrand d ra m e de la m e r en 4 parties

(1.250 m è tres ) .La légende de l'OEil de St Y ves . S cèn es

odieuses de ja 'o us ie e t d 'av a r ice L a te m ­pête La te r r ib le p asse des R o ch es G rises . içO E il .de S t-Y v es c revé . T e r r ib le c h â t i ­ment. R éco m p en se .

! J n c m a i s o n t r a n q u i l l e , co m iq u e . \ Z o é , f e m m e t o r p i l l e , comique. \ L o u » n i e d ’o i s e a u x , plein air .Le bon fricot, d esse in s an im é s .Rivale Indienne, co m éd ie d r a m a ­

t i s e .fû v e r tu re des p o r te s à 2 h 15 et 8 h. 45:

L * lo c a t io n e s t o u v e r te à p a r t i r du V endred i de c h a q u e s e m a in e , à la S a l l e du L V em a, de 9 heures à m id i.

»----\ P rix des places :

Prem ières, 2 fr . 5 0 ; D eux ièm e s , 1 f r . 7 5 ;T ro is ièm e s , 1 fr .

Théâtre m unicipal de Senlis.Nous aurons la bonne fértnne djavoir

Dimanche soir 29 février au théâtre de S en lis , u n e r e p r é s e n ta t io n de t o u t pre­mier ordre, L a Tassa, l’œuvre célèbre et puissante du célèbre dramaturge Victo­rien Sardou

L’interprétation est de tout premier ordre. C’est Mlle M adeleine B ritto n , de rodéo;,, qui nous a interprété récem­ment le rôle de Rose Nam aidans Â’ArJé- sm/ine, qui nous revient et qui jouera le rôle Floria Tosca, rôle dans lequel elle incarne merveilleusement l’héroïue de V. Sardou.

M. A lb er t A n g e li, le brillant artiste du théâtre Sarah-Bernhardt, en remplace­ment de M. P . L em a reh a n d , nous inter­prétera le rôle du hideux Soarpia.

M. Georges S tre n y , dont j'éloge n ’est plus à faire jouera le rôle de M ario Cava- radossi,

MUe M adeleine P rom et de l’Odéon, nous apparaîtra sous les traits de la reine Marie Caroline et M. A n to in e O geard de chez Gémier, le marquis Altavanti.

Les autres rôles sont également bien tenus.

Les costumes sont parait-il superbes.Allons, voilà, une belle soirée comme

on en voit malheureusement peu, à Senlis et qui attirera certainement Dimanche soir au théâtre l’élite de notre société.

Rideau à 20 h. 30. La location marche t r è s b i e n . A v is a u x r e t a r d a t a i r e s .

Au m inistère des Finances.M. Maurice de W aru , licencié en droit,

est nommé attaché au cabinet de M. Mar- sal, Ministre des Finances.

TPaxxl F R É F t Y — Charbons —

3 2 , A ven u e de C om piègne, S E N L IS .

Vente, s u a s t i c k e t , de nouveaux b o u l e t s ci© o o k e rivalisant avec les boulets de charbon. 3030

Le nouveau tarif des n : —-c o lis p o sta u x . I maine,

L 'O ffic ie l a publié un décret fixant les)nouveaux prix d’atlranchissement des»rolis postaux circulant à l ïn té r ieu r cUyiji!F r a n c e c o n t i n e n t a l e . Vqi.r.ib«oiis o a o ivtjos, l i v r a b l e en $9X6,4 f r . 20 ; l i v r a b l e â d o m ic i l e , 1 fr# 8 0 * ’

Colis de 3 à 5 kilos, livrable en gare,1 fr. 70 ; livrable à domicile, 2 fr. 30.'

Colis de 5 à 10 kilos, livrable en gare,2 fr. 75 ; livrable à domicile, 3 fr. 33.. >

Taxe supplémentaire pour le transportpar voie de terre d’un colis par un corres­pondant du chemin de fer ou par un cour­rier de la poste, 0 fr. 60,

Taxe d’exprès, 0 fn. 60.Droit spécial pour un remboursement

ne dépassant pas 5,!0 francs, payable en gare, 1 fr. 20 ; payable à domidie 1 fr. 80 ; au-dessus de 500 francs, jusqu’à 1000 francs, payable en gare, I fr. 80 ; payable à domicile 2 fr. 40.

Le droitproportionnel d’assurance pour les colis postaux avec déclaration de va­leur est fixé à 0 fr. 15 jusqu’à 500 francs, avec augmentation de 0 fr. 15 par 500fr. ou.fraction de 500 francs excédant.

I Une éphlém ie.Rassi^ez-vous, elle n’est pas mortelle !

Il s ag itd ’un mal qui, depuis la guerre, a atteint jan t et tant de braves gens qui n’avaient connu jusque-là que les douceurs d’une existence tissée de joies et de conso­lantes illusions. On se quitte, on veut se quitter, na ! !* Commis ils sont nombreux, chaque se-

les pauvres cœurs blessés qui, dans la salle d’audience du Tribunal civil de Senlis, attendent leur tour pour les déchirantes confidences suivies de t’irré- .parabje séparation ou de la douce récon-oiHcx-fci0 ...

C 'e s t v r a i m e n t p i t ié de v o i r t a n t de bonheurs brisés, ou près de l’être indéli- niment. Qui dira les tourments de ces âmes meurtries et atrocement angoissées ? ? ?

Hélas, les séparations deviennent de plus en plus fréquentes !

L’ad-m i-nis-tra-tionPeut on donner la raison pourquoi à

Crépy-en-Valois? chef-lieu de Canton, il y a trois distributions de c o u r r i e r par jour, a l o r s q u ’â S e n t i s , c h e f - l i e u d ’A r r o n d jç s e - ment, il n ’y a que deux distributions r

A la Maison «l’arrètM- Bamdé (Léopold), de Kergoyet (Mor­

bihan), est nommé surveillant stagiaire à la maison d ’arrêt de Senlis, en remplace­ment de M. Marie, appelé à un autre poste.

Taxation du painLe Préfet de l’Oise vient de prendre un

arrêté fixant à dater du l ,r mars 1920, le prix du pain à un maximum de t franc par kilo, sauf pour les bénéciaires de bons à prix réduit, qui auront droit, par jour, à 400 grammes de pain au prix de 0 fr. 70 le kilog.

Foot Bail AssociationDimanche dernier, l’équipe du patro­

nage Saint Rieul s’est rendue à Luzarches pour matcher avec la l re de l’S. P. L.

Résultats : 2 buts à Luzarches contre 1 à enlis.

Le 29 février, l’équipe P S. R. se ren­contrera probablement à Senlis, avec la l re de l’U. S P. de Creil.

Nécrologie *Nous apprenons la mort survenue en

son domicile à Creil, de Mme Camus, décédée dans sa 73e année, mèrr du sym­pathique secrétaire de la Sous-Préfecture de Senlis.

Nous lui adressons nos plus sincères condoléances. ,

*¥• *Nous avons appris la morl, survenue en

son domicile à Paris, de la comtesse d e : Maigret.

Les obsèques ont eu lieu lundi en l’église SÜnt Honoré d'Eylau.

Le deuil était conduit par le comte Emmanuel de Maigret, mari de la défunte ; le duc d’Abrantès, le comte GhisLin de Maigret, le comte Franpois-Guillaume de Maigret, le comte Bruno de Maigret, ses beaux-frères ; le* comte Jean Chandon- Moët, son oncle, et M. Georges du Mesnil, son cousin germain.

Stes-vousL’homme i m p r u « l c n t dépense tout

ce qu’il gagne ; il s’achète ce qu’il désire à n’importe quel prix, ce qui contribue à augmenter encore la cherté de la vie et le j o u r où sa temme est malade il n ’a rien p o u r adouc . ir s a s o u l f r a n c e .

L’h o m m e n é g l i g e n t garde de l’argent chez lui, sans songer qu’il peut être volé, sans se soucier d’en tirer inté­rê t

L’homme avisé fait des économies et les place ; de cette façon il est sûr de résister à la tentation de dépenser inutile­ment son argent, il se ménage une ré ­serve pour l’épreuve, il se procure un re ­venu annuel qui vient s’ajouter à ses autres ressources.

L’homme malin ne se contente pas de cela; il ne place pas son argent d’une façon quelconque; il l’emploie à souscrire à l’Emprunt de la Paix; grâce à la prime de remboursement, dont bénéficie ce titre de rente, il est sûr de voir s’accroître de moitié la somme qu’il a placée. Avoir économisé 1.000 francs, recevoir chaque année 50 francs d’intérêt, et un beau jour, par ce que votre titre est sorti au tirage, se retrouver avec 1.500 francs, voilà le vrai placement. 3036

Les Fils de A. Deromeinforment leurs clients de la reconstitution partielle de leurs usines de B A V A Y , qui sont à même de fournir «ta engrais qui est, avec le fumier, une des meilleu­res ressources pour enrichir la. terre et assurer de bonnes et abomlantes récoltes. L’ENGBAI*S DFHOMF est BON et réellement BON MARCHÉ. Expédilion de toutes quantités. A u tan t que possib'e, grouper les commandes, j: Adresser les commandes aux FILS DE A. DEROME, à Bavay (Nord). R epré­sentants sont dem andés. 3025

CAGE-FEMME. R.oeF.IVOU ____________ P*RI3

Face Tour Sain t-Jacques (Métro Cnàtelet)C o x x s u l t a - t i o x x s t o u s l e s J o u ° -

Le vin trop fort.Le boucher Charles B . . . , d’une ville

voisine, âgé de 49 ans, étant venu consul­ter son avoué, a eu tort ensuite de boire plus que de raison.

H fut rencontré rue de la Poterne par les gendarmes qui le conduisirent avec l’aide du garde-champêtre Roussel au violon municipal. En cours de route, B--- décocha l’épithète de « fainéant » aux représentants de la loi.' Procès-verbal pour ivresse et outrage a

été dressé.

AVISM PERSÈGUERSal’honn eu rd ’informer

sa clientèle qu’â dater du 1 er f é v r i e r 1 9 2 0 il a cédé son commerce de loca­tion de chevaux et voitures a M M O R ET;

MM. PERSF.GUERS Frères continuent la location et le garage d’Automobites. 2997

Aroir

Z é ç O N S

0 Correspondance' préparation Rapipe

# aux B revels “aux. Baccalauréats

et eux

Concours AdministratifsL e ç o n s d e

C o m p t a b i l i t é

S té n o - P a c ty lo g r a p h ie R e p r é s e n ta t i o n

P e s s in - L a n g u e s - E tc .

ÉcolË P Îg ier ,■ ja R u e d e r a v o l i - iM s

T h é C h a m b a r dZe meilfeun PU R G A T I F

Annonces Judiciaires.AftTICLK 1°’.

Etude de M* S A V A R Y , avouéSenlis (Oise),

place Henri-IV, numéro 15.

VENTE SUR LICITATIONDE

Le D o m a i n e de Var anva l

s is à V AR A N V A L,C o m prenan t :

i«Ce CJjâteau deVcrranval

e t mes IS e /ie ttil< i m -rm

sis à Varanval, commune de Jaux, d’une contenance totale de 9 hectares 73 ares 25 cen­tiares.

I I

Une p ièc e de Zerred’une contenance de 15 ares, sise terroir de Jaux, lieudit la Grande Pièce Devant la Porte.

l i t

le Bois È Mont l 'M iesitué terro irs de Jaux et Jon- quières, lieux dits le Bois du Mont d’Huette et la Fontaine Gelée, d une contenance totale de 59 hectares 80 centiares.

IV

et 123 Parcelles de BoisJPr*é ©L T©r*r©

sises terroirs de Jonquières, Canly, Longueil-ï*ainte- IMarie. Le Meux et Jaux,d’u r»on ten an o « t o t a l e de *7 h te o -t a r e s 3 9 a r e s 8 1 c e n t i a r e s .

EN UN S E U L LOTle tout p lus am plem ent désigné

ci-aprés.

L’adjudication aura lieu leMardi 2 3 Mars 1920,

heure de treize heures,en l’audience des e dées du Tribunal

civil de première instance de Sen­lis, sis à Sentis, place Notre-Dame, Kâtiment de l’Evôché.

— . ...... i „ ........... „ , m

En exécution d ’un jugement contra- dictoircmeni rendu par le Tribunal civil de première instance de Sentis, Je quinze avril mil neufeent dix neuf, enregistré ;

Et aux requête, poursuite et dili­gence de :

Madame C harlo t te-Jeanne-M arie Davène de Roberval, propriéiaire, demeurant à Senlis. veuve de Mon­sieur André-Marie-Joseph-Henri Des­friches, vicomte Doria, mort pour la France ;

P o u rsu iv an t la vente ; Ayant p o u r avoué const itué M*

Oscar Savary , d e m e u ra n t à Senlis , p lace Henri-IV, num éro 15;

Eri présence ou eux dûment ap­pelés de :

P re m iè ré m e n t .— Monsieur Paul- Prudent-François Desfriches, comte Doria, propriétaire, demeurant au Château d’Orrouy, commune d’Or- rouy,

« Agissant au nom et comme su­ce brogé-tuteur faisant fonctions de « tuteur de : 1° Jean-François-Marie « Desfriches Doria ; 2' Bernard-« u ie rre -M arie Desfriches Doria; « 3 Charles-A rm and-M arie Des- « friches Doria ; 4'’ Françoise-Hen- « riette-Marie Desfriches Doria ; 5° « P ie r re - Josepti-M arie Desfriches « Doria ; 6° et Jacques-André-Marie ce Desfriches; Doria, enlants mineurs « issus du mariage de Monsieur « A ndré-M arie-Joseph-H enri Des- « friches, vicomte Doria, décédé, et « de Madame Charlotte-Jeanne-Marie « Davène de Roberval, son épouse; »

Présent à la vente ; Ayant pour avoué constitué M*

Georges Morand, demeuraotà Senlis, rue saint-Hilaire, numéro 10.

Deuxièmement. — Et Monsieur Alexandre-Marie-Pierre Davène deRob rval, p ro p r ié ta ' r e , d e m e u ra n tau Château de Roberval, commune de Roberyal,

« Agissant au nom et comme su ­ce broge-tuteur ad hoc des mineurs « Desfriches Doria, sus-nommés ; »

Il sera, le M ardi vingt-trois Mars m il n e u f j cent vingt, heure de treize heures, en l 'au­dience des criées du Tribunal civil de première instance de Senlis, sis h Sentis, place Notre-Dame, ancien Evêché, procédé à la vente sur lici­tation, aux enchères publiques, au plus oftrant et dernier enchérisseur, à l’extinct on des feux, en un seul lot, des biens dont la désignation suit :

D E S IG N A T IO N

M I S EE T

A P R I X

Le Domaine de Varanval,sis à V a ra n v a l , c o m m u n e de J a u x , c o m p r e n a n t :

IRez-de-chaussée : salon, salle à

manger, bureau , vestibule, office, w. e.

Prem ier étage : cinq chambres, deux cabinets de toilette, salle de bains, w . ç.

Deuxième étage : six chambres de maîtres, lingerie, w . c.

Troisième étage : trois chambres de domestiques, deux greniers, w . c.

Sous-sol : cuisine, cave fraîche, cellier, calorifère, trou à charbon, bûcher, garde-manger, trou à chaus­sures, w , c.

Eau chaude et froide à tous les étages.

L’eau est fournie par un puits et montée dans un réservoir par une pompe actionnée par un moteur à essence.

Eclairage à l’acélylène.Communs complets, garage, écu­

ries.Chambres de domestiques.Maison de jardinier.

Basse-cour avec logement do garde.

Cadastré section B, n0" 912 à 918 inclus, et 1007 à 1048 inclus.

IIL u e p i è c e d e t e r r e , d ’une

contenance de quinze ares, sise ter­roir de Jaux, lieudit la Grande pièce devant la porte, tenant d’un côté l’avenue de Compiègne, d’autre côté à MonsieurCloiaire Errmry, d ’un bout le chemin de Varanval â Jaux, d ’a u ­tre bout l’acquéreur de Séjourné.

Cadastré section B, n0 1093 p.

IIIL e Bois du M o n t «l’H u e t t e ,

silué terroir de Jaux et Jonquières, beuxdits le Bois du Mont d ’Huette et la Fontaine Gelée, comprenant unmassif principal de quarante-six hec­tares trente-lrois ares qualre-vingt- dix sept cemiares, et diverses pa r­celles bordant ce massif de toutes parts, d’une contenance de douze hectares soixante-six ares quatre- vingt-trois centiares. Ensemble: cin­quante-neuf hectares quatre-vingt centiares, tenaht vers le nord au Chemin de Jonquières à Bouquy, au midi aux terres du Mont d Huette d ’en bas, d’un bout aux terres de Laniemo it, d’autre bout au chemin de Varanval à Bouquy séparant du Parc (article 1) auquel 11 est relié par un pont.

« Il existe sur les versants entou- « rant le massif principal de i:Ottl- « breuses enclaves. »

IVEt c e n t v i n g t - t r o i s p a r c e l ­

l e . de bois, pré et terre, sises ter­roirs de, Jonquières, Catily. Lon- gueil-Sainte-Marie, Le Meux et Jaux, d’une contenance totale de sept hectares trenU-neuf ares quatre- vingt-un centiares, dont la désigna­tion suit :

Territoire de Jonquières.Lieu dit « Le Bois Moïse ».

1. Huit ares quarante etun ceotiare^ de bois. Sec­tion C, n. 377 p., 578 p . , . •

2. Cinq ares soixante- douze centiares de bois. Sec­tion C, n. 412 ........................

3. Deux ares trente-six centiares de bois. Section C, n. 402 p . .....................

4. Un are dix centiares de b >is. Section C,n. 386 el387 Lieudit « La Fosse Godia ».

5. Deux ares soixante- trois centiares de bois. Sec­tion C, n. 4 4 1 . . . . . . . . . . . . .

6. Trois ares quinze cen­tiares de bois. Section C, n.451 et 451 b i s . . . . .

7. Cinq ares cinquante- neuf centiares de bois. Sec­tion c , n. 562........... *.............

8. Trois ares quatre-vingt- qualorze centiares de bois.Section C, n. 569

9. Trois ares cinquante- cinq centiares de bots. Sec­tion G, n. 580........... ..............

10. Sept ares quatre-vingt- huit centiares de bois. Sec­tion C, n. 551..........................

H . Quatre - vmgt - neuf centinres de bois. Section C, n. 533 et 534..........................

12. Cinquante - oeuf arascinq centiares de bois. Sec­tion G, n. 461 à 468 inclus,469 p., 470, 475 , 477 , 478p.,479 p., et 480 à 489 inclus,.

13. Cinquante-quatre ares soixante-quatre centiares de bois. Section G. n, 537 p.,577, 582, 583, 584, 585. 592,593, 594, 595, 596, 0 t l et1*72. 54 54

Lieudit « La Tuilerie »,14 Soixante-dix centiares

de bois, Section G, n. 661.. 7015. Trente-huit ares qua­

tre-vingt-treize centiares de bois. Section C, n. 608, 609,613 p., 6 H 615, 1264, 1266,1267, 1268, 1269 38 93

16. Un are dix-huit ceo- tiares de bois. Section G,n. 647 i 18

17. Quatre ares quinze centiares de bois. Section C,n. 689....................................... 4 15

18 . . Deux ares quarante- cinq centiares de bo>s. Sec­tion C, n. 697.......................... 2 45

19. Un are cinquante-sept centiares de bois. Section C,n. 727 p 1 57

20. Deux ares soixante- trois centiares de bois, Sec­tion C, n. 684 b is ............... 2 63

21. Six ares cinquante- cinq centiares de bois- Sec­tion G, n. 680, 682 et 709 . . 6 55

22. Cinq ares quarante- neul centiares de bois. Sec­tion G, n. 711 et 7 1 3 . . , , . . . 5 49

23. Huit ares cinq centia­res de bois. Section C, n.719, 723 et 7 3 5 8 05

24. Un are soixante-sept centiares de bois. SectionC, n 7 3 3 . , . , , . . . . . , . . , , . . i g?

25. Un are quatre-vingt- dix sept centiares de bois.Section G, », 744 p . . , . . . . . 1 97

26- Quatre ares soixante- treize centiares de bois. Sec­tion C, n. 755 et 756............ 4 73

27. Trois ares quatre- vingt-quatorze centiares debois. Section C, n . 769 p , . . 3 94

28. Deux a res vingldrois cemiares de bois. SectionC, n. 788 p, et 789 p . . 2 23

29. Trois ares q ua tre - vingt-quatorze centiares debois. Section C, n. 775 3 94

30. Un are quatre-vingt- dix-sept centiares de bois.Sectiou C. u. 763 p 1 07

3t. Sept ares dix centia­res de bois. Section G, n.

■ 767 7 1032. Dix-sept ares trente-

cinq centiares de bois. S ec­tiou C, n. 795, 796, 797,799 p., 800 p., 803, 805, 808. 17 35

Lieu dit« Les Fortes Terres »,33. Huit ares vingt-sept

centiares de bois. SectionC, n . 814, 815, 816 et 818., 8 »7

34. Un are quatre-vingt- sept centiares de bois. Sec­tion C, n. 1059 p i gv

35. Deux ares seize cen­tiares de bois. Section G,n. 825 et 826 2 16

8 41

5 72

2 36

1 10

2 63

3 15

5 59

3 94

3 55

7 88

89

I

59 05

36. Un are soixante-qua- torae centiares de bois. Sec­tion G, n. 837 et 838.. / ___ 1 74

37. Soixante centiares de bots. Section C, n. 834......... 60

38. Deux ares soixante- douai centiares de pré. Sec­tion G, n. 842 p. et 8 4 4 . . . . 2 72

3!». Trois ares quatre- vingt-treize cent iares rie pré.Section G, ri 850 et 8 5 6 . . , , 3 93

40. Trois ares soixante- cinq centiares de pré. 3 “C- tion C, n. 861, 863 et 864.. 3 65

41. Un are qualre-vinel- dix-sept centiares de pré.Section C, n. 877................... 1 97

Lieudit « Le ronds de Bouquy ».

42. Trois a res quinze e~n- liares de bois. Section C,n. 1007 et 10< 8 p ................ 3 15

43. Deux ares trente-six centiares de bois Section Ç, n. 1004 p. et 1 0 0 5 . . . . . . . . . 2 36

Lieudit « Les Aulnes Candas ».

44. Quatre ares quatre- v in g t- t re ize centiares de bois . Section C, n. 1104 . . . 4 93

45. Neuf ares tpiatre- vingt-six centiares ae pré.Section C, n. 1088 p 9 86

46. Quatorze ares quatre- vingt-six centiares de bo*s.Section C, n. 1132, 1133,1134 et 1133.............. I4 86

47. Trois a re -qn irze cen­tiares de bois. Section C, n.1140 et L143............................ 3 15

48. Vingt-sept ares vingt centiares de bois..Seciion C, n. 1080 et 108i p . ................ 27 2c

49. Trois ares quinze cen­tiares de bois. Section C, n.1057......................... . 3 15

50. Douze ares quararde- huit centiares de bois. Sec­tion G, n. 1104 et 1169 . . . . 12 48

51. Un a e quatre-vingt- dix-sept centiares de bois.Section G, n. 1072................. 1 97

52 Deux ares rtix-sept centiares de bois. Section G, n. 1068 p. et 1069 p 2 17

53. Cinq ares cinquante- deux centiares de bois. S eo tionC, n. 1150 . . . . . . . . . 5 52

54. Deux ares quatre- vingt-seize centm es de bois.Section G, n. 1161............ 2 96Lieudit t le Bois Brimbots ».

55. Vingt-six ares soixan­te-hu it cen fares de b us .Section C, n. 1177, 1178,1179, 1182. 1183 61 1 1 8 4 , . . 26 68

56. Deux ares seize cen­tiares de bois. Section G, n.1187..................... 2 16

57. Un are quatre-vingt- dix sept centiares de bois.Section C, n. 1203 ......... . . 1 97

58. Deux ares vingt cen­tiares de bois. Section G, n.1208 2 20

59. Un are vingt-cinq cen­tiares de bois. Section G, n.1236........................................... 1 25

60. Quatre ares soixante- treize centiares de bots.Section G, n. 1243 et 1244.. 4 73

61. Q u a tre -v in g t-q u a tre centiares de bois Section G n. 1255 . ............ - , »4

62. Deüx ares vingt-cinq centiares de bois. Section C, n. 1260 p. . . . . . . . . . . . 2 25Lieudit» La Mare 9 Joncs »

63. Cinq ares quatre-vingt do' ze centiares de terre.Section G, P. 4 8 . ------. . . 5 92Lieudit « Le Mont Clergé ».

64. Sept ares quatre-vingt- dix-huit centiares de bois.Section G, n. 430, 431 et 431 bis.................. 7 98

65 Trois ares soixante- quatre centiares de bois.Section G, n 422 et 423 p.. 3 64

66. Un are quatre-vingt- dix-sept centiares de bois.Section G, n. 434 . . . . . . . . . 1 87

67. Deux ares soixante- seize centiares de bois.Section G, n. 453................... 76

68. Un are vingt centiares de bois. Section G, n. 456 .

69. Un are quatre-vingt- dix-sept centiares de bots.Section G, u. 5 6 6 . . 1 97

70. Un are cinqua*te-huit centiares de bois. Section G, n. 594 et 595..................... 1 53

71. Cinquante-neuf cen­tiares de bois. Section G,n. 525 .......................................Lieudit » Le Clos Moïse ».

72. Quatre a 'e s quatre- v ing t- t re ize centiares de bois Section G, n. 692----- 4 93

73. Quatre-vingt dix-huit centiares de bois. Section G, n. 695 ........................ • ■ • - •

74. Deux ares quarante- six centiares de terre. Sec­tion G, n . 756..........................

75. Cinq ares trente-deux centiares de terre. Section G, n. 759, 760 et 761--------Lieudit» La Fosse d’En b a s » ,

76. Un are dix-huit cen­tiares de pré. Section G, n.126. •••

Lieudit « La Fosse d’Efl Haut ».

77. Deux ares trente-sept centiares de terre. SectionG, n. 1 9 8 ........... .....................Lieudit « Les Prés Roys ».

78. Un are quatre-vingt- dix-sept centiares de bois.Section G, n. 1471 p .

79 . Un are vingt-trois cen­tiares de bois. Section G, n. 1480....................................

80. Un are quarante-huit centiares de bois Section G, n . 1463 p ........................ ..

Lieudit « La Rue Pierre- fonds ».

81. Un are dix-huit cen­tiares. Section E, n. 4 9 7 . . , 1 48

Lieudit « Les Gravillers d'Ea Bas ».

82. Un are dix-huit cen­tiares de terre. Section E,a . 309]......................... 1 1 8Lieudit « Le Clos Hanniet ».

83 . Un are trente-huit cen­tiares de terre. Section F, n . 255...................................... 1 38

84. Deux ares trente-sept centiares de bois. Section F, n . 273.................................. . 2 37

98

56

53

98

2 46

5 32

1 18

2 37

1 97

1 23

Lieudit « Les Arlnes Hanniet ». _

85. Quatre-vingt-dix-huit cenUares de bois. Section F,0, 57 1 .......................... ..

86. Un are cinquante-MX cehnares de bois. Section F, n, 5 9 3 . . , , ......... .....................

87. Cinq ares cinquan e- deux ceuiiares de, bois.'•’eclion F, h. 635 et 6 3 6 . . . .

Lieu dit « Le Bois du Pré Renard

88. Trois ares quatre - vingt-qnatoi ze centiares de bois. Section F, n. 074 et675............................. 3 94

89. Un are dix-huit cen- barus de bois. Séction F,n. 0 8 2 ....................... 1 18Lieudit « Le RO's du Cliam-

part ».90. Un are cinquante-huit

centiares de bois. Section F,n. 713......................... 1 58

9 t.T re ize ares vingt cinq cepiiares de bois, Section F, n. 724, 725, 727 et 72»_____ 13 25

92. ,Six ares douze centia­res de bois. Seetion F, n.769 p., 771, 774, 775 et 776, 6 12

93. Quatre ares quatorze centiares de bots. Section F, n. 743 et 744.............................. 4 14

Lieudit « L8 Devant »,94. Treize ares qu aran te -

sept centiares do bois. Sec­tion F, n. 813, 816, 817, 818,819 et 839................................ 13 47

95. Trois ares vingt huit centiares de bois. Section F,n. 843 et 845.......................... 3 28

96. Quatotze ares trente- neuf centiares rie 'bois. Sec­tion F, n. 860, 864, 866 p.,867, 868 et 872....................... 14 39

Lieudit « La Gorge ».97. Trois ares cinquante-

quatie (•••ntiares de bois.Section F, n. 913--i . . . . 3 54

Un are quatre-v ugt- dix-sppt centiares de bois.Section F, n. 922................... 1 97

99 Un are trente et un centmres.de bots,Section F, n. 934....................................... 1 31

100. Cinq ares quatre- vingt-dix centiares de bois.Sert on F, n. 938 et 9 3 9 . . . . 5 90

Lieudit « t a Gorge et la-B êche du Peuplier »

101. Qu nza ares t r en te -trois centiares rie bo's Sec­tion F, n. 970, 972, 973,974 p., 975 et 977 p 15 33

Terroirs de Jonquières et O anly.

Lieudit « La Brèche du Peuplier ».

102. Trente-deux ares, soixante-treize centiares de bois. Cadastré sur Jon­quières section F, n. 981 h 990 inc us et 992 ; sur Ganly section E, n, 2039, 2037,2038, 2040; 2011, 2042 et 2043 p .............................. ' . . . . 32 73|

Terroir de C anly.Lieudit « Le Mont le Hard »,.

103 Tr ize ares vingt et un centiares rie bois. Sec­tion E. n. 2022 p. 61 2033 à 2026 inclus.............................. 13 2t |

104. Deux ares trente- sept centiares de bois. Sec­tion E, n. 1974 ...................... 2 37 |

105. Un are cinquante- huit centiares de bois. Sec­tion E, n- 1969 ...................... 1 58

Lieudit « La Cet diière ».106 D x ares quatre-vingt-

sep| centiares de bois. Sec­tion D, n. 360 p., 367 p ,369 p. et 372 p ..................... 10 87

'Terroir de Jonquières.Lieud t « Le Mont le Hard ».

107 Huit ares soixante- dix-neul.centiares de bots.Seciion F. n. 1053, 1054,1055, 1062 et 1 0 6 4 . . . . . . .

108, Quatre ares soix t n t - treize centiares de bois.IteSf&n F, n. 1083, 1094 et 1095...........................................

Lieudit » Les Allées ».109. U are trente-h it

centiares de bois. Section F, n . 1188....................................Lieudit « Dessus le Mont

te Hard ».1 1 0 U n a r c d i x f r u i t c e n -

t iares ,de bois. Section F,n, 1021 ....................................Lieudit « Derrière le Mont

le Hard ».141. Trois arescinquantp-

q ja i re c. ntiares de t ois.Section F, n . 1237 ...............

112, Un are cinquante- huit centiares de bois. Sec­tion F, n. 127*................. ..

413. Six ares w g l-q u a t re centiares de bois. Section F,n. 1280, 1284 et 1285...........

I i 4 Sept -ares quatre- vingt-sept eqhtiares de bois.Section' F n. Ï292, 1293,1294 64 4295 p ........................

115. Deux ares quatre- vingt-cinq centiares de bois.Seetion F , n . 1-298, 1300et 1301.....................................

116 Trois ares quatre- vingt-quatorze centiares de bois. S acU în T , n. 1305 et 1.306......................... .................

centiares de terre. Section B

Lieudit « Dessus des Tartres ».

122. Quirze ares soixante- dix-huit centiares de te r re . Section G,n. 1711 et section H, n. 965..................................

Lieudit « Les Tartres ».123. Seize ares dix-sept

centiares de terre Section IIn. 85 p .............................. ........

Ensem ble.........

2 17

15 78

10 17

7 3 9 81

Mise à prix : 150.000 fr.En outre des charge», cla" SPS et

conditions énoncées ait cahier des charges dressé par M* Oscar Savary, avpué, et déposé au Greffa du Tri­bunal civil de première instance do Sentis, où toute perso-ne peut en prendre connaissance, les biens ci- dessus désigné* seront mis en vente sur la mise à prix sus-énoneée, fixée par le jugement précité.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigné.

Senlis, le 27 février 1920.S ig n é : Q. SAVARY.

Et enregistré.

S'adresser pour les renseigne­ments :

A M* O s r a r S A V A R Y . avouéà Senlis, poursuivant la vente ;

A M* G e o r g e s MORAIVD,avoué à Senlis, présent h la vente ;

A Me C l o v i s P E T I T , notaire àsenlis ; .

Et à M. « E R V I L L É , géomètre- expert à Compiègne.

A r t . 2 .

Etudes de >{'G e o r g e s 3IOR A N D , licencié en droit, avoué a Senii»,

10 rue Saint-Hilaire, et de M« H e n r i l î A L É ^ E A L X ,

notaire à Chantilly.

V E N T E S U R L I C I T A T I O NDE

La toute propriété de :

D £ J I Ü A J Ü Q Ï Js i s e à G O U V I E U X

A u coin de la rue de la Mairie et de la place Am iç,

à usage de marchand de vins, avec circonstances et dépendances.

st 2 Pièces lie TerreTerroir de G o u v i e w x

| con’enantensemble 1 6 ares 0 6 cent.

I lLa nue-propriété de :

UNE MAISONS i . , ' G O U V I E U X

Rue Colliau, n° A, avec c irco n s tan ces e t dépendances

let 2 Piècet Je Terre et BoisTerroir de G o u v l e t i x .

contenantensemble ares 6 SScent.E n . s i x L o t s

Le tout plus amplement désigné ci-après.

la place Amie, A usage de marchand de vins, composée de :

Au r z-rie-chaussée : Une salle de billard, salle de débit et cuisine.

A l’étagé : Trois chambres. Gre­nier au-dessus couvert en tuiles et ardoises, petite cour derrière dans laquebe cabinet d’aisances, cave et caveau.

Bit iment dans lequel cave et g re­nier.

Le tout tenant d’un cô l. ie t d u n bout mineure Roux, d’autre çbté la place Amie et d’autre bout la rue de a Maine.

IMise à prix : 9 .0 0 0 fr.Deuxième lot.

Huit ares cinquante-quatre cen tiares de terre, licunit le Fossé Mas cré, terroir de Gouvieux, tenant d’uncôté te sixième lot, d 'autre côté Sa­vary, d’un bout le chemin, et il autre bout Monsieur François Mrnnessier.

Cadastré section G, numéro 1043.Mise à prix : l ü francs-

Troisième lot.Sept ares cinquante-deux cen­

tiares de terre, terroir de Gouvieux, rue IIurst-Mahieu, tenant d'un côté la commune de Gouvieux, d’autre côté Madame Loustalet, d’un bout Monsieur [Inet Cordier, et d’autre bout la rue Hurst Mahteu.

Cadastré section G, numéro 1655 4 0 0 Irancs.Mise à prix :

II. L a n u e - p r o p r i é l é D e :Quatrième Lot.

U n e m a i s o n , sise A Gouvieux, rue Loll au, numéro 4, comprenant :

Maison d’hat nation de quatre p è- ees au rez-de-chaussée, deux cham­bres et un cabinet de toilette a l’étage.

Autre maison d’habitation de quatre pièces au rez-de-chaussée et quatre pièces à l’étage.

Autre bâtiment comprenant deux hangars, écurie ,magasin, buanderie.

t.e tou t ten an t d ’un côté la rue Colliau, d’au tre côté Monsieur Ürouard, d’un bout Madame Mercier, et d’au tre bout la ru e conduisan t à Lam orlaye .

Mise à prix : 6 .0 0 0 fr.Cinquième lot.

Dix-sept ares n°uf centiares de bois, terroir de Gouvieux, lieudit Sous Morancy, tenant d’un bout Monsieur le baron Henri de R >ths- child ou représentant, d’autre bout Monsieur Achille Foyen, d’un côté Montmirel, et d ’autre côté Monsieur Havy oit représentant.

Cadastié section F, t uni ro 682.Mise à prix ; 1 6 0 irancs,

Sixième lot-Et huit ares cinquante trois cen ­

tiares d e te r re , terroir de GouvFux, heu dit le Fossé Masqré, tenant d’un côté et d’un bout le Voyer d» la Tan nerie, d’autre côté le d-uxième lot, et d’autre bout Monsieur François Mennessier.

Cadastré section G, numéro 1042. Mise à prix : 1 franc.

I L’adjudicabon aura lieu 1« O I- M A N C H E 2 8 M A R S 1 9 2 0à quatorze heures, en la Mairie de Gouvi 'ux. par le ministère de M* Baiézeaux, notaire à Chantilly, commis A cet eflet.

8 79

4 73

1 38

1 18

1 58

6 24

7 87

2 85

3 94

Terroir de L o n yu e ii- Sain te-M arie

[Riicourt)

Lieudit «Le Mont le Ha-.d ».117, Deux ares trante-

se f t centiares de bois. Sec­tion B, n. 2 37

1,18. Un .are cinquante- huit centiares de bois. Sec­tion B, p. 21 .......... 1 58

Terroir de Le M eux Lieudit « iLc Champ Dion ».

119 Un are cinquante- huit centiares de terre, sec­tion A, ut. 19.......................... 1 58 |Lieudit « Le Mont le Hard »,

120. Cinq ares quatre- vingt-douze centiares de terre. Section A, n. 92 et 93 5 92]

Terroir de J a u xLieudit « Sous le Mont

d’Huette ».481. iD w x Af-es pixraqpt

En exécution d’un jugement con­tradictoirement rendu par le Tri bunal civil de première instance de Sentis, le tren e juillet mil neuf cent dix-neuf, enregistré.

Et aux requête, poursuite et diligence de :

Monsieur Louis-Augustin Roux, sans profession, demeurant à Gou­vieux ;

Fourshivant la vente ;Ayant p our avoué constitué

M* Georges Morand, d em eu ran t à S e n t i s , 10 , r u e

Eu présence ou eux dûment ap­pelé de ;

1° Madame Marianne-Julie-Jeanne Watel, épouse de Monsieur Paul- Jean-Maurice Bonnet, marchand-bou ct.er, demeurant A Gouvieux ;

2° Monsieur Paul-Jean-Maurice Bonnet, marchand-boucher, demeu- rani à Gouvieux. « Agissai t en tant « que besoin en son nom persgnoal « et pour l’assistance et l’autorisa­

tion nécessaires à la dame son épouse sus nommée et valider la

« procédure » ;3» Et Monsieur Zéphir Déprez,

propriétaire, demeurant h Laigne- vrile. tt Agissant au nom et comme « tu teurdat ifde Odette-Jeanne Roux « enfant mineure issue du mariage « de Monsieur Félix-Auguste Roux

et de dame Marie Léo ai* Watel,« son épouse, tous denx décédés » ;

Présents à la vente ;Ayant pouravoué constitué M" Gas­

ton Loir, demeurant à Senlis, rue Saint-Yves-à-l’Argent.

4° Et Monsieur Eugène Pecqueur, principal clerc de notaire, demeu­rant A Chantilly. « Agissant en « qualité de subrogé-tuteur ad hoc « de la mineure Roux sus-nommée »

11 sera, le Dimanche vingt-huit \m ars mil n eu f cent vingt, quatorze heures, en la Maine de Gouvieux, par le ministère de M"B.i- lézeaux, notaire à Chantilly, commis à cet effet, procédé A la vente sur limitation, aux enchères publiques au plus offrant et dernier enchéris Spur, à l’extinction des feux, en six lots, des immeubles dont la dési gnalion suit.

A g e d e l ’U s u f ru i t iè r e .

Mme M élanie-Eugénie Legrand ,propriétaire, dem urant à Gou vieux, veuve de M. Ernest Prosper Loustalet, usu fruitière des im m eu­bles compris sous le paragraphe I I ci-dessus, est âgée de 76 ans, corn me étant née a Gouvieux, le trente ju ille t 1844.

En outre des charges, clauses et condi'ions énoncées au cahier d ' s charges dressé par M' Baiézeaux, notaire A Chantilly, et déposé en son Etude, où toute personne peut en prendre connaissance, lesimmeubies ci.dessus désignés seront mis en vente sur les mises. A prix sus-énon cées fixées par le jugement précité.

ronne. r.° lô8, et rue .«pontini, n» 15 au profil de Mon8,eur Hoi;ffl»r.|, d'un lot de terre ri uno contenance de cinq lied ares quirze ares deux cen tiares, s'tué sur ies D r rjjnjrf,8 d ’A(.v. en-Miihien et Ehivigny (ois ),dont la dés’gnalton suit :

Terroirsa’Acy-en-MuluCn et E ,av 9uy.

Fait et rédigé par l’avoué poursui­vant soussigné.

A Senlis, le vingt-huit février mil neuf cent vingt.

CSigné) : MORAND.Et enregistré.

S'adresser pour les renseigne ments :

A M" Georges M ORAVI>avoué > Senlis poursuivant la vente;

A M ' G o -s to u avoué *Senlis, présent 1a vent« ;

Et à M* HeriiM B A I E Z E A U X ,notaire a Chanti ly, rédacteur et dé positaire du canier des changes.

1» Cnquan e-lp(i|!5 Vln„| c e n . Pare* rie t-'JTe _ieii.|ii ail Fou» Banal ou le Haui'h‘s 'usa lognes, c à j j u t r . s section A. n ' '’v,:

2» Q i,ira nie cinq app,, quatre-vingt- cinq cehnares du liciniq :lPierre aux f-h»h ou | a lto>i6re, ca ­dastrés section A., n0 124 ;

3 ° Vingl'C nq ares sn ix i r le c e n ­tia re ’ rie tetr-, lu nri t à la lîorre Saint Fi erè eu J^g Vingi-’leùx Ar- penls. cad,i*flf?s,Jeetion A, i.° 10 ;

4* Q i i r z | ar|s cinq centiares de terre, lie i#il Ha So'c riu Moutrolle, cadas'résjsect'ifi A, i.° 236

5° On® a r r | trente centiares de terre, liifdit laTo-ne à L’zou ou la 'Serrurièffi, cadastrés section A, r,0 559 ; f J

6" S(*ti. te.qnairo arés quatre- vingi-laizd .centiares de terre, lifn- riit la Sllrt do Montrolle, a prendre du rô u f u t et sur 1» partie la plis longue dans une p’èce d’une coute- nancad'UihK indivise avec Madame L ero f cadastrés stetion A, n0 271 ;

7 'Ê u aran iee t un ares soixante ei O 'z tvee 'baros de terre, lieiïri't ha Piéri des Lorrains tenant d’un côté Monsieur Btubi -r, d’autre côté Mon­sieur le comte ri’À 'y, d’un bout Mon­sieur An bry, et u’ature bout Monsieur le cjimte d’Aey, cadastrés seel on A,

531 ; t8| Un heclaie t ren te - t ro is a es

quaranb-trois {centiares, au m ène lieudit,'enant tj’uu côté Monsieur le comte d’Acy (hois rie Ronrohï), d’a i - trejcôté M. Baèier, d’un bouta Mo», s ie lr Paul ça fttu d’Acy, et d’antre bout à Monsieur le comte d’Aey et Monsieur Migmt, cadastrés sect o i A, n° 441 ;

90 Ternie açs quatre vingt-cinq centiares de t»io, lieudit Entre le Saut de Nogeo&xfctotrés section C,

130 ;10° Trerte tro s rjfes trente cen­

tiares de terre, IFuriit Jes Hautes' Bornes, cadastrés section B, n° 19 ;

11° Vingt-sept ares quatre- vingt centiares de terne, brunit le < h “inin du Bois ou la Sente.des Rourreltiers, cadastrés section B, iP |g2 ;

12° Et trente deux arcs do terre, lieudit la Foss» a L z m, ct ria irés section A, n° 563

Moyennant, outre les cha 'ges, clauses et conditions énoncées au dit contrat, le prix principal rie ner//' m ille francs, contrat en mai is ;

Avec déclaration h Monsieur le Procureur de la République ;

Premièrement. — Q m ladite noti­fication lui était fait», conformément aux dispositions rie, l'article 2194 du code civil, ali'1 qu’il eut à pr-n 'io, s’il la jugeait, à ompos d a m le délai de la loi et au proti rie qui rie il iod, tontes inscriptions d hypothèque lé­gale, sur les immeubles ci- le»sin désignés, faute rie, quoi lesrids im ­meubles seiaient et demeureraient libres 1 1 purgés rie toute hypothèque de cette nature ;

Deuxièmement. — Que le» anciens propriétaires, optai ios v e t i ie t f s . étaient :

Pour la totalité d< s immeubles : H'mri-Bor ard Gibert ;Pour les artic'es 1 ^ 5 :La communauté d'entre H ’nri-

Bernarri Gibret et daine PauÜne- Claire Fournier, son épouse ;

Pour les art d e s 1 et 2 : Pierre-Casim r MitimilRi ; hiriore-

Z i harie Minn fi t, Victoire - Cons­tance. VinoiriV't. épouse de Antoine Maury, François - Aimé Minonfi •(..

E'Ilri

Art. 5.

H® L . C h s i s l a i n g ' ,>oaé à Sen lis ,

Cxtra t le Jugement de Divorce.D’un j gemeht contradictoirement

rendu p . r le Tribunal civil de pre- m ère i ' - l a n c e séant à Senlis, le douze novembre mil neuf cent dix reuf, enregi tré. signifié et passé en force de ch ’se jngee ;

Entre Mo' sieur Adolphe M IEL II, co l l e r , ib mourant à Crril, 1, rue rie la Répub iquo ;

Demandeur comparant, concluant et plaidant nar M* L. Chastaing, son avoué constitué ;

D’uno part;Et Madame Julie Louise SAUVAI,,

épouse riu ht Heur MIESHl, avec lequel pl'e e . t domt< lliée dé droit à Creil. mais autoiisée A résider et ré- - L a n t rie fait aux Sab'ons, commure rie Verurnil, chez son père ;

Défenderesse c o m p a ra n t , roq- c luar t t t plaidant par M® Escavy, son avoué comlitué;

D'autre pari;Il appert :

Que le Tribu uni a prononcé, de p la io le divorce d’e r t re les époux M esch-Sauval, à leu’S torts rfei- paoqnes.

Pour insertion,3021 Signé : CHASTAING.

G R A N D L A V O I R(60 p la ce s ) , ,

{■ c o n s t a n c e s e t D é p c n d c n e>

J y f i s e à p t i x : 1 2 . 0 0 O f r .

S'adresser pour les renseigne­ments :

A W» !H oran < l? avoué, et, à M» P e t i t , , no ta ire ù Senlis , réd ac teu r e t dépos i ta i re du cah ie r lies ch a rg es . 3032

Art, 6.

Elude de M* I . C H A S T A I N G ,avoué à Senlis.

Retrait de Cautionnement.

Suivant acte dressé au Greffe du Tribunal civil rie Senlis, le quatorze fé v re r mil neuf cent, vingt. nn'çgis tré, Monsieur P aiu.-Maiui; DESAU1K, ancien notaire a la lésidence de 1’reil, a déclaré avoir c ssé ses fonc­tions rie notaire a la dite résidence et 6 ro dans l’intention d'oj orer le retrait de son cautionnement.

Pour insertion,3020 S 'gné : L. CHASTAING.

Aux 7

E lu d e de M® P e t i t , n o ta i re à S en lis ,

Suivant a ile reç t par M0 Pelil, n o ­taire à Senti-', M. LUBIN, d 'O ry - la - Y'tlle, a cédé à M Marins GOU MAS, île Paris, l e r o n d s <1<» c o i n m e r c e «le b o f t r r e l l e r i e qu’il exploitait à Orry la-Ville.

Domicile élu pour les oppositions ù Senlis, en 1 Etude de M» Petit, iibtatro.

Pour detixièm) avis :.3 02 PE HT.

Etude ri>. Al l 'O T E N f T E R , grtfiier de paix à Pont-S e-Maxenee.

SECOND AVIS

S u ivan t ac te sous s ig n a tu re s pr i­v ée s 'on (lûtô (tu dix février mil neuf vont v ing t , .Monsieur Éugèuo C R E S S O N o t Mme M arie BER Y, sou épouse,, d e m e u r a n t e n sem b le à l ’ont-Suin tc-M axcnce, o n t vçndti à M adame C ha r lo t te D O U V IL tiE , d o m eu ran t à Paris, rue T héodore- ric-Ranvüle, n° 22, veuve tic Mon- siottr Adrien CARON, l e T o o t l s «le coin m o r c e «le «’n l V t ' e r - H e» .t* ii r« t4 e(«r qit’i lsoxplotta iq tj t à Pont-B n in te -M axoneo , nvetuto de la G are, n° 27.

Les oppositions, s ' i ly à lieu, (te- vror it ê tre faites dan s les dix jotlP.S

E tu d e do y * S A V A R Y , avoué à Senlis.

V E N T E S U R L I C I T A T I O Nau plus odrant

t t dernier cnchén'sseur,D’UNE

s i s e à SEN LIS,ru e do la R ép ub liq ue , n° 10.

L'adjudication aura lieu l e M A R R I 9 VIA U S 1 9 2 0 ,

à quatorze hew es, en l’E tude do M* VAZEAU, no to ire

à Senlis .

S'adresser pour les renseigne­ments, à :

1° M* G a * e a u , nota ire à Senlis;2° ,VP S a v a r y , avoué à Senlis .

Etudes rie ;M' I o u ï s v M’C A V Y ,

docteur en drr.it. avoué à Senlis, 7, rue de VdlevrrL

M® G A L O Y , r.otairc à Prècy,M® R A K n i i U . r o ' q r e à Çrei'.

? E N T E SÜ R L IC IT A T IO Naux e n c h è r e s pub liques

aa mus tiïîraat et lerjler eicüêrtsseiir«le s u n e

MAISONa v e c V o n t ' , *3a r t ! i n ,

r i i j f c p c n i l a i t r est

s i s e à C t I T E I LQuai d’Amont, n° 61

L E H l M H I " VI V M S 1 0 2 0àJvojs heures d; relevée

EN LA M A IR IE DE C R E I Let par lé nrnislôro de 51' GVLOY,

notaire à Précy-s ir Oise.

S ’adresser pour les renseigne­ments :

1° A VP t o u i i f s e n v y , avoué, poursuivant la vente;

2° A M» L u c i e n C h a s t u i n g , avoué, présentA la vente;

3° A H» L o u i s R t i r U l e r , notaireà CtQil ;

4“ A XI» F m l e G t t lo y , not l eA Préey sur-Oisc, ré lacluur t t dé­positaire du cahier Jés charges.

A'exandritf-EngéntftM nonfM.vt.iive qui su iv ro n t la p r é s e n té p u b l icarie Auguste » Uax nrlii o D isvile , Louise-Vic'orjné ' iiim tiu , épôu-e rie, Vtcto» Th'oi'hpe Murmn ; i /on ie- Eh-a Vinouil t. eporpft iig t'onstant Destriez, les cinq mine,i s ismi-i riu m anase d’e ' t r e Pierre (’amn r Mi- noufiet, décéd», et Maria - Louise Charpentier, son épousa survivante ;

Pour les arhcb’s 3 4 5 ;Christoph '-A|' xanrire l.-gran 1 et

Elisabeth - Clou de ' À'ignstinc Bon- dault, son épouse ; -

Pour les rr'd'î'es 6 à (» :Franç'ri e Bennçzp.n, veuve' ri»

Bernard G!bpn ; la communauté Gi-bert-Benqezon. .jL.

Trois,l’imenietil. -»■ F' ( !11 m' connaissant ooox riu chefdesqiie's ins''iptJon d’hypo hèapie légale pourrailË're (hise sur l'es im

tion, en l'éttrde do Mc Po tenc ie r , Greffier dé Ptiix, où rionilcilo a été élit à c e t effet.

P o u r second avis ; 2992 P O T E N C IE R .

A r t . 3.

Etudes de MB L u c i e n C h a s t a i n g igIR. avoué b senhs (Oise), rue Sainle-Gehi vi* vo,

successeur de M' SAINTE-BEUVE,

DES

D E S IG N A T IO N5Ï

M I S E S A P R I XIMMEUBLES A VENDRE

I. — L a t o u t e p r o p r i é t é d ePremier lot.

U n e M a i s o n , sise à Gouvieux, I au coin de la rue de la Mairie et dé

COM PTOIR CENTRALD E S -

F O N D S D E C O f t f l f r i E R C E1), rue lim o n ,

V i n o e n n e s .

PREMIER AVIS

Sultan! acte sous sium,pires Pr i- vées, enregistré, Mariemois' Ho -Ma rtne W ESSENCE a cédé aux époux

mmibbsci- 'lésésdésignés,Monsieur I CharlesCUOLdU *IX VÉRIN b : f o n d s Bonfilurd f-Vaiipubli r ladite not'fi d e x i n s - C u r é - i i q u é u r s « v c e cation datts ni journal d’annonces j s r é r f t u c e «INm d é b i t d e T a b a c , judiciaires, coiuormément ii t’av i - riu I uxp oité jiar elle b Go vieux, 9, rue O s a r l d ’Etet Pus 9 mai et l r um de Grei1. Prise de possession au

Eludede U' G V/ F.AU, nolaire à S.'tihs.

4 I i . l t I I 5 ) B 4 ; A T i 4 h \l,o DintHiiclio I I M a r s 1920 ,

à Gi heures 30, en la Mairie de Porriarmé,

D’UNE

B Æ A . I S 0 3 M

a y e c J a r d i n

si-tc à U o n t i r i n é , Roule Naliqrale, t.» 5,

d é p e d a u t . d t la uccesoion de Üladam ï IIYAHD.

" '-5" v-S ’adressrr :

rà 'jT 'uns renscigu mer.ls, à .H* G t t z c a i t , notaire.

Ei [iour visiter, h M. LAUVAUD,

l ( D im anche 20 T err ier 1020 ' à une h- yre 11 d, mu

DE

61 lient. 95 ares 9 4 cent,DE

t e r r e sB o is et P la n ta t io n s

situés lerroT-i do I l a r ^ n y , C i i v c c g n o h ,

O r m o y - ' e Dit v l c n I . é ' i g n e n , Heiz; r t t l o t i i f i a r i e y ,

E N 33» L O T Squi pourront être réunis au gré

des amatt u s.

Pour tou* ren w gricm ■'nR,s’a d re s - , s r r à M« MEZlElig, nolaire à Retz.

2982

’llude de H® V t i l l é c , notaireà C répy -en -V a 'o is .

A djudica tion Votontairel e S A M E D I G VI A I IS 1 9 2 0

à 2 heurts, en 1 EUtJo,

C A R D E L I E

AVEC GRAND PARCdo 7 h e c ta r e s

s i s e à O U lV O U Y ( O i s e ) ,b 70 IP’nm, de Paris,

sur la ligne Crépy \ Ccmpiègne,

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B o i s d e 1 6 h e c t .le r i* >tr «le l é i i » n c n , y

ptèt Crépy, lieu dit « La Mqp ' û ».

Pour loirs rcnse’gnrments, s ’adres­ser à Md Y a l l c e , notaire. 3018

E.udo rie M® T in R O L T V , notaireà Aey-en-Multien (Oise).

A VENDREPAR APJUUtl'.ATiO.V vqpoXTAIRB.

A ACY-SN-Y ULTIEN en 1 Etmle «t par le n in is 'ère

rio .YR | hirouin.L e D im u n c l tu 21 SRirs 1 8 2 0 ,

à quatorze heures,

U N E M A I S O NA V E C J A R D I N

l ia JARDIN iil iu §5 ccnt.-MS il A ( Y - E N - M U L T I E N .

E lude le ,11 S o u i M l e l , n o ta i reà Por t Sait le -M axenoe .

C o m m u n e de T o n lp o in t.

Tt v en d re a u x cn c lière»p«il>li« |i irs

Lo I)i inan chu 29 F é v r ie r 1920à i h< u n s de relevée,

en la fal 'c do la Mairie de Snj tq; rvais,

p a r le ministère de M« SQURDEl, nolaire, ’

U I V E L I A I S O Nsituée A S a in t-G ir r v a i s ,

commune do Puttpoirt, rue B irse.p o u r

chair m à Pon'armé; 30 2 8

3019Pour insertion l égr le :

Signé : L. CHASTAING.

urge d ’H y po thèques légales.

Suivant exploit du ministère de M® Lenoir, huissier à Senhs, en date du vingt février mil neuf cent vingt

uregistré.El i» la requête de Monsieur Emile

Boufi1e®d, propriétaire, demeurant â Acy en-Muttien ;

Elisant domicile en l’étude de Me Lucien Chastaing, avoué à Senlis, rue Sainte-Geneviève ;

Notification a été faite h Monsieur le Procureur de la République près le Tribunal civil de première instance de Senlis (Dise).

De l’expédition d’un acte d essé au greffe du Tribunal civil de première instance séant a Senlis, le vingt d é ­cembre mil neuf cent dix-neuf, enre­gistré, constatant le dépôt fait audit greffé le môme jour par M‘ Chastaing, avoué à Senlis, de la copie colla- tionnée par lui, certifiée véritable et enregistrée, de l’expédition d ’un contrat reçu par M® Thirouin, nolaire à Acy-er.-Multien, le vingt cclobre mri neuf cent dix-neuf, enregistré, contenant par : 1° Monsieur Gustave- Paul Gibert, industriel, veuf de Ma­dame Félicie-Eugénie Aline Barbier, demeurant a P an s , avenue de Suf- fren, n” 135 ; 2'’ «ons eur Albert- LouisFenwiék, négociant,c tMadame Bertbe-Pautine G bm t, son épou-e, qu’il a assistée et autorirèe, demeu­rant ensemble à Paris, 15, rue deVaugirard ; 3° Monsieur Edmond Bernard Gibert, veuf de Madame Marie-Amélie-Renée Lemonnier, d e ­meurant à Paris, boulevard de Cha-

RU |quinze mars mil neuf cent vingt.

Les opj Dirions, s’il y a lieu, se-1 ront reçues d»us les dix jours au p'us lard de la deuxième public t on. eu I étude de M® Maurice Lei.o.r, huiss er à Sai.lts-

A r t . 4.Le Crmptoif Gentral, fondé en

1905; s'occupe tout particulièrement des ventes et achats de bon is rie Commerce en tous genres (t q 1 e le qu e-n sel rimp-etfinee, d tn s 10 se et ttolaitiiti ni dans la région de Sinïis.

Les vendeurs peuv u 1 s’y adresst r en toute ; sécurité, .Discrctiou ..(t

D’un jugement coalradictoirement I solution i a.tidm

Euide de SI' G e o rg c tn t lO H A N D ,licencié en droit, avoué à Senlis,

rue Saint Hilaire, n° 10.

DIVORCE

Etude de 31' G o z e a u , notaire à Scn i?.

V e n t e M o b i l i è r eLe Dim vnclte 14 Murs 1920,

à 14 heures,. P o n t a r m é , Route Natior a'p, i.° 5,

au donvci.'o de ^lm, 1IYARD.

Tab'es, buffet, chaises, fauteu ls, armoire, cotninodc, li garni, q rie ménage, garniture de ebenrnéu-, motrire eu cr, et autres objets.

A u C o m p tau t , p lu s 10 0 /0 .

S'adresser pour tous-renseigne­m ents. à 31' G a / . e a u , no'aire à Senlis. 3029

rendu bar le Tribunal civil de pre­mière iislance de Senlis, le vingt deux octobre mil neuf cent dix neuf, enregisiré

Entre ladame Léoutine SAUQUET, épouse 4e Mcwishur Desenhs, ci après noumé, jiveo lequel elle de meure dt\dr()ii, mats autorisée a résider et résidant de fait à Pierre filte, imparsc Saint-Maurice, nu méro 36 ;

Dcmandçresse «somparant, con ciuant et plaida*! par M' Georges Morand, 60,1 av°i>é constitué ;

D’une part ;Et M o n s ie u r Georg s DËSENLIS,

cuhivotenr, d1 meurant à Gdlocourt ;D é fe n d e u r comparart, coi.cUia.nt

et piaulant par m» Louis Esiavv, sou avoué constitué ;

D’autre part ;1, a p p e r t :

Que le divorce a été prononcé d’entre les époux Dasenli -Sauquel, à la requête et au profit de Madame

*Jes n '1:> Pour extrait :Signé : MORAND.

Et enregistré- 9031

Renseignementsgraluitsanx arqué- j reurs. (O -casions r é r c u s ' s acUuriie- mçnt). 3034 E n ie de 31e La, s i o i è , notaire

à Se t, h s.

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et de 31' P E T I T , notaire à Senhs.

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Etude de 31® É ZIÈH F,,à Betz (O sc)

Notaire

A djudication Volontaireen 1 Etude et par le m in i r è .e de

M' MÉZIÈRE,

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Enregistré à Senlis, Reçu

I Imprimerie Administrative et C om m erc ia le de Senlis. A 11. plaice de l’HAtel-l’Hèiel-da-YiUaT'

tttretteor-AéRiaMNlâàe

Supplément au Courrier^ de/ ’Q<> <ln -i».» Février 1920.

A Travers SenlisSoirée Récréative

Littéraire, Artistique et Sportivedonnée le SAMEDI 14 MARS

à 20 h . 3 0 précises,AU T H É Â T R E DE S E N L I S

par la S ec tion de l ’U nion N a tio n a le des C o m b a tta n ts ' de Sen lis ,

— ORCHESTRE —

Conférence par M. I. PRÉVOST, secrétaire générai de la Coopérative de Reconstruction Senlis ienne, sur Les Sports e t la C ulture p h y s iq u e m é d i­cale.

Démonstrations théoriques par des boxeurs sur l’entraînement physique par la boxe.

Assauts de fleurets, d’épée de combat et de sabre par des amateurs et des pro­fessionnels.

Petite saynète comique et orchestre.Nous ferons connaître ultérieurement

par des affiches et programmes la compo­sition exacte de ce spectacle q u i est public, disons de suite qu’il est à la portée de tous et peut être vu par tous.

Ajoutons surtout que le produit de la séance doit être affecté à la souscription pour l’érection d’un Monument aux Morts pour la France de notre Commune.

La location sera ouverte au Théâtre dans la semaine du 7 au 13 mars. Les membres de la Société bénéficieront, s’ils

* le demandent, sur présentation de leur carte, d'une réduction de SO 0/0.. Nous donnerons d'autres détails dans

notre prochain numéro, mais, dès mainte­nant, nous encourageons vivement nos concitoyens à répondre en grand nombre â l’appel des Combattants.

—♦----------

Trop tôt le Printemps !La température priutannière dont nous

jouissons depuis le commencement de l’année provoque partout une avance trop sensible de la végétation.

Aux environs, pêchers et abricotiers sont en pleine floraison. Quoique plus prudents, poiriers, pruniers, cerisiers gonflent déjà leurs bourgeons ; en grande culture, les blés sont trop avancés pour la saison, aussi agriculteurs et arboricul­teurs ne sont-ils pas sans inquiétude, car des gelées un peu fortes, toujours probables à cette époque de l’année, ceu seraient des dégâts forts élevés.

Le prix des peaux de lapins.On nous annonce que des peaux de

lopins ont été payées récemment dans les environs 7 à o f r . pièce.

Dans tous les cas, les belles peaux sont côtées en plusieurs endroits 5 francs. Que nous voilà loin des prix d’avant-guerre.

C’est que les peaux de lapin ont des utilisations chaque jour croissantes. Les fourrures, le feutre, la fabricatiou de la mélusine, en absorbent des quantités con­sidérables. Mais une industrie nouvelle —- en France — va en utiliser davantage. Il s’agit de cuir à chaussures. Le cuir fort de lapin remplace très bien le chevreau.

Déjà, avant-guerre, les Allemands en faisaient des bottines Et dans un dessin que nous avons sous les yeux, il résulte que dans la peau d’un vieux mâle, on peut trouver les pièces nécessaires pour faire une paire de bottines, moins lesse m e lle s n a tu re lle m e n t .

Avis à nos petits éleveurs qui peuvent trouver dans l’élevage des lapins des res­sources non négligables.

20.

23.

et Mlle Eugénie-Ernestine lîois- sard, sans profession, demeuant à Senlis, avenue de Compiègn/.

M. Marcel - René • Bienaimé léel, techiicien, demeurant à Montéuil. sous-Bois, et Mlle Francine-Ahélie Pittet, sans profession, demiurant à Senlis.

DécèsM. Charlemagne Sénéchal, fi ans,

facteur retraité, rue du Fmnourg Saint-Martin, i .

Mme Marie-Odile-Philomène Te- naitlon, veuve Degenne^SO ans, blanchisseuse, rue des Cordeliers.

Depuis quelques jours, on signale la disparition dans certains endroits de notre ville, de descentes de gouttières en fonte. Ces vols ont lieu la nuit.

Notre commissaire de police M. Combes et ses agents font une surveillance active pour mettre la main sut les malfaiteurs.

Thiverny.Fièvre aphteuse.

M. le Préfet a pris un arrêté de décla- tion d’infection de la fièvre aphteuse qui a fait son apparition dans la commune.

Etal Civil de Senlisdu 18 au 26 février 1920.

N aissancesif. — Simone-Mathilde-Octavie Hédehn,

place de la Halle, 14.21. — Paulette-Henriette Lagache, ruelle

Saint-Tron.22. — Nicole-Marie-Monique Audy, rue de

Villevert, 9.24, — Marius-Auguste Didelet, impasse

Courtillet.M ariages

21 , — M. Georges-Louis Blin, tourneur, dem euran tàSenlis .rue des Vignes,

G R E I LVol de m achines à éc r in .

Le Capitaine Hermant commissaire ré­gulateur, chef du bureau du ravitaillement de Creil, avait dans son bureau deux ma­chines à écrire (Underword) d’une valeur de 2.400 francs. La nuit, un malfaiteur a enlevé ces deux machines. Ayant pris soin de laisser les coffrets à la place qu’elles occupaient, ce n’est qu’au moment de s’en servir qu’on a constaté la dispari­tion, c 'e s t - à -d i re t r o p ta rd p o u r pouvoir utilement faire les recherches avant qu’elles aient été emportées hors de Creil.

A tta q u é et dévalisé.Un militaire anglais Jacques Clack^âgé

de 23 ans, caporal d’artillerie R- F. en station à Etaples (Pas-de-Calais), se trou­vait à Creil venant d’Etaples et se rendait à Paris. Il était 20 h. 30 et il cherchait un restaurant pour y dîner. A l’angle de la place Carnot et de la rue Jean-Jaurès, il fut accosté par plusieurs individus dont l’un parlait anglais. Avant qu’il n’ait pu dire un mot il fut saisi par le cou, jeté à te r re ; pour l'empêcher de crier on lui comprimait la bouche. L’un des individus lui porta un coup de couteau au bras, gau­che, tandis que les autres fouillant les poches, lui prenaient son portefeuille contenant 400 francs en billets anglais d’une valeur de 100 fr. chaque et pour fOO fr. de petites coupures et de mo.nnaie.Il a été impossible jusqu’à présent de découvrir les auteurs de cet attentat. On croit que ce sont des nègres qui ont fait lecoup .

V ol dans u n dépôt m ilita ire .M. Berthelier, officier d’administro-Uon

chargé de procéder à la liquidation du matériel militaire à Creil, est venu déposer chez M. le commissaire de police, une plainte en vol. On avait dérobé au dépôt plusieurs objets, et notamment des pail­lasses.

Une rapide enquête de M. Mézy amena bientôt la découverte des coupables et l’arrestation de Marcel Boulogne, 17 ans, manœuvre à Creil.

L’un de ses complices, Lucien Déranger a cru prudent de prendre la fuite.

D’autres personnages sont inculpés dans cette affaire : Charles Seret, verrier, et les femmes Dupont, née Brauer, et Caussay, née D ebaut demeurant tous àCreil. , ,

C’est à M. Barbier, employé de 1 octroi à Creil, que l’on doit la découverte du vol et des coupables. En effet, intrigué par leurs allures, il les interrogea et sur leurs réponses suspectes les signala à M. Ber-th e l ie r . ... a

B o u lo g n e a é té m is à la d ispos i t io n de M. le P r o c u r e u r de la R ép u b l iq u e .

CHANTILLYLes lads ont reçu sa tisfac tion .

L’accord eft conclu, à Chantilly, entre les entraîneurs et leur personnel. Les deux parties ont accepté un contrat de travail qui tient compte des justes reven­dications des lads, tout en sauvegardant les intérêts des propriétaires confondus avec ceux de leurs représentants immé­diats, les entraîneurs, dont les charges ont été accrues, avec le plus de modéra­tion possible.

Les salaires fixés en octobre 1919 ne sont pas augmentés. Toutefois, le nou­veau contrat de travail garantit aux lads les avantages suivant : une indemnité de 1S francs pour les déplacements dans la région parisienne ; une indemnité de 5 fr. lorsque le lad devra coucher hors du cen­tre d’entraînement ; une pour l'entraîne­ment des chevaux sur l’obstacle; un droit de 1 pour 100 sur les gains des chevaux qu’il entraîne ; un jour de congé par mois. De plus tes entraîneurs paieront les journées de maladie des hommes logés et nourris. Ils s’engagent, en outre, dads la mesure du possible,à prendre leur person­nel au bureau de placement du syndicat.

B E T Z

Cuvergnon.Le pauvre h o m m e a perdu 5 0 0 fra n cs.

Dans un fourré du bois de Coyqlles, on a trouvé un breton J.-M. Jannic, 37 ans, sans domicile. Le pauvre homme avait quitté Chaulnes avec un pécule de 1.200 francs, en cours de route, il avait perdu 500 francs en forêt et avait dépensé le reste pour se nourrir.

Sans gîte et n’ayant plus de sous, il a été arrêté et conduit à la maison d’arrêt de Senlis. ___________

Rouvres.Fièvre aphteuse.

Par suite de l’existence de la fièvre aphteuse, M. le Préfet a pris un arrêté déclarant infecté tout le territoire de la commune.■ — ------------

O E É E Y

La Journée de C répy-en-V alois.La ville de Levallois-Perret a adopté,

au mois de novembre dernier, la ville de Crépy-en-Valois. Le Conseil municipal de Levallois-Péret vient de décider d’ouvrir immédiatement une souscription publique et d’organiser, le dimanche 7 mars pro­chain, une « Journée », dans le but de venir en aide à la malheureuse cité victi­me de la guerre.

La « Journée » du 7 ma: s comprendra une vente de médailles commémoratives par les enfants des écoles et les membres des œuvres de bienfaisance.

ceau de bois enflammé dans un tas de copeaux derrière la porte de la mansarde.

Mme Marcel, informée de l’incendie par une voisine, s’élança dans lê grenier pour sauver ses enfants Elle y réussit non sans avoir été brûléeà la figure par les flammes; la petite Marguerite eut le corps légère­ment léché par le feu.

Les pompiers de ville, aidés des pompes des usines de la ville et de la gare, prêtè­rent leur concours pour coopérer à l’ex­tinction du sinistre qui aurait pu prendre de graves proportions

On ignore le montant des dégâts qui sont importants.

Verberie.

Russy-Bémont.Fièvre aph teuse .

La fièvre aphteuse a fait son apparition dans la cornmune. M. le Préfet a pris un a r r ê t é de déclaration d’infection.

Sainiines.E p id ém ie de scarla tine.

L’école des garçons, depuis trois se­maines, et la classe enfantine, depuis quinze jours, sont fermés. Les maîtresses et maîtres sont atteints de scarlatine.

Trumilly.Fièvre aphteuse.

M. le Préfet a pris un arrêté déclarant levée l’interdiction qui pesait sur la com mune par suite de la fièvre aphteuse,

N E U IL L Y -E N - T H E L L E

Uüy-Saint-Georges.Un cadavre dans une carrière.

On a découvert dans une carrière, le cadavre de Crépy Laure, qui habitait dans une excavation de cette carrière. Presque aveugle et vivant séparée de son mari,elle pa ra î t ê t r e m o r t e de m i s è r e p h y s i o l o g i q u e . bo Dr Andrieu, de Neuilly-en-Thelle, qui a examiné le corps, n’y a relevé aucune trace de violence.

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P O N T - S te - M A X S N C EV io len t incendie.

Un incendie a détruit en partie les im­meubles contigus à la gendarmerie et portant les nos 42, 44 et 46 de la rue de la République.

Le n“42, qui appartenait à M. Gradelet, a eu une partie de son toit brûlé ; les nos 44 et 46, qui ont comme propriétaire M. Villeret, ont été plus endommagés : leurs toits sont brûlés et les plafonds sont à refaire.

L’enquête à laquelle il a été procédé par la gendarmerie, a révélé que le feu avait été mis par la jeune Suzanne Marcel, âgée de 5 ans, qui avait eu la mauvaise pensée d’allumer un copeau à la lampe pigeon pour aller voir ses jeunes frère et sœur qui étaient couchés dans la man­sarde. En revenant, elle avait jeté le mor­

Un drame sanglant.A la porte d 'u n bal u n je u n e h o m m e

est grièvem ent blessé de d e u x coups de couteau. — L e m eu rtr ie r est

arrêté à la gare de C om piègneUn drame sanglant s’est produit l’autre

Dimanche soir, vers huit heures, à la porte d’un bal à Verberie et a mis aux prises deux jeunes gens qui courtisaient la même jeune fille Dans un accès de jalousie, un de ces jeunes g e n s , p re s q u e un gamin, puisqu’il n ’a que quinze ans, porta à son rival deux terribles coups de couteau, brisant l’arme dans la plaie, et prit la fuite. Il a été arrêté lundi matin en gare de Compiègne au moment ou il s’ap­prêtait à prendre le train sur la direction ée Ribécourt.

Rivalité entre deux jeunes gens.Le héros de ce drame, un nemmé Her-

baut Marius-Jutes, ouvrier menuisier, né à Yerberie, travaillait depuis quelque temps à Compiègne chez un entrepreneur de menuiserie près de l’usine à gaz ; chaque samedi soir il s’en allait chez sa sœur, demeurant à Verberie. LA, dans ur. bal, il avait dérnièreme: t fait la connais­sance d’une jeune fiHe, Gisèle Oger, dont il s’était vivement épris ; or, il n ’avait pas été sans remarquer qu’un autre jeune homme, Gabriel Delvoy, lui faisait les yeux doux ei contrebalançait dans le cœur de la belle son influence ; il en avait éprouvé une grande coutrarirté et un vif sentiment de jalousie avait germé dans son cœur.

Dimanche 1er février, Marius Herbaut se trouvant à Verberie, dans l’après-midi y avait fait l ’acquisition chez un marchand de ta b a c , M L ê p in e , d’u n c o u te a u à c r a n d’arrêt, qu’il voulait garder à titre de souvenir disait-il.

Ainsi armé de ce couteau qu’il dissimu­lait dans sa poche, if faisait, vers huit heures, son entrée dans le bal. A ce moment là, son amie, Mlle Oger, dansait avec son rival, Gabriel Delvoy ; .en les aperçevant ensemble le jeune menuisier pâlit et, la danse terminée, il aborda Mlle Oger à laquelle il réclama la faveur de la prochaine danse. Mais parfaîtement, Ini répond t elle, et si vous voulez nous pour­rons nous expliquer dans la cour.Scène dramatique à la porte du bal.

Les deux jeunes gens sortirent ; quel­ques instants après, Gabriel Delvoy, assez intrigué, les y rejoignait et, d’un air quel­que peu gouailleur, il s’écriait en s’adres­sant à Herbaut : « Eh bien, que veut ce jeune homme ! » Que se passa-t-i! à ce moment ?

Aux dires de Marius Herbaut, Gabriel Delvoy aurait accompagné ces paroles d’un coup de poing en pleine figure, c’est alors qu’il aurait, lui, sortit son couteau à cran d’arrêt et qn ’il en aurait porté à son adversaire deux coups. Ces coups fu­r e n t si v io le m m e n t donnés que l’arme se brisa dans la plaie ; la victime tomba comme une masse contre le m ur de la cour baignant dans une mare de sang.

La scène avait été si rapide que les quel­ques rares témoins n’eurent pas le temps d’intervenir. Son coup fait, Herbaut se sauva. Dans le bal l’émoi fut très vif, on le conçoit ; on se porta au secours du mal­heureux Delvoy, on .le pansa et en le transporta à l’hôpilal. Son état était ex­cessivement grave. Des jeunes gens se mirent à la recherche du meurtrier, mais ne le trouvèrent pas ; leur indignation était si $rande qu’ils l’eussent certaine­ment lynché.

Cynisme du meurtrier.La gendarmerie fut immédiatement avi­

sée et ouvrit une enquête. Le meurtrier était allé se cacher chez sa sœur, où il avait passé la nuit et dont il s’était em ­pressé de quitter le domicile lundi matin dès la première heure pour aller prendre le train à la gare de Longueit-Sainte- Marie. Les gendarmes qui avaient retrouvé le manche du couteau, arme du crime, dans le jardin de M. Courtois et qui avaient

LE COURRïEll DE L'OISE ------------- -— - —a, _

suivi la piste de Herbaut, en informèrent, par téléphone, la gendarmerie de Gompiè- gne.

Sans perdre une minute, le maréchal dee logis chef Larminach accompagné d’un de ses hommes se lança à la recher­che du meurtrier et fut assez heureux pour lui mettre la main dessus, à onze heures, dans la salle des pas-perdus ae de Compiègne.

A son arrivée dans notre ville, Herbaut était allé chez son patron se faire régler, avait pris ses outils et se disposait à par­tir pour la région de Ribécourt quand on l’arrêta. Il a fait les aveux tes plus com­plets et n ’a manifesté aucun regret de son acte, bien au contraire; il ne paraît pas, d’ailleurs, se rendre compte de la gravité de son geste. Il a été conduit au parquet où Monsieur le Procureur de la Républi­que l’a fait écroué à la maison d’arrêt de Compiègne, et transféré le lendemain à celle de Senlis.

Quant à la victime, Gabriel Delvoy, âgé de 19 ans, cultivateur à Yerberie, il a été conduit à l’hôpital de Royallieu. Les deux coups de couteau ont pénétré assez profondément à l’épaule gauche, mais son état est aussi satisfaisant que po ss ib le .

Salnt-Vaast-de-Longmont.D ém ission d 'u n conseiller.

M. le Préfet a accepté la démission de M. Hippolyte Polin, conseiller municipal.

S E N T A I SA u m o n t .

A u Conseil m u n ic ip a l.Dans sa séance du 13 lévrier dernier, le

Conseilmunicipat.comptaut neuf membres présents sur dix conseillers en exercice, a décidé l’érection, par souscription, d’un monument à la mémoire des morts pour la patrie, de la commune.

Il a également décidé, à l’unanimité, de porter de 80 fr. à 120 fr. le prix d’une concession perpétuelle de terrain au ci­metière.

Le nouveau plan du cimetière, dressé, est approuvé.

L’Assemblée, en outre, sur la proposi­tion de M. Cailleux, maire, a décidé de fa i re c é lé b re r la fê te p a t ro n a le à son e m ­placement d’autrefois, en forêt d’Halatte, au lieu dit « Place de la Fête d’Aumont ».

PlaillyF o rm ation d’nne Coopérative.

Dernièrement une foule nombreuse s’est réunie à Plailly, dans la salle des adultes, sous la présidence de M. Henry Girard, Conseiller municipal Chevalier de la Lé­gion d’honneur, assisté de M. Jean Benoist adjoint au Maire, en vue de la formation d’une Coopérative dans la Commune.}

M. Girard ouvre la séance et forme le bureau.

Il excuse tout d’abord, M. Bouchard, Maire et Président de la Société, de ne pouvoir assister à cette réunion, empêché par une maladie qui le retient chez lui, depuis quelque temps.

Ensuite il expose, d’une façon claire et précise, le but de la Société, son organi­sation, son affiliation à l’Union des Coopé­ratives et les avantages que chacun pourra en retirer.

Il rend compte qu’il a visité l’entrepôt de Compiègne et plusieurs succursales où il a remarqué une organisation parfaite ; ses meilleures espérances sont donc fon-

s u r <le P l a i l l y . C ’e s t d ' a i l l e u r su n e œ u v re eu c o m m u n , so l id a ire et hu- manitaire.

Il désirerait que les commerçants de la localité ne soient pas trop lésés dans cette affaire, en plus de leurs marchandises ils pourront tenir les produits qu’on ne trou ­vera pas facilement à la coopérative et faculté leur sera donnée s’ils le désirent de s’y approvisionner.

Ensuite il donne la parole à M. Mailly, qui explique le fonctionnement de la So­ciété. *

A dhésions. V ersem ents. Dém issions.L’Union des Coopératives acceptent les

adhésions de Sociétaires, moyennant un- premier versement de dix francs. Le corne plément de l’action soit 90 francs, doit ètr versé de préférence à raison de 1 franc par mois au minimum.

Les Sociétaires profitent des avant âges suivants :

I ” Ristourne de 2 0/ q sur les achats ef­fectués dans les magasins de la Société. Cette ristourne est versée sous forme de bons à prendre en marchandises dans las

magasins coopératifs de la Société, ou à verser à valoir sur l’action ;

2° Restitution, en fin d’exercice, des trop perçus réalisés par la Société ;

3 e Les Sociétaires ayant complété le versement de leur action, soit le minimum de 100 francs (exigé par la loi sur les Sociétés dont le capital dépasse 200.900 francs), ont droit à un intérêt annuel de 6 O/o-

La Société accepte aussi des adhérents moyennant un premier versement de 2 fr. cependant ces adhérents ne deviennent sociétaires qu’après avoir complété le versement de Dix francs mentionné plus haut.

Pour compléter ce premier versement de dix francs, les adhérents ont la faculté de se libérer par la remise des bons de marchandises qui sont ainsi portés à va­loir sur leur compte.

Un délai de cinq années, est, en princi­pe, demandé pour les remboursements.

Toutefois pour tout Sociétaire ayant changé de résidence le transfert de la somme versée peut être fait immédiate­ment à toute autre Société coopérative adhérant à la Fédération Nationale des Coopératives de Consommation.

En outre la veuve de tout sociétaire peut demander le secours p ré v u p a r tes règ'ements de la Caisse de Solidarité

Caisses de dépôts, — L’Union des Coo­pératives accepte les dépôts de fonds de ses Sociétaires à des conditions extrême­ment avantageuses :

Dépôts à vue : Intérêt 4 O/o l’an.Dépôts à 3 mois : Intérêt 4,30 O/o- Dépôts à 6 mois : Intérêt 3 0 / q .Dépôts à un an : Intérêt 5,50 O/o- Dépôts à 2 ans : 6 O/o- Ceci fait, M. Girard reprend la parole et

expose les œuvres sociales mises à la dis­position des sociétaires par l’Union des Coopératives.

OEuvres sociales. — En plus des avan­tages indiqués ci-dessus, le sm em biesde l'Union des Coopératives ont encore à leur disposition les œuvres suivantes :

1° Caisse de So lid a rité : En cas de décès d’un Sociétaire (à condition que son action soit libérée au moins du dixième un an avant le décès et qi ’il est une con­sommation minimum de 500 francs dans les 12 mois antérieurs au décès), une al­location de 100 francs est payée au con­joint pu aux héritiers et, de plus, une allocation de 100 francs est également payée au S o c i é t a i r e e u c a s d e d é c è s de s o n c o n j o i n t ( c o n s o m m a t i o n a n n u e l l e ex i­gée : 1.000 francs).

A la naissance d’ un enfant il est encore alloué aux parents une somme de 50 fr., (Nota. — Pour les conditions à remplir consulter les articles 4 et 8 de la Caisse de solidarité)

2° M u tu a lité généra le : Moyennant le paiement d’une cotisation annuelle oe 6 francs (qui pourra être retenue sur le trop perçu) les Sociétaires ont droit, pour eux et les membres de leur famille habi­tant sous le même toit : aux consultations gratuites dans les dispensaires de la So­ciété et aux médicaments à prix réduit dans nos pharmacies mutualistes.

3° A ssurance M aladie (facultatif). Les Sociétaires versantune cotisation mensuel­le a 'iant suivant l’âge : de 2 fr. 75 à 5,50, auront droit, en cas de maladie, à une allocation journalière de 3 fr. S’ils dési­rent toucher davantage, ils pourront sous­crire jusqu’à deux parts d’assurance .— (Nota. Consulter à ce sujet le règlement de l’Assurance Maladie).

4° Caisses de Prêts. — De plus, des Caisses de prêts gratuites, en faveur des membres de l’Union des Coopératives, seront créées dans toutes les sections.

Pour terminer cette réunion, M. Girard e n t e r m e s chaleureux, invite les assistants à souscrire en plusgrand nombre possible chez M. Bréhault, Conseiller municipal, Trésorier, afin d assurer le succès de cette Société qui est appelée à rendre des ser­vices, tant à Plailly qu’aux pays environ­nants.

Les assistants enchantés de cette réu­nion et satisfaits de la façon dont Monsieur Girard leur a exposé la situation, le cou­vrirent d applaudissements. Cette marque de sympathie le toucha vivement ; aussi s empressa t-il d’en exprimer sa recon­naissance et ses sincères remerciements à 1 assemblée.

Pour l'Em pruntLe patriotisme ne consiste pas seulement

à rem plir son devoir m ilitaire. Dans les heures difficiles que vous traversons H demande aussi d aider le pays à relever les ruines de la guerre.

Souscrire à l'em prunt, c'est faire acte de bon patriote, R aoul PERET.

Les Octroisseront-ils supprimes?

M. ^revet, député de Seine-et-Marne, vient <e présenter à la Chambre une pro- positioi de résolution relative à la sup­pression des octrois.

Très judicieusement, M. Prevet observe que les octrois — dont chacun réclame la disparition, comme d’un vestige d’un autre âge — sont antidém ocratiques, frappant des objets de première néces­sité et faisant supporter leurs taxes aux consommateurs, non pas en proportion de leurs ressources, mais d’autant plus lourdemeût qu’ils ont plus de besoins. Le riche célibataire est moins frappé que l’ouvrier père de famille nombreuse.

Il subsiste en France environ 1.300 octrois, qui recueillent à peu près 360 millions ; mais il faut quelque vingt à trente mille hommes pour percevoir cette faible somme. Ces employés, dont tout le inonde se plaît à reconnaître le zèle et l’intégralité, ne seraient-ils pas plus utile-

b-ment occupés dans les services analoguesde l’E ta t qu i m a n q u e n t a c tu e l le m e n t de p e rso n n e l : c o n t r ib u t io n s d i rec te s e t in d i­rectes, enregistrement, douanes, recettes postales, etc ?

! Au cours de ces dernières années, la Chambre a été saisie à différentes reprises de propositions de loi qui avaient ce but. Elles n’ont pu aboutir, parce que si le principe de la suppression trouvait tout le monde d’accord, par contre, l’entente ne se faisait pas sur les ressources à met­tre à la disposition des villes pour rem­placer celles dont elles seraient privées.

On craignait que de nouvelles taxes ou des surélévations de taxes inexistantes ne

1 vinssent compromettre la stabilité fragile 1 du système fiscal alors en vigueur.

Les circonstances sont autres aujour­d’hui. De graves événements ont passé ; presque tous les impôts doivent être rema­niés, et le système fiscal qui nrésidera au relèvement économique de la France sera, dans quelques mois, établi pour longtemps.

C’est donc, ou jamais, te moment de supprimer cet impôt archaïque et malen­contreux. C’est pourquoi M. Prevet soumet à la Chambre la proposition de résolution suivante :

z.a Chambre invite le Gouvernement à présenter dans le plus bref délai pos­sible un projet de loi édictant la suppres­sion obligatoire des octrois en F ran je et accordant aux villes des ressources équi­valentes, soit par l’attribution d’une quote- part qui lui serait affectée dans les impôts existants ou à creer, soit en leur réser­vant la faculté d’établir certaines taxes portant sur les ressources des assujettis et non sur leurs besoins. »

Les agriculteurs, commerçants, indus­triels, sont tout autant intéressés 'à cette question que le monde des ouvriers et employés.

Que va décider la Chambre ? Attendons !

Le paiement des primes de démobilisation.

( --------| Le ministre de la guerre reçoit jour­

nellement des lettres et des demandes con­cernant les pensions gratifications et primes de démobilisation.

Dans le but de ne pas retarder l’étude que comporte ta solution de chaque cas particulier, il est indispensable de s’adres­ser d i r e c te m e n t au m in is tè re des pensions, 37, rue de B ellech asse , qu i a été c ré é spé­cialement pour t r a i t e r les q u es t io n s de ce genre et vers lequel sont aiguillées, avec quarante-huit heures de retard, les af­faires ayant été dirigées à tort vers le ministère de la guerre.

lie quart de place des m utilésLe Parlement a récemment voté une

loi ac co rd an t le bénéfice du quart de place sur les réseaux de chemins de fer aux mutilés et réformés de guerre dont l’invalidité atteint 50 ° /„.

Les pensionnés qui se trouvent dans les conditions requises adresseront au maire de leur commune une demande à l’appui de laquelle ils fourniront soit un titre de pension, délivré sous le régime de la le/ de 1331, soit un titre de gratifi­cation de l’ancien régime. A défaut de ces pièces les mutilés se feront délivrer un certificat par le médecin-chef du centre de réforme qui a instruit la pension.

M. Poincaré élu présidenl i l'unanimité ne la

Commission des RéparationsLa Commission des réparations s ’est

réuni hier après-midi.M. Raymond Poincaré, sénateur de la

Meuse, a pris possession de ses fonctions de représentant de la France.

Avant l’ouverture de la séance, M. Jon- nart a présenté son successeur à ses nou­veaux collègues

La séance s’est ouverte sous la prési­dence de M. Bertoliui, délégué de l’Italie, viee-président de la Commission.

Après avoir procédé à l’installation de M. Poincaré, la commission des répara­tions a procédé à la nomination de son président.

Sur la proposition de M. Jacques Brod- dy, délégué de la Grande-Bretagne, M. Poincaré a été élu président à i’unanimité.

M. Bertolini a souhaité la bienvenue an nouveau président en des termes qui ont réuni la pleine adhésion de tous les mem­bres présents.

M. P o in c a r é a r é p o u d u en q u e lq u e s m o ts p a r le squ e ls il a re m e rc ié se s co l lè ­gues de la confiance qu’ils voulaient bien lui témoigner et les a assurés de sa toute dévouée collaboration à la Commission.

Après l’élection du président, la com­mission a procédé à l’examen des ques­tions figurant à son ordre du jour.

La séance a pris fin à 20 h. 15. « --

ffl. H- Poincaré, éeriiain,Voici une nouvelle qui va faire quelque

bruit dans le monde politique et des lettres.

M Raymond Poincaré vient d’accepter l’offre qui lui a été faite par la Revue des d e u x M ondes de prendre en mains sa chronique politique.

Cette « Chronique de la Quinzaine » où une très large place est faite aux affaires extérieures, a eu, en ces derniers temps, pour titulaires, Francis Charmes et M. Ch. Benoist. Elle prendra, sous la plume de l’illustre homme d’Etat, un tout particu­lier éclat et en recevra un surcroit d’au­torité.

La JVIarneC’est le capitaine Lepic, qui le

premier, s’aperçut de l’erreur dë von Kluck.

Dans la Revue H ebdom adaire, M. Louis Madelin consacre une très atta­chante étude à la Marne. Nous en déta-* chons ce passage :

« Le 31 août, à 11 h. 30, un capitaine de la division provisoire de cavalerie, à la tête d’uue reconnaissance au nord-ouest de la région de Compiègne, le capitaine Lepic, s’aperçut avec surprise que les énormes colonnes de Kluck qui, jusque là, marchaient en apparence droit sur Paris, au lieu de prendre la route d’Es- trées-Saint-Denis qui, par Senlis, s’y achemine directement, s 'engagaient sur la route qui, passant par Compiègne, s 'oriente au sud-est, vers Meaux. Ce qu’il constatait là et allait le premier, signa­ler, c’était un événement capital : Kluck, inopinément, infléchissait sa marche et, s’écartant de Paris, courait à la Marne. »

Les Examens du Brevet de eapaeité

La session spéciale pour l’obtention des Brevets élémentaire et supérieur qui devait s’ouvrir le 29 mars, est avancée et commencera le 24 mars.

Cette session est réservée aux candidats qui ont été mobilisés. Les inscriptions seront reçues au bureau de l ’Inspection académique de chaque département jus­qu’au 9 Mars.

Les blessés Je guerreCombien reste-t-il de blessés et de

malades, appartenant à des classes démo- bidsées, en traitement dans les hôpitaux militaires ?

D’après une déclaration du ministre de la guerre, on en comptait au 15 janvier dernier 7.433. , .