Onexmag_n4

oneX≥MagazineMairie d’onex | Parait 9 fois par an | Tirage : 9’600 exemplaires | Responsable d’édition : Pierre Olivier ( 022 879 59 59 ) [email protected] | www.onex.ch

n° 04 | mai 2008

DOSSIER / La vie du jardinéDITORIAL Interview de Charles Beer — ACTUALITé Nouvelles de la commune en bref... — JeUnesse / ACTIOn COmmUnAUTAIRe Promotions citoyennes — InFO pRATIqUe Numéro verte du Conseil administratif — sOCIAL / sAnTé Lieu d’écoute — Aînés Club de midi — bâTImenTs Salle du Conseil municipal — FInAnCes Gestion financière de la Ville d’Onex — éCOLes Premier Conseil d’établissement des Tattes – Gros-Chêne — ACTIVITés CULTUReLLes Au programme des Spectacles Onésiens DéVeLOppemenT DURAbLe Point sur ce qui se fait à Onex — spORT Le Club Go — séCURITé Prévention des accidents — VOIRIe/ espACes VeRTs Le compost — URbAnIsme Aménagement de la place du 150ème — pOLITIqUe Conseil municipal du 8 avril 2008 VIe pRATIqUe Rubrique à braque en vrac — AGenDA Mai — Juillet 2008

édito | 2

Onex magazine | n°04 | mai 2008 Onex magazine | n°04 | mai 2008

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sOmmAIRe éDITORIAL Interview de Charles Beer page 3

ACTUALITé Nouvelles de la commune en bref... pages 4 — 5

JeUnesse / ACTIOn COmmUnAUTAIRe Promotions citoyennes pages 6

InFO pRATIqUe Numéro verte du Conseil administratif pages 7

sOCIAL / sAnTé Lieu d’écoute page 8

Aînés Club de midi page 9

bâTImenTs Salle du Conseil municipal page 10

FInAnCes Gestion financière de la Ville d’Onex page 11

DoSSIeR La vie du jardin pages 12 - 13

éCOLes Premier Conseil d’établissement des Tattes – Gros-Chêne page 14

ACTIVITés CULTUReLLes Au programme des Spectacles Onésiens page 15

DéVeLOppemenT DURAbLe Point sur ce qui se fait à Onex pages 16

spORT Le Club Go page 17

séCURITé Prévention des accidents page 18

VOIRIe / espACes VeRTs Le compost page 19

URbAnIsme Aménagement de la place du 150ème pages 20 - 21

pOLITIqUe Conseil municipal du 8 avril 2008 page 22

VIe pRATIqUe Rubrique à braque en vrac page 23

AGenDA Mai — Juillet 2008 page 24

IMPReSSUM magazine de la Ville d’Onex.

mairie, chemin Charles-borgeaud 27, 1213 Onex

mairie@onex,ch, www.onex.ch

n°4 — mai 2008

Responsable d’édition : pierre Olivier, 022 879 59 59,

[email protected]

Conception et réalisation graphique : Frédéric Fivaz / la fonderie

Imprimerie : sRO - Kundig / Impression sur papier 100% recyclé

9’600 exemplaires

prochaine parution le 5 juin 2008.

Photo de famille du Conseil municipal, lors de sa première réunion de législature, le 4 juin 2007

Charles beer présente l’évolution de l’école primaire genevoise

Depuis la rentrée 2006, l’école des Tattes – Gros-Chêne a été la pre-mière du canton à bénéficier du Réseau d’enseignement prioritaire (REP). Quel premier bilan tirez-vous de cette expérience ?Dès le lancement du projet, nous avons tenu à organiser une évalua-tion de manière à pouvoir apporter, le cas échéant, des corrections à ce projet pilote. Après une année scolaire, le Service de Recherche en Education (SRED), qui est chargé de l’évaluation, a produit un do-cument mettant en évidence une profonde modification du climat à l’intérieur de l’établissement. La présence d’une directrice d’école et d’un éducateur spécialisé a permis le développement de la proxi-mité, la rapidité dans la prise de décision et le lien dans les relations avec les familles. Plus généralement, il ressort également de cette évaluation une tendance à l’amélioration des résultats. Mais il s’agit encore d’affiner cette analyse, tant sur le plan scolaire que du com-portement.

Pourquoi une « Déclaration commune » entre l’Etat et les Villes qui font partie du réseau REP ?Dès son lancement, le projet REP s’est basé sur deux axes. D’une part, ce qui se passe dans l’école, d’autre part ce qui se passe dans son envi-ronnement immédiat, le quartier. Il nous a en effet semblé impossi-ble de relever le défi scolaire sans remettre en cause ce qui engendre une perte de confiance à l’intérieur de l’école et la dégradation des conditions de vie d’une partie de la population, dans la proximité de certains quartiers. En l’occurrence, l’Etat de Genève a trouvé en la commune d’Onex un partenaire incontournable pour développer une telle démarche, alliant politique scolaire et politique de la ville.

Qu’est susceptible d’apporter la « Déclaration commune Etat – Ville d’Onex » à l’école des Tattes et à son quartier ?La Déclaration s’articule autour d’engagements concrets de l’Etat et de la commune. En ce qui concerne l’Etat, nous avons décidé, outre les postes supplémentaires accordés à l’école – à savoir ceux d’édu-cateur et de directeur, ainsi qu’un nombre d’élèves par classe réduit –

des actions dans pratiquement tous les domaines : effectif de police ; crédits supplémentaires liés au Sport-Toto pour le sport ; développe-ment de l’accès et soutien à la culture ; gratuité pour les déplacements scolaires avec les TPG ; création d’emplois de proximité ; ou encore des actions dans les domaines de l’intégration, de l’aménagement et de l’entretien du parc immobilier. En fait, il s’agit de points extrême-ment concrets sur lesquels les pouvoirs publics s’engagent de façon concertée et coordonnée pour inverser la logique de ce quartier.

Quelle sera l’évolution du REP lors de la rentrée 2008 ?Le REP a été étendu à six écoles primaires, dans les Communes de Genève, Vernier, Lancy et Meyrin, lors de la rentrée 2007. Huit autres écoles intègreront le réseau à la rentrée 2008, dans les cinq communes déjà impliquées, ainsi que dans celle de Carouge. Ce qui fera en tout 14 établissements.

Au-delà du REP, qu’attendez-vous des Conseils d’établissement, dont le premier s’est déroulé à l’école des Tattes – Gros-Chêne, le 10 avril dernier ?La constitution d’un REP, une déclaration commune du Conseil d’Etat et du Conseil Administratif ne peuvent avoir valablement d’effets, et quels que soient les moyens et l’intensité de l’engagement, que si celui-ci se trouve également porté par un processus participatif. Gagner ce combat, inverser les inégalités, c’est permettre à la population de s’ex-primer dans des structures de concertation et de décision. C’est donc logiquement et notamment dans le domaine scolaire au sein même de l’établissement, que cet engagement peut et doit aussi prendre corps. Le souci des relations entre les familles et l’école implique un parte-nariat nouveau sur un plan plus général, entre parents et autorités, de manière à exercer une responsabilité citoyenne dans une notion de service public ouvert et renforcé.

Interview de Pierre Olivier

Charles beer, conseiller d’etat en charge du Département de l’instruction publique

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ACTUALITéRectificatif d’onex Magazine au sujet de l’article sur le Conseil municipal du 11 mars A la demande du groupe Libéral - Radical du Conseil municipal, je me dois de rectifier une information erronée dans mon compte-rendu écrit de la réunion du Conseil municipal du 11 mars dernier (page 22 de l’édition du mois d’avril d’Onex magazine), dans le chapitre concernant la maison Onésienne. Les groupes Libéral – Radical et UDC n’ont pas refusé d’entrer en matière, comme stipulé dans ce compte-rendu, mais se sont prononcés contre le crédit. La notion « d’entrée en matière » a un sens évident dans le langage commun, mais revêt une autre signification au sens du règlement du Conseil municipal. L’entrée en matière est ce qui précède toute discussion, ce qui a été effectivement le cas le 11 mars dernier. en fait, l’entrée en matière, au sujet de la maison Onésienne, a été votée unanime-ment par le Conseil municipal.

Pierre Olivier, chargé de communication

Prochaine manifestation communale : Fête des voisins, mardi 27 mai 2008La vie sociale commence par le bon voisinage, et ce bon voisinage commence par le fait de se parler et de prendre du temps pour mieux faire connaissance. Consciente de ces enjeux, la Ville d’Onex soutient la Fête des voisins et met à disposition des tables et des bancs (équitablement répartis entre les partici-pants). pour participer, il suffit de vous adresser à la mairie : mme Frédérique HAessIG, Tél. 022 879 59 59, courriel : [email protected].

Aînés : Vacances à Bandol, du 8 au 20 septembre 2008Le service de prévention sociale et de promotion de la santé (spps) de la Ville d’Onex propose aux aînés un séjour de vacances au bord de la méditerranée, à bandol, ville jumelée de notre commune. Cette petite ville de 7’900 habitants, située au cœur de la provence, est une des plus

grandes et des plus anciennes stations bal-néaires de la Côte d’Azur, connue dans le monde entier et réputée pour son vin et ses longues plages de sable fin.nous proposons aux aînés de partir deux semaines dans cette magnifique ville du lundi 8 septembre au samedi 20 septembre 2008. Une trentaine de personnes pourront participer à ces vacances. L’hôtel bel Ombra hébergera nos vacan-ciers, à 200 mètres de la plage abritée de Renécros. Cette pension est située au centre ville, proche des commerces et du port. Les chambres, peintes aux tons pastels, sont calmes et confortables. Lors de ce voyage, plusieurs expéditions seront organisées, notamment à saint-Rémy de provence, à Arles, au Luberon, à Cassis. sont également prévus la découverte des marchés de bandol et de sanary. Le prix est de 1’150 francs par personne pour les chambres à deux lits, et de 1’450 francs pour les chambres à un lit. Ce prix comprend les voyages aller et retour en autocar, avec un arrêt gastronomique, et

la demi-pension à l’hôtel bel Ombra. Les ins-criptions doivent se faire à la réception du spps, rue des evaux 13, dès le lundi 2 mai et jusqu’au vendredi 30 mai. etant donné le nombre limité de places, ces inscriptions ne seront toutefois pas définitives. Les personnes inscrites en temps utile recevront un courrier confirmant leur participation.

en cas de problèmes financiers, il est possible de s’adresser au spps (022 879 89 11) pour un éventuel rendez-vous.Renseignements : Gaëlle FRAsse, bureau des aînés (022 879 89 10).

onex Magazine, meilleur pour le même prixComme chacun a pu le constater, la publica-tion communale, encartée dans l’Onésien, a fait peau neuve en février 2008. Onex public est devenu Onex magazine, en passant de 12 à 24 pages, avec un graphisme plus dynamique, en phase avec notre adminis-tration communale. L’idée consiste à offrir aux lecteurs des rubriques périodiques dans chaque numéro, de façon à coller au plus près de l’intérêt de chacun et de mieux mettre en exergue tout ce que l’administration met à disposition de la population. Le plan rédac-

tionnel est découpé en rubriques, abordant régulièrement les thèmes suivants : vie pratique ; jeunesse et action communau-taire ; social et santé ; aînés ; bâtiments et locations ; finances ; écoles ; activités cultu-relles ; développement durable ; sport ; sécurité ; voirie et espaces verts ; aména-gement ; urbanisme et promotion économi-que ; politique ; page récréative et agenda.

Chaque numéro comporte également un éditorial (confié à une personnalité de la commune ou en lien avec la commune), deux pages d’actualité et deux pages de dossier soit sur une activité de l’administration, soit sur d’autres aspects de la commune comme son histoire.

Onex magazine paraît 9 fois par année, comme l’Onésien avec lequel il est distribué à tous les ménages onésiens et aux différents acteurs associatifs, économiques et autres de la commune.

Fait particulièrement important, malgré l’augmentation sensible de l’offre, Onex Magazine est réalisé avec le même budget que l’était Onex Public. Ceci a été rendu possible grâce à la rationalisation des coûts

de production (mise en page et impression) et à une plus grande implication des services dans la rédaction.

pour tout renseignement : pierre OLIVIeR, Tél. 022 879 59 59, courriel : [email protected].

Une vérité qui dérangeProjection gratuite du film, débat et apéritifMardi 20 mai 19 h à la Salle communale pour ceux qui n’ont pas encore vu ce film-événement de l’année 2006 (qui a reçu l’Oscar du meilleur documentaire en 2007) et pour ceux qui l’ont vu mais aimeraient aussi en discuter, une projection suivie d’un débat est organisée en présence d’animateurs de la FeDRe (Fondation européenne pour le Déve-loppement Durable des Régions), de spé-cialistes des questions d’énergie et d’en-vironnement, ainsi que du maire de la Ville d’Onex, m. René Longet. Un apéritif convivial (avec petite restauration) sera ensuite offert au public. Un service de baby-sitting prendra gratuitement en charge les enfants des familles intéressées, dès 18h45 et pendant toute la durée de la soirée.

Une vérité qui dérange, le film d’Al Gore

Vacances à bandol : une petite glace pour bien finir la journée ! Fête des voisins

Déjà vu dans votre boîte aux lettres

| JEUNESSE / ACTION COMMUNAUTAIRE | Promotions citoyennes Numéro verte du Conseil administratif | Vie pratique | 6


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Dans une commune comme Onex, la notion de proximité n’est pas un vain mot, mais véritablement une philosophie de gouvernance politique. Ainsi, l’exécutif tient à se rendre disponible pour la po-pulation onésienne, de façon à appréhender au mieux les besoins spécifiques de ses citoyens et d’y répondre, dans la mesure de ses possibilités.

Les conseillers administratifs sont très souvent sur le terrain. Vous les rencontrez régulièrement lors des différentes manifestations com-munales – Fêtes des promotions et du premier août – lors de rendez-vous ponctuels des sociétés et autres acteurs de la vie communale – ou encore à l’occasion des différentes activités organisées par les services de la commune – Casse-croûte, Club de midi, etc.Ainsi, un certain nombre d’Onésiens peuvent approcher nos élus, discuter avec eux, et leur faire part d’une demande, d’un problème à régler, d’une question sur tel ou tel projet. Dans la mesure du possible, chaque conseiller administratif s’efforce de vous répondre, en fonction de sa disponibilité. Vos questions peuvent également être transmises par écrit, le Conseil administratif s’engageant à y répondre dans un délai de 30 jours. Désormais, les conseillers administratifs veulent se rendre encore plus disponibles auprès de chacun.

Depuis le 8 avril dernier, le Conseil administratif répond directe-ment à vos appels téléphoniques sur son numéro vert, 0800 1213 00, tous les mardis de 13 à 14 heures.

Dicastères des conseillers administratifsMme Carole-Anne Kast s’occupe des questions de social, de santé, de jeunesse, d’action communautaire, de sécurité, d’urbanisme et de promotion économique. Monsieur René Longet, actuel maire d’Onex, se consacre à la culture, à la communication, au développement durable, aux manifestations, aux associations, aux écoles, au sport, ainsi qu’aux infrastructures publiques et à l’environnement.Monsieur Philippe Rochat supervise les finances, les bâtiments et locations, l’état civil, les naturalisations, l’informatique.

Pour rester fidèle à son programme de législature…« Nous instaurerons des heures de réception du Conseil administra-tif ainsi qu’une « ligne directe » permettant de signaler toute diffi-culté et poser toute question. Nous prenons l’engagement que tout courrier personnalisé adressé à la Ville d’Onex recevra une réponse dans un délai de 30 jours au maximum. Cette réponse portera sur le fond et, dans certains cas plus complexes où les recherches prennent davantage de temps, sur le délai de traitement » explique le Conseil administratif. Ainsi tient-il à rendre compte de sa politique, au titre de la citoyenneté, de la manière la plus transparente aux habitants, premiers destinataires de l’action publique.

evaluation de cette démarcheCette procédure sera évaluée au bout de quelques mois. Le Conseil administratif tiendra alors compte de l’expérience faite pour adapter au mieux ces permanences aux attentes du public.

Le Conseil administratif à votre écoute

Carole-Anne KastRené Longetphilippe Rochat

promotions citoyennes, sous le signe de l’engagement

soirée à thème, en vue des promotions citoyennes

« On ne naît pas citoyen, on le devient ». Même si l’on accède à la majorité d’un jour à l’autre – celui de son 18ème anniversaire – la notion de citoyenneté se construit et va de pair avec celle d’appartenance. C’est pour-quoi, bien avant le jour J, notre commune, par l’intermédiaire du SJAC (Service Jeunesse et Action communautaire), propose aux jeu-nes Onésiens et Onésiennes qui vont avoir 18 ans des opportunités de se rencontrer, d’être informé(e)s sur les thèmes qui les in-terpellent ou les questions pratiques qu’ils se posent, afin qu’ils se sentent accueilli(e)s dans la communauté des adultes et qu’ils soient le plus à même de gérer leur vie.

Cette année, 160 jeunes sont ainsi approchés, d’abord par un courrier personnel, puis par un contact téléphonique. Les thèmes proposés le sont par les jeunes eux-mêmes. Le service civil a été abordé le mois dernier, et la question des impôts, du leasing et du petit crédit fera l’objet de la prochaine rencontre.

Le 11 avril, ce sont la Croix-Rouge Genevoise et le CICR qui ont été présentés au Café Communautaire de la maison Onésienne. Le thème de la solidarité a mobilisé une trentaine de jeunes. Fatima, Anthony, Diego et tous les autres ont réservé leur soirée pour

s’informer et ont écouté avec une grande attention les deux oratrices venues parler de leur expérience sur le terrain. m. emmanuel blandenier, éducateur responsable des pro-motions citoyennes au sJAC, a présenté l’his-torique et les principes fondateurs de ces organisations.

madame emilia Fernandez, ancienne déléguée du CICR, a raconté avec enthou-siasme une mission au myanmar (birmanie) et a expliqué l’importance vitale de la présence du CICR pour des prisonniers de guerre ou politiques. en effet, même si le CICR n’a aucun pouvoir de contraindre un gouvernement à améliorer une situation délicate – puisqu’il ne peut que faire des recommandations – ses délégués établissent une liste précise des détenus, leur assurant ainsi une identité et les sauvant de l’oubli, dans le but par exemple de tenter de les protéger d’éventuels mauvais traitements. mme Fernandez a aussi rappelé que le CICR n’engage pas que des délégués, mais aussi des cuisiniers, des mécaniciens, des interprè-tes, et d’autres corps de métier. pour tous, la pratique d’une ou de plusieurs langues étran-gères, la résistance au stress, l’aptitude au travail en équipe et au partage des responsa-bilités sont des qualités indispensables.

madame Fabienne Kühne, responsable à la Croix-Rouge Jeunesse genevoise, a présenté cette section peu connue, mais très inté-ressante et active, qui permet à des jeunes entre 16 et 26 ans de s’engager dans le domaine social, là où ils habitent. A cet âge qui peut être celui de la révolte, mais aussi de l’engagement, le désir d’être utile, de rencontrer d’autres jeunes, d’apprendre et de découvrir, de se former pour enrichir son CV sont autant de motivations pour faire un travail bénévole. Chaque compétence y trouve sa place. Les volontaires peuvent, par exemple, aider les enfants migrants dans leurs devoirs, proposer aux enfants défavo-risés des loisirs le mercredi après-midi et des centres aérés pendant juillet et août, rendre visite à des personnes âgées isolées, partir en été en Roumanie ou en serbie pour tra-vailler à des projets sur place. La Croix-Rouge Jeunesse permet de s’engager à court ou long terme, de prendre des responsabilités, d’être reconnu dans ses propres compéten-ces, de participer à l’élaboration de projets et à leur suivi, tout en apportant du soutien aux populations vulnérables. n’hésitez pas à les rejoindre, vous y serez les bienvenus !

Catherine MaurinRenseignements : [email protected], tél. 022 304 04 22.

Le débat continue souvent après les présentations des invités...

| Social / Santé | Lieu d’écoute Club de midi | Aînés | 8


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Le Lieu d’écoute a été créé en 1998, dans le cadre du Service de Prévention Sociale et de Promotion de la Santé (SPPS), à partir du constat de l’absence dans la commune d’un lieu consacré exclusi-vement à l’écoute des problèmes rencontrés par les habitants dans leur vie personnelle.

Prestations du Lieu d’écoute Le Lieu d’écoute propose une écoute anonyme et gratuite pour tout habitant d’Onex. Ceci pour huit séances au maximum. Le but est d’offrir un soutien à court terme, en aidant le consultant à mettre en évidence ses ressources et ses potentiels, en présentant les offres existantes en matière d’aide sociale, financière ou psychologique à Genève, et si nécessaire en orientant l’interlocuteur vers un théra-peute pour un suivi à plus long terme

La grande majorité des consultants sont envoyés par les assistan-tes sociales du spps. en effet, la proximité – le Lieu d’écoute se situe dans les locaux du spps – et l’accessibilité rapide – le temps maximum d’attente pour un rendez-vous est d’une semaine – permet de faire un pont pour les personnes qui ont besoin d’un lieu pour être écoutées, pour réfléchir sur leur situation mais qui n’ont jamais fait le pas d’aller consulter un spécialiste, car l’idée d’aller voir un psycho-logue ou un psychiatre fait souvent trop peur. Certaines personnes peuvent aussi être envoyées par d’autres services sociaux genevois, comme les Centres d’action sociale et de santé (CAss), les services sociaux des écoles ou encore le Groupe médical d’Onex.

Qui peut venir au Lieu d’écouteLes consultants peuvent être des adultes, des adolescents, des parents avec leur enfant, des personnes retraitées ou des familles. Les personnes viennent pour différents motifs. Certaines présentent des signes de dépression ou d’anxiété. D’autres ont des soucis avec leurs proches, leur famille, leur enfant. D’autres encore souffrent de solitude, ou ne savent pas comment se sortir d’une situation difficile (chômage, mobbing, etc.). se présentent aussi des personnes désirant commencer une psy-chothérapie, mais ne sachant pas à qui s’adresser (présentation des modalités de remboursement, des différentes orientations théra-

peutiques ; prise en charge individuelle, de couple, de famille ou de groupe). Il y a enfin des gens qui ne savent pas à qui s’adresser ou qui ont tout simplement besoin de parler ou encore qui désirent avoir un conseil sur un sujet précis.

La philosophieL’aspect de prévention prend ici tout son sens car une prise en soin précoce permet d’éviter la péjoration et la « chronicisation » de situa-tions difficiles.

L’idée d’une appréhension globale de la personne est prédominante. plusieurs paramètres sont pris en compte tels que l’environnement, l’histoire de la personne, ses statuts social, physique, psychique, économique et professionnel. La position non menaçante d’écoute permet à la personne de se sentir entendue sans être jugée. Le thé-rapeute travaille dans la perspective d’aller au-delà des symptômes présentés. Le Lieu d’écoute s’inscrit dans la vision qui sous-tend la mission que se donne le spps, c’est-à-dire le développement du lien social. La prévention de la « pathologisation » est au centre de la réflexion. Il faut signaler que cette offre est unique en son genre à Genève.

Les problématiques traitées au lieu d’EcouteLes situations rencontrées dans le cadre du Lieu d’écoute sont liées à des problèmes de précarité sociale et économique, de couple, de difficulté face au deuil, de santé et de chômage. La majorité des consultants présentent une précarité sociale et économique. On peut également constater une corrélation entre la solitude et les problèmes de santé. Autre constat, les familles monoparentales sont en augmentation. Certains problèmes reviennent systémati-quement, en particulier la violence conjugale qu’elle soit physique, psychologique, financière ou sexuelle. La constance pour toutes les situations rencontrées reste le manque de lien avec les autres.

Pauline Rodriguez, responsable du Lieu d’écoute

Renseignements : service de prévention sociale et de promotion de la santé (spps), au 022 879 89 11. Rendez-vous le jeudi.

Un lieu pour vous écouter et vous aider à trouver des solutions à vos problèmes

Une fois par mois, le Club de midi réunit quelque 150 convives du 3ème âge autour de sympathiques repas concoctés et servis par une équipe de bénévoles. Cette prestation est organisée par le Bureau des aînés, du Service de Prévention Sociale et de Promo-tion de la Santé (SPPS) de la commune.

Cela se passe tous les premiers mercredis du mois (sauf en juillet et en août), au res-taurant scolaire de l’école du bosson. Repas, dessert et boissons coûtent la modique somme de 14 francs.

Objectifs : rassembler, créer du lien, lutter contre l’isolementCe rendez-vous mensuel doit son succès à l’ambiance cordiale et amicale qui le caracté-rise. Car, outre le plaisir de savourer un bon repas, c’est surtout la rencontre avec l’autre qui est recherchée par les convives, le fait d’échanger au sein de l’univers social auquel on appartient, de rester en contact avec l’ac-tualité de la commune et son environne-ment. Le point d’orgue annuel est toujours le repas de l’escalade qui réunit jusqu’à plus de 200 personnes.

Un service rendu possible grâce à une équipe de bénévoles soudée et dynamiquepour le spps, le nerf de la guerre est la dynamique sociale sous-jacente et, en l’oc-currence l’implication d’une bonne équipe de bénévoles. Ils sont ainsi 10 à 12 personnes qui donnent gratuitement leur temps pour le seul plaisir de faire plaisir. François Gasnier est le cuisinier du Club de midi. Avant, il était chef de cuisine à la

mère Royaume. Actuellement, il occupe cette fonction aux Cuisines scolaires d’Onex (voir article février 08, page 10). « Je suis bénévole au Club de midi par plaisir. Je suis intéressé par tout ce qui a trait au social… J’aime le contact ».ernest brunner aide au service. Il est également commissaire aux Cuisines scolaires, depuis 1974 à Cité-Jonction le vendredi, et depuis 1980 à Onex le jeudi. ex vice-président du club de natation, ernest est convaincu de la nécessité du bénévolat pour la communauté : « C’est normal que je sois bénévole au Club de midi. On m’a demandé. J’aime bien rendre service ». et ernest trouve encore le temps d’aider les aînés à remplir leurs feuilles d’impôts à l’ordinateur.bruno muller est bénévole depuis 2000. Il s’occupe aussi de préparer les parcours du tourisme pédestre des aînés. « J’ai arrêté de travailler à l’âge de 53 ans et je ne voulais pas rester sans rien faire. Avant le Club de midi, j’ai travaillé pendant 4 ans au Casse-croûte. J’aime rendre service. L’environnement du Club de midi permet de faire connaissance avec des gens. Avant, j’étais très renfermé. Depuis, je me suis nettement amélioré ».

Ce qu’en pensent les convives…Henri : « J’aime retrouver des gens que je connais, boire ensemble, se revoir dans un contexte différent. Le Club de midi permet ces retrouvailles mensuelles. C’est aussi très bon pour des personnes seules. Il y a quelques années, j’y ai fait la connaissance d’un couple. puis, le mari est décédé. Alors, je suis allé chercher l’épouse pour qu’elle soit en relation avec d’autres personnes. pour

elle, ça a été un déclic, l’occasion d’entamer de nouvelles relations ». par ailleurs, Henri s’occupe de la distribution des enveloppes pour les sorties (400 adresses), pour noël (2'200 personnes). Il assure cette distribu-tion en vélomoteur. elle donne l’opportu-nité de déceler les mouvements des aînés et surtout de repérer les personnes seules.Asuncion est très énergique et pleine d’humour « Je viens au Club de midi pour m’amuser, être en contact avec des personnes de mon âge, parler. On se mélange, toutes les nationalités. moi, je suis espagnole. La cuisine et le service sont très bien. Le bureau des aînés fait du très bon travail ».madeleine : « Je viens pour ne pas manger toute seule chez moi. Je suis allergique aux casseroles. Je n’aime plus faire la cuisine. Je rencontre des fois les mêmes personnes, parfois d’autres. Je suis contente de la compagnie. Le seul inconvénient, c’est le bruit ».maurice est originaire du Tchad. son épouse était au conseil municipal, lors de la précé-dente législature. maurice vit à Genève depuis 32 ans. Il est retraité du bIT depuis 1990. « Le Club de midi, ça m’occupe. Je fais beaucoup d’activités à Onex : natation, gym aquatique et stretching. Ce sont pour moi des lieux de rencontre. Je participe aussi au tourisme pédestre. Il y a une grande ouverture d’esprit au Club de midi. Je me mets à n’importe quelle table, pour partager du temps avec des personnes que je ne connais pas nécessairement très bien ».

Renseignements : Gaëlle Frasse (022 879 89 24), responsable du bureau des aînés.

Club de midi : convivialité et rencontres

Le Club de midi, lors de son repas du 2 avril 2008

| Services des bâtiments | Salle du Conseil municipal Gestion financière de la Ville d’Onex | Finances | 10


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Rénovation partielle de la salle du Conseil municipal

municipal : sortie de la première réunion de la nouvelle législature, le 4 juin 2007.

Comme pour toute entité physique ou morale, dans un ménage ou dans une entreprise, les budgets d’une commune sont établis en fonction des ressources. Dans le cadre du ménage, on parle de revenus. Dans celui d’une entreprise, de chiffre d’affaires. Pour une commune, les ressources financières proviennent des impôts, de la taxe professionnelle et de la péréquation intercommunale. Mais comment cela marche-t-il pratiquement ? Le budgetChaque année, durant l’été, les chefs de service de la commune élaborent les budgets de l’année suivante. en septembre, un séminaire réunit le Conseil administratif et les responsables de l’administra-tion, au cours duquel les budgets sont soumis, point par point, aux critiques et à l’approbation du Conseil administratif. Tout cela sous le contrôle du secrétaire général, assisté du service de comptabilité. Le budget 2008 a ainsi été discuté en automne 2007, et le Conseil administratif a dégagé, au cours de cet exercice, une économie de l’ordre de 2 millions de francs sur 38 millions, visant ainsi l’équilibre entre recettes et dépenses programmées. Le budget ainsi adopté par l’exécutif est ensuite soumis au Conseil municipal. Après quoi les commissions du municipal – écoles-culture-loisirs-sport ; bâtiments ; espaces verts et infrastructures ; social ; jeunesse et action communautaire ; sécurité ; informatique et finale-ment finances – auditionnent chefs de services et conseillers admi-nistratifs délégués, de service en service, pour à leur tour discuter les budgets, point par point, et faire des recommandations au Conseil municipal.Lors de la réunion suivante du Conseil municipal, les commissions font leur rapport et le municipal ses dernières demandes de correc-tion sous forme d’amendements. enfin le budget est adopté, avec les amendements acceptés. Ce qui s’est fait lors de la réunion de novembre 2007 pour le budget 2008. Un seul amendement a alors été retenu, celui de l’augmentation de 22'000 francs du budget des subventions de la commune en faveur du sport.

Les comptesen fin d’année, le service comptabilité demande aux chefs de chefs de service de vérifier les comptes de l’année finissante et de lui commu-niquer le montant du solde des factures qui devront être payées au début de l’année suivante et ainsi faire les provisions nécessaires. Après quoi, les comptes de l’année sont bouclés pour être soumis à l’analyse d’un contrôleur des comptes, société privée mandatée sur accord de l’exécutif. Les comptes, ainsi bouclés et contrôlés, sont ensuite présentés en réunion du Conseil municipal, soit le 8 avril dernier pour les comptes 2007.

La validation par le municipal passe une nouvelle fois par le processus suivi pour l’approbation du budget. soit, tout d’abord par la soumission aux commissions thématiques, entre le 9 et le 24 avril, puis des recommandations de ces dernières au municipal qui adopte les comptes par un vote, ce qui se fera le 13 mai 2008 pour les comptes 2007.

Suite du processusDès le mois d’avril, les chefs de services saisissent le budget 2009, point par point. et on est reparti pour un tour, comme pour le budget 2008. Ces différentes étapes se reproduisent d’année en année, afin de permettre à l’exécutif de maîtriser les comptes et au Législatif de les discuter et de les adopter.

Une gestion saine des deniers onésiensbien entendu, les budgets sont établis en fonction des ressources financières supposées de la commune, qui sont évaluées selon des indications du Département des finances. L’administration tend à se baser sur les scénarios les plus pessimistes, afin de se préserver de toute mauvaise surprise. Ainsi, sur 10 années d’exercices budgétaires, les bénéfices cumulés ont atteint le montant de 7'394'600 francs, alors que les pertes cumulées se sont limitées à 762'100 francs. Ce qui dégage un solde positif cumulé de 6'632'500 francs. Ceci, malgré les ressources financières relativement faibles (comparées aux autres communes du canton) de la Ville d’Onex. preuve que l’exécutif agit à Onex de façon mesurée et raisonnable, et ceci depuis de nombreuses années.

Ce que nous réserve l’avenirUne commission intercommunale planche actuellement sur une réforme de la péréquation intercommunale, de façon à compenser certaines inégalités patentes (voir article page 11, dans Onex magazine du mois d’avril). La nouvelle péréquation devrait rapporter à la commune un supplément budgétaire de l’ordre de 6 à 10 millions de francs par an, dès l’année 2010. soit une augmentation de 15% à 25% des revenus. Ce qui donnera plus de moyens pour le budget de fonctionnement et permettra de diminuer la dette de la commune qui ne se monte pourtant qu’à un peu plus d’une année de budget de fonctionnement. Actuellement, elle ne s’élève qu’à 2’300 francs par habitant, alors qu’en Ville de Genève, elle dépasse 5’000 francs. La dette de la commune est compensée par son patrimoine. Comparée à la dette hypothécaire que fait une famille pour l’achat d’un bien immobilier, cela représente proportionnellement un endettement 50 fois moins important.

Interview, par Pierre Olivier, de Philippe Rochat, conseiller administratif en charge des finances

Gestion financière de la Ville d’Onex

HistoriqueLa chapelle saint-martin, entièrement rebâtie en 1724 sur les ruines d’un ancien sanctuaire du quinzième siècle, est tout à fait caractéris-tique de l’architecture protestante rurale d’expression classique du début du dix-huitième siècle.

en vertu du traité de Turin, cette chapelle a été attribuée aux catho-liques en 1754, dans un premier temps sans changement de volume, puis en 1786, avec l’ajout d’une petite sacristie (actuelle salle des commissions).

Le bâtiment et la parcelle sur laquelle il a été construit ont été classés monument historique par les autorités cantonales en 1921.Désaffectée par la paroisse, qui a construit l’église de la cité nouvelle en 1967, la Ville d’Onex a fait l’acquisition de cette chapelle qu’elle affectera alors en tant que salle du Conseil municipal, en 1976.Cette bâtisse n’a dès lors fait l’objet que de quelques interventions mineures, portant sur une amélioration fonctionnelle (mobilier, infor-matique, etc.) dédiée à la gestion politique de notre commune.

Etat du bâtiment et prévision de travauxUn rapport d’expertise sur le vieillissement et la dégradation de la toiture à démontré que le temps était venu d’entreprendre des travaux d’envergure.

en plus de ces travaux sur la couverture, nous profitons de faire un certain nombre d’aménagements moins urgents, mais indispensa-bles à terme, tout en gardant l’accès et l’utilisation des salles pendant une bonne partie du chantier.

Descriptif des travauxAprès l’élagage du séquoia et du cerisier se trouvant sur le terrain, les travaux ont débuté par la mise en place d’un échafaudage et d’une toiture provisoire permettant le remplacement intégral de la toiture (lattage, contre-lattage, couverture en tuiles et ferblante-rie en cuivre), y compris la réfection partielle du chaînage en maçon-nerie, le traitement fongicide de la charpente et le changement de l’isolation.Les petits travaux intérieurs consistent en la réparation de la porte d’entrée principale et au remplacement de la moquette de la salle du Conseil municipal.

Coût et durée des travauxLe montant des travaux voté par le Conseil municipal, en date du 11 décembre 2007, est de 300'000 francs. suite à l’obtention de l’autori-sation de construire, en mars 2008, les travaux ont commencé début avril. La salle sera remise en fonction intégrale avant l’été 2008.

Michel Cuttat, chef du service bâtiments et locations

La salle du Conseil municipal, vue de haut

| DoSSIeR | La vie du jardin La vie du jardin | DoSSIeR | 12


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biodiversité : Comment réaménager son jardin

C’est sous un soleil timide et dans une ambiance bon enfant que s’est déroulée la journée de sensibilisation à la petite faune, le 8 mars à Onex. La centaine de familles résidant au chemin François-Chavaz a été invitée et une trentaine de personnes très enthousiastes ont répondu présent à l’heure de participer à ce projet pilote, dont l’objec-tif est de mettre en réseau des jardins et de les gérer plus naturellement.

Le quartier François-Chavaz a été spéciale-ment choisi pour cette initiation, car il s’agit d’une zone proche des evaux et de la forêt onésienne. La Ville d’Onex, en accueillant ce

projet pilote, a trouvé une opportunité de promouvoir le développement durable et la biodiversité, dans le cadre de son Agenda 21.

Des solutions simples et concrètesLe côté novateur du concept est simple : accompagner les habitants dans l’applica-tion de solutions simples, peu coûteuses et concrètes pour leurs jardins.

Cette initiative est partie de la constatation que la population de hérissons, écureuils, oiseaux, papillons et chauves-souris a nettement diminué ces dernières années, en raison principalement de l’augmentation du

trafic routier, de l’utilisation des pesticides et du morcellement du territoire. La petite faune trouve de moins en moins d’espaces pour l’accueillir en zone urbaine.

peu de propriétaires de jardins et autres jar-diniers ont idée des obstacles et des dangers auxquels la petite faune est confrontée à l’intérieur même des jardins. Ils sont souvent fermés par des grillages ou des barrières, aseptisés ou ornés de flore exotique ne convenant pas à la faune indigène, car elle n’offre ni nourriture ni abris appropriés, pour le développement des espèces animales.

Des alternatives efficaces et naturellesDes ouvertures de 7 sur 10 cm entre les jardins permettent aux hérissons de se déplacer et d’éliminer les limaces, perce-oreilles, escargots et toutes sortes d’insec-tes nuisibles au jardin potager.

Les chauves-souris mangent jusqu’à 60'000 moustiques par an, ce qui augure d’agréa-bles soirées estivales. Voilà deux alternati-ves efficaces et naturelles permettant de renoncer aux pesticides, nocifs à la santé.

La matinée du 8 mars a été consacrée à une information scientifique, l’idée de ce projet étant principalement l’information des par-ticipants. Des spécialistes de la biodiver-sité - biologistes, jardiniers, responsables communaux et animateurs en environne-ment - ont participé à cette sensibilisation par des interventions, puis en donnant des conseils. Des questionnaires, qui permet-tront de connaître l’impact des messages délivrés, ont ensuite été distribués, avant que les participants prennent part à un repas convivial, illustrant les notions de développe-ment durable.

Les habitants du quartier François-Chavaz se sont ensuite rassemblés, le temps d’une promenade découverte et d’observation entre les evaux et le jardin Robinson.

Durant l’après-midi, les adultes ont notamment appris à construire des nichoirs à oiseaux et des abris pour les chauves-souris. Ils ont également été sensibilisés au fait que des planchettes permettent aux petits animaux tombés à l’eau de ressortir, que des tas de pierres et de branches servent d’abris aux animaux et que la plantation de certains arbustes est favorable aux papillons.

Les enfants ambassadeurs de la petite fauneLe deuxième public visé par ce projet étaient les enfants habitant le quartier, les proprié-taires du futur. Ils ont appris à observer et à connaître les nombreuses espèces animales et végétales. Ils pourront ainsi transmet-tre la notion de protection de l’environne-ment, car ils sont des communicateurs en herbe. Les enfants ont ensuite pris part à des ateliers de bricolage ludiques durant l’après-midi, avec au programme la fabrication de

mangeoires, de colliers en cacahuètes, de gâteaux de graisse et de graines, ainsi que la décoration de pots.

Les enfants ont également pu écouter des contes et ont eu la possibilité de se maquiller, en participant à l’atelier de grimages anima-liers. Ils ont été récompensés de leur par-ticipation en recevant des graines et un passeport « petite Faune », les faisant ambas-sadeurs de la protection de la nature, ce qui devrait les responsabiliser et leur permettre d’être des relais auprès des adultes. Cette très belle journée a été autant appréciée des petits et des grands, et nul doute qu’elle sera très bientôt profitable à la petite faune du quartier François-Chavaz ! et peut-être même que ce beau projet sera bientôt réalisé dans d’autres zones de la commune.

Dans le même temps, la Ville d’Onex a proposé aux habitants du quartier de signer la Charte des jardins. Une réunion aura lieu en juin, pour définir la suite à donner avec les personnes intéressées.

Anne Buloz

Une des familles du quartier motivées par ce projet novateurL’atelier grimage a eu beaucoup de succès auprès des enfants quelques maquillages animaliers de l’atelier de grimageLe hérisson est l’un des animaux de la petite faune les plus menacés par l’augmentation du trafic routier, l’utilisation des pesticides et le morcellement du territoire

Recommandations pour préserver la petite faune et pour gérer naturellement son jardin : Charte des jardins : www.energie-environnement.ch Association « Réseau petite faune »

Renseignements à la mairie d’Onex : Frédérique Haessig - Tél. 022 879 59 59 - f.haessigonex.ch

Le projet « La Vie du Jardin » est un travail de diplôme, réalisé par Chantal page Hussy, Fabienne Ruoss et myriam Rebetez dans le cadre de la formation « Conseil et communication en environ-nement » du WWF suisse.

one man show suisse

| écoles | 1er Conseil d’établissement des Tattes – Gros-Chêne Spectacles Onésiens | Activités culturelles | 14


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Le 10 avril dernier, l’établissement des Tattes – Gros-Chêne a inauguré son premier Conseil. Ceci en présence du conseiller d’Etat en charge du Département de l’instruction publique (DIP), Charles Beer, et du maire de la Ville d’Onex, René Longet.

« Historique »Tel est le mot employé par Charles beer, pour ce premier Conseil d’établissement. Le conseiller d’etat a tenu à être présent à cette réunion, l’établissement des Tattes – Gros-Chêne ayant été le premier du canton à être placé en réseau d’enseignement prioritaire. Il a également rappelé les engagements récemment pris entre l’etat de Genève et la Ville d’Onex, pour «revitaliser» le quartier des Tattes, grâce aux mesures qui devront être prises dans les domaines du logement, de l’aménagement, de la sécurité, de la culture et de la santé (voir article dans Onex magazine du mois d’avril, page 14). pour sa part, René Longet, maire d’Onex et conseiller adminis-tratif délégué aux écoles, s’est exprimé en ces termes : « La bataille de l’école ne se gagne pas qu’à l’école, mais aussi dans les familles, aussi dans l’environnement social, culturel, physique dans lequel on se trouve ». Structure et programme du Conseil d’établissementplacée sous l’égide de la directrice de l’éta-blissement, Ariane Denonfoux, cette entité est composée de quatre représentantes des enseignant(e)s, quatre représentant(e)s des parents, deux représentants de la commune, la représentante du parascolaire et l’éduca-teur de l’école.

Les membres du Conseil d’établissement sont nommés pour une durée de trois années. Les représentants de l’école et de la commune sont déjà désignés. quant à eux, les repré-sentants des parents sont pour le moment volontaires, en attendant les élections qui auront lieu en février prochain.

Des représentants du conseil d’école des élèves seront prochainement nommés pour partici-per en partie à l’une ou l’autre des réunions qui auront lieu une fois par trimestre. Règlement et fonctionnementAriane Denonfoux a présenté le règlement du Conseil d’établissement, dont chaque membre avait préalablement reçu un exem-plaire.

Après quoi le groupe s’est attelé aux questions de fonctionnement interne. Les réunions auront lieu dans la salle du parasco-laire. L’ordre du jour de chaque réunion sera élaboré à la fin de la réunion précédente, puis finalisé trois semaine avant la date fixée (29 mai pour la prochaine rencontre).

Les personnes présentes proposent déjà les points suivants : – horaires des patrouilleuses sur le chemin

de l’école ; – présentation de l’infirmier ; – préau : sécurisation et demandes des

élèves pour plus de jeux ;– occupation des élèves pendant les vacances

scolaires ;– demandes de l’école à inscrire dans le

budget 2009 de la commune.

Un procès-verbal de décision sera établi pour chaque réunion. Rédigé alternative-ment par un représentant de l’école, de la commune et des parents, il sera soumis aux personnes présentes pour être adopté, sys-tématiquement avant chaque fin de séance. Il sera ensuite diffusé, entre autres à tous les parents et aux enseignants.

Extension du Conseil d’établissement à toutes les écoles du canton…Dès la rentrée d’automne 2008, toutes les autres écoles primaires bénéficieront de cette même structure. Chaque établisse-ment sera dirigé par un(e) directeur(trice) et aura un Conseil d’établissement. Les quelque 200 écoles du canton seront ainsi regroupées, en 93 établissements. A Onex, ce sera le cas des écoles d’Onex-Village et de belle-Cour, qui auront une seule direction pour deux. Les autres écoles – UCe-bosson, Onex-parc, Racettes – auront une direction chacune. Les postes de direction sont à 100%, sauf pour les Racettes et Onex-Village - belle-Cour à 60%.

Les représentant(e)s des parents et des enseignants pour chaque établissement seront élus lors des élections qui auront lieu dans toutes les communes du canton, en février 2009. Rappelons que cette évolution structurelle de l’enseignement primaire vise à donner à l’école les moyens d’une meilleure gestion de ses besoins et une meilleure arti-culation avec son environnement immédiat.

Pierre Olivier, responsable des relations aux écoles

premier Conseil d’établissement des Tattes – Gros-Chêne

speCTACLes OnésIensAu programme ces prochaines semaines

Cie Chapertons — Humour visuel, Espagne "Goma Gom"Voilà un spectacle tout public, qui roule dans le monde entier ! Il a obtenu de nombreux prix dont, récemment, celui du meilleur spectacle visuel comique dans un festival en Allemagne. Il faut dire que ces trois clowns-acrobates catalans présentent un show invraisemblable et délirant, avec comme partenaire une montagne de chambres à air ! Du plus petit au plus gros, tous les pneus sont mis en scène, dans une succession de tableaux sortis tout droit d’un univers surréaliste. L’imagination de ces magiciens du pneu ne connaît pas de frontière : tour à tour avions, instruments de musique, autos-tamponneuses, grenouille ou éléphant, plus jamais vous ne regarderez les pneumatiques de la même façon… Humour gonflé à bloc… Tout une série de nouvelles situations et de personnages avec une montagne de pneus. Un spectacle tout public, 100% efficace pour se regonfler le moral ! Salle communale, jeudi 8 mai, 20hprix des places : 32.- ; AVs, AI, chômeurs : 28.- ; jeunes de moins de 20 ans, étudiants et apprentis (jusqu’à 30 ans) : 20.- ; Carte 20 ans / 20 francs : 18.-

Renseignements : 022 879 59 99 l’après-midi / www.spectaclesonesiens.chChéquiers culturels acceptés

Frédéric Recrosio — One man show, suisse "Aimer, mûrir et trahir avec la coiffeuse, itinéraire de l'amour normal"De et par Frédéric Recrosio / mise en scène Jean-Luc barbezat« C’est chouette d’être célibataire. et le plus souvent, quand tu te dis ça, c’est que t’es plus célibataire »… Après avoir cartonné un peu partout avec son premier one man show qui lui a valu notamment un Devos d’or, le comédien valaisan – également chroniqueur radio, TV et pour divers journaux – nous livre le fruit de ses interrogations sur les aléas de l’élan amoureux, avec l’humour comme anesthésiant ! A la question « Tu as eu envie de me tromper ? Tu réponds oui, t’es un salaud ; tu réponds non, t’es un menteur… ». Cette chronologie d’un adultère banal passe au crible les faiblesses, hypocrisies et petits mensonges du couple. C‘est un constat : l’amour existe; le désamour, aussi. Frédéric Recrosio en témoigne, à sa façon, de manière sincère et amusée. Rire de soi, encore et toujours, mais avec tendresse, dans une introspection salutaire et généreuse. Le Manège, espace culturel, du mardi 13 au samedi 24 mai, 20h30 (relâches dimanche 18 et lundi 19)prix des places : 30.- ; AVs, AI, chômeurs : 26.- ; jeunes de moins de 20 ans, étudiants et apprentis (jusqu’à 30 ans) : 20.- ; Carte 20 ans / 20 francs : 18.-

Concertus Saisonus — Isabelle Henriquez, mezzo soprano / Inna Petcheniouk, piano. « Terres de glaces, terres de feu » Récital de mélodies russes et argentines.Œuvres de Glinka, Rachmaninov, Obradors, De Falla, Guatavino, Weill. Le Manège, espace culturel, dimanche 1er juin, 17h Réservation : 022 879 59 99 l’après-midi - www.concertus.ch.

Le quartier des Tattes - Gros-Chêne L’école des Tattes

| Développement Durable | Point sur ce qui se fait à Onex le Club Go | Sport | 16


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Le développement durable vise un équilibre entre exigences sociales, économiques et environnementales. En quoi tout cela peut-il concerner une commune ? Quelle est la poli-tique d’Onex dans ce domaine ? René Longet, maire d’Onex et conseiller administratif délé-gué fait le point. Interview de Pierre Olivier

En quoi les questions de développement durable concernent-elles une commune comme Onex ?René Longet : Il s’agit d’enjeux majeurs pour toute la Planète et nous sommes tous concernés. Pour préserver assez de ressour-ces sur la Terre, afin de satisfaire les besoins vitaux des très nombreuses personnes dans le monde qui ne mangent pas à leur faim, qui sont sans accès à des soins de base… tout en pensant aux besoins des générations à venir. Il nous faut produire et consommer autrement. Cela est tout à fait possible par des technolo-gies plus efficaces et une réflexion sur notre style de vie et sur nos besoins. Lors de la Confé-rence de Rio en 1992, ces principes ont été mis en musique dans un vaste programme écono-mique, écologiue et social, appelé Agenda 21. Le chapitre 28 de cette résolution demande à toutes les collectivités publiques dans le monde de définir leur contribution.

Comment une commune peut-elle décliner les différentes exigences du développement durable sur son territoire ?

René Longet : Une collectivité publique agit sur deux axes : la gestion de ses propres affaires et l’effet d’incitation sur la popula-tion. En 2002-2003, nous avons listé toutes les actions que nous entreprenions déjà. Puis, en 2004, le Conseil municipal a validé l’Agenda 21, avec une liste de 39 indicateurs permet-tant de suivre la situation de la commune, 22 actions particulièrement significatives, un effort soutenu d’information et un processus participatif.

Quelle relation l’Agenda 21 a-t-il avec la notion de développement durable ?René Longet : L’Agenda 21 est le programme d’impulsions pour aller vers le développe-ment durable. Les actions sont une mise en évidence de certaines priorités. Chacun au sein de l’administration doit intégrer le déve-loppement durable, dans un souci de bonne gestion des ressources naturelles, financières et humaines.

Quelles sont concrètement les mesures prises à Onex ?René Longet : Outre ce qui est énoncé ci-dessus, il y a des actions dans le domaine des déchets, de l’énergie (dans le cadre de Onex Cité de l’énergie), de la promotion de la santé, etc. En lien avec l’Agenda 21, le Conseil administratif a défini trois champs prioritaires en 2005 qui demeurent toujours valables : la biodiversité, la mobilité, l’alimentation. Respecter les besoins de la biodiversité dans la gestion des espaces,

favoriser les modes de mobilité douce (à pied, à vélo et en transports publics) et la modéra-tion du trafic, privilégier une alimentation saine et de proximité. Enfin, l’aide au développement s’inscrit clairement dans le cadre du dévelop-pement durable et elle a atteint pratiquement la cible des 0,7% internationalement fixée. Il nous manque 24’000 francs pour y être, et le Conseil administratif incluera certainement ce montant dans sa proposition de budget 2009. Sur le plan des actions en 2008, l’essentiel est le projet des ménages pilotes dans lequel plus de 30 ménages testent, avec un cadrage scientifi-que et des appuis techniques, et dans le cadre d’un processus d’échange et d’apprentissage mutuel, les possibilités de réduire leur empreinte écologique à travers la mobilité, le chauffage, l’éclairage, le recyclage, les achats notamment alimentaires, la consommation d’eau.

Œuvrer en faveur du développement dura-ble, est-ce raisonnable pour une commune aux moyens financiers limités comme c’est le cas à Onex ?René Longet : Nos actions sont cohérentes, bien pensées et appréciées loin à la ronde. En étant engagés sur ce thème, nous montrons l’exemple et enlevons des excuses à des col-lectivités mieux situées. Par ailleurs, les enga-gements pour le développement durable sont en phase avec nos actions en matière de lien social, d’intégration, de propreté et de sécurité, de requalification urbaine et de promotion de la santé.

Le point sur le développement durable à Onex

Vous avez de la peine à tenir vos bonnes réso-lutions pour conserver ou retrouver votre for-me physique ? La solution pourrait se trouver tout près de chez vous. Vous croyez que la gymnastique c’est 100% de transpiration et 0% de plaisir ? Le Club GO (Club de Gymnas-tique d’Onex) vous détrompera. Découverte d’un club qui fêtera ses 40 ans l’année pro-chaine et qui offre une vaste palette de cours, pour tous les âges et tous les goûts.

La gymnastique est le sport le plus pratiqué en suisse, avec 400’000 licenciés. Cette dis-cipline, à la portée de tous, se décline sur de nombreux modes, permettant à chacun de s’adonner à une activité qui lui convient.À Onex, le Club GO propose 30 cours heb-domadaires destinés aux enfants et aux adultes. pour les tout-petits (2 à 5 ans), la « gym parents-enfants » vous permet de partager ensemble cette activité. puis, selon leur âge et leurs goûts, les jeunes peuvent s’orienter vers la gymnastique à propre-ment parler, « l’energy gym », le cirque ou bien sûr les agrès. Hélas, chaque année, le Club GO est obligé de refuser l’inscription de plusieurs dizaines d’enfants, faute de locaux. espérons qu’une solution pourra être rapide-ment trouvée.Les adultes peuvent choisir entre la gym « douce » et une gym plus « tonique », selon

les tempéraments et les besoins. Il y a aussi du fitness, de la « dance aerobic » et un cours de « body conscience ». Ce dernier allie la gym au streching et à la relaxation. C’est une invi-tation à être attentif à son ressenti corporel et à respecter ses limites. et que celles et ceux qui pensent que leurs articulations ne leur permettent plus de bouger comme avant se détrompent. Il y a – organisés en partena-riat avec Onex santé – de la gym dorsale et même de l’aquagym !Une trentaine de monitrices, au bénéfice d’une formation certifiée, encadrent les 470 gymnastes du Club GO, ce dernier étant géré par un comité de 8 personnes. sans oublier les juges qui sont mis à contribution lors des compétitions féminines d’agrès.pour une cotisation modeste – allant de 160 à 300 francs par an (60 francs les 10 leçons de gym dorsale et 150 francs pour 10 leçons d’aquagym), vous suivez des cours de qualité, préparés et animés par des personnes expé-rimentées et motivées, le tout dans la bonne humeur et la convivialité. Des sorties de luge et diverses courses du canton sont organi-sées pour les enfants, et les occasions de faire la fête – comme l’escalade ou les anni-versaires – ne manquent pas.en 2008, la Journée dans le terrain – qui est une manifestation cantonale annuelle gérée par l’Association Genevoise de Gymnasti-

que – est organisée par le Club GO. notre commune aura donc le plaisir d’accueillir, dimanche 25 mai, dès 8h au Stade d’athlé-tisme des Evaux, 1’070 enfants et adultes qui se mesureront amicalement lors de rallyes pédestres parsemés de postes ludiques (courses de sacs, courses-relais, jeux avec des pistolets à eau, etc). n’hésitez pas à venir les encourager tout au long de la journée et à assister à la remise des prix prévue vers 17h, en présence de René Longet, maire d’Onex et conseiller administratif délégué au sport. Vous trouverez une buvette pour vous désal-térer et le parc des evaux est un terrain de pique-nique illimité. Les bus 43, 10 et 20 s’arrêtent à proximité de la manifestation.

Catherine Maurin

pour tout renseignement, s’adreser au Club GO : Tél. 022 793 22 04. www.gym-onex.ch

Gymnastique et bonne humeur pour tous : le Club GO

Le vélo électrique, un nouveau mode de mobilité douce bien adapté à nos environnements urbains

Forum des ménages pilotes

Information sur le compost | Voirie / Espaces verts | | Sécurité | Prévention des accidents


nos restes de cuisines pourrissent, fermen-tent et c’est tant mieux ! Traités sur le site nant-de-Châtillon, ils se transforment en biogaz ou en compost, et retournent natu-rellement à la terre.

Aujourd’hui, le ciel arrose la Terre. Il pleut et, sur le site de Châtillon, ça sent la vache et le sous-bois mouillé. Comme tous les mercredis, le camion de la voirie d’Onex déverse nos sacs verts « compost ». soit dans une fosse, direction méthanisation, biogaz et électri-cité. soit dans la cour, direction compostage, terreaux et belles plantes.

L’estomac de la vacheentre les tuyaux métalliques, les tapis roulants, le sol en béton et l’immense cuve en tôles, ça sent l’écurie à vaches. Vraiment! normal, car en fait la cuve de méthani-sation fonctionne exactement comme l’estomac bovin. Une grosse vache avec un estomac qui digère plus de 10’000 tonnes de déchets par an, à l’abri de l’air, par fermen-tation à 35°. La recette est simple. prendre des restes de cuisine, rajouter un zeste de gazon, une pointe de feuilles mortes. broyer le tout dans un gros mixeur. passer au tamis afin d’y extraire les restes des sacs plastics verts et les intrus tels que bouteilles de peT, cuillères, cocotte minute et même une fois un obus. mettre le tout dans la cuve appelée « digesteur ». Laisser agir quelques heures jusqu’à ce que le mélange réduise de moitié par production anaérobie de biogaz, méthane et CO2, gaz de la digestion connu de tous… Ce biogaz est alors transformé en électricité par

deux génératrices pour 600’000 kilowatts/heure par année. electricité qui alimente le centre de Châtillon et, pour le reste, est réin-troduite dans le réseau des sIG, label Vital Vert. Restent, dans le fond du digesteur le « digestat », une sorte de fumier pas encore mûr (30%) et une soupe verdâtre (20%) qui a l’odeur et la couleur de la bouse de vache bien fraîche. Retirer et incorporer au compostage.

Le sous-bois mouilléA la section compostage, ça sent bon la promenade en forêt au petit matin. Dans la cour, un grappin empoigne les autres de nos petits sacs verts et les passe à la broyeuse avec des restes des tailles de jardins, feuilles, branches et troncs d’arbres pour que le mélange ait de la tenue et mûrisse bien. Les déchets verts, maintenant marrons, sont hachés menus et défilent sur des tapis de criblage pour être purifiés de ses bouts de plastics et autres déchets indésirables (environ 12% du poids total des entrants). Une immense halle de compostage aérobie fait office de tas de fumier de 10’000 tonnes par année. 6 gros tas de 4 mètres par 40, retournés automatiquement à la pelleteuse 6 fois en 6 semaines. Ventilés et humidifiés à l’air libre, ces andins composés d’un tiers de déchets de cuisine et « digestat », un tiers de déchets de jardin et un tiers de bois, fermen-tent et chauffent naturellement jusqu’à 80°, ne laissant aucune chance aux bactéries et germes nocifs détruits à cette chaleur. sous l’immense hangar, l’eau s’évapore telle des brumes matinales dans un sous-bois humide. Comme un bon vin de terroir, le compost de

Châtillon est affiné jusqu’à ce qu’il soit fin et délesté des derniers résidus de sacs plasti-ques. engrais naturel de premier choix, de 0 à 10 millimètres, il est vendu aux agricul-teurs ou donné gratuitement aux particuliers amoureux des belles carottes. Le deuxième choix plus grossier, le 10 à 40 mm, est rebroyé et réinjecté dans la chaîne de compostage. s’agissant souvent de bouts de bois que 6 semaines ne suffisent pas à décomposer, il devient combustible de chauffage. Contrôlé en laboratoire, exempt des feuilles des bords de routes trop polluées en zinc et en cuivre sortis de nos pots d’échappement, et des lavures de restaurant, ce compost est certifié conforme par la Confédération.

Le bord des champset le développement durable étant passé dans les années 2000, le site de Châtillon reçoit toujours plus de déchets verts qu’il ne peut en traiter. Alors, depuis quelques mois, on innove en collaboration avec les paysans-partenaires du canton. Les 4’000 tonnes d’excédents propres et sans sacs en plastique sont triées et broyées sur le site, puis étalées et retournées sur des bords de champs prêtés par des agriculteurs qui s’en occupent. Au bout de 6 mois, le cercle est bouclé, et la poussière redevient poussière quand le déchet vert se met tout naturelle-ment au vert.

Flora MadicFaire son compost soi-même : www.onex.chGuide du déchets et compost :http://www.geneve.ch/diae/environne-ment/guide_dechets/compost.html.

La vache et le terreaux de notre poubelle

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Avec l’arrivée des beaux jours la végétation a tendance à se développer et en particulier les haies qui bordent les voies publiques. La loi sur les routes (L.1.10) prévoit des disposi-tions destinées a limiter la prolifération des végétaux sur les voies et chemins publics pour préserver la visibilité des usagers de la route et éviter des obstacles qui pourraient entraver le cheminement des piétons, ce qui pourraient présenter des dangers non négli-geables. pour ces motifs, le service de la sécurité municipale prie tous les propriétai-

res de s’assurer que, sur leurs terrains, les gabarits des plantations respectent les dis-positions légales.

si tel n’est pas le cas, les plantations devront être taillées conformément aux prescrip-tions légales (voir le illustrations) avant 31 mai 2008. en cas de non-respect de ce délai, la commune se verrait dans l’obligation d’ef-fectuer ces travaux d’office et de facturer les coûts aux propriétaires.

Hauteur H1 = 4,5 mètresHauteur H2 = 2 mètresLargeur D1 = A front du domaine public (ne doit pas empiéter sur le trottoir ou la chaussée)

Taille des arbres, des buissons et des haies le long des routes et des chemins

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La fatigue se fait sentir ? Accordez-vous une petite sieste !

Les spécialistes estiment que la somnolence est en cause dans 10 à 20% des accidents de la route. que ce soit en raison d’horaires irré-guliers, après une journée harassante ou à l’issue d’une longue soirée arrosée, la fatigue guette le conducteur, même le plus averti.C’est pour cette raison que le bureau de pré-vention des accidents (bpA) recommande d’être attentif à tout signe indicateur de fatigue excessive.Comme chacun le sait, il faut avant tout s’abs-tenir de conduire si l’on risque de dépasser le pourcentage légal de 0,5 grammes d’alcool dans le sang. Ce qui représente un verre de deux décilitres de vin à jeun, ou le double lors d’un repas. Au-delà de ce seuil, l’alcool diminue l’attention et les réflexes. Une prise

plus importante encore peut faire de chacun d’entre nous un véritable danger public. Il faut également éviter de conduire si l’on n’est pas en bonne forme. quand on y est contraint, il y a quelques mesures incontour-nables de sécurité à respecter.sur la route, il est recommandé de s’arrêter dès que possible, lorsque la fatigue se fait sentir. Une pose de quinze à vingt minutes pour faire une sieste permet souvent de faire tomber la fatigue et diminue le risque d’en-dormissement. De longs trajets ne peuvent être envisagés que lorsque l’on est bien reposéen ville, il est préférable de prévoir un taxi ou un hébergement sur place, lors de soirées festives. sans quoi on prend des risques

inutiles, pour soi et pour autrui. Un hôte qui laisse partir un convive en état d’ébriété au volant peut même être poursuivi juridi-quement, en cas d’accident. Cela s’est déjà produit.si l’on souffre de somnolence diurne due à des troubles du sommeil (apnée, ronfle-ment), il est indispensable de consulter un médecin. Des traitements appropriés per-mettent de soigner ces troubles, et donc d’améliorer la qualité de vie, comme la sécurité des personnes concernées.

pour tour renseignement, votre délégué du bureau de prévention des accidents vous répond au 022 879 51 60 - service de la sécurité – Rue du bois-Carrien 14 – 1213 Onex

La sécurité routière passe par une bonne forme au volant !

Taille des arbres Taille des haies

H1H2

trottoir Chaussée D1

| Urbanisme | Aménagement de la place du 150ème Aménagement de la place du 150ème | Urbanisme | 20


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L’espace sis entre la maison Onésienne et la rue du Vieux moulin a servi longtemps de lieu d’accueil pour des manifestations occasion-nelles, cirque ou autres, et surtout le défunt Carnaval d’Onex. A ce titre, une partie de la place enherbée a été drainée. Des WC publics avaient à cette occasion été proposés mais jugés trop coûteux par le Conseil municipal. Dans le même temps, sur proposition de plusieurs conseillers municipaux, dont m. Ravy qui avait été trésorier de la grande fête du 150ème anniversaire de la Ville d’Onex, le Conseil admi-nistratif faisait valider la dénomination actuelle de cette place, la place du 150ème. Rappelons qu’un autre site de la commune commémore un anniversaire analogue, le pont du Centenaire, qui fait référence aux fêtes du centenaire du rattachement des communes réunies à Genève, en 1913.

Un processus exemplaieDepuis un certain nombre d’années, l’Association des Habitants Onex-Cité (AHOC), auparavant nommée Association des habitants du Vieux moulin et de la rue des evaux, était en contact étroit avec le Conseil administratif et plus particulièrement le soussigné, afin de définir un certain nombre d’aménagements pour cet espace alors livré quasi exclusivement aux chiens.

Divers besoins ont été articulés, en fonction de sondages menés par l’Association parmi ses membres et la population. Il était clair que cet espace ne devait pas demeurer en l’état. signalons qu’en 2005 y a été placée la Table Rencontre, découpée par un artiste m. pierre Jaggi dans le séquoia du parc brot, message de convivialité et de lien entre les diverses parties de la commune. Dans le plan directeur communal d’urbanisme, l’importance de ce site et la nécessité de le revaloriser dans une perspective paysagère et qualitative avait été reconnue.

Une motion proposée par le parti démocrate-chrétien et adoptée par le Conseil municipal fin 2005 demandait au Conseil administra-tif de mener officiellement une consultation des diverses catégo-ries concernées. Un bureau d’études, Urbaplan, fut chargé de cette enquête, qui se tint au printemps 2006 au moyen de séances d’infor-mation et de travail.

Ont été contactés :– Les aînés (distribution d’un questionnaire au Club de midi du spps);– Les jeunes (rencontres à travers le sJAC et la FAse) ;– Les enfants (à travers le GIAp : Groupement Intercommunal pour

l’Animation parascolaire, la Villa Yoyo et le Jardin Robinson) ;– Le Groupe de pilotage du quartier (Gpq) ;– L’AHOC.

De ces consultations, il est ressorti un certain nombre de besoins, consignés dans un document largement diffusé notamment lors de la fête des 25 ans de la maison onésienne (exposition et débat en novembre 2006) :– Un pavillon de réunion et de rangement de matériel ;– Un enclos permettant de bien délimiter l’espace pour chiens et

ainsi de répartir la place pour les différents types d’usagers ;– Un agrandissement de la place de jeu;– Des chemins avec bancs, notamment pour les personnes âgées ;– Un terrain multisports, demandé par de nombreux jeunes ;– Un espace libre pour les diverses manifestations.

Ces divers équipements ont été judicieusement répartis sur l’espace disponible, alliant réponse sociale et paysagère et réalisant un équilibre approprié sur ces deux plans.

place du 150ème : Des aménagements au service des habitants

Des réalisations qui apportent une plus-value à la citéLes animations de l’été 2007, coordonnées par le service des relations communales, de la communication et du développement durable (sRD) et organisées durant 4 week-ends par diverses associations, ont permis de mettre en exergue l’intérêt de l’occupation de cet espace. Une pétition s’élevant contre les nuisances de ces activités a certes été déposée par des habitants auprès du Conseil municipal, mais l’expérience tant du terrain de pétanque des Tattes que des terrains polyvalents près du stade municipal montre que la fixation d’un horaire strict et son respect permettent de garantir une bonne cohabitation entre habitants et usagers. Ces assurances ont été répétées devant le Conseil municipal.

Un autre aspect est la façon d’aménager et de gérer le pavillon. L’option proposée est un cabanon en structure bois avec toiture végétalisée et habillage des façades en canne de bambou et treille, solution novatrice et originale. Une telle architecture de bambou, également végétalisée par un complexe de plantes grimpantes, est non seulement plus facile à entretenir qu’une structure en bois tra-ditionnelle, mais elle ne pose pas les problèmes de vieillissement, étant essentiellement en matériau vivant. elle prolonge en particu-lier les cordons arborisés et allées typiques du secteur.

esthétiquement, c’est également une façon de qualifier le lieu, tran-sition entre la cité et la forêt onésienne, et de donner une plus-value

au site, facteur d’identité pour les habitants du quartier. Au niveau de la gestion, le Conseil administratif est en discussion avec l’AHOC pour une saison expérimentale 2009 qui doit permettre de voir comment pourrait fonctionner une coordination des demandes d’occupation par cette association. Cette option a été consolidée par un amende-ment dans le sens d’un mandat de prestation en vue d’une gestion associative, voté par le Conseil municipal dans le cadre de l’adoption du crédit. enfin les cheminements seront réalisés en matière argilo-calcaire stabilisée et un d’entre eux est prolongé sur l’avenue du bois de la Chapelle par un passage piétons qui sécurisera ce passage fort fréquenté.

Lors de sa séance du 8 avril dernier, c’est à l’unanimité que le Conseil municipal a accepté les crédits nécessaires. sous réserve de forma-lités d’autorisations, le chantier devrait s’ouvrir en octobre pour une durée de cinq mois. Inauguration donc début 2009.

Les autorités onésiennes, dans son souci de qualité de la vie pour tous, ont à plusieurs reprises souligné leur volonté d’entreprendre une requalification cohérente de la cité, en partenariat avec les pro-priétaires et les habitants. Ce projet s’insère dans ce programme et l’illustre de façon exemplaire par ses divers aspects.

René Longet, maire et conseiller administratif

délégué au Service Infrastructures publiques et environnement

Toit vert du pavillon en bambou

plan d’aménagement de la place du 150ème

Végétalisation en façade

Rubrique à braque en vrac | Vie pratique | 22


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La marche, c’est si facile !La marche est à la portée de tous, puisqu’il suffit de savoir mettre un pied devant l’autre.

De surcroît, à moins d’une météo particulièrement catastrophique, elle peut se pratiquer n’importe où, à la ville comme à la campagne, et n’importe quand, pourvu que l’on dispose d’un peu de temps.

par exemple, il faut savoir que 30 minutes de marche peuvent se remplacer par trois fois 10 minutes, ce qui est tout à fait compati-ble avec nos trajets quotidiens. Autre avantage, contrairement au jogging et à tous les sports où il faut sauter ou faire des mouvements brutaux, la marche n’est pas dangereuse pour les articulations.

en fait, elle ne requiert pas une condition physique de grand champion, mais elle peut en revanche mener pas à pas et sans effort excessif sur la voie de la remise en forme.

La marche c’est bon pour la santéA condition d’avancer d’un bon pas et de respecter quelques règles, la marche offre tous les bénéfices d’une activité physique d’endu-rance. elle représente un excellent exercice, qui tonifie le cœur. C’est tellement vrai que les cardiologues l’utilisent au cours de la réédu-cation de leurs patients. La marche protège les artères, car elle fait baisser le taux de mauvais cholestérol et augmente le bon. elle facilite le retour veineux dans les jambes grâce aux impulsions données par les pieds sur le sol. elle augmente sensiblement la capacité aérobie: on consomme mieux l’oxygène que l’on respire.

enfin, la marche est un formidable anti-stress, qui permet de libérer les tensions nerveuses tout en douceur. elle augmente énormément notre adaptation à l’effort.

Légumes du mois : petits pois et cressonSoupe glacée aux petits pois et au cresson préparation : 10 minutesIngrédients pour 4 à 6 personnes450 g de petits pois ; 85 g de cresson grossièrement déchiré ; 850 ml de bouillon de légumes ; jus et zeste d’un petit citron ; 4 cuillères à soupe de yaourt nature ; glaçons pour servir.

Recette1. mettre tous les ingrédients, à l’exception du yaourt et de la glace,

dans le mixeur. ne pas remplir trop l’appareil. Cette étape peut être réalisée en deux fois, si nécessaire.

2. mélanger tous les ingrédients à vitesse élevée pendant 2 à 3 minutes, jusqu’à ce que la préparation soit homogène et que le cresson soit bien réparti. Assaisonner selon son goût.

3. servir immédiatement (accompagné de yaourt et d’un ou deux glaçons pour rendre encore plus rafraîchissante) ou conserver dans un récipient hermétique jusqu’à deux jours au réfrigérateur ou jusqu’à un mois au congélateur (bien remuer avant de servir).

Fruits du mois : fraises Tartelettes aux fraises et aux noisettespréparation : 20 à 25 minutes - Cuisson : 10 minutes

Ingrédients pour 24 tartelettes100 g de beurre ramolli ; 100 g de sucre roux en poudre ; 100 g de noisettes blanchies, finement hachées dans le robot ; 250 g de mas-carpone ; 2 ou 3 cuillères à soupe de lait ; 45 ml (3 cuillères à soupe) de crème au citron ; 225 g de fraises coupées.

Recette1. préchauffer le four à 180 °C (160 °C pour un four à chaleur tournante).

beurrer légèrement deux plaques à muffins de 12 trous (inutile si l’on utilise des moules antiadhésifs). battre le beurre et le sucre pendant une ou deux minutes, jusqu’à ce que le mélange soit onctueux et crémeux. Ajouter les noisettes hachées et mélanger.

2. Déposer une bonne cuillérée de la préparation dans chaque petit moule. Faire cuire pendant environ 10 minutes, jusqu’à ce que la pâte soit dorée et ait levé légèrement au-dessus des côtés de chaque moule. Laisser refroidir dans les moules pendant environ 5 minutes. puis, à l’aide d’un petit couteau, démouler les tartes et les placer sur un papier d’essuie-tout. Les fonds de tartelettes peuvent être préparés jusqu’à un jour à l’avance et conservés dans un récipient hermétique, dans un endroit frais. en cas de manque de temps, on trouve des fonds de tartelettes déjà prêts dans le commerce.

3. battre le mascarpone avec suffisamment de lait pour obtenir une préparation homogène et crémeuse ressemblant à de la crème fouettée. Incorporer délicatement la crème au citron pour panacher la préparation. Terminer avec les fraises.

bonne forme et alimentation saine

Vote au Conseil municipal

Augmentation des ressources allouées à la Sécurité municipaleLa commission sécurité s’est réunie à deux reprises pour étudier deux motions relatives à l’augmentation des ressources de la sécurité municipale, motions déposées au Conseil municipal le 11 décembre 2007.

Tâches des ASMLes Asm ont la responsabilité de : la sur-veillance du territoire communal ce qui comprend le domaine public, les marchés, les parcs et les promenades ; la prévention aux abords des écoles ; les enquêtes, admi-nistratives et autres ; la pose de disques de stationnement et de signalisation pour orienter les automobilistes sur un lieu précis lors de manifestations ; les activités d’huis-sier en accompagnant le Conseil adminis-tratif lors de manifestations officielles ou lors des séances du Conseil municipal ; le respect de l’application des lois et règle-ments communaux, comme contrôler les médailles de chiens et qu’ils ne déposent pas leurs crottes à des endroits non prévus à cet effet ; l’application du droit fédéral sur la circulation ; la surveillance du marché ; la gestion de l’occupation du domaine public. Les Asm ne peuvent pas contrôler la vitesse des véhicules, mais ils ont la possibilité de faire évacuer des véhicules mal garés sur la voie publique et donner des amendes en cas de non-respect du règlement sur les déchets. Ils s’occupent également de la verbalisa-tion lorsqu’il y a non-respect d’un stop, d’un feu rouge, passage indu dans les chemins « bordiers autorisés », etc.

ProblématiqueIl n’y a actuellement pas assez de gendarmes dans le canton (700 au lieu des 900 nécessai-

res). A Genève, on devrait avoir 30 policiers pour 10'000 habitants, alors qu’il n’y en a en moyenne que 23,5. Ce qui peut amener un déficit de présence sur le terrain. Les Asm ne sont pas armés et ils font un excellent travail de prévention en rencontrant des personnes ou des commerçants qui peuvent ressentir une certaine insécurité. Une collaboration intercommunale bernex - Lancy - plan-les-Ouates - Onex va s’instaurer afin d’examiner la possibilité d’organiser des patrouilles en soirée et le week-end pour améliorer la tran-quillité de nos concitoyens. Dans l’ensemble, la commission est convain-cue qu’il faut donner plus de moyens au service de sécurité municipale, par l’engage-ment d’une secrétaire administrative, et par l’engagement d’un nouvel agent.

Vote au municipalLe Conseil municipal, sur proposition de sa commission sécurité et à l’unanimité des présents, demande au Conseil administratif : de mettre en œuvre le projet de collaboration en matière de sécurité municipale avec les communes de bernex, Lancy et, si possible, plan-les-Ouates ; de prévoir au budget 2009 les montants nécessaires à l’engagement d’un Asm supplémentaire et à l’augmenta-tion des ressources de secrétariat d’un demi-poste ; de présenter au Conseil municipal un projet de délibération ouvrant un crédit d’in-vestissement en vue d’acquérir un véhicule adapté aux besoins des Asm. Au vote, le projet est accepté à l’unanimité.

Aménagement de la place du 150ème Il s’agit d’ouvrir un crédit de 780'000 francs pour l’aménagement de cette place (présenté dans les pages 20 et 21 du présent numéro d’Onex magazine). malgré quelques inquié-

tudes relatives au bruit et des questions sur l’opportunité d’installer un poêle, le projet d’aménagement de la place du 150ème

est finalement adopté à l’unanimité par le Conseil municipal. Ceci avec deux amende-ments demandant d’établir un contrat de prestations avec une association prête à s’in-vestir pour la gestion du pavillon et, suivant l’évolution de la situation, de réévaluer ce contrat chaque année.

Comptes 2007m. philippe Rochat, conseiller administra-tif en charge des finances, présente les comptes 2007 - qui présentent un bonus de 1’340’000 francs - en vue de l’approbation des comptes de fonctionnement, d’inves-tissement, du financement des investisse-ments, de variation de la fortune et du bilan de l’exercice 2007 (pD/1829).

Le Conseil municipal remercie m. philippe Rochat et l’administration communale pour le travail accompli et la clarté des documents. Les comptes vont être soumis à l’analyse des différentes commissions, entre le 9 avril (Commission écoles – culture-loisirs – sport) et le 24 avril (Commission des finances). Après quoi, ils seront soumis à l’approbation du Conseil municipal lors de sa prochaine réunion du 13 mai 2008.

Reflet du Conseil municipal de mars 2008, dans onex magazine d’avrilDeux conseillers municipaux relèvent l’impré-cision de l’article relatif au vote sur la maison Onésienne. Une rectification est demandée par le Conseil municipal. Celle-ci est faite dans la rubrique « Actualité » (page 4) de ce numéro d’Onex magazine.

Conseil municipal du 8 avril

| Politique | Conseil municipal du 8 avril 2008

| AGENDA | Mai — Juillet 2008

Date Catégorie evénement Lieu Horaires Renseignements

3 mai sport Tournoi de rock acrobatique ecole de Vailly à bernex Journée Rocking club / mme stéphanie Trueba

022 782 10 55 / www.rocking-club-onex.ch

3 mai Fête soirée dansante (sabor Latino) salle communale 20h-02h Carlos Cervantes / 022 733 83 63

3 et 4 mai sport Disc Golf swiss Open Centre sportif des evaux samedi - dimanche : 9h-17h m. boris Lazzarotto / 079 292 78 54

[email protected]

6 mai Aînés Concert de la chorale des aînés (25e anniv.) salle communale 13h45 - 16h mme Gaëlle Frasse - bureau des aînés

avec la chorale de l’école du bosson 022 879 89 24 / [email protected]

7 mai exposition Journée «portes ouvertes» du FROC parvis de la paroisse Journée mme m.-F. Girardin / 022 757 14 15

protestante d'Onex

8 mai spectacles Onésiens CIe CHApeRTOns (humour visuel) salle communale 20h 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

9 et 10 mai exposition exposition d’articles ménagers salle communale Journée Casa bella / 091 935 09 60

13 mai politique Conseil municipal salle du Conseil 19h mme Jeannette sanchis / 022 879 59 59

13 au 24 mai spectacles Onésiens FReDeRIC ReCROsIO (one man show) Le manège 20h30 022 879 59 99 / www.spectaclesonesiens.ch

«Aimer et trahir avec la coiffeuse» Relâche 18 et 19 mai

14 mai ecoles Inscriptions aux Cuisines scolaires AstrOnex 10h-14h et 15h-19h Association des Cuisines scolaires et GIAp

et au parascolaire maison Onésienne

16 au 18 mai sport Concours de pétanque boulodrome des Tattes Inscriptions et horaires pétanque Onésienne / m. Raymond nicollerat

sur demande 022 792 72 04 ou 022 879 02 09

20 mai Développement durable Forum Cité de l’énergie salle communale 19h m. pierre Olivier - mairie d’Onex

Avec la participation de la FeDRe 022 879 59 59 / [email protected]

25 mai sport Grande journée sportive du club Go parc des evaux Journée Club Go / m. patrick Tschanz / 022 793 22 04

28 mai sport eliminatoires du challenge piscine d’Onex 11h-14h mme sonia Candolfi / 078 830 08 31

Tribune de Genève [email protected]

28 mai Culture Atelier de danse Onex-Village salle communale 13h30-20h30 mme eliette Roy / 022 793 08 14

30 mai Culture Lecture de textes de l'association maison Onésienne 19h30-22h mme emmanuelle Cavarero / 022 792 06 36 /

ecritures Onex aeonex@sunrise

31 mai sport Tournoi international interbanques Centre sportif des evaux Journée Centre sportif des evaux / 022 879 85 85

de football

1er juin Culture Les Concertus saisonnus Le manège 17h spectacles onésiens / 022 879 59 99

récital de chant d'Isabelle Henriquez www.concertus.ch

7 juin Développement durable Atelier nature enfants-parents parc des evaux 10h-12h mme Yubitza saa

Thème: observation de la nature [email protected]

13 juin Vie publique soirée avec Action Innocence maison Onésienne 19h m. Joël bianchi / 022 879 80 20

Natel et prévention sur Internet

13 juin ecoles 37ème Concours de natation piscine d'Onex 8h30 m. pierre Olivier / 022 879 59 59

des écoles primaires d'Onex [email protected]

14 juin Fêtes Fête de la paroisse de saint-marc paroisse saint-marc 8h-24h mme nelly Azzeletti / 022 792 68 90

14 au 15 juin sport Concours de pétanque boulodrome des Tattes Inscriptions et horaires pétanque Onésienne / m. Raymond nicollerat

sur demande 022 792 72 04 ou 022 879 02 09

17 juin politique Conseil municipal salle du Conseil 19h mme Jeannette sanchis / 022 879 59 59

26 juin ecoles Réception officielle du corps enseignant, Le manège 17h45 m. pierre Olivier / 022 879 59 59

du parascolaire et des patrouilleuses (sur invitation) [email protected]

27 juin ecoles promotions 2008 - Fête des écoles parc de la mairie Dès 19h m. pierre Olivier / 022 879 59 59

[email protected]

27 au 29 juin Culture spectacle de cirque de la troupe Altaïr Le manège Vendredi et samedi: 20h Troupe Altaïr / 079 650 93 84

Dimanche : 14h www.troupe-altair.ch

4 au 5 juillet Culture Cirque Helvetia Centre sportif des evaux Vendredi: 20h samedi: 17h m. Daniel maillard / 079 607 71 43

4 juillet Fête Fête Américaine Centre sportif des evaux soirée Centre sportif des evaux / 022 879 85 85

Association des Américains de Genève

7 au 11 juillet sport Footballissima (stage de foot) Centre sportif des evaux 9h - 17h Footballissima / patrick Girod / 078 614 85 68

contact@footballissima

10 au 17 juillet Jeux Kid Games 2008 Centre sportif des evaux Journée Centre sportif des evaux / 022 879 85 85

Alliance évangélique de Genève

14 au 18 juillet sport Footballissima (stage de foot) Centre sportif des evaux 9h - 17h Footballissima / patrick Girod / 078 614 85 68

contact@footballissima

pour les spectacles Onésiens : www.spectaclesonesiens.ch

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