P4 · 2019. 12. 9. · 2 Le journal communautaire n°01 / Septembre 2015 REGARD / XXXX otorae Sommaire Directeur de la publication : Patrice Vergriete / Direction de la communication

LE JOURNALL’INFORMATION DE LA COMMUNAUTÉ URBAINE DE DUNKERQUE

N°47 NOVEMBRE 2019Communautaire

www.communaute-urbaine-dunkerque.fr

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De nouveaux emploisgrâce à la solidarité dunkerquoise

2 Le journal communautaire n°01 / Septembre 2015

REGARD /XXXX

Photographe : xxxx

Sommaire

Directeur de la publication : Patrice Vergriete / Direction de la communication et du numérique : Jean-Pierre Triquet / Rédacteur en chef : Olivier Tartart / Rédaction : Stéphanie Abjean, Pascaline Duban, Agnès Godefroid / Photos : Sarah Damie, Pierre Volot, Jean-Louis Burnod, Florane Zoete / Mise en page : Anne-Carole Baylly, Alexis Truant / Tirage : 90 000 exemplaires / Dépôt légal : N°47 novembre 2019 - ISSN : 2496-6657 / Éditeur : CUD, Pertuis de la Marine, BP 85530, 59 386 Dunkerque Cedex 1 / Tél. : 03 28 62 70 00 / Imprimeur : Mordacq / Distribution : 100 % Bons Plans

ACTUALITÉS P.4-7• De nouveaux emplois financés par la Fondation

du Dunkerquois Solidaire

• Dans les coulisses du port avec Dunkerque Port Center

• Deux parcelles mises à disposition pour l’agriculture bio

RETOUR EN IMAGES P.8-9

LA CUD EN ACTION P.10-13• Le fort des Dunes revisité

• La digue de Leffrinckoucke se refait une beauté

• Deux abris vélos supplémentaires dans l’agglomération

À LA RENCONTRE DE… P.14-15• Biscuit, Jigé, Luc Masson

TOUS ACTEURS DE L’EMPLOI LOCAL P.16-17• L’économie sociale et solidaire, des projets innovants

pour le territoire

INITIATIVES P.18-19• Une deuxième école d’ingénieurs va s’implanter à Dunkerque

• Le CHD se modernise pour simplifier la vie des usagers

EXPRESSION P.20-21

HISTOIRE P.22-23• Du planétarium au PLUS : 30 ans de partage du savoir

PASSION LOISIRS P.24-26• Marchés et féérie de Noël rythmeront la fin de l’année

• L’élite des sports de glace à Dunkerque

PASSION CULTURE P.27-28• Un premier « Bright Mirror » à la Halle aux sucres

• Dunkerque, capitale du romantisme

AGENDA P.29-31

P.12

P.16

AMÉNAGEMENT

EMPLOI

P.10

P.22

MÉMOIRE

HISTOIRE

Plein vent à la Halle aux sucresRéalisée avec Coalition art et environne-ment, la nouvelle exposition présentée à la Halle aux sucres, « Plein vent ! » propose une bouffée d’air frais. Entre art, science et croyances, elle interroge notre rapport au vent, cet élément naturel qui fait intrinsè-quement partie de l’identité de notre terri-toire dunkerquois. Visible jusqu’au 20 sep-tembre 2020, elle s’accompagne d’une série de rendez-vous.

4 Le journal communautaire n°47 / novembre 2019

ACTUALITÉS /SOLIDARITÉ

D epuis le lancement de la Fondation du Dunkerquois Solidaire, neuf emplois ont déjà été créés grâce à la gé-

nérosité des habitants, associations et entreprises de l’agglomération. Ce dis-positif émanant des États Généraux de l’Emploi Local (EGEL) est une approche totalement innovante en France pour relever le défi de l’emploi des chômeurs de longue durée.400 000 euros ont été collectés grâce aux dons ou aux événements labellisés par la Fondation, comme par exemple la vente des « goodies » du carnaval de l’office de tourisme de Dunkerque et des carafes Eau du Dunkerquois à l’ef-figie du territoire. 88 % des donateurs sont des particuliers désireux d’agir concrètement pour l’emploi local et de soutenir des projets utiles au territoire puisque les emplois créés répondent à des besoins identifiés par les associa-tions locales dans des domaines variés : santé, développement durable, mobili-té douce, solidarité… Véritable laboratoire social, la Fonda-tion du Dunkerquois Solidaire expé-rimente ainsi de nouvelles approches

de recrutement innovantes auprès d’un public ciblé spécifiquement : sans tra-vail ni formation depuis au moins deux ans, car il s’agit justement des per-sonnes les plus vulnérables, chez qui

le risque de rupture sociale est le plus important. Il sera créé autant d’emplois que les dons collectés par la fondation le permettront. Donc si vous aussi, vous souhaitez agir, soyez solidaire !

Luttant contre le chômage de longue

durée, la Fondation du Dunkerquois Solidaire

permet l’émergence de projets innovants et

d’utilité sociale. Grâce à la mobilisation des habitants, associations et entreprises du territoire, neuf emplois

ont déjà été créés. Autant de « deuxièmes

chances » saisies !

La Fondation du Dunkerquois Solidaire, comment ça marche ?

Les dons au profit de la fondation sont déductibles des impôts à hau-teur de 60 % pour les entreprises et 66 % pour les particuliers. Pour soutenir la fondation, un coupon-réponse est disponible en dernière page de ce magazine. Pour connaître les nombreux projets créés, ren-dez-vous aux Rencontres de la Fondation du Dunkerquois Solidaire le mercredi 4 décembre à 18 h au Théâtre de la Licorne, 60 rue du Fort-Louis à Dunkerque, sur inscription sur www.dk-solidaire.fr, plus d’infos par tél. 03 28 62 71 77.

Dans l’atelier de couture d’ACL Proxi POL, un emploi a été créé. Guislaine Gobert donne ainsi une seconde vie au cuir pour en faire des sacs à main tout en transmettant son savoir-faire aux personnes en insertion.

De nouveaux emplois grâce à la Fondation du Dunkerquois Solidaire

Le journal communautaire n°47 / novembre 2019 5

Dunkerquois et toujours plus solidaires

PATRICE VERGRIETE Président de la Communauté urbaine de Dunkerque

PERSPECTIVES

Cette année encore, la Fondation du Dunkerquois Solidaire crée de nouveaux emplois à haute utilité sociale grâce à la générosité des citoyens, des associations et des entreprises de notre agglomération.

Terre de solidarité par essence, le Dunkerquois a relevé le défi de l’emploi local en collectant des dons et en organisant des événements labellisés par la Fondation du Dunkerquois Solidaire. En lançant des projets qui profitent à tous, inexistants dans le territoire et non concurrentiels au secteur marchand, cette démarche au long cours démontre que notre agglomération est un formidable laboratoire d’innovation sociale.

Cette initiative a d’ores et déjà permis à neuf habitant(e)s du Dunkerquois, jusqu’alors exclu(e)s du marché du travail depuis plus de deux ans, de retrouver le chemin de l’emploi et une espérance de vie sociale.

Chacun(e) d’entre nous peut contribuer à cette dynamique par un don, aussi modeste soit-il, déductible des impôts, ou en organisant un événement solidaire. Votre générosité permettra le financement de nouveaux projets, que je vous invite à découvrir le 4 décembre au Théâtre de la Licorne à Dunkerque.

FABRICE FORTEVILLE de Gravelines, accompagnateur de déménagement à la Courte Echelle (Axhom)

« J’étais magasinier et res-ponsable de cour dans une grande surface de brico-lage quand j’ai été licencié.

Ce nouveau travail a changé ma vie ! Je trouve que c’est très gratifiant d’aider des personnes qui sont perdues et qui retrouvent le sourire quand on les aide à trouver des solutions. Déménager est toujours un casse-tête, alors imaginez pour des personnes qui n’ont pas de moyens finan-ciers et qui vivent dans la précarité ! »

ISABELLE DUBREUIL

de Cappelle-la-Grande, e-animatrice au Carrefour des Solidarités

« Au chômage, je proposais bénévolement mes ser-vices au Carrefour des Soli-darités. Cet été, j’ai été em-

bauchée par l’association grâce à la fondation. J’accompagne ainsi les personnes en situation précaire dans leurs démarches en ligne, un enjeu essentiel d’accès aux droits, et je forme d’autres travailleurs sociaux et bénévoles qui œuvrent dans le même but. Cette opportunité m’a permis de sortir du chômage tout en mettant à profit mes compétences informatiques et mon envie d’aider les autres. »

Ils ont trouvé un emploi grâce à la fondation

CHARLOTTE LOPEZ de Téteghem - Coudekerque-Village, chargée d’accueil de l’APA Mobile chez DK Pulse

« J’ai adoré passer mon per-mis poids-lourd. J’ai vu cela comme un défi. Je suis vrai-ment déterminée à réussir et

à profiter des trois ans devant moi pour continuer à me former. »


ACTUALITÉS /PORT

C réé par l’Association Interna-tionale des Villes Portuaires, le concept de Port Center peut prendre différentes formes

(plateforme numérique, centre d’inter-prétation, etc.) avec un objectif unique : retisser le lien entre la population d’un territoire et son activité portuaire. On compte 15 « Port Centers » aujourd’hui à travers la planète, dont celui de Dun-kerque, tout récemment installé au deuxième étage du musée portuaire, dans un espace indépendant de 240 m2.

Des travaux, portés par la Communauté urbaine de Dunkerque, ont été néces-saires pour faire de cette salle un lieu d’accueil et d’information du public qui ouvrira ses portes début 2020. En plus de consulter toutes sortes de documents liés à l’activité du port de Dunkerque, de suivre en direct les tra-fics maritimes, il sera possible de dé-couvrir le monde portuaire : quel bateau transite par notre port, d’où vient-il, que transporte-t-il ? Une exposition ludique, pédagogique et interactive présentant

le port de Dunkerque, ce qu’on y fait aujourd’hui et ce qu’on y fera demain, apportera un éclairage complémentaire. Enfin, Dunkerque Port Center sera éga-lement le point de départ de visites organisées en bus à l’intérieur du port. « L’objectif est de faire connaître la place portuaire, son fonctionnement, son or-ganisation et ses métiers, d’informer aussi sur les filières possibles, et d’em-mener les visiteurs à l’intérieur du port pour recréer du lien entre le territoire et la place portuaire », résume Delphine Taleux-Grisot, directrice de la structure.

« Éloigné » de la population pour des raisons de sécurité, le port de Dunkerque reste un formidable vecteur d’attractivité du territoire que Dunkerque Port Center invite à redécouvrir à travers différents outils : exposition, documents, applications numériques et visites. Rendez-vous au Musée portuaire début 2020.

Dans les coulisses du port avec Dunkerque Port Center

Dunkerque Port Center est porté par trois membres fondateurs : le Grand Port Maritime de Dunkerque, la CUD et le Musée portuaire. De nombreux autres acteurs du territoire sont associés au projet, comme l’ULCO, l’office de tourisme, l’AGUR, l’UMC, Pôle Emploi, les entreprises portuaires, etc.

Vous souhaitez devenir partenaire de Dunkerque Port Center : [email protected] ou 03 28 63 33 44.


L’alimentation en circuit court répond à des probléma-tiques d’emploi et de santé publique. En aidant les agri-

culteurs à s’installer, à se convertir au bio et en leur assurant des débouchés à travers les restaurations collectives, la CUD encourage la création d’une filière locale pour répondre aux aspi-rations des habitants, toujours plus attentifs au contenu de leur assiette. Dans cette optique, la CUD, propriétaire de 270 hectares de surfaces agricoles, met à disposition des terrains. Après un premier appel à projets l’année dernière à Téteghem-Coudekerque-Village, elle

lance deux nouveaux appels à candida-tures pour mettre en culture bio deux parcelles : l’une de 5,8 hectares à Coude-kerque-Branche et l’autre de 1,8 hectare à Grande-Synthe.D’autres projets accompagnent le déve-loppement de la filière locale agricole,

comme par exemple, une légumerie qui transforme les aliments à destination de restaurations collectives du territoire, (voir notre article page 16), ainsi que la création future d’une halle alimentaire dédiée aux produits locaux.

La CUD lance deux nouveaux appels à candidatures pour

cultiver des parcelles à Coudekerque-Branche

et à Grande-Synthe. Une initiative qui accompagne

la création d’une filière agricole locale bio, en

partenariat avec la Chambre d’agriculture et la Chambre

des Métiers et de l’Artisanat.

Si vous êtes intéressés par les appels à candidatures, le dossier est téléchargeable sur le site www.communaute-urbaine-dunkerque.fr.

La date limite des candidatures est fixée au 15 janvier 2020.

Par mail : [email protected].

/AGRICULTURE

Deux parcelles mises à disposition pour l’agriculture bio


RETOUR EN IMAGES /

Cinq courses se sont succédé pour la Ronde des sables de Loon-Plage.

Frissons garantis au Parc zoologique de Fort-Mardyck pour Halloween.

Premier port fruitier de France, Dunkerque

renouvelle le bal de la banane

antillaise.

Octobre en images


Grande-Synthe accueillait le championnat de France de breakdance.

Le surf casting dunkerquois organisait le championnat du monde de pêche en bord de mer.

Octobre en images L’élite des cavaliers avait rendez-

vous à Spycker pour le Jumping international de l’Afgand.

Le CIAC de Bourbourg présente sa nouvelle exposition « D‘un monde à l’autre » visible jusqu’au 25 janvier 2020.

LA CUD EN ACTION /MÉMOIRE


I l aura fallu quelques travaux pré-alables (ventilation, chauffage, électricité, réfection des sols) avant l’intervention de David Lebreton

(également scénographe du Bastion 32) et son équipe. Ces derniers ont pris pos-session des lieux début novembre pour y mettre en scène les cinq grands thèmes au cœur du projet : la Flandre comme territoire stratégique, le concept défensif du général Séré de Rivières, l’anatomie du fort, l’opération Dynamo et la Libéra-tion, et enfin le fort, porte d’entrée des dunes de Flandre. Au printemps 2020, une fois leur travail achevé, vous voyagerez dans le temps, assis sur une dune artificielle, face à une fresque numérique de 16 mètres de long, vous pourrez également arpenter la rue traversière sous un treillage voû-té pour y découvrir l’histoire du lieu en vidéo, tandis qu’un anneau de mémoire

vous proposera d’écouter divers témoi-gnages… Le circuit d’interprétation sera lui aus-si entièrement relooké et étendu, une nouvelle signalétique prendra place dans le site, une salle sera dédiée aux ateliers pédagogiques et séminaires, etc. L’entrée dans le bâtiment se fera alors par la droite, dans une salle complète-ment repensée à cet effet, où planera une maquette de Stuka, bombardier en piqué.

Le fort des Dunes revisité Avec son projet de nouvelle scénographie, la Ville de Leffrinckoucke, soutenue par la CUD, fait passer le fort des Dunes dans une nouvelle dimension.

Fort des Dunes Rue du 2-Juin-1940, à Leffrinckoucke.Tél. 03 28 29 13 17.www.fort-des-dunes.fr.

Open data : des informations en ligne accessibles à tousVous vous promenez et vous souhaitez jeter votre bouteille d’eau vide dans une poubelle dédiée aux déchets recyclables ? Vous voulez connaître les différents arrêts de bus à proximité des écoles ? En un clic, vous pouvez désormais obtenir ces informa-tions qui facilitent le quotidien. Dans le cadre de la « loi pour une République numérique » visant à préparer aux enjeux de la transition numérique et l’économie de demain, la CUD et ses partenaires mettent à disposition 121 jeux de données, libérées, parfois cartographiées, pouvant ainsi servir de support d’information aux administrations, aux associations, aux étudiants, aux start-up ou aux habitants, dans le respect du règlement de la protection des données.

Rendez-vous sur : www.data.dunkerque-agglo.fr.


/URBANISME

U n rond-point réaménagé, de nouveaux bancs avec vue sur mer, un parvis agrandi, moins de route,

plus de verdures… Le bout de la digue Europlage à Leffrin ckoucke fait peau neuve pour offrir en juin 2020, une entrée balnéaire à la hauteur de son environnement, aux portes du Grand Site des Dunes de Flandres. En attendant, les tra-vaux portés par la CUD ont démar-ré entre le rond-point Trystram, en cours de végétalisation, et la digue. La voirie est rétrécie au profit d’un plus grand espace piétonnier qui vous entraîne vers la plage. Agran-di et agrémenté de bancs, d’espaces

verts et de pins maritimes, le par-vis situé devant l’office de tourisme intègre une piste cyclable et peut accueillir deux kiosques commer-ciaux. L’aménagement se poursuit au bout de la digue Europlage, de-vant les habitations jusqu’à l’extré-mité de la digue où de nouveaux espaces verts prendront possession des lieux. Des oyats entourés de ganivelles en bois seront parsemés

le long de la digue jusqu’à l’entrée des dunes voisines. Vous pourrez profiter de bancs avec vue sur mer, dans le même esprit que ceux ins-tallés à Malo-les Bains. L’ancienne voirie sera conservée mais refaite en béton désactivé et transformée en zone de rencontre, où piétons et vélos seront prioritaires sur la voi-ture qui conserve une voie d’accès à la rampe à bateaux.

La digue de Leffrinckoucke se refait une beauté

Le bout de la digue Europlage offrira bientôt une ambiance davantage balnéaire ouverte

sur les dunes, avant une deuxième phase de travaux qui

concernera le revêtement de la digue piétonne.

850 000 0 sont investis dans le projet, cofinancé à hauteur de 50 % par la Région et de 50 % par la CUD et la Ville de Leffrinckoucke.

LA CUD EN ACTION /MOBILITÉ


F in 2018, plus de 2 100 ar-ceaux, répartis sur 330 lieux différents à travers l’agglo-mération, étaient à la dispo-

sition des cyclistes. Pour compléter cette offre (en hausse de 13 % par rapport à 2017), la Communauté urbaine de Dunkerque a entrepris l’installation d’abris vélos sécurisés à différents points stratégiques du territoire pour encourager l’inter-modalité. Quatre de ces structures ont déjà été implantées à la gare de Dunkerque (100 places), au Puythouck (50 places), sur le parking place Paul-Asseman (50 places) ain-si qu’au fort des Dunes (24 places). Deux nouveaux parkings sécuri-sés sont en cours d’installation à

proximité de la B!B de Dunkerque (50 places) et à la gare de Gravelines (16 places) et devraient être fonc-tionnels d’ici la fin d’année.

Comment ça marche ?L’accès à ces abris sécurisés est gratuit mais nécessite une ins-cription préalable soit au local DK’Bus place de la gare de Dun-kerque, soit directement sur dkbus.com (cliquer sur l’onglet « se déplacer » puis « park à vélo » dans le menu déroulant et remplir le for-mulaire en ligne). Dans les deux cas, vous obtiendrez rapidement votre carte Pass Pass avec laquelle vous pourrez accéder aux différents abris sécurisés.

Deux abris vélos supplémentaires dans l’agglomération Mis en place dans le cadre de l’opération DK’plus de Mobilité, quatre abris à vélos sécurisés ont été installés depuis le début d’année sur le territoire (gare de Dunkerque, Puythouck, place Paul-Asseman et fort des Dunes). D’ici la fin d’année, deux nouvelles structures ouvriront à proximité de la B!B de Dunkerque et de la gare de Gravelines.

Le vélo gagne du terrainLe développement des aménagements cyclables sur le territoire se pour-suit, notamment le long du tracé de la véloroute des Flandres et de la Vé-lomaritime. Concernant celle-ci, les derniers chantiers vont démarrer dé-but 2020 à Grand-Fort-Philippe, Gravelines, Grande-Synthe, Dunkerque et Bray-Dunes. Les 53 km de la Vélomaritime seront ainsi complétement terminés fin 2020, tandis que le dernier tronçon manquant à la véloroute des Flandres vient d’être achevé. L’aménagement le long du boulevard Victor-Hugo et du canal exutoire a permis de terminer l’itinéraire reliant Bergues à Malo-les-Bains en site propre et sécurisé. Un aménagement porté par la CUD à hauteur de 383 000 € et soutenu par le Départe-ment du Nord au titre des Projets Territoriaux Structurants à hauteur de 150 000 €.

Même dans un local sécurisé et sous vidéosurveillance, pensez à toujours bien attacher votre vélo avec un antivol solide, au niveau du cadre et de la roue avant.


ÉNERGIE

Changement de gaz : les conseillers énergie vous accompagnent

Vous avez récemment reçu un courrier vous informant du passage prochain d’une société mandatée par GRDF, chargée de vérifier la compatibilité de votre installation de chauffage avec le nouveau gaz naturel « de type H » ? Jusqu’ici tout est normal ! La conversion au gaz naturel « de type H » concerne plus d’un million d’habitants des Hauts-de-France. Comme pour les Gravelinois, par qui la conversion a démarré avec succès sur le territoire, cette société va donc vérifier votre installation pour vous indiquer si votre chaudière est incompatible ou nécessite des réglages. Dans ce cas uniquement, vous devrez faire intervenir la société de votre choix.

Attention au démarchage abusif. N’hésitez pas à faire plusieurs devis et à contacter les conseillers info énergie de la CUD pour vous faire accompagner dans vos démarches en appelant au 0 800 283 675 (numéro vert).

Enclenchées dans le cadre du programme « l’agglo au fil de l’eau », des opérations d’aménagement d’espaces publics visant à mettre en valeur les canaux ont été réalisées le long de la rue des Forts et du quai aux Fleurs où les travaux se terminent. Passée majoritairement en sens unique, la voirie y a été retravaillée pour permettre l’aménagement d’une voie douce le long de la berge. Quatre terrasses viennent ponctuer la promenade, et ont été aménagées pour offrir aux cyclistes et piétons de passage mais aussi aux habitants du quartier un espace de détente au bord de l’eau. Végétalisées, ces terrasses sont également équipées d’arceaux à vélos et de stations de pompage.

Invitation à la balade quai aux Fleurs à Dunkerque


À LA RENCONTRE DE...

I l est né sous le nom d’Aurélien Collewet à Dunkerque mais, dans son quartier du Banc-Vert, à Petite-Synthe, il est très vite devenu « Biscuit ». « Mes copains m’appelaient comme ça et quand j’ai

commencé à pratiquer le breakdance à la maison de quartier, c’est resté. Je me suis tout de suite senti à l’aise avec le breakdance car il me permettait de m’exprimer comme nulle part ailleurs. Assez vite, il est apparu que, s’il y avait bien un domaine où j’étais doué, c’était là. » Pour rassurer ses parents, Aurélien Collewet passe quand même un CAP de peintre-carrossier. Mais à peine son diplôme en poche, il part à Paris passer des auditions. « J’ai eu la chance de pouvoir intégrer une compagnie de danse contemporaine qui m’a ouvert à d’autres univers, grâce à laquelle j’ai tourné en France et en Europe pendant trois ans. » La suite, c’est une succession de rencontres qui lui permet aujourd’hui, à 29 ans, de vivre de la danse, à la fois en solo, lors de compétitions d’improvisation de danse appelées « Battle tous styles » ou en groupe lorsqu’il travaille avec un chorégraphe pour une compagnie. Au point de commencer à acquérir une belle notoriété dans le milieu.

L’étoile montante du hip hop

O riginaire de Malo-les-Bains, Jigé a vu, en juin dernier, l’un de ses visuels illustrer une col-lection capsule (éphémère) de l’enseigne de

prêt-à-porter enfant Tape à l’œil. Une fierté pour cet artiste-peintre, par ailleurs papa d’une petite fille de 3 ans. « L’enseigne m’a contacté pour que je tra-vaille avec ses stylistes et designers sur une collec-tion complète allant du 2 au 14 ans. J’ai donc créé un visuel abstrait, très coloré, qui a été reproduit sur des T-shirts, des lunettes, des sweat-shirts, des casquettes et même des chaussettes pour une série limitée de 10 000 pièces vendues dans tous les ma-gasins Tape à l’œil en France. Cela a été un vrai succès puisqu’en à peine trois semaines, toute la collection a été vendue. » Un coup de com’ et une exposition médiatique bien-venue pour cet artiste autodidacte qui se trouve de-puis deux ans en résidence dans un atelier collectif installé à Roubaix. Et une vraie reconnaissance pour celui qui a pris conscience de son don artistique en gribouillant des petits personnages dans la marge de ses cahiers pendant des cours de commerce qui l’ennuyaient profondément...

JIGÉ

L’artiste qui expose sur les vêtements des enfants

Solidarité, innovation, persévérance… Les habitants de l’agglomération dunkerquoise participent à l’attractivité et au dynamisme du territoire. Partez à leur rencontre…

BISCUIT


On a donné la vie à nos enfants, offrons-leur une existence. » Père d’une enfant polyhandi-

capée, Luc Masson n’a jamais baissé les bras pour améliorer le quotidien d’Inès, née en 2004, l’aînée de ses trois filles. Président durant douze ans de l’asso-ciation Injeno, cofondée avec Sébastien Huygue, il a aussi monté de nombreux projets pour accompagner une soixan-taine de familles à mieux vivre le han-dicap lourd. Parmi eux, la Neurofête pour soulever des fonds au profit de la recherche, des ouvrages édités pour

désacraliser la « différence », la création d’une selle adaptée pour monter à po-ney, ou encore le démonstrateur d’un exosquelette de marche qui pourrait révolutionner la rééducation. Sur le terrain de la loi, là aussi, Luc Masson veut faire bouger les lignes. « J’ai participé à la coécriture de deux propositions de loi : pour la première, il s’agissait d’exempter de TVA le « reste à charge » des familles qui investissent dans du matériel d’adaptation au han-dicap. La seconde consistait à faire pas-ser le taux des travailleurs handicapés de 6 à 10 % dans les entreprises et d’y inclure les aidants familiaux au retour à l’emploi ». Si, pour diverses raisons, ces deux propositions n’ont pas abou-ties, Luc Masson espère un jour voir la législation évoluer en faveur d’une plus grande prise en compte du handicap et des besoins des aidants.

Des objets innovants au service des personnes vulnérablesIl y a quelques mois, cet ancien profes-seur de droit s’associe avec son ancien étudiant de l’ISCID, Grégory Deschee-maecker, pour développer la société

de consulting Saprodi, spécialisée en import-export, dans les relations com-merciales avec la Chine. Parmi leur crédo : les motos et side-cars vintage, exposés en zone industrielle de Cap-pelle-la-Grande, vendus sous l’enseigne Retroside. « Au sein de la société, on a lancé un labo pour développer des pro-jets qui viennent en aide aux personnes âgées, handicapées ou en insertion. » Jamais en manque d’idées, Luc Masson a imaginé une liseuse électronique à destination des personnes déficientes sur le plan visuel, adaptée à tous sup-ports (de la tablette au rétroprojec-teur…) et qui devrait voir le jour en 2020. Tout dernièrement, il a développé le TOBBEE : un double-drone avec une base roulante et un support volant pour sécuriser les personnes alitées. « Équipé de micros, haut-parleurs et caméras, il permet de communiquer à tout instant. Il est aussi doté de différents capteurs biométriques, pour, en cas de problème, prévenir les aidants ou les services de secours. On est en attente de finance-ments pour développer le concept qui pourrait être commercialisé d’ici 2022 et contribuer ainsi au maintien à domicile des personnes vulnérables. »

Militant associatif à entrepreneur engagé

«

Cofondateur de l’association Injeno, Luc Masson a monté de nombreuses actions pour accompagner les familles confrontées au handicap. Aujourd’hui, cet entrepreneur poursuit son combat à travers des inventions à vocation solidaire.

LUC MASSON

TOUS ACTEURS DE L’EMPLOI LOCAL

« Ici, tous les légumes proviennent d’un rayon de 50 kilomètres et seront servis dans les restaurations collectives le lendemain », explique Lise Leroy, char-gée de projet légumerie à l’Afeji. Dans la zone indus-

trielle de Grande-Synthe, la structure a ouvert ses portes en février 2019, équipée d’une laveuse, d’une éplucheuse, d’une machine à désinfection, d’une essoreuse et d’une sous-vi-

deuse. Un investissement initial de 300 000 euros, pour lequel l’association d’insertion a obtenu une aide de 35 000 euros en répondant à l’appel à projet ESS de la CUD en 2018. En période de grosse production, la légumerie emploie jusqu’à 20 personnes en situation de handicap ou en insertion. « On forme ces personnes à différents secteurs d’activité : res-tauration, nettoyage, logistique…, reprend Lise Leroy. La légu-merie constitue aussi des débouchés pour les dix producteurs locaux chez qui on s’approvisionne. Les prix sont fixés pour leur permettre une juste rémunération. » Le bio est désormais majoritaire et continue sa progression au sein de la légumerie. Nettoyés, épluchés, coupés, les lé-gumes sont ensuite livrés, en vrac ou sous vide, dans diffé-rentes restaurations collectives de l’agglomération : cantines scolaires, maisons de retraite, foyers de vie… « Notre objectif est de fournir une tonne de légumes transformés par jour. Nous allons poursuivre le développement de ce projet avec la mise en route d’une chambre froide et la création d’un jardin potager bio pour créer un espace-test agricole pour former au maraîchage bio ou proposer des ateliers aux enfants. »


L’économie sociale et solidaire, des projets innovants pour le territoire

Chaque année, environ 250 000 € sont ainsi investis par la CUD pour permettre

à une dizaine de projets innovants et créateurs d’emplois de voir le jour

dans tous les domaines de l’économie sociale et solidaire (ESS) : alimentation,

éducation, santé, mobilité, recyclage… À l’instar de la légumerie de l’Afeji et de

Créa’School d’Horizon, deux initiatives qui participent au vivre-ensemble

et au dynamisme du territoire.

Créa’School, le soutien scolaire dans les quartiers13 % des jeunes sortent du système éducatif sans diplôme ni formation. Partant de ce constat, l’as-sociation Horizon qui intervient pour développer le « pouvoir d’agir » dans les quartiers prioritaires a dé-cidé d’incuber un projet d’innovation sociale. Portée par Sarah Vauthier, la Créa’School propose des stages d’accompagnement scolaire et d’éducation au numé-rique à des jeunes en difficulté, dans les maisons de quartier du Carré de la Vieille (Dunkerque) et du Moulin (Grande-Synthe). Sur un modèle solidaire, les tarifs proposés sont établis en fonction du quotient fami-lial du foyer (à partir de 1 euro de l’heure). Alliant le soutien scolaire à l’inclusion numérique, l’association a répondu à l’appel à projets ESS en 2019 pour investir dans du matériel numérique.

L’économie sociale et solidaire dans le DunkerquoisReposant sur des principes de solida-rité et de justice sociale, l’économie sociale et solidaire est également un vecteur d’innovation et de diversifica-tion du tissu économique local. C’est pourquoi, à l’occasion des États Géné-raux de l’Emploi Local lancés en 2015, la CUD et ses partenaires économiques et sociaux ont mis en avant la nécessité de renforcer le soutien de cette filière. Plusieurs pistes ont dès lors été dé-ployées, comme la création du club de l’ESS qui regroupe aujourd’hui une vingtaine de structures du ter-ritoire.

D’ici quelques mois, la Turbine ouvri-ra ses portes dans le centre d’agglo-mération (ex-bâtiment Depoland). Lieu unique regroupant les acteurs de l’accompagnement à l’entre-preneuriat et visant à favoriser les initiatives et l’esprit d’entreprendre dans le Dunkerquois, elle accueil-lera, entre autres, le département Entrepreneuriat d’Entreprendre Ensemble, partenaire privilégié de l’ESS dans l’accompagnement des porteurs de projet.

C’est le pourcentage de l’économie sociale et solidaire dans l’emploi du Dunkerquois, un taux supérieur à la moyenne régionale et nationale.

12,4%


INITIATIVES / ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR

Une deuxième école d’ingénieurs va s’implanter à Dunkerque

T rès bonne nouvelle pour l’enseignement supérieur ! Après l’arrivée en septembre 2020 d’une école d’in-génieurs en énergie et environnement portée par l’ULCO, voici qu’une deuxième devrait voir le jour,

également à la rentrée prochaine. Il s’agit d’une école d’in-génieurs spécialisée en génie énergétique mais dont l’en-seignement se fera exclusivement par apprentissage. Portée par l’Institut des Mines-Telecom (IMT) de Lille et Douai, en partenariat avec la Communauté urbaine de Dunkerque, son objectif sera de former des chefs de projet maîtrisant les outils de l’efficacité énergétique et les problématiques liées à l’opti-misation énergétique des systèmes industriels : techniques de récupération de l’énergie et pilotage intelligent des consom-mations, notamment. Cette nouvelle école, complémentaire de celle de l’ULCO, a reçu un très bon accueil de la part des grandes entreprises du territoire, très satisfaites de voir le Dunkerquois hisser son ni-veau de compétences dans un domaine très porteur en terme d’emplois localement. Toutes se sont d’ailleurs engagées à soutenir ses étudiants qui seront intégrés en entreprise deux semaines par mois pendant une durée de formation de trois ans. La première promotion devrait accueillir une vingtaine d’étudiants dans des locaux installés dans le bâtiment du re-morquage, sur le campus Euraénergie. Une partie de la for-mation se fera également sur le site de Douai de l’IMT. Elle est ouverte aux candidats diplômés à Bac+ 2 (DUT, BTS ou équivalent) ou issus de classes prépas.

Une école d’ingénieurs spécialisée en génie énergétique, dont l’enseignement se fera exclusivement par apprentissage, va voir le jour à Dunkerque. Portée par l’Institut des Mines-Telecom de Lille et Douai, en partenariat avec la CUD, cette école ouvrira à la rentrée 2020.

L’ISCID va s’installer au centre Lamartine L’école de commerce de Dunkerque, l’ISCID, va déménager. Installée depuis quelques années dans l’ancien entrepôt des tabacs rénové en Citadelle, elle doit, en effet, céder la place à la future école d’ingénieurs. L’ISCID devrait donc intégrer les bâtiments du centre Lamartine, inoccupés depuis que l’ensemble des formations de l’ULCO se font dans ses locaux de la Citadelle. Un déménagement qui devrait se faire « en douceur », dans des locaux complètement rénovés.


/SANTÉ

Le CHD se modernise pour simplifier la vie des usagers

D epuis quelques mois, le Centre hospitalier de Dun-kerque a opéré de vastes aménagements dans le but de faciliter le parcours de ses usagers, patients et accompagnants. Le changement le plus specta-

culaire concerne sans doute l’accueil qui, depuis avril 2019, se fait par une entrée principale commune avec la nouvelle maternité. Moderne, spacieux, coloré, il n’a plus rien à voir avec l’image très austère de sa précédente configuration.

« Dans son prolongement, a été aménagée ce que nous appelons une « rue publique » dans laquelle se trouvent la cafétéria, le service des admissions et la nouvelle Maison des usagers », détaille Bruno Donius, directeur général du centre hospitalier. Lieu d’écoute, d’information et d’échanges, cette Maison se veut être un es-pace de ressources au service des patients et de leur famille, accessible sans rendez-vous. Des associations de promotion de la santé y seront également régulièrement présentes. « D’ici deux ans, un plateau de consultations unique pour l’ensemble de nos spécialités sera aménagé dans l’espace qui abritait au-paravant l’accueil et le service admissions. Encore une fois, cela répond à notre volonté de faciliter la vie de nos usagers », précise Bruno Donius.

Des rendez-vous pris via InternetLa fluidité du parcours passe aussi par une politique de dé-matérialisation renforcée grâce à la refonte totale du site internet. Il est désormais possible d’y faire une demande de rendez-vous, avec une réponse garantie sous 48 heures. « Depuis sa mise en place il y a un mois, plus de 400 ren-dez-vous dématérialisés ont été pris », apprécie Bruno Do-nius qui a également souhaité que le centre hospitalier se rapproche de la médecine de ville. Dans ce but, des ren-contres entre les praticiens hospitaliers et leurs collègues exerçant en cabinet ont été organisées. « Les médecins gé-néralistes nous ont, par exemple, fait part de leurs difficul-tés à joindre nos médecins lorsqu’ils ont besoin d’échanger à propos de symptômes décrits par un patient. Nous avons donc mis en place une ligne téléphonique dédiée aux méde-cins généralistes. Depuis le mois de juin, nous avons recensé plus de 200 appels qui ont abouti pour 90 % d’entre eux. »

Enfin, le CHD souhaite aussi se démystifier et s’ouvrir sur l’ex-térieur. Une volonté qui s’est traduite par l’organisation de deux journées portes ouvertes qui ont été très fréquentées, opération qui sera prochainement renouvelée.

www.ch-dunkerque.fr

Nouvel accueil, ouverture d’une maison des usagers, prises de rendez-vous dématérialisées, rapprochement avec la médecine de ville… Le Centre hospitalier de Dunkerque se modernise et s’ouvre sur l’extérieur pour simplifier la vie de ses usagers.



RASSEMBLEMENT RÉPUBLICAIN POUR LE LITTORAL EN MOUVEMENT

Contact mail : [email protected]

Le dynamisme de nos stations balnéaires, couplé à un nouveau dynamisme mettant en lumière la beauté insolite de notre territoire et son histoire particulière, attire désormais les touristes de juin à septembre. Aujourd’hui, le Dunkerquois est également prisé hors saison : un célèbre site de location entre particuliers a classé Dunkerque à la 5e place du classement des

villes françaises connaissant la plus forte hausse de réservations lors des vacances de Toussaint (+86%). Une dynamique qui concerne tous les hôteliers restaurateurs de l’agglomération. Pour répondre à cette offre croissante des visiteurs, touristes ou congressistes, cette excellente dynamique sera bientôt renforcée par une offre plus conséquente

en matière d’hôtellerie (tourisme ou affaires) puisque Dunkerque est l’une des rares villes de France où deux hôtels 4 étoiles sont en cours de construction. Notre patrimoine mémoriel et historique, notre immense espace dunaire et nos plages, notre architecture variée et unique et nos musées se découvrent désormais en toutes saisons !

Dans les années à venir, plusieurs quartiers de l’agglomération (à Dunkerque, Saint-Pol-sur-Mer, Tétéghem-Coudekerque-Vil lage et Grande-Synthe) changeront de dimension et verront le quotidien de leur résidants être amélioré : plus de confort thermique des logements,

davantage d’espaces publics, sans augmentation des loyers. Les mutations que connaîtront ces quartiers et leurs immeubles, financées dans le cadre du Nouveau Programme National de Renouvellement Urbain, seront réalisées prochainement par la CUD, les bailleurs et les communes et viennent d’être

présentées dans chaque quartier.Le projet de chaque quartier sera mis en œuvre en pleine concertation avec leurs habitants, qui seront pleinement associés à la réflexion menée. Dès aujourd’hui, des cellules d’accompagnement individualisé se chargent de prendre rendez-vous avec chaque famille devant être relogée.

Voilà quelques semaines, des pontons étaient installés dans le bassin de la Marine, entre l’hôtel communautaire et le Pôle Marine, afin de répondre à la demande croissante des plaisanciers souhaitant amarrer leur bateau à Dunkerque.

Pour augmenter le nombre d’anneaux disponibles, Dunkerque Marina a décidé d’allonger les pontons du bassin du Commerce, le long du quai des Hollandais. Cette extension de 90 mètres prouve l’attractivité de Dunkerque en matière de nautisme, activité économique qui

permet le développement de nombreuses entreprises du territoire. Et parallèlement, Dunkerque, terre de nautisme, se prépare à accueillir en août 2020 les bateaux de la Tall Ships’Race - Les Voiles de légende !

Pas à pas, nous permettons aux habitants du Dunkerquois de se réapproprier leurs canaux.A Coudekerque-Branche, promeneurs et pêcheurs profiteront bientôt des bords du canal de Bergues grâce aux gradins

végétaux et belvédères. Sans oublier la nouvelle piste cyclable, qui a déjà radicalement transformé le cadre de vie des riverains et mis en valeur le bord à canal, à Grand-Fort-Philippe (au bord du chenal de l’Aa) et à Rosendaël (le long

du canal de Furnes). Les ponts du cœur d’agglomération font également l’objet d’une rénovation afin de souligner l’importance de l’eau dans notre quotidien.

Voilà quelques jours, Patrice Vergriete était l’invité de l’émission Perri Scope (LCI) pour évoquer le bus gratuit, pour tous 7 jours sur 7. Le président de la CUD a rappelé les raisons de ce choix fort de la gratuité du transport en commun : permettre une plus grande mobilité des habitants, redonner du pouvoir

d’achat, renforcer le dynamisme du cœur d’agglomération, améliorer le cadre de vie et la qualité de l’air. Avec pragmatisme et détermination, nous avons engagé ensemble la révolution des mentalités autour du bus. Aujourd’hui, l’exemple dunkerquois continue d’inspirer : voici peu, le maire de Hódmezővásárhely

(Hongrie) affirmait vouloir s’inspirer de Dunkerque pour faire de cette ville la première du pays à rendre les transports publics gratuits. Le très sérieux média en ligne brésilien Nexo a également souligné notre détermination en matière de transport pour tous, tandis que Le Monde revenait sur le succès de notre initiative.

Notre agglomération attire les touristes en toutes saisons !

Nous construisons avec vous des quartiers plus adaptés à vos besoins

Dunkerque, terre de plaisance

Redécouvrons nos canaux

Le bus gratuit inspire toujours !

Notre local est situé 16, rue Saint-Pierre à Dunkerque (derrière la tour du Reuze). Contact : [email protected].


Ce projet d’autoroute fluviale de plus de 107km est indispensable au dévelop-pement économique de notre région, et permettra au Port de Dunkerque de dis-poser d’une artère fluviale d’envergure européenne pour irriguer son hinterland.Sous l’impulsion du gouvernement Hol-lande en 2014, les premières phases du chantier ont été lancées. Saluons les élus, porteurs de ce projet à cette époque : Da-niel Percheron, Président de la Région Nord-Pas-de-Calais, Patrick Kanner et Dominique Dupilet, Présidents des Dé-partements du Nord et du Pas-de-Calais !

Saluons le travail de mobilisation éga-lement mené par Rémi Pauvros en tant que parlementaire en charge d’un rapport d’évaluation et Frédéric Cuvillier, Secré-taire d’Etat, chargé des Transports ! Après une mise en veille en septembre 2017, et grâce à une mobilisation sans faille et unanime des élus du territoire qu’il faut saluer pour la réalisation du Ca-nal Seine Nord Europe, nos efforts ont en-fin payé ! L’Etat s’est engagé à financer ce chantier à hauteur d’un milliard d’euros. C’est une excellente nouvelle pour notre grande région maritime.

Notre mobilisation collective pour le Canal Seine Nord a porté ses fruits !

C’est une évidence : ce que nous man-geons influence directement notre santé et notre environnement. Voilà pourquoi de nombreuses communes ont déjà fait le choix d’améliorer la qualité des repas servis aux enfants dans les cantines et les crèches.

C’est en effet dès le plus jeune âge qu’il faut prévenir les maladies liées à une mauvaise alimentation (obésité, diabète, maladies cardiovasculaires, cancers), mais surtout donner les bons repères pour ap-prendre à manger sainement.

Loon-Plage, Grande-Synthe, Ghyvelde ou Coudekerque-Branche, par exemple, ont déjà bien avancé dans cette demarche, avec un effort à souligner sur leur budget communal pour ne pas augmenter les tarifs appliqués aux parents. Le prix du repas ne doit pas être un frein pour les familles, alors qu’il s’agit d’un enjeu de société de fournir des aliments de qualité, si possible bio et issus de circuits courts, à nos enfants.

Pour manger local, la CUD va approvisionner localLa communauté urbaine se doit d’ac-compagner cet élan, et elle le fait avec détermination. L’une des limites de cette démarche est en effet le manque de res-sources locales. Dans notre territoire très urbanisé, le développement industriel a consommé d’importantes surfaces fon-cières. Et si la Flandre a conservé une im-portante tradition agricole, ce n’était plus le cas de notre façade maritime.

Pour continuer de promouvoir une ali-mentation saine, il fallait donc reconqué-rir des terres de production. Et grâce à un travail de longue haleine, la Communau-té a identifié de multiples parcelles, qui vont être mises à disposition d’éleveurs ou de cultivateurs engagés dans une dé-marche d’agriculture biologique. Dans ces champs, nos cantines pourront bien-tôt s’approvisionner en légumes « bio », qui seront cuisinés sur place, et servis à nos enfants. Une boucle totalement ver-tueuse, un exemple de développement durable.

Le RN soutient les pompiers !Explosion des agressions, sous-effectifs, volontariat menacé : en grève depuis le mois de juin, nos pompiers doivent faire plus de missions avec moins de moyens.Nous les assurons de notre soutien.

Non communiqué.

La santé passe par l’assiette : mieux cultiver pour mieux mange

RASSEMBLEMENT SOLIDAIRE COMMUNAUTAIRE GROUPE SOCIALISTE ET ÉCOLOGISTE COMMUNAUTAIRE

DÉFI BLEU MARINE

SANS ÉTIQUETTE LITTORAL GAGNANT

D. Bailleul, mail : [email protected]

Mail : [email protected]

M. Eymery - M. Fortuit : 11 rue du Ponceau, 59140 Dunkerque

Claudine [email protected]

Groupe des Élus Socialistes et Républicains du Dunkerquois (GRIC)contact : [email protected]

Le temps est compté, c’est en cela que cer-tains mouvements de désobéissance civile apparaissent, expliquant que le contrat social est brisé et dénonçant l’inaction «criminelle» du gouvernement face à la crise climatique. Notre territoire n’est, certes pas exempt de risques : submersion/inondation, le cauche-mar sous-marin du fait des millions de tonnes d’armes chimiques, les risques sanitaires et environnementaux de l’industrialisation etc.. Mais le territoire Dunkerquois affiche aus-si, de plus en plus sa volonté d’en finir avec cette image. Cela passe forcément par des ambitions et exigences fortes en matière écologique et sociale. Qu’il s’agisse d’ac-tions d’économie sociale ou solidaire, ou de prise en compte des expressions citoyennes, concernant les usages des biens et services (mobilité, circuits courts, transport, habitat). Il nous appartiendra de construire ensemble ce modèle et ce courage politique en faveur de la transition sociale, économique, écolo-gique et énergétique.


HISTOIRE /

« Vers les cieux, tends les yeux, tu verras le vrai », affirmait Roger Gouvart. Maire de Cappelle-la-Grande de 1983 à 2013, il était passionné de sciences et en particulier d’astronomie. Au-

todidacte, il visitait fréquemment les planétariums, équipements alors balbutiants en France. Convaincu qu’il fallait démocratiser l’accès au savoir, en dehors de toute considération financière, il inaugure en 1989, dans sa commune, le premier planétarium de fabri-cation française. Disposant de 60 sièges, cet équipe-ment est alors le plus grand planétarium au nord de Paris, et l’un des plus modernes au monde ! Au cœur

d’une sphère, une lampe à arc diffuse une lumière qui passe à travers 1 500 perforations, soit autant de petites tâches qui simulent les étoiles. La projection des images est assurée par un ensemble de projec-teurs de diapositives qui permettent à des générations d’enfants d’explorer ainsi les planètes pour mieux comprendre l’Univers.

Vulgarisation scientifiqueEn 1996 sous l’égide de la CUD, le Palais de l’Univers ouvre ses portes en face du planétarium avec deux salles d’exposition, l’une consacrée au système solaire et l’autre au Big Bang. L’idée de regrouper ces struc-tures pour créer un grand équipement dédié à la vul-garisation scientifique prend forme et c’est ainsi qu’en 2009 le Palais de l’Univers et des Sciences, équipement communautaire, est inauguré. Il dispose d’une salle d’exposition permanente de 1500m2 consacrée au « voyage au centre de l’Univers », réalisée à l’aide d’un

1989 – 2019 : 30 ans de partage du savoir

Pédagogique, ludique, interactif, le Palais de l’Univers et des Sciences fête ses 10 ans d’existence, ainsi que 30 années de partage de la connaissance scientifique au

plus grand nombre depuis l’implantation du premier planétarium en 1989.

En 2017, le PLUS s’équipe d’un planétarium dernier cri.


comité scientifique dirigé par le préhistorien Henry de Lumley, ainsi qu’une terrasse, un observatoire, un magasin, un centre de ressources, un tout nouveau planétarium numérique de 117 places disposées comme un amphithéâtre. La projection des étoiles, des images et des films est cette fois-ci assurée par un unique système : une couronne de vidéoprojecteurs. Le spectateur est alors plongé dans un film à 360 degrés, suivi d’une séance interactive avec un médiateur scientifique, qui fait voyager son public d’une planète à l’autre. Le planétarium participe davantage à la production de films avec par exemple l’équipe de l’émission « C’est pas sorcier », ou plus récem-ment, le documentaire « 16 levers de soleil, dans la peau de Thomas Pesquet » en réalité virtuelle et bientôt en version planétarium. Une salle de 300 m2 est dédiée aux expositions temporaires. Chaque année, le Palais de l’Univers et des Sciences accueille une nouvelle exposition, ou la crée lui-même comme ce fut le

cas pour « Mastodontes » ou encore « Sciences extraordinaires, des récits de Jules Verne aux mondes de demain ». Le PLUS consacre une large part de sa programmation aux sciences de la Terre et de la vie. L’alimentation, le temps, l’archéologie, la vie d’un astronaute sont autant de thèmes abordés et déclinés sous différentes formes : expos, animations, spectacles, stages de découverte…Bien intégré dans son territoire, l’équipement noue des liens privilégiés avec les acteurs locaux, en premier lieu l’Education nationale, pour répondre au mieux aux besoins des enseignants, mais aussi l’Université du Littoral et la Recherche. Des scientifiques de renom viennent y donner des conférences : l’architecte océanographe Jacques Rougerie ou encore l’ingénieur spationaute Jean-François Clervoy, le spécialiste de l’intelligence artificielle Pierre Boulet, le physicien Clément Baert… En partenariat avec les associations locales, le PLUS organise des temps forts devenus aujourd’hui des événements incontournables du Dunkerquois : la Fête de la science, la Semaine des mathématiques ou encore les Nuits des étoiles.

Nouvelle technologieEn 2017, le planétarium se modernise avec un tout nouveau système en version laser à la pointe de la technologie. C’est alors le troisième de France à disposer d’un outil aussi moderne ! Dans un réalisme bluffant, les visiteurs voyagent en 3D sans l’inconfort des lunettes, à la plus grande joie des médiateurs scientifiques qui peuvent davantage interagir avec le public. En février 2019, voulant transmettre le goût de la découverte aux plus jeunes, le PLUS ouvre sa « Bulle », un espace dédié aux familles pour explorer, manipuler, voyager au travers un spectacle et qui rencontre, dès son ouverture, l’adhésion des scientifiques en herbe !

La ville détruite après-guerrePH. CMUARendre la science accessible à tous, telle est l’ambition de

Roger Gouvart, alors maire de Cappelle-la-Grande.

Les Nuits des étoiles, rendez-vous incontournable du PLUS et des associations locales avec le public dunkerquois.

Le Palais de l’Univers et des Sciences s’ouvrent à toutes les thématiques, comme avec sa dernière exposition consacrée à l’archéologie.

1989Inauguration du planétarium.

1998Reprise de l’équipement par la CUD.

2009Inauguration du PLUS, le planétarium devient numérique.

2017Le planétarium passe en version laser.

2019Le PLUS fête ses 10 ans.

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PASSION LOISIRS /

Marchés de noël, parades, animations, décorations… Dès la fin du mois de novembre, toute l’agglomération se met aux couleurs de Noël et promet des moments féériques.

À DunkerqueDunkerque la Féérique revient du 30 novembre au 5 janvier autour des places Charles-Valentin, Jean-Bart et de la République pour des moments inoubliables. Parmi les temps forts : • L’arrivée du père Noël en tyrolienne dans son château de l’hôtel de ville le dimanche 1er décembre (à 17 h 30), suivie d’un feu d’artifices. • La Grande Parade de Noël, le dimanche 8 décembre (à 17 h 30) traversera, en musique, les rues du centre-ville sur un parcours de plus de 2 kilomètres. Ses 18 chars animés et ses 200 figurants promettent un spectacle grandiose et féé-rique, dans une ambiance qui ne sera pas sans rappeler les grands shows Disney.

• Le marché de Noël et ses 45 exposants vous donnent ren-dez-vous place Jean-Bart, autour de la patinoire et de la grande roue. Nouveauté cette année : un petit train sur rail emmènera en balade petits et grands.

Pendant toute la durée de Dunkerque la Féérique, l’hôtel de ville devient le château du père Noël. Le hall, l’escalier d’hon-neur, les salons et même la salle du conseil se métamor-phosent en monde enchanté, avec reconstitution d’un wagon du mythique train Orient Express, d’un village de montagne, d’une miniature du centre-ville de Dunkerque et d’un atelier de fabrication de jouets. Un parcours qui se termine, bien sûr, par une visite dans la maison du père Noël.

À Gravelines La 25e édition du plus grand marché de Noël de l’agglomé-ration se tiendra du 7 au 29 décembre sur la place Albert- Denvers et dans les rues adjacentes. Plus de 80 exposants sont attendus. Comme chaque année, de nombreuses animations rythmeront ces trois semaines de festivités, comme la soirée

Marchés et féérie de Noël rythmeront la fin de l’année


tartiflette le samedi 14 décembre à 19 h ; la parade musicale et ses échassiers « Carnaval Party » le dimanche 15 décembre à 16 h 30, 17 h 30 et 18 h 30 ; la traditionnelle descente du Père Noël depuis le beffroi, le dimanche 21 décembre à 17 h 30 ou encore le feu d’artifices le samedi 28 décembre à 20 h. À noter le retour de la grande roue et l’arrivée d’une piste de luges géantes. Ouverture : du lundi au jeudi de 15 h à 20 h (sauf le mardi 24 décembre de 11 h à 15 h ; fermeture le mercredi 25 décembre) ; le vendredi de 15 h à 21 h ; le samedi de 11 h à 21 h ; le di-manche de 11 h à 20 h.

Coudekerque-Village : dimanche 8 décembre, salle Jean-Marie-Vandenbroucke.Téteghem : vendredi 22 novembre, de 16 h à 20 h, samedi 23 novembre de 10 h à 20 h et dimanche 24 novembre de 10 h à 18 h, salle Itsweire.Bourbourg : samedi 23 novembre de 10 h à 20 h et dimanche 24 novembre de 10 h 18 h, Espace Pierre-de-Coubertin. Grand-Fort-Philippe : dimanche 15 décembre de 12 h à 20 h, salle Joseph-Leprêtre.Cappelle-la-Grande : samedi 7 décembre de 14 h à 19 h et le dimanche 8 décembre de 10 h à 18 h, Palais des Arts.Coudekerque-Branche : vendredi 13 décembre de 16 h 30 à 19 h, samedi 14 décembre de 10 h 30 à 19 h et dimanche 15 décembre de 10 h 30 à 18 h 30, Es-pace Jean-Vilar. Craywick : dimanche 1er décembre, salle Albert-Cos-tenoble.

Loon-Plage : vendredi 13 décembre de 18 h à 20 h, samedi 14 décembre de 14 h à 20 h et dimanche de 14 h à 19 h, place de l’Eglise.Ghyvelde : mercredi 18 décembre de 14 h à 18 h, jeudi 19 décembre de 14 h à 20 h 30, vendredi 20 décembre de 14 h à 18 h, samedi 21 décembre de 14 h à 21 h et dimanche 22 décembre de 14 h à 18 h, place Maurice-Cornette.Zuydcoote : vendredi 30 novembre de 14 h à 20 h et samedi 1er décembre de 10 h à 18 h, salle Ro-bert-Merle. Saint-Pol-sur-Mer : samedi 14 décembre de 10 h à 18 h, salle Jean-Cocteau.Fort-Mardyck : dimanche 24 novembre de 10 h à 18 h, salle des fêtes.Rosendaël : marché de Noël de l’art, samedi 7 décembre de 14 h à 22 h et dimanche 8 décembre de 10 h à 14 h, mairie de quartier.

Les marchés de Noël de l’agglomération

Parking Centre Gare (Dunkerque) gratuit le week-end du 30 novembre au 29 décembre.


D u 19 au 21 décembre, la nouvelle patinoire Michel-Raffoux ac-cueille les championnats de France élite de sports de glace. C’est la première fois que Dunkerque reçoit un événement aussi relevé dans cette spécialité qui comporte neuf disciplines. Un argument

qui devrait inciter les spectateurs à venir encourager l’élite française, comme Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron, Vanessa James, Morgan Ciprès, et Kévin Aymoz. Organisé par la Fédération française des sports de glace et la CUD, cet évé-nement proposera à la fois des compétitions, des démonstrations mais aussi des animations en patinage artistique, danse sur glace, short-track (course de vitesse), patinage artistique synchronisé (en équipe d’une vingtaine de patineurs), ballet sur glace (chorégraphie par équipe dans laquelle l’émotion et l’aspect théâtral priment sur la technique), free style (épreuves de saut de baril et de saut en hauteur), ice cross (course sur une piste de descente avec des sauts et des obstacles), curling et bobsleigh. Les différentes compé-titions détermineront les sportifs qualifiés pour les championnats d’Europe et du monde en 2020.

L’élite des sports de glace à Dunkerque

• Jeudi 19 et vendredi 20 : 5€. • Samedi 21 : 12€ (licencié, -12 ans, sans emploi), 15€ plein tarif.• Samedi soir Gala des Champions : 15€ (licencié, -12 ans, sans emploi), 20€ plein tarif. www.ffsg.org

Pour vous y rendre gratuitement avec Ligne 16

Arrêt MÔLE 1

Le Kit du jeune supporter est de retour !Avis aux amateurs : le nouveau Kit du jeune supporter est sorti ! Rendez-vous à la vitrine Passion Sport ou directement les soirs de match à domicile de vos équipes préférées pour découvrir l’album de la saison 2019-2020, collectionner les 81 vignettes et tenter de remporter des places de match et de nombreux autres lots. Outre les clubs phare du territoire (BCM, USDK, USLD et HGD), vous retrouverez les équipes de Voile Ambition Dunkerque et de Dunkerque patinage, ainsi que deux nouveaux clubs qui font leur entrée dans l’album cette saison : le Handibasket de Gravelines et le Club Athlétique de Rosendaël.

La CUD candidate à « Terre des Jeux 2024 » des JO

En 2024, Paris accueillera les Jeux olympiques et paralympiques. Le comité d’organisation a lancé le label « Terre des Jeux 2024 » à destination des collectivités territoriales qui souhaitent se mobiliser autour de cet événement mondial. La CUD a décidé de se porter candidate et de devenir un centre de préparation, afin de profiter de la dynamique des JO pour le développement des pratiques sportives et l’attractivité du territoire.

PASSION LOISIRS /


I maginez… Nous sommes en 2050. Voilà trente ans déjà que le transport urbain est gratuit à Dunkerque. En quoi cela a-t-il changé notre vie quotidienne ? Nos dépla-cements ? Tel est le scénario imaginé par Urbis le mag

(le magazine de l’Agence d’urbanisme de la région Flandre-Dunkerque) et le Learning center de la Halle aux Sucres pour être le thème du premier « Bright Mirror » orga-nisé à Dunkerque. Mais, au fait, c’est quoi un « Bright Mirror » ? Le « Bright Mirror » est une réponse aux scénarios angoissants que l’on retrouve souvent dans les séries d’anticipation anglo-phones. Conceptualisé par la société de conseil en intelligence collective Bluenove, il consiste à imaginer puis à écrire, en-semble, les futurs que nous souhaiterions pour les autres et nous-mêmes. Concrètement, chaque « Bright Mirror » invite les citoyens à réfléchir sur un thème donné, à lancer des pistes et des idées dans une ambiance optimiste, détendue et convi-viale (les débats agressifs sont proscrits) en s’appuyant sur la force du collaboratif pendant deux heures. Le tout, guidés par un grand témoin expert, un écrivain et une animatrice.

Le premier « Bright Mirror » dunkerquois s’intéressera aux effets engendrés par une politique publique de gratuité des transports en commun. Derrière les mots « bus gratuit », c’est, en effet, un vaste changement d’habitudes qui peut s’opérer en matière, par exemple, de mobilité, de travail, de sociabili-té, d’attitudes de consommation… Un changement qui peut même déclencher la mise en place d’autres services gratuits. Voilà toutes les pistes que le « Bright Mirror » se propose d’ex-plorer en se projetant dans un futur 30 ans après la gratuité.

« Bright Mirror », le vendredi 29 novembre, à 18 h 30, à La Halle aux Sucres, à Dunkerque.Gratuit, à partir de 16 ans, inscriptions obligatoires au 03 28 64 60 49.

Pour vous y rendre gratuitement avec Ligne 16

Arrêt HALLE AUX SUCRES

CULTURE

Comment la gratuité du bus change nos habitudes ? Telle est la question soulevée lors du premier « Bright Mirror » organisé par Urbis le Mag et le Learning center de la Halle aux Sucres à Dunkerque.

Un premier « Bright Mirror » à la Halle aux sucres


CULTURE

D unkerque, capitale du romantisme littéraire, le temps d’un week-end. Riche d’une programmation interna-tionale de plus de 120 auteurs en dé-

dicace (vous pourrez rencontrer Laure Manel, An-gélique Barberat, Mark Henwick, Annie Darling, Emma Green et bien d’autres...), le Festival du livre romantique, vise d’emblée l’excellence. Pro-posant des tables rondes, des conférences, une soirée ciné-club et de nombreuses animations mises en place par des influenceurs, cet événe-ment mettra à l’honneur toutes les facettes du livre romantique, de la romance au « feel good » en passant par le « new adult », les témoignages, le suspense, les histoires de familles...

Unique car gratuitAttendu et réclamé par les lecteurs depuis plu-sieurs années, ce Festival du livre romantique, unique en France car totalement gratuit, attend 15 000 visiteurs au Kursaal les 30 novembre et 1er décembre. Pour assurer une parfaite organi-sation, en partenariat avec Le Furet du Nord et La Mare au diable, la CUD a confié les rênes à Orcus Evénements qui a déployé tout son savoir-faire et a compté sur l’expérience des auteurs Sophie Jomain et Maxime Gillio (dunkerquois) pour ins-crire ce festival littéraire dans le paysage culturel et éditorial, avec le soutien des éditeurs (BlackInk Éditions, Books on Demand, Cyplog, Elixyria, Gil Éditions, Juno Publishing, Livresque Éditions, Mix Éditions, MxM Bookmark, Rebelle Éditions, Sharon Kena…).

Dunkerque, capitale du romantismeDu 29 novembre au 1er décembre, la Communauté urbaine de Dunkerque et Orcus Événements organisent le Festival du livre romantique au Kursaal. Une manifestation qui présentera toutes les facettes de ce genre littéraire, l’un des plus prisés aujourd’hui.

Vendredi 29 novembre, diffusion de « Pretty Woman », au Studio 43 à Dunkerque (6,50€ la place). Samedi 30 novembre et dimanche 1er décembre, Festival du livre romantique au Kursaal de Dunkerque, de 10h à 18h.

festival-livre-romantique.fr B Festival du livre romantique

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30 nov1er déc2019 ENTRÉE

GRATUITE

1 5 0 a u t e u r sDédicaces JeuxConférences DébatsCafé littérairePetite restauration

KURSAAL

PALAIS DES CONGRÈS

DUNKERQUE

www.festival-livre-romantique.fr

Pour vous y rendre gratuitement avec Lignes C3 C4

Arrêt MALO PLAGE


JUSQU’AU 21 DÉCEMBRE

Exposition « UNDERGROUND WATER ROAD » DE PHILIPPE BAZIN Château Coquelle à Dunkerque | GRATUITLes trajets empruntés par ceux qui tentent de nous rejoindre pour une vie digne traversent souvent la mer : la Méditerranée mais aussi l’océan Indien.

22 NOVEMBRE

Théâtre « LE TOUR DE CHANT DE L’INTRUSE »Palais du Littoral à Grande-Synthe| GRATUIT 1re partie 19h | 20h 7/4€Par le collectif l’intruse. Dans le cadre du festival Récits sans Frontières. Première partie : « Et pendant ce temps Simone veille ! ». Le féminisme peut-il être drôle ? C’est tout l’enjeu de ce spectacle. Quatre générations de femmes se succèdent au travers de scènes de la vie quotidienne.

23 NOVEMBRE

Musique ROCK VILLAGESalle de spectacle de Socx I dès 18h I 5/8€, gratuit pour les – de 16 ansL’association Hidden Socx présente Rock Village, une soirée où se produiront Jewly (rock/blues épicé), Mezzcaleros (blues-rock texan) et Feed Back (reprises des musiques rock années 60 et 70).

22 NOVEMBRE

Théâtre « PLEIN VENT ! » EN LSF La Halle aux sucres à Dunkerque | GRATUIT | 16h Visitez « Plein vent ! » en Langue des Signes Française, une exposition artistique et scientifique.

23 NOVEMBRE

ConcertWILD CLASSICAL MUSIC ENSEMBLE + FLEUVES NOIRS Les 4Ecluses à Dunkerque | 10/0€ | 20hDans le cadre du festival Récits sans Frontières. Wild Classical Ensemble est le meilleur groupe de post punk avec des handicapés en activité. Au départ, ce groupe est né d’un projet de musique expérimentale avec des handicapés mentaux. Et rapidement, le succès est arrivé au rendez-vous...

24 NOVEMBRE

Concert« CONTES POUR ENFANTS TURBULENTS, ANTI-CONTES DE FÊLÉS » de JULIEN STAUDT CIAC de Bourbourg | GRATUIT | 15hDans le cadre du festival Récits sans Frontières. Qui a dit que les contes pour enfants devaient commencer par « Il était une fois » et finir par « Ils eurent beaucoup d’enfants » ?

27 NOVEMBRE

Théâtre d’objets et marionnettes« VOLE ! »

Scène Vauban à Gravelines | GRATUIT | 14h30 à 15h15 Dans le cadre du festival Récits sans Frontières,

par La Mécanique du Fluide. Dans le silence de son atelier bien ordonné, un homme solitaire égrène

secrètement la liste des petits rêves ou des grands projets qu’il remet sans cesse au lendemain. Le rythme

imposé par le quotidien laisse rarement la place aux grands desseins... De 14h30 A 15h15. Scène Vauban.

Site de l’Arsenal. Entrée gratuite. 03 28 24 85 65, [email protected], www.ville-gravelines.fr.

ZOOM SUR...

LE 30e CROSS DE L’ACIEREvénement devenu incontournable, pour les sportifs amateurs du Dunkerquois comme pour l’élite mondiale de la course à pied (notamment les Kényans), le Cross de l’Acier fête le 24 novembre sa 30e édition.

Plusieurs courses prendront leur départ devant le Fort des Dunes (de 9h55 à 12h50) et offriront aux plus de 1100 participants attendus un parcours mêlant course sur route, sable et sous-bois.

Retrouvez toutes les informations sur les courses (inscriptions, heures de départ…) sur www.crossdelacier.fr.

Pas d’inscriptions sur place, sauf pour la randonnée (départ à 9h).

AGENDA


ZOOM SUR...

THE SKINTS + GUEST EN CONCERT À GRAVELINES Dix ans après leur création, THE SKINTS présentent leur nouvel album, « Swimming Lessons ». Basée dans l’est londonien, cette bande d’amis d’enfance animés depuis toujours par l’esprit punk, propose une musique follement métissée entre retro-dancehall, ska, dub, punk, pop et reggae classique. Peu de groupes britanniques mélangent comme eux différents genres de musique avec autant de liberté, de plaisir et d’invention. Les 4Ecluses vous invitent à les découvrir lors d’un concert hors les murs Scène Vauban à Gravelines le 21 novembre à 20 h 30.

Tarif : 9€ – 6€ pour les abonnés.

28 NOVEMBRE

Exposition« FOCUS : RUCHI ANADKAT » Fructôse à Dunkerque | 2€ | 18h30 Artiste associée à Fructôse, Ruchi Anadkat ouvre les portes de son atelier pour une présentation de son travail, ainsi qu’une performance issue de sa recherche « géométrie performée ». Entre approche rationnelle et construction fictionnelle, l’artiste élabore une relation singulière à l’espace et au temps à partir de sa propre unité de mesure.

1ER DÉCEMBRE

ThéâtreCHÂTEAU CONTÉ Le Château Coquelle à Dunkerque | GRATUIT | de 14h30 à 18h30 Dans le cadre du festival Récits sans Frontières. Par la Cie les Souffleurs de mots. La carte blanche est donnée aux souffleurs de mots pour venir s’emparer du Château Coquelle et vous ravir avec leurs histoires. Il y en aura pour toutes les oreilles.

1ER DÉCEMBRE

ConcertCONCERT DE NOËL Eglise Saint-Jean-Baptiste à Bourbourg | GRATUIT |16hConcert proposé par la chorale Saint Joseph de Calais.

DU 2 DÉCEMBRE AU 4 JANVIER 2020

VisitesLE BEFFROI DE NOËLLa Taverne du « Jean-Bart » à Gravelines | 3.50 € |Ouvert tous les jours de 10h à 11h45 et de 15h à 17 h45L’office de tourisme vous fait découvrir la ville illuminée et décorée depuis le sommet du beffroi de Saint-Éloi.

30 NOVEMBRE

CabaretCABARET IRLANDAIS La Taverne du « Jean-Bart » à Gravelines | GRATUIT | 19h Dans le cadre du festival Récits sans Frontières. Par Caroline Sire. En Irlande, en Ecosse ou en Bretagne, il a toujours existé des endroits où la nuit venue – belle et douce nuit d’été, nuit d’automne et de tempête – les conteurs prennent la parole, les chanteurs déploient leurs voix...

DU 5 AU 7 DÉCEMBRE

ConcertsSTONES PROJECT Jazz-Club de Dunkerque | 15/10/7€ | 20h45Une relecture par des French musiciens hors pair ! Une création qui mettra le feu au Jazz-Club !

DU 3 AU 19 DÉCEMBRE

Exposition« VOYAGES » La Piscine à Dunkerque | GRATUIT | de 13h30 à 16h30Bien plus qu’une incitation au voyage, le travail de Jonathan Napierala parle de l’Homme croisé au détour d’une rue : son quotidien, ses actions, ses émotions. Enrichi par ces rencontres et tous ces “ailleurs“, l’artiste imagine ce que sont leurs vies, figeant ces rencontres éphémères dans l’intemporel.

AGENDA


3 ans, 3,2 millions de vues, 8 000 abonnés, 900 reportages et directs !

ZOOM SUR...

DE NOUVELLES ESPÈCES AU PARC ZOOLOGIQUE DE FORT-MARDYCKLe Parc zoologique Fort-Mardyck-Dunkerque Grand Littoral est dédié à la faune française et européenne, et regroupe plus de 250 animaux représentant 50 espèces. Vous connaissez déjà le lynx des carpates, l’ibis falcinelle, le phoque veau-marin, la tortue de moresques et tous les autres locataires du parc. Que diriez-vous de faire connaissance avec le porc-épic américain, la cigogne noire ou encore trois chouettes à lunettes d’Amérique du Sud ? Ces trois nouvelles espèces sont à découvrir dès à présent dans les différents espaces du parc zoologique de Fort-Mardyck.

Parc zoologique Dunkerque Grand Littoral, rue des Droits-de-l’Homme 59430 Fort-Mardyck. Tél. +33(0)3 28 27 26 24. Ouvert tous les jours de 10h à 17h – fermeture du guichet à 16h15.

6 DÉCEMBRE

Rencontre« RESTER LÀ-BAS OU PARTIR ICI ? » FRAC Grand Large - Hauts-de-France à Dunkerque | GRATUIT | 18h30Projection rencontre du film performé de Céline Ahond.

10 DÉCEMBRE

Cinéma« LES AVENTURES DE RABBI JACOB »

/ LE CINÉMA DE PAPA Studio 43 à Dunkerque | 9€ | 19h30

Victor Pivert, un homme foncièrement xénophobe, croise le chemin de dangereux terroristes qui

s’apprêtent à éliminer un leader révolutionnaire. Ensemble, ils s’échappent mais n’ont d’autre choix

que de se déguiser en rabbins pour s’en sortir. Pivert est alors pris pour Rabbi Jacob, sommité attendue

en grande pompe par la communauté juive...

8 DÉCEMBRE

ConcertCONCERT DE CLÔTURE DU FESTIVAL INTERNATIONAL D’ORGUE EN FLANDRE Eglise Saint-Éloi à Dunkerque | 10/8€/gratuit | 16hConcert de clôture du festival, avec des œuvres de Poulenc, Bach, César Franck, Pierre Cochereau et Jehan Alain, jouées par Ghislain Leroy.

7 DÉCEMBREAU 26 AVRIL 2020

Exposition « ATMOSPHÈRES, PETIT-FORT-PHILIPPE, 1890-1930 » Musée du dessin et de l’estampe originale à Gravelines | 3,5€ | 14h-17hFin XIXe, de nombreux peintres parcourent la côte. Leur curiosité les amène au port pittoresque « du Petit-Fort ».

7 DÉCEMBREAU 5 JANVIER 2020

Exposition XAVIER DEGANS Galerie de l’artiste, 104, digue de Mer à Dunkerque I GRATUIT I De 10h à 12h et de 15h à 19hL’artiste dunkerquois présente 40 œuvres originales (tableaux, aquarelles, peintures à l’huile, sculptures, médailles). Vernissage le 7 décembre de 14h à 20h.

7 ET 8 DÉCEMBRE

Loisirs« LE MINI MAMMOUTH ! LA PETITE SUPÉRETTE DE L’ART » Musée portuaire à Dunkerque | GRATUIT | de 14h à 18hÀ quelques jours de Noël, la « Duchesse-Anne » accueille l’incontournable supérette de l’art de Fructôse pour une nouvelle édition surprenante ! Venez remplir votre hotte parmi une sélection de créations originales d’artistes. Photographies, sérigraphies, dessins, petites éditions, objets insolites et autres surprises... Le tout de 1 à 100 euros !

L’article 38 de la Loi informatique et liberté n°78-17 du 6 janvier 1978 modifi ée vous permet d’exercer vos droits d’accès, de rectifi cation et de suppression aux données personnelles vous concernant en vous adressant à l’adresse ci-dessus.

Je fais un don du montant de : ....................... euros et je joins mon règlement par chèque à l’ordre de : FACE Fondation du Dunkerquois solidaire.

Merci de renvoyer ce formulaire accompagné de votre chèque à l’adresse :Fondation du Dunkerquois Solidaire - Communauté urbaine de Dunkerque Pertuis de la Marine - BP85530 - 59386 DUNKERQUE CEDEX 01

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P4 · 2019. 12. 9. · 2 Le journal communautaire n°01 / Septembre 2015 REGARD / XXXX otorae Sommaire Directeur de la publication : Patrice Vergriete / Direction de la communication