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Rencontres Football et hockey sur glace, destins croisés Étouvie Une chaufferie au bois écologique et économique Exposition L’art du partage à travers la ville n° 733 • 15 - 21 octobre 2014 Pacte pour le bien vivre les Amiénois repensent la solidarité JDA Métropole

Pacte pour le bien vivre

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RencontresFootball et hockey surglace, destins croisés

Étouvie Une chaufferie au boisécologique et économique

ExpositionL’art du partage à travers la ville

n° 73

3 • 15 - 21 octobre 2014

Pacte pour le bien vivreles Amiénois repensent la solidarité

JDA Métropole

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Arrêt sur imagesSommaire

JOURNAL D’AMIENS MÉTROPOLE

BP 2720 - 80027 Amiens Cedex http://www.amiens.fr • Direction de la publication : Fabrice Hinschberger • Direction de la rédaction : Bertrand Bellanger • Rédaction en chef : Alexis Durand• Secrétariat de rédaction : Laurence Dubarle • Rédaction : Coline Bergeon, Antoine Caux,

Jean-Christophe Fouquet, Ingrid Lemaire, et Lysiane Voisin

• Maquette : Thibaut Cécile et Julien Dauthuille• Photos : Laurent Rousselin • Iconographie : Sébastien Coquille • Ont collaboré à ce numéro: Stéphanie Bescond,

Candice Cazé, Kaltoume Dourouri, Émilie Pillot (photo) et Imran Benamar (stagiaire)

• Conception graphique : CRÉA-COM

• Impression : Léonce Deprez, Ruitz• Pour communiquer des informations au JDA

Infos Métropole et Sports : 03 22 97 12 17Infos Amiens : 03 22 97 12 10Infos associations et culture : 03 22 97 12 14Infos Métropole : 03 22 97 12 19

• Le JDA Métropole est une publication hebdomadaire de la Communauté d’agglomération Amiens Métropole

• Par contacter un journaliste ou réagir à un article :initialedupré[email protected]

• Si vous ne recevez pas le JDA,appelez le 03 22 97 42 98

EN COUVERTURELes neuf ateliers thématiques ontabouti à 164 propositions d’actions. Ce Pacte pour le bien vivre à Amiensprégonise la solidarité (lire p. 5).Photo: Laurent Rousselin

La vie en Métropole• ÉTOUVIEDu bois pour tous les hivers……………………p 4

• SOCIÉTÉLe Pacte pour le bien vivre se dessine……………………………………………………p 5

• PARCS ET JARDINSAu fil des saisons ……………………………………p 7

• GARE-LA-VALLÉEUn habitat à haute qualité humaine ……p 8

• SANTÉLes urgences déménagent ……………………p 9

• PARTENARIATQuand débarquent les Américains…………p 9

Sports• ÉQUITATIONToujours plus haut ………………………………p 10

• FOOTBALL / HOCKEY SUR GLACEBarry Smith et Samuel Michel, destins croisés …………………………………………p 11

Actifs ensemble• JEUNESSELa nature sur le bout des doigts …………p 12

Culture et loisirs• PARCOURS L’art du partage ……………………………………p 13

• FESTIVALDu son plein les oreilles ……………………p 14

Théâtre. 23 comédiennes amiénoises ont choisi, en partenariat avec l’associationIniti’elles, l’humour pour sensibiliser aux cancers féminins. Le Sein dans tous ses étatsa été joué jeudi 9 octobre au lycée Saint-Rémi.

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Idole. L’humoriste Kev Adams,coqueluche des ados, jouaitson one-man show, Voilà voilà,au Zénith le 12 octobre.

7h14’47. C’est le temps de Jérôme Noizier, vainqueurdes 100 km de la Somme, samedi 11. Sylvie Cartouxs’impose chez les filles. Sur le marathon, succèsd’Antoine Dubreucq et de Delphine Dhuyvettere.

Balles neuves. Les 200 licenciés du tennis club de Dury profitent désormais d’un deuxièmecourt couvert et d’un troisième extérieur rénové, inaugurés par Alain Gest, le 10 octobre.Coût: 400000 € financés par l’agglomération et la commune. Un symbole d’infrastruc-tures pensées à l’échelle métropolitaine alors qu’ont été lancés les ateliers du sport le 11.

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Plus de photos sur www.amiens.fr/photos

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Fantastique. Samedi 11 octobre, la Nuitblanche a une nouvelle fois illuminéAmiens. Seul ou en famille, le public a profité des températures clémentes pours’émerveiller devant les installations lumineuses et monumentales installées à travers Amiens. Une ville transformée,colorée et mise en scène par des œuvresartistiques nées du talent de la jeune créa-tion internationale et locale. Bravo!

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La vie en Métropole

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ÉCONOMIE

Un vent nouveau souffle sur MersenLe leader mondial des solutions en graphite, présent à Amiens depuis 1962, met le cap sur l’éolien.

Amiens et Mersen, une histoire d’amour aulong cours. Tout débute dans les années 60.Pionnier dans l’industrie du carbone et du gra-phite, le groupe qui s’appelle encore CarboneLorraine décide de construire une usine surl’espace industriel nord. Des centaines d’Amié-nois fabriquent alors des balais pour moteursélectriques et s’invitent dans le quotidien dechacun: peu le savent, mais ces éléments sontprésents aussi bien dans les appareils électro-ménagers que les locomotives et les avions.« Nous travaillons également pour le secteurde l’aérospatial et nos produits servent aussi àfabriquer les robots qui explorent Mars actuel-lement », annonce Thierry Lacout, directeur général de Mersen France Amiens.

Réduire le coût de l’énergie

En 2010, le groupe change de cap. Mersen naît,acronyme anglais résumant les savoir-faire dugroupe: “materials, electrical, research, sus-

tainable, energy”. Pour l’usine amiénoise, oùMersen emploie plus de 250 personnes, cetournant se traduit par l’abandon des produc-tions pour l’automobile au profit de l’éolien, fi-lière en pleine croissance. Absent du secteur ily a seulement encore quelques années, « Mer-sen réalise aujourd’hui plus de 25millions d’eu-ros de chiffre d’affaires sur ce marché, pourlequel l’usine amiénoise fournit du matérieldédié à la génération d’électricité, l’orientationdes pales d’éoliennes ou la protection des sys-tèmes électriques », explique Thierry Lacout.Parmi les innovations développées sur le site,le projet WindSignal mené en partenariat avecl’université de Picardie Jules-Verne et l’Institutsupérieur des sciences et des techniques deSaint-Quentin. Cet outil de diagnostic et main-tenance embarqué est une avancée en matièrede prévention des pannes. Mersen travaille surd’autres projets innovants notamment dans ledomaine du ferroviaire. À suivre donc.

Stéphanie BescondLaure

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ÉTOUVIE

Du bois pour tous les hiversLa construction de la chaufferie biomasse, qui alimente l’équivalent de 3000 logements, est achevée. Une solution écologique et économique.

Les habitants d’Étouvie verront bientôt les bénéfices de la chaufferie biomasse sur leurfacture. Grâce à cet équipement inauguré le 9 octobre, Cofely services, chargé du chantieret de l’exploitation du réseau, annonce unebaisse du coût de l’énergie d’environ 20 %pour les locataires. La Société immobilière picarde (Sip), principal bailleur du quartier etporteur du projet, a en effet remplacé lachaufferie au fioul au profit de l’énergie re-nouvelable. Désormais, le réseau est donc ali-menté en partie en bois. Ce bois assure 70 %des besoins de chauffage et d’eau chaude del’équivalent de 3000 logements. Des immeu-bles mais aussi des écoles, un gymnase, desbureaux, la gendarmerie… Le reste de la pro-duction de la chaleur est assuré par le gaz na-turel. Autres atouts? Il présente un bilancarbone neutre car le CO2 rejeté lorsque lebois brûle a été absorbé auparavant durant lacroissance de l’arbre. Avec cette chaufferie,c’est 165000 tonnes d’émissions de CO2 enmoins dans l’atmosphère pendant seize ans.Ce qui représente l’équivalent de trois ans decirculation automobile en ville.

Réduire le coût de l’énergie

Le bois provient de plus d’exploitations situéesau maximum à 100 kilomètres d’Amiens, ce quilimite les distances en camion pour approvi-sionner la chaufferie. Et les cendres seront ré-utilisées pour l’épandage des terres agricoles.

Ces qualités environnementales permettrontaux abonnés de bénéficier d’un taux de TVA à 5,5 % sur le prix de l’énergie. « Cette chauffe-rie est un signal fort dans la mutation du quar-tier, souligne Bernard Chatain, président de laSip. L’énergie fossile, polluante, deviendra rare.Son coût va augmenter. La réalisation de cetéquipement, complétée par des travaux d’isola-tion thermique des logements, permettra defaire baisser les charges de nos locataires. »Hubert Delarue, vice-président d’Amiens Mé-tropole chargé de la politique de la Ville, a féli-

cité les représentants de la Sip. «Nous sommessensibles à votre esprit d’initiative, a indiquél’élu. Vous avez l’ambition de réduire le coût del’énergie dans un quartier où les habitants dis-posent de revenus modestes. Nous allons éta-blir des relations de confiance avec vous etserons à vos côtés ces prochaines années. » Cetinvestissement de plus de 9,5 millions d’eurosest financé par la Région, Cofely services,l’Agence de l’environnement et de la maîtrise del’énergie (Ademe) et le Fonds européen (Feder).

Lysiane Voisin

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Thierry Lacout, directeur général de Mersen France Amiens.

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La vie en Métropole

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Quelques notes en gareEn Picardie, les gares de Creil, Compiègne, TGV Haute Picardie etbien sûr Amiens sont concernées par À vous de jouer, un concoursde piano lancé par la SNCF en partenariat avec Yamaha Music Europe. « Les participants peuvent remporter un piano acoustique.Pour cela, il suffit de filmer sa performance puis de poster sa vidéoavant le 24 décembre sur le site www.concours-en-gares.com », explique Fabienne Duclos, de SNCF Picardie. Les meilleures presta-tions seront retenues par un jury territorial puis national. Les 42 pia-nistes présélectionnés seront invités à Paris lors du concert declôture. Rendez-vous en mars 2015 pour les résultats. K. D. À vous de jouer, un grand concours de piano ouvert à tous les amateurs.

Sébast

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SOCIÉTÉ

Le Pacte pour le bien vivre se dessineLe 13 octobre, Brigitte Fouré, maire d’Amiens, et Annie Verrier, adjointe en charge de la santé, de la dépendance et des affaires sociales, ont restitué le fruit de la concertation menée avec les Amiénois du 23 septembre au 3 octobre. Il s’agit d’élaborer un projet social innovant pour les six prochaines années.238 participants pour neuf ateliers de travail thématiques organisésautour de l’amélioration du bien-être des habitants et de l’ac-compagnement social, de la dépendance et des personnesâgées. « La notion du bien vivre est plus complexe etcomplète que l’action sociale. Nous voulons que lesAmiénois se sentent bien dans leur ville et àtoutes les étapes de leur vie », a rappelé Bri-gitte Fouré. Pour élaborer le Pacte du bienvivre, « établi selon des valeurs d’entraide etde solidarité », par une politique sociale innovante ancrée dans son temps, la muni-cipalité a choisi une large concertation ras-semblant les associations œuvrant dans le domaine du social, les services de la Ville,les collectivités et institutions comme la Caf,la CPAM, la CCI, Pôle emploi…

164 propositions à analyser

De cette large concertation ont émané 164 propo-sitions d’actions. Le soutien à la parentalité ressortpar exemple des idées à développer. « Décloisonner etmutualiser les actions des différentes institutions et parte-naires doit, par exemple, contribuer à détecter les problèmes enamont », a souligné Philippe Théveniaud, conseiller municipal délé-

Les grandes orientations du Pacte • Favoriser la participation des habitants et l’animation locale.

• Accompagner vers l’insertion sociale et économique.

• Favoriser le bien vivre par des pratiques propices au maintien en bonnesanté.

• Développer le travail en réseau et valoriser la place de tous les acteurs.

• Favoriser le lien social pour bien vivre ensemble.

• Permettre à chacun de connaître ses droits et exercer un repérage pré-coce pour prévenir la dégradation des situations.

• Faire de l’économie sociale et solidaire un vecteur de développementsocial.

• Favoriser une mobilité durable et une large accessibilité.

gué auprès d’Annie Verrier. Les liens intergénérationnels tissés entreétudiants et personnes âgées seules peuvent aussi aider à

sortir de l’isolement et enrichir l’offre de logement. Sim-plifier les procédures administratives, améliorer l’ac-

cueil et l’information des Amiénois, renouveler lepartenariat avec les associations sont d’autres

actions à mener. « Il s’agit de faire des choixpour une ville impliquée pour ses habitants et exemplaires dans de nombreux domainesdu social », a indiqué Annie Verrier. « Dans un contexte financier contraint, il faut s’en-gager dans des actions concrètes, réalisa-bles et rapides à mettre en place »,a poursuivi Brigitte Fouré. Les faisabilités budgétaires et calendaires ainsi que lesmoyens humains nécessaires à la mise en

œuvre d’actions seront étudiés. Les élus feront des choix. Et cela, dans divers domaines

tels que la politique de la ville, le sport, la jeu-nesse, les espaces verts… Le mécénat et les

financements croisés entre collectivités et institu-tions seront aussi à l’ordre du jour. Après les débats

et vote budgétaire de fin d’année, les premières actions devraient être mises en place début 2015.

Ingrid Lemaire

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Denise, au bras de Claudette, une bénévole qui consacre du temps à rendre visite aux seniors amiénois.

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6• JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014

Offres d’emploi

Amiens Métropole recrute

Pour le service culture

● UN PROFESSEUR D’ARTS PLASTIQUES (H/F)8 HEURES HEBDOMADAIRES – RÉF. 2411

Pour la direction des ressources humaines

● UN CORRESPONDANT CARRIÈRES PAIES (H/F)RÉF. 2413

Attention les candidatures doivent parvenir avant le 24 octobre 2014

Pour la direction générale adjointe citoyenneté et vie sociale

● LE CHEF DU SERVICE DES SPORTS (H/F) RÉF. 2409

Attention les candidatures doivent parvenir avant le 25 octobre 2014

Tout dossier incomplet ne sera pas étudiéDossier à imprimer et détails de ces offres sur www.amiens.fr

Piscine Coliseum03 22 71 12 12Jeudi 16 8h-20hVendredi 17 8h-21hSamedi 18 8h-18hDimanche 19 10h-13h,

14h-17hLundi 20 12h-20hMardi 21 8h- 21h Mercredi 22 8h-20h

Piscine Nautilus03 22 44 44 66Jeudi 16 7h30-8h45,

12h-13h30Vendredi 17 7h30-8h45,

17h-19h15Samedi 18 10h-12h15,

14h30-17h15Dimanche 19 FerméeLundi 20 14h-19h15Mardi 21 8h-19h15Mercredi 22 8h-11h45,

14h-19h15

Piscine Vallerey03 22 22 24 60

Jeudi 16 8h-9h10Vendredi 17 8h-9h10,

17h-19h45Samedi 18 10h-11h45,

14h-17h45Dimanche 19 9h-12h45Lundi 20 17h-19h45Mardi 21 8h-9h10,

17h-19h45Mercredi 22 8h-9h10,

11h45-19h45

Patinoires du Coliseum03 22 71 12 12Jeudi 16 20h30-23hVendredi 17 14h-15h45,

20h30-23hSamedi 18 14h-17hDimanche 19 10h-12h30,

14h-17hLundi 20 14h-17hMardi 21 14h-17hMercredi 22 14h-17h

État civilNaissances Berly Louka et Sacha • Briere Fernand • Brik Ahmed • Caron Oscar, Saint-Sauflieu • Delétoille Aiden, Bertangles• Demagny Kélyo • Deplanque Ezéchielle • Deroubaix Lana, Grattepanche • El Abbassi Mayson • Garcia Belloso Rafaël • Gau-defroy Léa, Saleux • Gerbert Valentine • Ghlamallah Amir • Guercif Sakina • Julien Holy • Linant Maëlle • Maison Jade • RzigZaied • Ulmer Léandre, Pont-de-Metz • Vicini Chloé

Temps fort à MarivauxLe 23 octobre, rue Montaigne, les partenaires institutionnels et asso-ciatifs du réseau Balzac-Marivaux rencontreront les habitants. Unepremière pour ce réseau créé par le service prévention médiationd’Amiens Métropole. Autour de stands, animations et ateliers, il s’agitde faire connaître les structures et les activités de ce quartier. La Mission locale insertion formation emploi, des associations (Le Car-dan, En savoir plus, Le Mail…) ou encore le club de hockey sur gazonseront présents. Une initiative afin de faciliter les échanges. I. L.

Jeudi 23 octobre, de 14h à 18h, rue Montaigne Service prévention médiation : 03 22 97 15 44

AmiensAttention à la vente frauduleusede calendriers : des personnesfont ces derniers jours du porte-à-porte en se faisant passer pourdes agents d’Amiens Métropole encharge du ramassage des orduresménagères et des encombrants. Ilconvient d’être vigilant et d’avertirla police municipale du passagede faux agents au 03 22 22 25 50.

Balade nocturne à vélo avec VéloService, le 17 octobre. Deux bou-cles de 8 km avec ravitaillementau collège Sagebien où l’associa-

tion handisport d’Amiens Métro-pole proposera d’essayer notam-ment le basket fauteuil. Départ à20h15 depuis la tour Perret.

Le 24 octobre à 14h30, le Serviceactions collectives et l’Unité ani-mation seniors de la Ville organiseune balade intergénérationnelleau bois de Frémontiers, avec cueil-lette de champignons et décou-verte de la nature. 03 60 01 04 72

Le congrès national de la Fédéra-tion nationale des Francas, qui fêteses 70 ans, se déroule du 23 au 26 octobre à Mégacité. Ce rendez-vous doit rassembler près de 500 participants issus des 82 an-tennes départementales. Aumenu, contribution des Francas àl’action éducative locale et évolu-tions. www.francas.asso.fr

Scott Bader, fabricant de ma-tières plastiques installé dans la zone d’activités de Montières,se développe via l’aménagementd’un entrepôt dédié au stockage.Les 95 emplois seront consolidéstandis qu’une dizaine d’autresbasés en région parisienne seronttransférés à Amiens.

En contrebas des boulevardsGuyencourt, Pasteur et Jules-Verne, la SNCF procède à des tra-vaux de débroussaillage du 20 au25 octobre, entre 22h et 4h, afind’améliorer la visibilité de la signa-lisation pour les conducteurs detrains mais aussi le confort despassants sur les boulevards. Cestravaux nocturnes ne perturberontpas la circulation des trains.

ÉtouvieLes associations réunies au seinde la Commission rénovation ur-baine d’Étouvie relancent la Fêted’automne, le 18 octobre. Marchéde produits frais et découverte desnouveaux commerces place desProvinces-Françaises, vente decréations artisanales, spectacles,animations pour les enfants…

Faubourg-de-HemLe 20 octobre, réunion publiquedu comité de quartier en présencede Nedjma Ben Mokhtar, premièreadjointe au maire chargée du sec-teur Ouest. Rendez-vous à 18h30,sous le préau de l’école primaire A(rue du Faubourg-de-Hem).

Gare-la-ValléeLe 22 octobre, à 18h, réunion pu-blique à l’école La Vallée (70, rueLegrand-d’Aussy). Les élus, lestechniciens et l’architecte PaulChemetov informent sur le chan-tier du parc urbain de la Zac, leprogramme immobilier de l’îlot ducentre technique municipal, leprojet d’habitat participatif de larue de Verdun (lire p. 8), les loge-ments situés à l’angle des rues deVerdun et du Vivier.

Visite de proximitéLe 21 octobre, Nathalie Lavallard,adjointe au maire chargée de ladémocratie locale et de la vie as-sociative, Patrick Pigout, adjointchargé du secteur Centre, et Ber-nard Rambure, président du co-mité de quartier Centre-ville,invitent la population à une visitede proximité afin d’évoquer lesquestions du quotidien. Départ à17h, place Dewailly.

Balade urbaineRetrouvez les élus le 25 octobre à9h, à l’école Beauvillé au 402, bdBeauvillé (arrêt de bus Saint-Victorou Voltaire). Au programme duparcours : la requalification del’école Voltaire (9h30), la rénova-tion urbaine (10h, salle de l’Alba-tros), la démolition de Brossoletteet les jardins familiaux (10h30), le projet Gounod (10h45), l’Atrium, la place du Colvert et l’Odyssée(11h-11h45), la pépinière d’entre-prises et le projet d’un pôle santé(12h), le Safran (12h30). Ticket de

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La vie en Métropole

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C’est la fête à la citrouillePlus de 500 cucurbitacées sont cultivées chaque année par le service des espaces verts. Symboles d’Halloween, elles seront de retour dans la cour de l’hôtel de ville mi-octobre.

En France, nous avons la Toussaint et les chry-santhèmes. Aux États-Unis, ils ont Halloweenet les citrouilles. Mais à Amiens, chrysan-thèmes et citrouilles cohabitent le temps d’unedécoration. Sur les quatre hectares de la pépi-nière d’Amiens Métropole, les agents réserventchaque année 3000 m2 aux cucurbitacées entout genre. Marc Paillet, technicien de produc-tion, explique: « Au printemps, nous mettonstrois graines par pot et produisons 50 pots. Au mois de juin, les pieds sont plantés enpleine terre, à trois mètres les uns des autres.

Ces légumes ont besoin d’espace et de lu-mière ». À l’arrivée, cela donne environ 500 cu-curbitacées de sept espèces différentes,récoltées début octobre puis mises sur bâcheen attendant d’être disposées dans la cour del’hôtel de ville. Il s’agit « de courges, colo-quintes, potimarrons, potirons, pâtissons, but-ternut et, bien sûr, citrouilles », énumèreHubert Desmarest, chef d’unité technique végétales au service espaces verts. En dehorsd’une surveillance de l’oïdium, cette maladiequi blanchit les feuilles et peut faire des

ravages, les cucurbitacées ne demandent pasénormément d’entretien, assure Marc Paillet:« Une fois le binage réalisé, les feuilles formentun tapis de sol et il ne reste qu’à arroser, maisvraiment peu ». Quant aux traitements, ils sontexceptionnels, précise Hubert Desmarest: « Onpeut dire qu’elles sont cultivées de façon quasi-ment bio ». La reine des citrouilles s’appelle l’Atlantic Giant. Cette année encore, certainesont pu atteindre jusqu’à 400 kilos. De quoi faireun beau Jack O’Lantern!

Jean-Christophe Fouquet

PARCS ET JARDINS

Au fil des saisonsL’embellissement de la ville est confié aux 174 jardiniers d’Amiens Métropole. Été comme hiver, ils œuvrent à rendre la ville toujours plus attractive.

7h45, au parc de l’Évêché autourd’un café. Une quinzaine de jardi-niers paysagistes discutent duplanning de la semaine. « Quel estle temps prévu pour les prochainsjours? » demande l’un des jardi-niers. Une question primordialecar les activités dépendent des ca-prices du ciel. Tonte des pelouses,taille des arbustes et des haies,désherbage des plates-bandes…les 174 agents d’Amiens Métropolene manquent pas d’ouvrage. « Jerisque d’en étonner plus d’un,mais c’est en automne et en hiverque nous avons le plus de travail,explique Julien Poret, jardinierpaysagiste basé au secteur Cen-tre-ville. Il faut chasser les mau-vaises herbes, planter vivaces etbisannuelles… Des tâches hiver-nales récompensées au prin-temps. » Mais malgré le froid et lapluie, le jardinier est fier de sonmétier: « Après onze ans de pra-tique, je ne m’en lasse pas. Il mepermet d’être créatif et chaquejour est différent ». Et ce ne sontpas les services de la voirie, à qui

tien de ses espaces verts publics,Amiens a obtenu l’an dernier la 4eFleur du label Villes et Villagesfleuris. « Le challenge est deconserver cette récompense et,pourquoi pas, rêver à la Rosed’or? » conclut Julien Poret.

Stéphanie Bescond

Les parcs et jardins à Amiens• 270 ha d’espaces verts

• 20 m² d’espaces verts / hab.

• 38650 arbres (hors boisement)

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les jardiniers prêtent parfois main-forte, qui le contrediront. « Qu’ils’agisse de la chute de feuilles oude neige, nous faisons en sorteque les habitants puissent se dé-placer en toute sécurité », té-moigne le jardinier. Pour la qualitéde son fleurissement et de l’entre-

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La vie en Métropole

8• JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014

La vie en Métropole

CAMON

Le bel abri des compagnonsLa communauté Emmaüs vit désormais dans une résidence flambant neuve, à proximité de la salle de vente.

Le bric-à-brac, ce n’est plus quepour la salle de vente à Emmaüs.Car les logements des compa-gnons, eux, ont changé de standingavec la résidence construite par laSociété immobilière picarde (Sip).Elle regroupe sur deux niveaux 31chambres spacieuses avec salle debains et accès direct à la laverie età l’espace restauration. Le jour etla nuit avec la précédente installa-tion des Compagnons, située justeà côté. Celle-ci datait de 1970,année où la communauté Emmaüss’implante à Camon après avoirdébuté dans des conditions pré-caires du côté du Château blancdes Ormeaux, route de Rouen àAmiens, en 1964. « Les Compa-gnons ont été patients, courageuxet optimistes », salue Jean-YvesBourgois, président d’EmmaüsSomme. Patients, puisque le pro-

jet de cette résidence remonte àdix ans. Le chantier a connu biendes difficultés et fut longtempsstoppé. Sollicitée par le préfet, laSip a repris le projet et investi

2 millions d’euros. Alain Herreng,son directeur général: « Quand onparle de la mémoire de l’abbéPierre, on ne peut pas dire non ».

Antoine Caux

GARE-LA-VALLÉE

Un habitat à haute qualité humaineDepuis quatre ans, dix familles conçoivent la demeure de leur rêve : un immeubleparticipatif, rue de Verdun. Une philosophie de vie bientôt concrète.

« Ce n’est pas une utopie mais uneréalité », sourit Ingrid Avot. CetteMontreuilloise, assistante à la maî-trise d’ouvrage, aide dix familles àmener à bien un projet d’habitatparticipatif rue de Verdun, àAmiens. Plus de 300 aventures hu-maines comme celle-ci fleurissenten France. À une époque de replisur soi, l’habitat groupé constitueune démarche innovante et ci-toyenne. Le permis de construiredu projet amiénois, porté par unevingtaine de personnes regroupéesau sein de l’association Ensemble

ch’est tout, devrait être déposé à lafin du mois. Un immeuble de treizeappartements, de 50 à 115 m2, avecbow-windows, dans un cadre natu-rel, à deux pas du centre-ville et dela gare, est en train d’être dessinépar Julien Pradat, architecte du ca-binet Murmur et futur habitant,partisan de la « haute qualité hu-maine ». Car la particularité de cetimmeuble est bien la présence departies communes, notammentd’une cuisine au rez-de-chausséeoù les habitants se retrouveront,d’une buanderie, d’un local à vélos,

d’un jardin de 1650 m2, d’une caveà vin, d’un atelier de bricolage…

Solidarité entre générations

Ses futurs habitants, qui bâtissentce projet depuis 2010, ont égale-ment souhaité mettre l’accent surl’accessibilité et la solidarité entregénérations. Ces retraités, jeunesactifs, familles avec enfants s’ins-crivent aussi dans une démarchede haute qualité environnemen-tale… L’immeuble de trois étagesalliera le béton et le bois et offrirades percées visuelles vers laSomme, comme le souhaite PaulChemetov, architecte de la ZacGare-la-Vallée. Il reste encore deuxT3 et un T4, certains ouverts auprêt social location-accession pourenviron 2200 €/m2 habitable. Lechantier démarrera en mai 2015pour une livraison au deuxième semestre 2016.

Coline Bergeon

Si vous êtes intéressés par ce projet : 06 03 33 88 87 ou 03 22 40 13 63 http://ensemblechestout.blogspot.fr/

La promesse de vente du terrain de 2650 m2 a été signée en janvier 2014entre Amiens aménagement et l’association Ensemble ch’est tout.

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Pierre-RollinLe bureau de poste du quartierest fermé jusqu’au 29 octobre pourtravaux. Le distributeur automa-tique de billets reste opérationnel.Rens. au numéro unique 3631.

Saint-AcheulRéunion publique du comité dequartier le 17 octobre, à 19h30, au 132, rue Saint-Acheul. L’occa-sion de s’exprimer.

Saint-Anne/ Fg-de-NoyonLe 25 octobre, le comité de quar-tier organise une sortie au LouvreLens. Tarifs (repas non compris) :21 € pour les adhérents, 27 € pourles autres. Inscription par courrierau 23, rue Vascosan, avec le règle-ment. 06 71 25 69 34

Saint-PierreRandonnée de 12 km vers le viaducJules-Verne le 19 octobre. Départ à9h, place Bélidor. 03 22 44 69 95

CagnyCours de gymnastique les lundiset jeudis à 18h30 à la salle polyva-lente. 85 €/an. 03 22 95 24 84 / 03 22 47 65 41

HébécourtTravaux de réfection de chausséesur la RD 1001 du 20 au 24 octobrepar le conseil général avec dévia-tion nécessaire via la D7, Saint-Fuscien et Sains-en-Amiénois.

RumignyMon voisin est un artiste. Le co-mité des fêtes invite à découvrirles talents des habitants le 19 oc-tobre à la salle des fêtes. Unejournée qui sera aussi l’occasiond’une bourse aux plantes.

La mairie invite à créer le logo dela commune: il suffit d’adresserson projet à la mairie d’ici la finnovembre. Récompense à la clef.

SalouëlAvec Agir Madagascar, grandefoire aux huîtres du 17 au 19 oc-tobre, à la salle des Évents, auprofit des enfants défavorisés deMadagascar. Animations, repas et musique avec Musicab Show.Entrée: 5 €. 06 32 20 66 45

Saveuse Saveuse Animation organise le 19octobre une bourse aux jouets de9h à 18h, salle des fêtes Gustave-Dufour. Rens. au 06 03 54 07 26.

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La vie en Métropole

JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014 • 9

PARTENARIAT

Quand débarquent les AméricainsQuinze élèves de Tulsa, ville américaine partenaire d’Amiens, passent trois semaines dans la capitale picarde. Avant de rendre la pareille à leurs hôtes.

« Bonjour, je m’appelle Elliott etj’apprécie la nourriture fran-çaise. » Ils n’ont qu’entre 9 et 11 ans, mais Elliott et sa quinzainede camarades venus de Tulsa,Oklahoma, USA, ont déjà debonnes bases dans une autrelangue que la leur : le français,qu’ils apprennent dans une écoleélémentaire internationale. Pen-dant trois semaines, ils sont hé-bergés par leurs correspondantsamiénois de l’école Sagebien. Le 7 octobre, ils étaient reçus parBrigitte Fouré à l’hôtel de ville, « lamaison de tous les Amiénois », etpar son adjointe à l’éducation et àla petite enfance, Mathilde Roy, quia exprimé son désir de les voir« revenir dans quelques années,puisqu’ils sont nos ambassa-deurs ». Chacun a échangé ensautant allégrement du français àl’anglais, et vice versa. Pour Nateet Carson, 11 et 10 ans, qui aiment« la sonorité du français »,Amiens, outre la cathédrale, leshortillonnages, les ateliers bou-

langerie ou l’hôtel Bouctot-Vagniez, se caractérise par « lesgens, toujours gentils avec nouset accueillants ».

Une classe d’immersion à la rentrée 2015

Nate et Carson recevront dans lafoulée leurs homologues français.Ils savent déjà qu’ils iront « voir leGolden Driller », statue dorée de23 mètres d’un ouvrier du pétrolede 1953. Le pétrole est une des richesses de Tulsa, ville parte-naire d‘Amiens depuis neuf ans,dont le Festival international dufilm d’Amiens a proposé en 2013un tour d’horizon. Quant à l’école Sagebien, elle lancera à la rentrée2015 une classe de CP d’immer-sion, partiellement en anglais.Une façon, selon Mathilde Roy, de« débuter plus tôt l’apprentissaged’une autre langue et de donnerplus de chances aux enfants dansun contexte mondialisé. »

Jean-Christophe FouquetLaure

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SANTÉ

Les urgences déménagentLes services des urgentistes s’installent dans le nouveau CHU Amiens Picardie. Les urgences adultes de l’hôpital nord arrivent dans le nouveau bâtiment le 17 octobre.

88429. C’est le nombre d’urgencestraitées à l’hôpital nord en 2013.« Le 24 octobre, tous les servicesdes urgences seront réunis au sud.Pour l’heure, nous prenons nosmarques dans un espace trois foisplus grand qu’avant. Cela fait vingtet un ans que j’attendais ce mo-ment », avoue Thierry Lion, méde-cin urgentiste de 51 ans. Lui et sescollègues, praticiens hospitaliers,médecins et infirmiers, gèrenttrois secteurs dédiés aux ur-gences, dont les vitales et l’unitéd’hospitalisation de très courtedurée. La conception architectu-rale et les parkings permettentune meilleure lisibilité pour les pa-tients et facilitent l’organisation lo-gistique, notamment l’accès desambulances et des pompiers.

Des soins optimisés

« Nous avons la chance d’être desmédecins urgentistes avec uneforte mutualisation des compé-

tences: un jour au Samu, un autreaux urgences. Nous connaissonsainsi toutes les problématiques de la régulation médicale avecplus de 100000 cas par an et au-tant de décisions médicales »,ajoute Thierry Lion. Les urgencesadultes de l’ancien hôpital nord arriveront au sud le 17 octobre.

Celles gynécologiques sept joursplus tard. Les urgences pédia-triques ont quitté l’hôpital nord depuis le 1er octobre. Celles oph-talmologiques seront, quant àelles, transférées de Saint-Victorvers le nouveau bâtiment le 24 oc-tobre. Avec le regroupement desactivités médecine, chirurgie et

obstétriques du CHU Amiens Picardie jusqu’alors dispersées enquatre lieux, les services des urgences assurent une meilleureprise en charge des patients. Sansoublier les deux hélistations, dontune sur le toit en lien direct avecles soins critiques.

Kaltoume Dourouri

Laure

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Tous les services des urgences seront installés le 24 octobre.

Les quinze jeunes Américains et leurs correspondants amiénois ont été reçus à l’hôtel de ville le 7 octobre.

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Sports

10• JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014

ÉQUITATION

Toujours plus hautPlus de quarante ans que le Centre équestre de Picardie organise le Jumping d’Amiens Métropole. Un millier de visiteurs et près de 400 cavaliers sont attendus à Boves fin octobre.Entre 350 et 400 cavaliersconcourront aux huit épreuves duJumping d’Amiens Métropole, les25 et 26 octobre. Le Centre éques-tre de Boves, organisateur de cetévénement sportif depuis 1974,accueille cavaliers amateurs etprofessionnels à partir de 13 ansvenus principalement du nord etde l’est de la France. « Cet événe-ment est reconnu au niveau na-tional car il s’agit d’un despremiers concours indoor de lasaison, assure Hubert Brandi-court, directeur du centre éques-tre. Nous avons également ouvertquelques épreuves aux amateursqui sont très friands du sautd’obstacles. Certains de nos li-cenciés y participent d’ailleurs. »Aujourd’hui, en équitation, 80 %des compétitions se font au sautd’obstacles. La raison? Les sensa-tions fortes éprouvées tant par les

cavaliers que les spectateurs.Chaque année, ils sont ainsi unmillier à assister à ce concours età admirer les cavaliers de haut ni-veau et leurs chevaux, « véritablesathlètes soumis à un entraîne-ment et à un régime particulier »,précise Hubert Brandicourt. Unvrai temps fort donc pour ce club,fondé en 1947, fier de sa soixan-

taine de bénévoles qui s’engagentpour l’organisation du Jumping.

Coline Bergeon

Jumping d’Amiens Métropole, les 25 et 26 octobre, à partir de 9h, au Centre équestre de Picardie (route de Cottenchy)03 22 09 37 36 – www.centre-equestre-de-picardie.ffe.com

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BADMINTON

L’ASPTT tient le volantL’ASPTT Badminton d’Amiens a été retenu pour accueillir la troisième édition du National. Rendez-vous les 25 et 26 octobre avec 80 compétiteurs.

Les badistes viennent des quatrecoins de France pour participer auNational à Amiens. « Nous avonspostulé en janvier auprès de laFédération. Et nous avons été re-tenus. Organiser ce National avaitdéjà été envisagé avant ladeuxième édition à Châlons-en-Champagne. Cela représente sixmois de préparation », expliquePatrick Fouré, président de

l’ASPTT Badminton d’Amiens. Un club qui fêtera ses 10 ans l’anprochain. Avec ses 280 licenciés, il représente le plus gros club dela région et proposera deuxéquipes lors de ce National à l’es-prit plus convivial que compétitif.« Nous tenons à remercierAmiens Métropole car, sans lamise à disposition du gymnasedes Quatre-Chênes et de ses neuf

terrains, nous n’aurions pas pucandidater », souligne le prési-dent. Il s’agit du deuxième Natio-nal des ASPTT organisé à Amiens.Le premier remonte à 1985.

Kaltoume Dourouri

National de badminton, le 25 octobre (9h30-17h) et le 26 octobre (9h-11h30) au gymnase des Quatre-Chênes

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Les deux équipes amiénoises engagées l’an dernier à Châlons-en-Champagne dont l’une est arrivée troisième de ce National.

Coupe de France : reçuscinq sur cinqLes cinq clubs d’Amiens Métro-pole toujours en course enCoupe de France poursuiventl’aventure. L’Amiens SC, le RCAmiens, l’ESC Longueau,Amiens Montières et l’AmiensAC se sont tous qualifiés leweek-end des 11 et 12 octobreet ont maintenant rendez-vouspour le 6e tour, les 25 et 26 octo-bre. Tirage au sort le 16 octobre.

L’APH reprend aussi une Coupe

Intermède Coupe de Francepour l’Amiens Picardie Handballavec la réception de Gonfreville,le 19 octobre, 16h, au Coliseum.Une division sépare les deuxéquipes, les Amiénois évoluantun cran en dessous (N2) queleurs adversaires normands(N1). Pas de quoi impressionnerles hommes de Tarik Haya-toune, vainqueurs au tour pré-cédent d’Asnières, un autrepensionnaire de N1. Et si Gon-freville a enregistré sa premièrevictoire le 11 octobre dans sonchampionnat, l’APH a de soncôté concédé sa première dé-faite à Livry-Gargan (26-21).

L’ASTT, le maintien en jeu

Troisième journée de N2 et déjàun match capital pour l’AmiensSport tennis de table face àCourbevoie, le 18 octobre, 17h,salle Albéric-Labaume (304, rueGaulthier-de-Rumilly). Aprèsune défaite et un nul, StéphaneHucliez et ses partenaires peu-vent distancer cet adversaire di-rect dans la course au maintien.

Un test pour l’AMVB

Deux matchs à domicile face auxdeux leaders de N2 et deux défaites pour les volleyeursamiénois. Les joueurs de SofianeDjoudi qui se sont rattrapés àchaque fois par des succès loinde leur terre, devront faire mieux,le 19 octobre, 15h, à Jean-Bouin,lors de la réception d’Asnières,troisième au classement.

Tickets sports

À Longueau, pendant les va-cances scolaires, les jeunes fontdu sport. www.ville-longueau.fr.

En bref

Aujourd’hui, 80 % des compétitions sont du saut d’obstacles.

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Sports

JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014 • 11

BASKET-BALL

Petite salle,grosseambianceLes joueuses de Longueau détonnent en Nationale 3 avec un gymnase Émile-Noël à l’atmosphère surchauffée.

« C’est l’un de nos meilleurs atouts. » L’entraî-neur Willem Wachter ne parle pas d’une de ses joueuses mais de son antre: la salleÉmile-Noël, sur les hauteurs de Longueau. Si l’équipe masculine fréquente bien plus legrand gymnase Pellerin le samedi soir, les filles,pourtant promues en Nationale 3, continuentd’évoluer dans la plus petite des deux enceintesdu club le dimanche après-midi. « Ça nous arrange, poursuit le coach. Nos adversairessont un peu perdues. » Dans la petite tribuneencaissée, le bruit des supporters résonne etl’effet “à domicile” fonctionne. Enfin presque.Après un premier succès, Longueau s’est inclinéde cinq points face à Hardelot le 12 octobre. Il faudra se reprendre car, pour remplir l’objec-tif du maintien, l’entraîneur compte sur huit ouneuf victoires à la maison. Pénalisées par le départ de l’expérimentée Céline Zaroli à Geis-polsheim (Nationale 1), les Longuaquatiennesdoivent rapidement faire l’apprentissage de leurnouvelle division. « L’an passé, en championnatrégional, nous gagnions tout avec un grandécart. Là, il faut s’accrocher à chaque match,reconnaît Willem Wachter. J’espère que notretemps d’adaptation sera rapide. » A. C.

Longueau / Ministère des Finances, le 26 octobre, à 15h30, salle Émile-Noël

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FOOTBALL / HOCKEY SUR GLACE

Barry Smith et Samuel Michel,destins croisés

Le premier, Américain, découvre Amiens et le hockey français. Le second retrouve sa ville natale mais n’en a jamais porté les couleurs quand il était footballeur. Les deux entraîneurs ont le même objectif : ramener les Gothiques et l’ASC au premier plan.

« Il y a des détails à régler mais nous progres-sons dans le bon sens. Face à Chamonix (victoire 4-2, le 11 octobre), nous avons jouéavec quatre lignes et avons beaucoup donné.Je suis très satisfait de l’équipe. Elle doit encore apprendre à aller au bout des actionset au contact pour fatiguer l’adversaire. »

«Notre but est d’être dans le top 4, comme toutle monde. Mais il est encore tôt. Nous devonsd’abord bien jouer, gagner, et après nous pour-rons nous inquiéter du top 4 (les Gothiquessont 5es, ndlr). Pour l’instant on reste concen-trés sur chaque match car tout le monde peutbattre tout le monde. »

« Je ne savais rien d’Amiens. Mais plein de gensm’en ont dit du bien. Les installations sontbonnes. L’ambiance avec les fans aussi. J’habitedans le centre-ville sans ma famille restée auxÉtats-Unis. J’ai visité la cathédrale et chaquejour, j’essaie de découvrir quelque chose. »

« J’aime bien le foot. Et notamment le foot anglais. Je ne suis pas encore allé voir Amiensmais je compte bien découvrir prochainementle stade de La Licorne. »

Amiens / AngersSamedi 25 octobre, à 20h, au Coliseum

« Quand vous renouvelez votre charnière cen-trale à 100 %, que vous changez de gardien etpas mal de joueurs offensifs, il faut du tempspour que la mayonnaise prenne… On n’a pasl’efficacité escomptée même si nous sommesla deuxième attaque de National. Il faut surtouts’améliorer défensivement et progresser dansla récupération, l’affaire de tous. »

« Nous devons tenir jusqu’à la trêve sans ja-mais être à plus de deux ou trois points du triode tête (l’ASC est 10e, à deux points du 3e, ndlr).En janvier, ce sera un nouveau championnat.Les garçons auront assimilé le travail qu’on fait.Ils ne l’ont pas trop mal assimilé offensivement.Pas encore défensivement. »

« C’est vrai que c’est toujours plus facile d’in-tégrer un club là où vous avez de la famille. À Amiens, j’ai mes parents, mes oncles, mestantes. Je prends beaucoup de plaisir à être au club d’Amiens. »

« Je suis allé voir les Gothiques contre Rouenen coupe. J’aime bien. De toute façon, je m’in-téresse à tous les sports et j’adopte l’esprit etles couleurs de la ville où je suis. »

Amiens / BoulogneVendredi 17 octobre, à 20h, à La Licorne

Le début de saison est-il conforme à vos attentes?

Que vous inspire le classement?

Ça fait quoi de venir à Amiens?

Vous pensez quoi du sport de l’autre?

Barry Smith appose sa patte américaine à des Gothiques qui défieront Rouen le 18 octobre avant de recevoir Angers, le 25.

Samuel Michel s’est servi de la victoire à Montdidier (6-1, le 11 octobre) pour une revue d’effectif avant la venue de Boulogne.

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Propos recueillis par Antoine Caux

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Actifs ensemble

12• JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014

Portes ouvertes à la Banque alimentaireLes Banques alimentaires fêtent leurs 30 ans. Pour l’occasion, l’an-tenne de la Somme, installée à Poulainville, ouvre ses portes le 25 oc-tobre, de 10h à 19h, pour sensibiliser futurs bénévoles, élus etinformer les travailleurs sociaux des circuits pour bénéficier de l’aidealimentaire. Cette journée permettra de découvrir la récente cham-bre froide et d’annoncer les prochaines actions. La Banque alimen-taire approvisionne en denrées les Restos du cœur, la Croix-Rouge,le CCAS, les épiceries sociales… Dans le département, 600 bénévolesassurent des missions pour 10000 bénéficiaires. « Des partenaireslocaux et des enseignes nous soutiennent, indique son responsableStéphane Deflesselle. Mais il nous faudrait davantage de moyens. »Souhaitons que ces portes ouvertes renforcent la solidarité. I. L.

Banque alimentaire de la Somme, à Poulainville (rue du Stade)03 22 91 55 85 – http://ba80.banquealimentaire.org/

Se former à la création d’entrepriseVous êtes étudiant et souhaitez créer une entreprise ouune association? La formation pratique et gratuite “Les entrepreneuriales” est faite pour vous. Pendant cinqmois, à partir du 12 novembre, des professionnels vous accompagnent bénévolement. Banquiers, experts-comp-tables, juristes… aideront les équipes à tester leur projet.Au programme: étude de marché, budget prévisionnel,rencontre de clients potentiels. Un chef d’entreprise seraégalement présent pour témoigner et conseiller. La formation est ouverte à tous les étudiants de niveau bac+2minimum. Mais il est impératif de former des équipes plu-ridisciplinaires. Ces équipes peuvent être créées ou com-plétées au speed dating organisé le 29 octobre, à 18h30, àAmiens le L@b’. L. V.

Inscriptions à la formation jusqu’au 7 novembre sur www.les-entrepreneuriales.fr – 06 48 97 58 86

JEUNESSE

La nature sur le bout des doigtsSemer, planter, récolter, fabriquer des nichoirs ou des mangeoires… Une école de jardinage à destination des enfants vient d’ouvrir au Jardin des vertueux.

Attentifs et investis, Rémi et Sylvains’affairent dans le potager du Jar-din des vertueux, malgré la pluieautomnale. Sous les conseils d’Ar-melle et Florence, ils plantent despensées, touche artistique coloréeau milieu de légumes. Un tracé aucordeau, un plant tous les 30 centi-mètres… Ils tailleront ensuite dessaules pour fabriquer des man-geoires à oiseaux. Depuis le 1er oc-tobre, Paco, fondateur du Jardindes vertueux, et quelques béné-voles initient les enfants de 6 à 13 ans à l’art du jardinage. Chaquemercredi, de 14h à 16h, sauf pen-dant les vacances scolaires, unequinzaine de jeunes apprend àbouturer, semer, gérer un potagermais pas seulement… « L’idée estaussi de les éveiller à tout ce qu’il y a autour, explique Paco. Notam-ment l’importance de la biodiver-

sité, des abeilles. Ils construirontainsi des abris à hérissons, des hôtels à insectes… » Au fil des saisons, les apprentis jardiniers repartiront avec leurs créations:nichoir, composition florale… Ils réaliseront un herbier qui leur sera remis en fin d’année, lors d’un repas concocté avec les produits du jardin et partagé avecleurs parents. Cet atelier au grandair répond à la demande d’écoliersqui fréquentent le Jardin des vertueux occasionnellement maisaussi de parents qui souhaitent desactivités ludiques et créatives pourleurs enfants. Génial, il reste encore des places!

Coline Bergeon

Jardin des vertueux (chausséeJules-Ferry) – 06 61 40 42 31www.lejardindesvertueux.fr L

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La Maison pour tous de Boves ini-tie les 6-14 ans aux arts du cirque,du 20 au 25 octobre, de 9h à 17h, à l’espace Saint-Exupéry de Glisy(rue d’En-Haut). 06 37 41 90 07 /[email protected]

L’Étoile du sud (121, rue Simone-Signoret) propose aux 6-15 ans descours de danse indienne Bollywoodle jeudi de 16h45 à 17h45, ainsiqu’un stage du 28 au 30 octobre.Pour les adultes, c’est le jeudi de20h à 21h30. Il reste aussi desplaces aux ateliers d’arts plas-tiques le mercredi de 14h à 16hpour les 6-11 ans, de 16h à 18hpour les 12-16 ans et de 18h à 20hpour les adultes. Cours de théâtre,le mardi de 17h30 à 18h30 pour les6-10 ans et de 18h30 à 19h30 pourles pré-ados et ados. 03 22 22 13 80

Parmi les prochains rendez-vousde La Boîte à outils de la famille:le portage de bébé le 24 octobre,de 9h30 à 11h30, l’atelier pour apprendre à masser votre enfant à partir du 18 octobre, l’atelierd’éveil à l’anglais (1-3 ans) le mardide 10h à 10h45. Rés. au 06 51 3062 84 ou [email protected].

L’association Luna Loca organiseun stage de flamenco avec ManoloPunto, du 8 au 11 novembre, au Centre culturel Léo-Lagrange(12, place Vogel). Renseignementsau 06 82 28 92 46 ou par mail [email protected].

Pendant les vacances de la Tous-saint, au 70, rue des Jacobins, l’association Entre-nous organisedes stages de danse du 18 au 31octobre pour adultes (20 € lecours), du 21 au 23 octobre pourenfants (60 € les trois jours) et ado-lescents (15 € le cours). Au pro-gramme: classique, barre au sol,modern jazz, contemporain, comé-die musicale… 03 22 33 03 02 –www.association-entrenous.com

La qualité d’un milieu racontée par les lichens. Une sortie instruc-tive avec Picardie Nature le 25 oc-tobre à Amiens. Rendez-vous à14h30, boulevard Baraban. Semunir d’une loupe. Sur inscriptionau 06 31 56 97 58.

À Amiens, tout le monde connaîtLa Ruche, la supérette face à lagare Saint-Roch. Un documen-taire réalisé par l’étudiant ArnaudThéry sur ce commerce est projetéle 17 octobre à 19h au centre social Elbeuf (9, rue Antoine-de-Saint-Just) lors d’une séance “Parles Docs” de l’association Zébulon.Entrée libre. 03 22 47 53 74

Ce jour-là, plantation de pensées dans le potager.

Une cinquantaine d’étudiants devrait participer aux entrepreneuriales.

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Culture & Loisirs

JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014 • 13

FESTIVAL

Imaginaire sans frontièreSpectacles, ateliers, lectures… Une douzaine de rendez-vous attend petits et grandslors des 6 jours à raconter (et à se faire peur) ! Rencontre avec une conteuse invitée.

JDA: Le conte est-il un bon outilpour amener un enfant à la lecture?Sandrine Gniady: Il est une excel-lente entrée dans la littératureorale et peut être une porte versl’écrit. Le conte est un art vivantqui touche tout le monde. Le sym-bolisme, propre aux mythes, légendes et fables qu’il raconte,

aide à se forger une imageriementale. Ce qui s’avère utile faceun texte écrit, pour se représenterce qu’on est en train de lire.

JDA: Quels conseils donneriez-vous aux adultes pour les y aider?S. G. : La clef, c’est le plaisir ! Raconter des histoires ne doit pasêtre une corvée. Il vaut mieux évi-ter le ton monotone et s’amuser,utiliser sa fantaisie, en se rappe-lant sa propre enfance.

JDA: Ce sont les histoires ou la façon dont on les aborde qui importe?S. G.: Il existe des livres meilleursque d’autres en littérature jeu-nesse. Parfois, le récit se suffit àlui-même. Alors, c’est facile pourle lecteur. Mais si on le sent, on

peut incarner les personnages,modifier sa voix…

Propos recueillis par Candice Cazé

6 jours à raconter, du 17 au 22 octobre, dans huit lieux de la Métropole –Programme et réservations au 03 60 12 24 60(Caps) et 06 80 47 75 38 (Cardan)Entrées libres

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ET AUSSI À GLISY… Du 17 au 19 octobre, l’Espace Saint-Exupéry de Glisy (rue d’En-Haut –03 22 49 67 01) célèbre L’art de l’ora-lité avec trois spectacles : Tu serasun homme mon fils, le 17 à 20h30,Contes à Laonzaine, le 18 à 20h30,et Sieste contée pour un voyage enOrient, le 19 à 15h.

ThéâtreAutour des 4es Rendez-vous lec-ture en Picardie, la Cie BourlingueThéâtre adapte le roman de Jean-Christophe Rufin, Le Collier rouge.À découvrir le 22 octobre à 18h30 à la bibliothèque Le Petit-Prince(123, rue de Mercey). 03 22 97 10 90

Expositions Le peintre picard Alain Mongre-nier, inscrit dans le courant ex-pressionniste, expose à l’hôtel desFeuillants (53, rue de la Répu-blique) jusqu’au 31 octobre. //artsomme.free.fr/mongrenier

Naturel et surnaturel N° 2. Pein-tures, photos, dessins et tableauxà leds sont à voir à la Maison desamis des arts (15/17 rue de la Dodane) du 17 au 19 octobre. 06 72 59 11 85

Le 21 octobre, à 18h, à la galerieSynapse (22, rue Saint-Leu), ver-nissage de l’exposition photogra-phique 2°20, la France par lemilieu, de Jean-Michel Leligny,voyage le long de la méridienneverte. 03 22 91 25 51 / www.synapsepicardie.fr

Aventures aériennes. Une his-toire de l’aviation dans la Somme.Exposition présentée jusqu’au 19 décembre aux Archives de laSomme (61, rue Saint-Fuscien). 03 60 03 49 50

Musique Soirée cabaret le 31 octobre avecJohnny Smeet et le club de coun-try Pony express 80. Rendez-vousà 19h30, à la salle municipaled’Étouvie (rue de Grâce). 15 € (soi-rée et repas sans boissons), 10 €pour les moins de 10 ans. Réser-vation le 18 octobre, de 10h à 12h,à la maison de quartier (305, rued’Abbeville).

Le chanteur amiénois Pascal re-fait une prestation à l’émissionC’est ma chance, sur France bleu,le 21 octobre, à 20h25.

Après Can Be Late, élu meilleuralbum rock aux Victoires de lamusique, le groupe lillois Skip the Use signe un deuxième opus,Little Armageddon. Mercredi 22 octobre à 20h30, au CirqueJules-Verne (place Longueville).www.ginger.fr

Et encore…Découvrez Le Majordome, filmréalisé par Lee Daniels, le 21 oc-tobre, à 20h, au Chaudron, scènedes étudiants (rue du Général-Frère). Entrée libre. 03 22 71 24 06

PARCOURS

L’art en partageDu Musée de Picardie au Safran en passant par l’église Saint-Leu et le palais de justice, l’exposition Caritas se vit comme un partage.

Quel lien entre des divinitéscontemporaines, une machine àlaver et le portrait d’un artiste enexil? Toutes ces œuvres sont exposées autour de l’expositionCaritas. Son thème: la figure desaint Martin, célèbre pour avoirpartagé sa cape “bleu d’Amiens”avec un pauvre, transi de froid auxportes de la ville. « Ce geste decharité constitue le point de départde Caritas », explique en préam-bule Peter Seddon, l’un des quatrecommissaires de cette expositionorganisée par le Musée de Picar-die. Imaginée dans le cadre duprojet européen “Au-delà du bleu,la waide”, la manifestation se dé-roule comme un parcours entredes œuvres classiques et contem-poraines, installées entre le Muséede Picardie et d’autres lieuxd’Amiens. « Tous ont été choisispour leur fonction symbolique:pouvoir, justice, savoir et par-tage », précise Sabine Cazenave,directrice du Musée.

En écho à saint Martin

Woman of War et Lady of the WildThings, de la Britannique LilianeLijn, ont ainsi pris place au cœur

de l’église Saint-Leu. La machineà laver du Grenoblois SamuelRousseau et sa Lessive Raciale, a quant à elle trouvé place au Safran. « Mon travail est accessi-ble. Je souhaite que chacun s’ap-proprie mon œuvre », soulignel’artiste. Au sein du Musée, le par-cours débute dans les deux salonsdu premier étage avec des œuvresfaisant écho au thème. « On y dé-couvre des épisodes de la traditionantique ou chrétienne tel Marc

Aurèle distribuant des aliments etdes médicaments au peuple deRome ou l’épisode du Bon Samari-tain », poursuit Peter Seddon. Pluscontemporaines, les œuvres deTony Oursler et Franz West ques-tionnent de leurs côtés le specta-teur sur son rapport au monde. Unparcours au cœur de la ville,jusqu’au 18 janvier.

Stéphanie Bescond

www.amiens.fr/musees

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Lady of the Wild Things, de la Britannique Liliane Lijn est exposé à l’église Saint-Leu.

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Culture & Loisirs

14• JDA Métropole • n° 733 • 15 octobre 2014

DANSE

Aux rythmes de l’AfriqueLe Centre social et culturel d’Étouvie accueille Irène Tassembédo, mère de la danse africaine contemporaine, pour une carte blanche d’exception.

Irène Tassembédo, chorégraphemajeure du continent africain, ac-compagnée de ses danseurs etmusiciens, ouvre les portes de sonunivers le temps d’une soirée.Après une vingtaine d’années pas-sées en France, cette figure incon-tournable de la danse africainecontemporaine est retournée vivreau Burkina Faso, son pays d’ori-gine, en 2007. Elle y a ouvert l’Édit,l’École de danse Irène Tassem-bédo, pour permettre aux Africainsde recevoir une formation artis-tique complète et se professionna-liser. Transmission et partage sontau cœur de l’engagement artis-tique de cette grande dame qui acréé en 2013 le Festival internatio-nal de danse de Ouagadougou.C’est dans cette ville, à la Maisondes jeunes, qu’elle commença sonapprentissage à l’âge de 14 ans,avant d’intégrer de prestigieusesécoles comme Mudra, fondée parMaurice Béjart à Dakar. Son travailgénéreux et exigeant, entre tradi-tion et modernité, se nourrit de ses

collaborations artistiques, au ci-néma et au théâtre notamment,mais aussi de l’actualité. La com-pagnie Irène Tassembédo compteune quinzaine de créations. La der-nière, Le Manteau, dresse un ta-bleau du continent africain en proieà la famine, aux maladies, au chô-mage, à l’exil de sa jeunesse… ÀÉtouvie, la Soirée du Faso s’inscritdans le cadre de la tournée de cespectacle, coproduit par l’Échan-geur, Centre de développementchorégraphique de Fère-en-Tarde-nois (Aisne), avec lequel l’artistecollabore depuis des années, etl’Alliance francophone. Trois joursde stage permettront aux pluschanceux de marcher un peu plusdans les pas de la compagnie.Nombre de places limité!

Coline Bergeon

Soirée du Faso, le 24 octobre, à 20h30 – Stages les 21, 22 et 23 octobre, de 10h à 12h, au CSC Étouvie (av. de Picardie)03 22 43 03 52 – www.cscetouvie.frF

rancis

Gaches Le travail chorégraphique d’Irène

Tassembédo a été couronné duPrix 2000 de la Société des auteurset compositeurs dramatiques.

FESTIVAL

Du son plein les oreillesPour fêter les 10 ans de son Festiv’art, l’association Les Radicaux libres s’offre la scène du Cirque Jules-Verne.

Un cow-boy affublé d’un nez rougeet d’un pistolet d’où sort un jetd’eau… L’affiche du 7e Festiv’artannonce la couleur: blues, rock,folk et bonne humeur. « Noussommes heureux de fêter nos 10 ans au Cirque Jules-Verne, quinous cède pour la première fois les clefs », se félicite ArnaudBroucke, président de l’associationLes Radicaux libres. Lui qui faisaitpartie des premiers bénévoles sesouvient qu’au départ, ils voulaient« créer un événement de quar-tier ». Organisé deux ans à l’Irffe,le festival a pris de l’ampleur et investi le cloître Dewailly, puis l’au-ditorium du Conservatoire, tou-jours « archicomplet ». « Le publictrouve une programmation acces-sible, de qualité, avec des talentsprometteurs et des performers,soutient Arnaud. Cette année, onavait signé avec Igit, révélé dansThe Voice, bien avant son passagedans l’émission. » Un coup de

cœur? The Wanton Bishops. « Onles suit depuis un moment, ilscommencent à monter. Il fallaitjuste pouvoir les faire venir! D’iciun ou deux ans, ils feront peut-êtrede grandes scènes et on se dira:“Ils sont passés dans un petit« festoche » à Amiens”. » Heu-reuse de partager toujours plus,l’association offre 20 % des places,comme à chaque festival, aux pu-

blics de ses partenaires sociaux:centres d’hébergement, associa-tions… Pour que vive la culture.

Candice Cazé

Festiv’art, les 24 et 25 octobre au Cirque Jules-Verne (place Longueville) – Billeterie:[email protected] 26 38 74 18 – Programmationsur www.myfestivart.com

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Le blues brut du duo libanais The Wanton Bishops, alias Eddy Ghossein et Nader Mansour, devrait séduire le public, le 25 octobre à 21h30.

La compagnie La Main d’œuvress’invite en résidence à la Maisonde l’architecture (15, rue Marc-Sangnier). Son installation, Dansla nuit du meuble, est exposéejusqu’au 31 octobre. La créationse peaufine encore, et le publicpeut voir son évolution, le 31 octo-bre à 19h. 03 22 91 62 04

Conférence avec les Amis de la cathédrale d’Amiens. SofianeAbdi, chargé de cours à l’univer-sité de Picardie Jules-Verne, traitera du quartier canoniald’Amiens le 25 octobre, à 16h, àl’espace Dewailly. Entrée libre.

“C’est quand le bonheur?” parThierry Grangette. Un café-philodes Petits Socratiques le 24 octo-bre, de 18h30 à 20h, dans la serrede l’hôtel Acloque (33, rue Mille-voye). www.cafephilo.webs.com

Écrire pour le jeu : un atelier en-cadré par l’auteur Denis Guénounpour faire travailler sa plume etson imagination, les 18 et 19 oc-tobre, de 10h à 13h et de 14h à18h, à la Maison du théâtre (8, ruedes Majots). Inscriptions obliga-toires au 03 22 71 62 90.

Projection de Taxandria, filmd’animation de Raoul Servais, lors du prochain Dimanche enimages de l’association Zébulon,le 19 octobre, à 15h, à La Brique-terie (2, rue Lescouvé). Gratuit. 03 22 95 12 95

Le 22 octobre, le Musée de Picar-die (48, rue de la République) célèbre ses 150 ans. À cette occa-sion, l’entrée est gratuite et uneconférence sur “La fondation dumusée Napoléon d’Amiens et soninauguration (1850-1864)” seraassurée à 19h par Arnaud Berti-net, maître de conférences à laSorbonne. 03 22 97 14 00

Imagine, construis et développe ta ville ! Un grand jeu de plateau à savourer en famille le 19 octobreà 15h à la Maison de Jules-Verne(2, rue Charles-Dubois). Anima-tion comprise dans le billet d’entrée. 03 22 45 45 75

Pour fêter Halloween, l’associa-tion Le Cercle des ombres orga-nise le Bal des ombres le 31octobre, de 20h à 3h, à l’aubergede jeunesse (square Friant-les-Quatre-Chênes). Avec le groupede métal symphonique WarverlyLies North et le Comte de Latusé.Déguisements bienvenus. Pré-vente sur Facebook jusqu’au 20 octobre à 6 € au lieu de 8 €.

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Du 15 au 21 octobre Cinéma

version sous-titrée pour les personnes sourdes ou malentendantes

Et toujours à l’affiche…DRACULA UNTOLD(2014) vf 1h33

11h (di) – 11h30 (sa, lu et ma)15h45 (sa, di, lu et ma) – 20h30 (sauf ve) – 22h30

GONE GIRL(2014) vf et vo 2h25

vf : 14h (sa) – 15h (sauf sa) – 21hvo : 11h (sa) – 12h (sauf sa) – 18h

EQUALIZER(2014) vf 2h14 18h45 (sauf ve et sa) – 21h15 (sa) - 21h45 (sauf sa)

MOMMY(2014) vo 2h18 13h (di) – 14h15 (sauf je et di) – 15 (je) – 17h45 – 20h45

LE LABYRINTHE(2014) vf 1h54 10h15 – 12h45 – 15h15 – 17h45 – 19h30 – 22h

LOU ! JOURNAL INFIME(2014) 1h44 11h30 – 13h45 – 16h – 18h15

TU VEUX OU TU VEUX PAS (2014) 1h28

10h30, 12h30, 14h30 et 16h30 (sauf me)11h30, 15h45 et 17h (me) – 18h30 – 20h30 – 22h30

ANNABELLE(2014) vf 1h39 15h30 – 17h45 – 20h – 22h15

HORNS(2014) vf 1h59 15h15 (ve) – 15h30 (sa) – 16h15 (sauf ve et sa) – 21h15 (sauf sa)

ELLE L’ADORE(2014) 1h44 10h45 et 13h15 (sauf ve) – 11h (ve)

PAPA WAS NOTA ROLLING STONE(2014) 1h39

13h15 (ve) – 13h30 (sauf ve et di)

LUCY(2014) vf 1h30

10h15 et 17h (ve, sa, lu et ma) – 11h et 15h45 (je)12h et 16h30 (di) – 12h15 (sauf je et di)

HIPPOCRATE(2014) 1h42 13h (ve) – 13h15 (sa) – 14h (sauf ve et sa)

LA BELLE ET LE CLOCHARD (1955) vf 1h15 11h – cycle “classiques Disney”

SAMBA(2014) 1h59

D’Éric Toledano et Olivier Nakacheavec Omar Sy, Charlotte Gainsbourg

Un Sénégalais peine à joindre les deux bouts en France.Il rencontre une cadre au bout du rouleau.

11h15 – 14h (sauf sa) – 16h30 – 19h (sauf je)20h15 – 21h30 / : je 19h – sa 14h

NINJA TURTLES(2014) vf 3D et 2D 1h41

De Jonathan Liebesmanavec Megan Fox, Will Arnett

Quatre tortues humanoïdes combattent le vilShredder aux côtés de la reporter April O’Neil.

3D : 15h30 – 17h45 – 20h – 22h152D : 11h – 13h15

LES BOXTROLLS(2014) vf 3D et 2D 1h36

Film d’animation de Graham Annableet Anthony Stacchi

Un orphelin est recueilli par de gentils êtres vivantdans les égouts. D’après un livre pour enfants d’Alan Snow.

3D : 10h30 – 17h15 – 19h2D : 12h45 – 15h

BALADE ENTRE LES TOMBES (2014) vf 1h44

De Scott Parkavec Liam Neeson, Dan Stevens

À New York, un ancien flic en marge de la loi est recrutépar des barons de la drogue menacés de mort. 11h45 – 14h15 – 16h45 – 19h15 – 21h45

LA LÉGENDE DE MANOLO(2014) vf 3D 1h35 Film d’animation de Jorge R. Guiterrez Manolo, jeune rêveur mexicain, doit affronter ses peurs

pour conquérir sa bien aimée et sauver son monde. Avant-première dimanche à 14h

ON A MARCHÉSUR BANGKOK(2014) 1h33

D’Olivier Barouxavec Kad Merad, Alice Taglioni

Deux journalistes enquêtent sur la retransmissionvisuelle des premiers pas de l’homme sur la Lune. Avant-première vendredi à 20h

CINÉ GAUMONT 5, bd de Belfort, Amiens / 08 92 69 66 96 # 181 (0,34 € la min) www.cinemasgaumont.com

JDA Métropole ■ n° 733 ■ 15 octobre 2014 ■ 15

Jean-Pierre Bergeon aime : : un peu - : beaucoup - : passionnément - : à la folie - : pas du tout

CINÉ ORSON-WELLES place Léon-Gontier, Amiens / 03 22 97 79 77www.maisondelaculture-amiens.com

REFROIDIS(2014) vo 1h56

D’Hans Petter Molandavec Stellan Skasgard, Bruno Ganz

À la mort de son fils par overdose, un conducteurde chasse-neige norvégien se fait impitoyable justicier.

me 19h / je 14h / ve 16h30 – 21h30di 19h / lu 21h30 / ma 19h

THE TRIBE(2014) vo 2h12

De Myroslav Slaboshpytskiyavec Grigoriy Fesenko, Yana Novikova

Un sourd et muet intègre un internat spécialisé.Il va devoir s’y battre. Film en langue des signes.

me 21h15 / je 16h15 / ve 19hsa 21h15 / lu 19h / ma 16h30

UNE VIE TOUTE NEUVE(2009) vo 1h32

D’Ounie Lecomteavec Kim Sae-ron, Park Do Yeon

Séoul, 1975. Jinhee, 9 ans, est placée par son pèredans un orphelinat catholique. Une dure séparation.

je 19h – Débat avec l’association Enfanceet Famille d'Adoption.

UN HOMME TRÈS RECHERCHÉ(2014) vo 2h02

D’Anton Corbijnavec Philipe Seymour Hoffman,Rachel McAdams

Un musulman tchétchène illégalement immigré à Hambourgest pris dans les filets de la guerre contre le terrorisme.

me 16h / je 21h30 / ve 14h / sa 19hdi 16h30 / lu 16h30 / ma 21h15

WINTER SLEEP(2014) vo 3h16

De Nuri Bilge Ceylanavec Haluk Bilginer, Melisa Sözen

Ayden, ancien acteur, tient un petit hôtel en Anatolie.Quand l’hiver vient, lui et sa petite famille se déchirent. sa 15h30

Ciné-Filous

À LA POURSUITEDU ROI PLUMES(2014) vf 1h18

Film d’animation d’Esben Toft Jacobsen Vivant avec son père pêcheur à bord de leur bateau,Johan apprend l’existence du mystérieux roi Plumes. 14h (me, sa et di) / 15h (lu et ma)

COUCOU NOUS VOILÀ !(2014) 32 mn Films d’animation de Jessica Lauren Quelques histoires en compagnie de Nounourse et de

ses amis en lien avec la vie réelle. En huit courts-métrages. 10h (lu et ma)

LES FANTASTIQUES LIVRES VOLANTS DE M. MORRIS LESSMORE(2011-2013) vf 50 mn

Films d’animation de L. Witz, A. Espigares, E. Henriod, L. Verrier, JP. Zaramella, W. Joyce, B. Oldenburg

Un programme de cinq courts-métrages sur lethème de l’imaginaire, avec des yeux d’enfants. 14h (lu et ma) / 15h30 (di)

CINÉ ST-LEU 33, rue Vanmarcke, Amiens / 03 22 91 61 23 www.cine-st-leu.com

SIDDHARTH(2013) vo 1h36

De Richie Mehtaavec Rajesh Tailang, Tannishtha Chatterjee

Siddharth, 12 ans, travaille loin de chez lui. Quand il disparaît, son père part à sa recherche à travers l’Inde.

me 18h15 / je 20h30 / ve 18hdi 14h30 / lu 20h30 / ma 18h15

FESTIVAL CHARLOT(1916-1917) muet 1h10

De et avec Charlie Chaplin,avec Edna Purviance, Eric Campbell

Trois courts-métrages de Charlot le vagabond,avec sa canne et son chapeau melon, période Mutual. me et lu à 15h (Ciné goûter)

Cycle Ingmar Bergman

SOURIRES D’UNE NUIT D’ÉTÉ(1955) vo 1h45

D’Ingmar Bergmanavec Ulla Jacobsson, Eva Dahlbeck

Fin du XIXe siècle. Une actrice invite chez ellesdeux de ses anciens amants, un comte et un avocat. me 20h30 / di 17h

LE SEPTIÈME SCEAU(1957) vo 1h36

D’Ingmar Bergmanavec Gunnar Björnstrand, Max von Sydow

Un chevalier de retour des Croisades rencontre la Mort.Une partie d’échecs débute pour la vie du chevalier. je 18h15 / di 19h30

LES FRAISES SAUVAGES (1957) vo 1h31

D’Ingmar Bergmanavec Victor Sjöström, Bibi Anderson

Un professeur vieillissant prend conscience, faceà sa mort imminente, de la vacuité de son existence. ve 22h

LA SOURCE(1960) vo 1h29

D’Ingmar Bergmanavec Max von Sydow, Birgitta Valberg

Une jeune fille et sa servante partent brûler des ciergesà l’église. Sur le chemin du retour, un drame guette. sa 20h / lu 18h15

PERSONA(1966) vo 1h25

D’Ingmar Bergmanavec Bibi Anderson, Liv Ullmann

Alors qu’elle prend en charge une actrice muette,une infirmière subit des troubles identitaires. ve 20h / sa 17h30 / ma 20h30

SCÈNES DE LA VIE CONJUGALE(1973) vo 2h50

D’Ingmar Bergmanavec Liv Ullmann, Erland Josephson

Dix années dans la vie d’un couple. Remontage pourle cinéma d’une série TV de six épisodes de 50 minutes. sa 22h

SONATE D’AUTOMNE(1978) vo 1h39

D’Ingmar Bergmanavec Ingrid Bergman, Liv Ullmann

Réunion de famille entre une mère, célèbre pianiste, etses deux filles, qu’elle n’a pas vues depuis plusieurs années. sa 15h

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