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Pan info n°56 octobre 2010

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La revue de l'amicale Pan European

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Page de couverture: Arssouillus Claudius en Corse (Photo JPLP)

S O M M A I R ES O M M A I R EEdito

BienvenueLa légende des chevaliers

..........

..........Découverte du Cotentin

..........

..........Les Ardennes Belges

..........Entre Lot et Garonne

..........

..........La Corse suite...

HommageLes musts de la Boutique

Le Conseil d‛Administration

Chers Amicalistes,

Ce qui est génial à l‛Amicale à l‛automne, c‛est qu‛il y a l‛assem-blée générale.Cette occasion de nous retrou-ver en grand nombre est à cha-que fois une très belle fête.Bienvenue à toutes et tous pour ce moment formidable.Les pages de ce Pan Info ne suffisent pas à publier toutes les balades de la saison écou-lée.Une saison riche de nombreu-ses balades et de nombreux nouveaux organisateurs.Les articles en attente seront donc les rayons de soleil du numéro de janvier.En attendant, restez vigilants car la presse moto laisse entendre qu‛une nouvelle évolution de notre moto favorite serait en prépara-tion.De quoi agrandir encore la grande famille que nous formons déjà.Surveillez bien le programme des balades. Nationales ou régiona-les, les organisateurs mettent du coeur à vous concocter la saison 2010/2011.

Très amicalement,Pascal Gallais.

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ORANGEGUILLERMAIN

GIBARDDEUDON

TROUILLETGUILLARDMORNAS

SylviaNicole

......SandrineDanielleIsabelle

......

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Classement par date

d‛inscription

AquitaineRhône-Alpes

Champ-ArdennesNord

Île de FranceÎle de FranceÎle de France

18/09/2010

LantonMeyzieu

Marigny le ChatelWancourt

RungisParis

Neauphle-le-Vieux

Nous sommes heureux de vousaccueillir au sein de l‛amicale

RogerJean Pierre

AlainOlivierAndré

StéphanJean-marc

Ils étaient unis par la moto, maintenant ils le sont par le mariage.

L‛Amicale félicite Philippe

et Marie-Christine

GOLDBLUM

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L’hiver a été long, mais l’été est prometteur si on se fit à cette balade du 27 juin .

Le rendez vous a été donné sur l’esplanade du château de Vincennes. - Tiens « château », y a-t’ il un rapport avec le titre ?? 8h30 - température 20 ° - Ça promet…Tous les équipages sont là - par-don, tous les chevaliers sont là et avec leurs belles - enfin presque tous, les absents sont excusés pour cause de mauvaise mé-moire.

8h45, après les consignes habituelles de sécurité, Alain et Corinne don-nent le départ. Joinville par les bords de Marne - Champigny sur Marne, comme d’habitude, la sortie de Paris et sa petite couronne, est laborieuse, pas tant par les voitures - les parisiens dorment à cette heure - mais par la quantité de feux tricolores.

’h l l’ f b l d d

L A L E G E N D E D E S C H E V A L I E R S

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La chevalerie est plusieurs fois divisée, mais aucun chevalier ne s’est re-trouvé errant et solitaire dans les bois alentours. L’application avec rigueur de la méthode donné dans le Pan Info N°53 Janv 2010- vous savez tous, un second de file au carrefour etc. - a été très efficace.Et oui, une piqure de rappel, cela n’a jamais fait de mal. Enfin, nous voilà sur l’A4. Comment ? Une balade sur autoroute… du jamais vu… vous nous réservez des surprises Alain et Corinne …. Bas-culement sur N104- pas en V, pas nécessaire - et après quelques kilomètres, sortie Lésigny et la nous chevauchons fièrement nos destriers avec nos princesses qui montent en amazones, en traversant les terres de nos hôtes, la Seine et Marne…. Oh ! Pardon, pardon je m’égare, cela doit être le soleil, car lui, contraire-ment aux parisiens, il est bien réveillé et il chauffe de plus en plus le bou-gre. - Férolles-Attilly - Chevry-Cossigny - Cossigny - Grisy-Suisnes - Cou-bert, de charmants petits villages paisibles pour se ressourcer, apparte-nant au canton de Brie-Comte-Robert, jusque Chaumes en Brie pour une pause, car certains che-valiers ont soif - je sais, toujours les mêmes diront les mauvaises langues. Il n’em-pêche, une pause attendue, dans une taverne sympathique ou nous avons pu nous rafraichir les gosiers sans crainte pour

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nos montures car elles étaient bien parquées. Un enclos privés et balisés. - Rrreeessspect Alain et Corinne. Bien, il faut repartir, il y à encore un peu de route à faire. Certains en profitent pour faire tomber l’armure – ah ! Ça y est, cela me reprend, le soleil, encore lui – je voulais dire le blouson, bien sur. Aubepierre - Gastins - La Croix en Brie - Vieux Champagne - Cucharmoy – Vulaines-Lès-Provins et Provins, la cité médiévale. Une halte pour nous ripailler et festoyer.

Alignement de nos pur-sang à l’entrée de la ville, obligés, de vrais cheva-liers se reconnaissent au respect de leurs montures et toc… La montre ne nous à pas permise de visiter cette ville qui depuis le 13 dé-cembre 2001 est sur la liste du patrimoine mon-

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dial de l’UNESCO, d’autant plus, que Michel et Joëlle offraient un pot pour la naissance de leur petit- fils - obligés de se soumettre, encore une fois le respect de la chevalerie. Donc di-rection l’auberge et puis, cela nous donne une oc-casion pour revenir dé-couvrir cette ville qui n’est pas très loin, 80 km au sud de Paris, trois galops de des-trier et vous y êtes.

Excellent choix de Corinne et Alain pour l’auberge, bonne ri-paille, avec comme à son habitude, une am-biance, comment dirais je... Moyenâgeuse, c’est cela, moyenâgeuse.Et pour parfaire la digestion, nos hôtes nous avaient programmé un petit divertissement aux pieds des fortifications de la ville. Un spectacle équestre médiéval. Vous savez, le preux chevalier qui vient sauvez sa princesse qui est enlevée par les méchants - enfin comme Kaameloot quoi… Y a des fois, je me demande si vous ne le faites pas exprès pour ne pas comprendre- blague à part, cela représente le combat de Thibaud IX, Comte de Cham-pagne.Bravo aux comédiens/cascadeurs, car faire un spectacle avec cette chaleur (35°-40°) endossés d’une armure (pour de vrai cette fois) et tout cela

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dans la poussière, moi je dis rrreesspect................

Déjà 16h, que çà tourne, juste le temps de faire une photo du groupe au pied de la porte de la ville et nous voila enfourchant nos montures- pour rester dans le thème. Direction Sancy les Provins et là vous me croyez, vous me croyez pas, nous sommes invités chez dame Corinne et Sir Alain dans leur château privé, s’il vous plait.Rafraichissements à volontés, sur des relax, à l’ombre aux pieds des ar-bres. Nous ne pouvions rêver mieux. Et blablabla… et blablabla… on refait le monde, vous savez ce que sait, mais la montre est là, toujours la montre, 18h, il est temps de retourner chacun dans nos contrées et rentrer nos montures aux écuries.

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19h15, je viens de donner du foin à la mienne - ma monture, bien sur, tout de suite...quand même…Ah non, pas de ça chez nous…Enfin, je crois pouvoir me prononcer au nom de toute la chevalerie participante, un grand merci à Corinne et Alain pour nous avoir fait vivre une journée, euh…….laissez moi réfléchir…….« Chevaleresque » le mot n’est pas trop fort et je reste encore dans le thème.

Merci et encore félicitations à Joëlle et Michel de nouveau Papy - Ma-mie.

Votre serviteur René.

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Le week-end s‛annonçant estival le départ se fait dans une joie en-core plus forte.

La monotone autoroute fait place à une monotone nationale mais qu‛importe , il faut juste rallier le point de rendez-vous ce qui

est fait à l‛heure et en plus on est loin ( très loin même ) d‛être les derniers.

Toute la petite bande nous attend devant le resto de la 101ième Airborne.

Il m‛inspire bien ce petit resto. Pascal manque à l‛appel : il a crevé et rejoint

Caen pour faire réparer et il nousrejoindra en fin d‛après-midi.

Quand à Bernard il jouera l‛homme invisible de la balade.

Il est vraiment sympa ce pe-tit resto et 2 motards

anglais en sportive s‛y arrête pour prendre

un sandwich alors que nous en GT on s‛est tapé un vrai repas : 2 philosophies qui se retrouvent au même endroit.La magie du monde motard.

Mais assez man-ger on décolle pour le

phare de Gatteville le long de petites routes tantôt ensoleillées

tantôt dans la brume. Le phare nous apparaît dans le brouillard au bout

d‛une jetée on nous nous garons. Il a l‛air haut le bougre et il l‛est.

Mais on va pas se laisser arrêter par des marches. 100 premières tranquille , 100 autres ah on commence à sentir que ça mon-te

L k d ‛ t ti l l dé t f it d j i

Découverte du Cotentin

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puis les 50 suivantes à oui quand même et au bout des 365 on a les cuisses en béton. La haut on voit bien les motos en bas mais rien de la mer : marée basse ? Mer démontée ? Non brouillard bas ! Après une belle photo on repart en longeant la côte pour atteindre Cherbourg ou le soleil brille ( pas de parapluie en vue ). Sur le parking de l‛hôtel on croise la Royal Enfield ( 500 mono indien qui n‛a quasi pas évolué depuis un demi-siècle ) d‛un Irlandais. Pas un lâche de voyager avec ,à côté on passe pour des vrais déballonnés de rouler en Pan. Mais il n‛a pas de chambre et nous on en a trop (rappelez-vous Bernard). Je crois qu‛il n‛en reviens toujours pas de sa bonne fortune.Toute l‛équipe se dirige vers la Cité de la Mer , juste derrière l‛hôtel ( il a tout prévu Michel ). Visite intéressante , surprenante et magique. On en prend plein la vue au milieu des aquariums. En ressortant on retrouve Pascal qui vientd‛arriver avec un pneu tout neuf.Le précédent avait à peine 15 jours: le Pré-sident a les moyens ça se voit. Après un brin de toilette nous nous retrouvons pour le (très bon) diner. No-tre Irlandais nous rejoint pour passer une excellente soi-rée qui se ter-minerapar le verre de l‛amitié qu‛il nous offrira au bar de l‛hôtel. Il a fait le Portugal , l‛Espagne et la France pour rejoindre l‛Irlande avec une machine que certains hésiteraient à prendre pour aller chercher le pain. Je dis bravo Mossieurs , vous êtes un chef. Bref une première journée totalement réussie et ce n‛est que le début.

Corinne et Sylvain.

d mêm t b

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Je pourrais dire à mes petits enfants, j‛y étais : à la balade découverte du Cotentin, organisée par Michel TARDIVOT du 22 au 24 mai de l‛an 2010.

Non seulement, l ‛organisat ion était au top, et en plus, il a fait beau, juste une petite nappe de brouillard le di-manche matin.

Après un premiè-re journée sans problème, (voir compte-rendu de sylvain), nous attaquons ce di-manche matin 8h30, la face sud du Cotentin.

Comme un seul homme, toute l‛équipe est au garde à vous devant de sa ma-chine, prêts pour le départ à 8h45.

Après des adieux émouvants à notre pote L‛irlandais, nous embrayons, cap sur Barne-ville-Carteret.

Une minute plus tard, et 100 m plus loin, première halte, devant un superbe navire de croisière, qui s‛est amarré dans la nuit au quai, juste

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derrière l‛hôtel.Trois ou quatre photos plus tard, vrais départ cette fois pour la Pointe de La Hague, les paysages sont magnifiques, je ne sais pas si c‛est l‛Irlande qui ressemble à cette partie du Cotentin, ou le contraire, mais c‛est superbe, même Aramis le chien de Bernard et Catherine en aboie de plaisir.

Les virages de la route dite des Caps s‛enchaînent sur des points de vues magnifiques, le port Racine (le plus petit port fermé de France), les Treizes Vents, la descente sur Les Pieux, puis arrivée a Barneville-Carteret, pour un repas bien mérité, l‛ambiance est sympa et décontractée.

Encore une fois tout le monde est prêt pour une descente vertigi-neuse vers Gran-ville.

Ah ! Granville après la remi-se des clés de chambres, une petite douche, une grande bière au bar, quartier libre dans Gran-ville la superbe, les plus coura-geux (j‛ai les noms) partent pour un promenade sur les remparts de la vieille ville, le jardin Christian Dior et retour a l‛hôtel pour l‛apéro suivi d‛un co-pieux repas servi en terrasse, et oui il y a encore du soleil.

Une petite promenade digestive sur la jetée, clôture cette deuxième jour-née.

Lundi 7h00 c‛est Aramis la mascotte, qui me réveille, il a de la voix l‛animal.Petit déj et départ pour le château de Montfort, ou la châtelaine nous at-tend avec moult cafés et boissons .

1ere partie : visite culturelle des vestiges du château suivi d‛un très sympa musée interne au château, qui contient une réalisation d‛objets en bois à l‛échelle /1 réalisés par le Frérot de la châtelaine.

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2eme partie : séquence sport , la maîtresse des lieux, nous propose d‛es-sayer de marcher, avec des échasses pourquoi pas, c‛est facile qu‛elle a dit

la belle.Comme les vo-lontaires sont absents, je m‛y colle, pour un test grandeur nature.Devinez ?, ce qui devait ar-river arriva, le grand soleil, la gamelle ma-jestueuse avec saut périlleux sur le gravier de la cour, tout le monde est

mort de rire, sauf moi.La consolation, c‛est que je me suis fait soigner et dorloter par la belle, Mi-chel T…. (je masque le nom par soucis de discrétion), en bave de jalousie, la c‛est moi qui me marre.Pas besoin de SAMU ou d‛hélico pour le rapatriement du corps, juste un peu de vernis retiré sur le dessus des doigts et un petit bleu sur la main.Heureusement quelques km plus loin c‛est l‛auberge de ‘‛ l‛Ambiance‛‛pour la pose de midi et son kir sal-vateur en guise d‛antibiotique.Après le déjeu-ner à 100m de là, le haras de

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Saint Lo .Tout le monde est attentif aux explications de la guide, surtout ces mes-sieurs qui s‛intéressent de près au chapitre concernant le prélèvement de la semence des étalons, chaque matin à 10h00 une petite gâterie , le rêve quoi !.Mais comme toujours, les bonnes choses ont une fin, il faut se quitter.La bibise a Catherine/Corine/Colette/ etc etc .Une pogne virile aux hommes, une caresse au chien, et salut, bonne route et à la prochaine

Encore une fois Michel C.H.A.P.E.A.U. pour la balade.

DANIELLE et RENE.

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Les Ardennes Belges

En l’an de grâce 2010, Corinne de france et Sylvain le Valeureux déci-dèrent d’aller à la recherche du secret de «l’élixir des Moines» eau de

vie aux milles vertus et couleur d’ambre...ce grand secret n’était autre que la recette de ce précieux breuvage...elle était transmise de génération en gé-nération dans un coin reculé du pays de Belgique, dans le fin fond de la forêt ardenaise.Pour mener à bien leur quête, ils dépêchèrent leur fidèle serviteur «inter-net» pour répandre la nouvelle à travers tout le pays et ainsi quérir de

l’aide. C’est alors qu’une confrérie, également dési-reuse de décou-vrir le secret, se mobilisa et ré-pondit à l’appel; cette confrérie regroupait nom-bre de chevaliers chevauchant des montures parti-culières car tou-tes issues de la même écurie; el-

les alliaient puissance et élégance et bien que ses adeptes n’admettent que des chevaucheurs de ces fameux destriers nommés «pan», ils savaient aussi en accueillir d’autre comme les «gold» ou encore les «harley», tous aussi beaux...ils se regroupèrent et répondirent donc à l’appel...chacun pris le che-min menant au point de ralliement appelé «l’eau vive» où le gîte et le couvert leur étaient assurés; en ce 2 juillet 2010, 19 équipages arrivaient et s’instal-laient...la plupart d’entre eux avait emmené leurs alter égo féminin, afin de bénéficier de leur art de la prévoyance et de leur sagesse! Corinne de France

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et Sylvain le Valeureux furent bien heureux de leur présence et un grand festin fut préparé en leur honneur...le soir, alors que le soleil était couché de-puis longtemps, Sylvain le Va-leureux exposa sa stratégie...à l’aurore, le len-demain, cha-cun s’équipa et chevaucha sa monture ...quel beau specta-cle que de voir s’ébrouer et s’emballer ces fiers destriers aux naseaux fumant d’excitation...la première étape les conduisit dans les entrailles de la terre, un endroit dénommé «les grottes de Han»;une légende laissait en-tendre que le secret pouvait s’y trouver; en haut d’un minaret ou au coeur

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du trophée...ils visitèrent chaque salle, étudièrent chaque concrétion, sondèrent le styx, écoutèrent

chaque resonance...mais rien...un coup de ca-non retentit, ils sortirent vivement respirer à l’air libre...un orage éclata; ils s’abritèrent pensant que les dieux étaient en colère mais l’alerte fût de courte durée et ils purent repartir; ils chevauchèrent longtemps, traversèrent maint villes et villages, tous plus beaux les uns que les autres; ils ap-précièrent les magnifiques paysages, ad-mirèrent les élevages, humèrent l’air pur des campagnes...mais ils leur fallaient

reprendre des forces; aussi se firent-ils une halte dans une taverne renommée «la taver-

ne du Bocq» où les tenanciers brassaient eux même une cervoise revigorante appelée «bière»; ils

furent bien accueillis par une jolie donzelle, pas très farouche, qui les escorta tout au long de leur visite; à un moment dans son discours, elle révéla qu’il existait bien une bière trappiste que seuls les moi-nes étaient autorisés à brasser mais les secrets de fabrication demeuraient bien gardés! ils se consolèrent en dégustant cette fameuse bière avant de remonter sur leurs montures et c’est bien fatigués qu’ils rentrèrent ce soir là...le lendemain Sylvain le Valeu-reux les conduisit au château de Bouillon, après une halte au tombeau du géant où chacun se recueillit un instant...por-tant haut leurs couleurs, les montures furent toutes ali-gnées au soleil, flamboyantes, sur le parvis de la citadelle; les chevaliers et leurs compa-gnes, aidés par un moine malicieux, réussirent à passer les ponts-levis, dé-

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jouèrent les pièges des mâchicoulis, évitèrent la torture; une croix creusée dans le sol les intriguèrent mais ils ne pouvaient rester plus longtemps; ils furent surpris par une envolée de vautours; certains restèrent en arrière et c’est grâce au cri de ralliement de Corinne de France qu’ils purent gagner les issues; ils prononcèrent alors le mot de passe «salut la vieille» que le moine leur avait livré,pour sortir, remonter sur leurs montures et déta-ler prèstement...ils n’avaient toujours pas découvert le secret, mais sans se décourager, le nez au vent, ils sillonnèrent campagne et forêt avant de s’arrêter dans une auberge perdue au coeur des bois pour se sustenter; ils apprirent alors que non loin de là existait une abbaye «l’abbaye d’Orval» où des moines trappistes brassaient leur bière ; s’agissait-il du fameux «élixir des moines»?le secret demeura entier...et heureusement car, finalement, le voyage n’était-il pas plus beau que la quête? les chevaliers ont découvert un pays magni-fique, luxuriant, fleuri, calme...ils étaient bien loin de leur vie trépidante en leur fief..alors, le coeur joyeux et l’esprit en fête, ils remercièrent Corinne de France et Sylvain le Valeureux pour cette belle aventure et chacun reprit le chemin de sa propre destinée...reviendront-ils?peut-être...

Fabienne.

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Entre Lot et GaronneJeudi après-midi, 15 juillet 2010.

Rendez-vous pris à 13h30 gare de Marmande.Comme d’habitude tout le monde à l’heure et de bonne humeur pour un départ vers SIORAC.

N’ayant toujours pas le droit de conduire la moto nous sommes venus en voiture, heureusement car Momo décide le matin même de faire avec Annie quelques emplettes au marché du coin, le coffre rempli de cagettes de tomates, melons, cassoulet, foie gras et j’en passe nous sommes fi n prêt pour le départ.

Direction Monfl anquin par des petites routes sympas, une pause au bar des Arcades, bienvenue au vue de la chaleur ambiante. Après ce moment de détente ou l’ambiance générale est aussitôt au beau fi xe, nous reprenons la route vers Villeréal puis direction Biron où nous découvrons son château, belle forteresse dominant les champs aux confi ns du Périgord, nous passons à Monpa-zier (une des plus belles bastides à l’architecture médiévale crée en 1284 classée ‘grand site national’).

Puis nous nous dirigeons vers Belves, Vaurez et arrivée à l’hôtel ‘Le relais du Périgord Noir’ à Siorac pour l’installation dans nos chambres respectives.

Comme il fallait si attendre avec une or-ganisation s’en faille du ‘’Glaude’’ et de son équipe un apéri-tif de bienvenue nous attend à peine des-cendu des chambres. Un grand merci aux organisateurs pour ce merveilleux week-end.

PS. Ah oui j’allais oublier, Momo étant une mo-tarde dans l’âme, elle me planta aussitôt avec ma caisse pour-

rie pour rejoindre un mec en gode ou gold je sais plus, dont je ne divulguerai pas le nom par discrétion mais qui à une 1800 noir et qui vient de la petite Sibérie dans le Jura.Je le remercie tout de même vivement car le lendemain, apparemment déçu ?, il me demanda de chevaucher derrière lui en refourguant ma Momo à une autre Gold noir mais Parisienne cette fois

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ci, n’ayant plus monté sur une moto depuis quelques semaines vu mon handicape, je m’exécute avec une légère appréhension ayant plutôt l’habitude de tenir les commandes.

Au bout de quelques kilomètres, mon chauffeur se soulève de son siège à plusieurs reprises en me tendant son fessier, peut être que sa passagère habituelle avait la manie de le masser ou autre, bref je fi s mine de ne pas comprendre.

Mal m’en pris car le soir venu les orga-nisateurs signalent que le retour vers l’hôtel est libre.

Ni une ni deux voici nos deux ‘Alains ‘ pour ne pas les ci-ter qui font racler les cales pieds sur la route du retour, quelques virages après, je me sur-prends à vouloir lui faire l’intérieur de mon fauteuil arrière mais ça ne passe pas ???. Je suis pourtant sûr d’avoir freiné plus tard que lui en prenant la corde.

Bref étant pour une fois à la place de la passagère, hé oui ! tout arrive un jour ou l’autre et encore moi ce n’est pas par affi nité mais bien par obligation malgré les dires de certains. De plus je dois en remerciement faire le compte rendu de cette journée à sa place, soit disant pour la rééducation de ma main.

Je profi te donc d’avoir le crayon pour les féliciter toutes ces femmes, pour leur courage, leur confi ance dans ces énergumènes, quand elles laissent paisiblement faire ces fous furieux du gui-don qui comme des gamins ne songent qu’à ce ‘tirer une bourre’ faute d’autre chose et qui mettent ‘Gazzzz’ comme le dit si bien le René.

A toutes ces grandes dames vous avez pour toujours mon éternel respect. Moi en attendant j’vais me commander une mousse.

Pour fi nir la place étant limité, un grand merci aux Alains surtout le mien qui à du subir le soir venu, des vannes plus que douteuses de ce qu’on appelle des copains.

A bientôt sur les routes, les Normands (Momo et Thierry)

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Vendredi 16 Juillet.

8 heures pétantes, presque tous les motards sont prêts, certains retardataires avalent en vitesse la dernière goutte de café. En tête Claude et Annie, moto ronronnante, attendent patiemment que la fi le se forme. Nous voilà partis pour une dizaine d’heures sur les petites routes du Périgord, le matin et frais

mais du grand ciel bleu et du soleil au-dessus de nos têtes, direction : Roca-madour, juste avant une petite pose café, histoire de redonner du tonus à ceux qui ont refait le monde jusqu’à tard dans la nuit ! .Nous suivons les méandres de la Dor-dogne, c’est un véri-table enchantement, par la richesse de son histoire, de ses sites, nous allons de falaises abruptes, de

grottes et de châteaux dont la pierre calcaire blonde donne une couleur particulièrement belle à cette nature sauvage.C’est par l’Hospitalet que nous arrivons à Rocamadour. La ville occupe un site extraordinaire au dessus de l’Alzou, les vieilles maisons, les sanctuaires et les fortifi cations, telles des sentinelles fi gées depuis des millénaires, montent la garde accrochées à la roche. Un guide nous attend et nous fait découvrir les merveilles de ces lieux : la basilique St Sauveur érigée sur la crypte de St Amadour, côtoie la chapelle miraculeuse. La chapelle St Michel, au mur extérieur décoré de deux fresques bien conservées qui voisine avec les chapelles de saint- Jean-Baptiste et de Saint -Anne Des remparts du château, accolé à un fort du XIV ème siècle, s’offre à notre vue un vaste pano-rama sur le causse. C’est à regret que nous quittons les lieux, l’heure tourne, nous reprenons l’ascenseur dans l’autre sens. Après toutes ces émotions, la perspective d’un bon repas nous met l’eau à la bouche.Nous suivons les méandres de l’Alzou et arrivons à Gramat. Pas le temps de s’éterniser, après un repas savoureux et copieux, nous reprenons la route encadré par Claude et Annie qui l’ouvre, Marc et Evelyne qui la referme, direction le Gouffre de Padirac, je ne sais pas si c’est le bon vin qui me donne chaud, ou si c’est le soleil qui tape dur, mais ça-chauffe, le frais du gouffre sera le bien venu.Tout le monde vers l’ascenseur, sauf Alain et Mimi, ce dernier n’est pas accepté car ce n’est pas un animal préhistorique ! .Descente vers les entrailles de la terre, à 103 mètres de profondeur légende et paradis naturel

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s’entremêlent pour faire du Gouffre un lieu des plus insolites. Après avoir longé un souterrain assez sombre nous débouchons vers un embarcadère, nous nous dispersons sur des barques, certain ont le pied marin plus que d’autre, nous voguons lentement sur les eaux limpides de la rivière de Padirac, au fur et à mesure que nous nous enfonçons, nous pouvons admirer les parois de dentelles sculptées par l’érosion, apparaît devant nous le Lac de la Pluie avec une impressionnante stalactite de 60 mètres de haut la « Grande Pendeloque ». Nous mettons pieds à terre à cause du rétrécissement de la Rivière Plane, là des concrétions aux formes les plus originales ressemblant à des champignons, des candélabres, des méduses. Nous poursuivons notre route en montant un grand nombre de marches, nous poursuivons notre visite vers la salle du Grand Dôme dont la beauté vaut en particulier le coup d’œil, une voûte de 94 m de haut ! et son lac suspendu, elle se caractérise par ses piles d’assiettes naturelles et ses cascades de calcites. Silence, nous en prenons pleins les yeux !.Un petit peu de légende : L’antre du diableLe site est réputé pour la légende diabolique qui lui est associée. Pendant des siècles, le site attisa les craintes et ce n’est pas le masque diabolique sculpté dans la roche au niveau du Lac suspendu qui améliora les choses. La légende raconte que Satan fi t la ren-contre de Saint-Martin et le défi a afi n de récupérer son sac d’âmes damnées. Le diable frappa du pied le sol et un trou béant apparut. Saint-Martin franchit l’obstacle avec sa monture et remporta donc le défi . Satan disparut de rage au fond du gouffre. C’est ainsi que ce lieu fut considéré com-me étant un des ac-cès pour atteindre les enfers. Pendant très longtemps le gouffre fut déserté à cause de cette légende. Oui mais nous les Pa-nistes nous n’avons peur de rien, si…de tomber en panne d’es-sence !.Après toutes ces émo-tions retour vers la lu-mière et le soleil. Retour à notre hôtel par ces magnifi ques petites routes, pour Siorac en Périgord sans oublié de faire le plein de nos montures en rentrant. Après une bonne douche, repas vers 20 heures quinze, un apéritif bien mérité nous attend, suivi d’un bon repas servit avec dextérité par une ravissante demoiselle, ou chacun et chacune dans un brouhaha indescriptible commente la balade de la journée, heureux de se retrouver tous ensemble dans une belle amitié.

Michèle, Alain et MIMI.

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Première sortie nationale pour nous : le premier contact à midi tapante sur le parking de la gare de Marmande, et nous sommes tout de suite invité à nous restaurer par le petit groupe arrivé avant nous.Départ à 14h, direction l’hôtel à Siorac, où par pure coïncidence, nous avions fait une étape l’an passé, le 15 juillet exactement (la même date !)Installation : les clés de la chambre, une douche, et un plongeon dans la piscine. Nous faisons progressivement connaissance avec les « anciens ». Tout le monde semble se connaître, mais nous nous intégrons facilement.

Samedi 17 juillet.Départ à 8h30 (des essais de négociations pour retarder l’horaire, mais refus catégorique du susdit chef d’orchestre…).Direction Beynac : arrêt photos de quelques minutes, les équipages du weekend et de la journée nous rejoignent : les « bonjours » de rigueur, à peine le temps de papoter que le célébrissime « Départ dans cinq minutes !! » résonne.Des petites routes sinueuses, ombragées, où se faufi le le train de 25 motos : sacré cortège, qui ne passe pas inaperçu dans la traversée des différents bourgs.Des panoramas que les passagères (eh oui, aucun pilote féminin) commentent, et que les pilotes essaient de regarder d’un regard furtif, car les lacets s’enchaînent à bon train.La Roque Gageac : nouvel arrêt photos de quelques minutes. « Départ dans cinq minutes !! », et c’est reparti !Sarlat : beaucoup, beaucoup de monde, le marché : parkings complets ou non disponibles, rues barrées, grosses diffi cultés pour trouver des places de stationnement.On y arrive tout de même.L’organisateur annonce: Deux groupes :- le premier visite Sarlat- le second remonte en moto, et visite une distillerie »A six équipages, nous choisissons de nous extraire de la foule des touristes, et nous ressortons de Sarlat pour aller visiter cette distillerie artisanale « La Salamandre ».C’est une petite entreprise dont l’origine est familiale, qui achète des fruits (essentiellement des

prunes, mais aussi des abricots, des fraises, les mûres, des cerises, des noix, …) aux producteurs de la région, pour en faire des eaux de

vie, des liqueurs, des vins cuits que nous avons eu l’occasion de déguster… avec modération (eh oui, il était avec nous, Modéra-

tion). Y en a même qui en ont profi té pour faire le ravitaillement, en essayant de se justifi er : « c’est pour offrir… ». Enfi n, on va essayer d’y croire… Mais là, je suis mauvaise langue (ou mauvaise plume).Midi : regroupement au restaurant « Le Bareil », cuisine tra-ditionnelle : repas ENORME !!! deux entrées, plats de résis-tance copieux, plateau de fromage absolument fabuleux, et dessert astronomiquement gastronomique. J’ai eu beaucoup

de mal à repartir, me sentant bedonnant, quand a retenti de nou-veau le fameux « Départ dans cinq minutes !! ».

La Roque St Christophe, visite guidée du site troglodyte très ins-tructive, où entre autres j’ai été ravi de rencontrer l’homme qui a vu

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l’ours!Pause au bar au pied des falaises, pour un ra-fraîchissement avant le retour à l’hôtel pour les plus fatigués (piscine ou bar).Un petit groupe d’irré-ductibles choisissent de compléter la journée en retournant vers Beynac à bon train (en suivant un guide qui n’y allait pas…) pour un assaut du château.Le point de vue depuis le château est inoubliable, mais se mérite : chemi-ses trempées de sueur,

souffl e haletant des 150m de grimpette dans les ruelles escarpées pavées du village, contents d’avoir éliminé une partie du repas de midi pour pouvoir remanger le soir…Le groupe entier se reconstitue à l’hôtel vers 19h : douche/piscine, et apéro servi en l’honneur des nouveaux mariés.Balade digestive dans les ruelles de Siorac pour la dernière soirée, se concluant par l’installation de « The Top Case » spécial Pan modèle 2011 en avant première mondiale du catalogue Honda: grande évolutivité, en matériau noble, ne détruit pas la couche d’ozone !

Dimanche 18 juillet.De bonne heure, sur le parking, pour charger les sacoches et les Tops Cases (pour ceux qui en ont un).Des petites routes sympathiques, des montées suivies de descentes, des virages à droite suivis de virages à gauche, à une allure modérée, comme si on voulait retarder le moment de la sé-paration qui se fera après le repas à St Rabier, d’où nous sommes repartis dans les derniers, pour profi ter jusqu’au bout du bout (pour une fois que l’on a pas eu à obéir au « Départ dans cinq minutes !!»).

En conclusion, pour une première sortie nationale, on a vraiment été vernis: tout y était, de la météo à l’ambiance, en passant par les visites, les menus (je suis au régime pour deux mois...). Le virus nous a touchés, et on va sans doute être obligé de participer à d’autres sorties pour vérifi er que celle-ci n’était pas une exception!Bravo et merci aux organisateurs; Claude, Annie, Marc, Évelyne, et merci cent mille fois à tout le monde pour leur sympathie et leur accueil qu’ils nous ont fait.

Claudie & Patrice.

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LA CORSE suite...C’est le retour…22 h, l’embarquement des motos est ouvert. Nous passons le contrôle devant les voitures … puis nous sommes cana-lisés par des «marins de cale sèche», une bande de fous qui gesticulent, qui hurlent et nous énervent. NON ! Ça ne va pas recommencer, nous n’allons pas retourner là dedans… Pas moyen d’y échapper, à contrecoeur nous sommes obligés de descendre au plus pro-fond du navire. Une grande cale est réservée aux motos, il faut descendre sur des caillebotis métalli-ques pleins de gasoil, on nous rassemble pour nous entasser d’un bord à l’autre en fi les contiguës de 10 ou 12 motos.

Rien n’est prévu pour sécuriser nos mon-tures, pas de point d’attache au sol et pas de sangle. Sur les béquilles latérales les motos sont serrées les une contre les autres. Si l’une d’entre elles tombe, c’est la catastrophe ! Plus de 200 belles machines sont re

groupées là : des Pans, des BMs, des Golds, des Harleys, des autres… il y en a pour 3 ou 4 millions d’Euros ! La totalité de la cale est bientôt remplie, il nous est diffi cile d’en sortir tellement nous sommes serrés, il y a du gasoil sur le sol entraînant quelques chutes.Tous les motards sont inquiets, c’est vrai qu’on les affectionne, qu’on les aime nos machines. Comment ça va se passer ?Un dernier regard avant de sortir, les vi-sages expriment une large gamme de sentiments : de l’angoisse à la colère…

Le lendemain matin…Les cars et les voitures ont déjà quittés le ba-teau lorsque l’on nous invite à débarquer. Dans la cale l’ambian-ce est bonne, aucun incident pendant la traversée.Dans la bonne humeur, un peu stressé tout de même, nous remon-tons vers le soleil et quittons le navire. La photo de groupe sur le port, les derniers au

revoir puis c’est la séparation. Des souvenirs plein la tête chacun retrou-ve le chemin de la maison.Merci à Lucette et à Max, à part ça, tout était parfait.

Annie et Serge MINARD.

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Merci à Max et Lucette pour nous avoir concocté une grande sortie, sans faille, qui restera gravée dans toutes les mémoires d’amicalistes qui étaient présents.Ils nous ont permis de découvrir «L’île de beauté» comme on a l’habitude de la nom-mer et elle le porte bien, c’est une vérita-ble «montagne dans la mer».C’est magnifi que, encore sauvage, c’est le paradis des routes de montagnes - encore que l’état de certaines laisse un peu a dé-sirer.Le paysage change après chaque virage et il y en a beaucoup de ces virages. Il était nécessaire d’être très vigilant, et c’est dans ces moments là que le poids de la Pan prend toute sa valeur, d’autant plus, que certains autochtones ne font pas dans la dentelle...Plein les yeux je vous dis, la carte SD de l’appareil photo de Brigitte a chauffé, plus de 800 photos (avant tri)

Une bonne nourriture: Coppa, Lonzu, Fi-gatellu, Brocciu, Canistrelli... et des biè-res... des bières... des bières délicieuses, notamment la Pietra. Je crois que tous les amicalistes, ou presque, y ont gouté.Des gens accueillants, (parait que ceux du sud le sont encore plus - A tester - d’ac-cord Max.La Corse est une terre de contrastes.Encore bravo et merci à Max et Lucette pour le choix du point de chute - appar-tement confortable, restauration bonne - poids en hausse mais chuuuttttt - et une ambiance FORMIDABLE.

Brigitte et René CATHELINE.

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LA CORSE 2010

«Ile de Beauté» qu’ils disaient… z’avaient pas tort. La Corse est tou-jours aussi époustoufl ante ! Les pay-sages, les petites routes sinueuses à souhait avec leurs lots de vaches et de cochons, la mer à bonne température, la charcuterie, le vin blanc, puis… les Corses !

Et pour «corser» l’affaire, en cette fi n mai-début juin, il y avait aussi des Amicalistes. Des adhérents de la première heure, comme Hélène et Christian, à l’Amicale depuis 1993, jusqu’à Sylvie et Bernard qui ont signé leur bulletin d’adhésion sur place !!! Bref, un groupe anti-morosité avec lequel nous avons passé une excel-lente semaine… Vivement 2012 ! Max et Lucette, où est-ce qu’on s’inscrit ???

Ariane et Philippe ASSERAY.

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A la mémoire de Monique CHAMOUX : Nous sommes allés, chevauchant nos motos le samedi 8 mai 2010, à la rencontre de notre amie Monique, pour déposer, au nom de tous ses co-pains de l’Amicale Pan European, une plaque-souvenir commémorant son appartenance à un groupe de passionnés qui ne l’oublient pas.Accompagnés de Christian CHAMOUX, de sa fi lle Sandra, de son frère et sa femme, de notre Président Pascal, notre Trésorier Frédéric, et Jean-Mi-chel, qui sont venus en moto malgré un temps frais et humide, la plaque a été déposée avec beaucoup d’émotions et de souvenirs pour tous. J’ai perçu un parfum discret, que nous avions coutume de humer, Monique, Lucette et moi lors de nos ballades pédestres matinales avant le départ des motos : c’était le parfum des Immortelles, petites fl eurs discrètes que vous avez tous sentis lors de nos ballades moto dans le Sud. J’ai été surpris car il n’y avait qu’une pelouse tondue… c’était peut être un courant d’air, un peu de nos souvenirs des bons moments passés en-semble tout au long de ces années.

So long, Monique…ton souvenir reste ancré dans nos cœurs.

Christian BROTEL.

Hommage

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