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URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Thierry COURCETDSI au SDIS 64
Lundi 4 novembre 2013
Master Management des Organisations et des Technologies de l’Information (MOTI)
Présentation des SDIS
Le service départemental d’incendie et de secours (ou SDIS) est l'établissement public à caractère administratif doté d'une assemblée délibérante gérant les sapeurs-pompiers au niveau du département.
On désigne chaque SDIS en lui ajoutant le numéro de département, par exemple le SDIS 64 désigne le service départemental d'incendie et de secours des Pyrénées-Atlantiques.
Paris (75) et la petite couronne étant défendus par les militaires de la brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), il n'y a pas de SDIS dans ces départements. Par contre, le SDIS 13 (Bouches-du-Rhône) cohabite avec les militaires du bataillon de marins-pompiers de Marseille (BMPM) qui a les mêmes prérogatives qu'un SDIS, pour la cité phocéenne.
Avant la loi de 1996, les sapeurs-pompiers évoluaient dans un système communal.
Organisation des SDIS
Le SDIS est soumis à une double autorité.La première est une autorité opérationnelle gérée par le préfet et le maire en collaboration dans leur pouvoir de police respectif.La seconde est une autorité administrative gérée par un conseil d’administration, le CASDIS, qui comprend des conseillers généraux, des maires et des élus des établissements publics de coopération intercommunaux (EPCI).
Les SDIS sont classés en cinq catégories, suivant (critères de l'arrêté du 2 août 2001) : la taille de la population qu'ils défendent ; leur budget annuel ; le nombre de sapeurs-pompiers professionnels (SPP) ; le nombre de sapeurs-pompiers volontaires (SPV).
Les SDIS de première catégorie sont les plus importants. En 2010, on comptait : 20 SDIS en 1ère catégorie ; 24 SDIS en 2ème catégorie ; (le SDIS 64 est un SDIS de catégorie 2) 23 SDIS en 3ème catégorie ; 20 SDIS en 4ème catégorie ; 9 SDIS en 5ème catégorie.
Moyens des SDIS
L’effectif des sapeurs-pompiers au niveau national est de 248 300 dont :
40 500 SPP (16%) (soit environ 1 SPP pour 1600 hab.) 195 200 SPV (79%) (soit 1 SPV pour 300 hab.) 12 200 militaires (5%) Les PATS sont 11 200.
Le budget en global des SDIS est de 4 751 M€.
Ce budget est réparti de la manière suivante :
3 852 M€ en fonctionnement899 M€ en investissement
soit ~80€ par habitant.
Les SDIS sont financés à hauteur de 4 141 M€ : 57% par le Conseil général, 43% par les communes et EPCI.
Matériels et casernes
Sur le plan national, la flotte de véhicules des SDIS est composée de :
6 153 VSAV (véhicule de secours aux victimes ou « ambulances »)4 163 FPT (Fourgon pompe tonne)4 370 CCF (Camion citerne feux de forêts)1 221 MEA (Camion échelle)
22 574 500 appels : 67% d’appels au 18 et 33% d’appels au 112
7 296 centres d'incendie et de secours en France (dont BSPP et BMPM) dont : 348 CSP2 869 CS2 577 CPI intégrés1 502 CPI non intégrés
1 777 084 jours de formation
68 594 visites d’ERP du 1° groupe
Page 6
Système d’information : par où commencer ?
Qu'est-ce qu'un audit ?
Un audit est un examen destiné à évaluer une situation donnée par rapport à des exigences internes (procédures) ou externes (norme, réglementation…). Il doit vérifier la conformité par rapport à ces exigences, mesurer l’efficacité des mesures en place et détecter les pistes d’amélioration éventuelles.
Les objectifs de l’audit
- déterminer la conformité où la non conformité des éléments du système aux exigences prescrites - déterminer l'efficacité du système mis en œuvre pour satisfaire les objectifs prescrits- donner à l'entreprise auditée la possibilité d'améliorer son système - satisfaire aux exigences réglementaires
L'audit interne
L’entreprise souhaite auditer sa propre organisation en interne, même si elle se fait aider par une société extérieure. Les auditeurs internes doivent au préalable avoir été formés. L’audit interne traduit ainsi la volonté de s’améliorer. Il vérifie la bonne application des procédures, la conformité aux exigences normatives, leur efficacité… L’audit interne accroit la confiance en interne.
Principes d'un audit ?
Les principes de l’audit
• Des principes doivent être respectés afin de garantir les résultats :• Déontologie : confiance, intégrité, discrétion• Impartialité : les divers documents produits par l’auditeur doivent refleter de
manière honnête et précise les activités auditées• Conscience professionnelle : les auditeurs doivent avoir les compétences et
l’expérience requise • Indépendance : les auditeurs sont totalement indépendants de la société auditée
et doivent agir en toute objectivité.
L’audit, quel qu’il soit, doit être compris comme un outil d’amélioration. S’engager dans une démarche qualité, instaurer un système de management par la qualité dans le but d’obtenir la satisfaction de ses clients, ne peut se comprendre que dans une optique d’amélioration permanente et régulière. Tout système doit subir des modifications, des évolutions pour maintenir ses objectifs ou s’adapter aux nouvelles exigences. L’audit est dans ce contexte un outil clé permettant de mesurer les progrès qu’il reste encore à faire.
Page 10
Audit
- Infra : 2 serveurs HP plus qu’amortis, réseau peu performant
- Application RH/Finance obsolète (SDL7 GFI)- Les données sont éparpillées dans des fichiers excel et
des bases access (+ de 400 bases access disséminées)- Pas de travail collaboratif (usage de la messagerie
quasi inexistant)- Les procédures de travail sont inexistantes ou trop
hétérogènes et on passe par le tout papier- Une équipe pas dimensionnée
- CONSTAT : ABSENCE DE SCHEMA DIRECTEUR
Point zéro
PLAN- Etablir un schéma directeur - prévoir les budgets- Structurer une équipe compétente en adéquation avec les enjeux et les missions- Déployer une infrastructure dimensionnée et pérenne- Urbaniser les applications métiers par un pilotage transversal du/des projet(s) : ERP contre grappe d’applications interfacées- Construire un système d’information d’aide à la décision
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Qu'est-ce qu'un schéma directeur (SDI) ?
C'est un plan prévisionnel, par exemple sur 3 ans, qui prend en compte l'existant (en termes de matériel, réseau, système d'information) afin de programmer les évolutions prévisibles (en termes d'organisation et de projets) et qui comporte un aspect budgétaire détaillé. Le plan possède généralement un volet stratégique, un volet équipements, sécurité etc.
Il peut être établi par un consultant sur la base d'un audit systématique.C'est un outil essentiel de pilotage pour un décideur.
Il n’y a pas de SDI type. En effet, le SDI dépendra, à la fois dans son contenu et dans sa forme de nombreux paramètres : le type d’entreprise concernée, l’environnement de celle-ci (S.I. existant), les métiers concernées, la place réservée à l’informatique, l’organisation Direction-DSI-utilisateurs, etc.
Page 13
Le SDI : Un cap et une feuille de route
Eléments structurants du SDI
En revanche, certains éléments seront communs à tous les SDI : - le SDI doit présenter un existant,- le SDI doit consigner les missions et les moyens accordés à la DSI,- le SDI doit intégrer des objectifs stratégiques et opérationnels,- Le SDI doit présenter les méthodes de travail,- Le SDI doit présenter un ensemble de projets dont les besoins doivent être
classés selon des priorités, les investissements justifiés, et des systèmes cibles définis,
- Le SDI doit offrir un cadre de référence intelligent et adaptable et doit intégrer les procédures à mettre en œuvre (réunions à organiser, comités à solliciter),
Le SDI est donc à la fois un outil de travail opérationnel pour la DSI et un référentiel pour la direction générale et les utilisateurs. L’élaboration du SDI est notamment l’occasion :
- de mener une réflexion sur l’intégration de nouveaux outils de travail ou de nouvelles technologies dans l’entreprise ; - de « repenser » l’organisation informatique et les méthodes utilisées ; - de préparer la mise en œuvre de chantier échelonnés dans le temps ou d’actions qui nécessitent une forte conduite du changement (ex : mise en œuvre d’une politique de sécurité du système d’information, ou refonte des applications métier) ; - de mener des actions de formation et d’information du personnel à tous le niveaux de l’entreprise, de communiquer sur la thématique informatique, …
Page 15
SCHEMA DIRECTEUR
1) ANNUAIRE LDAP et CARTOGRAPHIE DES PROCESSUS2) REFONTE DU SYSTEME D'INFORMATION ADMINISTRATIF et FONCTIONNEL (SIAF)3) DEVELOPPEMENT DE L'INFORMATIQUE COLLABORATIVE4) CREATION D'UN SYSTEME D'INFORMATION GEOGRAPHIQUE5) REFONTE DE LA PLATEFORME DE GESTION DES ALERTES (SIOPE)6) URBANISATION (Mise en place d'une plate-forme d'intégration d'applications)7) EVOLUTION DE L'INFRASTRUCTURE GLOBALE8) DEVELOPPEMENT D'UN SYSTEME d'INFORMATION d'AIDE A LA DECISION (SIAD)
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Page 16
MOYENS MIS EN OEUVRE
- Le projet est présenté aux élus en comité de pilotage. Le conseil d’administration vote une autorisation de programme qui est inscrite dans la convention avec le conseil général d’un montant 6,2 millions d’euros pour développer l’ensemble du schéma directeur qui sera intitulé « urbanisation des systèmes d’information ».
- Sur la période 2006-2008, les transmissions et l’informatique sont fusionnés et 4 agents sont recrutés pour renforcer l’équipe (1 responsable d’exploitation, 1 administrateur SIG, 1 secrétariat, 1 responsable de parc et du support).
RÊVE = BUDGET (€, ETP)
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Décisionnel
Applications
Infrastructure
Montée en compétencesDe l’organisation
Ordonnancement
Temps
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Page 18
Infrastructure
Problématique dans l’environnement sapeurs-pompiers
Fondations du système d’informationComme dans les métropoles les routes et les bâtiments sont les fondations de l’activité socio-économique, les réseaux et les infrastructures serveurs sont les bases d’un SI pérenne et performant
Réseau : développement d’un réseau IP-VPN départemental Serveurs : investissements dans le matériel (serveurs, SAN, sauvegarde) Sécurité : mise en place d’une infrastructure assurant la sécurité du SI (firewall,
proxy, anti-virus, charte, …)
Problématique métier- La particularité des sapeurs-pompiers réside dans le fait que leur activité doit être maximale
lorsque celle des autres devient critique (ex : tempête Klaus). Ce point constitue en tant que tel une singularité qui justifie une stratégie particulière
- Des vies humaines sont en jeuContraintes sur les procédures
Le PCA (plan de continuité d’activité) est la stratégie et les moyens mis en œuvre pour assurer la continuité de l’activité dans des situations critiques.
Le PRA (plan de reprise d’activités) est la stratégie et les moyens mis en œuvre pour redémarrer l’activité le plus rapidement possible suite à un arrêt de l’activité.
Stratégie Réseau : On préfèrera la redondance des technos et des opérateurs aux GTR.
Bonne segmentation des VLANs. Mise en place d’une QoS pour maîtriser les montées en charge à un coût raisonnable.
Serveurs : deux salles serveurs redondées distantes en actif/actif. S’entourer des compétences d’un intégrateur systèmes et d’un intégrateur réseau
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Serveurs et stockage
~ 180 serveurs dont90 % sont virtualisés
6 baies SAN en réplicationsynchrone
Sauvegarde dédupliquée et répliquée
Archivage sur bande (LTO 4)
2 salles serveurs en plan de continuité d’activité (PCA)
PRA natif dans VMWAREgrâce au HA et VMOTION
Démarche green IT
WANLAN to LAN
IPSEC
52 sites en réseau~ 70 routeurs~ 50 commutateurs4 call managers~ 650 téléphones IP
Réseau et téléphonie
Cloud Computing
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Composantes d’une infratsructure SI
Page 24
Page 25
Les technologies
Matériels radio
Bip d’alertePortatif radio
Mobile radio
Page 26
Les technologies
Matériels réseau (& Télécoms)
commutateur
routeur
Faisceau hertzien
Fibre optiqueCâble éthernet
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Les technologies
Matériels Téléphonie
Téléphone fixe IP
IPBX
Smartphone
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Les technologies
Matériels informatique
Serveurs
StockageSoftware
Page 29
L’innovation
Matériels innovants
Tablettes
Habits intelligents
Bip interactif
Serveurs
Décisionnel
Applications
Infrastructure
Temps
Montée en compétencesDe l’organisation
Ordonnancement
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Plan
Page 31
La relation entre maîtrise d’ouvrage (MOA) et maîtrise d’œuvre (MOE)
Le contexte projet et la conduite du changement
Méthodologie dans un contexte d’urbanisation du SI
La relation entre maîtrise d’ouvrage (MOA) et maîtrise d’œuvre (MOE)
Page 32
MOA et MOE
Maître d’ouvrageLe MOA est une personne morale (entreprise, direction etc.), une entité de l’organisation ; ce n’est jamais une personne, même si dans le langage courant on peut entendre « un tel est maître d’ouvrage », alors qu'il est plus exactement MOAD, MOAO ou AMO,La maîtrise d’ouvrage est responsable de l’efficacité de son organisation, de ses méthodes de travail et donc en particulier de son système d’information. Elle fait appel à un maître d’œuvre informatique et télécoms pour obtenir les produits (logiciels, services et solutions) nécessaires à la réalisation de sa mission. Elle fournit au MOE les spécifications fonctionnelles (le « modèle métier ») et valide la recette fonctionnelle des produits.
Maître d’œuvreLe MOE est une personne morale (entreprise, direction etc.) garante de la bonne réalisation technique des solutions. Il a lors de la conception du SI un devoir de conseil vis-à-vis du MOA, car le SI doit tirer le meilleur parti des possibilités techniques.Lorsque le produit est compliqué, il peut être nécessaire de faire appel à plusieurs fournisseurs. Le MOE assure leur coordination ; il veille à la cohérence des fournitures et à leur compatibilité. Il coordonne l’action des fournisseurs en contrôlant la qualité technique, en assurant le respect des délais fixés par le MOA et en minimisant les risques.Le MOE est responsable de la qualité technique de la solution. Il doit, avant toute livraison au MOA, procéder aux vérifications nécessaires (« recette usine »).
Les acteurs de la MOA sur un projet SI structurant
DirecteurFinancier
Maître d’ouvrage stratégique
Direction de projet
Contrôleur de gestionPréventionniste Médecin chef
Service accueil
Responsabilité métiers
DirecteurRessources Humaines
Maître d’ouvrage délégué
(Chef de projet technique)
DSI
Responsabilité technique
Assistance à maîtrise
d’ouvrage
Expertise
Maître d’ouvrage opérationnel
Editeur
Modules RH,
Vacations, Formation,
Habillement, Matériel Roulant,
Patrimoine
Les acteurs de la MOE
EditeurModule Finance
Maître d’œuvre
Conduite de projet et IntégrationSSO/Portail
GEDProcessus électroniques
EditeurModule
Gestion des Temps
EditeurModule SIAD (Décisionnel)
EditeurModule
Prévention
EditeurModule Aptitude
Médicale+
PharmSAP (Pharmacie)
EditeurModule Courrier
Intégrateur
Editeurs (constructeurs)
36
Relation MOA - MOE
Limite de responsabilité
37
Chef de ProjetFormatrice
Chef de ProjetFormatrice
Chef de ProjetFormatrice
Chef de ProjetFormatrice
Chef de Projet Formatrice
Chef de Projet Formatrice
Chef de ProjetFormateur
Chef de ProjetFormateur
Gouvernance du projet
Chef de Projet
Consultant Fonctionnel
Enterprise Architect
François G.Chef de projet
Sandra L.Arnaud F.Gérard I.Sylvie A.
Sylvain C.Isabelle M.
Responsables Fonctionnelsdes modules transversaux
(SIAD, GED)
Thierry COURCET Responsable Technique
DSI
Ingénieur Qualité
Equipe intégrateur
• Responsable Technique• Développeur
Engagement Executive
Intégrateur
Editeurs
LimiteMOA-MOE
Maîtrise d’ouvrage (MOA) et Maîtrise d’œuvre (MOE) sont des entités de l’organisation.Le MOA est client du MOE à qui il passe commande d’un produit nécessaire à son activité.Le MOE fournit ce produit ; soit il le réalise lui-même, soit il passe commande à un ou plusieurs fournisseurs (« entreprises ») qui élaborent le produit sous sa direction.La relation MOA et MOE est définie par un contrat qui précise leurs engagements mutuels. Dans le secteur public, cette relation est organisée autour d’un marché public.Contrairement à une opinion répandue, cette organisation n’est pas « franco-française ». Seul le vocabulaire est propre à notre pays. Aux États-Unis, les métiers d’une entreprise comportent évidemment des experts de la modélisation du système d’information : on les appelle « business technologists » et certaines universités forment à cette spécialité.
A retenir
Stratégie MOA- MOE
• Ainsi, l’organisation doit répondre à la question suivante :
• dois-je dimensionner la DSI plutôt sur une fonction de MOA, de MOE ou bien un subtil mélange des deux ?
• Comme vous vous en doutez peut-être la réponse à cette question n’est pas unique et est étroitement liée au secteur d’activité dans laquelle la DSI intervient. La confidentialité et la spécificité constituent souvent les éléments prépondérants qui poussent une DSI à renforcer sa MOE, toutefois la tendance actuelle réside plutôt dans un renforcement de la MOA avec un « outsourcing » (externalisation féroce ou mesurée) de la fonction MOE.
• Toutefois, l’équation à résoudre consiste dans l’analyse la plus fine possible du ratio coût/efficacité du montage qu’on va réaliser,
Le contexte projet et la conduite du changement
Page 40
Conduite du changement
Le ressenti « client final » ou « utilisateur »
Dynamique du changement autour de 4 étapes
Méthodologie dans un contexte d’urbanisation du SI
Page 44
Décisionnel
Applications
Infrastructure
Temps
Montée en compétencesDe l’organisation
Ordonnancement
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Approche fonctionnelle dans un contexte d’urbanisation
Ressources Humaines
Gestion Financière
Formation
Système opérationnelDisponibilités
Effectif et spécialités
Traitement des CRSS,
SSSM
Effectif
Formation Secourisme
Aptitude
Services Techniques
Suivi d’inventaireSuivi des investissement,
amortissements, marchés publics
Gestion des achatsBons de commande
SIG Prévision
Prévention
Opérations
Géolocalisation d’alerteet informations cartographiques
Remontée de données Térrain
Mises à jour cartographiques
PV, rapports techniques; ...
Etablissements à risque
ETARE, Atlas, hydrants, POI, PPI, …
Analyses de couverture
Dotations prévisionelles
Analyse de la couverture des risques
Disponibilités du personnel SSSM
Statistiques opérationnelles pour le SDACR
Analyses opérationnellesDimensionnements humains et matériels
Disponibilité des véhicules
Unités Spécialisées Disponibilités équipes spécialiséesCompte-rendu d’intervention
Suivi du matériel spécialisé
Effectifs spécialisésFormations spécialités...
Philosophie ERP/PGIRessources Humaines
Gestion Financière
Formation
Système opérationnelDisponibilités
Effectif et spécialités
Traitement des CRSS,
SSSM
Effectif
Formation Secourisme
Aptitude
Services Techniques
Suivi d’inventaireSuivi des investissement,
amortissements, marchés publics
Gestion des achatsBons de commande
SIG Prévision
Prévention
Opérations
Géolocalisation d’alerteet informations cartographiques
Remontée de données Térrain
Mises à jour cartographiques
PV, rapports techniques; ...
Etablissements à risque
ETARE, Atlas, hydrants, POI, PPI, …
Analyses de couverture
Dotations prévisionelles
Analyse de la couverture des risques
Disponibilités du personnel SSSM
Statistiques opérationnelles pour le SDACR
Analyses opérationnellesDimensionnements humains et matériels
Disponibilité des véhicules
Unités Spécialisées Disponibilités équipes spécialiséesCompte-rendu d’intervention
Suivi du matériel spécialisé
Effectifs spécialisésFormations spécialités...
L’organisation est vue comme une somme de processus métiers à traiter et non plus comme des fonctions métiers cloisonnées
L’ensemble des
processuss’appuient
sur une base de donnéesunique
Philosophie Application + EAI
Le partage des données entreapplications est « orchestrée »par un applicatif central : l’EAI.
Ressources Humaines
Gestion Financière
Formation
Système opérationnelDisponibilités
Effectif et spécialités
Traitement des CRSS,
SSSM
Effectif
Formation Secourisme
Aptitude
Services Techniques
Suivi d’inventaireSuivi des investissement,
amortissements, marchés publics
Gestion des achatsBons de commande
SIG Prévision
Prévention
Opérations
Géolocalisation d’alerteet informations cartographiques
Remontée de données Térrain
Mises à jour cartographiques
PV, rapports techniques; ...
Etablissements à risque
ETARE, Atlas, hydrants, POI, PPI, …
Analyses de couverture
Dotations prévisionelles
Analyse de la couverture des risques
Disponibilités du personnel SSSM
Statistiques opérationnelles pour le SDACR
Analyses opérationnellesDimensionnements humains et matériels
Disponibilité des véhicules
Unités Spécialisées Disponibilités équipes spécialiséesCompte-rendu d’intervention
Suivi du matériel spécialisé
Effectifs spécialisésFormations spécialités...
PGI ou PROGICIELS METIERS + EAI
Approches fondamentalement différentesDans l’ordonnancement des opérations de mise en œuvre
PGI : phase d’étude lourde (phase 1) EAI : phase de paramétrage longue et parfois complexe (phase 3)
Contraintes sur l'organisation et les processus Le PGI a besoin de traiter tous les processus donc plus de temps
sur les processus (plusieurs mois à temps plein) mais les données sont consolidées dès le départ car on a un descriptif référentiel de la donnée qui est unique
L’EAI ne traite que les processus inter-applicatifs mais les données ont besoin d’être consolidées à travers une parfaite maîtrise des structures de données des différents applicatifs
Difficultés techniques de mise en œuvre : Travail sur l’organisation, étude de l’offre, consultation, mise en œuvre et paramétrage
Equipe de projet : composition semblableMaîtrise d'ouvrage forte, maîtrise d‘œuvre et intégrateurEditeur de PGI ou d'EAI motivé et possédant des références
Concernant les PGI généralistes, domaines de confort :Finances, Ressources humaines, Achats, Logistique, etc.
Page 50
Applications et SI(s)
Ressources Humaines
Gestion Financière
Formation
Système opérationnelDisponibilités
Effectif et spécialités
Traitement des CRSS,
SSSM
Effectif
Formation Secourisme
Aptitude
Services Techniques
Suivi d’inventaireSuivi des investissement,
amortissements, marchés publics
Gestion des achatsBons de commande
SIG Prévision
Prévention
Opérations
Géolocalisation d’alerteet informations cartographiques
Remontée de données Térrain
Mises à jour cartographiques
PV, rapports techniques; ...
Etablissements à risque
ETARE, Atlas, hydrants, POI, PPI, …
Analyses de couverture
Dotations prévisionelles
Analyse de la couverture des risques
Disponibilités du personnel SSSM
Statistiques opérationnelles pour le SDACR
Analyses opérationnellesDimensionnements humains et matériels
Disponibilité des véhicules
Unités Spécialisées Disponibilités équipes spécialiséesCompte-rendu d’intervention
Suivi du matériel spécialisé
Effectifs spécialisésFormations spécialités...
Système d’information Opérationnel
SIOPE
Système d’informationAdministratif et
FonctionnelSIAF
Système d’informationGéographique
SIG
Système d’information d’aide à la décision SIAD
URBANISATION DES SYSTEMES D’INFORMATION
Le portail, la GED, les processus
Page 51
Exterieur
SIOPE
SIAF
RH
Formation
Technique FinanceGestion des Temps
FL17 : Donnéesbudgétaires
FL16 : Valeurs vénalesdes immobilisations
Pharmsap
FL22 : Création bonde commande
FL21 : Données de créationde bon de commande
START
FL30 :Personnels
FL10 : CRSS
FL37/39 : Absences + Absences formations
FL34 : Tempsd’intervention (xx)
Aptisap
FL24 A : AptitudeFL36 : Plannings
des centres (3.21)
FL29 : Matériels etaffectation
FL28 : RéaffectationProgrammées
de matériel
FL27 : IndisponibilitésProgrammées
de matériels (3.9)
GLPI
FL23 : Matériel enproduction
FL8 : Mandatement paies
ADGestion des
accès (SI PASS)
FL11 : Agents (Donnéesexhaustives)
FL12 : Agents
FL13 : AgentsFL18 : Création des
immobilisations
FL20 : Création bonde commande
Antibia
FL7 : Finance Active
FL6 : Paierie Dept(Helios)
FL5 : EngagementEcritures
FL3 : URSSAFFL2 : CNPFL1 : CNRACLFL15 : Dialege
FL14 : Carburant
FL4 : Pairie
FL38 : Données absence et EV
FL31 : Emploi desPersonnels (3.5)
FL9 : Mandatement Vacations
FL19 : Validation bonde commande
FL25 : Affectation desPersonnels
FL33 : Gestion descompétences
FL41 : Gestion desAffectations secondaires
FL10 : CRSS
FL31B : Spécialitésdes personnes
FL28B :Transfert de matériel
FL29B : Equipementdes matériels
FL24 B : Agents
FL24 C : Aptitudes opérationnelles
FL29C : Identification Antaresdes matériels
SIG
ESRI
SIS ¨PREVENTION
Hydrants SSO
BICS ALCATEL
Annuaire Tél
GVRPRESCOM
ECOSYSTEME CISCO
(Téléphonie administrative)
PORTAILGED
WorkflowsDémat. factures
Démat fiche de paye
L’urbanisation en pratique
Page 52
Echange de données par l’ETL
RH et PaieAgentsPostesAbsencesVacations
FormationUVCompétences
Pack SetEnginHabillementBâtiment
Gestion du tempsAdministratif (congés, maladie …)Opérationnel(garde, astreinte …)
FinanceBudgetFacture
START Système opérationnel
Agents
AgentsUV
Engins
CRSS
Fichier de paiement
Paierie départementale
Fichier de paiement
Saisie de l’absence de l’agent sur le planning
Absence à justifier
Réception de l’arrêt de travail et saisie des dates réelles
Planning du centre
Mise à jour avec l’absence maladie
Prévention
Aptitude médicale
Page 53
Décisionnel
Applications
Infrastructure
Temps
Montée en compétencesDe l’organisation
Ordonnancement
URBANISATION DES SYSTÈMES D’INFORMATION
Contribution du SI au projet d’établissement
SIAF SIOPE
Un projet d’établissement…
… vers une organisation humaine et performante
Meilleure gestion des agents (emplois et compétences), des
ressources techniques, des ressources financières,…
… pour des interventions
toujours de meilleure qualité
(système d’alerte performant)
MISSION ORGANISATION (SD)
MISSIONS PREVENTION, PREVISION,
OPERATION (I&S)
SIADpour un usage dynamique des données,
une aide à la décision
Le SI dans un contexte global d’amélioration
Projet d’établissement
Page 55
Système d’information Aide à la Décision
SIOPE
SIAF
Page 56
Système d’information Aide à la Décision
Page 57
La cerise sur le gâteau…
Vision politiqueMissions
Programme
Actions
Financier
Parties prenantes(usagers, acteurs,
financeurs, …)
Développement
Procéduresinternes
FacteursPolitico-
environnementaux
Construction d’un Balanced Scorecard
Page 58
Les programmes de la convention
A) Une autorisation de programme pour le schéma directeur informatique de 4 978 000,00 € votée en 2009, qui a donné naissance au projet « urbanisation des systèmes d’information », décomposait la charge de travail en huit projets plus globaux .
- Annuaire et Formalisation des Données Référentielles (annuaire, processus métiers, …) - Unicité des données- Refonte du « Système d’Information Administratif et Fonctionnel » – SIAF- Développement de l’informatique communicante et collaborative - Exchange (e-mail), Portail- Création d’un « Système d’Information Géographique » - SIG- Evolution du « Système d’Information Opérationnel » de traitement de l’alerte - SIOPE- Interopérabilité (Unicité des données référentielles, saisie unique) - ETL & échanges de données inter-applications- Evolution de l’Infrastructure Globale - Réseau, Systèmes serveur, Sécurité, Téléphonie IP- Développement du système d’information d’aide à la décision (SIAD) - Tableaux de bord
Cette AP s’inscrivait dans la continuité de l’AP schéma directeur informatique 2006-2008, pour laquelle des crédits de paiement de 1 682 413,20 € dont 1 254 947,80 € non dépensés ont été reportés sur la convention 2009-2012 portant le total disponible en début de convention à 6 232 947,80 €.
Durant la convention (2010), des décisions modificatives ont été apportées sur le programme Schéma Directeur de l’opérationBâtiment CTA-CODIS vers l’opération SIOPE (~700 000,00 €) et un excédent de fonctionnement de 2011 de 500 000,00 € a été reversé sur l’opération SIAF, portant les CP totaux de l’AP « schéma directeur » à 7 484 411,80 €.
SIAF (SIAD) => ~2,4 M€SIOPE => ~3,1 M€ (comprend de l’infra)
SIG => ~350 k€Infrastructure (Réseau, Serveurs, Licences, Téléphonie, PC, …) => ~ 1,6 M€
Page 59