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68‘ Année, N" S8. Paraissant le Dim anche et la Jeudi. "srssr «,issu. Jeudi n Juillet 1897. üatn lafr. i«|u Six m ou... 6fr. ON S'ABONNE : -, A Seolls, aux bureaux da Joamal a «i.-« .i. l ’ibonmmont esl paytbio d V « M n n-«i » hniçO TeuTtoS Fe^iratiOD oo ne donne pas oonua<oidfe. C O U R R IE R D E L ’O IS E PRIMES A N O S A B O N N É S JODEKAL D« S ï N u s , détirnuB de reco ^tlre le coiwoure fidèle que n'ont cestè de lui donner tes amis, a décidé que, le B «MIobre preohalD,- un * * P'*"**»* représen tant toutes valeur Imeor- »eraiefl« tirées entre, ses anciens et les nouyeauœ, qm seront inscrits sur nos regiMres à la date d u m o seple^ra 18»», pour une période de six mois aunwins, participeront au tirage. . Chacun recevra, le Z oeloVre, son “'’®’ “»«?««<*« numérotée. Ce '‘'^'nhUpour te tirage du Nous donnerons prochainement une de nos primes. b u r e a u x / t, AdminiairatJon 6, place de l’Hôiol-dô-VllIe. h Senlis. 'îv Z r poor imWfer dam larroH{/t*«wj;n/ les /nskhtio.vs iuoiciaius. PRIX DES INSERTIONS • Almon« .■ la |ig„e, o,20 o, Réclao.oo : 1 , lipo,0,40 c. ^ Fajis divers : la llgue^ o,50 o. On u acwpiü pas d'inserilon on-dossoii de 1 fr. r.o'iï rilclomcs, etc., cooceraani Parts ol dLmS’ro T ”" ” ® ' Tirago d;oblig«Hona dé U ViU» do Paria _ v a û d .'p iïim i'f ^ p® “* «"ime 100^000 francs. 60 000 fr. J.2^.305 gâghent ohaotu 16 namicM acnt nmboanda par 1,000 Itauca. bulletin SenlU, 21 Juillet. La.Cliambre a Toté avant-hier les qua- iorze articles du projet sur les quatre coolributione directes, y compris le dé- principal de 1 impôt foncier, et en spéci- I fiant, par 5.TO voix contre 23, que ce dé- S!dl?T“dfi“Ç proportion- mai ° achevé le jour Siak IV ■ n’avait apporté, J tonehMt 1 évaluation du revenu net des I ï™*"'*?*®’ non béties, un article addi- ihîil i «lisonssion duquel la pambre Best réunie hier matin à dix heeree. Lensembie du projet a été voté d.a i® *0 Sénat l’approuvait daéa laprés-mididumême jour. Le dé cret de clôture de la session a été ensuite Mt e“irtré*«“ * ®‘ lo Parlement I ®8t entré en Tacances. m »,®°“'^'*!®“ .,^® Poumemouth, en voyant que la Gommission prenait au sérieux sa proposition de se rendre prés •V”à’j Il a adressé aii pré sident de fo Commission une lettrelbizarre qui suterdonne les fameuses résistions * nue foule de conditions telles qu’elles équiv^ent à une fin de non-reoevoip. Les gare du Nord ont dû rentrer chez eux, les uns furieux de cette mauvaise plai- santerie, les autres, les sceptiques, l’ao- cueiliant aveu une philosophie raiUeuse. La comédie devait finir de la sorte. “Prenante Andrée a tenu la ldhianri?“ 'i “™ ‘ « «’ost éisvé dimanche dans son ballon et a donné le èrifou au t e Z ® ’ ®‘ * Du coclier aserocluit un bisvcUita .asdnSl NOUVELLES MILITAIRES I <>® ® I ÎT i fr. “idemuilé Journalière de I de^cmlo*”™™? '’ ’*"®'*'®'' . 1 ®* a v a n la g e s '£f?aiilfta2s^e'‘® S"erderEà laoissSmSrdeTr' ““® '"‘® ®®®® “"- mato’M 2 ®»«n™®®,®"®î''®®"” ®“ ®û“os‘ion. qui'ûîu"a“2?è”foiÆ f‘”“^"'“ ‘ ® “® «®1® '“»“ 80oIemfln?'llP®'‘ commandé non- tout auirfl incendie, mais encore . déplacement en vertu d’unArA m S? 0. **" préfet ou de l'autorité Le monde où l'on frin» 1. « » 4 ., mprtrimlaa, im . v alirdî*J?ayïS; îuS tiaaî i ^ " ’;>•* '•présentés dam h suuibqu. qns par ace llwe par babilasi. La Fiance aat calée pocr 9 lirrca par téta. Le* Romtini fonuient-ili f déô àri°“îl* °î' ■'‘'umal d-hygUn, noua le Jeu lieu au Iv ® s®“ “*®l »Prés-midi, dans des KtfoütT ® j“‘’'® .V .^^ “* ® ‘“ 1 1 > .™ jde ses uouvS de joïr* en j“li°“ INFORJUTIONS I H" 'J"“,'V«" le«éeéoonon itoue. ■de B ldam i Jî"i‘"é“'rielb ien’oonnn ,et ma ire bJnm ml ,fe de parente franeaie piiRère "“ cernet de rente' l>0Œra?at lîiSîa bonoaie dca retraiteo de le te ;îa l ‘r.a® ® ,.»Æ .t k K n S Ü V îK îV ® *?.* 1™ 1™"«- •* le rium i r ^'•si...t 5 aSs".ïïrd .*m“û*rn '™"drî: 2 ! 1ère autu^. .u."ra,t;7e.°t,7cal!tt,“3;: r - d"™ Sti.®*I?i'''”'fc prppriélé. narooliqnM faftiî*«i D* ** ' 7 “““»^® l'iauSiM dî”ïï K'éservistes asSéiSr^en *t«5a"a°”^ Budgétaires, seront Son •?!« vïsraa ^000 période d'inslruo- 0*8 a". Téservisieà des classes t 887 et 4RUI i S é e acUTO et et appartenant aux classe 1888 drapeaux. 88 ou 13/ours,soutuxésalnsi qu'il suit: infin- îiV “®« 8ra «1 96.687 càuuoiiers; génie ^ umciers et 81,658 bQmmes: ffendarmeriné 00 gendarmes; interprètes milTiaires * 47 et M 8, 6t 6 snus-olBciers, capnraux et soL dépenses nécessitées par ces annala «olde. 7.606,089 fraora • î^hfi?® iBute et dedéplscemeni, 4,949 000 * nfis s™®®!®.l onl'olien, 2,488,387: indem^ niiés de première mise pour les efficient nnn vellement promuarsOsK • îfour 8 rs"i>®„‘h ^ ^ ®® 7 “'®®* dépenses supplèmen-' saS i P®“ l^PO'Ioules ei lîont rénumération 11,988,™ f S s“ “° “ “ ®® ‘° ‘®‘® '*« SENLIS Im m b lo y c liste s a ux m anœuvrea, 4“ '^2r 9?rÎ 2n^H. *®“J"'®* “ «"œuvres des nislrode ®' f'r “ '■B™ Bu m i- nisire de la guerre, tous les bicvclisiea Hab divers régiments seront g ro u X ,n „n2 ou? nr^îî'*’®*®'® ‘*® «ïol'élM combatlanls «ierniéres c p é r a l f f vuf de ta hir.°S®® ®,?“'®®'®”‘ «rool pou?; lerôni la iu?rhie • l’'!.®"'®’ 1®“ «u*™» “ on- iC e “ ®®*‘‘®® " « ‘<1®<I“ 0 'fo B riq n e l 'n r - ; ; ^ S ““ S 5 en campagne, mais aussi apprécier celui Ra» *"«“ 0‘l«l®«d® raaohicM q u îîe C liifo bili l é f o d i s p e ^ E .’'® ®‘ '*® ■®‘ ” “ - nouveaux eolia postaux, an.®.'",®'’' ® 4‘é promulguée la loi relative tts S £ T “^ P - ï î® P“ «"‘ P«» l« dimension do 4 "30 dans QD sens quelconque, au nrlx fin 4 fp ok «n E S E a S » : i S S - H S ü^lfrtû A ®î-®oot'oi08 (y compris le droit de *«mh? cootimes) quand le montaüt du re^oursem ent encaissé devra ôlre versé Î S E® '®* Ifexpédileur 4 la «are oa au bureau de ville de /^expédition et 4 ss centimes (y compris le droit de «0 ceoUmes? tS é 3 domic'iîe” ' ’®®” ®®*®®' ' ' ® " “ «■■•« Le maiimum de l’indemnité afférenle à la mio! *,î’®rl® ®" 41a spolialion d’un colis M?éder 4o'“f ? " ' t . ‘‘® “ * ,* " "® P»“ ra déclarés f« ™’ '®“ ®® 1 '* “™® lalour fe.“ ''niant de celle valeur dans Ia« condiuons de i article 7 du décrel du 87 juin Nonvellet mloM d’or. impoîûS.’ "‘««•rt* -ont tréa Uû9 chemiDée ea promeDAde. ce AtMoiamant nonveAn. a dd atm ? winilne deroièrâ ptr lei hebiUme de MiBohestep. dsoi l’BUt de New-Yoïk «vx i* * ® ^^ ® Wplecer une ehemiaie d’aiina en briqnet, hante de vleat-eept m è tiîre ld ÏÏÎ "roîï’s.îrtir'* ” “ ™* i’^®* '°®’’ “ f" était da quAtre-Tioet- » ;-.i'lm K K ”u\e®‘, ï . '^ “ p»K à ;éîo” S « ? ” ’ “'4'*“ aaâ“ji5îJl,® “ '° ‘‘’ '• ®éP>*M“ eo4 s été opéré W 4 I 'l . Vatano.,. flMnm “* *“ ««« n°e NaÎT6t4 : "* " Do médecin rend viaila é on malade elleliit penvre "î®®"'' 9«» P«"»-von. îe mon br.Tet'ïê'irjï;??!’ ” *^*” ' ’ Maie voue le gnérirei, n’eet.ee paaV foes Sopeups-Poiuplers. Nous croyons utile d’analyser le oroiet de 6®“™''"®“ enl a déposé, le 6 Juin l a foi",î?®î ® “i'^*'®'” '®'® “l®* députés. ’ La loi du 6 avril 4834 a bien mis é la à araordo? mo 2' “ “ ®’ '®® '®'®"®“ ®' P®"»'»"« a accorder aux sapeurs-pompiers viclimea da leur dévenemsntdans uS sTvhicommandé à leurs veuves et leurs orphelins ?'®1 ®« *«*• ®®‘l® prescription lé gale reste leltre morte, sortent quand les SX ”'"®®®* '*®® ' p®® ‘®® •■® “»“'-®®> , D autre part, le nombre des décés de nîS???®’ ‘i°'!i‘"®r® ®1ées incapacités de travail m in S .” ®*‘ Beureusement très an? “Ijr®® ""® «'«'isllque récente, la moyenne annuelle est de 8 sur 280.000 pompiers. .nm ^ ces conditions il m,?H® 0®® .®Baque commune versél par été de pompier et par an, une som™ tîè? faible poiy constituer une vaste associatinn mutuelle intercommunale, étant donné nue Den?3i®i,”‘i‘'® '°“® f''®® *®''®‘‘ ""« ^é- 5Sl onî?.S?'™ ' “" ‘®* '®« « “ “ unes 3iJ?é')Jiîi"érre‘n T o ! ^ 2 ? r “ - ™ ' ’'®'®®- arilJ'.'a*®! l°® ®*I®“ 1 » exposés é l’appui du projet de loi, celte prime serait de oîao cen- imes pour les communes dont la population ? m „ n fJî® P“« l ’»99 Babitants, c V Æ irS ‘^I,^®!; ®* ®““ unes françaises • la O fr 7o“ i'rr Jn‘ é®B«lon«. 0 fr. 30, m I, da J ù ®‘, “ -'®’ ®“’ P” ®'' '«« ®“ “ - I nné a i i aEîP"'®"®" ®’l respectivement hibiiS *“ ®‘ '* “ “99 3 îo*ïi?i?“r.''““° ^’®“® *®“ “ ® «""uelie do assurer lis. P»"' dans Î2 ????.?. P®“ Piers en cas d’acciSent atiï.û. “ ®« « “ “ unes et pour leur attribuer une pension viagère, à eux on ’ I-e» permis de chasse, don.”™ ? '" ®®“ Bre de membres do nos deux grandes sociétés d’agriculture francaisn peursmvont en ce momem une art ?o c ^ ^ M ue, dans le but d’obtenir la sS? 2?e?s”2 an permis de chasse et son remoTacement chJiïh ! “ '* munitions. Ce qu’on ro- Jïfrche avant tout, c’est la réoreshion du brawnnagô. Or, il est présuffie. Z s“ plébicisle sur la question’du romplacemenl du permis par un imnél sur eïrfe*?.?’ bra’conniSrs sS ?Æ t K ïS . car ils se passent de permis, qiais non de munitions. Vaoaoces scolalpes. comme roise “ primaires publiques de 4» Du dimanche 8 août au 4•' octobre nm.. i«aThrr?8ttî?;27““ “" ^ po|^Mî“ roÏL '“mérs?oU"n’”„?? 'p^™ Contrlbufions iodlpectes, £preuve vélocipédique. hnlia?. i?2?‘’ ‘"™®'®®r générai des cnntri- S ô rrtiin ï®° ®?’ ® é'utlribuer une f-®'®!® «“* éunilWais ausnr- S te ? 9“' J"é‘'««raiont de leur aptitude ! îd ®" éouséquence, chargé ivM fes diZ? “®é»"®«rt foXréTrvfcrusv'?if“ ^^^ au surnomérariat. Cependant les a S /ai- «n® | “ pourront y participer, r *^®o*o de ClermoDi et retour qu aura lieu cetie^preuve. stc"eL?f? d’,"“30‘^frlnT *>®' “ ®'“ "® _______ a i7 K i ‘en':“s ’Œ T 4 ‘* ?o M - fo rnji*<îmnm®î‘ ‘®''®‘l“® 'é " ' tournée atteint par foîir rl? ““«««œ. «oit 38 kilomètres ? ’ ' “ “ ■'■«"•«“ ont à ce qui se passe pour tous les autres employés de l’Etat les facteurs voient souvem leurs salaires dé- eués™ik'®Ji, "*®’ '’“'''® 9“®’ ’ '®“ B's et fati- cmî?i !î olfectuer un long par- to ï é e 's 'ir p l s t a .'" ’ ‘‘*"‘“""®® '®® r w “i®-® ?ufosse“3?‘d[S2li„®u®.“ ®“ ““ ‘™ ‘®“ ®“‘ é,-® a ' ®*'’“'''® "« ■ ’éussit, la mesure son mente”' ®“®“9“ ‘™“ ent aux antres départe- •*“ Pi’emier don- """lélléinont nommés doivent sun- porter une retenue du douzième de Z r cette rnZ'ii'L"®''®'® “'■é“ " ‘. l’B'al exerçait celte retenue en une fois, de sorte qu’un employé était enirérement privé du premier mois de son traitement, ce qui aboSSa,”i pour les modssies fonctionnaires, à des 000^ séquenc®s pouvant être regrettables. Le Conseil d Etat, sur la nronosiiinn Hh <*88 finances, vient de porier re môde 4 celle situation. Désormais la re îl nue du douzième sera exercée par quart sur A premières allocation? mensuelles Le fonctionnaire, au lieu de n’élre rôtrihuâ qu 4 partir du second mois après sa nomina on, supportera donc pendant quatr^ moi une retenue d un quart de son traitement. Aux abonnés du Chemin de for du IVord. La Compagnie du chemin de fer du Nnrfi a soumis â l’homologation m inislériSe il v nouvelle édition dé son hrfln«fi.ir ® 8“fenant de nom breuses réformes qu il serait trop long d’ônu- p t ? l p i „ " t “es"®.®"“ '® ‘'®®‘*“ ®'®^'®®“-"x d s S S raires différents dans les mômes conditions P|îyfe“fsde billets d’aller et retour rfii ?oB nm employés et ouvriers, en géné- ral les personnes qui ne peuvent pas débour ser d une seule fois le prix d’^in abonnement d un an, pourront l’acquiiier en douze fou par versements mensuels. ** Il n’est pas douteux que ces réforoièB «« font goûtées du publ’®®"— * ■■ ront être appliquées Nouveaux xvagons. La Compagnie du Nord essaie en ce mo ment sur le.s diverses lignes de son réseau mûZdsIe I il® 1900, un nou; veau modèle de wagon de a» classA Ces wagons sont reliés entre eux par une S?»”*»® , i™®"®®**’"" Bout du traiZ â {B«é""’“o’ ooZpli?n“ m sfce“nouÇ?2us??? Im etriïxport?,” .”''”' ' ' ' ’ ‘’®®®“ - " ’ ®“ MdCB facteurs ruraux, s e c S îe ‘’W i “ S " ‘'® " ’ Oé'Péuoh, sous- secrétaire d Etat des postes, M RniirhAr ministre du commercé, vient d’a S s e ; C éîesidn‘ N L u “ ' ' i ‘'? “®"°'®®®‘® (éfdennes, LOtes-du-Nord,.fndre-et-Loire, Orne et Counao d’automobilea, hn.®®n *'?PPO.*ons que la Course d’automo- 24 foifirt'?l'a ®Ç'’® ® 'i?“ *®“ ®“‘ P'UéBuin, resMulsi’ i®;.® ®x'°a"‘' ‘‘'“"®'«« plus inté; d?ni h J iri ® pramléf Sé fora vers nhAt ï’Oufe d Arques, en face du ?înts foscrils ” “ '®'’' ’®’ “ “ 9»®®“ !-- L’élil® des chauffeurs français et an- glnis prendra part à la fête, sous la nrési dence do M. le baron de 7 ,uyle„ nrés?denl de I dulomoéiie-C’tuè de France “ ™®'®®"‘ po3?®r”a"soi'd'6 samé'” ' ” '■“ “ ’ “ ®‘’ ®“ “ ®“® 's é e “ ;a“ ‘s” " t e " é V ? ? a t ”e " '’ '? ® ‘’“ “ '® ® '® '’®“ ®- est'-foeT.lyé”" " ' I® “éfiére Séance Conseds d arrondissement à ce jour. j ®'l> «us la présidence de M Thié son” b Æ “ s'’ „ „ rn ’„ œ ‘'-” * ‘''*'“ " “® •'» vice-prjS Æ ral?îs?î“ilîi[22” i2®;r?2X^r J p w S S f S » : Le Conseil décide que le raonriri An m i ., f e s S S î S l i s S sehnàm '' ''ïp '/P » " ’’ le personnel en- un vœi leüdnni ^ " “"'"'d propose d’émetlre guieÏÏerS de“ e?"a”dorS ? l'e“ .“ S hou de 80 0/0 sur le la?if eîdfnairo Le Conseil s associe à celle proposition. Billets d'aller et retour — la rnncaii »a i S î s s s s L o 'Æ salr ** “ I '‘ule des gares. - s â s F fp ’ï'ï.îî.ri.ï soit fait d une façon plus complète géné?al ?u?’ 1 2r i m ? ° i '’“ ‘l®“ B"® '^®"“ ii graiMie V?c2nli , f ' ,® '“»iuont dans ia fiAnil f est très fréquenté et nrL ??mmnn” « i o m ■''“ “ ®™'® "® *®“ " “ ® |S0IEBT D'EriUED PAS Léon db TINSEAU XVII (mite). l sùixta ‘ 2î?j? f’"®®'® “l* "® B0““« -Ibérése 'lÆ ^ l'J® ”'; ®“ r«l rencontré lusdsd’evenZ.îili®”?® ®“ ‘•’î"'™ |é qui S . fiuélqu nn et qnelqne chose, Tsnvro èîlhi gr«"de ambition pour ie K n o ^ ,3 “* ' ‘“i® *"«"»« tœur fProuBér d’avoir tronbié h ? M » t ’Si.rnce'.“ ' ®“ ■W vonS“l®.'®;®,®Ber. dit-ii enfin, pins cher Votant. croyez pour pouvoir en dire I,'é?« ”o”? îeS î“ n? l “ ® ’®® ‘ I’®® .B®®® ‘“ B*P 8 rcevoip VI comme moi poçr I «ïe bien des choses. Moi autSi, ■’e y u t p m je donnerais pas mal d’argent ponr une veus fussiez mariés dés ce soirf *™“ ®9“«™n« madaS?*. if*!™"*'' I" comte, vous faites 1. ®-'' B'"® ‘"'■‘■'Ble q u ’elle n ’e s t ! épiJiâ “'■*’'"'®'®® “ ’'‘^® ®‘ B®“®» '®® «•.rtÆf?®!.® ? i ®'!”5.®' “ «dame Zellnerlll snif îA pendant que j’y t’Aiîia î J a } donner un conseil : si n ^ et iÏ^ bK fe j®«r des ? 2ïïî»?s!ni® *P“\ “ 6.“ e, je partirais pour lAmérlque, afin de visiter les propriété de ChÔs锓 ™ r nîn™''®*® ‘®™'‘ ""® B»""« cnose... pour plusieurs personnes. Le comte tressaillit et regarda le dortAur ponr deviner quel sens il fallait donner 4 ces paroles; mais les jenx gris de son iniAP toféî'd'a”'®*®®'.!*'®'” ™ derrière i’épaissê forêt dM sonrcils. Piorri jeta son cigare faiîdflM Hm /i®"*°llda tranquillement i’écha- te“ a?Sme“ Irt”r ®‘ ®^ '®®“ ®’ ®® — Allons rejoindre ces dames. ..f5 J«"d«“ «in “ atin, Robert sonna son lîU . j °‘ -™’ *,'’ “ P™l“ s d’noe négli- gsuM do service, ini adraua une verio réprimande. L’homme fut insolent; on edt dit que lui mémo cherchait à se yaiie ren voyor. Il fot congédié sur l’heure et nraït midi, il avait quitté ia maison dn comte A ia même heure, Olivia tronvait dans son courrier ia lettre suivante, irrénracha biemenl calligraphiée sur papier or?iinaire S i P ® ® . ® ®®‘ B®®“‘" f*® *“ dire, — veuve do tonie signature: < Hademoiseile, c Vos compatriotes passent ponr n’avoir peur de rien, et vous vous sp p iô ^ g iu,ii. fier nne fois da plus lotir répnlalion, on pro- JfySr'iriluririZ slT d'Sairt vô"?e?Sa'ns“ 'f f i “ ”‘ ‘''®i™“ * “ ® “ «snrer le v t 's S f r o”n"?S H vÏÏ stta'*i‘ e '& K l! baronne de Thoirans quel motif impérieux un samedi matin, le lendemain du jour oû vous êtes arriréa un peu trop tard peut-être. mJdeZîsi^fle 4 la représenialioo des Hugnenott. tandis uiie heure.®*» ^ *«*“ “ ® Le premier mouvement d’Olivia fut de I®” **® j®‘®‘‘ “ “® calomnie ü ®j^K^®“.“î?‘l“ ®lfe osllmait le plus sœur®** ® Quelle considérait comme une *®“ de son pays, rien n était plus naturel et plus ordinaire que de hAmaSS®^^“ ®®i.?’*®®“ ® fondre visite 4 un te ï Biî JS ® dans lescircons- tanees actuelles, .pouvaient motiver cette H^TAiîh jalousie, ce démon avide de tortuiwque Dieu a mis A côté de l’amour terrestre, sans doute pour que le ciel d'ici- lolAJÏfc 5i®“* fÿw .point oublier l'autre, la ioîS i 7® ^®*®* ®^ l® °®ble confiance kSn^ J“®Que-ià tranquille s’envola bien .« lîïiA rt anonyme disait vrai : celte soirée A1 Opéra avait été un. long tôle-4 tête *^Â'' “ *<l"î|®<lo Thoirans et pour Robert. Quand Olivia les avait rq|oUto, elle avait l®*PllQuer d'abord, un trouble profond dans les yeux de son fiancé» En ap- S K “ lS ‘ frs!®‘‘î <1“®.“ «dame Zellner était placée en face de lui, elle avait cru 4 un soirenfr 8 “MM'«™°'"^ douloureux vers des avaU ïlnnÎF. “ ®** ’® ®®“ fe lu i-m ém o Hflnnî “ Î7®“ P®» UpOrÇU SOU 3 0 - ollleure la felloli oonc chercher dînail-™ “ “® émotion extraor- Bf, le lendemain malin, la baronne éinit S r nfhf 's 'T 'f ®‘ '® ”«ig« ™ lle éiai? à cà?le én .tns B® ®®“’ '™“ Blanle, donDaiit mvslér1e.«a ï “f î"*P««œ une explication “ 2?aiî oH« Ji? a?.®‘‘’"9“«" "«"• Pourquoi "er/ogéa • ®J*®L “ *“ « “ '«Iro in- de chez ton futur... » cnS ÏÏ 8 ?„®™ï®Q“l «ronde, s'élève, s'ac- t& Sda!À!rI\tfV ronverser. des bouf- e W S ïïin H J î ‘ ‘* 2 ®* " “®?P® “ ®*" d ’injustice Si i« î®**®nl|raent envahissaient le cerveau fuelse'””!?,”! " ' . ’ “lî"® "«‘oreTmpé? JS m r ALiJ® ^ ®'1®-“ Ô“ ® . incapable de Jrès Si Ia » *'"!a“ ‘® '‘ “ ouvement, les pro- M DoSvili S** ‘®. étaient rapides, et rien d?ovSSm? *®*Pfe8ion fou- direcommeot’ daps ia chambre de sa coï? fraota’'7m îf"/'“ “.«filer son lit. paie, sonf- mîSta’ îï? iîu ’ “'i* ““ fi ievant u che- nlnM, oonsidénot ilaiu la (lac« ion visage de jour en jour plus altéré, lorsque le bruit icure,7;lîl??e’Ï Ï ir " ’”'®™’ ®®'“'vfo- «uunies ae Doue. Madame do Thoipanc éprouva une véritable frayeur. ürapd Dieul d’où vlens-iu? dit-elle. iirtroiT balbutia la jeune fille hors d elle. Te souviens-tu que, l’autre lour ,f®.’ ? r?® P*®*'®’ j® fait la môme question r Tu as invo/lté je ne safsauene réponse, mais tu mentais. Ose me dire que tu étaisf “ ®“ *®*®P®* I * maintenant où I irTicîÜS’ “ alhooreuse enfant, que t’arri- t-il donc? 8 écria Lucy en s'approchant do 0 ° iv r? 6 ”cùhl“ do” “'i®” l ■®® ‘®^'‘ ‘9® “ « “ «■ recula do plusieurs pas, ramenant derrière elle ses poings serrés. — Ah! je comprends .aujourd'hui rnnti - s , r ’c?rutS?,‘3 c r f 2 3 ” U ’3i„f™j.2i ?oT te ™«Aj.h‘i''“"9"‘““ «Iindolente comme toi, te ressembler en tout. J’ai pensé à ma m?™.'?® i?"” ®"® “ '«?««""« I.. Tu déie I... et, pendant ce temps tù, tu me nre tj.j. mon mort, toi qui n’usV s i? gsrdi’ /îe '" ‘«“ psd'nchévér ces jnou. Lucy avait bondi jusqu 4 elle le front 1 ère, reperbe d’indignsiion’ e f de ver.u'ï"-*. snrV?™a/.'®J“ “ '.’!“ "™ •' hIBIe, se posa «HT lépnalt de oelfo qui i’insuitn/l; celte i i o ™ e . ” " o i S ? i a ™ c S r t o ”,"™éiU®„'2 ®‘' “ dzH; s T te s ie r '” '”®'®'''*'® “ visagep'euchi S S £ S .x 5 ï .p S w S Ç H Ë I °è^rZ% W C “"“"'“'“‘“«ffireï? apprei!d™s‘ir"v?r?tV:’i^;“S r e 7 „ ÿ j . S îS £S “5 S t ï ? r l i s l s i i ruL U c”ï''fui'i!l?,I®‘"'®“ ‘*® “Bambri accou- £ | » “r » o irirn ”e - 7 na t pas connaissance, et Olivia anut ïïr l ton bref, presque dué: --“ «.«n .uiui — Qnna’Ml-il us4ér ' ; ’ ’V J'ftS'-V ,' Le refz lii^JanM d’efirla Nÿéfidfi,.

PRIMES NOUVELLES MILITAIRES I ® ® - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1895-1897/bms_js_1897_07_22_MRC.pdf · î® P“ «"‘ P«» l« dimension do 4 "30 dans QD sens

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Page 1: PRIMES NOUVELLES MILITAIRES I ® ® - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1895-1897/bms_js_1897_07_22_MRC.pdf · î® P“ «"‘ P«» l« dimension do 4 "30 dans QD sens

68‘ Année, N" S8.P a r a i s s a n t l e D i m a n c h e e t l a J e u d i .

" s r s s r « , i s s u .

Jeudi n Juillet 1897.ü a t n l a f r . i« |uSix m o u ... 6 f r .

ON S'ABONNE :- , A Seolls, aux bureaux da Joam al a « i.-« .i.

l ’ibonmmont esl paytbio d V « M n n-«i

“ “ “ » h n iç O T e u T to S Fe^iratiOD oo ne donne pas oonua<oidfe.

C O U R R I E R D E L ’ O I S E

PRIMESA N O S A B O N N É S

JODEKAL D« S ïN u s , d é t i r n u B d e r e c o ^ t l r e le c o iw o u r e f id è le q u e n 'o n t c e s tè d e l u i d o n n e r t e s a m is , a d é c id é q u e , le B « M I o b r e p r e o h a l D , - u n

* * P '* " * * » * r e p r é s e n ­ta n t to u te s v a l e u r I m e o r -

» era ief l« t i r é e s e n tr e , ses

anciens et les nouyeauœ, qm seront inscrits sur nos regiMres à la date dumo s e p l e ^ r a 1 8 » » , pour une période de six mois aunwins, participeront au tirage.. Chacun recevra, le Z oeloVre, son

“ ' ’®’ “ »«?««<*« numérotée. Ce '‘'^'nhUpour te tirage du

Nous donnerons prochainement une de nos primes.

b u r e a u x/ t, AdminiairatJon

6, place de l’Hôiol-dô-VllIe. h Senlis.

' î v Z r poor imWfer d a mlarroH{/t*«wj;n/ les /nskhtio.vs iuoiciaius.PRIX DES INSERTIONS •

A lm o n « .■ la |ig„e, o,20 o, Réclao.oo : 1, lip o ,0 ,4 0 c. Fajis divers : la llgue^ o,50 o.

On u acwpiü pas d'inserilon on-dossoii de 1 fr.

r .o 'i ï rilclomcs, etc., cooceraani Parts ol

dLm S’r o T ”" ” ® '

Tirago d;oblig«Hona dé U ViU» do Paria _v a û d . ' p i ï i m i ' f ^

p® “* «"ime 100^000 francs.60 000 fr. J .2 ^ .3 0 5 gâghent ohaotu

16 namicM acnt nm boanda par 1,000 Itauca.

b u l l e t inSenlU, 21 Juillet.

La.Cliambre a Toté avant-hier les qua-iorze articles du projet sur les quatre coolributione directes, y compris le dé-

p rin c ip a l d e 1 im p ô t fo n c ie r , e t e n sp é c i-I fiant, par 5.TO voix contre 23, que ce dé-

S !d l? T “dfi“Ç proportion-m a i ° achevé le jou rS iak IV ■ n’avait apporté,

J tonehMt 1 évaluation du revenu net des I ï™*"'*?*®’ non béties, un article addi- i h î i l i «lisonssion duquel lap am bre Best réunie hier matin à dix heeree. Lensembie du projet a été voté d .a i® *0 Sénat l’approuvaitdaéa laprés-m ididum êm e jour. Le dé­cret de clôture de la session a été ensuiteMt e“irtré*«“* ®‘ lo ParlementI ®8t entré en Tacances.

™ m »,® °“ '^'*!®“ .,^® P o u m e m o u th , en v o y an t q u e l a G om m ission p re n a i t a u sérieux s a p ro p o s itio n d e s e r e n d re p ré s •V ” à’j I l a a d re s s é a ii p r é ­

siden t d e fo C om m ission u n e le t tre lb iz a r re qui s u te rd o n n e le s fa m e u se s r é s i s t i o n s * n u e fo u le d e co n d itio n s te l le s q u ’e lle s é q u iv ^ e n t à u n e fin d e n o n -reo ev o ip . L es

gare du Nord ont dû rentrer chez eux, les uns furieux de cette mauvaise plai- santerie, les autres, les sceptiques, l’ao- cueiliant aveu une philosophie raiUeuse.La comédie devait finir de la sorte.

“Prenante Andrée a tenu laldhianri?“ 'i “™ ‘ « «’ost éisvédim anche d a n s son b a llo n e t a d o n n é le

è r i f o u a u t e Z ® ’ ®‘ *

D u coclier aserocluit un bisvcUita .asd n S l

NO U V ELLES M IL IT A IR E S I <>® ®I Î T i fr. “ idem uilé Jou rnalière de

I de^cmlo*”™™? '’ ’*"®'*'®'' .1®* avanlages

'£f?aiilfta2s^e'‘® S"erderEà laoissSmSrdeTr' ““®'"‘® ®®®®“"-mato’M 2®»«n™®®,®"®î''®®"” ®“ ®û“ os‘ion.

qui'ûîu"a“2?è”foiÆf‘”“ "'“ ‘ ®“® «®1®'“»“80oIem fln ? 'llP ® '‘ com m andé non- tout auirfl incend ie , m ais encore

. déplacem ent en v e rtu d ’unArA m S ? 0. **" pré fet ou d e l'au to rité

L e m onde où l 'on f r in »

1. « » 4 . , m p rtr im la a , im . v a l i r d î * J ? a y ï S ;

î u S t i a a î i ^ " ’ ’;> •* '•p ré se n té s dam hs u u ib q u . q n s p a r a c e llw e par b ab ilas i.L a F ian ce aa t ca lée p o c r 9 lir rc a p a r té ta .

Le* R o m tin i fo n u ie n t- i l i f

déô à r i ° “î l * ° î ' ■'‘'u m a l d-hygU n, noua le

J e u lieu auI v ® s®“ “*® l »Prés-midi, dans des KtfoütT ®j“‘’'®.V. '®“* ®‘“1‘ 1>.™

jd e ses u o u v S de joïr* en j“ l i ° “

INFORJUTIONSI H"'J"“,'V«"le«éeéoononitoue.■de Bldami Jî"i ‘"é“'riel bien’oonnn, et mairebJnm m l ,fe de paren te franeaiep iiR ère " “ cerne t de rente'l>0Œ ra?a t lî iS îa “ bonoaie dca re tra iteo de le

t e ; î a l ‘ r . a ® ® , . » Æ . t k K n S Üt ê V î K î V ® * ? .* 1™ 1™ "«- •* le r iu m i r

'•si...t5aSs".ïïrd.*m“û*rn'™"drî:2!

1ère au tu ^ .

.u."ra,t;7e.°t,7cal!tt,“3;: r -d " ™ S ti.® * I? i '''” ' f c prpp rié lé . narooliqnM

f a f t i î* « i D* ** ' 7“ “ “ »^® l 'i a u S iM d î”ï ï

K 'é s e r v i s t e s

asS é iS r^ en * t« 5 a " a ° ” ^ B udgétaires, sero n t Son •?!« vïsraa ^ 0 0 0 p é rio d e d 'in s lru o - 0*8 a". Téservisieà d es classes t 887 e t 4RUI

i S é e acUTO e t e t ap p a rten a n t aux classe 1888

drapeaux . 88o u 1 3 /o u rs ,so u tu x é sa ln s i qu 'il s u i t : in f in -

î i V “ ® « 8ra «1 96.687 c à u u o i ie r s ; gén ie ^

um ciers e t 81,658 bQmmes: ffendarm eriné 00 gendarm es; in terp rè tes milTiaires * 47

e t M 8,6t 6 snus-olBciers, capnraux e t soL

dépenses nécessitées p a r ces annala j® «olde. 7 .606,089 frao ra •

î^hfi?® iBute e t ded é p lsc em en i, 4,949 000 * n fis s™®®!®.l o n l'o lie n , 2 ,488 ,387 : indem^ n iié s de prem iè re m ise p o u r les efficient nnnvellement prom uarsO sK • î f o u r 8r s " i > ® „ ‘ h ' ® ^ ^

®®7 “ '®®* dépenses supplèmen-' s a S i P®“ l^PO 'Ioules e i lîon t ré n u m é ra tio n

1 1 ,9 8 8 ,™ f S s “ ’ “° “ “ ®® ‘° ‘®‘® '*«

S E N L I S

I m m b l o y c l i s t e s a u x m a n œ u v r e a ,

4“ '^2r 9? r Î 2n ^H . *®“J"'®* “ «"œ uvres des n is lro d e “ ®' f ' r “ '■B™ Bu m i-n is ire de la g u erre , tous les bicvclisiea Hab d ivers régim ents seron t g r o u X , n „n2 ou? n r^ î î '* ’®*®'® ‘*® «ïol'élM com batlanls ’ «ierniéres c p é r a l f fv u f d e ta h ir.°S ® ® ®,?“ '®®'®” ‘ « r o o l pou?; lerôn i la iu ? rh ie • l’'!.®"'®’ 1®“ «u*™» “ o n - i C e “ ®®*‘‘®® " « ‘<1® <I“0 'foBriqne l 'n r-

; ; ^ S “ “ S 5en cam p agn e, m a is a u ssi ap p réc ier ce lu i Ra» * " « “ 0‘l«l® «d® raaoh icM q u î î e C l i i f o

b ili l é f o d i s p e ^ E . ’'® ®‘ '*® ■®‘ ” “ -

n o u v e a u x e o l i a p o s t a u x ,an.®.'",®'’' ® 4‘é prom ulguée la loi re la tive

t t s S £ T “ ^ P - “ ï

î® P“ « "‘ P«» l« dim ension do 4 "30 dans QD sens quelconque, au n rlx fin 4 fp ok «n

E S E a S » :

i S S - H Sü^lfrtû A ®î-®oot'oi08 (y com pris le d ro it de

* « m h ? cootim es) q u an d le m ontaüt du re ^ o u rs e m e n t encaissé devra ôlre versé ÎS E® '®* Ifexpédileur 4 la « are oaa u bureau de ville de /^expédition e t 4 s s centimes (y compris le d ro it d e «0 ceoUmes?

tSé 3 domic'iîe” ' ’®®” ®®*®®' ' '® " “ «■■•«Le m aiim um de l ’indem nité afférenle à la

m i o ! *,î’ ®rl® ®" 4 1 a spolialion d ’un colis M ? é d e r4o'“f ? " ' t . ‘‘® “ * ,*" "® P»“ radéclarés f« ™’ ’ '®“ ®®1'* “ ™® la lo u rfe.“ ''n ia n t de ce lle valeur dans Ia« condiuons de i artic le 7 du décrel du 87 ju in

N onvellet mloM d’or.

i m p o î û S . ’ " ‘ « « • r t * -o n t tréa

U û9 chemiDée ea promeDAde. c e AtMoiamant nonveAn. a dd atm

? w in iln e dero ièrâ p t r le i hebiU m e de MiBohestep. d so i l’B U t de N ew -Y oïk «vx i * * ® ^ ^ ® W plecer u ne ehem ia ie d ’a iin a en briqnet, han te de v lea t-eep t m è t i î r e l d Ï Ï Î

" r o î ï ’s . î r t i r ' * ” “ ™* i’ ®* '°®’’ “ f " “é ta it da quA tre-Tioet-

» ; - . i ' l m K K ”u\e®‘, ï . ' ^ “

p » K à ;éîo” S « ? ” ’ “ '4'*“a a â “j i5 î J l ,® “ ' ° ‘‘’ ' • ®éP>*M“ eo4 s é té opéré

W4 I 'l . Vatano.,.flMnm “ * *“ ««« n°e

NaÎT6t4 : " * "Do médecin rend viaila é on malade elleliit

penvre "î®®"'' 9«» P « "» -v o n . î e mon

b r .T e t 'ï ê 'i r j ï ; ? ? ! ’ ” *^*” ' ’Maie voue le gn é rire i, n ’eet.ee paaV

foes Sopeups-Poiuplers.Nous croyons u tile d ’an a ly se r le oro iet de

6®“ ™''"®“ en l a déposé, le 6 Juinl a foi",î?®î ® “ i'^*'®'” '®'® “l®* députés. ’ La loi du 6 av ril 4834 a b ien m is é la

à araordo? m o 2' “ “ ®’ '®® '®'®"®“ ®' P®"»'»"« a accorder aux sapeurs-pom piers viclim ea daleu r d év enem sn tdans uS s T v h ic o m m a n d éà leu rs veuves e t leu rs o rphe lins

?'®1 ®« *«*• ®®‘l® p rescrip tion lé­gale res te leltre m orte, so rte n t quand les

S X ”'"®®®*'*®®' p®® ‘®® •■®“»“'-®®>, D au tre part, le nom bre des décés de

nîS???®’ ‘i°'!i‘"®r® ®1 ées incapacités de travail m i n S . ” ®*‘ Beureusem ent très

a n ? “Ijr®® ""® « '« 'isllque récen te , la m oyenne annue lle est de 8 s u r 280.000 pom piers..n m ^ ces conditions ilm,?H® 0®® .®Baque com m une versé l par été de pom pier e t p a r an , une s o m ™ tîè?

faible po iy constituer une vaste associatinn m utuelle intercom m unale, é ta n t donné nue

D en ?3 i® i,” ‘i ‘'® '° “ ® f ''® ® *®''®‘‘ " " « ^ é - 5Sl o n î ? . S ? '™ ' “ " ‘®* '®« « “ “ unes3 iJ? é ') J iî i" é r re ‘n T o ! ^ 2 ? r “ - ™ ' ’'®'®®-arilJ'.'a*®! l°® ®*I®“ 1» exposés é l ’appu i du pro jet d e loi, celte p rim e sera it de oîao ce n - im es p o u r les com m unes don t la population

? m „ n f Jî® P“« l ’»99 B abitants, c V Æ i r S ‘^I,^®!; ®* ®“ “ “ unes françaises • la

O fr 7o “ i ' r r J n ‘ é®B«lon«. 0 fr. 30,m I , da J ù ®‘, “ -'®’ ®“ ’ P” ®'' '«« ®“ “ -I nné a i i aEîP"'®"®" ®’l respectivem ent

h i b i i S ■ *“ ®‘ '* “ “ 99

3 îo * ï i? i? “r.''“ “ ° ^ ’®“ ® *®“ “ ® « " " u e lie do assu re r l i s . P » " 'd ans Î2 ?? ?? .? . P®“ P iers en cas d ’acciSent atiï.û. “ ®« « “ “ unes e t pour leura ttrib u er une pension viagère, à eux on ’

I-e» perm is de chasse,don.” ™ ? ' " ®®“ Bre de m em bres do nos deux grandes sociétés d ’ag ricu ltu re francaisn peursm vont en ce m om em une a r t ?o c ^ ^ M u e , dans le b u t d ’o b ten ir la sS ?2?e?s” 2 a n perm is de chasse e t son remoTacement c h J iïh ! “ '* m unitions. Ce q u ’on ro - J ï f r c h e avant tout, c’est la réoreshion du b raw nnagô. O r, il est p r é s u f f i e . Z s“

p lébicisle su r la question’du rom placem enl du perm is p a r un im nél su re ï r f e * ? . ? ’ bra’conniSrs s S ? Æ tK ï S . ca r ils se passent deperm is, qiais non de m unitions.

Vaoaoces scolalpes.

commero is e “ prim aires publiques de

4 » D u d im anche 8 août au 4 • ' octobre nm ..

i « a T h r r ? 8 t t î ? ; 2 7 “ “ “ " ^

po|^Mî“roÏL'“mérs?oU"n’”„??'p™

C o n t r l b u f i o n s i o d l p e c t e s ,£ p reu v e vélocipédique.

h n lia? . i?2?‘’ ‘"™®'®®r générai des cn n tri- S ô r r t i i n ï® ° ®?’ ® é 'u tlrib u er une

f-®'®!® «“ * éunilW ais a u s n r - S t e ? 9“ ' J"é ‘'«« ra ion t de leu r aptitude

! îd ®" éouséquence, chargé ivM fes d i Z ? “® é»"®«rt

foXréTrvfcrusv'?if“ ^au su rnom éraria t. Cependant les a S /a i-

«n® |“ pourront y partic iper, r * ®o*o de ClermoDi e t re tour

qu aura lieu ce tie^p reuve .

stc"eL?f? d’ ,"“30‘ f r ln T *>®' “ ®'“"® _______

a i 7 K i ‘en':“s’Œ T 4 ‘* ? o M - —fo rnji*<îmnm®î‘ ‘®''®‘l“ ® ' é " ' tou rnée a tte in t p ar foîir r l? “ “« « « œ . «oit 38 kilom ètres

? ’ ' “ “ ■'■«"•«“ ont à ce qui se passe p o u r tous les au tres em ployés d e l ’E tat les facteurs voient souvem leu rs salaires d é-eués™ik'®Ji, "*®’ '’“ '''® 9 “ ®’ ’ '®“ B's e t fa ti- cmî?i ! î o lfectuer un long p ar-

t o ï é e ' s ' i r p l s t a . ' " ’ ‘‘*"‘“""®® '®®

r w “i® -®?ufosse“ 3?‘d[S2li„®u®.“ ® “ ““ ‘™ ‘®“ ®“ ‘é,-® a ' ®*'’“ '''® " « ■’éussit, la m esure s o n mente” ' ®“ ®“9“ ‘™“ en t aux a n tre s d éparte-

•*“ P i ’e m i e r d o n -

""" lé llé in o n t nom m és doivent sun- p o rter u n e re tenue du douzième de Z rcette rnZ'ii'L"®''®'® “ '■é“ " ‘. l ’B 'al exerçait celte re te n u e en u n e fois, de sorte qu ’un employé éta it en irérem ent privé du prem ier mois de son traitem ent, ce qui a b o S S a ,”i pour les modssies fonctionnaires, à des 000 séquenc®s pouvant ê tre regrettab les.

Le Conseil d E tat, su r la nronosiiinn Hh <*88 finances, v ien t de p o rier re

môde 4 celle situation. Désormais la r e î l nue du douzième sera exercée p a r q u art sur

A prem ières allocation? m ensuelles Le fonctionnaire, au lieu de n ’é lre rô trihuâ qu 4 p a r tir du second mois après sa nom ina

on, supportera donc pendant q u a tr^ moi une re tenue d un q u ar t de son traitem ent.

Aux abonnés du Chemin de for du IVord.

La Compagnie du chem in de fer du Nnrfi a soum is â l ’homologation m in is lé r iS e il v

nouvelle édition dé son h rf ln « f i.ir ®8“ fenant de nom­breuses réform es qu il sera it trop long d ’ônu-p t ? l p i „ " t “es"®.®"“ '® ‘'®®‘*“ ®'®^'®®“ -" x

d s S Sra ires différents dans les mômes conditions

P|îyfe“ f s d e billets d ’a lle r e t re tour rfii ?oB nm em ployés e t ouvriers, en géné- ra l les personnes qui ne peuvent pas débour­ser d une seule fois le prix d ’ in abonnem ent d un an , pourront l ’acqu iiie r en douze foupar versem ents m ensuels. **

Il n ’est pas douteux que ces réforoièB ««fo n t goûtées du publ’® ®"— * ■■ ro n t ê tre appliquées

Nouveaux xvagons.La Compagnie du Nord essaie en ce m o­

m ent su r le.s d iverses lignes de son réseau m û Z d s I e I il® 1900, un n o u ;veau m odèle de wagon de a» classA Ces wagons sont re liés en tre eux p ar une S ? » ” *»®, i™ ®"®®**’" " Bout du t r a i Z â

{B«é""’ “ o’ o o Z p li? n “ m s f c e “nouÇ ?2us???

I m e t r i ï x p o r t ? , ” .” ' ' ” ' ' ' ' ’ ‘’®®®“ - " ’ ®“

M d C B f a c t e u r s r u r a u x ,

s e c S î e ‘’W i “ S " ‘'® " ’ O é'Péuoh, sous- secrétaire d E tat des postes, M RniirhArm inistre du com m ercé, v ien t d ’a S s e ;

C éîesidn‘ N L u “ ' ' i ‘'? “®"°'®®®‘® (é fd en n e s ,L O tes-d u -N o rd ,.fn d re -e t-L o ire , O rne et

Counao d’automobilea,hn.®®n *'?PPO.*ons que la Course d ’automo- 24 foifirt'? l'a ®Ç'’® ® 'i ? “ *®“ ®“ ‘ P'UéBuin, resMulsi’ i®;.® ®x'°a"‘' ‘‘'“"®'«« plus inté; d ? n i h J i r i ® pram léf Sé fora vers nhAt ï’Oufe d Arques, en face du

? în ts foscrils ” “ '®'’' ’®’ ““ 9»®®“ !--L’élil® des chauffeurs français e t an -

glnis p rendra part à la fête , sous la nrési dence do M. le baron de 7,uyle„ nrés?denl de I dulom oéiie-C ’tu è de France “ ™®'®®"‘

po3?®r”a"soi'd '6 sam é'” ' ” '■“ “ ’ “ ®‘’ ®“ “ ®“®

's é e “ ;a“ ‘s” " t e " é V ? ? a t ”e " ' ’ ' ? ® ‘’“ “ '® ® '® '’ ®“ ®-

e s t '- f o e T . ly é ” " " ' I® “ é f i é r e Séance

Conseds d arrondissem ent à ce jour.j ®'l> « u s l a p r é s i d e n c e d e M T h ié

son” b Æ “ s'’„ „ r n ’„ œ ‘'-” * ‘''*'“ " “® •'»

v i c e - p r j S Æ

ral?îs?î“ilîi[22”i2 ® ;r? 2 X ^ r J p w S S f S » :

Le Conseil décide que le raonriri An m i.,

f e s S S î S

l i s S

s e h n à m ' ' ' ' ï p ' / P » " ’’ le personnel en- un v œ i leüdnni ^ " “" '" 'd propose d ’ém etlre

g u i e Ï Ï e r S de“ e?"a”d o r S ? l'e“ .“ S

hou de 80 0/0 su r le la? if eîd fna iro Le Conseil s associe à celle proposition.B ille ts d 'a ller e t r e to u r — l a rnncaii »a

i S î s s s sL o 'Æ s a l r * * “ I ' ‘ule des gares. -

s â s F f p ’ï'ï.îî.ri.ïsoit fait d une façon p lus complète

géné?al ?u?’1 ’2r i m ? ° i '’“ ‘l®“ B"® '^®"“ iigraiMie V?c2nli , f ' ,®'“» i u o n t dans ia

fiAnil f • est trè s fréquenté e t n rL

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| S 0 I E B T D 'E r i U E DPAS

L é o n d b TIN SEA U

XVII (mite).

l sùixta ‘ 2 î? j ? f’"®®'® “l* "® B0“ “ « -Ibérése ' l Æ ^ l 'J ® ”'; ®“ r« l rencontré lusdsd’evenZ.îili®”?® ®“ ‘•’î"'™| é qui S . fiuélqu nn et qnelqne chose, Tsnvro èîlhi gr«"de ambition pour ieK n o ^ , 3 “* ' ‘ “ i® *"« "» «P » tœ ur fP ro u B é r d’avoir tronbié

h ? M » „ t ’S i . r n c e '. “ ' ®“■W vonS“l®.'®;®,®Ber. dit-ii enfin, pins cher Votant. croyez pour pouvoir en dire

I,'é?« ”o”?îeSî“ ™n?l “ ®’®®‘ I’®® .B®®®‘“B*P8rcevoip VI comme moi poçr I «ïe bien des choses. Moi autSi,

■’e y u tp m

je donnerais pas m al d ’a rgen t ponr une veusfussiez m ariés dés ce so irf *™“ ®9“«™ n«m ad a S ? * . if*!™ "*'' I" com te, vous faites

1. ®-'' B'"® ‘"'■‘■'Ble qu ’elle n ’est !ép iJ iâ “'■*’'"'®'®® “ ’'‘ ® ®‘ B®“®» '®®«•.rtÆ f?® !.® ? i®'!” 5.®' “ «dam e Z e l ln e r l l l s n if îA pendan t que j ’yt’Aiîia î Ja } d o n n er un conseil : sin ^ e t iÏ ^ bK fe j®«r des? 2ïïî»?s!ni® *P“ \ “ 6.“ e , j e partira is pour lA m érlque , afin de v isite r les p ro p r ié té de

ChÔs锓 ™ r nîn™''®*® ‘®™'‘ ""® B»""« cnose ... pour plusieurs personnes.Le comte tressa illit e t reg ard a le dortAur

p o n r d ev in e r quel sens i l fa lla it d o n n er 4ces paro les; m ais les je n x g ris d e son iniAPt o f é î 'd 'a ” '®*®®'.!*'®'” ™ d e rriè re i ’épaissê fo rê t dM sonrc ils. P io r ri je ta son cigarefaiîdflM Hm /i®"*°llda tranqu illem en t i’écha-

t e “ a?Sme“ Irt”r ®‘ ® '®®“ ®’ ®®— Allons re jo in d re ces dam es.

. . f 5 J« "d « “ «in “ a tin , R o b ert sonna son l î U . j ° ‘ -™’ *,'’ “ P™l“ s d ’noe nég li- g suM do service, in i a d r a u a une verio réprim ande. L ’hom m e fu t in so le n t; on ed t d it que lui m ém o cherchait à se y a iie renvoyor. I l fo t congédié s u r l ’h eu re e t n r a ï t m id i, il avait qu itté ia m aison d n comte

A ia m êm e heure , O livia tronvait dans son co u rrier ia lettre su ivan te , irré n rac h a b iem en l calligraphiée su r p ap ie r or?iinaireS i P ® ® . ® ®®‘ B®®“ ‘" f*® *“ d ire , — veuve do ton ie s ig n a tu re :

< H ademoiseile, c Vos compatriotes passent ponr n ’avoir

p e u r d e rien , e t vous vous s p p i ô ^ g iu , i i . f ie r n n e fois d a p lus lotir répn la lion , on pro-

J f y S r ' i r i l u r i r i Z s l T d ' S a i r tvô"?e?Sa'ns“ ' f f i “ ” ‘ ‘''®i™ “ * “ ® “ «snrer le

v t ' s S f ro”n " ? S H v Ï Ï s t t a ' * i ‘e ' & K l !

baronne de Thoirans q u el m otif im périeux un sam edi m atin ,

le lendemain du jo u r oû vous ê tes a r r iré a un peu trop tard p eu t-ê tre . m Jd eZ îsi^ fle 4 la représenialioo des H u g n e n o tt. tand is uiie

heure.®*» ^ *«*“ “ ®

Le prem ier m ouvem ent d ’Olivia fu t de I®” **® j®‘®‘‘ “ “ ® calom nie

ü ®j^K^®“ .“î ? ‘l “ ®lfe osllm ait le plus sœur®** ® Q uelle considérait comme une

*®“ de son pays, rienn é ta it p lus nature l e t p lus o rd inaire que de hAmaSS®^^“ ®®i.?’*® “ ®“ ® fo n d re visite 4 un t e ï Biî J S ® dans le sc irco n s-tanees ac tuelles, .pouvaient m otiver cette H^TAiîh ja lousie, ce dém on avidede to r tu iw q u e Dieu a m is A côté de l ’am our terrestre , san s doute p o u r que le ciel d 'ic i- lolAJÏfc 5i®“* fÿ w .p o in t oub lier l 'au tre , la i o î S i 7® ^®*®* ® l® °®ble confiancekSn^ J“ ®Que-ià tranqu ille s ’envola bien

. « l î ï i A r t anonym e d isait v ra i : ce lte soirée A 1 O péra avait é té un. long tôle-4 tête *^Â'' “ *<l"î|®<lo Thoirans e t po u r R obert.

Quand Olivia les avait rq|oUto, elle avait l®*PllQuer d'abord, un trouble

profond dans les yeux de son fiancé» En ap-

S K “ l S ‘ frs!®‘‘î <1“ ®.“ «dam e Z ellner éta it placée en face de lui, e lle avait cru 4 un

so ire n f r8“ M M '«™ °'"^ douloureux vers des avaU ï ln n ÎF . “ ®** ’® ®®“ fe lui-m ém o H flnn î “ Î7®“ P®» UpOrÇU SOU 30-ollleure la felloli oonc chercherdînail-™ “ “ ® ém otion ex trao r-

Bf, le lendem ain m alin , la baronne éinit

S r n fh f ' s ' T ' f ®‘ '® ” «ig« ™ l le éiai?à cà?le én .tns B® ®®“ ’ '™ “ Blanle, donDaiit mvslér1e.«a ï “f î"*P««œ une explication “ 2?aiî oH« J i? a?.®‘ ‘’" 9 “ « " " « " • Pourquoi "er/ogéa • ®J*®L “ *“ « “ '«Iro in -

de chez ton fu tu r .. . » c n S Ï Ï 8?„®™ï®Q“ l «ronde, s 'élève , s 'ac - t & S d a ! À ! r I \ t f V ronverser. des bouf- e W S ï ï i n H J î ‘ ‘*2®* " “ ®?P® “ ®*" d ’injustice S i i« î®**®nl|raent envahissa ien t le cerveaufuelse '” ”!?,”! " ' . ’ “lî"® " « ‘o reT m pé? J S m r A LiJ® ^ ®'1®-“ Ô“ ®. incapable de Jrès S i Ia » *'"!a“ ‘®'‘ “ ouvement, les pro- M DoSvili S** ‘®. étaient rapides, et rien d?ovSSm? *®*Pfe8ion fou-

d irec o m m e o t’ daps ia cham bre d e sa co ï?

fraota’'7m îf" / '“ “ .«filer son lit. p a ie , sonf- mîSta’ î ï ? i î u ’ “'i* ““ fi ie v a n t u ch e - nlnM , oonsidénot ilaiu la (lac« io n visage

de jo u r en jo u r plus altéré , lorsque le b ru it

ic u re ,7 ;lî l? ? e ’Ï Ï i r " ’ ”'®™’ ® ® '“'v f o -

«uunies ae Doue. M adame do Thoipancéprouva une véritable frayeur.

ü ra p d D ieul d ’où vlens-iu? d it-elle . iirtroiT balbutia la jeu n e filleho rs d elle. Te souviens-tu que, l ’au tre lour

,f®.’ ? r?® P*®*'®’ j® fait la môme question r Tu as invo/lté je ne sa fsa u e n e réponse, m ais tu m entais. Ose m e d ire que tu é ta is f “ ®“ *®*® P®* I * m ain ten an t où

I irTicîÜS’ “ alhooreuse enfant, que t’a r r i- t-il donc? 8 écria Lucy en s 'approchant do

0 ° iv r ? 6 ”cùhl“ do” “ 'i®” l ■®®‘® '‘ ‘9® “ «“ «■ recula do plusieurs pas, ram enant d e r riè re elle ses poings serrés.

— Ah! je com prends .aujourd'hui rnnti

- s , r ’c?rutS?,‘3 c r f2 3 ” U ’3i„f™j.2i?oT te ™ «A j.h‘i''“ " 9 " ‘“ “ «Iindo len te comme toi, te ressem bler en tout. J ’ai pensé à ma

m ?™ .'?® i?"” ®"® “ '« ? « « " " « I . . Tudéie I... e t, pendant ce tem ps tù, tu m e nret j . j . m on m ort, toi qui n ’u s V s i ? g s rd i’/ î e

' " ‘«“ p sd 'n c h é v é r ces jn o u . Lucy avait bondi jusqu 4 elle le fron t 1è r e , rep erb e d ’indignsiion’ e f de ver.u 'ï"-*.

sn rV ?™ a/.'® J“ “ '.’!“ "™ • ' hIBIe, se posa «HT lé p n a l t de oelfo qui i ’in su itn /l; celte

i io ™ e .”" o iS ? ia ™ c S r to ”,"™éiU®„'2®‘' “ dzH;s T t e s i e r ' ” '” ®'®'''*'® “ v isag ep 'eu ch i

S “ S £ S . x 5 ï. p S w S Ç H ËI °è^rZ% W C “" “" '“ ' “ ‘“ « f f i r e ï ?

apprei!d™s‘ir"v?r?tV:’i^ ;“S r e 7 „ ÿ j . S

î S £ S “ 5 S t ï ? r

l i s l s i iru L U c ”ï''fui'i!l?,I®‘"'®“ ‘*® “Bam bri accou-

£ | » “r » o i r i r n ”e - 7na t pas connaissance, e t Olivia a n u t ï ï r l

ton bref, presque d u é : ■ - - “ « .« n .u iu i — Q nna’M l-il u s 4 é r ' ; ’ ’V J 'f tS '- V , ' Le re fz l i i^ J a n M d’efirla Nÿéfidfi,.

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émi& o n TOBO en faveur de radoucissem ent d e la cote d e C rell.

H . r io g é n ie u r d e ra rro n d issem en t, qu i a fa it u n e .é tu d e com plète de cette question , expose au C onseü que. ce lte cOte éU n t en lig n e d irec te e t bordée de m aisons su r tou t son p arcours , l ’adoncissem eot ne pourraita v o ir lieu sans des dépenses considérables q u e te départem en t bés fa ire .q u e te départem en t h ésitera it p eu t-ê tre è 'a i re .

l i estim e qu’on a tte in d ra it le m ême ré su l­ta t avec u n e dépense beaucoup m oindre,

•eU c ................ta Ville d e Grefi consenta it à*construire ia ru e d e ia B riqueterie p a r ta Gavée ju sq u ’au chem in d e g ra n d e comm unication n<> l d i . La Viiie d e Greii en dem andera it alo rs U c lassem ent com m e chem in de grande com ­m unication , e t la cote ac tuelle sera it c ' classée pour d ev e n ir u n e ru e de ia ville.

Le Conseil d ’arrond issem en t signale à la V lile d e Greii ce tte so lu tion , qui donnera it satisfaction à tous les in térê ts .

S u b v e n d o n t d diverse» Société». — Le Conseil appelle la b ienveillan te atten tion duConseil généra i su r les Sociétés d ’agricu l­tu re , d ’h o rticu ltu re , d ’arcbéologie, et î ’Assod a tio n philo lecbnique, en vue de subven­tions à le u r accorder.

Archive» de la S ou$-P ré fec tw e. — Le Conseil dem ande ia continuation de l ’alioca- tioD d e 300 francsm ccordée aux employés ia Sous-P réfectu re , pour l ’en tre tie n et classem ent des arch ives.

Ecole p r im a ire supérieure de C reil. — H . C oquatrix fa it co iiiiaiire que le Conseil m unicipal d e Greii se dispose é faire les sa - criQces nécessaires pour ob ten ir, dans celle v ille , rin s ta lia lio n d 'u n e école prim aire su­périe u re . •

Le Conseil ém et le vœu que celte école, appelée à re n d re les plus g rands services d an s la rég ion , soit créée aussitôt que pos­sible.

R attachem en t de la com m une-de Borest a u can ton de Senti». — M. le P résiden t donne lec ture au Conseil de la délibération p a r laquelle le Conseil m unicipal de Borest sollicite le ra ttachem en t d e celte com m une au 'can ton de Sunlis, e t place sous ses yeux le plan jo in t a ce tte dem unde.

Il ajou te que les raisons que fait valo ir ia com m une de B orest sont trè s sérieuses et qu e les h ab itan ts n e re tire ra ie n t que des avantages du changem ent propose; m ais, d |u o au tre rOté, il c ra in t q u 'en en tra n t dans ce tte vole, d 'uu tres (leuiiindès aus>j ju>ti(it>es que celle de Uore.si ne .'e p roduisent, ce qui e n tra în e ra ie n t la dosorgani&utioii dos c i i - conscriplions cantonales.

M algré ce tte d e rn iè re considération , le Conseil d 'a rrond issem en t donne un avis favorable au ra ttachem en t de ia commune de Borest au can ton de -Sehiis.

L’o rd re du jo u r é ta n t épuisé, la séance e s t levée a m idi.

Les m em bres du Conseil d ’arrondissem ent ré u n is hors séance, on t p ris la délibération su iv an te :

« L es m em bres du Conseil d ’arrond isse­m e n t d e Senlis ré u n is hors séance le 4*J ju il­le t 1897, pensan t qu ’il est u tile de m odiller ia lo i du 21 m ai 1896. re la tive aux presta­tions e t à la répartition p lus équitable des con tingents pour l ’en tre tien des chem ins de g ra n d e com m unication, p rien t MM. les S é­n a te u rs de voulo ir bien h â te r l ’examen de la proposition de loi volée p a r la Cham bre des députés depuis p lusieurs années et ayant p o u r b u t d 'au to rise r les com m unes à rem ­p lacer en tout ou on partie le produit des p resta tions p a r des centim es additionnels*

« E n vo tan t ce tte loi, MM. les Sénateu rs au ro n t donné aux populations d e l'a rro n d is­sem ent de S en lis une satisfaction réclam ée p a r eux depuis de longues années . »

A t r a v e r s 8 e u H s .A ssocia tion ph ilo iechn inue. — Voici le

program m e de la distribiiiion des pri.x de i .Association p ltilo lfb fin ique , qui au ra lieu d im anche prochain , dans l'ancienne église

excursionnistes ; & l’a rriv ée & Saint-V aast, v isite d e l’église.

A H elto , visite du parc e t du châ teau .Visite des églises de H e lie e t d e Gires-les-

^Hello.D épart en voiture p o u r Foulangues.i le to u r à Greii.A rrivée & Senüa p a r chem in de fer & 6 ou

à 7 heu res .Les dam es sont in v itées à p re n d re p a rt i

celle excursion.Los inscrip tions se ro n t reçues ju squ’au

lundi so ir 26, chez ie sec réta ire , 6 ,-rue de ia T re ille .

L 'tm m euM e B lanehet. L’enquê te d§ comniodo e t incom m odo, instituée a la suitedu vole du Conseil m unicipal, po rtan tacqui-j - i.j: l, . ... . .sillon de i’im m enble B lanehet, p ar con tre u n e re n te v iagère annue lle d e 700 fr. â se rv ir aux proprié ta ires, est term inée de­pu is hier.'*

E lle n ’a donné lieu A aucune réclam ation, e t l'adm in islra lion m unibipale a fa it tra n s­m ettre A ia préfecture le dossier; elle espère o b ten ir, incessam m ent, l ’approbation do H. le P réfet de l'Oise.

On sa ilq u ’il s’ag it d e dém olir ce tte m aison pour é la rg ir ia place du m arché A cet e n ­dro it.

mesures |u cas où Moulin serait accepté; mais j'a i le regret de dire que, jusqu’ici, aucune ré­ponse ne m’a été faite.

Pour savoir à quoi m ’en tenir, J'àl dù écrire i notre dévoué président, M. le comte Torquet de la itoisserle, qui ne se trouvait pas à la réunion, li a bien voulu se déranger lul-méme pour venir aussitét m’apporter sa réponse : j 'a l su alors qu’un des membres du Comité, u n s en avoir reçu mandat do personne, avait engagé do iul- méme trois coureurs — et qu'il ne pouvait ledésflvniiAr. '

A u Q uartier Ordener. — Le G énie fait procéder, en ce m om ent, A des travaux de réfection d an s ia cour du Q uartier O rdener ; en m êm e tem ps, l ’une des ailes va su b ir un recrépissage complet.

Lundi d e rn ie r, le général Q uiqueret, ac­com pagné du com m andant Lévy e t de l’a d ­jo in t G randp ierre , es t venu in specte r les travaux.

A rrivé à Senlis p a r ie tra in de 8 h . 40, le généra l en es t rep arti à m idi.

In s t i tu tio n Saint-Joseph de C lu n y . — La disti ibulion des p rix A l ’Institu tion de R e li­gieuses d e S ain t Joseph de Cluny, A .Senlis, aura lieu m ercredi p ro c h a in 28 ju ille t, A une heure après-m idi, sous ia présidence de M. l’abbé L aurent, c u ré -a rc h ip iô tre d e notre ca théd ra le .

L'exposition des dessins e t ouvrages m a­nuels se ra v isible A p a r tir du d im anche 25 ju ille t.

La re n trée d esc la ssesest fixée au l«pi« '*- rred i d ’ocinbre

désavouer.Co sera donc couimo à la loterie : trois cou­

reurs, trois prix I...Je remercie mlilo fois M. Turquet de la Doisserie

de sa réponse, et J’espère qu’il en sera félicité par toute notre Société.

Après l’incident que Je viens de relater, j ’ai entendu dire que plusieurs membres, de la So­ciété allaient donner leur démission; j'espère qu’ils n'en feront rien; il faut qu’ils restent afin qu’au rnnnuvellomeni du Bureau, en janvier 1898, ils aident les membres indépendant à éliminer du Comité les éléments autocratiques.'

Il est, en effet, intolérable que nos jenhoS'geos do Senlis, qui pour la plupart, après un» journée de dur labeur, vont s’èiitralner au .Vélodrome, soient obligés d 'aller sur d’autres pistes pour remporter dés victoires qu’on ne leur donne pas l ’occasion de remporter dans leur propre ville, alors que l’on paie fort cher pour avoir des cou­reurs parisiens qui, peut-être, ne valent pas les nôtres.

Je vous prie Instamment d ’insérer cette fetlre dans votre estimable journal, et vous présente. Monsieur le Rédacteur, mes respectueuses salu­tations,

• A. BnËCHi,Champion de vitesse.

16, place Uenrl IV, Senlis.

T o u r i n g ^ - C l u b d e F r a n c e .Voici la liste des personnes d e l ’arrondis­

sem ent d e Sen tis adm ises au Touring-G lub p en d a n t le mois de ju in :

Acy-en-M uitleo : H . E. D elozanue, négo­c ia n t; M. J . G uéret, négociant.

Guvergnon : M. J . P inçon , re n tie r ; P inçon ; P inçon . \

S aiu t-L eu-d ’E sseren t : M. H .-L . F ironet, chim iste.

I ^ a v e n t e d e » v o u p e » d e b o i a . La ven te des coupes d e bois an ra lieu le

<3 octobre A S en tis, ie 16 A B e a u v a is e t le 18 A Com piègne.

I V o s x ^ o o l t e a .Après u n e tem piôralure hum ide e t o ra ­

geuse, su iv ie d ’une bonne qu inza ine de cha leu rs qu i o n t hAlé singu liè rem en t l’a r­riv ée de la m oisson, u n e p lu ie bien­fa isan te e s t ven u e A p o in t p o u r ra fra î­c h ir l’atm osphère.

La b e tterav e se trouve fo rt b ien d e ces conditions e t e lle con tinue A progresser aussi b ien d an s sa ra c in e que d an s son feuillage, qu i couvre A peu près com plètem ent le soi. Les dêm ariages son t parto u t achevés et m êm e e n beaucoup d ’end ro its les dernief-s b inages. O n n e signale aticnn dégât p a r ie v e r b lanc . O n com pte donc s u r u n e excel­len te récolte, si la tem p éra tu re continue A ê tre aussi favorable .

Les fourrages d e p re m iè re coupe so n t enfin A peu près re n tré s ; ii y a e u , p a r su ite des pluies, quelques pertes q u i, il /a u t l ’espérer, seron t com pensées p a r une b o n n e deuxièm e coupei

La récolte des seigles es t te rm in ée , e t dan s quelques jo u rs les blés e t les avoines tom­b ero n t d e tous côtés sous la fau lx , la sape oula m ai.lk ,M A J~<...... » . n 21 - J . _____ _ ■ta m achine . Comme il y a peu d e verse, ia m oisson d u re ra p eu , e t ii fa u t souhaiter dubeau tem ps p o u r ce tte g ra n d e e t im portan te opération ag rico le. La m oyette es t toujours fort p r ^ n i s é e , su rtou t q u an d le tem ps est in 'certain , e t ji e s t bon d e ré p é te r que pour a v o ir d u g ra in d e belle q u alité , i f n e fau t pas a tten d re , p o u r couper e t m ettre en m oyette, u n e m atu rité absolue d e la récolte. O n s 'a tten d A u ne.boone m oyenne.

1” juillet, notamment, une scène d ’uno certaine i

Î ravité attirait aux fenêtres les voisins de ces I eux femmes.

et Lofèvre (Emile), de Creil, ont dernièrement é u l *;“ rpri8 par tes gardes de Cbintilly au m o m ï*

La préw niie est en état de récidive, oyant été I quw l i ï K ’é S J n Ï Ï J lS ï r e S d î ï* ^ ^

^ co n sé q u en ce . le.Trlbunal la condamne au- K t e ^ e Æ a jo u r t’hui en un mois d ’emprisonnement. SS

. volontaire». — Méiaye (Léon), 61 ans, le* ravageurs des bols. '“ * • 1Al Vuimfknil ! _____ ____ I I

d ’météi ’io.

et N m ond (Aimée), femme Méiaye, manouvriers a Morienval, possèdent un voisinage peu agréa­ble ; nous avons nommé Elise Frémont.

Ce. voisinage a amené des querelles entre les époux Méiaye et Elise Frémont.wux «eiaye et KUse Frémont. »arrou, pour venir loger en u

Les débats se terminent par une condamnation I ^ j®® P".*otiily,i Creil. Son habitation n’av»w des d e u prévenus en 16 fr. d’amende chaooir. * “ ......... .................La loi de sursis est accordée A la femme Méiaye.'

- - Leseur (Victor - Nicolas),67 ans, manouvrier, sans domicile, un mois

s„sL“ 2 Douchet, femme Boucham iïi h ^ *“ *• *I“ ltta, 11 y a environ un m , im

loge*' en l!^ v é e d e p a n t i i l y , A C reil. Son h ablta^nn^ayiM In î5 t? lui prêta m lpoêle, lP*l®^â^®™jéremem c e t^ m u n à ile l u i r a i

d'emprisonnement.Coup» volontaires. — ‘TOujours des coups.Fûuroy (Joan-Louis), 40 ans, et Procès (Fran­

çois), 38 ans, manouvriers A Versigny, sont con­damnés ; Procès, trois mois d’emprisonnement, et Pourcy, un mois, avec loi de sursis. '

Barlemunt (Albert), 18 ans, et Cannaert (Henri), îfl *u®i ®ulüvaleur8 A Roos-Fossé-Mariln, chacun 16 fr. d amende, avec loi de sursis.

Manchecourt (Charles), 46 ans, et Scbrydér (François), 29 ans, manouvriers A Tblvemy. cha­cun 16 fr. d'amende.

Dri» de clôture. ^ Vaugon (Julien), 18 ans. manouvrier A Borao, 23 fr. d ’amende.

d S & i ' «“s?* PS'U- W r. <l"te " e u e Md allumer au milieu de la pièce un petit tasdî charbon mélangé de chiffons. El pour que w

rien, elle form a^erm éiiaÏÏ ment sa porte et les volets de ses fenêtres. Hgk la fu m ^ suffoqua bientôt la malhenreuse « Mmme il s en ^h ap p a it des filets au travers’dS fenêtres, les voisins vinrent frapper A la porte

La locataire ouvrit avec quelque dilQcmté a t elle n ’y yoyalt^plus dans son antre, p i s c i ï gnant qu’on ne ï’inquiélât A la suite âe Mtte S prudence dangereuse, elle s’en Alla passer q t i que temps chea sa mère, A Lucbeux (S om m ai son retour, le 17 courant, elle fuuintorrogée s»1 acte qn elle avait commis et qui aurait pu avfrft des conséquencos d ’incendie et d ’asphyxie ei n. procès-verbal lui a été dressé. “

C rixe gers sen t lemi que buth

Le line bruy croix taire, vin . I débit qualr sortir jam ai e t poi m and

Vol de poules. — Bor (François), 60 ans, ma­nouvrier A Mortefontaine, a soustrait, dans un moment d ’ivrosse, des poules au préjudice LBiu*onçon.' Quinze jours d’emprisonnement.

Vol d ’oljets mobiliers. — Derop (Jean), 32 ans, manouvrier A Auger-Saint-Vincent, est disparu I

T rotto irs et cyd isifis . — Le cycliste a-t-il le d ro it de passer su r un Irolioir ou une conlre-n llée. oii ne peiil-il le faire que grâce à une lo léronce? C’est la question que nous posent p lusieurs velocem eo.

L’arrê té préfectoral du 29 février 1896 nous sem ble régler trè s nettem en t la ques­tion. Il éd icté ;

Art. 6. — La c ircu lation des vélocipèdes est in te rd ite su r les tro tto irs e t contre-ailées affectées aux piétons.

« Cette in terd iction n e s’étend pas aux m ach inés conduites A la m ain.

€ Toutefois, en dehors des villes e t agglo­m érations, la circulation des vélocipèdes pourra s ’exercer, su r les tro tto irs e t contre- allées affectés aux p iétons, le long des robtes ou chem ins pavés ou en é ta t de réfec tion ».

Cette disposition n e fa it que reproduire d ’une façon concise un passage de la lettre m in istérie lle apportan t aux préfets le mo­dèle de l'a rrê té en question e t qui es t plus explicite encore :

S ain t-P ie rre , sous la présidence de M. P éri- gois, sous-préfet de S en lis, assisté de Al. R ousseau, oflicier d 'académ ie, professeur e t m em bre du conseil d 'adm in is tia iion de lA ssociaH on ph ilo lechnique de P aris :

1“ L a M arseillaise (R ouget de l ’is ie ), par la Socié té m usica le.

2® A llocution de M. Brochon, président 3° B apport su r les Cours.

/ ’flÿsans. chœ ur (A. Sain tis), p ar la Société chorale la Senlisienne.

5“ Discours du M. Péiigo is, sous-préfet.6® F ausia , niiircho g u en iére, par la So­

ciété m usica le.7“ Allocution de M. Hoiisseau, délépué de

P a n s . ®

« Vous ne perdrez pas de vue, d it-elle , que la règ le générale (p o rta n t in terd iction aux cyclistes de se se rv ir des tro tto irs et con tre-a llées) ainsi posée com porte deux exceptions. D’abord les cyclistes sont adm is, d une fa ço n perm anente, A em prun te r, en dehors des agglom érations, les tro tto irs et contre-a llées bordant les voies pavées où la m arche de leurs appareils diffieile et périlleuse. En second lieu , ils jou iron t d e la môme faveur, à t itr e tem poraire, lorsque la cliaussée de routes ou chem ins em pierrés sera l’objet d e travaux de réfection ».

Q uant aux pistes cyclables, bien en tendu , elles sont exclusivem ent réservées aux cy­clistes qui peuvent y c ircu ler en to u f temps et sans aucune restric tion .

G . V .

8° Le Rossignol, chœ ur (Sourilus), p ar la S en lisienne.

y® Distribislion de prix.10® Les C lochettes, poika, p a r \a Société

m usicale.L a M arseillaise.

C o m ité archéologique. — L’exenrsion an ­n u e lle du C om ité iiicliéologiqne de S n ilis a u ra lieu le jt-uili 29 co itan l. Voiii i|(iel un sera I iiiué tiiiiu :

G o i ' r ' e s p o n c i a . r L o e .

M. Hrècho nous p rie d ’in sére r la lelire suivante, que notre im partialité nous fait un devoir d ’accueillir :

L e s G y m n a s t e s à C o m p i è g n e .Le g ra n d concours national de gymnas­

tique a eu lieu d im anche d e rn ie r A Corn' piëgne, avec un p lein succès.' La veille, re tra ite aux flam beaux par les m ilitaires ; d im anche, a r riv ée d ’env iron 40 Sociétés, com pienan t 700 gym nastes qu i furen t ac­cueillis avec lu p lus franche cord ta liié .

Toute la m atiuee fu i coiisacrée au x éprouves du concours en présence de trè s nom breux specta teurs. A près d éje u n er eu t lieu le défilé, ay a n t A sa tè te l ’H arm onie m unicipalei au son re ten tissan t des trom pettes e t des c la irons.

A rrivées au cham p de courses, les Sociétés défi.eu t superbem en t devan t les tr lb u u e se t p ré sen teu t leu rs d rapeaux. F u is u n e séance d 'exercices d ’ensem ble soulève de fréquents applaudissem ents. L a m usique du 64* e t l ’H arm onie m unicioale n ré ia len t im ir cjvn-'H arm onie m unicipale p rê ta ien t le u r con­cours A la féte. »

Les exercices te rm inés , la d is tribu tion des prix com m ence ap rès une allocution de MM. Noël, dépu té , e t Leroy, p résiden t du Jury ,

E n division supérieu re , le p rix d 'honneur, 180 fr . e t un objet d ’a r t , offert p a r M. Noël, a été rem porté p a r la Société l ’E to ile de Calais.

D ans le concours do sections (Association le l ’O ise), l ’A ve n ir , d e Creil, a , e n 1'* divi­

sion, re m p o rté ie 2* p rem ie r p rix ; p rim e en a rg en t, 75 fr. e t u n e couronne en verm eil.

En 3® division, ie p rix d ’h o n n eu r, prim e de 50 fr . e t u n objet d ’a r t, a é té ob tenu p a r la F’rançajse , de Crépy.

L e 1*' p rix , cousisian t en p rim e de 30 fr . e t u n e couronne de verm eil, a clé décerné A la F ra tern elle , d e S ain lines.

Le 4« deuxièm e p rix a été ob tenu p a r les S a u tr ia u x , de V erberio.

A ssociation.1” prix , cou ronne de verm eil, ta F ra n ­

çaise, de Crépy.2® p iix , m édaille de l ’U nion, la F ra ter­

nelle , de S ain tioes.7® p rix , palm e b ro n ze doré, les S a u tr ia u x ,

de V erberie.

Motisiour lo Rpdnclfiur,Jp vous suis irùs rocotiiioissnni dc.s éloges que

vous avez bleu v(mlii m’adresser, ainsi qu’à Mijiiliti, dîuis votre csliinabio journal, à la diitc du 18 couintit.

■ usi, en elfol, coinuio vous le dilos, trèsmviliiblc do ne pas l.iissor courir le jeune Moulin U.1US la course de 50 kilomètres, le i " août, caril est, en co moment, dans iiuo forme excculion- uolle pour le demi-fond.

A co su jet. Un rcgrelloble incident s ’est produit à 1.1 dern iero séance du Comité du Soorl rélnr.i-

7 h. 45 du m alin . — Départ do Senlis pour Creil. — A C reil, des voilures prendron t les

i^oeticc du Comité du Sport riloci- p M ig n e s e n i m e n . où j<i domnmi.ii l’îiccent.ition (leM . Moulin tlniis la course do 50 kilom ètres, |it'o|iiis.itil à ces M'-S'ieiirs de fournir h ce cou­re u r l>s i'qiii|ies d ’en ii.iiite iits ïiéeessaircs. J avais la iii.ijonié p ou r m oi; mais il ne fui, loui de ....... l ' ts donné snile ,i ma |>ropi)sitioii. Je de-maiidiii aloi's mm rcponsi! dans les quaraiiie-hull licures, atlu d’avoir lo temps do prendre m es I

8® prix , palm e bronze doré, l ’A ven ir , d( Creil.

P u p ille s . — A ssociations.1'® division ; l ’A ve n ir , de Creil, 1®'prix. 2‘ d ivision : les S a u tr ia u x , de V erberie, p rix . *2* d iv ision ; la F rateim elle , de S ain lines, p rix .A ia su ite de ce lte d istribu tion de récom ­

penses eu t lieu un banquet très cord ia l, p ré­side p a r M. Noël, député. D ivers toasts patrionquBS on t été portés par M. Noël, Al. le S ous-Frôfet, Al. H enri Lefebvre, M. Chovel, séna teu r, M. Leioy, p résiden t du ju ry , puis le banque t p ris lin vers dix heures e t dem ie.

Eu te rm in an t nous devons m en tionner spécia lem ent la F rançaise, de Crépy, jeüiio société q u i, dans le concours de m arche, a fait p reu v e d ’une end u ran ce peu com m une. C est avec p la irir que nous lui adressons nos féiiciiations tan t pour ce résu lta t que pour les prix excop liounds qu ’elle a obtenue en co iicu rie iiceavucd au tre s vaillantes Sociétés plus anc iennes e t très exercées.

L i e s c o n f l l i i r e s iE n ce m om ent où nos m énagères p ro ­

cèden t avec soin au renouvellem en t de leu r réserv e de confitures, il n ’es t peu t-ê tre pas sans in té rê t de leu r in d iq u er le m oyen d ’em ­pêc h er les précieuses conserves d e m oisir ou de ferm enter.

L e procédé consiste tou t sim plem ent, lo rsque les confitures sont refro id ies dans les pots,, d e m ettre une couche assez épaisse d e sucre en p oudre p a r dessus e t d e bien ferm er en su ite avec d u pap ie r. Ce sucre n es i pas p e rd u e t on p eu t s 'eu se rv ir quand i>n Oi.tame le pot.

F a i t » d i v « p » .Trois jeunes gens, C... frères et B..., sont entrés

le 14 juillet, dans l’établissement Claux, de Ville- vert, s’y sont l'ait servir un litre de vin, puis une boite de sardines et du paiu. Quand le débitant, sur leur demande d’un deuxième litre de vin, leur reclama ce qui lui était dû, ils opposèrent un un refus absolu et partirent en proférant A 1 adresse des marchands de vins des propos peu

Earleroentaires et menacèrent de venir le soir riser les verres devant servir A l ’illumination dè la façade. Il faut aujouter que, deux jours après, craignant les suites de leiu* iuconvenauco,

ils vinrent régler leur compte.X

du pays, emportant différents objets mobiliers au prejumce de son camarade.

Trois mois d ’emprisonnement.

Etiit olvll du 10 au 17 Julllat.Natstancis. — 12 : D uconn il, A odrf. _ l î . I

a e m « n e -M .r i i .V ie to r i . . k - U : Q ita I LéontiB .-JaliM to . — H ! |

g u .r i“ •'•“ " « - f i lP u b lier io n s de rnariaga. - E n tra M. L .gu, j

G eorgM , em ployé de com m eroe, e t M lle O t W I O abnelle , m b i p rofew lon , ton* deux dom loUiSj I

v ait € zaine. m ent, fâcher té re n t pied. J ven ir compa, agents

Un I com pn

M a rc h é de S en lisDU MARDI 20 JU ILLET 1897.

Prix Poidi PrixOàserTziMuDIS eRÂINB de*

100 Ul.do

l'hoot.do

l'hoot.

FromsDt.l l ” qo*l. 24 » 78 ^8 70 H.,0,60o.,2* - 2» »• 76 17 fin Id.'8® - 22 74 16 »n Id

S sig is . . 13 MI 74 10 .0 B., 0,50e.Avoine. l " q a i l . 17 » 42 7 15 S a u TV

2® _ 16 >. 4U 6 40 Id

E otreM . Lurean, Looii. horloger, demeareitl A Pârii, roe de R eonu . 161 bU, et Mlle P ortî! | boii, Joliette, eana profeMion, dem eoru t A Crei I

I Mariages. . ^ 10 : M. Doriot. Oeorge..Ocl.Ti.| orgeron, e t Mlle D ienert. AdoInhSn. &„__ ..!? Iîonionere, toni deux domiciliée A Creil'.

I Bécè*. — 9 ; Morrl (mort-né). ^ 12 • Li h marre, Henriette-PauUne, 6 a u . - 18 ; C h t^ l lain, Loniie, 19 aoe.

Prix dn P ain <Jn iBU ne . . 0 ,34 le k .iS en» ver 16 .u 31 Ju iile t.lB ie bleno 0 ,29 — | Id.

Farine : le e lO O kilog., 3 3 fr . •» . — H ., 0 f r .5 0 e .

Lundi dernier, vers deux heures après-midi un ouvrier nommé Grévin (Joseph), travalllall avec un aide, pour lo coir.piedeM. Levasseur,’ entrepreneur de maçonnerie, A réparer une mai­son appartenant à M“* Quel, rue do la Réuu- blique.

Eu remuant un tas de cailloux, il déplaça, par mégai’de, des tuyaux do fonte placés à une assez grande hauteur et les fit tomber sur lo sol.

Grévin fut atteint par l ’un des tuyaux, oui lui fit deux blessures à la tête.

Conduit chez lo D 'Pauihier, celui-ci pansa ses plaies .et lui Ut des sutiH'es. Il en sera quitte pour quelques joui-s de repos. '

Grovin est assure à la Compagnie TAbeiile. contre les accidents.

SAINT-LEONARD.Nous apprenons q u ’un accident m ortel es t

su rvenu a S ain t-L éo n ard . Les déta ils nous m an q u e n t ; il s ’ag it d ’u n e ch u te de cheval qu t a u ra it e n lra ln e la m ort d ’un pale fren ie r. Nous y rev ien d ro n s dan s n o tre prochain n u ­m éro.

CHANTILLYM. Em ile P ico t e s t .b ie n connu p o u rsa il

' travaux s u r la bib lio thèque d e C h a n tU Iv ll offre a e jo n rd ’hu i e l'Academ ie des lescriik | lions e t B elles L rllre s , un exem plaire d’u n i é tude qu il a pulillée su r le duc d Aumale « J s u r t e t le bib lio lhéqoe. I l fait rem aroo»!

Q“ '«"core iucom 6lei,| p e u td é |à offrir d e l ’iu ié ré t p a r les indlcL l tious qu il p résen te su r la m an ière dont a ttt I form ée p a r le p rin ce la belle collection di I liv res p récieux d o n t il a fa it don t i ’Instiist I

A la dispute Cansse, père .

La fi COD(jut m a ire p cune oc<

Le 17 Lem aire q u ’il rei avait bu avec fort polgoa, I du le Vai m aire , ei de poiogi de p art

'p a re il le e tusions, 0 lé re u i pi bom ériqu ventioü d m aire a p

B E T Z

Le duc d ’A um ale a laissé u n e ren te a i t l nuelje e t p erpétuelle d e vingt cioq livret I s^terling, soit six ce n t vingt c ioq francs, à b l Société frança ise d e bienfaisance de Londre». I don t il av a it é té pendan t lou(e sa vie m l fe rv en t souscrip teu r.

Il y a_ quelques jours, vers sept heures du m u t iD , M" Collas, épicière, voulaut ouvrir uue des vitnuos do sou magasin, ue put y parvenir • elle pria alors M. Violet tUyaciuthe), menuisier' qui sü trouvait là, de l’y aider.

Co dermer y mit uno toile vigueur, que son bras passa a travers la vitre ; il se blessa assez griovouieul.

11 se rendit chez M. Houy, pharmacien, où le I)’ de Rnyssac, appelé, procéda au uausommir HaRnyssac, appelé, procéda au pansement* de sa blessure, qui, heureusement, n ’aura nas de suites graves.

P o lio » * O Q p re o tio n n e ii* d e S o n li» .A udience d u 49 J u il le t 4897.

P résidence d e M. F a is a n t , p résident.M. M eusnieu,

o ccu p e le s iè g e d u m iu is té r e p u b lic . Chasse a Taide U'enyins pronibés. — 74 co n -

dam uatious, la p lupart p ou r cliasso, e t uou cora- iris la presem e, oruout lo casier jud ic ia ire deV.illtfill.. / X ..... ...... HT .X \ > * -■ ...'icuvillü (Auguste-Napuléou), âgé ’de 61 ôus'

dont I unique profession est de uvr..- à in ,i..o. . livrer à la des­truction dos lupins.

Quatre mois d ’emprisonnemont et 100 francs d amende.

Ixercice illégal de Tari dentaire. — Houde- bcrt (Georges), 35 ans, pharmacien à Creil, exerce 1 art dentaire sans s’élre muni du diplôme exige par la loi. Lo Tribuual condamne lleude- beri en 100 fr. d ’amende.

Coups colonlaires. — Guéuot (Adèle), 26 ans sans piofessioii, demeuraut à CroiJ, rue Juillet’ maïAUii Biliushi, habite un .ogem.iii dont la cour est comuiuue avec la lemuie Uoé,si et autres.

Ces doux lemuies u'epiouveut aucuue sympa­thie l’une pour l’autre : coups, injures grossières x expressions ordunères, rien n’y manque. Lo

ACY-EN-MULTIENGes jo iirs d e rn ie rs , la dam e Chéron

(A le x an d rin e ), fem m e H é b ert, s ’aperçu t q u 'u n e pièce de 10 francs q u ’e lle avait sei rée d an s u n e bo ite , enferm ée ü en s son arm oire , en av a it d isp a ru . '

Ses soupçons se p o rtè ren t su r une jeu n e fille, E ugén ie B ..., qu i vena it souvent chez tille 'e t connaissa it les ê tre s de la m aison. E lle ia dénonça A ia gendarm erie , e t E ugénie D ... avoua son la rc in ; e lle donna môme l ’em ploi d e l ’a rg en t dérobé : elle s 'en é ta it serv i p o u r a l le r fa ire em plette , A Grouy-sur- O urcq, d e d ivers vêlem ents e t objets de to ile tte ; il lu i re s ta it 3 fr . 60. Cette som me e t les ob jets achetés avec ie reste on t été saisis p a r les agents.

Sa m ère , M“ ® B .,., a exprim é le d ésir de voir en ferm er dans une m aison de co rrec­tion sa fille, d o n t elle ne sait p lus se faire obéir et dou l ia conduite laisse A d és ire r, m algré son je u n e Age.

Nous a .o n s , d a n s no tre d e rn ie r numéro, I annoncé qne M. lo .Maire a r a i l . le U jo i l i t l l com plim enté le v ie p i cocher E m ile BoucliS I anc ien soldat d e Crim ée e t d ’Ita llo , p o o rli l m édaille d a rg e n t qui lu i a été d éc em lil com m e ay a n t p lu s do 30 ans d e services dé-1 voués d an s la m aison Chocard-G onverneor,fA C hantilly . 'I

O n n o ^ a p p ren d que le brave cocher, fort I e.stimé A G haniilly , a p lus de 40 ans de ser-l vices d an s la m aison Cbocard e t qne to u ili l m onde a été heu reu x d ’app ren d re que I t l

Sen m ôriwe^®'' distinctioalNous fé lic itons d e nouveau ce b ra ril

Duverg Bine A Cre jeu n e fille dem eure c qui con tra

Lundi di dern iè re h Muzelle, il qae le p è n adresse, i l des explica d it que ceb v in t le fih g ifliad ’imp Bœur.

C'est tout qu’A p rése ï

hom m b, non pas tan t p o u r la récompenu H v ien t d o b ten ir que nour saa ifinir» mq u i l v ien t d ’o b ten ir que pour ses longs s i l

joyaux services qu i honorent tout pariicQ-r liè re m e n t le corps des cochers.

VILLERS-SAINT-GENESTLe 1” co u ran t, le s ie u r Colin (V ictor) , .« .u ., uu«uu

arriv a it chez lu t p o u r d éje u n er, vers sep t I Agé de 21 an s , criaheures e t dem ie d u m atin , quand il v it d e r - ' • ' ' * •rié re la po rte du coulo ir d e ta m aison, qui n avait pas été ferm ée A clé , un ind iv idu é tra n g er au pays. I l l ’in le rp e lia s u r sa p ré­sence en ce t en d ro it, l ’étrà iige r rép o n d it évasivem ent q u ’il s’é ta it re tir é lâ pour m an ­ger son pa in . Afin d ’am adouer sou in terlocu ­teu r, ii l ’iuv ila à a lle r bo ire ia goutte. Colin

CRAMOISYDeux c h a rre tie rs au service de M Os* I

presso ir, cu ltiv a teu r A Cramoisy, prenaieM I un b ain dans ie T h é ra ln , d im anche l’aprèi-1 m idi, quand l ’un d 'eu x , A lexandre Parrii, r

T ia q^u'il perdait p ied ; l’an d e 20 ans , accouru t A so

NOUn ouvr

I 17 courant B rèche, p i^ laquelle éta mot : R egar A la planche cire rouge, l ’avoir déboi Un indiv idu sè je tan t A

I 14 Ju ille t. Li>osés A la

I ouverte.On suppos

I vre d ’un mau

ire , GrisoD, âge o e ï o ans , a c c o ira l . » . secours ; m ais n e pouvanl le m a in ten ir hon lie 1 eau e t sem an t q u 'il a lla it couler loi- m ôm e, il le lâcha e t regagna la berge.

Un chaussonn ie r, Abel E snaull, qu i. doit riv e , assista it à la scène, se d év ê tit alors et se je ta A i eau ; il plongea A plusieurs ropri-

y consen tit e t la goutte avalée," chac'un l i r e I r a u r ê r r f é ’r e t r Ô Î v r ' 'Ile son côté ; I é tra n g er su r ia rou le de Bolz D ans l ln to rv aile , n lusieurs voisin» élsianie t ( .o lin v e rsy a dem eure, o ï l i i eu t le dépial- a r iiv é s d an s une barq u e maX ce ne h?1» ®‘ “ Ré som me | reclierches qu 'on put n -de 18 fr. 25 lu i ava ien t eie soustraits. I I n'« pu que d o n n er le signalem en t de l'e ira n g er qu i a ôté depuis vainem en t recherché . '

I m ener ie noyé A Ja surface.I rappeler à la il« I

sont restés mutiles. *

CREILP a r d éc re t d u 11 ju ille t, M. T um erelie

e n tre p re n e u r d e m açonnerie A C reil, e t M“ ® T um erelie , née W illiam , o n t été n a tu ­ra lisés F rançais.

gouvieuxM“ * veuve A jlery, receveuse de postes i I

C ordem ais (L oire -In férieu re), v ien t d'êlr# I nom m é en la m êm e qualité A Gouvieux. I

SAINDimanche

Boir, le jeu n e d ’années, se I voir de la P rt

' dit p ied ; se s I secours le jei

dge que lui, q Ce d ern ie r,

son camarade, 01, b ra ie m en t cours du jeu i

1 tirer de l ’eau. J fieaudoln était I isiiliblem ent i I jeune sauveteu 1 0 prem ière boi I excellent nagei I II est bon de I rage d ’un enfai

ülni

Lo b u reau dos Poste» e t Télégraphes de | Gouvieux est ouvert au service télégraiiiiiqa» I depuis le 17 ju ille t courant.

F aits d ive rs.Trois éminents braconniers, Vervack, Equllbec "Hier m alin , à h u it heures, le lad J a m » l

H elfer e s t décédé A Gouvieux, des su iie il

SAINT-Liste des nui

I do la fôte pairo

A h ! qu ’e lle ressem blait peu A sa voix de tout A l’heure 1

- J ’a i .. . nous avon.s eu uno scène pénible, Lucy e t m oi, e t . . . je crains d 'avo ir été ... j e c ra ins d 'avo ir é té ... plus v iolente que je n 'a u ra is d û ...

— Alors, si e lle es t m orte, c 'est vous qui l ’avez tu ée? d it le m édecin en écartan t ru ­dem en t la jeune llile e t en appliijuant son o re ille su r la po itrine de la baronne.

P en d an t deux heures, locom bul silencieux d e ia science con tre ia m ort sem bla se con­tin u e r san s avantage. P iorri épuisa tous les rem èdes connus ; il on inventa do nouveaux ; il a tte ig n it les lim ites du pouvoir hum ain. E nfin , la som bre ennem ie b attit en re traite , e t la v ie fu t rappelée dans ce corps an - Déanli.

La m alade o uvrit les yeux e t regarda au­tou r d 'e lle avec étonnem ent, comme si elle voyait pour ja p rem ière fois ceux qui l 'e n ­to u ra ie n t. B ientôt elle se souvin t; alors .sa m ain , fa iblem ent, fit un signe; Olivia se je ta A genoux prés d ’elle, p leurant, implo­r a n t son pardon. Mais Lucy. sans répondre a t t ira ju sq u ’A ses lèvres la léto do sa cou­sine, e t sa voix, pareille A un souille, m ur­m u ra ces paroles :

— Ne lu i d is ... jam ais ... il l ’en voudraillP u is elle p a ru t se rendorm ir.Soii vœ u fut accom pli, e t le secret do co

qui s’élait passé e n tre les doux fommos fut g ard é fidèlem ent. Le docteur ne lit plus de questions A personne, e t lu i , il n 'apprit ce tte h isto ire que de Lucy eile-m ôm e, bien d es m ois j)iu8 tard , lorsque ie m om ent du tro u b le , de la cra in te , des larm es, fut éloi­g n é , oublié comme un rêve pénible.

C ependant la fièvre é ta it venue, violente, m o rte lle p e u t-ê tre . T hérèse, accourue au ­

près de son am ie, O üvia, glacée par un dé­sespoir et une épouvante qu ’elle seule pou­vait m esurer, servaien t do garde-m alades, assistées p ar une femme de cham bre.

J-o docteur, appelé p ar d ’autres devoirs, qu illa it pour une heure le chevet do m a­dam e de T h o ira n s; puis il revenait au plus vile e t secoiiait la tète, on tiran t sa m ontre et en considérant le visage em pourpré et b rû lan t, à dem i caché dans les denteiles des o re illers moites.

Vers le so ir, lu m alade com m ençait A s ag iter et A p a r le r; le docteur se dressa comme A l'approche d 'u n danger attendu, puis il d it A demi-voix, m ais d 'un accent auquel p ersonne n 'ava it env ie de désobéir :

~ 11 y a trop de m onde ici ; que chacun aille se reposer. Vous, T hérèse, vous veil­lerez seule ce tte nu it avec moi. Seule, n 'est- ce pas? C 'est en tendu?

Olivia se leva sans m ot d ire , n ’osant re n - (;ontrer les yeux de P io rri. Avant de quitte r la cham bre, elle s’approcha du Ml et, avec u n m ouvem ent passionné de douleur et de tendresse, elle posa ses lèvres su r la petite m ain qui reposait, h rû lan to , au bord des couvertures. P uis elle so rtit le front baissé, jo rlu rée par l'angoisse, comme l’accusé que l'on em m ène p en d an t que le ju ry déli­bère,

— Vous n e l ’aviez pas encore v u ? répon­d it lo docteu r avec un geste accablé. Vous com prenez m ain ten a n t pourquoi je n 'ai g ardé ici que vous, d o n t je suis sû r comme de m oi-m ém o. J e prévoyais quels secrets nous allions en tendre .

~ 0 h ! pauvre c h é rie ! honnête e t brave cœ u rl E lle n e va pas m ourir, n ’esl-ce pas?

— J e n ’en sais rien , d it le docteur. Elle est très mal ; m ais supposons q u 'e lle gué­risse : la voilA bien avancée!

E n en te n d an t ces paroles, la digne femme de P io rri tom ba d an s un fauteuil, la tôledans ses m ains, étouffant ses sanglots.

Lui, les m ains d e rriè re ie dos, le fr<front

M aintenant le délire é ta it venu, complot; la m alade p aria it sans cesse.

D 'ahord, ses discours incohérents paru ­re n t n 'avo ir aucun sens ; Thérô.se, penchée su r le lit, essayait vainem ent de les com­p ren d re . Mais, tout A coup, cette am ie dévouée 86 re je ta brusquem ent en a rrié re etregarda sou m a r i avec u n e s tupeur pro­fonde *

^ Grand O ieu l elle l'a im e 1 8’éçria*l-elle.

creusé de grosses rides, m archait avec pré­caution do long en large , au bout de la vaste pièce. Ses confrères e t ses élèves, qui le citaien t souvent pour sa rude im passibi­lité , au ra ien t été b ien su rp ris de voir sès yeux h u m id es de larm es. I l s a u ra ien t pu l'en ten d re se d ire A lui-m êm e, les doigts crispés ;

— O nt-ils donc ra ison , ceux qui p ré te n ­d en t que la science e s t un hasard , la vertu une b ê tise?

XVIII

Après u n e n u it affroiise pour la m alade et pleine do cruelles im piiétudos pour les êtres dévoués qu i la veillu ien t, l’approche du jo u r am ena ia fin de la crise et l ’effrayante p rostra tion qu i su it toujours des accès aussi terrib les.

Il é ta it sep t h e u re s ; tes prem ières clartés d une m atinée d 'h iv e r se dovinafent A peine au dehors. Tout reposait dans la grande cham bre A dem i éc la irée dé I» la e u r dis*

crête d 'u n e lam pe. La lu tte é ta it finie, l’éineulo qui venait de troub ler ce tte pauvre intolligenco é ta it vaincue; le calme é ta it re v en u . P our la centièm e fois, les yeux de T hérèse questionnèren t son m ari. Seule­m en t alors, d ’une voix si basse qu 'on pou­vait A peine l’eo te n d ré , le docteur ré ­pondit :

— Les chances favorables augm entent.M aintenant le secret de Lucy é ta it connu

des deux am is qu i se tenaien t debout près du lit où elle g isait anéan tie , i is savaient, — m ieux qu’e lle , peut-ê tre , — tou t ce qu ’elle avait souffert. La force hum aine a des bor­n es. Sous le fardeau trop lourd de la tra h i­son do son m ari, d ’une vie A jam ais so lita ire , d ’un am our sans espoir, cette Ame coura­geuse avait fini p a r fléchir. Non 1 e lle n ’avait pas m enti quand e lle d isait :

— J e reste ra i la créa tu re honorée en tre toutes, ou je m o u rra it

0 femm esl ces m artyres sublim es, ces im m olations ignorées ne son t-ils pas, plus souvent qu 'on no le pense, vo tre héroïque pa rta g e? Vous n ’avez pas, vous, le suprêm e soulagem ent de la p lain te. Q uand la tem pête d u cœ ur vous e n tra în e dans ses abîm es. Il n e vous est pas perm is de cr ie r : au secours I Dans la vaillance résignée de vo tre pudeur vousjoiguoz les m ains, vous levez les yeux vers ie ciel, e t vous som brez silencieuses d an s l'océan de votre angoisse, en m urm u­ra n t tout bas un nom qui se perd avec vous dans les vagues é ternelles.

Deux coups légers fu ren t frappés à la porte de la cham bre. T hérèse ouvrit ; Olivia, b risé p a r les heu res de to rtu re qu ’e lle venait de trav e rser , re s ta it su r le seu u , je ta n t su r le lit p e rd u d an s l'om bre un regard qu i eù l

désarm é des juges plus sévères que ceux qu elle av a it devan t elle.

P io rri en e u t p itié ; ii s ’approcha, lui p rit affectueusem ent la m ain et la fit e n tre r en iü i d isan t tou t bas :

— J ’espère q u ’elle es t sauvée, m ais soyez très calm e. La m oindre ém otion ia tu era it m ain teuan t. *

Olivia e û l vouln sau te r au cou <lu doc­te u r ; elle ap e rçu t T herôse e t s 'e lauça dans ses liras. E lles s 'eu ra co n tèren t plus dans, ce te étre in to m uette que d an s un lonii IScliange d e conlldences. M ais b ien tô t la je u n e liile m aîtrisa son ém otion, e t d it en essuyant ses yeux rem plis d e larm es :

— H fau t que je so rte p o u r... un in stan t P ourra i-je re v e n ir?

P io rri fit signe que oui.Alors e lle regagna l'esca lie r A peine

éc lairé p a r le jo u r n a issan t, le descendit presque a tâ tons, e t fu t b ien tô t dans l'avenue F ried land , oâ a n hom m e a tten d a it, tout b lanc d e neige. C 'était H eberl.

En a r riv a n t, eiie l 'av a it trouvé debout prés d e ia g riile , trem b lan t d e (roid. La veille au so ir, les dom estiques du docteur Itii ava ien t appris , san s pouvoir on d ire p lu s , que m adam e de T ho irans é ta it en d an g er de m ort. Fou d ’inqu iétude, soup-^ çoonaiit vaguem ent qu ’il é ta it pour quelque chose dans la ca tastrophe, il ô tait venu la deux fois dans la n u it, n e sachan t ce qu ’il fa lla it au g u rer du silence profond dans le ­quel la m aison é ta it endorm ie . Enfin, le jo u r avait p aru , e t il a tten d a it, transi de te rreu r e t do fro id , que quelqu ’un e n trâ t ou Borlli pour av o ir des nouvelles.

E n l ’apercevan t A la po rte, m iss H a rtb re l avait sen ti d an s son cœ u r comme un choo douloureux ; jnaia co no fu t q u 'u n éc lair.

Qu é ta it-ce que ce t épisode au p rès du dé-1 nouem en t qu i se décidait lA -haiit? EIIbI n av a it p as laissé au comte le temps dB I p a r le r ; e lle sava it d ’avance ce qu ’il allaitI lui d ire . ■

— A ttendez u n e m inute , avait-elle m n^ I m uré, com m e si la m alade e û t pu entendrBl sa voix ; j e rev ien d ra i vous apprendre oé I nous en som mes. ■

E n la voyant re p ara ître si vite, tressa illit.

636 1010

694 1020720 1021738 1032740 1039763 1076

Robert 4C R É P Y

— O n espéra q u ’e lle es t sauvée, d il-e ll. à I trav e rs la g rille . 'F

‘E t ils s’en fu iren t chacun de leu r côté,il sans un m ot d e plus, ils s ’effrayaient mn- 1 tuellem ent, m ain ten a n t; chacun d ’eux iguo*'/ ra il ju sq u ’A quel p o in t l 'a u lre savait U L vérité , e t ce lle lu ce rlita d e é ta it un tounnent .1 Buprême.

- , 'o ic i les bea Française au

I «ym oastique, |D 0 j j r :u n objet d

prix, palme*T( Course en aei

couronn Marche en ei»<Ainsi 1 am our bou leversait profondément en sec

8 deux existences prom ises Fune A l ’autre, ““ *qae, - slA -haut, d e r r iè re ce tte fenêtre A p e iM ^ ^ Ilail-Aü a'iinn _éclairée d ’u n e lu eu r douteuse, une troisiôiM v

victim e lu tta it con tre la m ort. fLe d é lire n e re v in t pas, m ais la faiblesrt l

® que P io rr t conserva de te^ 1ribles inqu iétudes p en d a n t v in a t-q u a lr in h eu res . I l av a it défendu A O livia d e se laI**T s e r v o ir A sa cousine. La jeu n e fille obéU*| M it passivem ent, re s ta n t des heu res enilôrt*! Im m obile d e r riè re un rid ea u , ou chercbaati avec p récaution A se re n d re u tile A Thérèia» f

le m odèle des garde-m alades. I E nfin le danger d isp aru t, e t Lucy sortit I

a son abattem en t. E lle regarda antêUf.i elle , ch e rch a n t qu elq u ’u n : sa p rem iôrtJ

paro le fu t : ■■

■ânnS“ ‘'

I!"'® Crépy, I*.500 babiiania

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L est une perte

(A m iv re hlav a l? I .W ® W |* ™ lt élé faite pom

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dernièrement 6 u l lUlly au mofflM* oollels où qud

dre. 1mt été h ^ i l em J

certainement | | tù te elles gardeil eossem la U e è jl

femme Bmicbct | ‘vlron un en, jM I eoir loger en u I labltatlonn’ayiM I ire Jul prêta u I oeunàlle lui i u l u fen. elle s'aTlu I senn petit tosd«l Et ponr que le, I rma berinéiiqaa. I es fenêtres. Mali I malheoreuse, q l ts au travers <bt I 'per è la porte, ne difficulté, cir intre, puis cri]. I uite de celle io. I èlla passer qœi. I leuz (Somme). 4 1 it-lnterrogée surI I aurait pu avcdr I rasbbyxie, et di I

7 Ju i l le t ., A ndré. — 12< I i». ^ J4 :Q ibo i’ |

PerJinand! I Jeanne-M ir, I

E n tre U . Lesit, I e t UUe Q a W Ieux d o m le i l i^ I

>ger, dem ea ra itl e t M lle Porta. I

m e n r u t A Craî, I SeorgM -O cian ,! bine A nguatini,! I C reii; I1). - 12 : U .r — 18 : Cluta.J

)Dnu pour 6ai I9 C h a D liiiy .i i lie deit Itiscrip. I (Dipiaire d’uD i|10 dA um ale e l ail rem arqaarl )re iDuompiet,! iir les indict.1 iô redO D taétll> collectloo dt I >Q & rinstital I

DO re n ie a i^ l i t c in q livret I q francs, A l i l :e d e L o n d ru ,! u(e sa vie oi I

n ie r numéro,! . le 14 juillet,! mite Boucher,! lalie , p o u r b l été décernée I ) services dé-1 •Gouverneor,!

e cocher, foit I 0 ans de ser-l Bt que to u ili l m dre que le ! le distinctioal

in ce bravil récompeDstl

ses longs ei I lonl partica*r

M O NTATAIflECelte v ille ouvrière est assez fertile en

rixes e t en U g a rre s ; les nom breux é tra n ­gers qui y v ieoneo l chercher d u travail n e se n t pas tous des m odèles de douceur e t de tem pérance. Aussi c ’es t su rtout parm i eux que les querelles éc laten t e t que le s d is tr i­butions' d e coups son t abondantes.

t e 45 couran t, vers dix heuros d u m alin m e hflnfifl Hn îAnnAa «am. ... . . . i_ . .*

J » l l« a u O a m b e a u , o rg a a is ie eu dehors d e ia m uDieipaliie qui i« désioieressali, Toule# dépenses p arees , i l le s ta it qae lqees f r u c s , q o l a n ra ien i pu s e r r l r d e fends de caisse p o n t n n e a u tre réjouissance. N ais i ^ i s jeu n e s gens, U N . A ntore Ois, A lbert T h le u f e t l é o n Scbw eiger, n ’on t pas crn pouToir m ieux la p lacer q u ’en a l l a n t ^ iw r-

‘>»"J»“ .p ré s id 2 n le de la M t ô d e la C roli-H onge pour les blessés d e nos

“ a ,T lre m e n t rem erciés. ^ bel acte d e so lidarité fait b eo n u u r aux

un e b ande de jeu n e s gens sont en tré s d e Crépjr qu i pensent i nosb ruyam m ent d an s lo débit do la vouvo D u. I soldats.Amiv A DAné •croix, à P o n t-T h éra in , annexa de Monta- la iro ^ e t s y son t fa it se rv ir q u atre litres de Vin. Mais comme ils refusaien t d e payer la déb itan te rem porta, sans p lus de façon, les q u atre litres n on entam és. Les pertu rbateu rsso rliren ta lo rsp lu sb ru y an U e tp iu ta lié résq u ejam ais ,'m a is un m om ent après ils re v in ren t e t p o u r se m oquer de la m archande ils de­m an d èren t poui:-tro is sous d ’eau de-v ie à p arta g er dans au ta n t de v erres qu 'il se trou-

f **®„®®08ommateurs, peu t-n u e une dou- za lne. E lle les serv it dans deux verres senlè- m ent. Ce fu t un pré tex te pour eux de se

F a i t e d iv e r s .“ Içéo du 14 Joillei, une Jeune dlle,

p l.c^ d e i . i lV u b l I q S '” ” '■

i f ê / t t V K aetlo a eu ainsi le bras droit brûlé.

L n e l o . e u l é p er fîlle .’d 'in e n t t u é “ m S ï ê f I l u r t o u T i ”^' <” J» vous demande

, ills : «eroi du fond du cœur,

M. Séoamo A ui tenu de M. b

toyen**MÎdM d S ' ï r nonoraïue cl-

Vive le’ a 'é p u T C •• l> V™nce.

vêlements ;

b e t h i s y -s a i n t - p i e r r e

fâcher. I I . r o n v e r e ê r i u ü e s ï w m m c u î b ; : b t u r m “ rcha“u f f l » ‘^ “ " ' « “ v eL o -lé re n t lu lubie qu ’ils b risèren t A coups de I u m s . éi“ . . . “ ï . , î“ !!,“ l ’.P.Î!’_‘>o» Jeunesn t O i l . A W A I I V A r . n A u v > à _ s a u

SOiy'‘“le ’ n'i‘ V®" ‘■'V éUso ir, le nom m é Covet (Pierre-foiiiKN* m»feu1mo‘*’ i *•“ ? ' . PV'® <10 boisson, diapnlait sa

f i t e r ® 1 î « S ' ’d W c " e ‘ ' l u f d u r

*AfrinfiA"7rr'/7.*'' ““ ** t^giment de chasseurs I aposlroühn'n i i * L à-dessus Covet,à i i / i f I Afrique do 1853 I t i S j f l ^ r ï ï i ï ' ^ ® o a t t de r en

Le lendem ain, M. D ubarle sortait naison, quand

tém oigna do sonÇo b r .veso ld a . „ e_m çli ™ devoir envers la' | S S o l ? , ® ” " é o v o l ïu T d ir b o â jo T r ë u S i

cou le .,t de la scène de**fa veille J u î r e p r a c b a I ' ‘“ “ "'1"®“ ’ in stilu teu r. in so ile s , Covet so rlii «i . C , 1 ? ' ™ " “

>1" -a" F r S . 7 Ï

Honuour â ees deux médaillés ' I ‘cmlper à la reiiverso.■ ■ ■ tràuGum«°l,.f.“‘’H ' ' " “ “ ‘a aasex

“ “•“Cia éo Cuise e t de M Kopir amis et collègues de

‘*™P lia ien t tenus par MM. n o a n r.r ’ . ? “®-P'''*''®'’ “ a»«. receveur dei r o S ê i ' . r ,1?™“*’ «1 Pbureau,m anm â 1. “ ."‘" • '“ bons direcies. Be- marquô dons I assislance ; MM. DucbaronBou’land’ iiw“ '^-n ■ ‘•’'V"'chy,'Bouland, maire-do Trosly-Bieuii. PiiilionoS n e ' ’ Fild °^i’ " ’IC"!»"*. maire de Sainl-

’ Pml'C'l. adjoint de Couloisv. deJ n “ fo™“ mc” ‘" “ '’‘" “ ‘

“ ‘fliré par le curé de Cuise, assisté des curés de Carlepont et de flauto- ftlnlaine, et I absoute donnée par le cure de

PuT m ' “m r u ' ï * “ P™"»""®»pal M. le cu ré du C uise; MM. Ilavo ro re - j e u r des lloancos ; M eunier, sous-préfet • to ë 'l“ ™ '® .° “ Çl."‘’. “ “ '™ '•" C uise; e t De-

---------..V bruyantscom pagnons n a tlen d ire n t pas ra r r iv é e dos agents e t déguerp irenL

ü n nom m é Bassetaille p a ra it ê tre le plus com prom is dans ce tte affaire.

A la sn ite d ’une scène de m énage e t de/1l*nilliSB aval/. I____ .® . VSD

ue se fa ire p ince r, p n d it que les g in d arm e s on t verbalisé l e u r gourm andise va le u r coilter cher.

GILO C O U RT' “ “ volage accompli

d e rn ie rs p a r M - Tbiefflne. des Kt„

; ? r U % e T v % T c ; i r r ; ‘„ î a ‘ï ie T p r i“ I & ë ' ' s “u r = r . T “ " “ ' P = I 1 v i ë m r ; M S ! . r t î „ S ’i r " t ? “ 7 1 . ^ ^ ' ' j ' - ' P ' - n n a g e q u i a m is d im anchev e^ ir la gendarm erie , m a is T e " b r « , l :L u I S r . ë f a S i Z ' l . ™ I f t “ “t y i b a Ï Ï Î L * X t T " s V ' P » ' ' “' m S T S t l r ’ " ' ' ' I é“ ml“» P“ ï “ ‘•’H é n lë v t l 'lT 'e ^

chiennes p a r e lle colto an n é e . I

HEM EV ILLERSTeiUatwe de fra tr ic id e à lU m /aU U ers

Cl su icide d u m e u r tr ie r .

Cansso, io je u n e Lem aitp re to u rn a cbex son p 'Io c o n rt. M - T h iem ne a , dans des c rran s

(a fam ille Gansse, d ’o rig ine belge, en conçut u n e v iolente anim osité con tre Le- m aire p ère e t lils , e t e lle ne m anqûa it au ­cune occasion d e la m anifester.

L e <7 couran t, vers six h eu res du so ir L em atre père rev en ait de trav a ille r, lo is ’M p je u n e Remi C ansse qui

f e t qu i l ’in ju riaavec force c r is e t gestes expressifs. On s’em- po g n a , le p ère Cansse e t son neveu T héo- dule Vanzeele, su rv in re n t, pois les fils L e- • !.«»Z o i f in m î i® coups contro-ue DOlOfffl. <*,niina lia niarl,. <>» I .i. .

(l'un é t ;n g ,d a n s l e q u ë r i r é m ï t të S b ë t je u n e en fan t su r le po in t de p é r ir . *

PONT-SAINTE-MAXEMCEF b te n a f io n a lo .

Voici le discours de M. U erdin, nrononcA à I occasion d e la fôte nationale , e t que nous avons annoncé d an s n o tre d e rn ie r num éro •

FLEURIM ESl< t P é te n a tio n a ie .

émoi a son h isto ire.A vant-dern ier enfant d 'u n e fam ille de

qu^alorze enfants que les époux Cordier-Gef- froy, p e tits cu ltivateurs, o n t élevés on la çoucoit, avec beaucoup de peine! il’ s“é ia b p a " u “lraya?i"“ ^ beaucoup p lus à la boisson

L e i t ju i l l i l i8 8 8 , p en d an t que tous tesnas do P“ " ' '" ‘'™ “. ‘“ i no trouvaitpas do m etlleitr m oyen, p o u r év iter le

f a g r s f s a r î e " t „ ^ ' s i ' ' & r ^ ^ ^ ^

H S ® “ - œ S11 av a it un chien avec lui. a peine in s ia lu 10 garçon lui dem anda i m sia llé ,

— Que faut-il se rv ir à M onsieur? •

énny ,er",ie 'îrg 'iéu l'e‘ £ ^ 1 , ^

â l ’a : i r e d u " r e V C ' ë e 7 e £ . “ , “sën,"„”„ " - . ' f P '" '“ w v r m5?,'®S2 ‘0“ “ .t toute une conversation ëlvëc son

Le patron du resla iiran t, adm irani fori/>A

r e t S ë t e î " “ “ ' - * ' ' “ " “ “S , r u ë d 'o “On Unit p a r tom ber d ’accord, e t le rliteo

le cbi*n‘. ' ' “ ‘ ' '° “ in terrogea— O ui, Totn, pour SOO francs.

p b 7 u n ' r a o r ‘’' “ ‘'®

SA IN TIN ESUn incendie , d o n t la cause es t encore in -

r C ’ de S a n c h er f J ï i î f ’ ? deux m eules accolées de paille d e b lé , con tenan t chacune 4.000 bottes an- p a rte n an t à M. Devouge, m aire de S ain lines situées â la ferm e du F ay , qu ’il hab ite . *

n f* deux m eules se trouvan t dans un 'D ^ - b a s , 1 incend ie n 'a été anercii niiA

de peiogs, coups dS î ï ë t i : s'o d t o i b u Œ I r n r i " r m a t t a r “o ë ë „“n® q'“ïdé p a r t e l .d ’au tre avec une a rd e u r sans | qm L î e n d a i i ^ ë o r L ë ë t , ” " '!;'.® ?.''»-.J, v.vw UUU o iuaui BUUipareille e t il en résu lta d e nom breuses con­tusions, des bleus e t des rouges qui em ail- le re u l plus d 'u n e physionomie. Cette lu tte hom érique n e cessa q u 'a la su ite d e l ’in te r- veqtioü d e p lusieurs courageux citoyens. Le m aire a p o rté p lain te.

(C lém ent), 48 ans , ou v rier d ’u- i ï î L iin ®es assiduités unejeu n e fflle d e 44 an s , A lbertine M uzette, oui dem eure chez ses p a ren ts àM o o ta ta ire '

Les pom piers d e Néry e t de S ain tines snm arriv es a u s s i lé ls u r los'iienx ; m ais r u l ëë

. cours a été ngé in u liie , les S es emS dé jà en p a ru e consum ées.

prévenu

K anr?;l . . bam beaux, p ar laI ? e. Compagnie de pom piers i r i — — -'"**» *'«“ • lo sac

®®“ ®*'®“ ®es d istribu tions de I ®® ®‘‘'® «euter le pouce e t“ ^ e n v , n e . v i a „ d e s o n t b , i . e s a S !

P i * - ^ r i î ë 3 „ ë ë « n f s £ * s e ^ r n tVan 1 *®®®!*®^*'^®®'Lai/arstf» //o iscsfl I de m ai d e rn ie r, ses enfantsD ftIiiW les sociétés e t la m unici- I le®» pl^icés, tous laborieux e t lai-

S î M S i i r ? ! : ! ' | s E i S S » .........................................................

tb/xniil/v M..:._________ '

I et chers Concitoyens, -v. Interprète des senilmenis de la vaiilann> ai i» I

DepuisI France, la

I „ assurées 4 la Comna- Ignio lu F r a n ie jpour i.8 0 0 fran cs: m a if le dom m age est évalué 4 8.000 fr.

q u ic e m ry ie to r tM iÏM n ë p é rê .”" ™ ™ '” “ I | “r d e s “ ^ 0 / ^ 4 ^ qëi^M aien“ ërâ'^d a r id é ™ ^ ® " ^ “ “ varger v in t d an s celle “ l “ é des ouverluros dans les m eules ï ï r MeniUA 111“ passant devant chez M. I m o tire 4 i ’a b r i e t qui a u ra ien t ou Pim M iuetle, il lança vers la m aison des œ illades I P f“ denco d y fum er.?aîL l ** « P®®** ^®* provocations à sonadresse, i l d^escendit alo rs e t a lla dem ander

t a ï l d B Ï â t e ë ' '■,'‘P"b“' “i“s . arborer les l ï ï l é oilem iïm ™ ‘" '« ‘“ lions de 1

ot /v^r’.. 1® Lorraine, ces deux smiirsPatrie? ^^P^^er de cœur de la Bère-^

mot® ^ o q u o douloureuse, malgré hnpi.:ki/.^ maigre toutes sortes de AAiacimvx

Au re tou r a lieu la re v u e de la comoannie I n î re n d re lualhëureuse ' r sann^ fanfare ioue aux I *le L quider ia cu ltu re , de vendreapplaudissem ents des auditeurs le“ ’n h .î *®®r. “ “'son e t do d o nner un re p o rb ie n beaux morceaux do son réperlo ire m érilé 4 leu r m éro.i/i« .** ®® ''tu d 'b o n n e u re s t offert aux «npift I ® ®® pas l ’affaire de Théodore tés e t aux spectateurs. Des jeux variés s ù f ^ «® oblige do ïelani P*‘®nn®nt part tous les assis- I P*®®®'" do trava ille r p o u r gagnertunis, hommes, femmes e t enfants ” hain . Aussi üvjiii. ii m a........ . i . .......® .

EiiliU’ le suir, ue bal cliam pôlrê très a n i- m m Pl®®® publique brillamm ent Illum inée à l ’occasion de la so lenn ité '

sou pain . Aussi avait-il m enace do b ru io r la m aison e t de se su icider ensuite.

LE r é g é n é r a t e u r A.-B ROUX* I meilleur puur dunn-r .ë .H l« hnuifr P«*u«t neopÉcatpAg

S o o x i r am a r t h e * l a u r e

t e i n t u r e r o u x , i n s t a n t a n é e

BÇPC. o â u é v . . . » 4 ? ; ë ; r . ï . . y . „ . iin vente a Sen lis, chez M. AlOUUN

00.fl-our-p,rfnm.ur, t), ,„o d„ l’A,.port-«u-P,i„.

oin-ir au public au m om ent des Vacanrm des rom ans d ’une n io ra lilé pa .fe ile s S .!• E f M ‘' “ ® ‘ Toudouzo,1 . Macl, élégam m ent présentés et illustrf^o

t a i l l e ^ ^ “ "!•"“ “ “ XLa m aison Mame répond au jourd’hu i à c«

besoin on m etta .u e n t e n t e : S / â K » ?1 un dos p lus délicieux rom ans de René Jjiizin, rc'li.-iussé de dessins do Valliemin et Cœurs iw i/s , uiio délica te idylle accom'm «m-e d ’élcLMoi.s f-rnfii.jc ,ia ^ . .®®“ P®’.......u UD so Duiciuer eu su u e . unao .l’.n/.,; .L. luyne accomna-

La vente de la m aison é ta it ilxée au d i- Ces d e in i t . a - L o u i s e Abbéma. anche 48 ju ille t. L’une d«s liiiac .in„7xi.:!.. I le succès d e la sa iso n .

A r m d i s s e m e n t s v o i s i n s .«ss.illir nâ,- sont venues

républicaine grandit sans rebuste foi des masses

'"îlS mS '"'i ‘te S n f ü ^ ^ j“ S__En 0Ï 61. si nous rélléchis.on». n,,«i

“ ‘‘“ ‘ ‘re .e u u o depuis quelques jo u rs , e t ses frères e t sœ ursm aëii“ 'T I ‘“ “7 « " “ “ “ Cbe. Lem utin, T bcedore, éc b au iro d é jà p ar quoiuues Sla 10n s au cabare t, e t exalte pS r l ’S Z

ot’a ë m érè * ' “tour

NANTEOIL-LE-HAÜDOÜINj - —— a.» aiuto qjq étiitt ut>iuuoaerdes explications au Don J u a n ; celui-oi répon-v lë i m m ï î “ «“ ‘■‘•“il P“s : su r ce, su r- . --------v lm .lf-- M“ 'c t le (A lbert-C barles), qu i I '« ^ '• “ " « “ ‘■•“ "ce l ’asp ira n t séducteur d e sa ‘ V E B S k sb

inï®™.™,™-?."® (•“'■nior a recueilli, ju s-

CUISE-LA-M OTTEe n p e r c e p te u r assassiné.

, Vers dix heu res m oins le qu art, les vo l.I < “ ■ • ' t An secoZrd

PAimillMORAE

■ [

o p p r e s s i o n s ;! m a u x de G O R I é :

qu’4 p résen t, pour p rix de ses efforts.

n o g e n t -l e s -v i e r g e s .Un o u v rie r de la P apeterie trouva le

17 couran t an m atin , n o ii .n . a . n . i .

VERSIG NYLo garde cham pêtre Lépine anercut en

trav e rsan t la ru e d ’En H aut, sain?di m alin m iS • '“ “ res e t dem ie, u n e é lrangérè niiséi;ablem ent vêtue, sans chaussures e ™4 S “Æ i “ ‘T "?®F»rte d’habitation;,. - .cboux.‘' l f p é v l i u ë r i C l . i . ë ë ’ r , ' « ‘“ I

v o & r t î « a ” ®®’ d’flile-méme par la I W c e t t e ¥ ( S o v “ «n.? ®”/. fa ir ê V n e I ‘® " ''p 'e s ’ai-rôm sVi^i'üV in ë ïïlla ë i'r iîifc^dans l’union I ''®*’ borrib tem enl ensanglam é? a été décou- I “ ï ï ‘!: f“‘‘ _“ë c ' 'p . c L 'd 7 ë t‘ pslrioliquü do tous les FrancaU I ir ■ , -----------------.u e e '.u .o .su rîà rf "‘1“'" '* ' »• “ ne amiilo sûre I v!!!.“ ‘'cn sc g n em en ts recueillis :

ve“r s ' ' ï ë ? S I." f K S T i . ; , ' ‘d f 'y t l z ,™ '? ’;” ",

umita jf/. . __ A . .7t a rriv é dans un I y.®

de M. Ou* I y , prenaifoi I :che l'aprëi-1 n d re Parfis, | p ied ; raa-

ouru t à soQ I in len ir hors i couler lui- [

lerge. l, qu i, doit I étlt alors et I leu rs repri-’i P arfis , sam |

islos étaieol I ce ne M I

‘on put ra-1

lier à la fit I

le postes 1 1 ien t d 'êtn I ivieux.

graphes de I égrapliiqat I

lad Jam N l des su ites!

I I S 7o.‘V ’£ P S f T r ° " “ “ ! E Ï ' " " Ï Ï T “ “ ' I & t e 4 Æ t e = e n ë S ’v e t . 7 r u 2n r b i î i ;? d ,ë . ‘‘^®’ “ “ «Crit p a r lequel “ •‘“ ‘““ “ m io lies’é la itIn tro d u ito n n rn X . J J *. . i . , . . . ! “ .^ " " " " ‘'.“•t q u i i se-so ic idait en I f ’ ë , •“ m araudeuse avait été

appréhendée et enferm ée au violon m unir K ! îm 7 u “ •"‘i ap p ren d re qu ’elle p erla it ie nom d e Hose Doré, veuve Jacques, âgée de15 an s . sans ...U ".”* «8eo ue

î u n ù l ë t L i î “ “ 'i iiï ^ ledéDosé! a ^ “ ^ '" " • '• '• â scit contenu o i.t é t t

I Æ t ë .

vra°d’n * n T “ f"® “ •«“ ra ille es t l ’tI vro d un mauvan plaisant.

SAINt-LEU-D'ESSERENTsoir*?e“?e'i!l?o â®’ ” '? ' ' ' “ •“ •'«“ ‘■«' <•“soir, te je u n e fieaudoin , âgé d ’une dmivaina

V O f r P ® r ? . “ T “ ' ‘ < • “ " ' • ’ O i r â . à • “

/ r p , t d ! % t i ï ï r r d r . 7 a 3 ; ? s ? ë“ ,7 e l u i ( ? “« A d u m / “

; y r e r ë ; ë r ? 7 ; r r d ë n ’g“ë r '“q,!’o T û .

*6 “ »s, sans dom icile n ïp ap fe ?s , o Œ

continuei;ons à'bien faTre 7a’n7 oom”t o SmÏ Ï ^reste, qu on ne cherche donc pas à créer entra

““ mdmepays, ces divisions ridi­cules... A quoi cela serl-il i a rien. Car ces divi

l’opinion publique, devant la vénté de noire commun amour du pays.

' 3 1 ? ^ V J ' " “ ® <*“ T em pïe/n* lô '; Ondû condu ire à Senlis ce lte inatheoreusa r

! m araudait, d it-elle , p o u r apaiser sa faim .

I tirer de J’flnn ii a “ réussit

I ® P*^omiôre bonne ac tion . n ’««i. it» i

I I f r ï ï u ^ l q n ’l l réu ssit 718, ca r le Jeune e t se se ra it in ­

courage d e son I pas, p ara lt-il,

I excellent nagê i? ," ® ®®‘' “ “ “ '•«■ “ “

I raM d’nS”»”»?® ?'«"“•«'■ ce bel acte de cou- I ~ q u ’u n e I

SAINT.VAAST-LES-IHELLO- 5le des num éros

I do la fôte patrona le :

n e ü i l l y - e n - t h e l l e

M. P révost, banqu ie r, a porté olaîntA , w n tre un nom m é G ..., m archand d e gre îS s ' nar«?n?*^'î^*^f des menaces de mort! parce q m i refusait de suspendre des nour suites engagées contre lu i. ^

^5* UQ incetfdle, dû à 1 im prudence d un fum eur, a éclaté dans un cham p d e b lé s itué e n ire la borne 44 et 45 de S an d rico u rt à A m blainville . G rrtcl au dévouem ent de M. L em aire (E ugène) rê?

‘*®..co®merce, d e Neuilly-en- ' T lielle, l incend ie a «sn/. -------

qui chercheraient à nülFë aux 10® , ^ ^ ™ ^S b °™ èoS l’ ‘• ; '“.“ '" ( c o q u ie s lp lu s 7 I

I f e s S s S ’S l aP®“ '‘ 80«‘enir notre France c S S e T à î ? / ‘ ®®‘®“ '’ ^®fo'’l ,d e

f tS llH n m x i France qui dans un mois va L0s*aiJflni?A 3?®™®'^'® ^® ^ ‘®rrefonds.russe, recevant à -„,®® de 1 autorité éta ien t justem ent

bras ouverts M. Félix Paure, noiro Généré p r i t - ®" ‘®“ ':“ ^e d e ce côté. I ls s ’e m u r e i / r Z jf i

| u T “M rr2 g '.V e 7 e 'L ïe a 'S .5 ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^d?s vSsgel“ “® provinces perdues et à la trouée

chem in de traversé Y o rd é d ë V a i l | ï r ? iPr^‘*eocû d ’un cadavre dont ïë

visage et les vêtem ents é ta ie n t couverts de i l *'®"‘*‘'® ' ’*d®ntiiô difficile.

A f î ® P*""* course et alla faire nart d e m d é o e u v e r te 4 M. P h ilip p e! S e ' ^ ë ë '

reidil7mm®eqia“i 7 ! “ ‘î®®"® •••'> '« I !? heurousom uul s i m ' i r a m ë|- t 7 d a u M flr ,œ ® ,“ l’,‘' ‘ '®* «‘ "« '^ '" • ' '" '« “ .«“ “ “" i to i la corde du p ^ n s ltlu' lion miA in ®rec une vive érao- I y®® ®® m alheureux puiuse s’y accrocher s il

S i J r S e ■ ''à ''" '" '’ '« P“'- " ‘"“l'ou fat u b h ^ u 'v e Li e ï a r p ® „ l ; ? 7 ; e ' ! . ; ; ““ “ ë f d ' œ ^ “ “*

large b lessure, d u u lo sang jaillissa it i P®“ '"''® “ ‘ '■® assistait a la scène

voulant dégager sa tille , recevait un couii d9» I couteau su r la m ain .

Tuul cela s 'e ta u fait en m oins de leinos 1 11 n en faut p o u r le d ire . L orsque les vol­ts a rriv è re n t, ils trouvèren t A ugeline bai-

gnee dans son sang.Croyant avoir tue sa sœ ur, le m isérable se

sauvajl e t a lla it se je te r d a i s un puis m ë- fond do vingt e t quelques m étros e t ayant au m oins quatre m étrés d 'eau.

. l i L iL P i l I f f t S l I I f U T u n

■ * t™ tiQ u é R ÎT

Bépât : principales^ pharm acies.

Liste des num éros gagnants d e là tombola

ôs du dé-1 laù l? Ellêl temps de I [u'i! allait I

■elle m ^^ | entendra I

rendre od f

B, Robert 4

dit-elle i , |

eu r cêléi il .lent mo' I eux igno* J savait b J tounnent J

mdémeot J à l ’autre I

& p eiM 'l iroisièM jp

faibles(e| a de t e ^ l !‘-q M |« j 9 se Isie*f| le obéU* I eniiôreel

hercbaflt| Théréta».! 69. 1cy sortit I . au teefl irem ié r tj

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47 . 87 J 142I SOO13301353|3 5 0|3& t1365|433|447|4 5 8!4D3

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- - 1020 m 1031 738 1032 740 1039 763 1076

1084 1566 19211093 1573 19591116 1619 19611172 1633 20721267 1636 20751399 1637 21121377 1659 31181421 1680 31491427 1705 32291436 •1709 3234145*3 1867 32501476 1889 22761477 1910 2407

3429243434352450345334682526

/“a . . ^ — T - ®tô Circonscrit.L6i ac te de dévouem ent, jo in t à deux

S ’ w •'«‘•‘“■'“ S i e contë-?ifn. ri portefeuille retrouvés)feliciifl^inn)?I*M * ®* P*®* s in cères i *’**’* 'i*“uaiour, malgré ses clou

f «"‘“.‘re q u i, com m e o n le I d„ txS'* et? * •“ '•"' « '• ‘"'“L “ ‘•‘‘J''«obérants depuis sa fondation, et

^ «c'if à la fin de ce lle aunéo.' voit, les m érite à tous égard:

neuient av a it p rodu it l ’effet d ’un coun dë

S n ™ ë ? “le“ r7 ® ‘®“ '” ; «e Corn-piegne e t le receveur des llnances eiGionf . , P '« « “ U8 télégraphiquem ent.

f«.r?a®“ heureux, mes chers conci- i .“ P ‘’®“ “ è r exam en du cadavre m la^®f®rl constala p lusieu rs b iessm m

wnseillers municipaux, pompiers, musiciens d e rr iè re la tôteAi iilia ior/ ®®

S n ! e “ Lëm al2ëi,,e“ ™’i » ‘‘®“ ‘« ™ mque notre vtiie mmehe vers le p r o g r é ë e f î .^ ;S ® ^ “Î r a , l f e ë a ë a ' ë ? r ; p “é® 7cë„ë2

La population augmente, l’industrie so nro- I h î a a®^®i'®' assènes a toute volée n ar un““ ««•'»"». et les Ouauccs no “' “ ■émeinent vigoureux.

iaisscn‘ non à désirer. L h o rreu r dos blessures, le silonre i r .bien - elW em dël "’l" " '" ’ "“ "•'«'«nt *"*“ ® '•“ quoi s ’est p e r ï ï r é teS ’,i™, I splendides. La So- I « " “‘O f»“ t sunnosor ,ino xi t • ' . , Ç '«

te fondateur, malgréftllTlM.Q a ATlUtanAA fer. —..X _ -. _ ... " .

BALAGNY-SUR.THERAINLa F an fa re do Balagny a pris p a rt au

irand concours m usical d e G ournay e t 4 Ibtonn un I - p rix avec félicitations du ju ry .

J* ®® ®<^^res à l’excellent chef e t à chacun de ses artis tes .

DIEUDONNELa F êle nationale , qu i s ’es t célébrée avec

beaucoup d en tra in tîans cette com m une, a été Signalée p a r ia rem ise de m édailles â deux honorables citoyens : la m édaille d h o n n eu r e t la m édaille coloniale.

VAitai U i. ~ I e, ^ revue d e la Compagnie de

| X “ »“ i « “ « S u » u î ï ï ë Æ

C R É P Y - E N - V A L O I S

î " ' : p : r o 7 v e S r - *• ‘" ’ ' ’ '®” ’

| “ <i“ u 7 ,° „ ;“ kilb ibèlres), d iv i-I Bravo 1 Tormeil.

et chers Concitoyens,®?“ * ‘*’e®‘re vous qui, dans

un même sentiment de solidarité patrioüquo. ont bien voulu se réunir ici pour célénror la tlonale.

J’adresse mes fëllcllaüons à la Compairale de ‘®®“ ® irrépro-

ffief t . ? ®®“ dévouement habituel,s est empressée de se rondM^ii notre réunion P*^. 9,®®* h a u t ^ ^ i IIH. les * "iBhnéfl» depuis de longues i -• * _ — — ,„a

l<lernlèréB?®Pv.®®‘® “ ’® Bguré la sem aine h rlu n n if^ ® ^ Sapeurs-PompiersI v ille d ? ^ Bebdom adaira rtA 1» par eu x aux conc

‘ ’^ ^ h ë b a :t-e iv il hebdom adaire de la I Dû l’on compte p rès d e I

de manœuvres d

l ' ' ' ‘’liy s v ë « " n llég ia lu ro 4l» ra c la r h „ i„ J “ « " l“ ™ r ' “ ‘“ «“ tro en or

“ne perte d ’au m oins 600 francs.

I X l U e 'p i r m l A Î ® ‘•« 'in téressem onl qnl | é e notre v l l 7 •‘«“ " « " f jennes gens

l»»Séié°fSi°J®Jf®‘* “‘‘'^«“*'«. cellecte I ttite pour parer aux frais de U re«

tégie où ils se i-Toierryet à

par eux aux concours - pompes et de s i r a t f '

sont rendus cette année. A Cbàleau- Salnto-Genevlève.

Je suis particnlièrement beureux de remettra à ceux de uos concitoyens dont les noms suivent

qui viennent do leur être décer-

« . Clément (Félii-Etlenne), ex-agent général d assurances, a obtenu de M. le Uiulstre du com- moree et de l’indusirio la médaille d ’honnenr InstJtuée par le décret du 16 juillet 1886. Assu­rément, jam ais récompense ne fut mieux méri­tée. Pendant quarante-sept ans, M, ffiément a p r é s e n té la Compagne lUigle avec un xèle. nn dévouement, un tact au-dessus de tout élotre II a débuté eu moment où les Sociétés d ’assnranoes étaient encore ffims l’enbnce, où Jet bipnikiis de

Nolro Comp“s î„ te -d ë a"p ë im t„7 1 ,'i“ ' 7 s gymnastes, grtco â l’efforl d ë S ' S s “

S o n î s i A /h . “ reconsliluer plus fone8nv™ . a ' • ' " “ " y ‘” c‘ “ 0 la bonna volonlé.

ramn^tl a?S5 « ®” ’ ®®*sieurs. des progrès ac- complls, et dé-sirons tous qu’ils so continuent.

Liiers concitoyens,

> fout supposer que M. K o p i f ë 'K foil! dioyé sans avo ir pu pousser un cri.

L in stru m en t du m eu rtre n ’a im z»A va ‘ro â .é . De u tém e, les baüuës o E é t s aëx a te u lo u rs jja r les gendarm es d ’Auiclw e t dë

i f u „ " m & ; 7 „ ’a ' - s ‘i “ ; „ ë ; . “ -'®plus de succès. ’ ^

,m m 7 ë l l l7 r i™ l> J ‘5 ‘'»..‘»“ ‘ «l“irM .K o p ff

- / “ ‘»q“ ’»“jo u rd î! iï nous célébrons la téta do la I m t e ü r ‘*“ ® ®®f •• «s‘°v icH m o''d 'unHépublîqne,réjoulssons-nous. " te q “ h « “ch a n l le p e rcep louren recelte

Sachons conserver nos conquêtes démocra- ' ' « “• «“'• éTanSoîn”.®.®*®®*''''-?® ‘« ''“" ‘F »" arriéra.

navsaïs é t e K n’ " ‘' ^ " •” “' '• '" " " '“ 1». ‘m paysans étaient des manants et des vassaux • »«”n !o i t r° fa S “n®™" ®i“ ™‘'" » " " " » » “jourd’hin. qn tour lalhail payer la dime... et lorsqu'ils no

S r û Ï Ï n S ë i l T e t l ? ! j’2 ',S ''Æ -“ i"“ ’ ®‘ “ “-

houiine paisib le et

G est v ic lim e 'd '

s ’es . po ite d an s un i i ë u Œ ü ’ S? 7 7 ^ 1? '•"P»“ illo r en toute silrelé.

d e f ë l W j ' ’®’ ‘• « '“ «acoche,

d i v o ! r „ 7 ë s ”é 7 [ rp a 7X r ' “d 7 ®r‘ ®®'"'® ®“ ■“ “ ‘7 7 a r ! l ï p o 7 opérer dos “ “ ‘‘rrem en ls dans les com-.1. i,u,ssnienue“ rs joure dans dos cachols r,L7„r. j dans

œiëddnîïrië f haslllte. que nos pères do 89 ëPoteU® •'*'“ “ ‘“1 “ ‘ <•“ L'ouloisy.

î J ë t S t S M I “ T n é i ï lM °om "’n S ' ë ë ’n.'“ '’' " " " j "te' " te “Taildonousé l a r d e v a m te toi™ " ' "

C’est pomquol tout homme, tout bon patriote doit être républicain et rester républicain. ’af!im m T® tf(*!fîf^® ’ ®®“ ™9 «’a dit Gambstia et comme 1 a répété notre vénéré Président de la République, H. Félix Faure, sont aujourd’hui In­séparables. C’est la vérité.

Dans trois ans. vous verrez les grandeurs de la Franco proclamées partout.

Une Exposition internationale se prépare, et nous en sommes convaincus, notre Patrie rem­portera, comme toujours, de nouvelles victoires avec son armée industrielle et commerciale.

Toutes les branches de l’industrie et du travail y seront représentées, et nul douté que la France ne tienne le premier rang parmi les nations du monde.

Ce rare l’aurore du nouveau siècle qui va s’ou-v n r bioDlêi. ’

t e France fera à tous les peuples amis l’ac­cueille plus fraternel, montrant les bienfaits de la paix, de là civilisation, les merveilles du tra­vail et de Imtelligence opposées aux ravages et aux désastres de ces luttes fratricides qui ne do- vraient p lu s , exister, puisque tous les peuples sont ireres.i/aA«Jïlljy®“ ,*®®. Bommos comme parmi les iiaiioiis. on devrait s’entr’aider ici bas, au lieu de s entre a d i r e r : la vie est si courte.

Cer la stiblline devise républlcaloe le r i tcji

somiu«“ d 7 i M f î ’®'"’®® ®®* ‘• '“ "«

I.™*".® 'f '® '''® " •« ' les pap ie rs, tes va- è S L i a io si q u e tes titres ont

D é m Z S ê à , lit 1 . ? " * ' ®‘“ ' ‘pere a e deux fils, don t 1 un es t dem i-n«n sionnaire au collège de Compiègne.

Le parquet de Compiègne e s t a rriv é vers ci” r e ë ï o “ rJî“ “ ’ H“ '''® «"‘• ' ‘“ ‘alioris ju ili- “ t ë r a m L W 7 ‘®“ percepteur

Vo * *Sam edi d e rn ie r on t eu lieu, en l ’éciiso de

îiLKopff! poi cepleur

p o ÏÏa m ié T d 7 S ! f f a t t« " “ «■“ •'reux am is

On s ’em pressa auprès de“ te victim e, dont- ( t o ë r a S o M ë o X - f f “ ™ ê ’a F l ÿ n s Z n t la b le ssu re sera heurouseiiieut sans i/r;ivri.h I »» VAnra a c h e te u rs :

I 4 v e n te d i r ec te à la c l i e n t.èlA2 E nvoi p , f i - n n n i ,

y i - s im p le uem aiide ,' ilu n n riif on 'l^ l j a . j r a u c l e b o u te ille n ë 'f f ;

LA CROIX-SAINT-OUENrh ü " ; ,’ employésu iv l i ' ï " '* ? ' ' ' “ “ ‘ra m e u r uu service de M. 1 ra t, fa isa ien t galoper deux clievaux su r la rou te d outrum eiuent, d ite roule do la flideusu (forât de Lompiègne).

A rrive 4 quatre ou ciuq ceuts m ètres du point do départ, ie cheval moulé p a r P iu d e r après s ê tre dérobé, re n tra sous bois e t pro- i ë l V ë " «““ ‘re un arb re . P in d e r aété lué su r le coup. M. W arde, m édecin au

le décë™” ° J “ h®" eouslator

MESNIL-SAINT-FIRM INLe b u reau teicgrapliiquo créé au Mosiiii- I

S^amt-Pirmiu sera ouvert le 23 ju ille t cou-

9.'',“ “ ° p e U te i d es d ii ié re ii te a qnaU iâ .' â jjg ji . « é ^ g o ù t e . " ,|,i j j .q 4 'J.gfl è ! ^ÏÏfî? ( i r 2 2 Ô l i l I cdiD uns. (rancoK<'iro di'sliiuilfiiî

s o « “ d o S S Ï i f y S »oiissl de tro u v e r d J m L T s r a m l T d ^ f .

eourloiste

. ^ a . I t o n n r i t x f x r

B u n g ^ o ù t j f é m iu iu eL e P a n a m a , c e t é n o r m e f i a s c o

w o x e j l J e p l u . l ’ i G i é i Ô t d o s J c c l n c e a :M a i s e l l u N N o o l t o u j o u r s a d m i r a i n c o s

D u s v e r s c h a u t u n l l o p a r /-H m d u C o n g o .

V n jo u r n a l i s to , a u s a v o n n ie r V ic to r V u i s i i V , - .

D a n s q u e l q u e e n d r o i t é l o i g n ô q u ’ o n h a t . i l e i l e s t p r e s q u e i n d . s p e n s s b t o d o p o s s o d e r l e D i c u o n - i

d Ô ^ r ! * “ “ “ “ « ‘ • ' “ “ ' « “ ‘ S , o u v r a g o i l i u s t r od o 3 2 0 p s g e s , q m e s t r o o i i s o u e n v o y é f i a n c u s ' d .m .ud , p „ 1. l o 3 , r u e L a ï a y e t t e , P a n s .

Î l ••'•“ '" ’essEsO rI™ 1- ‘“ '".".“"r- ‘7 M eJ.ill». u-„., 5u^ '■ L*P'>«>i<>nunivors. Lyon. I81U

D piifx Kx[io*, univ HonoEAux, 180,5ALCOOL DE MENTHE

t)G

r i c q l e sLo soul vériteliliY Ai.cufii. DE M estiik so..

c ZI n . , l i '•‘•toirfiff’, d e c æ u r , d e t.Ue

nn mt uue boitsun dolicieuse. calmant ios- laotano.nfîtu |,, nnif ot nsquitiiquHiK l'oau.

P réserva tif contre les EpidcmU'i. .fl•.xcoiIoDi uusMi pour la toilette ut lus dunls.

L iiger le nom d i nic«ii.Ks «ur lo. fl.cons.

venus un peu d e tous les côtés, a assiaié an« convoi 61 service du dèfum , d o m le ^

à M « .,U ,5 ,c .,-u ? iv é z è 'ië .ë 4 s 'te .7 h ltP ln h ^ ^SSSlPsîi* A“ i®*®leni aux obsèques ; le Conseil JQUiUoIpÀli la ÈanfarOi le com pagnie d*ArC|

Receltes ailles.M o y e u s i m p l e d e i s i c n e i d l u i e r

« a p r o p r i ê l é .La c lô ture des proprié tés en l'ranrA a«i

g énéralem ent bien m auva ise ; aussi les nro priètîiires en subissent les coiisèdiienct's toujours trè s préjudic iab les. En ellei lesr o S s 'd n 'n l ? “ forillév’s doronces don t la rociiio p é r it ou peu do lemusi ri® *4® ®Hes sont sans cesse exposées à ê tre dévastées p ar le bétail. «*1’®®» ® «

dfl iüxjn® n ^ eflicacem eni e t à peude frais. Q u'on trace un petit sillon tout an- lo u rd e sa proprié té , e t q ï ’on y sèm e d e ÏÔ g ta in e d acacia ép ineux, de F rance e t du Mexique, don t les pointes on t û o S S «Ann'l! m étros de long. Cette g ra in e pousse très vile

! ! e 2 7 ë n io l te ‘ü ‘’7 ” “ ‘ ""® •«“ '■‘■'•e.^ 10!“ ' ^ ' ï . ,1 “ T , “ " " •'“ •« “ "P6"è-t e r n u ë r 7 ’ *“ e‘“" l" e année poiir late i n i h “ “ nrbiisto irés vivacodos în fëJ’ ë’f ®" en formi!dos ra ies, des jan tes , des lioyëux ë i ites brancards d e voilures. La g ra in e desacac ^ épineux, qu on vend à vil prix en Algérie et

r a o S Z s te '“ “ ‘" '•“ •«“ « p ren d

R o y â r" '* ” d e rn ie rs au B ond-

— Mei, raconte la blonde Z ... d ’une m ai-1.1 i'’? ," '"’ J" •’“ * « " '« r« fa ire I do ia bicyclette, m on trer m es jam bes.,,C e s t v ra i, répond son am ie * fn rie i

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E>éoôt G énéral

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C eo n n i .Prochain .lanv .tF éT rie r....,ip r em ie n ..,M i*

Conrant............P rochain...........Harfi-ATrll...,., i premiera.........

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^9 InUlet.M V t

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■OOTORl**O aaU U .. 1 7 6 5 1 9 0 r q o a U t i . . . 1 16 170 8*6u l i t i . . . .M ) l:tOG i^ U 190 1 10C a i ^ p a ^ - . 110 S . . A f a m s U t* 110 1 90

P O Ml '-q « a U lé ... 1 . . i r o f q n a U U . . . . 86 .9 6 3* g a a l iù . . . .1 0 .8 0 Poitrinaasal. . 90 1 30

f O I lM

3 0^ a u o it . . 81/IO /O i89i.

1 8 6 5 ...1 8 6 9 ...1871 ...

r s r1 8 7 6 ...1886..

v . m^ Æ !V.d'AnüMUi. V. BOfdMOX.»y. da LUI*. O h r v .d e l jo n Banq. d* f t . . B. dW im pt*.

>d*ljon lOi 50

■ I tava.l ( i 55101 60 108 . . SOiSO 6tÛ . . 585 . . i39 II118 . 11116 609 600 .. iO i Si> 100 75 i l ! 76119 15 115 .

Bom* lia Parla d i 20 J illle tj 1897 . g

B.d* P a ria .- ..C‘*fon*.d*Fr

Pari* (LaVUieUe) ’9 JuiUet, A

Comnt.d

Crédit fonclartré d i i indoat Sara ioaM .. . . 153Crédit iyonn. tiax

Can. Panajua. - 3 0 /0 8 iip

COLXi<00 kll

59 CO ' 60 . ,19 SU 60 . .59 15 6S 59 72 19 2S . . 59 16 19 60 38

Crédit m obU.bœnhi.ino ki: 1 *61 i S8 lOil&S So«. iM éralaDiaponibl*.... 15 '.Se 71 Vachaa. 1 iS ii itf 1 10 I m i l Banqn* parUC onrant.. . . . . . 1 13 i 16 I 50 I 0 6 a l3 0 K*nt* i*n«P ro c h a in ..... Il 60 1 70 i Si S n is 6 0* premiera H*nt*na..8)393 1 8i i l 71 i 0( Hinq. d 'A lfér. 57à . .i de mai........ 488 15Port* tp

B . 4 t « a n .

A iim o iie e a « lo d io la d re s » Etode de M* S A IN TE -B EU V E, avoué àAariCLB 1

Retrait de Cautionnement

R»tal|M «ta^; 7 i0 . .Kit................... 1066 ..L y e i i . . . .^ . . . 1 6 1 6 ..Ifid l. 13 1 .Nord 1885 . .Oriéanf 167S . .(M .-C U |* n i. 6S0 . .O a * it l l S i . .S nd da laP ÿ .. 159 . . O M ilaIfér ... 646 . . 0««kfd*lltfa. i l i . . Magaalna géô. 6<1 . . Corne. Trana. StS . . GaxCome.nar. ItlO

- MI,7oaii. .876 . . H*aa. lu r l t . . 71 i . . pqu).d*Parla. 1310 . . Voie à P a ^ . 636 . .

^ rin th * • . . Panana. 7 60

Sa*s Action*. 38S1 . . D é l^ t . . . . Panadof 1380 . . Boni tr. 138 . , Soc. civ. I î3 r . .

Tél.Far.àN-Y . . . . C .géo.dE aax . . . . , Gaxcentral... lilO . . ËtablIa.Duul 3S;0 . . Petit Jonmal. :siO . . Uttsaliiuir** '31U .. LePrintoip*. 759

lOi ..107 i& lOi 1510.1 15 (, 93 81 - i

SOI !0 6101 7U « .

v p n e a lT A T At u m i mAntrich.éO/0. 105 80 B gjpt^palra.. *— OettenB.— P *tt*pr.— Ob.dom.

ItaUen 5 0 /0 ..— V. un . ovi :«

Rn***é0/067. 101 70— 5 6/079. . . . . .— i 0/0 80. 101 90— 6 0/0 81................- é 0/089. lOSiO

, - é O / 0 9 0 . 103 65 D e tu iu r.4 0 /0 11 10B. Ottoman*. 5i7 . .C. fen*. d'Ant. IIIS . .

“ K o p . 580 — B on i.

C.m ob.fiapaf. i l 50 Andaion*. . . . 96 . .A ntr.-U ongr., 170 . . S.-Aut.>Ldnb. 118 . . Ménd.d’ltail*. 6*7 NordEapagn*.Portngai*. . , .

• onueàT .M vsa. IOOf.iO/0. . . . .

10^ ... ,500f.80/0. . . . ,

— 10^ , 500f.é*/,4S . . . ,f. 8 0/0 71...............80 /079 . t o u f. 8 0/0 79. £09 . «. 80/080. 616 .

M i :L 30/0 88. 570. f. 80/085. ~C 3 0 /0 » . e.8 OAi 91.—lOOIIr.p,Bon* 1007.

Banq. kEitL .......

- 80/0..

Suivant acte dressé au Grciïo du Tribunal civil do Senlls, le six Uai mii huit cent quatre-viogl-dix-sept, M. Françols-Tbeopbile RiciiAno, an- oien notaire k la résidence do Tout- Sainle-Maxence, y demeurant, a dé­claré qu’il était dans rintoulion de retirer le caulloonement parla i fourni en sa qualité de notaire.

Abt. s.GREFFE DU TRIBUNAL DE SENUS

(OISfi)

O a r e t U r e d e s V d r i l c a t io n s .

Los créanciers présumés de la fail­lite du sieur'TfaéopliUe F k tit, libraire, demeurant à Foot-Sainle-Uaxeuce, sont prévenus qu'un délai do quinze jours leur est accordé à i’eifut do se présenter on personne ou par fondé de pouvoir : 1* à partir du yiugt-deux Juitlot 1897, soit au GrelTo, soit chez M' DelDporte, avoué k Suuüs, syudic de la faillite, de déposer leurs titres d e créance sur ledit sieur Pe u t , avec un bordereau indicatii des sommes réclamées ; 2* et à l’assem­b lée qui aura lieu pour la vérilica- tion et l’alUrmatiou de leur créance, le Mardi d ix Août 1897. à d ix heures d u m a tin , au Grclfe du Tribunal, sis au Palais deJLa.ice, à Seulis.

Pour insertion :Le Grellierüu Tribunal.

Ge o r g e s ü ETROYE.

4 ares 21 centiares en?iroQ de TerreTerroir de SAIM-LEU-D’LSSEHENT

lieu dit le Passage,En deux Lot*.

L’adjudication aura lieu le M a r d i t r o i s A o û t

heure de m idi,En l’audience des criées du Tribunal

civil de première instance de Sen- lis. au Palais de JusUce de ladite ville, m e de la République.

y adresser p our les renseignemenls ;1’ A M* MARTIN, avoué i Sonlis,

poursuivant la vente;2 ’ A M’ SAVARY, avoué à Senlis; 3 ' Au Greffe du Tribunal civil de

Senlis, oO le cahier des charges est

A r t . 3 . '

Suivant acte passe devant M« Polit, notaire à 2»euiis, le huit Juillet mil huit cent qiiaire-viugt-dix-.sept, M. Paul-Octavu P a r a d is , uiaitre d'iiûtei, et Madame Tlioiiiassiue Üevaux, son épouse, demeuraul ensemble à Sen-

ont vendu â M. Franvois-Aniuiiie o t t , chef cuisinier, ei Madame Geor- geito R o s e , sou cpouse. demeurant eusemble à Vmeuii, cummuifo de Saint-Firmm,

Le lüiid.s de commerce de moiire d'Iiôtel qu'ils expiuiliiieiil à iseulis, duus une iiiaisuu, &ise rue de Reau- vais, numéro oü, ayaui pour ensei­gne o Uôieldes Arenefi ». moyennant un prix et sous les conditions indi­qués audit acte.

La prise do possession a eu lieu le quinze dudit mois de Juillet.

Ëlectiou de domicile a cto faite en l’Etude de H' Petit, uutnire.

Ab t . 4 ,

F o n d s d e B o u la n g e r iePARIS — RANLIEUK — i'ROVlNCE

MAREHE, BROCHETON A BÉNY150, rue de Rivoli, Paris.

Ancienne Maison Veilieux.

Par conventions veibnle.-j, M. Ra- TEAU a vendu « ,\1. Dunoi», son fonds do boulangerie, sis à Crépy-en-Va­lois, Grando Rue, numéro 18 , et cédé ses droits ou bail des lieux.

Domicile élu par racquéroiir pniir les oppusiiious, s’il y a lieu, au cabi­net des soussignés.

Uareiib, Drooiieton ut Bésy

Etude do M’ Paul OELAPORTB,liconcié en droit,

avoué à Senlis, r u ^ e la République,

En l’audieuco des criées du Tribunal civil dé Seuils,

d’un •

Clos a e m urs.Sis à SENLIS, sur lu Boulevard,

ruu du Tour de Ville,El par le ministère de M* Co û t a n t

notaire à La Cbàtre,O’UNB

BN DEUX m o r c ea u x Située aux PERA DORS,

commune de Lacs, canton La Châtre (ludre).

L’adjudication de la vigue aura lieu l e l l i m a a o h e t " A e û t

d deux heures de l ’après midi,En lu salle de la Justice de Paix

de La Châtre,Par io ministère de SI* Co û t a n t ,

uotuiro,Et celle du terrain, è l’audience des

criées du Tribunal civil de Senlis, l e M u r d i tro is* A o û t ,

heure de m id i préas. s adresser pour Us reiuseiynemenl:

1* A M’ i'Al l. DELaPORTE, avoué Senlis, pourAUtvuiii la vente;

2 ' A M' COLLAS, notaire à Mollo 3' A M' COUTANT, notaire à La

Liiàtre ;4’ u au Greffe du Tribunal civil

de Sonlis.

L £ j iO t* t W Sur folle encbire,

- d 'un*P I È C E D E P R É

Sise à COYE, lieu dit la Grande Prairie. L’a^udicaiion aura lieu le

M a r d i d i x A o û t A 8 0 7 ,

heure de m vtt.En l’audience des criées du Tribunal

civil de Senlis.S"adresser pour les renseignements :

1* A M” SAINTE-BEUVE, MARTIN Cl DËHELIN, avoués à Sonlis;

2* A M* DALEZEAUX, notaire à Chantilly;, 3 ’ Au Greffe du Tribunal civil de prenuère instance de Senüs, où ie cahier des charges est déposé.

Etude de H' Philippe MARTIN,avoué à Seulis,

rue do la République, ii' 30, Successeur de M" Lionbt et Quûier

MLT a m r« â j '’MT* j b î ;Sur lolle enchère,

AI'RF.S SAISIR IMMUUII.IKRBEn Taudieuco dos criées du Tribunal

civil de prciuièro instance de Seulis, au Palais de Justice, rue do la Ré­publique,

d’unb

M A IS O N B O U R G E O IS Eavec

CIRCONSTANCES i DÉPENDANCES Sise à TOUTEVOVE,

commune de ücmvieux, ciiutoii de Ci'cil,

arrondissement do Senlis (Oise). L’adjudication aura lieu le M a r d i

» 7 J u i l l e t 1 8 0 7 , heure de m idi.

S'adresser pour lesrenseignemsnts y A M" MARTIN et SAVARY,

avoués i Seulis;2 ' Au greffe du Tribunal civil de

Senlis, où le cahier dos charges est

3* A M’ VITRANT, avoué ô Clcr- m o D t (Oise);

4‘ Et sur les lieux pour visiter.

Etude de M' Piiilippr MARTIN avoué h Sentis (Oise), *

rue de la République, n’ 20, r do M" Lionbt ot QuétER.

V E N T E S U R L i a X A T K WBntre Majeurs et Mineure

d b

UNE MAISONET SES DÉPENDANCES

Terroir do SAINT-MAXIMIN, près le pont de Saint-Lcu-d'

(Oise),

.M'‘LEVIEUX, licencié en 1 droit, avoué à Sun-j iis, iTieSaiut-llilairo,( u’ 10;] Henri VELLY, f tairu à Château( Thierry.

Par suite d'acceptation liénéficiaire,' db

4 9 arcs 9 6 cent J g

Sis teiroir do CIIIKRRY, lieu dit lu Clos du Vivier

Lu qualre Lots,Avec faculté de réunion desdits lots,

L'adjudication aura lieu i e D im u D c h u h u i t A o û t

lH t > 7 ,à deux heures de relevée,En la Mairie de Chierry,

El par le niiiiisiùro do 11' Vklly, iiulairo à Chàluau-Tliierrv,

commis à cet effet. S'adresser pouries renseignements

1* A M’ LEVIEUX, avoué è Senlis, poursuivant la vuulo;

2' A M* MEZIERE, notaire à Botz; 3' Et à M’ VELLY, notaire à Cliâ-

tcau-Thiurry, duposilairu du cahier dus cliargus.

IM” t:uiLK DEMELIN licencié un dro it. avoué â Sentis, rué de Villuvurt, u*7;

RALËZE::aux, notaire à Chantilly,

V E N T I', S Ü U L lC IT À T ItH SAvec faculté de réunion,

DB

QUATRE MAISONSCipconstanoes et D6pendanoet,

et

Six Pièces de Terrele tout situé

commune et terroir do GOUVIEUX (Oise).

L’adjudication aura liou l e D i m a n e b e SC Î J u i l l e t

t » 0 7 , d deux heures de relevée.

En la Maine de la commnne de Oonvienz,

Par lo ministère de M* BALézEAux, notaire 5 Chantilly (Oise),

commis à cet elTot.S'adresser pour les renseignements.

V A U’ DEMELIN, avoué à Sonlis, poursuivant la vonto;

2' A M' LEVIEUX, avoué k Senlis, présent à la vente;

3* A M* LOMBOIS, notaire 5 Précy- sur-Oise;

4- Et è M’ BALÉZEAUX, noUire a Chantilly, dépositaire du cahier des charges.

Etudede M* THÉROU, avoué àRouen rue Saiut-Nicolas, a " 2 1 -2 3 .

SURENCHÈRE MASSON

A VRKnUY 60 l’audience des saisies- il ifillUAD immubihère»duTribunal Civil du Rouen, au Palais de Justice de ladite ville, lu Jeudi 5 Août 1897, à deux heures, en uu seul artlclo, un Marché de Terre, Pré* et Bol* Tallli*, dit Marché de la Villtneuve, SIS communes UeThury, Mareuil, Au- tlieuil-uu-Valois, et communes envt- rounautus, coutouant 47 h. 10 a. 03 c.

hevenu, s.400 fr.Mise à prix : 6 1 9 6 7 fr.

S’adresser à M” T i ié r o u , Vb r n b u ii., P e t it et L b m a sso m , avoués k Rouen, et à 51' GiLQUiN, notairo à Nuuitly- Saiut-Fronl.

Etude do M‘ TOURTlLLE, notaire à Neuilly-en-Ihelle.

A E io ite s» €s V A s s s i a h tePour entrer en jouissanoe au l 1N ovembre

• 1897,

F ’E R I V I ESiso à DIEUDONNE,

canton de Nuuiiiy-eu-Tliulle, Comprenant corps de forme ul66 hect.

environ do torre,2*

A U T R E F E R M ESise é CAVILLON,

commune d’Ully-Saint-Guorges, même canton.

Comprenant corps do terme et 53 hect, environ de lurro.

Facilité de s’agrflnd tr au moyen de marchés de terre, dont les baux arricent d expiration.S’adresser pour reiiseigiiuménts

et pour traiter audit M* To u r t il l b .

Très beau MobilierARGENTERIE A BIJOUX

A V E I V D î t JEAUX BNCHÈRBSPUiiLIQUBS ACRÉPY-EN-VALCIS

imposso do io Cloche, numéro 20, Par le ministère de M‘ P il i .b b o u t ,

notaire à Crépy-en-Valois,Le Dimanche 1" Août 1897,

d une heure après-midi, et jours suivants, a la même l

s’il y a lieu.

Un beau Mobilier de Salle à Han- bois noir verni,‘comprenant :

Une grande Table ronde & rallon­ges, une Crédence et dix Chaises couvertes velours vert.

Un petit Ruffet-Babnt en ch sculpté.

Un grand Bureau-Ministre noyer cire serrure à ressorts.

Un grand Lit de Milieu à deux per­sonnes cuivre doré avec Sommier, un Matelas, un Traversin et deux Oreil­lers.

(Lo tout dans l’état de neuf).Un Service complet 'de Toilette

faïence blanche décorée bleu, com­prenant :

Pet et Cuvette, Savonnièros, Plat éponges, Broc et Seau.

Deux beaux Bains de Bain de Pied, un Tube.

Une Couverture couvre-pieds mo- letonnce, une très belle Livrée drap bleu, un Habit rouge de Chasse.

Une très belle Cuisinière (état de neuf).

Un petit Fourneau-Grilloir à sence.

Une Armoire porte pleines à deux corps.

Ustensiles de Cuisine et Débarras.El autres Meubles dont ie détail u’

pas été donné.

Exppe*6ément au Comptant.

On p ourra visiter le Dimanche dans la matinée.

COflMDNfi O’ÂUflOüTDimanche prochain, vingt-cinq

Juillet, (1 deux heures, aura liou, ;i la Mairie, l’AdJudloatlon pourtpol* an* de la location uu Droit de Chaase su r le Butte d’Aumont et le* terrain* avolsinants.

La contenanceestd’cnvironShect. 2 0 are*.

S'adresser pour renseignements, au Garde Cbauiputre.

OiiZe Vaches & Géutsscsp i . u s i e :u k s c h e v a u x

Chez U. BUUSSARD, à Gouvieux (Uise).

B O N F G ü ^ D SDB

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-'adresser au Bureau du Journal.

A . V E N D R E

DixHlagDl&qaes BéliersRACB HAHriIIRBS

Bons pour fa ire la lutte,AUSSI DB

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Race Normande.Pour traiter, s'adresser à M. Tiiiébot,

Ferme des Aigles, Chantilly.

B heure,

(CoDBUlter les Affiches).

^ «:3 ^ 3 mm h c

BONNE CULTURE«le SS3& h e c t a r e s

DANS L’AlinoNDISSKMKNT DB SKNLI3 S’odrosseràM ' DIET, notaire à Créuy

OD-Valois.

de M’ Léon BARANGER,commissaire-priseur

des ville et arrondissement do Sonlis (Oise).

rue S’-Yves-è-l’Argcut, n’ 12, au domiuilü et pour cause do départ

de M" la comtesse E s p iv k n t De La VlLI-EDOlSNET,

VENTE MOBILIÈRELe Dimanche 25 Juillet 1897,

d deux heures de relevée,Par le ministère de M'Léon Babanobb,

commissaire-priseur à Senlis.

DéBignation sommaire :Un très beau Mobilier do grand

Salon Louis XVI en noyer ciré .sculpté recouvert étoffe .soie fond vert d'eau et vieux rose, composé de : un petit Canapé, deux Fauteuils et doux Chaises.

Deux paires do graiuLs et très hauts Rideaux assortis au moblliur do sa­lon. Embrasses.

Une belle Table è Jeu noyer ciré et doré Louis XVI.

(Tous les meubles m-dessus sont danp l’étal de neuf).

Un Mobilier do petit Salon Louis XV palissandre doré recouvert étoffe rouge, comprenaut :

Un Canapé, deux Fauteuils et trois Chaises.

Etude de M’ PETIT, notaire à SenUs.

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Le Dimanche S8 Juillet, d t heures, En la Mairie de Mortefontaioe, Par io ministère de M* Pb t jt ,

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au Plussiii-Bellevillu.

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Le Dimanche 1“ Août, à deux heurte En la Mairie de ViDeull.

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Situés terroir de SENLIS,Le Mardi 9 Août, à froi* heures,

A Sbnlis. en l’Etude ot par te ministère do M’ FBRTé, notaire.

Etude de M* Edmond FERRY,- notaire à Béthigy^aint-Pieire.

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à Béthisy-Saint-Pierre.

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THmÔüm, notaire à Acy-en-Muitieo.

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Par le ministère de M” Thirouin et Méziebb, notaires.

Le Dimanche s s Ju illet, a une heure. Le tout dépendant de la succession

de ia veuve Topart. .

Etude de M‘. G. LOMBOIS, notaire à Précy-sur-Oise.

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Le Samedi 84 Juillet, à 3 heures, En l’Etude et par le ministère

deM Loufiois,notaireàPreoy-s.-Oise.

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Le Dimanche 85 JuilU t 1897, d u n e heure.

En l’Etude ot par le ministère M‘ Lenicqub,

Etude de M* d h e r b b , huissier k Pont-Sainte-Maxence,

suce' de M* CoNiN.

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au domicile de M” veuve Hétbds, fruitière,

Le Dimanche 85 JuiUet, d 8 heures, P ar le ministère de M* Dbbbbb,

huissier.

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commune de Vemeuil,Le Dimanchi 8 A o û t.d d e u x heure*,

P ar ie ministère dudit H’ Dherbb.

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à Pont-Sainte-Maxence.

Commune d* Verneull.

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Le Dimanche 85 Juillet 1897, d 6 h . 4/8 d u m atin .

Par le ministère de M” Duebbe ot Vassbur.

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Attirail de CultureA Veudr«)4Aux lânoiiereAP0URC5USE Ot CESSATIO* IE CULIURELe Dimartche i" Août, d 8 heures,

A VLRNEÜIL au domicile des époux Damblt, Par le ministère de M” Vassbur

et Diierbb, huissiers.

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A LA CUAFËLLE-KN-SERVAL, route de Paris à Lille,

en la maison qu'occupaient M. et M' DUGARÜIN-PARURHIiKfi,

Le Dimanche 85 Août, d 1 h . précise, Par ie ministère dudit M' Duolamd,

greffier de paix.

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90° 61“ de BoisSis à LËVIGNEN,

lieu dit la Sainto-Foutaino,A vendre par adjudicationLe Dimanche 85 JuiUet, d 8 heures,

En i’étude et par le ministère de M* Lbnicque, notaire.

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Sise à CUEVREVILLE, à 5 kllom. de Nanteuil-lo-llaudoùin,

station du chemin do for du Nord, ligue de SoissoDS,

Le Dimanche 1" Août, d 8 heures, En l’Etude et par le ministère

51' L b n ic q u k , notairo.Mise à prix : 20.000 fr.

Etude de M' RICHARD, notaire à Pont-Sainte-Maxence.

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sur la route nationaio do Paris à Lille A v end re pu r ad ju d ica tio n

En l’Etude ot par lo ministère do M' R ic h a r d , notaire à Pont-Sainte-

Maxence.Le Dimanche 15 Août, d 8 heures 1/8

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Située à SAINT-PATERNE, commune do Pontpoint,

sur la route de Pout à Vcrberio,A vendre par adjudication

En l’Etude et par le ministère H' Richard, notaire à Pont-Sainte-

Maxenco,Le Dimanche 8 Août, d deux heures.

A D J V O IO A T IO IVEn la Mairie de Tillera-Salnt-Paul,

Par le ministère do H' Dbsabib notaire é Creil,

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situées terroirs do La Cuapklle-bn-Skrval et Orrt-

LA-VlLLB,Le Dimanche 85 Ju illet 4897,

d n e u f heures d u m atin .Par le ministère do M* Duoland,

greffier de paix.

M*'Paul DELAPORTE, avoué à Sonlis, ruo la République, 22;

VASSEUR, huissier PoDt-S"-Haxence.

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Par le ministère de M* Vasseur.

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JOURNAL D E J/A G B IG I LTLBE

S O M I H A I R EJOURNAL DE L’AGRICULTURE. -

Rédacteur en chef: Henry Saonibr.— G. Massor, éditeur, ISO, boulevard Saint-Germain, Paris. — Un an SO fY.— SoHMAiRB du numéro 1600, du 17 Juillet 1897. — Lfenry Sagnier. Chro­nique agricole. — PoutUef. Questions

droit niral. — Un Corréxien. Con­cours de la race limousine. — Cou- tagne. Sur l’emploi de la dynamite.— Concours régional do Vesoul. — Liste des prix. — Sagnier. Les mou-

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^ 80/0.Put*D a«*.*‘.

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3 0/0 0 481 .tifind-C«DDa] 476 . OncéiSdÿO ... 4bà , 0**iit30,'0s*u 4S3 . GnnlLvi- 62u ,

berrichons de l’Indre. — ifer. Iimure du chtoe. - d r i jm m . u Diellfl du blé. — B ronn iek . Courrier du Nord-Esl. - Déoor«lloB8 dam 1 oidre du Hérite agricole. — Mar- sais. Société nationale. — pemy Revue commerciale. — Boite aux lettres.

GaAvoaBs Roiass : Les moutons berrichons de l'Indre (2 11g.).

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Rtça iD iprlm erlg Adminislratlvo ot Coinmorci.lo, Th.- NOUVIAIV.» 01 U , Plaoo do rH aioM o-V Illo , i S o o lli, ’

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