4
P araU tant tàm anche h Jeudi. Dimanche 5/ Octobre 188B. Prix de VAbonnement t Uaab ............................. H fr. Six mob ... . .............. . . 7»» ,1 note mou. .................. COURRIER DE L’OISE 1 > . Ak»«r»e«s. «dclam e. «I ««meerMant Pari» et te» Mfépariemenf ..ni reçue* au Bureau du Joueual. i. eue Prix de l*AI>oimcment « rOUR LR DÉPARinunt ■ Un .............................................. 1< flr* Six moia...................................... S » Trois mois.................................. A 60 ieÈ*re, à Seniise pp» iNSBanoiiB A«nA«eeB • L a MtMé;0S6'd. L'annonc» au-dassout d« 6 lignn. 1 fr. 0,40 c. - Ed faiU div*rs, 0,50 c. AVIS 41IX «pUINIlPa L'abonaemeot eat pavable dTavanca. H a’aatianaia latarrompu et eat considéré comme renouvelé si k l’expiratioa on ne donna pas d'avis contraire ON S'ABONNE A SENLIS, au Bureau du Journal, 1. rue Saint-Piene, 1, et chez tous les Libraires du département. le travail dn Sénal Le Sénat a TeleQreusemeDt inenguré la ‘" c a m p a g n e Iétl8lalive< Après avoir voté quelques projets.' d’intérèl loca! el après avoir adopl^.eo première délibéralion une proposiUôn bénigne de-MM. Griffe, Listmnne el Combèscure < ayant pour objet d’indiquer au consommateur la nature du produit jiTrô & la consommation sous le nom de vin », après ces intéressants préliminaires, disons- nous, la haute Assemblée a abordé le projet de loi autorisant la Ville de Paris & imputer sur l'emprunt de 250 millions la somme de 29,450,000 francs, pour subvenir à certains travaux de voirie ddment spécifiés. L'intérêt de la discussion était dans l’ad dition, au texte voté par la Chambre, d’un article stipulant que < le cahier des charges el les séries de prix dressés pour l’exécution des travaux faits avec les fonds provenant dudit emprunt, ne pourront contenir aucune clause contraire aux dispositions du décret du 47 mars 4888, portant annulation des délibérations du Conseil municipal de Paris en date des 27 avril et 30 décembre 4887, el du 99 février 4888, relatives aux travaux communaux. » .............. Nos lecteurs se souviendront qu il s agit de dispositions arbitraires, contraires au droit commun, au droit administratif et aux règlements sur la comptabilité publique et les adjudications, introduites par le conseil municipal dans les cahiers des charges, au profit des frères et amis, et au détriment des contribuables. Or, malgré le décret qui les a annulées, ces clauses sont appliquées au vu et au su du préfet de la Seine et du ministre de l'intérieur. En vain le sous-secrétaire dElàt que M. Floquet s’est adjoint a essayé de justifier le conseil municipal, le préfet el le ministre, en faisant de la casuistique; en vain M. Floquet lui-même est intervenu dans le débat, le Sénat, par 479 voix contre 24, a adopté cette restriction prudente. Au point de vue de la science législative, cette manière de légiférer par raccroc, à côté, et en quelque sorte par prétérilion, est étrange; mais le fait d’un gouvernement qui enfreint les lois qu’il a mission de faire respecter est aussi tellement étrange, qu'il justifie ce procédé inusité. NOUVELLES POLITIQUES Les minUtros se sont réunis en conseil de . Cabinet, an ministère de l’intérieur, eous la présidence de M. Ploquet. M. Peytral a entretenu le Conseil de son projet relatif à l’impôt sur le revenu. Il a annoncé à ses collègue* qu’il leur ferait distribuer ce projet . aarnedi en épreuves. Un conseU spécial sera tenu lundi pour examiner le projet de M. Peytral. M. Perrouillat a fait connaître qu'il avait demandé au procureur général près la Cour d’Aix un rapport eur les incidente qui se sont produits a .l’occasion de la réception de M. te premier président Ruben de Couder. Le Copseil s’est entretenu de la question soulevée dans le déparlementdes Alpes-Maritimes & propos d'une lettre écrite è M. Andrieux par le chef adjoint du cabinet du ministre des travaux publics. M. Deiuûs-Montaud a expliqué que cette lettre, écrite en son absence, était entièrement erronée. La vérité est qu’il n’a été rien change lignes de Draguignan Digne à Nice par Saint-Andrè. Les travaux seront poussés simultanément sur les deux lignes. Quant à la variante par Castellane, dont une réunion tenue à Nice a paru particulièrement a’occnper, il n’a été nullement question - - substituer à la ligne par Saint André. M. Lockroy a entretenu le Conseil d un projet de loi ayant pour but d'installer un jardin sur remplacement des Tuilerie* od se trouvaient les baraqnemenU de l’Hôtel de* Postes. Cet empU- cernent ne comprend pas moins de 4 hectares. Le jardin devra être établi avec la plus grande • simplicité, car il sera remplacé plus tard, en tout * on en partie, par te monument de la Révolution. M. de La Porte, sous-secrétaire d'Etat aux colonies, a fait connaître qu’il s’étoit rendu mardi à la commission du budget pour examiner avec elle quelques crédita réservés. Les prévisions de dépenses pour le chemin de fer de Dakar A Saint* Louis et pour le service de la transporta tion ont pu être diminuées, par suite do circons tances survenues depuis le dépôt du projet d< budget. L’administration des colonies étudié, en ce qui concerne les Antilles et la Réunion, un projet de réorganisation des cours et tribunaux qui permettra do réaliser, en deux ans, de aérienaes économies. Les Irais de service dos trésorier* généraux des colonies seront mis à la parler, la bouteille ft l’encre. C’est ce qui fait sa popularité parmi lés gens qui, par eux-mômes, n'ont pas une personnalité suf fisante pour être quelque chose. . Voici le texte de la proposition tendant au rétablissement du scrutin d’arrondissement, -que M. Ribot a déposée sur le bureau de la Cbambre : < Messieurs, « Le pays considère à juste titre le réta blissement du scrutin uninominal pour l’élection des membres de la Chambre des députés comme une des réformes les plus nécessaires et les plus urgentes. < Ce sentiment du pays s’est manifesté avec éclat h l’occasion de la récente session des conseils généraux. Les représentants des nuances les plus diverses de l’opinion ont, en dehors de toute préoccupation de parti, exprimé le vœu qu’on abrogeât le plus tôt possible la loi du 46 juin 4885. * Lorsqu’il y a trois ans le mode de scru tin, qui était en vigueur depuis dix années et qui, pendant celte période, avait assuré le fonctionnement régulier de nos institu tions, a été remplacé par un autre, ce chan- gèment a provoqué des objections et des résistances dont on peut retrouver la traco dans les travaux parlementaires et dans ies publications de cette époque. < L’expérience néanmoins a été tentée. On a cru qu en faisant reposer la consultation du suffrage universel sur une base plus large on permettrait au pays d’exprimer plus sûrement ses volontés, de se prononcer avec une plus complète connaissance de cause sur des programmes mieux définis et de donner plus d’unité el de force à la poli tique qu’il entendait faire prévaloir. '« Les espérances ne se sont nullement réalisées. Le scrutin de liste n’a pas fait preuve, dans la pratique, des mérites qu’on lui avail attribués! On a vu, au contraire, apparaître des inconvénients et même des dangers qu’il serait imprudent de laisser s’aggraver. « Le be.soin le plus pressant, le plus im périeux de l’heure présente est un besoin de sincérité. Il importe que chacun dise ce qu’il pense el ce qu'il veut, que la politique, les programmes el les desseins de tous ceux qui prennent part aux affaires publiques soient dégagés de toute équivoque, que le pays Sache exactement où il va et oû on ent<;nd le conduire. < Le scrutin uninominal est beaucoup plus propre que le scrutin de liste à donner ce caractère de précision, de netteté el de franchise aux explications qui doivent avoir lieu entre le mandant et le mandataire, entre le candidat et l'électeur. Aux pro grammes el aux responsabilités collectifs, et plus ou moins vagues, il aura pour effet de substituer des engagements et des respon sabilités individuels el bien définis. Au lieu de favoriser l’exploitation et ta manifestation parfois irréfléchie d'aspirations confuses, il Ia anrt.lîilnl mÎG an /-nntfirl nllIG que les divisions du parti républicain se sont bien autrement accentuées el qu’il nous est né depuis un groupe peu nombreux dans la Chambre, mais singulièrement inquiétant dans le pays, et dont le programme est l'avènement de la dictature sur les ruines delà République puriemeptaire; on peut encore dire de la République tout court, car, si elle perdait son principal apanage, le droit de contrôle et de discussion, en quoi différerait-elle du césarisme? Gambelta aimu mieux renoncer au pouvoir que de se prêter â une telle aventure dans des circons tances beaucoup moins graves : que dirait-il ou plutôt que ne dirait-il pas en ce moment? M. Goargsois, soni-secrétaird d’BUt, ayant fait savoir que le gouvernemeut prôpamt un décret modiflcatif, M. de Jouvencel a retiré son iaterpellatioQ, d^srant qu’il la reprendrait plus tard, s’il y avait lieu. Mais M. Freppel n’a point voulu de cet ajourne ment, et il a repris pour son compte l’interpellation. L’interpellation close par an ordre du jour, ou a repris la loi sur les faillitoi. Un débat prolongé ÿeat élevé sur la qaestion de savoir ai l’on devait priver de ses droits politiques un commerçant insolvable qui aura obtenu un concordat. C’est la négation qui t’a emporté, conformément aux pro positions de la commission. Les concordataires n’encourent d’autre incapacité que l'inégibilité à à toutes les juridictions commerciales et à toutes les chambres consnltalives du commerce. Le débat est renvoyé à samedi. INFORIHATIONS M. Floquet vient d’envoyer an Conseil d'Etat le projet de décret qu’il a préparé de concert avec le directeur de la sûreté générale, et tendant à rattacher à la préfecture de la Seine certains ser vices d* la préfecture de police, tels que les halle» et mandés et le Laboratoire, à raison de leur caractère plus spécialement municipal. M. Floquet a l’intention, grâce à ce rattache ment, de dégager la préfecture de police dn Conseil municipal en accentuant son caractère d’institution d’Etat. Dans ce but, M. Floquet, une fois le rattachement fait par décret rendu en Conseil d'Etat, prendra un autre décret réunis sant entre les mains du même fonctionnaire la préfecture do police et la sûreté-générale. Le préfet de police, investi alors de cette double fonction, ne communiquerait plus que rare ment avec le Conseil municipal et, dans ce cas, serait représenté par son secrétaire général. Cette transformation amènera des changements de peraonnol qui seront décidés ultérieurement. M. de Freycinet est allé hier à Versailles, accompagné du général directeur de l’artillerie au ministère de la guerre, visiter l'Ecole d'artillerie de Versailles II a été reçu par le général Pagôs, I commandant la place, et par le général Macé, I directeur de l’artillerie à Versailles. La ministre de la guerre s'est rendu aux docks de l’artillerie, puis il a assisté, à la gare des Matelots, à dei I manœuvres d’embarquement de ponts. Il était rentré à Paris à cinq heures et demie. On annonce la mort du général Salomon, ancien président de la Républiqned’Haïti. qu'une récente révulutiou avait renversé du pouvoir. Le travail de l’évaluation des propriétés bâties, ralenti pendant ces derniers moi^, par suite des opérations annuelles de la tournée des mutations, a été repris au mois de septembre avec une grande activité. A la date du 1" octobre, le nombre des com munes parcourues était de 21 350 et le nombre des immeubles évalués, de 5,500,000 depuis le commencement de l'opération. Le Boolaiglsme. On parle beaucoup d’un conciliabule tenu Nouvelles parlemeolaires. M. Floquet, président du Conseil, s’est rendu, hier, â deux heures, devant la commission de _____________ ^ à compléter l’ex- poêé des motifs'du projet dont le gouvernement a pris l’initiative, mais qu’il était prêt à répondre aux questions qui pourraient lui être posées. J rL'JS'explications nouvelles que le président du ènseil a fournies aux membres de la commission ont essentiellement porté sur les points qui cons tituent les bases du projet gouvernemental. Après le départ de M. Floquet, la commission _ entendu M. Michelin sur la proposition de révision dont il a pris l'initiative et qui a pour objet la réunion d'une Assemblée constituante, dont les résolutions seraient soumises à la ratifi cation du pays. obligera le candidat mis en contact plus ^ ____________ ^ ...... direct avec un corps électoral plus restreint 1 au'cours de la dernière crise présidentielle â faire connaitre ce qu’il est et il permettra I par un certain nombre de radicaux assistés aux électeurs de savoir ce qu'ils font. | de M. Roulanger, alors en activité. M. Hayer, « La proposition que j’ai l’honneur de vous soumettre a pour objet de revenir au ______ , _____... . . système d'élection qui avait été établi par I qu’il donne se résume en ceci : il ne s'agis la loi du 30 novembre 1875 et qui, môme I sait pas d'une insurrection à organiser, mais nriBM nourlës I daus los circonstances les plus critiques, a d’une émeute à prévoir. Ce serait une dS’o S g S r à OrassB et A Ni«, et de assürô le développement et garanti la stabi- effroyable tuerie, auraient dit en chœur les ^ * - • • ' ' liié de nos institutions. I assistants; à quoi M. Boulanger aurait 4 Comme conséquence du changement I répondu :« Sans doute, à moins que l’armée que je vous demande d'introduire dans la ne reste dans ses casernes. » Nous ne voyons loi électorale, vous estimerez, sans doute, I pas en quoi celte façon de présenter les qu’il convient de décider qu’on ne procédera choses atténue les responsabilités en jeu. Un à aucune élection partielle jusqu’au renou- I général admettant que l’armée aurait pu ne vellement de la Chambre. 1 pas obéir au président de la République Propcilion dt loi. | Arlicle4«.— LesmerabresdelaChambre mënt réunies, il y a lâ un fait qui n’a pas ........... • 7 , ----------- I- -H I I besoin d’élre exagéré pour être caracté- députés sont élus au scrutin individuel, conformément aux dispositions de l'article 4 4 | ^ de la loi du 30 novembre 4875 et à celles de la loi du 28 décembre de la même année, lesquelles sont remises en vigueur. c Art. 2. — A partir de la promulgation de la présente loi, jusqu’au renouvellement de la Chambre des députés, il ne sera pas pourvu au remplacement des députés dont les sièges pourront devenir vacants. c Art. 3. ^ La loi du 46 juin 4885 est abrogée dans toutes ies dispositions contraires ' la présente loi. » charge dea'budgets locaux. Une disposition de la 1 loi de finances étendra cette mesure aux colonies régie* par le aénatUB-consuite de 1866. Sur toua I ces pointa, l’accord eat complet entre le gouverne- I ment et la commission. La Proposition BiboL M. Ribot a déposé la proposition dont il avait ôté parlé depuis longtemps, tendant à rétablir, pour l'élection des députés, le scrutin individuel, dit scrutin d’arrondisse- meût. On ^ait quelle est notre opinion sur ice jpôinl important de doctrine constitution- La Révision. M. Floquet, dans son exposé historique de la révision conslilulionnelle, a cité, pour excuser ou expliquer la nouvelle aventure A quoi bon, d’ailleurs, les anciens amis de M. Boulanger chercheraient-ils des atténua tions officieuses de sa conduite ou de son langage? Un ami actuel, très autorisé et qui ne redoute certainement aucun désaveu, M Lapone, député de la Nièvre, n’a-t-il pas prononcé dans une réunion récente les pa roles qui suivent : Si, aux élections prochaineB, derrière lemouvi ment boulangiote, quatre cents députés résolus arrivent i la Chambre, il faudra que le Sénat fié- chisse devant la manifestation populaire, car, dans le cas coutraire, il entrerait eu révolte contre la légalité et nous serions obligés de recourir à la révolution à coups de fusil. Ces messieurs sont prêts, on le voit,comme leur digne précurseur de 4854, à sortir delà légalité pour rentrer dans le droit. La commisaîon, qui paraît dispi son rapport à la Cbambre, dès le du mois prochaio, jours, i une heure do l’après-midi. lOBÔo â soumettre Les trois groupes républicains du Sénat se sont réunis jeudi avant la séance pour examiner la situatioQ^politique générale. A l’Union républicaine, on s’est entretoiiu des projets do révision, mais on n’a pria aucune dé cision. ni communiqué aucun procès verbal. A la Gauche républicaine, réunie sous la pré sidence de M. Mazeau, do nombreux sénateurs ont fait part i leurs collègues des impressions qu’iU rapportaient de leurs départements. Ils ont constaté que l’opinion ne réclamait nul lement la révision do la Constitution el qu’elle était, au contraire, favorable au rôtablisaomont du scrutin d’arrondissoment. Le Centre gaucho, réuni sous la présidence de M. de Marcore. a décidé do prendre la part la l'.us active aux discussions à la tribune et dans les mreaux, et de s'opposer avec la plus grande énergie à l’adoption des projets de loi qui pour- mianl être contraires aux idées d’ordre et de gouvernement que le Contre gauche n’a cessé de défendre. Les bureaux des trois groupes de gauche se sont réunis hier. Quelques membres ont demandé s’il ne convien drait pas que le Sénat manifestât d'une façon quelconque son opinion sur le projet de révision. La grande majorité do la réunion a pensé et conclu qu’une manifestation d’un genre quel conque serait inutile. Elle estime qu'il n’y a lieu de manifester pour une Assemblée que devant uno situation indécise, Or la situation actuelle est bien nette. L’une des deux Chambres est saisie d’un projet, lorsque ce projet viendra devant l’autre Chambre, c’est-à-dire le Sénat, il sera temps pour lui de forn.uler à son sujet uno opinion qui, d’ailleurs, eat déjà connue. CHRONIOIIR DEPARTEMENTAL Buireaux de la t^liambre. Font partie : M. Léon Chevreau, du 2® bureau; M. Léon Martin, du 4'°; MM. Albert Duchesne et duc do Moucliy du 5*; M. le comte de l’Aigle, du 9«; El M. de Chatenay, du 4 4*. I dont il se faille patron, le proiet déposé en Repuoli rappelle très (.. s les précautions étroites que ce répu- 4882 par rwambeila. La République fratw 8 fui ............................... ' " SENAT (aûe'ui rappelle très opportunément à ce 'opos les précautions étroites que ce répu- „.icain, dont le prévoyance égafait l’ardeur, avait jugé nécessaire de prendre contre tout en question el de livrer à la discussion pSunU d .1 . a.m» veuve Arbiuet, DOiot important de doctrine consiuuHon- i publique, ardente, des ennemis de toutes domicuiéo à Dyon, ei de se* enfant*, pour obtomr ifle Nous n’avons donc rien à ajouter aux I nos Institutions ce qui est le fond môme de I gouvernement certninea eaiiafaction* en miMu considérations que nous avons déjà présen- I la sécurité publique du pays. » dw condumualLoa prononeéo 4 tort oaguèro téas . Le besoin le plus pressant, le plus On n’a pas oublié qu’il tomba précisément 1 coutro le .leur Arbin.t, dont 11 i^ ô rie u i de t’heure présente, dit M. Bibot peur n’avoir pas voulu abandonner la Cons- dans son exposé des motirs, est un besoin titution républicaine au redoutable hasard n**” . . -.4*^.1 :------- i*. „..,rt rtKant.a .liaa/va I d’uoediscussiou sans règle ni frein. Lun des défenseurs les plus notables du projet de M Floquet, Ranc, n’écrivali-il pas à cette môme époque, â l'adresse de ceux qui n’admellaienl pas une révision limitée anriVpâyBsachVêxacieraentoùilvaeloù I d’avance: , oa . . h. ** on entend le conduire ». 1 < Imagine-t-on que le Sénat est disposé à Voilà oui est bien parler. Oui, ce besoin voler sa condamnation à mort? Imaglne-t- de sincérité, tous les honnêtes gens le res- on qu'il se résoudra à prendre part à un sentent. Mais il n’en est pas de môme des Congrès où son exiôtonce môme serait oé^eurs en eau trouble qui ne peuvent pas 1 jeu? * , , , * . . ___ s’exprimer avec sincérité, parce que leurs j On sait que la jurisprudence contraire a de sincérité. Il importe que chacun dise ce qu’il pense el ce qu il veut, que la politique, | les programmes el les desseins de tous ceux qui prennent pari à la discussion des affaires aspirations sont mauvaises ou parce qu'ils prévalu, mais les raisons données par ne savent pas ce qu’ils veulent. Le scrutin \ adversaires à cette épôque où la Droite il' ...... ‘ " ... de liste, qui permet à l’électedf de nommer àilà fois, par exemple, U. Dasiy, U. Lockroy «t H. FrédériOi Pawy» est, à proprement comptait pas plus de quatre-vingt-dix mem bres sont bien plus décisives aujourd’hui qn'ello'en it' pliu de deux cents. Ajontons^ Séance du 18 octobre. Le Sénat n’s «égé qu'une demi-heuM. U a d’abord, couformôment à la proposition du d’u n e ............. . contre le «eur Arbinet, dont l innocence a ultérieurement prouvée. A été ensuite ndoptée, en secohde leetare, et avec quelques modifications, la proposition d* M. Boxérian tendant à réprimer le treûo de* décoration*. Séance lundi, 4 tcoi* heure*. CHAMBRER DEPUTES S^anc* du 18 octobre. Après avoir validé l’élection de M. Ghepié, député du Rhône, la Chambre reprend l’examen de U loi sur los fiiilliles. Nominations dans le clergé, Par décision épiscopale : M. l’abbé Defrocourt, ancien curé-doyen de Lassigny, démissionnaire pour raison de santé, est nommé curé-desservant de Mor- villers, son ancienne paroisse. M. l’abbé Rigaud, de Fresnes-Léguillon, est transféré à la succur.sale de Bornol, avec double service â Belléglise. M. l'abbé Cochet, de Guy, est transféré à la succursale de Cires-les-Mello. dent; Guesnet, lieutenant à La Neuville-en- Hez, t)i;«-fr^soner; Durand, sergent-major à Creil, nice-fr^or/er; Nicolle, sous-lieule- nanl à ’jliambly, vice-secrétaire. Absents excusés : M.M. Ambroise, lieutenant â Beauvais, vice-trdwrier ; Bourin, sergent à Venelle, rice-freson’cr; Balochard, lieutenant à Cler- mont, -jîce-trésorier; Rayé, lieutenant à Alionnë, vice-secrétaire. Non excusé : M. Ci'iquy, sous-lieutenant à Venelle, vice-sec/’étaire. Il est procédé à la vérification des con trôles des membres inscrits â l'Union. Il est reconnu que l'Union départementale se com pose de 658membres inscrits, ainsi répartis: Arrondissement de Beauvais^... 247 de Senlis .... 232 deClermont.. . 405 de Compiègne... 63 Membres d’honneur ............... 6 donateurs .....................................5 658 Les membres du bureau sont heureux de porter â la connaissance des intéressés la progression constante de l’œuvre utile et pliilanthropique l‘Union Départementale des Sapeurs-Pompiers de l'Oise. Le chiffre toujours croissant des adhérents, qui atteignent i ce jour 658 membres, est la preuve éclalanle cjue les Sapeurr-Pompiers du département comprennent combien est utile celte institution. Le bureau adresse ses félicitations au pré sident, M. Cazier, qui, â son tour, lemercie ses collaborateurs du zèle constant qu'ils apportent dans leurs délicates fonctions. Il est décidé que la liste des membres de Union, pour 4888, sera close le 20 Octobre courant. Le trésorier, M.Berthelot, invite les Vice- Trésoriers à percevoir leurs cotisations de 4888 avant le 45 novembre prochain et prévenir les retardataires que, faute par eux de payer leur cotisation, ils seront rayés et ne pourront rentrer â nouveau à l’Union, à quelque litre que ce soit. La caisse de secours fonctionne depuis le ' oclübre 4888, comme il a été décidé à .'assemblée générale. La perception pour 4889 aura lieu en jan vier 1889. M le Président et M. le Trésorier reçoivent la mission de combiner d’un commun accord un système de perception par les Chefs de corps, qui les verseront au.x Vice-Trésoi iei s de leur arrondissement. Il est décidé que l’assemblée générale annuelle aura lieu à Creil, courant février prochain. Les membres présents décident que le procès-verbal sera adressé â M. le Préfet, président d'honneur de l'Union, et aux jour naux du département. Rien n'élanl plus à l’ordre du jour, la séance est levée â sept heures et demie. Ont signé : MM. Cazier, président. Bertuelot, trésorier. DupRé, secrétaire. LÉvÊyuB, vice-président. Giuffû, id. FAY0I.L8, id. G uesnet, vice-trésorier. D urand, id. Nicolle, vice-secrétaire. Gendarmerie» Les nominations suivantes ont eu lieu dans la gendarmerie, par décision du 2 octobre 4888. David fConslant-Edouard), maréchal-des logis au 8* cuirassiers, résidant à Chantilly, gendarme dans la Compagnie de la Somme. Taraire (Jein-Louis), maréchal-des-logis au 6® cuirassiers, résidant à Compiègne, gendarme dans la Compagnie du Cher. mémoire de la mère vaillante el dévouée do notre honorable sénateur, et de donner à M. Franck Chauveau, en cette douloureuse circonstance, une nouvelle marque de sympathie. Le département de l'Oise et notre arron dissement en particulier étaient largement représentés â cette triste cérémonie. Nous avons remarqué : MM. l’amiral Kranlz.ministredelamarine; Léon Say, sénateur, ancien ministre des finances; de Marcére, sénateur, ancien ministre de l'intérieur; Barthélémy Saint- Hilaire, Sébline et Mazeau, sénateurs; Cuvinot et Chovet, sénateurs de l'Oise, etc., etc. MM. Jules Ferry, député, ancien président du conseil des ministres; Flourens, député, ancien ministre des affaires étrangères; Develle, ancien ministre; Ribot, Albert Duchesne, Casimir Perier, René Brlce, Camescasse, de Châlenay, etc., députés. MM. Ravaisson-Mollien, Mézières et Xavier Charmes, de l’Institut; Bouchez, procureur général de Paris; Gigot, ancien préfet de police; Pallain, directeur général de.; douanes; Francis Charmes, directeur politique au ministère des affaires étran gères^ Hector Pessard, Adrien do Monte- bello, Joseph Reinach, Heurtaul el Dielz, du Journal des Déliais; Drumel, ancien député el doyen de la Faculté de Lille; Fréminet, Dreyfus, Georges Graux, etc. Parmi les notabilités du département de l'Oise et en dehors des sénateurs et députés dont nous avons donné les noms plus haut, nous trouvons : MM. Le Vavasseur, ancien député; baron de Reinach, maire de Ni- villers; Léon Duquesnel; Belhomme, inspec teur général des ponts et-chaussées; Gaillard, Moquol, Dupuis, Chevallier, Hainsselin, Jolidon, Dclaunay, Serrin, Dupont, Langlois, Lagarde, conseillers généraux; MM. Dély, Sagny, Tur(|uet, Flisseau, Laiande.Hongre- Buîlot, Le Brun, Leraoine, conseillers d’ar rondissement ; M. Fourcy, sous-préfet do Senlis; M. Faisant, président; MM. Aubur- lin et Chalmin, juges au Tribunal de Senlis ; M. Bilurd, procureur de la République à Clennoni; M. Paul Duquesnel, juge-sup pléant à Amiens ; M.M. Bertrand et Mussal, ingénieurs des ponts-et-chaussées ; .MAI. de Bonlils et Dubois, receveurs particuliers des finances; M. .Ménard, ancien maire de Clermont; M. Fontaine, ancien maire, et M.M. Démelin elllervaux, adjoints de Senlis; M. .Morel, notaire iionoraire, de Senlis; M. Genay, ancien conservateur des hypo thèques, de Senlis; M. Desjardin, économe de l'hôpital de Senlis; M. Brochon, maire de Montlëvéque; iM. Rudault, maire de Nunletiil; M.Moquct, M. le général Grandin, M. Hainand, iniendantmilitairH ; Al. Renard, ancien maire; M. Casse, maire de Coye; M. Brunot, ancien maire de Creil ; M. Cazier, président de l'Union départementale des sapeurs-pompiers de l'Oise; M.M. Roland, Roussel, de Borest; M. Lequesne, de Creil, et un grand nombre de notabilités dont les noms ont dû naturellement nous échapper. La presse de l’Oise était représentée par MM. Muonier, de l’/nd.'penaaftf ; Henry Lefèvro, de ['Echo de l'Oise; Lefebvre Saint- Ogan, du Progrès de l’Oise; E. Payen et A. Gcrvais, du Journal de Senlis, et Mallet, du Journal de Clermont. Puissent les témoignages de sympathie et ..'estime de cette nombreuse assistance adoucir la perte cruelle que vient d’éprouver l'honorable M. Franck Chauveau. Pour nous, nous lui renouvelons le gage de nos respectueuses et affectueuses condo léances. Le débat est sospenda quelque* instant* pour e’ocoùper d’une interpellation de M. de Jodvencel relstive à U ritu»tion faite aux commune* par le décret de 1625, qui permet aux desaervant* de Iwkr iM prwbjUirM; Brevet supérieur» j2* session de 1888. Sur 5 aspirants qui se sont présentés, 2 ont été reçus. Ce sont, par ordre alpha- béliquet ^„ M. Lemairo, instituteur public a Hermes (Oise). M. Palté, instituteur public à Malpart (Somme). __ Beolc de la maternité. L'examen des aspirantes au titre d’élèves sages-femmes de 4** classe aura Jieu â Beau- vaiB, dans l'une des salles de la Préfecture, le samedi 27 octobre 4888, â une heure de l’après-midi. Union départementale des Sapeur«-l*ompiere de l’Oise. PROCÈS-VERBAL de la Réunion du Bureau central du 18 Octobre 1888. Sur la convocation .de M. le Président de l’Union, les membres du Bureau central se sont réunis à Creil, le jeudi 48 octobre, & cinq heures du soir, salle de la Justice de Paix. Etaient présents : MM. Cazier, capitaine â Creil, pténdent; Berlhelot, capitaine A Senlis, trésorier; Du- prô; adjudant à BeaUvais, seçrélatre; Lé- Téque, capitaine à Beauvais, «ics-pràidstit; Griffé, capitaine à Chambly, vice-^éeident ; I Fàyollei capitaine ù Glermoni, viee-prén- Postes et Télégraphes. Aüis. Mise on adjudication de l’entreprise du transport des dépêches de Noyon à Beauliou- les-Fonlaines, à exécuter à pied. S'adresser, jusqu'au 28 octobre 4888, aux bureaux de Noyon et de Beaulieu-les-Fon- taines, pour prendre connaissance des con ditions el charges de l’entreprise. Le Directeur, Perrin. CHRONIQUE LOCALE Obsèques do Mme Chauveau. Mercredi ont été célébrées, en l’église de la Trinité, à Paris, les obsèques de M“®Au- gustine-Camille Jolivet, veuve de M. Joseph Chauveau el mère de M. Franck Chauveau, l'honorable sénateur de l'Oise. Le corps de la défunte, apporté de Coye le jour même, a été déposé en l’église de la Trinité, oû le service religieux a été célébré à dix heures el demie. Le cercueil disparaissait sous les cou ronnes. Il était placé au milieu du chœur, sur un haut catafalque entouré de quatre candélabres, reliés entre eux par un triple cordon de lumière. Ces tentures noires, où se détachaipn^ dos larmes d’argent et les initiales en lettres blanches de la défunte, ornaient la splen dide église de la Trinité. Pendant la messe, l’excellente mallrise s'est fait entendre à plusieurs reprises, in terprétant admirablement les motets reli- gieux. . . * A Après l’absoute, le convoi s est formé pour aller au cimetière Montparnasse, où se trouve le caveau de la famille. Le deuil était conduit par M. Franck Chauveau, sénateur, et par M. le aénéral de division Jolivet, frère de la défunte, en tenue . . . . De nombreux amis avalent en à cœur d'honorer par leur présence ù ce deuil Cirque nouveau» Nous sommes priés d'annoncer que la re présentation quedonnera le Cirque nouveau, installé â la porte de Compiègne, lundi pro chain, â huit heures du soir, aura lieu au profit des pauvres. La recette, opérée à la demande du Direc teur sous le contrôle d'un agent do la Mairie, sera partagée par moitié, et la part des indi gents sera versée dans la caisse du Bureau de bienfaisance. Nous signalons â nos lecteurs cette occa sion île passer une agréable soirée, en con tribuant à une œuvre de charité. Demain dimanche, représentation de jour et séance le soir, avec un programme varié. H a été trouvé dans les rues.de Senlis ua bracelet avec médaille en argent. Réclamer l'objet au bureau de police. Etat-civil de Senlis» Naissances, Du 13 Octobre. Petit (Marie-Jeanne)» 14 Lesuflur (Suunoe-LéO&ie). 19 Mittelette (Marie-Eogéuie). 20 Waliet (Paul-Adoipbe). Dicis. H Mme Cottard (Marie-Oabrielle- Hyaciathe), femme Taroy,27a. 16 M. Debrebant (Françoia-Félix), proprièbure, 80 an*. Mariages. 17 M. Dupont (Victor), enlUvateur à Aumont, et Mme Cottereaa (Louise - Caroline), marchandA ne lait à Senlis. Publieationt de mariages. (Néant). Harobé d« Stnlis dn 16 Ootsbrn 1888. Blè blane, l'* quai. i l'® quai. 2® - Seigle ' ‘ 1*®qual- 2* Avoine. | Pris OOkU. b’oldn d*' l'htot. Prix ds l'hscl. Ohirratitn. n 77 20 80 San* var. M w» 77 20 4U Id. M •• '14 lUVft Id. ?3 m 15 55 Id. 13 • • 76 V I4J Id. 17 45 765 Id» 16 50 4U 6 60 Id. f- il' p i'i I Prix du Pain du 16 au 31 Octobre. I BIaoo . . Bia-blano. 0,40> Ulog» Farine t lea lff? kilog4v63'hw

COURRIER DE L’OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1887-1888/bms_js_1888_10_21_MRC.pdf · & la consommation sous le nom de vin », après ces intéressants préliminaires,

Embed Size (px)

Citation preview

Page 1: COURRIER DE L’OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1887-1888/bms_js_1888_10_21_MRC.pdf · & la consommation sous le nom de vin », après ces intéressants préliminaires,

P a r a U t a n t l é t à m a n c h e h J e u d i .Dimanche 5 / Octobre 188B.

P r i x d e V A b o n n e m e n t t

U a a b ............................. H f r .

S ix m o b . . . . .............. . . 7 » »,1

n o te mou. .................. i »COURRIER DE L’OISE

1 > . A k » « r» e« s. « d c l a m e . « I ««m eerM ant P a r i » e t te » M fé p a r i e m e n f . . n i r e ç u e * a u B u r e a u d u J o u e u a l . i . e u e

P r ix d e l*AI>oimcment «

rO U R LR D É P A R i n u n t ■

Un .............................................. 1< flr*

Six moia...................................... S »

Trois m ois.................................. A 60

i e È * r e , à S e n i i s e

p p » iN S B a n o iiBA«nA«eeB • L a MtMé;0S6'd. L'annonc» au-dassout d« 6 lig n n . 1 fr.

0,40 c. - Ed faiU div*rs, 0,50 c.

AVIS 41IX «pUINIlPaL 'abonaem eot eat pavable dTavanca. H a ’a a tia n a ia latarrom pu e t eat considéré comme renouvelé

si k l’expiratioa on ne donna pas d'avis contraire

ON S 'A BO N N EA SENLIS, au Bureau du Journal, 1. rue Saint-Piene, 1,

et chez tous les Libraires du département.

l e travail dn SénalL e S é n a t a TeleQreusemeDt in en g u ré la

‘"cam pagne Ié tl8lalive< A près avo ir voté quelques projets.' d ’in té rè l loca! e l après avo ir ad o p l^ .eo p rem iè re délibéralion une proposiU ôn bénigne de-MM. Griffe, L istm nne e l Combèscure < ayan t pour objet d ’in d iq u er a u consom m ateur la n a tu re du p rodu it jiTrô & la consom m ation sous le nom d e v in », après ces in téressan ts p ré lim inaires, d isons- nous, la h au te Assemblée a abordé le pro jet d e loi a u to risa n t la Ville de P aris & im pu te r s u r l 'em p ru n t de 250 m illions la som m e de 29,450,000 francs, pour subvenir à ce rtains trav au x d e vo irie ddm en t spécifiés.

L 'in té rê t de la discussion é ta it d an s l ’ad­d ition , a u tex te voté p a r la C ham bre, d ’un artic le stip u lan t que < le ca h ier des charges e l les sé r ie s d e prix d ressés pour l ’exécution des travaux faits avec les fonds provenan t d u d it em p ru n t, n e pourron t con ten ir aucune clause co n tra ire aux dispositions du déc ret du 47 m ars 4888, p o rtan t a n n u la tio n des délibérations d u Conseil m unicipal d e P aris en date des 27 av r il e t 30 décem bre 4887, el d u 99 fév rier 4888, re la tives aux travaux com m unaux. » ..............

Nos lecteurs se souviendront qu il s agit d e dispositions a rb itra ires , con tra ires au d ro it com m un, au d ro it adm in is tra tif e t aux règ lem en ts su r la com ptabilité pub lique et les ad judica tions, in trodu ites p a r le conseil m unicipal d an s les cah iers des charges, au profit des frères e t am is, e t au d é trim en t des contribuables. O r, m alg ré le déc re t qui les a an n u lées , ces clauses son t appliquées au v u e t au su du préfet de la S eine e t du m in is tre de l'in té rieu r .

E n v ain le sous-secré ta ire d E là t que M. F loquet s’est ad jo in t a essayé d e justifie r le conseil m unicipal, le préfet e l le m in istre , en fa isan t de la casu istique; en v ain M. F loquet lu i-m êm e est in terv e n u d an s le d éba t, le S énat, p a r 479 voix co n tre 24 , a adopté ce tte restriction p ruden te . A u poin t d e vue de la science lég islative, cette m an ière d e légiférer p a r raccroc, à côté, e t en quelque sorte par pré té rilion , e s t é trange; m ais le fait d ’un gouvernem ent qui e n fre in t les lois qu ’il a m ission d e faire respecte r est aussi tellem en t étrange, qu 'il justifie ce p rocédé inusité .

NOUVELLES P O L IT IQ U E SLes minUtros se sont réunis en conseil de

. Cabinet, an ministère de l’intérieur, eous la présidence de M. Ploquet.

M. Peytral a entretenu le Conseil de son projet relatif à l’impôt sur le revenu. Il a annoncé à ses collègue* qu’il leur ferait distribuer ce projet

. aarnedi en épreuves. Un conseU spécial sera tenu lundi pour examiner le projet de M. Peytral.

M. Perrouillat a fait connaître qu'il avait demandé au procureur général près la Cour d’Aix un rapport eur les incidente qui se sont produits a

.l ’occasion de la réception de M. te premier président Ruben de Couder.

Le Copseil s’est entretenu de la question soulevée dans le déparlementdes Alpes-Maritimes & propos d'une lettre écrite è M. Andrieux par le chef adjoint du cabinet du ministre des travaux publics. M. Deiuûs-Montaud a expliqué que cette lettre, écrite en son absence, était entièrement erronée. La vérité est qu’il n’a été rien change

lignes de Draguignan Digne à Nice par Saint-Andrè. Les travaux seront poussés simultanément sur les deux lignes. Quant à la variante par Castellane, dont une réunion tenue à Nice a paru particulièrement a’occnper, il n’a été nullement question - - substituer à la ligne par Saint André.

M. Lockroy a entretenu le Conseil d un projet de loi ayant pour but d'installer un jardin sur remplacement des Tuilerie* od se trouvaient les baraqnemenU de l’Hôtel de* Postes. Cet empU- cernent ne comprend pas moins de 4 hectares. Le jardin devra être établi avec la plus grande

• simplicité, car il sera remplacé plus tard, en tout* on en partie, par te monument de la Révolution.

M. de La Porte, sous-secrétaire d 'E tat aux colonies, a fait connaître qu’il s’étoit rendu mardi à la commission du budget pour examiner avec elle quelques crédita réservés. Les prévisions de dépenses pour le chemin de fer de Dakar A Saint* Louis e t pour le service de la transporta­tion ont pu être diminuées, par suite do circons­tances survenues depuis le dépôt du projet d< budget. L’administration des colonies étudié, en ce qui concerne les Antilles e t la Réunion, un projet de réorganisation des cours e t tribunaux qui permettra do réaliser, en deux ans, de aérienaes économies. Les Irais de service dos trésorier* généraux des colonies seront mis à la

p a r le r , la bouteille ft l ’encre. C’est ce qui fa it sa popularité parm i lés gens qui, par eux-m ôm es, n 'o n t pas une personnalité suf­fisan te pour ê tre quelque chose.

. Voici le texte de la proposition ten d an t au ré tab lissem en t du scru tin d ’arrondissem ent,

-que M. R ibot a déposée su r le b u reau de la C bam bre :

< M essieurs,« Le pays considère à ju s te titre le ré ta ­

b lissem ent d u scru tin un inom ina l pour l’élection des m em bres d e la C ham bre des députés comme une des réform es les plus nécessaires e t les p lus urgentes.

< Ce sen tim ent d u pays s’es t m anifesté avec éc la t h l ’occasion de la récen te session des conseils généraux . Les rep résen tan ts des nuances les p lus d iverses d e l ’opinion ont, en dehors de toute préoccupation de parti, exprim é le vœ u qu’on abrogeât le plus tôt possible la loi du 46 ju in 4885.

* Lorsqu’il y a tro is an s le m ode de scru­tin , qu i é ta it en v igueur depuis dix années e t q u i, pendan t ce lte période, av a it assuré le fonctionnem ent régu lie r de nos in stitu ­tions, a été rem placé p a r un au tre , ce chan- gèm ent a provoqué des objections e t des résistances d o n t on p eu t re tro u v er la traco d an s les travaux parlem entaires e t dans ies publications de cette époque.

< L’expérience néanm oins a été ten tée . On a c ru qu en faisant reposer la consultation du suffrage universel su r u n e base plus large on p erm e ttra it au pays d ’exprim er p lus sûrem ent ses volontés, de se prononcer avec une plus com plète connaissance de cause su r des program m es mieux définis e t d e d o n n er p lus d ’un ité e l de force à la poli­tique qu ’il en ten d ait fa ire prévalo ir.

'« Les espérances ne se son t nu llem ent réalisées. Le scru tin de liste n ’a pas fait preuve, d an s la p ra tique , des m érites qu’on lui av a il a ttrib u és! O n a vu , au contra ire , ap p ara ître des inconvénients e t m êm e des dangers qu ’il sera it im prudent de laisser s’aggraver.

« Le be.soin le plus pressant, le p lus im ­périeux de l ’heure présente es t un besoin de sincérité . Il im porte que chacun d ise ce qu ’il pense e l ce q u 'il veut, que la politique, les program m es e l les desseins de tous ceux qui p re n n en t p a rt aux affaires publiques so ien t dégagés de toute équivoque, que le pays Sache exactem ent où il va e t oû on ent<;nd le conduire.

< Le scru tin uninom inal est beaucoup plus propre que le scru tin de liste à d onner ce carac tère de précision, de nette té e l de franch ise aux explications qui do ivent avoir lieu en tre le m andant e t le m anda ta ire, e n tre le cand idat e t l'é lec teu r. Aux pro­gram m es e l aux responsabilités collectifs, et plus ou m oins vagues, il au ra pour effet de substitue r des engagem ents e t des respon­sabilités ind iv iduels e l bien définis. Au lieu d e favoriser l’exploitation e t ta m anifestation parfois irréfléchie d 'asp ira tions confuses, il

Ia anrt.lîilnl mÎG an /-nntfirl nllIG

q ue les div isions d u p arti républicain se son t bien au trem en t accentuées e l qu’il nous es t né depuis un groupe peu nom breux dans la C ham bre, m ais s ingulièrem ent inqu iétan t d an s le pays, e t d o n t le program m e est l'avènem en t d e la d ictatu re s u r les ruines d e l à R épublique pu riem e p ta ire ; on peut encore d ire d e la R épublique tout court, ca r, si e lle perdait son p rincipal apanage, le d ro it de con trô le e t de discussion, en quoi d ifférerait-elle du césarism e? Gambelta aim u m ieux ren o n cer au pouvoir que de se p rê te r â u n e telle av e n tu re d an s des circons­tances beaucoup m oins graves : que dirait-il ou p lu tô t que n e d ira it- il pas en ce m om ent?

M. Goargsois, soni-secrétaird d’BUt, ayant fait savoir que le gouvernemeut prôpam t un décret modiflcatif, M. de Jouvencel a retiré son iaterpellatioQ, d ^ s ra n t qu’il la reprendrait plus tard, s’il y avait lieu.

Mais M. Freppel n’a point voulu de cet ajourne­ment, e t il a repris pour son compte l’interpellation.

L’interpellation close par an ordre du jour, ou a repris la loi sur les faillitoi. Un débat prolongé ÿeat élevé sur la qaestion de savoir ai l’on devait priver de ses droits politiques un commerçant insolvable qui aura obtenu un concordat. C’est la négation qui t’a emporté, conformément aux pro­positions de la commission. Les concordataires n’encourent d’autre incapacité que l'inégibilité à à toutes les juridictions commerciales e t à toutes les chambres consnltalives du commerce.

Le débat est renvoyé à samedi.

INFORIHATIONSM. Floquet vient d’envoyer an Conseil d'Etat

le projet de décret qu’il a préparé de concert avec le directeur de la sûreté générale, e t tendant à rattacher à la préfecture de la Seine certains ser­vices d* la préfecture de police, tels que les halle» et m andés et le Laboratoire, à raison de leur caractère plus spécialement municipal.

M. Floquet a l’intention, grâce à ce rattache­ment, de dégager la préfecture de police dn Conseil municipal en accentuant son caractère d’institution d’Etat. Dans ce but, M. Floquet, une fois le rattachement fait par décret rendu en Conseil d'Etat, prendra un autre décret réunis­sant entre les mains du même fonctionnaire la préfecture do police et la sûreté-générale.

Le préfet de police, investi alors de cette double fonction, ne communiquerait plus que rare­ment avec le Conseil municipal et, dans ce cas, serait représenté par son secrétaire général.

Cette transformation amènera des changements de peraonnol qui seront décidés ultérieurement.

M. de Freycinet est allé hier à Versailles, accompagné du général directeur de l’artillerie au ministère de la guerre, visiter l'Ecole d'artillerie de Versailles II a été reçu par le général Pagôs,

I commandant la place, et par le général Macé,I directeur de l’artillerie à Versailles. La ministre

de la guerre s'est rendu aux docks de l’artillerie, puis il a assisté, à la gare des Matelots, à dei

I manœuvres d’embarquement de ponts.Il était rentré à Paris à cinq heures et demie.

On annonce la mort du général Salomon, ancien président de la Républiqned’Haïti. qu'une récente révulutiou avait renversé du pouvoir.

Le travail de l’évaluation des propriétés bâties, ralenti pendant ces derniers moi^, par suite des opérations annuelles de la tournée des mutations, a été repris au mois de septembre avec une grande activité.

A la date du 1 " octobre, le nombre des com­munes parcourues était de 21 350 e t le nombre des immeubles évalués, de 5,500,000 depuis le commencement de l'opération.

Le Boolaiglsme.On parle beaucoup d ’un conciliabule tenu

Nouvelles parlemeolaires.M. Floquet, président du Conseil, s’est rendu,

hier, â deux heures, devant la commission de

_____________ ̂ à compléter l’ex-poêé des motifs'du projet dont le gouvernement a pris l’initiative, mais qu’il était prêt à répondre aux questions qui pourraient lui être posées.

JrL'JS'explications nouvelles que le président du ènseil a fournies aux membres de la commission ont essentiellement porté sur les points qui cons­

tituent les bases du projet gouvernemental.Après le départ de M. Floquet, la commission

_ entendu M. Michelin sur la proposition de révision dont il a pris l'initiative et qui a pour objet la réunion d'une Assemblée constituante, dont les résolutions seraient soumises à la ratifi­cation du pays.

obligera le cand idat m is en contact plus ^____________ ^ ......d irec t avec un corps électoral p lus re s tre in t 1 au 'co u rs de la d ern iè re crise présidentie lle â fa ire connaitre ce qu ’il e s t e t il perm ettra I p a r un ce rtain nom bre d e rad icaux assistés aux é lecteu rs de savoir ce qu 'ils font. | de M. R oulanger, alo rs en activité. M. H ayer,

« La proposition que j ’a i l’h o nneur devous soum ettre a pour objet de re v en ir au ______ , _____... . .systèm e d 'élection qui avait été étab li p ar I qu ’il donne se résum e en ceci : il ne s'ag isla loi du 30 novem bre 1875 e t qu i, m ôm e I sa it pas d 'u n e insu rrection à organ iser, m ais

nriBM nour lës I d au s los circonstances les plus critiques, a d ’une ém eute à prévoir. Ce sera it une,î dS’o S g S r à OrassB et A Ni«, et de assürô le développem ent e t g aran ti la s tab i- effroyable tu erie , a u ra ie n t d it en chœ ur les

^ * - • • ' ' liié de nos institu tions. I ass is tan ts ; à quoi M. B oulanger a u ra it4 Comme conséquence du changem ent I répondu : « S ans doute, à m oins que l ’arm ée

que je vous dem ande d 'in tro d u ire d an s la ne reste dan s ses casernes. » Nous ne voyonsloi électorale, vous estim erez, sans doute, I pas en quoi celte façon d e présen ter lesqu’il convient de décider qu’on n e procédera choses a ttén u e les responsabilités en jeu . Unà aucune élection partie lle ju sq u ’au re n o u - I général adm ettan t que l’arm ée au ra it pu nevellem ent de la C ham bre. 1 pas obéir au p résiden t de la République

P r o p c i l io n d t lo i. |A rlic le4 « .— L esm erabresdelaC ham bre

m ën t réun ies, il y a lâ un fait qui n ’a pas ........... • 7,----------- • I- -H I I besoin d ’é lre exagéré p o u r ê tre caracté-députés son t élus au scru tin ind iv iduel,

conform ém ent aux dispositions de l 'a rtic le 4 4 | ^de la loi du 30 novem bre 4875 e t à celles dela loi du 28 décem bre de la m êm e année, lesquelles son t rem ises en v igueur.

c A rt. 2 . — A p a r tir de la prom ulgation d e la présente loi, ju squ’au renouvellem ent de la C ham bre des députés, il ne sera pas pourvu au rem placem ent des députés dont les sièges pourron t deven ir vacants.

c A rt. 3 . ^ L a loi du 46 ju in 4885 est abrogée dans toutes ies dispositions contra ires ' la présente loi. »

charge dea'budgets locaux. Une disposition de la 1 loi de finances étendra cette mesure aux colonies régie* par le aénatUB-consuite de 1866. Sur toua I ces pointa, l’accord eat complet entre le gouverne- I ment e t la commission.

La Proposition BiboLM. R ibot a déposé la proposition don t il

av a it ô té p arlé depuis longtem ps, te n d a n t à ré ta b lir , pour l'élection des députés, le scru tin ind iv iduel, d i t scru tin d ’arro n d isse- m eû t. On ^ait quelle es t n o tre opinion sur ice jpôinl im portan t de doctrine constitution-

La Révision.M. F loquet, d an s son exposé h isto rique

de la révision conslilu lionnelle , a cité , pour excuser ou expliquer la nouvelle aventure

A quoi bon , d ’a illeu rs , les anc iens am is de M. B oulanger cherchera ien t-ils des a ttén u a­tions officieuses de sa conduite ou d e son langage? U n am i actuel, très au torisé e t qui n e redoute ce rtainem ent aucun désaveu, M L apone , député de la N ièvre, n ’a-t- il pas prononcé d an s une réunion récen te les pa­ro les qui su iven t :

Si, aux élections prochaineB, derrière lemouvi ment boulangiote, quatre cents députés résolus arrivent i la Chambre, il faudra que le Sénat fié- chisse devant la manifestation populaire, car, dans le cas coutraire, il entrerait eu révolte contre la légalité et nous serions obligés de recourir à la révolution à coups de fusil.

Ces m essieurs sont prê ts, on le voit,com m e leu r digne précu rseu r de 4854, à so rtir d e là légalité pour re n tr e r dans le dro it.

La commisaîon, qui paraît dispi son rapport à la Cbambre, dès le du mois prochaio, jours, i une heure do l’après-midi.

lOBÔo â soumettre

Les trois groupes républicains du Sénat se sont réunis jeudi avant la séance pour examiner la situatioQ^politique générale.

A l’Union républicaine, on s’est entretoiiu des projets do révision, mais on n’a pria aucune dé­cision. ni communiqué aucun procès verbal.

A la Gauche républicaine, réunie sous la pré­sidence de M. Mazeau, do nombreux sénateurs ont fait part i leurs collègues des impressions qu’iU rapportaient de leurs départements.

Ils ont constaté que l’opinion ne réclamait nul­lement la révision do la Constitution el qu’elle était, au contraire, favorable au rôtablisaomont du scrutin d’arrondissoment.

Le Centre gaucho, réuni sous la présidence de M. de Marcore. a décidé do prendre la part la l'.us active aux discussions à la tribune et dans les mreaux, et de s'opposer avec la plus grande

énergie à l’adoption des projets de loi qui pour- mianl être contraires aux idées d’ordre et de gouvernement que le Contre gauche n’a cessé de défendre.

Les bureaux des trois groupes de gauche se sont réunis hier.

Quelques membres ont demandé s’il ne convien­drait pas que le Sénat manifestât d'une façon quelconque son opinion sur le projet de révision.

La grande majorité do la réunion a pensé et conclu qu’une manifestation d’un genre quel­conque serait inutile.

Elle estime qu'il n’y a lieu de manifester pour une Assemblée que devant uno situation indécise,

Or la situation actuelle est bien nette.L’une des deux Chambres est saisie d’un projet,

lorsque ce projet viendra devant l’autre Chambre, c’est-à-dire le Sénat, il sera temps pour lui de forn.uler à son sujet uno opinion qui, d’ailleurs,eat déjà connue.

CHRONIOIIR DEPARTEMENTALBuireaux d e la t^liambre.

Fo n t partie :M. Léon C hevreau, du 2® b u re au ;M. Léon M artin, du 4'°;MM. A lbert Duchesne e t duc do Moucliy

du 5*;M. le comte de l ’Aigle, du 9«;E l M. d e Chatenay, du 4 4*.

I d o n t il se f a i l l e patron , le pro iet déposé en ‘ ■ R epuoli

rappelle trè s ( . . s les précautions é tro ites que ce rép u -

4882 par rwambeila. La R épublique fra tw 8 fui ............................... ' "

SENAT( a û e 'u i rappelle trè s opportuném ent à ce

'opos les précautions é tro ites que ce répu- „ .ic a in , don t le prévoyance égafait l ’ardeur, av a it jugé nécessaire de p re n d re contre

tou t en question e l de liv re r à la discussion pSunU d . 1 . a.m» veuve Arbiuet,D O io t im portan t de doctrine consiuuH on- i publique, a rd en te , des ennem is de toutes domicuiéo à Dyon, ei de se* enfant*, pour obtomr

ifle Nous n ’avons donc rien à a jou ter aux I nos Institu tions ce qui e s t le fond m ôm e d e I gouvernement certninea eaiiafaction* en miMuconsidérations que nous avons déjà p ré sen - I la sécurité publique du pays. » d w condumualLoa prononeéo 4 tort oaguèrotéas . Le besoin le plus p ressan t, l e p lus O n n ’a pas oublié qu’il tom ba précisém ent 1 coutro le .leur Arbin.t, dont 11i ^ ô r i e u i de t’h eu re présente, d it M. B ibot p eu r n ’avoir pas voulu abandonner la Cons- d a n s son exposé des m otirs, e s t un besoin titu tion républicaine au redoutable hasardn**” . . - .4*^.1 :------- i*. „..,rt rtKant.a .liaa/va I d ’u o ed iscussiou sans règle n i frein . L u n

des défenseurs les plus notables du projet d e M Floquet, R anc, n ’écrivali-il pas à ce tte môme époque, â l'ad resse de ceux qui n ’adm ella ien l pas une révision lim itée

a n r iV p â y B s a c h V ê x a c ie ra e n to ù i lv a e lo ù I d ’av a n c e : , oa . . h. **on en tend le conduire ». 1 < Im agine-t-on que le S én a t es t disposé à

Voilà oui es t b ien pa rle r. O ui, ce besoin vo ler sa condam nation à m o rt? Im aglne-t-de sincérité , tous les h o n n ê te s gens le re s - on qu 'il se résoudra à p re n d re part à unsen ten t. Mais il n ’e n es t pas d e m ôm e des Congrès où son exiôtonce m ôm e seraito é ^ e u r s en eau troub le qui n e peuven t pas 1 je u ? * , , , * . . •___s’exprim er avec sincérité , parce que leu rs j O n sa it que la ju risp rudence co n tra ire a

de sincérité . I l im porte que chacun d ise ce qu ’il pense e l ce qu il veut, que la politique, | les program m es e l les desseins d e tous ceux qui p re n n en t pari à la discussion des affaires

asp ira tions son t m auvaises ou parce qu 'ils p révalu , m ais les ra isons données p ar n e savent pas ce qu’ils veu len t. Le scru tin \ adversaires à cette épôque où la D roite

il' ...... ‘ " ...d e liste , qu i perm et à l’é lec ted f d e nom m er à ilà fois, p a r exem ple, U . Dasiy, U . Lockroy « t H . FrédériOi Pawy» es t, à p rop rem en t

com ptait pas p lus d e quatre -v ing t-d ix m em ­bres son t b ien p lus décisives au jourd’hu i q n 'e llo 'en it' p l iu de deux cen ts. Ajontons^

Séance du 18 octobre.Le Sénat n’s «égé qu'une demi-heuM.U a d’abord, couformôment à la proposition du

d’u n e ............. .contre le « eu r Arbinet, dont l innocence a ultérieurement prouvée.

A été ensuite ndoptée, en secohde leetare, et avec quelques modifications, la proposition d* M. Boxérian tendant à réprimer le treûo de* décoration*.

Séance lundi, 4 tcoi* heure*.

C H A M B R E R D E P U T E SS^anc* du 18 octobre.

Après avoir validé l’élection de M. Ghepié, député du Rhône, la Chambre reprend l’examen de U loi sur los fiiilliles.

N om inations dans le c lergé,P a r décision épiscopale :M. l ’abbé Defrocourt, ancien curé-doyen

de Lassigny, dém issionnaire pour raison de san té, es t nommé curé-desservant de Mor- ville rs, son ancienne paroisse.

M. l’abbé R igaud, de Fresnes-Léguillon, est transféré à la succur.sale de Bornol, avec double service â Belléglise.

M. l'abbé Cochet, d e Guy, e s t transféré à la succursale de Cires-les-M ello.

d en t; G uesnet, lieu ten an t à La N euv ille-en - Hez, t)i;« -fr^ so n e r; D urand , sergen t-m ajo r à Creil, n ic e - f r^ o r /e r ; Nicolle, sous-lieu le- n an l à ’jliam bly , vice-secrétaire.

Absents excusés :M.M. Ambroise, lieu tenan t â Beauvais,

vice-trdw rier ; B ourin, sergent à Venelle, rice-freson’c r ; B alochard , lieu ten an t à Cler- m ont, -jîce-trésorier; Rayé, lieu ten an t à Alionnë, vice-secrétaire.

Non excusé :M. Ci'iquy, sous-lieu tenant à Venelle,

vice-sec/’étaire.Il est procédé à la vérification des con­

trô les des m em bres inscrits â l'U nion. Il est reconnu que l'U nion départem enta le se com­pose de 6 58m em bres inscrits, a in si répartis:

Arrondissem ent de B e a u v a is^ . . . 247de S en lis .... 232d e C le r m o n t . . . 405de C om piègne.. . 63

Membres d ’h o n n e u r............... 6— d onateu rs .....................................5

658Les m em bres du bureau sont heu reux de

po rter â la connaissance des in téressés la progression constante de l’œ uvre u tile et pliilan thropique l‘Union D épartem entale des Sapeurs-P om piers de l'Oise.• Le chiffre toujours croissant des adhéren ts , qui a tteignent i ce jo u r 658 m em bres, est la preuve éclalan le cjue les Sapeurr-Pom piers du départem ent com prennent com bien est u tile celte institu tion .

Le bureau adresse ses félicitations au p ré ­siden t, M. Cazier, qu i, â son tou r, lem ercie ses collaborateurs du zèle constan t qu 'ils apporten t dans leurs délicates fonctions.

I l est décidé que la liste des m em bres de Union, pour 4888, sera close le 20 Octobre

courant.Le tréso rier, M .B erthelo t, inv ite les Vice-

T résoriers à percevoir leurs cotisations de 4888 avan t le 45 novem bre prochain et p réven ir les re ta rda ta ires que, faute p ar eux de payer leu r cotisation, ils sero n t rayés et n e pourront re n tre r â nouveau à l’U nion, à quelque litre que ce soit.

La caisse de secours fonctionne depuis le ' oclübre 4888, comme il a été décidé à

.'assemblée générale.La perception pour 4889 au ra lieu en ja n ­

v ie r 1889.M le P résident e t M. le T réso rier reçoivent

la m ission de com biner d ’un com m un accord un systèm e de perception par les Chefs de corps, qui les verseront au.x Vice-Trésoi iei s de leu r arrondissem ent.

Il est décidé que l’assem blée générale annuelle au ra lieu à Creil, cou ran t février prochain.

Les m em bres présents décident que le procès-verbal sera adressé â M. le Préfet, p résident d 'h o n n eu r de l'U nion, e t aux jo u r­naux du départem ent.

Rien n 'é la n l p lus à l’o rd re du jo u r, la séance est levée â sept heures e t demie.

O nt signé :MM. Ca z ie r , président.

B er tu elo t , tréso rie r.DupRé, secrétaire.LÉvÊyuB, vice-président. Giuffû , id.FAY0I.L8, id .G u e s n e t , v ic e - t r é s o r ie r . D ura n d , id .N ic o l l e , v ic e -se c ré ta ire .

Gendarmerie»Les nom inations suivantes on t eu lieu

dans la g en d a rm erie , p a r décision du 2 octobre 4888.

David fC onslant-Edouard), m aréchal-des­logis au 8* cu irassiers, ré s id an t à Chantilly, gendarm e dans la Compagnie de la Somme.

T ara ire (Je in -L o u is) , m aréchal-des-logis au 6® cuirassiers, ré sidan t à Compiègne, gendarm e dans la Compagnie du Cher.

m ém oire de la m ère vaillan te e l dévouée do notre honorable sénateur, e t de d o n n er à M. F ran c k C hauveau, en cette douloureuse c irc o n stan ce , u n e nouvelle m arque d e sym pathie.

Le départem en t de l'O ise e t no tre arro n ­dissem ent en particu lier é ta ie n t largem ent représentés â cette triste cérém onie.

Nous avons rem arqué :MM. l’am ira l K ran lz .m in is tre d e lam a rin e ;

Léon Say, sénateu r, ancien m in istre des finances; de M arcére, séna teu r, ancien m in istre de l 'in té r ie u r ; B arthélém y S a in t- H ila ire , Sébline e t M azeau, sén a te u rs ; Cuvinot e t Chovet, sénateurs de l'O ise, etc ., etc.

MM. Ju les F erry , député, ancien p résident du conseil des m in is tres ; F lourens, député , ancien m in is tre des affaires é tra n g ères; Develle, ancien m in is tre ; R ibot, A lbert D uchesne, C asim ir P e rie r , René B rlce, Camescasse, de Châlenay, etc ., députés.

MM. R avaisson-M ollien , M ézières e t X avier C harm es, de l’In s titu t; Bouchez, p rocureur général de P a r is ; Gigot, ancien préfet de police; P alla in , d irec teu r généra l de.; douanes; F rancis C harm es, d irec teu r politique au m inistère des affaires é tra n ­gères^ H ector Pessard, Adrien do M onte- bello , Joseph Reinach, H eurtau l el Dielz, du J o u rn a l des Déliais; D rum el, anc ien député e l doyen de la Faculté de L ille ; F rém inet, Dreyfus, Georges G raux, etc.

Parm i les notabilités du départem ent de l'O ise e t en dehors des sénateurs e t députés don t nous avons donné les nom s plus hau t, nous trouvons : MM. Le Vavasseur, anc ien d é p u té ; baron de R einach, m aire d e N i- v ille rs ; Léon Duquesnel; Belhomme, inspec­teu r général des ponts et-chaussées; G aillard , Moquol, D upuis, C hevallier, H ainsse lin , Jo lidon , Dclaunay, S e rr in , D upont, Langlois, Lagarde, conseillers g én é rau x ; MM. Dély, Sagny, T ur( |ue t, F lisseau, L aiande.H ongre- B uîlot, Le B run , Leraoine, conseillers d ’a r ­rondissem ent ; M. Fourcy, sous-préfet do S e n lis ; M. Faisan t, p résiden t; MM. A ubur- lin e t C halm in, juges au T ribunal de Senlis ; M. Bilurd, p rocureur de la R épublique à C le n n o n i; M. Paul Duquesnel, juge-sup­p léan t à Amiens ; M.M. B ertrand et M ussal, ingénieurs des ponts-et-chaussées ; .MAI. de Bonlils e t Dubois, receveurs particuliers des f inances; M. .Ménard, ancien m aire de C lerm ont; M. Fontaine, ancien m aire , e t M.M. Démelin e llle rv a u x , adjoints de S e n lis ; M. .Morel, notaire iionoraire, de S e n l is ; M. Genay, ancien conservateur des hypo­thèques, de S en lis; M. D esjardin, économ e de l'hôpital de S e n lis ; M. Brochon, m aire de M ontlëvéque; iM. R udault, m aire d e N unletiil; M .M oquct, M. le général G ran d in , M. H ainand, in iendantm ilitairH ; Al. R en ard , ancien m a ire ; M. Casse, m aire de C oye; M. B runot, ancien m aire de Creil ; M. C azier, p résident de l'Union départem enta le des sapeurs-pom piers de l 'O ise ; M.M. R o land , Roussel, de Borest; M. Lequesne, de C reil, e t un g rand nom bre de notabilités d o n t les noms on t dû nature llem ent nous échapper.

La presse de l’Oise é ta it représentée p a r MM. M uonier, de l’/nd.'penaaftf ; H e n ry Lefèvro, de ['Echo de l'O ise; Lefebvre S ain t- Ogan, du Progrès de l ’Oise; E. Payen e t A. G crvais, du Jo u rn a l de Senlis, e t M allet, du J o u rn a l de C lerm ont.

Puissent les témoignages de sym pathie e t ..'estim e de cette nom breuse assistance adoucir la perte cruelle que vient d ’éprouver l'honorable M. F ranck Chauveau.

P our nous, nous lui renouvelons le gage de nos respectueuses e t affectueuses condo­léances.

Le débat est sospenda quelque* instant* pour e’ocoùper d’une interpellation de M. de Jodvencel relstive à U ritu»tion faite aux commune* par le décret de 1625, qui permet aux desaervant* de Iw kr iM prwbjUirM;

B revet supérieur»j2* session de 1888.

S u r 5 asp iran ts qui se sont présentés,2 o n t été reçus. Ce sont, p a r o rd re alpha-b é liq u e t ̂„

M. Lem airo, in s titu teu r public a Herm es (O ise).

M. P a lté , in s titu teu r public à M alpart (Som m e). __

B eo lc d e la m aternité.L'exam en des asp iran tes au ti tr e d ’élèves

sages-femmes de 4** classe a u ra J ieu â Beau- vaiB, d an s l'u n e des salles de la P réfecture , le sam edi 27 octobre 4888, â u n e h eu re de l’après-m idi.

U nion départem en ta le d e s Sapeur«-l*om piere d e l’Oise.

PROCÈS-VERBAL de la R éun ion d u B ureau cen tra l

d u 18 Octobre 1888.S u r la convocation .de M. le P résid en t de

l’U nion, les m em bres du B ureau central se sont ré u n is à C reil, le jeudi 48 octobre, & cinq heures du so ir, salle de la Justice de P aix.

E ta ien t p résen ts :MM. Cazier, cap ita ine â Creil, p té n d e n t;

B erlhelo t, cap itaine A S enlis, trésorier; Du- prô ; ad ju d an t à BeaUvais, seçrélatre; L é- Téque, capitaine à B eauvais, « ic s -p rà id s tit ; G riffé, capitaine à Cham bly, v ic e -^ é e id e n t ;

I Fàyollei capitaine ù Glermoni, viee-prén-

P o ste s e t T élégrap hes.Aüis.

Mise on adjudication de l ’en trep rise du transport des dépêches de Noyon à Beauliou- les-Fonlaines, à exécuter à pied.

S 'ad resser, ju squ 'au 28 octobre 4888, aux bureaux de Noyon e t de Beaulieu-les-Fon- taines, pour p rendre connaissance des con­d itions e l charges de l’en trep rise .

Le D irecteu r, P e r r in .

CHRONIQUE LOCALEO b sèq u es do M me Chauveau.M ercredi o n t été célébrées, en l ’église de

la T rin ité , à P a ris , les obsèques de M“ ® Au- gustine-C am ille Jolivet, veuve d e M. Joseph Chauveau e l m ère de M. F ran c k Chauveau, l'honorable séna teu r de l'O ise.

Le corps de la défunte , apporté de Coye le jo u r m êm e, a été déposé en l ’église de la T rin ité , oû le service religieux a été cé lébré à dix heures e l demie.

Le cercueil dispara issa it sous les cou­ronnes. Il é ta it placé au m ilieu d u chœ ur, su r un h au t catafalque en to u ré d e q u atre candélabres, re liés en tre eux par un trip le cordon de lum ière.

Ces ten tures noires, où se détachaipn^ dos larm es d ’argent e t les in itia les en lettres b lanches de la défunte , o rn a ie n t la sp len­d ide église de la T rin ité .

P en d an t la m esse, l’excellente m allrise s 'est fait en te n d re à plusieurs reprises, in ­te rp ré tan t adm irablem ent les motets re li- g ieux. . . * A

Après l ’absoute, le convoi s est form é pour a lle r au cim etière M ontparnasse, où se trouve le caveau de la famille.

Le deuil é ta it conduit p a r M. F ranck C hauveau, sénateu r, et par M. le aénéra l de division Jo live t, frère de la défunte , en tenue. . . .

De nom breux am is av a len t en à cœ ur d 'h o n o re r p a r le u r p résence ù ce deuil

Cirque nouveau»Nous sommes priés d 'annoncer que la re ­

p résentation q u ed o n n era le C irque no u vea u , insta llé â la porte de Compiègne, lu n d i p ro­ch a in , â h u it heures d u soir, a u ra lieu au profit des pauvres.

La recette, opérée à la dem ande du Direc­teu r sous le contrôle d 'u n agent do la M airie, sera partagée par m oitié, e t la part des ind i­gents sera versée dans la caisse du B ureau de bienfaisance.

Nous signalons â nos lecteurs cette occa­sion île passer une agréable soirée, en con­tr ib u an t à une œ uvre d e charité .

D em ain dim anche, rep résen ta tion d e jo u r e t séance le so ir, avec un program m e varié .

H a été trouvé dans les rues.de Senlis u a b racele t avec m édaille en argent.

R éclam er l'ob jet au bureau de police.

Etat-civil d e Senlis»N aissances,

Du 13 Octobre. Petit (Marie-Jeanne)»14 — Lesuflur (Suunoe-LéO&ie).19 — Mittelette (Marie-Eogéuie).20 — Waliet (Paul-Adoipbe).

Dicis.H — Mme Cottard (Marie-Oabrielle-

Hyaciathe), femme Taroy,27a.16 — M. Debrebant (Françoia-Félix),

proprièbure, 80 an*.M ariages.

17 — M. Dupont (Victor), enlUvateurà Aumont, et Mme Cottereaa (Louise - Caroline), marchandA ne lait à Senlis.

P u b liea tio n t de m ariages.(Néant).

Harobé d« Stnlis dn 16 Ootsbrn 1888.

Blè blane, l'* quai.

il'® quai. 2® — 8® -

Seigle '‘ 1*® qual-

2*Avoine. |

Pris

OOkU.b’oldn

d*'l'htot.

Prixds

l'hscl. Ohirratitn.

n s» 77 20 80 San* var.M w» 77 20 4U Id.M • • '14 lUVft Id.?3 m 15 55 Id .13 •• 76 V I4J Id.17 45 7 6 5 Id»16 50 4U 6 60 Id .

f-

i l '

p i ' i

I

Prix du Pain du 16 au 31 Octobre. I BIaoo . .

Bia-blano.0 ,4 0 > Ulog»

Farine t lea lff? kilog4v63'hw

Page 2: COURRIER DE L’OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1887-1888/bms_js_1888_10_21_MRC.pdf · & la consommation sous le nom de vin », après ces intéressants préliminaires,

I M \ \ ( \ < )

M iliÉ M M iiiiiÉ iè il i M W a M « M A t t

B r e « 1 e « « ~ M. Ferdinand P alin, Tleil- lard de 77 ans, demeurant & Brestes, vient de mourir dan» des circonstances tragiques. Cet infortuné était souffrant depuis quelque temps. Oaqs la nuit du 43 au 44 octobre, ayant froid sans doute, M. Patin alluma du feu pour se chauffer; que lui arriva t>il alors? Le lendemain, son flls, M. Auguste Patin, ferblantier, allant prendre dq ses nouvelles à six heures et dem ie du matin, fut témoin d’un pénible spectacle. Son père gisait au m ilieu du foyer, la face contre terre, ne donnant pins signe de vie. Il ap­pela au secours, et H . le docteur Delcaux n e put que constater le décès. Le pauvre Patin ayail la téte, la poitrine et l’abdomen entièrem ent carbonisés. La commune de Breslea a été imuressionnée de la mort af­freuse de ce vieillard qui jouissait de l'estime générale.

C h a n t i l l y . — C o u n es du je u d i 48 oc­tobre 4888.

Un tem ps délicieux, p rin tan ie r , a favorisé la p re m iè re de Chantilly.

Chaque épreuve a été disputée p a r un nom bre respeclable de concurren ts, et, à l'exception de T arte e t d 'A chéron, les favoris n 'o n t pas brillé.

P r ix du Connétable. — 4,000 fr ., 4,200 m ètres. — T arte (F ro iich), 4 ; R aoul (K ear- ney), 8 ; AUhéa (H oife), 3.

Gagné d ’une longueur e t dem ie, la 3* à la m êm e distance.

P r ix des Réservoirs. — 2,000 fr ., 4,400 m ètres . — Q ueenie (F rench), 4 ; Narcisse II (C hilds), 2 ; C audeleria (T. L ane), 3.

Gagné d 'une dem i-longueur; le 3* A une téte .

P r ix des Tribunes (handicap'). — 4,000 fr ., 2,200 m ètres. — Qeyexuela (H opkins), 4 ; F rondeuse (B rudgeland), 2 ; Police (An- g lee), a.

Gagné d ’une longueur e t dem ie, la 3« à u n e dem i-longueur.

P r ix de la F orêt. — 20,000 fr ., 4,400 m ètres. — C atliarina (T . L ane), 4 ; G alaor (S to r), 2 ; B avarde (Doiige), 3.

Gagné d 'u n e longueur e t dem ie, le 3* à u n e longueur.

P r ix de P ontarm é. — 3,000 fr ., 2,200 m ètres, — Achéron (S to r), 4 ; César (M adge), 2 ; Vert-D ragon (B enson), 3.

Gagné d ’une longueur et dem ie, le 3* à deux longueurs.

P r ix du P etit-C ouvert.— 2,000 fr ., 4,000 m ètres. — Mastei’ A lbert (B arlboloraew ), 4 ; Lugano (W ycherley), 2 ; Gaxua (K earney), 3.

Gagné d ’une longueur, le 3” à une demi- longueur.

C o m p i è g n e . — La prochaine assem­blée générale de l'Associaiion des anciens élèves du collège de Conipiègne au ra lieu le jeud i 25 octobie prochain , à trois heures un q u art précises de l'ap rès-m id i, dans une des salles de l’U ûlel-de-V ille de Compiègne.

— Jeu d i, M. Desmazures, proprié taire, G rande-Ilue-S ain i-G erm ain , trav a illa it à u n e m aison qu ’il fuit constru ire roule de J 'a r is , un peu au-dessus de la m are G audry, quand , vers cinq h e iire sd u so ir ,ilv i tp a s se r u n e personne de sa connaissance.

M. Desmazures, pour lui p arle r, voulut descendre^du deuxième étage où il se trou­v a it; m ais il m anqua le p rem ier échelon de l'échelle et fut précip ité dans le vide.

i l eu t l'heureuse chance de tom ber su r la

terré et les bras en avant; ce qui amortit la chute, dans laquelle il atirail pu avoir la téte fracassée ; e lle n'a été que légèrement contu­sionnée. Les ouvriers présents s’empressè­rent de le relever et, apportant un matelas, il fut placé sur une échelle qui lui servit de civière, pour être transporté & son domicile peu éloigné du théâtre de l ’uccident.

M. le docteur Chevallier, m andé, arriva aussitôt et prodigua au blessé tes secours que nëces.<itait son état.

M. Desmazures s’en tirera heureusement, dit-on, avec des soins et du repos, car il peut parler et prendre les potions qui lui sont ordonnées.

l l r c i l . — O n nous écrit :Le 46 octobre, Mme R abardelle, m ar­

chande de v ins & Creil, avait chez elle une nièce, M arie M artin , Agée de 25 ans , qui n ’a pas fait le serm ent de coiffer Suin te-C athe- r in e . Sa tan te lui lit quelques rem ontrances su r sa conduite un peu trop légère avec un pensionnaire do sa m aison. Mlle M artin ne trouvant pas les observations à son goût, et se voyant forcée de quitte r le dom icile de sa tan te , se fûcha pour de bon. E lle frappa sa tan te de p lusieurs coups de poing su r la téte, e t finalem ent la renversa pur te rre .

Mme R abardelle alla conter ses doléances à la gendarm erie de Creil, qui dressa procès- verbal.

— Procès-verbal a été dressé par la gen­darm erie de C reil, contre le s ieu r Vergez, négociant à P a ris , hab itan t le cliAleau de M alassise, p révenu d 'avo ir chassé sans per­m is les 46 et 47 septem bre d ern ie r.

— Une contravention a été re levée contre le nom m é Coupet, saltim banque, pour dé­faut de plaques aux deux voitures qu ’il con­duisait.

— Etat-civil de Creil, du 11 octoire ou 18 oc­tobre 188S:

NA163ANCB3.

Du 15 octobre. LeprêtrefNlaurice-Guatave-Julen).16 — Séné (Eugèae-Oeorgos).

DÉCÈS.

Du 11 octobre Marcotte (Maurice-Edouard), 15j.11 — Dovallois (Modeste-Arthur), 38a.

3 mois.11 — Grond (Rosalie), femme Bureau,

58 ans 11 mois.16 — Bruno (Florentine}, veuve Godin,

73 ans 4 mois,PUBLICATIONS DE MARIAGE.

Entre M. Théophile de Stoppeleire, comptable, et Mlle Lucie-Agiace Lépicler, sans profession, tous deux domiciliés à Creil.

Entre M. Henri-Alphonse Ternisien, employé de bureau, domicilié à Creil, et Mlle Borthe Mari- court, sans profession, domicilié à Villers-Saint- Paul (Oise).

Entre M. Nicolas Caré, tréfileur, domicilié à Fon- taine-l'Evô^ue (Belgique), et précédemment à Creil, et Mlle Marte-Tbérèse fiouret, coutu­rière, domiciliée à Fayt-les-Sônefl'e (Belgique).

P r é c y - s u r - O i s e . — D ans la liste des jeunes gens adm is à con trac ter l'engagem ent conditionnel d 'u n an à la suite des exam ens de 4888, nous rem arquons le jeu n e Em ile- Ju les B atellier, fils du sym pathhiue chef de la Compagnie des sapeurs-pom piers de P récy , qui a ob tenu 4,805 points.

.Nous adressons toutes nos félicitations à ce jeu n e iiomme e t à sa famille Les examens de 4888 ayant présenté une difficulté excep­tionnelle, 21 jeunes gens seu lem ent su r 45 on t été adm is dans l ’Oise.

P o D t p o I n t . —• On noQs éc rit : V endredi de rn ie r, 48 octobre, e n tre sept

h eures e t dem ie e t neuf heures du m atin , un vol de bijoux a été commis au dom ièiie de M B ruyelles (F rançois-Joseph), 66 an s , ma- nouvi'ler, d em e u ia n léP o n tp o in t. Les époux Bruyelles, d u ra n t qu’on les volait, é ta len t occupés aux travaux des cham ps.

Les objets volés com prennent : u n e chaîne de m ontre en argent

avec coulan ts e t bre loque m on­tés de p ierres rouges.................. 22 fr. »*

U ne çhevaliere o r, m ontée d 'unep ierre n o ire .................................. 80 »»

U ne bague en a rgen t...................... »» 75Une ancre de m iséricorde a r g . . . 5 »»Un cruciUx a r g e n t ; ......................... 8 »»

Ensem ble, p o u r la som me d e . 49 fr. 75A uteur inconnu.

Puiseux-le>IIaubepgep.— Le sieur B ernard (lle rm a rtd ), ch a rre tie r au sof^^co de M. Mqrel (E m ile), m èun ier à Chambly, conduisait le 45 octobre courant une voiture chargée d 'u n e quinzaine d e sacs de farine e t attelée de trois chevaux. Il se trouvait sur la roule de La Villeuve-le Roy, à l 'em b ran - chem ent du chem in de fe r, à 400 m ètres environ de M éru. Voulant faire to u rn er ses chevaux, il t ira fortem ent su r les guides qui en se ten d an t le firent tom ber. Cette saccade ayan t augm enté l 'a llu re des chevaux, il n ’eut pas le temps de se re lever e t le véhicule lui passa su r le corps. La m ort fut in stan tanée . Le sieu r H ubert, tém oin de l'accident, d it que M ord titubait un peu. Son cadavre a été rapporté à F uiseux-le-H auberger, où il de­m eurait.

Choses et autres.L’o a sis d e Illepv.

Le général russe R ic h ter a fait récem m ent un voyage dans l’Asie cen trale, où l’em pereur l ’avait envoyé en m ission spéciale. I l était chargé de se p rocurer su r l'oasis de Merv des docum ents plus au thentiques que ceux d o n to n d isposaitjusqu’ù présent, m algré tout ce qu 'on a publié su r cette question.

D 'après les notes recueillies p a r legénéra l russe , l’oasis de Merv est, depuis 4857, au pouvoir des Téké-Turcom ans. S uivant les données les p lus dignes de foi, l’oasis' é tle- m ém e com prend environ 48,000 cabanes. Les Turcom ans de Merv sont des Sunnites, en partie nom ades, en partie plus ou moms sédentaires. Les nom ades sont plus riches, m ais m oins belliqueux que les au tres. Un vrai T urcom an ne reconnaît aucune autorité e t se regarde comme tout à fa iiindépendan t. A vant que les Turcom ans eussent été vaincus p a r les arm es russes ils vivaient, on le sait, surtoù’l de brigandage, e t les hab itan ts des frontières touchant à la P erse , à Boukrara e t a Khiva eu ren t beaucoup à en souffrir.

Les Turcom ans sont ho.spitaliers e t braves, mais exceptionnellem ent c ru els ; ils sont m enteurs, hypocrites e t ren ien t volontiers leu r paï ole. l ’arm i eux. il y a peu de com­m erçants. Jad is c 'é ta ien t des m archands persans de B oukhara et Khiva qui les four­n issaien t de sucre, de thé, de fruits secs, b ref de tout ce dont ils avaien t besoin. Actuelle­m ent, ce commerce es iac ca p aré p ar les m ar­chands arm én iens. Les Turcom ans fab riquent

eux-m ém os la plus g ran d e partie des objets

3ui le u r sont nécessaires, p rincipalem ent es arm es excellentes,- e t, p ar exem ple, des

fusils systèm e Berdun se charéèan t p a r la culasse, ainsi que leu rs cartouches. En som me, les hom m es trava illen t trè s peu , e t ce sont les femmes qui sont chargées de tous les travaux les plus d u rs ; elles saven t faire de beaux tapis de fort d ra p e t de Ans tissus de soie. Les femmes turcom anes n e portent pas de voile, c ircu len t‘ lib rem ent au m ilieu des hom m es, sont comme eux au couran t du m aniem ent des arm os e t o n t cpm battu tes R usses avec courage à côté des hommes.

Chez les Turcom ans un hom m e peut être .m arié à q u atre femm es e t en changer quand bon lui sem ble. Il suffit qu ’il déclare c soll » l'u n e d e ses quatre femmes e t cesse toute relation avec elle pour qu ’il soit au to risé à en épouser une au tre e t il peut répéter ce m anège au tan t qu ’il lui convient. Il a le d ro l t de répud ie r une femme quand il le juge à propos ; m ais, si la répadialion n ’a pas été am enée p a r la faute de la femmo, il est obligé de subven ir ù son en tre tien ainsi q u 'à celui de ses enfants. U ne femme lui es t-e lle infi- dMç, il a le d ro it de la tuer, ainsi que son am an t. Mais, s’il tue seulem ent la femme et non l ’um ant, la famille de la femme le pour su iv ra ju squ’à ce qu ’il a il qu itté l ’oasis ou ju sq u 'à ce qu 'il se déclare p rê t à payer une

D’au tre p a r t, la femme a le d ro it de dem ander le divorce si elle e s t m altraitée p a r son m ari. Le divorce ne peut ê tre pro­noncé que si deux fois la dem ande de la femme est restée sans résu lta t. D ans ce cas, le m ari es t obligé de lui payer une somme pour son en tre tien . Chez les Turcom ans, la polygam ie n 'e s t pas si répandue qu ’on le croit généralem ent, c q q u is ’ex p liq u ep a rles riches p résents qui doivent ê tre faits p a r le m ari fu tu r au père de la je u n e tilledonl il dem ande la m ain . Jad is ces présents consistaien t o rd i­n airem en t en esclaves persans.

Le père a d ro it de vie ou de m ort su r ses enfants, m ais on ne sau ra it citer un cas où un Turcom an a it fa it usage do ce dro it. Les T urcom ans m ontren t un grand am our pour leurs enfants, surtout p o u r les garçons. Quel­quefois on entend p arle r d ’en lèvem en t; si 1 on parv ien t à s’em parer dos fugitifs, on les m et à m ort, e t c’est avec une cruau té ex traor­d in a ire qu ’on fait p é rir la femmo, car les Turcom ans supposent qu ’elle n ’a pu être séduite sans son consentem ent.

InformatioDS militaires.L ’a ip p c l d e l a c l a s s e I S S * ? .

La réparlItiOD défloitive des conserits de la classe de 1887 est i la veille d'être arrêtée, et loa autorités préfectorales e t niilitairea vout recevoir les ÎDsiructioDs relatives à l’appel sous loa dra­peaux.

Dos aujourd’hui nous pouvons anuoDcer que te départ des cinq mille hommes de la seconde por­tion est fixé au 5 novembre.

Les jeunes soldats de la première portion seront mis en route les 10 et 12 novembre.

L e v o l o n t a r i a t e n 1 8 8 8 .M. le ministre de la guerre va adresser des

instructions relatives au versement de la presta­tion de 1,500 francs et à la mise on route des engagés conditionnels qui, très probablement, partiront le 15 novembre prochain.

M. de Prejcloet » également décidé que lee cendidata eu volonterlet ne pourraient être reçus â 'I eijgcgement qa’A le condition d'être née enté- nenrem^ent en 10 novembre 1870.

A ce sujet, il est rappelé aux Jeunes gens appar­tenant aux écoles spéciales mentionnées i lar- tiele 58 de la loi mihtairâ ou aux Facultés, que le sursis de départ auqiiol ils ont droit pour acnever leura études, ne peut leur être accordé que dans l’aüuée qui précède celle du tirage au sort de leur classe.

Aucune exception ne peut être faite â cet égard.

L e di*olt d e s veaves.Un Journal a posé la question do savoirs! la

venve d’un officier de l'armée terriloiiule, tué ou mort par auité d'accidout survenu dans uu service commandé, pouvait prétendre à la pt-nston. Le Journal d'Amiens dit :

■ La réponse ne saurait être douteuse : la veuve a droit à une pension égale au tiers du oiaiimum de la pension d’ancienneté affectée au grade dont le mari était titulaire, pourvu que le mariage ait été contracté aolérieurement aux événemonta qui ont occasionné la mort acciden­telle du militaire (lois de 1831, du 1856, de 1869, de 1878, de 1879 et 1835, et iuslructions minis­térielles formant commentaire).

s ’Tèl est le principe qui doit recevoir- son ap- plication lorsqu’il s’agit, par exemple, d’uu capi­taine d’infanterie teriiturialo qui ses t tué ou tombant de son cheval emballé, comme le fait s’e*!! récemment produit à Chartres. ■

D o D v r i le s i l i v r r s v s .

R ejet d e pou rvois.D ans sa de rn iè re audience,"^ la cham bre

crim inelle de la cour de cassation a re je té le pourvoi de M atholin, condam né à la peine de m ort le 8 septem bre de rn ie r, p a r ta cour d ’assises de la Soine, pour assassinat du can tonn ie r O udin, et celui de P rosper Lavisse, âgé de vingt-trois ans, condam né à m ort p a r la cour d ’assises d e l’Oise, le 28 septem bre de rn ie r, pour assassinat de la Veuve F av ie l, à Bailleval.

L e s m archands forains.L a lu tte des comm erçants étab lis contre

les m archands forains contiuue.Un certain nom bre de cham bres de com­

m erce ont adressé aux m inistres des finances e t du com m erce une pèliiiop dans laquelle elles exposent que, depuis p lusieurs années, et notam m ent depuis 4880, les ventes des déballeurs e t des m archands forains on t p ris un développem ent considérable e t por­te n t un grave préjudice au commerce des localités qu 'ils traversent, sans que leurs charges soient en rapport avec leurs béné- llces, e t qu 'il sera it ju s te de soum ettre ces industriels nom ades à une paten te spéciale d an s toutes les com m unes o ù ils vont faire le commerce.

Le produit de celle nouvelle taxe pour­ra it ven ir en dim inution su r le total des piitentcs actuelles des com m ejçanls. Une pétition sem blable sera déposée su r le bureau de la Chambre.

L a s o u r c e d e t a n t d e m a u x : , e e s t l a C o n s t i p a t i o n .

Capian (G ironde), le 6 mai 4888. — Ma femme soutfrait depuis un an d ’une constipa­tion opin iâtre, qu ’aucun rem ède n e pouvait

soulager; depuis qu 'elle p rend vos P ilules Suisses, elle va beaucoup mieux ; je pense qu’avec une au tre boite à 4 fr . 50, que vous voudrez b ien m 'envoyer, e lle sera complète- inenl guérie.

(S ignatu re légalisée). Ru stin .

PONT-NEUF. n u s o u P O a T -N B U F

U A i a o i r S A N S s u o o D a s A X j r s adrtswU gratil i t franco U Noum u Catalogue 4 Us Gravures i* OMss des VUemenis pour Hommu,

Jetmes Gens 4 Bnfaats1 8 8 8 HIVER 1 8 8 8flqileini Ma OkUlooMi

PARDESSUS, C O M PLETxmperte Mode 0 ^ ^ Htnte Monveanté

25^

ENFANTSP a n f « M t i«

ou ComiUBt»6"'ilEUNEt SENS

O o s n p s o tfan taule

TaitVltMiBtBB tOOTCflÜt p..

L'ARQKNT«BCftratoiraa 4e êutt»

J p i r I tU tt- fH .L fjrpM/t/on f r a a a o d * p o r t ^D tfio t (od(i I» frtao» t pertlr S S t r a n o o . Q ^ BnuoB u oATAuera ad diaxctidr h laglaiionda P O N T - N E U F , PARIS >

P A S d e S U C C U R S A L E S

SOClCT£d’A ssn ra n ce s H n taeU es

ImmoblUèro e t Uoblllère contre Vlnoendle D an s le D é p a r te m e n t de SElNE-ET-HABNE

ÉTEHDUE AUX DÊPARTEM»TS LIMITROPHES D A T E D E LA F O N D A T IO N 1 8 1 9

Siège Social à HELUND i r e c t e u r ; M . ' ' Ç R A ~ V Q I S I E R

loDlsnt du iunntBt»! : 7 2 6 ,0 P 0 .0 0 0 fr. l» t» t des Bésems: 2 , 4 0 0 , 0 0 0 fr.

TARIFS miEDHSll6FLgsie35°roA oeux DES AUTRgB COMPAONlEa

A p o t^ u T a r i f s p a r 1 ,0 0 0 f r a n o s , r<«9 H« d tt fv > ii4 re , 4 e S a « e t d r o i t 4 e T im b r e c o m p r is ,

I ...... Ofr.ao et Ofr.30■.(iT.non I Uubilim...........0fr.40et0lr.4S

tlmmeublet Ofr.30 elOfr.38rurMuoHscivnui' Uobilier»etlUr-i chiadiiei.... Ofr.63

* '*( tilux.Uitirlel Ofr.67

Ilmneubles,.... Ofr.OO Uobilieri, Bet-

tiiDx.Uitérial Ofr.OO RécoUeieoBlitl-

meoU Ofr.OORécoltes«n UeulM, poor l'aouéc enlitre Sfr.60

T .. . PsnrSinoii 3Tr,47Rlsqocf loulifs bonrgcoii, et recourt dct «oisiiu................ .... Ofr.14 i Ofr.ao

a g e n t s ~ p r Î n c Î p a u x :Rf. d e PHEVILLB, â Ckimpiègao, rue de*

Doineliers, N* 4b. Mr.TBO\Kr.tiieiluFfinhgSt.Romv.9Bfeanx.

-_________ Le G érant : D a i i . i . e t .

Sonlis. — Im prim erie Ernest P a ïe n .

Tableau synoptique des Marchés du Département. Harchés de Paris dn 19 Octobre 1888.

LOCALITES

BL

leslOOkil.

ÉS

i ’beclolitre.à — h"®ua £

H ^2 2 S u « 2

AVO

les 100 kil.

NES

l'heciolitre. < o

K . 2 —

£ ®

t*® q. 2®q. l™q. 2-q. ” ■ !'• q. a®q- l»* q. 2* q.Lundi.

ADisuviltert.. . ■Graudviltiers... 2 i K5 21 .Su 19 611 16 3 10 25 ÎO 25 16 73 3 7 fiO 35Noailles.............. 2.S 31 24 2<l ;(l 9C 18 6u ,7 1^ 50 17 .50 » 8-j 33

Mardi.Gournay............ 27 . . 21 .. IK .. l<i II 50 10 , 9 12 37Sl-Jus(-en C li... Î6 .. .5 .. 18 .. 16 5(J 13 . 16 18 .. 17 34

Mercredi.Breteui!.............. Ï4 3« 19 .1(1 17 .S1I 9 7 t 12 17 70 8 TjO 35 .. 33Form erie ... . . . . iü 20 27 63 22 . . i l .. 1t .SU 2u ,, 18 10 . 8 64 34Maigoelay..........

Jeudi.Cbaumuui..........CrèveciEur........ 20 5(1 iê 8(1 tt 9 8 25Songeons............

Vendredi. Marseitte............

26 82 ïii 26 22 .Sfl 21 .. 12 11 60 17 0! K 37

M éru.................. 27 .. 19 .54 (5 .r 10 , H ^5 5 90 8 21 35N aoieuit............ 27 .. a .. t« 28 t.s su 9 .. 16 36PoB l-S i-Itax ...

.Samedi. Beauvais............

26 5U :6 .. 20 . . .9 24 9 23 10 2i 17 .. !.. 75 » 5U 7 24 37

26 50 25 56 20 80 16 5(1 Il 3(> (« 19 16 8 75 37C lerm out.......... :6 25 24 ‘IS 7 .SO iâ 50Compiègue........ 25 .. :3 S9 20 19 .. 17 .. 9 ».S ■8 .. 16 1t 36H ouy.................. 27 2,> 19 44 i;i 33 .Sii 8 66 37C rép ,.................. 27 io î6 .. 20 7i 19 24 9 54 II «2 16 , , 15 7 Ht 6 :rj SK 50 .36NoyoQ.......... . . 26 56 23 .. t8 bu 17 5U 10 . . t9 .. 18 50 8 .50 7 50 34 .. 34

FAXXXnS B S OOKSOMMATIOBT157 kil. 100 kil.

65 à 65 6764 65

63

41 40 à 44 40 44 6740 75 41 4'i39 49 40 1238 8 i 39 49

Marque de Corbeil.Marque tie cho ix ..Premières marques Bouurs m arques..Marques ordinaires 61 62

FA&UarKS BODXB MABQOK8 150 kil.

Courant....................................Prochain..................................Noveiiibrc-Üéccinhre..............4 de novembre........................4 prem iers.

Courant...............P rochain............N ov.-D éc..........4 lie novem bre.. 4 premiers..........

Courant..............Prochain............Nov.-Déc, .4 de Novembre. • 4 prem iers...

B&É100 kil.

27 2 ' à 27 50 27 25 27 50 27 50 27 7327 75 . . . .28 25 . . . .

AVOZHE100 kil.

47 35 à 17 50 17 25 i7 50 17 25 17 5»17 25 17 50 17 50 17 75 41 25

61 25 à . . . .62 23 6 i 5063 ÔJ . . . .62 50 62 7.363 25 65 50

a K i a u100 kil.

14 75 à 15 . .15 . . i ) 25 15 50 . . . .15 50 15 7516 25 . . . .

AX.0001,l'hect i 00 des.41 75a . . . . 41 . . 4t 23 41 . . 41 25

Disponible........Courant............Novembre........N o v .-D ü C .............4 premiers........

H1TXX.KB COLZA100 kU.

72 5 ü à . . . .72 »U . . . .73 . . 72 . . 2 75 72 25

41 50

71

LIN 100 kil.

51 . . à58 50 58 . . 58 50 51 . . 5K 50 58 . . ; 8 50

7i» 75 57 73 58 25

5 37 .. 37 50 37 75 37 25 37 80

BUORSaGourant.......................................... 37 25 à .10Prochain........................................ 36 .30 36 753 de novembre .4 prem iers..........................Blanc 99 degrés..........................Boux 88 degrés........................... 33 75Roux acquittés 88 degrés 86 . . . .

T E B T S A X.A CAITÈK OKI ▼ lAVDBI19 Octobre.

BGSUP1/4 derrière. .7 6 4 1 5 0 l /4 ite v a u l.. 40 .90Aloyau 80 2 ..— déhanché t tO 2 20

VBAUE x tra 1 90 à 2 .l" q u a li té .. . 1 70 1 8 2^^qualilé... 1 50 1 66 3* qualité . . 1 3 0 146 4* q u a lité ... 1 14 1 26

MOUTON l'* q u alité .. 144 à 150 2* qualité.. . 1 14 1 40 3* qualité ... . 9ü 1 10Gigots 1 30 2 .Carrésparcs 1 . . 2 60 Agneau s téte ! . . 1 5u

PORC1'*qualité... 1 2 0 à l 26 2‘ qualité ... t 06 1 16 3* qualité ... 80 ! . .■» .|ua...u... » I 4u,ü qualité...

Pan, cuissot. 1 10 2 2ü|Poiirine8sal. 90 150BESTXAOZ

Paris (La Villette) 18 Octobre.

ESPÈCES•3B

' S <

a l0 20.6Vqté

2*qié

3 ’qté

Prixextrêmes.

Bœufs... 2840 379 82 r4 4.6 38 à 86Vaches.. 1(i06 '♦31 78 .54 40 34 à 8-4Taureaux 124 388 7(1 .56 44 40 1 7:4Veaux.. 1297 84 1 U 98 74 60 a 1 27Moulons. [8806 “»« K 72 6 '. 58 , 90Pores gr. 4648 85 88 84 8!) 74 à 92

FONDS 3 0/0jou. l'* j.3 0/0 am ort..4 1/2 0/0........4 1/2 0/0 1883. Bons liq. 74-75 Dép.8eine40/0 Paris, 1855 60

. 1865...1869...1871... -quarts1875... 1876 .. Ih86.. -quarts

Bonsdehquid. V. Marseille.. Ob. V.dc Lyon Banq. de F r.. B. d’esc. de P.B.dePar*'P-BC. fonc. de Fr. Compt. d’esc.. Créd. Algérien Crédit foucier. Crédit milust. Crédit lyonn.. Crédit niobil. Dép. Comptes Soc. géuërjle. B.franc-égypt. Banque pans. Rente fonc. p. Soc.lm .de Fr.

Bonrse de Paris dnd’é t a t s . — ACTIONS.S2 6 81 ?0

iÔ5 70 52, . .

520 .. 4(;d . . 396 .. 101 .. 518 . . 5lo . . 383 ..

97 ., 529 £0 387 .. 9-i . .

395(1 .. i.08 75 86 i . . 345 . .

K'47 50 565 . .

l3o7 .50 6 .5 . . n26 25 44. . .608 7477 50 585 . . 430 .. 240 .. 425 . .

29 50 63» 75 640 . . 800

Comp. fr.-alg.BAneà Guelm.Est algérien..Est.................. nuu . .Lyon.............. 1310 ..Midi................ 1170 . .N ord ............... 1620Orléans 1,327 50Orl.-Cbalons. 545 . .O uest 905 . .Ouest algé r... 555 , , DocksdcMars. 300 . . Magasins gén. 546 25 Aduin. cbim.. 6 5 . . GazComp.par. 1410 . .C. transatlant................Mess, m arit.. 630 . . Omn.deParis. |i6 à Volt, à Paris. 780 .. Gau. • orlutlie 28^ . . Çan. Panama. 287 50 Suez Actions. 2242 50— Délégat. 915 ..— Parisdef 79.S 75— Bons tr. 131 ,.— Soc. civ. 1415 ,.

Tél.Par.àN -Y 142 50 Assur. Hnanc. 31 35 C. géu.d Eaux 1275 . . Gaz central . . 980 .. Buin et pav. b. 460 ,. Etablis.lluvai. 2(45 .. Lits militaires 470 . . Télépliuues... 532 50

19 Octobrs 1888.FONDS d’é t a t É t r a n g e r s , - o b l ig a t . d iv e r s b s .D et.tun.40/0. 500 L 4 0 0 . 520 50Egypt.üaîra.. 402 / 0 ^ 10-«® 1 ( 6 . .— Deiteun. 425 7.5 500 f. 3 0/0. 600 . .— Delie pr. 522 .. — l t ) “ «‘ 1t9 50— Ot).doni. 5i5 .. 500r.4«/,63 520 . .

Italien 5 0 ,'G .. 96 80 5' 0 . .— V. Em. 316 . . a 98 ..

Russe 50/0 62. 103 60 c. 4 0/0 75. 5IÔ 50— 4 0/0 67. 89 0 f. 3 0/0 77. 383 50- 5 O'O 70. 1 '2 .. 'F c. 3 0/0 79. 475 ..— 5 0/07:1. lOo 95 f. 3 0/0 79. 487 ..— 41/20/0; 93 £0 c. 3 0/0 80. 470 . .— 5 0/0 77. 103 10

Dette lur. 4 0/0 15 2ô f. 3 0/0 83. 390 . .B. Ottoiuaue. 53-k 25 f.85.365fD. 469 . .C . fouc. d’Aut. 845 . . 500 . .

— ligyp. 460 . . Est 5 0,/|)........ 613 75540 .. 3 0/0........ 395 . .

G .f. Russe,!'® 3 0/0 n . . . 396 50— 2® 8. 1245 . .

C.mub.Espag. 14b 25 30/0 55. 396 ..S.-Aiit.-Lonio. 231 25 401 . .Mérid ü'Jialic. 785 .. 395 50Nord Espagne. 3 ‘3 75 Méditer. 50/0. 6(7 . .Portugais. . . . 650 .. — 30/0. 399 75Saranossc.. . , 270 .. Midi 3 0 /0 ... . 4>>0 50Tél. du N .. . . 305 .. ... 398 75Lan Panama. 257 .. Nord 3 0 /0 . . . 408 . .

— 3(1/084 tp 1.59 SU Orléans 30/0. 402 50— 40/084 ip 198 .. — 3 0/0 D. 402 ..

— nouv.lOOOf 355 .. 399 50Suez 5 0 /0 ... . •*83 . . 40( 50- 3 0 /0 ... 425 .. 0>iesi30/0uou 399 ..—B. de coup. 92 50 OmuibuB... . . ôi5 75

A n n o n i ’e s J u d i c i a i r e s . ARTtCLl

R ta d a d e M * i V a r c i s s e L i o n e t ,avoué à Senlis,

20, rue de la République, S uccesseur de M** QuérEii, P l a r d

e t A l’i i e r t .

PRR SUITE D'ACCEPTATION BÉNÉFICIAIREE n s i x L o t s ,

d'üne

M A I S O T N TE T D É P E N D A N C E S

ET DE

S Pièces de TerreSituées à UOUyiLLE,

Canton de Crépy-en-Valois.

L'adjudicatmo aura Uau lo D i m a n c h e 184 I V o i 'e m b r e 1H8484,

d deu x heures d u soir,E n la S alle de la M airie de Rouville,

P u r le m inistère de .M* D iet, no- lairo â Crépy-en-V alois,

commis à cet effet.

On fait savoir à tous ceux q u 'il ap p artien d ra :

Qu’en exécution d 'u n jugem ent sur requôlo re n d u par le T ribunal civil de S en lis, io quinze Septem bre mil h u it cen t quatre-v ingt-huit, en re ­g istré ;

Et aux requête, poursu ite e t d ili­gence de :

M adame Sophie-V iclolre Bonnard, TOüve do M. Anselm e-Analolo Déhan, lad ite dam e sans profession, dem eu­ra n t à R ouville ;

« Madame veuve D éhan< agissant au nom e t com m e c donata ire en tou te proprié té< de son défunt m ari, su ivant « acie reçu p a r M* Diet, no- c ta ire à Crépy, le vingt-cinq « Ju in mil h u it cent quatre- « v ing t-hu it, donation qu ’elle t a acceptée soua bénéllce c d 'in v en ta ire seu lem ent, su i-

, X vaut déclaration faite au « Greffe du Tribunal civil de « Sgntii, le treize Septembre

« mil hu it cent q iiatre-v ingt- « liu il, enregistrée ; >

Ayant M* Lionel pour avoué;Il sera, le Dim anche d ix -h u it No­

vembre procha in , à deux hettres du soir, en ht salie de la .Mairie de Rou­ville, p a r le m inistère de M® Diet, no taire à Grèpy-en-Valois, procédé ù la vente p ar adjiidicaliun, en six lots distincts, des Im m eubles don t la dé­signation su it ;

i » K N m i v % T i o i ^DKS BIENS \ VENDRE

Telle q u 'e lle est insérée au cahier des charijes dressé p a r M® D iet, sus-nom m é, le q u in ze Octobre m il h u it cent q u c lre -v in n i-h n it, et déposé a u ram j de ses m inutes, le même jo u r .

P r e m i e r L o t Une MAISO.'V, sise à R ouville, en

la G rande-R ue, consistan t en une pièce â feu, cham bre à côté, cave dessous, g re n ie r au-dessus, couvert en tuiles ; cour avec grange et g re­n ie r au-dessus, couvert en tu ile s ; puits commun avec M. G u illio t; cour e t ja rd in d errière .

Le lout, d 'une contenance d'envi> roii quatre ares soixante centiares, tenant d 'u n côté à la m aison, de M. Guilliot, d 'au tre côté à M.M. G rim - b e r te t G arnolel, d 'un bout à M. Grim- bert, et d 'au tre bout la l uo.

Section D, num éros 463 et 464 du cadastre.

Mi e fi p rix , 300 fr.D e u x iè m e L ot

Six ares cinquante-six centiares do terre, terro ir de R ouville, lieu d it au Chemin de Duvy, ten a n t d 'un côté M. Vaillant, de Soissons, d ’au tre côté M adame de^ Drosle, d 'u n bout la m êm e, e t d 'au tre bout le chem in des M euniers.

Section D, numéros 374 partie du cadastre e t 6 partie du bornage.

M ise à pr ix , 20 fr. T r o is iè m e L ot

Treize ares trente-huit centiares <

de terre , môme terro ir, lieu d it lo Loup Pem lu, tenant d 'u ii côté MM. d o u x , G arnolel et P icard , d 'au tre côté M. V aillant, d 'un bout .Madame de Drosle, et d 'au tre bout M. Coulon.

Section D, num éros 298 pai lle du cadastre et 95 partie du bornage.

M ise ù p rix , 201'r.Q uatrièm e Lot

V ingt-six ares quatre-v ingt-huit centiares de terre , plan tés en bois, m ême terro ir, à la Justice Gillon, tenant d 'un côté la com m une de Rou­ville e t dans la hache M.M. Launé, d a b a iit e t P icard , d 'au tre côté iM. Vaillant, d 'u n boni .M. P icard et le rep résen tan t Goncy. e t d 'au tre bout occident le cliemitiNdo Rouville à Lévignen.

Section B, num éros 303 partie et 304 partie du caduslre, et 283 partie du bornage.

M ise ù p rix , 60 fr.C inqu ièm e Lot

Vingt et un ares soixante-seize centiares de lerre , môme te rro ir, au chem in de Rouville à la Folie ou le Grand- d ie m in , tenan t d 'u n côté M. P icard , d 'au tre côté M. Vaillant, d 'un bout occident M. i ’icard c l le chem in de la Folio, e t d 'au tre bout Madame de Drosle.

Section I), num éros 208 partie et 209 pariio du cadastre, et 230 partie du bornage.

M ise à p rix , CD fr.S ix ièm e L ot

E l vingt-six ares qiialro-vingl- treizo centiares de terre , môme te r­ro ir, à la Justice G illon, ten an t d 'un côté du midi Madame de Drosle, d 'au tre côté M. Vaillant, d 'un bout Fuscien Cloux, e t d 'au tre bout M. La- voisier.

Section D, num éros 292 du ca ­d astre e t 295 partie du bornage.

M ise à p rix , 60 fr.F ait e t réd igé par l'avoué poursu i­

van t, soussigné..Senlis, le 20 Octobre 1888.

Signé : Lio n it . <Et enregistré,

S 'ad resser p o u r les renseignem ents : 1’' A M* LIONET, avoué à Senlis ; 2® A M* DIET, no taire a Crépy ; , 3* E t su r les lieux, à la veuve

DEIIA.V.P our insertion :

_____________ S igné : LlG.NfiT.

A R T . 2 .E tude de M* G e o p g 'e ü ) L e v i o u x ,

licencié en dro it, avoué à Senlis, rue S t- llila ire , n® 10,

Successeur do M” Alluard et Ciialuin.

VENTE SUR UCITATIONAU PLUS- OFFRANT BT DEU.NIKR

ENCHÉRISSEUREn l'E tude e t par le m inistère de

M *B alézbaux, n o ta ire à Ghanlilly, E N H U IT LOTS

Avec fa cu lté de r^Muioii partielle o u lo la le ,

01

Huit Pièces de liaisSituées sur le te rr ito ire de GOUVIEUX

( O i s e ) .

L'adjudication aura lieu le S a m e d i d i x - s e p t iV o v e m b p e 1 H H 8 ,

à deux heures de relevée.

On fait savoir à tous ceux riu'il ap­p artien d ra :

Qu'en exécution d 'u n jugem ent con- traitictoirem eiil rendu en tre les p ar­ties y dénom m és, p a r le Tribunal civil do Senlis, le p rem ie r Septem bre mil h u it cent quatre -v ing t-hu it, enregis­tré e tflign ilié ;

E t aux requête, poursuite e t d ili­gence de ;

Madame Joachim e-Joséphino-Pau- line Leduc, sans profession, dem eu­ra n t à Gouvioux, veuve de M. Julos- Viclor-lsidore Leclerc;

Ajranl pour avoué constitué prés le tribunal civil de Senlis, M< Georges Levieux, dem euran t à Senlis, rue S a in t-llila ire , num éro 10 ;

En présence d e :M. Louis-Céleslin Leduc, employé,

dem eurant à Sainê-L eu-d 'E sserent, c Au nom et comme tuieitr

< natu re l e t légal de Cécile- « L o u ise-Joséph ine Leduc et< Léontine-Joachime*Victorine «. Leduc, ses deux enfants m t- « neures, issues de son m a- « riage avec Madame Léon- « tine-F rançoise Leclerc, sa « défunte épouse; >

Ayant pour avoué constitué M* Sain te-B euve,dem euran tù Senlis, ru e de la R épublique, num éro 17 ;

E t encore en présence de :M. Elle Méry, cu ltivateur, dem eu­

ra n t à Boran,c A unom etcom m esiibrogé-

« tu teu r ad hoc des m ineures< Leduc sus-nom m ées; »

Il sera procédé, le S a r n e c l i d i x - s e p t N o v e m b r e m i l h u i t c e n t q u a t r e v i n g t h u i t , fi d e u x h e u r e s d e l 'e l e v é e , en l'E tude et par le m inistère do M* Ba- lézeaux, n o ta ire à Chantilly, à la vente su r licitation, au plus elTrant e t d e r­n ie r enchérisseur, en hu it lots, avec faculté do réunion partielle ou to tale des immeubles dont la désignation su it ; : I

D E S I G n i A T I O . ^ET

M I S E » A p m x .DOIS. — T erro ir de G ouvieux.

P rem ie r Lot.Vingt e t un ares trente-cinq cen­

tiares, lieu d it au Chemin des Vaches, tenan t des deux côtés e t d 'u n bout La N ationale, e t d ’au tre bout le Che­m in des Vaches.

Section D, n, 52.M ise à p rix , 500 f r .

D cukièm e Lot^Q uatre ares vingt-sep t cen tiares,

lieu d it la Remise de la Hutlelette, ten an t d ’un côté e t dos deux bouts La N ationale, e t d ’au tre côté Verso-

^ Section D. n . 289 p.M ise ù p r ix , 100 fr.

T ro isièm e Lot.Quatorze ares quatre-vingt-quinze

centiares, lieu dit le Chemin des Ai­

gles , tenan t d ’un côté p lu s ie u rs , d 'a u tre côté La N a tiona le, d ’un bout le chem in et M. Cézilly, e t d ’au iio bout La N ationale.

Section D, num éros 15 e t 16 partie .M ise à p r ix , 400 fr.

Q uatrièm e Lot.Neuf ares vingt-irois cen tiares, lieu

d it la P ie rre aux Loups, tenan t des deux côtés e t d 'u n bout La N ationale, d 'au tre bout la Remise.

Section D, num éro 440.M ise ù p rix , 250 fr.

C inqu ièm e Lot.Dix-sept ares neuf centiares, lieu

d it les Algies ou la Haie Adenet, te­n a n t de deux côtés e t d ’un bout La N ationale, et d 'au tre bout lo Chemin des Aigles.

Section D, num éros 517, 517 bis et 517 ter.

M ise ù p rix , 500 fr.S ix ièm e Lot

Quatorze ares vingt-deux centiares, lieu d it le Chemin dos Vaches, tenan t do toutes parts à La N ationàle.

Section D, num éro 1180 ter.M ise ù p rix , 400 fr.

Sep tièm e L otQ uarante-deux ares soixante-qua­

torze centiares, lieu d it à la Bulte- lette , ten a n t dos deux côtés e t d 'un bout La N ationale, e t d 'au tre bout le Chemin du Mont de Pô.

Section E , num éros 1504, 1505, 1606 e t 1507.

M ise à p rix , d,000 fr.H uitièm e Lot.

Dix ares v ingt-quatre centiares, lieu d it En Haut des Aigles au Pays d 'E n H aut, tenan t d ’un côté M. Cô- zilly, d 'au tre côté e t d ’un bout LaN a- lio n a te , et d 'au tre bout lo Chemin des Aigles.

SeclTen D, num éro 784.M ise 6 p rix , BOO fr.

F att e t rédigé p a r l ’avoué poursu i­v an t soussigné,

A Senlis, te 20 Octobre 1888.Signé : G. LEVIEUX*

Et enregistré.

S'adresser p o u r les renseignem ents t •1° A M* LEVIEUX, avoué à S en lis,

poursu ivan t la re n te ;2* A M* SAI.VTE-BEUVE, avoué,

p résen t à la vente ;3’ A M® BALEZEAUX, n o ta ire à

Chantilly , dépositaire du ca h ie r dos charges.

P our insortioh : _____________S ig n é : G. LEVtEUX.

Art. 3.Etude de M* G e o r g ; c 8 L e v i e u x ,

licencié en dro it, avoué à Senlis, ru e Saiiit-H ila iro . n® 10,

Successeur de M®‘ Alluard e t Cualhin

■ W * > 3 I W T T f M SUiTF 01 SURINCHÉH DU DIXIÈME

En l’audience des criées du T ribunal civil fie nrom iére instance do S en­lis (O ise), au palais de justice, rue de la République,

E N UN SEUL LOTDK 1® UN

Grand Jardin MaraîclierBT

M A l S œ D ’H A B I T A T I O NSis nu ham eau d ’AMBLAINCOURT,

comijjuno do Chambly (O ise),

5 ares 50 cent, de TerreSis mémo terro ir,

lieu d it la Fontaine d 'A m b la in co u rt.

L’adjudicution au ra lieu le M u r d l V ing}( N o v e m b r e

heure fie m id i

On fait savoir à tous ceux qu ’il ap p artien d ra :

Qu’en exécution d 'u n jugem ent rendu par défaut p ar le T ribunal civil de Senlis, le quinze septem bre m il hu it cent quntru-v iogl-huit, en­reg istré e t signillé.

E tau x requêtes,poursu ites e td i l b goQces do :

M. Leuis-Ambroise-Donis H uron , cu ltivateur, dem eurant à Am blain* court, com m une do Chambly.

Surenchérisseur,

Page 3: COURRIER DE L’OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1887-1888/bms_js_1888_10_21_MRC.pdf · & la consommation sous le nom de vin », après ces intéressants préliminaires,

i m u M A V n m p » .

Avant pour L ovieux, dem eu ran t t S en lis , ru s S ain t-H ilaire , num éro 40.

E n présence où eux dûm ent appelés d e :

t** M. Auguste G abier, m écanicien, dem eu ran t ù P an tin (S ein e) , ru e des fiourdonnes, num éro 3.

A cquéreur surenchéri.2* M. C liarles-A uguste G érard ,

ja rd in ie r , dem euran t ci-devant à Am- b la incourt, çom raune de Cliamblv, puis aux P rés Sain l-G ervais (S e in e^ G rande-tlue , num éro 68, e t actuelle­m en t sans dom icile ni résidence con­nus.

P récédent proprié taire.11 sera procédé, le i la rd i v ingt

novem bre m il h u i t c e n tq m lre -v in g t- h u it , d m id i, en l’audience des criées du T ribual civil de S en lis, séan t au Putuis de Justice, ru e d e la Uépu- b lique, en un seul lot, A la vente aux encliéres publiques, nu p lus oITrunt e t d e rn ie r enchérisseu r ' des im meu­bles dont la désignation su it :

fe f r l t :» « l4 .in i% T 1 0 I V1» U n g rand jard in m araîcher,

p lan té d 'env iron trois cents arbres fru itie rs e t traversé de nom breuses conduites d’eau , avec bassins en p ierre p o u r l’arrosage, situé au liameau d ’Am blaincourl, com m une de Cliam- bly, su r le chem in conduisant aux Vasseaux.

A l'en tré e du ja rd in , MAISON d’habitation composée de deux pièces au rez-de-chaussée, g ren ie r au-uéssus couvert en tuiles.

fiùlim ent. y attenan t, égalem ent couvert en tu iles e f com prenant ; hangar, écurie e t toit A porcs, cave dessous, basse-cour A cOté.

Le tout en tou ré de liaies vives et com prenniit, y com pris l’emplacem ent des üAUments, quatre-vingt-deux ares ving t-quatre centiares, .tenant d ’un côté A M. G abriel Michel, e t p a r hache A M. te baron de Gamont, d ’au tre côté au chem in de Chambly A l’Isle-Adam, d ’un bout au chem in des Vasseaux, e t d ’au tre bout A M. de Camont.

Portés au cadastre, section G, ou- m éros42a , 126 et 427.

80 El cinq ares c inquante centiares de te rre , plan tés de peupliers, situés au te rro ir de Ghumbly, lieu d it la F oola ine d ’A niblaincourt, tenan t d 'un côté M. de Camont, d ’a u tre célé M. Gabriel Micliel, d ’un bout, par en liaut, A M. B ourdon, et d ’au tre bout, p a r en bas, le chem in.

c Ces immeubles on t été ven-< dus p a r M G érard à M. Ga- « h ier, su ivant contra t passé « devan t Ciiennin, no taire A € Chambly, le vingt-neuf octobre< mil h u it cent quatre-^vingt-sept, c m oyennant le prix principal de « q u atre m ille francs. »

m n r . a p k i xO utre les charges, clauses e t con­

ditions contenues au con tra t de vente sus-énoncé e t déposé au g teiïe du T ribuna l, los enchères seron t reçues su r la m ise A prix s’é levant avec la somme de q u atre cenis francs, m on­tan t de la su renchère, A qu a tre m ille q u a tre cents francs, ci 4 ) 4 0 0 ii>.

F a it e t réd igé p a r l'avoué poursu i­v an t soussigné.

A Senlis, le v ingt octobre mil huit cen t quatre-v ingt-huit.

S igné ; G. L evieux.E t en reg istré .

S'adresser p o u r les renseignem ents :4“ A M® LEVIEUX, avoué A Senlis,

poursu ivant la vente;A® E t au GrelTe du T ribunal civil

de prem ière instance d e S en lis, où le cahier des charges est déposé.

P our insertion :S igné : G. LEVIEUX.

A r t. A. (N *48).Elude de M® G e o r g e s L e v i e u x ,

licencié en dro it, avoué a S enlis, ru e S a in t-H iia ire , n° 40 ,

SuccesBQur de M** Alluakd et Cualhin.

La 3Vat/ionale-’Vi©C’** d’Assuratices s u r la Vie,

FO N D S D E G AR AN TIE 2 5 3 , 0 0 0 , 0 0 0Siège social d P A R IS , rue de Grawmont

et rue du Quatre Septembre, n® 18.H . M a u o n , agent général, A S enlis.

PUKGK LÉGALES uivant exploit de Ilèm et, hu issier

A Chantilly , en date du v ingt Octo­b re mil h u it cent quatre -v ing t hu it, en reg istré ;

Notilication a été faite A M. le P rocureu r de la U épublique près le T ribunal civil de S eplis, on son p ar­quet, au P ala is-de -justice de ladite v ille ;

A la requête de La N ationale, Com­pagnie d ’Assurancos su r la Vie, dont le siège est A P aris, ru e de Graiiimont et ru e du Q uatre-Septem bre, num éro 48, ladite Compognie autorisée p ar ordonnances en dates des v ingt-tro is mai mil h u it cen t tren te , vingt août m il hu it cen t tren te -h u it e t prem ier août m il h u it cent quan in te e t un ;

poursu ites e t diligences do M. le comte Frédéric-A lexis-Louis P ille t- W ill, p rop rié taire , dem eurant A P aris, ru e Monceau, num éro 55, e t M. Geor­ges G rim prel, d iiec leu r honora ire de la Dette inscrite au M inistère dos linances,.o incier de la Légion d 'h o n ­neu r, dem eurant A P aris, ru e de R i­voli, num éro 486;

« M. le com te P illet-W ill, en qua­lité de P résident du Conseil d 'A dm i- n istralion do La N ationale- Vie, et M. Gi'im prel, com m ^ D irecteur de la­dite Compagnie; >

P o u r laquelle dom icile e s t élu A S en lis, ru e Sain t-H ila ire , num éro 40, en l ’étude d e M* G. Levieux, avoué, lequel es t constitué e t occupera pour 'eux su r lad ite notilication e t ses su ites;

De l ’expédition, dûm ent en forme, d ’un dcte fa it au grelfe du trib u ­nal civil de Senlis, le vingt-cinq Sep­tem bre m il h u it cent quatre-v ing t- hu it, enregistré , conslalanl le dcpOt fait audit grelVe, led it j o u r , par M® Georges Levieux, avoué, de la copie dûm ent tim brée, collallonnée, signée e t enregistrée ,

De deux actes reçus p ar M® Balé- zeaux, noiairoA Chantilly, le vingt-un A vril mil h u it cent quatre-v ingt-huit, en ieg istrés.

Le prem ier contenant vente au pro­fit do la Société d ’Ëncouragem ont pour l'am élioration dos races de che­vaux en F rance, dont le siège est A P aris , ru e Scribe, num éro 1 bis, par mademoiselle Augustine-U osalie-Clô- mence P illieux , prop rié ta ire , dem eu­ra n t A C hanllllyi au profit d e la So­

ciété d ’E ncouragem ent pour l ’am élio­ra tio n des races d e chevaux en F ran c e , don t le siège est A Parib, rue Scribe, num éro 4 b ii, de :

D lx-sept ares qualre -v lng t-hu lt cen tiares de bois, sis te rro ir de G ou-' v ieux, Ijeu d it ta Haie Adenet, tenan t d ’un cété Cézilly, d ’au tre cûtô La Na­tiona le , d ’un bout Cézilly, e t d ’au tre bout La N a tiona le ;

Section D, n® 6 ;E t ce m oyennant, ou tre les charges,

le prix principal d e s ix cent q u a tre- v in g t-tro is francs v in g t cen tim es;

L e second contenant déclara tion do com m and, des immeubles sus-dé- signés, p u r la Société d 'Ë ncourage- m en i pour l ’am élioration des races de chevaux en F rance, au profit de la Compagnie La N a tionale- Vie, requé­ra n te ;

Avec déclara tion A M. le P rocu­re u r de la République :

1“ Que ta p résente notification lui é ta it ainsi faite , conform ém ent A l'a rtic le 8494 du Code civil, po u rq u ’il a il A p ren d re , dans le délai de deux m o is , A p a r tir do ce j o u r , telles Inscriptions d 'hypothèques légales q u ’il av iserait, e t que faute p a r lui de ce fa ire , d an s led it délai e t icelui passé, les im m eubles dont s 'ag it passeront e t dem eureront en tre les m ains de la Compagnie La N a tionale, francs e t quittes de toutes dettes et charges hypothécaires de cette n a ­tu re non in scrites;

8* Que les anciens proprié taires, on tre les vendeurs, éta ien t :

Palm yre-Julia-N oèm ie Bordel ;F rédéric B ordel fils:R osalie Mommelé, épouse de Fré­

d éric Bordel ;G eneviève-H onorineM auger, veuve

en prem ières noces de P ie rre Chré­tien , e t épouse en deuxièm es noces de F rançois Mommelé ;

Jacques-H enri M anger;3* E t que tous ceux du chef des­

quels il p o u rra it être pris inscription d 'hypothèque légale n ’é ta n t pas con­nus de la requéran te, e lle fe ra it pu­b lier lad ite notification dans un jo u rn a l d ’annonces jud ic ia ires, con­form ém ent A la loi.

P our ex tra it : ___________ S igné : G. LKVIEUX.

connus de la reqttt^rante, e lle ferait t 'oublier lad ite noiiûçaUon dans up jo u rn a l d ’annonces jud iciaires, con­form ém ent A la loi.

P our ex tra it :S igné : G. LKVIEUX.

A r t . 5. (N® 20XE lude de M® G e o r g e s L c v i e u x )

avoué A S en tis, rue S t H ilaire , num éro 40.

La. JVat.ionale-'V'ieC'® d 'Jss itru n ccs su r la Vie,

FO N D S DE GAR AN TIE 253,000,000Siège social à P A R IS , rue de Grammont

et rue du Quatre-Septembre, n “ 18,M. Mahon, agpiit généi-al, A S e n u s .

1*11 K G i i : L f i . G t L i j :

S uivant exploit de Ilém et, hu issier A Chantilly, en date du v ingt Octobre mil hu it cent quatie-v ing l-hu it, eu - reg islré ;

A la requête de La Nationale, Compagnie d ’Assuraiices su r la Vio, dont le siège est à P aris, ru e de G ram m ont e t rue du Qiiutre-Seplem - b re , num éro 48, lad ite Compagnie au torisée p ar ordonnances en dates des v ingt-tro is mai mil h u it cent tren te , vingt août mil h iiilc en l trente h u it e t p rem ie r août m il h u it cent quaranle-u ii ;

Notification a été faite A M. le P ro ­cu reu r de la R épublique, près le T ribunal civil de S enlis, en son par­quet, au Palais-de-Justice de ladite v ille ;

Poursu ites e t diligences de M. le comte F rédôric -A lex is-L ou is P illet- W ill, p roprié taire , dem eurant A P an s , rue Monceau, n® 55, e t M. Georges G rim prel, D irecteur honora ire de la Dette inscrite au M inistère des finan­ces, ollicier de lu Légion d 'h o n n eu r, dem eurant A P aris, rue de Rivoli, num éro 486 ;

« M. le comte Pillet-W ill, en qua­lité de P rés id en t du Conseil d ’Admi- n istration de La N a tio n a le -V ie , e t M. G rim p re l, comme D irecteur de lad ite Compagnie; »

De l’expédition, dûm ent on forme, d 'u n acte dressé au Greffe du T ribu­nal civil de Senlis, le vingt-six Sep­tem bre m il h u it cent quatre -v ing t- h u it, enreg istré , conslatan t le dépôt fa it aud it GrelTo, ledit jo u r , p ar M* Levieux, avoué, de la copie dû­m ent tim brée, collalionnéo, signée et en reg is trée ;

De deux actes passés devant M® Ba- lèzeaux, no ta ire A Chantilly , le vingt- hu it Avril m il hu it cent quatre-v ingt- h u it, en reg is trés ;

Le prem ier contenant ven te nu profit de la Société d ’Encouragem ent pour l’am élioration des races de che­vaux en F rance , dont le siège est A

. P aris, rue Scribe, num éro 4 bis, par M. F o rd in an d -Is id o re -V ic to r Tho- m assin, p rop rié ta ire , dem eurant A Gouvioux (O ise), de l'im m euble ci- ap rès désigné :

Neuf ares v ingt e t un cen tia res de bois, lieu d it le Mont de Pô ou la P ie rre aux Loups, tenan t d 'u n côté La N ationale, d ’au tre côté Georges D ellcau, d ’un bout te chem in des Vaches, e t d 'a u tre bout la route des Houys.

Section D, num éro 4,496.E t ce m oyennant, ou tre les charges,

le prix principal de tro is cen lso ixante- h u i t francs q u a ra n ie-s ixc en tim es;

Le second, con tenan t déclaration de com m and, des im meubles ci-des­sus, pur la Société d ’Ëncouragem ent pour l’um éliorution des races de che­vaux en F rance , nu profit do la C oq- pagnie La N a tio n a le -V ie , requé­ra n te ;

Avec déclara tion A M. le P rocureu r de la République :

4® Que lad ite notification lu i é ta it a insi faite, conform ém ent A l’artic le 2494 du Code civil, afin qu ’il a it A prendre, d an s le délai d e deux m ois, A p artir de ce jo u r, telles inscriptions d 'hypothèques légales qu 'il aviserait, e t que faute p a r lui de ce fa ite dans led it délai e t icelui passé, les immeu­bles dont s’ag it passeront e t dem eu­re ron t en tre les m ains do la t]ompa- gnie l a yVattonafc, francs e t quittes de toutes dettes e t charges hypothé­caires non Inscrites;

8* Que les anciens propriétaires, ou tre les vendeurs, sont :

Geneviève-Rrigilte Masson, veuve en prem ières noces de llenri-EIol Thom assin, e t on deuxièm es noces de P ie rre C hrétien ;

Indiv ision d ’entre lad iledam eveuve ChréliôD e t Jean-Louis Masson ;

3* Et que tous ceux du chef dos-

3uols il pourra it ê tre pris inscription ’liypothèquo légale n ’é ta n t pas

A r t . 6 . (N- 84)E tude de G e o p ^ s L e v ie u a C )

licencié en dro it, avoué A Senlis, ru e S ain t-H ilaire , n* 4 0 .

Lex National©-Vi©C‘® d'Assurances s u r i a Vie,

FO N D S D E G ARAN TIE 2 5 3 , 0 0 0 0 0 0Siège social û P A R IS , rue de Grammont

et rue du Quatre Septembre, »* 18.M. M a u o n , agen t général, A Senlis.

PURGE LÉGtHSS uivant exploit de H ém et, hu issier

A Chantilly , en date du vingt Octo­b re m il hu it cent quâtro-v ingt-huit, en reg is tré ;

Notification a été faite A Monsieur le P rocureu r de la République, près le tribunal civil de Senlis, en son larquet, sis au P alais de Justice de ad ite ville ;

A la requête de La N ationale, Com- lagnie d 'A ssurances su r lu Vie, dont e siège es t APuris, ru e d e Gram mont,

e t rue du Q uatre-Septem bre, nu ­m éro 48, ladite Compagnie autorisée )ur ordonnances en dates des vingt rois mai mil hu it cent tren te , vingt

aoû t mil h u it cent tren te -h u it e t p re­m ie r août m il hu it cent quaran te et

I ;P oursuites e t diligences de M. le

com te Frédéric-A lexis-Louis P ille t- W ill, p rop rié taire , dem eurant A P aris, ru e Monceau, num éro 55, e t M. Geor- ;es G rim prel, d irec teu r honora ire de ' a D ette inscrite au m inistère des

finances, officier de la Légion d ’hon­neu r, dem eurant A P aris, ru e de Ri­voli, num éro 486 ;

« M. le comte P illet-W jll en qua­lité de P résid en t du Conseil d ’Admi- n is tra lion de La N ationale-V ie, et M. Grim prel comme D irecteur de la­d ite Compagnie ; »

P o u r laquelle domicile est élu A S enlis, rue S ain t-H ilaire , n® 40, en l ’élude de M® Georges Levieux, avoué, lequel est constitué et occupera pour elle su r lad ite notification e t ses su ites;

De l’expédition dûm ent en forme d ’un acte fait au GrelTe J u Tribunal civil de Senlis, le vingt-six Sep­tem bre m il h u it cent quatre-vingt- hu it, enregistré , ronslatan t te dépôt fait au d it Greffe, ledit jo u r , par M® 6 . Levieux, avoué, do la copie dûm en t tim brée, signée e t enregis­trée.

Do deux actes passés devant M* Ba- lézeaux, no taire a C haritilly,'le vingt- h u it avril mit hu it cent quatre-v ing t- h u it, enregistrés.

Le p rem ier conte nan t ven te au profit de la Société d ’encouragem ent pour l’am élioration des races de che­vaux en F rance, dont le siège est A P aris, ru e Scribe, num éro 4 bis, par M. Louis-Marie Foyen, ancien cu ltivateur, et dam e G enneviève-A n- toinctie Gesseaiime, son épou.se, de­m euran t ensem ble à Gouvieux, des im m eublds ci après désignés, sis te r­ro ir de Gouvieux :■

I® Douze ares quatre-vingt-deux centiares de bois, lieu d it la P laine des Aigles, tenan t des deux côtés et d ’un bout A La N ationale, d 'au tre bout A Mommelé, Auguste.

Section D, num éro 846.8® Dix-sept ares hu it cen tiares do

bois, lieu d it la Remise de la T uilerie , ten an t d ’un côté M. Delattrc, d ’au tre côté La N ationale, d 'un bout le che­m in des Aigles, e t d 'au tre bout L au­re n t Delangue.

Section D, num éro 800.3® Quatre ares viugt-sepl cen tiares

de bois, lieu d it la Haie Adenet, te­n a n t de toutes p arts à L aurent De- langue.

Section D, num éro 804.4® Cinq ares tren te -tro is centiares

de bois, lieu d it le Cbémtn des Va­ches, ten an t d 'u n côté Q uinepeut- Boussard, d ’au tre côté veuve Tho­m assin, Edouard, d ’un bout Dela- molte Potdevin, e t d ’au tre bout Dei- p ierre, Modeste.

Section D, num éro 843 p.5® T ren te-hu it ares tren te-quatre

centiares de bois, m êm e lieu d it, te­n a n t d 'un côté Jean n e R avier e t Ver- scpuy, d ’au tre côté Varillon e t Dela- taille , d ’un bout le chem in du Mont de Pô, e t d ’au tre bout La Nationale.

Section D, num éros 46 e t 47.Et ce moyennant, ou tre les charges,

le prix principal de ^rots m ille cent tre ize francs so ixante centim es.

L e second contenant déclaration de command des Im m eubles sus- dcsignés. par la Société d ’encourage­m en t pour l’am élioration des races de chevaux en F rance, au profit do la Compagnie 7.0 N atîonale-V ie, re- quéranie ;

D éclarant en outre A M. le Procu­re u r de la R épublique :

4® Que ladite notification lui était a insi faite, conform ém ent A l ’artic le 8494 du Code civil, afin qu ’il a il à p rendre dans le délai de deux mois, a partir de ce jo u r, telles inscriptions d ’hypothèques légales qu 'il av isera it, e t que faute p ar lui de ce fa ire dans led it délai e t icelui passé, les im m eu­bles dont s'agit passeront e t dem eu­re ron t en tre les mains de la Compagnie La Nationale, francs e t quittes de toutes dettes e t charges hypothécaires do cette na tu re , non in scrites ;

8* Que les anciens proprié taires, ou tre les vendeurs, sont :

P our l ’artic le 4®' :Indivision d ’e n tre la dam e Foyen,

venderesse , Louls H enry Gesseauroe e t A délaïde-Oeneviève Gesseaum e, épouse do Jacques-N icolas-Eugène B rio lat;

Henry Gesseaume e t Adélaïde-So- p hie M ennessier, son épouse;

Henry Gesseaume père e t Elisabeth D rèbaut, son épouse.

Pour l'article 8 :Palm yro Julia-Noémie B ordel; F réd éric liurdel;Rosidie Mummelé, épouse de F ré­

déric Bordel p è re ;G eneviève-HonorineM auger) veuve

en prem ières noces de P ie rre C hré­tien , e t en deuxièmes noces de F ra n ­çois Mommelé, e t Jacques-H enri Mauger.

P our l ’artic le 3 :Félix Gesseaume;Les époux Oesseaume-Brébaot) sus­

nommés.P our l’artic le 4 :Indivision d 'en tre L ou is-M arie

Foyen, vendeur, e t au tre s ;

A ntoine Foyen e t Elisabeth Foyen, son épouse ;

Paul-Dum as W atel e t A délaïde- V ictoire Foyen, son épouse.

P o u r partie de l’artic le 5 :Indivision d ’en tre Marie-Ellsabeth-

R osalie Foyen, veuve de Antoine Foyen, le vendeur, e t au tres;

Les époux Antoine Foyen ;Nicolas Foyen e t G eneviève Tesson,

son épouse.P o u r au tre partie de l ’artic le 5 :François-Viclor Q uinepeul;M arie Tesson, épouse de François-

P ie rre Quinepeul;Indivision d ’en tre la dam e Q uine­

peul etGenoviève-M arieTesson, veuve d e A lexandre-Ferdinund P o tdevin ;

Alarie Foyen, veuve de François Tesson.

’ Et que tous ceux du chef desquels il pourrait ê tre requis inscription d ’hypothèque légnlo, tr’é tan t pas con­nue de la rei]uérante, elle ferait pub lier ladite notification dans un jo u rn al d ’annonces jud iciaires confor­m ém ent A 1a loi.

P our insertion :.Signé : G. f.EVIEUX.

Abt. 7 . (N“ 82)Etude de M® G . L e v i e u x ) licencié

en dro it, avoué A Senlis,ru e S a in t-H ilaire, num éro 40.

La Natioacxale-Vi©C‘® d’Assurances su r la Vie,

FONDS DE GARANTIE 253,000,000Siège social à PARIS, rue de Grammont

'■ rUe du Quatre Septembre, n® 18.M . M a u o n , agent général, A Senlis.

P Ü R G E J L É G A L E

S uivan t exploit de Hémet, huissier A C hantilly, en date du vingt Octobre m il h u it cent quaire -v ing t-hu it, en ­re g is tré ;

Notification a été faite A M onsieur le P rocureu r do la République, près le T ribunal civil de Senlis, en son p arq u et, sis au Palais de Justice de lad ite ville;

A la requête do l a N attoua/e, Com­pagnie d'A ssuranccs su r la Vie, dont le siège e s ta P aris, ruedeC 'ram m ont, et rue du Q uatie-Sepiem bre, nu ­m éro 48, lad ite Compagnie autorisée p a r ordonnances en dates dos vingt- trois mai mil hu it cent tren te , vingt août m it h u it cen t tren te -h u it et p re ­m ier aoû t mi) hu it cent quarante et u u ;

P oursuites c l diligences de M. le com te F rédéric-A lex is-L ou is P ille t- W ill, propriétaire, dem eurant A P aris, ru e Monceau, num éro 55, e t .M. Geor­ges G rim prel, D irecteur honoiaire de lu Dette inscrite au M inistère des finances, officier de la Légion d 'hon­n eu r, dem eurant A P aris, rue de Ri­voli, numci'o 486;

« .M. le comte P illet-W ill en qua­lité de Président du Conseil d'Adm i- nistration de La N utionale-V ie, et M. G rim piel, comme D irecteur de la­dite Compagnie ; >

P o u r laquelle dom icile est élu A S en tis, ru e Sain t H ilaire , num éro 40, en l’étude de M® Georges Levieux, avoué, lequel est constitué et occupera pour elle sur ladite notification e t ses su ites;

De l’e.xpédilion dûm en t en forme d ’un acte fait au Grelfe du Tribunal civil de Sentis, le vingt-sept Sep­tem bre mil hu it cent quulre-v ingl- h iiit, en ieg islre , constatant le dépôt fuit aud it G relfe, ledit jou r, par M® G. Levieux, avoué , de la copie dûm en t timbi’ée, signée e t enregis­trée ;

Do deux actes reçus par M® Balé- zeaux, no taire a C hantilly, le vingt- h u it Avril mil hu it cen t quatre-vingi* h u it, en reg istrés;

Le prem ier con tenan t v en te , nu profit de lu Société d 'Encouragem ent pour l'am élioration des races de che­vaux en F rance, don t le siège est A P aris , ru e Scrihe, num éro 4 bis, par Madame Adèle Eugénie R avier, ren- liè ie , dem eurant a Gouvieux, veuve de M. François-Victor T hévenin, do tren te -q u atre ares d ix-neuf centiares de bois, terro ir de Gouvieux, lieu dit P roche la Rem ise des Thom assins, ten an t d ’un côté A M. .Napoléon Pol- d cv in , d ’un bout la Remise.des Tho­m assins, d ’au tre côté c l d 'au tre bout La N ationale ;

Section D, num éro 4066 ;E t ce m oyennant outre les charges

le p rix principal do m ille tro is cent so ixante-sept francs soixante ceiir- tim es;

Le second contenant déclaration de com m and, des Im m eubles sus- désignés, par la Société d ’Encourage- m ent pour l’am élioration dos races de chevaux en F rance, au profit de la Compagnie La N ationale- Vie, requé­ra n te ;

Avec déclaration A M. le P rocureu r do la R épublique :

4® Que ladite notification lu i éta it a insi faite, conform ém ent A l’artic le 2494 du Code civil afin qu’il a it A pre n d re dans le délai de deux m ois, à p a r tir de ce jo u r, toiles inscriptions d ’Iiypolhèques légales qu’il av ise­ra it, e t que faute p ar lui de ce fa ire d ans led it délai e t icelui passé, les im m eubles dont s’agit passeront e t dem eureront e n tre les m ains de la Compagnie La N àtionale, francs et quittes de toutes dettes e t charges hypothécaires de cette nature , non inscrites ;

8® Que les anciens propriétaires, ou tre les vendeurs, sont ;

Elisabeth-Aglnë Leclère, épouse de M. Jacques-Prançois R avier;

Claude Leclère e t Elisabeth Tesson, son épouse;

Indivision d ’e n tre la dame Leclère e t H enri Tesson ;

H enri Tesson (prem ier du nom ) et Elisabeth Leclère, son épouse;

3® Et que tous ceux du chef des-

3unis il pourrait ê tre pris inscription 'hypothèque légale n 'étàiit pus con­

nus de la requéran te , elle ferait pu­b lier ladite notification dans un jour­nal d ’annonces jud iciaires, conform é­m ent A la lui.

P o u r I n s e r t i o n ,S igné ; G. LKVIEUX.

P U n O E L É f l A l i ESuivan t exploit de Hémet. hu iss ie r

A Chantilly , en date du vingt Oc­tobre mil h u it cen t quatre-v ingt-huit, en reg istré ; \

Notification a été faite à M. le Pi'ocureur de la République près le T ribunal civil de S en lis, en son par­quet, au P ala is-de -Justice de lad ite ville ;

A la requête de La Nationale, Com­pagnie d ’Assurances su r la Vie, dont le siège es t A P aris , ru e de G ram m ont et rue du Q uatre-Septem bre, num éro 48, lad ite Compagnie autorisée par o rdonnances on dates des vlngl-ti’ois mai m il h u it cent tren te , vingt août m il hu it cent tren te -h u it e t p rem ie r août m il hu it cent q u aran te e t un ;

Poursuites e t diligences de M. le comte Frédéric-A lexis-Louis P ille t- W ill, p roprié taire , dem euran t A P aris , rue Monceau, num éro 55, e t .M. Geor­ges G rim prel, D irecteur honora ire de la Dette inscrite au M inistère dos finances, olflcier de la Légion d'Iion- n e u r , dem eurant A P a r is , ru e de Rivoli, num éro 486;

c M. le comte P illet-W ill, en qua­lité de P résid en t du Conseil d'Adm i- n istralion de La N a tio n a le - Vie, e t M. G rim prel, comme D irecteur de la­d ite Compagnie; »

i*our laquelle dom icile e.st élu A Senlis, rue S ain t-H ilaire , num éro 40, en l’élude do M® G. Levieux, avoué, lequel est constitué et occupera pour eux su r ladite notiiicaliou et ses su ites;

De l’expédition, dûm en t en forme, d ’un acte fuit au greffe du tribunal civil de S en lis, J e vingt-sept Sep­tem bre mil hu it cen t quatio vingt- hu it, enreg istré , constatan t le dépôt fait aud it grelfe, led it jo u r, p a r M® Georges Levieux, avoué, de la copie dûm en t tim brée, collallonnée, signée et enregistrée ;

De deux actes reçus par M® Balé- zeaux, no taire A Chantilly , le v ingt- huit av ril mil huit cen t quatre-vingt- hu it, en reg istrés;

Le prem ier contenant vente au p ro­fit do la Société d ’Encouragem ent pour l'am élioration dos races do che­vaux en France, don t le siège est A P aris, ru e Scribe, num éro 4 bis, par M François-D ésiré Largier, m écani­cien , e t Madame R osalie-P élag ie C handellier, son épouse, de lui auto­risée, dem eurant ensem ble A Gou­vieux;

De h u it arcs cinquante-quatre ce n ­tiares de bois, te rro ir de Gouvieux, lieu d it le Chemin des Vaches, ten a n t d ’un côté veuve Rosine Nicolas, d ’au ­tre côté Victor Caye, d 'u n bout H enri Letellier, e t d 'au lre bout le Chem in des Vuclies.

Section D, n . 205 partie .E t ce m oyennant ou tre les charges

le prix principal de tro is cent q u a ­rante et u n francs so ixànte cen­tim es.

Le second contenant déclaration de com m and,desim m eublessus-désignés, par la Société d ’Encouragem ent pour l'am élioration dos races de chevaux en F rance, au profit de la Compagnie La N utionale-V ie, requéran te;

Avec déclaration à M onsieur le P rocureu r de la R épublique:

4‘ Que ladite notification lui é ta it ainsi faite, conform ém ent A l'article

'2194 du Code civil, afin qu’il a il A prendre, dans le délai do deux mois, a partir de ce jou r, lelles inscriptions d 'hypothèques légales (|u 'il av iserait, e t que faute par lui de ce faire dans ledit délai et icelui passé, les im m eu­bles dont s’agit passeront e t dem eu­re ron t en tre les m ains de la Compa­gnie La N ationale, francs et quittes de toutes dettes et charges hypothé­caires non inscrites;

2* Que les anciens proprié taires, ou tre les vendeurs, éta ien t :

Claude-François C handellier ;Communauté d ’e n tre Victor F eu il­

lette et dam e Héloïse-Désirée Im berl;Lôuis-A uguste-Sim on W acheux ;Cécile—Louise—A nu'tasie Ballon,

veuve en prem ières noces do S im on W acheux, et épouse en deuxièm es noces de jean-A lexis Donillot;

Les époux Simon W acheux-Ballon;3° E t que tous ceux du chef des­

quels il pourrait ê tre pris inscription d ’hypothèque légale n ’é ta n t pas con­nus de la requéran te, elle ferait pu­blier ladite notification dans un jou rnal d ’annonces jud iciaires, conform ém ent A la loi.

P o u r ex tra it :Signé : G. LEVIEUX.

Art. 8 . (N®23)Etude de M* G eorges Levieux,

licencié en d ro it, avoué A S ènlis, rue Sain t-H ila ire, n® 40.

L e x N a t i o n a l e - ' V i ©C*® d 'A «uronce« su r la Fiç,

F O N D S DE G KR IIN T IE 2 5 3 , 0 0 0 , 0 0 0 Siège tocial à P A R IS , rue de Grammont

et rw4 du Oiiatra Septembre, n* 18. ,M. M ahor, agen t général, A Senlis.

A r t . 9 .Etude de M® G e o r g e s L c v i e u x ;

licencié en dro it, avoué A Senlis, ru e S ain t-H ila ire , n® 40,

Successeur de M*' A ll u a r d et Gualhin.

P u r g e L é g a l e .

Suivant exploit de Hémet, hu issie r A Chantilly , on date du vingt octobre m il h u it cent quatre -v ing t-hu it, e n re ­gistré.

Notification a été faite A M. le P ro­cureur de la R épublique près le tr i­bunal civil de Senlis, en son parquet, au Palais de Justice de ladite ville,

A la requête de M le baron G us- lave-Sam uel-Jam es de Rothschild, proprié taire, banquier, consul im pé­rial et royal d ’A ulriche-llongrie A P aris , dem eurant A P aris, avenue de Âinrigny, num éro 83,

P our lequel dom icile est élu A Senlis, ru e S ain t llila iro , num éro 40, en l’étude de M* Levieux, avoué, le­quel es t constitué e t occupé pour lui su r la notification e t ses su ites;

De l'expédition dûm en t en forme d’un acte fait au greffe du tr ib u n a l civil de Senlis, le v ingt-sep t sep tem ­bre mil h u it cen t quatre-v ingt-huit, en reg istré , constatan t le dépôt fait audit greffe led it jo u r par M® Levieux, avoué, de la copie dûm ent tim brée, collalionnée, signée e t en reg istrée , d 'un acte passé devan t M® Balézeaux, n o taire A C hantilly , le hu it ju in m il hu it cen t quatrc-vingl-huit, en reg is­tré , conlenanl vente p a r :

4® M. Ju lien Duval, cu ltivateu r- p roprié ta ire , dem euran t au P lessis- Pom m eraye.com m unedeC reil (Oise);

8* M. A lbcrl-Gustave Lecomte, ta­p issier, m archand d e m eubles, et M adame L ouise-IJranie D uval, sa femm e, de lui au torisée, dem euran t ensem ble A Beauvais, 45, ru e S a in t- P ie rre ;

3® M. Eugène-Cèleslin H enneguv, cu ltivateur, e t dam e M arie-U rante Duval, sa femme, qu’il au torise , de­m euran t ensem ble A Sain t-L eu-d ’Es- seren t (O ise),

Au profit do M. le b a ro n de Rolh-

schild, susnom m é, des im meubles dont la désignation su it :

8Im m eubles cettdus p a r U. Ju lien

Duval seul.4® Un corps de ferm e, situé au

Plessis-Pom m eraye, ham eau dépen­d an t de la com m une de C |e il, consis­tan t en bAtiments d 'hab itation et d ’exploitation, cour, circonstances et dépendances, le tout ten an t d ’un côté A l'acquéreu r, d ’au tre côté A M. Üor- thélem y, d 'u n bout A la ru e , e t d ’au tre bout A la pièce de te rre ci-après.

8® U ne pièce de le r ie , située der­rière lad ite ferme, con tenan t environ q uaran te-sep t ares quatre-v ingt hu it cen tiares, tenan t d ’un côté A la forêt, d ’au tre côté A M. le baron do R oth­schild , ac q u ére u r A la ferm e sus-dé- signée, A M . Berthèlom y, d ’un bout au chem in d’Apromont, e td ’au tro bout A l ’acquérour rep résen tan t h éritiers de François Duval.

Section C, num éro 528.3® Trente-cinq ares quarante-cinq

centiares de jai'd in , situés prés la ferme déjà désignée plus haut, tenan t d 'un côté A l’acquéreur, rep résen tan t héritie rs de François Duval, form ant de ce côté deux iiaches, d ’au tre côté A Madame Huet, d ’un bout A l ’acqué­reu r rep résentan t héritie rs de F ra n ­çois D uval, e t d ’au tre bout au puits commun avec l’acquéreu r rep résen ­tan t lesdits h éritiers Duval.

Section C, num éro 529 p.4* Q ua lre-v ing t-hu ilares soixante-

quinze centiares de te rre , au terro ir (le Creil, lieu d it le chem in do Senlis, le n a n td ’un côté .M. Françoisd 'A m iens, d ’au tre côté au chem in du Plessis, d ’un bôul au chem in de Senlis, et d 'au tre bout A .M. de R othschild , re ­présentan t .M. .Murozeau.

5° E t six ares quinze centiares de bois, te rro ir d 'A prem ont, lieU' dit N orm andie ou Butte-Ronde, tenan t d ’un côté l'acquéreu r représentan t Mahicux, d ’au tre côté A pareille por­tion a ttrib u ée A M ademoiselle Duval, d ’un bout d ’orien t A Lem aire e t D an- tie r, e t d ’au tre bout occident aux hé­ritie rs Gallé.

6® Quai-ante-ein(j a res tren te-tro is cen tiares de te rre , te rro ir do Greil, lieu d it le Fond de .Malassise, tenan t d 'un côté représentan ts B i'uvier.d'autro côté. M adame Leroy, d ’un bout M. le docteur D ureau e t au tres, e t d 'au lre bout au chem in 'de Malassise e t Greil.

S 2®.Im m eubles vendus p a r M. Ju lien

D uoal, SI et iladam e Lecomte et M. et dadame U enneguy, con jo in ­tem ent.4® Une pièce de te rre contenant

v in g t-h u it ares soixante-treize cen­tiares. te rro ir de Creil, lieu d it le P lessis-Pom m eraye, tenan t d ’un côté e t d ’un bout les m urs de la ferm e Duval, d ’au tre côté Rerthélcm y e t d 'au lre bout le chem in du IMessis.

Section C, numéi'os 53 1 et 532 pour vingt-im it ares so ixante-treize cen- tiare.s.

2® C inquante et un ares soixante- quatre centiares de te rre , te rro ir de Creil, lieu d it le Plessis-Ponim eraye, tenan t d 'u n côté le chem in du Plessis à la route de Senlis, d 'au tie côté vM. Bortiiélemy, d 'u n bout M. de Rolhschild rep résentan t .M. .Marozoau e t d 'au tre bout A la ru e du Ple.ssis.

Section C, num éros 544, 545, 547.3® Une petite Maison située au

Plessis-Pom m eniye.com m unedeCicil, élevée d ’nn rez-de chaussée, g ren ie r au-dessus, couvert en tuiles, ja rd in en culture, a côté e t d errière cette m aison, planté d ’arbre.s et de vignes.

Le tout clos de m urs contenant vingt ares dix-.sept cen tiares environ porto, au cadastre, section C, num éros 542 e t 543, tenant p a r devant à ta rue du Plessis, d 'u n côté au cliemin du P lessis A la rou tede .Sentis, d 'au tre côté A .\1. do Rothscliild rep rése n ta n t .M. M arozeau ,pardcrrièreA M . Eugène Deliiplace.

Et ce m oyennant, ou tre les charges, le prix principal de ving t m ille jrancs.

Avec déclara tion A M. le P rocureu r de la République :

4® Que ladite notification lui é ta it ainsi faite, conform ém ent A l’artic le 2194 du Code civil, afin qu’il a it à prendre, dans le délai de doux m ois, telles inscriptions d 'hypothèques lé­gales qu 'il av iserait, e t que faute p ar lui de ce faire dans led it délai e t icelui passé, l’im m euble don t s 'agit passe­ra it aux m ains du req u éran t, franc e t quitte de toutes dettes e t chai'ges hypothécaires de cette n a tu re non inscrites ;

2® Que les anciens proprié taires, ou tre les vendeurs, é ta ie n t : Im m eubles vendus pa r M. Duval seul.

Art. 4«®, 2 , 3, 4, 5 :Indivision d’en tre M arie-A nne-Ju-

lienne Demonsy, veuve de Charle- magne D uval, Louis-François Duval, Sophie Duval, C harlem agne-Louis- Nicolas Duval, Victoire-Elisabeth Du­val, épouse de Louis-Félix Leroy, Ju lien Duval, vendeur, e t Victor D u­val.

Les époux Duval-Demonsy.Art. 4 " , 2 et 3 :Indivision d ’en tre led it C harle -

magne Duval et F rançois Duval.Françoise-Sophie V incent, veuve

de Louis-Charles G uttier, e t h éritie rs du sieu r G attier.

Art. 4 :Stanislas-U rbain Treillard e t Adëlo-

Louise-Sophie Leroy, son épouse.Art. 5 :Louis-Victor Demonsy e t M arie-

Anne Desnosso, son épouse.Art. 6 :Indivision d ’en tre Louis-François

D uval, V ic to ire -E lisabeth Duval, épouse d e Louis-Félix Leroy, Ju lie n Duval, vendeur, V ictor Duval.

Louis-N icolas-Charlem agne D uval. Les époux Duval-Demonsy.

Im m eubles vendus p a r M. D uval et mesdames Lecomte et Ilenneguy

conjo in tem ent. Comm unauté d 'en tre Ju lien Dbval,

vendeur, et Louise H enriette P inson , son épouse décédée.

A rt. :Joseph-A lexandre Obry.Indivision d ’en tre T hérése-E lisa-

beth M ahieux, veuve de Jean-B aptisto Obry, Juseph-A lexandre Obry, J e a n - Baptiste Obry e t autres.

Les époux O bry-Hahieux.A rt. 8 :Louise-A lexandrine O bry, épouse

do F rançois Mercier.Joan-Rapliste O bry e t Q eneviève-

H onorine G odard, son ^ u s e .: Indlvisldo d 'e n tre là ' dam e veuve Gbry-M ahieux sus-nom m ée, Joseph- À lexandre O bry, Jean -B ap tiste Oory

e t au tres.Les époux O bry-H ahieux.A rt. 3 :E ugène-Sylvain H uet e t Pau lln» -

A glaë S ejan , son épouse.Indiv ision d 'en tre H a rie -Je a n n e -

V ictoire H onard e t E ugéne-S ylvain H uet.

Indiv ision d ’en tre les mômes e t C harlesH ippo ly te Huet.

Com m unauté d 'en tre lesépouxH uet e tM ooard .

P o u r partie :Joan-M artin R lbot e t A gnës-V io

to ire M onard, son épouse.P o u r a u tre partie :Comm une de Crejl.3® Et que tous ceux d u chef d es-

auols il pourrait ê tre p ris inscrip tion 'hypothèque légale n ’é ta n t pas con­nus du reciuérant, il. forait publier

lad ite notilicutiori dans un jo u rn al d ’annonces jud iciaires, conform ém ent A la loi.

P o u r insertion : S b 'né : G. LEVIEUX.

Art . 40.S uivant acte reçu par M® Lenicquo,

nolair«!ANanleuil-lo-Haudouin (Oise), le d ix -neuf octobre mil h u it cen t quatre -v ing t-hu it, .M. DoLLà (F réd é- ric-Léosippe) , m aréchal-ferran t e t cha rron , e t Madame Zilda-M arie-H é- loïse G iia m û n t , sa femme, (lem eurant ensemble A Ivors, ont cède le fonds d ec h arro n n ag e q u ’ifs exploitent aud it Ivors, A M. ÜKBETZ (V ictor-F rançois- llippolyte), cha rron , e t Madame D u- c iii ' n e (ilo rtense-D ésirée), sa fominc, dem euiunt A Iv o rs , m oyennant u n prix stipulé pay.iblc le deux novem bre mil hu it cent quatrc -v ing l-hu it;

Election de dom icile a été faite on l’E tude de M® Lenicque.

P our insertion :S igné : LENICQUE.

A r t . 44.S uivant acte passé devant M® F ére t,

no taire A Crépy, le d ix-neuf octobre mil hu it cent quatre-v ing tT hu it, M. Antoine HuKNiiR, lim onadier, e t M adame C ésarin e -Ju lien n e—M arie

■Br o y a h t . son épouse, dem euran t en ­sem ble A Crépy, on t cédé A M. Luc- Onésimo V a i l l a n t , lim onadier, e t dam e V irginie O b r y , son epouse, de­m euran t ensem ble A Crépy, le fonds de com m erce de cafetier-lim onadier, exploité A Crépy. A la Poi'te do P aris , connu sous la dénom ination do C afé de la Gare, ensem ble la clien tè le , lé m atériel e t les m archandises, m oyen­n a n t le p rix stipulé au contra t.

Jouissance im médiate.Domicile élu en l'E tude de M® F é­

re t.P o u r insertion :

__________ S igné : FÉRET.

A r t . , 42.MAIRIE DE NÉUY

Translition dn Cimetière.E nquête de Commodo et

Incom m odo.

M. H a r d y , Maii-e de B étb isy -Sa in t- P ie rre , Coinîr.issaire-E nquêteur.

Le Maire de la com m une de Néry inform e ses Adm inistrés que, en exécution d 'u n ai'rété de .M. le Préfet de l'O ise, en date du prem ie r O ctobre mil huit cen t quatre-v ingt-huit, il sera |)iocédé. les ving t-deux, v in g t- tro is et v ing i-qua lre Octobre p'ro- ciu tin s,i\ une üni|uête do com m odo e t incom m odo su r le projet de tran s­lation du (hm elièrede .Néry, p a r voie d 'expropriation pour cause d’utilité publique.

Pendant ces trois jo u rs , de h u it heures du m a tin à c inq heures d u so ir, le.' réclam ations ou observations verbales ou écrites des habitan ts de la com m une su r les avantages ou les inconvénients du projet dont il s’agit seront reçues dans la salle de la Mairie.

A p artir do ce jo u r ju squ’au v îngt- vingl-deux Octobre, les pièces d u d it projet seron t déposées A la M airie, afin que cbacun puisse en p re n d re connaissance.

A -Néry, l e ? Octobre 4888.Le i la ire .

Signé : PARANT.

Etude de ül® G e o r g e s L e v i e u x ^licencié en dro it, avoué à Senlis,

ru e Sain t H ilaire , n® 40. Succossear do M” Acluard ot Chalwin.

VENTE SDH LICITATIONA U P L U S O F F R A N T E T D E R N IE R

E N C H É R IS S E U R E n l ’élude e t par le m inistère de

M* M ézièrk, no taire A Betz (O ise), d ’u n e

P R O P R I É r ï ;Sise A BETZ,

En la ru e du H aut d e l ’Eglise.L'adjudication aura lieu le D k u i a i i c l i e

O c t o b r e f S S S , à u n e heure de relevée.

S ’adresser p o u r les renseignem ents : 4® A M' LEVIEUX, avoué A S en lis,

poursu ivant la v e n te ,‘2“ A M® SAINTE-BEUVE, avoué A

S enlis. p résent à la ven ta ;3* E l A M® MEZIERE, no taire A

B e tz , dépositaire du cah ier des charges.

E tude de .M® G e o r g e s L e v i e u x ^licencié en d ro it, avoué A Senlis,

rue S a in t-H ila ire n® 40. S uccesseurde M®«Al l u a r d e t Ch a l i i i i i

C B »S U H S A I S I E I M M O B I L I È R E ,

AU PLUS OFFRANT BT DBRNIBR BNCHÉRISSBUR

E n l’aud ience des criées du T rib a n a l civil d e prem ière Instance d e S e n - lls (O ise), au palais d e justice, ru e d e ta R épublique,

D'UNB

JV E .A .IS tO ]IS rS is © à A U M O N T ,

arrond issem en t de Senlis, d an s la G rande R ue,

L ieu d it le Jeu de Tam is. L’adjudication au ra lieu le M ardi

tren te O ctobre 1 8 8 8 » h e u rs <(p m id i.

S'adresser p o u r les re n s e ig n m e n t t : 4* A M® LEVIEUX, avottéA Sefilis,

poursu ivan t la vente ;8® A M® HEMET, hu iss ie r à C h an -

tilly ;3* E t an OrelTe d u T rib u n a l cW il

de p rem iè re instance d e SenlU , o ù I^ a h iw ^ d ^ c h W T jg s ^ s t^ é j^ ^

llL jt '

Page 4: COURRIER DE L’OISE - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1887-1888/bms_js_1888_10_21_MRC.pdf · & la consommation sous le nom de vin », après ces intéressants préliminaires,

M O B R A L D B n H U S

r s S c - ^K tB ded«M *

l iM u c lér u e _ _ _ _ _ _ _ _ _ - , -

Baoew W f d< ¥■>* A.M.PiJw w Cbaucin.

AV r t U f OrTftAHT BT DBIRIBBb ic h M u ss io b

K o l 'é ta d e e t p a r le m ioia tère de I P lM iC 0V i* n o t^ re & N aateo il-

■ le-H audoulD,E N T R O I S X iO T S

DB.. Trois Pièces de Terre

Sises te rro irs d e NANTEUIL* LE-HAUDOUIN. arrond issem en t de

Sen tis (Oise). L'«d]adieafiOB aor» lien le D l m a n o h e

N o v e m b r e 1 9 8 8 » d un e heu re de relevée,

^ a d re s se r p o u r tes renseignem ents ;t* AM« OioaGKS LËVIËUX, avoué

à S eo lis, rue Saiol-Hilaii'e, n<* 40, poursuivant la vente ;

S* A U* LÈNICQ UE, no ta ire à N anteull-le-H audouin, dépositaire du ca h ie r des charges ;

3» £ t à M. VINCENT, com m is-gref­fier, dem eurant à Seuils.

E tude d e M * O s c M P 8 % V A K Y » avonéiSenlia, place StrFramboni^, a* 3,

Successeur de M* P k l b o i s .

P II lUITI D'ieCEPTITIOI BÉNÉFICIIIIEAU PLUS OFFRANT ET D KRNiaR

b n c h Br is s e u r

e n d e u x l o t sDE 40 UNE

BELLE PROPRIÉTÉC om prenant ; Une Uaison d 'hab i­

ta tio n genre C kdlet, Jard in et Dépen­dances,

Sise à SAINT-LEU-D’ESSERENT, ru e de la Station,

en face de la Gare,2“ UNE

Carrière de Pierres\ B A X IR

Dite Carrière du C im etière ou a u Calvaire,

Sise te rro ir de SA1NT-MAXIMIN.| L’adjudication au ra lieu le M ardi

2 3 O cto l> K *e 1 8 8 8 »heure de m id i,

E n l’audience des criées du tribunal civil de p rem ière instance de S en- lis, au P alais de Justice de cette v ille , ru e de la République,

S ’adresser p our les renseignem ents 4* A M* WATEAU, notaire

P récy-sur-O ise .2» A M» SAVARY, avoué, poursui­

v a n t la vente ;3* E t au Greffe du tribunal civil de

S en tis, où le cah ier des charges es t déposé^____________________________

MÊUK ÉTUDB

En l ’E tude d e U* C isou ,U M SR C R E D l S i OCTOIfRM i8 8 8 ,

d d eu x heures,. B u u n s e u l L ot.

343 PEUPLIERSET ENVIRON

3 Heotins 60 i m d’inlul» ft OmmiuSitués dans la P ra ir ie du N euvivier,

com m une de Faverolles, p rès la gare de S illy -la-Po te rie . S ’ad resser, pour voir les Bois à

v en d re , au s ieu r Em ile B u r g n e a u x , & T roésnes.

A G E D B RUN

B O N LO U AG EA v e c O m a ib u s d o C o rres­

p o n d a n ce ,D ans u n canton d e l ’arrondisse­

m e n t d e Senlis. S ’a d resse r à H . BERTHELOT, à

N a n te u il- l^ H au d o u io (Oise).

A. Céder de était eDeux Actions de Chasse

Dans la forêt d'HalattoP a rtie d u G rand-H altre .

S ’ad resser à H* P a y in , n o ta ire à Pont.

A J h L f c à - U - i x s r j j a i L i aPour entrer en jouissance au 1** Avril 1889

lODLIN de HONTGRÉSIN(G are d 'O rry-la-V ille).

Vente e t achat des Marchandises dans le ra yo n .

B E L L E C L I E N T È L E P o u r tous renseignem ents, s’ad res ­

se r a\M . B r û l é .

POUR CAUSB DB DÉPART UN

O JNT ID> Slarchand de V iss, Épicerie,

D É B I T D E T A B A C S SALLE DE D ANSES

Jeax de Billard, d’Arc et de Boules.S’adresser ;

A M. BUREAU, à Avilly ;O u à M. DESMAZÜRES, à Senlis.

Elude de M * ë r i l b D O m e l i n , licencié en dro it, avoué à Senlis,

ru e de Villevert, n® 7, SnecMMor de M** Deloovk et T h ih b t.

V e n t e s u r L i c i t a t i o nDE

26 Pièces de Terre et PréSituées terro irs de MA HO LLES (O ise),

NEUILLY-St-K R 6 nT . NEUILLY e t VICHEL, NANTEUIL-VICUEL, MARIZY-SAINT-MARD, c u o ü y , LA FERTE-MILON (A isne);

ET d’un

G L O I SS itué à VILLERS-PETIT (A isne),

E N VING T-SEPT LOTS

L’adjudication au ra lieu, par le m i­n istère de M* Barkv, no taire à La Ferlé-M ilon, savoir : en son Etude, pour les Im m eubles situés terro irs de Maroiles e t La Ferté-.Milon, le D i m a n c h e v i a e t e t u n O c ­t o b r e 1 8 8 8 » a UKC heure de relevée; e t en la Mairie de Neuilly- S ain t-F ro n t (Aisne), pour les autres Im m eubles, le L u n d i v i n ^ t - d e u x O c t o b r e 1 8 8 8 » d u n e heure de relevée.

S ’adresser p o u r les renseignem ents : 4® A M* ÜEMELIN, avoué à Senlis,

poursu ivant la vente ;2* E là M * BARRY, notaire à La

Ferté-M ilon, dépositaire du cah ier des charges.

E lude de M ” E m i l e D é m e l in »licencié en dro it, avoué à S en lis,

ru e de Villevert, n® 7, successeurde M** Delgovb et Thehry.

SUR LICITATION BNTRB HAiEURS ET MINEURS

D^Ul^E M A ljiO n iD’UNE ÈTABLE A VACHES

Sises à T illE R S ,ET DB

2 Pièces de Terre et PréSises te rro irs de PONTAR.MÉ

e t T llIE R S (O ise),E N C I N Q L O T S

L'adjudication aara heu le D i m a n c h e 1 8 I V o v c m b r e 1 8 8 8 »

d deu x heures de relevée,E n la Maison d ’Ecole de T hiers,

P a r le m inistère do M® D riard» no taire à Sentis,

com m û d cet effet,

^adresser p o u r les renseignem ents : 4* A M* DEMELIN, avouéà Senlis,

poursu ivan t la ven te ;2® A M* SAINTE-BEUVE, avoué à

Senlis» codic itun t;3* El ÙL M* DRIARD, notaire é

S e n lil, dépositairo du ca h ier des charges.

E tu d e d e M * < G I R O U , no taire & Viilers*Colter6ls (A isne).

A v e o d r e p « r a d | n d l c « i l o i iE n l’Etude d e M* C ir o u , notaire,

U M ERCREDI S I OCTOBRE 1888, à deu x heures e t dem ie,

3 Heet. 40 ire s de T&illbA u bois des frères M b r c i i r ,

1 3 » A E K B R K S(CUhm, Ormes et Peupliers),

S itués dans la Vallée de Uo.sIoy, jirès le Canal de l’Ourcq.

S’ad resser à M.GaAUT, garde p a r­ticu lier A Troësnes.

ACTION DE CHASSEa a C B t t O ï B i E i F LE V R IN E S

Jb> B O I S ÿ « 'd c M w rç l« u H . P m ih , im prim eur.

i O o i i i ^ o n d sDE CHARKOHNAGE H OE MARECHAIERIE

T rès bien achalandé.On occupe 5 à 6 ouvriers.

S ’ad resser au Bureau du Jo u rn a l.

E tude de M * C l H O U , n o ta ire à Yillers-C otterèts.

A. L O U E RLA

F E R M E IVEUFEA VILLERS-HÉLON

Canton de Villers-Collerôts. Vastes Bâtiments e t Cours nouvelle­

m en t restaurés, E aux; 470 heclareSv T erres et P ra irie s, à proxim ité de la gare de Longpunt e t de la sucrerie de Vierzy.

F a cu lté de reprendre to u t o u p a r­tie d u m altfrtel et di'S a n im a u x .

S ’adresser à M* CIROU, n o ta ire .

E lude de M® K e c u U e t » avoué à Clerroont (Oise).

AU PALAIS DE JUSTICE DE CLKRXONT(O ise),

Le VENDREDI 26 OCTOBRE 1888, à m idi,

DE : PREMIÈREMENT

Une Usine à GazSise à CRÈVECŒÜR-LE-GRAND

(O ise),P rès la G are, ensem ble tous objets

im m eubles par destination , e t le dro it aux tra ités ;

DEUXIÈMEMENT

Et un Droitde PassageD’une larg eur de 4 m ètres.

Mile à p rii : 25,000 franc».Direction Générale de l’Enregistrement,

des Domaines et dn Timbre.

.m . . w v c f

F o u r cause de santé,

01 Foids de MaréchalerieA m P l e s B i s - C o r n e f r o y ,

com m une d e Trum illy . 'ad resser à M. PASQ UIER, qui exploite ce fonds.

.E tu d e d e .n i* D r ia r d » . n o ta ire à S en lis.

(Sucoesseur d e M* Bbnoist) .

A T e a d r e p M P M | | i i d l e a i l b MA S E N U S ,

E n Fétnde e t p a r le m in istère d e U* O r ia r d , n o ta ire & S en lis, Le M ardi 23 Octobre, d 2 heures,

UNE M AISONA u sa g e d ’H é te l,ay an t pour en se ig n e .

Hôtel de France ,Sise à Senlis, ru e d e la R épublique,

n® 27 , e t form ant l ’encoignure ce tte ru e e t de la ru e Bellon.

MOULI N A POIHMKSF n u o ir à Cidre e t Cevei^

S ’adresser au bureau du Jo u rn a l.

A CEDEMt JOE SU ITE Bonne Boulangerie,

4 dniotsez par Joer,P O R T A G E s a n s O H E V A L .

B O S S E C LIESTÈLE E crire aux in itia les L. G. au B ureau

du Jo u rn a l.

B. Tnmerelle & WiUame,ENTREPRENEURS DE FUMISTERIE

POUR USINES

G randes Chem inées. — Fourneaux d e m achines à vapeur. — Fours de tous systèmes.

INSTilU'nOND'DSIIieSiFOBrilT

rue Juillet, à CREIL

A L'AHIABLE

U N P H A E T O NE n bon état,

ET UN HARNAIS SIMPLES’adresser à M- BALLÉDENT, com-

' m issa ire-p riseu r à Senlis.

MÊMB ÉTUDEA veB4lr« p « r M UudIoAtloaA S en lis, en l ’E tude d e M* D r i a r d ,

n o ta ire ,Le M ardi 43 N ovem bre, d 2 heures,

7 v i . ^ i s o i s rS ise â SENLIS,

& l ’ang le de la ru e d e la République e t de la rue Ste-G eneviéve.

E tude d e M® l.* e ti t» no taire & Senlis.

Al v e n d r e p a r n 4 |u d lc » t lo nA S E N U S ,

E n l ’étude e t p a r le m inistère de H* P e t i t , n o ta ire à Senlis,

Le L u n d i 29 Octobre, d 2 heures,LB

CHATEAU DE COYEP rea Chantilly,

J% .veo l* c ire«U o i e . £ a u 3 B v i v e » e t B o x e » .D’u n e contenance de 30 Hectares

3 3 Ares 23 Centiares._______

MÊME éTUDB

UNE PROPRIÉTÉSise & VÉI^BERIB»

n* 33 . rou te N àtionalé,A p ro x im ité de la fo rê t de Compiègne

e t de la r iv ière d'Oise,A v e n d r e p n rn d |u d le n ilo d E n im o u d eu x lo ts , a u g ré des a m a ­

teurs.E n l ’é tu d e e t p a r le m in istère de

H* L b f r a n c , no ta ire A V erberie , Le D im anche.44 Novem bre, à 4 heure

TRiVill' lu cra tif cbexi h a t a i u soi p o u r M essieurs e t Dames. B er. & H . DAPiAtniB, 8 , rue M o D l ^ o n ^ a r i 8 ^ ^ j r k ^ p | r ô g m

ilBRES EN GAOliTCHOUGA gents ac tifs son t dem andés dans toutès les v illes de F rance , 20 fr . p a r : c a r assu rés . EéTire h H . O p p u N i, 16, ru e des Tom%. à L ille . ________

E tude d e M * G h e v a l l e p , no taire & Acy-en-M ullién.

VENTE MOBILIÈREPAR ADJUDICATION VOLONTAIRB

POUR CAUSB DB DÉPARTA R O S O Y -E N -M U L T IE N ,

En la p roprié té appelée le Pond des F orêts, hab itée par M*®* d e B k l l o y .

Le Jeud i 4” Novem bre 4888^ d m ta i. P a r le m in istère de M* C h b v a u b r ,

notaire ,E n présence d e M® R o y , notaire

à L izj^^sm ^O urc^

P I N G E ' K E ZFranok VALIBT.

Ce systèm e b reveté & branches m obiles, e s t le p lus fixe qu i existe 11 s 'adap te in faillib lem en t A tous les nez sans jam aisg lisse rm alg ré la tran s­piration e t les m ouvem ents les plus violents.

P r i x : "7 f r a n c s .Seul e t un ique D épét & SE N L IS ,

LAROCHE

M Ê M E É T U D EA v e n d r e p a r m U n d l c a t l o n

EN MASSE o u EN DÉTAIL49 hectiares 08 ares 94 centiares

DB

Terre, Pré et Bois,Au terro ir d e F leurines,

Le Dim anche 4 Novem bre, d 4 heure . P a r le m inistère de M® P e t i t ,

notaire^__________ _

E lude d e Al® Carillon» n o ta ire à Cham bly.

l a VBNTB DB LA

JOLIE VACHERIEDe BELLE-ÉGLISE,

A ppartenant à M. D u r a n d , propriét&irOi P a r le m in istère d e M®'C a h i l l o n ,

no ta ire à Cham bly,ANNONCÉE POUR LB

Le D im anche 24 Octobre, à 4 heure .Est Bemite an Dimanche

vingt-hnit Octobre, à nne heure.

E tude de M* Gallet» huissier- p riseu r à Crépy (O ise).

24 Bonnes JumentsET

C JIV C H E V / A L . E I A X I E RAgés de 4 à 40 ans.

Propres soit à la Cnltore, soit an Cabriolet, s t

5 Ponlains de six moisA V E i Y D R E

AUX ENCHERES PUBLIQUES

Le DIMANCHE 24 OCTOBRE 4888, d un e heure précise,

A BÉTHANCOURT, dans la cour du m oulin de M. G ib k r t , éleveur e t agricu lleur.

P a r le m in is tère d u J it M® G a l l e t , hu issie r â Crépy.

C o n d i t i o n s O r d i n a i r e s .

E tude de ül* FEUTÉ» n o ta ire à Senlis, r ue Dellon , n® 48.

BEAU MOBILIERA Vendre auæ Enchères

A PLAILLY, ru e d e P aris ,Le D im anche 28 Octobre, à « n e heure . P a r le m in is tère de M 'F e r t é , n o ta ire .

A U J U U i C A ' l ' I O AE u la M airie d e Cramoisy,

Le D im anche 28 Octobre, à 4 heure . P a r le m in istère de M* D u g u e t ,

'' no taire à Creil,DE

26 Pièces de Terre et BoisT erro ir d e CRAMOISY.

D 0 M \1 N K DK B.VKON

C O U i * E SDB

B o i s T a i l l i sET DE

H 4 U 1 E F U T M E Snr 14 Hectare» 52 ire s ,

ET DE

212 Beaux PeupliersF o rm a n t bordure d 'u n C hem in ,

A u t e r r o i r d e B A R O N , jm . ’v n m s T 'n B 'w n K S L J E D

k L’RMIRBLELe DIMANCHE 18 NOVEMBRE 4888,

à une heure et dem ie de relevée. Au Chùleau de BARON.

S’adresser poar reaseigasments :Au G arde du Dom aine, au Château

de Baron.

VENTE D’ARBRESLe Jeudi 25 Octobre 48S8, à une

heure de Taprès-m idi, il se ra pro­cédé, su r les lieux, par les Receveurs à Creil et à L iancoiirt, A la vente aux enchères publiques, en 38 lots, de

A r b r e » provenant de plan tation de la Route N ationale D® 4ü, en tre les points 47 k . 400 cl 48 k . 801), su r ies territo ires des com m unes de Nogent-les-Vierges et de Laignevilie, cantons de Creil e t de Liancourt.

Au Com ptant 5 7 . p o u r t o u s f r a i s .

Les Arbres devront être aba ttus et enlevés a u p lus ta rd p o u r le 4’‘ Mars 1889.

On pourra p rendre connaissance du ca ille r des charges aux Bureaux des Dom aines, à Creil e t A Liancourt

A V E Y U R E

Thuyas de CanadaÉ P IC É VS

ETP O M M IE R S E G R A IR S. ^

A D ES P R IX TRES MODERES S ’a d r e s s e r a M . B e n o is t , à SENLIS.

UN

Petit Cheval de 8 ansAVEC H A R N A IS x

ET, \

UNE TAPISSIÈRE NEUVE( C o u v e r t e ) .

S 'ad resser au bureau du jou rnal.

Elude de %i® D l l i l X , no taire à Crépy-en-Valois.

A VEÎVDRE FM aOJUDIClITiOH VOLONTAIHE

Le D im anche 28 Octobre 4888, d m ia t P a r te m inistère dud it M* D i e t ,

EN LA SALLE B ÉCOLE DE BÉTHANCOURT dÜ 1 H ect. 0& A. 5 3 C ent.

t e r r e ”* p r é sSitués te rro irs de B èthancourl,

G ilocourt, S éry , Feigneux, M orienval e t Orrouy.

Ces Im m eub les a p partiennen t d M. G ib e r t, de B éthancourt.

A I X b t J F H

mVE MAISOmRue de la P o te rn e , num éro 7 ,

A B B N L .1 8 S 'adresser à M. P a t té , ou é M. L i p o r t ,

30, rue des Ja rd in ie rs , & SENfilS

E lude de M' Foui*nîer, iiuissier- p r is e u r à S enlis, rue de Meaux, 4*'. Successeur de M” Dutho it et Lefêyre.

nui ENCHÉRIS PUBLIQUESAu Château de MALASSISE,

com m une d ’A preinont, près la route de Creil à Senlis,

Le D im anche 28 Octobre, d « n e heure très précise de relevée.

P a r le m inistère d u d it M® F o u r n i e r ,

De : cinq Chevaux hongres, deux Ju m e n ts , un P o n ey , deux bonnes Vaches la itiè re s , deux Veaux, une Voiture G rand-D uc, une a u tre P etit- Duc, un B reack, ila riia is complets en bon é ta t; une grande Voiture m ontée su r roues c l essieu en fer, un T ri­cycle, un B rabant, une B ineusc, une H erse en bois, un Coupe-Belieraves; Clociies en v e rre , Châssis de couche en fer e t en bois. Tuyaux d ’arrosage en caoutchouc, un R ouleau de G ril­lag e ; une Meule de Blé e t Avoine d ’environ 4500 buttes, un tasd 'A voine battue; Volailles; (Eil-de-Bœ uf, Chau­d ière en fonte. B aratte , Tables e t d i­vers au tres Objeis.

A» Comptant— m is Ordinaires.Ladite vente a lieu par su ite de saisie-

exécution pra tiquée su r M"® Mérle G u y o t . épouse con iractuellem ent séparée ae biens de M . Auguste V e b g e z , négociant, avec lequel elle dem eure d P aris , boulevard Vol- ta ir e , .4 7 4 , su iva n t procès-verbal de F o u fn ier, A uisiter d S enhs, en date d u q u a tre octobre 4888, enre­g istré .

fpairiD DHESSÉtm.DB GBIEN8 ü u u A u d à û t C hapeU e-e fi-S erva i

Chions d’arrét, Chiens pourlecbevreuilet le lapin. Furet et Gibier de repr^uciloo.

A D J G O I G A Y l O i ^En la M airie de Saint-V aast-les-M ello,

P a r le m in istère de M® D u g u e t , n o taire â Creil,

Le D im anche 4 N ovem bre, d 2 heures,

D’UXE MAISONIS ituée terro ir d e S t Vaast-les-M ello,

Et d’nne Pièce de Terre,Môme terro ir.

E tude d e M® HOCQUARD, no taire à B ëlh isy -Sa in t-P ie rre .

Successeur d e M® R o u t ie r .

DO^f

Fonds de Boulangerie Et Droit an Bail,

des lie u x où s’exp lo ite ce fonds.Le to u t sis à AUGER-St-VINCEiNT,

canton de Crépy,A v « n d r e p a r u d l e a t t o n

A B éth isy-Sain l-P ie iT e, en l’étude e t p a r le m inistère de M® H o c q u a r d ,

no taire .Le D im anche 4 4 Novem bre, à 2 heures.

E tude I e M® Collas» no taire à Mello (O ise).

S ise à M o n t a t a ir e , ru e de Condé, n®47,

A v e n d r e p a r a d j u d i c a c i o aP a r le m in istère de M* Co l l a s , n o ta ire

à M ello,En la M airie de M ontataire,

Le D im anche 28 Octobre, d une heure.

* U « IG U IC « T lO t\lE n la M airie d e Thiverny ,

Le D im anche 4 Novem bre, d 4 heures P a r le m inistère de M* D u g u e t , ,

n o taire â Creil,

D’UNE MAISONS ituée a T h i v e h n y , ru e d u Bœuf Blanc

E lude de M* Féret» n o ta ire à Crépy-en-V alois.

FONDS de COMMERCEDe Tonnelier,

Exploité à CRÉPY, rueG oland , n®4®% /m «13 m m a e a m m .

PAR ADJUDICATION A CRÉPY,

E n l ’étude e t p a r le m in istère d e M® F éiirt, no taire .

Le Sam ed i 27 Octobre, d deu x heures.

MÊME ÉTUDE

M A I S O NAu B ë RVAL, com m une de B onneuil,

ET

9 Pièces de Terre, Pré & BolsAux terro irs do RUSSY-BESMONT

e t BONNEUIL, A v e n d r e p a r a < U u d l c a f l o n

Au BERVAL, en lad em eu red e M V a u g in , auberg iste

P u r le m inistère de M* F é r e t , n o ta ire à Crépv,

L eD im an the28 Octobre, d une heure .

Etude de M* Foulon» huissier à Senlis.

VENTE MOBI ITÈREPAR AUTORITÉ DE JUSTICE

A LA CHAPELLE-EN-SERVAL, au dom icile de M. e t M®** D e m a n g e a t -

A g c é r y ,Le D im anche 4 Novem bre, à 4 heure . P a r le m inistère de M® F o u l o n

huissier.

E tude de M® L.evaii>e» huissier- p rise u r à P récy-sur-O ise.

A U X E N C H È R E S P U B L I Q U E S PAR SUITE DB DÉCÈS

E t après accep ta tion bénéficiaire. D ’U N B O N & B R A U

A SAINT-LEÜ-D 'ESSERENT, en la m aison où es t décédé M . R ic h a r d , m aître ca rrie r.Les DIMANCHE 2 8 , LUNDI 29,

MARD I 30 OCTOBRE 4888, à u n e heure , \

E t jo u r s su ivan ts , d la m êm e heure , s’i l y a lieu ,

P a r lem in istè i e d u d it M* L b v a ir e , huissier.

n n iDoi9 ap rès chaque tirag e ; mais la Compagnie a fa it conna itre que, m oyennant un escompte calculé sur le pied de 3*/« l 'a n , le paiem ent des

‘ lots sera it fa it à ses caisses ou chez ses correspondaD ts,& l'expirationducourt - délai nécessaire p o u r la vérification des titres.

Outillage d*AmateursG X f > ’l I V 0 1 . 1 8 X l l l E : 8Scies-H écaniques,p lus de 50 modè­

les, tours de tous systèm es. Dessins et F o u rn itu resp o u r Découpage, O u tilsd e toutes so rtes .—3 D ipldm esd 'H onneur.

Le Tarif-A lbum , 200 pages e t plus de 500 g ravures ; fra n co con tre 65 c ., T ib r s o t , 46, ru e des G ravilliers, PARLS.

45 O ctobre.à tro is heures. Ainsi qu'on l'av a it annoncé, téus les lots o n t été attribués à des obligations placées.

Aux term es du prospectus d ’émis- dee lots es t payablesion , le m ontant d

CANAL DH; panamaLe tirag e des obligations à lots de

la Compagnie de P anam a a eu lieu le

DHE4HDM A OIFBBSU n e anotennê Com-

p a ir n i e d*A ssu i*a n o e s con tre l*lneendie e t sur la Vie» dem ande d e s Courtiers dan s ie s com m unes d e l'ar­ron d issem en t d e Sen tis.

S 'ad re sser a u Bureau d u Jo u rn a l.

m r Af* DIB8JARMIVS,ch audronn ier - plom bier à S en lis, dem ande un ou vrier sachant trava ille r le p lom b , le zinc e t le cuivre.

On dem ande u n e fille ou uue veuve, d e 25 é 45 an s , pour faire la cu isin e e t la nasse- cour.

Bonnes Références.S ’adresser au Bureau d u jou rnal.

MMT m . BA R R IFR , épicier, 42, rue d e P aris , é C hantilly , de­m ande d e su ite un Commis bien au courant.

BRIQUETERIE DE SENLISRoule de Crépy, près la Gare.

Félix LAU^NTTàrMÔntlévêque.Représenté par M. Francis DEVAUX,

C hem tn la téra l, près d u P on t d u Chem in de F er, 4 SE N LIS .

Depuis p lusieurs années , ces B riques, fabriquées avec une excellente terre arg ileuse, son t reconnues de qualité supérieu re p a r tous les Architectes et E n trep reneurs qui tes on t employées.

U n S tock de uu m illion de Briques, à la m ain e t à la presse, es t toujours d isponible. _______________

Les C om m andes peuvent être adressées :A M. F é l i x LAURENT, B riquetier-C arrier, ru e de Meaux, n* 23» à Moot-

lèvèque ;Ou à M . F r a n c is DEVAUX, à S en lis.

Un Dépôt de Briques est toujours à la disposition des Clients, à Montlévêquey rue de Meaux, îî.® 23.

E U G . I \O G Q E T M A S S EA I N O Y O I V ( O i s e ) .

MAISON FONDÉE EN 1850 — MEDAILLE D’OR

E N G R A I S C H I M I Q U E SMatières premières. — Sels pour l'Agrlcultore.

Tourteaux de toutes provenances. — Blés de semence.

Garantie d’Analyse. — FadU tés de paiement.

V E N T E AUX C O N D IT IO N S D ^ S SY N D IC A TS A G A IC O LES(Voir les cours du derDinr Bullelin de l’Union des Syndicats et du Syndicat

central des Agriculteurs de France),

V A Wsolxx!ble

I I O E T E Wezx jDou.cti'©.

E tude de M® L e n i c q u c » no taire â N anteuil-le - lla u d ouin (O ise).

A v e n d r e p s r s u U n d l c a i l o n/® 4 hect. 68 ares 60 cent, de

T erre Labourabl eEn 4 P ièces, te rro ir de Silly-le-Long,

Le Dim anche 28 Octobre, à / heure, En la Maison d'Ecolede Silly-le-Loag,

i " 2 hect. 93 ares 80 cent, de

T E R R E LA B O U R A B L EEn 3 P ièces, te rro ir de Bouilluncy,

Le D im anche 44 Novembre, d 4 heure . En la Maison d'Eoole de Chevrevillo,

P a r le m in is tè re de .M® Lenicque.

MÊMB ÉTUDEA v en d reu m rad jiidlcAtloBi ' 6 heotarti 01 are 06 caDtiares

DE

T E R R E LABOURABLEEn 44 P ièces, te rru ir de BARON,

Le O im anehe 48 Novembre, â 4 heure .En la Maison d’Ecole de Baron,

P a r le m in istère de M* L r n ic q u i, notaire, A N antenil-le-H aiidouln .

" E l u d ^ 3 ^ M L e f r m M î 7 ^ 0 l â l r o & V erberie.

Marché de Terre et PréAux terro irs de VERBERIE e t S t-

VAAST-Dë -LOXGMONT,A M / im e f fNv** A f ^ H o U tm lf c N

IN TOTAIATÉ OU KN DÉTAILLe D im anche 28 Ootobre 4888,

à u n e heure.En l ’é to d e e tp a r le m inistère

LiMANÇ, notaire A V erberie .

BRILLANTOR DIAMANTPour U i^ lU a a g e , le A«ee*ya0e et M J l« in 4 « e a n « H / On <* ti« I r a «M étoM a,

OrMSBOOBODI, ■•.Km NCeoAoruiitiLVAIUaDépôt chez M . P o i n t u , 35, G rande

, G v e n i s o i v[certaine et radica le de toutes les affections de la jPeau, dartres, ecxémas, ipsnrasis, a cn é , e tc ..., môme des plates e t u l ­cères v a r iq u e u x , consi- lérés comme incurables

es plus célébrés mé- Jdecins — Le traitem ent

^ P lI B n ’exige aucun régim ep a r tic u lie r^ l ne dérange pas du tra ­vail, il peut ê tre suivi partout, m ême en voyage; il es t à la portée des plus petites bourses e t dès le deuxièm e jo u r il p roduit une am élioration très

S ’ad resser à M. LENORMAND, m édecin-spécialiste A M elun, 44. rue Sain t-L iesne (.Seine-el-M arne). Conroltstions gratnitea par oorrespoodanoe

J 'd lG IfD I ' A tous, hom m es ou dam es, W r f n i i 20 ù 59 fr. p a r jo u r, pour

offrir a r tic le b reveté, que chacun désire posséder, d e rn iè re découverte (trè s séH eux). S e dem ande par quan tité . S ’ad resser avec tim bre- poste pourréponse, A M. DR BOYÉP.ES, 473, boulevard M urât, Paris.

LA SÉGUItlTÉ AGItIGOLËAssaranee contra la Mortalité des BeiUani.

45® ANNÉE d’e x is ten c e A yant toujours payé intégra lem ent

ses s in is tre s , dem ande des Agents G énéraux. — A ppoin tem ents, ou fortes rem ises etg ra tillca tions. E crire au D irecteur, m e Lafayette, n® 494, PA RIS.

C A C A Opxir ©-fc

Le C a c a o VAN IIOUTEN, est un p roduit a lim entaire qui m érite l’altenlion de toutes les familles qu i aim ent un a lim en t n o u rrissa n t e t en m ême temps d igestif e t délicat.

I n demi Kilogramme sufQt pour 4(10 Tasses de Ghocolat.L e C a c a o VAN HOUTEN se vend en boites cy lindriques de 4/2, 4/4 e t 4/8

kilogram m e, poids net, aux prix de frs. 5 » — , frs. 3»tiO e t frs l » d ( 0 et se trouve dans toutes les bonnes épiceries, pharm acies e t confiseries.

A S E N LIS : chez M. DÜFOÜRMENTEL, 2 , ru e de l’A pport-au-Pain .A C H AN TILLY : BARRIER, négociant, 43, ru e d e P aris.

F A B R IQ U E S P E C IA L E D EBANDAGES sans RESSORT

(Systèm es nouveaux brevetés).

REAL 8 TELLIER frères , B andagistes-H erniairesR u e R obcrt-de-L uznrches, S I ,

A . A . I k Æ I E : N S

C es B a n d a g e s s o n t s u p é r ie u rs à to u s c e u x co n n u s j u s q u ’à ce j o u r p o u r le m a in tie n ra d ic a l e t c o n s ta n t des

Hernies et Descentes îlmes a n s a u c u n e so u ff ra n c e e t s a n s a u c u n e g ên e . D e n o m ­b re u s e s g u é r iso n s o n t é té c o n s ta té e s p a r le s m édecins.

M . R É A L se re n d ra av e c u n a s s o r tim e n t d e ces B a n d a g e s , C e in tu re s é la s t iq u e s . V e n tr iè re s e t H y p o g a s - t r iq u e s . B as é la s t iq u e s p o u r v a r ic e s , P e s â a ir e s , In jec - t e u r s , S u sp e n so irs u r in a u x , e tc .

A COMPIÈGNE, Hôtel do F la n d re (p rès de la riv ière), le Sam edi 27 Octobre. A CREIL, Hôtel du Commerce (chez M. DEBRAY),le Dim anche 28 Octobre. A BEAUVALS, H ôtel du Cygne (jplace de l ’IIà te l-de-V U lé), le prem ier

sam edi d e chaque m ois.Bandages, ce in tures, bas et appareils spéciaux p o u r fem m es, supportés

sans a u c u n e souffrance et g a ra n tis contre hern ies, varices, m aladies ou abaissements et descentes de la m a trice, hernie a u nom bril et guérison rapide des plaies e t ulcères, va r iq u eu x a u x jam bes.

Evitez les contrefaçons e t conservez cette adresse.LES CONSULTATIONS SONT GRATUITES

EAU GAZEUSE DIGESTIVES o u rc e d ’Avai, CREIL,

(P R È S CHANTILLY)

E.A CUEVAJLMÈBE, Abainthe de» Chevalier» de la Chaalellenie de Creil.

. ^ T N Æ J E à F l r . S F O n l ' , à L i a C i é l e x - i s i x l e ,LA GÈLERISETTB, Liqueur de» Dames.

LEFORT, 53, quai d’Aval.à CREIL.

DINB DE LA

■M TM im•, et*, —1355JGSTK

POUR REUSSIR A LA BOURSE IL FAUT UN GUIDE Acosujei Ooti© Z-iibx-é d© r*ai*is (tO° Année)rappelle que les agents qu ’e lle possède d an s tontes les classes de la Société la tien n en t journellem en t au courant desp ro je tt d e la haute finance e t des événem ents ̂ — “ * — i..iperm is d 'in d iq u er ù ses clien ts les opérations

uolitiquesA p rév o ir . Ce sont ces renseignem ents qu i lu i o n t toujours le s plus fructueuses à engager.

■ i*»pnn*tpm lD é j^ t à S enlis, chez M. IVOREL^ m alM n Ménahd._

Ê n eo i g r a tu it de la C irc u la ire /iÂllfSDièfe <ruotiditnne s u r dem ande a u D irecteur, 44, r u e de Provence^ Paris.

F . —5 K J R E . » .

E X T H Â C T I O H

I M U R I ^ b A T I O N

T u X » . >»i* YDI» < • Sm U», »Mi MpUnUw 4» I» m u n i t ê«X Î M S h i H t i ê t ê l M M t l *

t t a l i » . tam U M ik M U O i^ u jU a i B u m fr A ttN , Ut H t l u u l lM t l iE I l .I « • nU M bêt-Y U I^ t « u l h