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Publié le 02 février 2012 à 18h29 | Mis à jour le 02 février 2012 à 18h29 Don aux petits déjeuners Le programme Petits déjeuners de l'école élémentaire catholique Saint- Joseph de Wendover a reçu un don de 500 $ le 23 janvier dernier lors de la réunion mensuelle régulière de la municipalité d'Alfred-Plantagenet. Sur la photo, la responsable du programme, Chantal Harrigan, reçoit la somme du maire, Jean-Yves Lalonde, sous l'oeil attentif du conseiller municipal Raymond Fredette. Michel Picard au Centre Séraphin- Marion Michel Picard, le chef d'antenne du Téléjournal Ottawa-Gatineau, sera au Centre Séraphin-Marion d'Orléans pour animer un dîner- conférence le 7 février, à compter de 10 h. M. Picard parlera du mandat de Radio-Canada dans la région, de la francophonie, de ses défis quotidiens et des 75 ans de la télévision nationale du Canada. La conférence est gratuite, et les réservations ne sont pas nécessaires. Le dîner, qui commencera à 11 h 45, est payant. Les billets, à acheter d'ici demain, sont disponibles au coût de 9 $. Appeler au 613-830-7611 pour obtenir des places. Prix Grandmaître et aux Lauriers 2011 L'ACFO Ottawa a annoncé cette semaine les finalistes pour le Prix Bernard Grandmaître et les Lauriers 2011. Les prix seront remis lors d'un gala le 23 février, au Centre national des arts. Jean-Jacques Blais et Gilles Levasseur sont en compétition pour le Prix Bernard Grandmaître. Umoja Espoir, le Muséoparc Vanier et le Centre franco-ontarien des ressources pédagogiques se disputeront le Laurier l'Express de l'organisme de l'année. Raymond Jacques, Georges Orfali et Najat Ghannou sont les finalistes au Laurier Caisses populaires de la région d'Ottawa de l'intervenante en éducation de l'année. Deux Gilles, Levasseur et Laporte, sont en lice pour le Laurier CEPEO du citoyen de l'année, tandis que Kathleen Stokely est la seule candidate au titre de francophile de l'année TVROGERS. Enfin, Chanel Fournier et Michelle Lafleur symboliseront la relève, étant toutes deux en nomination au titre de Laurier VIRTUO.CA Jeunesse de l'année. Il faut composer le 613-744-8982 pour se procurer des billets. Soirée d'excellence en arts Le Centre d'excellence artistique (CEA) de l'école secondaire publique De La Salle invite la communauté entière à venir découvrir ses jeunes artistes à travers les huit concentrations qui composent son offre de service, à la salle Harold Shenkman (245, rue Centrum, Orléans) le jeudi 9 février, à compter de 19 h 30. Le Centre d'excellence artistique de l'école secondaire publique De La Salle offre depuis presque 30 ans une formation poussée aux élèves de la 9e à la 12e année. Les disciplines artistiques enseignées sont la danse, les arts visuels et médiatiques, l'écriture et la création artistique, la musique vocale et instrumentale, le cinéma et la télévision ainsi que le théâtre. En plus de spectacles et d'un vernissage, tous les fonds recueillis à la soirée seront remis au programme ELF (Enriching Life Fund) du centre de santé mentale du Centre Hospitalier de l'Est-Ontario (CHEO). Les billets sont Samuel Blais-Gauthier, LeDroit Samuel Blais-Gauthier Le Droit Page 1 sur 2 Don aux petits déjeuners | Samuel Blais-Gauthier | Vie communautaire 2012-02-03 http://www.cyberpresse.ca/le-droit/vie-communautaire/201202/02/01-4492046-don-aux-...

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Publié le 02 février 2012 à 18h29 | Mis à jour le 02 février 2012 à 18h29

Don aux petits déjeuners

Le programme Petits déjeuners de l'école élémentaire catholique Saint-Joseph de Wendover a reçu un don de 500 $ le 23 janvier dernier lors de la réunion mensuelle régulière de la municipalité d'Alfred-Plantagenet. Sur la photo, la responsable du programme, Chantal Harrigan, reçoit la somme du maire, Jean-Yves Lalonde, sous l'oeil attentif du conseiller municipal Raymond Fredette.

Michel Picard au Centre Séraphin-Marion

Michel Picard, le chef d'antenne du Téléjournal Ottawa-Gatineau, sera au Centre Séraphin-Marion d'Orléans pour animer un dîner-conférence le 7 février, à compter de

10 h. M. Picard parlera du mandat de Radio-Canada dans la région, de la francophonie, de ses défis quotidiens et des 75 ans de la télévision nationale du Canada. La conférence est gratuite, et les réservations ne sont pas nécessaires. Le dîner, qui commencera à 11 h 45, est payant. Les billets, à acheter d'ici demain, sont disponibles au coût de 9 $. Appeler au 613-830-7611 pour obtenir des places.

Prix Grandmaître et aux Lauriers 2011

L'ACFO Ottawa a annoncé cette semaine les finalistes pour le Prix Bernard Grandmaître et les Lauriers 2011. Les prix seront remis lors d'un gala le 23 février, au Centre national des arts. Jean-Jacques Blais et Gilles Levasseur sont en compétition pour le Prix Bernard Grandmaître. Umoja Espoir, le Muséoparc Vanier et le Centre franco-ontarien des ressources pédagogiques se disputeront le Laurier l'Express de l'organisme de l'année. Raymond Jacques, Georges Orfali et Najat Ghannou sont les finalistes au Laurier Caisses populaires de la région d'Ottawa de l'intervenante en éducation de l'année. Deux Gilles, Levasseur et Laporte, sont en lice pour le LaurierCEPEO du citoyen de l'année, tandis que Kathleen Stokely est la seule candidate au titre de francophile de l'année TVROGERS. Enfin, Chanel Fournier et Michelle Lafleur symboliseront la relève, étant toutes deux en nomination au titre de Laurier VIRTUO.CA Jeunesse de l'année. Il faut composer le 613-744-8982 pour se procurer des billets.

Soirée d'excellence en arts

Le Centre d'excellence artistique (CEA) de l'école secondaire publique De La Salle invite la communauté entière à venir découvrir ses jeunes artistes à travers les huit concentrations qui composent son offre de service, à la salle Harold Shenkman (245, rue Centrum, Orléans) le jeudi 9 février, à compter de 19 h 30. Le Centre d'excellence artistique de l'école secondaire publique De La Salle offre depuis presque 30 ans une formation poussée aux élèves de la 9e à la 12e année. Les disciplines artistiques enseignées sont la danse, les arts visuels et médiatiques, l'écriture et la création artistique, la musique vocale et instrumentale, le cinéma et la télévision ainsi que le théâtre.

En plus de spectacles et d'un vernissage, tous les fonds recueillis à la soirée seront remis au programme ELF (Enriching Life Fund) du centre de santé mentale du Centre Hospitalier de l'Est-Ontario (CHEO). Les billets sont

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en vente au coût de 10 $ pour les adultes et de 5 $ pour les étudiants, au centre Shenkman (613-580-2700) ou au Centre d'excellence artistique (613-789-0053 poste 542) et à la porte, le soir du spectacle.

L'Affaire Tissot

Dans le cadre de la série de causeries du Muséoparc Vanier, Raymond Ouimet fera une présentation sur l'Affaire Tissot, le mercredi 15 février, à 19 h. M. Ouimet fera découvrir l''ffaire Tissot, une campagne antisémite qui s''st déroulée dans la région au milieu des années 1930. Cette page inédite et explosive de l''istoire met en cause, au plus haut niveau de sa hiérarchie, l''rdre de Jacques-Cartier de même que de nombreux ecclésiastiques alors en poste d''utorité. En plus d'être l'auteur de neuf livres d'histoire, il est aussi président du Centre régional d''rchives de l''utaouais et chroniqueur historique à l''mission Divines tentations à la radio de Radio-Canada (Gatineau/Ottawa). Il publie des articles dans des magazines, participe à des émissions de télévision et est souvent invité comme conférencier. Coût d''ntrée 5$. Pour confirmer votre présence: [email protected]/ 13-842-9871.

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Williamson ne connaît pas la principale étude de son comité

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3 février 2012 Le Droit PHILIPPEPHILIPPEORFALI ORFALI porfali@[email protected] com

La Feuille de route pour la dualité linguistique ? Le remplaçant de Royal Galipeau au Comité des langues officielles, John Williamson, ne connaît pas.

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L’ex-directeur des communications du premier ministre, aujourd’hui député du Nouveau- Brunswick, a fait cette étonnante déclaration à sa sortie du comité, hier matin.

Interrogé par Ledroit à savoir s’il était i mportant pour l e comité de poursuivre l’étude de cette stratégie fédérale sur les langues officielles de 1,1 milliard $, M. Williamson a indiqué ne pas savoir ce

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dont il était question. « Non », a-t-il indiqué lorsqu’on lui a demandé s’il savait ce qu’était la « Feuille de route pour la

dualité linguistique canadienne 2008-2013 ». « La Feuille de route ? Écoute, ça fait deux jours que je suis membre du comité, alors… », a-t-il

confié. « Qu’est-ce que c’est ? » Depuis septembre, le comité des Communes s’est dévoué à la révision de la Feuille de route pour la

dualité linguistique, y consacrant la quasi-totalité de ses réunions, refusant d’étudier des dossiers d’apparence bien plus urgents.

Les obligations d’air Canada en vertu de la Loi sur les langues officielles, l’unilinguisme du vérificateur général et d’un nouveau juge à la Cour suprême ou encore l’abolition de postes d’enseignants de langues secondes à l’école de la fonction publique n’ont, par exemple, pas été abordés.

Les conservateurs, majorit aires au comité comme au Parlement, peuvent décider des dossiers qui seront traités ou non. Les quatre députés néodémocrates et le libéral Mauril Bélanger les accusent d’avoir paralysé le comité.

C’est sans compter l e huis clos auquel a systématiquement recours le gouvernement à chacune des réunions.

« Une perte de temps » « M. Williamson ne connaît pas l a Feuille de route ? Ça démontre à quel point le gouvernement est

sérieux pour les langues officielles », a opiné le député néo-démocrate d’acadie-bathurst Yvon Godin. Indiquant qu’il fallait donner la chance à M. Williamson de se familiariser avec les enjeux, Bernard

Trottier, désormais le seul conservateur francophone provenant de l ’ extérieur du Québec à siéger au comité, a qualifié celui-ci de « perte de temps ». « À l’heure actuelle, on n’est pas très productif. On parle de procédure, on ne parle pas des problèmes des communautés », a-t-il estimé.

S’exprimant plutôt bien en f rançais, M. Williamson est député de Nouveau-brunswickSud- Ouest depuis l e 2 mai dernier. Ancien président de la Canadian Taxpayers Federation, il a été directeur des communications du premier ministre Harper de 2009 à 2010. Environ 11 % de la population de sa circonscription est francophone.

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Un à Thurso

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3 février 2012 Le Droit JESSY LAFLAMME [email protected] [email protected]

Vingt élèves de l’école SainteFamille/aux Trois-chemins de Thurso participent à la création d’un musée virtuel dans le cadre du projet Culture à l’écoute.

Ces jeunes de la classe de formation préparatoire au marché du travail produiront, d’ici le 30 avril, un audioguide sur un élément culturel de la région. Ce petit vidéo d’une à quatre minutes se retrouvera sur le web, en juin 2012, afin de créer un musée du Québec à ciel ouvert. Il s’ajoutera ainsi aux balados réalisés dans différentes écoles québécoises, permettant de visiter les principaux attraits de la province à partir seulement d’un appareil connecté à Internet.

Il est encore trop tôt pour connaître le sujet exploité par les élèves de Thurso. Afin de les aider, ils assisteront à une présentation des aspects culturels de la région préparée par l’université du Québec en Outaouais.

Pour produire un audioguide de qualité, les adolescents devront peaufiner leur français ainsi que parfaire leurs connaissances en géographie et histoire.

Culture à l’écoute est une initiative des Services nationaux du Récit, un réseau de personnes-ressources au service du personnel scolaire des écoles du Québec qui travaille à l’intégration pédagogique des technologies de l’information et de la communication.

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Des sansabri servis par des élus ottaviens

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3 février 2012 Le Droit Ledroit

Une quinzaine d’élus municipaux d’ottawa se sont mobilisés, hier midi, pour servir quelque 400 repas chauds dans un refuge pour sans-abri.

Ils ont ensuite remis un chèque de 1300 $ à la Mission, sur la rue Waller, pour couvrir les coûts des repas.

C’est la deuxième année que les élus viennent apporter leur soutien en aussi grand nombre aux gens moins fortunés de la capitale.

« La générosité des donateurs et le soutien des bénévoles sont essentiels pour que la Mission continue à aider les plus vulnérables. C’est particulièrement vrai à cette période de l’année, lorsque le temps froid fait augmenter la demande pour de l’hébergement et d’autres ressources », a déclaré l’organisateur de l’événement, le conseiller Keith Egli.

La Mission héberge environ 245 bénéficiaires chaque nuit. Le refuge sert une moyenne de 1250 repas par jour.

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Une fonctionnaire réclame justice

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3 février 2012 Le Droit LOUIS-DENIS EBACHER

Louis-denis Ebacher [email protected]

Zabia Chamberlain, une Gatinoise âgée de 45 ans, était autrefois à la tête d’une vingtaine d’employés au ministère fédéral des Ressources humaines et du Développement des compétences. En 2007, son directeur général a transformé son milieu de travail en une prison psychologique.

Zabia Chamberlain parle de son ancien travail de haute fonctionnaire avec un mélange de haine et d’amour. Pendant 20 ans, les bons souvenirs et le bonheur au travail l’ont rendue heureuse. Mais tout a basculé en 2007. Depuis, c’est le cauchemar. Le ton de sa voix tremble lorsqu’elle raconte pourquoi elle se retrouve aujourd’hui devant trois différents tribunaux à expliquer que son ancien directeur général la harcelait à la rendre malade, et qu’elle en paie toujours le prix.

Mme Chamberlain, une Gatinoise âgée de 45 ans, était autrefois à la tête d’une vingtaine d’employés au ministère fédéral des Ressources humaines et du Développement des compétences. Une cadre respectée et dédiée à son travail. « La moitié de ma vie », dit-elle. En 2007, son directeur général a transformé son milieu de travail en une prison psychologique.

Le directeur en question, que Mme Chamberlain et ses conseillères juridiques ne veulent pas nommer, aurait harcelé la dame au travail, la touchant de façon inappropriée. Des attouchements sexuels répétitifs se sont produits, jure-t-elle.

Le directeur général se serait introduit dans sa vie personnelle, et professionnelle, allant jusqu’à se

ETIENNE RANGER, Ledroit

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laisser choir sur elle et caressant ses épaules. D’autres journées étaient marquées par des irruptions violentes du même homme dans le bureau de

la plaignante. Claquages de porte, cris et insultes ont empêché la femme de dormir pendant plusieurs nuits marquées de cauchemars.

La femme, considérée comme une employée exemplaire, a multiplié les congés de maladie jusqu’à ce que l’employeur lui reproche ses absences répétées. Son « départ » est en fait une « démission forcée » selon elle. « J’ai été involontairement mise à pied. Pourquoi on ne veut pas me réintégrer ailleurs ? » demande-t-elle.

Après une enquête interne confirmant l e conflit et l es actions du directeur général, il a été proposé à Mme Chamberlain d’occuper un autre poste inférieur dans la fonction publique. Pendant ce temps, le directeur a reçu les services d’un coach pour lui rappeler certaines notions de savoir-vivre et l’aider à gérer son agressivité.

Mme Chamberlain a refusé l’emploi inférieur et est aujourd’hui sans emploi. Elle n’en revient toujours pas. « On aide qui dans tout ça ? Cet homme a même été promu à un autre poste. Moi je suis prise à la maison, malade. »

Mme Chamberlain, aidée de deux conseillères juridiques, donne sa version des faits devant la Commission des relations de travail depuis mercredi. Parallèlement, la Cour fédérale et la Cour d’appel fédérale entendent aussi sa cause.

L’ex-fonctionnaire demande réparation, excuses et justice. « Ce n’est plus seulement une question de harcèlement et de salaire. C’est devenu un débat sur l’inaction du gouvernement qui ne réagit pas ! Je demande depuis trois ans l’intervention du gouvernement. Pourquoi je dois aller à la Cour fédérale pour demander un bon travail auprès de mon employeur que j’ai servi pendant 20 ans ? »

Selon elle, les cadres de la fonction publique sont de plus en plus sujets à l’isolement lorsqu’ils montent dans l’échelle professionnelle. « Je me sentais seule et non protégée pendant que mon employeur me harcelait. J’étais surchargée de travail et en même temps, il fallait accomplir les tâches. Ce harcèlement était dégoûtant. »

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Facebook facing its fears

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Article rank 3 Feb 2012 Ottawa Citizen BRIAN WOMACK

IPO documents cite Google+, mobile shift as potential risks

Facebook Inc., the social network that filed for an initial public offering Wednesday, listed rivalry with Google Inc., regulatory scrutiny, hacker attacks and the shift to mobile technology among the risks it faces.

As Facebook’s popularity soars, the company has said it faces ‘significant competition’ in several aspects of its business, the largest threat to growth being Google.

Facebook’s competition with Google, Twitter Inc. and other social-networking providers could impede growth, the company said in the risk-factors section of its filing. Facebook also said it would face competition in China if it manages to gain access to that market, where it’s currently restricted.

“Certain competitors, including Google, could use strong or dominant positions in one or more markets to gain competitive advantage against us in areas where we operate,” Facebook said. Their tactics may include “integrating competing socialnetworking platforms or features into products they control,” the company said.

Facebook, the world’s biggest social-networking service, has attracted more rivals as its popularity among users and advertisers soars. The company said it faces “significant competition” in almost every aspect of its business.

PETER FOLEY, BLOOMBERG

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The company also cited concerns about its mobile strategy. Almost all of its revenue comes from ads delivered to computers, not phones and tablets. Facebook’s mobile software currently generates no “meaningful revenue,” the Menlo Park, California-based company said.

Facebook further cautioned that key mobile devices, such as Apple Inc.’s IOS products and gadgets running Google’s Android software, may not feature Facebook in the future. If either of these companies gives preference to another social network — say, if Google promotes its own Google+ more aggressively — Facebook’s growth could be jeopardized.

Bigger pitfalls could yet emerge, said Kevin Landis, the portfolio manager for the Firsthand Technology Value Fund, which holds Facebook shares. Google, for instance, couldn’t have foreseen the emergence of Facebook in 2004, when it went public.

“Let me put it this way: If you go back to Google’s S-1 in their risk factors, there’s no mention of Facebook,” Landis said. Facebook was founded in 2004.

Facebook also has considered entering China, which would bring its own challenges. The country has censorship laws that have kept Facebook and other social-media companies, including Twitter Inc. and Google’s Youtube, from operating there.

“We continue to evaluate entering China,” Facebook said. “China is a large potential market for Facebook, but users are generally restricted from accessing Facebook from China. We do not know if we will be able to find an approach to managing content and information that will be acceptable to us and to the Chinese government.”

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Facebook: Regulatory worries

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Article rank 3 Feb 2012 Ottawa Citizen BLOOMBERG NEWS

Another risk: Facebook relies on Zynga Inc. for 12 per cent of its revenue, according to the filing. San Francisco-based Zynga is the biggest developer of Facebook games, including Cityville and Texas Holdem.

The revenue comes from Zynga’s sales of virtual goods and from direct advertising purchased by Zynga. In addition, Zynga produces a “significant number” of pages on which Facebook displays ads.

The dependence goes both ways. Zynga gets more than 90 per cent of its revenue from the social network.

“If we are unable to successfully maintain this relationship, our financial results could be harmed,” Facebook said of Zynga.

The IPO filing helped make Zynga investors more bullish on that stock. Zynga shares jumped 17 per cent to $12.39.

Facebook also said it faces pressure from governmental bodies. It’s possible that a regulatory inquiry might lead to changes to policies or practices, the company said.

“Violation of existing or future regulatory orders or consent decrees could subject us to substantial monetary fines and other penalties that could negatively affect our financial condition and results of operations,” according to the filing.

Facebook agreed last year to settle complaints by the Federal Trade Commission that it failed to protect users’ privacy or disclose how their data could be used. The proposed 20-year agreement would require Facebook to get clear consent from users before sharing material posted under earlier, more restrictive terms, and it would include independent reviews of Facebook’s privacy practices.

The U.S. Securities and Exchange Commission, meanwhile, is probing transactions involving shares of closely held companies, including Facebook. Secondary exchanges, such as Secondmarket Inc. and Sharespost Inc., have been used to buy and sell Facebook stock ahead of the IPO.

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Facebook’s board of directors: Only white males need apply

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Article rank 3 Feb 2012 Ottawa Citizen CAROL HYMOWITZ BLOOMBERG NEWS

Some are questioning online giant’s lack of a diverse leadership

Most of Facebook Inc.’s more than 800 million users are women. You wouldn’t know it from looking at the board, whose seven directors are all men.

U.S. President Barack Obama is shown at a meeting with CEO Mark Zuckerberg at Facebook headquarters in Palo Alto, California, in April 2011. Critics say the lack of female representation among Facebook’s leadership shows its business strategy is faulty.

The disconnect puts the socialmedia company at odds with others in the industry that have at least one female director, including Linkedin Corp. and Google Inc., and from most big public companies in the U.S. Just 11.3 per cent of the Fortune 500 had male-only boards last year, according to Catalyst, a New Yorkbased non-profit that researches women and business issues.

“We’re long past having to defend or explain why women should be on boards, given all the data that shows how companies with female as well as male directors perform better,” said Anne Mulcahy,

JIM YOUNG, REUTERS

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Page 23: Publié le 02 février 2012 à 18h29 Don aux petits déjeuners

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former chairman and chief executive officer of Xerox Corp. and a director at Johnson & Johnson Co., Target Corp. and Washington Post Co. “It’s unfortunate when companies with a large percentage of women constituents don’t reflect that in their boardrooms.”

A Catalyst survey of Fortune 500 companies found that those with three or more female directors outperformed those with fewer between 2005 and 2009, achieving on average 43-per-cent better return on equity. As Facebook prepares to raise $5 billion in an initial public offering, the composition of its board shows its business strategy is faulty, said Susan Stautberg, co-founder of New York-based Women Corporate Directors, which promotes female board membership.

“It doesn’t make sense for a company that claims to be so forwardlooking to not have any women directors,” she said. “If they just have an old boy’s network in the boardroom, they won’t have access to diverse ideas and strategies.”

Facebook, which began eight years ago in a Harvard University dorm room, had sales of $3.7 billion in 2011. Fifty- eight per cent of its users are women, according to a 2010 survey by the Pew Internet and American Life Project that found women spend more time than men making status and profile updates and commenting on others’ posts.

The board’s makeup is surprising considering Facebook’s chief operating officer, Sheryl Sandberg, is an outspoken advocate for gender equality, said Malli Gero, executive director of 2020 Women on Boards. The public face of the Menlo Park, California-based company, Sandberg, 42, is Facebook’s best-paid senior executive, receiving $30.9 million in compensation last year. She may own up to 1.7 per cent of the company after the IPO, and at the top end of the valuation range expected for the offering, her stake may be worth $1.7 billion.

“It’s surprising and disappointing that Facebook has zero female directors because Sandberg is so powerful at the company and so outspoken in favour of women advancing,” said Gero, whose Bostonbased non-profit is campaigning for 20 per cent female representation on U.S. boards by 2020.

Sandberg, a Walt Disney Co. director, is a frequent speaker at conferences and was co-chairman of the World Economic Forum in Davos, Switzerland.

Sarah Feinberg, a spokeswoman for Facebook, declined to comment on the board’s composition. Its makeup clashes with the networking website’s ambition to be an agent for equality and

openness, Stautberg said. Mark Zuckerberg, the 27-year-old founder, chairman and CEO, wrote in a letter submitted with the

IPO filing that Facebook’s “social mission” is “to make the world more open and connected” and “give everyone a voice and to help transform society for the future.”

Zuckerberg has 56.9 per cent voting control of Facebook shares, which some corporate-governance experts have said gives one person too much power.

The other directors are Donald Graham, chairman and CEO of The Washington Post Co.; venture capitalist Marc Andreesen, co-founder of Netscape Communications Corp., James Breyer, CEO of Breyer Capital; Peter Thiel, co-founder of Palantir Technologies Inc. and a fund manager at Clarium Capital LLC; Reed Hastings, chairman and CEO of Netflix Inc.; and Erskine Bowles, president emeritus of University of North Carolina.

It’s a board drawn largely from the male investor community as is often the case at Silicon Valley startups, said Mulcahy, who groomed Ursula Burns to succeed her at Xerox, where four of 11 directors are women.

As Facebook and other young companies mature, “they need to break out of this pattern and have more diverse representation,” said Mulcahy, who is chairman of Save the Children Inc. “And women also need to be better represented in the private equity industry.”

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‘We need to know our history,’ students say

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Article rank 3 Feb 2012 Ottawa Citizen KATIA DMITRIEVA

Hillcrest High School club honoured recently by city for educational efforts

Every Wednesday at lunch, in a classroom on the second floor of Hillcrest High School, the members of the school’s Black History Month club meet to learn, debate and promote black Canadian history.

Students Faduma Mahmoud, left, Robel Yosef, teacher Mary Enns and Maka Mohamed are part of a group at Hillcrest High School that has received an award from the city for raising awareness of Black History Month.

Although only a year old, the group was honoured last week with a community builder’s student leadership award from Black History Ottawa. The photos from the award ceremony, attended by Mayor Jim Watson, are in a display case at the front entrance of the school.

The group’s goals are to raise awareness — through activities, discussion, and videos — of the contributions of black Canadians.

“We need to know our own history before we learn someone else’s,” said Robel Yosef, whose family is from Ethiopia. “We learn about Caucasian history, but not about our own.”

He said that being a part of the group is empowering, since he never learned about the history of

CHRIS MIKULA, THE OTTAWA CITIZEN

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black Canadians in elementary school. At the group’s core are three passionate teens and one unique teacher. Faduma Mahmoud and

Kimberly Jean, who has since moved away, started the club one year ago out of a sense of injustice. It was February and Hillcrest didn’t have any activities planned to commemorate Black History Month.

“I was angry,” said Mahmoud, whose friends at other high schools talked about workshops and special events. “I thought ‘why not?’ The school needs to be educated on black history. It’s important.”

They approached their teacher, Mary Enns (Miss Enns as they all call her) for advice. But it wasn’t until the CBC’S Adrian Harewood took the teens on a tour of the studio that they began

thinking of starting a group. After walking through the studio, Harewood took them all for lunch. The club formed over slices of pizza.

After that, Yosef recruited Maka Mohamed and they quickly found 13 students to attend the Black Youth Conference in Toronto.

The walls of the room they meet in weekly are dotted with photos of historic figures like Ghandi, various world maps, and posters with information on world religions.

Enns facilitates the meetings and leads ice breakers — activities meant to make the students feel comfortable with one another.

“History is really just telling stories, so we start from ourselves and our own experiences” Enns said. “Then we just keep building. It’s a fabric that we weave.”

All three of the teens agree that Viola Desmond is a role model, and that they would have never heard of her if it weren’t for their devoted teacher. Desmond was a black woman who in 1946 refused to sit in the balcony at a theatre in Nova Scotia and instead sat on the main floor with white people. She was arrested and fined. Desmond was eventually awarded a posthumous pardon and was featured on a postage stamp.

The trio is adamant on why it’s important to keep history alive. “Once people start forgetting about history, they tend to repeat it,” said Mohamed. “And that’s not

something we want to have.” Controversial topics often crop up — in one session they discussed the ‘N’ word. It was a lively chat,

especially because the group is so diverse. On any given day, the seats are occupied by Indian, Cambodian, and black students whose backgrounds range from the Caribbean to Sudan.

The students say they’ve experienced some racism in the hallways of their school before, but believe that with awareness and knowledge comes respect.

“We want (black history) to be like English class,” said Mahmoud. “Our passion goes beyond February,” said Mohamed. “Education never stops.”

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