8
www.expertetfinance.fr LA LETTRE D’INFORMATION EXPERT & FINANCE - N°32 1 er QUADRIMESTRE 2016 SÉCURISER ET DIVERSIFIER VOS ACTIFS PATRIMONIAUX

QUADRIMESTRE 2016 1 LA LETTRE … · santé obligatoire depuis le 1er janvier 2016 ! En tant que nouvelle PDG ... cette allocation. E&f : Justement, comment se ... il est important

Embed Size (px)

Citation preview

www.expertetf inance.fr

LA LETTRE D’INFORMATION EXPERT & FINANCE - N°32

1er Q

UAD

RIM

ESTR

E 20

16

SÉCURISER ET DIVERSIFIER VOS ACTIFS PATRIMONIAUX

Depuis quelques années, les marchés financiers tendus soufflent le chaud et le froid sur nos émotions : d’envolées superbes en tempêtes déchaînées, en passant par des calmes plats inexpliqués… La sécurisation des portefeuilles est souvent préférée par nos clients, par rapport à une course incertaine aux rendements face à des marchés volatils.

L’accompagnement prend alors tout son sens, pour lutter contre ces vents et marées : notre conseil pour ce premier quadrimestre est de vous inciter à la diversification. Voyez avec votre conseiller quelle allocation d’actifs serait la plus opportune, s’il est pertinent d’investir sur vos contrats d’assurance-vie et analysez avec lui les solutions d’investissement immobilier que nous pouvons vous proposer pour faire fructifier votre patrimoine.

Pour ceux qui voudraient allier l’aspect financier et l’environnement immobilier, les FPCI, et notamment celui que l’on vous présente dans cette lettre, représentent un atout intéressant à plusieurs titres dans un portefeuille d’actifs diversifié. Si les vents vous ont été favorables, en immobilier et/ou en financier, vous êtes peut-être soumis au paiement de l’ISF. Dans ce cas, vérifiez les solutions qui s’offrent à vous pour optimiser son montant via la transmission, l’arbitrage ou l’investissement.

Enfin, faites un point météo sur vos connaissances : sur la souscription d’une assurance-vie, et pour les dirigeants d’entreprise, sur le sujet ô combien commenté par les médias mais pas forcément en place dans toutes les entreprises, à savoir la complémentaire santé obligatoire depuis le 1er janvier 2016 !

En tant que nouvelle PDG d’Expert & finance, je m’engage à renforcer les atouts qui ont fait que vous avez, un jour et j’espère pour toujours, choisi de nous faire confiance.

Bonne lecture à tous,

Sonia FENDLER, Président-Directeur Général

Pour fêter Pâques avec vous, cette newsletter est un peu particulière. Si vous retrouvez le bon nombre d’œufs en chocolat qui ont été dis-séminés dans ces pages et répondez à notre enquête, vous recevrez une surprise chocolatée !

EDITO Profiter des opportunitéspatrimoniales

Depuis le début de l’année, le CAC 40 est en baisse et les oiseaux de mauvais augure évoquent les scenarii de 1998 et 2008. Pourtant plusieurs indicateurs semblent encourageants.

Comment réagir aujourd’hui face aux marchés financiers ?

« Il faut s’adapter à la mondialisation croissante et la digitalisation massive de l’économie. »

Interview d’Annie MARTINET-VILLALON, gérant des fonds Efim Alpha et Efim Sigma.

Expert & finance : Pouvez-vous nous préciser les spécificités de vos 2 fonds ?

A. MARTINET-VILLALON : Ce sont des fonds de fonds d’allocation avec un objectif de performance absolue de 4 % et 6 % respectivement. L’horizon de placement recommandé est de 5 ans. Ils ont très peu de contraintes d’allocation pour être capables de s’adapter aux conditions de marché changeantes. Ainsi si Alpha est limité à 60 % d’exposition aux actions, Sigma est quant à lui totalement flexible.

E&f : Quelle est votre philosophie de gestion ?

AMV : Notre approche est très patrimoniale. Nous nous efforçons de limiter au maximum les pertes des fonds dans des marchés ultra baissiers, avec pour cela des fonds peu contraints en termes d’allocation. Notre mise en œuvre est simple : nous analysons l’économie des différentes zones et les marchés financiers (valorisation, évolutions récentes). Ces analyses nous permettent de nous forger nos propres convictions. Avec l’aide d’un modèle quantitatif obtenu auprès de notre partenaire AAA nous définissons l’allocation optimale. Enfin, nous sélectionnons les meilleurs supports d’investissement pour construire cette allocation.

E&f : Justement, comment se répartissent les rôles entre Efim et votre partenaire Active Asset Allocation (AAA) ?*

AMV : Les modèles de notre partenaire nous permettent d’avoir une perspective chiffrée et statistique des marchés. Cet éclairage, dépourvu de biais subjectif, nous apporte une bonne dose de «rationnel» dans des marchés de plus en plus irrationnels. Au final, ils ne sont qu’une aide puisque c’est Efim qui est responsable de l’allocation par grande classe d’actifs, du choix des fonds sous-jacents et des décisions de gestion.

E&f : Comment les fonds traversent-ils les marchés chahutés que nous observons depuis l’été dernier ?

AMV : Dans des marchés volatils et baissiers, nous avons privilégié la diversification et nous nous sommes désengagés partiellement et progressivement des expositions actions. Ceci nous a permis d’amortir très largement les baisses. Depuis fin 2015, Efim Alpha baisse de -3,62 % et Sigma de -2,49 %. Sur la même période, le CAC 40 perd -5,98 % et l’Eurostoxx 50 de -9,67%.

*Efim Alpha et Efim Sigma sont gérés par Efim depuis le 15 juillet 2015. Ils étaient précédemment gérés par La Française AM.

1 Réserve Fédérale Américaine2 qui a encore perdu 19 % du 31 décembre au 15 février3 vs le dollar

L’année 2015 a été très chahutée. Après un bon début, les inquiétudes concernant la croissance mondiale, les actions de dévaluations des chinois sur leur devise, le scandale Volkswagen ou encore l’attente d’une remontée des taux par la FED1 ont conduit les classes d’actifs les plus risquées à la baisse.

Quant au début d’année 2016, c’est l’un des pires jamais connus sur les marchés financiers. Et ce n’est probablement pas fini ! Depuis plusieurs mois, la révision à la baisse de la croissance chinoise et sa probable influence sur les prix du pétrole2 semble être le prétexte idéal à des ventes massives d’actions.

Pourtant, la situation est-elle si catastrophique ?

Plusieurs indicateurs semblent encourageants : le FMI prévoit une croissance mondiale de + 3,4 % en 2016 ; la croissance chinoise est en baisse mais de façon constante et maîtrisée, les entreprises européennes bénéficient de la baisse du prix du pétrole, d’un Euro faible propice aux exportations3 et de carnets de commandes garnis. Enfin, les banques centrales (Japon, UE…) mettent tout en action pour relancer et soutenir les économies. Dans ce contexte, il faut s’adapter à la mondialisation croissante et la digitalisation massive de l’économie qui nous obligent à repenser nos logiques financières. Ainsi, le potentiel de croissance américain est probablement plus proche de 2,5 % que de 3,5 % comme cela était communément admis. Les taux devraient rester encore longtemps à leurs plus bas historiques. La volatilité des marchés n’est pas près de s’arrêter et ces derniers resteront éloignés des réalités économiques.

Alors comment réagir ?

La diversification des actifs est essentielle pour 2016. Il faut également conserver un horizon long terme qui permettra de bénéficier d’un retour des marchés à davantage de raison et de cohérence par rapport à la situation économique réelle.

Annie MARTINET-VILLALON, Président, Efim

Investir dans l’immobilier parisien et profiter des avantages fiscaux du FPCI

La société de gestion Extendam, dédiée à l’investissement dans des actifs tangibles au travers de PME (immobilier, foncier d’exploitation, fonds de commerce …) gère notamment des fonds offrant la possibilité de participer à des opérations uniques de marchands de biens essentiellement dans Paris intra-muros ; à l’instar du FPCI* Paris Immo N°31.

Expert & finance a sélectionné Paris Immo N°3 dans un panel de fonds proposé à ses clients pour sa stratégie d’investissement claire et sélective. Christine ROYER, Responsable des Investissements Immobiliers chez Extendam revient sur la philosophie d’investissement de ce fonds, résolument tourné vers l’immobilier parisien.

Expert & finance : Pourquoi avoir choisi de créer une gamme de fonds spécialisés dans des opérations uniques de marchands de biens ?

Christine ROYER : L’acquisition en blocs d’immeubles résidentiels parisiens permet de bénéficier de valeurs décotées de l’ordre de 20 à 30 % par rapport à l’acquisition par lot. Ces immeubles sont cédés lot par lot dans un délai de 24 à 36 mois après leur acquisition.

L’intérêt est de pouvoir proposer une alternative à l’immobilier traditionnel au travers d’actifs aux cycles d’investissement et de désinvestissement courts, permettant l’accès à un immobilier liquide, peu accessible à des particuliers et moins sensible aux retournements de marché.

Pour les investisseurs, le Fonds propose aussi une épargne en biens immobiliers au sein d’une enveloppe fiscale avantageuse : il y a une exonération d’impôts2 sur les plus-values réalisées par le Fonds à l’occasion du remboursement des parts aux porteurs (après une période de conservation de 5 ans minimum)3.

E&f : Comment sélectionnez-vous les immeubles présents dans ce FPCI ?

CR : Ce sont des immeubles de qualité à usage résidentiel4

situés dans des quartiers prisés de Paris, en excellent état (notamment les parties privatives).

Nous vérifions que les appartements correspondent à une forte demande des acquéreurs potentiels, pour que la vente lot par lot se déroule sur une durée assez restreinte ; à ce titre, nous privilégions les immeubles constitués d’appartements de petites et moyennes superficies.

Enfin, nous nous assurons que le montant des revenus locatifs couvre le montant des intérêts issus de la dette bancaire mise en place pour financer l’opération ; cette dernière est remboursée au fur et à mesure de la vente des lots.

E&f : Comment se passe les travaux et la revente ?

CR : Nous réalisons des travaux de rénovation des parties communes pour valoriser les biens. Nous tenons à ce que les locataires soient informés et considérés avec le plus grand respect. Il nous semble essentiel que leur décision de se porter acquéreur de leur logement, de le libérer ou de poursuivre leur bail soit prise sans pression.

Avertissement : « Le FPCI Paris Immo n°3 est un fonds non soumis à l’agrément de l’AMF, il peut adopter des règles d’investissements spécifiques. Il est réservé à des investisseurs avertis tels que définis dans son règlement, acceptant les risques de perte en capital et les risques spécifiques liés à ce type d’investissement. Nous vous invitons à contacter votre conseiller habituel pour toute question sur ce fonds. »

1 Fonds Professionnel de Capital Investissement2 Hors prélèvements sociaux3 D’après les textes en vigueur au 25/01/20164 Selon l’appréciation de l’équipe de gestion

EN BREF : LA QUESTION À POSER À VOTRE EXPERT-COMPTABLE OU À VOTRE CONSEILLER

- Pourquoi investir dans l’immobilier parisien ?

- Ai-je le profil pour investir dans les FPCI ?

EN BREF : LES QUESTIONS À POSER À VOTRE EXPERT-COMPTABLE OU À VOTRE CONSEILLER

- Y-a t-il des stratégies patrimoniales adaptées à ma situation pour diminuer mon ISF ?

- Quelles solutions d’investissements s’offrent à moi ?

Comment optimiser dès maintenant l’ISF ? Pour tout patrimoine dont la valeur nette dépasse 1,3 M€, l’Impôt de Solidarité sur la Fortune est dû. Si vous êtes dans cette situation, voici quelques astuces patrimoniales simples qui s’offrent à vous pour réduire le montant.

TRANSMETTRE :

Réaliser une donation à vos enfants est un moyen de réduire votre base taxable pour l’année suivante. Ainsi les donations sont exonérées de droits de donation grâce à l’existence d’abattements fiscaux. Tous les 15 ans, vous avez la possibilité de donner 100 000 € à chacun de vos enfants.

ARBITRER :

Préférer arbitrer certains de vos actifs patrimoniaux sur d’autres actifs non assujettis à l’ISF vous permet de réduire votre base imposable. C’est le cas notamment lors de l’achat de la seule nue-propriété d’un bien locatif. Vous pouvez utiliser aussi des enveloppes telles que le PERP ou les contrats Madelin. Enfin certains investissements dans les œuvres d’art, en forêt peuvent bénéficier d’exonération.

INVESTIR :

Les investissements dans les PME par le biais des FCPI ou en direct au capital des PME vous permettront de diminuer l’assiette de votre patrimoine taxable et de réduire par conséquent le montant de votre ISF.

Enfin dernier conseil, il est important de penser à calculer votre plafond d’ISF. La somme de l’ISF et de l’IR ne doit pas dépasser 75 % de vos revenus de l’année précédente.

1- CLOS DES LYS - Viroflay (78) - PERL• A 10 minutes du château de Versailles• Proche de toutes commodités• 33 appartements agrémentés de balcons, terrasses et jardins

2- CÔTÉS JARDINS - Toulouse (31) - PERL• Au cœur de Lardenne, quartier résidentiel quoté de Toulouse,• A 15 minutes en tramway de la place du Capitole• Architecture contemporaine à l’esprit « villa »

3- FACULTÉ CATHOLIQUE - Lyon 2ème (69)- NUE-PRO SELECT• Emplacement d’exception au cœur de la Presqu’île à Lyon• Architecture élégante : moulures, parquets chevrons, hauteur sous plafond• Entièrement rénové

1.

3.

2.

NOS COUPS DE CŒUR EN NUE-PROPRIÉTÉ :

Si vous êtes concernés par l’achat en nue-propriété, en plus d’alléger votre fiscalité (la valeur de la nue-propriété ne rentre pas dans la base taxable de l’ISF et le nu-propriétaire ne perçoit pas de revenus fonciers), c’est aussi la possibilité de vous constituer une épargne et des revenus complémentaires à terme mais aussi de valoriser votre patrimoine.

En effet, selon votre régime matrimonial, les sommes investies sur votre assurance-vie peuvent être considérées comme propres (vous appartenant) ou communes. En cas de divorce (ou de décès d’un des époux), suivant les circonstances, les sommes d’argent sont dues à la communauté ou à l’un des époux. Ce qui n’est pas neutre d’un point de vue civil ou fiscal.

Pour éviter quelques déconvenues, il est essentiel de se poser les questions suivantes lors de la souscription d’une assurance-vie ou lors de versements sur le contrat : sous quel régime êtes-vous marié ? Quelles clauses sont contenues dans votre contrat de mariage (si vous en avez signé un) ? Quelle est l’origine des primes versées : propres ou communes ? Qui avantager en cas de décès ?

Mariés sous un régime communautaire

Si vous vous êtes mariés sans contrat de mariage, vous êtes alors soumis au régime de la communauté réduite aux acquêts, dite « communauté légale ».

Chaque époux peut souscrire seul un contrat d’assurance-vie (adhésion simple). - Les sommes investies sont des capitaux propres : il n’y a pas de problème particulier à condition de disposer d’une preuve (déclaration d’origine des fonds).- Les contrats sont alimentés avec des fonds communs : si votre conjoint décède, la moitié de la valeur de votre contrat d’assurance-vie est réintégrée à sa succession. Bien que le contrat ne soit pas dénoué, les héritiers devront payer des droits de succession sur cette somme1 2.

Pour répondre à vos objectifs patrimoniaux (protection du conjoint survivant, transmission aux enfants), il existe plusieurs aménagements possibles à faire sur votre assurance-vie, comme par exemple une co-adhésion avec dénouement au premier décès ou un avantage matrimonial portant sur l’assurance-vie.

Mariés sous un régime de communauté universelle avec clause d’attribution intégrale au conjoint survivant

Tous les biens sont communs et iront au conjoint survivant en cas de décès. Si vous souhaitez avantager votre conjoint survivant, vous avez la possibilité de souscrire un contrat d’assurance-vie en co-adhésion avec dénouement au second décès. Ce qui signifie qu’au premier décès, le conjoint survivant reste propriétaire du contrat et peut continuer à faire des versements ou des rachats.

Mariés sous un régime de séparation de biens

En adoptant ce régime, vous souhaitez distinguer votre patrimoine personnel de celui de votre conjoint.

Le seul mode de souscription possible est l’adhésion simple. Si un époux souhaite favoriser son conjoint, il peut souscrire un contrat d’assurance-vie en le désignant comme bénéficiaire. A votre décès, votre conjoint recevra alors le capital présent sur le contrat.

L’assurance-vie est un véhicule de placement avec de nombreux avantages économiques, juridiques ou fiscaux. Simple à souscrire, bénéficiant d’une fiscalité allégée sur le plan des retraits mais aussi au niveau de la transmission : on en oublierait presque d’être vigilant sur la nature des primes versées au contrat.

Souscription d’une assurance-vie :quels points vérifier selon mon régime matrimonial ?

« Selon votre régime matrimonial, les sommes investies peuvent être considérées comme propres ou communes.»

EN BREF : LES QUESTIONS À POSER À VOTRE CONSEILLER - Mon assurance-vie répond-elle à mes objectifs patrimoniaux ?

- Selon mon régime matrimonial, quels aménagements sont possibles ?

1 Suivant leur lien de parenté avec le défunt 2 Remarque : cette imposition, issue de la réponse ministérielle Bacquet du 29 juin 2010, vient d’être remise en cause par un communiqué de presse du ministère des finances et de l’économie le 12 janvier 2016. Ce communiqué n’a toutefois pas à ce jour été repris par l’administration fiscale.

Depuis le 1er janvier 2016, toutes les entreprises doivent mettre en place une couverture santé collective et obligatoire. Pour les employeurs chefs d’entreprise qui n’auraient pas encore franchi le cap, voici quelques points clefs pour vous aider à sélectionner la complémentaire santé la plus adaptée à votre entreprise.

Complémentaire santé d’entreprise : il est encore temps d’en souscrire une !

Ce que prévoit la loi

Toute entreprise du secteur privé doit mettre en place une couverture santé au profit de l’ensemble du personnel, en respectant un socle minimal de prestations précis (le « panier de soins »), financé à hauteur de 50 % minimum par l’employeur.

Le choix de garanties adaptées

Votre choix devra se porter sur des complémentaires santé respectant le panier de soins imposé par le législateur et le cahier des charges des contrats responsables. A ce jour, la très grande majorité des offres est en adéquation avec ces exigences. En revanche, si votre branche professionnelle a négocié ou est en cours de négociation d’une couverture conventionnelle, vous devrez mettre en place une couverture s’alignant a minima sur le niveau de prestations défini par la convention collective.

Vous avez également la possibilité de souscrire des garanties plus adaptées à votre personnel ou à votre domaine d’activité. Tout dépendra du budget que vous pouvez y allouer.

Le financement des garanties souscrites

L’entreprise devra prendre en charge au moins 50 % de la cotisation de chaque salarié, mais aussi au moins 50 % de la cotisation permettant la couverture de la famille du salarié si vous optez pour la couverture à titre obligatoire de ces derniers.

Dès lors, le niveau de prestations et la couverture des ayants-droit du salarié sont autant d’éléments primordiaux à étudier afin d’arrêter votre choix définitif.

Quant aux salariés ils pourront soit refuser la couverture proposée, soit souscrire des garanties supplémentaires à leurs frais.

Les services associés

Le choix d’une offre de complémentaire santé peut tenir compte, à tarif équivalent, de la comparaison des services proposés par les assureurs. Il s’agit le plus souvent de modalités de gestion

facilitées (délais de traitement et de réception des cartes « tiers payants », disponibilité des conseillers, etc.), de la digitalisation des process, des programmes d’action sociale pour les personnes en difficulté…

Rappel du cadre fiscal et social

Sur le plan fiscal, les sommes versées par l’entreprise sont déductibles du bénéfice imposable de la société. Pour les salariés, en revanche, les cotisations patronales doivent être prises en compte dans le calcul du salaire imposable.

Sur le plan social, la part patronale est exonérée de cotisations, dans la limite maximale de 12 % du PASS, soit 4 634 € par salarié en 2016 (elles demeurent soumises en totalité à CSG et CRDS et le cas échéant au forfait social de 8 %) lorsque l’ensemble des conditions de fond et de formalisme sont remplies.

Quels sont les risques si l’entreprise ne met pas en place de complémentaire santé ?

Le législateur n’a pas spécifiquement prévu de sanction en cas de non-respect de cette obligation. Néanmoins, l’entreprise défaillante s’expose :- à la contestation prud’homale du salarié,- au risque de voir sa responsabilité civile engagée et à l’obligation de rembourser les prestations de santé auxquelles les salariés ont droit de par la loi ou la convention collective applicable, ce qui peut avoir des conséquences lourdes en fonction des frais de santé engagés.

Au-delà du cadre légal obligatoire, la couverture santé est un excellent moyen de rendre votre entreprise attractive auprès de vos salariés.

EN BREF : LES QUESTIONS À POSER À VOTRE CONSEILLER - Quelle complémentaire santé est-elle la plus adaptée à mon entreprise ?

- A quel niveau de prestations puis-je prétendre selon mon budget ?

1 Loi de sécurisation de l’emploi Loi n°2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l’emploi, art.1.

Suivez-nous sur les réseaux sociaux

Pour vous inscrire à nos prochaines réunions clients, nous vous invitons à contacter Romain DURAND : [email protected] ou à vous rendre sur www.expertetfinance.fr

Trouvez le bon nombre d’œufs en chocolat disséminés dans ces pages et répondez à notre petite enquête, vous recevrez une surprise chocolatée !

Nom : Prénom : Adresse :

Combien d’œufs avez-vous trouvé dans notre newsletter Expertises ?

Comment lisez-vous cette newsletter ?je la survole je lis les articles qui m’intéressentje la lis en détails

Trouvez-vous cette newsletter ?Facile à lire : oui nonSimple à comprendre oui nonAdaptée à vos préoccupations oui non

Le format papier vous convient-il ? oui non

Quelle note mettriez-vous à cette newsletter ? (note à entourer) : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10

Souhaitez-vous que votre conseiller prenne contact avec vous ? oui non

Commentaires (format, contenu …) :

A renvoyer à : Expert & finance - Le 6ème Part-Dieu - 23, bd Jules Favre - CS 50056 - 69456 LYON cedex 06 ou par mail : [email protected]

Expert & finance à vos côtés

VOS

AGEN

CES

EXPE

RT &

FIN

ANCE

Lille 28 avril

Rouen 28 avril

Caen31 mars

Quimper28 avril

Vannes26 avril

Rennes21 avril

Nantes3 mai

Dijon31 mars

Nice21 avril

Aix en Provence26 avril

Montpellier21 avril

St Rémy de Provence19 mai

Perpignan 14 avril

Toulouse 31 mars

Paris 26 mai

Sièg

e So

cial

- 0

4 37

24

52 0

0

Anne

cy -

04

50 6

9 50

06

Aix-

en-P

rove

nce

- 04

42

97 2

2 50

Bor

deau

x - 0

5 62

16

12 0

5

Caen

- 0

2 31

44

09 1

2

Cler

mon

t-Fe

rran

d -

04 7

3 26

01

16

Dijo

n -

03 8

0 74

13

63

Gren

oble

- 04

50

69 5

0 06

Lille

- 0

3 20

05

37 3

7

Lyon

- 04

37

24 5

2 10

Mon

tpel

lier

- 04

67

22 1

8 78

Nan

tes

- 02

98

90 4

4 12

Nic

e -

04 9

3 72

45

50

Pari

s -

01 5

6 79

50

60

Perp

igna

n - 0

4 68

66

64 9

3

Quim

per

- 02

98

90 4

4 12

Ren

nes

- 02

23

35 4

4 44

Rou

en -

02

32 0

8 26

60

St-R

émy-

de-P

rove

nce

- 04

90

90 5

4 06

Toul

ouse

- 0

5 62

16

12 0

5

Vann

es -

02

97 6

8 24

25

Expe

rtis

es ‘L

a le

ttre

d’E

xper

t & fi

nanc

e’ C

e do

cum

ent e

st p

ropo

sé à

titr

e d’

info

rmat

ion

uniq

uem

ent e

t ne

cons

titue

en

aucu

n ca

s un

e of

fre

ou re

com

man

datio

n d’

acha

t ou

de v

ente

et n

’a, à

ce

titre

, auc

une

vale

ur c

ontr

actu

elle

. Exp

ert &

fina

nce

ne s

aura

it êt

re te

nue

resp

onsa

ble

des

prop

os o

u in

form

atio

ns re

prod

uits

dan

s le

pré

sent

do

cum

ent,

dont

le c

onte

nu p

eut ê

tre

mod

ifié

à to

ut m

omen

t san

s pr

éavi

s. C

es in

form

atio

ns s

ont c

omm

uniq

uées

en

fonc

tion

des

disp

ostio

ns fi

scal

es o

u so

cial

es e

n vi

gueu

r à la

dat

e de

pub

licat

ion

et s

ont s

usce

ptib

les

d’év

olut

ion.

Tou

te s

ousc

riptio

n do

it se

faire

sur

la b

ase

du d

ocum

ent o

ffici

el e

n vi

gueu

r, ra

ttach

é à

chaq

ue p

rodu

it,

disp

onib

le s

ur s

impl

e de

man

de a

uprè

s de

l’op

érat

eur c

once

rné.

Prin

cipa

l act

ionn

aire

d’E

&f :

Gen

eral

i Vie

. - D

irect

eur d

e la

pub

licat

ion

: Son

ia F

END

LER

(PD

G) C

once

ptio

n et

Réa

lisat

ion

: Mar

ie L

ATO

UR

, Son

ia F

END

LER

, Tip

hain

e G

IRAR

DEA

U -M

ON

TAU

T et

Ber

tran

d N

EAU

-Pho

tos

: Exp

ert &

fina

nce

- Fot

olia

. Ont

col

labo

ré à

ce

num

éro

: R. K

OW

ALC

ZYK

, ML

MAN

SAR

T, J

. CO

NSI

GN

Y, L

. HAR

BO

UR

G, O

. TU

BET

TI,L

. CAS

TIN

EIR

AS, A

.MAR

TIN

ET-V

ILLA

LON

, J. L

ACO

EUIL

LE, S

. FLA

ND

IN, I

. CO

UG

OU

RD

AN. D

ate

de p

arut

ion

: fev

201

6- D

ate

du d

épôt

léga

l :fe

v 20

16-

GR

ATU

IT -

Num

éro

ISN

N :

1627

-018

5

Le 6

ème P

art-

Die

u -

23, b

oule

vard

Jul

es F

avre

- C

S 50

056

- 69

456

LYO

N c

edex

06

- Té

l.: 0

4 37

24

52 0

0 -

Fax:

04

37 2

4 52

01

- ht

tp://

ww

w.e

xper

tetfi

nanc

e.fr

SA

au c

apita

l de

3 25

8 31

0 €

- B

342

288

859

RC

S Ly

on -

APE

661

9B -

intr

acom

mun

auta

ire F

R48

3422

8885

9 -

Soci

été

rele

vant

des

sta

tuts

de

cour

tier

en a

ssur

ance

, con

seill

er e

n in

vest

isse

men

t fina

ncie

r et m

anda

taire

ban

caire

et s

ervi

ces

de p

aiem

ent i

nscr

ite a

u R

egis

tre

uniq

ue d

es In

term

édia

ires

en A

ssur

ance

, Ban

que

et F

inan

ce s

ous

le n

°OR

IAS

0700

3979

- Ad

hére

nte

de l’

asso

ciat

ion

agré

ée p

ar l’A

MF

La C

ompa

gnie

des

CG

PI s

ous

le n

°F00

0033

- C

arte

pro

fess

ionn

elle

imm

obili

ère

tran

sact

ions

san

s m

anie

men

t de

fond

s n°

8910

05 d

éliv

rée

par l

a Pr

éfec

ture

du

Rhô

ne -

Déc

lara

tion

d’ac

tivité

de

form

atio

n en

regi

stré

e so

us le

n°8

2690

9361

69 a

uprè

s du

pré

fet d

e ré

gion

de

Rhô

ne A

lpes

- G

aran

ties

finan

cièr

es e

t ass

uran

ce re

spon

sabi

lité

civi

le p

rofe

ssio

nnel

le s

ousc

rites

aup

rès

de Z

uric

h In

sura

nce

Plc

112

aven

ue d

e W

agra

m 7

5808

PAR

IS C

edex

17.