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Rapport Biennal 2015/16 Engager à soutenir l'intervention publique et privée pour le développement rural Centre d’Études en Développement Rural

Rapport Biennal - CDR

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Rapport Biennal2015/16

Engager à soutenir l'intervention publique et privée pour le développement ruralCentre d’Études en Développement Rural

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Rapport Biennal2015/16

Centre d’Étudesen Développement RuralSAN JOSÉ, COSTA RICA · SEPTEMBRE 2017

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Centre d’Études en Développement Rural (CDR)

Del Restaurante Machu Picchu, 120 metros al Sur.San Pedro de Montes de OcaSan José, Costa Rica

Boîte postale 2031-2050Téléphone: +506 2224 1990 | +506 2283 1062Fax: +506 2283 [email protected]

Mise en page, design graphique et de couverture:

Fidel de [email protected]

Page 5: Rapport Biennal - CDR

Contenu

Avant-Propos 5

Introduction 7

La transition vers l’énergie renouvelable aux bureaux du CDR 9

Organisation y personnel 10

Réussites en 2015-2016 11

Exécution par pays et par thème 14

Audit 16

Annexe 1: Consultants-Chercheurs 17

Annexe 2: Projets en 2015 21

Annex3 3: Projets en 2016 28

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Alejandro PachecoAmi professionnel, imprimeur spécialisé,

est décédé en 2016.

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Avant-Propos

La fondation CDR (nom officiel: Rural Development Consult) fut créé en 1989 dans le but de contribuer au développement de la région à travers la recher-che, la production de connaissances et la réflexion. Aujourd’hui, avec 27 ans d’expérience, plus de 600 projets mis en œuvre, et un réseau de plus de 20 consultants et chercheurs, le CDR est fermement enraciné en Amérique centrale, aux Caraïbes et dans la Région andine, avec ses projets en marche dans plusieurs domaines du développement rural.

L’équipe, formée à partir de 2017 par six consul-tants-chercheurs, travaille à partir du siège à San Jose, Costa Rica, et dans quatre autres pays de façon permanente (en Amérique centrale, en Europe et aux Caraïbes). Elle est également soutenue par d’au-tres consultants et partenaires consultants qui, eux aussi, opèrent de divers pays dans le monde. Cette modalité met en évidence la capacité d’adaptation de la Fondation et sa flexibilité pour atteindre ses objectifs, reflétant son itinéraire qui a non seulement augmenté en nombre de projets mis en œuvre, mais aussi aux niveaux des liens, des réseaux, des métho-des et de sa forme de communiquer ses résultats.

En 2015 et 2016, les expériences, ainsi que les apprentissages du CDR ont été variées. L’analy-se a évolué d’une focalisation sur un seul secteur à un bon nombre de chaînes de valeur, où plusieurs secteurs et pays sont concernés. Les activités convergent de plus en plus sur le développement local et sur les tendances économiques et sociales au niveau mondial. Les méthodologies de recherche sont plus techniques et s’adaptent à la mondialisation des con-naissances. Le défi est maintenant de parvenir à un équilibre entre les missions de conseil et la recherche académique, dans une zone géographique couvrant l’Amérique centrale, la région andine et les Caraïbes.

La Fondation cherche à rester indépendante des intérêts spécifiques des bailleurs de fonds et des institutions qui reçoivent ses conseils et ses services. Ceci a prouvé contribuer à la qualité des résultats de la recherche et donc de la politique de coopération. La recherche et

Le CDR continue à se focaliser

sur l’avenir avec une

base solide de vingt-sept ans

d’évaluation, consultation,

projets et expériences construites

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la consultation convergent de sorte que la mise en place d’un environnement institutionnel approprié est la clé du succès dans les efforts dans le domaine du développement.

Le CDR continue à se focaliser sur l’avenir avec une base solide de vingt-sept ans d’évalua-tion, consultation, projets et expériences construites, engagé à continuer à offrir une gamme équilibrée de réflexion et d’action dans les prochaines années. Son emplacement, expérien-ce et approche multidisciplinaire constituent une base qui lui permet de servir l’intérêt public.

Demeure la nécessité de soutenir les politiques publiques et privées avec des connaissan-ces basées sur des recherches de terrain et de l’autonomie professionnelle. C’est ce qui constitue notre agenda opérationnel, sur la voie d’un processus de développement équita-ble et juste.

Nous vous invitons à découvrir plus sur la Fondation CDR, notre travail et intérêts. Nous es-pérons continuer à offrir des services pertinents et de qualité.

L’équipe CDR

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Introduction

Le CDR est une fondation internationale créée en 1989 à Amsterdam, Pays-Bas, avec une position indépendante depuis 2006. Il a toujours été basé à San Jose, Costa Rica, la base de toutes ses activités en Amérique centrale et aux Caraïbes. Le CDR effectue aussi des recher-ches et de conseil en Amérique du Sud et en Afrique.

Le CDR a des liens de collaboration avec plusieurs institutions de recherche, y comprises des universités aux Pays-Bas, ainsi qu’avec des sociétés de conseil et recherche en Europe, en Amérique centrale et dans les Caraïbes.

Le cadre du travail de consultation du CDR est basé sur une recherche appliquée extensive, qui combine des études au niveau micro avec des analyses de secteur et d’ordre macroéco-nomique.

Au cours de la dernière décennie, le travail du CDR a été principalement axé sur:

• L’évaluation des effets directs ainsi que indirects de programmes et des interventions ciblées;

• La recherche dans les chaînes de production rurales, réseaux de commercialisation et l’appui fourni aux micro-, petites et moyennes entreprises;

• L’évaluation des politiques de services financiers à la taille, en particulier les PMEs;

• Le suivi de programmes de développement durable en mettant l’accent sur les dyna-miques territoriales et équitables;

• La mise en œuvre de projets de reconstruction d’infrastructure publique et la planifi-cation urbaine.

Au fil des années, on a réussi à intégrer les aspects de genre dans le développement. Cela se reflète dans la contribution au développement d’un marché de services qui facilite le dé-veloppement économique et social dans la région.

La force actuelle de la Fondation reste dans la profondeur, la spécificité et la flexibilité vis à vis des engagements alloués par des institutions bilatérales et multilatérales. Le travail vise à alléger les préoccupations au sujet de la portée et l’impact des politiques de dévelop-pement, grâce à des méthodes de conseil et d’analyse adaptées aux besoins des acteurs. L’objectif est de construire des capacités opérationnelles, à la fois dans les groupes cible et auprès des agences de coopération.

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Dans ce rapport biennal, le lecteur est invité à savoir davantage sur le travail du CDR et sur-tout de résumer les réalisations et les défis de ces deux dernières années (2015-2016), en particulier sur les contributions de l’institution au développement de la région. Suivra une description de l’organisation et de l’équipe de consultants, pour terminer avec les réalisa-tions des deux dernières années. En annexes, le détail est présenté des projets mis en œuvre en 2015 et 2016.

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La transition vers l’énergie re-nouvelable aux bureaux du CDR

En décembre 2016 fut exécuté le projet de l’installa-tion de dix panneaux solaires au toit de l’immeuble du CDR à San Pedro Montes de Oca, San José. Un total de dix panneaux, avec une capacité de 3.2 kW, furent posés, suivi d’une inspection et autorisation définitive par la Compañía Nacional de Fuerza y Luz. Au Costa Rica, depuis mai 2016 est en vigueur un régime nou-veau qui permet aux foyers et aux entreprises indi-viduelles d‘installer des panneaux photovoltaïques dans la modalité de compensation simple. Cela sig-nifie que les unités consommatrices peuvent envoyer dans le réseau l’énergie solaire générée dans la jour-née, afin de la consommer pendant les heures quand il n’y a pas de soleil.

La compagnie contractée pour l’installation fut Pura-sol S.A., choisie d’une liste courte après une compa-raison basée sur le coût du matériel et de la mise en œuvre, flexibilité par rapport à une modification de l’échelle du système, ainsi que le coût de l’entretien lors du futur fonctionnement. L’entreprise Purasol réu-nit les critères posés dans la mesure où ses panneaux – le modèle Canadian Solar 320 – sont chacun équipés d’un micro-convertisseur. Ceci facilite la détection d’un défaut au niveau d’un panneau indi-viduel et contribue au suivi de la performance du système dans son ensemble. L’entretien se limite à une seule révision par an au maximum.

Les premières expériences du système sont grosso modo positives. Les premiers deux mois de fonc-tionnement ont affiché une génération mensuelle supérieure à 400 kWh. Le coût mensuel d’électri-cité s’est réduit en plus de 75 %, ce qui laisse prévoir la récupération de l’investissement dans environ dix ans.

La mise en œuvre des panneaux fut célébrée en décembre 2016, lors d’une réunion en début de soirée, en présence d’amis professionnels et de voisins du quartier. Egalement assistèrent des re-présentants de la municipalité Montes de Oca, de l’Ambassade des Pays-Bas et des associations de voisinages, actives dans le quartier. La présence du peintre Ank Draijer contribua à l’ambiance en vue de ses explications sur des œuvres récentes qu’elle a réalisées, inspirée par l’énergie solaire au niveau d’au moins deux tableaux. Un de ceux-ci fut offert à la communauté de Montes de Oca, re-présentée par la mairie du district. Les exposés de la cérémonie se trouvent actuellement au portail www.cdr.or.cr.

Le coût mensuel d’électricité s’est

réduit en plus de 75 %, ce qui

laisse prévoir la récupération de l’investissement dans environ dix

ans

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Organisation y personnel

Conseil d’Administration 2

Le Conseil de directeurs de la Fondation se réunit périodiquement aux Pays-Bas ou en Bel-gique, en moyenne deux fois par an. A partir de l’année 2017, les membres du Conseil sont les personnes suivantes:

Consultants-Chercheurs et Assistants

Le CDR maintient son organisation interne sur la base de lignes de communication courtes en accord avec la taille de l’équipe. Depuis 2016, celle-ci est conformée de six membres, plusieurs résidant à San José. Le bureau opère sous la direction de Hans Nusselder. Les autres cher-cheurs-consultants principaux sont : Angélica Ramírez, Stervins Alexis, Alejandro Uriza y Paul Cloesen. Ariana Araujo et Adolfo Córdoba étaient membres de l’équipe lors des deux années, ou seulement en 2016. De plus, Rosa León Conejo y Melanny Zuñiga Araya ont appuyé l’exécu-tion de plusieurs études au Costa Rica, en particulier « Services financiers pour l’agriculture du-rable » (SEFAS) et « Associations de Gestion d’Eau (ASADAS) », projets mis en œuvre en 2015-16.

L’équipe d’appui administratif est conformée par Esther Laureano, assistante de services gé-néraux, et Marta Valenzuela, secrétaire et chargée la comptabilité. D’autre part, Martha Mü-ller et Lucinda Taft ont fourni un appui au niveau de la révision orthographique des rapports et d’autres documents.

L’équipe de travail s’est complétée d’un groupe de consultants associés –Melvin Edwards, Iris Villalobos, Milán Baez et Andrea Peña– qui ont collaboré lors de la préparation et l’exécution de projets.

1 En 2016, Jos Vaessen a conclu sa fonction de secrétaire du Conseil d’Administration.

Ruud Lambregts, Président. Sociologue, ex-administrateur de program-mes internationaux au sein de l’organisation Oxfam-Novib.

�Rosien Herweijer, Trésorière. Économiste, consultante indépendante.

Position de Secrétaire. Vacante.1

Maja Haanskorf, Membre. journaliste, rédacteur en chef de la revue néerlandaise La Chispa.

�Marieke de Ruijter de Wildt, Membre. agro-économiste, directeur d’Agriplace, Amsterdam.

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Réussites en 2015-2016

Lors de la période indiquée, de nombreux projets furent exécutés, dont plusieurs avec un caractère innovateur, lié à la méthodologie, la thématique, la couverture géographique ou une combinaison de ces aspects.

ASADAS

Une première réussite a été l’exécution de deux études consécutives au Costa Rica, commission-nées par le PNUD, sur le fonctionnement des As-sociations de Gestion d’Eau (ASADAS), dont envi-ron 1,500 opèrent dans le pays. Dans un premier temps en 2015, plus de 300 ASADAS furent diag-nostiquées au nord du pays, en relation avec les aspects d’organisation, la gestion administrative et financière, couverture de services, potentiel et goulots d’étranglement au niveau de ses opérations. Sous la coordination de l’équipe du CDR, une dizaine d’enquêteurs se sont dirigés vers les communautés pour obtenir des don-nées à travers des formulaires standardisés et gérés par cloud computing. L’analyse a facilité que tant le PNUD que l’institution autonome nationale (Acueductos y Alcantarillados, AyA), ont actuellement à leur disposition un diagnostic large et approfondi sur le contexte et les facteurs que portent sur les ASADAS au nord de Costa Rica.

Une deuxième étape de l’étude s’est déroulée en 2016 au niveau de 112 ASADAS, également au nord et nord-est du pays, avec la collaboration d’enquêteurs et, de surcroît, des techni-ciens spécialisés en géo-référencement. Le travail s’est développé en étroite collaboration avec AyA, basé sur un questionnaire qui continuera à être utilisé dans de futures études dans d’autres zones du pays.

Le diagnostic établi est doublement important en vue du fait qu’il ne répond non seulement à la demande d’informations en matière de gouvernance et d’administration des ASADAS au niveau local. Il en résulte aussi une contribution aux futures politiques publiques en ce qui con-cerne la réponse au changement climatique. L’importance de données actualisées fut confir-mée vers la fin de novembre 2016, quand l’ouragan Otto laissa un lourd bilan au niveau de 54 ASADAS dont les aqueducs sont restés gravement endommagés. Avec un impact de l’ouragan tant dévastateur sans précédent dans l’histoire du pays, il s’explique que les acteurs responsa-bles du service d’eau ont intérêt à un suivi des ASADAS dans l’ensemble du territoire national.

Plus de 300 ASADAS furent

diagnostiquées au nord du pays

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Tableau de bord en matière de santé

Une deuxième étoile a été la vulgarisation d’outils de gestion pour le suivi des subventions financées par le Fonds Mondial contre le Sida, la tuberculose et la malaria. L’Association du Fonds Mondial mobilise et investit environ USD 4,000 par an pour financer les programmes exécutés par des experts locaux dans les pays et les communautés plus nécessitées. Un des outils installés en République Dominicaine, Mozambique y Nicaragua est le «Tableau de bord» (Dashboard) du Récepteur Principal (RP).2 Il s’agit d’un instrument de visualisation de l’information plus importante dont ont besoins les gérants et administrateurs chargés de prendre des décisions pour le suivi du progrès dans l’achèvement des subventions fournies par le Fonds Mondial.

Les utilisateurs du dashboard, qui consolide les indicateurs clés de gestion, peuvent identifier de différents problèmes et goulots d’étranglement dans la mise d’œuvre de leur programme. Les gérants et administrateurs concernés du RP, du Mécanisme Coordinateur de Pays (MCP) ainsi que les sous-récepteurs peuvent ensuite adopter des décisions d’ajustement visant à améliorer la performance de la subvention. De cette façon ils peuvent rapidement prendre des mesures pour trouver des solutions appropriées, résultant d’un suivi trimestriel des développements.

2 Outil technologique développé en 2014 à travers le projet Grant Management Solutions (GMS), le Secrétariat du Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et la malaria, ainsi qu’un partenaire de la compagnie multinationale informatique allemande (SAP).

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Etude de PMEs caraïbes

Au cours de l’année 2016 s’est réalisée l’étude sur les micro-, petites et moyennes entre-prises dans douze îles du Caribe. Antérieurement une recherche n’avait jamais été faite en matière de PMEs dans la région, dans un cadre de comparaison entre les îles anglo-, franco et néerlandophone, ou papiamento. A la requête du Programme «Compétitivité de Micro-, Petites et Moyennes Entreprises» (UE-COSME), le CDR a entamé une enquête sur le profil et la performance, dirigée vers environ 900 entreprises dans les îles couvertes par le Program-me. L’étude a généré des données sur le niveau des chiffres d’affaires, l’emploi, la gestion de l’entreprise, l’accès aux services financiers, la consommation d’eau et de courant électrique, la gestion d’ordures et l’intérêt de l’entrepreneur à l’offre de services de formation et d’appui technique.

Tout de même, l’étude sur les PMEs caraïbes a également abordé le rôle joué par les organi-sations qui offrent des services d’appui et formation. En large majorité il s’agit d’associations d’affaires, fondées par des entrepreneurs sous propre responsabilité. Tout de même, surtout dans le Caribe néerlandais, les Chambres de Commerce jouent un rôle rassembleur et de renforcement du secteur PME, en vertu de la législation nationale qui leur permet de mener des actions de service et appui. La composante d’organisations de services de développe-ment a été mise en œuvre avec l’emploi d’un outil d’évaluation de performance, lequel con-siste de la valorisation de l’entité sur des aspects de gouvernance, administration, prestation de services y attention dévouée au défis environnementaux et du changement climatique.

Il est à constater, au niveau des résultats de l’étude, l’énorme variété d’activités menées par les PME, dans leur ensemble liées directement au secteur touristique qui prédomine l’éco-nomie de la région. En même temps, la PME typique opère à une échelle modeste, étant donné que 60 pour cent des entreprises n’emploient que deux ou trois personnes (y compris le propriétaire), en rapportant un niveau du chiffre d’affaires inférieur à USD 60,000.

Services Financiers pour l’Agriculture Durable (SEFAS)

Le Programme SEFAS, en dépit de ne plus pouvoir compter sur les ressources de l’agence néerlandaise HIVOS, a continué son service au secteur en 2016. Avec un appui de l’organi-sation Root Capital, SEFAS a mis en œuvre un projet pour lier des groupes d’agriculteurs et d’institutions financières en Amérique centrale. Dans ce cadre, l’assistance technique s’est dirigée vers l’expansion du volume d’affaires financières, en rapport aux besoins du secteur agricole dans la région.

Au Guatemala, des alliances de travail ont pris forme avec l’Association Nationale de Café (ANACAFÉ) et la Fondation FUNDASISTEMAS, afin de promouvoir l’accès au crédit pour des groupes de petits producteurs de café. Cela a abouti à la rédaction préliminaire d’une guide pratique pour des institutions financières, sur la question comment procéder dans le marché de financement rural, en coordination avec Root Capital et sous auspices de BID-FOMIN.

En général, SEFAS dispose d’un paquet de services d’appui qui visent à offrir un appui tech-nique, la formation et des outils de gestion aux institutions (micro-)financières, tout comme des plateformes de commercialisation et de structures de conseil servant des agriculteurs

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organisés. De cette manière, SEFAS s’engage à amplifier l’accès à la gamme de services fi-nanciers dans le secteur.

Reconstruction de Léogâne, Haïti

En Haïti, le Programme d’appui à la reconstruction de la municipalité de Léogâne (RELEO) s’est mis en oeuvre depuis le tremblement de terre en janvier 2010. Le Programme a visé à répondre aux besoins urgents suite à la catastrophe qui avait laissé de milliers de victimes et d’inestimables dégâts matériaux. Tout pareillement à Léogâne, où l’on a du enlever les débris des maisons détruites afin d’améliorer les avenues urbaines. Se sont réalisés de travaux de nettoyage des canaux de drainage, de canaux d’irrigation et de nettoyage des rues de la ville. Dans le cadre du Programme RELEO se sont mis en œuvre 21 projets de services publics, tels que la construction de commissariats de la police municipale, un centre culturel avec biblio-thèque, des écoles, un lycée et la construction de la place centrale de Léogâne. Tous les pro-jets furent conclus de manière satisfaisante. De plus, RELEO a donné lieu au renforcement de quinze conseils municipaux, onze comité d’entretien d’infrastructures y quatre-vingt établisse-ments scolaires, équipés d’espace avec une capacité de 4.500 élèves. Toutes ces activités ont contribué à l’aménagement territorial réalisé après l’émergence à Léogâne au début de 2010.

Exécution par pays et par thème

Le travail du CDR durant 2015 et 2016 s’est focalisé dans une longue série de recherches, évaluations, services de conseil à des programmes et projets. Dans les figures 1-2 se présen-tent les projets réalisés lors de deux années par pays et par domaine thématique au cours de la période. L’exécution de projets au niveau régional se maintient, surtout avec des projets en toute Amérique Centrale et des projets transcontinentaux.

La forte participation de requêtes de travail provenant de sources européennes et nord-amé-ricaines s’est confirmée, enregistrée en plus de la moitié de cas. Des clients de taille furent l’Union européenne (délégations en Amérique Centrale et au Caraïbe), la banque allemande KfW, ainsi que Root Capital et Grant Management Solutions (tous les deux de Massachusetts, EEUU). Au Costa Rica, le PNUD a fait acte d’une présence significative dans chacune des deux années. Un partenaire externe nouveau au Costa Rica a été le Banco Popular, engagé à renforcer les structures productives dans le secteur rural au sud du pays.

Des clients de la coopération bilatérale belge et néerlandaise se manifestent principale-ment dans le secteur non-gouvernemental. Tel a été le cas de la Fédération des ONG de coopération au développement (ACODEV/NGO Federatie) de la Belgique, ainsi que l’Institut néerlandais pour la Démocratie Multiparti et l’agence HIVOS des Pays-Bas. Avec les trois organisations il s’est avéré possible d’atteindre des acteurs dans une variété de pays, tout conformément à la stratégie du CDR qui vise à des échanges entre pays et secteurs.

En termes de projets réalisé dans un seul pays, contraire aux périodes précédentes avec une exécution remarquable au Nicaragua, en 2015-16 c’étaient surtout le Costa Rica et l’Haïti qui se sont distingués avec des projets en 2015, année qui a vu une plus grande accumulation d’activi-tés que l’année suivante.

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Figure 1. Projets exécutés par CDR par pays/région (2015-2016)

Figure 2. Domaines thématique du CDR par an (2015-2016)

Transcontinental

Amérique du Sud

Amérique Latine

Caraïbes

Amérique Centrale

Ecuador

Mexique

Haïti

Nicaragua

Honduras

Guatemala

Costa Rica

0 2 4 6 8 10 12 14

2015 2016

Environnement et Ressources Naturelles

0 1 2 3 4 5 6 7

2015 2016

8 9 10

Développement Humain

Marchés et Chaînes de Valeur

Programmation, Suivi et Évaluation

Finance et Gestion

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Relatif aux domaines thématiques couverts dans l’agenda, on constate la stabilité de pro-jets en matière de Programmation, Suivi et Evaluation, comparable à la période antérieure. Quant aux années 2015-16, l’augmentation d’activités est notable dans le domaine Marchés et Chaîne de Valeur (surtout en 2015) et dans le secteur environnemental et des ressources naturelles. Ce dernier thème se voit accentué avec les projets développés au Costa Rica, liés à la gestion d’eau en milieu rural.

Audit

Les états financiers pour les années 2015 et 2016 se sont assujettis à un audit externe, con-forme aux principes comptables généralement acceptés. L’audit externe fut réalisé par Lic. Ismael Acosta (CPA 3115) sur l’année 2015, suivi par Lic. Abraham Vargas (CPA 1294) qui s’est acquitté de l’exercice sur 2016.

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Annexes

Annexe 1. Consultants-Chercheurs

Equipe de Base

Hans Nusselder

MSc. Hans Nusselder (1957). Diplômé en économie et sociologie des peuples non-occiden-taux, de l’Université Libre d’Amsterdam. Il a rejoint le CDR après conclure ses investigations en Asie du Sud et son expérience de travail avec des organisations internationales en Amé-rique latine, en Afrique de l’Ouest et aux Pays-Bas. Son expertise comprend la formulation de programmes de développement productif et humain, la formation et le soutien aux or-ganisations de producteurs et de commerce international; le renforcement des structures financières rurales en Amérique centrale et aux Caraïbes; analyse des politiques du secteur privé, la société civile et le développement durable des zones frontalières soutenus par la coopération technique et les institutions locales. En plus de sa position de directeur du CDR basé à San Jose, il est impliqué dans l’analyse du développement du secteur financier non bancaire en Amérique latine et en Afrique, ainsi que dans des études d’impact, de commer-cialisation agricole et dans la formulation de programmes d’assistance technique avec une couverture régionale.

Paul Cloesen

MSc. Henri-Paul Cloesen (1959) est ingénieur agronome (phyto-technique, cultures tropica-les et subtropicales) de l’Université de Louvain, en Belgique. Il possède une vaste expérien-ce dans la gestion, l’administration, le suivi et l’évaluation des projets de coopération dans l’agriculture et le développement rurale en général. Il a travaillé dans la diversification éco-nomique, la commercialisation agricole, le financement rural, le soutien aux PME, le dévelo-ppement des systèmes d’information et de gestion, la préparation pour désastres naturels, la conservation de la biodiversité, la protection de l’environnement et le soutien administratif et comptable à les associations rurales. Il a travaillé avec un large éventail de cultures alimen-taires et industrielles tropicales et dans l’industrie agro-alimentaire, où il a étudié la faisabilité économique, sociale et environnementale.

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Angelica Beatriz Ramírez Pineda

Ing. Angélica Ramirez Pineda (1983) est diplômée de la carrière Développement Socio-écono-mique et Environnement dans l’Ecole Agricole Panaméricaine Zamorano au Honduras. Elle a travaillé sur des projets liés à la microfinance et le suivi socio-économique en Amérique cen-trale, principalement en développant des outils de recherche, la collecte d’information sur le terrain, l’analyse statistique et la systématisation. Angélica a de l’expérience dans la conception de projets pour la diversification des produits d’exportation, ainsi que dans le développement des chaînes de valeur et la gestion des alliances. Elle a réalisé diverses missions en Amérique latine pour la CBI, une agence du Ministère Néerlandais des Affaires Étrangères. Son expérience comprend dix ans de travail avec les petites et moyennes entreprises en Amérique latine, ainsi que sept ans comme formateur dans les programmes de renforcement des capacités dans la promotion des exportations. En outre, elle a de l’expérience avec les outils d’information sur le marché du bâtiment, comme les études sectorielles, études de produits et guides d’exportation.

Stervins Alexis

Dr. Stervins Alexis (1967), Ingénieur civil, Institut technique supérieur en Haïti. Il a un doctorat en Changement Global et Développement Durable de l’Université Alcalá de Henares à Ma-drid et 20 ans d’expérience dans la conception, la gestion et le suivi des plans, programmes et projets de développement régional, local et rural, l’infrastructure sociale, l’exploitation et la gestion des ressources naturelles et le soutien au renforcement des organisations. Spéciali-sé dans les processus de développement local, la gestion des ressources naturelles, la pré-vention et la gestion des risques et désastres. Ces domaines de compétence comprennent la gestion des bassins versants et la planification territoriale, la recherche des écosystèmes tropicaux et l’évaluation des impacts naturels et anthropiques. Il a de l’expérience et appren-tissage pratique sur les effets du changement climatique, la pollution et la fragmentation de l’habitat, tirant parti de son travail de consultation et de longues recherches dans différents pays des Caraïbes.

Alejandro Uriza

Lic. Alejandro Uriza Ferretti (1977) a été formé en économie agricole à l’UNAN du Nicaragua. Il a une spécialisation en Marketing et Publicité, de l’Institut Technologique de Monterrey et l’Université Américaine au Nicaragua. Il a plus de 10 ans d’expérience professionnelle dans différents domaines de travail visant à la formulation et l’évaluation des projets dans les zo-nes rurales, le développement de plans d’affaires, les évaluations qualitatives et quantitati-ves, l’assistance technique et de formation pour des organisations et entreprises. Il a servi comme directeur de communications pour la Fédération Réseau NicaSalud, étant en charge du programme de communications et d’assistance technique à 29 organisations nationales et internationales faisant du travail communautaire dans le pays. Il a travaillé dans l’évaluation des projets et programmes au niveau national et régional ainsi qu’à l’élaboration de plans d’affaires, les stratégies de viabilité financière, les plans de commercialisation et les évalua-tions des programmes et projets.

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Consultores Asociados

Ariana Araujo Resenterra

MSc. Ariana Araujo Resenterra (1981) est anthropologue, Université du Costa Rica. Master en études du développement avec une spécialisation en développement local et régional, Ins-titut d’Études Sociales, La Haye (ISS). Avec une connaissance approfondie et une expertise dans le domaine du développement local et régional, la gestion des ressources naturelles, le genre, l’agriculture et la formulation, la mise en œuvre et l’évaluation des projets. Son expé-rience professionnelle comprend l’analyse des politiques et programmes de développement financés par les bailleurs de fonds internationaux ou des gouvernements. Elle est également spécialisée dans les processus de recherche-action avec des méthodologies participatives dans divers groupes sociaux et organisations dans le contexte régional de l’Amérique cen-trale.

Milan Baez

Milán Báez (1975) est économiste (Universidad Nacional), MBA avec spécialisation en finan-ces de l’Institut Technologique de Costa Rica. Il possède 15 ans d’expérience professionne-lle, 11 ans dans le secteur financier en tant qu’analyste senior corporatif de crédit au niveau d’institutions bancaires du secteur privé. Il a une longue expérience dans le domaine de diligence raisonnable (due diligence) dans le contexte d’opérations bancaires. Il a assumé de nombreux exercices en évaluation financière, en structuration d’opérations pour des PMEs et des compagnies de taille. Lors des dernières années il a travaillé dans la thématique de formation financière et des liens entre des services financiers offerts aux organisations de producteurs, institutions micro financières et les banques dans la région centraméricaine.

Arie Sanders

Ing. Arie Sanders (1966) est agroéconomiste, formé à l’Université Agricole de Wageningen. Il a fait un trajet solide dans le CDR avec une combinaison de recherche académique appli-quée et de soutien au programme et aux missions d’évaluation en Amérique centrale. Ses domaines d’expertise comprennent la viabilité financière des intermédiaires financiers ru-raux, l’impact du crédit au niveau de la famille productrice rurale, et les modèles d’interaction entre crédit, production et migration en plusieurs pays d’Amérique centrale. Ses expériences en tant que consultant ont une couverture géographique de l’isthme centraméricain, via les Caraïbes et les Andes, jusqu’au Cône Sud de l’Amérique Latine, nourris par des affectations appuyées par plusieurs organisations multilatérales. Il travaille actuellement pour l’université Zamorano au Honduras.

Iris Villalobos

Lic. Iris Villalobos (1956). Diplômée en administration des affaires de l’Université Nationale, Costa Rica, est spécialiste avancée en formation sur la finance en Amérique centrale et a été liée pendant plus de 20 ans au développement de nombreux intermédiaires financiers dans la région. Elle a également assumé des responsabilités de gestion financière et missions d’évaluation externe. Il a une connaissance approfondie des techniques d’évaluation sophis-

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tiquées, accumulée au cours de son travail avec diverses institutions financières. Il a formé et donné des conseils à des institutions clés dans le processus d’adhésion du secteur financier formel. Récemment, il lié à la formulation de plans d’affaires financières, ainsi que l’évaluation des composantes de crédit des ONG et des programmes de développement multilatérales.

Gustavo Novillo

Ing. Gustavo Novillo (1961) est ingénieur commercial avec expertise en marketing, basé à Ma-chala, Équateur. Professionnel spécialisé avec expérience et une vision pour le développement durable, reflétée dans une carrière marquée par la gestion et l’expérience dans la gestion du développement, la planification stratégique, la gestion d’ONG, les conseils spécialisés et la ges-tion de programmes et projets publics et privés. Il a la capacité de proposer des alternatives et mettre en œuvre des solutions pour parvenir à un développement durable. Sa carrière fait preuve de livraison à temps, de l’efficience et de l’efficacité de grands projets prioritaires pour les groupes participants et pour les organismes de financement. Il a été chargé de la direction et de la coordination d’équipes pluridisciplinaires.

Andrea Peña

Dr. Andrea Peña de Alexis (1966) est ingénieur-agronome de l’Université Autonome de Saint Domingue, Rép. Dominicaine. Elle possède un Ph.D. en Environnement et Qualité de Vie de l’Université du Pays Basque, Espagne, en dehors de ses vingt ans d’expérience dans les communautés locales pour le développement durable et l’éducation environnementale. Elle a également réalisé des recherches en écologie forestière, en particulier en audit environ-nemental et social. Elle s’est spécialisée en coordination, exécution, suivi et évaluation de projets – surtout de caractère binational – dans la région frontalière avec l’Haïti, marqués par l’approche de bassins versants et l’impact environnemental d’interventions infrastructurelles. Elle enseigne à plusieurs universités d’Espagne et de la République Dominicaine dans les domaines de l’écologie et de la restauration d’écosystèmes.

Page 23: Rapport Biennal - CDR

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ce T

ech

-n

iqu

e e

t S

oci

ale

(FA

ES

) a c

on

stru

it 37

eco

les

dan

s 5

de

par

tem

ent

s d

u p

ays.

Ce

s p

roje

ts, e

xécu

tés

par

un

e fi

rme

Hai

tien

ne

et

un

e

Ep

agn

ole

, me

ttan

t e

n o

eu

vre

19

ing

én

ieu

rs c

ivils

, est

su

pe

rvis

é p

ar

Hyd

rop

lan

et

com

pre

nd

la c

oo

rdin

atio

n, l

a vé

rifica

tion

de

s liv

rab

les

sur

les

chan

tiers

et

la p

rép

arat

ion

de

s ra

pp

ort

s p

ério

diq

ue

s.

Hyd

ro-

pla

n/

BID

15-1

1D

HU

Su

ivi d

e la

san

Sa

ns p

ublic

atio

n.

RP

Avr

.-A

. 20

15

Ap

rès

le d

éve

lop

pe

me

nt e

t la

uss

ite d

e l'

ess

ai p

ilote

du

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leau

d

e b

ord

de

ge

stio

n d

e s

es

sub

vent

ion

s, le

Fo

nd

s M

on

dia

l de

lutt

e

cont

re le

SID

A, l

a Tu

be

rcu

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et

le P

alu

dis

me

, dan

s le

cad

re d

'un

p

arte

nar

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pu

blic

-priv

é a

vec

Gra

nt M

anag

em

ent

So

lutio

ns

(GM

S)

et

SA

P A

G, a

fou

rni u

ne

ass

ista

nce

te

chn

iqu

e a

ux

ficia

ires

prin

cip

aux

du

pro

gra

mm

e d

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tu

be

rcu

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(Min

istè

re d

e la

San

-té

) et

dan

s la

co

mp

osa

nte

VIH

-SID

A à

l'In

stitu

t d

e d

erm

ato

log

ie e

t d

e c

hiru

rgie

de

la p

eau

(PIC

D).

GM

S/

US

AID

15-1

2M

CV

Pla

n s

trat

ég

iqu

e p

ou

r le

s co

op

éra

tive

s ag

rico

les

Sa

ns p

ublic

atio

n.

AL

Avr

.-D

éc.

20

15

Le s

ect

eur d

es c

oo

pér

ativ

es a

gric

ole

s d

es A

mér

ique

s ra

ssem

ble

p

lus

de

80

00

co

op

érat

ives

ave

c p

lus

de

4 m

illio

ns d

e m

emb

res,

pro

-d

uit

des

ven

tes

annu

elle

s d

e p

lus

de

300

mill

ions

de

US

D e

t gén

ère

p

lus

de

500

.00

0 e

mp

lois

. So

n im

po

rtan

ce d

ans

la p

erfo

rman

ce é

co-

nom

ique

et s

oci

ale

de

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gio

n ju

stifi

t la

mis

e en

pla

ce d

'initi

ativ

es

qu

i enc

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rag

etnt

so

n d

ével

op

pem

ent.

Le C

DR

a a

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uyé

la fo

rmul

a-tio

n d

'un

Pla

n st

raté

giq

ue p

ou

r le

Rés

eau

des

Co

op

erat

ives

et a

aid

é

à fo

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er le

cad

re d

'un

pro

jet p

ou

r la

coo

pér

atio

n in

tern

atio

nale

.

Co

op

. d.l.

A

rica

s

15-1

3F

IGC

on

seil

aux

Org

anis

atio

ns

de

Pro

du

cte

urs

et

Inst

itu-

tion

s F

inan

ciè

res

Sa

ns p

ublic

atio

n.

CA

Mai

- D

éc.

20

15

Ro

ot

Cap

ital e

st u

ne

fin

anci

ère

inte

rnat

ion

ale

éth

iqu

e q

ui a

un

p

roje

t d

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ob

ilisa

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Cap

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nan

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ar la

BID

, afin

de

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mo

u-

voir

le c

réd

it au

se

cte

ur

agri

cole

en

Am

ériq

ue

ce

ntra

le. E

n c

olla

-b

ora

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ave

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DR

-SE

FAS

qu

atre

inst

itutio

ns

de

mic

rofin

ance

au

G

uat

em

ala,

au

Ho

nd

ura

s e

t au

Nic

arag

ua

ont

été

ap

pu

yée

s d

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le d

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pe

me

nt d

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rod

uits

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ers

po

ur

les

gro

up

es

de

p

etit

s ag

ricu

lte

urs

(prin

cip

ale

me

nt d

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chaî

ne

s d

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lég

um

es

et

du

caf

é), e

t d

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la c

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ion

d'a

llian

ces

stra

tég

iqu

es

ave

c d

es

pla

tes-

form

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la c

om

me

rcia

lisat

ion

, ain

si q

u'e

n fo

urn

issa

nt d

e

l'ass

ista

nce

te

chn

iqu

e s

up

plé

me

ntai

re.

Ro

ot

Cap

ital

Page 26: Rapport Biennal - CDR

24

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt15

-14

MC

VP

ME

s d

e t

ou

rism

e

Sa

ns p

ublic

atio

n.

CR

Mai

- N

ov.

2015

Le t

ou

rism

e e

st l'

un

de

s se

cte

urs

à g

ran

de

co

ntrib

utio

n é

con

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i-q

ue

po

ur

le p

ays,

et

en

gra

nd

e p

artie

dan

s le

s m

ain

s M

PM

E, d

ont

la

gra

nd

e m

ajo

rité

n'a

au

cun

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on

nai

ssan

ce d

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adm

inis

trat

ion

et

de

s fin

ance

s p

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r le

ur

pe

rme

ttre

d'o

ptim

alis

er

leu

r fo

nct

ion

ne

-m

ent

. Ce

pro

jet

a fo

rmé

46

ent

rep

rise

s to

uris

tiqu

es

en

mat

ière

de

p

roce

ssu

s fin

anci

ers

de

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e. I

l a é

gal

em

ent

ap

pu

yé l'

éla

bo

ratio

n

de

pla

ns

d'a

ffai

res.

Le

sult

at s

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dire

cte

me

nt r

eflé

té d

ans

de

s é

con

om

ies

et

dan

s le

ur

ren

de

me

nt.

Rai

nfo

rest

A

llian

ce

15-1

5P

ME

Éval

uat

ion

du

P

rog

ram

me

PA

PS

SA

N

Han

s N

uss

eld

er

y B

en

icia

Ag

uila

r, Ev

alu

aci

ón

Fina

l del

Pro

-ye

cto

PAP

SS

AN

, San

Jo

sé/

Man

agu

a.

NIC

Jui.

-Oct

. 20

15

Les

stra

tég

ies

de

curit

é a

lime

ntai

re s

ont

de

plu

s e

n p

lus

ba-

sée

s su

r tr

ois

lig

ne

s d

'act

ion

: 1) L

a d

éce

ntra

lisat

ion

de

la g

est

ion

d

es

sto

cks

de

se

me

nce

s d

u n

ive

au n

atio

nal

au

x m

un

icip

alité

s e

t co

mm

un

auté

s. 2

) La

con

serv

atio

n d

e la

div

ers

ité g

én

étiq

ue

, co

n-

sid

éré

e d

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lus

en

plu

s im

po

rtan

te p

ou

r l'a

uto

no

mie

de

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op

u-

latio

n p

rod

uct

ive

et

sa c

apac

ité à

co

mb

ine

r le

s o

bje

ctifs

d'e

ffica

-ci

té e

t d

e q

ual

ité n

utr

itio

nn

elle

. 3) L

'ass

ou

plis

sem

ent

de

s cr

itère

s p

ou

r la

ce

rtifi

catio

n d

es

sem

en

ces,

qu

i co

ntrib

ue

à r

en

forc

er

les

pro

du

cte

urs

en

te

rme

s d

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om

me

rcia

lisat

ion

de

s se

me

nce

s d

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les

zon

es

rura

les.

Le

s su

pp

osi

tion

s st

raté

giq

ue

s d

ep

uis

20

10 d

ans

le p

rog

ram

me

UE

/ IN

TA o

nt é

té e

xam

iné

es.

UE

/

NIR

AS

15-1

6M

CV

Étu

de

de

la v

ale

ur

de

s fe

rme

s à

Me

ta

Pau

l Clo

ese

n, P

reci

o d

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cas

a la

ven

ta e

n M

eta

, H

ard

man

, Bo

go

tá.

CO

LJu

in

2015

Dan

s le

cad

re d

e l'

éval

uat

ion

d'u

n p

roje

t ag

ro-i

nd

ust

rie

l dan

s le

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ép

arte

me

nt d

u M

eta

, ce

tte

mis

sio

n a

me

un

e e

nq

te s

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le p

rix d

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ent

e d

es

terr

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agri

cole

s d

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la r

ég

ion

en

te

rme

s d

'acc

ess

ibili

té, l

a p

roxi

mité

d'a

utr

es

dév

elo

pp

em

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s, le

typ

e d

e

pro

pié

té d

e la

te

rre

et

l'ap

titu

de

(pré

sum

ée)

. Be

auco

up

de

ferm

es

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s ce

tte

gio

n o

nt d

es

pro

blè

me

s d

e t

itre

fon

cie

r, ré

sult

at d

e la

g

ue

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civ

ile. L

es

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eu

rs p

réd

om

inan

ts d

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la d

éte

rmin

atio

n d

u

prix

un

itaire

éta

ient

la t

aille

de

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rme

et

de

so

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mp

lace

me

nt,

plu

tôt

qu

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dis

tan

ce d

e V

illav

ice

nci

o, l

'acc

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ibili

té e

t l'é

tat

de

s é

critu

res.

Har

dm

an

& C

o.

15-1

7P

ME

Su

ivi d

e la

lig

ne

de

bas

e

de

de

ux

org

anis

atio

ns

(AM

G/

PA)

Sa

ns p

ublic

atio

n.

HA

IM

ai-

Jui.

2015

Ap

rès

la p

rép

arat

ion

du

bu

dg

et,

pré

par

atio

n d

es

qu

est

ion

nai

res,

visi

on

tho

do

log

iqu

e, f

orm

atio

n d

es

en

qu

ête

urs

et

dig

italis

a-te

ur

et

test

de

te

rrai

n, c

ett

e m

issi

on

a fo

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i de

l'A

ssis

tan

ce T

ech

-n

iqu

e à

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éal

isat

ion

de

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nq

te d

e li

gn

e d

e b

ase

su

r le

te

rrai

n.

Wo

ord

en

D

aad

15-1

8P

ME

Re

con

stru

ctio

n

de

og

âne

Ste

rvin

s A

lexi

s,

Info

rme

fina

l.

HA

IJu

i.-N

ov.

2015

Vo

ir p

roje

t 15

-03.

KfW

Page 27: Rapport Biennal - CDR

25

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt15

-19

MR

NG

est

ion

inté

gré

e d

e

che

ts s

olid

es

An

lica

Ram

írez,

Ca

ract

e-riz

aci

ón

de

resi

duo

s só

lidos

d

el c

ant

ón

de

Tala

ma

nca

en

Cos

ta R

ica

/ A

do

lfo

r-d

ob

a y

Ro

sa L

n, E

stud

io

de

pre

fact

ibili

da

d d

e la

s a

ltern

ativ

as

pa

ra e

l tra

ta-

mie

nto

y d

isp

osic

ión

fina

l de

los

resi

duo

s só

lidos

ord

ina

-rio

s g

ener

ad

os e

n el

ca

ntó

n d

e Ta

lam

anc

a.

CR

Jui.

-Nov

. 20

14

La

situ

atio

n d

es

pro

cess

us,

de

s sy

stè

me

s e

t d

es

règ

les

et

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le-

me

nts,

de

la g

est

ion

de

s d

éch

ets

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s d

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la m

un

icip

alité

de

Ta

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anca

a é

té a

bo

rdé

s e

t é

tud

ié a

vec

soin

ce

s d

ern

ière

s an

-n

ée

s. C

e p

roje

t a

rep

ris c

es

étu

de

s p

ou

r e

ffect

ue

r u

ne

mis

e à

jou

r d

e la

situ

atio

n d

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le c

anto

n d

e T

alam

anca

. L'a

nal

yse

a p

ort

é s

ur

qu

atre

do

mai

ne

s d

e t

rava

il: 1

) l'a

nal

yse

du

co

ntex

te é

con

om

iqu

e,

pro

du

ctiv

e e

t so

cio

mo

gra

ph

iqu

e, 2

) le

vo

lum

e, l

a ré

par

titio

n

og

rap

hiq

ue

et

la n

atu

re d

es

che

ts s

olid

es

pro

du

its d

ans

le

cant

on

, 3) l

es

ress

ou

rce

s, la

str

uct

ure

et

la c

apac

ité o

ratio

nn

elle

au

niv

eau

mu

nic

ipal

poy

r la

ge

stio

n in

tég

rée

de

s d

éch

ets

so

lide

s e

t 4)

les

pro

cess

us

et

les

acte

urs

act

ue

ls li

és

au t

raite

me

nt e

t à

l'élim

inat

ion

de

s d

éch

ets

.

Co

rre

do

r B

ioló

gic

o

Tala

man

-ca

Car

ibe

15-2

0M

CV

Étu

de

de

co

ûts

de

caf

é

An

lica

Ram

irez,

Inve

n-ta

rio d

e co

stos

pa

ra re

no-

vaci

ón

y re

hab

ilita

ció

n d

e ca

feta

les:

un

estu

dio

pa

ra

Cen

tro

am

éric

a y

Méx

ico.

S

an P

ed

ro S

ula

, Ho

nd

ura

s.

CA

Juil.

- A

. 20

15

Dan

s l'é

valu

atio

n d

es d

eman

des

de

cré

dit

po

ur l

e se

cteu

r ag

rico

le,

il es

t im

po

rtan

t de

conn

aîtr

e la

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uctu

re d

es c

oût

s d

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cha

îne

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lué

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insi

que

les

varia

ntes

par

rap

po

rt à

la te

chno

log

ie u

tilis

ée

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d

u sy

stèm

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rod

uctio

n ap

pliq

ué. D

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le c

adre

de

l'Ini

tiativ

e p

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r la

Rés

ilien

ce d

es P

rod

ucte

urs

de

Caf

é d

e R

oot

Cap

ital,

on

a d

ével

o-

pp

é u

n in

vent

aire

des

co

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moy

ens

po

ur l

a ch

aîne

du

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en

Am

é-

rique

cen

tral

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ocu

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tée

à p

artir

d’in

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ns s

eco

ndai

res

et

entr

evue

s av

ec

pro

duc

teu

rs e

t org

anis

atio

ns d

e p

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urs

. L'é

tud

e

ind

ique

une

gra

nde

varia

tion

des

co

ûts

dan

s ch

aque

pay

s, m

ont

rant

1)

une

ges

tion

diff

éren

cié

e d

ans

chac

une

des

éta

pes

de

la p

rod

uc-

tion,

en

utili

sant

plu

s o

u m

oin

s d

'ent

rées

en

fonc

tion

des

bes

oin

s d

es

cultu

res,

2) u

n p

ouv

oir

d'a

chat

diff

éren

t des

pro

duc

teu

rs e

t su

rto

ut c

e

qu'

ils in

vest

isse

nt v

raim

ent d

ans

la fe

rme,

et 3

) une

var

iab

ilité

de

la

mar

ge

de

bén

éfice

gén

éré

e.

Ro

ot

Cap

ital

15-2

1M

CV

Se

rvic

es

pro

fess

ion

ne

ls à

“C

offe

e F

arm

ers

Re

silie

nce

In

itiat

ive”

Sa

ns p

ublic

atio

n.

CA

Juil.

20

15R

oo

t C

apita

l ap

pu

ye s

es

clie

nts

en

mat

ière

d'id

ent

ifica

tion

et

suiv

i d

es

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eu

rs d

e r

isq

ue

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s le

urs

pla

ntat

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s. D

ans

le c

as d

u

café

, elle

co

mp

te a

vec

l'In

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po

ur

la R

ési

lien

ce d

es

Pro

du

c-te

urs

de

Caf

é.

Dan

s ce

cad

re,

CD

R a

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-fac

ilité

l'at

elie

r "M

éth

o-

do

log

ie e

t o

util

s p

ou

r la

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ne

de

bas

e e

t le

su

ivi a

gri

cole

" ave

c d

es

ent

rep

rise

s as

soci

ativ

es

de

caf

é p

arte

nai

res

dan

s le

no

rd d

u

Nic

arag

ua.

sult

at d

e l'

ate

lier,

on

a f

acili

té u

n fo

rum

po

ur

l'éch

an-

ge

de

co

nn

aiss

ance

s te

chn

iqu

es

sur

le s

uje

t, ai

nsi

qu

e d

es

ou

tils

pra

tiqu

es

po

ur

la g

est

ion

et

de

s in

dic

ate

urs

et

le s

uiv

i.

Ro

ot

Cap

ital

Page 28: Rapport Biennal - CDR

26

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt15

-22

DH

UD

éve

lop

pe

me

nt d

u p

lan

st

raté

giq

ue

de

co

llect

e

de

fon

ds.

Sa

ns p

ublic

atio

n.

NIC

Ao

û.-

D

éc.

20

15

Ent

re le

s d

éfis

re

nco

ntré

s p

ar le

s o

rgan

isat

ion

s d

e la

so

cié

té c

ivile

au

Nic

arag

ua

est

le d

ép

art

de

s b

aille

urs

de

fon

ds

de

co

op

éra

-tio

n a

u d

éve

lop

pe

me

nt e

t la

dim

inu

tion

de

s fo

nd

s d

isp

on

ible

s e

ntre

ce

ux

qu

i co

ntin

ue

nt le

urs

pro

gra

mm

es.

Il e

st e

sse

ntie

l de

d

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lop

pe

r d

es

com

ten

ces

de

str

até

gie

de

co

llect

e d

e fo

nd

s e

t d

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ive

rsifi

er

les

sou

rce

s. D

ans

cett

e m

issi

on

, un

e s

trat

ég

ie d

e

colle

cte

de

fon

ds

a é

té d

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lop

e p

ou

r l'A

sso

ciat

ion

de

TH

ES

E,

bas

ée

su

r u

ne

ap

pro

che

de

"co

ach

ing

" d'é

qu

ipe

.

Tesi

s

15-2

3P

ME

Fin

alis

atio

n d

e la

form

ula

-tio

n d

u p

rog

ram

me

Ro

uill

e

du

Caf

é.

Han

s N

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eld

er,

Do

cum

en-

to d

e A

cció

n P

RO

CA

GIC

A

(incl

. Pre

sup

uest

o y

Sub

-co

ntra

to d

e ej

ecuc

ión)

. San

Jo

sé.

CA

Juil.

- A

. 20

15

Pro

gra

mm

e in

tég

ré d

e lu

tte

co

ntre

la r

ou

ille

du

caf

é e

n A

riqu

e

cent

rale

(PR

OC

AG

ICA

) est

larg

em

ent

initi

ativ

e s

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ten

ue

par

les

go

uve

rne

me

nts

dan

s le

bas

sin

de

s C

araï

be

s. A

prè

s la

ph

ase

de

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nsu

ltat

ion

et

la fo

rmu

latio

n p

rélim

inai

re d

e la

mis

e a

u p

oin

t d

u

pro

gra

mm

e (1

5-0

5), u

n ap

pu

i su

pp

lém

ent

aire

a é

té fo

urn

i po

ur

final

ise

r le

do

cum

ent

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al d

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UE

, le

bu

dg

et-

pro

gra

mm

e e

t la

do

-cu

me

ntat

ion

jurid

iqu

e e

n ta

nt q

ue

co

nd

itio

n p

ou

r le

mar

rag

e d

u

PR

OC

AG

ICA

en

2016

. IIC

A e

st l'

org

anis

me

ap

pro

prié

po

ur

me

ttre

e

n œ

uvr

e le

pro

gra

mm

e, s

elo

n l'é

valu

atio

n d

es

qu

atre

pili

ers

de

l'U

E.

IICA

15-2

4D

HU

Mis

e e

n s

erv

ice

du

ta

ble

au d

e b

ord

Sa

ns p

ublic

atio

n.

MO

ZJu

i. 20

15-

Mar

. 20

16

Ap

rès

le d

éve

lop

pe

me

nt e

t la

uss

ite d

e l'

ess

ai p

ilote

du

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leau

d

e b

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de

ge

stio

n d

e s

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sub

vent

ion

s, le

Fo

nd

s M

on

dia

l de

lutt

e

cont

re le

SID

A, l

a Tu

be

rcu

lose

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le P

alu

dis

me

, dan

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cad

re d

'un

p

arte

nar

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pu

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-priv

é a

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Gra

nt M

anag

em

ent

So

lutio

ns

(GM

S)

et

SA

P A

G, a

fou

rni u

ne

ass

ista

nce

te

chn

iqu

e a

ux

ficia

ires

au

M

ozam

biq

ue

(MIS

AU

Min

istè

re d

e la

San

té e

t Fu

nd

ação

par

a o

D

ese

nvo

lvim

ent

o d

a C

om

un

idad

e-F

DC

).

GM

S

15-2

5D

HU

Ate

liers

de

co

llect

e d

e

fon

ds

(3e

ro

nd

e)

Sa

ns p

ublic

atio

n.

NIC

y

GU

AD

éc.

20

15K

ind

erp

ostz

egel

s fo

urni

t de

l'ass

ista

nce

tech

niq

ue à

ses

org

anis

a-tio

ns p

arte

naire

s au

Gua

tem

ala

et a

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icar

agua

. Dan

s le

cad

re d

u

renf

orce

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t et l

a co

ntin

uité

de

ces

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ette

fois

, des

séa

nces

d

e tr

avai

l ont

été

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ées

pou

r la

mis

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et l

'ana

lyse

des

scé

-na

rios

de

colle

cte

de

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s en

tre

les

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anis

atio

ns a

ssis

tées

au

cour

s d

es a

nnée

s p

récé

den

tes.

Kin

de

r-p

ost

ze-

ge

ls

Page 29: Rapport Biennal - CDR

27

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt15

-26

MC

tud

e d

es

PM

E e

t o

rga-

nis

atio

ns

de

se

rvic

es

aux

PM

E (1

2 île

s)

Han

s N

uss

eld

er

y M

elv

in

Ed

war

ds,

SM

E b

ase

line

stud

y a

nd B

SO

ass

essm

ent.

Ince

ptio

n R

ep

ort

, To

rto

la,

BV

I.

CA

RN

ov.

-Dé

c.

2015

Le b

ut p

rinci

pal

du

pro

gra

mm

e C

OS

ME

, fac

ilité

par

l'U

E, e

st d

e

pro

mo

uvo

ir le

dév

elo

pp

emen

t des

mic

ro-

et p

etite

s en

trep

rises

d

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do

uze

pay

s et

terr

itoire

s (P

TOM

) des

Car

aïb

es. C

epen

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t, le

s co

nditi

ons

et l

es o

pér

atio

ns d

es P

ME

var

ient

d'u

ne îl

e à

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re, s

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s l'i

nflue

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de

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eurs

dém

og

rap

hiq

ues,

jurid

ique

s, s

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aux

et te

ch-

niq

ues.

L'é

tud

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u se

cteu

r des

pet

ites

entr

epris

es p

ar le

bia

is d

'une

en

quê

te d

'env

iron

3.50

0 e

ntre

pris

es a

insi

qu’

une

éva

luat

ion

des

or-

gan

isat

ions

de

dév

elo

pp

emen

t des

affa

ires,

a c

om

men

cé à

la fi

n d

e

2015

. Le

pro

jet f

ou

rnira

des

info

rmat

ions

prim

aire

s co

mm

e b

ase

po

ur

le s

up

po

rt te

chni

que

au

futu

r.

UE

- P

rog

ram

a C

OS

ME

15-2

7F

IGA

telie

r m

eill

eu

res

pra

tiqu

es

dan

s le

fin

ance

me

nt d

u c

afé

Sa

ns p

ublic

atio

n.

GU

AN

ov.

2015

Le fi

nan

cem

ent

de

caf

é e

xig

e u

ne

an

alys

e g

én

éra

le d

u c

ont

exte

e

t d

e la

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on

do

nt le

se

cte

ur

finit

les

pro

du

its fi

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cie

rs a

-q

uat

s. L

e p

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ram

me

SE

FAS

-CD

R, a

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Ro

ot

Cap

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a m

od

éré

u

n a

telie

r «

Me

ille

ure

s p

ratiq

ue

s d

ans

le fi

nan

cem

ent

du

caf

é"

ave

c A

nac

afé

(Ass

oci

atio

n n

atio

nal

e d

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afé

, Gu

ate

mal

a), d

es

rep

rése

ntan

ts d

e la

BID

au

Gu

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a e

t au

sys

tèm

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oo

ratif

M

ico

op

e, p

rése

ntan

t d

es

exp

éri

en

ces

et

de

s p

ratiq

ue

s e

t g

uid

ant

l'id

ent

ifica

tion

de

s d

éfis

et

de

s o

pp

ort

un

ités

qu

'on

re

nco

ntre

ra

dan

s u

ne

ap

pro

che

fin

anci

ère

au

se

cte

ur

du

caf

é.

Hiv

os/

SE

FAS

15-2

8F

IGA

telie

r su

r le

fin

ance

me

nt

agri

cole

Sa

ns p

ublic

atio

n.

ME

XD

éc.

20

15Le

fin

ance

me

nt d

u s

ect

eu

r ru

ral a

u M

exiq

ue

pré

sent

e d

es

cas

inté

ress

ants

, mai

s au

ssi d

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ran

ds

fis. L

es

be

soin

s d

e fi

nan

ce-

me

nt n

e s

ont

pas

solu

s e

t le

s co

nd

itio

ns

actu

elle

s d

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réd

it n

e

sont

pas

ad

apté

es

aux

con

diti

on

s d

e la

plu

par

t d

es

pe

tits

et

mo

-ye

ns

pro

du

cte

urs

. En

co

llab

ora

tion

ave

c A

ND

E (A

spe

n N

etw

ork

o

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eve

lop

me

nt E

ntre

pre

ne

urs

) et

Ro

ot

Cap

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SE

FAS

a o

rgan

isé

l'a

telie

r «

Fin

ance

me

nt p

ou

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gri

cult

ure

ru

rale

du

rab

le: a

lte

rna-

tive

, op

po

rtu

nité

et

inn

ovat

ion"

afin

de

par

tag

er

de

s ex

rie

nce

s ré

uss

ies

qu

i pe

uve

nt ê

tre

re

pro

du

ites.

Ro

ot

Ca-

pita

l

15-2

9P

ME

Su

pe

rvis

ion

de

la

con

stru

ctio

n d

’éco

les.

Ste

rvin

s A

lexi

s,

Info

rme

fina

l.

HA

IO

ct.-

D

éc.

20

15

Vo

ir p

roje

t 15

-10

.B

ID/

FAE

S/

Hy-

dro

pla

n

Page 30: Rapport Biennal - CDR

28

Ann

exe

3. P

roje

ts e

n 20

16

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt16

-01

MC

VL

ign

e d

e b

ase

po

ur

l’étu

de

et

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uat

ion

de

la d

em

and

e d

e

serv

ice

s e

ntre

PM

E

Han

s N

uss

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er,

An

lica

Ram

írez,

Pau

l C

loe

sen

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d M

elv

in E

dw

ard

s,

(1) “

Ba

selin

e S

tud

y to

Co

n-d

uct a

n S

ME

Sur

vey

& N

eed

s A

sses

smen

t, (2

) Co

mp

ara

tive

Ana

lysi

s of

BS

O R

ang

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Ser

-vi

ces

in th

e C

arib

bea

n O

CTs

, S

an J

osé

.

CA

RJa

n.-

Oct

. 20

16

Le p

rog

ram

me

UE

-CO

SM

E s

ou

tient

les

pe

tite

s e

t m

oye

nn

es

ent

rep

rise

s d

ans

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terr

itoire

s d

'ou

tre

-me

r e

uro

en

s d

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Car

aïb

es.

L'é

tud

e p

ort

ait

sur

la fo

urn

iture

de

se

rvic

es

par

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org

anis

atio

ns

de

su

pp

ort

au

x e

ntre

pris

es,

et

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con

diti

on

s e

t l'é

tat

de

s P

ME

dan

s le

s d

ou

ze p

ays

et

terr

itoire

s. U

ne

en

qu

ête

de

p

rès

de

90

0 P

ME

a é

té m

en

ée

su

r le

s 12

île

s, q

ui a

ide

ntifi

é le

urs

ca

ract

éris

tiqu

es,

l'u

tilis

atio

n d

e r

ess

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rce

s h

um

ain

es

et

de

se

r-vi

ces

pu

blic

s (é

lect

rici

té, e

au, g

est

ion

d'o

rdu

res)

, ain

si q

ue

leu

rs

be

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s e

t at

tent

es

en

mat

ière

de

se

rvic

es

de

dév

elo

pp

em

ent

.

UE

-CO

S-

ME

16-0

2P

ME

Su

pe

rvis

ion

de

pro

jets

d’é

co-

les

dan

s 5

par

tem

ent

s d

’Haï

ti

Sa

ns p

ublic

atio

n.

HA

IJa

n.-

Fév.

20

16

La

con

stru

ctio

n d

es

infr

astr

uct

ure

s é

du

cativ

es

en

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ti d

em

eu

re

un

be

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larg

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ent

re

con

nu

. Ce

tte

mis

sio

n s

'est

occ

up

é d

e

la s

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erv

isio

n d

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trav

aux

dan

s se

pt

éco

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nat

ion

ale

s, e

xécu

-té

es

par

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soci

été

s A

ban

tia e

t E

XE

CO

, co

uvr

ant

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toitu

res,

le

plâ

trag

e e

t la

pe

intu

re. À

la lu

miè

re d

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exp

éri

en

ce p

assé

e, i

l est

ra

iso

nn

able

de

pe

nse

r q

ue

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éco

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no

uve

llem

ent

co

nst

ruite

s au

ront

un

e v

ie u

tile

d'a

u m

oin

s u

ne

ratio

n h

um

ain

e.

BID

/FA

ES

/H

YD

RO

-P

LA

N

16-0

3F

IGM

ob

ilisa

tion

de

fon

ds

SE

FAS

-Ro

ot

Cap

ital

Sa

ns p

ublic

atio

n.

CA

Jan

.-D

ec.

20

16

Ro

ot

Cap

ital e

st u

ne

inst

itutio

n fi

nan

ciè

re é

thiq

ue

inte

rnat

io-

nal

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ui a

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ten

u d

es

ress

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rce

s d

e la

BID

po

ur

pro

mo

uvo

ir le

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ance

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nt d

u s

ect

eu

r ag

rico

le e

n A

riqu

e c

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rale

. Le

p

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ram

me

CD

R-S

EFA

S e

t d

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itutio

ns

de

mic

rofin

ance

au

G

uat

em

ala

et

au H

on

du

ras

ont

co

llab

oré

su

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dév

elo

pp

em

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d

e p

rod

uits

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anci

ers

po

ur

de

s g

rou

pe

s d

e p

etit

s ag

ricu

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u-

rs (p

rinci

pal

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ent

caf

é e

t lé

gu

me

s), a

insi

qu

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la c

réat

ion

d

'alli

ance

s st

raté

giq

ue

s p

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r le

s p

late

s-fo

rme

s d

e m

arke

ting

et

de

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iture

d'u

ne

ass

ista

nce

te

chn

iqu

e c

om

plé

me

ntai

re.

Ro

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Ca-

pita

l

*Tem

as:

PM

E: P

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ram

mat

ion,

Su

ivi e

t Éva

luat

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MC

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arch

és e

t Cha

înes

de

Val

eur;

MR

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nviro

nnem

ent e

t Res

sour

ces

Nat

urel

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FIG

: Fin

ance

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estio

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HU

: Dév

elo

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t Hum

ain.

+Pa

ys: C

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ost

a R

ica;

HO

N: H

on

du

ras;

HA

I: H

aïtí;

GU

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uat

em

ala;

CA

: Am

éri

qu

e C

en

tral

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CU

: Ecu

ado

r; M

UN

: Mo

nd

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FO

: Afr

iqu

e d

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Ou

est

; PA

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anam

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ue

Lat

ine

; N

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icar

agu

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OL

: La

Co

lom

bie

; PA

Y: P

arag

uay

; CA

R: C

araï

be

s; B

EL

: Be

lice

.

Page 31: Rapport Biennal - CDR

29

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt16

-04

PM

EC

on

seil

po

ur

la c

réat

ion

d’u

n

can

ism

e r

ég

ion

al d

e s

uiv

i st

raté

giq

ue

Sa

ns p

ublic

atio

n.

AL

y

CA

RFé

v.-

De

c.

2016

Le F

ond

s M

ond

ial v

ise

à co

ntrib

ue

r à l'

amé

liora

tion

du

rab

le d

es

cond

itio

ns d

e sa

nté

dan

s le

s p

ays

en

voie

de

dév

elo

pp

em

ent

, à

trav

ers

de

la lu

tte

cont

re le

s é

pid

ém

ies

de

sid

a, la

tub

erc

ulo

se e

t le

pal

ud

ism

e. U

n m

éca

nism

e ré

gio

nal e

st n

éce

ssai

re p

ou

r ass

ure

r u

ne u

tilis

atio

n effi

cace

de

ses

ress

ou

rces

, po

ur a

ssu

rer u

n co

n-tr

ôle

ind

ép

end

ant,

alig

ner l

es in

vest

isse

me

nts

en

cou

rs e

t orie

nte

r st

raté

giq

ue

me

nt d

es n

ouv

eau

x in

vest

isse

me

nts.

Le

cani

sme

d

e S

uiv

i Ré

gio

nal (

MR

S) e

st u

n in

stru

me

nt p

ou

r su

rve

ille

r la

go

u-

vern

ance

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ssu

rer l

'alig

nem

ent

des

act

ions

ave

c le

s o

rient

atio

ns

néra

les.

L'a

ssis

tanc

e te

chni

qu

e fo

urn

ie a

ab

ord

é la

mis

e e

n

pla

ce d

u M

RS

en

Am

ériq

ue

latin

e et

dan

s le

s C

araï

bes

.

Fon

do

M

un

dia

l

16-0

5M

RN

Éval

uat

ion

de

pla

ntat

ion

s d

’ag

rum

es

et

de

no

ix d

e c

oco

Pau

l Clo

ese

n, B

eliz

e P

roje

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Due

Dili

gen

ce, A

gro

nom

y re

po

rt,

Mo

ring

a P

artn

ers

hip

.

BE

LFé

v.-

Mar

. 20

16

Dan

s le

cad

re d

'un

pro

jet

d'in

vest

isse

me

nt, t

rois

ferm

es

à tr

ave

rs

le B

eliz

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ult

ivan

t p

rinci

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em

ent

de

s o

ran

ge

s, d

es

pam

ple

-m

ou

sse

s e

t d

es

no

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oco

, ont

été

éva

lué

s. L

'étu

de

a p

ort

é

sur

les

pra

tiqu

es

cult

ure

lles

et

phy

tosa

nita

ires

et

de

la d

isp

o-

nib

ilité

de

re

sso

urc

es

hu

mai

ne

s. L

e p

ote

ntie

l et

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coû

ts d

e

pro

du

ctio

n o

nt é

té e

stim

és,

pre

nan

t e

n c

om

pte

la p

rése

nce

de

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ive

rse

s m

alad

ies

do

nt n

ota

ble

me

nt la

lèp

re, l

e H

uan

g lo

ng

B

ing

de

s ag

rum

es

et

les

acar

ien

s d

es

no

ix d

e c

oco

.

Har

dm

an

16-0

6P

ME

Ass

ista

nce

te

chn

iqu

e à

d

ista

nce

po

ur

l’au

to-é

valu

a-tio

n d

e p

erf

orm

ance

Sa

ns p

ublic

atio

n.

PAY

Mar

.-A

vr.

2016

Le F

on

ds

Mo

nd

ial e

xig

e a

ux

pay

s b

én

éfic

iaire

s d

e s

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finan

-ce

me

nts

un

e É

valu

atio

n d

'Elig

ibili

té e

t P

erf

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ance

(EPA

, en

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gla

is) d

e le

ur

can

ism

e C

oo

rdin

ate

ur

Nat

ion

al (M

CC

). Il

s'ag

it d

'un

ou

til d

e g

est

ion

qu

i pe

rme

t d

'ide

ntifi

er

forc

es

et

faib

les-

ses

et

de

pla

nifi

er

de

s ac

tion

s sp

éci

fiqu

es

po

ur

amé

liore

r le

ur

pe

rfo

rman

ce. L

'EPA

est

me

e a

nn

ue

llem

ent

, me

sura

nt la

co

nfo

rmité

du

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C a

vec

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exig

en

ces

d'a

dm

issi

bili

té. C

on

çu

po

ur

faci

lite

r u

n p

lan

d'a

liora

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par

éta

pe

s, E

PA in

tèg

re le

s d

on

es

exis

tant

es

de

la fo

nct

ion

nal

ité d

u C

CM

dan

s la

tro

ac-

tion

ave

c le

s p

artie

s p

ren

ante

s n

atio

nal

es.

Fon

do

M

un

dia

l

16-0

7F

IGC

oo

rdin

atio

n S

EFA

S

Sa

ns p

ublic

atio

n.

CA

Jan

.-D

ec.

20

16

L'ac

cès

aux

serv

ice

s fin

anci

ers

de

s p

rod

uct

eu

rs d

ura

ble

s d

e

la r

ég

ion

d'A

riq

ue

ce

ntr

ale

re

ste

to

ujo

urs

ass

ez

limité

, mai

s le

s b

eso

ins

de

re

sso

urc

es

de

me

ure

nt

gra

nd

s. L

e p

rog

ram

me

S

erv

ice

s F

inan

cie

rs p

ou

r l'A

gri

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ure

Du

rab

le (S

EFA

S) v

ise

à f

a-ci

lite

r d

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lien

s e

ntr

e f

ou

rnis

seu

rs d

e s

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ice

s fin

anci

ers

loca

ux

et

inte

rnat

ion

aux

et

de

s g

rou

pe

me

nts

de

pro

du

cte

urs

du

rab

les

(ce

rtifi

és)

. SE

FAS

fo

nct

ion

ne

au

se

in d

u C

DR

de

pu

is 2

00

8, m

ain

-te

nan

t av

ec

de

no

uve

aux

par

ten

aire

s e

t p

arti

cip

ants

.

CD

R

Page 32: Rapport Biennal - CDR

30

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt16

-08

MR

ND

ialo

gu

e d

ém

ocr

atiq

ue

po

ur

la s

écu

rité

env

iron

ne

me

ntal

e

(PP

DS

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Han

s N

uss

eld

er

y

Ste

rvin

s A

lexi

s, E

valu

aci

ón

fina

l del

Pro

gra

ma

de

Re-

cons

truc

ció

n C

ord

aid

-NIM

D

(201

2-20

16).

Pro

gra

ma

Diá

log

o D

emo

crá

tico

pa

ra la

Seg

uri-

da

d A

mb

ient

al.

AL

y

CA

RM

ai-

Oct

. 20

16

La

Co

lom

bie

, le

Gu

ate

mal

a e

t E

l Sal

vad

or

font

fac

e à

de

s d

éfis

p

ou

r so

rtir

de

s co

nfl

its a

rmé

s in

tern

es,

to

ut

en

me

ttan

t e

n œ

uvr

e

de

no

uve

lles

po

litiq

ue

s p

ub

liqu

es

env

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ne

me

ntal

es.

Le

PD

D-

SA

fu

t d

irig

é a

ux

par

tis p

olit

iqu

es,

la s

oci

été

civ

ile e

t d

es

fem

-m

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lead

ers

au

x n

ive

aux

nat

ion

aux

et

rég

ion

aux,

pro

mo

uva

nt

de

s p

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s-fo

rme

s d

e d

ialo

gu

e e

t ch

erc

han

t d

es

can

ism

es

de

solu

tion

po

ur

les

gra

ves

pro

blè

me

s d

ans

le s

ect

eu

r m

inie

r (C

olo

mb

ie) e

t d

e la

ge

stio

n d

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eau

(Gu

ate

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a e

t E

l Sal

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or).

D

ans

les

tro

is p

ays

on

ob

serv

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u p

rog

rès,

bie

n q

ue

la p

osi

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d

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cito

yen

s, s

urt

ou

t d

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fem

me

s, c

ont

inu

e d

'êtr

e m

en

acé

e

aprè

s le

s ac

cord

s d

e p

aix.

NIM

D-

Co

rdai

d

16-0

9M

RN

No

uve

lle e

nq

te A

SA

DA

S

(112

dan

s le

No

rd d

u

Co

sta

Ric

a)

Ram

irez

A. A

rau

jo A

. Le

ón

R.

Ca

ract

eriz

aci

ón

de

112

Aso

cia

-ci

one

s A

dm

inis

tra

-do

ras

de

los

Sis

tem

as

de

Acu

educ

tos

y A

lca

nta

rilla

-dos

Co

mun

ale

s (A

SA

DA

S) d

e lo

s ca

nto

nes

de

Sa

n C

arl

os y

Sa

rap

iquí

. O

ctu

bre

20

16.

CR

Juil.

-N

ov.

2016

Au

Co

sta

Ric

a, il

y a

env

iron

1.5

00

op

éra

teu

rs lo

cau

x d

e s

erv

ice

s d

'ad

du

ctio

n d

'eau

(AS

AD

AS

), o

rgan

isat

ion

s d

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est

ion

co

mm

u-

nau

taire

de

s re

sso

urc

es

d'e

au, q

ui c

ou

vre

nt 3

0%

de

la p

op

ula

-tio

n. C

ett

e fo

is, 1

12 A

SA

DA

S, o

rant

à S

an C

arlo

s e

t S

arap

iqu

i, o

nt é

té c

arac

téris

ée

s. C

e t

rava

il ré

vèle

qu

e, b

ien

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zo

ne

n’

ait

pas

de

pro

blè

me

s ex

trê

me

s d

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anq

ue

de

re

sso

urc

es

en

e

au, d

es

me

sure

s d

oiv

ent

êtr

e p

rise

s p

ou

r at

tén

ue

r le

s e

ffets

du

ch

ang

em

ent

clim

atiq

ue

. Il s

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lign

e l'

imp

ort

ance

de

la c

olle

cte

d

'info

rmat

ion

s d

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d'a

utr

es

rég

ion

s afi

n d

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éfin

ir le

s b

eso

ins

adm

inis

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ifs e

t fin

anci

ers

, ain

si q

ue

de

s p

roje

ts q

ui y

po

nd

ent

.

PN

UD

16-1

0F

IGP

rép

arat

ion

de

do

ssie

rs

d’a

pp

els

d’o

ffre

s p

ou

r é

qu

ipe

me

nts

info

rmat

iqu

es,

m

été

oro

log

iqu

es

et

hyd

rolo

giq

ue

s.

Ed

dy

We

llen

s y

Pau

l C

loe

sen

, Exp

edie

nte

licita

ció

n.

AFO

Mar

.-S

ep

. 20

15

Was

cal (

We

st A

fric

an S

cie

nce

Se

rvic

e C

ent

re S

erv

ice

on

Clim

ate

C

han

ge

an

d A

dap

ted

Lan

d U

se) e

st u

ne

org

anis

atio

n a

cad

ém

i-q

ue,

co

mp

ren

ant

10 p

ays

d'A

friq

ue

de

l'O

ue

st e

t l'A

llem

agn

e, q

ui

fou

rnit

aux

go

uve

rne

me

nts

l'inf

orm

atio

n s

cie

ntifi

qu

e n

éce

ssai

re

po

ur

la p

rise

de

cisi

on

s fa

ce a

u c

han

ge

me

nt c

limat

iqu

e. L

e

sup

po

rt é

tait

d'a

ssu

rer

un

e c

orr

ect

e a

pp

licat

ion

d'a

pp

els

d'o

ffre

s p

ou

r é

qu

ipe

me

nts

de

re

che

rch

e (r

ése

au in

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atiq

ue,

infr

astr

uc-

ture

de

sto

ckag

e d

e d

on

es

et

stat

ion

s m

été

oro

log

iqu

es

et

hy-

dro

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iqu

es)

, co

nfo

rme

les

pro

céd

ure

s d

e la

Ban

qu

e M

on

dia

le.

Ed

dy

We

llen

s/

GIT

EC

Page 33: Rapport Biennal - CDR

31

Nro

.Th

ème*

Títr

e et

rap

por

t(s)

Pays

+D

ate

Résu

Clie

nt16

-11

MR

NA

telie

r d

e f

acili

tatio

n

d’é

ne

rgie

s re

no

uve

lab

les

Sa

ns p

ublic

atio

n.

NIC

Juin

20

16Le

s é

ne

rgie

s re

no

uve

lab

les

pré

sent

ent

be

auco

up

de

po

tent

iel

en

Am

ériq

ue

cent

rale

, mai

s au

ssi u

n b

eso

in d

e d

ialo

gu

e. L

'ate

lier

«Tra

nsiti

on

én

erg

étiq

ue

plu

s ve

rte

et p

lus

incl

usi

ve e

n A

riqu

e

Ce

ntra

le",

mo

ré à

la d

em

and

e d

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NG

Hiv

os,

a é

té o

rgan

isé

e

po

ur

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rme

r et

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tive

r au

x ac

teu

rs q

ui o

nt u

n im

pac

t su

r le

s p

olit

iqu

es

én

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étiq

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s. L

e tr

avai

l co

mp

ren

ait l

a p

rép

arat

ion

de

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mét

ho

do

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ie d

e l'é

vén

em

ent

, la

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litat

ion

de

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lier

de

suiv

i et

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ons

olid

atio

n d

u r

app

ort

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ire. L

'évé

ne

me

nt a

pe

rmis

un

e

réfle

xio

n su

r le

trav

ail c

onj

oin

t ve

rs le

dév

elo

pp

em

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d'é

ne

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re

no

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lab

le, v

ert

e et

incl

usi

ve d

ans

tou

te la

rég

ion

.

HIV

OS

/

Sin

erg

ia

16-1

2M

CV

Ap

pui

aux

pro

duc

teur

s d

e p

rod

uits

laiti

ers

à C

oto

Bru

s

Sa

ns p

ublic

atio

n.

CR

Nov

. 20

16-

Juin

20

17

Le d

ével

opp

emen

t des

MP

ME

qui

gén

èren

t des

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plo

is e

t val

eur

ajou

tée

dan

s d

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haîn

es d

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leur

rura

le n

éces

site

une

vis

ion

à lo

ng te

rme.

Elle

exi

ge

égal

emen

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ser

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s d

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ével

opp

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t p

our e

ntre

pris

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e l'é

cono

mie

so

cial

e, d

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ce c

as p

artic

ulie

r l'A

s-so

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de

Dév

elop

pem

ent I

ntég

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mon

cito

(AD

I Lim

onci

to),

pro

prié

taire

de

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rep

rise

Láct

eos

de

Cot

o B

rus.

Le

trav

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cou

vert

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es q

uest

ions

de

ges

tion

finan

cièr

e, c

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erci

ale

et a

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inis

trat

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afi

n d

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rom

ouvo

ir p

lus

gra

nde

incl

usio

n, u

ne m

eille

ure

ges

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'ent

rep

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accè

s au

x se

rvic

es fi

nanc

iers

et n

on-fi

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iers

. Cet

-te

ass

ista

nce

se p

ours

uivr

a en

20

17.

Fod

em

i-p

yme

16-1

3P

ME

Éval

uat

ion

de

PR

ES

AN

CA

Pat

rick

Du

maz

ert

, Ism

alia

A

cost

a, J

org

e M

oz y

Pau

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loe

sen

, Eva

lua

ció

n Fi

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x-te

rna

del

Pro

gra

ma

Reg

iona

l d

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egur

ida

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limen

taria

y

Nut

ricio

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ara

Cen

tro

am

é-ric

a y

del

Pro

gra

ma

Reg

iona

l d

e S

iste

ma

s d

e In

form

aci

ón

en S

egur

ida

d A

limen

taria

y

Nut

ricio

nal p

ara

C

entr

oa

mér

ica

), N

icar

agu

a.

GU

A,

HO

N,

NIC

, C

R y

PA

N

Mai

-O

ct.

2016

Jusq

ue

ce

jou

r, ce

rtai

ne

s ré

gio

ns

de

l'Is

thm

e c

ent

ram

éri

cain

so

nt a

ffect

ée

s p

ar l'

insé

curit

é a

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ntai

re. P

RE

SA

NC

A e

st u

n

pro

gra

mm

e e

uro

en

de

su

pp

ort

au

Sys

tèm

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'Inté

gra

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C

ent

ram

éri

cain

e (S

ICA

) en

mat

ière

de

curit

é a

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ntai

re e

t n

u-

triti

on

ne

lle. P

RE

SIS

AN

est

un

pro

gra

mm

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iffé

rent

, fo

nct

ion

nan

t co

mm

e c

om

po

sant

e in

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atiq

ue

de

PR

ES

AN

CA

. Un

e é

qu

ipe

d

e q

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Page 34: Rapport Biennal - CDR

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Page 35: Rapport Biennal - CDR

33

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Page 36: Rapport Biennal - CDR

SAN JOSÉ, COSTA RICA · SEPTEMBRE 2017

Centre d’Étudesen Développement Rural