Sommairep°2_On mange, on bouge par Jacqueline et Valériep°3_Le coin des poètes

par Marilou, Jacqueline et Sophie

p°4_La rétro par Alfred et Mariloup°5_Au revoir... par Annick et Jacquelinep°6_Souvenirs par Carmen

p°7_Solidarité par Moniquep°8_À vos papilles par Élisabethp°9_Doigts de Fée par Carmenp°10_L’autonomie... par Pascalep°12_Rions un peu par Jacqueline

_Allons au devant de la vie... par Monique

Regards CroisésLe journal des Seniors de Sallaumines

n°11octobre 2012

L’Équipe de rédaction

Edito

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L’été est terminé, la rentrée également. Chacun à repris son rythme et les ré-dacteurs de Regards Croisés vous proposent ce numéro de rentrée des plusintéressants. Vous y trouverez vos rubriques préférées et un retour sur unerencontre intergénérationnelle qui a eu lieu cet été au Foyer Logement Rési-dence Jacques Duclos, avec les jeunes du Centre d’Animation Jeunesse.

Au sein de ce numéro, les regards se croisent, les âges et les différences semêlent. Cela me fait penser à une action qui aura lieu le jeudi 18 octobre 2012.Ce jour marquera non seulement l’ouverture du forum de l’autonomie, enpleine semaine nationale des personnes âgées, mais aussi le départ du crossGilbert Rolos. Ce dernier évênement permettra aux élèves des écoles pri-maires de Sallaumines de prendre le départ des courses, avec des enfantsscolarisés en Institut Médico Educatif. C’est ça Regards Croisés, c’est aussi ça

Sallaumines : on se regarde, on se croise, on échange, on communique…Bonne lecture à tous.

Christian Pedowski, Maire de Sallaumines

Rencontre avec les jeunes du CAJDans le cadre des Accueils Collec-tifs de Mineurs les jeunes du Cen-tre d’Animation Jeunesse et duClub Ados sont partis à la rencon-tre des résidents du Foyer Loge-ment Résidence à deux reprisespendant ce mois d’août ensoleillé.Ces deux après-midi furent l’occa-sion pour tous de pouvoir passerun moment agréable de convivia-lité.

Les jeunes se sont amusés avecleurs aînés autour de jeux, (dames,échecs, scrabble). Les jeunesavaient même préparé une représentation de danse à laquelle tous les résidents ont assisté.

Ces deux après-midis se sont terminés autour d’un goûter. Tous, se sont quittés en se donnant ren-dez-vous très prochainement pour les vacances de la Toussaint. Les adolescents préparent déjàune action innovante….

Kader

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Nous avons apprisla perte d’unmembre de la télé-vision. Son émis-sion avait pour butde réunir des per-sonnes déçues dé-primées par la vie,afin de les récon-forter et donner lecourage de vivreet de résister à cesdéboires.Hélas, les méfaitsde la drogue, sansdoute en avait-il

besoin pour accomplir son travail, pour donner le courage aux autres de vivre. Débordement, fa-tigue, personne ne le saura jamais. Mais attention, voyez où cela mène, soyez vigilants, faites dusport, aérez vous en faisant de la marche, pour la santé et le moral.Vous trouverez à Sallaumines, en contactant le service des sports, en Mairie, la liste de toutesles associations sportives qui vous permettra de trouver le sport qui conviendra.

Spécifiquement pour les seniors, des Ateliers d’activité physique sont proposés par la munici-palité. Ainsi Gaby vous propose à la Maison de l’Art et de la Communication un atelier de Re-laxation-Gym-Stretching, tous les lundis de 14h30 à 16h00 et Yann, à la Maison de la Citoyenneté,vous accueille les lundis matin de 9h30 à 11h00, ainsi que les mardis de 10h30 à 11h30 et les ven-dredis de 10h à 11h, à la salle Cadras au complexe Vaillant Couturier, rue Edouard Vaillant pourdes ateliers de gymnastique adaptée.

On mange, on bouge

Jacqueline

Titillons nos papilles gustatives...Préparer de bonnes recettes variées et « équilibrées » puis les déguster tous ensemble en touteconvivialité constitue les points essentiels des Ateliers cuisine diététique mise en place par laMairie de Sallaumines depuis septembre 2011.Ces ateliers, animés par Valérie Pruvost-Fron, diététicienne Nutritionniste se déroulent unjeudi par mois de 9 heures à 13 heures à la Maison de la Citoyenneté.En groupe de 10 - 15 personnes, on y prépare des recettes originales comme le cake poulet-courgettes-estragon, la tarte tatin de légumes au jambon,le poulet pané aux noisettes et sa fricassée de poireaux, legâteau poire-potiron, le crumble renversé pomme-poireaux doubles épices, le moelleux au chocolat, …On échange également sur les différentes façons de cui-siner et pendant la cuisson des mets, on aborde différentsthèmes sur l’équilibre alimentaire comme :Comment manger équilibré ? Comment manger en fonc-tion des sensations alimentaires (la faim, la satiété) etcomment manger afin de percevoir du plaisir gustatif ?

On apprend également à déguster de nouveaux aliments,afin de découvrir de nouvelles saveurs pour ensuite, à l’heure du déjeuner, savourer le repaset terminer (eh oui !) par la vaisselle. Le tout dans la joie et la bonne humeur.

Ce menu vous intéresse ? Vous souhaitez titiller vos papilles gustatives ? Alors, n’hésitez pas ànous rejoindre à partir de septembre 2012, en contactant Olivier Hober au Foyer Jacques Du-clos – 03.21.67.36.61.Bien « gustativement » à vous, Valérie Pruvost-Fron, Diététicienne.

Valérie Pruvost-Fron

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Le coin des poètesTic tac, tic tac, tic tac

Tic tac, tic tac, tic tacDans le silence de la maison,C’est un plaisir d’entendre ce carillon,Qui marque les heures,De notre bonheur, où parfois hélas le malheur.Il peut paraître doux à nos cœursOù terrible dans toute sa noirceurTic tac, tic tac, tic tacCe réveil dans la nuit, nous fait penser à une vieUn cœur qui batTic tac, tic tac, tic tacEt quand il rencontre un amour,Pour lui, il bat pour toujoursAvec ses hauts et ses basMais, tic tac, tic tac, tic tacCarillon, sonne pour moi.

Marilou

Sophie

Saisir le moment propiceSouvent on passe à côté de la vie en se réfugiant dans le passé.Bien préparer sa vie, c’est vivre et saisir l’instant propice, cueillir le fruitau bon moment ou jamais.Alors profitons de la vie, vivons au jour le jour et essayons d’être heureuxmalgré les tourments, car on ne vit qu’une fois.

Vois ! ce passager clandestinQui cherche un toit en vainAttends un heureux demainSeul et sans soutien

Il tremble de froid, de faimMieux vaut lui tendre la mainQue compassion et pitiéPour lui, ce n’est que risée

Le préparer à résisterD’avoir la foi, d’espérerDes mots, toujours des motsSe transformant en maux

Que bientôt cette grande détresseQui règne en ce temps, en maîtresseCesse de laisser dans le besoinCes personnes qui viennent de loin.

Pauvre passager

Jacqueline

La médaille d’honneur du travail

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La médaille d’honneur du travail peut être dé-cernée aux anciens travailleurs, quelle que soitla date de départ en retraite ou de cessationd’activité.

Le temps passé sous les drapeaux s’ajoute auxpériodes de travail effectif. Pour les engagés vo-lontaires, sont retenus le temps légal quel’agent aurait dû accomplir, en tant qu’appeléainsi que les campagnes de guerre.

Formulaire de demande de médaille d’honneurdu travail, à demander en mairie.

Mes premiers pas sefirent dans une villemartyrisée, à l’ombredes murs calcinés.Dans chaque rue l’oncomptait des maisonsbombardées, parfoismême une sur deux.C’est dans les années1950 que bien descommunes se relevè-rent car dans la plu-part des cas, il fallaitattendre les dom-mages de guerre pourpouvoir rebâtir lesmaisons, les mairies,les églises.J’ai côtoyé ces mai-sons bombardées pen-dant presque toutemon enfance. Nous,les gosses aussi bien filles que garçons, malgré l’interdit, nous allions jouer dans ces crevasses,dans ces maisons éventrées, insouciants du danger.Une brique, un pan de mur qui aurait pu s’écrouler, les fessées des parents lorsqu’ils l’appre-naient n’y faisaient rien, nous y retournions quand même.Nous jouions aux cow-boys, et aux indiens, les sudistes et les nordistes, tarzan, tous ces filmsaméricains que nous allions voir le samedi soir au cinéma avec nos parents, nous faisaientcroire que c’était nous les héros !Il n’y avait pas de télévision, pas d’ordinateur, pas d’internet, pas de jeux vidéo, mais notre en-fance fut enrichissante quand même. Aujourd’hui, lorsqu’il m’arrive de passer dans cette rueavec ces belles maisons, cette route bien goudronnée, je revois dans mon esprit cette rue pavéeet ces maisons sinistrées et une douce émotion me prend. Que de souvenirs dans cette rue.

La rétro

Alfred

Marilou

Ma rue

Nadine

Jacqueline

Michèle

Au revoir...

Surprise, Nadine l’a été lorsqu’elle a franchi la porte du foyer pour y travailler comme chaquejour. Nous étions tous réunis afin de l’accueillir dès son arrivée en présence de Monsieur Hober,Directeur du foyer Jacques Duclos, le personnel du Foyer, Monsieur Pietrzyk, Directeur Géné-ral des services de la Mairie de Sallaumines ainsi que de Monsieur Christian Pedowski, Maire dela commune qui a retracé brièvement la carrière exemplaire de Nadine. Ensuite vint la remise descadeaux. Nous étions tous émus, les larmes me sont même montées aux yeux.Pour finir, je voudrais dire à Nadine qui nous quitte pour profiter d’une retraite bien méritée,qu’elle sache que ma porte restera ouverte au cas où le cœur ou l’envie lui viendrait de me ren-dre visite.

Une salle remplie de parents, M.le Maire, M. Pietrzyk, M. Hoberle directeur, les amis du Foyer etautres réunis à l’initiative de sonamie Christelle qui voulait luifaire la surprise pour son départen retraite.

Dans un grand silence, Nadineentra, sous un tonnerre d’ap-plaudissement bien sûr !!Les pommettes de Nadine rosi-rent puis se mirent à rougir enécoutant les éloquents élogesprononcés, les cadeaux et enve-loppes que lui remirent la direc-tion.

Elle remercia tout le monde les larmes aux yeux car Nadine est gentille et est une grande senti-mentale. Une fête réussie, un au revoir de détente et de sympathie.Les partants aiment qu’on les regrettent.Bonne retraite Nadine. A Bientôt.

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SouvenirsLe CUEEP

1969, il y a 43 ans, une action collective de formation, voyait le jour à Sallaumines.Le CUEEP (Centre Université Economie Education Permanente).En effet, le Maire de l’époque Monsieur Jules Tell après avoir rencontré le Professeur Lebrunet une équipe de sociologues de l’université de Lille 1, acceptait de mettre à disposition des lo-caux pour que la population de Sallaumines, puisse près de chez elle, accéder à une formation.

L’objectif de ce centre de formation était d’aider les habitants à apprendre à écrire, à calculer,à faire de la couture + coupe couture, à réparer sa voiture et ceci au plus proche de son domi-cile. Les lieux de formation étaient les écoles Basly, Jean Jaurès, Barbusse, Joliot Curie. Le Se-crétariat d’accueil se trouvait à l’auberge du stade.

Souvenons nous des soirées organisées par les formateurs et leur groupe, en fin de cycle avecles sallauminois invités avec leur famille, salle comble à chaque fois, pour les pièces de théâtre,sketches, cela dans une ambiance extraordinaire.

Fin 2012, c’est la fin de cette grande aventure qui a permis à des milliers de personnes de sui-vre une formation gratuite et validante. Le français, l’anglais, l’allemand, le russe, la mécanique

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Vacances familiales

Monique

SolidaritéLorsque j’écoute cette chanson, « mablonde entends-tu dans la ville », je re-pense à ce qu’a été la joie des ouvriers deprofiter des premiers congés payés. Biensûr, je n’étais pas née en 1936, mais j’ai vuplein de documents d’archives et lu beau-coup de documents sur ce sujet.Je suis allée dans les colos des houillères,j’ai pris le train de la Napoule, parfois 24heures, l’odeur que dégageait les wagons,je la garde dans une petite boîte de mamémoire.

Aujourd’hui, on peut prendre des va-cances, clés en mains, cela paraît si facile.J’ai accompagné à Loctudy en Bretagne 40personnes en grandes difficultés sociales,pour qui les vacances, surtout en famillen’étaient même pas un rêve. Je pense queje me suis retrouvée quelque part autemps des premiers congés payés. Ellesont pu profiter de la plage, de la piscine,faire des visites culturelles (musée, phare,ville de Quimper...) mais également fait desrandonnées et de l’accro-branches.

Être en famille, manger, servi à la table,choisir le programme de sa journée j’avaisdevant tous ces regards ébahis des va-

canciers, oublié que ces vacances n’étaient pas à la portée de tout le monde. Toutes ces per-sonnes profitaient pour la première fois des vacances en famille. Elles ont pu profiter de la plage

Merci la ville de Sallaumines, le CCAS, la CAF, le Conseil Général et tous les Sallauminois qui ontété solidaires de l’action d’avoir permis à seize familles de faire de « même pas un rêve », une réa-lité.

Carmen

auto, l’informatique, la couture + coupe, ledroit, la soudure, la préparation au CAP, BEPdans les secteurs technique. Je ne pourrais citerces nombreuses formations qui furent propo-sées durant toutes ces années, ceci grâce à uneparticipation sans faille de notre municipalité.

Merci aux élus, Messieurs Jules Tell, GilbertRolos, Christian Pedowski pour l’aide qu’ils ontapporté à ce dispositif exceptionnel à l’échelonnational et encore bravo.

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Gratin de painÀ vos papilles

�Ingrédients :- pain rassis- 5 dl de lait- 1 œuf- 200 g de fromage râpé- 1 ou 2 gousses d’ail- 1 pincée de sel et poivre etnoix de muscade

�Préparation :- Beurrez un plat à gratin et frottez-le avec de l’ail.- Le remplir de pain rassis et de fromage râpé en couches alternées.- D’autre part, battez le lait avec œuf, sel, poivre, noix de muscade.- Verser le mélange sur les couches de pain et fromage, parsemez de noisettes de beurre.- Enfournez le plat pendant 20 minutes à 180° C.

�Ingrédients :- 16 tranches de magret fumé- 2 poires- 1 pâte feuilletée- 100 g de morbier- sel et poivre

�Préparation :- Préchauffez le four thermostat 6.- Étalez la pâte et découpez 4 cercles. Puis disposez les sur une plaque anti adhésive.- Couper le morbier en lamelles, enlevez le gras. Lavez, évidez et émincez les poires.- Piquez avec une fourchette chaque disque de pâte. disposez en alternance les lamelles depoire, de magret et de fromage. Poivrez et salez.- Laisser cuire 15 à 20 minutes.

Tartelette poire et magret

Elisabeth

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Robe amincissante sans couture de côté

Carmen

Doigts de Fée

�Fermer la pince d’épaule.�Fendre la pointure.�Tracer la découpe princesse devant et dos en donnantl’évasement jusqu’à l’ourlet 4 cm environ.

�Chevaucher les côtes de la valeur de l’évasement desdécoupes.

�Former les pinces nécessaires à la taille en assurant lesdécoupes princesse.

�Tracer la découpe d’encolure.

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A quel âge sommes nous vieux ?Lorsqu’on parle de » vieux « c’est souvent l’image de nos grands parents qui ressurgit.Les grands parents d’hier, c’étaient ceux qui nous racontaient des contes de fées, qui nous fai-saient revivre leurs premiers bals, leur première rencontre, l’histoire de notre famille. Ils veil-laient sur nous avec tendresse et séchaient nos larmes d’une simple caresse. Chez eux toutsentait bon, l’odeur d’un bon gâteau, d’un chocolat chaud. Seule la tapisserie jaunie et le tic tacde l’horloge nous rappelaient le temps qui passe, ils avaient des rides et des cheveux blancs, maisça ne semblait pas si important car il n’y a pas encore si longtemps on ne s’inquiétait pas tantde calculer et de courir après le temps !

Les grands-parents d’aujourd’hui n’ont plus grand-chose à voir avec ceux d’hier. Plus auto-nomes, plus dynamiques et plus actifs, ils ne symbolisent plus la vieillesse et sont souventtout étonnés d’être grands-parents sans se sentir vieux. C’est tant mieux !Alors viennent fleurir dans nos boîtes aux lettres, dans les médias tout ce qui nous permettrad’arrêter le temps ou tout au moins de ne pas le perdre : tourisme, centres de remise en forme,chirurgie esthétique, clubs de rencontre pour hommes éternellement séduisants ou mamiescougars !C’est ainsi, nous avons de la chance ! Nous sommes dans la société du bien vieillir ! D’ailleursceux qui n’arrivent pas à bien vieillir se sentent quand même un peu coupable et c’est avec dif-ficultés que les personnes en « perte d’autonomie » acceptent les aides à domicile ou le maté-riel adapté !

Ou l’art de bien vieillirL’autonomie...

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Vieillir sans paraître vieux, en voilà un programme !Alors qui sont nos personnes dites âgées ? Vieillissent-elles aussi bien que nous l’imaginons ?Lorsque nous cherchons des solutions pour les personnes âgées, c’est aussi pour nous quenous les mettons en place, alors nous conviennent-elles ?

Si aujourd’hui il existe un panel de solutions pour continuer à garder au mieux la forme, il nefaut pas avoir peur de vieillir car cela fait partie naturellement de la vie. Bien vieillir est unechance que tout le monde n’a pas, ce n’est pas une maladie. Il ne faut pas avoir honte de vieil-lir et de perdre de l’autonomie, c’est pourquoi il faut s’informer de ce qui existe avant mêmed’être dans le besoin.Car en fait, c’est quoi bien vieillir ? N’est-ce pas simplement accepter de vieillir ? Peu importel’âge que nous avons et le temps qu’il nous reste, car chaque lendemain est un avenir et nouspouvons continuer chaque jour d’inventer l’histoire de notre vie.Aujourd’hui, si nous voulons aimer nos rides il faut que notre entourage les aime aussi, carlorsque vos proches ne voient plus en vous que vos handicaps, c’est de leur propre vieillisse-ment qu’ils ont peur.Voici une petite citation d’un philosophe vietnamien Thich Nhat Hanh qui nous donne sa défi-nition du bien vivre.« Pour vivre bien, il suffit de vivre en pleine conscience, ralentir son pas et goûter chaque se-conde et chaque respiration, cela suffit. »

Pascale

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Rions un peu...

L’équipe de RédactionJacqueline, Jeannine, Olivier, Rolande et Alfred, Saâdi, Monique, Pascale, Carmen,Sophie, Monique F., Marilou, Michèle et les jeunes.

Vous souhaitez témoigner ou faire part d’une passion, d’une expérience...Contactez le comité de rédaction au : 03.21.67.36.49

transmis par Jacqueline

Toto va à la caisse d’un magasin de jouets, un avion télécommandé dans la main. Il tend l’ar-gent à la caissière :- Mais ce sont des billets de Monopoly ! tu ne peux pas payer avec ça petit !- Et ça, c’est un vrai avion peut-être ?

Pour mieux connaître ses élèves, la maitresse pose des questions sur leur famille. Arrive letour de Toto :- que fait ton père ?- il est chercheur !- chercheur en quoi ?- ben il cherche du travail, Madame !

La maîtresse est surprise de constater que Toto a parfaitement fait ses devoirs.- Avoue que ton papa t’a aidé pour les faire.- Non maîtresse, il ne m’a pas aidé !- Tu en es sûr ?- Oui, il les a faits tout seul !

La maîtresse demande à Toto :- Toto, 3 et 3 ça fait quoi ?- Match nul, Madame !

Allons au devant de la vie...

transmis par Monique

Ma blonde, entends-tu dans la villeSiffler les fabriques et les trainsAllons au devant de la vieAllons au devant du matin

Refrain :

Debout ma blondeChantons au ventDebout amieIl va vers le soleil levantNotre pays

Et nous saluerons la brigadeEt nous saluerons les amisMettons en commun camaradesNos plans, nos travaux, nos soucis

Amie l’univers nous convieNos cœurs sont plus clairs que le jourAllons au devant de la vieAllons au devant de l’amour

La joie te réveille ma blondeAllons nous unir à ce chœurMarchons vers la gloire et le mondeMarchons au devant du bonheur

Dans leur triomphante allégresseLes jeunes s’élancent en chantantBientôt une nouvelle jeunesseViendra au devant de nos rangs.